Podcasts about Damas

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Paul Zimnisky Diamond Analytics Podcast

In this 72nd episode of the Paul Zimnisky Diamond Analytics Podcast, Richa Singh, the Natural Diamond Council's (NDC) Managing Director for India, joins the show for the first time. The episode begins with Paul recollecting his experience of being in India last year, especially as it pertains to the size of the gems and jewelry industry in Mumbai and Surat. Richa then discusses the cultural relationship for jewelry between India and the Middle East as Titan Company just acquired Damas Jewellery. The two then analyze why the Indian consumer economy may be the be dominant source of new growth for the diamond industry in the coming decades. Next, Paul and Richa talk about lab-grown diamond penetration in the Indian consumer market versus the U.S. Finally, Richa shares thoughts on the future of the NDC following the Luanda Accords and the announcement that CEO David Kellie will be retiring at the end of the year.   Hosted by: Paul Zimnisky Guest: Richa Singh Guest plug: www.naturaldiamonds.com More information on PZDA's State of the Diamond Market report: www.paulzimnisky.com/products   Show contact: paul@paulzimnisky.com or visit www.paulzimnisky.com.   Please note that the contents of this podcast includes anecdotes, observations and opinions. The information should not be considered investment or financial advice. Consult your investment professional before making any investment decisions. Please read full disclosure at: www.paulzimnisky.com.

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: Guarda tu corazón

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Aug 12, 2025


Reportage International
Partir ou rester, le tiraillement des réfugiés syriens en Turquie

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 2:39


Il y a huit mois, le 8 décembre 2024, une coalition de rebelles syriens prenait le pouvoir à Damas, mettant fin à un demi-siècle de règne de la famille Assad. Ravagée par onze ans de guerre, la Syrie d'aujourd'hui affronte d'immenses défis. Une grande partie de sa population vit en exil, notamment en Turquie, qui a accueilli jusqu'à quatre millions de réfugiés. Depuis l'instauration d'un nouveau régime à Damas, une petite partie d'entre eux a fait le choix de rentrer en Syrie. Mais la très grande majorité continue à vivre en Turquie, tiraillée entre le désir de retrouver leur pays et les doutes sur son avenir. De notre correspondante à Ankara, Cette voix rieuse au bout du fil, c'est celle de Hibe, Syrienne réfugiée en Turquie, le 8 décembre 2024, matin de la chute de Bachar el-Assad. « S'il y a quelque chose au-delà du bonheur, c'est ça que je ressens. J'ignore comment et par qui notre pays va être dirigé maintenant. Mais peu importe, puisque le tyran est parti. Nous, inch'Allah, nous allons rentrer très bientôt », espérait-elle alors. Près de huit mois plus tard, Hibe est toujours là, assise dans la cafétéria d'une clinique d'Ankara où elle vient juste d'être embauchée comme traductrice. Elle explique qu'elle est tiraillée entre son cœur qui lui dit de partir et sa tête qui lui dit de rester. « Jamais, je n'aurais imaginé qu'il serait si difficile de prendre la décision de rentrer en Syrie. Mais les nouvelles ne sont pas bonnes. La Syrie n'est pas un lieu sûr. Israël a bombardé Damas, il y a eu les violences à Soueïda. Quand on voit ça, comment rentrer ? Comment rentrer avec des enfants ? La plupart des Syriens en exil pensent comme moi. Avec un groupe d'amis, on s'était dit qu'on rentrerait cet été, pendant les vacances scolaires. Finalement, personne n'est parti, à part un seul de mes amis. Il m'a appelé d'Alep l'autre jour. Il m'a dit : "Hibe, ne viens pas, surtout pas" », confie-t-elle. À Alep, où elle est née, qu'elle a quitté il y a 13 ans, Hibe n'a plus rien. Sa maison est détruite, toute sa famille a fui. En Turquie, elle a un logement, un travail et surtout deux enfants, nés et scolarisés ici. Et puis son mari, Syrien, vit en Autriche depuis trois ans. Il y a l'espoir, même très mince, qu'il parvienne à les faire venir. À 31 ans, Hibe voudrait enfin regarder devant elle. « Je suis fatiguée, j'ai l'impression que notre avenir n'a jamais été aussi incertain. Combien de fois dans une vie peut-on repartir de zéro ? », s'interroge-t-elle. Selon les autorités turques, environ 300 000 Syriens sont rentrés de leur plein gré depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, contre 2,7 millions qui vivent toujours dans le pays. Trois cent mille, c'est relativement peu, mais cela ne surprend pas Burçak Sel, cofondatrice de Dünya Evimiz, une association d'aide aux réfugiés à Ankara. « Même si la Syrie a un dirigeant et un pouvoir qui la représentent, il y a aussi un grand vide d'autorité. Le pays n'est pas sous contrôle. Les besoins élémentaires en eau, électricité, logement ne sont pas garantis. Il faudra des années pour réparer et retrouver la stabilité. Les Syriens le savent, c'est pour ça qu'ils restent en Turquie alors même que leurs conditions de vie, à cause de l'inflation et du racisme, y sont de plus en plus difficiles. » Burçak Sel estime qu'Ankara devra trouver un nouveau statut pour les Syriens qui restent, la loi actuelle ne leur accordant qu'une « protection temporaire ». C'est notamment le cas de 1,3 million d'enfants, dont l'immense majorité est née en Turquie et n'a jamais vu la Syrie. À lire aussiSyrie: plus de deux millions de déplacés rentrés chez eux depuis la chute de Bachar el-Assad, selon l'ONU

Reportage culture
Liban la culture malgré tout: Beit Beyrouth, l'héritage d'un passé douloureux pour ne pas oublier

Reportage culture

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 4:02


Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Et malgré toutes ces catastrophes, la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes, cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. Liban : la culture malgré tout. Nous visitons Beit Beyrouth ou la maison de Beyrouth, c'est le nom donné à un immeuble, l'un des rares vestiges de la guerre civile, conservée comme un lieu de mémoire. « À l'entrée du bâtiment, il n'y a pas de plafond, c'est assez exceptionnel. Cela a été voulu par l'architecte. Toutes les salles de Beit Beyrouth de l'immeuble Barakat sont liées à la ville, ce qui a permis aux snipers, entre autres, d'avoir une vue à 180° de la rue. » Delphine Abi-Rached, coordinatrice de l'exposition à Beit Beyrouth intitulé aussi la maison jaune qui se situe au cœur vibrant de la ville. D'un côté la rue de Damas qui borde Beyrouth ouest et les quartiers musulmans. De l'autre, la rue du Liban qui nous emmène au cœur d'Ashrafieh, le quartier chrétien bourgeois. Une position stratégique donc occupée par les francs-tireurs durant la guerre civile. L'immeuble est ouvert au public aujourd'hui après une longue lutte menée par la militante Mona Hallak pour le sauvegarder et en faire un lieu de mémoire. Youssef Haidar architecte l'a consolidé. « Je n'ai jamais considéré ce bâtiment-là comme un bâtiment. J'ai toujours considéré comme un être vivant. Pour moi, c'est un Libanais, c'est une personne qui a 90 ans d'âge. Et pour moi, il n'était pas du tout question de faire un lifting. C'est que d'un coup, on efface toutes les traces du temps et de la mémoire et que ça devienne une jeune personne. Non, c'est une vieille personne et qui garde dans son corps tous les stigmates du temps et de la guerre, toutes ses blessures qui étaient là. » L'exposition qui revisite la guerre civile À présent, Beit Beyrouth invite le visiteur à s'immerger dans le passé pour ne pas recommencer les mêmes erreurs ou simplement évacuer les traumatismes. « Donc ici vous allez vous apercevoir donc un mur qui a été construit par les snipers, un mur de brique et on aperçoit trois meurtrières. Et donc l'expérience des visiteurs, c'est de se mettre à la place des snipers et de voir les passants passer », explique Delphine Abi-Rached. Et malheureusement au Liban une guerre en chasse une autre. L'exposition qui revisite la guerre civile dans Beit Beyrouth se termine par un volet sur la dernière guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier. « Ici, on a le symbole de la clé qui est souvent en fait lié aux Palestiniens et à cette idée du droit du retour, de retourner dans leur maison. Les libanais du Sud et de la Bekaa cette fois-ci, quand ils sont partis de chez eux, ils ne savaient pas s'ils allaient pouvoir revenir. Donc le symbole de la clé a été très fort. Et ici, les clés qu'on voit, ce sont des clés de maison qui ont été démolies et détruites par les attaques israéliennes », raconte la coordinatrice de l'exposition. « Le lieu est ouvert comme un lieu public » Beit Beyrouth est aussi un lieu qui se veut vivant et non pas juste tourné vers le passé. « Ça, c'est un bon exemple de ce qu'on veut pour Beit Beyrouth. C'est un groupe de personnes qui trouve Beit Beyrouth maintenant comme un lieu de rassemblement parce que le lieu est ouvert comme un lieu public », souligne Delphine Abi-Rached. Ainsi, durant notre visite, un groupe de personnes constitué en association pour la paix s'était réuni. « Nous sommes un groupe de personnes qui travaillons sur la paix au Liban. Car après toutes les destructions et les drames que nous avons vécus, nous nous demandons quels changements nous pouvons apporter pour être plus constructifs », explique Soha Fleifel. Beit Beyrouth un lieu cathartique et citoyen unique au Liban, accueille le public gratuitement. À lire aussiLiban, la culture malgré tout: visite du Musée national de Beyrouth

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 09

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 4:35


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

LE COUP TORDU
COUP TORDU 348 : TOUR DE POLOGNE ETAPE 7, ARTIC RACE OF NORWAY ETAPE 4

LE COUP TORDU

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 24:27


Bénéficiez de -15% sur l'achat de tablettes de chocolats de Dubaï de la marque Damas ( fabrication française et artisanale ) en passant par le Shop du Coup Tordu : https://vm.tiktok.com/ZNdxmfcVs/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage Culture
Liban la culture malgré tout: Beit Beyrouth, l'héritage d'un passé douloureux pour ne pas oublier

Reportage Culture

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 4:02


Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Et malgré toutes ces catastrophes, la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes, cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. Liban : la culture malgré tout. Nous visitons Beit Beyrouth ou la maison de Beyrouth, c'est le nom donné à un immeuble, l'un des rares vestiges de la guerre civile, conservée comme un lieu de mémoire. « À l'entrée du bâtiment, il n'y a pas de plafond, c'est assez exceptionnel. Cela a été voulu par l'architecte. Toutes les salles de Beit Beyrouth de l'immeuble Barakat sont liées à la ville, ce qui a permis aux snipers, entre autres, d'avoir une vue à 180° de la rue. » Delphine Abi-Rached, coordinatrice de l'exposition à Beit Beyrouth intitulé aussi la maison jaune qui se situe au cœur vibrant de la ville. D'un côté la rue de Damas qui borde Beyrouth ouest et les quartiers musulmans. De l'autre, la rue du Liban qui nous emmène au cœur d'Ashrafieh, le quartier chrétien bourgeois. Une position stratégique donc occupée par les francs-tireurs durant la guerre civile. L'immeuble est ouvert au public aujourd'hui après une longue lutte menée par la militante Mona Hallak pour le sauvegarder et en faire un lieu de mémoire. Youssef Haidar architecte l'a consolidé. « Je n'ai jamais considéré ce bâtiment-là comme un bâtiment. J'ai toujours considéré comme un être vivant. Pour moi, c'est un Libanais, c'est une personne qui a 90 ans d'âge. Et pour moi, il n'était pas du tout question de faire un lifting. C'est que d'un coup, on efface toutes les traces du temps et de la mémoire et que ça devienne une jeune personne. Non, c'est une vieille personne et qui garde dans son corps tous les stigmates du temps et de la guerre, toutes ses blessures qui étaient là. » L'exposition qui revisite la guerre civile À présent, Beit Beyrouth invite le visiteur à s'immerger dans le passé pour ne pas recommencer les mêmes erreurs ou simplement évacuer les traumatismes. « Donc ici vous allez vous apercevoir donc un mur qui a été construit par les snipers, un mur de brique et on aperçoit trois meurtrières. Et donc l'expérience des visiteurs, c'est de se mettre à la place des snipers et de voir les passants passer », explique Delphine Abi-Rached. Et malheureusement au Liban une guerre en chasse une autre. L'exposition qui revisite la guerre civile dans Beit Beyrouth se termine par un volet sur la dernière guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier. « Ici, on a le symbole de la clé qui est souvent en fait lié aux Palestiniens et à cette idée du droit du retour, de retourner dans leur maison. Les libanais du Sud et de la Bekaa cette fois-ci, quand ils sont partis de chez eux, ils ne savaient pas s'ils allaient pouvoir revenir. Donc le symbole de la clé a été très fort. Et ici, les clés qu'on voit, ce sont des clés de maison qui ont été démolies et détruites par les attaques israéliennes », raconte la coordinatrice de l'exposition. « Le lieu est ouvert comme un lieu public » Beit Beyrouth est aussi un lieu qui se veut vivant et non pas juste tourné vers le passé. « Ça, c'est un bon exemple de ce qu'on veut pour Beit Beyrouth. C'est un groupe de personnes qui trouve Beit Beyrouth maintenant comme un lieu de rassemblement parce que le lieu est ouvert comme un lieu public », souligne Delphine Abi-Rached. Ainsi, durant notre visite, un groupe de personnes constitué en association pour la paix s'était réuni. « Nous sommes un groupe de personnes qui travaillons sur la paix au Liban. Car après toutes les destructions et les drames que nous avons vécus, nous nous demandons quels changements nous pouvons apporter pour être plus constructifs », explique Soha Fleifel. Beit Beyrouth un lieu cathartique et citoyen unique au Liban, accueille le public gratuitement. À lire aussiLiban, la culture malgré tout: visite du Musée national de Beyrouth

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville pontificale : Le Vatican

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce cinquième et dernier épisode de notre série Vivre en ville direction le Vatican. Cette cité-État, enclavée dans la ville de Rome en Italie vit au rythme du Saint-Siège. À chaque conclave pour l'élection d'un nouveau pape, les yeux du monde entier se tournent vers le plus petit État du monde. Le Vatican attire aussi les foules, chaque année, environ 6 millions de touristes se déplacent pour admirer ses trésors et toucher du doigt le quotidien du souverain pontife. En réalité, moins de 500 personnes vivent au sein du Vatican, parmi lesquels, le Pape, des cardinaux, des diplomates et les membres du corps de la Garde suisse pontificale. Peu de civils donc. Comment fonctionne l'une des villes les plus mystérieuses au monde ?   Avec : • Loup Besmond de Senneville, rédacteur en chef du journal La Croix. Envoyé spécial permanent au Vatican jusqu'en 2024. Auteur de Vatican Secret – Quatre années au cœur du plus petit État du monde (Stock, 2025).   En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.  Aujourd'hui, Tokyo vs Kyoto : le choix entre modernité et tradition. Programmation musicale : ► I Lie - Lele Marchitelli  ► The Loneliest – Maneskin   ► Ti manca l'aria - Coez

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville pontificale : Le Vatican

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce cinquième et dernier épisode de notre série Vivre en ville direction le Vatican. Cette cité-État, enclavée dans la ville de Rome en Italie vit au rythme du Saint-Siège. À chaque conclave pour l'élection d'un nouveau pape, les yeux du monde entier se tournent vers le plus petit État du monde. Le Vatican attire aussi les foules, chaque année, environ 6 millions de touristes se déplacent pour admirer ses trésors et toucher du doigt le quotidien du souverain pontife. En réalité, moins de 500 personnes vivent au sein du Vatican, parmi lesquels, le Pape, des cardinaux, des diplomates et les membres du corps de la Garde suisse pontificale. Peu de civils donc. Comment fonctionne l'une des villes les plus mystérieuses au monde ?   Avec : • Loup Besmond de Senneville, rédacteur en chef du journal La Croix. Envoyé spécial permanent au Vatican jusqu'en 2024. Auteur de Vatican Secret – Quatre années au cœur du plus petit État du monde (Stock, 2025).   En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.  Aujourd'hui, Tokyo vs Kyoto : le choix entre modernité et tradition. Programmation musicale : ► I Lie - Lele Marchitelli  ► The Loneliest – Maneskin   ► Ti manca l'aria - Coez

Mañanas BLU con Néstor Morales
Cancelado el concierto de Damas Gratis por Disturbios: Mañanas Blu, miércoles 6 de agosto de 2025

Mañanas BLU con Néstor Morales

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 390:30


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SENTA DIREITO GAROTA!
#210 • PERIGOSAS DAMAS | Com Geovana Pires

SENTA DIREITO GAROTA!

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 47:32


Nesse episódio Juliana Amador conversa com a atriz e diretora Geovana Pires. Geovana fundou, junto com Elisa Lucinda, a Casa Poema, utilizando a poesia como ferramenta de ensino, criaram tb a Companhia da Outra onde desenvolvem espetáculos teatrais e shows, levando a arte de dizer versos para o palco. Atualmente é vice-presidente do Instituto Casa Poema, onde coordena pedagogicamente os projetos sociais, ministra aulas e palestras em diversos estados do Brasil. Geovana entrará em cartaz com o espetáculo "Perigosas Damas", no Espaço Cultural Sergio Porto em curta temporada. Esse programa é completamente independente e precisa muito da colaboração de vcs para seguir nessa luta incansável, vem apoiar a gente para ampliar as vozes de diversas mulheres. ✅ APOIA-SE: https://apoia.se/sentadireitogarota ✅ FACEBOOK: https://www.facebook.com/profile.php?id=61558474657149 ✅ INSTAGRAM: https://www.instagram.com/sentadireitogarota/?hl=pt ✅ TIKTOK: https://www.tiktok.com/@sentadireitogarota?_t=8nYG2q5V72L&_r=1 ✅ @sentadireitogarota ✅ @jujuamador ✅ @geovanapires_ ✅ @casapoemaoficial ✅ @perigosasdamas #podcastfeminista #lugardemulheréondeelaquiser #sentadireitogarota #lutecomoumagarota #feminismo #fortecomoumamãe#podcast #podcastbrasil #videocasting #videocast #PodcastFeminista #Feminismo #Antirracismo #FeminismoInterseccional #empoderamentofeminino #MulheresPodcasters #PodcastsDeEsquerda #JustiçaSocial #IgualdadeDeGênero #ResistênciaFeminista #MovimentosSociais #Diversidade #Inclusão #EquidadeRacial #VozesFemininas #MulheresNoPodcast #LutaAntirracista #PolíticaDeEsquerda #FeministasUnidas #HistóriasDeMulheres #Feminismo #Antirracismo #FeminismoInterseccional #JustiçaSocial #empoderamentofeminino #DireitosDasMulheres #IgualdadeDeGênero #LutaAntirracista #PolíticaDeEsquerda #MovimentosSociais #Diversidade #Inclusão #EquidadeRacial #FeministasUnidas #ResistênciaFeminista #fofoca #fofocas #fofocasdosfamosos Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

LE COUP TORDU
COUP TORDU 347 : TOUR DE POLOGNE ETAPE 6, ARTIC RACE OF NORWAY ETAPE 3, TOUR DE BURGOS ETAPE 5

LE COUP TORDU

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 30:24


Bénéficiez de -15% sur l'achat de tablettes de chocolats de Dubaï de la marque Damas ( fabrication française et artisanale ) en passant par le Shop du Coup Tordu : https://vm.tiktok.com/ZNdxmfcVs/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 08

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 4:06


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

6AM Hoy por Hoy
Pese a la muerte que hubo en Damas Gratis, eventos programados continúan: gerente Movistar Arena

6AM Hoy por Hoy

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 7:08


En 6AM de Caracol Radio habló Luis Guillermo Quintero, gerente General del Movistar Arena, quien dio un informe de los desmanes que ocurrieron en el concierto de Damas Gratis

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville stratifiée : Pékin

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.    Dans ce quatrième épisode de notre série «Vivre en ville», direction la Chine et sa capitale, Pékin. Plus de 20 millions d'habitants, 8 périphériques, la ville du pouvoir central s'étend sur plus de 16 000 km2 et vit au rythme des innovations technologiques. Mais sous le vernis futuriste des tours de verre, subsistent les cicatrices de la cité impériale qu'elle fut et les récits de la révolution culturelle. Comme plusieurs strates superposées. Défis démographiques, écologiques, énergétiques, surveillance du pouvoir, quel quotidien pour les Pékinois dans cette mégalopole aux multiples facettes ?   Avec : • Cléa Broadhurst, correspondante de RFI à Pékin en Chine.   En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.  Aujourd'hui, New-York vs Los Angeles : la rivalité en rap. Programmation musicale : ► Bell Drums Tower - He Young  ► Hong Dou -  Faye Wong  ► Gai  - G Block. 

La W Radio con Julio Sánchez Cristo
“Fue irresponsable”: Guardia Albirroja alertó desde julio 15 por concierto de Damas Gratis

La W Radio con Julio Sánchez Cristo

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 19:07


Diego González, líder distrital de la barra ‘Guardia Albirroja' de Independiente Santa Fe, se refiere a los disturbios en el Movistar Arena del pasado 6 de agosto.

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville stratifiée : Pékin

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.    Dans ce quatrième épisode de notre série «Vivre en ville», direction la Chine et sa capitale, Pékin. Plus de 20 millions d'habitants, 8 périphériques, la ville du pouvoir central s'étend sur plus de 16 000 km2 et vit au rythme des innovations technologiques. Mais sous le vernis futuriste des tours de verre, subsistent les cicatrices de la cité impériale qu'elle fut et les récits de la révolution culturelle. Comme plusieurs strates superposées. Défis démographiques, écologiques, énergétiques, surveillance du pouvoir, quel quotidien pour les Pékinois dans cette mégalopole aux multiples facettes ?   Avec : • Cléa Broadhurst, correspondante de RFI à Pékin en Chine.   En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.  Aujourd'hui, New-York vs Los Angeles : la rivalité en rap. Programmation musicale : ► Bell Drums Tower - He Young  ► Hong Dou -  Faye Wong  ► Gai  - G Block. 

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 07

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 4:30


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

LE COUP TORDU
COUP TORDU 346 : ARTIC RACE OF NORWAY ETAPE 2, LA PREVIEW

LE COUP TORDU

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 18:09


Bénéficiez de -15% sur l'achat de tablettes de chocolats de Dubaï de la marque Damas ( fabrication française et artisanale ) en passant par le Shop du Coup Tordu : https://vm.tiktok.com/ZNdxmfcVs/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville système D : Antananarivo

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale “vivre en ville”.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antanarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce troisième épisode de notre série “vivre en ville”, direction Antananarivo, capitale de Madagascar. Conçue initialement pour accueillir 400 000 habitants, la ville atteindrait désormais les 1,6 millions et plus de 4 millions en comptant les périphéries. Une croissance urbaine réellement subie, des quartiers précaires saturés, et un manque d'opportunités économiques. A Antananarivo, près de 80 % de la population vit sous le seuil de pauvreté. Comme dans le reste des villes du pays 60 % de l'emploi est informel. Les habitants vivent de petits métiers, de travaux de misères, de réparations en tout genre pour quelques centaines d'ariary, la monnaie locale, même pas l'équivalent d'un euro. Quel quotidien dans cette ville de la débrouille ?   Avec : • Sarah Tétaud, correspondante de RFI à Antananarivo, à Madagascar  En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault    Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Rio de Janeiro –Sao Paulo : le sable contre le béton.  Programmation musicale : ►Tana Song - Basy Gasy  ► Mafana – Smaven  ► Gasikarako - Niu Raza 

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville système D : Antananarivo

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale «Vivre en ville». 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce troisième épisode de notre série «Vivre en ville», direction Antananarivo, capitale de Madagascar. Conçue initialement pour accueillir 400 000 habitants, la ville atteindrait désormais les 1,6 million et plus de 4 millions en comptant les périphéries. Une croissance urbaine réellement subie, des quartiers précaires saturés, et un manque d'opportunités économiques. À Antananarivo, près de 80% de la population vit sous le seuil de pauvreté. Comme dans le reste des villes du pays, 60% de l'emploi est informel. Les habitants vivent de petits métiers, de travaux de misère, de réparations en tout genre pour quelques centaines d'ariarys, la monnaie locale, même pas l'équivalent d'un euro. Quel quotidien dans cette ville de la débrouille ?   Avec : • Sarah Tétaud, correspondante de RFI à Antananarivo, à Madagascar.  En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault    Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Rio de Janeiro - Sao Paulo : le sable contre le béton.  Programmation musicale : ►Tana Song - Basy Gasy  ► Mafana – Smaven  ► Gasikarako - Niu Raza. 

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 06

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 4:23


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: Educación de los hijos

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025


Bitesize Business Breakfast Podcast
ADNOC Gas has signed a 10-year LNG supply agreement with Hindustan Petroleum of India

Bitesize Business Breakfast Podcast

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 31:02


05 Aug 2025. We unpack what it means for UAE–India energy ties and the outlook for global gas markets with energy expert Matt Stanley. Plus, as India becomes a key target of Trump’s tariff plans, economist Dan Richards unpacks the broader implications. And RAK sees record-breaking tourist numbers, we speak to the VP of Destination Tourism. Finally, Titan takes over Damas: we get reaction from the Indian jewellery giant.See omnystudio.com/listener for privacy information.

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville Tex-Mex : San Antonio

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.    Dans ce deuxième épisode de notre série Vivre en ville direction les États-Unis à San Antonio. Deuxième ville la plus peuplée du Texas avec 1,5 million d'habitants, elle est connue mondialement pour son équipe de basket, les Spurs. San Antonio est aussi un bastion démocrate dans un Texas qui vote en majorité républicain. Une ville qui veut miser sur les énergies renouvelables plus que sur le pétrole présent dans le sol texan. Située à 250 km du Mexique, San Antonio est avant tout une ville profondément multiculturelle. Les deux-tiers de sa population sont d'origine mexicaine. Longtemps endormie, San Antonio connait aujourd'hui un boom démographique et économique, mais qui en profite vraiment ?   Avec :  • Théo Quintard, correspondant de RFI à San-Antonio aux États-Unis. En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault :   Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Dubaï vs Riyad : le soft power faiseur de rivalité. Programmation musicale :  ► Hey baby que paso - Texas Tornado  ► Wembanyama Go Spurs Go - Le Groupe Campanas de America  ► Black & Silver - Da Army (T-Krazie, Triple B & Black Outt)  ► San Antone - Randy Rogers Band. 

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville Tex-Mex : San Antonio

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 48:30


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.    Dans ce deuxième épisode de notre série Vivre en ville direction les États-Unis à San Antonio. Deuxième ville la plus peuplée du Texas avec 1,5 million d'habitants, elle est connue mondialement pour son équipe de basket, les Spurs. San Antonio est aussi un bastion démocrate dans un Texas qui vote en majorité républicain. Une ville qui veut miser sur les énergies renouvelables plus que sur le pétrole présent dans le sol texan. Située à 250 km du Mexique, San Antonio est avant tout une ville profondément multiculturelle. Les 2/3 de sa population sont d'origine mexicaine. Longtemps endormie, San Antonio connait aujourd'hui un boom démographique et économique, mais qui en profite vraiment ?   Avec :  • Théo Quintard, correspondant de RFI à San-Antonio aux États-Unis. En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault :   Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Dubaï vs Riyad : le soft power faiseur de rivalité. Programmation musicale :  ► Hey baby que paso - Texas Tornado  ► Wembanyama Go Spurs Go - Le Groupe Campanas de America  ► Black & Silver - Da Army (T-Krazie, Triple B & Black Outt)  ► San Antone - Randy Rogers Band. 

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 05

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 4:12


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

Reportage International
Dis-moi à quoi tu joues?: en Syrie, le backgammon, plus qu'un jeu, un rituel quotidien

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 3:21


« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. En Syrie, dans les vieux cafés de Damas, entre une bouffée de narguilé et un verre de thé, les dés claquent sur les plateaux de bois incrustés de nacre. Ce son sec et familier résonne depuis des siècles dans les ruelles de la vieille ville. Car le backgammon ou ṭāwlat az-zahr n'est pas arrivé là par hasard : on en retrouve des traces dès l'époque de l'Empire Perse, et il s'est enraciné dans le quotidien levantin depuis plus de 1 000 ans. En Syrie, on y joue depuis l'époque omeyyade, peut-être même avant. Plus qu'un simple passe-temps, ce jeu raconte toute une histoire : celle de l'artisanat damascène, de la transmission familiale et de la rivalité amicale.  De notre correspondant à Damas,  « Allez, explosion du score ! », Ahmed est un joueur de backgammon. Au Café Camel, dans le quartier d'Al-Merjah, l'odeur du café noir flotte entre les tables en bois usé. Autour d'un plateau de ṭāwlat az-zahr, le nom syrien du backgammon, les pions claquent, les dés roulent, et les regards se croisent dans un mélange de défi et de camaraderie. Deux hommes jouent, d'autres observent, tous viennent ici retrouver un peu de répit dans la routine :  « Je viens ici pour respirer un peu, échapper à la maison, à ma femme aussi. Allez, il faut bien rigoler ! Si je pouvais, je viendrais tous les jours. Mais bon, on travaille et avec la vie chère maintenant, même le café devient un luxe. Une ou deux fois par semaine, pas plus. » Dans ce vaste café de plus de 600 m² entre salle et terrasse, le ṭāwlat az-zahr est bien plus qu'un passe-temps : c'est un rituel quotidien. Dès l'après-midi et jusqu'à tard dans la nuit, les habitués s'installent autour d'un thé ou d'un narguilé. On joue pour le plaisir, pour l'équilibre, mais aussi parfois pour laver un affront de la veille : « La plupart de ceux qui jouent ici ont plus de 50 ans, précise Ahmed, gérant du Café Camel. Ce sont des gens qui viennent pour se détendre, se changer les idées. Ils arrivent en fin d'après-midi, et certains restent jusqu'à deux ou trois heures du matin. Les jeunes ? Ils sont rares, peut-être 5%. Eux, ils préfèrent les jeux vidéo, avec leur ordinateur posé sur la table. C'est une autre ambiance. » Mais le ṭāwlat az-zahr ne se vit pas qu'autour des tables de café. À quelques pas de là, dans une ruelle du souk Al-Hamidiyeh, l'odeur du bois ciré se mêle à la poussière fine d'un petit atelier. Ici, Ahmed et son frère Eidīn fabriquent les plateaux de backgammon à la main, pièce par pièce, dans le respect d'un savoir-faire transmis depuis des générations. « (...) ce n'est pas qu'un jeu, c'est une œuvre » Au fond de l'atelier, une lame circulaire tourne lentement. Des éclats minuscules de coquillage et de bois précieux viennent s'y frotter dans un crissement délicat. Ahmed, concentré, incruste un à un de minuscules fragments dans le bois. Il lui faut près de dix jours pour terminer un plateau, selon la complexité de la commande : « Ce que je fais, ce n'est pas juste un jeu, c'est une œuvre. Et quand je sais que ce plateau va finir dans le salon de quelqu'un, qu'il va être touché, utilisé, admiré, c'est ça qui me rend heureux, ajoute l'artisan. Plus que l'argent, c'est la trace que ça laisse chez les gens. » Dans certains foyers damascènes, le ṭāwlat az-zahr ne se joue pas seulement sur une table : il se transmet comme une histoire, un souvenir vivant. Chez Fatima, ce jeu a bercé l'enfance. Son père jouait devant elle, et bientôt, elle et ses frères ont suivi, naturellement. Aujourd'hui encore, les parties continuent, parfois même à la lueur d'une bougie :  « Je connais ce jeu depuis que je suis toute petite. Mon père jouait devant nous, et nous, les enfants, on s'y est mis aussi avec mes frères et sœurs plus tard. C'est en l'observant qu'on a appris les règles. Je me souviens, on partait en famille quelques fois en week-end à Bloudan ou à Zabadani et on faisait des paris. Celui qui perdait la partie devait préparer le repas pour tout le reste de la famille. C'était plus qu'un jeu, c'était vraiment notre lien. » Dans une ville marquée par l'histoire et les défis, le ṭāwlat az-zahr ou backgammon reste un fil invisible entre les générations. Ici, à Damas, le jeu continue.

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville réveillée : Damas

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 48:29


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antanarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce premier épisode de notre série vivre en ville, direction Damas, la capitale de la Syrie. Depuis la prise de pouvoir des rebelles islamistes, la capitale syrienne semble se réveiller après 54 années sous le joug de Bachar al-Assad. La chute de celui qui avait été surnommé «le boucher de Damas», a été accueillie par des manifestations de joie dans tout l'espace public, comme pour conjurer la peur. Les places autrefois silencieuses redeviennent habitées par les voix du peuple. Mais si la ville, comme le pays, est libérée de la tyrannie du clan al-Assad, elle reste toujours en proie à la crise économique, marquée par les tensions communautaires dans le pays et les menaces de bombardements israéliens. Entre pénuries et sécurité, le nouveau pouvoir en place a de nombreux défis à relever, notamment sur la justice transitionnelle. Entre soulagement, retrouvailles, précarité, comment les habitants vivent-ils au jour le jour et comment imaginent-ils la reconstruction de leur ville ?   Avec : • Dana Alboz, correspondante de France 24 à Damas en Syrie.  En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Liverpool vs Manchester : Le foot comme arbitre.  Programmation musicale : ► Janna ya watana - Abdul Baset al-Sarout's  ► Nassam Alayna El Hawa – Fayrouz  ► Cha'am - Lena Chamamyan. 

7 milliards de voisins
Vivre dans une ville réveillée : Damas

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 48:29


Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville.  8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.  Dans ce premier épisode de notre série Vivre en ville, direction Damas, la capitale de la Syrie. Depuis la prise de pouvoir des rebelles islamistes, la capitale syrienne semble se réveiller après 54 années sous le joug de Bachar al-Assad. La chute de celui qui avait été surnommé «le boucher de Damas», a été accueillie par des manifestations de joie dans tout l'espace public, comme pour conjurer la peur. Les places autrefois silencieuses redeviennent habitées par les voix du peuple. Mais si la ville, comme le pays, est libérée de la tyrannie du clan al-Assad, elle reste toujours en proie à la crise économique, marquée par les tensions communautaires dans le pays et les menaces de bombardements israéliens. Entre pénuries et sécurité, le nouveau pouvoir en place a de nombreux défis à relever, notamment sur la justice transitionnelle. Entre soulagement, retrouvailles, précarité, comment les habitants vivent-ils au jour le jour et comment imaginent-ils la reconstruction de leur ville ?   Avec : • Dana Alboz, correspondante de France 24 à Damas en Syrie.  En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault. Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants.   Aujourd'hui, Liverpool vs Manchester : Le foot comme arbitre.  Programmation musicale : ► Janna ya watana - Abdul Baset al-Sarout's  ► Nassam Alayna El Hawa – Fayrouz  ► Cha'am - Lena Chamamyan. 

The Other 3 Amigos Podcast
Episode - 296 - Las Damas - The Goat

The Other 3 Amigos Podcast

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 101:14


On this week's TOTAP Las Damas, your 100% UNOFFICIAL SSE Airtricity Women's Premier Division Podcast The Indo isn't a good enough source for one listenerWe are joined by a Goat We hear from Laura HeffernanDecky's safety is now in doubt The Academy Bottleneck Podcast Relegation & Much Much More

Reportage international
Dis-moi à quoi tu joues?: en Syrie, le backgammon, plus qu'un jeu, un rituel quotidien

Reportage international

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 3:21


« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. En Syrie, dans les vieux cafés de Damas, entre une bouffée de narguilé et un verre de thé, les dés claquent sur les plateaux de bois incrustés de nacre. Ce son sec et familier résonne depuis des siècles dans les ruelles de la vieille ville. Car le backgammon ou ṭāwlat az-zahr n'est pas arrivé là par hasard : on en retrouve des traces dès l'époque de l'Empire Perse, et il s'est enraciné dans le quotidien levantin depuis plus de 1 000 ans. En Syrie, on y joue depuis l'époque omeyyade, peut-être même avant. Plus qu'un simple passe-temps, ce jeu raconte toute une histoire : celle de l'artisanat damascène, de la transmission familiale et de la rivalité amicale.  De notre correspondant à Damas,  « Allez, explosion du score ! », Ahmed est un joueur de backgammon. Au Café Camel, dans le quartier d'Al-Merjah, l'odeur du café noir flotte entre les tables en bois usé. Autour d'un plateau de ṭāwlat az-zahr, le nom syrien du backgammon, les pions claquent, les dés roulent, et les regards se croisent dans un mélange de défi et de camaraderie. Deux hommes jouent, d'autres observent, tous viennent ici retrouver un peu de répit dans la routine :  « Je viens ici pour respirer un peu, échapper à la maison, à ma femme aussi. Allez, il faut bien rigoler ! Si je pouvais, je viendrais tous les jours. Mais bon, on travaille et avec la vie chère maintenant, même le café devient un luxe. Une ou deux fois par semaine, pas plus. » Dans ce vaste café de plus de 600 m² entre salle et terrasse, le ṭāwlat az-zahr est bien plus qu'un passe-temps : c'est un rituel quotidien. Dès l'après-midi et jusqu'à tard dans la nuit, les habitués s'installent autour d'un thé ou d'un narguilé. On joue pour le plaisir, pour l'équilibre, mais aussi parfois pour laver un affront de la veille : « La plupart de ceux qui jouent ici ont plus de 50 ans, précise Ahmed, gérant du Café Camel. Ce sont des gens qui viennent pour se détendre, se changer les idées. Ils arrivent en fin d'après-midi, et certains restent jusqu'à deux ou trois heures du matin. Les jeunes ? Ils sont rares, peut-être 5%. Eux, ils préfèrent les jeux vidéo, avec leur ordinateur posé sur la table. C'est une autre ambiance. » Mais le ṭāwlat az-zahr ne se vit pas qu'autour des tables de café. À quelques pas de là, dans une ruelle du souk Al-Hamidiyeh, l'odeur du bois ciré se mêle à la poussière fine d'un petit atelier. Ici, Ahmed et son frère Eidīn fabriquent les plateaux de backgammon à la main, pièce par pièce, dans le respect d'un savoir-faire transmis depuis des générations. « (...) ce n'est pas qu'un jeu, c'est une œuvre » Au fond de l'atelier, une lame circulaire tourne lentement. Des éclats minuscules de coquillage et de bois précieux viennent s'y frotter dans un crissement délicat. Ahmed, concentré, incruste un à un de minuscules fragments dans le bois. Il lui faut près de dix jours pour terminer un plateau, selon la complexité de la commande : « Ce que je fais, ce n'est pas juste un jeu, c'est une œuvre. Et quand je sais que ce plateau va finir dans le salon de quelqu'un, qu'il va être touché, utilisé, admiré, c'est ça qui me rend heureux, ajoute l'artisan. Plus que l'argent, c'est la trace que ça laisse chez les gens. » Dans certains foyers damascènes, le ṭāwlat az-zahr ne se joue pas seulement sur une table : il se transmet comme une histoire, un souvenir vivant. Chez Fatima, ce jeu a bercé l'enfance. Son père jouait devant elle, et bientôt, elle et ses frères ont suivi, naturellement. Aujourd'hui encore, les parties continuent, parfois même à la lueur d'une bougie :  « Je connais ce jeu depuis que je suis toute petite. Mon père jouait devant nous, et nous, les enfants, on s'y est mis aussi avec mes frères et sœurs plus tard. C'est en l'observant qu'on a appris les règles. Je me souviens, on partait en famille quelques fois en week-end à Bloudan ou à Zabadani et on faisait des paris. Celui qui perdait la partie devait préparer le repas pour tout le reste de la famille. C'était plus qu'un jeu, c'était vraiment notre lien. » Dans une ville marquée par l'histoire et les défis, le ṭāwlat az-zahr ou backgammon reste un fil invisible entre les générations. Ici, à Damas, le jeu continue.

AdventWebs Ministries
Matutina de Damas 2025 - Agosto 04

AdventWebs Ministries

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 4:25


Voz: Ysis España Por Cortesía de: AdventWebs Ministries: https://www.adventwebs.org Esperanza Radio y TV https://esperanzartv.org Otras plataformas: https://www.matutinas.org

LA PENSION
LA PENSIÓN #110 | LA PENSIÓN EN EXCURSIÓN DESDE ACAPULCO - Visitando el hotel del CHAVO DEL 8

LA PENSION

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 111:17


Reportage International
Syrie: «Ils ont déplacé tous les Bédouins» de Soueïda, même ceux qui n'étaient pas impliqués dans les combats

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 2:37


En Syrie, la situation humanitaire s'est dégradée dans le sud du pays suite aux violents affrontements qui ont opposé les factions armées druzes, les clans bédouins et la sécurité générale du gouvernement. Les combats ont repris, dans la nuit du dimanche 3 août 2025, tuant deux personnes, et ce, malgré le cessez-le-feu du 20 juillet. Deux semaines après sa signature, la ville de Soueïda, fief de la communauté druze, vit comme assiégée et connaît de lourdes pénuries. Près de 173 000 personnes, en majorité bédouine, ont fui la ville pour trouver refuge dans la province voisine, à Deraa. Notre correspondante en Syrie, Manon Chapelain, les a rencontrées dans la ville d'Izra. De notre envoyée spéciale à Deraa, L'école d'Izra a été transformée en refuge. À terre, des dizaines de matelas ont été disposés entre des sacs de vêtements. Çà et là, quelques jouets d'enfants. Quatre-vingts familles du village de Sharbaa, tous des Bédouins, ont été déplacés là. De sa famille, Khitam, 18 ans, elle, n'a plus que son père. Les autres membres de la famille ont été tués par des milices druzes lors des derniers affrontements sectaires : « Ils nous ont tous tirés dessus. J'ai mis mes mains sur mon visage, pour me cacher. L'un d'eux a dit  " Cette fille n'est pas morte ". Ils allaient me tirer dessus pour m'achever, mais un autre a répondu " laissez-la, laissez-la saigner, elle va mourir toute seule". » «  Regardez, j'ai été blessée ici par balle, j'ai une fracture. J'ai aussi des éclats d'obus, dans la main et dans la jambe. » Coincé dans un fauteuil roulant, Khitam montre ses blessures recouvertes de pansements. Son père tente de la rassurer, mais au fond, dit-il, c'est peut-être moi le plus inquiet.« Ils ont déplacé tous les Bédouins, ceux qui étaient impliqués dans les combats comme ceux qui ne l'étaient pas. Notre seul tort aujourd'hui, c'est d'être sunnite. Désormais, ils ne veulent que des Druzes à Soueïda. La coexistence, je crois, est impossible avec la présence des factions d'Al-Hijri. » À lire aussiSyrie-Liban: les Druzes face à un tournant historique Dans la salle d'à côté, un homme allongé à terre, la jambe immobilisée, fait défiler des vidéos des exactions des semaines passées : « Regardez la tête de l'enfant. Regardez jusqu'où elle a volé. » Ici, un petit garçon, la tête arrachée par une déflagration. Là, une jeune fille, les yeux cernés, victime d'un traumatisme crânien après avoir été violemment frappée. Elle a été transférée à l'hôpital de Damas. L'un des hommes veut de ses nouvelles, passe un appel : « Nous avons appris qu'elle était décédée. Est-ce exact ? Dieu merci, comment va-t-elle ? » Une femme lui a répondu qu'elle était en vie. Un groupe de volontaires entre dans la petite école, prend les noms, distribue un à un de maigres dons. De la nourriture, de l'argent, quelques savons. C'est bien, mais pas suffisant, soupire Mouna, 60 ans : « Sans vouloir vous offenser. On se sent humilié ici. À Soueïda, notre ville natale, nous avions une vie digne. Nous étions honorés et respectés. » À son tour, la vieille dame raconte. À Soueïda, j'avais des champs, dit-elle, des tracteurs, une grande maison. Ici, nous sommes réduits à attendre l'arrivée des dons : « Ils nous ont donné des matelas et nous apportent de la nourriture. Mais malheureusement, cela ne répond pas à tous nos besoins. Nous sommes des humains, pas du bétail. » Nous ne sommes pas du bétail, répète-t-elle. Mais peut-être vaut-il mieux cela que de vivre dans l'insécurité ou pire, être tué.  À lire aussiSyrie: «J'essaye de puiser la force de réagir», assure l'épouse d'un Franco-Syrien tué à Soueïda

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: "Decisiones, buenas o malas"

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025


LEE LA BIBLIA COMPLETA EN UN AÑO
Reunión de damas del mes de julio de 2025

LEE LA BIBLIA COMPLETA EN UN AÑO

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 75:16


Reunión de damas de la iglesia Centro Cristiano de Puebla AR, correspondiente al mes de julio del 2025

Géopolitique, le débat
L'Église orthodoxe dans les relations internationales

Géopolitique, le débat

Play Episode Listen Later Jul 26, 2025 48:29


Un attentat contre l'église grecque orthodoxe à Damas a fait 25 morts et plus de 60 blessés au mois de juin dernier, relançant l'inquiétude au sein de la minorité chrétienne. Celle-ci est passée d'un million de personnes avant la guerre en 2011, à moins de 300 000 aujourd'hui, en raison de l'exil et des déplacements forcés. Avec 200 à 300 millions de fidèles, l'Église orthodoxe est la troisième confession chrétienne, après le catholicisme et le protestantisme. Son histoire, marquée par de longues épreuves, notamment durant la conquête mongole et la longue domination de l'Empire ottoman, reste assez largement méconnue. Au carrefour des empires disparus, byzantin, ottoman et russe, l'orthodoxie a été déchirée par la guerre froide, avant de se retrouver au cœur des conflits contemporains : génocides, guerres des Balkans et d'Ukraine, d'Irak ou encore de Syrie.  Les mondes orthodoxes sont complexes. Leurs influences et leur proximité réelle avec les pouvoirs politiques sont une grille de lecture des soubresauts du présent. Les prêches enflammés du patriarche Kirill de Moscou, que l'on a vu par ailleurs bénir les chars russes allant détruire les villes ukrainiennes, ont ravivé l'image d'une orthodoxie belliciste, ultraconservatrice et homophobe. Une orthodoxie radicalement hostile à l'Otan, à l'Union européenne et aux valeurs démocratiques. Regard sur le rôle de l'église orthodoxe dans les relations internationales. Invité :  Jean-Arnaud Dérens, historien et journaliste, fondateur du Courrier des Balkans, dont il est le co-rédacteur en Chef. Géopolitique de l'orthodoxie. De Byzance à la guerre en Ukraine, aux éditions Tallandier. 

De vive(s) voix
Cycle de lectures «Ça va, ça va le monde!»: «L'artiste a l'obligation de gueuler!»

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Jul 24, 2025 28:59


Samedi 26 juillet 2025, commence le nouveau cycle de lectures « Ça va, ça va le monde ! ». Depuis plus de dix ans, RFI fait découvrir des textes et des auteurs ou autrices de théâtre vivant en Afrique, dans les Caraïbes ou au Proche-Orient et écrivant en français pour raconter un monde multilingue et pluriculturel. Chaque année, six textes sont lus en public au Festival d'Avignon, et enregistrés pour diffusion en direct et en vidéo sur Facebook ; puis sur les antennes de RFI le samedi à 17h05, à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. Des textes engagés, toutes portes ouvertes sur le monde, sa désespérance ou ses conflits, que l'on soit à Beyrouth, Damas, Antananarivo ou Kinshasa. Mais toujours, pointe une note d'humour, une ironie, un éclat de langue qui font l'originalité et la force de ces écritures des Suds. Invité.e.s Hala Moughanie, autrice et dramaturge franco-libanaise née en 1980. Elle a vécu une quinzaine d'années à Paris avant de retourner à Beyrouth en 2003 où elle travaille comme enseignante et journaliste, dans le milieu de la culture et de l'humanitaire.  Elle a été lauréate du Prix RFI Théâtre en 2015 pour son texte Tais-toi et creuse. Son dernier texte Le Ruban a été joué dans le cadre des lectures.  C'est difficile de se dire qu'on va écrire alors que tout s'écroule autour de moi. [...] Il fallait pourtant exprimer cette rage, cette tristesse et questionner le rôle de l'art face aux bombes.  Une pièce écrite au rythme des bombardements dont Beyrouth a été le théâtre, ces derniers mois, et qui raconte une réunion au sein du ministère de la Culture du Liban pour décider qui va couper le ruban lors d'une cérémonie officielle, juste après le cessez-le-feu... mais la guerre est-elle vraiment finie ? Comment continuer à vivre en pleine guerre ?    Mon texte n'est pas là pour briser un silence, mais pour questionner le milieu de la culture et des arts, dans un monde qui permet un génocide. L'artiste a l'obligation de gueuler ! L'artiste n'a pas le droit de vivre coupé des réalités politiques et sociales. Or, en particulier en Occident, les artistes ont un avis sur tout, mais n'ont aucune idée de ce qui se passe ailleurs, ils ne sont pas informés  !  C'est aussi un texte qui nomme les dizaines de milliers de morts à Gaza. L'autrice utilise le terme de génocide plusieurs fois dans son texte. Un mot qui fait débat aujourd'hui en Occident selon les dires de l'autrice.  Wael Kadour, auteur syrien né en 1981. Il a quitté la Syrie en 2011 au début de la guerre civile pour la Jordanie avant de rejoindre la France en 2016. Il écrit en arabe. Je pense que j'écris en arabe pour garder le lien avec ma langue maternelle. Cela me permet de nommer au plus juste.  Son texte Braveheart qui raconte les hallucinations d'une jeune femme écrivaine en exil qui imagine que son bourreau bénéficie, lui aussi, d'un exil politique, a été lu à Avignon. Il mêle le réel et l'imaginaire.  Pendant ce contexte de guerre, souvent la violence est plus forte que l'imagination. Tout se mélange : réalité et fiction. L'artiste doit garder la capacité de raconter la réalité, qui est très complexe.  Lectures d'Avignon du cycle  « Ça va, ça va le monde ! » sur notre antenne tous les samedis à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. - 26/07/2025 : Enfant, de Gad Bensalem (Madagascar), lauréat du Prix Théâtre RFI 2024. - 02/08/2025 : Silence, d'Israël Nzila (République Démocratique du Congo). - 09/08/2025 : Petit Guide illustré pour illustre grand guide, d'Edouard Elvis Bvouma (Cameroun). - 16/08/2025 : Chèvres, de Liwaa Yazii (Syrie). Traduit de l'arabe par Leyla-Claire Rabih et Jumana Al-Yasiri avec le soutien de la maison Antoine Vitez. - 23/08/2025 : Le Ruban, de Hala Moughanie (Liban). - 30/08/2025 : Braveheart, de Wael Kadour (Syrie). Traduit de l'arabe par Simon Dubois avec le soutien de la Maison Antoine Vitez.

De vive(s) voix
Cycle de lectures «Ça va, ça va le monde!»: «L'artiste a l'obligation de gueuler!»

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Jul 24, 2025 28:59


Samedi 26 juillet 2025, commence le nouveau cycle de lectures « Ça va, ça va le monde ! ». Depuis plus de dix ans, RFI fait découvrir des textes et des auteurs ou autrices de théâtre vivant en Afrique, dans les Caraïbes ou au Proche-Orient et écrivant en français pour raconter un monde multilingue et pluriculturel. Chaque année, six textes sont lus en public au Festival d'Avignon, et enregistrés pour diffusion en direct et en vidéo sur Facebook ; puis sur les antennes de RFI le samedi à 17h05, à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. Des textes engagés, toutes portes ouvertes sur le monde, sa désespérance ou ses conflits, que l'on soit à Beyrouth, Damas, Antananarivo ou Kinshasa. Mais toujours, pointe une note d'humour, une ironie, un éclat de langue qui font l'originalité et la force de ces écritures des Suds. Invité.e.s Hala Moughanie, autrice et dramaturge franco-libanaise née en 1980. Elle a vécu une quinzaine d'années à Paris avant de retourner à Beyrouth en 2003 où elle travaille comme enseignante et journaliste, dans le milieu de la culture et de l'humanitaire.  Elle a été lauréate du Prix RFI Théâtre en 2015 pour son texte Tais-toi et creuse. Son dernier texte Le Ruban a été joué dans le cadre des lectures.  C'est difficile de se dire qu'on va écrire alors que tout s'écroule autour de moi. [...] Il fallait pourtant exprimer cette rage, cette tristesse et questionner le rôle de l'art face aux bombes.  Une pièce écrite au rythme des bombardements dont Beyrouth a été le théâtre, ces derniers mois, et qui raconte une réunion au sein du ministère de la Culture du Liban pour décider qui va couper le ruban lors d'une cérémonie officielle, juste après le cessez-le-feu... mais la guerre est-elle vraiment finie ? Comment continuer à vivre en pleine guerre ?    Mon texte n'est pas là pour briser un silence, mais pour questionner le milieu de la culture et des arts, dans un monde qui permet un génocide. L'artiste a l'obligation de gueuler ! L'artiste n'a pas le droit de vivre coupé des réalités politiques et sociales. Or, en particulier en Occident, les artistes ont un avis sur tout, mais n'ont aucune idée de ce qui se passe ailleurs, ils ne sont pas informés  !  C'est aussi un texte qui nomme les dizaines de milliers de morts à Gaza. L'autrice utilise le terme de génocide plusieurs fois dans son texte. Un mot qui fait débat aujourd'hui en Occident selon les dires de l'autrice.  Wael Kadour, auteur syrien né en 1981. Il a quitté la Syrie en 2011 au début de la guerre civile pour la Jordanie avant de rejoindre la France en 2016. Il écrit en arabe. Je pense que j'écris en arabe pour garder le lien avec ma langue maternelle. Cela me permet de nommer au plus juste.  Son texte Braveheart qui raconte les hallucinations d'une jeune femme écrivaine en exil qui imagine que son bourreau bénéficie, lui aussi, d'un exil politique, a été lu à Avignon. Il mêle le réel et l'imaginaire.  Pendant ce contexte de guerre, souvent la violence est plus forte que l'imagination. Tout se mélange : réalité et fiction. L'artiste doit garder la capacité de raconter la réalité, qui est très complexe.  Lectures d'Avignon du cycle  « Ça va, ça va le monde ! » sur notre antenne tous les samedis à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. - 26/07/2025 : Enfant, de Gad Bensalem (Madagascar), lauréat du Prix Théâtre RFI 2024. - 02/08/2025 : Silence, d'Israël Nzila (République Démocratique du Congo). - 09/08/2025 : Petit Guide illustré pour illustre grand guide, d'Edouard Elvis Bvouma (Cameroun). - 16/08/2025 : Chèvres, de Liwaa Yazii (Syrie). Traduit de l'arabe par Leyla-Claire Rabih et Jumana Al-Yasiri avec le soutien de la maison Antoine Vitez. - 23/08/2025 : Le Ruban, de Hala Moughanie (Liban). - 30/08/2025 : Braveheart, de Wael Kadour (Syrie). Traduit de l'arabe par Simon Dubois avec le soutien de la Maison Antoine Vitez.

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: "Las manos"

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Jul 22, 2025


Les matins
Les violences dans la région druze de Soueida déstabilisent-t-elles le régime Syrien ?

Les matins

Play Episode Listen Later Jul 21, 2025 39:22


durée : 00:39:22 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - La province de Sweida, dans le sud de la Syrie, est en proie depuis le 13 juillet aux affrontements entre la communauté druze et des factions de bédouins extrémistes. Israël s'érige en protecteur de la minorité druze, en intensifiant la pression sur Damas et sa présence dans le plateau du Golan. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Dorothée Schmid Responsable du programme Turquie/Moyen-Orient de l'IFRI; Wassim Nasr Journaliste à France 24, spécialiste des mouvements djihadistes

C dans l'air
Syrie, Gaza : Trump peut-il encore arrêter Netanyahu ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 66:24


C dans l'air du 18 juillet 2025 - Syrie, Gaza : Trump peut-il encore arrêter Netanyahu ?"Un cessez-le-feu obtenu par la force". Au lendemain de la fragile trêve signée entre Israël et les forces gouvernementales syriennes, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a justifié jeudi les attaques sur le régime syrien par l'entrée de l'armée gouvernementale dans la région de Souweïda, où vit la minorité chiite druze. Ces derniers jours, des combats entre factions druzes, combattants tribaux bédouins et forces gouvernementales avaient fait, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, près de 600 morts. En réponse, l'armée israélienne a notamment bombardé le ministère de la défense syrien et le siège de l'état-major, à Damas, provoquant le retrait de l'armée d'Ahmed Al-Charaa du sud du pays. "Nous avons établi une politique claire : démilitarisation de l'espace au sud de Damas, [et] protéger les frères de nos frères, les Druzes", a déclaré le Premier ministre Israélien. Deux principes qui ont selon lui été "violés par le régime de Damas". Ces affrontements interviennent alors que les deux régimes avaient renoué le dialogue ces derniers mois, laissant espérer une normalisation de leurs relations. Les États-Unis, qui poussaient en ce sens et avaient annoncé en juin la levée des sanctions économiques contre la Syrie, ont condamné les violences en Syrie qui ont repris vendredi, en dépit du cessez-le-feu. Après Gaza, le Liban, et l'Iran, c'est une nouvelle épine dans le pied qui s'ajoute pour Donald Trump.Aux États-Unis, la politique étrangère de Donald Trump divise jusque dans son propre camp. Ancien conseiller à la sécurité nationale du président américain (2018-2019), John Bolton regrette que les frappes sur les principaux sites nucléaires iraniens ne soient pas allées plus loin. "Je pense que Trump a commis une erreur en imposant un cessez-le-feu après l'attaque des B-2. Je pense que c'était très prématuré", estime le diplomate. Il fait partie de ces Américains qui estiment que l'Iran restera une menace tant que le régime des mollahs n'aura pas disparu : "Si nous voulons vivre dans un monde libre de toute terreur et de toute menace de prolifération nucléaire (…) la solution, c'est de mettre en place un régime différent en Iran". John Bolton, qui n'envisage pas une intervention militaire au sol, appelle plutôt à soutenir l'opposition iranienne pour mieux déstabiliser le pouvoir iranien.Longtemps considérés comme un électorat acquis aux candidats républicains, les vétérans américains sont de plus en plus nombreux à se retourner contre Donald Trump. Licenciements massifs dans le ministère des anciens combattants, réduction des prestations sociales, privatisation… ils lui reprochent d'abandonner les quelque 16 millions de vétérans malgré ses discours patriotiques. Si certains vétérans s'inscrivent dans la trajectoire isolationniste des Etats-Unis, d'autres regrettent l'absence de soutien à l'Ukraine et redoutent les élans expansionnistes de Donald Trump, comme au Groenland. Événement rare, des vétérans ont même manifesté contre le président le 6 juin dernier, jour de commémoration du Débarquement en Normandie.Comment les États-Unis ont fait pression sur Israël pour arrêter ses frappes en Syrie ? Que pense John Bolton, l'ancien conseiller à la sécurité intérieure de Donald Trump, de sa politique au Moyen-Orient ? Et pourquoi les vétérans américains sont-ils en colère contre leur président ?LES EXPERTS : - AGNÈS LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen-Orient et présidente de l'IREMMO Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient- PATRICIA ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique - Le Figaro- WASSIM NASR - Journaliste spécialiste des mouvements djihadistes - France 24 Auteur de "L'État islamique, le fait accompli"PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le débat
Syrie : le risque d'un embrasement ?

Le débat

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 43:01


Après trois jours de violences et de tirs dans la ville druze de Soueïda, les autorités syriennes annoncent un cessez-le-feu. La situation reste pourtant confuse. Depuis dimanche, plus de 300 personnes ont été tuées selon l'Observatoire syrien pour les droits de l'homme. Ces heurts ont mis en lumière la difficulté pour le nouveau gouvernement syrien d'asseoir son autorité sur l'ensemble du pays.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 19h - 16/07/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 12:06


Dans cette édition :Le taux du livret A, l'épargne préférée des Français, va baisser de 2,4% à 1,7% à compter du 1er août, en raison de la baisse de l'inflation.Le gouvernement fait face à des critiques sur les grandes orientations budgétaires présentées, notamment de la part de l'ancien Premier ministre Edouard Philippe qui juge que les propositions n'apportent pas de solution.Un adolescent de 17 ans a été tué à Vénissieux par un motard ivre et sans permis, dans un accident qui a conduit à la création du délit de "délit de fuite routier".En Syrie, l'armée israélienne a bombardé le palais présidentiel et l'état-major syrien à Damas, en représailles aux violences contre la communauté druze.Le Tour de France a connu une étape mouvementée avant l'entrée dans les Pyrénées, avec la chute sans conséquence du tenant du titre Tadej Pogačar.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT - Syrie : l'armée israélienne a frappé le quartier général de l'armée syrienne situé à Damas

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 1:36


Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage International
Syrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 2:45


En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles.    De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol,  Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ».  Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique

Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: "Paz con Dios"

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025


Radio la RED Denver
Las Damas de la Red: "Proverbios 6:16"

Radio la RED Denver

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025


DAMA VENENOSA
CON LOS NIÑOS NO JOSUÉ DAMAS | CIERRAN SU CUENTA DE 4 MILLONES POR ESTE VIDEO

DAMA VENENOSA

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 8:13


Cierran cuenta de TikTok con más de 4 millones de seguidores de Josué Damas por este video con un niño. Disclaimer: We make no warranty to the accuracy or correctness of our content. Opinions are freely expressed and the only intention of this podcast is to entertain and create a dialogue amongst its listeners.All rights reserved by DamaVenenosa.https://linktr.ee/DamaVenenosaConviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/simplemente-venenosa--2217891/support.