Podcasts about tunisie

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tunisie

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Journal de l'Afrique
Un Tunisien condamné à mort pour avoir critiqué le président Kaïs Saïed sur Facebook

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 4, 2025 14:14


Stupéfaction en Tunisie après la condamnation à la peine de mort d'un internaute qui avait critiqué le président Kaïs Saïed sur Facebook. Même si la peine de mort n'est plus appliquée depuis 1991, la sévérité du jugement pose question. Son avocat a annoncé faire appel.

Les 80'' de Nicolas Demorand
Le couscous, un sujet des plus sérieux

Les 80'' de Nicolas Demorand

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 2:04


durée : 00:02:04 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Nicolas Demorand souhaite dans cette émission parler d'un sujet sur lequel il est à ses yeux interdit de plaisanter : le couscous ! Un plat entré au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO en 2020 sur proposition conjointe de l'Algérie, de la Mauritanie, du Maroc et de la Tunisie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

TsugiMag
La chronique d'Antoine Gailhanou : la cornemuse

TsugiMag

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 12:10


Pour une fois, Antoine Gailhanou nous parle d'un instrument que tout le monde connaît, mais dont on ignore la richesse : la cornemuse. On l'associe beaucoup au monde anglo-saxon, et surtout l'Écosse, où elle est encore très utilisée, mais la cornemuse c'est un instrument millénaire qui s'est imposé partout en Europe, de la Suède à l'Espagne en passant par la Pologne les Balkans, et l'Italie, et même jusqu'en Tunisie et en Turquie.

Les têtes d'affiches de Denise Epoté
La Tunisienne Khouloud Ayachi et la Togolaise Nadine Couao Zotti

Les têtes d'affiches de Denise Epoté

Play Episode Listen Later Sep 28, 2025 3:24


Deux figures de la « green Tech » s'affichent au menu de la sélection de cette semaine. La Tunisienne Khouloud Ayachi, ingénieure environnementaliste, a créé Meps, une start-up destinée à aider les agriculteurs et éleveurs à préserver leurs activités en créant de la valeur ajoutée à partir des biodéchets. La Togolaise Nadine Couao Zotti est titulaire d'un master en villes durables. Elle a également suivi une spécialisation dans les technologies de la biomasse et des bioénergies. Sa start up Africa Ecoworld produit du charbon écologique à base de déchets agricoles et organiques.

Tous les cinémas du monde
Avec «Disco Afrika», Luck Razanajoana montre l'éveil d'une conscience politique à Madagascar

Tous les cinémas du monde

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 48:30


Comment se forge-t-on une conscience politique ? Par le hasard des rencontres ? Par expérience personnelle ? Ou par transmission familiale ? Le film de la semaine est un récit d'initiation, le portrait d'un jeune homme à peine sorti de l'adolescence dont les yeux vont se dessiller à mesure qu'il va s'intéresser aux circonstances de la mort de son père et découvrir les injustices qui ravagent son pays : Madagascar. Kwame a 20 ans et tente de gagner sa vie dans les mines clandestines de saphir jusqu'à ce qu'un événement tragique le pousse à retourner dans sa ville de Tamatave. Ainsi commence Disco Afrika, Une histoire malgache, le premier long métrage de Luck Razanajoana qui montre comment Kwame va progressivement passer d'un individualisme de survie à la découverte d'un esprit collectif pour que s'améliore la situation de son pays, rongé par la corruption. À l'affiche de notre cinéma également ce samedi, le film primé à la Mostra de Venise : la Voix de Hind Rajab, de Kaouther ben Hania, qui fait un tabac lors d'avant-premières en Tunisie. Et nous reviendrons, bien sûr, sur la mort de Claudia Cardinale dans le journal d'Elisabeth Lequeret.   Musiques : Gasoline de Obongjayrar (Playlist Rfi) et Beckett de Nesles.

Lesfrancais.press's Podcast
« Citoyen des deux rives » reconnecte les jeunes français à leur pays d'origine

Lesfrancais.press's Podcast

Play Episode Listen Later Sep 25, 2025 12:55


Partagez votre opinion avec la rédactionParce que les parcours d'expatriés dessinent des nouvelles appartenances, il est parfois important de retisser du lien avec son pays d'origine. C'est l'ambition que porte l'action « Citoyen des deux rives », un projet initié par Nathalie Guzzo et Bernard Virelaude, co‑fondateurs de Mozeact. À travers des journées participatives, ils tentent de répondre à l'absence d'organisation de la JDC (Journée citoyenneté et défense) chez les jeunes Français de l'étranger. Au cours de ce podcast, les initiateurs de ce concept nous partagent ainsi leurs objectifs et leur expérience grandeur nature en Tunisie. La suite sur lesfrancais.pressSupport the show

CEO Radio.TV
Armatis : Allier IA et expertise humaine pour réinventer la relation client | David Gillaux, Président d'Armatis

CEO Radio.TV

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 12:07


Armatis est l'un des pionniers français de la relation client depuis 1989. Présent dans 7 pays (France, Portugal, Pologne, Tunisie, Bulgarie, Maroc, bientôt Madagascar), le groupe accompagne ses clients dans tous les secteurs : énergie, télécoms, banque-assurance, e-commerce ou encore transport. Avec 220 M€ de chiffre d'affaires, Armatis associe innovation technologique et intelligence artificielle à l'expertise humaine pour créer des expériences client uniques. Son ambition : transformer la relation client en levier stratégique de performance et de fidélisation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Oser la Reconversion
#174 - Inès Henchiri - D'ingénieur à avocate fiscaliste

Oser la Reconversion

Play Episode Listen Later Sep 22, 2025 49:37


Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #174Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion.Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Inès Henchiri. Inès était ingénieur pendant 7 ans avant de devenir avocate fiscaliste. J'ai rencontré Inès lorsque j'étais encore avocate, nous étions co-stagiaires plus exactement.Brillante élève en Tunisie, sa route est tracée. Inès a seulement deux choix qui s'ouvrent à elle comme elle nous le raconte : médecin ou ingénieur. Elle se lance dans une prépa maths sup et devient ingénieur à Paris. Elle sait tout de suite qu'elle n'est pas à sa place. Mais elle continue. Sa voie est tracée.C'est lorsque sa petite soeur lui demande conseils sur son orientation et qu'elle s'entend lui vanter les mérites de la fac de droit : "si c'était à refaire, j'irais en droit" qu'Inès a le déclic. Il lui reste encore 40 ans avant la retraite alors il n'est pas trop tard pour tout recommencer. Aujourd'hui, Inès est à son compte avec son propre cabinet d'avocat après avoir été collaboratrice dans des cabinets anglo-saxons à Paris. Elle conseille les entreprises et les dirigeants d'entreprises dans tous les aspects fiscaux de leur vie. Avec Inès, on a évoqué sa carrière d'ingénieur, sa reprise d'études de droit en parallèle de son métier d'ingénieur, sa maternité alors qu'elle était encore à l'école d'avocat, les difficultés du recrutement lorsqu'on se reconvertit, comment elle a monté son propre cabinet d'avocat et comment concilier des études longues pour se reconvertir et vie de maman.Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Linkedin de Inès : https://www.linkedin.com/in/ines-henchiri-4a0aa9133/- Instagram de Inès https://www.instagram.com/ines.henchiri/- IED-EDS (ex CAVEJ de la Sorbonne) : https://droit-ied.pantheonsorbonne.fr/- Cned : https://www.cned.fr/Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA- Par mail : partenariats@oserlareconversion.com

Grand reportage
«Le supplément du dimanche» du 21 septembre 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Sep 21, 2025 48:30


Le Grand reportage week-end de ce dimanche est consacré en première partie à la Tunisie sur la grande route de l'immigration Sud-Nord. La Tunisie qui refuse d'être un pays d'accueil et un pays de transit pour les migrants subsahariens. Le président Kais Saïed étant même allé jusqu'à considérer qu'il y avait un risque de changement démographique pour la Tunisie à cause de cette immigration. Une politique très dure est à appliquer, et elle fait le jeu des Européens. En deuxième partie, nous serons en ligne avec Sarah Cozzolino pour parler du Brésil où les femmes déjouent par l'artisanat la pauvreté de leur région du nord de l'État du Minas Gérais. (Rediffusion) Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix. Brésil: l'artisanat, planche de salut, pour les femmes de la vallée du Jequitinhonha Elle est surnommée la Vallée de la misère. Au Brésil, dans le nord de l'État du Minas Gérais, la vallée du Jequitinhonha s'étend sur 50 000 km2, le long du fleuve du même nom. Elle est connue pour son climat aride et ses populations rurales, la pauvreté pousse une partie des habitants à émigrer. Mais c'est sans compter l'incroyable richesse de l'artisanat de la région, réalisé par ses femmes. Un Grand reportage de Sarah Cozzolino qui s'entretient avec Jacques Allix.

Journal de l'Afrique
La Global Sumud Flottilla s'apprête à partir, après plusieurs jours d'attente

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Sep 11, 2025 13:34


Après plusieurs jours d'attente, la Global Sumud Flottilla commence à quitter le port de Sidi Bou Saïd à Tunis, où elle était à quai depuis dimanche. Ce convoi d'une quarantaine de bateaux en provenance de plusieurs ports internationaux, avec 47 nationalités représentées doit effectuer une traversée vers Gaza pour tenter de briser le blocus israélien et établir un corridor humanitaire. Les bateaux ont fait étape en Tunisie, où ils sont rejoints aussi par une flottille tunisienne.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Mali : le Jnim a décrété deux nouveaux blocus

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'intensification des attaques de drones russes en Ukraine, sur le départ depuis Tunis de la flotille pour Gaza et sur la nouvelle épidémie de Ebola qui touche la province du Kasaï en RDC. Mali : le Jnim a décrété deux nouveaux blocus  Les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim, lié à al-Qaïda) imposent un blocus sur les villes de Kayes et de Nioro du Sahel près du Sénégal et de la Mauritanie. Pourquoi ces deux localités sont-elles spécifiquement visées ? Le Jnim a-t-il vraiment les capacités de bloquer Bamako comme il menace de le faire  ?    Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel  Guerre en Ukraine : les attaques de drones russes s'intensifient  Dans la nuit de samedi à dimanche, la Russie a lancé plus de 800 drones sur l'Ukraine, soit la plus importante attaque aérienne depuis le début du conflit. Comment la Russie parvient-elle à mobiliser autant de drones, alors que ses capacités militaires sont mises à rude épreuve ? À combien peut-on estimer le coût d'un drone utilisé par la Russie ?   Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI  Flotille pour Gaza : les embarcations humanitaires font escale en Tunisie  Une nouvelle flotille d'aide humanitaire en route pour Gaza va partir de Tunisie. Pourquoi la flotille, qui a commencé sa route à Barcelone, a-t-elle choisi de faire escale à Tunis ? Comment le pays a réagi à l'arrivée des bateaux et des militants ?   Avec Lilia Blaise, correspondante de RFI à Tunis  RDC : malgré les vaccins, le virus Ebola frappe à nouveau le pays  La RDC fait face à sa 16è épidémie du virus Ebola, avec déjà seize morts recensés dans la province du Kasaï. Pourquoi, malgré les efforts de lutte, les vaccins et les traitements disponibles, le virus Ebola continue-t-il de réapparaître ? Que faire pour se protéger du virus et éviter sa transmission ?  Avec John Johnson, conseiller en vaccination et en réponse épidémique pour Médecins Sans Frontières  

Journal de l'Afrique
RD Congo : manifestations de groupes armés à Uvira

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 11:21


En RD Congo, nouvelles tensions dans la localité d'Uvira, deuxième ville de la province du Sud-Kivu. Des manifestations de colère des groupes armés locaux ont éclaté après la nomination d'un nouveau chef des renseignements dans la ville.

Le regard international - Vincent Hervouët
La coalition des velléitaires

Le regard international - Vincent Hervouët

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 4:07


Vincent Hervouët analyse les derniers développements de la guerre en Ukraine. Il revient sur la rencontre entre les présidents Macron et Zelensky, qui affichent leur unité face à Poutine. Cependant, le journaliste souligne les défis persistants pour parvenir à une paix durable, alors que les positions semblent toujours irréconciliables. Il s'interroge également sur la portée réelle des garanties de sécurité européennes. Enfin, il commente l'incident diplomatique entre la France et la Tunisie suite à une intervention policière à Marseille, révélateur selon lui de la fragilité de l'influence française.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Afrique Économie
En Tunisie, les touristes européens sont de retour

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 2:19


En Tunisie, les professionnels du tourisme sont satisfaits de la saison qui s'achève. Selon les chiffres de fin juillet, la progression des arrivées est en hausse de 10%, le nombre de nuités hôtelières de 7% avec une augmentation des recettes touristiques de 8%. Mais le secteur fait face à de nombreux défis, notamment dans l'hôtellerie, alors que d'autres types d'offres touristiques émergent. De notre correspondante à Tunis, Dans la médina de Tunis, le brouhaha des souks témoigne de l'activité constante cet été. Non loin des commerces, l'entrepreneur Lotfi Hamadi a lancé plusieurs projets locatifs dans une partie plus calme de la Médina. Il mise sur la montée en gamme du logement dans la vieille ville, classée au patrimoine mondial de l'Unesco. « J'ai commencé par prendre des logements que je mets en location sur des plateformes de location en courte, moyenne et longue durée. Cela permet aussi d'avoir cette vitrine pour attirer d'autres personnes dans la Médina », explique-t-il. Une stratégie qui « marche » car de plus en plus en plus contacté par des personnes « qui me proposent maintenant de les accompagner dans leurs projets » ou bien qui souhaitaient investir mais « qui ne savaient pas trop où et qui seraient [désormais] intéressés à venir dans la médina. » Alors que parallèlement, plusieurs hôtels de charme et de luxe ouvrent leurs portes dans la Médina, Lotfi Hamadi explique ce regain d'intérêt par le désir d'un tourisme différent. « C'est un autre tourisme, c'est un tourisme qui est curieux », analyse-t-il. « Beaucoup de ceux qui viennent là étaient avant à Hammamet ou bien à la Marsa, etc. C'est-à-dire qu'ils sont en demande de plages, mais ils voudraient aussi avoir une petite touche d'authenticité », détaille l'entrepreneur. À lire aussiLes délices du continent : en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10] Des besoins en personnel Dorra Milad, présidente de la fédération de l'hôtellerie, annonce de son côté une saison correcte dans un secteur hôtelier qui a du mal à se remettre sur pied depuis la pandémie. « Les marchés européens confirment en 2025 le retour vers la Tunisie avec une progression assez importante, en particulier pour le marché britannique avec, sur les six premiers mois de l'année, une hausse de 48% au niveau des entrées et des arrivées. Le marché italien aussi, on a observé une hausse de 22% », présente-t-elle. Le secteur fait pourtant face à plusieurs défis, le départ massif de la main d'œuvre à l'étranger par exemple ou encore un manque d'attrait pour les métiers du tertiaire. « Pour faire face à ces défis, nous avons créé récemment l'unité d'appui à la formation et à l'employabilité. En collaboration avec le ministère de la formation professionnelle, de l'emploi et de la coopération internationale, nous avons mis en place des programmes de formation courte adaptés aux besoins urgents de l'hôtellerie, surtout dans les métiers de base qui sont aujourd'hui moins attractifs pour les nouvelles générations », explique Dorra Milad. Pour l'arrière-saison qui démarre en automne, l'hôtellerie recherche toujours du personnel et propose même des programmes de reconversion pour les jeunes chômeurs.  À lire aussiTunisie: les maisons d'hôtes attendent un cahier des charges en phase avec l'évolution du tourisme

ESPIONS - Histoires Vraies
La Main Rouge : l'entité très secrète du SDECE

ESPIONS - Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 23:35


La Main rouge est le nom d'une organisation secrète française pratiquant la lutte armée, qui a réalisé un grand nombre d'attentats en Europe et en Afrique du Nord dans les années 1950, à l'époque du colonialisme. Qualifiée d'« escadron de la mort », elle puise son origine dans les groupuscules créés en Tunisie en 1952 et regroupant « petits blancs », « prépondérants » et policiers prêts à tout pour empêcher l'indépendance du pays. Le nom est très vite utilisé par les Services secrets français afin de servir de couverture au service Action du SDECE, pour ses opérations de sabotage, d'assassinats ciblés et divers attentats ayant pour but de lutter contre l'indépendantisme en Afrique du Nord.

Afrique Économie
Tunisie: les maisons d'hôtes attendent un cahier des charges en phase avec l'évolution du tourisme

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 2:22


En Tunisie, les maisons d'hôtes se multiplient avec une progression de 10 % cette année, mais elles manquent encore d'un cahier des charges adapté. Sur les 2 000 maisons d'hôtes que compte le pays, seules 300 seraient aux normes. Un nouveau cahier des charges est en passe d'être voté au Parlement. Les professionnels du tourisme attendent ce nouveau cadre législatif depuis des années, les anciens textes étant peu adaptés à la nouvelle demande et à la diversification du secteur. Avec notre envoyée spéciale à Sidi Bouali, Dans cette maison d'hôtes de Dar Zitouna, dans la zone sahélienne de Sidi Bouali, à une vingtaine de kilomètres de Sousse, dans le Sahel tunisien, le concept est simple : une journée piscine à une vingtaine de dinars, des menus peu chers, une ferme pédagogique et des chambres minimalistes. « On a misé sur tout ce qui est verdure et le patrimoine local, explique Safouen Farouk, expert-comptable, qui a bâti cet « écolodge ». On a essayé de garder les oliviers parce qu'on a des arbres millénaires. On a essayé de faire des maisons écologiques à base de bois. » Lenteurs administratives Depuis une dizaine d'années, les maisons d'hôtes se multiplient en Tunisie, mais c'est souvent le parcours du combattant pour l'ouverture. « Au départ, c'était un peu difficile, surtout au niveau administratif, témoigne-t-il. Depuis 2012, j'ai déposé beaucoup de demandes pour avoir les autorisations. Heureusement, en 2018, il y a eu un changement radical dans le concept et dans les autorisations. Donc, on est passé du changement de vocation de terre agricole à un simple accord du ministère de l'Agriculture. Ce qui a facilité beaucoup l'autorisation et l'inauguration était en 2020. » Safouen Farouk espère que la nouvelle législation lui permettra d'augmenter sa capacité d'accueil et de servir de l'alcool, autant de demandes appuyées par la Fédération interprofessionnelle du tourisme. « Pour l'alcool, c'est tout à fait normal, estime Houssem Ben Azzouz, président de cette organisation sectorielle. Si on s'appelle hébergement alternatif touristique, on s'adresse à une clientèle nationale et internationale. C'est normal qu'il y ait des boissons alcooliques. Ce qu'on a demandé aussi, c'est peut-être augmenter un peu les capacités pour les maisons d'hôtes, au lieu d'uniquement cinq chambres, peut-être aller vers huit ou dix chambres. » Élargir l'offre touristique Cette nouvelle législation vient assouplir des dispositions anciennes compliquées votées en 2013 et 2017. Il y aura désormais quatre cahiers des charges, détaille ce responsable de la profession : « Un pour les maisons d'hôtes, qu'on appelle également chambres d'hôtes ici, un autre pour les gîtes ruraux, un cahier de charges pour les campings touristiques et un quatrième pour les relais touristiques, sortes de motels sur les grandes routes. » L'objectif est d'élargir l'offre touristique pour toutes les clientèles, notamment les Tunisiens de la classe moyenne, qui ne peuvent plus se permettre un séjour à l'hôtel. À lire aussiLa Tunisie et le Maroc connaissent une année touristique 2025 en demi-teinte

Le Double Expresso RTL2
L'INTÉGRALE - Le Double Expresso RTL2 (26/08/25)

Le Double Expresso RTL2

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 116:13


L'info du matin - Dès 2026, l'intelligence artificielle sera autorisée pour passer le bac au Danemark. Le winner du jour - Un homme s'est lancé un défi improbable : manger des Babybel tous les jours depuis 8 ans pour battre un record. - En Italie, une restauratrice traque les clients qui partent sans payer... grâce à son réseau d'informateurs à travers tout le pays. Le flashback de février 2008 - Le film "Bienvenue chez les Ch'tis" sort en salles et devient le plus gros succès du cinéma français avec plus de 20 millions d'entrées. Les savoirs inutiles - En 2015, la Tunisie a déployé le plus grand drapeau du monde : 396 mètres de long, 264 de large, 12,6 tonnes, soit 18 terrains de foot et 80 km de tissu. 3 choses à savoir sur Adidas Qu'est-ce qu'on demande ? - L'IA du Double Expresso a imaginé un parc d'attraction « pop rock » pour concurrencer Disneyland et le Parc Astérix. La chanson du jour - Madness "One Step Beyond" Le jeu surprise - Sarah de Clohars-Fouesnant vers Quimper gagne un bon d'achat de 2000 € chez Belambra Clubs La banque RTL2 - Capucine de Perpignan gagne 4 billets d'avion aller/retour pour une destination en Europe avec Vueling - Cécilia de Venoy vers Auxerre gagne 500 € Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Journal de l'Afrique
Tunisie : fermeture de l'Instance d'accès à l'information, le SNJT dénonce un recul démocratique

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Aug 24, 2025 14:05


En Tunisie la disparition de l'Instance nationale d'accès à l'information inquiète la société civile. Cette instance qui permettait à tout citoyen d'exercer son droit à l'information a été fermée en toute discrétion cette semaine. Le syndicat des journalistes a dénoncé une atteinte directe au droit constitutionnel d'accès à l'information.

Invité Afrique
La Guinée devient un point de départ des migrants car «les jeunes ont perdu confiance en la République»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 7:08


Les départs clandestins de pirogues depuis les côtes guinéennes vers l'archipel espagnol des Canaries se sont multipliés, en conséquence de l'accord migratoire conclu entre la Mauritanie et l'Espagne l'an dernier. Pourtant, la traversée depuis la Guinée peut durer une dizaine de jours et est extrêmement dangereuse. En 2024, l'ONG espagnole Caminando Fronteras dénombre 10 457 morts dans l'Atlantique. Entretien avec Elhadj Mohamed Diallo, ancien exilé, qui dirige désormais l'Organisation guinéenne de lutte contre la migration irrégulière.  RFI : La Guinée est devenue une alternative pour les candidats à la migration clandestine, notamment depuis la ville côtière de Kamsar. Pourquoi ce phénomène, selon vous, a-t-il pris de l'ampleur dans la ville ? Elhadj Mohamed Diallo : D'abord, la ville de Kamsar est une ville portuaire, où la pêche est beaucoup développée. La plupart des jeunes maîtrisent parfaitement l'océan. Ce sont des pêcheurs qui maîtrisent la conduite des pirogues.  La situation aux îles Canaries est telle que des journalistes espagnols sont venus enquêter jusqu'en Guinée pour identifier les familles des disparus, racontez-nous.  Lorsque des Guinéens sont arrivés dans les îles des Canaries – le troisième convoi au départ de Kamsar -, il y a eu un accident. Sept personnes sont décédées, dont deux enfants. Donc les journalistes se sont intéressés à la question. Ils nous ont contactés et ils sont venus sur le terrain pour identifier trois familles parmi les sept et après, ils sont venus à Conakry. On les a mis en contact avec des familles de disparus, et eux nous ont mis en relation avec des organisations qui travaillent sur les questions d'identification dans les autres pays. Il y a plusieurs familles qui sont identifiées, on est en train de mettre en place le collectif des familles de disparus. Et une fois que vous les identifiez, qu'est-ce que vous faites ? Parfois, un jeune décède dans un autre pays, mais la famille n'est pas identifiée. Donc, ils nous contactent. On accompagne la famille pour qu'elle puisse rapatrier le corps au pays et inhumer le jeune. On les accompagne aussi dans leur deuil et dans les démarches administratives. Lorsqu'un corps est identifié, il y a un tas de dossiers qu'il faut aller retirer à la justice ou à la mairie. Parfois, les familles ne sont pas informées. Nous accompagnons les familles dans toutes ces démarches, s'ils décident de rapatrier le corps ou pour qu'ils aient les documents nécessaires pour engager des procédures auprès des tribunaux. À lire aussiGuinée: une nouvelle route dangereuse pour la migration vers les Canaries au départ de Kamsar Alors concrètement, comment ça se passe ? Ce sont des passeurs qui sont, disons, des « professionnels » et qui ouvrent un nouveau point de passage ? Ou est-ce que ce sont des pêcheurs ou des personnes sur place, à Kamsar, qui se lancent dans le marché de la migration par opportunisme ? Le premier convoi, c'était des pêcheurs. Comme le Sénégal  est un pays frontalier, on se dit que s'il y a des voies de passage depuis le Sénégal, nous aussi Guinéens pouvons tenter. Donc c'est comme ça qu'ils ont commencé. Un groupe d'individus étaient là en train de travailler, ils se sont réunis, ils ont formé leur convoi et ils sont partis. Ca a même échappé aux autorités. Pour le moment, on n'a pas pu avoir des informations sur les passeurs, on est en train de faire des recherches. Mais bon, vous savez, c'est une question très compliquée de former un groupe de réseaux. Ça peut être des compatriotes qui étaient déjà en Mauritanie ou au Sénégal et qui reviennent en Guinée, ou ça peut être aussi des gens issus du réseau marocain qui se ramifie jusqu'en Guinée. Ce sont des réseaux qui sont vraiment professionnels. On doit planifier le terrain, il faut identifier qui doit être impliqué, qui ne doit pas être impliqué aussi. Ça va prendre du temps. Mais quand même, il y a eu pour le moment trois ou quatre convois qui sont partis et le mois dernier, les autorités ont arrêté pas mal de groupes de personnes qui étaient prêtes à partir. Deux convois ont été arrêtés au mois de juillet. Un autre convoi a été arrêté en Mauritanie où il y avait des Guinéens, des Sénégalais et d'autres nationalités. Vous voulez dire qu'en fonction des politiques migratoires des pays pourtant voisins, le point de départ peut changer ? Pas forcément les politiques migratoires en soi. Ça peut être peut-être la façon dont on est en train de réprimer les migrants, ou bien comment on est en train de durcir un peu les politiques migratoires. C'est une chaîne, en fait. Ça a commencé par le Maroc, puis le Maroc a « fermé » sa voie d'accès. Puis la Mauritanie, le Sénégal où ça devient de plus en plus difficile. Finalement, les points de départ s'éloignent de plus en plus. Et certainement demain, quand on va « fermer » la Guinée, peut-être que c'est Sierra Leone, le Liberia ou la Côte d'Ivoire qui seront concernés. En ce qui concerne le réseau des passeurs, ce n'est pas seulement la Guinée qui doit y travailler. Il faut que les pays collaborent, que ça soit une coordination entre les États parce que ces passeurs sont des criminels. Ça, il faut le dire. Quand vous voyez ce qui se passe aujourd'hui en Tunisie, vous comprendrez pourquoi les pays doivent coopérer pour pouvoir travailler sur cette question. Est-ce que vous avez pu dresser un profil des personnes qui prennent la mer ? Ce sont des familles avec des enfants, parce qu'ils sont convaincus qu'avec des enfants, on vous donne des papiers en règle dès votre arrivé. Donc, ils prennent toute la famille pour partir. En majorité, c'est des jeunes de 17 à 35 ans. Mais il y a également des vieux, des femmes, des enfants, des intellectuels, des étudiants, des non-étudiants... C'est les mêmes personnes, des fois, qui avaient envie de partir mais qui n'en avaient pas la possibilité. Avec 15 millions de francs guinéens [1 500 €, NDLR], ils vont migrer depuis Kamsar.  À lire aussiMauritanie: «Notre politique vis-à-vis de la migration irrégulière est restée la même» Alors même que la communication habituelle des autorités et la sensibilisation communautaire martèlent que le risque de partir clandestinement, c'est très dangereux, que la Guinée ou même l'Afrique en général, a besoin de bras pour se construire et que les politiques migratoires, vous l'avez dit, sont de plus en plus dures. Pourquoi, selon vous, les jeunes continuent de tenter « l'aventure », comme on l'appelle en Afrique de l'Ouest ? On est tous d'accord que d'abord, la migration, c'est un fait naturel. Deuxièmement, il y a une communication sur les réseaux sociaux qui dit que l'Allemagne ou la France ont besoin de plus de main-d'œuvre et les jeunes ont besoin de travailler. Mais quand vous prenez le cas spécifique de la Guinée, la majeure partie des jeunes Guinéens ont perdu confiance non seulement en l'intellectuel guinéen, mais aussi en la République de Guinée. Même s'ils avaient des milliards en poche, ils n'auraient pas envie d'investir dans ce pays parce qu'il y a une totale perte de confiance. Même si ces jeunes sont des intellectuels, même si vous leur trouvez un travail, ils vont chercher un moyen de transport pour quitter le pays parce qu'ils n'ont plus confiance en la République. À une époque, on avait des tee-shirts qui disaient La Guinée est mon avenir. Il y a un jeune qui m'a interpellé un jour, en me disant : « Tu penses qu'il y a une possibilité de réussir dans ce pays où un Premier ministre te dit qu'une région n'a pas le courant parce qu'un Chinois est mort ? » [en 2018, l'ex-Premier ministre Kassory Fofana avait justifié l'absence d'électricité à Kankan par le décès prématuré de l'investisseur chinois choisi pour le projet, NDLR] Vous voyez la mentalité ? Au début de ce mois, 49 Sénégalais ont quitté la Mauritanie en pirogue, se sont perdus en mer et ont finalement pu atteindre les îles Canaries en s'accrochant à une barge remorquée par un navire européen. Comment vous expliquez une telle détermination chez les jeunes Africains, avec pourtant un énorme risque de se faire arrêter ou pire, de mourir, tout simplement ? Vous interrogez dix jeunes aujourd'hui sur pourquoi ils sont prêts à prendre ces risques-là. Ils vous diront que dans l'état actuel des choses, ils sont comme déjà morts. Donc pour eux, il vaut mieux aller mourir ailleurs et peut-être réussir, que de rester ici et mourir. C'est comme un jeune avec ses parents, s'il n'a plus confiance, il va quitter la maison. Donc quand on n'a plus confiance en notre nation, on va forcément la quitter. C'est ce qui arrive en l'Afrique de l'Ouest, surtout au Sénégal et en Guinée. Quand dans un pays, même manger devient un luxe, ça devient un problème. Il y a donc la communication sur les réseaux sociaux et aussi cette question politique qui motive de nombreux jeunes à partir. Et on comprend parfois leur motivation, ils veulent tout simplement vivre en paix. À lire aussiLa France peut-elle se passer d'immigration ?

7 milliards de voisins
Pourquoi les filles doivent oser devenir ingénieures

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 48:30


Chaque année en France, 44 000 nouveaux jeunes ingénieurs, filles et garçons, arrivent sur le marché du travail alors qu'il en faudrait 60 000. Les jeunes filles sont encore peu nombreuses à s'engager dans les filières et les carrières scientifiques. (Rediffusion) Sur les ingénieurs en activité, 24% sont des femmes et la proportion des jeunes filles dans les filières scientifiques stagne. Pourquoi ces filières ne séduisent pas les filles alors qu'elles portent sur des univers variés comme le développement durable, l'industrie du futur, la défense, la santé, les biotechnologies, l'aérospatiale, la cybersécurité ? Quelle sensibilisation dans les lycées ? Quelles politiques RH dans les entreprises pour accueillir de nouvelles femmes ingénieures ?   Avec : • Fatima Bakhti, présidente de l'Association Femmes Ingénieures et ingénieure dans les télécommunications  • Elyès Jouini, professeur des Universités (économie et mathématiques), administrateur de l'Institut Universitaire de France (UAF), responsable de la chaire Dauphine-UNESCO « Femmes et Science » à l'Université Paris-Dauphine, ancien ministre en Tunisie. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot  C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Yaoundé au Cameroun : on va retrouver Erica, Danielle, Isaac, Christie, Luz, Kevin, Emmanuel et Ruth. Ces enfants, âgés de 8 à 12 ans, nous parlent des accidents de la route... une réalité qu'ils connaissent bien.   En fin d'émission, Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Kevin à Libreville, Gabon.   Cette émission est une rediffusion du 12 février 2025 Programmation musicale : ► Tout savoir - Adé.  ► Nishimira - Boukuru.

7 milliards de voisins
Pourquoi les filles doivent oser devenir ingénieures

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 48:30


Chaque année en France, 44 000 nouveaux jeunes ingénieurs, filles et garçons, arrivent sur le marché du travail alors qu'il en faudrait 60 000. Les jeunes filles sont encore peu nombreuses à s'engager dans les filières et les carrières scientifiques. (Rediffusion) Sur les ingénieurs en activité, 24% sont des femmes et la proportion des jeunes filles dans les filières scientifiques stagne. Pourquoi ces filières ne séduisent pas les filles alors qu'elles portent sur des univers variés comme le développement durable, l'industrie du futur, la défense, la santé, les biotechnologies, l'aérospatiale, la cybersécurité ? Quelle sensibilisation dans les lycées ? Quelles politiques RH dans les entreprises pour accueillir de nouvelles femmes ingénieures ?   Avec : • Fatima Bakhti, présidente de l'Association Femmes Ingénieures et ingénieure dans les télécommunications  • Elyès Jouini, professeur des Universités (économie et mathématiques), administrateur de l'Institut Universitaire de France (UAF), responsable de la chaire Dauphine-UNESCO « Femmes et Science » à l'Université Paris-Dauphine, ancien ministre en Tunisie. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot  C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Yaoundé au Cameroun : on va retrouver Erica, Danielle, Isaac, Christie, Luz, Kevin, Emmanuel et Ruth. Ces enfants, âgés de 8 à 12 ans, nous parlent des accidents de la route... une réalité qu'ils connaissent bien.   En fin d'émission, Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Kevin à Libreville, Gabon.   Cette émission est une rediffusion du 12 février 2025 Programmation musicale : ► Tout savoir - Adé.  ► Nishimira - Boukuru.

Afrique Économie
Tunisie: la diaspora investit, mais reste frileuse face aux lourdeurs locales [4/5]

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 2:23


Avec l'été, les Tunisiens de l'étranger rentrent au pays. Leurs transferts représentent 6,5 % du PIB. Plus de la moitié d'entre eux investissent en Tunisie. Mais sur place, les obstacles à l'investissement et au retour restent nombreux. En Tunisie, la diaspora est au centre des discussions avec l'été et le retour des « TRE », les Tunisiens résidant à l'étranger pour les vacances. Sur les collines d'El Monchar, près de Hammamet, Sofien Grira, 40 ans, Tuniso-Français, a fait le choix du retour. « On est originaire du sud de la France et d'Antibes, c'est pour ça que la lavande et le terrain de pétanque, c'est important pour nous », explique-t-il en montrant son domaine. Installé depuis cinq ans, Sofien a transformé la villa de son frère en une demeure de luxe destinée à une clientèle haut de gamme. « Ce n'est pas assez mis en valeur. Je pense qu'on a réussi à créer quelque chose parce qu'il y a un petit engouement autour de notre villa Apolonya au niveau d'Instagram, des revues Google, d'Airbnb », décrit-il. Un exemple rare d'investissement productif dans le tourisme Ancien développeur informatique, spécialiste du marketing digital et de la finance, Sofien vivait à Dubaï avant de revenir investir en Tunisie. « Quand je vois que le Maroc avance, que la diaspora marocaine commence à investir et à faire des projets comme Apolonya là-bas… Quand je vois qu'en Grèce, ils sont sortis du tourisme de masse pour faire ça et que ça a cartonné, je me dis : si on ne montre pas l'exemple, il n'y a personne qui suivra. Donc, pourquoi ne pas le faire ? Pourquoi ne pas avancer ? Malgré les difficultés et les contraintes », affirme-t-il. Alpagas, poneys et paons peuplent aujourd'hui ce petit coin de paradis. Mais ce genre de projet reste l'exception. Nombreux sont les membres de la diaspora qui hésitent encore à investir. C'est ce que confirme le professeur Mustapha Kaanichee, expert en migration, lors du Tunisia Global Forum, le forum annuel sur la diaspora. « La plupart des investissements de la diaspora en Tunisie, je dirais que ce sont des investissements non productifs dans le secteur immobilier, dans la construction ou l'achat de maisons, et aussi dans l'agriculture. Et même dans l'agriculture, c'est l'achat de terrains agricoles plutôt que de projets agricoles », explique-t-il. Pour l'universitaire, les freins sont bien identifiés : « Quels sont les obstacles à l'investissement en Tunisie ? Il y a des obstacles essentiellement administratifs, la complexité administrative, l'environnement d'affaires qui n'est pas vraiment très favorable », souligne-t-il. Une réforme du Code des changes, l'instauration d'avantages pour favoriser une migration circulaire : ce sont, selon lui, des leviers nécessaires pour encourager les investissements et le retour des Tunisiens de l'étranger. Mais la réalité est encore loin des discours. Selon une étude présentée lors du forum, seulement 20% des TRE souhaitent rentrer au pays. Près de 60 % excluent cette possibilité.

Journal de l'Afrique
20 ans de prison ferme pour Succès Masra

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 13:24


Au Tchad, Succès Masra, ancien Premier ministre et chef du principal parti d'opposition a été condamné à vingt ans de prison ferme. Il a été reconnu coupable de "diffusion de message à caractère haineux et xénophobe" et de "complicité de meurtre" dans le cadre du drame de Mandakao où 42 personnes ont été tuées en mai dans un conflit inter-communautaire.

Reportage International
Série «Dis-moi à quoi tu joues»: la chkobba, symbole du patrimoine tunisien et de ses liens avec la Sicile

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 3:27


« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde. Ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Tunisie où l'on joue à la chkobba. Ce jeu de cartes, originaire de la migration sicilienne dans le pays au XIXe siècle, est le jeu favori des cafés tunisiens qui vendent d'ailleurs le jeu de cartes sur le menu, à côté du thé et du café. Jeu stratégique et populaire par excellence, la chkobba est aussi symbolique du patrimoine tuniso-italien dans le pays. De notre envoyée spéciale à Nabeul, Sur la route de Nabeul dans le Cap-Bon, en pleine chaleur, alors que beaucoup font encore la sieste, Zouhair, retraité, fait une partie de chkobba avec ses amis au café. « On joue toujours ensemble, celui qui perd paye la consommation des autres. Ou alors, chacun paye sa part, cela dépend. Le plus important, c'est qu'on s'amuse et que le meilleur gagne », raconte-t-il. Chaque jour, c'est le même rendez-vous : un café, une craie et une ardoise pour noter le score et les exclamations des joueurs qui s'entendent jusque dans la rue. Ce jeu se joue à deux ou quatre, le gagnant est celui qui récupère le plus de cartes à la fin de la manche. Mais sur le jeu de 40 cartes, chacune à sa valeur et chaque prise rapporte des points différents, comme l'explique Mohamed, le gérant du café : « Une carte en fonction de sa valeur permet de prendre ou de manger, comme on dit chez nous, les cartes qui sont sur le plateau, et d'effectuer ainsi une prise. Et à la fin de la manche, on compte les points. Le point dit "dinari" récompense celui qui a le plus de carreaux dans son jeu par exemple. » Il y a « chkobba » lorsqu'un joueur arrive à manger toutes les cartes sur le plateau en un seul coup. Le jeu se déroule très rapidement et requiert de la stratégie, mais aussi une gestuelle faciale pour communiquer entre partenaires sur le jeu de chacun. « Normalement, on a le droit de communiquer avec son partenaire juste lorsqu'on a le sept de carreau, la carte la plus importante. En tapant du poing sur la table, les autres grimaces sont interdites. Si on se fait prendre, on peut perdre des points, donc moi, je ne prends pas le risque », précise Zouhair. « Bien sûr qu'il existe une grimace sûre ou un geste subtil pour chaque type de carte. Mais les bons joueurs sont surtout ceux qui arrivent à suivre les cartes qui ont été mangées au fur et à mesure du jeu et à anticiper celles qui restent pour mieux faire leur prise ou empêcher un joueur de faire une chkobba. Ça, ce sont les vrais pros, ceux qui, à la fin de la partie, sont capables de te dire quelles cartes il reste dans la dernière manche », assure Mohamed, selon qui les plus habiles connaissent au moins une douzaine de mimiques en fonction des cartes. Convivial et stratégique, la chkobba est très populaire depuis deux siècles, souligne Alfonso Campisi, professeur universitaire sicilien et tunisien. Installé dans le pays depuis une trentaine d'années, il s'est intéressé à l'histoire du jeu. « Il naît en Espagne, importé par la domination arabe en Espagne. On pense aussi à travers les Mamelouks d'Égypte. Après, depuis l'Espagne, il s'est propagé un peu dans toute la Méditerranée et notamment les ports de la Méditerranée », détaille-t-il. Le jeu se joue quasi à l'identique en Tunisie et en Sicile, même pour les mimiques supposées interdites. « Rien ne change. Cela veut dire que si un Sicilien, qui ne parle même pas arabe ou français, vient jouer dans un café tunisien, il est dans son bain. C'est ça qui est beau et qui lie encore plus ces deux régions de la Méditerranée », explique l'universitaire. Jeu populaire et culturel, la chkobba rassemble de nombreux adeptes en Tunisie, même si les plus jeunes lui préfèrent le rami, une variante du poker à la tunisienne. À lire aussiLes délices du continent: en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10]

Reportage Afrique
Les délices du continent: en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 2:24


Suite de notre série qui vous emmène à la découverte des délices du continent, ces plats qui font saliver rien qu'à l'évocation de leur nom. Pour ce quatrième épisode, nous allons ce matin en Tunisie, pour savourer le mleoui. Cette crêpe de semoule, aux origines berbères, est devenue une institution dans la street food (cuisine de rue). Peu coûteux et rassasiant, le sandwich s'achète dans des gargotes de quartier et se décline en différentes versions, selon les garnitures que l'on met à l'intérieur. Pour certains amateurs, trouver le meilleur mleoui à Tunis est une activité très sérieuse.  De notre correspondante à Tunis, Yasser Hana, restaurateur palestinien vivant en Tunisie, est un fan de street food. Sur les réseaux sociaux, il en a fait sa marque de fabrique en tant que créateur de contenus, et le mleoui est son sandwich préféré. « Un mleoui, avec deux fromages, un peu de harissa et de thon », commande-t-il avec précision chez Mleoui Mahbouba, une gargotte tenue par deux sœurs depuis trente ans. « Un truc simple sans chichis, deux fromages triangle, un peu de harissa, des oignons et du thon. Pas d'omelette, pas d'olives, pas de mayonnaise pour ne pas gâcher le goût de la pâte, pour savourer le goût de chaque ingrédient seul, pour avoir dans la bouche une expérience homogène », explique-t-il. Car ce qui fait la force du mleoui, c'est sa simplicité : une crêpe épaisse à base de semoule, comme l'explique Mahbouba, qui travaille la pâte juste avant de la cuire. « La pâte, on la fait le jour même. Un peu de sel, de la semoule fine et un peu d'huile et le tour est joué. Je la remue comme ça, on la laisse reposer quelques minutes, et ensuite, on cuit le mleoui et on ajoute la garniture. C'est très frais et instantané. » Le prix, qui ne dépasse pas un euro, et toutes ses différentes garnitures en font l'un des sandwichs préférés des Tunisiens. Un sandwich qui évoque une certaine nostalgie, selon Yasser : « Le consommateur basique, il est très fidèle à son mleoui de quartier ou au mleoui dans la ruelle où il a grandi. » À quelques encablures, un jeune de 30 ans, Fahd, a ouvert sa propre boutique où il vend des mleouis déclinés dans une recette qui s'inspire de la version marocaine, le msemen, où l'on ajoute un peu de beurre et de farine. « À chaque fois, on ajoute un ingrédient et finalement, on a trouvé la bonne recette et la bonne combinaison de ces ingrédients-là », estime-t-il. « Les Tunisiens disent souvent qu'ils n'aiment que la nourriture de leur mère, mais c'est vrai que pour ces produits de street food, on préfère aller dans la rue. Surtout le mleoui. Je pense qu'il n'y a pas un Tunisien qui ne mange pas le mleoui une seule où deux fois par semaine », explique-t-il. Il propose aussi une version de la pâte au pesto ou épicée. Des variantes qui fonctionnent puisqu'il a gagné le Torchi Food Award 2024, une compétition qui récompense le meilleur de la street food tunisienne. À lire aussiTunisie: la richesse du patrimoine culinaire encore méconnue

Quoi de neuf ?
Tisser des liens, faire briller le savoir francophone : Entretien avec Olfa Zéribi

Quoi de neuf ?

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 32:56


Olfa Zéribi est une universitaire tunisienne chevronnée, spécialiste du management stratégique et de l'innovation. Titulaire d'un doctorat en sciences de gestion de l'IGR‑IAE Rennes (France), elle enseigne depuis 2005 à l'Institut des Hautes Études Commerciales de l'Université de Carthage. Forte de près de 30 ans d'expérience dans l'enseignement supérieur, elle a occupé plusieurs postes de direction, notamment celui de directrice de l'école doctorale et fondatrice du master en management et stratégie. Elle a également été impliquée dans des projets européens tels que le programme Tempus « DICAMP » et, entre 2017 et 2020, a dirigé le programme Horizon 2020 pour le Ministère tunisien de l'Enseignement supérieur, jouant un rôle clé dans l'intégration de la Tunisie dans l'Espace européen de la recherche. En parallèle, elle a été consultante pour des institutions internationales comme le PNUD, la GIZ et l'UNESCO. Depuis septembre 2020, elle est directrice de la Direction Europe de l'Ouest de l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF), où elle pilote les relations avec les établissements francophones et les initiatives de diplomatie scientifique. Elle a reçu la Médaille de l'Ordre du Mérite National en 2019 pour son engagement exceptionnel dans le domaine de l'éducation et de la recherche.Site web de l'AUF : https://www.auf.org/Site de la Direction régionale Europe Occidentale de l'AUF : https://www.auf.org/europe-ouest/Stratégie de l'AUF 2021-2025 : https://www.auf.org/wp-content/uploads/2017/03/Strate%CC%81gie-2021-2025.pdfLivre blanc de la francophonie scientifique (synthèse des résultats de la Consultation mondiale de la francophonie scientifique et socle de la Stratégie 2021-2025) : https://www.calameo.com/auf/read/0061183914d084f069e3a?page=1Le Manifeste pour une Diplomatie Scientifique Francophone : https://www.calameo.com/auf/read/006118391da441b2b228d

Afrique Économie
Tarifs douaniers de Trump: en Tunisie, le secteur de l'artisanat premier touché

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 2:21


En Tunisie, la hausse des tarifs douaniers imposée par les États-Unis va entrer en vigueur jeudi 7 août. Ce serrage de vis tarifaire s'inscrit dans le cadre d'une vague de surtaxes douanières qui touchent près d'une soixantaine de pays. Une augmentation de 25 % qui va surtout affecter l'artisanat tunisien dont les États-Unis sont les premiers importateurs. Avec notre correspondante à Tunis, À l'Office national de l'artisanat, dans le quartier de La Manouba à Tunis, Karim Bairam supervise la découpe des pierres pour ses mosaïques. 80% de la production de cet artiste mosaïste et sculpteur part à l'export, une grande partie vers les États-Unis. « Je travaille avec des particuliers, des clients qui ont des maisons et qui veulent acheter une pièce souvenir d'ici comme une grande table ou un tableau », détaille-t-il. Il prend l'exemple de sa dernière pièce d'une valeur d'environ 3 000 dinars. Les taxes et les frais d'envois appliqués s'élèvent actuellement à environ 1 200 dinars, peut-être 1 600 environ après l'application des nouvelles taxes, explique l'artisan. Des coûts de douane et de livraison qui sont aux frais du client. Pour l'instant, la différence n'est pas trop importante pour les commandes à l'unité des particuliers, mais Karim redoute les conséquences sur le long terme : « Avec une grande commande, ils vont calculer tout ça, tu vois, c'est sûr. » Mesures pour une baisse des coûts d'envoi, diversification des marchés Karim explore déjà de nouveaux marchés comme la Chine. Aux États-Unis, Kenza Fourati co-fondatrice de la marque Osay the Label, qui vend des babouches traditionnelles en cuir importées de Tunisie, craint de devoir augmenter ses prix pour ne pas diminuer sa marge déjà petite. « L'impact sur les artisans avec lesquels on travaille sera forcément qu'il y aura moins de production, le volume de production va forcément diminuer un peu si les prix changent », anticipe-t-elle. « C'est ça qui nous inquiète un peu, car notre travail est à échelle très humaine. Il y a des compagnies plus grandes qui peuvent absorber ces coûts et sont donc moins impactées. Mais des compagnies à petite taille comme les nôtres, ce sont elles qui en souffrent le plus. Les gens vont souffrir sur toute la ligne de production de ces tarifs », poursuit l'entrepreneuse. À Tunis, à l'office de l'artisanat, Leila Maslati, la directrice, veut rassurer les 350 000 artisans qui travaillent dans le pays. Elle prévoit la relance d'un projet avec le ministère du Commerce pour faire baisser le coup d'envoi et de livraison vers les États-Unis, mais aussi une diversification des marchés. « L'Afrique, c'est important pour nous, cette année, on a eu deux participations qui étaient bénéfiques pour le secteur de l'artisanat, au Cameroun et aussi au Nigeria. Et on aura en 2026 une participation importante en Côte d'Ivoire », précise-t-elle. En 2024, le volume des exportations de l'artisanat représentait 160 millions de dinars tunisiens – environ 55 millions de dollars – plus d'un tiers destiné au marché américain.

LSD, La série documentaire
Qui est “l'Arabe du coin” ? 1/4 : L'épicier de Djerba

LSD, La série documentaire

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 57:37


durée : 00:57:37 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran, Noujoud Rejbi - Outre le cas de ma famille, j'ai constaté que beaucoup d'épiciers maghrébins sont originaires de Djerba en Tunisie. J'ai tenté de comprendre pourquoi. Et plus globalement, pourquoi certains Maghrébins, en arrivant en France, se sont installés dans le commerce indépendant. - réalisation : Anne Depelchin

Journal de l'Afrique
Massad Boulos reçu par Kais Saied

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 23, 2025 12:26


En Tunisie, le président Kaïs Saïed a montré des photos d'enfants morts à Gaza en recevant Massad Boulos, le conseiller Afrique de Donald Trump. Des enfants squelettiques et "à l'agonie", selon ses termes, pour rappeler la famine à tuer à Gaza.

Maghrib in Past & Present | Podcasts
Entretien avec l'Historien Mohamed Lazhar Gharbi

Maghrib in Past & Present | Podcasts

Play Episode Listen Later Jul 17, 2025 94:05


Episode 210: Entretien avec l'Historien Mohamed Lazhar Gharbi Le projet « Archives d'histoire orale de la production intellectuelle maghrébine » vise à documenter les trajectoires de vie, les formations intellectuelles et les luttes politiques de plusieurs générations de femmes et d'hommes nord-africains qui ont contribué à la création de la culture écrite et parlée dans cette partie du monde. Les entretiens sont réalisés avec des économistes, planificateurs, nutritionnistes, architectes, sociologues ruraux et d'autres chercheurs algériens, marocains et tunisiens. Il s'agit de la toute première initiative au Maghreb visant à créer des archives écrites, orales et filmées du travail intellectuel de générations qui se sont battues pour construire leurs sociétés. Elle innove en rassemblant ces voix et en les portant à la connaissance d'un large public afin de mieux faire connaître les premiers aux seconds et de démocratiser l'accès au savoir dans notre région. Dans ce podcast, enregistré en Tunisie en avril 2022, Habib Ayeb, Professeur émérite de géographie à l'Université de Paris 8, s'entretient avec l'Historien Mohamed Lazhar Gharbi, Professeur d'Enseignement Supérieur Histoire contemporaine et histoire économique dans la Faculté des Lettres, Arts, et Humanités à l'Université de Manouba, Tunis ; Directeur du Laboratoire de Recherche (LR) Échanges Maghreb - Afrique - Europe ; et Directeur de la Commission doctorale (histoire).  Équipe :     Habib Ayeb, Géographe     Max Ajl, Sociologue     Ernest Riva Image : Ernest Riva Post-production :Benoît Kalka Découvrez la vidéo et l'interview en pdf We thank Mr. Souheib Zallazi, (student at CFT, Tunisia) and Mr. Malek Saadani (student at ULT, Tunisia), for their interpretation of el Ardh Ardhi of Sabri Mesbah, performed for the introduction and conclusion of this podcast. Souheib on melodica and Malek on guitar. Montage : Lena Krause, Boursière Résidente au Centre d'Études Maghrébines à Tunis (CEMAT) 

De vive(s) voix
La langue arabe, invitée d'honneur de la 79e édition du Festival d'Avignon

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 29:00


Depuis trois ans, le Festival d'Avignon met à l'honneur une langue. Cette année, c'est la langue arabe qui est invitée.  Après l'anglais en 2023, puis l'espagnol en 2024, Tiago Rodrigues, le directeur du Festival d'Avignon, a choisi l'arabe comme langue invitée pour cette 79e édition. À cette occasion, deux soirées sont organisées pour mettre cette langue à l'honneur.  Cinquième langue la plus parlée au monde, deuxième langue de France, langue multiple, plurielle, langue des poètes, elle sera représentée par des artistes originaires de la Tunisie, du Maroc, d'Irak, de la Palestine, de la Syrie, de l'Égypte ou encore du Liban.  Dès que je suis au Liban, au bout de trois jours, je rêve de nouveau en arabe. Quand je suis en France, je ris en français. Rima Abdul Malak Invitées :  Rima Abdul Malak, ancienne ministre de la Culture de la France, fondatrice des Rima Poésie Club qui sont des rendez-vous réguliers pour faire entendre de la poésie. Elle a contribué à la soirée Nour, une célébration poétique de la langue arabe qui réunit musiciens, comédiens, poètes, danseurs et artistes pour célébrer la langue arabe.  La langue arabe, c'est la langue des poètes depuis la période pré islamique, c'est une langue qui s'est construite, ouverte et diversifiée grâce à la poésie.  Rima Abdul Malak La soirée Nour, mardi 15 juillet, à partir de 22 heures dans la cour du lycée Saint-Joseph.  Souad Massi, autrice-compositrice franco-algérienne, une des artistes du spectacle La voix des femmes, célébration des 50 ans de disparition « l'Astre d'Orient », la légendaire chanteuse égyptienne Oum Kalthoum.  Pour cette soirée, sept artistes, des grandes voix d'aujourd'hui : Abdullah Miniawy, Camelia Jordana, Danyl, Maryam Saleh, Natacha Atlas, Rouhnaa, Souad Massi – aux influences éclectiques rendront hommage à la légendaire chanteuse égyptienne Oum Kalthoum, sous la direction musicale de Zeid Hamdan dans la Cour d'honneur du palais des Papes.  Je pense qu'elle est célèbre à cause de sa voix très particulière. C'était une femme très libre qui a inspiré beaucoup de jeunes filles. Une figure du féminisme. Elle avait des chansons aussi très osées, ce qui n'était pas évident à l'époque.  Souad Massi Quelques mots sur Oum Kalthoum :  Née en 1898 à Ṭamāy al-Zahāyira en Égypte, Fatima Ibrahim as-Sayyid al-Beltagi dite Oum Kalthoum est considérée comme l'une des plus grandes chanteuses d'Orient. Initiée dès son plus jeune âge au chant par son père, elle a su allier tradition et modernité. Sa carrière de chanteuse, mais aussi d'actrice, s'étend sur près de cinq décennies. Oum Kaltoum disparait en 1975.  La soirée La voix des femmes sera diffusée en direct sur RFI et Monte Carlo Doualiya à 20H10 TU.  À lire aussiConcert «La Voix des femmes»: Un hommage moderne à Oum Kalthoum, 50 ans après sa mort À écouter : Le reportage de Fanny Imbert à la bibliothèque Cecano avec Marianne Weiss, conteuse et bibliothécaire à l'Institut du monde arabe, pour écouter Le livre de Kalila et Dimna, des contes d'origine indienne, traduits en arabe au 8e siècle et qui ont inspiré les fables de La Fontaine.  Programmation musicale :  L'artiste Oum Kalthoum avec le titre Alf Leila wa Leila L'artiste Souad Massi qui reprend le titre Hob Eih de Oum Kalthoum  Rodolphe Burger qui chante la poésie de Mahmoud Darwish 

De vive(s) voix
La langue arabe, invitée d'honneur de la 79e édition du Festival d'Avignon

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 29:00


Depuis trois ans, le Festival d'Avignon met à l'honneur une langue. Cette année, c'est la langue arabe qui est invitée.  Après l'anglais en 2023, puis l'espagnol en 2024, Tiago Rodrigues, le directeur du Festival d'Avignon, a choisi l'arabe comme langue invitée pour cette 79e édition. À cette occasion, deux soirées sont organisées pour mettre cette langue à l'honneur.  Cinquième langue la plus parlée au monde, deuxième langue de France, langue multiple, plurielle, langue des poètes, elle sera représentée par des artistes originaires de la Tunisie, du Maroc, d'Irak, de la Palestine, de la Syrie, de l'Égypte ou encore du Liban.  Dès que je suis au Liban, au bout de trois jours, je rêve de nouveau en arabe. Quand je suis en France, je ris en français. Rima Abdul Malak Invitées :  Rima Abdul Malak, ancienne ministre de la Culture de la France, fondatrice des Rima Poésie Club qui sont des rendez-vous réguliers pour faire entendre de la poésie. Elle a contribué à la soirée Nour, une célébration poétique de la langue arabe qui réunit musiciens, comédiens, poètes, danseurs et artistes pour célébrer la langue arabe.  La langue arabe, c'est la langue des poètes depuis la période pré islamique, c'est une langue qui s'est construite, ouverte et diversifiée grâce à la poésie.  Rima Abdul Malak La soirée Nour, mardi 15 juillet, à partir de 22 heures dans la cour du lycée Saint-Joseph.  Souad Massi, autrice-compositrice franco-algérienne, une des artistes du spectacle La voix des femmes, célébration des 50 ans de disparition « l'Astre d'Orient », la légendaire chanteuse égyptienne Oum Kalthoum.  Pour cette soirée, sept artistes, des grandes voix d'aujourd'hui : Abdullah Miniawy, Camelia Jordana, Danyl, Maryam Saleh, Natacha Atlas, Rouhnaa, Souad Massi – aux influences éclectiques rendront hommage à la légendaire chanteuse égyptienne Oum Kalthoum, sous la direction musicale de Zeid Hamdan dans la Cour d'honneur du palais des Papes.  Je pense qu'elle est célèbre à cause de sa voix très particulière. C'était une femme très libre qui a inspiré beaucoup de jeunes filles. Une figure du féminisme. Elle avait des chansons aussi très osées, ce qui n'était pas évident à l'époque.  Souad Massi Quelques mots sur Oum Kalthoum :  Née en 1898 à Ṭamāy al-Zahāyira en Égypte, Fatima Ibrahim as-Sayyid al-Beltagi dite Oum Kalthoum est considérée comme l'une des plus grandes chanteuses d'Orient. Initiée dès son plus jeune âge au chant par son père, elle a su allier tradition et modernité. Sa carrière de chanteuse, mais aussi d'actrice, s'étend sur près de cinq décennies. Oum Kaltoum disparait en 1975.  La soirée La voix des femmes sera diffusée en direct sur RFI et Monte Carlo Doualiya à 20H10 TU.  À lire aussiConcert «La Voix des femmes»: Un hommage moderne à Oum Kalthoum, 50 ans après sa mort À écouter : Le reportage de Fanny Imbert à la bibliothèque Cecano avec Marianne Weiss, conteuse et bibliothécaire à l'Institut du monde arabe, pour écouter Le livre de Kalila et Dimna, des contes d'origine indienne, traduits en arabe au 8e siècle et qui ont inspiré les fables de La Fontaine.  Programmation musicale :  L'artiste Oum Kalthoum avec le titre Alf Leila wa Leila L'artiste Souad Massi qui reprend le titre Hob Eih de Oum Kalthoum  Rodolphe Burger qui chante la poésie de Mahmoud Darwish 

Journal de l'Afrique
Cinq chefs d'État africains à la Maison Blanche : vers un nouveau chapitre ?

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 15:43


Cinq chefs d'État africains sont accueillis à la Maison Blanche pour un sommet de trois jours. Les présidents du Liberia, du Sénégal, de Mauritanie, de Guinée-Bissau et du Gabon ont été invités pour cette rencontre centrée officiellement sur des questions commerciales. L'Amérique revient en Afrique… non plus avec de l'aide humanitaire, mais avec des contrats.

Questions d'islam
L'alcool dans les contextes islamiques

Questions d'islam

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 56:40


durée : 00:56:40 - Questions d'islam - par : Ghaleb Bencheikh - L'interdit religieux touchant le vin et les boissons alcoolisées dans les mondes musulmans en est-il vraiment un ? Que disent les savants de l'islam sur le sujet ? Les normes varient-elles selon les branches religieuses, les aires géographiques et les périodes historiques ? - réalisation : François Caunac - invités : Nessim Znaien Docteur en histoire contemporaine dont la thèse porte sur la consommation d'alcool dans la Tunisie coloniale.

Tous les cinémas du monde
Pedro Pinho filme les rapports post-coloniaux dans «Le rire et le couteau»

Tous les cinémas du monde

Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 48:29


Que signifie être ici quand on vient d'ailleurs ? Comment décoloniser les imaginaires ? Ces questions, passionnantes et parfois vertigineuses, un ample long métrage, une fresque, nous invitent à les poser cette semaine. Le rire et le couteau, c'est le titre de ce long métrage qui sort en salle en France mercredi prochain (9 juillet 2025), après avoir été très remarqué au dernier festival de Cannes où il a été présenté dans la section Un certain regard. Sergio, un ingénieur environnemental débarque en Guinée-Bissau pour une mission au service d'une organisation humanitaire. Il doit faire une étude d'impact environnemental sur un projet de route située entre une réserve naturelle et des rizières ancestrales. «Le rire et le couteau» est le deuxième long métrage de Pedro Pinho qui explore la façon dont le colonialisme perdure sous de nouvelles formes.   À l'affiche de notre cinéma ce samedi également, un reportage de notre correspondante Lilia Blaise sur le festival Jean Rouch hors les murs en Tunisie.   Musiques : Allons enfants de Feu!Chatterton, et Free, version acoustique, de Prince (Playlist RFI).

Un Jour dans l'Histoire
Rolland Garros : Première traversée aérienne de la mer Méditerranée 23 septembre 1913

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 25:27


Nous sommes au matin du 23 septembre 1913.Il est, très exactement, 5h47. La météo est plutôt avenante. Elle sourit à un jeune homme de vingt-cinq ans, un peu anxieux tout de même. Il a passé les heures précédentes dans une sorte de recueillement, évaluant le danger de ce qu'il va entreprendre. Ce jeune homme est français, né à la Réunion ; il est aviateur. Et il s'apprête à effectuer, ni plus ni moins, la traversée de la méditerranée, en avion. Et c'est une première. Il va partir de Fréjus, dans le Var et se poser à Bizerte au nord de la Tunisie, 730 kms plus loin. 7heures 53 minutes plus tard. Le jeune homme entre dans l'histoire, il s'appelle Roland Garros. Sujets traités : Rolland Garros, aviateur, Méditerranée, mer, aviation, Fréjus, Bizerte Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Bercoff dans tous ses états
Bercoff dans tous ses états - Bercoff dans tous ses états du 3 juillet

Bercoff dans tous ses états

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025


Au programme : Qui finance les médias de gauche ? / À quoi ressemble la politique migratoire en Tunisie ?

Journal de l'Afrique
En Tunisie, l'avocate Sonia Dahmani écope de deux ans de prison supplémentaires

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 12:18


L'avocate tunisienne Sonia Dahmani, qui purge déjà deux peines de 26 mois de prison au total, a été condamnée lundi à deux ans de prison supplémentaires. Elle était poursuivie dans une affaire liée à des déclarations critiquant le racisme envers les migrants dans son pays

Maghrib in Past & Present | Podcasts
Entretien avec le Sociologue Khalil Zamiti

Maghrib in Past & Present | Podcasts

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 77:53


Episode 208: Entretien avec le Sociologue Khalil Zamiti Le projet « Archives d'histoire orale de la production intellectuelle maghrébine » vise à documenter les trajectoires de vie, les formations intellectuelles et les luttes politiques de plusieurs générations de femmes et d'hommes nord-africains qui ont contribué à la création de la culture écrite et parlée dans cette partie du monde. Les entretiens sont réalisés avec des économistes, planificateurs, nutritionnistes, architectes, sociologues ruraux et d'autres chercheurs algériens, marocains et tunisiens. Il s'agit de la toute première initiative au Maghreb visant à créer des archives écrites, orales et filmées du travail intellectuel de générations qui se sont battues pour construire leurs sociétés. Elle innove en rassemblant ces voix et en les portant à la connaissance d'un large public afin de mieux faire connaître les premiers aux seconds et de démocratiser l'accès au savoir dans notre région. Dans ce podcast, enregistré en Tunisie en juin 2023, Habib Ayeb, professeur émérite de géographie à l'Université de Paris 8, s'entretient avec le Sociologue tunisien Khalil Zamiti, Professeur de sociologie au Centre d'Études et de Recherches Économiques et Sociales (CERES) à Tunis. Équipe :     Habib Ayeb, Géographe     Max Ajl, Sociologue     Ernest Riva Image : Ernest Riva Post-production :Benoît Kalka Découvrez la vidéo et l'interview en pdf Nous remercions infiniment Mohammed Boukhoudmi d'avoir interprété un morceau musical de « Elli Mektoub Mektoub » pour les besoins de ce podcast. Montage : Lena Krause, Boursière Résidente au Centre d'Études Maghrébines à Tunis (CEMAT). 

ONU Info

À l'occasion de la Fête de la musique, l'association Zone Verte et ONU-Habitat organisent pour la première fois le Green Drums Day, une compétition musicale inédite consacrée à la batterie, au cœur d'un espace vert délaissé du quartier El Manzah à Tunis.Elissa Amara, actuelle présidente et fondatrice de l'association Zone Verte, explique : « La batterie, c'est l'instrument musical de l'urbain par défaut, un instrument qui fait du bruit — mais un bruit artistique, qui fait vibrer les cœurs. »Au programme de cette journée : deux catégories de jeunes batteurs — de moins et de plus de 15 ans — doivent se produire sur scène, entrecoupés d'intermèdes artistiques, dont un hommage musical écologique signé par des artistes venus du Japon. L'objectif ? Mettre en lumière un espace vert menacé, aujourd'hui réduit à un parking bitumé, et rappeler sa vocation originelle. « Nous voulons réhabiliter cet espace en jardin urbain, où la biodiversité peut s'épanouir et les citoyens retrouver leurs droits environnementaux. »Pour Elissa Amara, l'événement incarne bien plus qu'un simple concert : « Les jeunes doivent pouvoir s'approprier ces lieux, pour créer, respirer et tisser des liens intergénérationnels. Une ville sans espaces verts est une ville sans santé publique. » Découvrez l'intégralité de son entretien en audio.(Interview : Elissa Amara, présidente et fondatrice de l'association Zone Verte; propos recueillis par Cristina Silveiro) 

Maghrib in Past & Present | Podcasts
Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècle.

Maghrib in Past & Present | Podcasts

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 52:15


Episode 207: Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècl Dans ce podcast, les Historiennes Charlotte Courreye et Annik Lacroix présentent l'ouvrage qu'elles ont coécrit avec Augustin Jomier, intitulé Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècle. Malgré ses liens étroits avec la France, Le Maghreb (Algérie, Libye, Maroc et Tunisie) est généralement méconnu et son passé souvent réduit aux colonisations européennes. Afin de mieux comprendre le devenir et les cultures de cette région du monde, cet ouvrage on retrace l'histoire, du XVIIIe siècle à nos jours. Un corpus original d'une centaine de documents -témoignages, discours politiques, tracts, rapport d'ONG ou encore poèmes et films - éclair les grands événements politiques, ainsi que les dynamiques sociales, économiques, et culturelles. Le lecteur saisit ces sociétés de façon vivante, découvrant la parole des populations locales et de toutes celles et ceux que l'on entend peu d'ordinaire. Précédé d'une introduction qui en présente le contexte de rédaction, chacun de ces textes s'adresse aussi bien à des étudiants et des enseignants du secondaire et du supérieur, qu'à un public curieux de découvrir davantage le Maghreb. (Texte extrait de la 4ème de couverture de l'ouvrage) Charlotte Courreye est chercheuse postdoctorale à l'École normale supérieure, Université Jean Moulin Lyon 3. Elle a enseigné l'histoire et l'arabe à l'INALCO. Annik Lacroix est Maîtresse de conférences en Histoire contemporaine à l'Université Paris-Nanterre et a enseigné l'histoire du Maghreb à l'INALCO. Augustin Jomier est Maître de conférences en Histoire moderne et contemporaine du Maghreb à l'INALCO. Cet épisode a été enregistré le 21 avril 2024 au Centre d'Études Maghrébines en Algérie (CEMA).  Dr. Belkacem Benzenine, Politologue et Directeur de recherche au CRASC, a modéré le débat de cette rencontre Nous remercions notre ami Ignacio Villalón, doctorant à l'Université de Crète/Institute for Mediterranean Studies, pour sa prestation à la guitare pour l'introduction et la conclusion de ce podcast.   Réalisation et montage: Hayet Yebbous Bensaid, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA). 

Grand reportage
«Le supplément du samedi» du 14 juin 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 48:30


Dans le supplément de ce samedi, en première partie, l'océan. Vient de s'achever à Nice, en France, la 3è conférence des Nations unies sur l'océan alors que le changement climatique rend plus difficiles les nombreux défis à relever dans cet espace qui représente tout de même 70% de la planète. À l'ordre du jour, entre autres, les menaces sur la pêche nourricière. Exemple, en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs de nos reporters sont partis recueillir des témoignages de pêcheurs sur les rivages ouest-africains. En deuxième partie, nous traitons de l'immigration venue d'Afrique à destination de l'Europe. La Tunisie est un point de passage privilégié avant la très risquée traversée de la Méditerranée, et les autorités tunisiennes sont engagées dans un processus d'endiguement de cette migration Sud-Nord.  Communautés de pêcheurs ouest-africaines, menace sur la ressource Toute cette semaine, la ville de Nice dans le sud de la France accueille la troisième conférence des Nations unies sur l'océan. L'océan, qui occupe 70% de notre planète, est sous pression du changement climatique et malmené par l'activité humaine. Au point, parfois, de ne plus offrir aux populations des littoraux les ressources nécessaires. C'est le cas en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs reporters de RFI sont allés à leur rencontre en Guinée, en Sierra Leone, au Ghana et au Sénégal. Un Grand reportage de Laurent Correau. Avec Lizza Fabbian, Léa-Lisa Westerhoff, Juliette Dubois, Kpénahi Traoré, Tangi Bihan, Victor Cariou. Entretien avec Jacques Allix.   Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix.

Journal de l'Afrique
Attaque au Nord-Mali : l'armée assure avoir pris le dessus sur les rebelles du FLA

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 15:27


Au Mali, les suites de l'embuscade tendue vendredi dans le nord du Mali à un convoi de l'armée malienne et de l'Africa Corps (ex-Wagner) par les rebelles maliens du Front de Libération de l'Azawad (FLA). Chaque camp revendique une victoire.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Israël : Benyamin Netanyahu collabore avec un groupe armé anti-Hamas

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la flottille humanitaire pour Gaza, la grève des joueurs centrafricains et l'utilisation des drones par Boko Haram. Israël : Benyamin Netanyahu collabore avec un groupe armé anti-Hamas   Les autorités israéliennes ont reconnu fournir des armes à un groupe palestinien de la bande de Gaza hostile au Hamas et impliqué dans des activités criminelles. En agissant ainsi, Benyamin Netanyahu respecte-t-il la loi israélienne ? Quelles peuvent être les conséquences sur les négociations pour un cessez-le-feu ? Avec Sami Boukhelifa, correspondant permanent de RFI à Jérusalem.     Flottille pour Gaza : Israël a-t-il violé le droit international ?   La marine israélienne a intercepté dans les eaux internationales le voilier humanitaire « Madleen » qui naviguait en direction de Gaza pour tenter de briser le blocus de l'enclave palestinienne. Cette arrestation respecte-t-elle le droit international ? Quel sort pour les Français qui n'ont pas encore été expulsés d'Israël ? Avec Benjamin Fiorini, maître de conférences à Paris 8, secrétaire général de l'Association des Juristes pour le Respect du Droit international (JURDI).     Centrafrique : bras de fer entre le ministre des Sports et la Fédération de Football   Prévu ce lundi 9 juin au Grand Stade de Casablanca, le match amical entre la Tunisie et la Centrafrique n'a finalement pas eu lieu. En cause : la grève des joueurs centrafricains pour exiger des primes. Pourquoi la Fédération refuse-t-elle de verser les primes ? L'annulation du match peut-elle entraîner des sanctions à l'encontre des joueurs ? Avec Rolf-Steve Domia-Leu, correspondant de RFI à Bangui.      Bassin du Lac Tchad : les drones de Boko Haram   Dans son rapport semestriel, le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l'Afrique centrale, Abdou Abarry, dénonce les attaques de drones chargés d'explosifs par Boko Haram. Comment les jihadistes se procurent-ils ces drones ? Que sait-on de leur puissance de frappe ? Avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos, directeur de recherches à l'Institut de recherche pour le développement, spécialiste des conflits armés des pays africains anglophones.  

Radio foot internationale
Éliminatoires Mondial 2026: la dernière de Spalletti avec l'Italie

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 48:29


Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. À la Une aujourd'hui : - Des nations majeures dans le dur. Éliminatoires du Mondial zone Europe ; - La Mannschaft dans le doute. ; - Rayan Cherki rejoint Manchester City. ; - Le Maroc à 6 mois de l'échéance CAN. - Des nations majeures dans le dur. Éliminatoires du Mondial zone Europe :  fin de l'ère Spalletti, après une victoire de la Nazionale sur la Moldavie. La déroute en Norvège a été fatale à l'ex-coach du Napoli. Ella a ranimé le spectre des 2 derniers mondiaux disputés sans les Azzurri. Qui pour prendre les rênes de la sélection et relancer l'équipe ? Ranieri a décliné le poste.- La Belgique à l'arraché ! 3 jours avoir été accrochés en Macédoine du Nord, les Diables rouges, qui menaient 3-0 à la 27è minute face aux Gallois, ont été rejoints par les Dragons. Kevin De Bruyne a tiré ses coéquipiers d'un mauvais pas in extremis.- La Mannschaft dans le doute. À un an du Mondial, les Blanc et Noir sont systématiquement parmi les favoris, malgré les mauvais résultats en Russie et au Qatar, et l'échec de l'Euro 2024 à domicile. Nagelsmann, 37 ans, coach aux idées neuves qui avance avec une nouvelle génération, mais dont l'équipe a déçu lors de la phase finale, avec une autre chance de briller à la maison. Renversés par le Portugal mercredi, les Allemands se sont de nouveau inclinés face aux Bleus. Manque d'efficacité offensive, domination stérile, pas encore l'heure du renouveau ? Le Nationalelf entamera ses éliminatoires en septembre, devrait logiquement voir l'Amérique en juin prochain.- Rayan Cherki rejoint Manchester City. Un contrat de cinq ans pour le néo international après 6 saisons passées à l'OL, l'occasion pour le milieu offensif de passer un cap supplémentaire avec Pep Guardiola ?- Le Maroc à 6 mois de l'échéance CAN. Succès 1-0 à Fès face au Bénin, 3 jours après un succès (2-0) contre la Tunisie. Regragui critiqué sur la manière, est le 1er sélectionneur marocain à enchaîner 12 victoires consécutives. 6 villes hôtes, calendrier ambitieux, où en sont les chantiers avant la grande fête du foot africain ? Avec Olivier Pron : Saïd Amdaa, David Lortholary, Philippe Doucet et Salim Baungally. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Grand reportage
Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 19:30


La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. «Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe», un Grand reportage de Lilia Blaise.

Choses à Savoir
Quelle est la différence entre les Frères musulmans et les salafistes ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 2:28


Les Frères musulmans et les salafistes sont deux courants importants de l'islam sunnite contemporain, souvent confondus dans le discours public. Pourtant, ils ont des objectifs, des méthodes et des visions du monde bien distincts, même s'ils partagent parfois certains points doctrinaux.Origine et histoireLes Frères musulmans sont un mouvement islamiste né en Égypte en 1928, fondé par Hassan al-Banna. Leur objectif est de réislamiser la société par le bas, en utilisant l'éducation, la prédication et l'action politique. Ils considèrent l'islam comme un système global englobant la foi, la politique, l'économie et la société. Très tôt, le mouvement a cherché à influencer les institutions et à participer à la vie politique dans plusieurs pays arabes (Égypte, Jordanie, Tunisie, etc.).Les salafistes, quant à eux, ne forment pas une organisation unique, mais plutôt un courant de pensée qui cherche à revenir à l'islam des origines, tel qu'il aurait été pratiqué par les "salaf" (les pieux ancêtres des trois premières générations de musulmans). Ce courant prend son essor au XIXe siècle, mais se développe fortement au XXe siècle, notamment sous l'influence de l'Arabie saoudite et du wahhabisme.Objectifs et méthodesLes Frères musulmans veulent transformer la société en profondeur pour instaurer, à terme, un État islamique. Ils privilégient souvent une approche graduelle, en s'insérant dans les institutions démocratiques. Ils ont par exemple participé à des élections en Égypte, en Tunisie ou au Maroc.Les salafistes, eux, rejettent généralement la démocratie, qu'ils considèrent comme une innovation étrangère à l'islam. Leur objectif est la pureté doctrinale et rituelle, pas nécessairement la conquête du pouvoir (sauf pour certains groupes armés). Ils se divisent en plusieurs sous-courants :les salafistes quiétistes, centrés sur la prédication apolitique ;les salafistes politiques, qui participent parfois à la vie publique ;et les salafistes djihadistes, comme Al-Qaïda ou Daech, qui prônent la violence pour instaurer un califat.Vision du mondeLes Frères musulmans ont une vision idéologique plus moderne, même si elle est conservatrice : ils acceptent l'usage des médias, du droit constitutionnel, et parfois du pluralisme politique, dans une optique islamique. Ils sont souvent structurés comme des mouvements de masse avec des branches sociales, caritatives, étudiantes.Les salafistes, en revanche, privilégient une lecture littéraliste du Coran et de la Sunna, avec une stricte séparation entre "vrai islam" et "innovations" à rejeter. Ils se méfient des partis, des compromis, et de tout ce qui s'éloigne de l'islam originel.En résuméLes Frères musulmans sont des islamistes politiques réformistes, tandis que les salafistes sont des puristes doctrinaux, méfiants envers la modernité. Les premiers veulent transformer la société par la politique, les seconds veulent préserver la foi par le retour aux sources. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les pieds sur terre
Un mariage mouvementé

Les pieds sur terre

Play Episode Listen Later May 26, 2025 28:40


durée : 00:28:40 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Valérie Borst - L'un en Tunisie, l'autre en France, Danielle et Fadi se sont rencontrés sur les réseaux sociaux. Six ans plus tard, les voilà installés à Montpont-en-Bresse, dans la petite maison de Danielle, amoureux et presque heureux. Car après un mariage mouvementé, ils sont confrontés à une nouvelle épreuve. - réalisation : Emmanuel Geoffroy