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Comment vit-on et relate-t-on la pire attaque terroriste survenue dans le pays dans lequel on vit ? Comment témoigner ensuite d'une guerre quand l'accès au terrain est interdit, que les récits se percutent et que le choix de chaque mot devient un enjeu à part entière ? Le journaliste Samuel Forey a été confronté à toutes ces questions. Installé à Jérusalem entre 2020 et 2025, il y a assuré une partie de la correspondance du Monde à partir de l'été 2023.Depuis l'attaque du Hamas en Israël, le 7 octobre 2023, il nous raconte la guerre à Gaza ainsi que ses conséquences pour les Palestiniens (57 000 d'entre eux ont péri) et pour les Israéliens, alors que 49 otages sont encore retenus à Gaza. Avant de clore ce chapitre et de s'installer au Caire, où il continuera à travailler pour Le Monde, il évoque, dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », les coulisses d'une guerre, mais aussi d'un métier : journaliste en zone de conflit.Un épisode de Marion Bothorel. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Musiques originales : Amandine Robillard. Réalisation : Amandine Robillard et Quentin Tenaud. Dans cet épisode : extraits de deux journaux télévisés de TV5Monde diffusés les 24 décembre 2021 et 22 juin 2023 ; d'une vidéo d'Associated Press publiée le 27 mars 2023 ; du JT de 20 heures de France 2, de celui de 20 heures de TF1, des journaux de 8 heures et de 19 heures de France Inter et d'un direct à l'antenne de France 24, tous diffusés le 7 octobre 2023.Cet épisode a été diffusé le 3 juillet 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Bonjour à toutes et à tous, et bienvenue dans Horizons Marines, la chaîne des podcasts de la mer, du fait maritime et de ses acteurs. Dans cet épisode d'Écho, on lève l'ancre pour une zone sous haute tension : l'Iran, le Golfe arabo-persique et la mer Rouge, théâtre d'affrontements indirects, d'opérations asymétriques et de manœuvres stratégiques de plus en plus audacieuses. Depuis plusieurs mois, les tensions entre l'Iran et Israël se sont intensifiées. Attaques de navires, frappes ciblées, harcèlement maritime : les incidents se multiplient dans un contexte de guerre ouverte à Gaza. Et à nouveau, Téhéran menace de fermer le détroit d'Ormuz, ce corridor stratégique par lequel transitent environ 20 % à 30 % du pétrole mondial transporté par voie maritime, soit près de 17 millions de barils par jour. Face à cette pression constante, une question revient : quelle est la stratégie navale de l'Iran aujourd'hui ? Longtemps considérée comme une puissance terrestre et idéologique, la République islamique affirme désormais sa stratégie maritime, en jouant sur plusieurs leviers : sa marine, ses capacités asymétriques, mais aussi ses proxys régionaux, à commencer par les Houthis, désormais capables de menacer les routes commerciales de la mer Rouge. Alors, quelle est la stratégie navale de l'Iran aujourd'hui ? Jusqu'où peut-elle aller ? Et comment comprendre son recours croissant à des acteurs non étatiques comme relais d'influence militaire sur le plan maritime ? Pour y répondre, nous avons le plaisir d'accueillir Fatima Moussaoui, docteure en sécurité internationale, enseignante à l'École d'Affaires Publiques de Sciences Po Paris et l'IEP de Saint-Germain-en-Laye. Vous êtes également chercheur au Center of armed groups de Genève et spécialiste de la projection de puissance iranienne au Proche et Moyen-Orient. Vous avez publié en avril dernier un ouvrage intitulé Iran's Military Power Projection and the Empowerment of Ansar Allah, consacré entre autres à l'appui militaire de l'Iran au mouvement houthi au Yémen. Bonne écoute !Crédit audio : Upbeat Gospel Trap by Infraction [No Copyright Music] / Feel So GoodVous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégique de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des ArméesN'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
Pour la première fois depuis trois ans, Vladimir Poutine et Emmanuel Macron se sont parlé, mardi 1er juillet. L'entretien téléphonique entre les deux hommes a duré plus de deux heures. L'occasion pour les deux Présidents d'aborder la confrontation entre l'Iran et Israël, mais aussi le rôle des Etats-Unis dans cette crise, comme la situation en Ukraine.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Wij zijn dag 120 van ons leesjaar. Vandaag lezen wij 2 Samuël 1 en 1 Kronieken 1 en psalm 13. We bevinden ons in de tijdsperiode Het Koninkrijk, waar wij lezen over de eerste koningen van Israël.
Alors que la tension est un peu retombée avec Israël et les États-Unis, la vie reprend son cours... mais la répression aussi.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une guerre de longue durée aura-t-elle lieu à court ou moyen terme entre d'une part Israël et son allié américain, et d'autre part la République islamique d'Iran et ses fameux proxys ?▶ Le Média lance le plan "Riposte"
La France, le Royaume Uni et le Canada menacent d'actions « concrètes » contre Israël si Gaza subit davantage de frappes.Traduction: France, the UK and Canada warn of “concrete” measures if Gaza sees further strikes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 27 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE CONCLAVE SUR LES RETRAITES Le « conclave » sur les retraites, voulu par le Premier ministre pour désamorcer les tensions autour de la réforme de 2023, s'est soldé par un « échec » a annoncé lundi la CFDT, marquant la fin de quatre mois de discussions infructueuses entre partenaires sociaux. Les discussions au sein de ce conclave, qui réunissait le Medef, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises), la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC, visaient à adoucir l'impopularité de la réforme Borne de 2023, qui a relevé l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans. Au-delà des considérations sociales, l'objectif était également d'assurer la pérennité financière d'un système qui anticipe un déficit de 6,6 milliards d'euros en 2030. Pour les organisations patronales, toute concession sur la pénibilité devait s'inscrire dans un cadre garantissant cet équilibre, tandis que les syndicats insistaient sur la nécessité de compenser les carrières hachées et les impacts physiques des métiers les plus exigeants. Sur la question de l'âge, sujet sensible de la réforme Borne, l'hypothèse d'un retour de l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans avait pourtant été enterrée par les syndicats. Dans le texte rédigé par l'animateur des débats, les représentants de salariés avaient obtenu le recul de l'âge de la décote (celui à partir duquel les assurés ont droit à une pension à taux plein, même s'ils n'ont pas le nombre de trimestres requis pour y être éligibles) à 66 ans et demi (contre 67 ans aujourd'hui).Selon l'étude Elabe réalisée pour l'Association française de la gestion financière (AFG) dévoilée mardi, les ménages semblent prêts à une vraie évolution du système : 47 % des Français se déclarent en faveur de la généralisation de plans d'épargne retraite par capitalisation en complément du système de retraite par répartition. Les « cadres » sont favorables à cette idée à 65 %, tout comme les ménages avec « une forte capacité d'épargne » à 64 % et les « investisseurs » à 56 %. Seules 18 % des personnes interrogées se montrent réfractaires à l'idée. L'enjeu financier des retraites est considérable : les pensions représentent près de 14% du PIB, 40% de la dépense sociale et un quart de la dépense publique. Le Conseil d'orientation des retraites indique, dans son rapport de juin, que l'évolution des dépenses de retraites « explique à elle seule une grande partie de la progression des dépenses publiques depuis 2002 ». Si le pays peine à financer ses services publics, c'est parce qu'il a préféré ses retraites alors que les évolutions démographiques ont bouleversé l'équilibre : il n'y a plus que 1,7 actif pour 1 retraité, tandis que le ratio était de 4 pour 1 en 1950. Le COR en tire la conclusion qu'il faudra reculer encore l'âge de la retraite.Mercredi, François Bayrou a affirmé que le conclave n'était « pas un échec » et présenté jeudi le résultat des discussions après avoir « tranché » sur« les désaccords ».LA GUERRE USA-IRAN L'attaque américaine, menée dans la nuit de samedi à dimanche derniers sur l'Iran, a été « intentionnellement limitée » à des cibles nucléaires et ne visait pas un changement de régime, a déclaré dimanche le Pentagone. Avec l'opération Midnight Hammer (Marteau de minuit), Donald Trump a exploité une fenêtre d'opportunité après qu'Israël a presque réduit à néant les alliés régionaux de l'Iran (Hamas, Hezbollah) puis les défenses iraniennes. S'il proclame toujours vouloir la paix, Donald Trump n'hésite pas dégainer. Il l'avait fait à trois reprises au cours de son premier mandat : contre la Syrie, après des attaques chimiques, en avril 2017 puis en avril 2018, enfin en ordonnant un assassinat ciblé à Bagdad contre le général iranien Soleimani, chef des forces spéciales des Gardiens de la Révolution, en janvier 2020. Toutefois, jusqu'à dimanche, il s'agissait d'opérations limitées.Dimanche, le président américain a annoncé que les trois sites de Natanz, Fordo et Ispahan avaient été « totalement anéantis ». Une affirmation difficile à confirmer, les cibles étant souterraines. Le général Dan Caine, chef d'état-major des armées américaines s'est montré plus prudent, comme le vice-président JD Vance. Selon les « premières évaluations du champ de bataille », a dit le soldat, les sites visés ont subi « de sévères dommages et destructions ». Un document classé confidentiel du renseignement américain, relayé par CNN et le New York Times, suggère que les frappes américaines sur l'Iran auraient retardé son programme nucléaire de seulement quelques mois, sans le détruire complètement. Jeudi, l'ayatollah Khamenei a affirmé que Donald Trump a « exagéré » l'impact des frappes américaines sur le territoire iranien.En représailles, lundi, l'Iran a attaqué la base aérienne américaine d'Al-Udeid, au Qatar. Treize missiles ont été interceptés sans difficulté selon l'armée, tandis qu'un autre s'écrasait sans dégâts. La base, qui en temps normal accueille près de 10 000 soldats, était très largement dépeuplée. Pour Téhéran, « la priorité était de retrouver les voies de la négociation afin de sauver le régime », estime le chercheur Bernard Hourcade, spécialiste de la République islamique. Selon lui, « les dirigeants iraniens ne voulaient pas couper les ponts avec Donald Trump, car ils savent que c'est lui qui peut arrêter la guerre avec Israël ». Via le Qatar et probablement Oman, Téhéran avait averti les États-Unis de ses tirs de missiles contre la base aérienne américaine, afin qu'il n'y ait pas de victimes. Ce fut le cas.Mardi, Israël et l'Iran ont déclaré accepter l'initiative américaine de cessez-le-feu.Tandis que les membres de l'administration Trump revendiquent une réussite totale, les questions s'accumulent sur le sort des quelque 400 kg d'uranium hautement enrichi dont disposait l'Iran. Cette question sera au centre des négociations qui devraient s'ouvrir prochainement entre l'Iran et les Occidentaux, via l'Agence internationale à l'énergie atomique (l'AIEA), dans l'espoir de tourner durablement la page de la guerre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Pas de panique, tient à lancer Martial You, parce qu'on a joué à se faire peur au niveau économique tout au long de la semaine. J'ai été un peu agacé par le début de semaine où on voyait des reportages à la pompe sur certaines chaines de télé, où on s'inquiétait d'une flambée des prix de l'essence, et où on a brandi à nouveau la menace d'un renversement du gouvernement après l'échec du conclave"...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Pas de panique, tient à lancer Martial You, parce qu'on a joué à se faire peur au niveau économique tout au long de la semaine. J'ai été un peu agacé par le début de semaine où on voyait des reportages à la pompe sur certaines chaines de télé, où on s'inquiétait d'une flambée des prix de l'essence, et où on a brandi à nouveau la menace d'un renversement du gouvernement après l'échec du conclave"...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:21 - Journal de 8 h - En Iran, le pouvoir a organisé des funérailles pour honorer les hauts gradés de l'armée, et des scientifiques liés au programme nucléaire tués dans les bombardements israéliens, lors de la guerre de 12 jours déclenchée par l'Etat hébreu.
Rediffusion. L'épisode de tension entre l'Iran et Israël a rappelé l'importance du détroit d'Ormuz dans le négoce de produits pétroliers. En 2019, la question se posait déjà. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur le poids de ce détroit dans les relations entre Donald Trump et Téhéran. « La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juin 2019 dans les locaux des « Echos ». Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Yves Bourdillon et Etienne Goetz (journalistes aux « Echos »). Réalisation : Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : Ina.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:15:21 - Journal de 8 h - En Iran, le pouvoir a organisé des funérailles pour honorer les hauts gradés de l'armée, et des scientifiques liés au programme nucléaire tués dans les bombardements israéliens, lors de la guerre de 12 jours déclenchée par l'Etat hébreu.
durée : 00:15:21 - Journal de 8 h - En Iran, le pouvoir a organisé des funérailles pour honorer les hauts gradés de l'armée, et des scientifiques liés au programme nucléaire tués dans les bombardements israéliens, lors de la guerre de 12 jours déclenchée par l'Etat hébreu.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Adriaan en Simon bespreken: een roman schrijven is heilzaam / de nachtredacteur / NAVO-top / beschaving begint achter de IJssel / doe in het openbaar een masker van beschaving op / (echt niet) ongefilterd / Akwasi / gedichten bidden / het lied van Amsterdam / Anak Indië / stemmen uit Gaza / propjes oprapen / post van onze luisteraars / interview met Alfred Schaffer Schrijvers van dienst: Dorien Pessers / Milan Kundera / Philip Roth / Plato / Akwasi / Anton de Kom / Amer Almassri / Alfred Schaffer Download het essay Big Mother van Dorien Pessers hier: 201506291653.pdf Brieven aan Anton de Kom is hier te bestellen: https://boekenwereld.com/akwasi-brieven-aan-anton-de-kom-9789026366086 De man die achteromkeek van Amer Almassri is hier te bestellen: https://boekenwereld.com/amer-almassri-de-man-die-achteromkeek-9789493397125 Goethe in Dachau van Nico Rost is nog beperkt te verkrijgen bij uitgeverij Schokland: http://www.uitgeverijschokland.nl/bestellen/?bid=251 Zo heb ik u lief, alle gedichten tot nu toe van Alfred Schaffer is hier te bestellen: https://boekenwereld.com/alfred-schaffer-zo-heb-ik-u-lief-9789403141213 De gedichten van deze aflevering: Leven van Nazim Hikmet / Hoop van Czesław Miłosz / Dennis the Menace van Ashwin Arendse / The Sink Toilet en The Immaculate Toilet van Musawenkosi Khanyile Je kunt de boeken van Adriaan natuurlijk in de boekwinkel bestellen, maar veel van zijn boeken zijn ook als audioboek te beluisteren, ingesproken door Adriaan zelf. Neem nou bijvoorbeeld Naar zachtheid en een warm omhelzen bij Spotify: https://open.spotify.com/show/5dfcEIZk7KS2J123DerKuO?si=fB8nFoHGQKmqOTPRHlH5sg Voor een toelichting over de auteursbijeenkomst: Auteurs én uitgeverijen zijn boos over eigenaar KKR wegens banden met Israël. ‘We zijn medeplichtig gemaakt’ - NRC Volg het Instagram-account van de podcast: @vandis.ongefilterd Wil je een vraag stellen of reageren? Mail het aan: vandis@atlascontact.nl Van Dis Ongefilterd wordt gemaakt door Adriaan van Dis, Simon Dikker Hupkes en Bart Jeroen Kiers. Montage door Sten Govers van Thinium Audioboekproducties. Bedankt voor uw recensie. © 2025 Atlas Contact | Adriaan van DisSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Le Journal en français facile du vendredi 27 juin 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BnTC.A
L'actualité qui a retenu l'attention de La Loupe de la semaine, c'est le cessez-le-feu précaire entre Israël et l'Iran. L'annonce a été faite par Donald Trump, quelques jours après les intenses frappes américaines sur les installations nucléaires iraniennes. Une déclaration qui a surpris nombre de dirigeants européens, alors en pleine tentative de négociation. Aujourd'hui, on s'interroge sur le poids de l'Europe dans ce dossier, avec Cyrille Pluyette, rédacteur en chef adjoint du service Monde de L'Express.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Solène AlifatEcriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans la bande de Gaza, accéder à la nourriture et à l'aide humanitaire reste une mission quasi impossible. Les distributions d'aide alimentaire, gérées par la Gaza Humanitarian Foundation, une ONG pilotée par Israël et les États-Unis, virent à la tuerie presque quotidienne. Quelques camions d'aide humanitaire sont entrés cette semaine dans l'enclave, mais incapable d'enrayer la menace de famine généralisée qui pèse sur les deux millions de Gazaouis. Depuis le début de l'année, chaque jour, 112 enfants sont admis à l'hôpital pour malnutrition. Une situation dramatique renforcée par une pénurie criante de lait infantile. De nos correspondants à Gaza et à Jérusalem, Derrière la voix du docteur Ahmad Al Farra qui dirige le service pédiatrie et maternité de l'hôpital Nasser de Khan Younès, les images de bébés prématurés en souffrance dans leur incubateur se succèdent. Dans une vidéo sur les réseaux sociaux, le pédiatre a tiré la sonnette d'alarme la semaine dernière sur une situation devenue critique pour ces nouveaux nés, particulièrement à risque.« Comme vous pouvez le voir là, nous avons un bébé prématuré qui dépend complètement intégralement sur une formule de lait artificielle pour les prématurés dont la quantité disponible dans l'hôpital Nasser est proche de zéro. » Et sans entrée rapide et massive de l'aide humanitaire, les conséquences pour ces enfants prématurés sont dramatiques.« Il subira un arrêt de son métabolisme, un déséquilibre électrolytique, il sera dans un état grave, cela peut potentiellement menacer sa vie. » Particulièrement tragique pour les bébés prématurés hospitalisés, cette pénurie frappe toute l'enclave où survit un million d'enfants Sous une tente à Gaza City, Thareefa Bassal 32 ans, essaie de calmer sa fille Qasar, un an. « Il y a une semaine, j'ai réussi à lui trouver du lait en poudre pour 23 euros. Mais maintenant, c'est terminé, je ne peux plus me le permettre. » À lire aussiBande de Gaza: l'enfer de 1,1 million d'enfants pris au piège entre guerre et malnutrition Rien ne compense le manque de lait Incapable de s'offrir du lait comme tant d'autres, Thareefa cherche tant bien que mal des solutions. « J'essaie de remplacer cela avec des suppléments alimentaires, mais ce n'est pas suffisant. Je pense aussi à acheter plus de conserves de fruits ou de légumes fondus. Mais rien de tout cela ne compense le manque de lait. Ses os sont en train de se former, ils ont besoin de lait en poudre, elle a besoin du calcium et de tout ça. » Et l'absence de nutriment adapté se fait sentir sur la santé de Qasar : « Elle a maintenant un an et il est temps pour elle de commencer à marcher et à faire ses dents. Mais je ne sais absolument plus quoi faire pour l'aider à se nourrir correctement. Pendant 14 ans, je n'ai pas réussi à tomber enceinte et maintenant qu'elle est née, je ne peux pas lui assurer certaines choses essentielles. Certains documents à l'hôpital indiquaient qu'elle souffrait de malnutrition sévère, sa température est élevée et elle tousse énormément. Elle est très malade. » En mai, selon l'Unicef, plus de 5 000 enfants entre six mois et cinq ans ont été admis à l'hôpital pour malnutrition aiguë. À lire aussi« Mon enfant fait des convulsions »: la malnutrition accable les enfants de Gaza
La guerre entre Iran et Israël aura duré 12 jours. Le cessez le feu semble s'installer, mais pour combien de temps ? Quel impact cet affrontement aura t'il eu sur le programme nucléaire iranien ? Et puis nous verrons ce qui est advenu en Ukraine pendant que tous les regards se tournaient vers le Moyen d'Orient. Le Sommet de l'OTAN a confirmé l'implication des européens, mais aussi le désengagement de Donald Trump alors que la Russie grignote jour après jour un peu plus de territoire.
C'est la fin d'un règne de 37 ans. Coupe au carré inimitable, aussi redoutée qu'admirée. Anna Wintour surnommée la « papesse de la mode » a annoncé hier jeudi (26 juin 2025) sa démission de la rédaction en chef de l'édition américaine de Vogue. Quelle était son influence ? Nous en parlons avec Constance Benqué, CEO de Elle International. Ce n'est pas une surprise, mais c'est tout de même un tournant, nous explique Constance Benqué. Mais la papesse de la mode ne quitte pas totalement la scène : elle conservera un rôle de supervision des éditions internationales. Car, rappelle Constance Benqué, Vogue reste un groupe très centralisé, où Anna Wintour gardera un poids important dans les grandes orientations. Quel successeur pour incarner Vogue ? La question du remplacement reste ouverte, mais une chose semble probable : la direction américaine voudra placer l'un des siens. « Je pense que ce sera inévitablement un ou une Américain(e) ». Comment expliquer l'aura de celle que l'on reconnaît à sa coupe au carré et à ses lunettes noires ? « Par son jugement acéré, sa redoutable exigence », résume Constance Benqué. Dans un milieu où il faut savoir s'imposer, Anna Wintour a su se faire craindre autant qu'admirer, notamment des créateurs. Si elle ne décide pas seule des tendances – ce sont les stylistes qui les lancent – elle aura été pendant des décennies une figure d'autorité incontournable dans le monde de la mode. Malgré la légalisation de l'IVG en Colombie, sa pratique se heurte à de nombreux obstacles C'est un reportage d'Ange Fabre. En Colombie, l'avortement a été légalisé en 2022 mais des obstacles demeurent. Aujourd'hui encore, les femmes qui pratiquent l'IVG subissent une forte stigmatisation, comme en témoigne l'influenceuse Camila Correa, qui raconte sur TikTok la solitude et les préjugés dont elle a été victime. Dans les hôpitaux, de nombreuses femmes sont confrontées à des blocages : les médecins peuvent refuser de pratiquer l'IVG mais ils doivent orienter les femmes vers un autre médecin ou un autre centre. Très souvent, ils refusent de le faire. Les associations comme Mesa Por la Vida ou Unimédicos se battent pour faire respecter la loi, qui permet l'IVG sans justificatif jusqu'à la 24è semaine. Pourtant, des documents administratifs non requis sont souvent exigés, ce qui retarde voire empêche l'intervention. La situation est encore plus critique en zone rurale, où les infrastructures sont rares et les normes sociales plus rigides. Les femmes y manquent de soutien et d'accès à l'information. Autre frein : les dénonciations, qui persistent malgré la décision de la Cour constitutionnelle. L'avortement reste inscrit comme un délit dans le Code pénal, et le Parlement n'a toujours pas engagé de réforme pour le dépénaliser pleinement. En Floride, le projet Alligator Alcatraz crée la polémique Les autorités de la Floride ont lancé la construction d'un nouveau centre de détention pour migrants surnommé « Alligator Alcatraz ». Un nom qui en dit long. Le centre est installé sur une ancienne piste d'atterrissage, en plein cœur des Everglades — un environnement particulièrement hostile, avec alligators, pythons et marécages. Objectif assumé : décourager toute tentative d'évasion, rapporte CNN. Mais ce projet fait polémique. La maire du comté de Miami-Dade, Daniella Levine Cava, alerte sur le manque de transparence et les risques environnementaux dans une zone protégée. Des ONG montent aussi au créneau. La Florida Immigrant Coalition dénonce des conditions inhumaines, avec des migrants logés dans des tentes sous la chaleur étouffante de l'été floridien. Le centre accueillera des personnes en attente d'expulsion. Et selon le magazine Time, plusieurs militants redoutent que ce site devienne un prototype pour d'autres États républicains alignés sur la stratégie migratoire de Donald Trump. Pour eux, « Alligator Alcatraz » symbolise une politique brutale et idéologique, au mépris des droits humains et des normes environnementales. Quelles répercussions du conflit entre l'Iran et Israël sur les alliés de Téhéran en Amérique latine Le Miami Herald observe que malgré des alliances militaires affichées, ni la Russie ni la Chine n'ont apporté de soutien concret à l'Iran, se limitant à de simples condamnations verbales. Cette posture, selon le journal, envoie un message clair à des régimes proches de Téhéran comme le Venezuela, Cuba ou le Nicaragua : en cas de crise majeure, ils seront seuls. Le journal cite Elliott Abrams, ancien diplomate américain, qui estime que la victoire américano-israélienne montre que l'équilibre mondial a basculé en faveur des États-Unis. Et d'ajouter : « Des gens comme le président vénézuélien Nicolás Maduro doivent comprendre que s'ils se retrouvent un jour en réelle difficulté, personne ne viendra les secourir. » Journal de la 1ère L'activité économique tourne au ralenti en Martinique.
Très critiqué avant l'offensive lancée contre la République islamique, le 13 juin dernier, notamment pour sa gestion de la guerre à Gaza, le Premier ministre israélien semble désormais avoir le soutien de son peuple. De fait, dans les sondages réalisés après l'annonce du cessez-le-feu, Benjamin Netanyahou regagne du terrain.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quarante-huit heures après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et l'Iran, le guide suprême Ali Khamenei a revendiqué la victoire. Pourtant, en coulisse, un autre front reste actif. Celui de l'économie. Sous sanctions depuis des décennies, frappée par une inflation galopante et une devise en chute libre, l'économie iranienne semble tenir. Décryptage. La République islamique se targue de résister aux pressions extérieures, mais cette résilience a ses limites. Le rial iranien ne cesse de s'effondrer : il faut désormais plus de 42 000 rials pour un seul dollar américain. L'inflation est ainsi fulgurante, estimée à 43 % par le Fonds Monétaire International. Les produits de première nécessité deviennent inaccessibles pour une grande partie de la population. Selon les estimations, entre un tiers et la moitié des Iraniens vivent sous le seuil de pauvreté. Cette détérioration s'est aggravée après la réimposition des sanctions américaines en 2018, lorsque Washington s'est retiré de l'accord sur le nucléaire. L'Iran, déjà isolé, s'est alors vu couper l'accès au système bancaire international et privé de dollars. Une économie sous sanctions, mais jamais à l'arrêt Malgré l'isolement, Téhéran n'est pas resté sans ressources. Le pays a renforcé ses partenariats avec la Chine, la Russie, la Turquie ou encore l'Inde. Et surtout, il a su contourner les sanctions grâce à des raffineries chinoises opérant discrètement sur son sol, surnommées teapots, ou à une flotte fantôme de 400 navires transportant clandestinement du pétrole. Ce système s'appuie sur un modèle économique à deux vitesses. D'un côté, un capitalisme d'État dominé par les Gardiens de la Révolution, omniprésents dans les secteurs clés (énergie, télécoms, BTP). De l'autre, une économie informelle florissante, basée sur la contrebande et les circuits parallèles. Selon certaines estimations, le marché noir représenterait jusqu'à 40 % du PIB. Le pétrole, force vitale et talon d'Achille La récente guerre éclair avec Israël a touché un nerf sensible : les infrastructures énergétiques. Raffineries, oléoducs, terminaux pétroliers ont été visés, menaçant la première richesse du pays. Car malgré tout, l'Iran demeure un géant énergétique, troisième réserve mondiale de pétrole brut. Mais cette dépendance au pétrole, ajoutée à une gestion opaque et centralisée, rend l'économie extrêmement vulnérable. Paradoxalement, c'est ce système verrouillé, résilient mais étouffant, qui permet au régime de se mainteni, au détriment d'une population de plus en plus étranglée.
Charles Rodwell, député Ensemble Pour la République des Yvelines et membre de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, répond aux questions de Romain Desarbres au sujet des émeutes deux ans après la mort de Nathal, de l'immigration avec la publication des chiffres définitifs de 2024, de la proposition de loi qui vise à renforcer la lutte contre le terrorisme notamment en durcissant la loi pour les déséquilibrés dangereux, du témoignage de Christelle Gervaise, des mariages des OQTF, de la dette publique et du conflit opposant Israêl à l'Iran. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la fin, pour le moment, de ce qu'on appelle la guerre des 12 jours... le conflit entre Israël et l'Iran. Comment le Kremlin a-t-il réagi à la déclaration d'un cessez-le-feu entre Israël et l'Iran ? Le porte-parole de Poutine a d'ailleurs déclaré que « si un cessez-le-feu a vraiment été obtenu, on ne peut que s'en féliciter ». Avec - Catarina Falcao de la rédaction lusophone en ligne de São Tomé et Príncipe, en Afrique équatoriale - Anastasia Spirenkova pour la rédaction russe - Xenia Jornoklé de la rédaction ukrainienne.
Wist je dat er negen landen ter wereld zijn met atoombommen? Een klein clubje, dat niet staat te springen om nieuwe leden. Zo bleek afgelopen weken weer toen Israël en de VS Iran aanvielen, omdat dit land óók aan zo'n bom zou werken. Waarom ligt dit zo gevoelig? En wie bepaalt überhaupt wie wel en wie niet zo'n bom mag maken? Dennis legt het, kernachtig, aan je uit.
Chacune de ses déclarations peut faire l'effet d'une bombe au sens propre comme au figuré. En six mois, passé à la Maison-Blanche, Donald Trump a bousculé la diplomatie mondiale. Au Moyen-Orient, Washington soutient plus que jamais Israël depuis le début du mandat de Donald Trump. Mais de là à s'impliquer sur le terrain ? Ils sont peu, les experts à l'avoir anticipé. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le fragile cessez-le-feu entre l'Iran et Israël tient toujours jeudi, mais "nous devons rester vigilants, de nombreux défis nous attendent", a déclaré le chef de l'état-major israélien, Eyal Zamir, saluant dans le même temps l'action des commandos terrestres envoyés à Téhéran dans le plus grand secret.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
⚠️ Attention, cette semaine le récit (en 2 épisodes) de notre invitée Sarah Barukh, écrivaine et activiste, parle de violences et d'emprise. Écoutez-le dans les meilleures conditions possibles. Si vous avez besoin d'aide, appelez le 3919.
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Chacune de ses déclarations peut faire l'effet d'une bombe au sens propre comme au figuré. En six mois, passé à la Maison-Blanche, Donald Trump a bousculé la diplomatie mondiale. Au Moyen-Orient, Washington soutient plus que jamais Israël depuis le début du mandat de Donald Trump. Mais de là à s'impliquer sur le terrain ? Ils sont peu, les experts à l'avoir anticipé. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 24 juin 2025 avec Gilles Kepel, spécialiste du Moyen-Orient et de l'islam contemporain.Après avoir frappé les sites nucléaires iraniens dans la nuit de samedi, Donald Trump s'érige à nouveau en faiseur de paix via son réseau social pour intimer aux protagonistes de respecter un cessez-le-feu pour le moins fragile. Gilles Kepel apportera son analyse de la situation et les conséquences pour le Moyen-Orient de cette guerre que se livrent l'Iran et Israël, bouleversant ainsi l'équilibre de la région. La question de l'avenir du régime iranien, qui apparaît plus affaibli que jamais, se pose également. Si les États arabes ont condamné les frappes américaines, et que la Russie et la Chine sont des soutiens avérés de Téhéran, l'Iran semble seul à même de pouvoir assurer sa défense mais reste déterminé, y compris à poursuivre son programme nucléaire. À l'heure où "la paix par la force" semble s'imposer, la diplomatie tente de trouver une voie de passage, même si les Européens peinent à parler d'une seule voix.Gille Kepel, spécialiste du Moyen-Orient et de l'islam contemporain, livrera son analyse de la situation. Il est l'auteur de Le bouleversement du monde, édition actualisée chez Pocket.
Remembering grace - Strolls and Memory LaneWebsite: http://www.battle4freedom.com/Network: https://www.mojo50.comStreaming: https://www.rumble.com/Battle4Freedomhttps://www.youtube.com/@_battle4freedomhttps://www.biblegateway.com/passage/?search=Isaiah%2026%3A8&version=CJBIsaiah 26:8Following the way of your judgments, we put our hope in you. The desire of all our soul is to remember you and your name.Genesis 48:1 Awhile later someone told Yosef that his father was ill. He took with him his two sons, M'nasheh and Efrayim. 2 Ya`akov was told, "Here comes your son Yosef." Isra'el gathered his strength and sat up in bed. 3 Ya`akov said to Yosef, "El Shaddai appeared to me at Luz in the land of Kena`an and blessed me, 4 saying to me, `I will make you fruitful and numerous. I will make of you a group of peoples; and I will give this land to your descendants to possess forever.' 5 Now your two sons, who were born to you in the land of Egypt before I came to you in Egypt, are mine; Efrayim and M'nasheh will be as much mine as Re'uven and Shim`on are. 6 The children born to you after them will be yours, but for purposes of inheritance they are to be counted with their older brothers.Genesis 48:7 "Now as for me, when I came from Paddan, Rachel died suddenly, as we were traveling through the land of Kena`an, while we were still some distance from Efrat; so I buried her there on the way to Efrat (also known as Beit-Lechem)."Genesis 48:8 Then Isra'el noticed Yosef's sons and asked, "Whose are these?" 9 Yosef answered his father, "They are my sons, whom G_d has given me here." Ya`akov replied, "I want you to bring them here to me, so that I can bless them." (ii) 10 Now Isra'el's eyes were dim with age, so that he could not see. Yosef brought his sons near to him, and he kissed them and embraced them. 11 Isra'el said to Yosef, "I never expected to see even you again, but G_d has allowed me to see your children too!" 12 Yosef brought them out from between his legs and prostrated himself on the ground. 13 Then Yosef took them both, Efrayim in his right hand toward Isra'el's left hand and M'nasheh in his left hand toward Isra'el's right hand, and brought them near to him. 14 But Isra'el put out his right hand and laid it on the head of the younger one, Efrayim, and put his left hand on the head of M'nasheh — he intentionally crossed his hands, even though M'nasheh was the firstborn. 15 Then he blessed Yosef: "The G_d in whose presence my fathers Avraham and Yitz'chak lived, the G_d who has been my own shepherd all my life long to this day, 16 the angel who has rescued me from all harm, bless these boys. May they remember who I am and what I stand for, and likewise my fathers Avraham and Yitz'chak, who they were and what they stood for. And may they grow into teeming multitudes on the earth."Genesis 48:17 When Yosef saw that his father was laying his right hand on Efrayim's head, it displeased him, and he lifted up his father's hand to remove it from Efrayim's head and place it instead on M'nasheh's head. 18 Yosef said to his father, "Don't do it that way, my father; for this one is the firstborn. Put your right hand on his head." 19 But his father refused and said, "I know that, my son, I know it. He too will become a people, and he too will be great; nevertheless his younger brother will be greater than he, and his descendants will grow into many nations." 20 Then he added this blessing on them that day: "Isra'el will speak of you in their own blessings by saying, `May G_d make you like Efrayim and M'nasheh.'" Thus he put Efrayim ahead of M'nasheh.Genesis 48:21 Isra'el then said to Yosef, "You see that I am dying, but G_d will be with you and will bring you back to the land of your ancestors. 22 Moreover, I am giving to you a sh'khem [shoulder, ridge, share, city of Sh'khem] more than to your brothers; I captured it from the Emori with my sword and bow."
Hunger from hubris - Condescension`s CostWebsite: http://www.battle4freedom.com/Network: https://www.mojo50.comStreaming: https://www.rumble.com/Battle4Freedomhttps://www.youtube.com/@_battle4freedomhttps://www.biblegateway.com/passage/?search=Proverbs%2022%3A2&version=CJBProverbs 22:2Rich and poor have this in common — Adonai made them both.Genesis 47:1 Then Yosef went in and told Pharaoh, "My father and brothers have come from the land of Kena`an with their flocks, livestock and all their possessions; right now they are in the land of Goshen." 2 He took five of his brothers and presented them to Pharaoh. 3 Pharaoh said to his brothers, "What is your occupation?" They answered Pharaoh, "Your servants are shepherds, both we and our ancestors," 4 and added, "We have come to live in the land, because in the land of Kena`an there is no place to pasture your servant's flocks, the famine is so severe there. Therefore, please, let your servants live in the land of Goshen."Genesis 47:5 Pharaoh said to Yosef, "Your father and brothers have come to you, 6 and the land of Egypt lies before you. Have your father and brothers live on the best property in the country — let them live in the land of Goshen. Moreover, if you know that some of them are particularly competent, put them in charge of my livestock."Genesis 47:7 Yosef then brought in Ya`akov his father and presented him to Pharaoh, and Ya`akov blessed Pharaoh. 8 Pharaoh asked Ya`akov, "How old are you?" 9 and Ya`akov replied, "The time of my stay on earth has been 130 years; they have been few and difficult, fewer than the years my ancestors lived." 10 Then Ya`akov blessed Pharaoh and left his presence.Genesis 47:11 Yosef found a place for his father and brothers and gave them property in the land of Egypt, in the best region of the country, in the land of Ra`amses, as Pharaoh had ordered. 12 Yosef provided food for his father, his brothers and all his father's household, taking full care of even the youngest.Genesis 47:13 There was no food anywhere, for the famine was very severe, so that both Egypt and Kena`an grew weak from hunger. 14 Yosef collected all the money there was in Egypt and Kena`an in exchange for the grain they bought, and put the money in Pharaoh's treasury. 15 When all the money in Egypt had been spent, and likewise in Kena`an, all the Egyptians approached Yosef and said, "Give us something to eat, even though we have no money; why should we die before your eyes?" Genesis 47:16 Yosef replied, "Give me your livestock. If you don't have money, I will give you food in exchange for your livestock." 17 So they brought Yosef their livestock; and Yosef gave them food in exchange for the horses, flocks, cattle and donkeys — all that year he provided them with food in exchange for all their livestock.Genesis 47:18 When that year was over, they approached Yosef again and said to him, "We won't hide from my lord that all our money is spent, and the herds of livestock belong to my lord. We have nothing left, as my lord can see, but our bodies and our land. 19 Why should we die before your eyes, both we and our land? Buy us and our land for food, and we and our land will be enslaved to Pharaoh. But also give us seed to plant, so that we can stay alive and not die, and so that the land won't become barren." Genesis 47:20 So Yosef acquired all the land in Egypt for Pharaoh, as one by one the Egyptians sold their fields, because the famine weighed on them so severely. Thus the land became the property of Pharaoh. 21 As for the people, he reduced them to serfdom city by city, from one end of Egypt's territory to the other. 22 Only the priests' land did he not acquire, because the priests were entitled to provisions from Pharaoh, and they ate from what Pharaoh provided them; therefore they did not sell their land.Genesis 47:23 Then Yosef said to the people, "As of today I have acquired you and your land for Pharaoh. Here is seed for you to sow the land. 24 When harvest time comes, you are to give twenty percent to Pharaoh; eighty percent will be yours to keep for seed to plant in the fields, as well as for your food and for that of your households and your little ones."Genesis 47:25 They replied, "You have saved our lives! So if it pleases my lord, we will be Pharaoh's slaves." 26 Yosef made it a law for the country of Egypt, valid to this day, that Pharaoh should have twenty percent. Only the property belonging to the priests did not become Pharaoh's.Genesis 47:27 Isra'el lived in the land of Egypt seventeen years. They acquired possessions in it and were productive, and their numbers multiplied greatly.Genesis 47:28 Ya`akov lived in the land of Egypt seventeen years; thus Ya`akov lived to be 147 years old. 29 The time came when Isra'el was approaching death; so he called for his son Yosef and said to him, "If you truly love me, please put your hand under my thigh and pledge that, out of consideration for me, you will not bury me in Egypt. 30 Rather, when I sleep with my fathers, you are to carry me out of Egypt and bury me where they are buried." He replied, "I will do as you have said." 31 He said, "Swear it to me," and he swore to him. Then Isra'el bowed down at the head of his bed.https://www.biblegateway.com/passage/?search=Ecclesiastes%208%3A14-16&version=CJBEcclesiastes 8:14-1614 There is something frustrating that occurs on earth, namely, that there are righteous people to whom things happen as if they were doing wicked deeds; and, again, there are wicked people to whom things happen as if they were doing righteous deeds. I say that this too is pointless. 15 So I recommend enjoyment — a person can do nothing better under the sun than eat, drink and enjoy himself; this is what should accompany him as he does his work for as long as God gives him to live under the sun. 16 When I applied myself to gain wisdom and to observe how people occupy themselves on earth, that people's eyes don't see sleep either by day or by night,Credit to:https://unsplash.com/photos/person-holding-brown-leather-bifold-wallet-3aGZ7a97qwAhttps://unsplash.com/photos/blue-and-black-truck-near-brown-building-during-daytime-3jej1kT20Q4
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le réchauffement climatique et la fin de la guerre entre l'Iran et Israël. Cédéao : dans les coulisses de l'élection de Julius Maada Bio Le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye et le Ghanéen Jhon Dramani Mahamat étaient pressentis pour prendre la présidence tournante de la Cédéao. Finalement, l'organisation ouest-africaine a élu le Sierra léonais Julius Maada Bio. Comment expliquer ce choix ? Quelles sont les priorités de son mandat ? Avec Christina Okello, journaliste au service Afrique de RFI. Climat : la barre des 1,5 ºC est déjà hors d'atteinte Selon un collectif de scientifiques, l'objectif fixé par l'accord de Paris en 2015 de maintenir le réchauffement climatique sous 1,5°C est désormais « inatteignable ». Comment en sont-ils venus à ce constat ? Quelles seront les conséquences une fois que les 1,5 degré auront été dépassés ? Avec Simon Rozé, chef du service environnement-climat à RFI. Israël-Iran : le président iranien déclare la fin de « la guerre de 12 jours » Le président de la République d'Iran, Masoud Pezeshkian, a proclamé la fin de la « guerre de 12 jours ». Pourquoi une telle déclaration n'a-t-elle pas été faite par le guide suprême, Ali Khamenei ? Iran : la chute du régime des mollahs est-elle possible ? Ce mardi, Donald Trump a affirmé qu'il ne voulait pas de changement de régime à Téhéran. Pourtant, dimanche, il n'excluait pas ce scénario. Comment expliquer ce rétropédalage ? En cas de chute du régime des mollahs, qui pourrait prendre la relève ? Avec Kevan Gafaïti, enseignant à Sciences po Paris. Auteur de « La crise du détroit d'Ormuz de 2018 : une victoire iranienne sur les États-Unis » (éditions Harmattan).
Face au cessez-le-feu annoncé par Donald Trump dans le conflit qui oppose l'Iran à Israël, Dimitri Pavlenko interroge Emmanuel Razavi, grand reporter et spécialiste du Moyen-Orient. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tachtig procent van de leden van fusiepartij GroenLinks-PvdA stemde dit weekend op het ledencongres voor een aangescherpte Israël-koers. Dit tot onvrede en soms verdriet van een groep (veelal oudere) prominente partijleden. Maar, benadrukte partijleider Frans Timmermans, 'een meerderheid van de leden beslist welke richting we op gaan.' Wie is deze 'nieuwe meerderheid' die de koers van GroenLinks-PvdA nu bepaalt, en hoe zien hun ideologische veren eruit? Voor deze podcast legden we contact met een aantal relatief jonge en actieve leden van GroenLinks en de PvdA. Wat opvalt is dat zij het congres van dit weekend als positief, inspirerend en strijdbaar hebben ervaren en ook zeer enthousiast zijn over Frans Timmermans. Nynke de Zoeten, politiek verslaggever voor Nieuwsuur, die ook op het congres was, herkent dat beeld. Het was volgens haar een 'heel optimistisch congres.' Maar de discussie die is ontstaan over de motie-Piri, over de Israël-koers, is volgens haar geen goede start van de campagne. 'Timmermans heeft juist in de Tweede Kamer vaak gezegd dat we niet in een land moeten leven waar alleen de mening van de meerderheid geldt, dat het er ook om gaat hoe je met minderheden omgaat. In zijn eigen partij heeft hij dat niet echt goed aangepakt.' Reageren? Mail dedag@nos.nl Presentatie en montage: Elisabeth Steinz Redactie: IJsbrand Terpstra en Judith van de Hulsbeek
durée : 00:03:11 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En prévenant à l'avance les Américains, les Iraniens ont fait en sorte que leur riposte aux bombardements américains ne fasse pas de victimes. Donald Trump a saisi l'opportunité pour arrêter la guerre, même si Israël était dans une logique jusqu'au-boutiste.
Le Journal en français facile du mardi 24 juin 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BmrQ.A
Met vandaag: Het Koninklijk diner en het appje van Rutten bij de NAVO-top | Midden-Oosten-columnist Carolien Roelants over het conflict tussen Israël en Iran | Paul Haenen schreef een toneelstuk over een heiweekend van het kabinet | Verzamelaar Patrick Buch over een Napoleon-veiling in Parijs | Een scheldende Trump: welke presidenten deden het ook? | Presentatie: Cees Grimbergen
Il y a quelques jours, Israël et les États-Unis ont frappé l'Iran. Pas de mandat international. Pas de débat au Conseil de sécurité. Une démonstration de force nue, assumée.Au-delà des conséquences immédiates (régionales, économiques, humainesun basculement plus profond s'opère sous nos yeux : celui d'un monde qui renonce aux règles qu'il avait prétendu se donner. Un monde où le droit international, les traités, les institutions semblent désormais relégués au rang de décor.Que dit de notre époque cet abandon du cadre commun ? Et que peut-il rester quand la force se passe du droit ?Episode enregistrée le 23/06/2025----Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
durée : 00:05:58 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - L'Iran a lancé une nouvelle salve de missiles sur Israël, qui a répliqué par des frappes, alors que Donald Trump a annoncé une trêve entre Ies deux pays. Pendant que le monde entier a les yeux rivés sur cette guerre, le sort des Palestiniens a empiré, à Gaza comme en Cisjordanie.
durée : 00:15:34 - Journal de 8 h - Donald Trump a assuré ce mardi matin que le cessez-le-feu qu'il avait annoncé la veille entre Israël et l'Iran est bien entré en vigueur. Peu de temps avant, les secours israéliens ont annoncé la mort de quatre personnes dans des salves de missiles iraniens.
C dans l'air l'invitée du 23 juin 2025 avec Agnès Levallois, présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO).Au lendemain des frappes américaines sur trois sites nucléaires en Iran, elle analysera les conséquences géopolitiques de cette opération "marteau de minuit". Si Donald Trump dit avoir agi pour "arrêter la guerre", la tension monte entre les protagonistes. Ce matin, Israël a visé le site de Fordo et la prison d'Evin. Les Européens redoutent l'escalade et espèrent une issue diplomatique. Le régime iranien apparaît affaibli mais peut compter sur le soutien de la Chine et de la Russie et la condamnation de ces frappes par les pays arabes. Isolé dans un bunker, l'ayatollah Khamenei semble toutefois plus que jamais en danger, le président américain n'ayant pas exclu pas un changement de régime. Une reconfiguration du Moyen-Orient pourrait être à l'œuvre.Agnès Levallois, présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO) et auteure de "Le Livre noir de Gaza" aux éditions du Seuil, nous aidera à décrypter les enjeux des frappes américaines sur les sites nucléaires en Iran, et l'évolution des rapports de force au Moyen-Orient.
C dans l'air du 24 juin 2025 - Israël/Iran: Trump a-t-il réussi son coup? - Après douze jours de guerre entre Israël et l'Iran, des frappes américaines ce week-end et une riposte de Téhéran hier contre une base américaine au Qatar, le président des États-Unis a décrété au cours de la nuit un "cessez-le-feu bilatéral" de 24 heures, censé déboucher sur "la fin officielle" de la guerre. L'annonce faite par Donald Trump sur son réseau social a surpris, d'autant que, quelques heures plus tard, les frappes ont repris entre Israël et l'Iran, les deux pays s'accusant mutuellement d'avoir rompu le cessez-le-feu.Depuis la Maison-Blanche, le président des États-Unis a laissé éclater sa colère ce matin : "Israël et l'Iran se sont battus pendant si longtemps et si durement qu'ils ne savent pas ce qu'ils foutent", a-t-il lancé avant son départ pour le sommet de l'OTAN à La Haye. Dans un message en lettres capitales adressé au président israélien, Benyamin Nétanyahou, il a ajouté sur Truth Social : "Israël. Ne lâchez pas ces bombes. Si vous le faites, ce sera une grave violation. Rappelez vos pilotes, immédiatement !" Puis, en début d'après-midi, Donald Trump a assuré que le cessez-le-feu entre Israël et l'Iran est désormais "en vigueur".La guerre entre Israël et l'Iran sera évidemment à l'ordre du jour du sommet de l'OTAN, mais son objectif réel est tout autre. Face à la menace russe, au soutien à l'Ukraine et sous la pression de Donald Trump, les 32 États membres de l'Alliance atlantique se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas, afin d'entériner une hausse spectaculaire de leurs dépenses de défense, qui devraient passer à 5 % de leur PIB d'ici 2035. Ce rendez-vous, minutieusement orchestré pour éviter un esclandre du président américain — qui avait quitté prématurément le sommet du G7 au Canada le 16 juin dernier — vise aussi à rassurer sur l'avenir de l'OTAN. Donald Trump, depuis son retour à la Maison-Blanche, n'a cessé de réclamer des alliés européens et du Canada qu'ils dépensent beaucoup plus pour leur sécurité, faute de quoi il menace de ne plus les défendre.Coincée entre la menace russe et le mépris de Donald Trump pour le multilatéralisme, l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord vit des moments historiques et tendus, alors que les combats se poursuivent en Ukraine et que les négociations entre les deux camps sont au point mort. Ni Kiev ni Moscou ne semblent prêts à céder sur la souveraineté des territoires occupés. Mais trois ans après le début de l'invasion russe, le 24 février 2022, comment les Ukrainiens vivent-ils dans ces régions aux mains de Moscou qui recouvrent 20 % du pays ? Les témoignages sont rares, et les informations parcellaires. Nos journalistes ont pu rencontrer plusieurs familles ayant réussi à fuir ces territoires.Alors se dirige-t-on vers la fin de la guerre entre Israël et l'Iran ? Quel est l'avenir de l'OTAN et de la défense européenne ? Et quelle est la situation en Ukraine ? LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PERRUCHE - Consultant en stratégie de sécurité et de défense, ancien directeur général de l'État-major de l'U.E.- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef – France 24, ancienne correspondante à Téhéran - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo, spécialiste des questions internationales- Elise VINCENT (en duplex de La Haye) - Journaliste chargée des questions de défense - Le Monde
C dans l'air du 24 juin 2025 - Israël/Iran: Trump a-t-il réussi son coup? -LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PERRUCHE - Consultant en stratégie de sécurité et de défense, ancien directeur général de l'État-major de l'U.E.- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef – France 24, ancienne correspondante à Téhéran - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo, spécialiste des questions internationales- Elise VINCENT (en duplex de La Haye) - Journaliste chargée des questions de défense - Le Monde
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Donald Trump a annoncé un « cessez-le-feu total » négocié entre l'Iran et Israël. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a déclaré ce mardi qu'aucun accord de cessez-le-feu n'avait été conclu avec Israël à ce stade.
durée : 00:03:07 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'intervention des bombardiers américains en Iran a renforcé la position du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou qui impose sa suprématie militaire sur le Moyen Orient. La suite est moins facile, car la force est un moyen, pas une solution ; aussi bien en Iran qu'à Gaza.
C dans l'air du 23 juin 2025 - Opération "Midnight hammer" : le coup de force de Trump... -Pas de désescalade en vue. L'armée israélienne frappe Téhéran "d'une puissance sans précédent contre des cibles du régime et des organes de répression gouvernementaux", a indiqué lundi le ministre de la Défense de l'État hébreu, Israël Katz. Les bombardements israéliens interviennent après les premières frappes américaines, dans la nuit de samedi à dimanche, sur trois sites nucléaires iranien : Fordo, Natanz et Ispahan. Après 18 heures de vol, sept bombardiers furtifs B-2, appuyés par des avions de chasses et des missiles tomahawk tirés depuis des sous-marins, ont largué des bombes GBU-57, capables de perforer le sol jusqu'à 60 mètres de profondeur avant d'exploser. Si les images satellites montrent bien les cratères en surface, il est encore impossible de mesurer la portée des dégâts souterrains, comme l'a indiqué le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Raphael Grossi : "Compte tenu de la charge explosive utilisée et de l'extrême sensibilité des centrifugeuses aux vibrations, on s'attend à ce que des dégâts très importants aient été causés". Mais "personne n'est en mesure, à l'heure actuelle, de les évaluer pleinement". De son côté, Donald Trump s'est félicité de l'opération américaine "Midgnight Hammer" dans un style bien à lui : "Les dégâts les plus importants ont été causés bien en dessous du niveau du sol. En plein dans le mille !!!". Pour Benjamin Netanyahu il ne fait pas aucun doute que cette "décision audacieuse" "changera l'Histoire".Plus de 24 heures après l'attaque américaine contre ses sites nucléaires, la réponse iranienne tarde à intervenir. Affaiblis par plusieurs jours de combats et d'infiltrations sur son sol, l'Iran ne dispose plus de toutes ses capacités militaires et son stock de 2 000 à 3 000 missiles balistiques a en partie été détruit. Mais la république islamique dispose encore de plusieurs options de riposte. La plus probable serait de bloquer le détroit d'Ormuz où transite 20 % du pétrole mondial, ce qui ferait exploser les prix de l'or noir. L'Iran peut aussi décider de frapper les bases américaines au Moyen-Orient, comme celle d'al-Uleid, au Qatar, qui abrite 10 000 soldats américains, ou la base navale US au Barhrein. Reste enfin la possibilité d'une attaque terroriste. Selon la télévision américaine NBC news, quelques jours avant l'attaque américaine, l'Iran avait menacé les Etats-Unis d'activer des cellules terroristes dormantes à l'intérieur des États-Unis s'il était attaqué. Dans un communiqué publié aujourd'hui, le Département de la sécurité intérieure a averti que le risque d'attentats terroristes sur le territoire américain pourrait augmenter. Selon le vice-président américain JD Vance, la situation est suivie de très près à la Maison Blanche.En attendant une possible riposte iranienne, le guide suprême Ali Khamenei se cache depuis plusieurs jours. Selon le New York Times, le dirigent iranien de 86 ans, conscient d'être une cible prioritaire, serait réfugié dans un bunker où il préparerait sa succession. Plusieurs noms sont évoqués dont son fils Mojtaba, proche des Gardiens de la révolution islamique, ou encore l'ancien président modéré Hassan Rohani. En cas d'assassinat de l'ayatollah Khamenei, le processus de désignation, qui prend en temps normal plusieurs mois, serait accéléré. Le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi doit rencontrer ce lundi le président Vladimir Poutine, pays allié de l'Iran, et a dit s'attendre à des consultations d'"une grande importance" à Moscou. Dans une interview à ABC news la semaine dernière, le Premier ministre israélien Netanyahu n'a pas caché ses ambitions et a affirmé que tuer Khamenei "ne provoquerait pas une escalade, ça mettrait fin au conflit".Les frappes américaines sur les sites nucléaires iraniens ont-elles rempli leurs objectifs ? Quelles options l'Iran dispose-t-il pour riposter ? Et où se cache le guide suprême iranien Ali Khamenei depuis le début de la guerre ?LES EXPERTS :- Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse - Laurence HAÏM - Journaliste -Spécialiste des Etat-Unis- Philippe GELIE - Directeur adjoint de la rédaction - Le Figaro- Jean-Dominique MERCHET - Éditorialiste - L'Opinion, spécialiste des questions de défense et diplomatie