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Dans cette édition :Le président Emmanuel Macron convoque une réunion au sommet à l'Élysée pour faire le point sur la lutte contre le narcotrafic, notamment la situation à Marseille après l'assassinat d'un militant écologiste.La France et l'Ukraine signent une lettre d'intention pour l'achat de 100 avions de combat Rafale, un accord historique dont le financement reste cependant très incertain.Emmanuel Macron se rend à Berlin pour un débat sur la souveraineté numérique européenne et pourrait en profiter pour rendre visite à l'écrivain Boilem Sansal toujours hospitalisé en Allemagne.Au Royaume-Uni, le nouveau gouvernement travailliste annonce un tour de vis sévère sur les conditions d'accueil et de protection des réfugiés.Les Nations Unies approuvent le plan de paix de Donald Trump pour Gaza, rejeté par le Hamas.Une exposition sur les dragons, créatures légendaires d'Asie, ouvre ses portes au musée du Quai Branly à Paris.Le jeune prodige français de basket Victor Wembanyama est blessé au mollet et sera éloigné des parquets pendant 2 à 3 semaines.Le conflit entre Kylian Mbappé et le Paris Saint-Germain sera tranché par le tribunal des prud'hommes le 16 décembre, avec des montants vertigineux en jeu.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Paul Amar, ancien de France Télévisions - Louis de Raguennel, journaliste politique - Eric Revel, journaliste - Jean-Michel Salvator, journaliste - Marc Fiorentino, économiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Direction l'Afghanistan au troisième jour d'opération de secours après les séismes de ces derniers jours. Le bilan est extrêmement lourd : déjà plus de 1.400 morts recensées et plus de 3.000 blessés, et les Nations Unies s'inquiètent du sort des femmes dans ce pays aux mains des talibans.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:59 - Journal de 8 h - "C'est la famine, la famine de Gaza", la déclaration de l'ONU hier, selon un rapport de l'IPC, une agence onusienne spécialisée dans la sécurité alimentaire. Benyamin Nétanyahou contestant ce constat.
durée : 00:06:59 - Journal de 8 h - "C'est la famine, la famine de Gaza", la déclaration de l'ONU hier, selon un rapport de l'IPC, une agence onusienne spécialisée dans la sécurité alimentaire. Benyamin Nétanyahou contestant ce constat.
durée : 00:06:59 - Journal de 8 h - "C'est la famine, la famine de Gaza", la déclaration de l'ONU hier, selon un rapport de l'IPC, une agence onusienne spécialisée dans la sécurité alimentaire. Benyamin Nétanyahou contestant ce constat.
Les Nations Unies ont acheminé 75 000 litres de carburant dans la bande de Gaza, marquant la première livraison depuis plus de quatre mois. Une quantité jugée largement insuffisante face aux besoins critiques du territoire, toujours sous blocus et en proie à une grave crise humanitaire.
« Kenscoff, localité crucifiée », met à la Une l'agence Alterpresse. Le bureau intégré de l'ONU en Haïti (Binuh) dresse le bilan des violences commises entre le 27 janvier et le 27 mars 2025 à Kenscoff, dans la périphérie sud de Carrefour. Le constat est dramatique : 262 morts, 66 blessés, des cas de violences sexuelles, de kidnappings, plus de 190 maisons saccagées et incendiées, 7 000 déplacés. « Les gangs ont fait preuve d'une brutalité extrême, cherchant à semer la peur au sein de la population », souligne Peter Gotson, directeur de l'agence Alterpresse, en citant le rapport des Nations unies. « Une éventuelle prise d'otage de Kenscoff mettrait en difficulté Pétionville où s'établissent de nombreux commerces, bureaux et ambassades », poursuit le journaliste haïtien.Est-il trop tard pour renverser la vapeur ? « Si rien n'est fait rapidement, la situation risque de devenir irréversible, avec Haïti sombrant dans un chaos total. Mais avec une stratégie cohérente et du soutien international et local, le pays pourrait encore se relever », met en exergue Peter Gotson, renvoyant vers un article de la journaliste Nancy Roc.Haïti bloque l'importation de marchandises ayant transité par la République dominicaineLes produits importés devront désormais entrer par les ports haïtiens et non plus transiter par camion, arrivant en République dominicaine avant de passer par camion la frontière terrestre entre les deux pays, qui se partagent l'île d'Hispaniola.« Cette mesure n'affecte en rien le commerce entre Haïti et la République dominicaine, mais uniquement les conteneurs en transit, notamment venant de Miami aux États-Unis. Ces conteneurs transitent par la République dominicaine avant d'arriver en Haïti. Les saisies effectuées ces derniers temps ont révélé la présence d'armes dans ces conteneurs », commente Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse.Aux États-Unis, les exécutions de prisonniers en baisseLe nombre d'exécutions dans le monde est en hausse, d'après le dernier rapport d'Amnesty International, contrairement aux États-Unis. Mais le président Donald Trump a signé, à son arrivée à la Maison Blanche, un décret pour renforcer l'usage de la peine capitale au niveau fédéral. Cela concerne en particulier les condamnés pour meurtres de policiers ou les crimes commis par des étrangers en situation irrégulière. Une douzaine d'États américains procèdent à des exécutions.« Dans ces États, les responsables politiques ont fini par admettre que la peine capitale n'a pas d'effet dissuasif. Il y a quelques années, un sondage auprès des officiers de la police a révélé que la peine de mort arrivait en toute dernière position des moyens jugés efficaces pour lutter contre les crimes violents. Et puis c'est aussi une question de coût : des États comme New York ou le New Jersey – qui ont fini par abolir la peine de mort – avaient dépensé des millions pendant des années… sans exécuter personne », indique Corinna Lain, professeure de droit à l'Université de Virginie au micro de notre journaliste Achim Lippold.Depuis le début de l'année 2025, dix personnes ont été exécutées aux USA. Un chiffre dans la moyenne de ces dernières années.Le Salvadorien expulsé par erreur des États-Unis toujours détenu dans une méga-prisonÂgé de 29 ans, Kilmar Abrego Garcia se trouve aujourd'hui au Salvador. Un juge avait ordonné son retour aux États-Unis avant lundi, minuit, mais la Cour suprême a bloqué la décision. C'est un exemple emblématique des procédures judiciaires entourant la politique migratoire drastique du président américain.De son côté, le média indépendant ProPublica a enquêté sur ce qu'il se passe à bord des avions renvoyant les migrants expulsés. Au cœur de l'ICE Air, les personnels navigants des avions disent « ce n'est qu'une question de temps » avant un désastre. L'article nous amène à bord d'un vol au-dessus du Mexique. Une petite fille fait un malaise, elle suffoque. Pour lui venir en aide, une hôtesse de l'air, qui témoigne anonymement dans le papier, déroge au règlement en adressant la parole à la famille.Au fil des témoignages recueillis par ProPublica, on apprend que, loin de l'efficacité militaire mise en avant par la Maison Blanche, ces expulsions se font via des vols charters, civils, de la compagnie Global Crossing. « Ils ne nous ont pas dit que ces gens allaient être attachés des poignets jusqu'aux foutues chevilles », s'énerve un employé, inquiet aussi pour la sécurité en cas d'évacuation.Quant à la petite fille malade, son vol a fait demi-tour. L'hôtesse de l'air, qui a aujourd'hui démissionné, n'a jamais su si l'enfant avait survécu. L'article se termine sur le témoignage de l'employée : « J'ai pleuré après tout ça ».En Argentine, les soubresauts de la bourse mondiale scrutés de prèsDans un panorama mondial « turbulent » et « énigmatique », nous dit La Nacion, l'horizon reste « mystérieux » pour l'Argentine. Des réactions en chaine pourraient arriver, explique l'éditorialiste argentin, qui écrit au conditionnel. Par exemple : l'inflation aux États-Unis renforcerait le dollar, le peso argentin resterait plus fort qu'il ne l'est, freinant la production de richesse, avec, in fine, un risque de détruire des emplois.« En Argentine, le dollar, l'inflation, l'économie et le soutien au président Javier Milei dépendent les uns des autres », poursuit La Nacion. L'éditorialiste se demande aussi comment une pénurie de dollars influerait sur le futur accord entre l'Argentine et le FMI, craignant, toujours avec des « si » que l'accord mène à déréguler le taux de change, faisant grimper les prix. Tout le contraire des promesses de Javier Milei à ses électeurs, donc. Or, comme le note de son côté le média Pagina12, « l'inflation est redevenue le problème numéro 1 ».
La situation à Gaza reste extrêmement tendue. Israël a coupé l'électricité et restreint l'ensemble de l'aide humanitaire. Pendant ce temps, les frappes israéliennes continuent, causant de nouvelles pertes civiles… Dans le même temps, des pourparlers sont en cours au Qatar. Mais les divergences entre les parties compliquent un accord durable. Les Nations Unies et plusieurs pays dénoncent l'utilisation de la famine comme arme de guerre, tandis qu'Israël envisage des mesures radicales, comme l'expulsion des Palestiniens de Gaza. Pour en parler, nous recevons Paul Elek, chroniqueur régulier au Média et Meriem Laribi, journaliste indépendante et autrice de “Ci-gît l'humanité”, aux éditions Critiques.▶ Soutenez Le Média :
Les Nations unies s'inquiètent fortement de la situation à Gaza, notamment celle de la population civile, alors qu'Israël a coupé le week-end dernier la distribution d'électricité. Après le blocage des camions d'aide humanitaire et du carburant depuis plus d'une semaine, la décision prise dimanche 9 février par Israël vise à accroître la pression sur le Hamas.
durée : 00:02:25 - Bientôt chez vous - Aux États-Unis, l'Alabama continue d'expérimenter l'exécution à l'azote, une méthode controversée jugée moins douloureuse, mais critiquée pour ses effets déstabilisants. Alors que la peine de mort est en recul dans le pays, le débat sur son efficacité et ses implications humaines persiste.
Les Nations Unies célèbrent lundi 2 décembre la Journée internationale pour l'abolition de l'esclavage. L'esclavage moderne se produit dans presque tous les pays du monde et transcende les frontières ethniques, culturelles et religieuses.A l'occasion de cette journée, un jeune reporter de notre partenaire Eco Radio du collège Vincent Van Gogh, à Blénod-lès-Pont-à-Mousson, en France, Romain Marchal (avec Albin Cordary et Amjad El Mahi à la technique) a réalisé un entretien sur l'histoire de l'esclavage avec Gabriela Ramos, Sous-Directrice générale pour les sciences sociales et humaines de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).Dans cet entretien, Mme Ramos souligne combien il est important de sensibiliser la jeunesse à l'histoire de l'esclavage, mettant en avant le programme de l'UNESCO intitulé « Les routes des personnes mises en esclavage » qui a fêté cette année ses 30 ans.
durée : 00:03:07 - Géopolitique - Les Nations Unies souffrent de leur absence d'efficacité et d'une légitimité en berne faute de réforme ; reste donc le G20, le dernier club où les puissances opposées peuvent encore se parler, en attendant Donald Trump et son « America First ». Après est une autre histoire.
La tension monte encore au Proche-Orient en dépit des multiples appels à la retenue de la communauté internationale. Les échanges de tirs ont gagné en intensité depuis la vague d'explosions spectaculaires des appareils de transmission du Hezbollah qui a fait 39 morts et 2 931 la semaine dernière. Des dizaines de morts et des centaines de blessés dans les frappes israéliennes sur le sud du Liban ce lundi matin 23 septembre, le plus lourd bilan en près d'un an de violences. Cette escalade militaire fait redouter une guerre plus large et la question occupera une bonne partie de l'Assemblée générale de l'ONU cette semaine. L'analyse de Frédéric Charillon, professeur des universités en science politique, ancien directeur de l'Irsem. Frédéric Charillon est l'auteur de Guerres d'influence (éditions Odile Jacob)
L'année dernière, une personne sur cinq a souffert de la faim en Afrique. Le rapport annuel sur l'état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde montre que les niveaux de sous-alimentation sont comparables à ceux d'il y a quinze ans. En cause notamment, un manque de financement. C'est pourquoi le Fida en charge du financement des projets des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture cherche des solutions innovantes. Pour atteindre l'objectif « faim 0 » dans le monde d'ici 2030, l'organisation estime qu'il faut investir 480 millions de dollars par an. « Traditionnellement, le Fida est financé uniquement par les contributions des États membres, explique Natalia Toschi, responsable de l'unité financements du Fida (Fonds international de développement agricole), l'argent en provenance des États membres stagne autour de 5% du total de l'aide publique au développement. Et cela est bien sûr dû au fait qu'il y a de nombreuses priorités qui se percutent et pour lesquelles les États membres doivent investir. Il y a des guerres, il y a des crises migratoires. L'agriculture a aussi été considérablement sous-financée. »« Imaginer des nouveaux instruments »Il faut donc innover. En 2020, le Fida devient la première institution des Nations à recevoir une notation de crédit sur les marchés. Et en 2022, il émet ses premières obligations durables. « Notre innovation participe à imaginer des nouveaux instruments pour pouvoir investir dans le secteur rural, détaille Bernard Hien, le directeur régional Afrique de l'Ouest et du Centre du Fida, et ces instruments nouveaux, ça peut être par exemple les obligations durables. Le Fida est la première institution spécialisée des Nations unies à recevoir une notation de crédit et à émettre des obligations durables. Nous l'avons commencé en 2022 et jusque-là, nous avons levé 480 millions de dollars auprès des fonds de pension et des assurances. Aujourd'hui même, en réalité, nous avons émis notre première obligation nutrition de 50 millions avec un partenariat avec une mutuelle d'assurance japonaise. Donc ça va nous permettre de mieux prendre en compte les questions de malnutrition dans le projet et de mieux accompagner les pays. Il y a d'autres innovations en matière de financement. Ce n'est pas des instruments d'atténuation des risques ça ? Par exemple les garanties, les financements mais que les cofinancements, les co-investissements donc voilà autant de possibilités qui peuvent accompagner les États. »Recours au secteur privéL'objectif est d'attirer le secteur privé à investir dans l'agriculture et les activités rurales. Il existe, pour cela, plusieurs leviers possibles. « Les gestionnaires d'actifs ont de manière croissante un objectif explicite d'investissement dans des titres sécurisés et qui respectent les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance, poursuit Natalia Toschi, nos investisseurs typiques sont des fonds de pension, des compagnies d'assurance, qui ont très souvent un mandat social. » Les investisseurs veulent connaître l'impact de l'argent qu'ils nous prêtent. Les projets de la Fida soutiennent 16 des 17 objectifs de développement durables. Et nous disposons d'un cadre de finance durable qui est aligné sur les principes de l'Association internationale des marchés des capitaux.Pour plus d'efficacité, le Fida expérimente des instruments d'atténuation des risques pour l'investissement, des garanties, des financements de type mixte. Si la tendance n'est pas renversée, le Fida estime que le coût de la malnutrition dans le monde coûtera 12 000 milliards de dollars à la communauté internationale.
De nombreux migrants ont été arrêtés dans plusieurs villes tunisiennes la semaine dernière. Une politique migratoire qui préoccupe au plus haut niveau, l'ONU a déclaré vendredi s'inquiéter de l'augmentation des discours xénophobes et des exactions commises contre les migrants ces derniers mois. Au Soudan, le conflit a paralysé le système de santé du pays avec près de 80% des hôpitaux hors service alors que deux tiers de la population n'a pas accès au soins. Enfin nous allons à la rencontre de Sona Jobarteh talentueuse joueuse de Kora. L'artiste gambienne a ouvert en 2015 la Gambia Academy pour former une nouvelle génération de musiciens.
Le Parlement britannique a adopté cette nuit la loi « Safety of Rwanda ». Un texte qui va permettre à Londres d'expulser une partie des demandeurs d'asile entrés illégalement vers Kigali. Les Nations Unies considèrent que ce vote entrave sérieusement les droits de l'homme au Royaume-Uni. Que dit la loi exactement ? Quel est l'objectif ? Est-ce que le Rwanda a déjà signé l'accord ? Explications avec Bénédicte Tassart, cheffe du service international de RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Le Parlement britannique a adopté cette nuit la loi « Safety of Rwanda ». Un texte qui va permettre à Londres d'expulser une partie des demandeurs d'asile entrés illégalement vers Kigali. Les Nations Unies considèrent que ce vote entrave sérieusement les droits de l'homme au Royaume-Uni. Que dit la loi exactement ? Quel est l'objectif ? Est-ce que le Rwanda a déjà signé l'accord ? Explications avec Bénédicte Tassart, cheffe du service international de RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Le Parlement britannique a adopté cette nuit la loi « Safety of Rwanda ». Un texte qui va permettre à Londres d'expulser une partie des demandeurs d'asile entrés illégalement vers Kigali. Les Nations Unies considèrent que ce vote entrave sérieusement les droits de l'homme au Royaume-Uni. Que dit la loi exactement ? Quel est l'objectif ? Est-ce que le Rwanda a déjà signé l'accord ? Explications avec Bénédicte Tassart, cheffe du service international de RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Le Parlement britannique a adopté cette nuit la loi « Safety of Rwanda ». Un texte qui va permettre à Londres d'expulser une partie des demandeurs d'asile entrés illégalement vers Kigali. Les Nations Unies considèrent que ce vote entrave sérieusement les droits de l'homme au Royaume-Uni. Que dit la loi exactement ? Quel est l'objectif ? Est-ce que le Rwanda a déjà signé l'accord ? Explications avec Bénédicte Tassart, cheffe du service international de RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
durée : 00:03:14 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le ton ne cesse de monter entre l'ONU et Israël, malgré la publication d'un rapport onusien confirmant les accusations de violences sexuelles du Hamas le 7 octobre. C'est une longue histoire de défiance et de légitimité, qui resurgit dans la crise actuelle.
durée : 00:03:14 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le ton ne cesse de monter entre l'ONU et Israël, malgré la publication d'un rapport onusien confirmant les accusations de violences sexuelles du Hamas le 7 octobre. C'est une longue histoire de défiance et de légitimité, qui resurgit dans la crise actuelle.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le Secrétaire Général de l'ONU pousse un cri d'alarme sur la situation à Gaza et s'attire les foudres d'Israël. Mais son initiative relance la dynamique en faveur d'un cessez-le-feu, et, surtout, attire l'attention sur la nécessité de réformer la gouvernance mondiale en faillite.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le Secrétaire Général de l'ONU pousse un cri d'alarme sur la situation à Gaza et s'attire les foudres d'Israël. Mais son initiative relance la dynamique en faveur d'un cessez-le-feu, et, surtout, attire l'attention sur la nécessité de réformer la gouvernance mondiale en faillite.
durée : 00:20:09 - Journal de 18h - Les Nations Unies envisagent de suspendre leurs activités dans l'enclave palestinienne si Israël continue à bloquer les livraisons de carburant. Ce soir, les chars israéliens seraient positionnés autour de l'hôpital al-Shifa où des milliers de civils fuyant les combats ont trouvé refuge.
durée : 00:20:09 - Journal de 18h - Les Nations Unies envisagent de suspendre leurs activités dans l'enclave palestinienne si Israël continue à bloquer les livraisons de carburant. Ce soir, les chars israéliens seraient positionnés autour de l'hôpital al-Shifa où des milliers de civils fuyant les combats ont trouvé refuge.
C dans l'air du 14 octobre - Guerre au Proche-Orient, France en "urgence attentat" La France est passée en alerte "urgence attentat", le niveau le plus élevé du plan Vigipirate, après l'attaque terroriste qui s'est déroulée hier matin dans un lycée d'Arras dans le Pas-de-Calais. Le professeur de Lettres Dominique Bernard a été poignardé à mort en voulant s'interposer pour protéger ses élèves, trois autres personnes ont été blessées en tentant d'arrêter l'assaillant dans l'établissement scolaire. Interpellé rapidement par les policiers, l'auteur présumé de l'attaque au couteau a été placé en garde à vue. Le parquet national antiterroriste a ouvert une enquête. Que sait-on du suspect ? Âgé de 20 ans, le jeune homme, de nationalité russe, originaire d'Ingouchie, n'était pas inconnu des services de renseignement. Fiché S pour radicalisation début octobre, il était sous surveillance et sur écoute téléphonique par la DGSI. La veille de l'attaque il avait même été contrôlé par des policiers pour s'assurer qu'il ne portait pas d'armes. Selon le ministre de l'Intérieur, rien ne pouvait permettre d'anticiper son passage à l'acte. Mais pour le parquet antiterroriste il s'agit bien d'un acte prémédité. Dès hier, une enquête pour "assassinat terroriste" a été ouverte. Neuf autres personnes sont placées ce samedi en garde à vue dont deux de ses amis originaires de Biélorussie et plusieurs membres de sa famille, sa sœur, sa mère, son oncle et deux de ses frères : le plus jeune interpellé hier à proximité d'un autre établissement scolaire et l'ainé qui a été extrait de la prison de la Santé où il est détenu pour "association de malfaiteurs terroristes". Il a été condamné en avril dernier pour un projet d'attentat qui visait l'Elysée. Sur les réseaux sociaux les trois frères correspondaient avec leur père expulsé en Russie en 2018. L'enquête qui ne fait que commencer cherche notamment à déterminer si l'assaillant a agi seul. Pour l'instant peu d'informations filtrent des auditions. Au journal de 20 heures de TF1, le ministre de l'Intérieur a défendu l'action de l'État, en particulier des services de sécurité, affirmant : "On a déjoué 43 attentats. Depuis samedi, depuis les massacres en Israël, nous avons interpellé 12 personnes. Aujourd'hui encore, nous avons su interpeller un homme qui aurait pu passer à l'acte" dans les Yvelines. "Il faut beaucoup de fermeté, notamment contre les étrangers délinquants", a encore estimé Gérald Darmanin, rappelant que 795 fichés S étrangers ont été expulsés du territoire français."Ça fait quinze ans que la loi française, malheureusement, empêche le ministre de l'Intérieur d'expulser les personnes qui sont arrivées avant treize ans sur le territoire national (…) si la loi immigration est votée, elle me permettra d'expulser tous ceux qui, même arrivés à l'âge de deux ou trois ans, sont étrangers et méritent de retourner dans leur pays d'origine parce qu'ils ne respectent pas les règles de la République" a expliqué le ministre en référence à la situation de l'assaillant arrivé en France à l'âge de cinq ans. "D'après nos informations, il y a un lien malheureusement entre ce qu'il s'est passé sans doute au Proche-Orient et le passage à l'acte", a enfin déclaré Gérald Darmanin. Le pays est à nouveau placé en alerte "urgence attentat" en raison notamment des craintes d'importation du conflit entre Israël et le Hamas sur le territoire national. Une mesure qui permet le déploiement de davantage de militaires dans le cadre de l'opération Sentinelle alors qu'au Proche-Orient l'offensive terrestre de Tsahal en territoire palestinien semble imminente. Après avoir fixé un délai de 24 heures qui a expiré dans la nuit de vendredi à samedi, l'armée israélienne a de nouveau recommandé ce samedi à la population de la ville de Gaza de "ne pas tarder" à évacuer leurs habitations et d'aller vers le sud du territoire. Les Nations Unies qui craignent des conséquences humanitaires terribles ont averti hier que Gaza était en train de devenir un "enfer" et se trouvait "au bord de l'effondrement". Au même moment, les yeux se tournent aussi vers la frontière entre Israël et le Liban où la tension monte. Durant les dernières quarante-huit heures il y a eu des tentatives d'infiltrations neutralisées par des frappes aériennes de l'armée israélienne. Un journaliste de Reuters a été tué vendredi dans un village du sud du Liban, quatre autres ont été blessés. Ce samedi, l'armée libanaise a accusé Israël d'être responsable du tir. "L'ennemi israélien a tiré une roquette qui a visé une voiture civile de presse", peut-on lire dans un communiqué. "Cela a conduit à la mort du journaliste vidéo Issam Abdallah". Un peu plus tôt, l'armée israélienne s'était dit "très désolée" de la mort du journaliste lors d'un point presse de son porte-parole, sans reconnaître explicitement la responsabilité de sa mort. Nos journalistes sont au Liban depuis plusieurs jours pour essayer de décrypter la situation. Leur reportage sera diffusé ce soir dans #cdanslair. LES EXPERTS : - Marc HECKER - Directeur de recherche à l'IFRI, co-auteur de La guerre de vingt ans - Yves THREARD - Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction - Le Figaro - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de La France sous nos yeux - Rym MOMTAZ - Chercheuse en géopolitique, Institut international pour les études stratégiques (IISS) DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 13 octobre - Arras : le terrorisme islamiste au lycée Une attaque terrible a eu lieu ce vendredi 13 octobre, aux alentours de 11 heures, au lycée Gambetta, en plein cœur d'Arras. Un homme armé d'un couteau a tué un professeur de Lettres et blessé gravement deux autres personnes. L'auteur présumé a été interpellé par les forces de l'ordre. Il s'agit d'un homme de vingt ans d'origine Tchétchène de nationalité russe, fiché S pour radicalisation suivi activement par la DGSI. Selon les enquêteurs, il aurait crié "Allah Akhbar" au moment des faits. Son frère, plus jeune, a lui aussi été arrêté. Le parquet national antiterroriste a été saisi. Dans tout le pays, c'est le choc et l'effroi. A l'Assemblée nationale, les députés ont suspendu leurs travaux pour exprimer leur solidarité avec la communauté éducative et aux victimes. Le président de la République s'est rendu sur place avec le ministre de l'Intérieur et le ministre de l'Education nationale. "Presque 3 ans jour pour jour après l'assassinat de Samuel Paty, c'est à nouveau dans une école que frappe la barbarie du terrorisme islamiste", a déclaré le chef de l'Etat. "Je suis là pour témoigner du soutien de la nation (…) Pour dire que nous faisons bloc et que nous tenons debout" a affirmé Emmanuel Macron avant d'appeler à "ne pas céder à la terreur". Le président de la République a également indiqué qu'une autre tentative d'attentat a été déjouée aujourd'hui. Cette attaque est survenue seulement trois jours avant la date commémorative de l'assassinat de Samuel Paty, professeur d'histoire et géographie, tué le 16 octobre 2020 à la sortie d'un collège de Conflans-Sainte-Honorine, et une semaine après les évènements tragiques au Proche-Orient. Hier soir dans une allocution télévisée, Emmanuel Macron était revenu sur la gravité de l'attaque du Hamas en Israël, où plusieurs Français ont été tués et enlevés, et avait appelé à l'"unité" nationale pour éviter l'importation du conflit en France. "N'ajoutons pas des fractures nationales aux fractures internationales et ne cédons rien à toute forme de haine", avait-il averti alors que le ministère de l'Intérieur a recensé plus de 100 actes antisémites en six jours et que l'inquiétude grandit au sein de la communauté juive en France. Beaucoup de citoyens de confession juive redoutent des tensions et expriment leur peur de voir les actes antisémites augmenter dans l'Hexagone tandis qu'au Proche-Orient le Hamas a décrété ce vendredi "jour de colère" et l'armée israélienne se prépare à une opération militaire terrestre à Gaza. Les autorités israéliennes ont donné 24 heures à tous les habitants du nord de la bande de Gaza pour fuir vers le sud. Les Nations Unies craignent des conséquences humanitaires terribles. LES EXPERTS : - MATHIEU DELAHOUSSE - Grand reporter - L'Obs - AUDREY GOUTARD - Cheffe du service Enquête et reportage - France Télévisions - ANNE ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express - DRISS AÏT YOUSEF - Docteur en droit public, spécialiste des questions de sécurité globale DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans l'extrême-sud irakien, là où les températures ont dépassé les 50°C cet été, et où la principale source d'eau, le Shatt el-Arab, récolte toutes les pollutions accumulées sur le trajet du Tigre et de l'Euphrate, l'eau y est toxique à bien des égards pour la population. De notre correspondante à Bagdad,Depuis la corniche flambant neuve de Bassora, malgré la chaleur, difficile d'imaginer piquer une tête dans le Shatt el-Arab.Les eaux du Tigre et de l'Euphrate se rejoignent à quelques kilomètres en amont. Pétrole, déchets industriels et domestiques, ainsi que les eaux usées de tout le pays s'y retrouvent mélangées.Badr Mohsen et son ami s'y baignent pourtant et pêchent. « Une partie pourra être vendue, et une autre ne sera d'aucune utilité. Les poissons sont contaminés par la pollution. Ma famille est déjà tombée malade à cause du poisson. Ça donne des diarrhées, des nausées et des maux de tête, parce que les poissons vivent dans une eau contaminée », explique Badr Mohsen.À écouter aussiÀ Bagdad, la santé des habitants en jeuLe Shatt el-Arab, « une décharge qui collecte tous les déchets »Le professeur Ali Nasser, chercheur à l'université de Bassora, acquiesce en l'écoutant. Depuis des années, il scrute la composition du fleuve. Armé d'une bouteille en plastique, il prélève de l'eau du Shatt el-Arab.« Le Shatt el-Arab devient une décharge qui collecte tous les déchets, les drainages agricoles, du nord de l'Irak, et même de la Turquie. Nous avons des maladies qui se diffusent comme les coliques et le choléra », observe-t-il.Les polluants peuvent aussi être des métaux lourds comme le cadmium, le nickel, le plomb, du manganèse, cancérigènes, neurotoxiques ou sources d'intoxications multiples…À écouter aussiÀ Kirkouk, les eaux empoisonnées par les rejets pétroliersCercle vicieuxÀ Bassora, les poisons sont donc nombreux dans l'eau. Dans son laboratoire, Shiamaa Shaker, biologiste basrawi, soumet régulièrement des prélèvements à une batterie de tests. « Quand le niveau des cours d'eau est haut, cela permet une dilution des composants polluants, mais quand les niveaux baissent, cela mène à une augmentation de la concentration de la pollution, et une de ces sources de contamination peut amener le choléra », indique Shiamaa Shaker.Les autorités irakiennes nous ayant interdit l'accès aux hôpitaux pour ce reportage, nous rentrons à Bagdad, rencontrer la responsable du directorat des maladies infectieuses, Docteur Sinan Ghazi pour évoquer les risques sanitaires.« Principalement, nous vérifions la présence de la bactérie E. coli qui est une preuve de pollution », souligne Sinan Ghazi. « Elle indique si ce n'est plus possible pour les humains d'utiliser l'eau pour nettoyer ou se laver, car c'est dangereux pour la santé. »À écouter aussiLa pollution des eaux du Tigre au Kurdistan irakien dans la région de SouleimaniyeL'Irak est donc entré dans un cercle vicieux. Les Nations Unies estiment que 20 % des ressources en eau du pays auront disparu en 2025. Cette baisse pourrait entraîner une augmentation des risques sanitaires liés à la pollution des eaux. Et ces enjeux sanitaires, le système hospitalier défaillant ne pourra pas y répondre.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En visite à Kherson, sur les lieux des inondations du Dniepr, le président ukrainien a critiqué l'absence des Nations Unies dans les secours. Mais l'ONU n'est pas en cause, c'est le blocage politique dû au poids de la Russie, détenteur du droit de véto, qui explique cette discrétion.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En visite à Kherson, sur les lieux des inondations du Dniepr, le président ukrainien a critiqué l'absence des Nations Unies dans les secours. Mais l'ONU n'est pas en cause, c'est le blocage politique dû au poids de la Russie, détenteur du droit de véto, qui explique cette discrétion.
Les Nations Unies tardent encore à dépêcher leurs troupes en Haïti alors que la violence des groupes armés persiste et fait de nombreuses victimes dans certaines zones de la capitale haïtienne et dans l'Artibonite. Une situation qui donne lieu à la justice expéditive dite bwa kale, lancé par la population pour tenter d'équilibrer la terreur. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/jause-varin/message
Les Nations Unies recherchent plus de 700 millions de dollars us auprès de leurs partenaires pour venir en aide à plus de 3 millions de personnes en situation difficile à Haïti. Cest le plus important plan d'action humanitaire depuis le séisme dévastateur du 12 janvier 2010. La nouvelle a été annoncée ce vendredi 14 avril par Ulrika Richadrson coordinatrice du bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) dans un communiqué de presse. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/jause-varin/message
Au menu de l'actualité :Les Nations Unies célèbrent la Journée de la diversité biologiqueL'ONU et l'Union africaine se félicitent de l'annonce d'un cessez-le-feu au SoudanEn RDC, le nombre de déplacés a augmenté de 1 million en un an. Présentation : Jérôme Bernard
Les Nations Unies accueillent ce jeudi une réunion de haut niveau sur la mise en œuvre du Cadre de Sendaï, un instrument qui vise à la réduction de l'impact des catastrophes, y compris à travers la prévention et les systèmes d'alerte précoce.Le rapport de mi-parcours fait état d'un bilan mitigé : « les progrès ont stagné et, dans certains cas, se sont inversés ». Il note aussi une augmentation du nombre de personnes touchées, mais aussi des catastrophes.Malgré l'intensification et la multiplication des aléas naturels--invasion acridiennes, cyclones, sécheresses, inondations – Madagascar constate pour sa part une évolution positive au niveau des bilans. Le Directeur général du Bureau national de la gestion de la réduction des catastrophes de la Grande île attribue cette évolution aux politiques, structures et opérations mises en place par le gouvernement malgache.« Le gouvernement malagasy réagit et fait des efforts pour inverser la tendance », a déclaré le général Olivier Elack, lors d'un entretien à ONU Info en marge de la réunion de haut niveau. (Interview : général Olivier Elack, Directeur général du Bureau national de la gestion de la réduction des catastrophes pour Madagascar ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Les Nations Unies célèbrent samedi 13 mai la Journée mondiale des oiseaux migrateurs. L'eau et son importance pour les oiseaux migrateurs - ainsi que les menaces croissantes qui pèsent sur la qualité et la quantité de l'eau - sont cette année au cœur de la Journée. L'eau dans le monde entier est menacée. Jacques Trouvilliez, Secrétaire exécutif de l'Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'AfriqueEurasie (AEWA), explique comment cette menace affecte les oiseaux migrateurs.En réduisant notre consommation, en luttant contre le changement climatique et en gérant plus judicieusement les zones humides, nous pouvons améliorer la situation,souligne-t-il.
Au menu de l'actualité :Les Nations Unies célèbrent la Journée du sport au service du développement et de la paixRetour sur le rapport remis au Conseil des droits de l'homme sur les violations des droits humains en UkraineA Genève, des jeunes reporters débattent de la discrimination à l'égard des femmes. Présentation : Jérôme Bernard
Au menu de l'actualité : Les Nations Unies célèbrent la première Journée internationale zéro déchet.Malgré l'insécurité en République démocratique du Congo, la Mission de l'ONU continue de soutenir le processus électoral.Coup de projecteur sur les efforts de l'Organisation internationale de la Francophonie pour faire connaître la richesse et la diversité de la culture francophone. Présentation : Florence Westergard
durée : 00:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - La "Tribune de Paris" du 5 août 1946 était consacrée à l'Unesco avec des interventions de Léon Blum, Eve Curie, Jean Painlevé et Wladimir Porché. Une "Tribune de Paris" en 1946 consacrée à l'Unesco et à l'esprit de paix donnait à entendre Eve Curie, Jean Painlevé et Wladimir Porché délégués de la France à l'Unesco. * Léon Blum avait accepté de préfacer cette émission en présentant le but et les missions de l'Organisation des Nations Unis pour l'Education, la Science et la Culture. Il revenait sur l'importance pour la France d'avoir le siège de l'Unesco à Paris, "centre de la culture et de la spiritualité internationale" et expliquait plus largement ses objectifs : Les Nations Unies qui sont résolues à fonder et à organiser un monde pacifique se rendent compte que les fondements de la paix sont d'ordre psychique, sentimental, spirituel aussi bien que d'ordre politique économique et social. L'esprit de paix est l'une des conditions de la paix, l'esprit de paix suppose la connaissance et l'intelligence réciproque entre les peuples. Il implique la coopération et la solidarité de tous les états dans les grands domaines de l'éducation, de la connaissance scientifique et de la culture générale, et dans ce terme très large de culture ont doit faire entrer les lettres, les arts et tous les domaines de la pensée. Par Arno-Charles Brun Avec Léon Blum, Eve Curie, Jean Painlevé et Wladimir Porché Tribune de Paris - L'Unesco (1ère diffusion : 05/08/1946 Chaîne Nationale) Indexation web : Sandrine England, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
Au menu de l'actualité : Les Nations Unies célèbrent la Journée pour l'éradication de la pauvreté Le Conseil de sécurité examine la situation en Haïti où la faim s'aggrave L'ONU appelle à s'attaquer de toute urgence au gaspillage alimentaire dans le monde. Présentation : Jérôme Bernard
Au menu de l'actualité : Les Nations Unies célèbrent aujourd'hui la Journée de l'alimentation En Haïti, l'ONU prévient que la faim atteint un niveau catastrophique inédit dans l'histoire du pays La FAO estime qu'il faut transformer au plus vite les systèmes alimentaires dans le monde Présentation : Jérôme Bernard
Au menu de l'actualité : Les Nations Unies expriment leur tristesse à l'annonce du décès de la reine Elizabeth II L'ONU en Ukraine s'inquiète du sort des prisonniers de guerre détenus par la Russie La Mission des Nations Unies en RCA va sécuriser le prochain processus électoral dans ce pays. Présentation : Jérôme Bernard
Dans l'est du Congo-Kinshasa, l'ONU confirme que, depuis dix mois, l'armée rwandaise lance des attaques, certaines fois directement, d'autres fois aux côtés des rebelles du M23. Réaction d'une figure de la société civile congolaise, le professeur de sciences politiques Alphonse Maindo qui enseigne à l'université de Kisangani et à l'université Paris 1. C'est aussi un défenseur des droits de l'homme qui a failli être arrêté, il y a deux mois, par les autorités militaires de Kisangani. De passage à Paris, il répond aux questions de RFI. Quelle est votre réaction à ce rapport des Nations unies sur le M23 ? Je suis tout à fait satisfait du fait que finalement, les Nations unies ont reconnu ce que nous avons toujours dit depuis de longues années. Avec d'autres collègues, avec le professeur Denis Mukwege, on a toujours dit qu'il y a une présence de forces armées rwandaises en RDC. Mais là, on est content que finalement, on soit entendus, et à mon avis, le fait qu'il y ait eu autant de mobilisation contre la Monusco ces derniers temps ne peut pas être étranger à ce que ce rapport soit publié en ce moment. Maintenant, c'est à nous, Congolais, de pouvoir nous saisir de ce rapport et de tirer toutes les conséquences, parce que le gouvernement congolais ne semble pas comprendre les enjeux qu'il y a derrière ça et continue à traiter avec un pays qui nous agresse et qui tue nos frères et nos sœurs, qui pille nos ressources. Il y a des mesures simples à prendre : entre autres fermer les frontières, renvoyer l'ambassadeur du Rwanda, et je rappelle que l'économie rwandaise dépend presque à 50% des ressources du Congo, donc si nous coupons toute coopération économique, ou bien commerciale avec le Rwanda, eh bien, il est fort à parier que ce pays sera asphyxié et on va faire la paix. Vous parlez de la Monusco, c'est justement grâce à des vidéos de drones fournies par la Monusco que l'ONU a pu prouver la présence de troupes rwandaises, notamment lors de la chute de la ville congolaise de Bunagana. Est-ce que cette information peut rendre l'opinion publique congolaise un peu moins hostile à l'égard des Casques bleus de la Monusco ? Je pense que ça peut contribuer, même si ça ne peut pas rendre vraiment moins hostile, mais au moins ça peut contribuer à améliorer l'image que l'on a de la Monusco, que la Monusco ne fait pas que se tourner les pouces et qu'elle fait aussi son travail, pas seulement un travail de combat, mais aussi un travail d'observation, de renseignements utiles pour permettre aux uns et aux autres de savoir ce qui se passe. À la suite des affrontements entre manifestants et Casques bleus qui ont fait 36 morts ces dernières semaines dans l'est de votre pays, le gouvernement veut accélérer le retrait de la Monusco du Congo, un retrait qui devait s'échelonner initialement jusqu'en 2024. Qu'en pensez-vous ? Je pense que c'est une grosse erreur stratégique de la part de notre gouvernement de vouloir accélérer le départ de la Monusco, parce que ce départ va créer un vide immense, parce qu'en face on n'a pas des forces armées en capacité de faire face aux menaces que nous avons là, ce départ va nous créer des troubles encore plus graves. Et je rappelle que nous avons déjà connu une situation similaire dans la région au Rwanda en 1994 lorsque la Minuar (Mission des Nations unies au Rwanda) avait été contrainte de partir dans la précipitation et l'on connait la suite, l'horreur absolue, le génocide rwandais. Et je sais que pour des raisons tout à fait politiques, le régime en place voudrait ne plus avoir de témoin gênant, comme l'est la Monusco, pour pouvoir organiser un chaos pour les élections, pour tricher massivement, sans qu'il y ait quelqu'un pour témoigner de ce qui se passera. Donc j'en appelle à la conscience de nos dirigeants, et à la mobilisation de notre peuple pour qu'il n'y ait pas de vide, pour éviter que le départ de la Monusco puisse se faire dans le désordre, dans la précipitation. Il y a deux mois, vous avez été victime d'une tentative d'arrestation par les militaires à votre domicile de Kisangani, mais après la mobilisation de vos collègues enseignants et de vos étudiants, les militaires y ont renoncé. Pourquoi êtes-vous dans leur viseur ? Alors en réalité, je ne suis pas seulement dans le viseur des militaires, je suis dans le viseur du régime en place, parce que je suis militant des droits humains, donc nous sommes en train de dénoncer les crimes qui sont restés impunis depuis de longues années et il se fait que parmi les gens qui sont aujourd'hui aux affaires, il y a un certain nombre de gens qui sont présumés auteurs ou qui sont vraiment cités dans différents rapports, comme le rapport Mapping, comme étant les auteurs de ces crimes les plus graves. Et ce n'est pas un hasard que cette tentative d'arrestation se soit passée le 10 juin qui était donc la date anniversaire de la fin de la Guerre des six jours qui avait opposé, au plus fort de la guerre en juin 2000, les Rwandais et les Ougandais à Kisangani, entrainant plus de 1000 morts, et j'ai fait une conférence à l'amphithéâtre de Kisangani, le 6 juin dernier, pour dénoncer cette situation, j'ai dit qu'il y avait encore des gens qui étaient dans l'impunité et qui narguaient leurs victimes, puisqu'il y en a qui sont encore aux affaires, y compris dans la ville de Kisangani. Ainsi, il se trouve qu'on a là un des officiers qui a participé à ces opérations en 2000 qui est commandant de la 31eme région militaire, donc on comprend bien que ce type de discours ne puisse pas leur faire plaisir. Alors suite au massacre des années 1996-2003 dans votre pays, vous réclamez, comme le Docteur Mukwege, le prix Nobel de la Paix, la création d'un tribunal pénal international sur le Congo, mais est-ce que vous ne criez pas dans le désert ? Bah non, parce que, quelle que soit la longueur de la nuit, le jour finit toujours par se lever. Et je rappelle par exemple que le génocide arménien a pris un siècle avant d'être reconnu et donc nous, pour le Congo, nous ne sommes pas encore à un siècle, nous sommes simplement à un quart de siècle. Nous n'allons pas nous lasser et donc c'est pour ça que je pense qu'il faut qu'on puisse avoir quelqu'un qui croit en ce combat, et cet homme, c'est le prix Nobel de la Paix, Denis Mukwege, qui est pressenti pour être candidat aux élections de 2023, nous pensons qu'il faut que cet homme-là puisse prendre les devants avec des réformes profondes de notre gouvernance, de notre système de sécurité pour que le pays joue ce rôle majeur qu'il doit jouer en Afrique centrale, être la locomotive qui permettrait le développement du continent.
Au menu de l'actualité : Les Nations Unies célèbrent aujourd'hui la Journée des Casques bleus A Genève, l'Assemblée mondiale de la santé a examiné la situation humanitaire en Ukraine Un responsable de l'OMS appelle à ne pas oublier le choléra dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Présentation : Jérôme Bernard
Au menu de l'actualité : Les Nations Unies célèbrent la Journée de l'Afrique, un berceau de l'espoir selon le chef de l'ONU Le Maroc souligne sa contribution à un accès équitable et sécurisé aux vaccins contre la Covid-19 Un expert de l'ONU revient sur l'évolution de la situation des personnes LGBTI dans le monde. Présentation : Jérôme Bernard
Le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies (ONU), Antonio Guterres, s'est rendu à Kiev la semaine dernière pour constater l'étendue des ravages causés par l'invasion russe. Depuis le début du conflit, les critiques se multiplient concernant l'impuissance de l'ONU à stopper les actions du Kremlin. Alexis De Lancer en discute avec François Brousseau, journaliste aux affaires internationales à Radio-Canada.
Au menu de l'actualité : Les Nations Unies célèbrent aujourd'hui la Journée de la liberté de la presse Le Secrétaire général de l'ONU effectue une visite de solidarité en Afrique de l'Ouest L'ONU estime que la République démocratique du Congo doit demeurer une priorité pour l'action humanitaire. Présentation : Jérôme Bernard
Au menu de l'actualité : Les Nations Unies célèbrent aujourd'hui la Journée mondiale de l'eau, l'occasion de mettre l'accent sur les eaux souterraines Le Programme alimentaire mondial prévient que le nombre d'Haïtiens souffrant de la faim augmente Au Mozambique des milliers de personnes continuent de fuir la violence dans le nord du pays. Présentation : Jérôme Bernard