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Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur les relations diplomatiques entre la France et l'Algérie alors que l''ambassade de France à Alger a annoncé et s'est félicitée d'une hausse du nombre de visas accordés aux étudiants algériens cette année et que l'écrivain franco-algérien Boualam Sansal et un journaliste français sont toujours détenus. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce mercredi, il revient sur les relations diplomatiques entre la France et l'Algérie alors que l''ambassade de France à Alger a annoncé et s'est félicitée d'une hausse du nombre de visas accordés aux étudiants algériens cette année et que l'écrivain franco-algérien Boualam Sansal et un journaliste français sont toujours détenus. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sixty years after his death, the Village of Alger in west central Ohio is memorializing the famous Black baseball player. But the effort created controversy.
Le théâtre du Maghreb et du Moyen-Orient sont à l'honneur pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne. Pour cette deuxième émission enregistrée à Limoges, lumière sur le théâtre du Maghreb avec Yacine Benyacoub, metteur en scène, comédien et auteur franco-algérien, né dans le quartier de Bab El Oued à Alger et qui vient de recevoir le prix SACD de la dramaturgie francophone pour sa pièce La décennie noire écrite en 2023, une tragédie, mais non dénuée d'humour qui parle de cette décennie meurtrière qui a frappé son pays d'origine dans les années 90. Yacine Benyacoub a commencé à faire du théâtre en Algérie dès 2001, année de la concorde civile après la fin de la «décennie noire». Il quitte l'Algérie en 2012 pour s'installer en France où il fonde la compagnie Alter Natif. En France, il a été frappé par la méconnaissance du sujet. On vit dans une colère permanente et diffuse, c'est épuisant. Faire ce travail d'écriture me guérit, ça permet de prendre du recul sur ce qu'on a vécu. La décennie noire désigne la guerre civile qui a ensanglanté l'Algérie de 1992 à 2002. Elle a débuté après l'annulation des élections législatives de 1991 remportées par le Front islamique du Salut (FIS). Ce conflit a opposé les forces de sécurité de l'État à divers groupes islamistes armés tels que le GIA entraînant une vague de meurtres, kidnappings, attentats, massacres de civils ou assassinats ciblés. Bien que le bilan soit sujet à débat, on estime que 150.000 à 200.000 personnes ont perdu la vie, que 20.000 personnes auraient disparu et que 1 million de personnes auraient été contraintes de fuir. Le texte La décennie noire aux éditions Quartiers Intranquilles. Le théâtre palestinien est également à l'honneur avec Amer Khalil qui a repris la direction du théâtre national palestinien en 2011 après le suicide de son fondateur François Gaspar dit Abou Salem. Ce théâtre situé à Jérusalem-Est, est régulièrement menacé de fermeture par les autorités israéliennes «La difficulté aujourd'hui n'est pas tant la liberté de faire ce qu'on veut, ou la censure : on se heurte plutôt aux difficultés administratives.» Quelle époque pour être en vie ! À Limoges, Amer Khalil présente Un cœur artificiel. Une pièce de science-fiction créée pour le Théâtre national palestinien et mise en scène par Mohammad Basha, qui se penche sur la question de l'intelligence artificielle et de l'évolution des machines. Mais c'est aussi une pièce qui interroge sur la notion de vengeance sur un ton de vaudeville...sans doute pour exorciser les horreurs de la vie et de la guerre. Le Théâtre national palestinien a été fondé par François Abou Salem (né François Gaspar) un comédien, auteur, metteur français d'origine palestinienne en 1984 à Jérusalem-Est. Né à Provins en France, d'un père poète et traducteur et d'une mère sculptrice, François Abou Salem a grandi à Jérusalem-Est. Après un passage au Théâtre du Soleil à Paris, il commence à travailler en tant que comédien et metteur en scène à Jérusalem-Est. Il a créé la compagnie théâtrale El-Hakawati en 1978 qui deviendra, quelques années plus tard, le Théâtre National palestinien. Il se suicidera en 2011, à Ramallah. À lire : Le Théâtre palestinien et François Abou Salem, de Najla Nakhlé-Cerruti, publié chez Actes Sud. Programmation musicale du jour : Le groupe Manaraf qu'on a pu entendre dans la pièce Kaldûn, spectacle d'ouverture des Zébrures d'automne.
Le théâtre du Maghreb et du Moyen-Orient sont à l'honneur pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne. Pour cette deuxième émission enregistrée à Limoges, lumière sur le théâtre du Maghreb avec Yacine Benyacoub, metteur en scène, comédien et auteur franco-algérien, né dans le quartier de Bab El Oued à Alger et qui vient de recevoir le prix SACD de la dramaturgie francophone pour sa pièce La décennie noire écrite en 2023, une tragédie, mais non dénuée d'humour qui parle de cette décennie meurtrière qui a frappé son pays d'origine dans les années 90. Yacine Benyacoub a commencé à faire du théâtre en Algérie dès 2001, année de la concorde civile après la fin de la «décennie noire». Il quitte l'Algérie en 2012 pour s'installer en France où il fonde la compagnie Alter Natif. En France, il a été frappé par la méconnaissance du sujet. On vit dans une colère permanente et diffuse, c'est épuisant. Faire ce travail d'écriture me guérit, ça permet de prendre du recul sur ce qu'on a vécu. La décennie noire désigne la guerre civile qui a ensanglanté l'Algérie de 1992 à 2002. Elle a débuté après l'annulation des élections législatives de 1991 remportées par le Front islamique du Salut (FIS). Ce conflit a opposé les forces de sécurité de l'État à divers groupes islamistes armés tels que le GIA entraînant une vague de meurtres, kidnappings, attentats, massacres de civils ou assassinats ciblés. Bien que le bilan soit sujet à débat, on estime que 150.000 à 200.000 personnes ont perdu la vie, que 20.000 personnes auraient disparu et que 1 million de personnes auraient été contraintes de fuir. Le texte La décennie noire aux éditions Quartiers Intranquilles. Le théâtre palestinien est également à l'honneur avec Amer Khalil qui a repris la direction du théâtre national palestinien en 2011 après le suicide de son fondateur François Gaspar dit Abou Salem. Ce théâtre situé à Jérusalem-Est, est régulièrement menacé de fermeture par les autorités israéliennes «La difficulté aujourd'hui n'est pas tant la liberté de faire ce qu'on veut, ou la censure : on se heurte plutôt aux difficultés administratives.» Quelle époque pour être en vie ! À Limoges, Amer Khalil présente Un cœur artificiel. Une pièce de science-fiction créée pour le Théâtre national palestinien et mise en scène par Mohammad Basha, qui se penche sur la question de l'intelligence artificielle et de l'évolution des machines. Mais c'est aussi une pièce qui interroge sur la notion de vengeance sur un ton de vaudeville...sans doute pour exorciser les horreurs de la vie et de la guerre. Le Théâtre national palestinien a été fondé par François Abou Salem (né François Gaspar) un comédien, auteur, metteur français d'origine palestinienne en 1984 à Jérusalem-Est. Né à Provins en France, d'un père poète et traducteur et d'une mère sculptrice, François Abou Salem a grandi à Jérusalem-Est. Après un passage au Théâtre du Soleil à Paris, il commence à travailler en tant que comédien et metteur en scène à Jérusalem-Est. Il a créé la compagnie théâtrale El-Hakawati en 1978 qui deviendra, quelques années plus tard, le Théâtre National palestinien. Il se suicidera en 2011, à Ramallah. À lire : Le Théâtre palestinien et François Abou Salem, de Najla Nakhlé-Cerruti, publié chez Actes Sud. Programmation musicale du jour : Le groupe Manaraf qu'on a pu entendre dans la pièce Kaldûn, spectacle d'ouverture des Zébrures d'automne.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Au Nord-Mali, l'accalmie sur le terrain militaire est trompeuse, affirment les rebelles touaregs du FLA, le Front de Libération de l'Azawad. « C'est le calme avant la tempête », précise le porte-parole du FLA, Mohamed Elmaouloud Ramadane. Depuis la sanglante bataille de Tine Zaouatène, il y a 14 mois, qui a coûté la vie à plus de 80 paramilitaires russes de Wagner, les rebelles du FLA et l'armée malienne affûtent leurs armes. Comment les rebelles se procurent-ils des drones ? Quels sont leurs vrais liens avec les jihadistes du JNIM ? De passage à Paris, le porte-parole du FLA répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Mohamed Elmaouloud Ramadane, bonjour Mohamed Elmaouloud Ramadane, depuis plusieurs semaines, aucun combat n'est signalé dans la région de Kidal et de Tinzawaten, les fiefs du FLN au Nord du Mali. Est-ce qu'on peut parler d'une accalmie ? Mohamed Elmaouloud Ramadane : Non, moi je ne pense pas que c'est une accalmie. Je peux dire que c'est ce qu'on appelle le calme avant l'arrivée de la tempête. Donc les FLA (Forces de libération de l'Azawad) sont bien présentes sur le terrain, de leur côté, l'ennemi aussi, il est là-bas. Ils sont soit à Kidal ou bien à Tessalit. Ils sont dans les camps laissés par la Minusma ou bien la force Barkhane. Et surveillés en général par les drones. Ils n'arrivent pas à quitter en dehors de ces camps comme auparavant. Ils avaient l'habitude de quitter, d'aller un peu dans les hameaux, d'aller sur les puits, de massacrer et de piller les populations. Maintenant, ce n'est plus le cas. Donc par rapport aux opérations ou bien aux combats, c'est une question de temps. C'est le terrain qui commande. En juillet 2024, il y a eu cette bataille de Tinzawaten, tout près de la frontière algérienne, où vous vous êtes affrontés durement aux forces armées maliennes et aux paramilitaires russes de Wagner. Vous dites que vous avez gagné, mais est-ce que vous n'avez pas perdu aussi beaucoup de combattants ? Bon, on ne peut pas faire la guerre et faire des combats sans perdre des combattants. L'essentiel, c'est de gagner la bataille. Nous avons gagné parce que nous avons détruit toute cette unité de mercenaires russes de Wagner. Aucun combattant n'a pu s'échapper, aucune voiture n'a pu s'échapper. Donc c'était une lourde défaite pour ces mercenaires. D'ailleurs, je crois que c'est une première sur le continent africain. Donc c'est vrai, nous avons perdu des hommes. D'ailleurs, on a même fait un monument à Tinzawaten avec les noms de tous les martyrs. C'est une vingtaine de nos martyrs avec une quinzaine de blessés. Et du côté des Maliens et des paramilitaires russes, quel est le bilan des pertes ? Vous savez, nous avons recensé à peu près 85 à 87 cadavres des mercenaires de Wagner avec quelques militaires maliens. Mais la majorité, c'étaient les mercenaires de Wagner. Nous avons aussi des prisonniers russes et des FAMA prisonniers. Combien de prisonniers russes avez-vous aujourd'hui ? Deux. Deux prisonniers ? Deux prisonniers russes. Lors de cette bataille de Tinzawaten de l'année dernière, vos ennemis ont utilisé des drones, mais vous aussi vous avez utilisé des drones. Quels sont les pays amis qui vous ont livré ces engins ? Nous n'avons aucun pays ami qui nous a vraiment livré ou bien dont nous avons bénéficié de son aide matérielle. Les drones sont sur le marché noir. On peut les acheter. Donc, ce sont des choses qu'on achète et qu'on sophistique et qu'on modifie, une fois arrivées chez nous. Depuis plus d'un an, le torchon brûle entre Alger et Bamako. Est-ce que naturellement l'Algérie s'est rapprochée de vous et vous a peut-être aidé à vous livrer en matériel ? L'Algérie, sa position par rapport à la question de l'Azawad a toujours été claire et par rapport au Mali en général. Donc il n'y a aucun rapprochement entre nous et les autorités algériennes, que ce soit politique, que ce soit autre chose, aucun rapprochement. En tout cas, Bamako est persuadé que l'Algérie vous sert de base arrière. Vous savez, Bamako accuse tout le monde. Accuse la France, accuse l'Ukraine, accuse l'Algérie. Qui n'est pas accusé ? Accuse la Côte d'Ivoire, accuse le Sénégal, la Mauritanie. Personne n'échappe à son accusation. Donc, c'est la théorie du complot qui les a toujours prolongés dans cette crise, qu'ils sont en train de vivre. Au Nord Mali, Il n'y a pas que le FLA, il y a aussi les jihadistes du Jnim. Vous avez combattu ensemble l'an dernier à Tinzawaten contre les forces armées maliennes et Wagner. Est-ce à dire que vous êtes désormais des alliés sur le terrain militaire ? Le Jnim n'est pas que dans l'Azawad. Il est un peu partout dans le Mali et dans tous les pays du Sahel. Il occupe une grande partie du territoire du Mali. Aujourd'hui, il est autour de Bamako et de Kayes. Donc, c'est un acteur qui est sur le terrain que nous ne pouvons pas nier. Nous sommes, c'est vrai, sur le terrain où il y a la présence des hommes du Jnim sur le territoire aussi, mais il n'y a aucune coordination entre nous. Vous connaissez l'adage « Les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Du coup, puisque vous avez les mêmes ennemis, est-ce que vous n'êtes pas devenus amis ? Oui, « les ennemis de mes ennemis sont mes amis », c'est vrai. Donc, on peut avoir un ennemi commun que nous combattons tous. Mais nous n'avons pas les mêmes objectifs. Le Jnim est présent un peu partout. Il a des revendications différentes des nôtres. Nous, nous sommes limités sur le territoire de l'Azawad. Nous n'avons pas d'autres combats en dehors de cela, nos revendications sont politiques. C'est seulement pour la population de l'Azawad. On ne veut pas aller au-delà de ça. Est-ce qu'il n'y a pas au moins, entre vos deux mouvements, un pacte de non-agression ? Exactement. Il y a un pacte de non-agression. Ça, je vous le confirme parce que, après les combats qui ont eu lieu sur la frontière avec la Mauritanie, entre les FLA et le Jnim en avril 2024, suite à cela, il y a eu des initiatives menées par des chefs des tribus, des communautés, parce que c'est leurs fils qui sont dans le Jnim et qui sont dans les FLA. Donc, pour éviter des confrontations, ils ont mis un mécanisme pour un accord de non-agression et pour éviter les accidents et les accrochages. À lire aussiNord du Mali: les rebelles du CSP veulent «un statut politique et juridique» pour l'Azawad À lire aussiRebelles du FLA et jihadistes du Jnim envisagent de mener des opérations conjointes dans le nord du Mali
Ohio Hall of Famer Ray Brown was a legendary pitcher in the Negro Leagues. But until recently, he was all but forgotten in his hometown.
From the I-5 Corridor & Lookout Eugene-Springfield, Tyson makes his weekly visit to talk Oregon football
From the I-5 Corridor & Lookout Eugene-Springfield, Tyson makes his weekly appearance to preview the Civil War
Salut toi et bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast ! Aujourd'hui, on parle d'un sujet qui nous touche tous : la persévérance. Tu sais, ces moments où tu as envie de tout lâcher parce que les résultats tardent à venir ou que le chemin semble trop long… Eh bien, c'est justement là que la constance fait toute la différence.Je te partage l'histoire inspirante d'Hardest Kidzz (@hardestkidzz) qui a décidé de marcher de Paris à Alger à pied. Son parcours est une vraie leçon de courage, de patience et de foi. Et tu vas voir comment il peut nous aider à retrouver confiance en nos propres projets, même ceux qu'on croyait perdus.Alors prends un instant pour toi, écoute jusqu'au bout, et si cet épisode t'inspire, pense à le partager autour de toi : il pourrait être le petit déclic dont quelqu'un a besoin aujourd'hui. PS : n'oublie pas de t'abonner ;)Lien de la vidéo inspirante d'hardest kidzz sur Youtube : https://youtu.be/UBM5qtV7na8?si=EBsqg576taiJbYYg
Journaliste sportif passionné par le football africain, Christophe Gleizes a été condamné en juillet 2025 à sept ans de prison en Algérie pour avoir simplement exercé son métier. Officiellement condamné pour « apologie du terrorisme », il paye en réalité le prix d'un reportage et des tensions diplomatiques entre Paris et Alger. Son histoire, tragique et absurde, dit l'urgence de défendre la liberté de la presse.Pour signer la pétition pour la libération de Christophe Gleizes, rendez-vous ici.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Jude Rigaud. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
From the I-5 Corridor and Lookout Eugene-Springfield talks Oregon, and what in the world is happening in Corvallis?
WTiN Textile Innovation Podcast speaks to Paul Alger MBE, director of international affairs at UKFT, in a two-part special.Welcome back to the second part of our two part special podcast series with the UK Fashion and Textile Association (UKFT). We are speaking with Paul Alger, director of international affairs at UKFT.In the first episode, Alger spoke about the work of the UKFT and the importance of global trade shows. In this second episode, he explores international trade and the business of textile exports. Alger delves into how Brexit specifically has changed how the UK has changed the way it does business internationally. He talks about the impact of governments and how regulations and guidelines such as digital product passports (DPPs) are changing the way textile businesses trade. Additionally, Alger touches upon global markets and the ongoing impacts of recent geopolitical happenings.For more information, please visit ukft.org. You can listen to the episode above, or via Spotify and Apple Podcasts. To discuss any of our topics, get in touch by following and connecting with WTiN in LinkedIn, or email aturner@wtin.com directly. To explore sponsorship opportunities, please email sales@wtin.com.
Covering the Ducks for the I-5 Corridor, Tyson Alger makes his weekly visit to the show to discuss the stroylines coming out of the Montana State win...Gundy firing shots early in the week, and how the Ducks are set up financially post Phil Knight.
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Après une année 2024 catastrophique, la production française 2025 devrait se redresser de 30%, selon les estimations d'Argus Media, tout en restant inférieure par rapport à la moyenne calculée entre 2017 et 2023. Une meilleure récolte annonce plus de quantités à exporter, mais la grande question aujourd'hui est de savoir vers quelle destination car le premier exportateur européen doit toujours composer sans l'Algérie et avec une demande chinoise en chute. La France a appris à se passer de l'Algérie depuis que le pays à commencer à se tourner vers le blé russe en 2020. Mais avec la décision de l'Algérie d'acheter plus de céréales de la mer Noire, l'Hexagone a perdu un acheteur qui absorbait entre deux et cinq millions de tonnes de blé par an. L'année dernière, l'Algérie n'a acheté que 30 000 tonnes, donc presque rien ; mais sur une année de mauvaise récolte française, cela a été moins problématique que ce qui semble se dessiner pour cette année 2025. Au vu du bilan de la production 2025, la France devrait avoir au moins huit millions de tonnes à exporter hors de l'Union européenne, selon l'agence d'information et de conseil Argus Media. Or, les tensions diplomatiques qui persistent ne laissent pas présager une reprise du commerce de blé entre Alger et Paris. Un autre client est aussi aux abonnés absents : la Chine. Le pays est devenu acheteur juste avant la fermeture progressive du marché algérien, ce qui a permis de compenser en partie les volumes perdus. En 2023, l'empire du Milieu a acheté 2,4 millions de tonnes de blé français, mais l'appétit chinois « est devenu tout petit, voire réduit à zéro », explique Maxence Devillers, analyste de marché chez Argus Media. L'agence prévoit 500 000 tonnes de blé français exporté vers la Chine pour la campagne 2025-2026. Quelles alternatives à l'export ? Le Maroc est devenu le premier acheteur de blé français et pourrait en importer 2,5 millions de tonnes cette année, selon Argus Media. La demande devrait venir aussi d'Afrique subsaharienne – 2,4 millions de tonnes – et d'Égypte, qui pourrait importer 900 000 tonnes. Il y a donc des débouchés, mais l'année s'annonce cependant compliquée. Ce qui ne sera pas vendu et pas consommé sur le marché intérieur sera entreposé. Les prévisions font état de stocks qui pourraient atteindre quatre millions de tonnes en France, un niveau inédit depuis la campagne de 2004-2005. De belles productions en Roumanie et Bulgarie Les pays européens restent un débouché pour le blé français, mais avec ses limites. Cette année, près de 6,8 millions de tonnes de la céréale française devraient être écoulées sur le marché communautaire, mais il y a d'autres producteurs qui comptent et qui encombrent le circuit. La production s'annonce par exemple record en Espagne et en Roumanie – 12,2 millions de tonnes – ainsi qu'en Bulgarie, qui pourrait produire 7,7 millions de tonnes de blé. Ces deux derniers pays pourraient à eux seuls représenter la moitié des exportations de blé de l'Europe sur cette campagne, selon l'agence d'information. Cette abondance de blé en Europe, mais aussi en mer Noire, maintient des prix bas. Les prix du blé à la bourse Euronext se rapprochent de 190 euros la tonne, pour une livraison en décembre, sans perspective de remonter pour l'instant, à moins d'un choc climatique ou géopolitique. Ce cours reste insuffisant pour être rémunérateur pour les producteurs français qui font face, selon Alexandre Willekens d'Argus Media, à un coût de production moyen de 200 euros la tonne. À lire aussi«La part de la Russie dans les importations des pays d'Afrique subsaharienne de blé a augmenté »
Tyson Alger, a University of Montana alum who covers the Oregon Ducks, comes on the show to preview Montana State's season opener in Autzen Stadium. Plus: Hear some of Bobcat head coach Brent Vigen's thoughts on the matchup.
Value: After Hours is a podcast about value investing, Fintwit, and all things finance and investment by investors Tobias Carlisle, and Jake Taylor. Alger article: https://www.alger.com/Pages/Content.aspx?pageLabel=Insights-Loss-Illusion-Rethinking-Small-Cap-Quality-In-The-Intangible-EraPaper at SSRN: https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4800818See our latest episodes at https://acquirersmultiple.com/podcastWe are live every Tuesday at 1.30pm E / 10.30am P.About Jake Jake's Twitter: https://twitter.com/farnamjake1Jake's book: The Rebel Allocator https://amzn.to/2sgip3lABOUT THE PODCASTHi, I'm Tobias Carlisle. I launched The Acquirers Podcast to discuss the process of finding undervalued stocks, deep value investing, hedge funds, activism, buyouts, and special situations.We uncover the tactics and strategies for finding good investments, managing risk, dealing with bad luck, and maximizing success.SEE LATEST EPISODEShttps://acquirersmultiple.com/podcast/SEE OUR FREE DEEP VALUE STOCK SCREENER https://acquirersmultiple.com/screener/FOLLOW TOBIASWebsite: https://acquirersmultiple.com/Firm: https://acquirersfunds.com/ Twitter: ttps://twitter.com/GreenbackdLinkedIn: https://www.linkedin.com/in/tobycarlisleFacebook: https://www.facebook.com/tobiascarlisleInstagram: https://www.instagram.com/tobias_carlisleABOUT TOBIAS CARLISLETobias Carlisle is the founder of The Acquirer's Multiple®, and Acquirers Funds®. He is best known as the author of the #1 new release in Amazon's Business and Finance The Acquirer's Multiple: How the Billionaire Contrarians of Deep Value Beat the Market, the Amazon best-sellers Deep Value: Why Activists Investors and Other Contrarians Battle for Control of Losing Corporations (2014) (https://amzn.to/2VwvAGF), Quantitative Value: A Practitioner's Guide to Automating Intelligent Investment and Eliminating Behavioral Errors (2012) (https://amzn.to/2SDDxrN), and Concentrated Investing: Strategies of the World's Greatest Concentrated Value Investors (2016) (https://amzn.to/2SEEjVn). He has extensive experience in investment management, business valuation, public company corporate governance, and corporate law.Prior to founding the forerunner to Acquirers Funds in 2010, Tobias was an analyst at an activist hedge fund, general counsel of a company listed on the Australian Stock Exchange, and a corporate advisory lawyer. As a lawyer specializing in mergers and acquisitions he has advised on transactions across a variety of industries in the United States, the United Kingdom, China, Australia, Singapore, Bermuda, Papua New Guinea, New Zealand, and Guam. He is a graduate of the University of Queensland in Australia with degrees in Law (2001) and Business (Management) (1999).
Tyson Alger has been covering the Oregon Ducks for more than a decade with stops at the Oregonian, The Athletic & the I-5 Corridor. He now covers Oregon football for Lookout Eugene-Springfield. No. 7 Oregon opens with Montana State on Saturday in Eugene. Tyson joined Colter Nuanez to preview the Ducks' season.
Tyson covers the Ducks for the I-5 Corridor and Lookout Eugene-Springfield
Mes chers camarades, bien le bonjour !Au 19e siècle, la France a un consul pour représenter ses intérêts à Alger : Pierre Deval. Mais l'Empire ottoman, qui contrôle la région, a son gouverneur sur place : le bey d'Alger, Hussein. Le 30 avril 1827, Deval refuse de rembourser un prêt et là, c'est le drame : Hussein met une gifle pas très diplomatique à Deval. Ça en est trop : e roi de France, Charles X, va montrer à ce Barbaresque ce qu'il en coûte d'attenter à l'honneur de la grande nation française ! Bon, ça, c'est la légende. Mais voilà, l'histoire n'aime pas les légendes, et tôt ou tard, elle prend sa revanche ! Il faut donc qu'on se pose une question : en vrai de vrai, pourquoi est-ce qu'on est allé se battre en Algérie ? Qu'est-ce qui a motivé la conquête, puis la colonisation ? Et je vous préviens tout de suite : ça, ça n'est que ma première question, et il y en a plein d'autres qui vont suivre ! Car aujourd'hui, c'est juste le premier épisode d'une série de trois sur l'Algérie !Bonne écoute !
WTiN Textile Innovation Podcast speaks to Paul Alger MBE, director of international affairs at UKFT, in a two part special. This is the first part of a two part special podcast series with the UK Fashion and Textile Association (UKFT). We speak with Paul Alger MBE, director of international affairs at UKFT in both episodes. In this first episode Alger delves into the work of UKFT and his position in international trade for the organisation. He speaks about the importance of global trade shows and which global markets the textile and fashion industry should be keeping an eye on. During the episode, Alger also touches upon the India x UK trade agreement and the impact that governments can have on global trade and trends moving forward. He looks at the this through UK-centric lenses to unpack what this means for the country and the European Union moving forward. In the second episode, which will be released in two weeks, Alger will speak about exports and international trade.For more information, please visit ukft.org.You can listen to the episode above, or via Spotify and Apple Podcasts. To discuss any of our topics, get in touch by following and connecting with WTiN in LinkedIn, or email aturner@wtin.com directly. To explore sponsorship opportunities, please email sales@wtin.com.
En mai 1962, un tribunal d'exception mis en place par De Gaulle juge l'ex-général Salan pour sa participation au putsch d'Alger et les attentats de l'OAS. Il encourt la peine de mort. Contre l'avis de De Gaulle, les juges accorderont-ils au félon des circonstances atténuantes ?Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En mai 1962, un tribunal d'exception mis en place par De Gaulle juge l'ex-général Salan pour sa participation au putsch d'Alger et les attentats de l'OAS. Il encourt la peine de mort. Contre l'avis de De Gaulle, les juges accorderont-ils au félon des circonstances atténuantes ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
When Dani Alger was 13 years old, her dad died of a heart attack. He was only 41 years old. This catapulted her into a lifelong journey to become the healthiest version of herself while helping others do the same. Dani calls herself a Foundational Health Consultant and is the creator of the DIGmethod, a science-backed system designed to help people align with their biology and unlock their full potential. The DIGmethod simplifies the Human Operating System into four actionable lifestyle factors—THINK, EAT, MOVE, SLEEP. Dani works with individuals, teams, and organizations creating measurable improvements in health, energy, and performance. She believes that real success in business and life begins with foundational health— when your biology works for you, Everything Improves: Health, Energy, Performance, and Life!In this episode, expect to lear:Three simple things you can do today to improve your healthWhy her health journey wasn't always so healthyHow to deactivate the human chemistry that is killing youWhy shouldn't eat within 2-3 hours before bedAnd much more. I had the privilege of working with Dani as a coaching client and she is one of my favorite people. The world needs to hear Dani's message and if you're looking to improve your health, Dani is your woman!Shownotes:Connect with Dani on Linkedin: https://www.linkedin.com/in/dani-alger-374b5512/For more Dare to Dream content find us on: Apple Podcasts: https://podcasts.apple.com/us/podcast... Spotify: https://open.spotify.com/show/599zlwe...Join Gregory's Newsletter - Live a Story Worth Telling: https://liveastoryworthtelling.gregor... If you're ready to take bold action and live a story worth telling, book a discovery call with Gregory: https://calendly.com/gregoryrussellbe... Join Vincent's Newsletter - Vinny's Field Notes: https://vincentvanpatten.substack.com/Vinny's book: https://www.amazon.com/When-Sky-Opens... For Vincent's writing, travel photography, and more, check out: https://vincentvanpatten.com/
| Artist | Title | Album Name | Album Copyright | Roy Bookbinder | Bad Luck Blues | Some People Who Play Guitar Like A Lot Of People Don't | Blind Blake | Southern Rag | All The Recorded Sides | Doug MacLeod, Denny Croy, Bass & Jimi Bott, Dms | Run With The Devil | There's A Time | Skip James | My Last Boogie | Studio Sessions Rare & Unreleased | Ryan Lee Crosby | Going Away | At the Blue Front | Crossnote Records | Maria Muldaur | Don't Love No Married Man | One Hour Mama - [The Blues of Victoria Spivey] | Frank Stokes | I'm Going Away Blues | 20 Classic Blues Songs From the 1920s | Blind Willie McTell | God Don't Like It | Complete Recorded Works, Vol. 3 (1933-1935) | Pink Anderson | I've Got Mine | All That Blues | Chris Barber featuring Alex Bradford | Couldn't Keep It To Myself | Memories Of My Trip | Sister Rosetta Tharpe | Up Above My Head I Hear Music In The Air (Recorded Live At The | Chris Barber Presents The Blues Legacy Lost & Found Series Volu | Blind Willie Johnson | It's Nobody's Fault But Mine | The Complete History Of The Blues 1920-1962 | Alger ''Texas'' Alexander | Frost Texas Tornado Blues (1930) | Complete Recorded Works, Vol. 3 (1930 - 1950) | Skip James | Devil Got My Woman | Hampton Jazz Festival 06-27-68 | Andres Roots | Spider In My Bed | Winter |
We're less than a week away from the annual Reno-Tahoe CityFest at San Rafael Regional Park. Mike Alger has all the details on headlining performances, action sports demonstrations and attractions for the whole family.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Dr. JP Novin welcomes Jonathan Alger to discuss American University's AI initiatives, including their Applied Artificial Intelligence program, academic AI curriculum, and leadership in ethical AI. Jonathan Alger explains that AI is rapidly transforming the job landscape, requiring universities to prepare students for multiple future careers by emphasizing lifelong learning skills such as intellectual curiosity, creativity, and ethical reasoning. He notes that American University is actively adapting its curriculum to meet the demands of AI's evolution by developing nimble, flexible programs and launching an "AI for Educators" module designed for K–12 teachers. Throughout the conversation, Alger emphasizes the ongoing importance of human judgment and ethical considerations to ensure AI contributes to societal stability rather than undermining democracy.
L'émission 28 minutes du 09/08/2025 Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse Blick.fr, Anna Kowalska, correspondante de la télévision publique polonaise TVP, Aysegul Sert, journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po et le dessinateur de presse, président de la Fondation Freedom Cartoonists, Patrick Chappatte. Pologne : un nouveau président nationaliste pro-Trump à la tête du paysMercredi 6 août, Karol Nawrocki a été officiellement investi président de la République polonaise. Dans un discours au Parlement, il a affirmé sa volonté de défendre la souveraineté nationale et de rejeter toute influence extérieure qu'il considère comme une menace à l'identité polonaise. Âgé de 42 ans, ce conservateur aux convictions catholiques affirmées s'est rapidement imposé sur la scène politique en critiquant les élites et l'Union européenne, rejoignant ainsi un groupe croissant de dirigeants nationalistes et conservateurs en Europe centrale. Une élection quiinquiéte à Bruxelles…France-Algérie : des relations dans l'impasse ?Alors qu'Emmanuel Macron a durci sa position en appelant à suspendre l'accord de 2013 sur les visas diplomatiques avec l'Algérie, Alger a immédiatement répliqué en prenant la même décision. Elle reproche à la France de fuir ses responsabilités dans une crise bilatérale désormais installée, où les tensions s'enchaînent depuis l'été 2024. Ce changement de ton brutal d'Emmanuel Macron, en ligne avec des positions défendues par Bruno Retailleau, interroge : s'agit-il d'un tournant assumé ou d'un calcul politique face à une situation bloquée ?Nous recevons Jean-Noël Escoffier pour son livre “Sandwichs, un tour du monde en 150 recettes”, paru chez Flammarion. Ce directeur conseil dans le digital est un passionné de la cuisine populaire mondiale. Il s'intéresse aux recettes simples mais emblématiques qui racontent la vie quotidienne aux quatre coins du monde.Marion L'hour nous donne des nouvelles de nos chers voisins espagnols où une épidémie de faux diplômes chamboule le monde politique. Depuis le 21 juillet, trois responsables politiques appartenant à des bords différents ont dû démissionner, mis en cause pour avoir falsifié ou enjolivé leur curriculum universitaire. Et l'affaire se poursuit… Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine au juge de la Cour suprême brésilienne, Alexandre de Moraes. Lundi 4 août, ce dernier a ordonné l'assignation à résidence de l'ex-président Jair Bolsonaro. L'ancien président brésilien aurait bafoué une interdiction liée à son procès pour tentative de coup d'État, en s'exprimant à distance lors de manifestations.Reza Pounewatchy zappe sur la télévision russe où l'arrestation, le procès et l'amende de deux influenceuses après une vidéo TikTok glorifiant des frappes de drones ukrainiens dit beaucoup du Kremlin.Alix Van Pée s'intéresse à un fait de société à méditer : aux États-Unis où près d'1 Américain sur 6 se dit stressé au quotidien, des “scream clubs” pour évacuer le stress voient le jour. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 8 août 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
C dans l'air l'invité du 7 août avec Sébastien Ledoux, historien, maître de conférences à l'université Picardie Jules-Verne, et spécialiste des enjeux de mémoire.Emmanuel Macron durcit le ton à l'égard de l'Algérie. "Nous n'avons pas d'autre choix que d'adopter une approche de plus grande fermeté", écrit-il dans une lettre adressée à François Bayrou. Le président évoque des "difficultés croissantes en matière migratoire et sécuritaire". Parmi les mesures demandées, il appelle à suspendre officiellement l'accord de 2013 avec l'Algérie sur les exemptions de visa pour les passeports officiels et diplomatiques. En réponse, l'Algérie dénonce une posture qui "exonère la France de l'intégralité de ses responsabilités".Ce durcissement intervient dans un contexte européen divisé. La semaine dernière, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a été reçu à Rome par la Première ministre italienne Giorgia Meloni, à l'issue d'une visite conclue par la signature d'accords stratégiques. Emmanuel Macron a chargé son ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, d'ouvrir un dialogue avec les partenaires européens afin d'harmoniser les positions.Deux ressortissants français sont toujours détenus en Algérie : l'écrivain Boualem Sansal, emprisonné depuis neuf mois, et le journaliste Christophe Gleizes, arrêté en mai 2024. L'inquiétude des autorités françaises ne cesse de croître, car les démarches diplomatiques visant à leur libération n'ont jamais abouti.Pourquoi ce changement de ton aujourd'hui ? Sommes-nous au plus bas des relations franco-algériennes ?Sébastien Ledoux, historien, analysera les tensions croissantes entre Paris et Alger, alors qu'Emmanuel Macron durcit sa position et appelle à une ligne "de fermeté".
Le ton ne cesse de monter entre Paris et Alger. Avant-hier, Emmanuel Macron annonçait sa décision de suspendre l'accord de 2013, qui exempte de visa les détenteurs de passeport diplomatique. Hier, nous dit TSA, Tout sur l'Algérie, Alger a répliqué en « convoquant le chargé d'affaires de l'ambassade de France à Alger », et en annonçant « que les Français titulaires de passeports diplomatiques et de service, devront (eux aussi) obtenir un visa pour se rendre en Algérie ». Mais ce n'est pas tout, comme l'explique El Watan. Les autorités algériennes ont également décidé « de mettre fin à la mise à disposition, à titres grâcieux, de biens immobiliers appartenant à l'État algérien au profit de l'ambassade de France en Algérie ». ObservAlgérie de son côté, titre : « Passeports diplomatiques et officiels : l'Algérie répond à la France » et souligne « que les relations diplomatiques entre l'Algérie et la France connaissent une tension croissante », rappelant par ailleurs « que cette décision survient dans un contexte de relations déjà tendues, marquées par des divergences sur la gestion des questions migratoires et les droits des ressortissants algériens en France ». Le Matin d'Algérie, lui, évoque « un nouvel épisode dans l'escalade d'une relation bilatérale marquée par la défiance et la volonté algérienne d'imposer une stricte réciprocité ». Enfin, Algérie Patriotique annonce « que les deux premières mesures tombent, en réaction à la nouvelle provocation de la France ». Ton offensif Au Cameroun, l'opposant Maurice Kamto dénonce le rejet de sa candidature à l'élection présidentielle. « C'est la réaction du chef du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, à l'invalidation de sa candidature à l'élection présidentielle d'octobre prochain », nous explique l'agence de presse africaine APAnews, qui précise : « dans une déclaration au ton offensif, l'opposant accuse le régime du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais, le RDPC, d'avoir « sciemment orchestré », son exclusion du scrutin ». « La décision de m'écarter de l'élection présidentielle de 2025, a été prise de longue date par le régime RDPC », accuse encore Maurice Kamto, « qui s'en prend aussi à la communauté internationale, en particulier à l'ONU qu'il accuse d'avoir signé un accord secret avec Elecam, le conseil électoral d'élections Cameroon, le 9 mai dernier, pour (dit-il) prétendument garantir la transparence de l'élection ». Et l'opposant ne baisse pas les bras. Actu Cameroun reprend ses derniers mots : « mes chers compatriotes, je suis debout et resterai à vos côtés ». Relations au beau fixe À lire également dans la presse africaine ce matin, le voyage en Turquie du Premier ministre sénégalais. Dakar Actu publie la photo d'Ousmane Sonko, serrant la main du président turc Recep Tayep Erdogan. Sénégo publie une autre photo des deux hommes assis et regardant l'objectif. De quoi les deux dirigeants ont-ils parlé ? Selon Africa News « ils ont signé quatre accords, dans les domaines de la défense, des médias et de l'éducation », « à l'entame d'une visite de cinq jours que le Premier ministre sénégalais effectue en Turquie ». Les relations entre la Turquie et le Sénégal semblent au beau fixe : Sénégo souligne qu'Ousmane Sonko devait être hier soir « l'invité d'un dîner officiel « organisé en son honneur », « un geste protocolaire, symbole de respect et d'amitié entre les deux nations ». Sur le fond, les problèmes financiers du Sénégal ont été abordés selon Sénéweb, qui titre : « ce que Sonko a demandé au président Erdogan ». C'est de « notoriété publique », souligne le site d'information, « l'État du Sénégal traverse actuellement une situation financière extrêmement délicate (…) ce jeudi, en Turquie, il n'a pas hésité à soumettre la question au président Erdogan, il l'a invité à davantage appuyer le Sénégal, notamment dans le déroulement de son plan de redressement ». Dernier point : les deux hommes ont évoqué la situation à Gaza, précise Dakar Actu, « exprimant ensemble leur indignation et condamnant le génocide qui se déroule en Palestine ».
« Longtemps précautionneux avec l'Algérie, Emmanuel Macron change de ton, constate Le Figaro à Paris. Dans une lettre qu'il a transmise hier au Premier ministre, (et qui a été publiée par Le Figaro), il charge le gouvernement de "prendre des décisions supplémentaires pour agir avec plus de fermeté et de détermination" ». « Parmi les mesures demandées au gouvernement, relève Le Monde, le chef de l'État appelle à suspendre "formellement" l'accord de 2013 avec Alger "concernant les exemptions de visa sur les passeports officiels et diplomatiques". (…) Pour justifier ce tour de vis, Emmanuel Macron mentionne en premier lieu les emprisonnements de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné à cinq ans de prison ferme notamment pour "atteinte à l'unité nationale", et du journaliste français Christophe Gleizes, condamné à sept ans de prison en Algérie pour "apologie du terrorisme". Il fait également référence au "non-respect par l'Algérie de ses obligations" en matière migratoire, ainsi que "la cessation de la coopération des dix-huit consulats algériens présents sur notre sol avec les services de l'État" ». « Revers terrible » Commentaire du Figaro : c'est une « quasi-rupture diplomatique ». Et « pour un proche du sérail algérien, note le journal, cette lettre d'Emmanuel Macron sonne comme un "revers terrible" pour le président algérien. Depuis des mois, Abdelmadjid Tebboune s'évertue (en effet) à distinguer Emmanuel Macron de "la minorité extrémiste" française qu'il accuse de faire de l'Algérie "une obsession" ». Désormais, pointe Le Figaro, « cette lettre sera inévitablement lue comme un alignement d'Emmanuel Macron sur la ligne dure défendue par son ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, et le chef de l'État algérien pourrait y voir un reniement personnel ». Macron : « tête à claques » Dans la presse algérienne, les réactions sont vives. « Emmanuel Macron opte pour l'escalade », s'exclame le site TSA. « Visas officiels et diplomatiques : la France prend une décision radicale face à l'Algérie », soupire Observ'Algérie. Pour Le Matin d'Algérie, on observe « un durcissement de ton de la part d'Emmanuel Macron qui va ainsi dans le sens de Bruno Retailleau, tenant d'une ligne dure vis-à-vis d'Alger ». Le site Algérie Patriotique hausse le ton et traite le président français de « tête à claques » : « quelle "approche de plus grande fermeté" reste-t-il à ce bluffeur, écrit le site algérien, pour forcer l'Algérie à ressembler à son docile protectorat marocain ? Aucune, affirme Algérie Patriotique, sinon l'esbroufe d'un président battu par sa femme, la vitupération des "experts" sur les putrides plateaux de télévision français et les aboiements de Bruno Retailleau, Eric Ciotti, Eric Zemmour et autre Arnaud Benedetti ». Cameroun : vers une alliance au sein de l'opposition ? À la Une également, le Cameroun, avec des manœuvres en coulisses en vue de la prochaine présidentielle… Manœuvres dévoilées par Jeune Afrique : « l'exclusion définitive de Maurice Kamto de la course à la présidentielle fait désormais de Bello Bouba Maïgari, qui brigue la magistrature suprême sous la bannière de l'UNDP, l'un des candidats de poids au sein de l'opposition. Ces dernières semaines, il a multiplié les rencontres avec les représentants de ses différentes composantes. Mais aussi, de manière plus surprenante, avec des émissaires de la présidence ». Ceux-ci auraient « tenté, croit savoir Jeune Afrique, de convaincre le candidat de l'UNDP de lisser son discours et de s'abstenir de propos trop virulents à l'égard du chef de l'État sortant, Paul Biya, candidat à un huitième mandat ». Le mois dernier, précise encore le site panafricain, Bello Bouba Maïgari aurait donc rencontré également plusieurs leaders de l'opposition, dont Maurice Kamto, « d'autant plus courtisé au sein de l'opposition depuis l'exclusion définitive de sa candidature à la présidentielle ». Objectif, pointe Jeune Afrique : conclure « un éventuel accord politique au sein de l'opposition, dans la perspective d'une alliance avant la convocation du corps électoral. (…) Bello Bouba Maïgari et Maurice Kamto, doivent se rencontrer à nouveau d'ici à demain vendredi. L'UNDP a annoncé qu'une conférence de presse "importante" se tiendrait ce jour-là ». Pour annoncer quoi ? une alliance de l'opposition avec un candidat unique ? Pour l'instant, on n'en est pas là…
The founder of The I-5 Corridor calls in to preview the Ducks
Today at 11:11 am CST, on the Flyover Conservatives show we are tackling the most important things going on RIGHT NOW from a Conservative Christian perspective! Today at 11:11 am CST, on the Flyover Conservatives show we are tackling the most important things going on RIGHT NOW from a Conservative Christian perspective! TO WATCH ALL FLYOVER CONTENT: www.theflyoverapp.com TO WATCH ALL FLYOVER CONTENT: www.theflyoverapp.com To Schedule A Time To Talk To Dr. Dr. Kirk Elliott Go To To Schedule A Time To Talk To Dr. Dr. Kirk Elliott Go To ▶ https://flyovergold.com▶ https://flyovergold.comOr Call 720-605-3900 Or Call 720-605-3900 ► Receive your FREE 52 Date Night Ideas Playbook to make date night more exciting, go to www.prosperousmarriage.com► Receive your FREE 52 Date Night Ideas Playbook to make date night more exciting, go to www.prosperousmarriage.comwww.prosperousmarriage.comTO WATCH ALL OF THE PROPHETIC REPORTS - https://flyoverconservatives.com/resources-2/prophetic-words/TO WATCH ALL OF THE PROPHETIC REPORTS - https://flyoverconservatives.com/resources-2/prophetic-words/For Printable Versions of the Declarations - text DECREES to 40509For Printable Versions of the Declarations - text DECREES to 40509(Message and data rates may apply. Terms/privacy: 40509-info.com)(Message and data rates may apply. Terms/privacy: 40509-info.com40509-info.com)Wanda AlgerWanda AlgerWEBSITE: www.wandaalger.me WEBSITE: Send us a message... we can't reply, but we read them all!Support the show► ReAwaken America- text the word FLYOVER to 918-851-0102 (Message and data rates may apply. Terms/privacy: 40509-info.com) ► Kirk Elliott PHD - http://FlyoverGold.com ► My Pillow - https://MyPillow.com/Flyover ► ALL LINKS: https://sociatap.com/FlyoverConservatives
Chaque jour, retrouvez les journaux de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Rachel Kan, actrice et écrivaine - Louis de Raguenel, chef du service politique Europe 1 - Gil Mihaely, journaliste - Matthieu Hocque, secrétaire général du "Millénaire" - Joseph Thouvenel, éditorialiste politique Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Georges Fenech, ancien magistrat et député honoraire du Rhône - Vincent Roy, journaliste et écrivain Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
President Trump expected to head to the Fed this afternoon. We discuss what's at stake with our Senior Economics Correspondent Steve Liesman. Plus, we discuss how to play the market right now with Trivariate's Adam Parker, JP Morgan's Meera Pandit and Wealth Enhancement's Ayako Yoshioka. And, Alger's Ankur Crawford maps out how she is navigating the big tech space right now.
The founder of the I-5 Corridor joins the guys from Big Ten Media Days to preview Oregon's season
Un document de plus paraphé ce week-end après l'accord scellé à Washington le 27 juin entre Kinshasa et Kigali. « La quête de la paix dans l'est de la RDC avance donc sur deux fronts distincts, mais complémentaires », souligne Econews. Le texte conclu au Qatar ouvre la voie à un cessez-le-feu, mais, selon le média congolais en ligne, la « population de l'est, épuisée par des années de violence, observe ces développements avec un mélange d'espoir et de méfiance ». « Les Congolais doivent rester lucides et se dire que cet accord ne guérira pas en un jour les plaies béantes de Goma ou Bunagana », prévient aussi Le Pays. Un accord à transposer sur le terrain Econews, encore, rappelle que « les précédents accords ont échoué en raison du manque de suivi ». « Ces accords de paix sont comme des papillons, beaux et éphémères », prophétise Le Pays, « le plus souvent écrasés sous les bottes de la cupidité et des ambitions démesurées des prédateurs ». D'ailleurs, le journal congolais Le Potentiel grince : « les véritables gagnants dans cette affaire sont les États-Unis », comédiateurs dans ce conflit donc avec le Qatar. « Sans tirer un seul coup de feu, ils obtiennent un accès stratégique à une part importante des minerais du Congo contre une promesse de paix. Une paix monnayée, floue, sans véritable levier de transformation pour les populations », souffle le quotidien de Kinshasa. La situation au Sahel au cœur d'une rencontre entre la presse et Abdelmajid Tebboune Selon Dernières infos d'Algérie, le dirigeant a « rassuré » à propos de la menace que peut représenter la crise sécuritaire au Sahel, insistant sur « la grande expérience de l'Algérie en matière de lutte contre le terrorisme ». « Le pays a beaucoup aidé les frères maliens à surmonter la crise et reste disposé à le faire », mais l'Algérie refuse la présence de mercenaires russes à sa frontière a averti le président Tebboune. Les combattants de Wagner, et maintenant ceux de l'Africa Corps ont toujours « irrité » Alger rappelle TSA. Le Matin d'Algérie note en revanche les nombreuses lacunes d'un « pathétique monologue » du président Tebboune, dans un « exercice de communication bien huilé ». Aucune question sur les conséquences dans les relations avec Moscou, rien non plus sur les accusations de certains acteurs maliens qui reprochent à l'Algérie une certaine complaisance à l'égard de réseaux jihadistes opérant dans la région. Des mercenaires africains engagés par la Russie en Ukraine El Pais commence par évoquer le sort d'un Nigérian, il s'appelle Oluwagbemileke Kehinde. Il a été engagé comme par la Russie où il était venu faire ses études il y a quatre ans et a été capturé il y a quelques jours par l'Ukraine. Son cas est loin d'être isolé, Moscou promet à des Africains de travailler pour l'armée russe loin du front. L'offre est alléchante : « 2 000 euros par mois et un passeport russe », liste El Pais, mais en quelques semaines, « l'appât qui les a poussés à signer un contrat se transforme en cauchemar ». Ils sont alors envoyés dans des assauts massifs, meurent ou sont faits prisonniers. Comme le Nigérian Kehinde, des centaines de ressortissants de dix pays africains se sont retrouvés pris au piège, sauf qu'ensuite « ni la Russie, ni leur pays d'origine ne les réclament ». D'ailleurs, selon les archives de la diplomatie ukrainienne consultée par le média ibérique, seule Lomé s'est préoccupé du sort de ses ressortissants captifs.
C dans l'air du 3 juillet 2025 - Iran, Algérie… comment faire libérer nos otages ?Le sort des otages français en Iran continue de susciter une vive inquiétude. Cécile Kohler et son compagnon Jacques Paris, arrêtés à la fin d'un voyage touristique en mai 2022, ont été inculpés hier par la justice iranienne pour "espionnage au profit du Mossad", "complot contre le régime" et "corruption sur terre", des chefs d'accusation passibles de la peine de mort. Des accusations chacune passible de la peine de mort. Une "diplomatie des otages", selon les termes utilisés par la diplomatie française, a son paroxysme, quelques jours après les frappes américaines et israéliennes en Iran. La République islamique, profondément affaiblie et humiliée militairement depuis la "guerre des douze jours", mène actuellement une vague de répression sévère, notamment contre des ressortissants étrangers, arrêtés dans différentes provinces du pays, au motif qu'ils coopéraient avec l'Etat hébreu.Le 23 juin dernier, un bombardement israélien a visé la prison d'Evin, à Téhéran, où étaient détenus les deux Français. Le raid a fait 79 morts. Après dix jours d'inquiétude, une visite consulaire a permis hier d'obtenir la preuve que Cécile Kohler et Jacques Paris sont toujours en vie. Un soulagement de courte durée pour leurs proches avant l'annonce officielle des charges. Jean-Noël Barrot, le ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, a exigé, ce jeudi, "la libération immédiate et inconditionnelle" du couple.Le Quai d'Orsay a également affirmé son engagement en faveur de la libération d'un autre ressortissant français détenu à l'étranger : le journaliste Christophe Gleizes, arrêté en 2024 et condamné dimanche dernier à sept ans de prison en Algérie pour « apologie du terrorisme ». Cette condamnation intervient dans un contexte diplomatique extrêmement tendu entre Paris et Alger. Mardi, la France a appelé les autorités algériennes à faire preuve de « responsabilité et d'humanité » après la confirmation en appel de la condamnation de Boualem Sansal à cinq ans de prison. La diplomatie française espère une grâce présidentielle qui permettrait la libération de l'écrivain franco-algérien, âgé de 75 ans et souffrant de problèmes de santé.Face à cette escalade — renvoi de diplomates, refus d'expulser des ressortissants algériens visés par des OQTF — certains s'interrogent : l'Algérie a-t-elle adopté une forme de diplomatie des otages, à l'image de celle pratiquée par l'Iran ? Et quelles sont les conditions de détention de Cécile Kohler et Jacques Paris ? Pourquoi ces accusations maintenant ?Enfin, dans #cdanslair nous reviendrons sur un angle encore largement ignoré des crimes russes en Ukraine : les violences sexuelles infligées à des hommes, civils ou prisonniers dans les zones occupées. Un sujet encore tabou, autant pour la communauté internationale que pour la société ukrainienne. Notre journaliste Théo Maneval a recueilli un témoignage rare et bouleversant.LES EXPERTS :- Vincent HUGEUX - Journaliste spécialiste des enjeux internationaux, enseignant à Sciences Po- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU et auteur de D'un monde à l'autre - Patricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales - David RIGOULET-ROZE - Chercheur associé à l'IRIS, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques , auteur de La République islamique d'Iran en crise systémique- Noémie KOHLER (en duplex) - Soeur de Cécile Kohler détenue en Iran
C dans l'air l'invitée du 2 juillet 2025 avec Patricia Allémonière, grand reporter, auteure de "Au coeur du chaos", publié aux éditions Arthaud.Hier, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été condamné en appel à 5 ans de prison en Algérie. La veille, on apprenait qu'un journaliste français spécialisé dans le football, Christophe Gleizes, était, lui, condamné à 7 ans de prison pour "apologie du terrorisme", et "possession de publications dans un but de propagande nuisant à l'intérêt national". Concernant Boualem Sansal, la France a appelé à une "grâce humanitaire", à travers la voix de la porte-parole du gouvernement Sophie Primas. Concernant la peine infligée à Christophe Gleizes, le ministère français des Affaires étrangères a indiqué regretter "vivement la lourde condamnation à une peine de sept ans de prison ferme du journaliste ".Ces condamnations interviennent dans une séquence diplomatique tendue entre Paris et Alger, notamment depuis que le président Macron a acté la "reconnaissance" par la France de "la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental". Patricia Allémonière, grand reporter, reviendra avec nous sur le contexte dans lequel ont lieu ces condamnations, et sur la relation entre Paris et Alger.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été condamné en appel à 5 ans de prison à Alger ; la veille c'est le journaliste français Chrostophe Gleizes qui recevait une peine de sept ans de prison. L'espoir pour Sansal est aujourd'hui une grâce présidentielle qui ferait baisser les tensions Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
“Je vous ai compris” : ces mots célèbres, prononcés par Charles de Gaulle le 4 juin 1958 à Alger, en pleine guerre dont on ne dit alors pas le nom, résument peut-être l'attitude de l'homme du 18 juin face aux événements qui conduiront à l'indépendance de l'Algérie, proclamée en 1962. De Gaulle a-t-il compris ce qui se jouait, dès les années 1940, de l'autre côté de la Méditerranée ? On verra aujourd'hui qu'il s'est souvent montré ambigu, voire contradictoire sur ces questions que Virginie Girod évoque avec Pierre Manenti, historien du gaullisme et de la Cinquième République.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission - comme la précédente - est dédiée à Boualem Sansal, toujours emprisonné par un état barbare et inculte. Timeline, à son petit niveau, luttera toujours contre la bêtise, l'inculture, la barbarie, et l'injustice.Richard Fremder1830 ... L'Europe industrielle débarque à Sidi Ferruch sous les plis du drapeau tricolore. Derrière les canons, les promesses : pacifier, civiliser, moderniser. Mais dès les premières heures, la conquête se mue en guerre totale, en répression massive, en anéantissement systématique des résistances, à commencer par celle d'Abdelkader. Ce n'est pas une colonie qui naît, c'est une société fracturée, hiérarchisée, dominée.De 1830 à 1870, la violence fonde le droit. L'Algérie est conquise « par le glaive et la charrue » : les troupes massacrent, les colons défrichent, les tribus sont déplacées, affamées, regroupées. Les textes se succèdent, les Républiques changent, Napoléon III parle d'un « royaume arabe », mais la logique reste : dominer, soumettre, exploiter. Derrière les mots de progrès, une tempête démographique, un pillage organisé, une résistance enfouie.Puis vient le temps des certitudes. 1871 : la dernière grande insurrection kabyle est matée. Le décret Crémieux octroie la citoyenneté aux Juifs mais la refuse aux musulmans. On parle d'« Algérie française », mais il s'agit d'une colonie peuplée de citoyens et de sujets. Les Européens contrôlent les terres, les banques, les tribunaux. Les Algériens sont les indigènes d'un territoire dont ils ne possèdent rien. On leur apprend Molière, mais on leur interdit leur langue. Le tourisme devient l'expression ultime du mépris : on visite les « indigènes » comme des curiosités exotiques.1914-1918. Des dizaines de milliers d'Algériens meurent pour une République qui ne les reconnaît pas. En 1919, une idée nationale commence à germer. Avec Messali Hadj, l'Association des Oulémas ou l'Étoile nord-africaine, se construit un discours autonome, islamique ou laïc, anticolonial, national. Mais les espoirs du centenaire sont écrasés par le mépris, les promesses trahies, les réformes refusées. Les années 1930 sont celles de l'impasse : une société cloisonnée, racialisée, incapable de dialogue.Puis vient le choc. 1945 : Sétif, Guelma, Kherrata. Le drame, la censure, le silence. Le nationalisme algérien s'enflamme. En 1954, la guerre éclate. La Toussaint sanglante ouvre une décennie de violence, d'aveuglement, d'horreur partagée. Attentats, torture, regroupements, exécutions sommaires, propagande, contre-insurrection. Les femmes y prennent part, les artistes y trouvent un cri, les diplomates y cherchent une issue. Mais la République française s'effondre, minée par ses contradictions. En 1962, l'indépendance est proclamée, mais rien n'est résolu.Le chaos commence. D'un rêve d'unité surgit la lutte pour le pouvoir. Le FLN triomphant n'a pas de programme, les accords d'Évian divisent, les harkis sont abandonnés, les Pieds-noirs fuient, les coopérants arrivent. Le peuple algérien, épuisé par 132 ans de domination, doit se réinventer dans l'urgence. L'autogestion, le socialisme, l'islam, la francophonie, l'arabisation : tout est mis sur la table. Mais rien ne prend racine. Entre les coups d'État militaires, les espoirs révolutionnaires, la guerre des Sables contre le Maroc, l'Algérie indépendante cherche encore son visage.C'est cette période, de la dépossession à l'indépendance, que nous allons décrypter, toujours en compagnie de l'historien Michel Pierre, sans manichéisme.Il s'agira de revenir sur les différentes complexités si souvent caricaturées. C'est un demi-siècle de convulsions, de rêves brisés et d'horizons ouverts que nous allons explorer ensemble. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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