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La Loupe
Les députés de la colère

La Loupe

Play Episode Listen Later Feb 16, 2023 18:13


Invectives, députés bloqueurs d'universités et obstruction parlementaire : depuis le début de l'examen de la réforme des retraites par l'Assemblée nationale, les parlementaires LFI ont opté pour la stratégie de la colère... Tandis que les manifestations se déroulent dans le calme, menées par des syndicats très organisés, loin de leur image caricaturale. Analyse d'une mobilisation “à l'envers” avec Olivier Pérou, spécialiste de la gauche au service politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Écriture : Margaux LannuzelPrésentation : Xavier YvonMontage : Marion BothorelRéalisation : Jules KrotCrédits : BFMTVMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentCrédit image : Ludovic MARIN / AFPLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Loupe
Le choix de l'immigration

La Loupe

Play Episode Listen Later Jan 24, 2023 17:12


Tandis que l‘Allemagne s'apprête à lancer la “législation la plus moderne d'Europe” pour attirer des travailleurs qualifiés du monde entier, la France frémit à l'idée de délivrer des titres de séjour dans des secteurs qui peinent à recruter… Et ce même si la pénurie de main d'œuvre est vouée à s'aggraver. Analyse (économique) et fact-checking de deux politiques d'“immigration choisie” avec Philippine Robert, du service Économie de L'Express, Christophe Bourdoiseau, correspondant à Berlin, et Marilyne Poulain, ancienne membre de la direction confédérale de la CGT et figure de proue de la lutte pour les travailleurs migrants. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Écriture : Margaux LannuzelPrésentation : Xavier YvonMontage : Charlotte BarisRéalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentCrédit image : Philippe Lopez / AFPLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Bookmakers
Pierre Christin (2/3)

Bookmakers

Play Episode Listen Later Jan 19, 2023 42:52


Valérian : chronologie, art, destin Bookmakers #22 - L'auteur du mois : Pierre ChristinNé en 1938 à Saint-Mandé (Val-de-Marne), Pierre Christin est l'un des scénaristes majeurs de la bande dessinée européenne. Souvenons-nous, en premier lieu, de sa saga spatio-temporelle au rayonnement international : « Valérian et Laureline », avec les dessins intersidéraux de Jean-Claude Mézières, dès la fin des années 60. Puis des premiers albums exceptionnels d'Enki Bilal, de « La Croisière des oubliés » à « Partie de chasse », en passant par son préféré : « Les Phalanges de l'Ordre noir », sur la réunion d'anciens membres des Brigades internationales pour un dernier baroud d'honneur contre des terroristes chrétiens.Salué en 2019 du prix René-Goscinny pour l'ensemble de son œuvre, cet artisan du verbe et des situations, également journaliste et auteur de romans « très noirs, à charge contre une certaine classe politique française », qui fut une fois librettiste d'opéra, conserve une belle humilité vis-à-vis de sa fonction au royaume du 9e art : « Un super scénario offert à un dessinateur nul, ça donne une BD nulle ; un scénario faible dans les mains d'un grand dessinateur… ça donne une BD pas mal. » Pierre Christin (2/3)Pour les fans de BD comme pour les chercheurs de la cosmo-université des astéroïdes de Shimballill, les aventures de « Valérian et Laureline » ont marqué l'Histoire. En 22 tomes déployés sur 1200 pages publiées aux éditions Dargaud, il s'agit de la plus longue saga à être restée entre les mains de ses créateurs originaux, Pierre Christin (scénario) et Jean-Claude Mézières (dessins), de l'album zéro intitulé « Les mauvais rêves » (1967) jusqu'au dernier tome de la série officielle, « L'Ouvretemps » (2010). Quatre décennies de boulot doux-dingue, dont l'intrigue court sur quarante siècles, au cours desquels voyage son duo merveilleux d'agents temporels.Classique de la science-fiction vendu à plus de trois millions d'exemplaires, exposé au Portugal ou au Québec, traduit en vingt langues de l'Islande à la Chine en passant par la Turquie, ce space opera monté sur ressorts, malicieux et pacifiste, auquel « Star Wars » a beaucoup piqué, réjouit toujours. Par l'abondance de ses « bestioles » et de ses couches narratives, par l'ampleur graphique impériale de ses mille planètes, par les couleurs d'Evelyne Tranlé, ou par la grâce intrépide de Laureline, héroïne en avance sur son temps, née d'un rêve forestier et des convictions féministes de Christin. Lequel constate : « Valérian n'est pas une bande dessinée facile à lire : il y a beaucoup de cases, de texte, des thèmes ambitieux, d'allusions... Et pas d'éternel combat du bien contre le mal, mâtiné de déchirements familiaux. » Avec son cher copain Mézières (disparu en janvier dernier), ils auront pourtant su offrir un pays aux étoiles, en subjuguant trois générations d'astronautes en culottes courtes, parmi lesquels Manu Larcenet, Christophe Blain, Charles Berberian ou Luc Besson. Tandis que le scribe galactique vient d'apporter un ultime point final à cette supernova via l'album « Là où naissent les histoires » (2022, avec les dessins de Virginie Augustin), grimpons illico à bord des vaisseaux de Pierre. Enregistrements : novembre-décembre 22 - Mise en ligne : janvier 2023 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son, montage : Sara Monimart, Baptiste Dupin - Réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Lectures : Emma Bouvier, Stella Defeyder, Arnaud Forest, Silvain Gire, Samuel Hirsch, Olivier Minot et le public du Palais de Tokyo - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Loo Hui Phang, Clarisse Le Gardien, Avril Tembouret et Kanari Films pour les propos de J.-C. Mézières tirés du documentaire « L'Histoire de la page 52 » - Samuel Hirsch

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Le Cours de l'histoire
Histoire du Brésil en quête de liberté 3/4 : "L'indépendance ou la mort !" Construire la nation brésilienne

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Jan 4, 2023 59:21


durée : 00:59:21 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Le 7 septembre 1822, le prince Pedro de Portugal pousse le cri d'Ipiranga, aujourd'hui considéré comme la déclaration d'indépendance officielle du Brésil. Tandis que l'ancienne colonie s'émancipe de la métropole portugaise de façon singulière, comment se construit l'identité nationale brésilienne ? - invités : Armelle Enders Historienne, professeure à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis, spécialiste de l'histoire du Brésil contemporain; Sébastien Rozeaux Historien, maître de conférences à l'université Toulouse Jean Jaurès, spécialiste de l'histoire de l'Europe et de l'Amérique latine

Revue de presse internationale
À la Une: la visite d'Itamar Ben Gvir sur l'esplanade des mosquées suscite la colère dans le monde arabe

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jan 3, 2023 4:51


La dernière visite d'un homme politique israélien sur place, celle d'Ariel Sharon en 2000, avait été l'un des éléments déclencheurs de la deuxième Intifada, c'est ce que rappelle la chaîne qatarienne Al Jazeera. Les Palestiniens craignent que cette visite remette en cause le statu quo sur le site, qui est sous administration jordanienne. La Jordanie qui « condamne avec la plus grande fermeté » la venue du ministre israélien Itamar Ben Gvir sur l'Esplanade des mosquées. C'est même une « prise d'assaut » selon le quotidien jordanien Al Ghad. En Egypte, youm7 (« Le Septième Jour ») assure que le « gouvernement de colonisation » israélien franchit « des lignes rouges », « tente d'imposer une nouvelle réalité politique », ce qui laisse présager d'une « escalade majeure », voire d'une « troisième Intifada », assène le journal. La réouverture de la Chine et sa santé économique inquiètent de nombreux pays L'épidémie de Covid-19 en Chine « va nuire à l'économie australienne », titre The Australian. Tandis que le journal suisse Le Temps souligne les incertitudes quant à la reprise économique dans le pays après la levée de la politique « zéro Covid ». L'économie chinoise devrait se contracter durant les trois premiers mois de l'année, précise The Economist. Certes, la reprise économique, qui pourrait avoir lieu dès le mois de mars là-bas devrait tirer mécaniquement la croissance mondiale vers le haut, du fait de la taille énorme de l'économie chinoise. Cependant, cela pourrait se traduire dans le reste du monde par une plus forte inflation ou des taux d'intérêts plus élevés sur le reste de la planète, avertit l'hebdomadaire économique britannique. On peut lire dans The Guardian une autre crainte : la reprise de l'économie chinoise pourrait avoir comme effet pervers une hausse de la demande mondiale d'énergie et de matières premières, sur des marchés qui étaient très tendus déjà en 2022 en raison de la guerre en Ukraine. En Thaïlande, le Bangkok Post souligne tout de même un point positif à la réouverture de la Chine, à compter de ce dimanche : le retour attendu des touristes chinois dans le pays. Au total, 22 millions de visiteurs étrangers sont attendus dans le royaume cette année, en hausse par rapport à 2022, ce qui devrait stimuler la croissance locale. Les réfugiés ukrainiens seront-ils aussi bien accueillis en Europe en 2023 que l'année passée ? C'est la question posée par The Washington Post ce mardi... Après une formidable vague de solidarité sur le continent, qui a permis d'accueillir jusqu'à 8 millions d'Ukrainiens, les aides publiques pourraient diminuer cette année. Ce sera le cas en Pologne, souligne le quotidien américain dans un long reportage. Les dons des particuliers risquent de marquer le pas, eux aussi, car tous les pays voisins de l'Ukraine (qui accueillent l'essentiel de ces réfugiés) sont fortement touchés par l'inflation et la hausse des prix de l'énergie. Or, s'il est difficile d'estimer combien de réfugiés sont finalement rentrés en Ukraine, malgré la guerre, et combien pourraient quitter encore le pays, le journal souligne que l'hiver et les coupures d'électricité très importantes risquent de pousser certains habitants à fuir faute de réussir à se chauffer. Le New York Times revient de son côté sur les effets de la guerre sur l'insécurité alimentaire dans le monde et notamment en Afrique. C'est l'une des conséquences les plus profondes du conflit selon le journal. Une crise « que Washington et ses alliés ne parviennent pas à endiguer » note-t-il. Le 20 décembre, la Maison Blanche a annoncé un assouplissement de son régime de sanctions, pour éviter qu'elles n'entravent l'aide alimentaire mondiale. Le journal souligne aussi la responsabilité de la Russie, et la très grande lenteur des inspections menées par Moscou sur les bateaux de céréales venus des ports ukrainiens, lenteur accrue ces dernières semaines d'après des chiffres des Nations-Unies. Pelé enterré ce mardi La Une de Folha de São Paulo est coupée en deux. En haut, on peut voir une photo aérienne du stade du Santos FC, avec le cercueil de Pelé au milieu, et une longue très longue file d'attente dans la rue le long du stade. En bas de cette même Une s'affiche la photo du corps de Benoît XVI, pape émérite mort ce samedi et veillé à la basilique Saint-Pierre à Rome. Le journal brésilien Estadão dresse, lui, le portrait du patron d'une institution de la ville de Santos, où se réunissent de nombreux fans du club. Carlinhos, c'est son nom, a permis qu'une statue soit érigée dans la ville en l'honneur du meilleur joueur de tous les temps, en convainquant des amis plus riches que lui de financer le monument. Le journal raconte comment il a supplié la star de venir à l'inauguration de la statue, puis a pleuré quand l'ancien joueur est finalement apparu, convaincu par sa mère. La mère de Pelé, Celeste Arantes do Nascimento, âgée de 100 ans aujourd'hui, vit toujours à Santos. Ce mardi après-midi le cercueil de son fils passera devant sa maison. Ensuite, Pelé sera enterré dans un cimetière duquel on aperçoit le stade du Santos FC, où il a commencé à l'âge de 15 ans puis a passé l'essentiel de sa carrière de footballeur.

La Loupe
Stepan Bandera, nationalisme ou nazisme (4/4) (rediffusion)

La Loupe

Play Episode Listen Later Dec 29, 2022 9:05


“L'Ukraine fait partie de notre Histoire”, a justifié Vladimir Poutine, quelques jours avant le début de l'invasion russe. Tandis que le dictateur a fait de la négation de l'existence-même d'une nation ukrainienne l'un des “arguments” de sa guerre, La Loupe a décidé de se plonger dans les livres d'Histoire. Cette semaine, on vous brosse quatre portraits symboliques, parfois contestés, pour raconter l'essor de l'identité ukrainienne, avec l'historien Iarolsav Lebedynsky, enseignant à l'INALCO. Dans ce quatrième épisode, Stepan Bandera, nationalisme ou nazisme.Cet épisode a été diffusé pour la première fois le 24 août 2022.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Présentation : Margaux LannuzelEcriture : Charlotte BarisMontage : Mathias PenguillyRéalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Loupe
Pavlo Skoropadsky, le nationaliste qu'on n'attendait pas (3/4) (rediffusion)

La Loupe

Play Episode Listen Later Dec 28, 2022 11:22


“L'Ukraine fait partie de notre Histoire”, a justifié Vladimir Poutine, quelques jours avant le début de l'invasion russe. Tandis que le dictateur a fait de la négation de l'existence-même d'une nation ukrainienne l'un des “arguments” de sa guerre, La Loupe a décidé de se plonger dans les livres d'Histoire. Cette semaine, on vous brosse quatre portraits symboliques, parfois contestés, pour raconter l'essor de l'identité ukrainienne, avec l'historien Iaroslav Lebedynsky, enseignant à l'INALCO. Dans ce troisième épisode, Pavlo Skoropadsky, le nationaliste qu'on n'attendait pas. Cet épisode a été diffusé pour la première fois le 24 août 2022.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Présentation : Margaux LannuzelEcriture : Charlotte BarisMontage : Mathias PenguillyRéalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Loupe
Ivan Mazepa, traître pour la bonne cause (2/4) (rediffusion)

La Loupe

Play Episode Listen Later Dec 27, 2022 13:02


“L'Ukraine fait partie de notre Histoire”, a justifié Vladimir Poutine, quelques jours avant le début de l'invasion russe. Tandis que le dictateur a fait de la négation de l'existence-même d'une nation ukrainienne l'un des “arguments” de sa guerre, La Loupe a décidé de se plonger dans les livres d'Histoire. Cette semaine, on vous brosse quatre portraits symboliques, parfois contestés, pour raconter l'essor de l'identité ukrainienne, avec l'historien Iaroslav Lebedynsky, enseignant à l'INALCO. Dans ce deuxième épisode, Ivan Mazepa, traître pour la bonne cause. Cet épisode a été diffusé pour la première fois le 23 août 2022.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Présentation : Margaux LannuzelEcriture : Charlotte BarisMontage : Lison VerriezRéalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Loupe
Daniel de Galicie, le début de l'Histoire (1/4) (rediffusion)

La Loupe

Play Episode Listen Later Dec 26, 2022 11:34


“L'Ukraine fait partie de notre Histoire”, a justifié Vladimir Poutine, quelques jours avant le début de l'invasion russe. Tandis que le dictateur a fait de la négation de l'existence-même d'une nation ukrainienne l'un des “arguments” de sa guerre, La Loupe a décidé de se plonger dans les livres d'Histoire. Cette semaine, on vous brosse quatre portraits symboliques, parfois contestés, pour raconter l'essor de l'identité ukrainienne, avec l'historien Iaroslav Lebedynsky, enseignant à l'INALCO. Dans ce premier épisode, le Roi Daniel de Galicie, le début de l'histoire. Cet épisode a été diffusé pour la première fois le 22 août 2022.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Présentation : Margaux LannuzelEcriture : Charlotte BarisMontage : Lison VerriezRéalisation : Jules KrotCrédits : KremlinMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: Abidjan-Bamako, les retrouvailles

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 23, 2022 4:33


La libération des 46 soldats ivoiriens détenus au Mali est « actée », nous indique notre correspondant, Serge Daniel. C'est en présence de la médiation togolaise que les deux parties ont signé un mémorandum afin de convenir de la libération des 46 militaires ivoiriens, mais aussi du renforcement des relations entre les deux pays. Et cette annonce a fait couler beaucoup d'encre dans les journaux à Bamako, Abidjan ou Ouagadougou. Dans la capitale malienne, le journal Malikilé se réjouit de ce qu'il appelle « le triomphe de la Raison ! », écrit-il en Une avec un « R » majuscule au mot « raison ». « Il fallait trouver une porte de sortie, aller vers une paix des braves que (Malikilé) n'a cessé d'évoquer dans ses colonnes dès l'éclatement de cette triste affaire, s'autosatisfait ce quotidien. Enfin voilà que nous y sommes », se réjouit encore ce journal bamakois, en rendant hommage au président togolais Faure Gnassingbé, « médiateur discret mais efficace qui vient de réussir la prouesse de résoudre une équation extrêmement complexe ». Avec une formule simple : « que chacun mette un peu d'eau dans son Gnamacoudji » ! » Balle à terre pour les 46 Ivoiriens détenus au Mali À Abidjan aussi, ce vendredi, l'affaire des 46 soldats ivoiriens détenus au Mali a été hissée en Une par plusieurs quotidiens. Sur celle de Le Jour Plus, il est indiqué que le ministre Téné Birahima Ouattara, que les Ivoiriens appellent « photocopie » tant il ressemble physiquement à son président de frère Alassane Ouattara, et Assimi Goïta « ont signé un protocole d'accord à Bamako ». « Assimi Goïta signent un accord », énonce de façon plus concise la Une du journal L'Expression. Protocole d'accord ou accord tout court, pour le quotidien Le Nouveau Réveil, qu'importe, l'essentielle se résume en une phrase. « Abidjan renoue le dialogue avec Bamako », lance la Une de ce journal proche du PDCI-RDA de l'ex-président Henri Konan Bédié. Tandis que, prudemment sans doute, celle du quotidien Le Patriote, proche du président Ouattara, se garde bien de la moindre allusion à l'affaire des 46 militaires ivoiriens détenus au Mali. « Des émissaires de Ouattara chez Goïta », lance plus évasivement « la manchette » du quotidien indépendant L'Inter, tandis que la Une de son confrère Soir Info (qui appartient au même groupe de presse que L'Inter), signale que la journée de jeudi a été « chargée » pour le frère du président Ouattara (qui est, rappelons-le, en charge des affaires de Défense à la tête du ministère du même nom, en Côte d'Ivoire). Soir Info, lui, souligne que « cette visite a surtout permis aux officiels ivoiriens et maliens de se parler directement pour faire avancer le dossier. C'est ce qui a manqué, reconnaît un haut fonctionnaire de Bamako », complète ce quotidien. Lequel, dans la foulée, élargit sa focale pour évoquer plus globalement la « situation politico-diplomatique » actuelle entre la Côte d'Ivoire et le Mali, pour signaler que « des Maliens souhaitent recevoir, à Bamako, Laurent Gbagbo, l'ancien chef de l'État ivoirien ». Vœu émis samedi dernier, 17 décembre, à Bamako, lors d'une conférence de presse, « par Youssouf Diakité, président du Mouvement patriotique et panafricain du Mali et du Dr Sidi Modibo Diarra, président du Ppa-Mali », rapporte donc ce vendredi le journal abidjanais Soir Info. Justement, ce quotidien proche de Laurent Gbagbo qu'est le journal Le Temps se garde bien de faire écho à ces appels panafricanistes et se borne à rappeler ce vendredi que, dans l'affaire dite des « 46 Ivoiriens » détenus au Mali, « les négociations et autres interpellations en passant par des menaces de sanctions sous-régionales et internationales n'ont pas réussi à faire fléchir le pouvoir malien », rappelle ainsi Le Temps. 46 Ivoiriens dans la hotte du Père Noël Que va-t-il se passer à présent ? C'est du côté du Burkina Faso voisin que la question est posée. Le quotidien Wakat Sera se demande en effet si la « fin d'année va (ou non) rimer avec fin de détention » pour les 46 militaires ivoiriens. « Tout concorde à le croire, le vent sec d'harmattan ayant charrié avec la poussière qui le caractérise de bonnes infos venant des bords du Djoliba », formule, dans son habituel style fleuri, Wakat Sera. Lequel journal souligne l'ambiance « fraternelle » dans laquelle ont baigné les échanges à Bamako. « Noël et Saint-Sylvestre auprès des leurs, ce sera le plus beau cadeau offert à ces hommes dont l'absence commence à peser dans leurs familles respectives », soupire Wakat Sera, en concluant « Ça suffit comme ça ! ».

Reportage Afrique
À Lubumbashi, l'urbanisme à l'origine de la diminution de la nappe phréatique

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 21, 2022 2:14


Tandis que dans le monde, on s'inquiète des problèmes d'approvisionnement en eau en raison du changement climatique, à Lubumbashi, en RDC, c'est l'urbanisme qui est à l'origine de la diminution de la nappe phréatique. Les constructions illégales sur les zones de captage et leur déboisement réduisent le volume de l'eau souterraine en modifiant le ruissellement et l'infiltration des eaux de pluie. La régie de distribution d'eau Regideso alerte sur un risque de pénurie. De notre correspondante à Lubumbashi, Nous sommes à la station de pompage de Kimilolo au sud de la ville. C'est la plus importante, car elle couvre 60 % de l'alimentation en eau de Lubumbashi. Mais malgré ses trois sites de captage, la station n'a plus la capacité de couvrir l'ensemble des besoins, selon Michel Tshijik, directeur de la production à la Regideso. « Le site tel que vous le voyez, il a environ 87 hectares et aujourd'hui, 48 hectares sont déjà occupés par des constructions anarchiques, explique-t-il. Les gens occupent le terrain, coupent les arbres, enlèvent l'herbe. En conséquence, lorsqu'il pleut, au lieu que l'eau s'infiltre dans le sol et recharge la nappe, l'eau ruisselle. Et tout de suite, la nappe n'est plus rechargée comme elle devait l'être et il y a diminution de la ressource d'eau. » Une diminution de la ressource qui a donc un impact direct sur l'alimentation de la ville de Lubumbashi. En cinq ans, la nappe phréatique a perdu près de 70 % de sa superficie. « Ici, nous sommes devant notre deuxième machine. Comme la nappe sèche peu à peu, nous sommes obligés de réduire la quantité d'eau que nous fournissons à la population. Nous avons peur, car d'ici peu, nous serons même obligés d'arrêter la station », s'inquiète Rael Mabayabo, le chef de la station de Kimilolo. Une situation susceptible de dégénérer dans les années qui viennent Les conséquences se font déjà sentir, l'eau du robinet se faisant rare dans certains quartiers de Lubumbashi. Jean-Pierre Ndjibu, directeur de l'Observatoire du changement climatique craint pour l'avenir si rien n'est fait. « Plus la ville s'agrandit, moins on fait attention au problème de fourniture d'eau, mais on oublie que cela va créer un conflit, avertit le directeur de l'Observatoire. Quand les gens n'auront plus d'eau, ils vont commencer à se battre, à faire la guerre avec celui qui a un puits. À ce jour, toutes les zones de captage d'eau à Lubumbashi sont occupées illégalement à 70%. » Ignace Kabulo, directeur provincial de la Regideso, plaide pour leur protection et le déplacement des logements illégaux. Une première analyse nous permet de voir quel est le coût de délocalisation des usines vers d'autres sites qui sont inhabités. Il reste plus important que celui qu'engagerait l'État pour délocaliser ces populations vers d'autres sites.  Pour sa part, la ministre chargée des Affaires foncières indique que le dossier est à l'étude. Pendant ce temps, le risque de pénurie d'eau augmente de jour en jour.  ► À lire aussi : En RDC à Lubumbashi, les prix de l'immobilier s'envolent

Musiques du monde
#SessionLive avec Kanazoé Orkestra et Oriane Lacaille, du Burkina Faso à La Réunion

Musiques du monde

Play Episode Listen Later Dec 18, 2022 48:30


2 sessions live avec le groupe franco-burkinabè Kanazoé Orkestra pour la sortie de l'EP Folikadi et Oriane Lacaille pour la sortie de l'EP Hear My Voice. Nos premiers invités sont le Kanazoé Orkestra pour la sortie de l'EP Folikadi. C'est dans une explosion de rythmes que s'ouvre ce nouvel EP de l'enfant griot du Burkina, Seydou Diabaté dit «Kanazoé». Le génie du balafon nous offre un troisième opus énergique, joyeux et engagé. Fini le repli sur soi du confinement, ici, on regarde le monde bien en face sans se voiler la face. À cinq ans, Kanazoé, fils de griot, jouait déjà du balafon pour accompagner les travailleurs des champs pendant les récoltes. Dès l'âge de dix ans, à la mort de son père et mentor, il part pour la cosmopolite Bobo-Dioulasso où il découvre la scène. Troubadour, griot, virtuose de la tradition, il garde ses racines, mais se laisse pousser les ailes. Arrivé en France, il n'a de cesse d'ouvrir son univers à d'autres influences et de faire grandir sa musique. Avec son orchestre, rencontré en 2013 à Toulouse : Madou Dembele au balafon et au n'goni, Thomas Koening au saxophone et à la flûte, Stéphane Perruchet aux percussions, Elvin Bironien à la basse et Laurent Planells à la batterie, il sort deux albums : Miriya en 2016 puis Tolonso en 2019. Et enfin l'EP Folikadi en 2022. Aujourd'hui chez Antipodes, Folikadi sera porté par une nouvelle voix, comme un nouveau souffle, celle de la rappeuse/chanteuse française Gaëlle Blanchard. Plus qu'une rencontre, cette symbiose nous fait redécouvrir le balafon. Toujours au centre de la musique, il s'aventure sur d'autres terrains de jeu et fait la part belle aux textes et aux mélodies. Plus besoin de prouver que Seydou Diabaté sait maîtriser son instrument ; avec ses nouveaux morceaux, il s'agit de métisser, d'expérimenter, d'observer, de réfléchir. Et toujours cette quête de sens… Un piano classique sous une voix blues, Hero, nous parle d'un enfant inquiet de notre futur. Kassi et sa gamme envoûtante, raconte le courage des femmes qui pleurent en silence. Timou Déwò, chanté en créole, pose la question du destin des enfants conçus en dehors du mariage. En anglais, en bambara, en créole, Kanazoé, garde toujours la même intention, s'engager pour un futur plus responsable, humaniste, tout en gardant la joie et l'espoir dans sa musique. Parce que le balafon, c'est avant tout cela, la générosité, le partage, l'accompagnement des histoires de vie. Le fameux danser / penser. Folikadi a tant à offrir en expérimentation et en curiosité, un nouvel EP qui prouve que pour toucher l'universel, il suffit de tendre la main. Titres interprétés au Grand studio - Precious Time Live RFI voir le clip  - Hero, extrait de l'album Folikadi voir le clip  - Folikadi, Live RFI voir le clip.   Line Up : Seydou «Kanazoé» Diabaté - balafon ; Mamadou Dembélé - balafon, n'goni ; Gaëlle Blanchard - chant ; Elvin Bironien - basse ; Thomas Koenig - flûte, saxophone. Stéphane Perruchet - percussions, Laurent Planells – batterie. Son : Benoît Letirant, Mathias Taylor, Fabien Mugneret. ► Album Folikadi (Antipodes Music 2022).     Puis nous recevons Oriane Lacaille qui chantera 2 titres de son nouvel EP Hear My Voice. Oriane se dit «Zoréol» (métisse d'un parent français de métropole et d'un parent créole réunionnais). Son père, René Lacaille, est une des figures incontournables de la culture réunionnaise avec Alain Peters et Danyel Waro. Il a su nourrir sa famille de rougail et de séga, de cari et de maloya. Oriane, née en 1986, est tombée dans la marmite, sa potion magique est le groove, la maîtrise de la danse ternaire, celle qui, suivant la danse, décale l'oreille européenne à l'envers. Elle grandit dans le pays froid (péï la fré en créole) – dans les Alpes - mais chez les Lacaille, dès qu'on passait la porte de la cuisine, c'était les Tropiques. Tandis que l'accordéon de René cascadait en notes, sa mère Odile se passionnait des mots. Dès son plus jeune âge, elle ne cesse d'écouter et joue avec son frère les chansons d'Alain Peters, qui sont toujours une forte inspiration pour elle. Jusqu'à l'âge de 20 ans, elle ne chante qu'en créole alors qu'elle grandit en France métropolitaine. Elle accompagne son père en faisant de la musique réunionnaise, elle-même mêlée et teintée de jazz, de musiques caribéennes, africaines et de toutes les musiques de bal traditionnel. Oriane monte sur scène à l'âge de 13 ans, quand elle accompagne son père dans ses tournées. La scène, c'est comme à la maison, c'est un truc de famille. C'est ce qu'ils font, les Lacaille, ou en tout cas les hommes, car pour les générations précédentes, les femmes n'y avaient pas accès. Rebelles, sa grand-mère et ses tantes se volaient le droit de jouer de la percussion, contournant ainsi les interdits et les carcans. Après la musique, sont venues l'écriture et la poésie, l'héritage de sa mère. Pour les deux albums de son duo avec Coline Linder, Titi Zaro, Oriane se met à écrire en créole et en français. Plus récemment, elle fonde Bonbon Vodou avec Jerem Boucris et renforce le mélange de ses «savoirs franco-créoles» : les rythmes, les mots, les mélodies... Oriane compose avec ses ukulélés ou son takamba (appelé aussi aouicha, c'est une guitare d'origine gnawa arrivée à La Réunion dans les années 70/80 et jouée par Alain Peters). Ses chansons sont écrites à la fois en français et créole. Son chant passe de l'un à l'autre comme s'il ne s'agissait que d'une langue métisse qui lui appartiendrait. Elle choisit de «mixer» toujours les deux langues afin de créer une poésie bilingue, joueuse, où les mots ont la part belle. Ses textes sont toujours au plus proche de ses ressentis et parlent tour à tour d'amour, de la féminité, de la maternité, de migrations, d'esclavage, de violences domestiques, ou racontent parfois ses rêves, qui sont une part importante de sa vie. Sa voix pure et douce est aussi porteuse d'une puissance ancestrale qui transporte, comme les percussions qu'elle joue. Oriane travaille, depuis quinze ans, en collaboration avec des artistes, de la création à la scène. Elle rencontre Piers Faccini, au moment où elle est sans le savoir au bord de se lancer seule avec ses chansons et sous son nom. Piers Faccini, artisan de l'épure, lanceur de dés et d'espoirs (Dom la Nena, Yelli Yelli, Jenny Lysander) l'aide à tirer l'étincelle vers le feu. Elle lui envoie maquettes et textes et il l'invite à enregistrer chez lui dans les Cévennes. En studio, Oriane joue de toutes les percussions, elle aime créer des polyrythmies dans une transe douce. Piers Faccini, en orfèvre, compose et arrange avec elle et joue de multiples instruments (guitares, guembri, harmonium,...). Leurs deux voix s'harmonisent, ils créent des chœurs puissants et doux qui portent la voix lead d'Oriane. Malik Ziad, compagnon de route de Piers Faccini, ajoute aussi du guembri sur La lang la poin lo mo. Oriane et Piers tissent ainsi ensemble 4 chansons, pour la série d'EP Hear My Voice, qui célèbre l'artisanat du songwriter sous toutes ses formes et ses langues. L'EP sortira sur Beating Drum, le label de Piers Faccini. Titres interprétés au Grand studio - Malak, Live RFI  - Vi verte, extrait de l'EP Hear My Voice voir le clip  - La Lang La Poin Lo Mo,Live RFI.   Line Up : Oriane Lacaille – chant, ukulélé, kayamb, Yann-Lou Bertrand – chant, contrebasse. Son : Benoît Letirant, Mathias Taylor. ► EP Hear My Voice (Beating Drum 2022).

Meurtres en France • Histoires Vraies
L'Affaire Saint-Aubin • Episode 1 sur 2

Meurtres en France • Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Dec 14, 2022 12:04


En septembre 1969, se tient à Dijon le match retour du procès de Lucas Deveaux. Six ans plus tôt, ce jeune apprenti boucher fut condamné à 20 ans de réclusion pour le meurtre d'une enfant, et ne cesse depuis de clamer son innocence. Tandis qu'une armada de journalistes afflue vers la ville aux cent clochers, un couple dijonnais cherche à attiser leur curiosité : ils ont des révélations à faire. Si elles ne concernent en aucun cas les mésaventures de Monsieur Deveaux, Andrée et Jean Saint-Aubin ont à cœur de dévoiler une autre erreur judiciaire. En marge de l'évènement médiatique du moment, ils organisent leur propre conférence de presse avec le soutien de l'Est Républicain et de l'Aurore. Ces derniers se montrent d'abord interloqués par leur témoignage, tout droit sorti d'un roman policier aux rebondissements savamment ficelés, empreint d'espionnage, de mensonges et de complot fomenté au plus haut niveau de l'Etat. Pourtant, à mesure qu'ils posent les détails, les incohérences, leur histoire gagne en crédibilité..."Meurtres en France" est un podcast Studio Minuit.Retrouvez nos autres productions :Espions : Histoires vraies Morts Insolites : Histoires vraies Sports InsolitesSherlock Holmes - Les enquêtes1 Mot 1 Jour : Le pouvoir des motsJe comprends R : le dictionnaire du nouveau millénaireArsène Lupin : Gentleman cambrioleurSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/meurtres-en-france-histoires-vraies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Meurtres en France • Histoires Vraies
L'Affaire Saint-Aubin • Episode 2 sur 2

Meurtres en France • Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Dec 14, 2022 10:07


En septembre 1969, se tient à Dijon le match retour du procès de Lucas Deveaux. Six ans plus tôt, ce jeune apprenti boucher fut condamné à 20 ans de réclusion pour le meurtre d'une enfant, et ne cesse depuis de clamer son innocence. Tandis qu'une armada de journalistes afflue vers la ville aux cent clochers, un couple dijonnais cherche à attiser leur curiosité : ils ont des révélations à faire. Si elles ne concernent en aucun cas les mésaventures de Monsieur Deveaux, Andrée et Jean Saint-Aubin ont à cœur de dévoiler une autre erreur judiciaire. En marge de l'évènement médiatique du moment, ils organisent leur propre conférence de presse avec le soutien de l'Est Républicain et de l'Aurore. Ces derniers se montrent d'abord interloqués par leur témoignage, tout droit sorti d'un roman policier aux rebondissements savamment ficelés, empreint d'espionnage, de mensonges et de complot fomenté au plus haut niveau de l'Etat. Pourtant, à mesure qu'ils posent les détails, les incohérences, leur histoire gagne en crédibilité..."Meurtres en France" est un podcast Studio Minuit.Retrouvez nos autres productions :Espions : Histoires vraies Morts Insolites : Histoires vraies Sports InsolitesSherlock Holmes - Les enquêtes1 Mot 1 Jour : Le pouvoir des motsJe comprends R : le dictionnaire du nouveau millénaireArsène Lupin : Gentleman cambrioleurSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/meurtres-en-france-histoires-vraies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Guerres de Business
Fast Fashion | Fil à fil | 2

Guerres de Business

Play Episode Listen Later Dec 12, 2022 24:27


Nous sommes en 1974. Né dans une famille espagnole très pauvre, Amancio Ortega est obligé d'arrêter ses études pour commencer à travailler, comme coursier pour une marque de vêtements, puis couturier. Motivé par une incroyable envie de s'en sortir et de s'extraire de sa condition, il travaille dur et fonde ce qui va devenir l'un des plus gros géants mondiaux de la mode : Zara.Ces mêmes années, Topshop voit le jour, d'abord comme un petit stand dans le sous-sol d'un grand magasin. Tandis le futur PDG de l'enseigne, Philip Green, tente maladroitement de percer dans le commerce de jeans. Et en Californie, un couple de coréens poursuit son rêve américain en lançant Forever 21, la marque de mode la plus abordable jamais créée.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Monde Numérique - Jérôme Colombain
L'HEBDO #69 : Smartphone pour sénior - Cloud souverain - Modération des réseaux sociaux

Monde Numérique - Jérôme Colombain

Play Episode Listen Later Nov 26, 2022 41:44


EN RESUME - Alexa, Apple, Twitter... en galère. La marque espagnole SPC débarque en France avec un smartphone pour séniors. Multiples initiatives de clouds souverains. Une étude sur la modération et le signalement des réseaux sociaux. Bonne écoute !  L'ACTU DE LA SEMAINE Alexa est un gouffre financier. La division d'Amazon qui s'occupe d'Alexa accuse un trou de 10 milliards de dollars. Le géant américain n'a jamais réussi à monétiser suffisamment son assistant vocal intelligent. Apple trop curieux ? Des développeurs accusent la marque à la pomme de prendre ses aises avec la vie privée de ses usagers en récupérant des informations personnelles via l'App Store. Pourtant, la firme s'est toujours présentée comme un parengon de vertu numérique.  Twitter : amnistie générale. Après avoir réhabilité Donald Trump et consulté à nouveau "le peuple", sa majesté Elon décide d'une amnistie pour les comptes suspendus. Généreuse ou inquiétante remise à zéro des compteurs ?  Conseils pour les jeunes utilisateurs de téléphone. Samsung veut faire de la prévention des risques cyber et lance un site d'informations pour les jeunes enfants et leurs parents : monpremiertelephone.fr . L'INNOVATION DE LA SEMAINE Une souris ergonomique d'un nouveau genre. On a testé l'accessoire Rollermouse de la marque Azergo, un dispositif original qui vise à éviter l'apparition de troubles musculo-squelettiques (TMS) dus à l'utilisation d'un ordinateur.  LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE La marque espagnole SPC débarque en France avec un smartphone pour séniors.

Affaires étrangères
Femme, vie, liberté : révolution à l'iranienne

Affaires étrangères

Play Episode Listen Later Nov 26, 2022 58:46


durée : 00:58:46 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - 480 morts et 16 800 arrestations en deux mois. Tandis que le slogan "Femmes, Vie, Liberté" résonne dans l'hémicycle à quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, Téhéran passe un nouveau cap vers l'arme nucléaire annonçant produire de l'uranium enrichi à 60 %. - invités : Farid Vahid politologue; Clément Therme Chargé de cours à l'université Paul-Valery de Montpellier; Azadeh Kian Professeure de sociologie, directrice du département de sciences sociales et du CEDREF à l'Université de Paris; Héloïse Fayet Chercheuse au Centre des études de sécurité de l'IFRI, notamment intégrée au programme Dissuasion et prolifération du Centre

Vous êtes ici
Agriculture : la terre en héritage

Vous êtes ici

Play Episode Listen Later Nov 25, 2022 6:09


Ils sont éleveurs de bétail ou céréaliers, et ils le font en famille. À La Rochelle, dans l'ouest de la France, un grand-père, un père et un fils exploitent les champs de blé que possédait déjà leur aïeul. Tandis qu'un peu plus au nord, en Mayenne, c'est toute une famille qui s'est convertie au bio. Une histoire de transmission de savoir-faire et de valeurs.

Le Nouvel Esprit Public
8 milliards, est-ce tenable ? / L'avenir de la Nupes / n°272 / 20 novembre 2022

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Nov 20, 2022 64:21


Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 18 novembre 2022.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.8 MILLIARDS, EST-CE TENABLE ?Selon l'estimation officielle des Nations unies, le cap des 8 milliards d'habitants a été franchi ce 15 novembre 2022, et devrait atteindre 10 milliards d'ici 2080. Le premier seuil est « un important jalon du développement humain » et un rappel de « notre responsabilité partagée de prendre soin de notre planète », a souligné le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, au moment même où se déroule la COP27 en Égypte. En à peine plus de 200 ans, la population mondiale a été multipliée par huit. 60% de la population mondiale vit dans des pays où le taux de fécondité est inférieur au seuil de remplacement de 2,1 enfants par femme. Les 2 milliards de Terriens supplémentaires attendus d'ici à la fin du siècle naîtront principalement en Asie, dans une bande entre Kazakhstan et Pakistan, mais surtout en Afrique, dont la population devrait tripler. D'ici à 2050, huit pays seulement concentreront la moitié de la croissance démographique : la RDC, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Inde, le Nigeria, le Pakistan, les Philippines et la Tanzanie. Autant de zones particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique.Les ONG Global Footprint Network et WWF soulignent qu' aujourd'hui, nous consommons plus de ressources biologiques (forêts, poissons, terres...) que ce que la terre peut régénérer chaque année et cette surconsommation, notamment d'énergies fossiles, entraîne toujours plus d'émissions de CO2. Elles considèrent qu' il faudrait 1,75 Terre pour subvenir aux besoins de la population de façon durable. Si tout le monde vivait comme un habitant de l'Inde, l'humanité n'aurait besoin que de 0,8 planète chaque année, contre plus de 5 planètes pour un habitant des Etats-Unis, selon les deux ONG. Côté climat, le dernier rapport des experts climat de l'ONU (Giec) notait que si la croissance de la population est bien un des moteurs majeurs de la hausse des émissions de gaz à effet de serre, elle l'est toutefois moins que la croissance économique. En matière d'atteinte à l'environnement, le nombre importe considérablement moins que le mode de vie. Un Américain émet en moyenne 17 tonnes de CO2 par an, un Indien 1,76 et un Éthiopien 0,19... Selon l'économiste Alban Thomas, la planète dispose d'assez de ressources pour nourrir 10 milliards d'êtres humains, mais cela nécessiterait de profonds changements dans nos modes de production et nos régimes alimentaires.L'humanité va vieillir. Depuis 2018, les plus de 65 ans sont plus nombreux que les enfants de moins de 5 ans et en 2050, leur proportion aura doublé, ils pèseront 16 % de la population mondiale.***L'AVENIR DE LA NUPESEn six mois d'existence, la Nupes a déjà dû affronter plusieurs crises. Dès la rentrée, la France Insoumise s'est retrouvée dans la tourmente avec la mise en retrait du député Adrien Quatennens, qui avait reconnu des faits de violences conjugales. Les écologistes ont également été secoués par l'affaire Bayou. Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 64 % des Français estiment que ces incidents ont « décrédibilisé l'ensemble » de cette alliance. Ils sont également une majorité à le penser chez les sympathisants de gauche (52 %). Tandis que des divergences sont apparues sur Taïwan, sur la dénonciation de l'apartheid en Palestine ou encore sur la valeur travail, les partis de la coalition ont dû, dans la foulée, ferrailler ensemble contre le budget imposé par le gouvernement à coups de 49.3. Alors que la première motion de censure a été portée le 24 octobre par toute la Nupes, des désaccords sont apparus sur l'opportunité d'en déposer une à chaque utilisation du 49.3 par Élisabeth Borne. Le 31 octobre, le groupe LFI a voté comme un seul homme en faveur de sa nouvelle motion de censure, mais près de la moitié des députés PS (12 sur 31) a manqué à l'appel. La déperdition a été moindre au sein des communistes, puisque 6 membres sur 22 ont refusé de soutenir la motion Insoumise, comme chez les écologistes (4 sur 23). Chaque fois les voix du Rassemblement national se sont joints à celles de la Nupes.De nouvelles divergences apparaissent aujourd'hui au sein de l'alliance au sujet de la sécurité. Alors que le projet de loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur est examiné depuis le 14 novembre à l'Assemblée nationale, la Nupes tente d'harmoniser sa stratégie malgré des positions discordantes de ses différentes composantes sur la sécurité. Le gouvernement propose d'investir 15 milliards d'euros d'ici 2027 pour recruter notamment 8.500 policiers et gendarmes sur cinq ans et pour la transformation numérique du ministère. Si les socialistes ne se prononcent pas contre ce texte, en revanche, les insoumis, les communistes et les écologistes le rejettent. Récits pluriels également sur l'immigration. Alors que l'affaire de l'Ocean-Viking, le navire transportant quelques 234 migrants, dont 37 enfants, accueilli le 11 novembre à Toulon, a rouvert le dossier de l'immigration, le gouvernement prépare un nouveau projet de loi sur le sujet. Différentes sensibilités émergent de nouveau au sein de la Nupes. Le PS ne voit pas d'un mauvais œil la mise en place d'un titre de séjour pour les métiers en tension tandis que Jean-Luc Mélenchon continue de surfer sur une ligne de crête, entre discours humanitaire et reconnaissance des frontières et que l'hypothèse d'un titre de séjour hérisse le secrétaire national du Parti communiste Fabien Roussel.Dans les mois à venir, plusieurs échéances internes attendent les différentes composantes de la Nupes. À partir du 10 décembre, les écologistes seront en congrès. Le même jour, la France Insoumise tiendra son assemblée représentative. Les socialistes suivront en janvier, alors que la ligne tenue par Olivier Faure est contestée par un certain nombre d'entre eux. Le Parti communiste fermera le ban avec son congrès en avril.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Aujourd'hui l'économie
Pourquoi l'Allemagne soigne sa relation avec la Chine

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Oct 26, 2022 4:25


L'Allemagne confirme l'arrivée du Chinois Cosco dans le capital du port de Hambourg, avec une participation toutefois revue à la baisse. Berlin ménage les Vingt-Sept inquiets de cette nouvelle acquisition chinoise, tout en préservant son commerce Pékin.  La question fait débat. Elle s'est posée brutalement il y a six ans quand la pépite allemande Kuka, spécialisée dans les robots industriels, a été rachetée par un groupe chinois. Quelques mois plus tard, Angela Merkel bloque le rachat d'une autre entreprise convoitée par les Chinois. En même temps, la chancelière a été la meilleure ambassadrice du commerce avec la Chine, avec ses voyages réguliers à Pékin, accompagnée par un aréopage d'hommes d'affaires. Sous sa direction, les échanges ont triplé. Liaisons dangereuses  La guerre russe en Ukraine a relancé le débat. La première puissance européenne a bâti sa croissance sur une énergie bon marché : le gaz russe. Elle réalise aujourd'hui à quel point ce choix a été imprudent. Les écologistes, et notamment la ministre des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, souhaitent que la relation avec la Chine soit revue à l'aune de la crise actuelle. Les écologistes comme les libéraux se sont d'ailleurs opposés à l'entrée de Cosco au capital du port de Hambourg. Car la Chine pourrait exercer un contrôle sur cette infrastructure stratégique, qui est un peu le portail de la nation allemande. ► À lire aussi : Allemagne: Olaf Scholz favorable au rachat d'une partie du port de Hambourg par la Chine Cosco est le quatrième armateur mondial, c'est surtout une entreprise publique déjà très bien implantée en Europe. Elle a avalé le port du Pirée en Grèce pendant la crise de la dette et acquis des participations dans les ports de Rotterdam et d'Anvers. Tandis qu'aucune entreprise étrangère n'est autorisée à monter dans le capital des ports chinois. Ce deux poids deux mesures constant de la part de Pékin a fini par refroidir les Européens. Le chef allemand des renseignements entendu par le Bundestag sur cette participation polémique de Cosco a alerté sur les risques liés à son arrivée : sa présence pourrait faciliter l'espionnage chinois et pourquoi pas faciliter une opération de sabotage en cas de conflit entre les deux pays. Et Thomas Haldenwang poursuit avec une analyse « météo » des relations internationales : « la Russie, c'est un orage, mais la Chine, c'est le changement climatique ». L'Allemagne peut-elle se passer de la Chine ? La Chine est son deuxième client. Un million d'emplois allemands dépendent des exportations vers ce pays, soit 3% de la main d'œuvre totale. C'est beaucoup si la Chine venait à décider d'un embargo soudain sur les produits allemands, mais Berlin peut anticiper et diversifier ses débouchés. La Chine est aussi un fournisseur de premier plan pour les produits manufacturés bas de gamme comme les jouets, les meubles, les vêtements ou les chaussures. Ces biens peuvent être importés d'autres pays émergents. Il n'y a donc pas de danger sur ce volet import. La dépendance est plus critique pour l'approvisionnement en matières premières stratégiques L'Allemagne, comme le reste du monde, dépend de la Chine pour les terres rares. Des petits métaux indispensables pour les éoliennes. Tant qu'elle n'aura pas trouvé de substitut, elle préfère ménager ce précieux fournisseur. C'est aussi un pays clé pour son industrie automobile. Elle réalise 30% de son chiffre d'affaires sur le marché chinois. Et les grands groupes allemands continuent à miser sur ce pays. Ils ont investi sur place 10 milliards d'euros depuis le début de l'année. Un record. Ce sont ces intérêts nationaux qu'Olaf Scholz veut défendre en se rendant ventre à terre à Pékin. Il est attendu la semaine prochaine. Ce sera donc le premier dirigeant étranger à rencontrer Xi Jinping depuis qu'il a été conforté à la tête du parti communiste chinois. Cette précipitation agace l'Élysée. La différence d'approche face à la Chine fait partie du contentieux franco-allemand. Emmanuel Macron pourra à loisir en discuter avec le chancelier qu'il reçoit ce mercredi 26 octobre à déjeuner, à l'Élysée. ► À écouter aussi : Tensions entre Paris et Berlin: accident de parcours ou crise profonde?

Le téléphone sonne
Y a-t-il des bons riches et des mauvais riches ?

Le téléphone sonne

Play Episode Listen Later Oct 26, 2022 37:19


durée : 00:37:19 - Le téléphone sonne - Tandis que Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies a provoqué l'indignation en twittant le montant de sa rémunération annuelle, le salaire encore plus élevé de Mbappé n'a pas suscité autant de réactions. Y'aurait-il alors des bons et des mauvais riches ?

La Loupe
L'armée rouille

La Loupe

Play Episode Listen Later Oct 24, 2022 17:34


Des latrines bouchées, des casernes délabrées, des équipements rouillés... L'armée française subit de nombreux problèmes de vétusté. Malgré l'augmentation de son budget, elle souffre de plusieurs décennies de sous-investissement. Tandis que la guerre en Ukraine impose des décisions rapides, peut-on réparer notre armée ou va-t-on au-devant de dilemmes douloureux ? Eléments de réponse avec Alexandra Saviana et Etienne Girard, du service Société de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe : Écriture : Mathias PenguillyPrésentation : Xavier YvonMontage : Charlotte BarisRéalisation : Jules KrotCrédits : Elysée, RTLMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Du grain à moudre
Concurrence internationale des universités : l'étudiant est-il une ressource mondialisée ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Oct 19, 2022 38:18


durée : 00:38:18 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Entre 2006 et 2016, la population étudiante mondiale a crû de près de 50%, passant de 146 à 218 millions d'étudiants. Tandis qu'en France les universités sont saturées, sont-elles vraiment armées pour accueillir les meilleurs étudiants dans les secteurs clés et faire face à la concurrence ? - invités : Yan Cimon Vice-recteur de l'Université de Laval ; Camille De La Vega; Chrisitine Clérici Présidente de l'Université Paris Cité

Les pieds sur terre
Femmes au foyer : le réveil brutal

Les pieds sur terre

Play Episode Listen Later Oct 17, 2022 31:10


durée : 00:31:10 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Véronique et Anne ont abandonné leur carrière pour s'occuper de leurs enfants. Tandis que celle de leur mari progresse, elles repassent, cuisinent, élèvent. 30 ans plus tard, elles divorcent. Se retrouvant sans revenus, sans domicile, sans retraite, elles doivent impérativement trouver un emploi.

Quoi de Meuf
(Rediff) - Téléréalité, ton univers impitoyable !

Quoi de Meuf

Play Episode Listen Later Oct 16, 2022 59:44


Loft Story, Secret Story, Les Anges… tous ces noms évoquent toute une époque autour des téléréalités qui ont explosé à partir des années 2000. Certains spectateurs s'identifient à ce type d'émissions, les considérant comme authentiques et réalistes. Tandis que d'autres les voient comme une forme de télé-poubelle, reflétant tout ce qu'il a de plus banal et vide dans nos sociétés. Dans cet épisode, Clémentine Gallot et Pauline Verduzier décortiquent l'envers du décor d'un phénomène marqué par des tensions et des rebondissements. Les références entendues dans l'épisode : Khedidja Zerouali, “Les Anges de la télé-réalité: un enfer de sexisme”, Médiapart (2021)The real world de Mary-Ellis Bunim et Jonathan Murray (1992)An american family de Craig Gilbert (1973)Alessa Dominguez, “The Real World” Pioneered Reality TV As We Know It — But At What Cost?”, Buzzfeednews (2021)Big Brother de John de Mol Produkties (1999)Survivor de Charlie Parsons (1997)Loft Story de John de Mol (2001)Nice people de So Nice Production et Endemol (2003)Secret Story d'Edemol Productions (2007)Bachelor, le gentleman célibataire du Groupe M6 (2003)La Ferme Célébrités de Strix Television (2004)“Rapport relatif à la représentation des femmes dans les programmes des services de télévision et de radio - Exercice 2015”, CSA (2016)Rachid Zerrouki, “La télé-réalité, du divertissement à l'abrutissement”, Slate (2018)Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, “2ème état des lieux du sexisme en France : combattre le sexisme en entreprise, dans les médias et en politique”, HCE (2020)Virginie Ballet, “La télé-réalité est une grande pourvoyeuse de sexisme”, Libération (2020)Kovie Biakolo, “Why can't really TV stop stereotyping black women ?”, Pacific Standard (2019)Hannah Giorgis, “Love Is Blind Was the Ultimate Reality-TV Paradox”, The Atlantic (2020)La Villa des cœurs brisés de Ah! Productions (2015)Camille Baron et Ayoub Bel-Hyad, “La télé-réalité, nouvelle école de l'amour”, Slate (2019)Mariés au premier regard de Studio 89 Productions (2016)Nora Bouazzouni, “Mariés au premier regard» a un problème avec le consentement”, Slate (2020)Christopher Rosa, “Everything to Know About Matt James, the First Black Bachelor”, Glamour (2021)Connor Garel, “Netflix's ‘Love Is Blind' Contestant Says Her Story Is 'Bigger Than Race'”, HuffPost (2020)Meredith Blake, “Why are ‘The Bachelor' and ‘The Bachelorette' so white? Lifetime's ‘UnREAL' explores the issue”, Los Angeles Times (2016)Nathalie Nadaud-Albertini, 12 ans de télé-réalité : au-delà des critiques morales, INA Editions (2013)Elise Lambert, “Vingt ans après "Loft Story", la téléréalité est-elle vraiment devenue un programme comme les autres ?”, Franceinfo (2021)Terrace House de Fuji TV (2012)Eric Margolis, “The Fall of Terrace House”, The New York Times (2020)Here comes honey boo boo de Authentic Entertainment (2012)Duck Dinasty de Deirdre Gurney (2012)Anne-Laure Pineau, “Koh-Lanta” sur TF1 : des candidates face à l'épreuve du sexisme”, Télérama (2020)Les merveilles d'Alice Rohrwacher (2014)The Truman show de Petter Weir (1998)Constance Dovergne, “Portrait : Dans l'intimité de Magali Berdah, la patronne des stars de la téléréalité”, Vanity Fair (2021)Lili Sohn, Mamas, Casterman (2019) Nora Bouazzouni, Steaksisme. En finir avec le mythe de la végé et du viandard, Nourriturfu (2021)Quoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes. Rédaction en chef : Clémentine Gallot. Journaliste chroniqueuse: Pauline Verduzier. Mixage par Laurie Galligani. Prise de son par Adrien Beccaria à l'Arrière Boutique. Générique réalisé par Aurore Meyer Mahieu. Réalisation, Montage et coordination par Ashley Tola. Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Archives d'Afrique
Angola: José Eduardo dos Santos et la domination coloniale portugaise (1&2)

Archives d'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 14, 2022 49:00


Tandis que la plupart des colonies françaises et anglaises accèdent en cascade à l'indépendance en cette année 1960, dans l'Afrique portugaise rien ne bouge. L'administration coloniale durcit même le ton en Angola et réprime systématiquement et impitoyablement les nationalistes. Les principaux leaders comme Agostinho Neto sont arrêtés et déportés. Le jeune José Eduardo dos Santos travaille lui aussi clandestinement, parmi les étudiants, au renversement de la domination coloniale portugaise.

Journal d'Haïti et des Amériques
Venezuela: «Nicolas Maduro joue une séquence qui est à son avantage»

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 10, 2022 19:30


Paria il y a encore peu de temps, le Venezuela et son président Nicolas Maduro retrouvent grâce aux yeux de ses anciens rivaux ; à commencer par le voisin colombien et le grand ennemi américain. Analyse de notre invité. Après sept années de fermeture et d'interruption, les échanges de personnes et de biens ont repris en septembre 2022 à la frontière entre la Colombie et le Venezuela. Les deux pays ont également repris langue politiquement. Un « rapprochement guidé par l'impulsion donnée par Gustavo Petro, le nouveau président Colombien, de gauche » souligne notre invité Christophe Ventura, directeur de recherche à l'IRIS, responsable du programme Amérique latine et Caraïbes. « La volonté de Petro est la normalisation intégrale des relations entre Bogota et Caracas. Il a pour cela trois objectifs : rétablir les relations commerciales, négocier la paix avec l'ELN, en finir avec la contrebande à la frontière entre les deux pays ». D'ailleurs, le Venezuela se portera garant de la reprise des négociations entre la guérilla de l'ELN et le gouvernement colombien. « Cela impose  Nicolas Maduro comme le chef de l'état vénézuélien, alors que jusqu'à l'arrivée de Gustavo Petro la Colombie ne le reconnaissait plus comme président légitime. C'est un retournement stratégique qui donne à Nicolas Maduro la reconnaissance qui l'attend » note notre invité. Un rapprochement qui se fait sous l'œil des Etats-Unis qui pourraient selon la presse américaine assouplir ses sanctions contre Caracas. « Nicolas Maduro joue une séquence diplomatique et stratégique qui est à son avantage ». Haïti : l'ONU réclame une force armée internationale Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a réclamé dimanche 09 octobre 2022 le déploiement d'une force armée internationale en Haïti, paralysé par les gangs et les manifestations antigouvernementales. Dans la lettre remise par le patron onusien au Conseil de sécurité, il dénonce « les bandes criminelles qui ont pris le contrôle d'infrastructures stratégiques telles que le port international de Port-au-Prince et le principal terminal de carburant du pays (Varreux) ». Antonio Guterresse fait donc le relais de la demande officielle du Premier ministre haïtien. La semaine dernière la résolution du Conseil des ministres autorisant Ariel Henry à solliciter un soutien international avait même été publiée au journal officiel. Une demande dénoncée par de nombreuses voix de la société haïtienne. Reportage aux Gonaïves de Ronel Paul. La tempête Julia au Salvador Julia a été rétrogradée au rang de dépression tropicale mais le Centre américain des ouragans prévient que les pluies peuvent toujours faire des ravages en Amérique centrale. Après le Salvador, Julia se dirige vers le Guatemala où les écoles sont fermées pendant deux jours. Plusieurs routes sont déjà coupées. Tandis qu'au Honduras, Julia a fait trois morts. Au Venezuela, des maisons et des commerces ont été détruits, des coulées de boue, et des arbres arrachés ont été constatés. Au moins 25 personnes sont mortes et 52 sont portées disparues après un glissement de terrain à Las Tejerias, une ville industrielle du centre-nord. À la Une du Journal de la 1ère  Des collèges et des lycées restent fermés ce lundi en Martinique, suite à la mobilisation des agents territoriaux.

Reportage International
Australie: bientôt la fin du «visa doré»?

Reportage International

Play Episode Listen Later Oct 9, 2022 2:32


L'Australie applique l'une des politiques migratoires les plus strictes au monde. Pourtant, il existe une parade, du moins pour ceux qui ont les poches bien remplies. Ils peuvent souscrire à un visa qu'on surnomme le « ticket doré », qui requiert d'investir plusieurs millions d'euros en Australie pour l'obtenir. Mais ce Visa pour investisseur conséquent, Significant Investor Visa, c'est son nom officiel, est dans le collimateur du gouvernement travailliste. Car contrairement à ce que laisseraient penser les sommes conséquentes que ces riches aspirants à l'immigration doivent injecter dans l'économie pour s'installer en Australie, ces derniers ont un impact négatif sur les finances publiques.  Avec notre correspondant à Sydney Une vie paisible et ensoleillée, c'est ce à quoi aspirent certains riches immigrés qui, pour s'installer en Australie, ont opté pour ce qu'on appelle le visa doré. Un titre de séjour permettant d'accéder à la résidence permanente. Et le seul pour lequel le gouvernement australien n'impose pas de limite d'âge, ni même de parler anglais. En revanche, il faut investir en Australie au moins 5 millions de dollars, soit près de trois millions et demi d'euros. Un apport qui n'est pas à la portée de toutes les bourses, mais qui contribue à faire prospérer l'Australie. C'est ce que pense Richard Yuan. Il est agent de migration et il a fait de cette clientèle sa spécialité : « Je pense que ces gens, en apportant leur expertise du monde des affaires et du capital, créent des emplois. » Depuis sa création en 2012, plus de 2 300 personnes ont obtenu ce visa, des Chinois dans 85% des cas. Ils ont injecté plus de 8 milliards d'euros en Australie. Pourtant, le gouvernement travailliste, arrivé au pouvoir en mai dernier, souhaite supprimer ce dispositif. C'est la ministre des Affaires intérieures, Clare O'Neil, qui en a parlé récemment dans une interview accordée à Sky News : « Je ne vois pas quels bénéfices ce visa apporte à notre pays actuellement. Par ailleurs, certains articles de presse ont souligné récemment qu'il posait des problèmes de sécurité. C'est pourquoi, je ne vois pas pourquoi nous devrions conserver ce visa dans notre politique migratoire. » La ministre faisait référence à un article paru en août, selon lequel plus de 80 hauts dignitaires du régime cambodgien, parmi lesquels le ministre des Finances et un général, ont pu obtenir ce visa doré et s'installer en Australie. Mais les opposants au visa doré notent également que ces immigrés fortunés coûtent plus qu'ils ne rapportent. C'est par exemple l'avis de Brendan Coates, chef économiste du Grattan Institute, qui vient de publier un rapport sur le sujet : « Comme les détenteurs de visas dorés sont plus âgés, moins qualifiés et qu'ils gagnent peu d'argent en Australie, ils coûtent en moyenne 120 000 dollars [80 000 euros] au cours de leur vie aux contribuables australiens, car ils ont un recours élevé à nos services publics, bien supérieur au montant des impôts qu'ils paient. Tandis que pour un immigré qualifié typique génère un solde fiscal positif d'environ 250 000 [170 000 euros] dollars au cours de sa vie. »  C'est donc sans surprise ces immigrés qualifiés, choisis pour leurs compétences professionnelles, mais aussi parce qu'ils sont jeunes et actifs, que le gouvernement souhaite attirer en priorité. Et ce alors qu'il vient d'annoncer qu'il allait relever de plus de 20% les quotas d'immigration, dans l'espoir de résorber la pénurie de main d'œuvre qui frappe actuellement l'Australie.

Comprendre le monde
ENTRETIENS GÉOPO S6#5 – Francis Laloupo – "L'Afrique et la guerre en Ukraine "

Comprendre le monde

Play Episode Listen Later Oct 5, 2022 26:22


La position du continent africain à l'égard du conflit russo-ukrainien interpelle les Occidentaux. Tandis que certains pays, tels que l'Afrique du Sud, ont longtemps entretenu des liens stratégiques et économiques avec les États-Unis, leurs positions diplomatiques s'éloignent désormais de celle de Washington et plus largement des Occidentaux. En mars dernier, les pays africains n'adoptaient certes pas une position commune s'agissant du vote pour la condamnation de l'agression russe contre l'Ukraine à l'Assemblée générale des Nations unies mais ces derniers se sont distancés des prises de décisions occidentales puisqu'aucun pays africain n'a adopté de sanctions contre Moscou. Une orientation qui semble s'expliquer notamment par l'accroissement de l'influence russe sur le continent. Cette tendance s'illustre notamment à travers le rapprochement de l'Afrique du Sud, qui tente, sans grand succès jusqu'à présent, de s'imposer comme leader du continent, avec la Russie et la Chine. Comment se positionnent les pays africains vis-à-vis du conflit russo-ukrainien ? Quelle relation entretien l'Afrique du Sud et plus largement le continent africain avec la Russie ? L'Afrique du Sud doit-elle être considérée comme le partenaire "dormant" des BRICS ? L'Afrique du Sud est-elle en train de perdre de vue le statut de leader du continent africain qu'elle espérait un jour atteindre ? En quelle mesure l'influence de Moscou progresse-t-elle en Afrique ? Dans ce podcast, Francis Laloupo, journaliste et chercheur associé à l'IRIS revient sur la perception du conflit russo-ukrainien par les pays africains. Pour aller plus loin :

Les Nuits de France Culture
Georges Moustaki : "Je savais que Barbara était plus qu'une interprète"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Oct 4, 2022 141:00


durée : 02:21:00 - Les Nuits de France Culture - En 1999, deux ans après la disparition de Barbara, Jérôme Garcin, auteur de 'Barbara, Claire de nuit" rendait hommage à la chanteuse, auteure, compositrice et interprète. En 1999, pour Radio Libre, Jérôme Garcin donnait à entendre ce que fut la vie de Barbara depuis ses débuts, dans les années 50, à l'Ecluse, un minuscule cabaret de la rue Guénégaud, dans le Quartier Latin à Paris, jusqu'à ses adieux à la scène en 1994.  C'est à Tours, le 26 mars 1994, au terme d'une ultime tournée que Barbara décidait de quitter la scène à tout jamais. (.) Il nous reste aujourd'hui ses chansons -quelques trois cents, la plupart indémodables. (...) des chansons qui disent mieux la femme qu'elle fut que les meilleures biographies. Barbara prétendait n'avoir pas d'imagination et c'était vrai. Elle n'écrivait qu'avec ses émotions, ses souvenirs, ses douleurs, ses bonheurs, ses rencontres, ses regrets, ses espérances, c'est pour cela qu'elle nous touche, car son intimité s'accorde si bien aux nôtres. La relation avec son public, si chère à Barbara, exprimée dans Ma plus belle histoire d'amour c'est vous, ne laissait pas l'interprète sereine :  Plus on avance et plus il vous a été donné, et on m'a donné beaucoup. On a peur parce que c'est un rendez-vous. On a peur que les autres aient perdu le désir. Et si tout à coup on était seule à avoir le désir ? Je pense que jamais cette peur ne s'arrête et le jour où elle s'arrête on a soi-même perdu le désir et il faut s'arrêter.Georges Moustaki, à qui elle demande de lui écrire des chansons, découvre la singularité et le talent de Barbara : Je savais que Barbara était plus qu'une interprète. Quand elle a écrit et montré ses chansons j'ai vu qu'elle avait un monde à elle, musicalement, dans les mots, pas des mots inventés, mais des mots qu'elle détournait de leur sens, dans des phrases qu'elle construisait d'une manière tout à fait inhabituelle et qui font la personnalité de son écriture. (.) La musique : elle ne connaissait pas la théorie et elle avait des trouvailles harmoniques qui avaient l'air de venir d'une érudition alors qu'elle n'en n'avait pas.Georges Moustaki écrit pour elle La Dame brune : un succès qui le conduit à participer à la tournée de Barbara, uniquement pour chanter cette chanson en duo.A l'Ecluse, Claude Durand  s'émerveille d'écouter Barbara chanter, juchée sur un tabouret "une sorte de miracle". Tandis que Marc Chevalier se souvient aussi de l'émotion du public lorsque Barbara chante pour la première fois Nantes. En 1970, Remo Forlani, accède au désir de Barbara de faire du théâtre : ce sera Madame au Théâtre de la Renaissance. Il raconte notamment le choix difficile d'un metteur en scène. Barbara ayant refusé Roger Blin parce qu'il "portait des chaussures de tennis" et l'échec de la pièce qui ne tiendra qu'un mois à l'affiche.Dans cet hommage à Barbara on entend les témoignages de Georges Moustaki, Claude Sleuys (son ex-mari), Roland Romanelli, Gérard Daguerre, Sergio Tomassi (musiciens) ; Roland Dhordain (journaliste), Guy Job (producteur réalisateur), Claude Durand (éditeur), Jacques Rouveyrollis (éclairagiste), Marc Chevalier (co-directeur du cabaret "L'Ecluse ") et Remo Forlani (dramaturge).Et également la voix et les chansons de Barbara ainsi que des lectures par Georges Moustaki. Par Jérôme Garcin Réalisation : Monique Alligier Radio libre - Barbara (1ère diffusion : 11/12/1999) indexation web : Véronique Vecten, Documentation de Radio France

Les journaux de France Culture
Ukraine : frappe meurtrière avant l'annexion de quatre régions par Moscou

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 30, 2022 20:11


durée : 00:20:11 - Journal de 12h30 - Tandis que la Russie s'apprête à annexer officiellement aujourd'hui quatre régions ukrainiennes, une frappe dévastatrice sur une colonne de véhicules civils a fait 25 morts et 50 blessés ce matin dans le sud de l'Ukraine, près de Zaporijjia. - invités : Christian Vincent (géographe) géographe

Archives d'Afrique
La chute d'Alphonse Massamba-Débat (5&6)

Archives d'Afrique

Play Episode Listen Later Sep 30, 2022 49:00


Alphonse Massamba-Débat qui a amorcé un important virage à gauche, le plaçant désormais dans cette période de guerre froide dans le bloc de l'Est doit, malgré sa forte conviction politique aux idéaux de ce camp, résister à la pression des syndicalistes qui l'ont installé aux affaires. Tandis que ces derniers souhaitent instaurer une République socialiste sur le modèle cubain ou chinois, le président congolais préfère un socialisme bantou tenant compte des traditions et des réalités africaines. Une opposition idéologique qui a créé un climat de tension réelle au sein des institutions étatiques. Alphonse Massamba-Débat est de plus en plus isolé.

Les pieds sur terre
Des catastrophes pas naturelles

Les pieds sur terre

Play Episode Listen Later Sep 30, 2022 29:22


durée : 00:29:22 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Les vies de Ludovic et Max ont été chamboulées par les conséquences du réchauffement climatique. Le hameau où vit Ludovic se retrouve coupé du monde suite aux pluies torrentielles qui ont détruit la route. Tandis que des inondations dans son exploitation d'oliviers ont mené Max au burn-out.

Attirelepositif
Comment Guérir l'Anxiété Sociale ? Identifiez les Signes et Libérez-Vous de la Phobie Sociale !

Attirelepositif

Play Episode Listen Later Sep 25, 2022 21:26


Est-ce que vous voulez découvrir comment enfin guérir de l'anxiété sociale ? Voulez-vous apprendre à identifier les signes et vous libérer de la phobie sociale ? Alors vous êtes au bon endroit, car dans cet épisode de podcast, je vais vous apprendre comment guérir l'anxiété sociale et identifier les signes pour vous libérer de la phobie sociale ! ➡️

Invité Afrique
Élections en RDC en décembre 2023: «J'y crois», affirme le président Félix Tshisekedi

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Sep 23, 2022 19:11


« Attention aux manipulations de la part de certains opposants. Je n'ai pas de raison de douter que les élections auront lieu, comme prévu, en décembre 2023  », affirme le président congolais Félix Tshisekedi ce vendredi soir dans une interview exclusive accordée à New York à RFI et France 24. Le chef de l'État congolais s'exprime aussi sur sa rencontre surprise de jeudi à New York avec son homologue rwandais Paul Kagamé et sur le retrait à venir des rebelles du M23 de la ville de Bunagana. Quand l'état de siège sera-t-il levé dans l'Est ? Pourquoi le général Philémon Yav vient-il d'être arrêté ? À quand la libération du député Jean-Marc Kabund ? Félix Tshisekedi répond aux questions de Christophe Boisbouvier de RFI et de Marc Perelman de France 24. Marc Perelman : Monsieur le président, ici à New York devant l'Assemblée générale des Nations unies, vous avez prononcé un discours dans lequel vous avez dénoncé sans détours l'agression militaire directe du Rwanda contre votre pays. Vous avez aussi demandé à l'ONU d'être plus transparente sur ce qu'elle sait à ce propos. Pourquoi ce cri d'alarme. Est-ce que vous avez l'impression que vous n'êtes pas écouté ? Félix Tshisekedi :C'est plutôt un cri de vérité. Pas d'alarme, parce que les alarmes ont été données à plusieurs reprises dans la région à travers les ONG et autres organisations. Il fallait absolument ce cri de vérité pour que le monde entier sache ce qui se passe réellement et qu'on arrête avec cette hypocrisie, cette cécité et qu'on voit le problème dans son entièreté. Et c'est ce que j'ai fait. Christophe Boisbouvier : Ce mercredi, à New York, vous avez accepté de rencontrer votre homologue rwandais, Paul Kagame, en présence du président français, Emmanuel Macron. Vous étiez réticent apparemment, mais vous l'avez fait quand même. Le principe d'un retrait des rebelles de Bunagana [ville située dans le Nord-Kivu, près des frontières ougandaise et rwandaise] a été acté. Mais on se souvient que la rencontre précédente avec Paul Kagame - c'était à Luanda en Angola le 6 juillet -, n'avait donné aucun résultat. Est-ce que cette fois-ci, vous avez un calendrier pour ce retrait ? F.T. : D'abord, il faut que je précise par rapport à l'initiative française, vous savez que c'est la France qui préside le Conseil de sécurité en ce moment et le président Macron avait pris contact avec les deux chefs d'État, donc avant l'Assemblée générale, pour qu'on prenne rendez-vous ici à New York et qu'on parle de ce sujet. De ce côté-là, il n'y avait aucune objection de ma part. Et puisque je vous ai dit que mon but ici était de venir lancer un cri de vérité, j'ai continué sur cette même lancée dans cette réunion que nous avons eue autour du président Macron, le but étant d'obtenir dans un premier temps le cessez-le-feu et le retrait inconditionnel de Bunagana des M23, mais ensuite de rentrer dans le processus de paix tel que nous l'avons décidé à Nairobi, c'est-à-dire avec la fin, mais fin totale, des violences à l'est de mon pays. Et en termes de calendrier, il n'y a pas vraiment un calendrier précis, mais il dépendra du déploiement de la force régionale qui est en train d'arriver. Le Burundi est déjà là, le Kenya c'est pour bientôt. Et la situation se clarifiera à ce moment-là. M.P. : Alors évidemment, la question qui se pose aussi, qui a été abordée lors de cette réunion, ce sont les rebelles hutus rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Le Rwanda dit depuis des années : attention, c'est un danger pour nous, c'est une menace pour nous, et l'armée congolaise laisse faire, voire plus. Est-ce que vous vous êtes engagé sur ce problème ou est-ce que vous pensez que c'est une fausse excuse du Rwanda ? F.T. : C'est une fausse excuse. Par rapport à ces accusations, je trouve que le Rwanda est de mauvaise foi et qu'il utilise souvent ce prétexte pour justifier ses incursions en République démocratique du Congo. Depuis que je suis à la tête de mon pays, vous avons rapatrié à deux reprises des centaines de combattants des FDLR. C'est quand même une preuve de bonne foi. Et aujourd'hui, les FDLR, c'est une force résiduelle qui ne menace plus la sécurité du Rwanda. M.P. : « Fantomatique », vous avez dit… F.T. : Elle ne menace plus la sécurité du Rwanda en tout cas. Les FDLR sont plus un problème pour nous, Congolais, que pour les Rwandais. J'en veux pour preuve l'assassinat de l'ambassadeur d'Italie en République démocratique du Congo au mois de février 2021, monsieur Luca Attanasio, qui avait été tué par des FDLR, qui sont devenus aujourd'hui des coupeurs de route, des bandits de grand chemin et qui n'ont plus d'idéologie politique visant à regagner le pouvoir à Kigali. Donc, c'est un faux prétexte. La vérité, elle est ailleurs et c'est cela que le Rwanda doit dire. M.P. : Pour contrer les groupes armés qui sévissent dans l'est de la RDC, vous l'avez abordé tout à l'heure, vous avez accepté avec l'accord de la Communauté des États de l'Afrique de l'Est le déploiement d'une force multinationale dans la région. Quand est-ce que cette force sera totalement déployée et combien d'hommes seront sur votre sol ? F.T. : Je vous ai dit que la force est en train d'être déployée. Les Burundais sont là déjà dans le Sud-Kivu. Pour les Kenyans, à mon avis, c'est une question de jours. Ils vont d'ailleurs, pour votre information, entrer par Bunagana. Donc, ça se déploie petit à petit, en fonction des moyens aussi. C'est pour cela que nous étions ici aussi et que nous avons pris des contacts, c'était pour sensibiliser les bailleurs de fonds afin d'accompagner cette force régionale. M.P. : Et donc, si les Kenyans tombent sur le M23 à Bunagana ? F.T. : Eh bien, voilà. Vous savez ce qui va arriver au M23. C.B. : Depuis plusieurs mois, dans l'est du Congo, les casques bleus de la Monusco sont violemment pris à partie par les populations qui les accusent de ne pas les protéger. Il y a eu des morts en juillet. Dimanche, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a reconnu sur nos antennes que la Monusco était moins armée que le M23. Est-ce que vous demandez un retrait accéléré de cette Monusco avant l'année 2024 ? F.T. : Nous devons regarder le rôle que la Monusco doit jouer, parce qu'il lui reste très peu de temps, et pour ainsi faire partir la Monusco sur une note beaucoup plus gaie, beaucoup plus honorable que celle à laquelle nous avons assisté en ce moment. C.B. : Donc, pas de départ accéléré… F.T. : Pas encore de calendrier de départ comme tel, mais je pense bien que la Monusco devra partir avant le délai prévu, c'est-à-dire 2024. À mon avis, au-delà des élections de décembre 2023, je crois qu'il n'y aura plus de raison que la Monusco reste. C.B. : Donc, la Monusco resterait jusqu'à la fin des élections et partirait après… F.T. : À mon avis. Mais ça, je mentirais si je vous disais que c'est quelque chose qui a été convenue. Il n'y a pas encore eu de discussion sur la question. Mais je crois que, de part et d'autre, on a compris qu'il faut réfléchir très sérieusement à la question. Et c'est dans ce sens qu'il faut aller. C.B. : En 6 mois, vous avez mis à l'écart deux hommes clé de votre dispositif : votre conseiller sécurité François Beya et tour récemment, le général Philémon Yav. Tous deux sont soupçonnés d'intelligence avec l'ennemi. S'agit-il d'intelligence avec le Rwanda ? F.T. : François Beya, c'est une autre histoire. D'ailleurs, son procès n'est pas terminé comme vous le savez, parce qu'il a eu des problèmes de santé et il fallait qu'il aille se faire soigner. Nous restons humains malgré le besoin de réprimer, de faire dire la justice. Tandis que le général Philémon Yav, c'est arrivé pendant mon séjour ici à l'étranger, j'ai cru comprendre qu'il était accusé par certains de ses collèges de les avoir contactés au nom du Rwanda pour qu'ils puissent lever le pied et permettre au M23 de passer aisément et de prendre la ville de Goma. C'est ce que j'ai cru comprendre, mais bon. Les enquêteurs sont à pied d'œuvre pour le moment. J'en saurai plus quand je serai rentré au pays. M.P. : On parle de trahison, là ? F.T. : Bien sûr. C.B. : Et François Beya, ce n'est pas le Rwanda… F.T. : À mon sens, non. Son procès n'est pas terminé, je vous ai dit, donc il faut attendre la fin. M.P. : L'état de siège… Il a été instauré en mai 2021. Si on regarde bien, les résultats ne semblent pas là. En tout cas, il se prolonge… F.T. : Pourquoi ? Qu'est-ce que vous attendiez comme résultats ? M.P. : Qu'il y ait moins de violence, que les groupes armés sévissent moins… F.T. : Cela fait une vingtaine d'années qu'il y a de la violence. Est-ce que vous avez, vous, un baromètre comme ça sur lequel vous savez mesurer quand est-ce qu'il y a eu plus ou moins de violence ? Non, je ne crois pas. M.P. : Est-ce que vous avez un premier bilan à nous donner ? F.T. : Oui. Mais je crois déjà que les groupes mafieux ont été pour la plupart neutralisés. Je crois que vous avez quand même appris que les recettes de ces provinces ont fait un bond en avant. Donc, cela veut dire que l'état de siège a eu du bon au moins de ce côté-là, celui de sensibiliser les ressources pour pouvoir maintenant les injecter dans des programmes de prise en charge de ces groupes armés afin de les désintéresser de cette question, parce qu'il y a aussi le côté pauvreté, chômage qui les avait amenés dans ces activités. Il y a en Ituri par exemple plusieurs groupes armés mono-ethniques qui se battaient justement pour des raisons ethniques, qui ont fait la paix et qui sont prêts à complétement sortir de ces activités. Donc, il y a une lueur d'espoir. Mais évidemment, je ne dis pas que tout est parfait. Ça ne pouvait pas non plus l'être. Moi, je ne me faisais pas d'illusion. On est dans une zone où il y a eu une vingtaine d'années de violence et de mafia, tout ce que vous voulez, ce n'est pas en un an qu'on allait mettre fin à tous ces fléaux. Et en plus, cela a été interrompu par le M23 qui est arrivé comme un cheveu dans la soupe pour encore compliquer les choses. M.P. : C'est peut-être lié, non ? F.T. : Oui, sûrement. Mais tout cela, il faut le démêler, il faut le comprendre. Mais la détermination est là… M.P. : Combien de temps, monsieur le président. Jusqu'à quand l'état de siège ? [cessera-t-il] Avant la présidentielle quand même ? F.T. : Oui, bien sûr. Il faut. M.P. : Il faut que les gens sachent. F.T. : Je vous ai parlé d'élections tout à l'heure quand j'évoquais le départ de la Monusco. Je crois que les élections seront... En tout cas, je n'ai aucune raison et je ne suis pas la Céni [Commission électorale nationale indépendante], mais je rencontre souvent, enfin quelquefois, le président de la Céni [Denis Kadima] parce que je veille à ce que l'accompagnement de l'État soit là, surtout au niveau des finances. Et à chaque rencontre que j'ai avec lui, je lui pose toujours la même question que j'appelle maintenant la question traditionnelle, c'est-à-dire est-ce que les élections seront organisées dans les délais ? Il m'a dit : « Il n'y aura aucun problème ». Donc, je n'ai pas de raison de douter de lui, c'est lui l'expert. S'il le dit jusqu'ici, moi mon travail, c'est juste de veiller à ce que le ministre des Finances fasse le sien aussi en donnant les ressources nécessaires pour faire avancer le processus. Je pense que ça devrait aller. C.B. : Oui. Mais tout de même, monsieur le président, il y a ce rapport du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), révélé par Africa Intelligence, qui dit que le scénario d'un report est désormais probable, il y a le fait qu'il n'y a pas de calendrier électoral encore pour l'instant… F.T. : Faites très attention à ce qui a été publié. Faites très attention parce qu'i y a eu beaucoup de manipulations. J'ai vérifié auprès des responsables du Pnud eux-mêmes, ils n'ont pas affirmé cela. Ils m'ont dit très clairement qu'ils n'ont jamais émis d'avis pessimiste, jamais. Donc, cela est une récupération qui est sûrement l'œuvre de nos opposants. Et aujourd'hui, on sait comment on peut manipuler les médias et tout cela. Donc, voilà, c'était ça le but. Parce qu'il y a des forces obscures en République démocratique du Congo qui ne veulent pas de ces élections. Si vous voyez ce qui se passe par exemple à l'Ouest aujourd'hui, qui ressemble presque comme deux gouttes d'eau aux violences qu'on voit à l'Est.. C.B. : Dans le Maï-Ndombe… F.T. : Oui. C'est clair. Il y a une main noire qui veut saboter…  C.B. : Mais il n'y a pas de calendrier... F.T. : Le calendrier viendra. On est à plus d'un an encore des élections. Ce n'est pas le calendrier qui va faire les élections. Ce sont les électeurs. Il faut les enrôler. C'est cela qui est le plus important pour moi. Le calendrier, on peut le faire en dernier lieu, à la dernière minute. M.P. : L'opposition vous accuse d'avoir placé à la tête de la Commission électorale, la Céni, et à la tête de la Cour constitutionnelle des hommes à votre main, et donc de vouloir verrouiller le scrutin et être sûr d'être réélu parce qu'on sait que vous allez vous représenter… F.T. : Je trouve que c'est une insulte à l'intelligence de ces deux grands hommes et je ne suis pas le seul à le dire. Le background de Denis Kadima par exemple en termes d'élections, c'était le meilleur d'ailleurs. Il avait le meilleur profil de tous les candidats présidents. Je ne suis pas seul à le dire. Et je crois qu'aujourd'hui, cette question est vidée parce que même cette fameuse opposition reconnait en lui sa valeur. Et tous nos partenaires ont aussi adoubé l'individu. Donc, il n'y a plus de raison de douter de cela. Quant au président de la Cour constitutionnelle [Dieudonné Kamuleta Badibanga], il a été choisi par ses pairs. Ce n'est pas moi. Donc, c'est un faux procès que l'on me fait en m'accusant d'avoir placé quelqu'un. D'abord, ce n'est pas mon homme de main, je ne le connaissais pas. Avant qu'il soit président, je ne le connaissais pas du tout. Je l'ai connu juste au moment où il a été nommé à la Cour constitutionnelle. Avant cela, je n'avais jamais eu de contact avec lui. On peut le vérifier. C.B. : Votre bilan depuis 3 ans et demi est fortement critiqué par l'opposition… F.T. : C'est ça la démocratie. C.B. : L'arrestation il y a quelques semaines de votre ancien compagnon de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le député Jean-Marc Kabund, suscite beaucoup d'interrogations. F.T. : Des interrogations sur ? C.B. : Il a été arrêté pour offense au chef de l'État, mais beaucoup s'interrogent sur le fait qu'il soit en prison pour ce délit. Et est-ce qu'il ne faudrait pas qu'il soit éventuellement placé en résidence surveillée ? F.T. : C'est à la justice de voir, je ne suis pas cette affaire. C.B. : Vous êtes donc candidat en 2023. Mais est-ce que des opposants, des personnalités, comme Martin Fayulu qui continue de revendiquer la victoire de 2018, comme Moïse Katumbi, comme qui sait un candidat pro Kabila, sans parler de Matata Ponyo... Est-ce que ces hommes-là ne risquent pas de vous mettre en difficulté sur le thème : il faut sortir le sortant, il faut un changement ? F.T. : C'est le peuple qui décidera. Pourquoi voulez-vous que je me mette à spéculer. Je ne suis pas dieu le père. Je ne connais pas l'avenir. Moi, je vis au quotidien et j'écoute mes compatriotes et essaye dans la mesure du possible de répondre à leurs besoins, à leurs revendications. Le reste appartient justement à ce peuple. C'est lui qui décidera le moment venu de qui peut présider… C.B. : Mais vous semblez confiant. Vous pensez que… F.T. : Moi, je suis très confiant. C.B. : Mais qu'est-ce qui vous rend confiant justement face à toutes ces critiques ? F.T. : Mais les réalisations, nous en avons fait énormément. Regardez notre budget. Regardez la gratuité de l'éducation. Aujourd'hui, nous sommes à la gratuité de la santé. Les infrastructures sont en train d'être construites. Et il y a ce fabuleux et ambitieux plan programme de développement à la base, c'est-à-dire du développement des 145 territoires,  qui fera date. Et nous sommes convaincus que les choses, le moment venu, vont être appréciées par nos compatriotes et ils nous renouvelleront leur confiance. Donc, il n'y a vraiment pas d'inquiétude de ce côté-là. C'est pour cela que l'opposition a peur d'aller aux élections d'ailleurs. M.P. : Juste une petite question sur quelque chose que vous avez dit et qui m'a intrigué. Vous avez parlé « d'une main noire »… F.T. : Oui, bien sûr. M.P. : Mais vous parlez de quoi, de possible coup d'État, de déstabilisation ? F.T. : Oui, bien sûr. Il y a ça. M.P. : Des puissances étrangères ? F.T. : Oui et non. On est en train d'élucider la question. Les arrestations que vous voyez, dont on a parlé dans l'armée, ne sont pas le fait du hasard. Il y a réellement une main noire. C.B. : Et d'où l'arrestation de François Beya… F.T. : Ah, non, non. François Beya, c'est arrivé avant. Cela n'a rien à voir avec. D'où l'arrestation peut-être du général Yav. On verra quels liens ça a avec ces évènements-là.

Par Jupiter !
Le Billet de Charline Vanhoenacker du mardi 20 septembre 2022

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Sep 20, 2022 2:55


durée : 00:02:55 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Trente femmes ont témoigné avoir été agressées ou violées par Patrick Poivre d'Arvor, dont trois de plus ce matin dans “Libération”. Tandis que l'ex-présentateur n'est toujours pas inquiété…

2022 mardi tandis billet le billet charline vanhoenacker vanhoenacker
Le Billet de Charline
PPDA : vous pouvez reprendre une activité normale

Le Billet de Charline

Play Episode Listen Later Sep 20, 2022 2:55


durée : 00:02:55 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Trente femmes ont témoigné avoir été agressées ou violées par Patrick Poivre d'Arvor, dont trois de plus ce matin dans “Libération”. Tandis que l'ex-présentateur n'est toujours pas inquiété…

Monde Numérique - Jérôme Colombain
Spécial IFA 2022 : les tendances en TV, Hi-Fi, électroménager et e-santé (L'Hebdo #57)

Monde Numérique - Jérôme Colombain

Play Episode Listen Later Sep 4, 2022 43:21


Cette semaine, Monde Numérique est à Berlin pour l'édition 2022 du grand salon IFA consacré à l'électronique pour la maison. Au programme : nouveaux écrans de TV, retour de la Hi-Fi, électroménager connecté et boom de l'e-santé. Reportage et interviews sur place. Bonne écoute ! Connectivité, mobilité, durabilité. Telles sont les principales tendances du salon IFA de Berlin 2022. Après deux ans d'absence, le plus grand salon européen de technologies pour la maison redémarre, tranquillement mais sûrement.  • Ecrans - LG et Samsung ont dévoilé des nouveaux téléviseurs de 75 et de 94 pouces. Tandis que LG reste le maître incontesté de la technologie OLED, Samsung capitalise sur le micro-LED et sur la connectivité pour accéder à toutes sortes de contenus.

Archives d'Afrique
Angola: José Eduardo dos Santos et la domination coloniale portugaise (1&2)

Archives d'Afrique

Play Episode Listen Later Sep 2, 2022 49:00


Tandis que la plupart des colonies françaises et anglaises accèdent en cascade à l'indépendance en cette année 1960, dans l'Afrique portugaise rien ne bouge. L'administration coloniale durcit même le ton en Angola et réprime systématiquement et impitoyablement les nationalistes. Les principaux leaders comme Agostinho Neto sont arrêtés et déportés. Le jeune José Eduardo dos Santos travaille lui aussi clandestinement, parmi les étudiants, au renversement de la domination coloniale portugaise.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Jean-Marie Laclavetine (5/12) : Roger Grenier : "On peut se laisser aller dans un roman, tandis que dans une nouvelle il ne faut jamais se relâcher, c'est le tir tendu"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 26, 2022 27:59


durée : 00:27:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'écrivain Roger Grenier publiait, en 1975, un recueil de nouvelles intitulé "Le Miroir des eaux", qui obtint le Prix de la nouvelle de l'Académie Française, l'occasion dans "Parti pris" d'évoquer les plus grands nouvellistes, Tchekhov, Melville, Écrivain, scénariste pour la télévision et le cinéma, membre du comité de lecture des éditions Gallimard, Roger Grenier a reçu le Grand prix de littérature de l'Académie française en 1985 pour l'ensemble de son ouvre. Celle-ci est composée de plus d'une trentaine d'ouvrages, romans, essais et nouvelles, dont deux succès de librairie, Le Palais d'hiver en 1965 et Ciné-roman, prix Femina en 1972. * En juillet 1975 il était invité par Jacques Paugam dans l'émission "Parti pris". Il venait de publier Le Miroir des eaux qui avait reçu, la même année, le Prix de la nouvelle de l'Académie Française. Il évoquait ses nouvellistes préférés, parmi eux, Henry James, Tchekhov, Melville, Scott Fitzgerald, Pavese et Kundera. Ecrire une nouvelle : plus difficile qu'un roman ? Oui c'est plus difficile, mais moins embêtant, car il y a une sorte tension :  il ne faut jamais faiblir. C'est pourquoi il y a si peu de nouvelles réussies d'ailleurs. Dans un roman il y a toute une intendance. On peut, un peu, se laisser aller dans un roman, tandis que dans une nouvelle il ne faut jamais se relâcher, c'est le tir tendu.  A propos des grands auteurs de nouvelles :  Je trouve qu'un des plus grands auteurs de nouvelles, qui est célèbre pour ses grosses machines, c'est Melville. Herman Melville ce n'est pas que Moby Dick. (...) Ses nouvelles sont absolument sublimes, en particulier "Bartleby". Si vous prenez Henry James, par exemple, quand vous lisez ses romans, vous êtes obligé de constater qu'il a le plus grand mal à démarrer une histoire, à rentrer dedans et qu'il faut généralement cent pages pour que l'on commence à s'intéresser à ce qu'il va raconter. Alors on se dit que cet homme doit être incapable d'écrire une nouvelle, or il a écrit des dizaines de nouvelles qui sont toutes des chefs-d'ouvre.  Par Jacques Paugam  Indexation web : Sandrine England, Documentation Sonore de Radio France Parti pris - Roger Grenier (1ère diffusion : 07/07/1975) Archive Ina-Radio France

La Loupe
Stepan Bandera, nationalisme ou nazisme (4/4)

La Loupe

Play Episode Listen Later Aug 25, 2022 9:16


"L'Ukraine fait partie de notre Histoire", a justifié Vladimir Poutine, quelques jours avant le début de l'invasion russe. Tandis que le dictateur a fait de la négation de l'existence-même d'une nation ukrainienne l'un des "arguments" de sa guerre, La Loupe a décidé de se plonger dans les livres d'Histoire. Cette semaine, on vous brosse quatre portraits symboliques, parfois contestés, pour raconter l'essor de l'identité ukrainienne, avec l'historien Iarolsav Lebedynsky, enseignant à l'INALCO. Dans ce quatrième épisode, Stepan Bandera, nationalisme ou nazisme.Épisode 1 : Daniel de Galicie, le début de l'histoireÉpisode 2 : Ivan Mazepa, traître pour la bonne causeÉpisode 3 : Pavlo Skoropadsky, le nationaliste qu'on n'attendait pasRetrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe : Présentation : Margaux LannuzelEcriture : Charlotte BarisMontage : Mathias PenguillyRéalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

CRIMES • Histoires Vraies
L'Affaire Saint-Aubin • Episode 1 sur 2

CRIMES • Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Aug 25, 2022 12:04


En septembre 1969, se tient à Dijon le match retour du procès de Lucas Deveaux. Six ans plus tôt, ce jeune apprenti boucher fut condamné à 20 ans de réclusion pour le meurtre d'une enfant, et ne cesse depuis de clamer son innocence. Tandis qu'une armada de journalistes afflue vers la ville aux cent clochers, un couple dijonnais cherche à attiser leur curiosité : ils ont des révélations à faire. Si elles ne concernent en aucun cas les mésaventures de Monsieur Deveaux, Andrée et Jean Saint-Aubin ont à cœur de dévoiler une autre erreur judiciaire. En marge de l'évènement médiatique du moment, ils organisent leur propre conférence de presse avec le soutien de l'Est Républicain et de l'Aurore. Ces derniers se montrent d'abord interloqués par leur témoignage, tout droit sorti d'un roman policier aux rebondissements savamment ficelés, empreint d'espionnage, de mensonges et de complot fomenté au plus haut niveau de l'Etat. Pourtant, à mesure qu'ils posent les détails, les incohérences, leur histoire gagne en crédibilité..."CRIMES : Histoires vraies" est un podcast Studio Minuit.Retrouvez nos autres productions : Espions : Histoires vraies  Morts Insolites : Histoires vraies  Sports Insolites Sherlock Holmes - Les enquêtes 1 Mot 1 Jour : Le pouvoir des mots Je comprends R : le dictionnaire du nouveau millénaire Arsène Lupin : Gentleman cambrioleurSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/crimes-histoires-vraies. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. Become a member at https://plus.acast.com/s/crimes-histoires-vraies.

CRIMES • Histoires Vraies
L'Affaire Saint-Aubin • Episode 2 sur 2

CRIMES • Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Aug 25, 2022 10:07


En septembre 1969, se tient à Dijon le match retour du procès de Lucas Deveaux. Six ans plus tôt, ce jeune apprenti boucher fut condamné à 20 ans de réclusion pour le meurtre d'une enfant, et ne cesse depuis de clamer son innocence. Tandis qu'une armada de journalistes afflue vers la ville aux cent clochers, un couple dijonnais cherche à attiser leur curiosité : ils ont des révélations à faire. Si elles ne concernent en aucun cas les mésaventures de Monsieur Deveaux, Andrée et Jean Saint-Aubin ont à cœur de dévoiler une autre erreur judiciaire. En marge de l'évènement médiatique du moment, ils organisent leur propre conférence de presse avec le soutien de l'Est Républicain et de l'Aurore. Ces derniers se montrent d'abord interloqués par leur témoignage, tout droit sorti d'un roman policier aux rebondissements savamment ficelés, empreint d'espionnage, de mensonges et de complot fomenté au plus haut niveau de l'Etat. Pourtant, à mesure qu'ils posent les détails, les incohérences, leur histoire gagne en crédibilité..."CRIMES : Histoires vraies" est un podcast Studio Minuit.Retrouvez nos autres productions : Espions : Histoires vraies  Morts Insolites : Histoires vraies  Sports Insolites Sherlock Holmes - Les enquêtes 1 Mot 1 Jour : Le pouvoir des mots Je comprends R : le dictionnaire du nouveau millénaire Arsène Lupin : Gentleman cambrioleurSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/crimes-histoires-vraies. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. Become a member at https://plus.acast.com/s/crimes-histoires-vraies.

La Loupe
Pavlo Skoropadsky, le nationaliste qu'on n'attendait pas (3/4)

La Loupe

Play Episode Listen Later Aug 24, 2022 11:33


"L'Ukraine fait partie de notre Histoire", a justifié Vladimir Poutine, quelques jours avant le début de l'invasion russe. Tandis que le dictateur a fait de la négation de l'existence-même d'une nation ukrainienne l'un des "arguments" de sa guerre, La Loupe a décidé de se plonger dans les livres d'Histoire. Cette semaine, on vous brosse quatre portraits symboliques, parfois contestés, pour raconter l'essor de l'identité ukrainienne, avec l'historien Iarolsav Lebedynsky, enseignant à l'INALCO. Dans ce troisième épisode, Pavlo Skoropadsky, le nationaliste qu'on n'attendait pas.Épisode 1 : Daniel de Galicie, le début de l'histoireÉpisode 2 : Ivan Mazepa, traître pour la bonne causeRetrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe : Présentation : Margaux LannuzelEcriture : Charlotte BarisMontage : Mathias PenguillyRéalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Loupe
Ivan Mazepa, traître pour la bonne cause (2/4)

La Loupe

Play Episode Listen Later Aug 23, 2022 13:04


"L'Ukraine fait partie de notre Histoire", a justifié Vladimir Poutine, quelques jours avant le début de l'invasion russe. Tandis que le dictateur a fait de la négation de l'existence-même d'une nation ukrainienne l'un des "arguments" de sa guerre, La Loupe a décidé de se plonger dans les livres d'Histoire. Cette semaine, on vous brosse quatre portraits symboliques, parfois contestés, pour raconter l'essor de l'identité ukrainienne, avec l'historien Iarolsav Lebedynsky, enseignant à l'INALCO. Dans ce deuxième épisode, Ivan Mazepa, traître pour la bonne cause.Épisode 1 : Daniel de Galicie, le début de l'histoireRetrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe : Présentation : Margaux LannuzelEcriture : Charlotte BarisMontage : Lison VerriezRéalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Loupe
Daniel de Galicie, le début de l'Histoire (1/4)

La Loupe

Play Episode Listen Later Aug 22, 2022 11:37


"L'Ukraine fait partie de notre Histoire", a justifié Vladimir Poutine, quelques jours avant le début de l'invasion russe. Tandis que le dictateur a fait de la négation de l'existence-même d'une nation ukrainienne l'un des "arguments" de sa guerre, La Loupe a décidé de se plonger dans les livres d'Histoire. Cette semaine, on vous brosse quatre portraits symboliques, parfois contestés, pour raconter l'essor de l'identité ukrainienne, avec l'historien Iarolsav Lebedynsky, enseignant à l'INALCO. Dans ce premier épisode, le Roi Daniel de Galicie, le début de l'Histoire. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe : Présentation : Margaux LannuzelEcriture : Charlotte BarisMontage : Lison VerriezRéalisation : Jules KrotCrédits : le KremlinMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Quoi de Meuf
(Rediff) - Téléréalité, ton univers impitoyable

Quoi de Meuf

Play Episode Listen Later Jul 31, 2022 59:44


L'équipe Quoi de Meuf espère de tout coeur que vous passez un bel été ! L'occasion de ré(écouter) des épisodes marquants du podcast. Et cette semaine, on vous propose un épisode marquant, avec Clémentine et Pauline. Bonne écoute ! LLoft Story, Secret Story, Les Anges… tous ces noms évoquent toute une époque autour des téléréalités qui ont explosé à partir des années 2000. Certains spectateurs s'identifient à ce type d'émissions, les considérant comme authentiques et réalistes. Tandis que d'autres les voient comme une forme de télé-poubelle, reflétant tout ce qu'il a de plus banal et vide dans nos sociétés. Dans cet épisode, Clémentine Gallot et Pauline Verduzier décortiquent l'envers du décor d'un phénomène marqué par des tensions et des rebondissements. Les références entendues dans l'épisode : Khedidja Zerouali, “Les Anges de la télé-réalité: un enfer de sexisme”, Médiapart (2021)The real world de Mary-Ellis Bunim et Jonathan Murray (1992)An american family de Craig Gilbert (1973)Alessa Dominguez, “The Real World” Pioneered Reality TV As We Know It — But At What Cost?”, Buzzfeednews (2021)Big Brother de John de Mol Produkties (1999)Survivor de Charlie Parsons (1997)Loft Story de John de Mol (2001)Nice people de So Nice Production et Endemol (2003)Secret Story d'Edemol Productions (2007)Bachelor, le gentleman célibataire du Groupe M6 (2003)La Ferme Célébrités de Strix Television (2004)“Rapport relatif à la représentation des femmes dans les programmes des services de télévision et de radio - Exercice 2015”, CSA (2016)Rachid Zerrouki, “La télé-réalité, du divertissement à l'abrutissement”, Slate (2018)Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, “2ème état des lieux du sexisme en France : combattre le sexisme en entreprise, dans les médias et en politique”, HCE (2020)Virginie Ballet, “La télé-réalité est une grande pourvoyeuse de sexisme”, Libération (2020)Kovie Biakolo, “Why can't really TV stop stereotyping black women ?”, Pacific Standard (2019)Hannah Giorgis, “Love Is Blind Was the Ultimate Reality-TV Paradox”, The Atlantic (2020)La Villa des cœurs brisés de Ah! Productions (2015)Camille Baron et Ayoub Bel-Hyad, “La télé-réalité, nouvelle école de l'amour”, Slate (2019)Mariés au premier regard de Studio 89 Productions (2016)Nora Bouazzouni, “Mariés au premier regard» a un problème avec le consentement”, Slate (2020)Christopher Rosa, “Everything to Know About Matt James, the First Black Bachelor”, Glamour (2021)Connor Garel, “Netflix's ‘Love Is Blind' Contestant Says Her Story Is 'Bigger Than Race'”, HuffPost (2020)Meredith Blake, “Why are ‘The Bachelor' and ‘The Bachelorette' so white? Lifetime's ‘UnREAL' explores the issue”, Los Angeles Times (2016)Nathalie Nadaud-Albertini, 12 ans de télé-réalité : au-delà des critiques morales, INA Editions (2013)Elise Lambert, “Vingt ans après "Loft Story", la téléréalité est-elle vraiment devenue un programme comme les autres ?”, Franceinfo (2021)Terrace House de Fuji TV (2012)Eric Margolis, “The Fall of Terrace House”, The New York Times (2020)Here comes honey boo boo de Authentic Entertainment (2012)Duck Dinasty de Deirdre Gurney (2012)Anne-Laure Pineau, “Koh-Lanta” sur TF1 : des candidates face à l'épreuve du sexisme”, Télérama (2020)Les merveilles d'Alice Rohrwacher (2014)The Truman show de Petter Weir (1998)Constance Dovergne, “Portrait : Dans l'intimité de Magali Berdah, la patronne des stars de la téléréalité”, Vanity Fair (2021)Lili Sohn, Mamas, Casterman (2019) Nora Bouazzouni, Steaksisme. En finir avec le mythe de la végé et du viandard, Nourriturfu (2021)Quoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes. Rédaction en chef : Clémentine Gallot. Journaliste chroniqueuse: Pauline Verduzier. Mixage par Laurie Galligani. Prise de son par Adrien Beccaria à l'Arrière Boutique. Générique réalisé par Aurore Meyer Mahieu. Réalisation, Montage et coordination par Ashley Tola. Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.