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La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.
durée : 00:10:40 - Journal de 18h - Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu répète ce dimanche qu'il n'y aura pas de cessez-le-feu tant que les otages ne seront pas libérés par le Hamas. Le Royaume-Uni réclame officiellement une pause humanitaire mais cette position divise le Parti travailliste en interne. - invités : Yvan Plantey
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Selon une enquête du collectif de journalistes « Investigate Europe » parue mardi 24 octobre, les pays de l'Union européenne continuent d'acheter des métaux et minerais dits « critiques » aux entreprises russes. Ce commerce florissant contribue à renflouer le budget de l'État. De notre correspondante à Moscou,Quelques chiffres glanés dans la presse russe ce mois-ci sur une entreprise appelée Nornickel disent beaucoup des échanges qui continuent entre les Vingt-Sept et la Russie sur ces matières premières critiques.Sur le papier, Nornickel avait largement de quoi être sanctionnée par Bruxelles. Son principal actionnaire est Vladimir Potanine, un oligarque, un ancien vice-Premier ministre sous sanctions américaines et britanniques. Mais l'entreprise est un fournisseur majeur de nickel et de palladium, ces deux métaux indispensables à la fabrication de batteries de véhicules électriques et de semi-conducteurs.47 % des ventes de Nornickel destinées à l'Union européenneCe géant est donc aujourd'hui en pleine forme. Il y a dix jours le journal Kommersant publiait ainsi les résultats de l'entreprise, en 2022 elle a augmenté ses exportations vers les Vingt-Sept de 4,3 %, l'Union européenne reste son marché majeur, soit 47 % des ventes de l'entreprise.Dans ce secteur, d'autres géants russes tirent leur épingle du jeu, celui de l'aluminium avec, par exemple, Rusal, et son immense usine en Irlande, ou encore sa fonderie en Suède. Son principal actionnaire est Oleg Deripaska, oligarque sanctionné par les Occidentaux, Union européenne comprise.Les matières premières critiques, des ressources de facto exemptées des sanctions ?Sur ces fameux métaux, l'Union européenne commence à être isolée. Le Royaume-Uni a par exemple récemment interdit le cuivre, l'aluminium et le nickel russes alors qu'entre mars 2022 et juillet 2023, l'UE a importé, toujours selon « Investigate Europe » pour 13,7 milliards de ce type de matières premières.Pourquoi ? La question a été posée en septembre à David O'Sullivan, l'envoyé spécial de l'UE pour les sanctions. Sa réponse est lapidaire : « Pourquoi les matières premières critiques ne sont-elles pas interdites ? Parce qu'elles sont critiques. Soyons honnêtes. »
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Ce jeudi 5 octobre, les objectifs du Premier ministre britannique concernant son intention d'étendre l'interdiction de la vente de cigarettes dans son pays ont été abordés par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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durée : 00:02:34 - Le monde est à nous - Le Royaume-Uni a adopté mardi 18 juillet une loi qui restreint le droit d'asile. Au même moment, une étrange péniche a accosté dans le sud de l'Angleterre : elle doit accueillir 500 migrants.
Sous la pression de l'extrême droite, les dirigeants européens font de la surenchère pour stopper l'immigration. En même temps, certains d'entre eux facilitent l'arrivée de la main d'œuvre étrangère. Pourquoi ces contradictions ? Ce double langage est particulièrement frappant dans les pays qui aimantent le plus de réfugiés en raison de leur géographie, l'Italie et la Grèce. Des pays où les dirigeants élus sont tous les deux décriés pour leur gestion brutale des migrants arrivant par la Méditerranée.En Italie, la populiste Giorgia Meloni a annoncé la semaine dernière que 425 000 permis de travail seraient octroyés à des non-Européens jusqu'en 2025. En Grèce, le Premier ministre conservateur Kyriákos Mitsotákis a passé une série d'accords discrets avec des pays du sud, comme l'Égypte ou le Pakistan, pour faire venir 80 000 saisonniers cet été.Des pénuries de main d'œuvreDes pénuries critiques existent et pourraient compromettre le rebond post-Covid de ces pays aux finances encore fragiles. Ces pénuries sont patentes dans le tourisme, mais aussi dans le bâtiment, l'informatique et les soins à la personne en Italie. Si les postes ne sont pas pourvus, la péninsule ne pourra pas mettre en œuvre le grand plan à 200 milliards d'euros consenti par Bruxelles, a mis en garde la Banque centrale. L'Italie a déjà attribué 80 000 visas cette année, elle va en octroyer 40 000 supplémentaires, soit quatre fois plus qu'avant la pandémie.Les 70 000 migrants illégaux arrivés depuis janvier en Italie ne sont pas concernés par ces visas. Certains sont recrutés ponctuellement, et ils ne sont pas toujours déclarés. Mais Rome a prévenu : sont prioritaires les ressortissants de pays luttant contre l'immigration illégale. Les demandeurs d'asile fraîchement débarqués n'ont pas forcément les compétences recherchées. Ceux qui échouent en Sicile ou sur les plages grecques viennent d'abord en Europe pour y trouver un refuge, et pas nécessairement un travail. Idem pour les Ukrainiens qui ont fui les combats. L'Allemagne en a accueilli un million, seulement 10 % d'entre eux ont un emploi.Un rebond post-CovidCette pression de la migration irrégulière s'est fortement accrue cette année à cause du Covid. Le coronavirus a appauvri la planète entière et la levée des restrictions de voyage a encouragé les ressortissants des pays en développement à partir tenter leur chance dans les pays riches. Il y a eu, en 2022, cinq millions d'entrées nettes dans les pays occidentaux, soit 80 % de plus qu'avant la pandémie selon les estimations du Wall Street Journal.Ce soudain afflux intervient dans un contexte économique dégradé, dominé par l'inflation qui ronge le pouvoir d'achat des ménages. Les nouveaux venus sont alors perçus par les habitants comme des concurrents qui font baisser les salaires, qui dévorent les prestations sociales et parfois qui aggravent la crise du logement, comme aux Pays-Bas. C'est sur ces peurs que prospèrent les populistes.Les économistes considèrent au contraire que l'immigration peut faire baisser l'inflation. La main d'œuvre étrangère fraîchement recrutée accepte plus facilement des bas salaires. Or, quand le coût du travail diminue, cela fait baisser la pression sur les prix et alimente la croissance. Pour lutter contre l'inflation, la migration est aussi efficace que la récession et beaucoup moins douloureuse sur le plan économique mais politiquement très difficile à défendre.Le Royaume-Uni, où le déficit de main d'œuvre a explosé avec le Brexit, a accueilli 600 000 nouveaux venus non-Européens l'an dernier. Continuer à ce rythme ferait passer la population étrangère à 20 % du total d'ici la fin de la décennie, ce qui est ingérable en termes d'intégration, estiment les experts. C'est pourquoi aujourd'hui, un ancien membre du gouvernement et partisan assumé du Brexit en appelle à un accord avec Bruxelles pour faciliter la venue des jeunes issus de l'Union européenne.
durée : 00:47:02 - Interception - par : Antoine Giniaux, Vanessa Descouraux - Entre la crise Covid et un marché de l'emploi partiellement en tension, des priorités nouvelles ont émergé pour les salariés : une meilleure qualité de vie, une nouvelle organisation ou un temps de travail réduit. Des patrons l'ont bien compris et s'adaptent. A Caen, dans l'entrepôt de quincaillerie dans lequel il travaille, Joan, a enfin trouvé l'équilibre recherché par tant de salariés entre sa vie personnelle enfin épanouie et sa vie professionnelle bien remplie. Ce quadragénaire le résume à une formule : il dit avoir "redécouvert ses enfants". Passer plus de temps en famille était devenu une priorité pour lui. Il lui a fallu changer de métier, de secteur et donc d'entreprise. Joan travaille pour une entreprise qui assume de travailler au bien-être de ses salariés. Elle possède le label "great place to work" distribué à 200 entreprises seulement en France. Qualité de vie, temps de travail, aménagement ou souplesse de l'emploi du temps, les arguments sont nombreux pour les entreprises désireuses de faire venir les perles rares. D'autres entreprises franchissent une étape qui parait insurmontable au plus grand nombre : le passage à la semaine de 4 jours. C'est le cas depuis janvier 2021 de LDLC, commerce de matériel informatique, dont le siège est basé à Lyon. En Europe, la Belgique et l'Espagne font office de pionnières en la matière. Le Royaume-Uni est actuellement en phase de test. La mutation est même économiquement viable pour certains patrons. Le fondateur de LDLC, Laurent de la Clergerie, reconnait qu'"au début, il pouvait y avoir de la philanthropie dans la démarche, mais depuis je sais que ça marche. Je ne comprends même pas qu'il y ait débat".* Donner une place raisonnable au travail dans nos vies, ce questionnement est central pour les plus jeunes. Selon une enquête BVA, 85% des 18-24 ans pensent que des salariés bien traités par leur entreprise la rendent plus performante. Reportage Antoine Giniaux Prise de sons Gilles Gallinaro Réalisation Jérôme Chelius assisté de Martine Meyssonnier POUR ALLER PLUS LOIN : Comment les nouvelles organisations du travail transforment l'entreprise : pour un travail hybride socialement responsable. Terra Nova, 07/10/202 Passées à la semaine de 4 jours payée 5 jours, ces entreprises ne le regrettent pas. Cadremploi, 06/10/2022 Le rapport des jeunes au travail, une révolution silencieuse. Le Monde, 23/01/2022 - réalisé par : Jérôme CHELIUS
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L'émission 28 Minutes du 24/06/2023 Quel est le point commun entre Albert Einstein et les Rolling Stones ? Pour le savoir, il suffit de lire le physicien et philosophe Étienne Klein. Dans son dernier ouvrage “Courts-circuits”, il s'amuse à croiser les concepts, les notions et les disciplines qu'on a tendance à opposer, avec sa double casquette en sciences humaines et physiques. Infini mathématique et engagement existentiel, hasard et destin, réalité et imagination... Adepte de la “science des passerelles”, il propose de décloisonner les connaissances pour galvaniser la richesse et la profondeur de l'intellect, en rappelant que notre esprit est, par nature, “un espace ouvert à la fluidité”. Découvrez le portrait d'Étienne Klein signé Philippe Ridet et lu par Sandrine Le Calvez. Ce mercredi se déroulait, à Londres, la deuxième édition de la conférence sur la reconstruction de l'Ukraine. Alors que le pays est encore en guerre, les alliés occidentaux de Kiev ont promis d'augmenter leur aide financière à l'économie ukrainienne, dont le redressement a été évalué à 411 milliards de dollars. Les États-Unis ont annoncé un nouveau don de 1,3 milliard de dollars pour la réhabilitation des infrastructures essentielles. Le Royaume-Uni, quant à lui, compte donner trois milliards de dollars de prêts garantis sur trois ans pour la restauration des services publics ukrainiens, alors que l'Allemagne et la France se sont engagées à fournir une aide humanitaire de 381 millions d'euros et à débloquer 40 millions d'euros pour rééquiper le système de soins. Est-ce suffisant ? Comment reconstruire un pays en plein conflit ? Jeudi 22 et vendredi 23 juin, à l'invitation d'Emmanuel Macron, une cinquantaine de chefs d'État et de gouvernement sont réunis à Paris pour tenter de répondre aux besoins des pays en développement en matière de lutte contre la pauvreté et d'adaptation au réchauffement climatique. Lors de ce sommet, le président français a notamment appelé à une "mobilisation" pour mettre en place des taxations internationales sur les transactions financières, les billets d'avion et le transport maritime. Cela suffit-il pour financer la transition écologique dans les pays en développement ? Quelles sont les mesures à prendre ? On en débat. C'est un scénario digne d'un film. En novembre 2015, cinquante migrants fuient l'enrôlement dans l'armée syrienne et s'exilent en Allemagne. Parmi eux se trouve Ryyan Alshebl qui, début 2022, sera naturalisé allemand. Un an plus tard, après une campagne de porte-à-porte pour “écouter les préoccupations des gens” et une élection dès le premier tour, il devient le nouveau maire de la commune d'Ostelsheim. Gaël Legras nous raconte. Ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes, la chronique de Marie Bonnisseau et un retour sur le temps fort de la semaine. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 24 juin 2023 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
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durée : 00:40:56 - Un jour dans le monde - Le Royaume-Uni organisera à l'automne 2023, le premier sommet mondial de la sécurité en matière d'intelligence artificielle. Face au développement des outils tels que ChatGPT, les Etats-Unis, l'Union européenne ou encore la Chine se sont tous lancés dans une course à la régulation.
durée : 00:40:56 - Un jour dans le monde - Le Royaume-Uni organisera à l'automne 2023, le premier sommet mondial de la sécurité en matière d'intelligence artificielle. Face au développement des outils tels que ChatGPT, les Etats-Unis, l'Union européenne ou encore la Chine se sont tous lancés dans une course à la régulation.
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On commence avec le couronnement de Charles III, durant 3 jours Le Royaume Uni a célébré l'accession au trône du fils ainé de la Reine Elisabeth II
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Les experts: - Anthony BELLANGER - Éditorialiste, spécialiste des questions internationales à France Inter - Christian ROUDAUT - Journaliste, ancien correspondant en Grande-Bretagne pour Radio France - Elizabeth PINEAU - Correspondante à l'Elysée et Matignon pour REUTERS - Elizabeth GOUSLAN - Journaliste-auteure de Meghan ou le désespoir des princesses J-1. L'heure des derniers préparatifs à Londres pour le couronnement du nouveau roi, Charles III, huit mois après le décès de sa mère Elisabeth II. Un événement qui rassemblera tous les inconditionnels de la monarchie britannique. Pour cette cérémonie fastueuse à l'abbaye de Westminster, sans équivalent en Europe, c'est aussi des dizaines de chefs d'Etat étrangers qui afflueront du monde entier, y compris Emmanuel Macron. Une réception en grande pompe avec, au menu, une « coronation quiche », une quiche aux fèves et aux épinards, en accord avec l'intérêt environnemental du roi. Le Royaume-Uni n'avait plus connu cela depuis 70 ans mais l'événement semble avoir été préparé sans grand engouement de la population. Selon un sondage de l'institut YouGov, deux tiers des Britanniques ne s'y intéressent pas, et 51% pensent que l'Etat ne devrait pas payer la facture. C dans l'air a suivi des militants anti-monarchie à quelques jours de l'adoubement du nouveau roi. De telles dépenses passent mal dans le grave contexte de crise économique outre-Manche. L'inflation y bas des records, à plus de 10% sur un an, et a propulsé une partie de la population dans la pauvreté. Pour pallier l'envolée des prix et la chute du pouvoir d'achat, des initiatives de solidarités se mettent en place partout dans le pays, des distributions alimentaire par exemple, ou des appels aux dons. Alors, qu'attendre du couronnement de Charles III ? L'anti-monarchisme anglais peut-il faire tomber le régime ? Que peut faire le gouvernement anglais face à la grave crise économie qui s'éternise ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - Bruno Duvic REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce vendredi 28 avril, le refus par l'Autorité de la concurrence britannique du rapprochement entre Activision et Microsoft et les conséquences de cette décision sur le Royaume-Uni, a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Geoffroy, journaliste chez Frandroid, a fait un tour de l'actualité et vous dit tout ce que vous devez retenir aujourd'hui ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.
Depuis quelques mois, les autorités sanitaires suivent de très près l'évolution d'une infection typique des pays pauvres ou en voie de développement, qui connaissent des concentrations de population élevées avec des pratiques d'hygiène vétustes. Si la shigellose, infection aigue de l'intestin grêle, est courante en Afrique et en Amérique centrale, elle était jusqu'à récemment plutôt rare en Europe. Cependant, depuis janvier 2022, les foyers de shigellose se multiplient sur le continent, notamment au Royaume-Uni, en Irlande et en France. Comment se manifeste la shigellose ? Quels sont ses symptômes et son mode de transmission ? Et pourquoi l'OMS surveille-t-elle activement l'évolution de cette maladie endémique ? Qu'est-ce que la shigellose ? Cette maladie infectieuse aussi appelée dysenterie bacillaire est due à la présence d'une bactérie de type Shigella qui se propage et se développe dans l'intestin grêle. Les bactéries provoquent des abcès au niveau de l'intestin et perturbent le transit, ce qui occasionne des diarrhées souvent accompagnées de sang et de mucus. Il s'agit d'une maladie endémique des pays pauvres, c'est-à-dire qu'elle existe habituellement dans les pays sous-développés, du fait de mauvaises conditions sanitaires. En effet, la contamination par une bactérie Shigella a lieu principalement par voie féco-orale. Des matières fécales sont mises en contact avec la bouche, en général à cause d'un manque d'hygiène et notamment d'une insuffisance de lavage des mains. Est-ce que la shigellose est dangereuse ? Sur les plus de 160 millions de cas relevés chaque année, on dénombre environ 200 000 décès. La shigellose est rarement mortelle chez l'adulte en bonne santé, mais elle peut toucher les jeunes enfants et s'avérer beaucoup plus dangereuse pour eux. Parmi les 200 000 décès relevés, 65 000 concernent des enfants de moins de 5 ans. La déshydratation rapide liée à la diarrhée peut conduire au décès des très jeunes enfants dans la première semaine qui suit l'apparition des symptômes. Pourquoi l'OMS s'inquiète de la prévalence de la shigellose en Europe ? Au début de l'année 2022, l'OMS relevait un nombre anormalement élevé de cas de shigellose dans des pays habituellement peu touchés par la maladie. Le Royaume-Uni, par exemple, a dénombré plusieurs cas de shigellose chez des hommes adultes n'ayant pas forcément voyagé dans un pays étranger les semaines précédentes. Comme la bactérie se transmet par voie fécale, les hommes homosexuels ou transsexuels ayant des rapports de nature anale sont plus à risque d'être contaminés. En France, entre 2020 et 2022, 16 cas de shigellose ont été reportés. Le problème, c'est que ces cas concernent des souches résistantes aux antibiotiques, donc difficiles à traiter. D'une façon générale, les bactéries de type Shigella ont évolué ces dernières années et se montrent de plus en plus résistantes aux traitements par antibiothérapie. L'OMS et les autorités sanitaires internationales craignent donc une augmentation des cas de shigellose au sein des populations européennes, qui pourrait mettre en danger la vie des jeunes enfants contaminés. Si la situation actuelle n'est pas alarmante, l'OMS continue à surveiller de près l'évolution des foyers de shigellose. Elle recommande aussi aux personnes ayant des rapports sexuels anaux d'utiliser des préservatifs et de redoubler de vigueur en ce qui concerne les pratiques d'hygiène. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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Le Royaume-Uni s'apprête à couronner Charles III le 6 mai prochain à l'abbaye de Westminster. C'est l'occasion de nous intéresser à l'histoire mouvementée de la couronne britannique et de retracer les débuts de cette monarchie étonnante, depuis sa naissance à l'époque des Angles et des Saxons. Etienne Duval a été correspondant pour la RTS en Grande-Bretagne pendant de longues années et a interrogé un spécialiste de la Grande Bretagne, l'historien français Philippe Chassaigne, qui a notamment signé "Histoire de l'Angleterre" (Flammarion, 2008), ainsi que "La Grande-Bretagne et le monde - De 1815 à nos jours" (Armand-Colin, 2009). Dimanche 16 avril à 22h05 sur RTS Deux vous pourrez voir "Margaret Thatcher, l'inoxydable", un documentaire de Guillaume Podrovnik (France, 2022). Disponible en ligne dès maintenant en cliquant ci-contre. Photo: statue d'Alfred le Grand à Winchester, dans le Hampshire (sud de l'Angleterre). Après l'installation des Vikings au IXe siècle, le royaume de Wessex s'impose comme le principal royaume d'Angleterre. Alfred le Grand sécurise alors son territoire et prend le titre de "roi des Anglo-Saxons". Son petit-fils Æthelstan fut le premier roi à régner sur un royaume unitaire correspondant à peu près aux frontières actuelles de l'Angleterre. (© Odejea/wikimedia)
durée : 00:02:50 - La chronique environnement - par : Camille Crosnier - Dans son plan climat le Royaume Uni mise notamment sur les inhibiteurs de méthane pour les vaches pour réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur agricole.
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Ce vendredi 31 mars, le report du relèvement à 68 ans de l'âge de la retraite par le Royaume-Uni après les Législatives 2024, a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
(00:00:49) Le Royaume-Uni multiplie sans problème les dirigeants issus de minorités (00:06:24) De la démocratie illibérale en Inde (00:12:20) Bachar el-Assad sort de son isolement diplomatique (00:19:38) De La Chaux-de-Fonds à Madagascar avec Plonk et Replonk
Dans le cadre de l'opération internationale Interflex, le Royaume-Uni a entrainé 10.000 recrues ukrainiennes depuis février 2022, et compte en former 20 000 de plus cette année. Des entrainements effectués sur des bases militaires britanniques. Les explications de Marie Billon. Ecoutez RTL autour du monde du 30 mars 2023 avec Correspondants RTL à l'étranger.
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[A écouter aussi pour réviser le Bac ou le Brevet] INTERVIEW - À l'heure où les tensions s'enveniment entre les Grecques et les Britanniques, l'historienne Virginie Girod reçoit l'archéologue François Queyrel. Depuis son indépendance en 1821, la Grèce demande au Royaume-Uni la restitution des frises du Parthénon, qui sont exposées et conservées au British Museum, à Londres. Malgré les désaccords, le gouvernement britannique ne souhaite pas rendre ses frises. Et pourtant, selon un sondage YouGov de 2021, 55% des Britanniques étaient favorables au retour sur les terres grecques des frises et statues du Parthénon. Pour François Queyrel “ La demande de restitution est évidente aux yeux des Grecques : le Parthénon représente la période faste de l'Histoire de la Grèce”. Mais quelle est l'histoire de cet édifice ? Comment est-il tombé dans les mains des Britanniques ? Quelles sont les arguments des deux pays pour démontrer leur légitimité ? Eléments de réponse dans l'interview du vendredi consacrée à la restitution du Parthénon. “Au cœur de l'Histoire” est une production Europe 1 Studio.Sujets abordés : Grèce - British Museum - Royaume-Uni - Parthénon - Frise - Archéologie - Restitution - Grèce antique "Au cœur de l'Histoire" s'adresse aux passionnés d'histoire mais aussi à ceux qui cherchent à apprendre l'Histoire facilement. Que vous souhaitiez renforcer votre culture générale, ou réviser une leçon d'histoire vue en cours sans passer par les manuels scolaires, ce podcast est fait pour vous.Pour aider les élèves en préparation du brevet ou du bac d'Histoire-Géographie, "Au cœur de l'Histoire" aborde à travers les destins de divers personnages les grands chapitres du programme scolaire de Troisième ainsi que du programme scolaire de Terminale : Révolution française ; Première Guerre mondiale ; régimes totalitaires dans l'Europe de l'entre-deux-guerres ; Seconde Guerre mondiale, Régime de Vichy, Collaboration et Résistance ; création de l'Union Européenne…Plus vivants que les fiches de révision, les récits historiques de Virginie Girod vous permettront de mémoriser par l'écoute les enjeux des conflits qui ont marqué la France et l'Europe et d'avoir en tête des exemples de personnages qui y sont reliés.
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Le président américain Joe Biden a déclaré que l'accord sur les sous-marins nucléaires AUKUS rapprochera l'Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni "plus que jamais"
durée : 00:59:03 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Rishi Sunak est attendu à Paris pour un sommet franco-britannique, le 10 mars. Le premier ministre de Charles III gouverne un pays rongé par l'inflation et des crises sociales. Le Royaume-Uni serait-il devenu l'homme malade de l'Europe, comme s'interrogeait récemment l'hebdomadaire The Economist ? - invités : Hélène Rey économiste, professeur à la London Business School; Elvire Fabry Chercheuse senior sur la géopolitique du commerce à l'Institut Jacques Delors; Pauline Schnapper Professeure de civilisation britannique à l'université Sorbonne Nouvelle; Charles Grant Directeur du Centre for European Reform; Marc Lenormand Maître de conférences à l'Université Paul Valéry de Montpellier, spécialiste du syndicalisme britannique
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Depuis plusieurs mois, de plus en plus d'Albanais tentent de rejoindre le Royaume-Uni en traversant la Manche sur des petites embarcations. Leur nombre a explosé l'an dernier. Il faut dire que les passeurs albanais font leur pub sur TikTok et la jeunesse du pays risque sa vie pour quelques milliers de livres. Sur place, certains d'entre eux se retrouvent victimes des réseaux criminels. Le sujet fait l'objet de vives tensions entre les gouvernements anglais et albanais.
EXPERTS ALAIN BAUER Professeur de criminologie - CNAM Auteur de « La guerre qui revient » FRANÇOIS CLEMENCEAU Rédacteur en chef international - « Le Journal du Dimanche » GUILLAUME ANCEL Ancien officier de l'armée française ANNE NIVAT Grand reporter - « Le Point » Auteure de « Un continent derrière Poutine ? » Un bilan dramatique. La frappe russe qui a touché ce samedi un immeuble d'habitation à Dnipro (centre-est de l'Ukraine) a fait au moins quarante morts, dont deux enfants. L'immeuble comprenait environ 1.700 résidents, ce qui laisse craindre un bilan bien plus lourd. « Je pense que le nombre de morts se comptera par dizaines », a affirmé le maire de la ville, Boris Filatov, qui pense que les Russes visaient« la centrale thermique située derrière l'immeuble». Un bombardement dont le Kremlin a nié aujourd'hui toute responsabilité. « Les forces armées russes ne bombardent pas les immeubles résidentiels mais des cibles militaires », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, avant d'évoquer la piste d'un missile de défense antiaérienne ukrainien qui serait tombé sur le bâtiment. De son côté, l'Union européenne accuse la Russie de « crime de guerre ». Pendant ce temps, sur le front, les Ukrainiens reculent à Soledar mais restent campés à l'ouest de la ville. Si Vladimir Poutine a assuré que « tout se déroule selon les plans », la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Ganna Maliar, a estimé dimanche soir que les forces ukrainiennes ont « repoussé les attaques des envahisseurs » en de multiples points dans les régions de Louhansk et Donetsk, dont Soledar. Par conséquent, « la bataille continue ». Un espoir est même présent, côté ukrainien, avec la livraison prochaine de chars lourds par les Occidentaux. En effet, l'Otan a annoncé que l'Ukraine pouvait s'attendre à recevoir de nouveaux armements lourds « dans un futur proche ». Le Royaume-Uni enverra ainsi 14 chars Challenger-2 tandis que Berlin, sous la pression de la Pologne et de la Finlande, semble prêt à livrer des chars Leopard. Les ministres de la défense des alliés de l'Ukraine se réuniront, vendredi 20 janvier en Allemagne, bien que la ministre allemande de la défense vient de démissionner. Enfin, en Lituanie comme ailleurs, les militaires proches du conflit s'entraînent en cas d'expansion de la guerre. Des avions russes s'approchent parfois des limites de l'espace de l'OTAN et sont alors repoussées par les armées européennes, notamment des pilotes français d'avion Rafale. Alors, comment analyser la frappe russe à Dnipro ? Qu'en est-il de l'avancement de la situation sur le front ? Pourquoi l'arrivée prochaine de chars lourds suscite-t-elle autant d'espoir côté ukrainiens ? Comment les pays proche de l'Ukraine peuvent-ils se protéger ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS PHILIP TURLE Journaliste britannique Chroniqueur international - « France 24 » AGNÈS POIRIER Correspondante en Grande-Bretagne - « L'Express » CATHERINE MATHIEU Économiste à l'OFCE Spécialiste du Royaume-Uni et des questions européennes JEAN-MARC FOUR Éditorialiste international - « France Inter » Ancien correspondant à Londres Séisme au Royaume-Uni. L'autobiographie du prince Harry fait déjà l'effet d'une bombe, et ce, avant même sa publication officielle, prévue le mardi 10 janvier prochain. Plusieurs médias ont en effet réussi à obtenir une copie de l'ouvrage après que des libraires espagnoles l'ont mis par erreur en vente jeudi dernier. Les extraits les plus chocs n'ont pas manqué de faire rapidement la Une de la presse en Grande-Bretagne. Au menu de cet ouvrage : des révélations fracassantes et en nombre sur l'engagement militaire de Harry en Afghanistan, sa jeunesse compliquée par les drogues et l'alcool ainsi que son rapport plus que tendu avec son frère William, le prince héritier, et la famille royale. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le cadet de Charles III et de la princesse Diana n'est pas près d'enterrer la hache de guerre. Alors que son père doit être couronné le 6 mai prochain, Harry n'hésite pas à dénoncer les fractures de la Maison Windsor, déjà largement décrite dans la série « The Crown ». Intitulées "Spare", soit "Le Suppléant" en français, ces mémoires mettent au pilori une institution souvent jugée dépassée. Ce livre au vitriol est la deuxième vague d'une charge qui a commencé en décembre avec la diffusion d'un documentaire sur la plateforme Netflix. Si la monarchie se préparait depuis des mois à cette charge, qui intervient en pleine période de transition, le coup est rude. Et Harry est vertement critiqué par les médias britanniques. Le duc de Sussex est accusé de manquer de décence avec ce grand déballage. La population, elle, est agacée par ces nouvelles révélations. C'est que ces secousses interviennent dans une situation sociale très compliquée dans le pays. À en croire plusieurs sondages d'opinion réalisés ces dernières semaines, les Britanniques font grise mine deux ans après le Brexit. Le dernier en date, publié le 1er janvier par The Independent, révèle que près des deux tiers de la population outre-Manche est désormais favorable à un référendum sur un retour dans l'UE. Selon le journal, 56 % des électeurs pensent désormais que le Brexit a aggravé la situation économique outre-Manche. Ils n'étaient que 44 % il y a un an. Il faut dire que plusieurs indicateurs de l'économie britannique ont viré au rouge ces derniers mois : le PIB du Royaume-Uni a reculé de 0,3 % au troisième trimestre de l'année 2022, l'inflation a dépassé les 10 % et a même culminé à 11,1 % sur un an en octobre, provoquant une grave crise du coût de la vie. Deux ans après la fin de la période de transition mise en place à la suite du référendum de 2016 sur le Brexit, un terme s'impose dans les médias britanniques : celui de "Bregret". Un mot-valise composé des termes Brexit et regret. Selon un sondage dont les résultats ont été publiés à la fin décembre 2022, cité par le quotidien The Independent, 30 % des personnes ayant voté pour quitter l'UE en 2016 souhaitent aujourd'hui que le Royaume-Uni tisse des liens plus étroits avec Bruxelles. Ce qui, selon le journal britannique, peut être interprété comme un signe de Bregret. Ce sentiment "s'installe en Grande-Bretagne" de manière "rampante", notait le magazine The Spectator, le 23 décembre. Et ce phénomène est "en train de devenir un thème important dans la vie politique et la vie publique", constatait le magazine américain The Atlantic à la mi-décembre. Ce débat se déroule dans un pays durement touché par la pandémie de Covid-19, des soubresauts politiques, l'inflation, et des grèves massives, entre autres crises. La crise économique plonge, elle, des milliers de Britanniques dans le piège des crédits immobiliers à taux variable. Nombre d'entre eux ont en effet souscrit à ces crédits, leur permettant, lorsque les cours étaient bas, d'accéder à la propriété immobilière. Mais les turbulences économiques et financières du Royaume-Uni ont changé la donne. Les nombreux ménages britanniques qui se sont endettés à taux variable se retrouvent aujourd'hui étranglés par leur hausse. Devenu astronomique, leur crédit est même devenu, pour certains petits propriétaires, impossible à rembourser. Harry a-t-il planté le dernier clou dans le cercueil de l'institution monarchique au Royaume-Uni ? Dans quelle mesure le sentiment de "Bregret" est-il répandu dans la société britannique ? Des millions de ménages modestes britanniques sont-ils menacés de défaut de paiement de leur crédit immobilier ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/