Podcasts about tunisie

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tunisie

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Maghrib in Past & Present | Podcasts
Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècle.

Maghrib in Past & Present | Podcasts

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 52:15


Episode 207: Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècl Dans ce podcast, les Historiennes Charlotte Courreye et Annik Lacroix présentent l'ouvrage qu'elles ont coécrit avec Augustin Jomier, intitulé Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècle. Malgré ses liens étroits avec la France, Le Maghreb (Algérie, Libye, Maroc et Tunisie) est généralement méconnu et son passé souvent réduit aux colonisations européennes. Afin de mieux comprendre le devenir et les cultures de cette région du monde, cet ouvrage on retrace l'histoire, du XVIIIe siècle à nos jours. Un corpus original d'une centaine de documents -témoignages, discours politiques, tracts, rapport d'ONG ou encore poèmes et films - éclair les grands événements politiques, ainsi que les dynamiques sociales, économiques, et culturelles. Le lecteur saisit ces sociétés de façon vivante, découvrant la parole des populations locales et de toutes celles et ceux que l'on entend peu d'ordinaire. Précédé d'une introduction qui en présente le contexte de rédaction, chacun de ces textes s'adresse aussi bien à des étudiants et des enseignants du secondaire et du supérieur, qu'à un public curieux de découvrir davantage le Maghreb. (Texte extrait de la 4ème de couverture de l'ouvrage) Charlotte Courreye est chercheuse postdoctorale à l'École normale supérieure, Université Jean Moulin Lyon 3. Elle a enseigné l'histoire et l'arabe à l'INALCO. Annik Lacroix est Maîtresse de conférences en Histoire contemporaine à l'Université Paris-Nanterre et a enseigné l'histoire du Maghreb à l'INALCO. Augustin Jomier est Maître de conférences en Histoire moderne et contemporaine du Maghreb à l'INALCO. Cet épisode a été enregistré le 21 avril 2024 au Centre d'Études Maghrébines en Algérie (CEMA).  Dr. Belkacem Benzenine, Politologue et Directeur de recherche au CRASC, a modéré le débat de cette rencontre Nous remercions notre ami Ignacio Villalón, doctorant à l'Université de Crète/Institute for Mediterranean Studies, pour sa prestation à la guitare pour l'introduction et la conclusion de ce podcast.   Réalisation et montage: Hayet Yebbous Bensaid, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA). 

Surprises Interculturelles
[ITW] Gilles Courtois - Directeur industriel LATAM de Lactalis - Ingénieur, voyage et management

Surprises Interculturelles

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 95:09


À deux jours de la fête des pères, je vous propose un épisode très très spécial.J'ai le bonheur d'accueillir à mon micro mon père, Gilles Courtois, directeur industriel Amérique Latine du Groupe Lactalis. Il termine bientôt une carrière internationale spectaculaire qui l'a mené en Tunisie

Reportage Afrique
La marche de solidarité pour Gaza: «C'était incroyable le soutien que nous avons eu» en Tunisie

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 2:25


En Tunisie, la marche pour Gaza initiée par un collectif de Tunisiens depuis lundi 9 juin est bloquée en Libye suite à la décision des autorités libyennes de l'Est. Alors que beaucoup ne souhaitent pas faire marche arrière, cette initiative a montré la force d'une mobilisation maghrébine en faveur des Palestiniens. Retour sur cette odyssée avec notre correspondante à Tunis.   Samedi 14 juin, alors que la caravane Soumoud était encore bloquée à Syrte dans l'Est libyen, des centaines de Tunisiens se sont réunis au centre-ville de Tunis pour soutenir le convoi. Haykel Mahfoudhi, un journaliste indépendant, a fait la route avec la caravane jusqu'à Ras Jedir, le poste frontalier tuniso-libyen. « C'était vraiment incroyable le soutien que nous avons eu, la solidarité, tout au long des villes tunisiennes que nous avons parcourues. On sent que le mouvement de la marche pour Gaza a beaucoup fédéré. » Après les refoulements et expulsions au Caire de participants à la marche internationale, Raouf Farrah chercheur algérien basé en Tunisie, a dû renoncer à rejoindre la marche par voie aérienne. Présent lundi au lancement du convoi, il relève son importance sur le plan maghrébin, près de 700 Algériens se sont joints à l'initiative tunisienne : « Je pense qu'en tant que Maghrébin, nous sentons cette responsabilité à la fois morale et politique de dire "Assez au génocide, assez aux violences génocidaires contre les Palestiniens, au silence et à la complicité des autorités et des gouvernements, des institutions internationales face à un crime qui devrait être arrêté" ». À lire aussiLa caravane et la marche en solidarité avec Gaza stoppées en Libye et en Égypte Après avoir été accueilli à bras ouverts à Zawiya et Misrata en Libye, la caravane, dont la page Facebook cumule plus de 200 000 abonnés, s'est retrouvée bloquée à Syrte, côté Est libyen, depuis jeudi. Sans réseau et avec très peu de connexion, les participants n'ont pu poster que de rares informations et mises à jour sporadiques, disant être en négociations avec les autorités libyennes, selon Haykel Mahfoudhi : « On a eu vent de plusieurs personnes du convoi qui ont été arrêtées. On est encore en train de mettre à jour les informations que nous avons eues au fur et à mesure. C'est très difficile de joindre la caravane actuellement et on ne sait pas trop ce qu'ils vont pouvoir faire. » Dimanche 15 juin, les porte-paroles du convoi insistaient encore dans une vidéo pour rester en Libye et ne pas faire marche arrière. L'objectif final : passer en Égypte pour ensuite rejoindre la marche et aller à Rafah, mais avec les restrictions égyptiennes imposées aux autres participants, l'espoir d'arriver à bon port, reste fragile. À lire aussiMarche de solidarité avec Gaza: de nombreux militants pro-palestiniens interpellés au Caire en Égypte

Ça peut vous arriver
DESTINATION RTL - Que faire à Monastir ?

Ça peut vous arriver

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 6:29


Chaque semaine dans Destination RTL, Bernard Sabbah vous accompagne avec ses meilleurs conseils et vous inspire pour vos futurs voyages. Dans cet épisode, direction la ville de Monastir, située sur la côte est de la Tunisie. Climat agréable, plages de rêve et sites emblématiques comme le Ribat, le Mausolée Habib Bourguiba ou, à quelques kilomètres, la médina de Sousse, Monastir est une destination idéale pour combiner détente et culture, le tout à des prix très attractifs. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Grand reportage
«Le supplément du samedi» du 14 juin 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 48:30


Dans le supplément de ce samedi, en première partie, l'océan. Vient de s'achever à Nice, en France, la 3è conférence des Nations unies sur l'océan alors que le changement climatique rend plus difficiles les nombreux défis à relever dans cet espace qui représente tout de même 70% de la planète. À l'ordre du jour, entre autres, les menaces sur la pêche nourricière. Exemple, en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs de nos reporters sont partis recueillir des témoignages de pêcheurs sur les rivages ouest-africains. En deuxième partie, nous traitons de l'immigration venue d'Afrique à destination de l'Europe. La Tunisie est un point de passage privilégié avant la très risquée traversée de la Méditerranée, et les autorités tunisiennes sont engagées dans un processus d'endiguement de cette migration Sud-Nord.  Communautés de pêcheurs ouest-africaines, menace sur la ressource Toute cette semaine, la ville de Nice dans le sud de la France accueille la troisième conférence des Nations unies sur l'océan. L'océan, qui occupe 70% de notre planète, est sous pression du changement climatique et malmené par l'activité humaine. Au point, parfois, de ne plus offrir aux populations des littoraux les ressources nécessaires. C'est le cas en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs reporters de RFI sont allés à leur rencontre en Guinée, en Sierra Leone, au Ghana et au Sénégal. Un Grand reportage de Laurent Correau. Avec Lizza Fabbian, Léa-Lisa Westerhoff, Juliette Dubois, Kpénahi Traoré, Tangi Bihan, Victor Cariou. Entretien avec Jacques Allix.   Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix.

Journal de l'Afrique
Attaque au Nord-Mali : l'armée assure avoir pris le dessus sur les rebelles du FLA

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 15:27


Au Mali, les suites de l'embuscade tendue vendredi dans le nord du Mali à un convoi de l'armée malienne et de l'Africa Corps (ex-Wagner) par les rebelles maliens du Front de Libération de l'Azawad (FLA). Chaque camp revendique une victoire.

Revue de presse Afrique
À la Une: le général Assimi Goïta au pouvoir au moins jusqu'en 2030

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 4:08


Au Mali, le conseil des ministres a donc adopté un projet de loi qui accorde au chef de l'État un mandat de cinq ans, renouvelable. Une initiative qui coule de source, si l'on en croit Sahel Tribune, qui se fait l'écho d'un sondage effectué début janvier par une fondation allemande, la F.E.S., dont « il ressort que 7 Maliens sur 10 font confiance au président de la transition et que 9 Maliens sur 10 sont satisfaits ou plutôt satisfaits de la gestion de la transition, sauf dans le district de Bamako ». Sahel Tribune accorde par ailleurs un satisfecit sans réserve à la transition, estimant « qu'il est normal que les autorités réalisent les souhaits du peuple. D'ailleurs, elles l'ont toujours fait. » Moins enthousiaste, Maliweb fait aussi sa Une sur le maintien du général Assimi Goïta au pouvoir. Le site d'information rappelle l'émergence de l'Alliance des États du Sahel, « face à la menace terroriste » alors que « la fin de la transition semble "de plus en plus incertaine" » et que « des mécanismes sont mis en place pour dissoudre les partis politiques ». « Une décision pourtant contraire aux recommandations des Assises nationales qui avaient plutôt proposé une réduction du nombre de partis », remarque Maliweb qui rappelle aussi le principal argument du Conseil des ministres : « Notre pays, comme les autres de l'AES, est toujours confronté à la menace de déstabilisation internationale […], il est nécessaire de poursuivre la transition afin de parvenir à une pacification totale de nos États. » À lire aussiMali: le général Assimi Goïta bientôt président sans limite de temps Les élections se suivent et se ressemblent Au Burundi, où le CNDD-FDD, le parti au pouvoir, remporte les élections législatives. « Le CNDD-FDD rafle tout aux législatives », titre Iwacu, publication qui ambitionne de donner la parole « à toutes les voix du Burundi ». « À part trois députés issus de la communauté des Batwa cooptés, tous les autres sièges de l'Assemblée nationale seront occupés par le Parti de l'Aigle », explique ​​​​​​​Iwacu, « il s'agit de 108 sièges sur les 111 que comptera la nouvelle Assemblée nationale ». « En ordre dispersé », poursuit le journal, « l'opposition fulmine, parle d'irrégularités flagrantes et rejette ces résultats ». Des résultats provisoires qui ont été proclamés par la Céni, la Commission électorale indépendante, « lors d'une cérémonie à laquelle assistaient « quelques indépendants », ​​​​​​​qui sont repartis furieux, tête baissée », raconte Iwacu, « ils n'ont même pas attendu la fin de la prière pour accompagner et clôturer cette proclamation provisoire des résultats des législatives ». Vues du Burkina Faso, l'analyse est la même, mais les mots sont plus durs. Ainsi L'observateur Paalga, parle d'un « score soviétique », dans un Burundi où « les élections se suivent et se ressemblent ». « Le pays n'a donc de démocratique que le nom », poursuit le journal. « Pour tout dire, le général Évariste Ndayishimiye l'a transformé en un véritable camp militaire, où tout le monde est obligé de marcher au pas, au son du clairon, et gare à celui dont la tête dépasse d'un iota ».   À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée Caravane à l'arrêt Dans l'actualité africaine également, la progression de la caravane Soumoud, caravane de solidarité avec Gaza, partie lundi de Tunisie. Cette caravane est « bloquée à l'entrée de Syrte en Libye par les forces de l'est », annonce le journal ​​​​​​​La Presse en Tunisie, qui explique que « selon les responsables sécuritaires sur place, le convoi ne pourra poursuivre sa route sans instructions explicites de Benghazi ». « Face à cette situation », poursuit le journal, « le comité de coordination de la caravane Soumoud, a pris la décision de ne pas rebrousser chemin. Le convoi s'est rangé sur le bas-côté de la route, à quelques kilomètres de Syrte et était prêt à camper sur place pour la nuit, si nécessaire […], les organisateurs tiennent à rassurer les familles des participants : « Tous les membres du convoi sont en sécurité et réunis en un seul point. La coupure des réseaux téléphoniques, à l'endroit de leur arrêt, explique l'absence de nouvelles. »   À lire aussiÉgypte: Israël appelle les autorités du pays à bloquer une marche pro-palestinienne

Revue de presse Afrique
À la Une: le général Assimi Goïta au pouvoir au moins jusqu'en 2030

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 4:08


Au Mali, le conseil des ministres a donc adopté un projet de loi qui accorde au chef de l'État un mandat de cinq ans, renouvelable. Une initiative qui coule de source, si l'on en croit Sahel Tribune, qui se fait l'écho d'un sondage effectué début janvier par une fondation allemande, la F.E.S., dont « il ressort que 7 Maliens sur 10 font confiance au président de la transition et que 9 Maliens sur 10 sont satisfaits ou plutôt satisfaits de la gestion de la transition, sauf dans le district de Bamako ». Sahel Tribune accorde par ailleurs un satisfecit sans réserve à la transition, estimant « qu'il est normal que les autorités réalisent les souhaits du peuple. D'ailleurs, elles l'ont toujours fait. » Moins enthousiaste, Maliweb fait aussi sa Une sur le maintien du général Assimi Goïta au pouvoir. Le site d'information rappelle l'émergence de l'Alliance des États du Sahel, « face à la menace terroriste » alors que « la fin de la transition semble "de plus en plus incertaine" » et que « des mécanismes sont mis en place pour dissoudre les partis politiques ». « Une décision pourtant contraire aux recommandations des Assises nationales qui avaient plutôt proposé une réduction du nombre de partis », remarque Maliweb qui rappelle aussi le principal argument du Conseil des ministres : « Notre pays, comme les autres de l'AES, est toujours confronté à la menace de déstabilisation internationale […], il est nécessaire de poursuivre la transition afin de parvenir à une pacification totale de nos États. » À lire aussiMali: le général Assimi Goïta bientôt président sans limite de temps Les élections se suivent et se ressemblent Au Burundi, où le CNDD-FDD, le parti au pouvoir, remporte les élections législatives. « Le CNDD-FDD rafle tout aux législatives », titre Iwacu, publication qui ambitionne de donner la parole « à toutes les voix du Burundi ». « À part trois députés issus de la communauté des Batwa cooptés, tous les autres sièges de l'Assemblée nationale seront occupés par le Parti de l'Aigle », explique ​​​​​​​Iwacu, « il s'agit de 108 sièges sur les 111 que comptera la nouvelle Assemblée nationale ». « En ordre dispersé », poursuit le journal, « l'opposition fulmine, parle d'irrégularités flagrantes et rejette ces résultats ». Des résultats provisoires qui ont été proclamés par la Céni, la Commission électorale indépendante, « lors d'une cérémonie à laquelle assistaient « quelques indépendants », ​​​​​​​qui sont repartis furieux, tête baissée », raconte Iwacu, « ils n'ont même pas attendu la fin de la prière pour accompagner et clôturer cette proclamation provisoire des résultats des législatives ». Vues du Burkina Faso, l'analyse est la même, mais les mots sont plus durs. Ainsi L'observateur Paalga, parle d'un « score soviétique », dans un Burundi où « les élections se suivent et se ressemblent ». « Le pays n'a donc de démocratique que le nom », poursuit le journal. « Pour tout dire, le général Évariste Ndayishimiye l'a transformé en un véritable camp militaire, où tout le monde est obligé de marcher au pas, au son du clairon, et gare à celui dont la tête dépasse d'un iota ».   À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée Caravane à l'arrêt Dans l'actualité africaine également, la progression de la caravane Soumoud, caravane de solidarité avec Gaza, partie lundi de Tunisie. Cette caravane est « bloquée à l'entrée de Syrte en Libye par les forces de l'est », annonce le journal ​​​​​​​La Presse en Tunisie, qui explique que « selon les responsables sécuritaires sur place, le convoi ne pourra poursuivre sa route sans instructions explicites de Benghazi ». « Face à cette situation », poursuit le journal, « le comité de coordination de la caravane Soumoud, a pris la décision de ne pas rebrousser chemin. Le convoi s'est rangé sur le bas-côté de la route, à quelques kilomètres de Syrte et était prêt à camper sur place pour la nuit, si nécessaire […], les organisateurs tiennent à rassurer les familles des participants : « Tous les membres du convoi sont en sécurité et réunis en un seul point. La coupure des réseaux téléphoniques, à l'endroit de leur arrêt, explique l'absence de nouvelles. »   À lire aussiÉgypte: Israël appelle les autorités du pays à bloquer une marche pro-palestinienne

Revue de presse Afrique
La solidarité maghrébine pour Gaza en marche vers l'Égypte

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 4:35


Une grande caravane baptisée Soumoud, pour « résilience » a quitté Tunis en début de semaine avec pour objectif de rallier la capitale égyptienne ce matin, puis al-Arish, à une cinquantaine de kilomètres de Rafah, le poste frontière à la frontière entre l'Égypte et la bande de Gaza. Ces milliers de personnes, venus de plusieurs pays d'Afrique du Nord, « ne veulent plus se contenter de simples manifestations de rue pour exprimer leur soutien à la Palestine. Ils vont désormais au-delà », assure Le Pays. « Quand on connaît le calvaire que vivent les Gazaouis depuis quelque temps, on ne peut que saluer ce geste de solidarité qui vaut son pesant d'or. »  Le journal burkinabè se demande en revanche si le « Convoi maghrébin de la résilience arrivera à bon port. Ne sera-t-il pas bloqué par Israël ? On croise donc les doigts ». Le ministre de la Défense israélien, Israël Katz a d'ores et déjà ordonné à l'armée d'empêcher l'entrée à Gaza de ce qu'il a qualifié de « manifestants djihadistes ». Après l'épisode du Madleen, ce bateau humanitaire transportant des militants pro-palestiniens occidentaux et intercepté par Israël, La Presse, en Tunisie, fait part de son pessimisme, alors que « les sociétés civiles, partout, affichent leur volonté de faire passer l'aide aux Gazaouis. Ni la Flottille de la liberté ni les convois humanitaires terrestres, ni aucune marche ne peuvent lever le siège de Gaza », se désole un de ses éditorialistes.  À lire aussiÉgypte: Israël appelle les autorités du pays à bloquer une marche pro-palestinienne Prudence de mise coté égyptien « Pour défier le blocus israélien », Al-Ahram en Égypte rapporte que les délégations internationales devront d'abord obtenir une autorisation préalable des autorités égyptiennes « afin d'assurer leur sécurité, compte tenu de la sensibilité du terrain. »  Le président égyptien « Al-Sissi cèdera-t-il ? », se demande de son côté Algérie 360 pour qui « la tension monte » autour de cette caravane, notamment après l'arrestation hier de trois avocats algériens à l'aéroport du Caire. « Ces arrestations semblent liées à leur implication dans la caravane », ce qui « fait craindre une répression plus large. » Le média algérien craint aussi que ces arrestations n'enveniment « davantage les relations diplomatiques. Elle met également en lumière les restrictions imposées aux mouvements de solidarité pro-palestiniens, même lorsqu'ils sont pacifiques et humanitaires. »  Burundi : le parti au pouvoir vainqueur haut la main des législatives D'après les résultats publiés par la Céni, mercredi, le CNDD-FDD a en effet raflé la totalité des 100 sièges mis en jeu lors du scrutin du 5 juin. Dans certaines localités, les résultats « frôlent, voire dépassent des scores brejnéviens », s'exclame Iwacu. « Rien pour l'opposition », signale Afrik.com en Une de son site. L'opposition qui a qualifié de « grande mascarade » le résultat de ces scrutins, « est aujourd'hui laminé, cingle Iwacu. Cela n'augure donc rien de bon ». Pour Afrik.com, c'est « une nouvelle étape de la marche autoritaire dans un pays où le pluralisme politique est en net recul. » Le CNL, principal parti d'opposition, avait été formellement exclu, nous remémore le site. « Votes multiples », « bulletins pré-remplis », « emprisonnements arbitraires » d'observateurs, la formation a relevé de nombreuses irrégularités. À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée Une autopsie qui met le feu aux poudres au Kenya  « Un traumatisme à la tête, des marques de strangulation, des bleus sur les épaules, les mains, les jambes, du sang suintant du nez et de la bouche. » Voilà le descriptif sordide livré par Le Monde Afrique après la mort d'Albert Ojwang.  Ce blogueur « connu pour son franc-parler », comme le décrit The Star au Kenya, avait été retrouvé sans vie dans sa cellule dans l'ouest du pays quelques heures après son arrestation, les forces de l'ordre lui reprochant d'avoir terni le nom du numéro 2 de la police kényane. Celle-ci avait assuré que le professeur d'histoire et d'éducation religieuse s'était suicidé en détention. « Loin d'avoir convaincu l'opinion publique dans un pays régulièrement secoué par la question des violences policières », comme le rappelle Jeune Afrique, et version démentie donc par les légistes.  The Star croit même savoir que l'activiste a d'abord été torturé dans une forêt avant d'être emmené inconscient au commissariat. Le Daily Nation kényan nous apprend qu'une veillée aux chandelles organisée dans tout le pays demain par un syndicat national d'enseignants, « pour réclamer la justice non seulement pour lui, mais pour toutes les vies innocentes perdues à cause d'actions policières illégales ». À lire aussiKenya: la police dans la tourmente après la mort en détention d'Albert Ojwang

Revue de presse Afrique
La solidarité maghrébine pour Gaza en marche vers l'Égypte

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 4:35


Une grande caravane baptisée Soumoud, pour « résilience » a quitté Tunis en début de semaine avec pour objectif de rallier la capitale égyptienne ce matin, puis al-Arish, à une cinquantaine de kilomètres de Rafah, le poste frontière à la frontière entre l'Égypte et la bande de Gaza. Ces milliers de personnes, venus de plusieurs pays d'Afrique du Nord, « ne veulent plus se contenter de simples manifestations de rue pour exprimer leur soutien à la Palestine. Ils vont désormais au-delà », assure Le Pays. « Quand on connaît le calvaire que vivent les Gazaouis depuis quelque temps, on ne peut que saluer ce geste de solidarité qui vaut son pesant d'or. »  Le journal burkinabè se demande en revanche si le « Convoi maghrébin de la résilience arrivera à bon port. Ne sera-t-il pas bloqué par Israël ? On croise donc les doigts ». Le ministre de la Défense israélien, Israël Katz a d'ores et déjà ordonné à l'armée d'empêcher l'entrée à Gaza de ce qu'il a qualifié de « manifestants djihadistes ». Après l'épisode du Madleen, ce bateau humanitaire transportant des militants pro-palestiniens occidentaux et intercepté par Israël, La Presse, en Tunisie, fait part de son pessimisme, alors que « les sociétés civiles, partout, affichent leur volonté de faire passer l'aide aux Gazaouis. Ni la Flottille de la liberté ni les convois humanitaires terrestres, ni aucune marche ne peuvent lever le siège de Gaza », se désole un de ses éditorialistes.  À lire aussiÉgypte: Israël appelle les autorités du pays à bloquer une marche pro-palestinienne Prudence de mise coté égyptien « Pour défier le blocus israélien », Al-Ahram en Égypte rapporte que les délégations internationales devront d'abord obtenir une autorisation préalable des autorités égyptiennes « afin d'assurer leur sécurité, compte tenu de la sensibilité du terrain. »  Le président égyptien « Al-Sissi cèdera-t-il ? », se demande de son côté Algérie 360 pour qui « la tension monte » autour de cette caravane, notamment après l'arrestation hier de trois avocats algériens à l'aéroport du Caire. « Ces arrestations semblent liées à leur implication dans la caravane », ce qui « fait craindre une répression plus large. » Le média algérien craint aussi que ces arrestations n'enveniment « davantage les relations diplomatiques. Elle met également en lumière les restrictions imposées aux mouvements de solidarité pro-palestiniens, même lorsqu'ils sont pacifiques et humanitaires. »  Burundi : le parti au pouvoir vainqueur haut la main des législatives D'après les résultats publiés par la Céni, mercredi, le CNDD-FDD a en effet raflé la totalité des 100 sièges mis en jeu lors du scrutin du 5 juin. Dans certaines localités, les résultats « frôlent, voire dépassent des scores brejnéviens », s'exclame Iwacu. « Rien pour l'opposition », signale Afrik.com en Une de son site. L'opposition qui a qualifié de « grande mascarade » le résultat de ces scrutins, « est aujourd'hui laminé, cingle Iwacu. Cela n'augure donc rien de bon ». Pour Afrik.com, c'est « une nouvelle étape de la marche autoritaire dans un pays où le pluralisme politique est en net recul. » Le CNL, principal parti d'opposition, avait été formellement exclu, nous remémore le site. « Votes multiples », « bulletins pré-remplis », « emprisonnements arbitraires » d'observateurs, la formation a relevé de nombreuses irrégularités. À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée Une autopsie qui met le feu aux poudres au Kenya  « Un traumatisme à la tête, des marques de strangulation, des bleus sur les épaules, les mains, les jambes, du sang suintant du nez et de la bouche. » Voilà le descriptif sordide livré par Le Monde Afrique après la mort d'Albert Ojwang.  Ce blogueur « connu pour son franc-parler », comme le décrit The Star au Kenya, avait été retrouvé sans vie dans sa cellule dans l'ouest du pays quelques heures après son arrestation, les forces de l'ordre lui reprochant d'avoir terni le nom du numéro 2 de la police kényane. Celle-ci avait assuré que le professeur d'histoire et d'éducation religieuse s'était suicidé en détention. « Loin d'avoir convaincu l'opinion publique dans un pays régulièrement secoué par la question des violences policières », comme le rappelle Jeune Afrique, et version démentie donc par les légistes.  The Star croit même savoir que l'activiste a d'abord été torturé dans une forêt avant d'être emmené inconscient au commissariat. Le Daily Nation kényan nous apprend qu'une veillée aux chandelles organisée dans tout le pays demain par un syndicat national d'enseignants, « pour réclamer la justice non seulement pour lui, mais pour toutes les vies innocentes perdues à cause d'actions policières illégales ». À lire aussiKenya: la police dans la tourmente après la mort en détention d'Albert Ojwang

Dans la presse
Brian Wilson, disparition d'une icône de la musique californienne

Dans la presse

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 5:14


A la Une du jeudi 12 juin, la "survie" des migrants subsahariens en Tunisie, la mort d'un génie de la musique pop américaine, et l'histoire rocambolesque d'un faussaire, surnommé le "Père La Chaise".

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Israël : Benyamin Netanyahu collabore avec un groupe armé anti-Hamas

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la flottille humanitaire pour Gaza, la grève des joueurs centrafricains et l'utilisation des drones par Boko Haram. Israël : Benyamin Netanyahu collabore avec un groupe armé anti-Hamas   Les autorités israéliennes ont reconnu fournir des armes à un groupe palestinien de la bande de Gaza hostile au Hamas et impliqué dans des activités criminelles. En agissant ainsi, Benyamin Netanyahu respecte-t-il la loi israélienne ? Quelles peuvent être les conséquences sur les négociations pour un cessez-le-feu ? Avec Sami Boukhelifa, correspondant permanent de RFI à Jérusalem.     Flottille pour Gaza : Israël a-t-il violé le droit international ?   La marine israélienne a intercepté dans les eaux internationales le voilier humanitaire « Madleen » qui naviguait en direction de Gaza pour tenter de briser le blocus de l'enclave palestinienne. Cette arrestation respecte-t-elle le droit international ? Quel sort pour les Français qui n'ont pas encore été expulsés d'Israël ? Avec Benjamin Fiorini, maître de conférences à Paris 8, secrétaire général de l'Association des Juristes pour le Respect du Droit international (JURDI).     Centrafrique : bras de fer entre le ministre des Sports et la Fédération de Football   Prévu ce lundi 9 juin au Grand Stade de Casablanca, le match amical entre la Tunisie et la Centrafrique n'a finalement pas eu lieu. En cause : la grève des joueurs centrafricains pour exiger des primes. Pourquoi la Fédération refuse-t-elle de verser les primes ? L'annulation du match peut-elle entraîner des sanctions à l'encontre des joueurs ? Avec Rolf-Steve Domia-Leu, correspondant de RFI à Bangui.      Bassin du Lac Tchad : les drones de Boko Haram   Dans son rapport semestriel, le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l'Afrique centrale, Abdou Abarry, dénonce les attaques de drones chargés d'explosifs par Boko Haram. Comment les jihadistes se procurent-ils ces drones ? Que sait-on de leur puissance de frappe ? Avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos, directeur de recherches à l'Institut de recherche pour le développement, spécialiste des conflits armés des pays africains anglophones.  

ONU Info

A la Conférence de l'ONU sur l'océan, à Nice, Greening the Islands Foundation a présenté une approche innovante pour accompagner les îles dans leur transition énergétique. Grâce à une méthodologie spécifique, cette organisation à but non lucratif identifie les solutions les plus adaptées à chaque territoire — qu'il s'agisse d'énergie solaire, de géothermie ou de panneaux photovoltaïques flottants.« On aide les îles à évaluer leur potentiel, à identifier les zones propices, et à lancer des projets adaptés à leurs réalités », explique Pierre Martin au micro de notre envoyé spécial à la Conférence sur l'océan, Fabrice Robinet.Greening the Islands Foundation travaille en étroite collaboration avec les gouvernements locaux, souvent sans capacité de financement initiale.De Curaçao aux Tonga, en passant par les Seychelles, la Méditerranée ou bientôt Caracana en Tunisie, l'objectif est clair : créer une dynamique multipartite pour initier des projets concrets dans le cadre de l'Initiative « 100% énergie durable ».  (Interview : Pierre Martin, manager pour le développement et les partenariats à Greening the Islands Foundation ; propos recueillis par Fabrice Robinet, envoyé spécial d'ONU Info à la Conférence sur l'océan)

Radio foot internationale
Éliminatoires Mondial 2026: la dernière de Spalletti avec l'Italie

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 48:29


Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. À la Une aujourd'hui : - Des nations majeures dans le dur. Éliminatoires du Mondial zone Europe ; - La Mannschaft dans le doute. ; - Rayan Cherki rejoint Manchester City. ; - Le Maroc à 6 mois de l'échéance CAN. - Des nations majeures dans le dur. Éliminatoires du Mondial zone Europe :  fin de l'ère Spalletti, après une victoire de la Nazionale sur la Moldavie. La déroute en Norvège a été fatale à l'ex-coach du Napoli. Ella a ranimé le spectre des 2 derniers mondiaux disputés sans les Azzurri. Qui pour prendre les rênes de la sélection et relancer l'équipe ? Ranieri a décliné le poste.- La Belgique à l'arraché ! 3 jours avoir été accrochés en Macédoine du Nord, les Diables rouges, qui menaient 3-0 à la 27è minute face aux Gallois, ont été rejoints par les Dragons. Kevin De Bruyne a tiré ses coéquipiers d'un mauvais pas in extremis.- La Mannschaft dans le doute. À un an du Mondial, les Blanc et Noir sont systématiquement parmi les favoris, malgré les mauvais résultats en Russie et au Qatar, et l'échec de l'Euro 2024 à domicile. Nagelsmann, 37 ans, coach aux idées neuves qui avance avec une nouvelle génération, mais dont l'équipe a déçu lors de la phase finale, avec une autre chance de briller à la maison. Renversés par le Portugal mercredi, les Allemands se sont de nouveau inclinés face aux Bleus. Manque d'efficacité offensive, domination stérile, pas encore l'heure du renouveau ? Le Nationalelf entamera ses éliminatoires en septembre, devrait logiquement voir l'Amérique en juin prochain.- Rayan Cherki rejoint Manchester City. Un contrat de cinq ans pour le néo international après 6 saisons passées à l'OL, l'occasion pour le milieu offensif de passer un cap supplémentaire avec Pep Guardiola ?- Le Maroc à 6 mois de l'échéance CAN. Succès 1-0 à Fès face au Bénin, 3 jours après un succès (2-0) contre la Tunisie. Regragui critiqué sur la manière, est le 1er sélectionneur marocain à enchaîner 12 victoires consécutives. 6 villes hôtes, calendrier ambitieux, où en sont les chantiers avant la grande fête du foot africain ? Avec Olivier Pron : Saïd Amdaa, David Lortholary, Philippe Doucet et Salim Baungally. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Grand reportage
Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 19:30


La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. «Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe», un Grand reportage de Lilia Blaise.

Radio Foot Internationale
Éliminatoires Mondial 2026: la dernière de Spalletti avec l'Italie

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 48:29


Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. À la Une aujourd'hui : - Des nations majeures dans le dur. Éliminatoires du Mondial zone Europe ; - La Mannschaft dans le doute. ; - Rayan Cherki rejoint Manchester City. ; - Le Maroc à 6 mois de l'échéance CAN. - Des nations majeures dans le dur. Éliminatoires du Mondial zone Europe :  fin de l'ère Spalletti, après une victoire de la Nazionale sur la Moldavie. La déroute en Norvège a été fatale à l'ex-coach du Napoli. Ella a ranimé le spectre des 2 derniers mondiaux disputés sans les Azzurri. Qui pour prendre les rênes de la sélection et relancer l'équipe ? Ranieri a décliné le poste.- La Belgique à l'arraché ! 3 jours avoir été accrochés en Macédoine du Nord, les Diables rouges, qui menaient 3-0 à la 27è minute face aux Gallois, ont été rejoints par les Dragons. Kevin De Bruyne a tiré ses coéquipiers d'un mauvais pas in extremis.- La Mannschaft dans le doute. À un an du Mondial, les Blanc et Noir sont systématiquement parmi les favoris, malgré les mauvais résultats en Russie et au Qatar, et l'échec de l'Euro 2024 à domicile. Nagelsmann, 37 ans, coach aux idées neuves qui avance avec une nouvelle génération, mais dont l'équipe a déçu lors de la phase finale, avec une autre chance de briller à la maison. Renversés par le Portugal mercredi, les Allemands se sont de nouveau inclinés face aux Bleus. Manque d'efficacité offensive, domination stérile, pas encore l'heure du renouveau ? Le Nationalelf entamera ses éliminatoires en septembre, devrait logiquement voir l'Amérique en juin prochain.- Rayan Cherki rejoint Manchester City. Un contrat de cinq ans pour le néo international après 6 saisons passées à l'OL, l'occasion pour le milieu offensif de passer un cap supplémentaire avec Pep Guardiola ?- Le Maroc à 6 mois de l'échéance CAN. Succès 1-0 à Fès face au Bénin, 3 jours après un succès (2-0) contre la Tunisie. Regragui critiqué sur la manière, est le 1er sélectionneur marocain à enchaîner 12 victoires consécutives. 6 villes hôtes, calendrier ambitieux, où en sont les chantiers avant la grande fête du foot africain ? Avec Olivier Pron : Saïd Amdaa, David Lortholary, Philippe Doucet et Salim Baungally. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Journal des sports Afrique
Football: le match amical entre la Centrafrique et la Tunisie annulé

Journal des sports Afrique

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 3:38


La Centrafrique et la Tunisie devaient s'affronter lundi 9 juin 2025 à Casablanca (Maroc). La rencontre a été annulée en raison d'un conflit lié aux primes réclamées par les joueurs centrafricains.

Ocora, Couleurs du monde
Qu'est-ce que le malouf tunisien ?

Ocora, Couleurs du monde

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 12:11


durée : 00:12:11 - Qu'est-ce que le maalouf tunisien ? - Depuis 15 ans, tous les dimanches après-midi à la Cité internationale des arts à Paris, une musique s'élève… Quelques instruments et des voix en pleine répétition qui chantent, en arabe, l'un des plus beaux répertoires de Tunisie. Bienvenue dans l'association Malouf tunisien Paris.

Journal des sports Afrique
Football: le Niger s'impose face au Gabon dans un amical spectaculaire

Journal des sports Afrique

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 3:20


Le Mena a battu les Panthères du Gabon (4-3) à Casablanca (Maroc). Dans les autres matchs, le Maroc a disposé de la Tunisie (2-0), le Cameroun s'est imposé facilement contre l'Ouganda (3-0), et le Sénégal a fait match nul en Irlande (1-1).

Choses à Savoir
Quelle est la différence entre les Frères musulmans et les salafistes ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 2:28


Les Frères musulmans et les salafistes sont deux courants importants de l'islam sunnite contemporain, souvent confondus dans le discours public. Pourtant, ils ont des objectifs, des méthodes et des visions du monde bien distincts, même s'ils partagent parfois certains points doctrinaux.Origine et histoireLes Frères musulmans sont un mouvement islamiste né en Égypte en 1928, fondé par Hassan al-Banna. Leur objectif est de réislamiser la société par le bas, en utilisant l'éducation, la prédication et l'action politique. Ils considèrent l'islam comme un système global englobant la foi, la politique, l'économie et la société. Très tôt, le mouvement a cherché à influencer les institutions et à participer à la vie politique dans plusieurs pays arabes (Égypte, Jordanie, Tunisie, etc.).Les salafistes, quant à eux, ne forment pas une organisation unique, mais plutôt un courant de pensée qui cherche à revenir à l'islam des origines, tel qu'il aurait été pratiqué par les "salaf" (les pieux ancêtres des trois premières générations de musulmans). Ce courant prend son essor au XIXe siècle, mais se développe fortement au XXe siècle, notamment sous l'influence de l'Arabie saoudite et du wahhabisme.Objectifs et méthodesLes Frères musulmans veulent transformer la société en profondeur pour instaurer, à terme, un État islamique. Ils privilégient souvent une approche graduelle, en s'insérant dans les institutions démocratiques. Ils ont par exemple participé à des élections en Égypte, en Tunisie ou au Maroc.Les salafistes, eux, rejettent généralement la démocratie, qu'ils considèrent comme une innovation étrangère à l'islam. Leur objectif est la pureté doctrinale et rituelle, pas nécessairement la conquête du pouvoir (sauf pour certains groupes armés). Ils se divisent en plusieurs sous-courants :les salafistes quiétistes, centrés sur la prédication apolitique ;les salafistes politiques, qui participent parfois à la vie publique ;et les salafistes djihadistes, comme Al-Qaïda ou Daech, qui prônent la violence pour instaurer un califat.Vision du mondeLes Frères musulmans ont une vision idéologique plus moderne, même si elle est conservatrice : ils acceptent l'usage des médias, du droit constitutionnel, et parfois du pluralisme politique, dans une optique islamique. Ils sont souvent structurés comme des mouvements de masse avec des branches sociales, caritatives, étudiantes.Les salafistes, en revanche, privilégient une lecture littéraliste du Coran et de la Sunna, avec une stricte séparation entre "vrai islam" et "innovations" à rejeter. Ils se méfient des partis, des compromis, et de tout ce qui s'éloigne de l'islam originel.En résuméLes Frères musulmans sont des islamistes politiques réformistes, tandis que les salafistes sont des puristes doctrinaux, méfiants envers la modernité. Les premiers veulent transformer la société par la politique, les seconds veulent préserver la foi par le retour aux sources. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Football : Ousmane Dembélé, Ballon d'Or 2025 ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les inondations au Nigeria, une médiation de trois pays pour la Libye et l'élection du nouveau président sud-coréen.  Football : Ousmane Dembélé, Ballon d'Or 2025 ?  Le sacre du Paris Saint-Germain en Ligue des Champions a relancé la course au Ballon d'Or. Avec 33 buts marqués et 13 passes décisives toutes compétitions confondues, l'attaquant Ousmane Dembélé conforte son statut de favori. D'autres joueurs peuvent-ils le concurrencer en termes de statistiques ?Avec Victor Missistrano, journaliste au service des sports de RFI. Nigeria : le bilan des inondations continue de s'alourdir  Plus de 200 morts et des centaines de personnes portées disparues. Au Nigeria, la ville de Mokwa est frappée par de violentes inondations. Cette catastrophe est-elle uniquement la conséquence du dérèglement climatique ? Face à l'intensification de ces évènements, pourquoi les autorités ne mettent-elles pas en place des mesures de prévention ?Avec Benjamin Sultan, directeur de recherche à l'IRD (Institut de recherche pour le développement) et climatologue. Crise en Libye :  les pays voisins se mobilisent Depuis la mi-mai, Tripoli est le théâtre d'importantes manifestations pour dénoncer les affrontements entre milices et réclamer le départ du gouvernement. Pour tenter de trouver une issue à la crise, les ministres algérien, tunisien et égyptien des Affaires étrangères se sont réunis au Caire. Quelles sont les solutions proposées ? L'Égypte, jugée proche du camp de l'Est, peut-elle compromettre les négociations ?Avec Houda Ibrahim, journaliste au service Afrique de RFI.Corée du Sud : le nouveau président tend la main à Pyongyang   Au lendemain de sa victoire à la présidentielle, le nouveau président Lee Jae-myung a prôné le dialogue et la coopération avec le voisin nord-coréen. Où en sont les relations entre les deux pays ? Kim Jong Un acceptera-t-il cette proposition ? Avec Théo Clément, chercheur indépendant, spécialiste du développement économique de la Corée du Nord.

Maghrib in Past & Present | Podcasts
Entretien avec le sociologue Mounir Saidani

Maghrib in Past & Present | Podcasts

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 98:40


Episode 205: Entretien avec le sociologue Mounir Saidani Le projet « Archives d'histoire orale de la production intellectuelle maghrébine » vise à documenter les trajectoires de vie, les formations intellectuelles et les luttes politiques de plusieurs générations de femmes et d'hommes nord-africains qui ont contribué à la création de la culture écrite et parlée dans cette partie du monde. Les entretiens sont réalisés avec des économistes, planificateurs, nutritionnistes, architectes, sociologues ruraux et d'autres chercheurs algériens, marocains et tunisiens. Il s'agit de la toute première initiative au Maghreb visant à créer des archives écrites, orales et filmées du travail intellectuel de générations qui se sont battues pour construire leurs sociétés. Elle innove en rassemblant ces voix et en les portant à la connaissance d'un large public afin de mieux faire connaître les premiers aux seconds et de démocratiser l'accès au savoir dans notre région. Dans ce podcast, enregistré en Tunisie en juin 2023, Habib Ayeb, professeur émérite de géographie à l'Université de Paris 8, s'entretient avec le sociologue tunisien Mounir Saidani, Professeur de l'Enseignement Supérieur (Sociologie) à l'Institut Supérieure des Sciences Humaines, Université Tunis El Manar, et chercheur au Centre d'études et de recherches économiques et sociales (CERES). Équipe :     Habib Ayeb, Géographe     Max Ajl, Sociologue     Ernest Riva Image : Ernest Riva Post-production :Benoît Kalka Veuillez trouver l'interview en PDF et la vidéo sur ce lien. Nous remercions infiniment Mohammed Boukhoudmi d'avoir interprété un morceau musical de « Elli Mektoub Mektoub » pour les besoins de ce podcast. Montage : Lena Krause, Boursière Résidente au Centre d'Études Maghrébines à Tunis (CEMAT). 

Afrique Économie
Tunisie: pour l'Aïd, les clients renoncent à l'achat d'un mouton entier

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 2:26


En Tunisie, le mouton de l'Aïd a atteint des sommes astronomiques cette année, même si l'État a fixé le prix à moins de 22 dinars le kilo dans les points de vente règlementés. Mais malgré la crise économique, beaucoup de Tunisiens ne veulent pas se passer de cette tradition du sacrifice. D'autres se tournent vers l'achat de la viande au kilo, moins coûteuse. Dans un point de vente informel en bord de route de la banlieue de Tunis, les clients se pressaient hier pour acheter le mouton. L'acheter la veille est une technique pour s'assurer que les prix ont baissé, liquidation des stocks oblige, mais cette année ce n'est pas le cas. « Je suis venu avec l'intention d'acheter et là franchement les prix, c'est n'importe quoi, s'agace Wassim, 30 ans, employé dans un centre d'appel. Ça fait deux semaines que je vais d'un endroit à un autre et les moutons sont tous hors de prix. En plus, ici, ce n'est pas un endroit officiel pour acheter, ce sont juste quelques personnes qui se sont mises en bord de route pour vendre et on a l'impression qu'ils donnent des prix au pif. »Pas le budgetLes prix varient entre 800 et 2 000 dinars par bête, soit entre 230 et 590 euros. Leur prix en Tunisie a connu une augmentation de près de 90 euros par rapport à l'année passée. « Honnêtement, je ne sais pas ce que je vais faire, hésite Monia Ben Moussa, retraitée. L'un m'a dit 1 000 dinars, l'autre 2 000, je n'ai pas le budget. En plus, ils n'ont pas l'air très en forme ces moutons. Je pense que je vais essayer d'en trouver ailleurs. »Certains dénoncent les arnaques comme le fait de gaver le mouton avec du pain salé pour augmenter son poids au moment de la vente, d'autres ont donné un acompte et le vendeur a disparu avec le mouton. « Son collègue m'a assuré qu'il allait me rembourser, mais du coup, je ne sais pas si je vais trouver un mouton comme il faut avant l'Aïd, s'impatiente Rajaa, mère de deux enfants. Je pensais avoir fait une affaire avec celui-là, mais non. Chaque année, c'est le même problème, les prix augmentent donc on se tourne vers les moins chers et, parfois, ce n'est pas toujours très réglo. C'est notre lot quotidien pour nous qui avons des revenus modestes. »À lire aussiLe prix des bêtes affole les Tunisiens à quelques jours de l'Aïd el-KébirVente à la coupeDu côté des bouchers, c'est le rush de la dernière heure. Le jour de l'Aïd, beaucoup sont mobilisés pour l'égorgement du mouton, mais la veille, ils vendent la viande à une clientèle de plus en plus nombreuse. « C'est encore plus visible cette année, observe Walid Tabelsi, qui enchaîne les coupes de viande… Regardez la file d'attente rien qu'aujourd'hui… Les gens achètent entre un et trois kilos de viande faute de pouvoir acheter un mouton. »Marges faibles selon les bouchersAdel un autre boucher se résigne à cette augmentation des prix qui l'affecte aussi et n'est pas près selon lui de s'arrêter. « Même nous, en tant que boucher, on fait très difficilement une marge sur la vente au kilo. À peine de quoi maintenir la boutique et s'acheter des cigarettes ».La flambée des prix a créé une forme de boycott, selon la Chambre nationale des bouchers. Au 31 mai, un client sur cinquante était reparti sans acheter de mouton.À lire aussiEn Afrique, d'où viennent les moutons sacrifiés de la Tabaski?

Reportage Afrique
En Tunisie, le «Jazz'it Festival» veut perpétuer la tradition du jazz

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 2:31


En Tunisie, un nouveau festival de Jazz, Jazz'it Festival, s'est tenu du 31 mai au 1er juin, attirant plusieurs centaines de spectateurs. Au-delà des concerts de musiciens internationaux, les organisateurs du festival ont également voulu donner une chance aux jeunes talents tunisiens d'assister à des masterclass et de commencer à produire leur musique. Dans le pays, le jazz réunit une grande communauté de passionnés depuis les années 1960. Devant un public de jeunes musiciens tunisiens, le guitariste américain Mark Whitfield présente une masterclass. Au programme, conseils et exemples de composition. Pour Malek Lakhoua, musicien de jazz et organisateur du festival avec le label Jazzit Records, il s'agit de perpétuer une tradition de culture du jazz en Tunisie qui avait commencé avec le festival de jazz à Tabarka en 1968.« J'ai grandi dans cette ambiance de masterclass, "d'aftershow". Pour moi, c'est la liberté que véhicule cette musique, l'union. C'est ce que l'on veut véhiculer à travers ce festival », explique l'organisateur, qui souhaite aider la scène jazz tunisienne à se renforcer. « Pour nous, la scène n'est pas assez structurée, il n'y a pas de label. Les circonstances, l'environnement, il est presque hostile pour la création d'un label. Économiquement, c'est difficile, la distribution est très compliquée, le manque de festivals. Il y a beaucoup de défis par rapport à cela », regrette-t-il.« Je cherche toujours des masterclass ou des sessions de jam pour apprendre et m'inspirer. Surtout que, malgré les quelques maîtres tunisiens du jazz, ce n'est pas vraiment une musique qu'on apprend au conservatoire. Il n'y a pas de formation, c'est un apprentissage un peu autodidacte », estime quant à lui Neder, 24 ans, qui improvise avec ses camarades à la guitare.Si le jazz reste confidentiel en Tunisie, une jeune génération de musiciens, espère percer dans le pays, comme Ahmed Dridi 29 ans, originaire de Zaghouan au nord de la Tunisie. « On est motivés, même si la culture du jazz n'est pas hyper répandue. Mais c'est plus par ignorance que manque d'intérêt pour cette musique. Par exemple, moi, si j'invite des amis à voir des live de musiciens jazz, au début, ils viennent sans connaître nécessairement et après, ils reviennent. Avec les jeunes, une communauté d'amateurs se crée aussi », raconte-t-il.Et pour encourager cette dynamique, le jeune musicien Aymen Dhifaoui, 27 ans et originaire de Kairouan, est monté sur scène pour échanger quelques sons de guitare avec le légendaire Mark Whitfield à la clôture du festival.À écouter aussiL'épopée des musiques noires: David «Yacouba» Jacob revitalise ses origines béninoises

Les dossiers du FBI
Opération Goldenrod (2/2)

Les dossiers du FBI

Play Episode Listen Later May 30, 2025 21:16


"On voulait l'arrêter vivant et le ramener au pays pour le faire comparaître en cours. L'idée derrière tout ça, c'était d'envoyer derrière cette arrestation un message politique clair."À Beyrouth, un avion se dirigeant vers la Jordanie est détourné par des pirates de l'air. À son bord, deux citoyens américains. Les terroristes contraignent le pilote à se diriger vers la Tunisie. Mais celle-ci refuse de les laisser atterrir, et les réserves d'essence diminuent à vue d'œil. Le FBI et la CIA doivent allier leurs forces pour envoyer un message aux terroristes du monde entier : le gouvernement américain protégera toujours ses ressortissants.“Les dossiers du FBI” est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures, adapté de la série documentaire audiovisuelle "FBI Files" produit par New Dominion Pictures. Cet épisode a été écrit par Allison Erkelens et Cherise Ellingsworth, et réalisé par John Kavanaugh.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Marie AgassantMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Les dossiers du FBI
Opération Goldenrod (1/2)

Les dossiers du FBI

Play Episode Listen Later May 30, 2025 22:57


"À partir de ce moment, tout groupe terroriste qui prenait un américain en otage, n'importe où dans le monde, notamment lors de détournement d'avion, était sujet à une enquête du FBI."À Beyrouth, un avion se dirigeant vers la Jordanie est détourné par des pirates de l'air. À son bord, deux citoyens américains. Les terroristes contraignent le pilote à se diriger vers la Tunisie. Mais celle-ci refuse de les laisser atterrir, et les réserves d'essence diminuent à vue d'œil. Le FBI et la CIA doivent allier leurs forces pour envoyer un message aux terroristes du monde entier : le gouvernement américain protégera toujours ses ressortissants.“Les dossiers du FBI” est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures, adapté de la série documentaire audiovisuelle "FBI Files" produit par New Dominion Pictures. Cet épisode a été écrit par Allison Erkelens et Cherise Ellingsworth, et réalisé par John Kavanaugh.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Marie AgassantMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Vous m'en direz des nouvelles
Du Burkina Faso au Casino de Paris, Smarty sème son rap engagé

Vous m'en direz des nouvelles

Play Episode Listen Later May 30, 2025 48:29


Smarty a enflammé en avril le public du Femua à Abidjan et il s'apprête à ambiancer le Casino de Paris. Star incontestée du rap au Burkina en Afrique et bien au-delà avec des textes qui depuis 20 ans éveillent les consciences et réveillent l'engagement. Depuis l'époque de Yellen, le groupe dont il a été la moitié, au début des années 2000 jusqu'à aujourd'hui, en solo ou en invitant d'autres stars à ses côtés. Il a toujours su trouver les mots qui invitent à la confiance, à la persévérance, comme les conseils d'un sage à sa génération et aux suivantes.Smarty est l'invité de Sur le pont des arts. Il sera en concert au Casino de Paris le 1er juin. À lire : la biographieSmartyAu programme de l'émission :► Reportage Il s'appelle Sofyane Ben Youssef, mais il est connu sous son nom de scène d' Ammar 808. Ce producteur tunisien de musique électronique vient de sortir Club Tounsi, son 3e album studio, dont est extrait ce titre Al Yalila. Edmond Sadaka nous fait découvrir cet album et cet artiste de 45 ans. ► Chronique Histoire de rireDamien Roucou nous fait découvrir Amine Radi. Passé d'expert-comptable à « expert humoriste », le comédien retrace dans son deuxième spectacle son incroyable parcours de Casablanca aux plus grandes scènes du rire à travers le monde. ► Playlist du jourSmarty – Chacun sa vieSmarty – Ne parle pasSmarty – Reine

Afrique Économie
En Tunisie, la nouvelle «loi sous-traitance» donne de l'espoir aux travailleurs précaires

Afrique Économie

Play Episode Listen Later May 29, 2025 2:21


En Tunisie, une loi votée au Parlement pour mettre fin à la sous-traitance dans certains secteurs. Elle doit permettre de régler les situations abusives de précarité des employés de certaines sociétés de sous-traitance, particulièrement dans le nettoyage et le gardiennage.  De notre correspondante à Tunis Mourad Saïdani est gardien de sécurité dans une résidence. Il a veillé jusqu'à 4h du matin le jour du vote de la loi sur la sous-traitance au Parlement. Il attend, avec impatience, un changement. « Vous n'imaginez pas mes conditions de travail, s'exclame l'homme de 42 ans, ça fait un an et demi que je travaille ici pour 160 euros par mois. Je n'ai aucun jour de congé, si je veux en prendre un, c'est prélevé de mon salaire. Je travaille douze heures par jour. J'attendais vraiment cette loi, car je n'en peux plus de cette situation ».Sécurité de l'emploiIl espère qu'avec la nouvelle loi, son contrat sera régularisé. Actuellement, il n'a pas de Sécurité sociale. Le vide juridique et la confusion entre société de prestation de service et sous-traitance ont laissé place à ce genre d'abus. « Je n'ai pas de formation ou de diplôme. Et qui va embaucher quelqu'un de mon âge ? la plupart des secteurs cherchent des jeunes et des saisonniers », explique-t-il.Avec la nouvelle loi, les CDD ou contrats précaires doivent être convertis en CDI et assurer une protection sociale. Une exception est faite pour le travail saisonnier. Mais le professeur en droit Hatem Kotrane souligne un manque de clarté. « L'une des difficultés est la durée maximale du CDD, rien n'est dit dans la loi. On tolère des cas, mais on ne dit pas qu'elle est la durée du seuil, qu'elle est la durée maximale d'un CDD. On parle de contrat de travail qui conclut la durée d'un chantier, d'une mission, cela a été supprimé et aujourd'hui cela créerait beaucoup de difficultés pour nombre d'entreprises, dans le secteur du bâtiment par exemple ».Critique sur le manque de collégialitéLe député indépendant Dhafer Sghiri est l'une des voix à avoir émis des réserves lors du débat sur la loi à l'assemblée. Il a dénoncé notamment le manque de consultation avec les partenaires sociaux et le patronat. « Avec le projet, il doit y avoir une étude d'impacts normalement. Ça doit être chiffré, par exemple le projet va impacter combien de personnes ? Ça, c'est inexistant dans le projet, c'est une grande lacune, une faiblesse ». Le secteur privé a peu réagi à l'adoption de cette nouvelle loi. Le secteur public emploie lui 20% de travailleurs dans la sous-traitance. Le texte prévoit une amende de 3 000 euros et jusqu'à six mois d'emprisonnement en cas d'infraction.

Revue de presse Afrique
À la Une : les 20 pays les plus performants d'Afrique

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 28, 2025 4:10


C'est un classement établi par Jeune Afrique. Un classement qui « met en lumière les pays qui ont pris une longueur d'avance sur le continent dans trois domaines clés : la gouvernance, l'innovation et l'influence. »Pas de surprise, c'est l'Afrique du Sud qui est en tête. « De fait, explique Jeune Afrique, l'Afrique du Sud jouit d'une aura singulière. Sa diplomatie n'a pas d'équivalent sur le continent et son appartenance aux Brics, ainsi qu'au G20 – institution qu'elle préside cette année –, lui confère une place de leader. (…) La nation Arc-en-ciel reste, de loin, la première puissance industrielle d'Afrique, parfois dans des secteurs à forte valeur ajoutée comme l'automobile ou la chimie. Son économie est aussi portée par la richesse de son sous-sol (or, platine, charbon, etc.). Elle possède des infrastructures de classe mondiale, ce qui en fait une destination privilégiée par les investisseurs. (…) Le seul domaine dans lequel l'Afrique du Sud fait un peu moins bien qu'une dizaine d'autres pays du continent est la gouvernance. »Égypte et Maroc sur le podiumLa suite du classement des 20 pays les plus performants du continent, toujours selon Jeune Afrique : « l'Égypte et le Maroc viennent compléter le podium. (…) Les deux États d'Afrique du Nord se tiennent dans un mouchoir de poche. La croissance de l'économie égyptienne est portée par le secteur du bâtiment, tandis que le canal de Suez reste une source de revenus et d'influence non négligeable. »Quant au Maroc, « il est devenu un hub commercial, logistique et financier, notamment avec le port de Tanger Med, l'un des plus grands d'Afrique et de la Méditerranée. (…) La suite du classement, de la 4e à la 9e place, est d'abord occupée par le Botswana et le Kenya, puis, un peu plus loin, avec des résultats très serrés, par Maurice, l'Éthiopie, la Tanzanie et le Nigeria. Enfin, un trio francophone occupe les places suivantes : 10ᵉ, la Côte d'Ivoire ; 12ᵉ, la Tunisie ; 13e, le Sénégal. »La Côte d'Ivoire : laboratoire de la nouvelle doctrine économique américaine…La Côte d'Ivoire est donc le pays francophone d'Afrique de l'Ouest le mieux placé dans ce classement. Et ça n'est sans doute pas un hasard si les États-Unis ont annoncé récemment des investissements records dans ce pays. Le Monde Afrique précise : « des investissements essentiellement dans l'industrie pétrolière et minière, pour un total de presque 7 milliards de dollars. Les plus importants portent sur la construction d'une nouvelle raffinerie et l'exploitation de deux blocs pétroliers off-shore. Des projets dans la droite ligne du “drill, baby, drill“ (“creuse, bébé, creuse“) prôné par Donald Trump et qui contentent la Côte d'Ivoire. Abidjan souhaite (en effet) diversifier son économie, qui repose historiquement sur l'agriculture, en développant ses industries extractives et minières. »En fait, résume Le Monde Afrique, « en Côte d'Ivoire, les États-Unis de Trump mettent en œuvre leur nouvelle doctrine : “le commerce, pas l'aide“. » Avec un « discours de promotion économique débarrassé de toute pression diplomatique et qui est accueilli chaleureusement par les autorités ivoiriennes. “La nouvelle politique américaine en Côte d'Ivoire, qui ne s'occupe plus de défendre les droits des LGBT, qui ne pose plus de questions de politique intérieure, et qui a coupé les aides au financement des élections, trouve un certain écho auprès des dirigeants“, analyse un diplomate en poste à Abidjan. Et, estime Le Monde Afrique, pourrait même séduire une partie de la jeunesse dans une Afrique francophone où la souveraineté est brandie comme le nouvel étendard. »Un nouveau patron pour la Banque africaine de développementEnfin économie toujours avec cette question posée par Le Point Afrique : « qui pour succéder au nigérian Akinwumi Adesina ? » Le patron de la BAD, la Banque africaine de développement, arrive au terme de son second mandat. On connaitra demain le nom de son successeur. « Cinq candidats s'affrontent pour diriger la plus puissante banque de développement en Afrique, dans un contexte marqué par le désengagement financier de certains partenaires occidentaux […]. »Résultat, relève Le Point Afrique, « tous les candidats s'accordent sur un objectif : mobiliser davantage de capitaux en provenance du privé. Mais le prétendant consacré devra certainement orienter son regard plus à l'est. Début mai, l'administration Trump annonçait retirer sa contribution de 555 millions de dollars au Fonds africain de développement de la BAD. Ce coup dur porté au guichet concessionnel de l'institution ne fait que confirmer la quête de nouveaux financements que devra entreprendre la nouvelle présidence. »

Sources diplomatiques
Qui gouverne l'océan ? · 1/5

Sources diplomatiques

Play Episode Listen Later May 27, 2025 4:23


Prologue. Notre avenir se joue en mer. Protéger l'océan, c'est protéger l'avenir de l'humanité. Il nous nourrit, nous soigne, nous connecte, nous amuse, nous fascine et nettoie l'air que nous respirons. Mais qui s'occupe de l'océan ? Et comment gouverner un espace aussi vaste qui n'appartient à personne et qui concerne tout le monde ?   POUR ALLER PLUS LOIN : un documentaire : « Ocean » de David Attenborough (2025) nous plonge dans un monde sous-marin merveilleux tout en alertant sur les dangers qui le menacent ;  un roman graphique : « Anita Conti » (éd. Casterman, 2024) qui raconte la vie, l'engagement et la passion de cette océanographe pionnière de l'écologie ; une fresque à colorier : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fresque à télécharger dessinée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ;    ARCHIVES & EXTRAITS : extraits libre de droit de marchés de poissons en Italie, au Japon, en Tunisie, en Turquie, au Brésil ; extrait de l'émission « Le journal de l'éco » sur France Culture du 13 mai 2024 ; discours d'Emmanuel Macron à l'Assemblée générale de l'ONU du 19 septembre 2017 ; message vidéo de Narendra Modi publié sur Facebook le 17 août 2024 ; discours d'António Guterres à l'ouverture du Sommet de l'avenir le 22 septembre 2024 ; message vidéo de Xi Jinping pour la 76e Assemblée générale des Nations unies diffusé le 21 septembre 2021 ; discours de Nadia Calvino du 9 septembre 2023 à l'occasion du G20 ; discours de Cyril Ramaphosa du 22 janvier 2025 lors du Forum de Davos ; annonce de Huang Runqiu à l'occasion de l'accord Kunming-Montréal adopté en 2022 ; annonce de Rena Lee à l'occasion de la fin des négociations de l'accord BBNJ en 2023   CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Édition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy  Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.

Les pieds sur terre
Un mariage mouvementé

Les pieds sur terre

Play Episode Listen Later May 26, 2025 28:40


durée : 00:28:40 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Valérie Borst - L'un en Tunisie, l'autre en France, Danielle et Fadi se sont rencontrés sur les réseaux sociaux. Six ans plus tard, les voilà installés à Montpont-en-Bresse, dans la petite maison de Danielle, amoureux et presque heureux. Car après un mariage mouvementé, ils sont confrontés à une nouvelle épreuve. - réalisation : Emmanuel Geoffroy

France Culture physique
Un mariage mouvementé

France Culture physique

Play Episode Listen Later May 26, 2025 28:40


durée : 00:28:40 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Valérie Borst - L'un en Tunisie, l'autre en France, Danielle et Fadi se sont rencontrés sur les réseaux sociaux. Six ans plus tard, les voilà installés à Montpont-en-Bresse, dans la petite maison de Danielle, amoureux et presque heureux. Car après un mariage mouvementé, ils sont confrontés à une nouvelle épreuve. - réalisation : Emmanuel Geoffroy

En sol majeur
Zied Bakir, le nomadisme littéraire d'un Tunisien

En sol majeur

Play Episode Listen Later May 25, 2025 48:30


Celui qui vient en marchant n'est jamais un étranger, c'est ce que dit le dicton. Notre invité Zied Bakir est un marcheur inspiré qui aime bien aussi vous faire marcher. J'en ai la preuve dans le studio tamisé d'ESM, son nouveau récit paru chez Grasset intitulé «La naturalisation, aux immigrés la patrie reconnaissante». L'humour à mort, c'est ce que pratique cet enfant du Maghreb, né bédouin dans un coin de Tunisie, rattrapé un jour par le virus de la francophilie. Et c'est là que le stylo entre en scène, convaincu qu'il est de devoir forcer le mektoub littéraire. Forcer l'écriture, ça veut dire provoquer la vie et ce chemin de vie qui le mènera de Saint-Jacques-de-Compostelle à la prison libyenne pour atterrir un jour au guichet d'une demande de naturalisation. C'est l'histoire d'un Zied Bakir qui ne s'est jamais senti nulle part à sa place, sauf clandestinement, sauf en cheminant. Ne serait-ce pas la définition du philosophe. 

Reportage Afrique
La diversification du cinéma en Tunisie, entre film d'auteur indépendant et comédie romantique

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later May 24, 2025 2:22


Alors que le 78e festival de Cannes s'est achevé samedi 24 mai en France, la diversité de la production en Tunisie, pays où la culture d'aller au cinéma est peu présente à cause du faible nombre de salles, témoigne de l'exploration de nouveaux genres. De la comédie romantique commerciale au film de genre, les réalisateurs tunisiens affirment chacun leur style. De notre correspondante à Tunis,Avec le film Agora, à mi-chemin entre le thriller et le film de genre, le réalisateur Alaeddine Slim signe son troisième long-métrage. Son œuvre se distingue dans le paysage cinématographique tunisien avec un style particulier centré sur l'image et les hors-champs : « Être à la marge, ça me permet aussi une certaine liberté. Voilà mes films ne sont pas trop connus ici, moi-même, je ne suis pas très connu ici en Tunisie. Du coup, je profite de cette ombre pour véhiculer mes idées. »Le film suit une enquête policière autour de mystérieux revenants, des personnes portées disparues qui ressurgissent soudainement. Mais progressivement, le film parle aussi d'écologie, du rapport à la religion et du refus de se confronter au passé. En filigrane, il offre une critique politique. « Agora critique plusieurs pouvoirs dans notre société : le pouvoir policier, scientifique et religieux essentiellement, mais aussi tenter de montrer la relation très ambiguë et "très sale" entre ces trois pouvoirs, c'est ça l'idée générale du film. Au lieu de liquider le passé, d'essayer de comprendre ou de décortiquer ce problème-là, on refait les mêmes fautes et on étouffe l'affaire. »Startup : un autre film, une autre ambiancePratiquement sorti la même semaine qu'Agora, la comédie romantique Startup s'inscrit dans un registre diamétralement opposé, mais aussi nouveau dans le paysage cinéma tunisien, plutôt habitué aux drames ou comédies potaches. Haifel Ben Youssef en est le réalisateur : « Je voulais faire un film léger et comme j'avais une culture des ciné-clubs et des festivals du film amateur, je n'étais pas à l'aise avec l'idée de faire juste un film commercial. Donc le défi avec ma scénariste, c'était d'arriver à réaliser un film "light", commercial, grand public et en même temps y inclure des sujets de société comme la question de l'environnement à Tunis et sur l'île de Djerba, le modèle touristique, les problèmes des jeunes entrepreneurs. »Même si le pays ne compte qu'une vingtaine de salles, la production tunisienne reste abondante et diversifiée. En 2024, une centaine de films tunisiens ont été produits.À lire aussiLe cinéma tunisien et son tout premier film de fiction fêtent leurs 100 ans

Cultures monde
Politiques carcérales 2/4 : Tunisie : les abus de la détention préventive

Cultures monde

Play Episode Listen Later May 20, 2025 58:16


durée : 00:58:16 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Le 19 avril 2025, le tribunal de Tunis a prononcé des peines allant jusqu'à 66 ans de prison à l'encontre de 40 individus pour "complot contre la sureté de l'État". Un procès qui illustre la politique de répression de l'opposition menée par le président Kaïs Saïed depuis son coup de force en 2021. - réalisation : Vivian Lecuivre, Cassandre Puel - invités : Vincent Geisser Chargé de recherche (CNRS) à l'Institut de recherches et d'études sur les mondes arabes et musulmans (IREMAM-AMU) d'Aix-en-Provence; Hatem Nafti Essayiste, chercheur auprès de Noria Research; Rihab Boukhayatia Journaliste au média tunisien Nawaat, spécialiste des questions relatives aux droits et libertés

En sol majeur
Mazal Ankri, une Française judéo-arabe

En sol majeur

Play Episode Listen Later May 18, 2025 48:30


Encore une histoire de famille dans les oreilles ESM, mais oui, puisque le genre humain ce n'est finalement que ça. Alors que le blocus de l'aide humanitaire est imposé depuis le 2 mars dans l'enclave palestinienne par le gouvernement Netanyahu, un livre raconte les piments verts, les tomates, le pain azyme, les hommes, le cœur et la boussole de ce cœur d'homme. Trois pays pour un exil signé Mazal Ankri chez L'Harmattan évoque un voyage en terre promise en 1996, quelques mois après l'assassinat d'Yitzhak Rabin. Voyage et enquête familiale pour revisiter les destins croisés des Haddad, Calvo et Kateb, depuis la Tunisie, vers Israël et la France. Où l'on apprend, au cours de cette cousinade qui porte si bien son nom, que dans cette famille juive, il peut y avoir un cœur musulman. Programmation musicale de Mazal Ankri :• Harry BelafonteErev chelshoshanim• Rachid Taha Ya rayah • Anouar Brahem Conte de l'incroyable amour.

Journal de l'Afrique
En Tunisie, la résilience des journalistes malgré une presse de plus en plus muselée par le pouvoir

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later May 11, 2025 15:50


En Tunisie, ce 11 mai marque les un an des arrestations des chroniqueurs et journalistes Sonia Dahmani, Mourad Zeghidi et Borhen Bsaies. Ils avaient été condamnés à des peines allant de huit mois à deux ans de prison sous le coup du décret 54 pour leurs analyses politiques. Poursuivis encore dans le cadre de plusieurs affaires, ils restent emprisonnés. Dans ce contexte tendu pour la liberté de la presse sans le pays, certains journalistes tentent de résister. 

Afrique Économie
Tunisie: un premier modèle de scooter électrique intelligent

Afrique Économie

Play Episode Listen Later May 11, 2025 2:11


Dans un pays où les transports en commun font souvent défaut, deux Tunisiens ont lancé, il y a quatre ans, la start-up Pixii Motors pour développer un scooter électrique intelligent. Leur objectif : désengorger les villes grâce à l'intelligence artificielle embarquée et promouvoir un mode de transport écologique. De notre correspondante à Tunis,Dans la technopole d'El Ghazela à Tunis, Anis Fekih, l'un des cofondateurs de Pixii Motors, met les dernières touches à son prototype de scooter intelligent, le Shadow. « C'est une moto électrique. On n'a rien réinventé. La roue existe déjà, mais ce qu'on a un peu poussé, c'est la partie technique. Ce que vous voyez ici, c'est un cockpit avec toutes les données : la météo du jour, l'autonomie, l'état de la batterie, et tout ça ». Scooter rechargeable sur prise 220 VPas du tout issus du monde de la moto, Anis et ses cofondateurs, alors salariés d'entreprise, voulaient surtout créer un moyen de transport adapté aux besoins urbains actuels en Tunisie, où les bornes de recharge électriques sont encore rares. « On s'est dit qu'aujourd'hui, dans les grandes villes, la majorité des habitants habitent dans des appartements, donc il y a un vrai souci de recharge. On a donc créé le scooter sur la base d'une batterie amovible, et deuxièmement, une batterie qui peut se recharger comme n'importe quel téléphone, avec une prise 220 volts classique, rechargeable en trois heures », explique Anis Fekih.De l'IA pour plus de sécuritéAvec un premier capital de 7 000 euros, obtenu grâce à un concours de pitchs organisé par l'accélérateur tunisien RedStart, ils conçoivent pendant trois ans ce scooter, deux fois moins lourd qu'un modèle à essence. Proposé à un prix compétitif, environ 2 400 euros, il concurrence les autres marques grâce à ses options technologiques avancées. « On a intégré un chatbot qui peut assister le conducteur pour effectuer certaines tâches, anticiper des besoins ou fournir du support en cas de panne. On a aussi intégré un système anticollision, un système de détection d'angle mort... donc on a beaucoup misé sur la sécurité ».Au début de l'année, la start-up a sécurisé une levée de fonds de 530 000 euros et finalise les détails pour obtenir une certification et s'aligner sur les régulations européennes. L'objectif : viser le marché tunisien, mais aussi international.Les scooters électriques, l'imparfaite solution à la pollution de l'air en Inde

Journal de l'Afrique
La guerre au Soudan a provoqué le déplacement de 13 millions de personnes

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later May 10, 2025 15:52


Au Soudan, les derniers bombardements dans l'est du pays poussent de nouvelles vagues de civils vers le Tchad. 4 millions de soudanais ont fui leur pays depuis le début de la guerre selon les derniers chiffres de l'ONU. Parmi eux près de 800 000 soudanais ont trouvé refuge au Tchad. Une charge pour un pays aux faibles moyens et dont le système humanitaire supporte une crise sans précédent.  

HeyA
#63 - "Devenir libre, rester amazigh : déconstruire pour se reconstruire" avec Nawal Benali

HeyA

Play Episode Listen Later May 7, 2025 50:15 Transcription Available


Cette semaine, je suis ravie de vous partager ma conversation avec Nawal Ibtissam Benali.Nawal est journaliste, podcasteuse et créatrice de la plateforme « Ya ça chez nous », qui vise à déconstruire et analyser les dynamiques du racisme anti-noir propres à l'Afrique du Nord et à ses diasporas. Elle est d'origine amazighe, née en Tunisie, et a passé la majeure partie de sa vie en France.Fière de son héritage, elle s'engage activement pour la reconnaissance et la valorisation de l'identité amazighe. Après des études littéraires et une formation en journalisme, elle s'est construit une carrière riche, éclectique et non linéaire. Depuis quelques années, elle se consacre pleinement à ses thématiques de prédilection : l'identité, l'appartenance, et les dynamiques de pouvoir qui les façonnent. Dans cet épisode, on a parlé :de ses racines amazighes et de ce qu'elles représentent pour elle,de pourquoi il est préférable d'utiliser le mot « amazigh » plutôt que « berbère »,du tiraillement que peuvent ressentir certaines personnes entre arabité et africanité,et du sujet sensible mais essentiel qu'est le racisme au sein même de nos communautés. J'ai pris beaucoup de plaisir à enregistrer cet épisode, car il nous invite à réfléchir et à déconstruire des sujets qui sont généralement tabous. Sans plus attendre, je vous laisse avec la HeyA du jour : Nawal Ibtissam Benali. ----------------------------------------------------- Pour suivre NawalInstagram : @nanupharr Pour rejoindre la communauté Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

HeyA
[EXTRAIT] - "Amazigh, pas berbère : nommer, c'est résister" avec Nawal Benali - journaliste

HeyA

Play Episode Listen Later May 6, 2025 2:43 Transcription Available


Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Nawal Benali.Cette semaine, je suis ravie de vous partager ma conversation avec Nawal Ibtissam Benali.Elle est journaliste, podcasteuse et créatrice de la plateforme « Ya ça chez nous », qui vise à déconstruire et analyser les dynamiques du racisme anti-noir propres à l'Afrique du Nord et à ses diasporas. Nawal est d'origine amazighe, née en Tunisie, et a passé la majeure partie de sa vie en France.Fière de son héritage, elle s'engage activement pour la reconnaissance et la valorisation de l'identité amazighe. Après des études littéraires et une formation en journalisme, elle s'est construit une carrière riche, éclectique et non linéaire. Depuis quelques années, elle se consacre pleinement à ses thématiques de prédilection : l'identité, l'appartenance, et les dynamiques de pouvoir qui les façonnent. Dans cet épisode, on a parlé :de ses racines amazighes et de ce qu'elles représentent pour elle,de pourquoi il est préférable d'utiliser le mot « amazigh » plutôt que « berbère »,du tiraillement que peuvent ressentir certaines personnes entre arabité et africanité,et du sujet sensible mais essentiel qu'est le racisme au sein même de nos communautés. J'ai pris bcp de plaisir à enregistrer cet épisode, car il nous invite à réfléchir et a déconstruire des sujets qui sont généralement tabous. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode !    ----------------------------------------------------- Pour suivre NawalInstagram : @nanupharr Pour rejoindre la communauté de Heya Instagram: @heya_podcast Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage Afrique
Tunisie: avec le drame de Mezzouna, «c'est l'occasion d'appeler à l'aide»

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later May 3, 2025 2:24


En Tunisie, le 14 avril dernier, trois adolescents ont trouvé la mort après l'effondrement d'un mur dans l'enceinte de leur lycée à Mezzouna, au centre-est du pays, à quelques kilomètres du berceau de la révolution, Sidi Bouzid. Cet accident a provoqué l'indignation de l'opinion publique en Tunisie, car il révèle des problèmes structurels de développement dans les régions marginalisées. De notre correspondante à Tunis,À Mezzouna, après des jours de tensions, le calme est revenu. Mabrouka Nouri, la mère d'Abdelkader Dhibi, l'un des lycéens tués dans l'accident, reçoit encore les condoléances du voisinage. Elle attend une enquête sur les circonstances du drame : « Ce mur ne s'est pas effondré à cause du président de la République ou du directeur de l'école, il était ancien et ici, le budget réservé aux rénovations publiques, on ne sait jamais où il va. Pour moi, c'est la faute des lobbies qui accaparent l'argent du pays depuis des années. »Un discours qui résonne avec celui du président Kaïs Saïed qui est venu la voir ainsi que les autres familles en deuil, dans la nuit du 18 avril. Dans cette ville de 8 000 habitants, la visite a été perçue positivement après des décennies sans contact avec le pouvoir central. « Il est venu nous voir, il nous a salués, il nous a écoutés, nous, les pauvres que personne ne voit », approuve Mabrouka Nouri.Après la visite du président, Hanen, 43 ans qui s'occupe seule de sa mère, a entendu les promesses de relance de l'usine de plastique fermée depuis 2008 et des aides pour l'infrastructure sanitaire. Néanmoins, elle reste vigilante : « Je n'ai aucune confiance dans les autorités locales, ni le gouverneur ni le délégué régional. On n'arrive pas à vivre dans la dignité. »« Rien n'est rénové depuis des décennies »Ville autrefois prospère grâce à l'une des plus grandes usines de plastique du pays, les défaillances se voient partout. L'usine est laissée à l'abandon, l'état des routes laisse à désirer, et de nombreuses constructions souffrent de problèmes d'infrastructure. Beaucoup d'habitants comme Hanen se sentent abandonnés. « Ici, c'est simple, vous avez des connexions ou des contacts, vous aurez du travail, sinon vous n'êtes rien. Moi, je vis avec ma mère grâce à sa pension de retraitée de 150 euros par mois. Le moindre médicament pour son traitement coûte entre 15 et 20 euros, que nous reste-t-il à la fin du mois ? »Ce défaitisme, Mohamed Sboui, enseignant de 58 ans, l'explique par l'ancienneté de l'état d'abandon des infrastructures publiques : « Si l'effondrement du mur a autant bouleversé les gens, c'est parce que tout le monde est conscient que rien n'a été réellement entretenu ou rénové depuis des décennies. On a un poste de police et une mairie et puis pas grand-chose d'autre. L'effondrement de ce mur, c'est pour nous l'occasion d'appeler à l'aide. »Le drame de Mezzouna a provoqué une onde de choc dans le pays. De nombreuses municipalités ont ainsi détruit des murs où édifices fragiles par peur que le scénario ne se répète.

Les matins
En Tunisie, nouvelle manifestation contre la dérive autocratique du président Saïed

Les matins

Play Episode Listen Later May 2, 2025 5:54


durée : 00:05:54 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Près de 2 000 Tunisiens ont manifesté jeudi à Tunis, à l'occasion de la fête des Travailleurs, contre la politique du président Kaïs Saïed et pour demander la libération de personnalités politiques emprisonnées.

Revue de presse Afrique
À la Une: la célébration du 1er-Mai, fête du Travail

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 2, 2025 4:06


C'est tout d'abord la Presse en Tunisie, qui nous rappelle « qu'en 1904, des travailleurs tunisiens, maltais, italiens et français réunis, descendirent dans la rue et marchèrent sur Tunis, revendiquant, pour la première fois, leur droit syndical. Leurs revendications étaient d'ordre professionnel et matériel, mais concernaient aussi l'accès à la santé et les heures de travail », explique la Presse. Des slogans qui restent d'actualité, « aux quatre coins du globe », nous dit le journal tunisien, « ceux qui voudraient gagner leur pain à la sueur de leur front, n'ont jamais eu gain de cause ». « Leurs efforts, durement consentis, ne sont pas justement récompensés », ajoute la Presse, qui évoque notamment « le fléau du chômage endémique, dans lequel s'enlisent de nombreux postulants, avec ou sans diplôme ». RegretsAu Burkina Faso, on a également célébré hier le 1er mai. « L'Unité d'Action Syndicale remet sa plateforme revendicative au ministre en charge de la Fonction publique », titre LeFaso.net qui met en avant les regrets exprimés par l'Unité d'action syndicale… elle s'est vue refuser le droit d'organiser une marche, pour la remise de sa plateforme, en raison « du contexte sécuritaire ». L'UAS n'en réitère pas moins ses principales revendications qui portent notamment sur « la libération des personnes arrêtées, l'augmentation des pensions de retraite [...] ou encore la révision de la nouvelle grille salariale des travailleurs des sociétés d'état ». PatriotismeEn République Démocratique du Congo, une fête du Travail célébrée sur fond de guerre dans l'est du pays. « Pour la journée internationale du travail », nous dit Actualité.cd, « la célébration met en avant les FARDC (les forces armées congolaises) pour leur rôle dans la situation sécuritaire dans l'Est [...] une façon de rendre hommage à ceux qui combattent notamment les rebelles de l'AFC/M23, et ceux qui sont déjà tombés sur le champ de bataille pour la cause nationale. » Actualité.cd, qui cite les propos du ministère de l'emploi, selon lequel ce premier mai «  donne une occasion de sensibiliser, de mobiliser et d'aiguiser le patriotisme de la masse laborieuse sur l'impérieuse nécessité de défendre notre patrimoine commun, contre les velléités des ennemis de tout bord ». Liberté de la presseAu Sénégal, c'est sur fond de protestation des médias que s'est déroulée la fête du Travail. « Lors de la remise des cahiers de doléances, au Palais de la République, Moustapha Cissé, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a vivement interpellé le chef de l'État Bassirou Diomaye Faye » indique Sénégo, qui rappelle que « 381 organes de presse ont reçu l'ordre du gouvernement de cesser toute diffusion ou parution. « Nous vous demandons solennellement de sursoir à cette décision qui plonge toute une corporation dans le désarroi », a déclaré Moustapha Cissé, qui ajoute : « la création d'emploi commence par la préservation de l'existant » ». Selon DakarActu, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a également déclaré : « une presse libre ne peut exister si elle est soumise à des pressions économiques ou politiques ».  LicenciementsToujours au Sénégal, le Quotidien a décidé de son côté de donner la parole « à des personnes licenciées dans le secteur public-parapublic », tel Boubacar, dont le contrat a été rompu le 31 décembre dernier. « J'ai tout perdu », dit-il. « Selon le Rassemblement des Travailleurs du Sénégal », « plus de trente mille personnes sont concernées « par les licenciements décidés par les nouvelles autorités, dans les structures publiques et parapubliques ».  Babacar, lui, se désespère. « Si j'ai la possibilité de partir », dit-il, « je quitterai le pays, peu importe la manière. Diomaye-Sonko m'a tout retiré : mon emploi et ma dignité ». 

Fill'Expats
S'expatrier pour Aider - Hélène Raconte ses Missions Humanitaires à travers les continents

Fill'Expats

Play Episode Listen Later May 1, 2025 86:26


Le monde est petit! C'est en revenant en France, dans sa région natale, que Kelly rencontre Hélène ! Dans ce nouvel épisode plongez dans l'histoire fascinante d'Hélène, une globe-trotteuse au grand cœur. De Montréal au Sénégal, en passant par la Tunisie, l'Égypte, et le Rwanda, elle partage son incroyable parcours entre études en criminologie, volontariat et missions humanitaires.À travers ses dix ans d'expérience en Afrique et en France, elle aborde avec humour et recul des sujets profonds : la place de la femme dans différentes cultures, l'impact du statut marital sur la carrière en Afrique, et la réalité du travail auprès des plus démunis. Entre anecdotes surprenantes et réflexions engagées, cet épisode vous fera voyager et questionner le monde qui nous entoure.Cet épisode réserve aussi une autre surprise : Kelly tend son micro à une autre invitée également.

Advanced French
Advanced French 437 - World News, Opinion and Analysis in French

Advanced French

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 6:36


Tunisie : l'inquiétante dérive autoritaire du président Saïed Entre tristesse et frustration, l'Argentine pleure son pape Le succès mondial d'un chocolat déstabilise le marché de la pistache Attractivité économique : les investisseurs boudent la France Le photographe Robert Doisneau mis à l'honneur au Musée Maillol

Journal de l'Afrique
Tunisie : de nouveaux camps démantelés pour inciter les migrants à quitter le pays

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Apr 27, 2025 15:00


Les opérations de démantèlement de camps de migrants africains subsahariens continuent en Tunisie. Jeudi dernier, des unités de la garde nationale ont mis le feu a des tentes installées dans des oliveraies dans la localité d'El Amra. Ces opérations interviennent à un moment d'accélération des retours "volontaires" de personnes migrantes dans leurs pays. Selon l'OIM, depuis janvier, plus de 2300 personnes ont pu être rapatriées de façon "volontaire" depuis la Tunisie, contre 7000 sur l'année 2024.

Journal de l'Afrique
Deux groupes rebelles membres de la CPC signent un cessez-le-feu en RCA

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Apr 25, 2025 14:00


En Centrafrique deux importants groupes rebelles membres de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC) dont François Bozizé est le coordonnateur et qui a failli renverser le pouvoir en 2021, ont signé un accord de paix avec le gouvernement. Un processus important avant les élections prévues dans huit mois.

Journal de l'Afrique
En Tunisie, 37 opposants condamnés à des peines lourdes pour "complot" contre l'État

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Apr 19, 2025 15:03


De lourdes peines ont été prononcées contre 37 opposants au président tunisien Kaïs Saïed, accusés de complot contre la sûreté de l'État. Les sentences vont jusqu'à 70 ans de prison et ont été communiquées ce matin à l'aube. Notre correspondante Lilia Blaise, qui se trouvait devant le tribunal lors de la dernière audience vendredi, nous raconte le déroulé du procès et les réactions face au verdict.