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Damas y caballeros, bellakas y bellakos
Dans le cadre du partenariat du magazine IDÉES avec la revue Esprit, Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne-Lorraine Bujon, la directrice de la revue et l'anthropologue Véronique Nahoum-Grappe, membre de son comité de rédaction, de retour d'un voyage à Damas qu'elle raconte dans l'émission. Le dossier est dirigé par deux spécialistes de la région, Joseph Bahout, professeur à l'Université américaine de Beyrouth et Hamit Bozarslan, directeur d'études à l'École des Hautes études en Sciences sociales, spécialiste des Kurdes (son dernier livre, Histoire des Kurdes. Des origines à nos jours, Cerf, 2025), plusieurs fois invité dans IDÉES. Dans leur introduction, ils s'interrogent sur les conséquences de la guerre de Benyamin Netanyahu à Gaza et ses interventions dans le sud-Liban contre le Hezbollah. Sur les conséquences aussi du changement de régime à Damas après la chute de Bachar al-Assad. Ils soulignent d'autre part l'importance de l'année 1975 qui vit le début de la guerre civile au Liban. La page est-elle en train de se refermer ? Au cours de l'émission, Anne-Lorraine Bujon détaille ce dossier et, en tant que spécialiste des États-Unis, revient aussi sur l'éditorial de ce numéro intitulé « Trump first » autrement le mélange des genres chez le président américain, entre affaires publiques et affaires privées. De retour de Damas, Véronique Nahoum-Grappe, évoque, quant à elle, au micro de l'émission, le voyage qu'elle vient de faire parmi la population de Damas, la capitale syrienne. Elle en fait un compte-rendu humain et plein de couleurs qui nous permet de mieux comprendre l'état d'esprit des Syriens aujourd'hui. Programmation musicale : Naïssam Jalal & Rhythms Of Resistance - Lente impatience.
Dans le cadre du partenariat du magazine IDÉES avec la revue Esprit, Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne-Lorraine Bujon, la directrice de la revue et l'anthropologue Véronique Nahoum-Grappe, membre de son comité de rédaction, de retour d'un voyage à Damas qu'elle raconte dans l'émission. Le dossier est dirigé par deux spécialistes de la région, Joseph Bahout, professeur à l'Université américaine de Beyrouth et Hamit Bozarslan, directeur d'études à l'École des Hautes études en Sciences sociales, spécialiste des Kurdes (son dernier livre, Histoire des Kurdes. Des origines à nos jours, Cerf, 2025), plusieurs fois invité dans IDÉES. Dans leur introduction, ils s'interrogent sur les conséquences de la guerre de Benyamin Netanyahu à Gaza et ses interventions dans le sud-Liban contre le Hezbollah. Sur les conséquences aussi du changement de régime à Damas après la chute de Bachar al-Assad. Ils soulignent d'autre part l'importance de l'année 1975 qui vit le début de la guerre civile au Liban. La page est-elle en train de se refermer ? Au cours de l'émission, Anne-Lorraine Bujon détaille ce dossier et, en tant que spécialiste des États-Unis, revient aussi sur l'éditorial de ce numéro intitulé « Trump first » autrement le mélange des genres chez le président américain, entre affaires publiques et affaires privées. De retour de Damas, Véronique Nahoum-Grappe, évoque, quant à elle, au micro de l'émission, le voyage qu'elle vient de faire parmi la population de Damas, la capitale syrienne. Elle en fait un compte-rendu humain et plein de couleurs qui nous permet de mieux comprendre l'état d'esprit des Syriens aujourd'hui. Programmation musicale : Naïssam Jalal & Rhythms Of Resistance - Lente impatience.
Malgré les attaques et les divisions, la Syrie vient de célébrer les six premiers mois depuis le départ de Bashar el-Assad. En décembre dernier, Ahmed al-Charaa a remplacé l'ancien dictateur. Les avis divergent sur ce gouvernement de transition. Mais l'une de ses priorités commence à se voir dans la capitale : le retour des touristes. Mais si les avions arrivent à Damas, ailleurs dans le pays, les ravages de la guerre empêchent encore de circuler. Les routes sont à reconstruire. Entretien avec Émile Bouvier, chercheur, auteur pour la revue Les Clés du Moyen-Orient. RFI : Ce retour du tourisme en Syrie est-il déjà visible ? Émile Bouvier : Ce n'est pas encore un phénomène de masse. Des voyageurs syriens ou étrangers arrivent à Damas, la capitale. Mais ailleurs dans le pays, les infrastructures, les routes sont en trop mauvais état pour permettre la circulation. Vous dites que le transport de marchandises et de personnes sera l'une des priorités du nouveau gouvernement de transition d'Ahmed al-Charaa ? La remise en état du pays passe par l'économie. Le transport permet l'arrivée des personnes, des marchandises et des matériaux pour reconstruire le pays. Les hôpitaux, les écoles, les administrations, tout est en ruine aujourd'hui. La volonté, en tout cas affichée, de ce gouvernement de transition est de reconstruire le pays et le développement de l'économie. Cela prendra du temps ? Beaucoup de temps, parce que les villes et les infrastructures sont détruites. Tout le pays est à reconstruire. D'ailleurs, l'ONU estime que la Syrie devrait mettre 50 ans pour arriver à tout reconstruire et vivre dans un pays disons standard, avec des connexions viables et des circulations possibles. Aéroports, chemins de fer, ports… Quelles sont les infrastructures les plus endommagées par la guerre en Syrie ? Toutes, absolument toutes. Toutefois, les ports ont été peu touchés parce qu'ils ont servi à l'armée russe qui a bombardé massivement la Syrie. L'autre raison qui explique la protection des ports est qu'ils étaient en zone alaouite, la communauté de l'ancien dictateur Bachar el-Assad. Les seuls aéroports qui ont déjà rouvert sont les aéroports de Damas et d'Alep au nord-ouest du pays. Mais en dehors de cela, il faut vraiment tout remettre sur pied. Pour des millions de dollars. Qui va payer ? C'est un prix et une charge exorbitante. C'est bien pour cela que les pays voisins comme le Qatar ou l'Arabie saoudite – qui voient dans ce nouveau gouvernement un gage de stabilité dans la région, même relative avec des conflits larvés – ont décidé de rembourser les dettes syriennes auprès de la Banque Mondiale et de payer une partie des salaires des fonctionnaires du pays pour alléger le poids de la tâche immense de cette nouvelle autorité syrienne. Mais l'axe majeur de connexion Alep-Damas passe par les villes principales comme Homs dans le centre de la Syrie. Quel rôle des États-Unis après l'entretien le mois dernier entre Donald Trump et Ahmed al-Charaa ? Les États-Unis, après l'entrevue entre les deux présidents, ont levé les sanctions et vont se positionner pour les échanges commerciaux et la participation à la reconstruction avec des entreprises américaines. Et l'Europe, qui a elle aussi levé les sanctions, va-t-elle faire travailler ses entreprises en Syrie ? Sans doute, puisque la Commission européenne a, elle aussi, levé les sanctions à l'encontre de la Syrie. L'Italie s'est déjà positionnée. De plus, l'Europe reste dans une position d'entre deux, partagée entre l'observation de cette nouvelle autorité syrienne qui devra donner des gages de stabilité politique et le désir de ne pas rater l'opportunité de la reconstruction économique en Syrie. Vous croyez plutôt à l'action rapide de la Turquie. C'est certain. La Turquie sera la première à investir et à s'investir en Syrie. La Turquie va jouer un rôle majeur en Syrie, le président Recep Tayyip Erdogan l'a annoncé officiellement en public, la Turquie sera un partenaire économique et politique majeur de la Syrie. On parle beaucoup des grandes villes comme Damas, Homs ou Alep. Qu'en est-il des villes et des villages ruraux, dans les déserts ou les campagnes ? Là-bas, les populations touchées par la guerre sont réduites et très fragilisées. Elles ne sont pas encore en mesure, mentalement et physiquement, de reprendre un train de vie régulier. Les impacts sont gigantesques et leurs routes éloignées de villes, souvent démolies. Ou si elles ne sont pas détruites, elles sont dans extrême mauvais état. L'ancien président Bachar el-Assad n'a jamais eu une politique volontariste dans les transports. Les routes n'étaient pas entretenues, pas remises à niveau ni reliées au reste du pays. L'est et le nord-est de la Syrie, des régions où les besoins de reconstruire seraient parmi les plus importants. Pourquoi ? Parce que ce sont les zones tenues par les Kurdes, les ennemis de Bachar el-Assad. C'est aussi dans le désert au centre du pays qu'ont eu lieu les attaques des terroristes de l'organisation État islamique. Le désert syrien central près de Palmyre où il reste encore des positions du groupe EI et le nord-est du pays ont été très touchés. Il y a beaucoup de bombes qui ont empêché les circulations avec les pays voisins comme l'Irak ou la Jordanie, qui pourraient faire du commerce si les routes étaient sécurisées et en bon état. Mais pour le moment, elles sont assez peu utilisées. À lire aussiSyrie: «Ahmed al-Charaa a reussi sa transformation, la levée des sanctions en est la preuve», analyse Ziad Majed
Naamân, chef des armées araméennes, arrive à Samarie, demandant à être guéri de sa lèpre. Face à l'affolement du roi, Élisée invite ce dignitaire à se rendre auprès de lui. NOTES · Texte (aelf) 2Rois 5, 1-27 Guérison de Naamân et châtiment pour Guéhazi · BIBLIOGRAPHIE | CARTES & DOCUMENTS | CHRONOLOGIE· Plateformes d'écoute | Réseaux Sociaux | @Contact | Infolettre | RSS · Épisode enregistré en Vendée (85, France), 06/2025. Image de couverture : Pieter Fransz de GREBBER, Élisée refuse les dons de Naaman, 1637 (source : Wikimédia commons). Génériques : Erwan Marchand (D.R.). «Au Large Biblique» : podcast conçu et animé par François Bessonnet, bibliste. Sous Licence Creative Commons (cc BY-NC-ND 4.0 FR)Soutenez le podcast avec Tipeee ou Ko-fi CHAPITRES 00:00 Générique et présentation 02:25 (1) A Damas, un général lépreux 5, 1 - 5 06:20 (2) A Samarie, un roi affolé 5, 6 - 8 09:45 (3) Près de la maison, la guérison 5, 9 -14 14:45 (4) Face à Élisée, la foi de Naamân 5, 15 – 19a 20:20 (5) La perfidie de Guéhazi 5, 19b - 27 27:10 (6) Conclusion 28:45 Générique de fin
Palestine Vivra - Episode 5 – L'exil en héritageDans ce cinquième épisode, Sham nous raconte un peu ce qu'à été son parcours. Né en Jordanie, il a par la suite du déménager à Damas, puis au Canada, pays dans lequel il ne se reconnaît pas. Aujourd'hui à la recherche d'un endroit qui lui parle, Sham nous permet de comprendre un peu mieux ce que en quoi avoir l'exil comme héritage façonnent nos manières de voir le monde et de s'y rapporter.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
'Saul, qui ne pensait qu'à menacer et à tuer les disciples du Seigneur, se rendit chez le grand-prêtre et lui demanda des lettres de recommandation pour les synagogues de Damas. Ces lettres l'autorisaient, s'il trouvait là-bas des hommes ou des femmes qui suivaient la Voie du Seigneur, à les arrêter et à les amener à Jérusalem . Il se dirigeait donc vers Damas et approchait déjà de cette ville quand, soudain, il fut environné d'une lumière éclatante qui venait du ciel. Il tomba à terre et entendit une voix qui lui disait : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? – Qui es-tu, Seigneur ? demanda-t-il. La voix reprit : Je suis, moi, Jésus, que tu persécutes. Mais relève-toi, entre dans la ville, et là on te dira ce que tu dois faire. Ses compagnons de voyage restèrent figés sur place, muets de stupeur : ils entendaient bien la voix, mais ne voyaient personne. Saul se releva de terre, mais il avait beau ouvrir les yeux, il ne voyait plus. Il fallut le prendre par la main pour le conduire à Damas. Il resta aveugle pendant trois jours, et ne mangea ni ne but. Or, à Damas, vivait un disciple nommé Ananias. Le Seigneur lui apparut dans une vision et lui dit : Ananias ! – Oui, Seigneur, répondit-il. Et le Seigneur lui dit : Lève-toi, et va dans la rue que l'on appelle la rue Droite et, dans la maison de Judas, demande à voir un nommé Saul, originaire de Tarse . Car il prie et, dans une vision, il a vu un homme du nom d'Ananias entrer dans la maison et lui imposer les mains pour lui rendre la vue. – Mais Seigneur, répliqua Ananias, j'ai beaucoup entendu parler de cet homme ; de plusieurs côtés, on m'a dit tout le mal qu'il a fait aux membres de ton peuple saint à Jérusalem. De plus, il est venu ici muni de pouvoirs, que lui ont accordés les chefs des prêtres, pour arrêter tous ceux qui te prient. Mais le Seigneur lui dit : Va ! car j'ai choisi cet homme pour me servir : il fera connaître qui je suis aux peuples étrangers et à leurs rois, ainsi qu'aux Israélites. Je lui montrerai moi-même tout ce qu'il devra souffrir pour moi. Ananias partit donc et, arrivé dans la maison, il imposa les mains à Saul et lui dit : Saul, mon frère, le Seigneur Jésus qui t'est apparu sur le chemin par lequel tu venais, m'a envoyé pour que la vue te soit rendue et que tu sois rempli du Saint-Esprit. Au même instant, ce fut comme si des écailles tombaient des yeux de Saul et il vit de nouveau. Alors il se leva et fut baptisé, puis il mangea et reprit des forces. Saul passa quelques jours parmi les disciples de Damas. Et dans les synagogues, il se mit tout de suite à proclamer que Jésus est le Fils de Dieu. Ses auditeurs n'en revenaient pas. Tous disaient : Voyons, n'est-ce pas lui qui s'acharnait, à Jérusalem, contre ceux qui, dans leurs prières, invoquent ce nom-là ? N'est-il pas venu ici exprès pour les arrêter et les ramener aux chefs des prêtres ? Mais Saul s'affermissait de jour en jour dans la foi et les Juifs qui habitaient à Damas ne savaient plus que dire, car il leur démontrait que Jésus est le Messie. Après un certain temps, les Juifs résolurent de le faire mourir. Saul eut vent de leur complot. Jour et nuit, ils faisaient même surveiller les portes de la ville avec l'intention de le tuer. Mais une nuit, les disciples qu'il enseignait l'emmenèrent et le firent descendre dans une corbeille le long du rempart. A son arrivée à Jérusalem, il essaya de se joindre aux disciples. Mais tous avaient peur de lui, car ils ne croyaient pas qu'il fût vraiment devenu un disciple. Barnabas le prit avec lui, le conduisit auprès des apôtres et leur raconta comment, sur le chemin de Damas, Saul avait vu le Seigneur, comment le Seigneur lui avait parlé et avec quel courage il avait prêché à Damas au nom de Jésus. Dès lors, il se joignit à eux, allant et venant avec eux à Jérusalem, et parlant ouvertement au nom du Seigneur. Il avait aussi beaucoup d'entretiens et de discussions avec les Juifs de culture grecque ; mais ceux-là aussi cherchèrent à le faire mourir. Quand les frères l'apprirent, ils le conduisirent jusqu'à Césarée et, de là, le firent partir pour Tarse. ' Actes 9:1-30
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Nouvelle flambée de tensions à la frontière israélo-syrienne. L'armée israélienne a mené plusieurs frappes aériennes contre des cibles dans le sud de la Syrie, en riposte au tir de deux roquettes tombées la veille dans des zones ouvertes du plateau du Golan. Israël tient le président syrien Ahmad al-Sharaa pour « directement responsable » et affirme avoir visé des sites d'armement du régime. Damas dénonce des pertes humaines et matérielles importantes.
À la Une de la presse, ce mercredi 4 juin, les bombardements israéliens, cette nuit, contre le sud de la Syrie, après des tirs vers Israël, dont Damas nie cependant toute responsabilité. Un grand reportage sur l'exploitation des "forçats du coltan", dans l'est de la RD Congo, aux mains du M23. Le bras de fer entre la France et un éditeur de sites pornographiques. Et un préservatif vieux de 200 ans.
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Las citas son como entrevistas de trabajo, pero con más preguntas existenciales y menos posibilidad de quedar fijo
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durée : 00:07:01 - L'Instant poésie - Pour Gaël Faye, le poème "Solde" de Léon-Gontran Damas frappe par l'efficacité de son écriture. Influencé par les rythmes du jazz, le poète dénonce avec colère la colonisation des corps et des esprits, ainsi que la douleur d'une identité tiraillée entre plusieurs appartenances. - invités : Gaël Faye Chanteur, poète et romancier français
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Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! Damas y caballeros, bienvenidos a Private Joy, la sección para mecenas de Purple Music, el primer podcast en español creado por y para amantes del sonido Minneapolis y la música de Prince. En este episodio Shocka comparte con los mecenas algunos de los mitos y leyendas sobre Prince más surrealistas y también algunos de los más comunes, además de contarnos qué curiosidades dice Chat GPT sobre Prince. Volvemos muy pronto, hasta entonces, stay Funky! Private Joy es un spin-off para mecenas de Purple Music Podcast llevado a cabo por Shockadelica junto a otros colaboradores puntuales. Síguenos en Instagram! (@purplemusicpodcast), Twitter (@purplemusicpod) y en Youtube (@purplemusic6489) Canción de sintonía: Private Joy (Controversy, 1981). The Estate of Prince Rogers Nelson is not affiliated, associated, or connected with Purple Music Podcast nor has it endorsed or sponsored Purple Music Podcast. Further, the Estate of Prince Rogers Nelson has not licensed any of its intellectual property to the producers of Purple Music Podcast. NO COPYRIGHT INFRINGEMENT INTENDED. We just want to share our love for Prince music. Agradecimientos a nuestros mecenas: Blackbean, Miguel Ángel Tomé, Pilar de Giles, Luis Mendoza, Audrey Hawes-Mayayo, El Espectrumero Javi Ortiz, Miriam Palomo, Ale Stzul, Pablo Solares, César Villamil, Óscar Prieto, Mireia Castellà, Carmen Murillo, Cat, Leonor Pérez, Fani T., Molina, Mecky, Pablo Molla, David Pomar, Garoto, Carlos00, Sin nombre, blancamarina, Serblave, Nando7, David, La Vida Tiene música, fury71, Joaquín y varios usuarios anónimos. May U Live 2 See the Dawn! Escucha este episodio completo y accede a todo el contenido exclusivo de Purple Music - Un podcast sobre Prince. Descubre antes que nadie los nuevos episodios, y participa en la comunidad exclusiva de oyentes en https://go.ivoox.com/sq/738601
Il y a près de 6 mois, en décembre 2024, le régime de Bachar Al Assad tombait en Syrie. Où en est le pays aujourd'hui, et notamment où en est la justice transitionnelle voulue par le gouvernement et la société civile ? Il s'agit de répondre aux exactions commises par le passé, pour oeuvrer à une réconciliation nationale. Reportage et photo : Marie Tihon et Karam Alhindi Merci pour votre écoute Transversales, c'est également en direct tous les samedis de 12h à 13h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Transversales sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/492 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrLes couleurs de l'info : https://audmns.com/MYzowgwMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqx L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux mois après la chute du régime des Assad, la vie culturelle renaît petit à petit en Syrie. Tandis que de nombreux artistes sont de retour d'exil, d'autres ne sont jamais partis. C'est le cas des femmes de la chorale Gardénia. Créé en 2016, en pleine guerre, ce groupe de chanteuses et musiciennes a un répertoire d'œuvres classiques, mais depuis peu, elles reprennent aussi des chansons des manifestations anti-régime. Depuis décembre, elles multiplient les représentations à travers tout le pays. Notre envoyée spéciale, Sophie Guignon, les a suivis de Damas à Alep. De notre envoyée spéciale de retour d'Alep, À Damas, tout juste libérée du joug des Assad, les chanteuses de la première chorale féminine de Syrie sont en pleine répétition sous la direction de Safana Bakleh. Fondée en 2016, la chorale reprend des morceaux arabes classiques, mais aussi, depuis la chute du régime, des chants des manifestations de 2011. Safana Bakleh : « Avant, on devait faire attention à chaque mot. Tous les citoyens syriens ont un petit censeur qui vit en eux et on doit s'habituer à l'idée que c'est fini. Depuis décembre, on redécouvre qui on est, en tant que Syriens et en tant que musiciens. »Une note d'espoir que les musiciennes entendent diffuser aux quatre coins du pays. Quelques jours plus tard, à l'aube, nous retrouvons Safana Bakleh et ses chanteuses. Elles prennent le bus direction Alep pour un concert : « Les provinces ont besoin d'avoir accès à la culture, je suis enthousiaste, on part à l'aventure ! »Une aventure à travers un pays en ruines. Pendant 350 kilomètres, le bus longe la Ghouta orientale, Homs, Hama… des villes défigurées par la guerre : « Les habitants ne sont toujours pas rentrés chez eux, les maisons sont détruites. »Chanter la liberté dans les ruines Dans le bus, les musiciennes issues de toutes les confessions continuent à célébrer la vie malgré tout en dansant sur leurs tubes préférés. À 24 ans, Yara Shasha et Ghinwa Salibi, s'inquiètent pour l'avenir des femmes dans la Syrie du HTS, le groupe islamiste au pouvoir. « Il y a de la peur, de l'anxiété, de l'appréhension sur les décisions, sur tout ce qui se passe », se confie Yara Shasha.Pour Ghinwa Salibi : « Mais c'est notre responsabilité, nous les femmes syriennes. Si on sent que quelque chose va nous être imposé qui ne nous ressemble pas, il faut faire entendre notre voix. »Cinq heures plus tard, arrivée à Alep. Au cœur de l'une des plus vieilles villes du monde, pilonnée par l'ancien régime et son allié russe. La chorale redonne vie à un caravansérail entouré de ruines en entonnant les hymnes de la révolution syrienne. Ému, le public de ce spectacle gratuit connaît par cœur les paroles qu'il était interdit de prononcer il y a deux mois encore. « Chaque chanson fait appel à un sentiment que nous avons traversé où que l'on ressent maintenant, la peine d'avant et la joie d'aujourd'hui. Là, l'avenir est entre les mains de la nouvelle génération. », raconte une femme du public. Une jeune génération qui compte bien défendre ses libertés dans la nouvelle Syrie.
Anabel Lapeña y Ana Segura publican el segundo volumen de ‘Reinas, damas y señoras'. Si en la primera entrega abarcaron desde la época de Ramiro I y hasta la de Jaime el Conquistador, ahora continúan navegando entre los siglos XIII y XIV para mostrar el papel que tuvieron mujeres como Leonor de Inglaterra, Blanca de Anjou o María de Chipre.
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Deux mois après la chute du régime des Assad, la vie culturelle renaît petit à petit en Syrie. Tandis que de nombreux artistes sont de retour d'exil, d'autres ne sont jamais partis. C'est le cas des femmes de la chorale Gardénia. Créé en 2016, en pleine guerre, ce groupe de chanteuses et musiciennes a un répertoire d'œuvres classiques, mais depuis peu, elles reprennent aussi des chansons des manifestations anti-régime. Depuis décembre, elles multiplient les représentations à travers tout le pays. Notre envoyée spéciale, Sophie Guignon, les a suivis de Damas à Alep. De notre envoyée spéciale de retour d'Alep, À Damas, tout juste libérée du joug des Assad, les chanteuses de la première chorale féminine de Syrie sont en pleine répétition sous la direction de Safana Bakleh. Fondée en 2016, la chorale reprend des morceaux arabes classiques, mais aussi, depuis la chute du régime, des chants des manifestations de 2011. Safana Bakleh : « Avant, on devait faire attention à chaque mot. Tous les citoyens syriens ont un petit censeur qui vit en eux et on doit s'habituer à l'idée que c'est fini. Depuis décembre, on redécouvre qui on est, en tant que Syriens et en tant que musiciens. »Une note d'espoir que les musiciennes entendent diffuser aux quatre coins du pays. Quelques jours plus tard, à l'aube, nous retrouvons Safana Bakleh et ses chanteuses. Elles prennent le bus direction Alep pour un concert : « Les provinces ont besoin d'avoir accès à la culture, je suis enthousiaste, on part à l'aventure ! »Une aventure à travers un pays en ruines. Pendant 350 kilomètres, le bus longe la Ghouta orientale, Homs, Hama… des villes défigurées par la guerre : « Les habitants ne sont toujours pas rentrés chez eux, les maisons sont détruites. »Chanter la liberté dans les ruines Dans le bus, les musiciennes issues de toutes les confessions continuent à célébrer la vie malgré tout en dansant sur leurs tubes préférés. À 24 ans, Yara Shasha et Ghinwa Salibi, s'inquiètent pour l'avenir des femmes dans la Syrie du HTS, le groupe islamiste au pouvoir. « Il y a de la peur, de l'anxiété, de l'appréhension sur les décisions, sur tout ce qui se passe », se confie Yara Shasha.Pour Ghinwa Salibi : « Mais c'est notre responsabilité, nous les femmes syriennes. Si on sent que quelque chose va nous être imposé qui ne nous ressemble pas, il faut faire entendre notre voix. »Cinq heures plus tard, arrivée à Alep. Au cœur de l'une des plus vieilles villes du monde, pilonnée par l'ancien régime et son allié russe. La chorale redonne vie à un caravansérail entouré de ruines en entonnant les hymnes de la révolution syrienne. Ému, le public de ce spectacle gratuit connaît par cœur les paroles qu'il était interdit de prononcer il y a deux mois encore. « Chaque chanson fait appel à un sentiment que nous avons traversé où que l'on ressent maintenant, la peine d'avant et la joie d'aujourd'hui. Là, l'avenir est entre les mains de la nouvelle génération. », raconte une femme du public. Une jeune génération qui compte bien défendre ses libertés dans la nouvelle Syrie.
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Damas y caballeros…. tengo el honor de presentarles al loco de… ¡Jaime Marín y su apuesta para iNight 2025!Hemos tenido de todo en estos trece años de congreso pero de verdad que lo que se ha propuesto Marín hacer el 27 de junio es de locos. Te voy a dejar con la intriga porque quiero que oigas o veas este programa y te digo una cosa mirándote a los ojos… MERECE LA PENA. ¡Dentro podcast!
durée : 00:02:19 - Le jardin de Régine - .
¿Es la pantalla nuestro reflejo o somos nosotros reflejo de lo que vemos en ella? Es una de las preguntas que plantea la analista fílmica y divulgadora cultural Sandra Miret en 'Damas, Villanas y Lolitas'. El libro analiza el papel de la mujer en cine y series de televisión, tanto delante como detrás de las cámaras.Escuchar audio
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La analista fílmica y divulgadora cultural Sandra Miret presenta "Damas, Villanas y Lolitas". El libro analiza la representación de la mujer en cine y series de televisión; Después, recibimos a Cristian Salomoni, que comparte algunos consejos para pasar con éxito una entrevista de trabajo; Terminamos esta hora escuchando con Fernando Ballesteros canciones relacionadas con el deporte.Escuchar audio
Omar Youssef Souleimane, journaliste et poète syrien est né en 1987 près de Damas. Adolescent en Arabie Saoudite, il suit une éducation coranique tout en se nourrissant de la poésie d'Éluard et d'Aragon. Menacé, il est exfiltré à Paris, où il vit aujourd'hui. Il a publié Loin de Damas, un recueil de poèmes aux Éditions Le temps des cerises, et chez Flammarion : Le petit terroriste (2018), Le dernier Syrien (2020) et Une chambre en exil (2022). Son nouveau roman s'intitule L'Arabe qui sourit. « Je veux que cette histoire soit terminée pour rentrer en France. En même temps, une porte s'ouvre pour moi, m'offre la tranquillité incroyable de ma terre natale, celle de vivre hors du temps, sans pression, sans rien attendre. Les gens marchent, mangent, boivent, très lentement, ils sont comme avant : ils n'ont rien à foutre du monde entier. »Un ami disparu, un nouvel amour, une dernière aventure. De La Rochelle à la Syrie en passant par Beyrouth, L'Arabe qui sourit est le récit d'un retour d'exil vers un Proche-Orient aimé où la poésie d'Omar Youssef Souleimane se déploie sur fond d'enquête clandestine. (Présentation des éditions Flammarion).Musique : Fouq annakhl, de Sabah Fakhri.
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la levée des sanctions américaines en Syrie et des affrontements entre groupes armés à Tripoli. Football : qui pour remplacer Carlo Ancelotti au Real ? Après quatre ans sur le banc du Real Madrid, l'entraîneur Carlo Ancelotti a été nommé sélectionneur de l'équipe nationale du Brésil jusqu'à la Coupe du monde 2026. Malgré une saison blanche avec les Merengues, pourquoi l'Italien a-t-il été choisi par la Fédération brésilienne ? Qui pour le remplacer au Real ?Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.Syrie : levée des sanctions américaines, mais à quelles conditions ? Lors de sa visite en Arabie Saoudite, Donald Trump a créé la surprise en annonçant la suspension des sanctions américaines contre de la Syrie. Cette décision a suscité des manifestations de joie dans les rues de Damas. Quelle était la nature de ces sanctions ? En contrepartie, les Américains ont-ils fixé des conditions ?Avec Frédéric Encel, professeur en géopolitique à Sciences-Po Paris. Auteur de l'ouvrage « La Guerre mondiale n'aura pas lieu: Les raisons géopolitiques d'espérer » (éditions Odile Jacob).Libye : flambée de violences à Tripoli Le chef de l'importante milice de l'Autorité de soutien à la stabilité (SSA), Abdelghani el-Kikli dit « Gheniwa », a été tué à Tripoli dans de violents affrontements entre groupes armés. Comment expliquer ces violences ? Que revendiquent ces groupes armés ?Avec Jalel Harchaoui, géopolitologue spécialiste de la Libye, chercheur associé au sein du Royal United Services Institute de Londres.
durée : 00:13:56 - L'invité d'un jour dans le monde - En tournée au Proche-Orient, Donald Trump a annoncé la levée des sanctions américaines contre la Syrie, après avoir rencontré son président par intérim Ahmed al-Charaa. Décryptage avec Hala Kodmani, journaliste franco-syrienne et experte de la Syrie et Manon Chapelain, correspondante à Damas.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui nous sommes le vendredi 9 mai, de la 3ème semaine du temps pascal.La lecture de ce jour raconte la conversion de saint Paul comme un événement foudroyant sur le chemin de Damas, mais aussi une sortie progressive de l'aveuglement. Je me tourne intérieurement vers le Christ, en lui demandant dans le silence, de poursuivre son œuvre de conversion... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Seigneur, tu gardes mon âme de Communauté de Taizé interprété par Communauté de Taizé - Ô toi, l''au-delà de tout © Communauté de Taizé ; Adoramus te Christe de Jacques Berthier interprété par Communauté de Taizé - Taizé Instrumental Vol. 3 © Communauté de Taizé.
durée : 00:02:10 - Le grand format - En Syrie, le week-end a été émaillé de violences ciblant le monde de la nuit à Damas. Des groupes armés pour le moment non identifiés ont tiré sur la foule, tandis que le nouveau gouvernement menace de fermer certains bars. Certains Syriens y voient le signe d'une radicalisation du pouvoir.
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur les bombardements israéliens à Damas et les accusations de haute trahison à l'encontre de Joseph Kabila. Ukraine/États-Unis : que sait-on de l'accord sur les minerais ? Après de longues négociations, les États-Unis et l'Ukraine ont signé un accord sur l'exploitation des ressources naturelles ukrainiennes. De quelles richesses minières parle-t-on ? Cet accord est-il «gagnant-gagnant» ? Comment réagit la population ukrainienne ?Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Syrie : pourquoi Israël prend la défense de la communauté druze ? En représailles aux violents affrontements confessionnels prenant pour cible les druzes dans la banlieue de Damas, Israël a bombardé vendredi autour du palais présidentiel. Pourquoi l'État hébreu se positionne-t-il en protecteur de cette communauté ? Quels sont leurs liens ? Quelle est l'origine de ces violences religieuses ?Avec Pierre Olivier, journaliste au service international de RFI. RDC : Joseph Kabila pourrait-il perdre son immunité ? Soupçonné de liens avec l'Alliance Fleuve Congo, la branche politique du M23, l'ancien président Joseph Kabila est accusé de haute trahison. Le Sénat a été saisi pour demander la levée de son immunité. Des preuves ont-elles été présentées pour étayer cette accusation ? Quelles sont les prochaines étapes du processus de levée d'immunité ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège.
Abd el-Kader, l'Arabe des lumières, c'est le titre de l'ouvrage de Karima Berger. Avec elle, nous revenons sur cette figure emblématique de la résistance à la colonisation française de l'Algérie au XIXe siècle, mais surtout sur sa dimension spirituelle, lui qui était un mystique musulman, inspiré par le grand penseur soufi arabo-andalous Ibn Arabi (XIIe-XIIe siècle) enterré à Damas, où Abd el-Kader a passé les 28 dernières années de sa vie, tourné vers la lecture, la prière et l'écriture. Un mystique et un humaniste, une figure inspirante aujourd'hui, lui qui disait que l'ignorance était la principale cause des conflits et qui a consacré sa vie au vivre ensemble et à la résistance contre l'extrémisme et l'obscurantisme. Invitée : Karima Berger, écrivaine, essayiste, vient de publier Abd el-Kader, l'Arabe des lumières (2025, éd. Albin Michel).Autrice également de : Les Gardiennes du secret sur les femmes dans l'imaginaire musulman, Mektouba (2016, éd. Albin Michel), Les Attentives, un dialogue avec Etty Hillesum (2014, Ed. Albin Michel), L'enfant des deux monde (1998, éd. de l'Aube). À lire aussiLa première guerre d'Algérie (1830-1852): une «évidence oubliée»
durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - Israël annonce avoir bombardé Damas, près du palais présidentiel syrien. L'état hébreu avait menacé le gouvernement syrien de représailles s'il ne protégeait pas la minorité druze.
En Syrie, après 54 ans d'une dictature qui appliquait une censure implacable aux médias et éliminait toute voix critique, une nouvelle ère s'ouvre pour les journalistes en Syrie. L'agence de presse et les chaînes officielles, qui ne servaient qu'à diffuser la propagande du régime, ont été renversées et de nombreux reporters exilés se réinstallent progressivement en Syrie. Ahmed al-Charaa, le nouveau maître de Damas, a promis de faire respecter la liberté d'expression. Si certains veulent y croire et investissent dans la création d'un nouveau paysage médiatique pour la Syrie, d'autres restent méfiants. Travailler et émettre depuis Damas, en plein cœur de la Syrie. Une scène encore impensable il y a quelques semaines pour Mohamed Al Dughaim, producteur de la chaîne Syria TV, un des médias d'opposition les plus suivis en Syrie, dont le siège est à Istanbul en Turquie. « Nous sommes actuellement dans l'hôtel Sheraton, à Damas, et nous avons transformé une partie des chambres de l'hôtel en studio temporaire pour Syria TV, indique-t-il. Nous sommes arrivés à Damas progressivement avec les forces rebelles au fil des offensives militaires, d'abord Alep, puis Hama, puis Homs, et enfin Damas. C'est la première fois que l'on parle de Damas en étant à Damas. C'est un très beau sentiment pour tous les syriens et pour tous les journalistes. »Financée par le Qatar, Syria TV compte 250 employés répartis entre la Syrie et la Turquie. Sur la terrasse de l'hôtel, un plateau télé a été érigé. La chaîne diffuse des informations en direct 3 à 4 h par jour depuis Damas. Pour le producteur originaire d'Idlib, c'est le début d'une nouvelle ère. « Aujourd'hui, on peut parler de tout en Syrie sans être inquiété, sans que les services de renseignement ne vous convoquent, et sans risquer d'être emprisonné. L'avenir des médias en Syrie est bien meilleur qu'à l'époque de Bachar al-Assad. »Après 54 ans de dictature durant lesquels aucune critique du pouvoir n'était tolérée, la nouvelle administration dirigée par Hayat Tahrir Sham (HTS) – l'un des groupes rebelles qui a repris Damas – a annoncé début janvier s'engager en faveur de la liberté d'expression, avec quelques limites. « Dans la nouvelle Syrie, nous garantissons la liberté de la presse, mais il existe des lignes rouges sur certaines questions, comme la diffusion de la haine au sein de la société, ou tout ce qui touche à des sujets susceptibles d'attiser les tensions sectaires. Ne pas préserver la cohésion sociale est aussi une ligne rouge », explique Ali Al Rifai, directeur des relations publiques au ministère de l'Information. Le ministère a aussi annoncé que les journalistes ayant collaboré avec le régime devront rendre des comptes. Dans les cafés de la capitale, de nombreux Syriens se retrouvent pour débattre à haute voix de l'avenir du pays. Une scène, elle aussi, inimaginable il y a peu. « Nous sommes heureux d'avoir cette nouvelle liberté d'expression. J'ai beaucoup confiance dans la société syrienne qui est aujourd'hui très éveillée. Rien ne passe inaperçu. Il y a une pression populaire contre toute décision qui serait inappropriée », raconte Colette Bahna, écrivaine et activiste pour les droits des femmes, qui savoure cette liberté retrouvée. Pour de nombreux syriens, la prudence reste de mise. Seul le temps permettra de savoir si ces promesses de liberté dureront.À lire aussiSyrie: à Jaramana, la vie reprend dans une atmosphère de peur et de méfiance
durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - Israël annonce avoir bombardé Damas, près du palais présidentiel syrien. L'état hébreu avait menacé le gouvernement syrien de représailles s'il ne protégeait pas la minorité druze.
durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - Israël annonce avoir bombardé Damas, près du palais présidentiel syrien. L'état hébreu avait menacé le gouvernement syrien de représailles s'il ne protégeait pas la minorité druze.
Rubrique:nouvelles Auteur: alive-louis-barthou Lecture: Daniel LuttringerDurée: 18min Fichier: 12 Mo Résumé du livre audio: « Peu à peu, mes yeux s'habituant à cette demi-obscurité, je distinguai les miroitements des admirables faïences et des mosaïques, alternant sur les murs avec des panneaux de cèdre d'un antique vernis Martin de Damas aux tons chauds et fondus. Des colonnes torses en marbre soutenaient un haut plafond de cèdre travaillé et rehaussé de rouge et d'or éteint. Des tapis splendides couvraient les dalles, et de chaque côté du mirhab, fait de carreaux d'anciennes faïences et de ces exquises sculptures arabes aux purs dessins géométriques, deux grands catafalques drapés de somptueuses étoffes brodées rappelaient ceux des turbés de là-bas... » Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Noticiero de Martí Noticias presenta un resumen de las noticias más importantes de Cuba y el mundo. Titulares: | Anuncia la Casa Blanca una pausa en el diálogo con el régimen de La Habana y reafirma compromiso con el pueblo cubano | Las autoridades de la isla detienen otra vez a líder de las Damas de Blanco y a su esposo en La Habana | Sacerdote cubano denuncia aguda crisis económica y social en Cuba y afirma: "somos un país en bancarrota" | Advierte secretario de Estado de Estados Unidos que la administracion Trump podría abandonar esfuerzos por acuerdo de paz entre Rusia y Ucrania | El cubano Randy Arozarena se destaca en la victoria de los Marineros sobre Cincinnati, entre otras noticias.
L'élection de Bachar Al-Assad le 17 juillet 2000, après les trente années de dictature de son père, fait souffler un vent d'espoir. Pendant les premiers moments de son règne, il montre en effet un certain esprit d'ouverture : il relâche plusieurs centaines de prisonniers politiques, dont des frères musulmans, laisse les Syriens s'exprimer davantage. Ce moment suspendu dans l'histoire de la Syrie porte le nom poétique de " Printemps de Damas " mais il ne dure pas. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).
Le 8 décembre 2024, alors que les rebelles du HTS (Hayat Tahrir al Shams) encerclent Damas, Bachar Al-Assad quitte la Syrie pour aller se réfugier en Russie. C'est la fin de plus de cinquante-quatre ans de règne de la famille Al-Assad sur le pays. De quoi ce basculement à la tête de la Syrie est-il la fin ? Comment les Al-Assad ont-ils pris le pouvoir et réussi à le garder aussi longtemps ? Dans cette série d'Ariane Hasler, produite par Anaïs Kien, Histoire Vivante retrace l'histoire de cette dynastie. Nous sommes en 1946, les Français quittent le territoire qui était sous leur mandat depuis 1920. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).
Hafez Al-Assad régne sur la Syrie pendant trente ans - de 1971 à 2000 - et devient incontournable pour la diplomatie de la région. Son régime autoritaire résiste à une tentative d'assassinat, et surtout, à une crise dont son frère Rifaat, tente de profiter alors que lui est hospitalisé. Mais le vieux Lion de Damas a plus d'un tour dans son sac et, avec le soutien de l'armée, il écrase ce coup d'Etat. Autre coup dur quelques années plus tard : la mort du fils promis à lui succéder : Bassel, le grand frère de Bachar, un play-boy qui porte beau et qui roule vite, trop vite. Hafez Al-Assad doit alors préparer le suivant dans la liste de succession : le petit frère plus effacé : Bachar. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).
En mars 2011 débute une guerre qui ne s'arrêtera plus, avec un régime syrien qui franchit tous les paliers de la violence, jusqu'à ce que les Occidentaux appelleront la "ligne rouge", l'usage d'armes chimiques contre la population syrienne. Bachar Al-Assad devient "le boucher de Damas". Une spirale de la violence qui fait du conflit syrien un des plus meurtriers du 21ème siècle. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).