Podcasts about Damas

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Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: Agotada y sin fuerzas

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025


Les matins
Ces Druzes qui n'imaginent plus leur avenir en Syrie

Les matins

Play Episode Listen Later Sep 6, 2025 4:47


durée : 00:04:47 - Le Reportage de la rédaction - Le nouveau gouvernement syrien de transition est accusé de massacre contre plusieurs minorités. Les Alaouites, minorité dont était issu Bachar Al-Assad, mais aussi les Druzes. Rencontre en périphérie de Damas avec de jeunes Druzes qui voient désormais leur vie ailleurs.

Le Reportage de la rédaction
Ces Druzes qui n'imaginent plus leur avenir en Syrie

Le Reportage de la rédaction

Play Episode Listen Later Sep 6, 2025 4:47


durée : 00:04:47 - Le Reportage de la rédaction - Le nouveau gouvernement syrien de transition est accusé de massacre contre plusieurs minorités. Les Alaouites, minorité dont était issu Bachar Al-Assad, mais aussi les Druzes. Rencontre en périphérie de Damas avec de jeunes Druzes qui voient désormais leur vie ailleurs.

Radio 90 Motilla
Entrevista a Sergio Beleña, concejal de festejos de Campillo de Altobuey, y las damas y reina de las fiestas.

Radio 90 Motilla

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 12:19


Venezuela en Crisis - RadioTelevisionMarti.com
Rubio expresa admiración por Berta Soler - septiembre 04, 2025

Venezuela en Crisis - RadioTelevisionMarti.com

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 4:32


Natalia Molano, portavoz en español del Departamento de Estado, dijo a Martí Noticias que el Secretario de Estado manifestó el respeto que siente por la líder de las Damas de Blanco durante un evento organizado por la Embajada de Polonia en la ciudad de Miami.

Les matins
Ces Druzes qui n'imaginent plus leur avenir en Syrie

Les matins

Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 4:41


durée : 00:04:41 - Le Reportage de la rédaction - Le nouveau gouvernement syrien de transition est accusé de massacre contre plusieurs minorités. Les Alaouites, minorité dont était issu Bachar Al-Assad, mais aussi les Druzes. Rencontre en périphérie de Damas avec de jeunes Druzes qui voient désormais leur vie ailleurs. - réalisation : Benjamin Thuau

Le Reportage de la rédaction
Ces Druzes qui n'imaginent plus leur avenir en Syrie

Le Reportage de la rédaction

Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 4:41


durée : 00:04:41 - Le Reportage de la rédaction - Le nouveau gouvernement syrien de transition est accusé de massacre contre plusieurs minorités. Les Alaouites, minorité dont était issu Bachar Al-Assad, mais aussi les Druzes. Rencontre en périphérie de Damas avec de jeunes Druzes qui voient désormais leur vie ailleurs. - réalisation : Benjamin Thuau

Radio Segovia
HOY POR HOY ESPECIAL CUELLAR 1 SEPTIEMBRE entrevista con la corregidora y damas de las fiestas, el pregonero Juan Carlos Llorente y Sara Perladouna de las autoras del cartel de las fiestas

Radio Segovia

Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 39:13


HOY POR HOY ESPECIAL CUELLAR 1 SEPTIEMBRE entrevista con la corregidora y damas de las fiestas, el pregonero Juan Carlos Llorente y Sara Perladouna de las autoras del cartel de las fiestas

Choses à Savoir
Pourquoi dit-on “travailler pour des prunes” et “un choix cornélien” ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 2:23


L'expression « travailler pour des prunes » signifie « travailler pour rien », « sans résultat » ou « sans être payé ». L'explication la plus répandue situe l'origine de l'expression au XIIe siècle, après la Deuxième Croisade (1147–1149). À cette époque, les Croisés européens, en particulier les Français, sont partis en Terre sainte pour libérer Jérusalem. L'expédition fut un échec militaire retentissant. Mais les Croisés ne sont pas revenus totalement les mains vides : ils ont rapporté avec eux, entre autres, des pruniers de Damas, un fruit jusque-là inconnu en Occident. C'est ainsi que la prune de Damas, ou prune damassine, est introduite en France.Or, ramener des pruniers alors qu'on visait la conquête de lieux saints fut vite tourné en dérision : on disait qu'ils avaient « fait la guerre pour des prunes », autrement dit, pour pas grand-chose. L'expression est donc née sur un fond d'échec militaire, mais elle a peu à peu glissé vers un usage plus général : faire quelque chose pour rien, sans profit.« Travailler pour des prunes » vient donc d'une moquerie lancée contre les Croisés revenus bredouilles de Damas.Deuxième expression.L'expression « un choix cornélien » désigne une décision extrêmement difficile à prendre, où chaque option implique un sacrifice ou un dilemme moral. Elle vient directement du nom du dramaturge Pierre Corneille (1606–1684), l'un des grands auteurs du théâtre classique français.Une origine littéraire : les tragédies de CorneillePierre Corneille est célèbre pour ses tragédies dans lesquelles les personnages sont confrontés à des conflits déchirants entre le devoir et les sentiments, entre l'honneur et l'amour, ou encore entre la fidélité à sa patrie et ses liens personnels.Le meilleur exemple est sa pièce Le Cid (1637), où le héros, Rodrigue, doit venger l'honneur de son père en tuant le père de la femme qu'il aime, Chimène. Ce choix impossible — devoir filial ou amour passionné — incarne ce qu'on appelle désormais un choix cornélien.Caractéristiques d'un choix cornélienUn vrai choix cornélien se distingue par :L'absence de « bonne » solution : chaque issue entraîne une perte importante.Un conflit moral ou affectif profond.Une tension dramatique : le personnage est tiraillé entre deux valeurs nobles (et non entre le bien et le mal).C'est donc le poids de la grandeur d'âme ou de l'héroïsme qui rend le choix cornélien particulièrement cruel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

The Other 3 Amigos Podcast
Episode 305- Las Damas - Completed It Mate

The Other 3 Amigos Podcast

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 78:19


On this week's Las Damas, your 100% Unofficial SSE Airtricity Women's Premier Division PodcastAthlone March On In Europe SoEveryone At Home Gets LuckyWexford Win The AICThe Weekend ReviewThe Traitors - WPD VersionThe Mailbag & Much Much More

Radio Segovia
Hoy por Hoy Segovia, especial fiestas de Cuéllar, lunes 1 de septiembre de 2025

Radio Segovia

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 39:13


Entrevistas con la Corregidora y Damas, Ana Benito, Clara Olmos y Marina Polo; el pregonero Juan Carlos Llorente; Sara Perlado una de las autoras del cartel de las fiestas y Rubén Alonso, de la Peña El Pañuelo.

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Septiembre 01

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 4:50


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 31

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 31, 2025 4:30


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 30

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 4:30


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 29

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 4:45


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

Les colères du monde
Journal 28/08/2025

Les colères du monde

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025


Israël a de nouveau frappé la Syrie. Dans la nuit de mardi à mercredi, des drones et avions israéliens ont ciblé plusieurs positions militaires au sud de Damas. Selon les sources, ces attaques ont touché les secteurs de Jabal al-Mani et d'al-Kiswah, zones déjà visées la veille.

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 28

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 4:28


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

Tradiciones Sabias
123: Ganadería que produce lluvia, carne y reverdece desiertos con Alejandro Carrillo, de Rancho Las Damas

Tradiciones Sabias

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 54:54


Este es el episodio #123 de “Tradiciones Sabias”, el podcast en español de la Fundación Weston A. Price. Algunos de los temas de este episodio - -Qué es la ganadería regenerativa -Cómo se formó el desierto de Chihuahua  -Experiencias reverdeciendo áreas desérticas -Cómo comienza su camino en la ganadería regenerativa -Experiencia generando lluvia local Datos del invitado -  Alejandro Carrillo es un ganadero de cuarta generación en el desierto de Chihuahua en México. El rancho de Alejandro, conocido como Las Damas, ha sido parte de múltiples documentales y estudios como “Common Ground”, “Sacred Cow”, “Which We Belong” y “Water in Plain Sight”, enfocados en ganadería regenerativa y "reverdecer el desierto" utilizando ganado.  La empresa del Proyecto de Regeneración de Pastizales de Alejandro ayuda a ganaderos y organizaciones en proyectos de pastoreo regenerativo en América del Norte, América del Sur, Europa, África, Australia y Asia. También participa como delegado en la Convención de las Naciones Unidas de Lucha contra la Desertificación en varios países. Antes de unirse al rancho, Alejandro trabajó como ingeniero de software en varios países. Tiene una maestría en Gestión Técnica de la Universidad Johns Hopkins y una licenciatura en Ciencias de la Computación del Instituto Tecnológico de Monterrey. Contacto - -Instagram: Las Damas Cattle Ranch -Página web: www.desertgrasslands.com  -Facebook: Alejandro Carrillo -Linkedin: Alejandro Carrillo Preguntas, comentarios, sugerencias - tradicionessabias@gmail.com     Recursos en español de la Fundación Weston A. Price -   Página web WAPF en Español: https://www.westonaprice.org/espanol/ Cuenta de Instagram: westonaprice_espanol Guía alimentación altamente nutritiva, saludable y placentera: 11 principios dietéticos Paquete de Materiales GRATIS: https://secure.westonaprice.org/CVWEBTEST_WESTON/cgi-bin/memberdll.dll/openpage?wrp=customer_new_infopak_es.htm  Folleto "La Leche Real", de Sally Fallon:  https://www.westonaprice.org/wp-content/uploads/La-leche-real.pdf  Música de Pixabay - Sound Gallery y SOFRA  

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 27

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 4:23


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: "Mi identidad en Cristo"

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025


AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 26

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 4:27


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

Reportage International
Syrie: la région de Deraa frappée par une pénurie d'eau sans précédent

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 24, 2025 2:35


La Syrie fait face à son été le plus sec depuis 60 ans. Les pertes en blé sont massives : environ 75% des terres cultivables sont touchées d'après l'ONU, ce qui menace la sécurité alimentaire de plus de 16 millions de personnes. Dans la région de Deraa, l'une des plus agricoles du pays, les barrages sont à sec et les agriculteurs inquiets.  De notre envoyée spéciale de retour de Deraa, Le barrage d'Ibta ne ressemble plus qu'à un cratère calciné : une coulée de sable, des crevasses, des fissures et tout autour, des champs brûlés. Avec les années, les agriculteurs sont tous partis, raconte Yaza, 19 ans, jeune berger comme son père et son grand-père avant lui. « Cette année, c'est pire que tout. Nous n'avons plus assez d'eau, plus assez de plantes pour nourrir nos moutons », témoigne-t-il. En un an, son troupeau a été décimé. Il a perdu la moitié de ses moutons, qui meurent un à un.  Dans la région de Deraa, tout le monde vous le dira : en 60 ans, il n'y a jamais eu de pénurie d'eau d'une telle ampleur. La faute à un hiver sans précipitations, aux effets du changement climatique, mais aussi, dans le sud du pays, aux incursions israéliennes qui s'emparent des ressources stratégiques en eau. Au lendemain de la chute du régime de Bachar el-Assad, ces dernières se sont déployées dans la zone tampon démilitarisée du Golan, et sont depuis accusées de prendre possession des ressources stratégiques en eau. « Ils ont pris le contrôle de barrages stratégiques, des barrages qui étaient des sources d'eau, affirme Aref, un agriculteur. Depuis, il n'y a plus d'eau pour personne. » À lire aussiLa Syrie fait face à une sécheresse extrême engendrée par le changement climatique « Tous les arbres fruitiers sont asséchés cette année » Ici, plus qu'ailleurs encore, les effets de ce stress hydrique sont visibles. La région est l'une des plus agricoles du pays, surnommée le « grenier » de la Syrie. « ​​​​​​​Même les oliviers, les pêchers, les pruniers... Tous les arbres fruitiers sont asséchés cette année », nous affirme Abu Aysam, également agriculteur, en empilant une à une ses cagettes de pommes de terre. De ses hectares de champs, il ne cultive cette année que la moitié. Cette sécheresse est aggravée par les effets des politiques menées par le clan Assad. Avant sa chute, le régime a soigneusement pillé les puits et conduits d'eau des quartiers et villes révolutionnaires, compliquant aujourd'hui l'irrigation des terres, mais aussi celle des villes, jusqu'à la capitale, Damas.  Avec son association Al-Seeraj, Kinan Al Kudsi, franco-syrien, s'est donné la mission de réhabiliter les 22 puits de la banlieue sud de Damas : « On estime que rien qu'à Damas, 500 puits ne fonctionnent pas. » Dans le bureau du centre de pompage, la plupart des panneaux électriques sont encore éteints. Coût du projet : 150 000 dollars. « ​​​​​​​L'État ne nous donne pas les fonds nécessaires. Mais si tu veux reconstruire le pays, la première chose, c'est de reconstruire le système d'eau... », poursuit-il. Tout à coup, la pluie tombe. Au milieu de la chaleur de l'été – quelque 48°C –, tout le monde se rue dehors. Pas question, pour Kinan, de perdre une occasion de se rafraîchir.  À lire aussiSyrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir

Mujeres con historia
51: Primeras damas en México.

Mujeres con historia

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 21:49


En este episodio encontraras datos interesante sobre las "primeras damas" que han pasado en el gabinete presidencial. Recuerda seguirnos en nuestras redes para obtener más datos. ¿Cuál de todos te gusto o sorprendió mas?

Cinco continentes
Cinco continentes - Día Mundial de la Asistencia Humanitaria

Cinco continentes

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 43:04


Hoy es el día mundial de la asistencia humanitaria. Una fecha que sirve para homenajear y recordar la importancia de quienes trabajan desinteresadamente para otros. Algunos incluso arriesgando su vida. 383 trabajadores humanitarios fueron asesinados en el mundo en 2024, la mitad de ellos en Gaza. Vamos a estar en Washington, un día más, para saber cómo están los ánimos después de la reunión de este lunes entre Donald Trump y Volodimir Zelenski. También en Bolivia para explicar una de las claves de la victoria de Rodrigo Paz: su segundo, el "capitán" Lara. También les contaremos cómo está siendo el traslado de una iglesia en el Círculo Polar Ártico y les hablaremos de un documental, Damas en el poder, que habla sobre mujeres líderes en los cinco continentes. Escuchar audio

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: "La Reverencia a la Casa de Dios"

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025


Religions du monde
Abd el-Kader, combattant, humaniste et mystique musulman soufi

Religions du monde

Play Episode Listen Later Aug 17, 2025 48:30


« Abd El-Kader, l'Arabe des lumières », c'est le titre de l'ouvrage de Karima Berger. Avec elle, nous revenons sur cette figure emblématique de la résistance à la colonisation française de l'Algérie au XIXe siècle, mais surtout sur sa dimension spirituelle, lui qui était un mystique musulman, inspiré par le grand penseur soufi arabo-andalous Ibn Arabi (XIIe-XIIe siècle) enterré à Damas, où Abd El-Kader a passé les 28 dernières années de sa vie, tourné vers la lecture, la prière et l'écriture. (Rediffusion) Un mystique et un humaniste, une figure inspirante aujourd'hui, lui qui disait que l'ignorance était la principale cause des conflits et qui a consacré sa vie au vivre ensemble et à la résistance contre l'extrémisme et l'obscurantisme. Invitée : Karima Berger, écrivaine, essayiste, autrice de « Abd El-Kader, l'Arabe des lumières » (2025, Éd. Albin Michel).Autrice également de : « Les Gardiennes du secret » sur les femmes dans l'imaginaire musulman, « Mektouba » (2016, Éd. Albin Michel), « Les attentives » un dialogue avec Etty Hillesum (2014, Éd. Albin Michel), « L'enfant des deux mondes » (1998, Éd. de l'Aube). Émission initialement diffusée le 4/5/2025.   À lire aussiLa première guerre d'Algérie (1830-1852): une «évidence oubliée»  

Paul Zimnisky Diamond Analytics Podcast

In this 72nd episode of the Paul Zimnisky Diamond Analytics Podcast, Richa Singh, the Natural Diamond Council's (NDC) Managing Director for India, joins the show for the first time. The episode begins with Paul recollecting his experience of being in India last year, especially as it pertains to the size of the gems and jewelry industry in Mumbai and Surat. Richa then discusses the cultural relationship for jewelry between India and the Middle East as Titan Company just acquired Damas Jewellery. The two then analyze why the Indian consumer economy may be the be dominant source of new growth for the diamond industry in the coming decades. Next, Paul and Richa talk about lab-grown diamond penetration in the Indian consumer market versus the U.S. Finally, Richa shares thoughts on the future of the NDC following the Luanda Accords and the announcement that CEO David Kellie will be retiring at the end of the year.   Hosted by: Paul Zimnisky Guest: Richa Singh Guest plug: www.naturaldiamonds.com More information on PZDA's State of the Diamond Market report: www.paulzimnisky.com/products   Show contact: paul@paulzimnisky.com or visit www.paulzimnisky.com.   Please note that the contents of this podcast includes anecdotes, observations and opinions. The information should not be considered investment or financial advice. Consult your investment professional before making any investment decisions. Please read full disclosure at: www.paulzimnisky.com.

Journal d'Haïti et des Amériques
Pérou : à la rencontre de la «Q-Pop», la «Quechua pop»

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 30:00


Sur le continent américain, la K-Pop, musique sud-coréenne à succès, s'exporte et influence... Au Pérou, on parle de «Q-Pop» la «Quechua pop», avec un pionnier du genre : Lenin Tamayo. Le correspondant de RFI, Martin Chabal, s'est rendu à l'un de ses concerts. Au Pérou, la Q-Pop cartonne. Ce nouveau courant musical fait de rythmes entraînants fait danser les foules, mais il est aussi porteur d'un message. Les paroles, en quechua, langue ancestrale parlée par 14% de la population, font l'éloge de la liberté. Elles sont aussi représentatives d'une mise en valeur de la culture andine, longtemps réprimée et méprisée. Le pionnier, Lenin Tamayo, qui se présente sur scène en tenue traditionnelle et en s'adressant en quechua à son public a même acquis une notoriété internationale. Il revient tout juste d'une tournée en Asie et vient de signer un contrat avec un label sud-coréen bien connu.   Analyse de l'actualité haïtienne avec le rédacteur de chef du Nouvelliste Plusieurs actualités sont évoquées avec le rédacteur en chef du Nouvelliste, Frantz Duval. Il décrypte le meurtre de deux agents de la police nationale d'Haïti dans une embuscade à Kenscoff, dans la nuit de mardi 12 à mercredi 13 août 2025. Il évoque aussi le Réseau national de défense des droits humains qui dénonce le monopole de la compagnie aérienne Sunrise Airways sur le marché, et puis il se penche sur un article du Nouvelliste consacré aux défis rencontrés par le secteur de la santé après l'arrivée de Laurent Saint-Cyr à la tête du Conseil présidentiel de transition.   À écouter aussiHaïti: des policiers tués dans une embuscade par les gangs armés dans l'Artibonite   Au Pérou, une loi controversée vient d'être promulguée...  Cette loi permet d'effacer les condamnations des militaires et combattants qui ont participé au conflit sanglant dans le pays dans les années 80. Elle a été votée, il y a quelques semaines, le 9 juillet 2025, et fait débat au Pérou. Les hommes qui vont être libérés sont accusés de crimes graves.  Pour le média péruvien TeleSur, cette loi profite clairement à des individus qui ont violé des droits humains. Il faut savoir qu'entre les années 80 et 2000, un conflit important s'est déroulé au Pérou, les opposants à l'État étant considérés comme des terroristes. Ils ont été lourdement réprimés à l'époque. Le quotidien La República rappelle que plusieurs massacres ont été commis, que même des enfants ont été assassinés... Cette loi choque donc beaucoup de défenseurs des droits humains. Les journalistes de La República notent que la présidente est même allée contre le mandat de la Cour interaméricaine des droits de l'homme... Cette dernière lui avait ordonné, en juillet, de ne pas promulguer la loi qui profitait à des responsables de crimes graves. Pour le journal El Peruano et d'autres médias institutionnels péruviens, elle est un message de paix. Les journalistes relatent fidèlement les déclarations de la présidente, qui l'a signée hier : « Nous ne pouvons pas accepter que de vieux messieurs qui ont rempli leur devoir de défendre l'État de droit continuent de porter des chaînes judiciaires », rapportent-ils. Oui, parce que la loi prévoit la libération des condamnés âgés de plus de 70 ans et l'abandon total des poursuites des militaires qui n'ont pas encore été condamnés. Pour Juanita Goebertus, directrice de la division Amériques à Human Rights Watch, «cette loi est tout simplement une trahison des victimes». À lire aussiLe Pérou promulgue une loi d'amnistie dénoncée par les défenseurs des droits humains   Au Mexique, un criminel fait la Une de plusieurs médias... Il s'agit de celui qui se fait appeler «La Tuta», de son vrai nom Servando Gómez Martínez... Il fait partie des 26 détenus mexicains transférés vers les États-Unis mardi (12 août 2025), dans le cadre d'un accord bilatéral entre les deux pays. Alors, s'il est aussi connu au Mexique et que son transfert fait couler autant d'encre, c'est que c'est un personnage particulier, hein. Le journal mexicain El Siglo de Torreón lui consacre un portrait aujourd'hui. On revient sur son parcours... de professeur d'école primaire à baron de la drogue. Parce que oui, qu'avant d'être accusé d'homicide, d'enlèvement et de trafic de stupéfiants, «La Tuta» enseignait la géographie ou encore les mathématiques à de jeunes Mexicains. Il change complètement de trajectoire de vie en 2001 et devient le fondateur des Templiers, l'une des organisations les plus violentes et les plus dangereuses du pays. En 2015, lors de son arrestation, il est devenu l'homme le plus recherché du Mexique. «La Tuta» purge une peine de 47 ans d'emprisonnement. Selon le média Expansión Política, il aurait demandé, avant son envoi aux États-Unis, de changer de prison pour des raisons de santé.   Aux États-Unis, le Washington Post remet au goût du jour une mystérieuse disparition... Son visage est affiché en une du journal. Je vous parle du journaliste américain Austin Tice, capturé en Syrie en 2012 alors qu'il s'y était rendu avec son appareil photo et son téléphone satellite. C'était la première fois qu'il partait à l'étranger en tant que journaliste indépendant. Austin Tice était militaire, il avait servi dans la Marine. Après avoir tout quitté, il a passé quelques mois en Syrie... Il était connu pour son audace. Le Washington Post, pour qui il a écrit plusieurs articles, rappelle qu'il n'avait peur de presque rien, qu'il avait même rejoint Damas à pied, seul, avant d'être capturé et emprisonné. Treize ans après sa disparition, le journal continue d'enquêter pour le retrouver. Il livre un long article sur son site internet en plusieurs volets. Chaque année de recherche est minutieusement référencée. Depuis la disparition d'Austin, trois présidents américains sont passés par là, hein. De nombreuses négociations ont eu lieu avec le régime de Bachar al-Assad, qui est soupçonné d'avoir capturé le journaliste. Et puis, il y a eu ce vent d'espoir en décembre 2024, quand le régime syrien est tombé et que les prisons ont été vidées... Mais aujourd'hui, il n'y a toujours pas de trace d'Austin Tice. Cette semaine, la Maison Blanche a déclaré poursuivre ses recherches tout en restant prudente face à ses chances d'être en vie... Les journalistes du Washington Post, eux, ont choisi de conclure en donnant la parole à sa mère, Débra Tice : « Mon fils n'est pas mort. Il se promène quelque part », leur a-t-elle confié.   Journal de la 1ère En Martinique, une commune sévit contre les VHU, les «véhicules hors d'usage», ceux qui sont abandonnés. La municipalité a décidé de frapper fort et de demander aux pollueurs de payer. Les amendes sont devenues très sévères, elles s'élèvent jusqu'à 1 500 euros.

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: Guarda tu corazón

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Aug 12, 2025


Reportage International
Partir ou rester, le tiraillement des réfugiés syriens en Turquie

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 2:39


Il y a huit mois, le 8 décembre 2024, une coalition de rebelles syriens prenait le pouvoir à Damas, mettant fin à un demi-siècle de règne de la famille Assad. Ravagée par onze ans de guerre, la Syrie d'aujourd'hui affronte d'immenses défis. Une grande partie de sa population vit en exil, notamment en Turquie, qui a accueilli jusqu'à quatre millions de réfugiés. Depuis l'instauration d'un nouveau régime à Damas, une petite partie d'entre eux a fait le choix de rentrer en Syrie. Mais la très grande majorité continue à vivre en Turquie, tiraillée entre le désir de retrouver leur pays et les doutes sur son avenir. De notre correspondante à Ankara, Cette voix rieuse au bout du fil, c'est celle de Hibe, Syrienne réfugiée en Turquie, le 8 décembre 2024, matin de la chute de Bachar el-Assad. « S'il y a quelque chose au-delà du bonheur, c'est ça que je ressens. J'ignore comment et par qui notre pays va être dirigé maintenant. Mais peu importe, puisque le tyran est parti. Nous, inch'Allah, nous allons rentrer très bientôt », espérait-elle alors. Près de huit mois plus tard, Hibe est toujours là, assise dans la cafétéria d'une clinique d'Ankara où elle vient juste d'être embauchée comme traductrice. Elle explique qu'elle est tiraillée entre son cœur qui lui dit de partir et sa tête qui lui dit de rester. « Jamais, je n'aurais imaginé qu'il serait si difficile de prendre la décision de rentrer en Syrie. Mais les nouvelles ne sont pas bonnes. La Syrie n'est pas un lieu sûr. Israël a bombardé Damas, il y a eu les violences à Soueïda. Quand on voit ça, comment rentrer ? Comment rentrer avec des enfants ? La plupart des Syriens en exil pensent comme moi. Avec un groupe d'amis, on s'était dit qu'on rentrerait cet été, pendant les vacances scolaires. Finalement, personne n'est parti, à part un seul de mes amis. Il m'a appelé d'Alep l'autre jour. Il m'a dit : "Hibe, ne viens pas, surtout pas" », confie-t-elle. À Alep, où elle est née, qu'elle a quitté il y a 13 ans, Hibe n'a plus rien. Sa maison est détruite, toute sa famille a fui. En Turquie, elle a un logement, un travail et surtout deux enfants, nés et scolarisés ici. Et puis son mari, Syrien, vit en Autriche depuis trois ans. Il y a l'espoir, même très mince, qu'il parvienne à les faire venir. À 31 ans, Hibe voudrait enfin regarder devant elle. « Je suis fatiguée, j'ai l'impression que notre avenir n'a jamais été aussi incertain. Combien de fois dans une vie peut-on repartir de zéro ? », s'interroge-t-elle. Selon les autorités turques, environ 300 000 Syriens sont rentrés de leur plein gré depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, contre 2,7 millions qui vivent toujours dans le pays. Trois cent mille, c'est relativement peu, mais cela ne surprend pas Burçak Sel, cofondatrice de Dünya Evimiz, une association d'aide aux réfugiés à Ankara. « Même si la Syrie a un dirigeant et un pouvoir qui la représentent, il y a aussi un grand vide d'autorité. Le pays n'est pas sous contrôle. Les besoins élémentaires en eau, électricité, logement ne sont pas garantis. Il faudra des années pour réparer et retrouver la stabilité. Les Syriens le savent, c'est pour ça qu'ils restent en Turquie alors même que leurs conditions de vie, à cause de l'inflation et du racisme, y sont de plus en plus difficiles. » Burçak Sel estime qu'Ankara devra trouver un nouveau statut pour les Syriens qui restent, la loi actuelle ne leur accordant qu'une « protection temporaire ». C'est notamment le cas de 1,3 million d'enfants, dont l'immense majorité est née en Turquie et n'a jamais vu la Syrie. À lire aussiSyrie: plus de deux millions de déplacés rentrés chez eux depuis la chute de Bachar el-Assad, selon l'ONU

Reportage culture
Liban la culture malgré tout: Beit Beyrouth, l'héritage d'un passé douloureux pour ne pas oublier

Reportage culture

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 4:02


Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Et malgré toutes ces catastrophes, la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes, cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. Liban : la culture malgré tout. Nous visitons Beit Beyrouth ou la maison de Beyrouth, c'est le nom donné à un immeuble, l'un des rares vestiges de la guerre civile, conservée comme un lieu de mémoire. « À l'entrée du bâtiment, il n'y a pas de plafond, c'est assez exceptionnel. Cela a été voulu par l'architecte. Toutes les salles de Beit Beyrouth de l'immeuble Barakat sont liées à la ville, ce qui a permis aux snipers, entre autres, d'avoir une vue à 180° de la rue. » Delphine Abi-Rached, coordinatrice de l'exposition à Beit Beyrouth intitulé aussi la maison jaune qui se situe au cœur vibrant de la ville. D'un côté la rue de Damas qui borde Beyrouth ouest et les quartiers musulmans. De l'autre, la rue du Liban qui nous emmène au cœur d'Ashrafieh, le quartier chrétien bourgeois. Une position stratégique donc occupée par les francs-tireurs durant la guerre civile. L'immeuble est ouvert au public aujourd'hui après une longue lutte menée par la militante Mona Hallak pour le sauvegarder et en faire un lieu de mémoire. Youssef Haidar architecte l'a consolidé. « Je n'ai jamais considéré ce bâtiment-là comme un bâtiment. J'ai toujours considéré comme un être vivant. Pour moi, c'est un Libanais, c'est une personne qui a 90 ans d'âge. Et pour moi, il n'était pas du tout question de faire un lifting. C'est que d'un coup, on efface toutes les traces du temps et de la mémoire et que ça devienne une jeune personne. Non, c'est une vieille personne et qui garde dans son corps tous les stigmates du temps et de la guerre, toutes ses blessures qui étaient là. » L'exposition qui revisite la guerre civile À présent, Beit Beyrouth invite le visiteur à s'immerger dans le passé pour ne pas recommencer les mêmes erreurs ou simplement évacuer les traumatismes. « Donc ici vous allez vous apercevoir donc un mur qui a été construit par les snipers, un mur de brique et on aperçoit trois meurtrières. Et donc l'expérience des visiteurs, c'est de se mettre à la place des snipers et de voir les passants passer », explique Delphine Abi-Rached. Et malheureusement au Liban une guerre en chasse une autre. L'exposition qui revisite la guerre civile dans Beit Beyrouth se termine par un volet sur la dernière guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier. « Ici, on a le symbole de la clé qui est souvent en fait lié aux Palestiniens et à cette idée du droit du retour, de retourner dans leur maison. Les libanais du Sud et de la Bekaa cette fois-ci, quand ils sont partis de chez eux, ils ne savaient pas s'ils allaient pouvoir revenir. Donc le symbole de la clé a été très fort. Et ici, les clés qu'on voit, ce sont des clés de maison qui ont été démolies et détruites par les attaques israéliennes », raconte la coordinatrice de l'exposition. « Le lieu est ouvert comme un lieu public » Beit Beyrouth est aussi un lieu qui se veut vivant et non pas juste tourné vers le passé. « Ça, c'est un bon exemple de ce qu'on veut pour Beit Beyrouth. C'est un groupe de personnes qui trouve Beit Beyrouth maintenant comme un lieu de rassemblement parce que le lieu est ouvert comme un lieu public », souligne Delphine Abi-Rached. Ainsi, durant notre visite, un groupe de personnes constitué en association pour la paix s'était réuni. « Nous sommes un groupe de personnes qui travaillons sur la paix au Liban. Car après toutes les destructions et les drames que nous avons vécus, nous nous demandons quels changements nous pouvons apporter pour être plus constructifs », explique Soha Fleifel. Beit Beyrouth un lieu cathartique et citoyen unique au Liban, accueille le public gratuitement. À lire aussiLiban, la culture malgré tout: visite du Musée national de Beyrouth

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville pontificale : Le Vatican

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce cinquième et dernier épisode de notre série Vivre en ville direction le Vatican. Cette cité-État, enclavée dans la ville de Rome en Italie vit au rythme du Saint-Siège. À chaque conclave pour l'élection d'un nouveau pape, les yeux du monde entier se tournent vers le plus petit État du monde. Le Vatican attire aussi les foules, chaque année, environ 6 millions de touristes se déplacent pour admirer ses trésors et toucher du doigt le quotidien du souverain pontife. En réalité, moins de 500 personnes vivent au sein du Vatican, parmi lesquels, le Pape, des cardinaux, des diplomates et les membres du corps de la Garde suisse pontificale. Peu de civils donc. Comment fonctionne l'une des villes les plus mystérieuses au monde ?   Avec : • Loup Besmond de Senneville, rédacteur en chef du journal La Croix. Envoyé spécial permanent au Vatican jusqu'en 2024. Auteur de Vatican Secret – Quatre années au cœur du plus petit État du monde (Stock, 2025).   En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.  Aujourd'hui, Tokyo vs Kyoto : le choix entre modernité et tradition. Programmation musicale : ► I Lie - Lele Marchitelli  ► The Loneliest – Maneskin   ► Ti manca l'aria - Coez

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville pontificale : Le Vatican

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce cinquième et dernier épisode de notre série Vivre en ville direction le Vatican. Cette cité-État, enclavée dans la ville de Rome en Italie vit au rythme du Saint-Siège. À chaque conclave pour l'élection d'un nouveau pape, les yeux du monde entier se tournent vers le plus petit État du monde. Le Vatican attire aussi les foules, chaque année, environ 6 millions de touristes se déplacent pour admirer ses trésors et toucher du doigt le quotidien du souverain pontife. En réalité, moins de 500 personnes vivent au sein du Vatican, parmi lesquels, le Pape, des cardinaux, des diplomates et les membres du corps de la Garde suisse pontificale. Peu de civils donc. Comment fonctionne l'une des villes les plus mystérieuses au monde ?   Avec : • Loup Besmond de Senneville, rédacteur en chef du journal La Croix. Envoyé spécial permanent au Vatican jusqu'en 2024. Auteur de Vatican Secret – Quatre années au cœur du plus petit État du monde (Stock, 2025).   En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.  Aujourd'hui, Tokyo vs Kyoto : le choix entre modernité et tradition. Programmation musicale : ► I Lie - Lele Marchitelli  ► The Loneliest – Maneskin   ► Ti manca l'aria - Coez

6AM Hoy por Hoy
Pese a la muerte que hubo en Damas Gratis, eventos programados continúan: gerente Movistar Arena

6AM Hoy por Hoy

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 7:08


En 6AM de Caracol Radio habló Luis Guillermo Quintero, gerente General del Movistar Arena, quien dio un informe de los desmanes que ocurrieron en el concierto de Damas Gratis

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville stratifiée : Pékin

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.    Dans ce quatrième épisode de notre série «Vivre en ville», direction la Chine et sa capitale, Pékin. Plus de 20 millions d'habitants, 8 périphériques, la ville du pouvoir central s'étend sur plus de 16 000 km2 et vit au rythme des innovations technologiques. Mais sous le vernis futuriste des tours de verre, subsistent les cicatrices de la cité impériale qu'elle fut et les récits de la révolution culturelle. Comme plusieurs strates superposées. Défis démographiques, écologiques, énergétiques, surveillance du pouvoir, quel quotidien pour les Pékinois dans cette mégalopole aux multiples facettes ?   Avec : • Cléa Broadhurst, correspondante de RFI à Pékin en Chine.   En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.  Aujourd'hui, New-York vs Los Angeles : la rivalité en rap. Programmation musicale : ► Bell Drums Tower - He Young  ► Hong Dou -  Faye Wong  ► Gai  - G Block. 

La W Radio con Julio Sánchez Cristo
“Fue irresponsable”: Guardia Albirroja alertó desde julio 15 por concierto de Damas Gratis

La W Radio con Julio Sánchez Cristo

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 19:07


Diego González, líder distrital de la barra ‘Guardia Albirroja' de Independiente Santa Fe, se refiere a los disturbios en el Movistar Arena del pasado 6 de agosto.

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville stratifiée : Pékin

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.    Dans ce quatrième épisode de notre série «Vivre en ville», direction la Chine et sa capitale, Pékin. Plus de 20 millions d'habitants, 8 périphériques, la ville du pouvoir central s'étend sur plus de 16 000 km2 et vit au rythme des innovations technologiques. Mais sous le vernis futuriste des tours de verre, subsistent les cicatrices de la cité impériale qu'elle fut et les récits de la révolution culturelle. Comme plusieurs strates superposées. Défis démographiques, écologiques, énergétiques, surveillance du pouvoir, quel quotidien pour les Pékinois dans cette mégalopole aux multiples facettes ?   Avec : • Cléa Broadhurst, correspondante de RFI à Pékin en Chine.   En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.  Aujourd'hui, New-York vs Los Angeles : la rivalité en rap. Programmation musicale : ► Bell Drums Tower - He Young  ► Hong Dou -  Faye Wong  ► Gai  - G Block. 

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville système D : Antananarivo

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale “vivre en ville”.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antanarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce troisième épisode de notre série “vivre en ville”, direction Antananarivo, capitale de Madagascar. Conçue initialement pour accueillir 400 000 habitants, la ville atteindrait désormais les 1,6 millions et plus de 4 millions en comptant les périphéries. Une croissance urbaine réellement subie, des quartiers précaires saturés, et un manque d'opportunités économiques. A Antananarivo, près de 80 % de la population vit sous le seuil de pauvreté. Comme dans le reste des villes du pays 60 % de l'emploi est informel. Les habitants vivent de petits métiers, de travaux de misères, de réparations en tout genre pour quelques centaines d'ariary, la monnaie locale, même pas l'équivalent d'un euro. Quel quotidien dans cette ville de la débrouille ?   Avec : • Sarah Tétaud, correspondante de RFI à Antananarivo, à Madagascar  En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault    Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Rio de Janeiro –Sao Paulo : le sable contre le béton.  Programmation musicale : ►Tana Song - Basy Gasy  ► Mafana – Smaven  ► Gasikarako - Niu Raza 

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville système D : Antananarivo

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce troisième épisode de notre série «Vivre en ville», direction Antananarivo, capitale de Madagascar. Conçue initialement pour accueillir 400 000 habitants, la ville atteindrait désormais les 1,6 million et plus de 4 millions en comptant les périphéries. Une croissance urbaine réellement subie, des quartiers précaires saturés, et un manque d'opportunités économiques. À Antananarivo, près de 80% de la population vit sous le seuil de pauvreté. Comme dans le reste des villes du pays, 60% de l'emploi est informel. Les habitants vivent de petits métiers, de travaux de misère, de réparations en tout genre pour quelques centaines d'ariarys, la monnaie locale, même pas l'équivalent d'un euro. Quel quotidien dans cette ville de la débrouille ?   Avec : • Sarah Tétaud, correspondante de RFI à Antananarivo, à Madagascar.  En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault    Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Rio de Janeiro - Sao Paulo : le sable contre le béton.  Programmation musicale : ►Tana Song - Basy Gasy  ► Mafana – Smaven  ► Gasikarako - Niu Raza. 

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: Educación de los hijos

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025


Bitesize Business Breakfast Podcast
ADNOC Gas has signed a 10-year LNG supply agreement with Hindustan Petroleum of India

Bitesize Business Breakfast Podcast

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 31:02


05 Aug 2025. We unpack what it means for UAE–India energy ties and the outlook for global gas markets with energy expert Matt Stanley. Plus, as India becomes a key target of Trump’s tariff plans, economist Dan Richards unpacks the broader implications. And RAK sees record-breaking tourist numbers, we speak to the VP of Destination Tourism. Finally, Titan takes over Damas: we get reaction from the Indian jewellery giant.See omnystudio.com/listener for privacy information.

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville Tex-Mex : San Antonio

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.    Dans ce deuxième épisode de notre série Vivre en ville direction les États-Unis à San Antonio. Deuxième ville la plus peuplée du Texas avec 1,5 million d'habitants, elle est connue mondialement pour son équipe de basket, les Spurs. San Antonio est aussi un bastion démocrate dans un Texas qui vote en majorité républicain. Une ville qui veut miser sur les énergies renouvelables plus que sur le pétrole présent dans le sol texan. Située à 250 km du Mexique, San Antonio est avant tout une ville profondément multiculturelle. Les deux-tiers de sa population sont d'origine mexicaine. Longtemps endormie, San Antonio connait aujourd'hui un boom démographique et économique, mais qui en profite vraiment ?   Avec :  • Théo Quintard, correspondant de RFI à San-Antonio aux États-Unis. En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault :   Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Dubaï vs Riyad : le soft power faiseur de rivalité. Programmation musicale :  ► Hey baby que paso - Texas Tornado  ► Wembanyama Go Spurs Go - Le Groupe Campanas de America  ► Black & Silver - Da Army (T-Krazie, Triple B & Black Outt)  ► San Antone - Randy Rogers Band. 

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville Tex-Mex : San Antonio

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.    Dans ce deuxième épisode de notre série Vivre en ville direction les États-Unis à San Antonio. Deuxième ville la plus peuplée du Texas avec 1,5 million d'habitants, elle est connue mondialement pour son équipe de basket, les Spurs. San Antonio est aussi un bastion démocrate dans un Texas qui vote en majorité républicain. Une ville qui veut miser sur les énergies renouvelables plus que sur le pétrole présent dans le sol texan. Située à 250 km du Mexique, San Antonio est avant tout une ville profondément multiculturelle. Les 2/3 de sa population sont d'origine mexicaine. Longtemps endormie, San Antonio connait aujourd'hui un boom démographique et économique, mais qui en profite vraiment ?   Avec :  • Théo Quintard, correspondant de RFI à San-Antonio aux États-Unis. En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault :   Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Dubaï vs Riyad : le soft power faiseur de rivalité. Programmation musicale :  ► Hey baby que paso - Texas Tornado  ► Wembanyama Go Spurs Go - Le Groupe Campanas de America  ► Black & Silver - Da Army (T-Krazie, Triple B & Black Outt)  ► San Antone - Randy Rogers Band. 

Reportage International
Dis-moi à quoi tu joues?: en Syrie, le backgammon, plus qu'un jeu, un rituel quotidien

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 3:21


« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. En Syrie, dans les vieux cafés de Damas, entre une bouffée de narguilé et un verre de thé, les dés claquent sur les plateaux de bois incrustés de nacre. Ce son sec et familier résonne depuis des siècles dans les ruelles de la vieille ville. Car le backgammon ou ṭāwlat az-zahr n'est pas arrivé là par hasard : on en retrouve des traces dès l'époque de l'Empire Perse, et il s'est enraciné dans le quotidien levantin depuis plus de 1 000 ans. En Syrie, on y joue depuis l'époque omeyyade, peut-être même avant. Plus qu'un simple passe-temps, ce jeu raconte toute une histoire : celle de l'artisanat damascène, de la transmission familiale et de la rivalité amicale.  De notre correspondant à Damas,  « Allez, explosion du score ! », Ahmed est un joueur de backgammon. Au Café Camel, dans le quartier d'Al-Merjah, l'odeur du café noir flotte entre les tables en bois usé. Autour d'un plateau de ṭāwlat az-zahr, le nom syrien du backgammon, les pions claquent, les dés roulent, et les regards se croisent dans un mélange de défi et de camaraderie. Deux hommes jouent, d'autres observent, tous viennent ici retrouver un peu de répit dans la routine :  « Je viens ici pour respirer un peu, échapper à la maison, à ma femme aussi. Allez, il faut bien rigoler ! Si je pouvais, je viendrais tous les jours. Mais bon, on travaille et avec la vie chère maintenant, même le café devient un luxe. Une ou deux fois par semaine, pas plus. » Dans ce vaste café de plus de 600 m² entre salle et terrasse, le ṭāwlat az-zahr est bien plus qu'un passe-temps : c'est un rituel quotidien. Dès l'après-midi et jusqu'à tard dans la nuit, les habitués s'installent autour d'un thé ou d'un narguilé. On joue pour le plaisir, pour l'équilibre, mais aussi parfois pour laver un affront de la veille : « La plupart de ceux qui jouent ici ont plus de 50 ans, précise Ahmed, gérant du Café Camel. Ce sont des gens qui viennent pour se détendre, se changer les idées. Ils arrivent en fin d'après-midi, et certains restent jusqu'à deux ou trois heures du matin. Les jeunes ? Ils sont rares, peut-être 5%. Eux, ils préfèrent les jeux vidéo, avec leur ordinateur posé sur la table. C'est une autre ambiance. » Mais le ṭāwlat az-zahr ne se vit pas qu'autour des tables de café. À quelques pas de là, dans une ruelle du souk Al-Hamidiyeh, l'odeur du bois ciré se mêle à la poussière fine d'un petit atelier. Ici, Ahmed et son frère Eidīn fabriquent les plateaux de backgammon à la main, pièce par pièce, dans le respect d'un savoir-faire transmis depuis des générations. « (...) ce n'est pas qu'un jeu, c'est une œuvre » Au fond de l'atelier, une lame circulaire tourne lentement. Des éclats minuscules de coquillage et de bois précieux viennent s'y frotter dans un crissement délicat. Ahmed, concentré, incruste un à un de minuscules fragments dans le bois. Il lui faut près de dix jours pour terminer un plateau, selon la complexité de la commande : « Ce que je fais, ce n'est pas juste un jeu, c'est une œuvre. Et quand je sais que ce plateau va finir dans le salon de quelqu'un, qu'il va être touché, utilisé, admiré, c'est ça qui me rend heureux, ajoute l'artisan. Plus que l'argent, c'est la trace que ça laisse chez les gens. » Dans certains foyers damascènes, le ṭāwlat az-zahr ne se joue pas seulement sur une table : il se transmet comme une histoire, un souvenir vivant. Chez Fatima, ce jeu a bercé l'enfance. Son père jouait devant elle, et bientôt, elle et ses frères ont suivi, naturellement. Aujourd'hui encore, les parties continuent, parfois même à la lueur d'une bougie :  « Je connais ce jeu depuis que je suis toute petite. Mon père jouait devant nous, et nous, les enfants, on s'y est mis aussi avec mes frères et sœurs plus tard. C'est en l'observant qu'on a appris les règles. Je me souviens, on partait en famille quelques fois en week-end à Bloudan ou à Zabadani et on faisait des paris. Celui qui perdait la partie devait préparer le repas pour tout le reste de la famille. C'était plus qu'un jeu, c'était vraiment notre lien. » Dans une ville marquée par l'histoire et les défis, le ṭāwlat az-zahr ou backgammon reste un fil invisible entre les générations. Ici, à Damas, le jeu continue.

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville réveillée : Damas

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 48:29


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antanarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce premier épisode de notre série vivre en ville, direction Damas, la capitale de la Syrie. Depuis la prise de pouvoir des rebelles islamistes, la capitale syrienne semble se réveiller après 54 années sous le joug de Bachar al-Assad. La chute de celui qui avait été surnommé «le boucher de Damas», a été accueillie par des manifestations de joie dans tout l'espace public, comme pour conjurer la peur. Les places autrefois silencieuses redeviennent habitées par les voix du peuple. Mais si la ville, comme le pays, est libérée de la tyrannie du clan al-Assad, elle reste toujours en proie à la crise économique, marquée par les tensions communautaires dans le pays et les menaces de bombardements israéliens. Entre pénuries et sécurité, le nouveau pouvoir en place a de nombreux défis à relever, notamment sur la justice transitionnelle. Entre soulagement, retrouvailles, précarité, comment les habitants vivent-ils au jour le jour et comment imaginent-ils la reconstruction de leur ville ?   Avec : • Dana Alboz, correspondante de France 24 à Damas en Syrie.  En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Liverpool vs Manchester : Le foot comme arbitre.  Programmation musicale : ► Janna ya watana - Abdul Baset al-Sarout's  ► Nassam Alayna El Hawa – Fayrouz  ► Cha'am - Lena Chamamyan. 

LA PENSION
LA PENSIÓN #110 | LA PENSIÓN EN EXCURSIÓN DESDE ACAPULCO - Visitando el hotel del CHAVO DEL 8

LA PENSION

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 111:17


Reportage International
Syrie: «Ils ont déplacé tous les Bédouins» de Soueïda, même ceux qui n'étaient pas impliqués dans les combats

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 2:37


En Syrie, la situation humanitaire s'est dégradée dans le sud du pays suite aux violents affrontements qui ont opposé les factions armées druzes, les clans bédouins et la sécurité générale du gouvernement. Les combats ont repris, dans la nuit du dimanche 3 août 2025, tuant deux personnes, et ce, malgré le cessez-le-feu du 20 juillet. Deux semaines après sa signature, la ville de Soueïda, fief de la communauté druze, vit comme assiégée et connaît de lourdes pénuries. Près de 173 000 personnes, en majorité bédouine, ont fui la ville pour trouver refuge dans la province voisine, à Deraa. Notre correspondante en Syrie, Manon Chapelain, les a rencontrées dans la ville d'Izra. De notre envoyée spéciale à Deraa, L'école d'Izra a été transformée en refuge. À terre, des dizaines de matelas ont été disposés entre des sacs de vêtements. Çà et là, quelques jouets d'enfants. Quatre-vingts familles du village de Sharbaa, tous des Bédouins, ont été déplacés là. De sa famille, Khitam, 18 ans, elle, n'a plus que son père. Les autres membres de la famille ont été tués par des milices druzes lors des derniers affrontements sectaires : « Ils nous ont tous tirés dessus. J'ai mis mes mains sur mon visage, pour me cacher. L'un d'eux a dit  " Cette fille n'est pas morte ". Ils allaient me tirer dessus pour m'achever, mais un autre a répondu " laissez-la, laissez-la saigner, elle va mourir toute seule". » «  Regardez, j'ai été blessée ici par balle, j'ai une fracture. J'ai aussi des éclats d'obus, dans la main et dans la jambe. » Coincé dans un fauteuil roulant, Khitam montre ses blessures recouvertes de pansements. Son père tente de la rassurer, mais au fond, dit-il, c'est peut-être moi le plus inquiet.« Ils ont déplacé tous les Bédouins, ceux qui étaient impliqués dans les combats comme ceux qui ne l'étaient pas. Notre seul tort aujourd'hui, c'est d'être sunnite. Désormais, ils ne veulent que des Druzes à Soueïda. La coexistence, je crois, est impossible avec la présence des factions d'Al-Hijri. » À lire aussiSyrie-Liban: les Druzes face à un tournant historique Dans la salle d'à côté, un homme allongé à terre, la jambe immobilisée, fait défiler des vidéos des exactions des semaines passées : « Regardez la tête de l'enfant. Regardez jusqu'où elle a volé. » Ici, un petit garçon, la tête arrachée par une déflagration. Là, une jeune fille, les yeux cernés, victime d'un traumatisme crânien après avoir été violemment frappée. Elle a été transférée à l'hôpital de Damas. L'un des hommes veut de ses nouvelles, passe un appel : « Nous avons appris qu'elle était décédée. Est-ce exact ? Dieu merci, comment va-t-elle ? » Une femme lui a répondu qu'elle était en vie. Un groupe de volontaires entre dans la petite école, prend les noms, distribue un à un de maigres dons. De la nourriture, de l'argent, quelques savons. C'est bien, mais pas suffisant, soupire Mouna, 60 ans : « Sans vouloir vous offenser. On se sent humilié ici. À Soueïda, notre ville natale, nous avions une vie digne. Nous étions honorés et respectés. » À son tour, la vieille dame raconte. À Soueïda, j'avais des champs, dit-elle, des tracteurs, une grande maison. Ici, nous sommes réduits à attendre l'arrivée des dons : « Ils nous ont donné des matelas et nous apportent de la nourriture. Mais malheureusement, cela ne répond pas à tous nos besoins. Nous sommes des humains, pas du bétail. » Nous ne sommes pas du bétail, répète-t-elle. Mais peut-être vaut-il mieux cela que de vivre dans l'insécurité ou pire, être tué.  À lire aussiSyrie: «J'essaye de puiser la force de réagir», assure l'épouse d'un Franco-Syrien tué à Soueïda

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: "Decisiones, buenas o malas"

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025


Les matins
Les violences dans la région druze de Soueida déstabilisent-t-elles le régime Syrien ?

Les matins

Play Episode Listen Later Jul 21, 2025 39:22


durée : 00:39:22 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - La province de Sweida, dans le sud de la Syrie, est en proie depuis le 13 juillet aux affrontements entre la communauté druze et des factions de bédouins extrémistes. Israël s'érige en protecteur de la minorité druze, en intensifiant la pression sur Damas et sa présence dans le plateau du Golan. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Dorothée Schmid Responsable du programme Turquie/Moyen-Orient de l'IFRI; Wassim Nasr Journaliste à France 24, spécialiste des mouvements djihadistes