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durée : 00:58:51 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Rétablissement des sanctions de l'ONU sur l'Iran ; pacte de défense entre l'Arabie Saoudite et le Pakistan ; solidarité accrue entre les monarchies du Golfe et la Turquie... Alors que le Hamas vient d'accepter le plan de paix pour Gaza, assiste-t-on à une recomposition des forces au Moyen-Orient ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Azadeh Kian Professeure de sociologie, directrice du département de sciences sociales et du CEDREF à l'Université de Paris; Dorothée Schmid Responsable du programme Turquie/Moyen-Orient de l'IFRI; Christophe Jaffrelot Directeur de recherche au CERI-Sciences Po/CNRS, spécialiste de l'Inde et de sa région; David Khalfa Co-Directeur de l'Observatoire de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient de la fondation Jean-Jaurès, co-fondateur du think tank international Atlantic Middle East Forum
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur un mandat d'arrêt international contre un patron de presse sénégalais et l'aide américaine à l'économie argentine. Gaza : Tony Blair à la tête du gouvernement provisoire ? Le plan de paix de Donald Trump pour la bande de Gaza prévoit la création d'une autorité internationale de transition dans l'enclave palestinienne, composée de plusieurs membres dont Tony Blair. Pourquoi l'ancien Premier ministre britannique est-il sollicité ? Quel sera son rôle ? Cette autorité ne serait-elle pas une nouvelle forme de contrôle étranger sur Gaza ? Gaza : le projet de « Riviera du Moyen-Orient » est-il abandonné ? Donald Trump a présenté un plan en vingt points censé mettre fin au conflit à Gaza. Le projet « Riviera » imaginé, il y a quelques mois, par le président américain pour faire de Gaza « une station touristique de luxe » est-il, par conséquent, définitivement abandonné ? Gaza : quelle sera la réponse du Hamas ? Huit pays arabes et musulmans, dont l'Égypte, l'Arabie saoudite, la Turquie et le Pakistan ont salué les « efforts sincères » de Donald Trump pour « mettre fin à la guerre ». Les médiateurs égyptiens et le qatarien ont remis au Hamas la proposition du président américain. Comment ces pays arabes vont-ils convaincre le Hamas d'accepter le plan de Donald Trump ? Avec Frédérique Misslin, correspondante permanente de RFI à Jérusalem. Sénégal : un patron de presse, l'homme le plus recherché du pays Alors qu'il était convoqué pour s'expliquer sur des commissions occultes qu'il aurait perçues et qu'il avait interdiction de quitter le territoire, le patron de presse Madiambal Diagne a fui en France. Depuis son départ, il fait l'objet d'un mandat d'arrêt international. Pourquoi n'avait-il pas le droit de quitter le Sénégal ? Comment y est-il parvenu malgré tout ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Argentine : Trump vient au secours de l'économie de Milei Face à une crise économique persistante en Argentine, le président américain Donald Trump a annoncé sa volonté de soutenir financièrement le gouvernement de Javier Milei. Que représente concrètement ce soutien annoncé par le président américain ? Comment expliquer une telle crise économique dans le pays ? Avec Julien Clémençot, chef du service économie de RFI.
Que va décider le Hamas ? Toute la presse s'interroge ce matin, à l'instar du Figaro à Paris. « Accepter le plan Trump même sans garantie d'application, quitte à disparaître militairement ? Ou le refuser, quitte à creuser encore son isolement et le drame des Gazaouis ? Le Hamas n'a que de mauvaises options devant lui, constate le journal. Mais, s'interroge-t-il, sous une intense pression de tous les pays qui comptent – y compris de ses alliés qatariens et turcs – la formation intégriste, aujourd'hui disloquée militairement à Gaza, peut-elle dire non ? » Finalement, pointe le Times à Londres, « le Hamas doit choisir entre combattre ou capituler. Ou bien faire semblant de capituler, se fondant dans l'ombre en attendant des jours meilleurs ». D'ailleurs « qui mène la danse au sein du mouvement islamiste ? », s'interroge le quotidien britannique. « Les dirigeants politiques confortablement installés dans le Golfe ou les irréductibles qui contrôlent les otages dans le dédale de tunnels sous la bande de Gaza ? Les fanatiques qui résistent depuis près de deux ans capituleront-ils simplement pour sauver leur peau ? » Modifications ? Conditions ? Le Hamas en plein doute… « L'empressement avec lequel Donald Trump et Benyamin Netanyahu ont avancé leur plan pour mettre fin à la guerre à Gaza, avant-hier, a suscité la consternation au sein du mouvement islamiste, constate Le Monde à Paris. Ces dernières 48 heures, plusieurs de ses porte-paroles ont dénoncé un texte qui ne propose, selon eux, qu'une "reddition" pure et simple. Il apparaît d'ores et déjà difficile, pour ses chefs, de l'accepter sans modifications importantes. (…) Le mouvement islamiste ne veut pas apparaître comme le seul responsable d'un échec du plan de paix. Mais le fait que le retrait des troupes israéliennes ne soit pas un préalable au cessez-le-feu est un obstacle majeur ». D'après La Repubblica à Rome, « des sources arabes qui suivent de près les négociations à Doha s'attendent à ce que le Hamas finisse par accepter. La décision pourrait être prise d'abord par les dirigeants sur le terrain à Gaza, puis à Doha. Mais le mouvement islamiste devrait poser des conditions et demander un nouveau temps de négociation ». Ce qui est sûr, pointe encore le quotidien italien, c'est que « les États arabes du Golfe et des pays musulmans comme la Turquie et le Pakistan, font pression sur les négociateurs du Hamas pour qu'ils disent oui au plan de paix ». Embûches… Alors quand bien même le Hamas plierait, il resterait encore de nombreux obstacles… Pour le New York Times, « le plus grand risque désormais est qu'Israël et le Hamas affirment vouloir la paix sans pour autant prendre les mesures difficiles pour y parvenir. Benyamin Netanyahu pourrait ralentir le retrait israélien de Gaza et le Hamas pourrait tenter de conserver un rôle en coulisses dans la gestion de Gaza, chaque camp rejetant la faute sur l'autre. Dans ce scénario, les dirigeants arabes et américains devront faire preuve d'encore plus de courage. Les dirigeants arabes devront annoncer au Hamas qu'il est fini comme force politique à Gaza, puis appuyer cette déclaration en envoyant des troupes. Et Donald Trump devra obliger Benyamin Netanyahu à choisir entre son alliance nationale avec les extrémistes israéliens et l'alliance internationale d'Israël avec les États-Unis ». Urgence humanitaire Et pendant ce temps, soupire Haaretz à tel Aviv, « alors qu'Israël, Washington et le monde attendent la réponse du Hamas au plan de Trump, la situation sur le terrain reste impitoyable et meurtrière. Les otages continuent de languir dans les tunnels du Hamas, et le nombre de victimes à Gaza ne cesse de s'alourdir. Depuis le début de la guerre, 66 000 Gazaouis ont été tués et plus de 168 000 blessés. Parallèlement, la catastrophe humanitaire se poursuit. Les hôpitaux de Gaza souffrent d'une grave pénurie de médicaments et d'électricité, tandis que leur personnel est débordé. De nombreuses personnes sont encore coincées sous les décombres. Et la population civile erre d'un endroit à l'autre au milieu des ruines. C'est une situation intolérable qui doit cesser, s'exclame Haaretz, quelle que soit la réaction du Hamas à ce plan. Elle doit cesser au nom de la morale et de l'humanité. Cette guerre doit prendre fin immédiatement. »
Radio Foot internationale à 16h10 et 21h10 T.U, deux émissions en direct ce mardi 30 septembre 2025 : - Suite de la phase de ligue de la C1 (2e journée). OM/Ajax Amsterdam. ; - Un invité dans Radio Foot. Vincent Garcia, rédacteur en chef de France Football. Retour sur la 69e édition du Ballon d'Or. - Suite de la phase de ligue de la C1 (2e journée). OM/Ajax Amsterdam. Des retrouvailles après l'affrontement d'il y a 2 ans en Ligue Europa. Les Amstellodamois battus par l'Inter Milan lors de la 1ère journée, tandis que les Olympiens s'étaient inclinés à l'extérieur face au Real Madrid. Les quadruples vainqueurs de la compétition se déplacent au Vélodrome sans Weghorst ni Dolberg. Geronimo Rulli, le portier argentin de Marseille, retrouve le club au sein duquel il a évolué une saison. 2 clubs qui ont gagné en championnat le week-end dernier. De Zerbi compte notamment sur P-E Aubameyang. Il avait été particulièrement efficace face aux Néerlandais en C3. - Chelsea-Benfica, un match forcément spécial pour le «Special One» de retour à Stanford Bridge, José Mourinho a enrichi son palmarès avec les Blues. Invaincu depuis qu'il entraine les Aigles de Benfica, peut-il espérer obtenir un bon résultat sur le terrain de Londoniens généralement en réussite contre les formations lusitaniennes ? - Galatasaray/Liverpool : voyage en terre hostile pour les Reds qui viennent de connaître un 1er revers en championnat contre Crystal Palace. Le champion de Turquie n'a perdu qu'un seul de ses 8 derniers matchs européens à domicile contre des équipes anglaises, mais est en mal de victoires en compétition UEFA, au contraire des Scousers. - Autres matches à suivre : Atalanta/Bruges, Atlético/Francfort, long déplacement du Real Madrid au Kazakhstan (près de 6.500 kms) pour affronter le Kaïrat Almaty. - Un invité dans Radio Foot. Vincent Garcia, rédacteur en chef de France Football. Retour sur la 69e édition du Ballon d'Or. L'analyse des suffrages des représentants des pays du top 100 au classement FIFA qui ont livré leurs listes de 10 joueurs. Qui a voté pour qui ? Notamment en Europe, en Amérique, et surtout sur le continent africain ? Dembélé ou Yamal, y a-t-il eu match entre les deux offensifs ? Le duel semblait pourtant serré avent le scrutin. Étant donné le nombre de nommés parisiens, y a-t-il eu dispersion des voix (Hakimi, Vitinha, Kvaratskhelia) ? Les coulisses et la préparation de la cérémonie avec le boss du B.O. France Football. Comment bien garder le secret jusqu'au jour J ? Auditeurs, auditrices posez vos questions à notre invité sur la page Facebook. Vincent Garcia, Bruno Constant, et Cherif Ghemmour débattront avec Olivier Pron. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin. Écoutez à 21h10 TU sur RFI l'émission Radio foot internationale pour le debrief de la soirée Ligue des Champions, et sur www.rfi.fr à partir de 23h05 TU.
Radio Foot internationale à 16h10 et 21h10 T.U, deux émissions en direct ce mardi 30 septembre 2025 : - Suite de la phase de ligue de la C1 (2e journée). OM/Ajax Amsterdam. ; - Un invité dans Radio Foot. Vincent Garcia, rédacteur en chef de France Football. Retour sur la 69e édition du Ballon d'Or. - Suite de la phase de ligue de la C1 (2e journée). OM/Ajax Amsterdam. Des retrouvailles après l'affrontement d'il y a 2 ans en Ligue Europa. Les Amstellodamois battus par l'Inter Milan lors de la 1ère journée, tandis que les Olympiens s'étaient inclinés à l'extérieur face au Real Madrid. Les quadruples vainqueurs de la compétition se déplacent au Vélodrome sans Weghorst ni Dolberg. Geronimo Rulli, le portier argentin de Marseille, retrouve le club au sein duquel il a évolué une saison. 2 clubs qui ont gagné en championnat le week-end dernier. De Zerbi compte notamment sur P-E Aubameyang. Il avait été particulièrement efficace face aux Néerlandais en C3. - Chelsea-Benfica, un match forcément spécial pour le «Special One» de retour à Stanford Bridge, José Mourinho a enrichi son palmarès avec les Blues. Invaincu depuis qu'il entraine les Aigles de Benfica, peut-il espérer obtenir un bon résultat sur le terrain de Londoniens généralement en réussite contre les formations lusitaniennes ? - Galatasaray/Liverpool : voyage en terre hostile pour les Reds qui viennent de connaître un 1er revers en championnat contre Crystal Palace. Le champion de Turquie n'a perdu qu'un seul de ses 8 derniers matchs européens à domicile contre des équipes anglaises, mais est en mal de victoires en compétition UEFA, au contraire des Scousers. - Autres matches à suivre : Atalanta/Bruges, Atlético/Francfort, long déplacement du Real Madrid au Kazakhstan (près de 6.500 kms) pour affronter le Kaïrat Almaty. - Un invité dans Radio Foot. Vincent Garcia, rédacteur en chef de France Football. Retour sur la 69e édition du Ballon d'Or. L'analyse des suffrages des représentants des pays du top 100 au classement FIFA qui ont livré leurs listes de 10 joueurs. Qui a voté pour qui ? Notamment en Europe, en Amérique, et surtout sur le continent africain ? Dembélé ou Yamal, y a-t-il eu match entre les deux offensifs ? Le duel semblait pourtant serré avent le scrutin. Étant donné le nombre de nommés parisiens, y a-t-il eu dispersion des voix (Hakimi, Vitinha, Kvaratskhelia) ? Les coulisses et la préparation de la cérémonie avec le boss du B.O. France Football. Comment bien garder le secret jusqu'au jour J ? Auditeurs, auditrices posez vos questions à notre invité sur la page Facebook. Vincent Garcia, Bruno Constant, et Cherif Ghemmour débattront avec Olivier Pron. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin. Écoutez à 21h10 TU sur RFI l'émission Radio foot internationale pour le debrief de la soirée Ligue des Champions, et sur www.rfi.fr à partir de 23h05 TU.
Pour une fois, Antoine Gailhanou nous parle d'un instrument que tout le monde connaît, mais dont on ignore la richesse : la cornemuse. On l'associe beaucoup au monde anglo-saxon, et surtout l'Écosse, où elle est encore très utilisée, mais la cornemuse c'est un instrument millénaire qui s'est imposé partout en Europe, de la Suède à l'Espagne en passant par la Pologne les Balkans, et l'Italie, et même jusqu'en Tunisie et en Turquie.
Après avoir fait le récit de la prostitution et l'exil, en Turquie, Grèce puis Paris, Amani explique comment, avec ses deux filles, en France, elle cherche à s'en sortir. Son récit, fort, s'adresse à toutes les femmes qui pourraient vouloir entrer dans la prostitution, sans en imaginer les conséquences.La rencontre avec le Mouvement du Nid dans une ville de province, le parcours de sortie de prostitution, l'émergence d'un autre possible pour elle, la font réfléchir aujourd'hui différemment au passé. Elle qui disait "avoir été fière" à un moment, alors qu'elle n'imaginait pas encore ni n'en vivait les conséquences, a aujourd'hui une toute autre analyse. La prostitution, elle ne la souhaite même pas à sa pire ennemie. Parler dans La Vie en Rouge, est pour elle une étape, pour se détacher de ce passé. Et dire aux jeunes femmes que même si on ne le réalise pas au départ, le fait d'être confrontée à tant d'hommes qui paient et violentent pour du sexe a des conséquences délétères.La Vie en Rouge, un podcast conçu et réalisé par des femmes ayant connu la prostitutionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elles n'ont pas appris à nager dans leur pays d'origine, que ce soit l'Afghanistan, l'Érythrée, le Soudan ou la Turquie. Sur leur chemin d'exil vers la Suisse, ces femmes et leur famille ont frôlé la noyade en passant clandestinement les frontières maritimes ou fluviales. Aujourd'hui, elles dépassent leur peur de l'eau dans un cours de natation réservé aux femmes organisé à Puidoux par Diversi'team, un projet d'intégration par le sport. Reportages : Jonas Pool Réalisation : Jean-Daniel Mottet Production : Raphaële Bouchet
David Baverez est investisseur et vit depuis des années à Hong Kong. Il est aussi l'auteur du percutant ouvrage Bienvenue en économie de guerre et je suis content de revenir un peu à l'économie et à la géopolitique.Il observe notre monde avec un regard aussi lucide que tranché avec ses biais bien sûr. Dans cet épisode, j'ai voulu comprendre pourquoi il parle d'économie de guerre, ce que cela implique pour la France, pour l'Europe, et comment cela rebat les cartes du monde tel que nous le connaissions.Nous avons beaucoup parlé de la Chine, évidemment, un pays que David connaît intimement. Mais aussi des États-Unis, de leur dette publique, de leur rapport à l'innovation, à la puissance. De la France et de sa désindustrialisation volontaire. D'une Europe qui vacille, accrochée à des illusions de puissance passée, et qui peine à reconnaître sa dépendance économique, numérique, énergétique, militaire… La France est passée d'une place de 4ème à 24ème en PIB/habitant en 20 ans. Et ce n'est pas un simple chiffre.J'ai questionné David sur ce qu'il appelle un monde "apolaire", un monde dans lequel il n'existe plus de centre de gravité unique. Un monde fait de chaos, où les puissances intermédiaires, comme l'Arabie Saoudite ou la Turquie, jouent leur partition au gré de leurs intérêts.Dans cet épisode, nous abordons :les ruptures de 2022 et pourquoi cette date est si symbolique,le rôle de la Chine dans la nouvelle économie mondialisée,le piège de la dette française et notre perte de souveraineté,la montée des extrêmes et l'impact des plateformes numériques comme TikTok sur les démocraties,et surtout, ce que nous pouvons encore faire pour redonner du sens, réinvestir notre liberté d'agir, de penser, et sortir de notre posture d'autostoppeur économique.David propose même un modèle inédit de gouvernance, à base de "7 papy-mamie flingueurs" pour sauver la France du chaos. Un épisode dense, remuant, mais ô combien nécessaire pour comprendre le monde qui vient. Citations marquantes« L'économie de guerre, c'est le moyen d'éviter la guerre. »« La France est devenue le dernier auto-stoppeur mondial. »« Aujourd'hui, la liberté d'agir est en Chine, la liberté de penser aux US, mais les deux s'effritent. Seule l'Europe a les deux. »« Ce qu'on appelle démocratie peut aboutir à faire élire des anti-démocrates. »« En économie de guerre, la réussite se mesure par la dépendance qu'on impose aux autres. »Dix questions structurées posées dans l'épisodeQu'entends-tu par économie de guerre ?Pourquoi 2022 marque-t-elle une rupture historique ?Comment analyses-tu la chute de la France dans les classements économiques ?La désindustrialisation française est-elle un choix politique ?Quels sont les trois grands défis qui définissent la prochaine décennie ?Pourquoi dis-tu que nous vivons dans un monde apolaire ?En quoi la Chine est-elle "maîtresse du chaos" ?Pourquoi l'Europe ne parvient-elle pas à négocier avec la Chine ?Quelle solution proposes-tu face à l'effondrement démocratique ?Que peut-on espérer du modèle allemand pour relancer l'Europe ?Timestamps clés pour YouTube00:00 - Introduction et présentation de l'épisode01:00 - Définition de l'économie de guerre03:30 - Pourquoi 2022 est une rupture géopolitique majeure06:00 - Désindustrialisation : un choix cynique08:30 - Le modèle économique chinois post-Covid12:00 - Le monde devient apolaire : explication15:00 - La dépendance énergétique, numérique et militaire de l'Europe20:00 - Déficit de souveraineté de la France28:00 - Le modèle allemand : un espoir pour l'Europe ?33:00 - Réflexion sur la démocratie à l'ère des réseaux sociaux Suggestion d'autres épisodes à écouter : #351 Pourquoi ne peut-on plus s'en sortir en travaillant? (partie 1) avec Antoine Foucher (https://audmns.com/chQnSYy) #345 L'occident ne comprends plus le monde avec Pierre Haski (partie 1) (https://audmns.com/yGmnzUq) #312 Les défis géopolitiques d'un monde hors de contrôle avec Thomas Gomart (https://audmns.com/jscnrns)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
David Baverez est investisseur et vit depuis des années à Hong Kong. Il est aussi l'auteur du percutant ouvrage Bienvenue en économie de guerre et je suis content de revenir un peu à l'économie et à la géopolitique.Il observe notre monde avec un regard aussi lucide que tranché avec ses biais bien sûr. Dans cet épisode, j'ai voulu comprendre pourquoi il parle d'économie de guerre, ce que cela implique pour la France, pour l'Europe, et comment cela rebat les cartes du monde tel que nous le connaissions.Nous avons beaucoup parlé de la Chine, évidemment, un pays que David connaît intimement. Mais aussi des États-Unis, de leur dette publique, de leur rapport à l'innovation, à la puissance. De la France et de sa désindustrialisation volontaire. D'une Europe qui vacille, accrochée à des illusions de puissance passée, et qui peine à reconnaître sa dépendance économique, numérique, énergétique, militaire… La France est passée d'une place de 4ème à 24ème en PIB/habitant en 20 ans. Et ce n'est pas un simple chiffre.J'ai questionné David sur ce qu'il appelle un monde "apolaire", un monde dans lequel il n'existe plus de centre de gravité unique. Un monde fait de chaos, où les puissances intermédiaires, comme l'Arabie Saoudite ou la Turquie, jouent leur partition au gré de leurs intérêts.Dans cet épisode, nous abordons :les ruptures de 2022 et pourquoi cette date est si symbolique,le rôle de la Chine dans la nouvelle économie mondialisée,le piège de la dette française et notre perte de souveraineté,la montée des extrêmes et l'impact des plateformes numériques comme TikTok sur les démocraties,et surtout, ce que nous pouvons encore faire pour redonner du sens, réinvestir notre liberté d'agir, de penser, et sortir de notre posture d'autostoppeur économique.David propose même un modèle inédit de gouvernance, à base de "7 papy-mamie flingueurs" pour sauver la France du chaos. Un épisode dense, remuant, mais ô combien nécessaire pour comprendre le monde qui vient. Citations marquantes« L'économie de guerre, c'est le moyen d'éviter la guerre. »« La France est devenue le dernier auto-stoppeur mondial. »« Aujourd'hui, la liberté d'agir est en Chine, la liberté de penser aux US, mais les deux s'effritent. Seule l'Europe a les deux. »« Ce qu'on appelle démocratie peut aboutir à faire élire des anti-démocrates. »« En économie de guerre, la réussite se mesure par la dépendance qu'on impose aux autres. »Dix questions structurées posées dans l'épisodeQu'entends-tu par économie de guerre ?Pourquoi 2022 marque-t-elle une rupture historique ?Comment analyses-tu la chute de la France dans les classements économiques ?La désindustrialisation française est-elle un choix politique ?Quels sont les trois grands défis qui définissent la prochaine décennie ?Pourquoi dis-tu que nous vivons dans un monde apolaire ?En quoi la Chine est-elle "maîtresse du chaos" ?Pourquoi l'Europe ne parvient-elle pas à négocier avec la Chine ?Quelle solution proposes-tu face à l'effondrement démocratique ?Que peut-on espérer du modèle allemand pour relancer l'Europe ?Timestamps clés pour YouTube00:00 - Introduction et présentation de l'épisode01:00 - Définition de l'économie de guerre03:30 - Pourquoi 2022 est une rupture géopolitique majeure06:00 - Désindustrialisation : un choix cynique08:30 - Le modèle économique chinois post-Covid12:00 - Le monde devient apolaire : explication15:00 - La dépendance énergétique, numérique et militaire de l'Europe20:00 - Déficit de souveraineté de la France28:00 - Le modèle allemand : un espoir pour l'Europe ?33:00 - Réflexion sur la démocratie à l'ère des réseaux sociauxHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Turquie serait-elle en train de connaître un épisode tardif de la vague #MeToo, ce vaste mouvement de libération de la parole des femmes démarré dans le milieu du cinéma aux États-Unis en 2017 ? Le mouvement féministe turc est puissant et a gagné en popularité avec les réseaux sociaux. Les nouvelles générations, très connectées, s'inspirent de ce qui se passe à l'étranger. Depuis un mois, une vague de milliers de dénonciations sur les réseaux sociaux révèle plusieurs dizaines de noms de personnalités connues et d'anonymes dans les milieux artistiques et académiques. Le phénomène relance la réflexion sur la gestion des violences sexistes et sexuelles au sein des organisations de défense des droits des femmes. Reportage à Ankara de notre correspondante, Messages graveleux, gestes déplacés répétés jusqu'à des cas de viols par soumission chimique... Chaque jour charrie son lot de témoignages et vient ajouter de nouveaux noms à la liste des hommes accusés de violences sexistes et sexuelles. Ce sont plus de 5 000 posts qui ont été partagés sur les réseaux sociaux en une dizaine de jours, d'après les statistiques du réseau X. Des personnalités du monde de l'art, des milieux universitaires et de la société civile sont au cœur du scandale. Alors, plusieurs institutions culturelles, chaînes de télévision et plateformes de diffusion ont annoncé rompre leurs contrats avec les hommes accusés. Medine Aybar, 29 ans, travaille dans le secteur du cinéma et de la publicité. Elle a choisi de partager sur les réseaux sociaux le harcèlement d'un de ses anciens patrons. Militante féministe, elle décrypte les mécanismes d'impunité qui règne dans son secteur professionnel : « J'ai commencé par lire les posts de dénonciations sur les photographes de mode, en lisant, j'ai tout de suite fait le parallèle avec mes propres expériences, alors je me suis mise à écrire et à partager aussi ce que j'avais vécu. » À écouter aussiMeToo: des affaires emblématiques en Suède, Espagne, Afrique du Sud et Japon Les dynamiques propres à l'industrie du cinéma rendent les dénonciations extrêmement risquées pour les carrières, mais elle a reçu de nombreux messages de soutien de la part de collègues : « J'ai eu des coups de fil de la part de personnes du secteur que j'aime beaucoup, qui m'ont dit "on te suit et on voit ce que tu publies" et s'ils m'appellent, c'est parce qu'ils savent que plein de gens du secteur pourraient me menacer de perdre du travail, ou faire pression sur moi de plein de manières différentes. » Témoigner en ligne : une option pour de nombreuses victimes Forte de cette première initiative, elle a décidé de se mobiliser pour recueillir le plus de témoignages possible et les diffuser de manière anonyme. Car nombre de victimes d'agressions préfèrent partager leurs témoignages sur les réseaux sociaux plutôt que dans les salles d'audience des palais de justice. Begüm Baki est membre de l'Association de lutte contre les violences sexuelles : « Il existe de nombreux obstacles à la dénonciation des violences sexuelles. C'est d'ailleurs pour cela que dans tous les pays, les violences sexuelles sont les crimes les moins rapportés, et en Turquie, malheureusement, c'est très rare. L'absence de mécanismes de soutien, la méconnaissance des droits, le manque d'institutions et l'approche culpabilisante à l'égard des victimes – manifestations du patriarcat et des inégalités de genre – sont particulièrement visibles là où ces inégalités sont les plus profondes. Face à cette réalité, certaines personnes finissent par ressentir le besoin de dire "stop". » Les dénonciations publiées sur les réseaux sociaux feront-elles l'objet d'enquêtes de la part de la justice ? Les avocates des droits des femmes en doutent, mais elles rappellent que les victimes ne sont pas totalement dépourvues. Le principe de « primauté de la parole de la victime » a été maintes fois validé par les différentes instances de justice et donne espoir de voir punir les auteurs de violences dont les noms sont désormais connus de tous.
La Turquie serait-elle en train de connaître un épisode tardif de la vague #MeToo, ce vaste mouvement de libération de la parole des femmes démarré dans le milieu du cinéma aux États-Unis en 2017 ? Le mouvement féministe turc est puissant et a gagné en popularité avec les réseaux sociaux. Les nouvelles générations, très connectées, s'inspirent de ce qui se passe à l'étranger. Depuis un mois, une vague de milliers de dénonciations sur les réseaux sociaux révèle plusieurs dizaines de noms de personnalités connues et d'anonymes dans les milieux artistiques et académiques. Le phénomène relance la réflexion sur la gestion des violences sexistes et sexuelles au sein des organisations de défense des droits des femmes. Reportage à Ankara de notre correspondante, Messages graveleux, gestes déplacés répétés jusqu'à des cas de viols par soumission chimique... Chaque jour charrie son lot de témoignages et vient ajouter de nouveaux noms à la liste des hommes accusés de violences sexistes et sexuelles. Ce sont plus de 5 000 posts qui ont été partagés sur les réseaux sociaux en une dizaine de jours, d'après les statistiques du réseau X. Des personnalités du monde de l'art, des milieux universitaires et de la société civile sont au cœur du scandale. Alors, plusieurs institutions culturelles, chaînes de télévision et plateformes de diffusion ont annoncé rompre leurs contrats avec les hommes accusés. Medine Aybar, 29 ans, travaille dans le secteur du cinéma et de la publicité. Elle a choisi de partager sur les réseaux sociaux le harcèlement d'un de ses anciens patrons. Militante féministe, elle décrypte les mécanismes d'impunité qui règne dans son secteur professionnel : « J'ai commencé par lire les posts de dénonciations sur les photographes de mode, en lisant, j'ai tout de suite fait le parallèle avec mes propres expériences, alors je me suis mise à écrire et à partager aussi ce que j'avais vécu. » À écouter aussiMeToo: des affaires emblématiques en Suède, Espagne, Afrique du Sud et Japon Les dynamiques propres à l'industrie du cinéma rendent les dénonciations extrêmement risquées pour les carrières, mais elle a reçu de nombreux messages de soutien de la part de collègues : « J'ai eu des coups de fil de la part de personnes du secteur que j'aime beaucoup, qui m'ont dit "on te suit et on voit ce que tu publies" et s'ils m'appellent, c'est parce qu'ils savent que plein de gens du secteur pourraient me menacer de perdre du travail, ou faire pression sur moi de plein de manières différentes. » Témoigner en ligne : une option pour de nombreuses victimes Forte de cette première initiative, elle a décidé de se mobiliser pour recueillir le plus de témoignages possible et les diffuser de manière anonyme. Car nombre de victimes d'agressions préfèrent partager leurs témoignages sur les réseaux sociaux plutôt que dans les salles d'audience des palais de justice. Begüm Baki est membre de l'Association de lutte contre les violences sexuelles : « Il existe de nombreux obstacles à la dénonciation des violences sexuelles. C'est d'ailleurs pour cela que dans tous les pays, les violences sexuelles sont les crimes les moins rapportés, et en Turquie, malheureusement, c'est très rare. L'absence de mécanismes de soutien, la méconnaissance des droits, le manque d'institutions et l'approche culpabilisante à l'égard des victimes – manifestations du patriarcat et des inégalités de genre – sont particulièrement visibles là où ces inégalités sont les plus profondes. Face à cette réalité, certaines personnes finissent par ressentir le besoin de dire "stop". » Les dénonciations publiées sur les réseaux sociaux feront-elles l'objet d'enquêtes de la part de la justice ? Les avocates des droits des femmes en doutent, mais elles rappellent que les victimes ne sont pas totalement dépourvues. Le principe de « primauté de la parole de la victime » a été maintes fois validé par les différentes instances de justice et donne espoir de voir punir les auteurs de violences dont les noms sont désormais connus de tous.
durée : 00:05:03 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Une nouvelle étude montre qu'en 2023, les séismes turcs ont déclenché en Azerbaïdjan un séisme silencieux. Ce tremblement de terre sans secousse compte parmi les plus importants observés et s'est doublé de l'éruption de cinquante volcans de boue.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec - Esteban Grépinet Vert, le média qui annonce la couleur sur un agriculteur qui essaye de produire des noisettes sans pesticide – à rebours du reste de la filière française, qui réclame depuis plusieurs mois le retour de substances interdites pour faire face à la concurrence internationale (Turquie, Espagne, Italie...) - Yang Mei du service en langue chinoise, reviendra sur une enquête précieuse menée par des journalistes chinois sur la pollution au thallium d'une rivière au centre de la Chine - Simon Rozé du service environnement de RFI nous parlera de l'accord sur la pêche INN de l'OMC qui entre en vigueur ce lundi après plus de 20 ans de négociations - Igor Strauss du service environnement de RFI. Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Mamadou Saifoulaye Diallo de GUINEE pour son film Le cri asséché. Chronique entrepreneur : Alors que la généralisation de la climatisation pose de plus en plus question – sur les plans écologique, économique et réglementaire – une entreprise française propose une approche radicalement différente : réduire la température des bâtiments grâce à un revêtement à base de coquilles d'huîtres recyclées. Cool Roof France, pionnier du cool roofing en Europe, a déjà traité plus d'un million de m² de toitures avec sa solution réfléchissante, capable de faire baisser la température intérieure jusqu'à 8°C, sans consommation d'énergie. Une réponse simple, circulaire et immédiatement opérationnelle face à l'urgence climatique. Musiques diffusées dans l'émission - Tchotchké - Wish you were a girl - Helio Batalha - Pirigrinu.
[SPONSORISÉ] Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.
Deux ans après avoir remporté la Coupe du monde, les Allemands sont redevenus champions d'Europe, après leur victoire en finale (88-83) face à la Turquie. L'Allemagne est-elle aujourd'hui la meilleure nation hors USA ? Peuvent-ils battre les américains aux prochains JO ?
Q1: Quel bilan pour l'Equipe de France de basket après leur élimination en huitième de finale de l'Euro 2025 ? Qui a marqué des points ? Qui est en danger ? Q2: Deux ans après avoir remporté la Coupe du monde, les Allemands sont redevenus champions d'Europe, après leur victoire en finale (88-83) face à la Turquie. L'Allemagne est-elle aujourd'hui la meilleure nation hors USA ? Peuvent-ils battre les américains aux prochains JO ? Q3: Comme à la Coupe du monde, Dennis Schröder est élu MVP de l'Euro. Avec ses deux titres (Coupe du monde + Euro) et ses deux trophées de MVP, Schröder est-il passé devant Tony Parker et Nowitzki dans l'histoire du basket Internationale ? Q4: Quatrième Quart-temps : Le quiz de Basket Time / Gerhard Schröder ou Dennis Schröder ? Episode de Basket Time avec Pierre Dorian, Fred Weis, Stephen Brun et Félix Gabory
durée : 00:13:47 - Journal de 7 h - A Ankara, la capitale, des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue à l'appel du principal parti d'opposition, le CHP, qui risque d'être démantelé à l'issue d'un procès qui s'ouvre ce lundi. Ses sympathisants dénoncent l'œuvre d'Erdogan, qui réprime toute forme d'opposition.
durée : 00:02:16 - France Inter sur le terrain - En Turquie, une journée décisive pour le plus grand parti d'opposition, le Parti républicain du peuple (CHP). Entraînée depuis des mois dans un bras de fer politico-judiciaire avec le pouvoir, la direction du CHP affronte à Ankara un procès pour "fraudes" lors d'un congrès fin 2023. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:47 - Journal de 7 h - A Ankara, la capitale, des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue à l'appel du principal parti d'opposition, le CHP, qui risque d'être démantelé à l'issue d'un procès qui s'ouvre ce lundi. Ses sympathisants dénoncent l'œuvre d'Erdogan, qui réprime toute forme d'opposition.
Rubrique:contes Auteur: francois-marie-luzel Lecture: Christiane-JehanneDurée: 17min Fichier: 15 Mo Résumé du livre audio: Marguerite dédaigne les fils de paysans… « — Un prince, répondait-elle ; je ne veux me marier qu'à un fils de roi. Elle avait deux frères à l'armée, deux cavaliers, deux beaux hommes, qui lui avaient parlé du fils de l'empereur de Turquie, qu'ils avaient vu quelque part, et depuis, elle avait l'esprit continuellement occupé de ce prince. » Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.
Yassine Benzia, promis à un avenir brillant dans le football français et la sélection algérienne, a vu sa carrière marquée par une série d'épreuves qui ont freiné son ascension. Malgré un talent indéniable et une envie constante de réussir, le joueur a dû faire face à des moments difficiles, à commencer par son départ forcé de l'Olympique Lyonnais. Des tensions avec Christophe Galtier ont terni son passage à Lille, et son expérience en Turquie s'est transformée en véritable calvaire.Pour plus d'interviews et anecdotes sur tes joueurs préférés, abonne-toi à Colinterview !Mais c'est surtout un terrible accident qui a failli mettre un terme définitif à sa carrière, laissant des séquelles qui auraient pu l'empêcher de revenir sur les terrains. Contre toute attente, Benzia n'a jamais renoncé à son rêve de représenter l'Algérie. Aujourd'hui, il espère retrouver la lumière et briller enfin avec la sélection algérienne, malgré toutes les épreuves surmontées.
Au sommaire du Café des Sports de ce 12 septembre 2025 : - La Ligue des Champions va reprendre la semaine prochaine, un baptême du feu pour les Phocéens ; - Premier League : Manchester City - Manchester United, malheur au vaincu. ; - André Onana, destination Turquie ; - Les cartons vidéo de la semaine. La Ligue des Champions va reprendre la semaine prochaine. - L'Olympique de Marseille fera son retour dans la compétition ce mardi, face au Real Madrid au Bernabeu. Le baptême du feu pour les Phocéens ! Premier League : Le derby mancunien au programme ce week-end. - Manchester City - Manchester United, malheur au vaincu. André Onana, destination Turquie - Opération rédemption à Trabzonspor pour le portier international camerounais. Les Cartons vidéo ! Auditeurs et consultants délivrent leurs verdicts. À qui donneriez-vous votre carton de la semaine ? Présentation : Annie Gasnier | Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Benjamin Moukandjo, Saliou Diouf | TCR : Laurent Salerno | Réalisation vidéo : Souheil Khedir et Hadrien Touraud.
Au sommaire du Café des Sports de ce 12 septembre 2025 : - La Ligue des Champions va reprendre la semaine prochaine, un baptême du feu pour les Phocéens ; - Premier League : Manchester City - Manchester United, malheur au vaincu. ; - André Onana, destination Turquie ; - Les cartons vidéo de la semaine. La Ligue des Champions va reprendre la semaine prochaine. - L'Olympique de Marseille fera son retour dans la compétition ce mardi, face au Real Madrid au Bernabeu. Le baptême du feu pour les Phocéens ! Premier League : Le derby mancunien au programme ce week-end. - Manchester City - Manchester United, malheur au vaincu. André Onana, destination Turquie - Opération rédemption à Trabzonspor pour le portier international camerounais. Les Cartons vidéo ! Auditeurs et consultants délivrent leurs verdicts. À qui donneriez-vous votre carton de la semaine ? Présentation : Annie Gasnier | Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Benjamin Moukandjo, Saliou Diouf | TCR : Laurent Salerno | Réalisation vidéo : Souheil Khedir et Hadrien Touraud.
Dans le nord de l'Afghanistan où, depuis plusieurs années, près de dix millions de personnes souffrent d'une sécheresse très sévère qui aggrave encore la crise humanitaire, le chantier du canal de Qosh Tepa suscite beaucoup d'espoir. Alimenté par la rivière Amou Daria, ce projet géant de 285 km de long conçu avant le retour au pouvoir des talibans - qui se sont empressés de le relancer - traverse trois provinces. Son ouverture est prévue pour 2028. De notre correspondante en Afghanistan, Les tractopelles s'activent vigoureusement sur le site de Sarband destiné à abriter les portes du canal de Qosh Tepa, dans le nord de l'Afghanistan. L'un des ingénieurs, Mortaza Zias, surveille la progression des fondations : « L'objectif de ce canal, c'est d'irriguer 500 hectares de terres et de zones urbaines. Il a été construit pour cela. Son autre extrémité se trouve à 285 km d'ici. Tout le tracé est en train d'être creusé, et la première phase est déjà terminée », explique-t-il. Pour les talibans, le chantier de Qosh Tepa est une priorité. « Le budget est entièrement financé par le gouvernement. Depuis quatre ans, tout vient de lui, il n'y a pas d'organisation internationale impliquée, poursuit Mortaza Zias, Seuls quelques plans ont changé. Le canal était censé être un peu moins long, mais le sol se compose de sable, de beaucoup de cailloux, donc au fur et à mesure des travaux, de nouvelles idées ont émergé. Comme celle, par exemple, de redistribuer l'eau dans la rivière Amou grâce à un barrage. » À lire aussiAfghanistan: le projet faramineux de construction du canal Qosh Tepa De l'autre côté de la province de Balkh, dans le village de Qarshi Gak, Hamidallah et ses cousins construisent une maison en terre pour deux de leurs frères : « Ils vivent en Turquie, mais ils voudraient revenir quand le canal sera terminé », explique Hamidallah. Grâce à l'argent envoyé par ses frères, Hamidallah a acheté des panneaux solaires qui lui permettent de pomper les eaux souterraines. Mais les réserves s'amenuisent. « Il n'y a pas d'eau, mais le canal nous donne de l'espoir, s'enthousiasme-t-il. Alors peut-être qu'avec le canal et de l'eau, nous aurons une vie meilleure. » Producteur de coton et de blé, Hamidallah voit ses récoltes se réduire d'année en année. À lire aussiSéisme en Afghanistan: «Les besoins de la population ne se limitent pas à des situations de crise»
Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.Il est entré dans l'ambassade britannique par la petite porte, en tant que simple valet, mais cela ne l'a pas empêché d'accéder aux secrets les mieux gardés des Alliés. Malgré son passé de délinquant, Elyesa Bazna a su déjouer la méfiance de l'ambassadeur britannique, Sir Hughe Knatchbull-Hugessen. Il faut dire qu'il sait plaire avec son français impeccable et son talent pour le chant.
À seulement 27 ans, Elsa a fait de la mer sa maison. De l'Alsace aux expéditions polaires, elle nous raconte comment le hasard l'a menée à devenir naturaliste, et pourquoi elle choisit chaque jour l'aventure.Née dans des circonstances improbables, Elsa se décrit comme un « enfant paix ». Originaire d'Alsace, c'est presque par hasard qu'elle découvre la géologie à l'université, une passion qui va peu à peu la mener aux quatre coins du monde.De Berlin à la Suède (où elle n'a jamais vraiment trouvé sa place), du Danemark au Svalbard, en passant par l'Indonésie, Elsa se laisse guider par les opportunités sans jamais forcer le destin. Et c'est finalement lors d'un voyage entre amies en Turquie qu'une rencontre va changer sa vie et l'amener à embarquer avec Ponant en tant que naturaliste, il y a un an.Aujourd'hui, sa maison, c'est le bateau. Elle nous raconte son quotidien à bord, ses coups de cœur comme ses défis, son rapport à l'instabilité et ce besoin grandissant de fonder une famille, même en pleine mer.Un épisode inspirant sur le lâcher-prise, les hasards de la vie et la beauté d'un métier hors du commun.#ExpatLife #FemmesInspirantes #Aventurière #VieEnMer #PodcastVoyage
Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.L'affaire Cicéron n'a rien d'un hasard. Elle découle de deux facteurs. D'un côté, le statut social d'Elyesa Bazna, et de l'autre, le contexte politique très particulier de la Turquie pendant la Seconde Guerre mondiale. Le pays est tiraillé par les ambitions de trois grandes puissances: L'empire Britannique, Le Troisième Reich et l'Union Soviétique.
Si vous regardez de près certaines représentations de la Révolution française, vous verrez souvent un bonnet rouge, tombant vers l'avant, porté par Marianne ou par les sans-culottes. Ce couvre-chef n'est pas un simple accessoire vestimentaire : c'est le célèbre bonnet phrygien, devenu un symbole universel de liberté. Mais d'où vient-il exactement ?L'histoire du bonnet phrygien commence bien avant 1789. Son nom provient de la Phrygie, une région d'Asie Mineure, dans l'actuelle Turquie. Dans l'Antiquité, les habitants de cette région portaient un bonnet de feutre à la pointe rabattue, reconnaissable sur de nombreuses fresques et sculptures. Très vite, ce couvre-chef a été associé, dans l'imaginaire gréco-romain, aux peuples orientaux. Les dieux et héros venus de l'Est, comme Attis, étaient souvent représentés coiffés de ce bonnet.Mais le vrai basculement symbolique se fait à Rome. Dans la République romaine, un bonnet de forme proche, appelé pileus, était remis aux esclaves affranchis. Recevoir ce bonnet signifiait accéder à la liberté. Le pileus, puis le bonnet phrygien par extension, s'ancrent donc très tôt dans l'idée d'émancipation.Ce souvenir antique ressurgit au XVIIIe siècle. Les penseurs des Lumières et les révolutionnaires français, très friands de références classiques, se réapproprient ce symbole. Lors de la Révolution française, le bonnet phrygien devient l'emblème de la liberté conquise contre la tyrannie. Les sans-culottes l'arborent fièrement, et Marianne, allégorie de la République, est presque toujours représentée coiffée de ce bonnet rouge.Pourquoi rouge ? La couleur est héritée de la Révolution : elle renvoie au sang versé, au courage, mais aussi à la fraternité entre citoyens. Ce bonnet rouge devient rapidement un signe de ralliement politique, au point d'être porté dans les cortèges, peint sur les murs et brandi sur les piques.Au XIXe siècle, le symbole s'universalise. On retrouve le bonnet phrygien sur les armoiries de nombreux pays d'Amérique latine nouvellement indépendants, de l'Argentine à Cuba. Partout, il représente la liberté, la rupture avec l'oppression et la naissance d'une nation.Aujourd'hui encore, il reste omniprésent : sur le sceau de la République française, dans les mairies, ou sur certaines pièces de monnaie. Le bonnet phrygien rappelle qu'un simple objet peut traverser les siècles et les civilisations pour incarner une idée intemporelle : celle de la liberté conquise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode de DV TALKS MOTO, on revient sur la première épreuve du SMX à Charlotte, le MXGP de Turquie, le SX de Brienon et plus avec Marvin Musquin et Hugo Manzato... Bonne écoute!
L'Espagne de Lamine Yamal et Pedri sera-t-elle injouable lors de la prochaine Coupe du Monde 2026 ? Après sa victoire spectaculaire en Turquie (0-6) pour les qualifications au Mondial américain, la sélection espagnole a impressionné par sa qualité de jeu, le côté spectaculaire de ses buts et le talent de ses joueurs. Le WFC analyse le jeu de Luis de la Fuente et sur le statut de l'Espagne pour la Coupe du Monde.
Au-dessus du lot, l'Espagne a vaporisé la Turquie. Résumé tactique, et analyse des buts.
Plus de 3 ans après le début de la guerre en Ukraine immédiatement suivi de sanctions économiques internationales, Eco d'ici Eco d'ailleurs dresse le bilan d'une stratégie visant à limiter la capacité de financement de l'effort militaire russe tout en cherchant à épargner les populations civiles. Quelle efficacité ? Quelles limites ? Et quels contournements ? Des sanctions ciblées mais contournées
Plus de 3 ans après le début de la guerre en Ukraine immédiatement suivi de sanctions économiques internationales, Eco d'ici Eco d'ailleurs dresse le bilan d'une stratégie visant à limiter la capacité de financement de l'effort militaire russe tout en cherchant à épargner les populations civiles. Quelle efficacité ? Quelles limites ? Et quels contournements ? Des sanctions ciblées mais contournées
Allemagne, Serbie, Turquie... Fred Weis fait le tour des favoris de cet EuroBasket et s'interroge sur lequel il faut à tout prix éviter.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Grâce à son large succès face à l'Islande et à la défaite d'Israël contre la Slovénie, l'équipe de France s'est assurée la première place de son groupe. En huitièmes de finale, elle affrontera soit la Grèce, soit la Géorgie. Et si elle franchit ce premier obstacle, se dresseront alors les favoris : l'Allemagne, la Turquie ou la Serbie. Après cinq matchs de poule, Freddy Fauthoux a-t-il convaincu ? Que doit-il encore améliorer pour viser plus haut ? Notre consultant Fred Weis apporte des réponses.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Invité : - Jean-Claude Ghrénassia, fils d'Enrico Macias Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:14 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - De l'Égypte à l'Inde en passant par la Turquie, les collecteurs constituent un rouage essentiel de la collecte et du traitement des déchets. Ils n'en demeurent pas moins stigmatisés socialement et sont menacés par les réformes des filières formelles. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Rémi de Bercegol géographe, chercheur au CNRS affilié au laboratoire PRODIG (Pôle de recherche pour l'organisation et la diffusion de l'information géographique) et chef du département de sciences sociales de l'Institut Français de Pondichéry; Bénédicte Florin Maîtresse de conférences en géographie à l'université de Tours, rattachée à l'Équipe Monde arabe et Méditerranée du laboratoire de recherche CITERES (CItés, TERritoires, Environnement et Sociétés) et lauréate d'une chaire en médiation scientifique de l'Institut Universitaire de France (2025-2030) sur les questions liées aux déchets et au recyclage; Mathieu Durand géographe, professeur en aménagement du territoire et urbanisme à l'université du Mans, directeur-adjoint du réseau CNRS « Déchets, Valeurs et Sociétés » et du laboratoire ESO (Espaces et SOciétés)-Le Mans
C'est une ligne de fracture qui divise aussi l'Ukraine. L'Église orthodoxe est désormais plus que jamais déchirée dans le pays. En 2018, Kiev a voulu créer sa propre Église orthodoxe d'Ukraine, pour rompre avec l'Église orthodoxe russe et son patriarche Kirill trop proche de Poutine. Depuis, 2 000 paroisses ont rompu leurs liens avec Moscou. Mais ce n'est pas suffisant, une loi vient aujourd'hui permettre la poursuite en justice des congrégations qui se livreraient à de l'ingérence russe sur le territoire. Reportage dans la région de Kiev d'Emmanuelle Chaze. Et la fracture de l'Église ukrainienne a eu des répercussions mondiales. D'autant plus que le patriarcat de Constantinople, le plus important de tous, a reconnu le schisme. Une initiative assez inédite que les autres églises serbes, bulgares ou roumaines n'ont pas suivie en refusant de prendre position pour ou contre Moscou. La politique et les liens d'argent avec le pouvoir sont clairement les maux qui viennent aujourd'hui affaiblir l'Église orthodoxe. Et c'est l'un des thèmes du dernier livre de Jean-Arnault Dérens, Géopolitique de l'orthodoxie, comment expliquer que la deuxième confession du monde, avec 300 millions de fidèles, se tienne si proche des lieux de pouvoir. ► Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine est paru aux éditions Tallandier. À écouter aussi«Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine» de Jean-Arnault Dérens En Turquie, le blues des étudiants en droit C'est un nouveau coup judiciaire porté contre le principal parti d'opposition turc, le CHP. Après l'arrestation de sa figure de proue, le maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu en mars dernier, un tribunal vient d'invalider toute la nouvelle direction du Parti républicain du peuple. Alors que le pouvoir du président Erdogan étend chaque jour son emprise sur l'institution judiciaire, comment les jeunes étudiants en droit peuvent-ils envisager leur futur comme juge ou procureur dans un tel système ? C'est le reportage à Ankara d'Anne Andlauer. La chronique musique de Vincent Théval Better Way to Live de Kneecap
C'est une ligne de fracture qui divise aussi l'Ukraine. L'Église orthodoxe est désormais plus que jamais déchirée dans le pays. En 2018, Kiev a voulu créer sa propre Église orthodoxe d'Ukraine, pour rompre avec l'Église orthodoxe russe et son patriarche Kirill trop proche de Poutine. Depuis, 2 000 paroisses ont rompu leurs liens avec Moscou. Mais ce n'est pas suffisant, une loi vient aujourd'hui permettre la poursuite en justice des congrégations qui se livreraient à de l'ingérence russe sur le territoire. Reportage dans la région de Kiev d'Emmanuelle Chaze. Et la fracture de l'Église ukrainienne a eu des répercussions mondiales. D'autant plus que le patriarcat de Constantinople, le plus important de tous, a reconnu le schisme. Une initiative assez inédite que les autres églises serbes, bulgares ou roumaines n'ont pas suivie en refusant de prendre position pour ou contre Moscou. La politique et les liens d'argent avec le pouvoir sont clairement les maux qui viennent aujourd'hui affaiblir l'Église orthodoxe. Et c'est l'un des thèmes du dernier livre de Jean-Arnault Dérens, Géopolitique de l'orthodoxie, comment expliquer que la deuxième confession du monde, avec 300 millions de fidèles, se tienne si proche des lieux de pouvoir. ► Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine est paru aux éditions Tallandier. À écouter aussi«Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine» de Jean-Arnault Dérens En Turquie, le blues des étudiants en droit C'est un nouveau coup judiciaire porté contre le principal parti d'opposition turc, le CHP. Après l'arrestation de sa figure de proue, le maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu en mars dernier, un tribunal vient d'invalider toute la nouvelle direction du Parti républicain du peuple. Alors que le pouvoir du président Erdogan étend chaque jour son emprise sur l'institution judiciaire, comment les jeunes étudiants en droit peuvent-ils envisager leur futur comme juge ou procureur dans un tel système ? C'est le reportage à Ankara d'Anne Andlauer. La chronique musique de Vincent Théval Better Way to Live de Kneecap
La Turquie est un pays à majorité musulmane, mais compte de nombreuses églises et de nombreux endroits très symboliques pour le christianisme. À Istanbul, tous les premiers jours du mois, une église réputée pour ses miracles, accueille les locaux et les touristes de toutes les religions, qui font la queue pour pouvoir faire un vœu. Elle attire beaucoup de monde, peu importe les obéissances. De notre correspondante à Istanbul, Une file d'attente s'étire dans la rue à l'extérieur de l'église grecque orthodoxe. Tous les premiers du mois, Notre-Dame-de-Vefa ne désemplit pas : de nombreuses personnes viennent faire un vœu, symbolisé par une clef. Aigül est kazakhe, de passage à Istanbul. À ses côtés, sa mère tient deux clefs dans ses mains : l'année dernière, elle avait fait deux vœux qui se sont réalisés, alors elle est venue ramener ces clefs comme l'indique la tradition. De son côté, Aigül est venue faire un souhait à son tour : « Je me suis renseignée sur cet endroit et beaucoup de gens pensent que leurs rêves se sont vraiment réalisés. Alors, moi aussi, je veux voir si c'est vrai. C'est intéressant et ma mère m'a dit que ses rêves se sont réalisés, c'est pourquoi elle a donné des bonbons. » Comme elle, certaines personnes remontent la file en offrant des sucreries, car leur vœu s'est réalisé. Ici les croyances se mélangent, en témoignent quelques chaussures laissées à l'entrée de l'église, comme à l'entrée d'une mosquée. Mine est turque et c'est une habituée : « Je suis musulmane. Mais je fréquente cette église depuis de nombreuses années. J'essaie surtout de ne pas manquer les premiers jours du mois. Cela m'apporte la paix. J'ai l'impression d'être guérie. Je prie. Je prie dans ma propre langue, selon ma propre religion. Je dis qu'Allah est unique. Je prends de l'eau des sources d'Ayazma. Je m'en sers pour me laver le visage le matin. » L'église, dédiée à la Vierge Marie, est construite sur une source d'eau considérée comme sacrée et réputée pour ses miracles. Notre-Dame-de-Vefa dépend du patriarcat œcuménique de Constantinople. Pour le père Hieronymos Sotirelis, en plus d'être un endroit religieux symbolique, c'est aussi un exemple du vivre-ensemble : « Cela permet à l'humanité de se rassembler, d'une manière magnifique qui fait abstraction de toute politique, idéologie personnelle et tout ce qui s'y rapporte. Nous sommes tous simplement des enfants de Dieu, debout ensemble, attendant sa grâce dans une petite cour d'église. La personne derrière moi est orthodoxe, celle devant moi est musulmane, celle après elle est arménienne… c'est un magnifique reflet de ce que l'humanité peut être. » Pour le père, l'église Vefa est à l'image d'Istanbul, un mélange historique de communautés et de religions. Mais les chrétiens représentent aujourd'hui moins de 1 % de la population turque, témoins du douloureux passé de la communauté. À lire aussiL'Église orthodoxe dans les relations internationales
durée : 00:59:08 - Rituels et chants sacrés de la confrérie Bektachi dans la Turquie rurale - par : Aliette de Laleu - Dans cette première émission de la saison, l'universitaire Jérôme Cler nous emmène en Turquie où il a étudié pendant des décennies les musiques jouées dans les montagnes du sud ouest, entre paysannerie et chants sacrés des Bektachi. - réalisé par : Davy Travailleur Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La Turquie, un pays jeune qui s'est longtemps désintéressé de cette ultra-minorité que constituaient les séniors. Mais la baisse de la natalité, la hausse de l'espérance de vie commencent à changer la donne. Et surtout, les plus de 65 ans sont les plus impactés par la crise économique et l'hyperinflation qui touchent le pays. Près d'un quart d'entre eux sont considérés comme pauvres. Les retraités laissés pour compte. C'est le reportage à Ankara d'Anne Andlauer. (Rediffusion) Nouveaux débats autour des néonicotinoïdes Les néonicotinoïdes, ces pesticides qui déciment les abeilles, à nouveau au cœur du débat. La substance très controversée a fait l'objet d'un débat houleux, en France, cet été. En Roumanie, troisième plus grand exportateur de miel de l'Union européenne, au contraire, la justice a finalement interdit son usage sur le colza, le tournesol et le maïs. À Bucarest, Benjamin Ribout. La communauté gitane espagnole veut des droits C'est en Espagne qu'on trouve une des plus grandes communautés gitanes d'Europe. Une des plus anciennes aussi, 600 ans depuis l'arrivée des premiers migrants dans le pays, en provenance d'Égypte. Mais le 8 avril dernier, à l'occasion de la Journée mondiale du peuple gitan, la minorité a voulu donner de la voix. Rappeler qu'elle reste une des plus discriminées malgré le nombre des années passées sur le territoire. Reportage à Madrid de François Musseau. La chronique musicale de Vincent Théval Le groupe anglais Stereolab. Ceci est une réédition des meilleurs moments d'Accents d'Europe.
La Turquie, un pays jeune qui s'est longtemps désintéressé de cette ultra-minorité que constituaient les séniors. Mais la baisse de la natalité, la hausse de l'espérance de vie commencent à changer la donne. Et surtout, les plus de 65 ans sont les plus impactés par la crise économique et l'hyperinflation qui touchent le pays. Près d'un quart d'entre eux sont considérés comme pauvres. Les retraités laissés pour compte. C'est le reportage à Ankara d'Anne Andlauer. (Rediffusion) Nouveaux débats autour des néonicotinoïdes Les néonicotinoïdes, ces pesticides qui déciment les abeilles, à nouveau au cœur du débat. La substance très controversée a fait l'objet d'un débat houleux, en France, cet été. En Roumanie, troisième plus grand exportateur de miel de l'Union européenne, au contraire, la justice a finalement interdit son usage sur le colza, le tournesol et le maïs. À Bucarest, Benjamin Ribout. La communauté gitane espagnole veut des droits C'est en Espagne qu'on trouve une des plus grandes communautés gitanes d'Europe. Une des plus anciennes aussi, 600 ans depuis l'arrivée des premiers migrants dans le pays, en provenance d'Égypte. Mais le 8 avril dernier, à l'occasion de la Journée mondiale du peuple gitan, la minorité a voulu donner de la voix. Rappeler qu'elle reste une des plus discriminées malgré le nombre des années passées sur le territoire. Reportage à Madrid de François Musseau. La chronique musicale de Vincent Théval Le groupe anglais Stereolab. Ceci est une réédition des meilleurs moments d'Accents d'Europe.
C dans l'air du 22 août 2025 - Trump dans le piège de PoutinePoutine jubile, sans rien céder. Une semaine après sa rencontre avec Donald Trump en Alaska, le chef du Kremlin est replacé au centre du jeu diplomatique mondial. Mais rien n'avance sur le fond. La réunion trilatérale évoquée par Trump semble même s'éloigner. « Elle n'est pas à l'ordre du jour » a concédé le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov. Zelensky, lui, reste lucide en rappelant que la Russie « masse des troupes dans la partie occupée de la région de Zaporijia ». Il propose toutefois trois lieux possibles de rencontre avec Poutine : la Suisse, l'Autriche, ou la Turquie.De son côté, Trump reste flou, comme écartelé entre les deux camps. S'il dit non à une présence militaire américaine au sol, le locataire de la Maison blanche n'écarte plus un soutien aérien à l'Ukraine. Mais les résultats manquent sur cette paix qu'il avait pourtant promise « en 24h » une fois réélu. Son vice-président, J.D Vance, renvoie une partie de la responsabilité à l'Europe. Elle doit « assumer une plus grande part du fardeau » a-t-il affirmé.Le réveil européen, en tout cas, est bel et bien en cours. Le revirement stratégique américain a obligé le Vieux continent à repenser son autonomie en termes de défense. Une prise de conscience tardive nécessaire. Cette semaine, le chancelier allemand Friedrich Merz a même évoqué la participation de l'armée allemande à la sécurité de l'Ukraine en cas d'accord de paix. Un discours inédit dans ce pays de culture pacifiste.Pendant ce temps, les Ukrainiens réfugiés en France regardent les manœuvres diplomatiques avec lucidité, voire écoeurement lorsque Poutine est reçu par Trump sur un tapis rouge. C dans l'air est allé rencontrer certains d'entre eux installés en Normandie. Leur esprit reste tourné vers leurs proches restés au pays. S'ils aimeraient y retourner, ils ne se font pas d'illusions sur le long chemin qu'il reste à parcourir avant d'arriver à une paix durable.Alors, une rencontre Poutine - Zelensky aura-t-elle bientôt lieu ? Les Européens peuvent-ils rapidement gagner une autonomie stratégique ? Comment les réfugiés ukrainiens vivent-ils les derniers événements diplomatiques ? LES EXPERTS :ALBAN MIKOCZY - Grand Reporter à France Télévisions, ancien correspondant en RussieMARIE JÉGO - Journaliste au Monde, ancienne correspondante à MoscouANNIE DAUBENTON - Journaliste-essayiste, auteure de Ukraine, les métamorphoses de l'indépendanceJEAN-DOMINIQUE MERCHET - Éditorialiste à l'Opinion, spécialiste des questions de défense et diplomatie
Le Journal en français facile du mardi 12 août 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BuzI.A
Il y a huit mois, le 8 décembre 2024, une coalition de rebelles syriens prenait le pouvoir à Damas, mettant fin à un demi-siècle de règne de la famille Assad. Ravagée par onze ans de guerre, la Syrie d'aujourd'hui affronte d'immenses défis. Une grande partie de sa population vit en exil, notamment en Turquie, qui a accueilli jusqu'à quatre millions de réfugiés. Depuis l'instauration d'un nouveau régime à Damas, une petite partie d'entre eux a fait le choix de rentrer en Syrie. Mais la très grande majorité continue à vivre en Turquie, tiraillée entre le désir de retrouver leur pays et les doutes sur son avenir. De notre correspondante à Ankara, Cette voix rieuse au bout du fil, c'est celle de Hibe, Syrienne réfugiée en Turquie, le 8 décembre 2024, matin de la chute de Bachar el-Assad. « S'il y a quelque chose au-delà du bonheur, c'est ça que je ressens. J'ignore comment et par qui notre pays va être dirigé maintenant. Mais peu importe, puisque le tyran est parti. Nous, inch'Allah, nous allons rentrer très bientôt », espérait-elle alors. Près de huit mois plus tard, Hibe est toujours là, assise dans la cafétéria d'une clinique d'Ankara où elle vient juste d'être embauchée comme traductrice. Elle explique qu'elle est tiraillée entre son cœur qui lui dit de partir et sa tête qui lui dit de rester. « Jamais, je n'aurais imaginé qu'il serait si difficile de prendre la décision de rentrer en Syrie. Mais les nouvelles ne sont pas bonnes. La Syrie n'est pas un lieu sûr. Israël a bombardé Damas, il y a eu les violences à Soueïda. Quand on voit ça, comment rentrer ? Comment rentrer avec des enfants ? La plupart des Syriens en exil pensent comme moi. Avec un groupe d'amis, on s'était dit qu'on rentrerait cet été, pendant les vacances scolaires. Finalement, personne n'est parti, à part un seul de mes amis. Il m'a appelé d'Alep l'autre jour. Il m'a dit : "Hibe, ne viens pas, surtout pas" », confie-t-elle. À Alep, où elle est née, qu'elle a quitté il y a 13 ans, Hibe n'a plus rien. Sa maison est détruite, toute sa famille a fui. En Turquie, elle a un logement, un travail et surtout deux enfants, nés et scolarisés ici. Et puis son mari, Syrien, vit en Autriche depuis trois ans. Il y a l'espoir, même très mince, qu'il parvienne à les faire venir. À 31 ans, Hibe voudrait enfin regarder devant elle. « Je suis fatiguée, j'ai l'impression que notre avenir n'a jamais été aussi incertain. Combien de fois dans une vie peut-on repartir de zéro ? », s'interroge-t-elle. Selon les autorités turques, environ 300 000 Syriens sont rentrés de leur plein gré depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, contre 2,7 millions qui vivent toujours dans le pays. Trois cent mille, c'est relativement peu, mais cela ne surprend pas Burçak Sel, cofondatrice de Dünya Evimiz, une association d'aide aux réfugiés à Ankara. « Même si la Syrie a un dirigeant et un pouvoir qui la représentent, il y a aussi un grand vide d'autorité. Le pays n'est pas sous contrôle. Les besoins élémentaires en eau, électricité, logement ne sont pas garantis. Il faudra des années pour réparer et retrouver la stabilité. Les Syriens le savent, c'est pour ça qu'ils restent en Turquie alors même que leurs conditions de vie, à cause de l'inflation et du racisme, y sont de plus en plus difficiles. » Burçak Sel estime qu'Ankara devra trouver un nouveau statut pour les Syriens qui restent, la loi actuelle ne leur accordant qu'une « protection temporaire ». C'est notamment le cas de 1,3 million d'enfants, dont l'immense majorité est née en Turquie et n'a jamais vu la Syrie. À lire aussiSyrie: plus de deux millions de déplacés rentrés chez eux depuis la chute de Bachar el-Assad, selon l'ONU
C dans l'air l'invitée du 8 août avec Agnès Levallois, présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO) et auteure de Le Livre noir de Gaza (Seuil)Émission présentée par Salhia BrakhliaDans la nuit du 7 au 8 août 2025, le cabinet de sécurité israélien a approuvé un plan militaire pour prendre le contrôle de Gaza. Défendu par Benyamin Netanyahu, ce plan s'articule autour de cinq objectifs : désarmer le Hamas, libérer les otages, démilitariser le territoire, instaurer un contrôle sécuritaire israélien et mettre en place une administration civile indépendante, ni affiliée au Hamas, ni à l'Autorité palestinienne. L'opération débuterait par la ville de Gaza, où près d'un million de Palestiniens tentent encore de survivre. Le Hamas avertit que cette "aventure criminelle" coûtera cher à l'armée israélienne et entraînera le "sacrifice" des otages.L'annonce de ce plan a déclenché des réactions internationales fortes. L'ONU a demandé à le stopper "immédiatement". Le Royaume-Uni, la Turquie et la Chine dénoncent une escalade dangereuse et appellent à la retenue. L'Allemagne, pour sa part, suspend ses exportations d'armes susceptibles d'être utilisées dans la bande de Gaza. En Israël, la contestation gagne les plus hauts niveaux de l'appareil d'État. Près de 600 anciens hauts responsables, ex-chefs du Mossad, diplomates, généraux, lancent l'alerte : "Cette guerre a cessé d'être juste et fait perdre à Israël son identité."Ce tournant militaire interroge sur les véritables intentions de Benyamin Netanyahu, alors que plusieurs pays européens, dont la France, première à s'être engagée, s'apprêtent à reconnaître officiellement l'État de Palestine.Que sait-on précisément de ce plan ? Et qui peut encore freiner Benyamin Netanyahu ?Agnès Levallois, présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, fera le point sur le projet de Benyamin Netanyahu, qui vise à prendre le contrôle de la ville de Gaza.
Au Tchad, Succès Masra, ancien Premier ministre et chef du principal parti d'opposition a été condamné à vingt ans de prison ferme. Il a été reconnu coupable de "diffusion de message à caractère haineux et xénophobe" et de "complicité de meurtre" dans le cadre du drame de Mandakao où 42 personnes ont été tuées en mai dans un conflit inter-communautaire.