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Notre pays figure désormais à égalité avec Monaco, loin devant des pays comme la Suisse, le Portugal ou encore l'Irlande. Le Royaume-Uni n'arrive qu'en 21ᵉ position, tandis que les États-Unis occupant une modeste 29ᵉ place sous l'ère Trump. Le cabinet Nomad Capitalist, spécialisé dans la fiscalité et les conseils en citoyenneté pour les individus fortunés, a publié son premier Indice de liberté. L'indice évalue plus de 200 juridictions afin de déterminer où la liberté financière, la sécurité personnelle et la qualité de vie sont encore préservées.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'émission 28 minutes du 12/07/2025 Le meilleur des Clubs 28' dans une émission spéciale best of Club !Découvrez ou redécouvrez le meilleur de nos débats entre nos experts internationaux, invités de la semaine et chroniqueurs. Pour commencer, retour sur deux temps forts qui ont récemment marqué l'actualité : 1 an après la dissolution, où en est la clarification promise par Emmanuel Macron ? Puis, sur Londres qui signe un partenariat de sécurité et de défense avec l'UE. Le Royaume-Uni est-il en train d'effacer le Brexit ?Poursuivez ensuite en compagnie des chroniques “Très chers voisins” sur les réseaux sociaux qui s'offrent une tranche de Napolitaine, “L'employé de la semaine” sur Warren Buffett, le milliardaire qui voulait payer plus d'impôts, “La télé des autres”, qui revient sur Vladimir Poutine se mettant en scène pour ses 25 ans au Kremlin, “À méditer” sur la chanson paillarde et enfin, l'Intéressant de David-Castello Lopes.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 juillet 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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durée : 00:22:03 - Journal de 12h30 - Le Royaume-Uni et la France se sont mis d'accord ce jeudi sur le sort des migrants. Les deux pays proposent un "projet pilote" qui doit encore être validé par la Commission Européenne, et provoque déjà l'inquiétude des élus locaux.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Paris et Londres ont conclu un accord pour renforcer leur coopération. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« Paris et Londres signent un accord sans précédent », titre Le Figaro, « un accord essentiel pour le Premier ministre britannique, soumis à une forte pression alors que les chiffres de traversées clandestines de la Manche sont à la hausse ». Le principe de cet arrangement est celui-ci, explique le quotidien conservateur : « les migrants arrivés sur de petites embarcations seront détenus et renvoyés en France dans les plus brefs délais. En échange, pour chaque retour, une autre personne sera autorisée à entrer au Royaume-Uni par une voie contrôlée, sûre et légale ». Un accord qui ne choque pas le Figaro, mais qui suscite la colère de Libération : le quotidien de gauche parle d'un « accord de la honte » et de « cruauté ». « La France et le Royaume-Uni veulent s'échanger des vies humaines pour combattre l'immigration », dénonce de son côté Médiapart, qui rappelle que « depuis le début de l'année, près de 21 000 migrants ont réussi à traverser la Manche à bord d'embarcations non-adaptées ». Le journal Le Monde estime toutefois que cet accord n'aura qu'une ampleur limitée. Selon le quotidien, « le nombre de personnes concernées devrait s'établir autour de cinquante par semaine ». Un accord également commenté par la presse britannique Le Guardian, par exemple, qui sans être enthousiaste souligne tout de même que c'est « la première fois que le gouvernement britannique augmente le nombre de voies d'accès sûres, permettant aux demandeurs d'asile d'atteindre la Grande-Bretagne ». Mais cet accès sera réservé à certains profils de candidats : « À ceux qui n'ont pas tenté d'entrer illégalement au Royaume-Uni », a précisé le Premier ministre Keir Starmer. Le Times publie de son côté un éditorial sans concession, estimant que « l'annonce faite par Starmer, ne risque pas de faire trembler les migrants dans leurs petits bateaux ». « Dans un avenir proche » ironise le quotidien britannique, « le Royaume-Uni restituera à la France une cinquantaine de petits bateaux par semaine et en retour cinquante autres bateaux arriveront dans l'autre sens, en toute légalité ». « Il n'y a pas si longtemps », ajoute le Times, « le Premier ministre avait excellé à souligner le ridicule du plan du gouvernement pour le Rwanda (…) c'était la décision dénuée de sens et non dissuasive des conservateurs. Cette fois-ci c'était la décision de Starmer, avec l'air mièvre et sévère qui le caractérise », assène le Times. La rapporteure spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens contre-attaque Francesca Albanese s'est attirée la foudre des États-Unis. « Le secrétaire d'État Marco Rubio », explique La Repubblica, a décidé de « lui imposer des sanctions » pour ses propos sur la situation à Gaza. Francesca Albanese estime « qu'on veut la faire taire alors que 60 000 personnes, dont 18 000 enfants, ont été tuées à Gaza. Il s'agit d'une tentative pour faire taire les accusations de génocide. Avec Israël, les États-Unis « utilisent des méthodes mafieuses pour m'intimider », accuse la rapporteure de l'ONU. En Israël justement, le quotidien Haaretz estime qu'Albanese « ne fait pas grand-chose, si ce n'est rédiger des rapports, faire du lobbying, prononcer des discours et publier des tweets ». « Elle cherche à créer un monde de bandes dessinées, opposant le bien au mal, où l'héroïsme palestinien affronte la violence et l'oppression israélienne. La date du 7 octobre 2023 », ajoute Haaretz, « n'apparait jamais dans son rapport. » Francesca Albanese, qui trouve plus de soutien, dans les colonnes de l'Orient le Jour. Le quotidien francophone libanais parle « d'une voix propalestinienne que les États-Unis cherchent à faire taire (…) son franc-parler et ses prises de position dérangent et polarisent largement ». « Mais elle incarne », nous dit l'Orient-le-Jour, « une voix internationale indispensable, aux yeux des Palestiniens, pour mettre la lumière sur les agissements de l'État hébreu dans les territoires occupés ».
À la une de la presse ce vendredi 11 juillet : un accord controversé sur l'immigration illégale entre la France et le Royaume-Uni, un sombre anniversaire - celui des trente ans du massacre de Srebrenica - et la menace d'un envahisseur dans le sud-ouest de la France, en Gironde.
PODCASTChaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Invités : - Françoise Laborde, journaliste - Nathan Devers, écrivain - Jonathan Siksou, journaliste - Jean-Sébastien Ferjou, journaliste - Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC Police Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:15 - Journal de 18h - Accord conclu aujourd'hui entre Londres et Paris à l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron outre-Manche.
Invités : - Françoise Laborde, journaliste - Nathan Devers, écrivain - Jonathan Siksou, journaliste - Jean-Sébastien Ferjou, journaliste - Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC Police Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Eric Woerth, député EPR de l'Oise, ancien ministre du Budget - Luc Julia, co-concepteur de l'assistant vocal Siri, auteur de IA génératives, pas créatives. L'intelligence artificielle n'existe (toujours) pas (Ed. du Cherche-Midi, mai 2025) Chroniqueurs : - Nathan Devers, écrivain et philosophe - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Raphaël Stainville, directeur adjoint des rédactions du JDD Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles - Jean-Claude Dassier, chroniqueur politique Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de Martial You du 09 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le président français se rend à Londres aujourd'hui, pour une visite d'État de trois jours. Une façon de mettre sur pied « une entente cordiale renouvelée » se réjouit le Guardian, après cinq ans marqués par les tensions post-Brexit, durant lesquels, rappelle le site « pas le moindre sommet bilatéral France-Royaume-Uni n'a eu lieu ». Soupir de soulagement pour le Guardian : « heureusement, c'est du passé ». Et à en croire le journal, il faut pour cela remercier le Premier ministre Keir Starmer, qui a forgé avec Emmanuel Macron « une relation de travail rapprochée, afin de renforcer la défense et la sécurité européennes ». Cette collaboration a jusque-là essentiellement concerné le soutien à l'Ukraine et l'organisation face à la menace russe, mais pas uniquement : le Times britannique indique ainsi que Keir Starmer devrait « exhorter le président français à accepter un accord migratoire "un dedans, un dehors" » : en clair, ramener en France de petits bateaux de migrants pour permettre l'arrivée sur le sol britannique de demandeurs d'asile ayant de la famille au Royaume-Uni. Ce texte pourrait même, veut croire le quotidien, « être la pièce maîtresse » d'un nouvel accord entre les deux pays. Quoi qu'il en soit, cette visite (la première d'un président français depuis Nicolas Sarkozy en 2008), est « d'abord une façon de célébrer, grâce aux fastes de la monarchie, une amitié retrouvée entre les deux vieux voisins », pointe le Monde, mais aussi, pour Londres, de « renouer avec l'Union européenne sans pour autant relancer le psychodrame d'une adhésion ». Le tout avec un « sous-texte transatlantique » évident, après le « choc » du « retour de Donald Trump à la Maison Blanche (…) particulièrement douloureux pour le Royaume-Uni, » croit savoir le journal, puisque le pays « s'est toujours considéré comme l'héritier d'une "relation spéciale" avec Washington ». Dans ce contexte, reprend le Guardian, « une entente restaurée est, de façon écrasante, dans les intérêts des deux pays, et plus largement de l'Europe toute entière ». Le spectre des droits de douane « Donald Trump recommence à jouer les Monsieur Taxes », s'agace d'ailleurs le Wall Street Journal tandis que le Figaro s'interroge : est-ce par « goût du suspense » ou dans l' « espoir d'obtenir toujours plus en multipliant les décisions arbitraires » que le président américain « continue son jeu visant à faire plier » ses partenaires ? Quelles que soient ses raisons, il « sait très bien ruiner une bonne humeur économique » juge le Wall Street Journal. Car le chef d'État a décidé, lundi, d'imposer de nouveaux droits de douane, de 25%, contre une douzaine de pays, dont le Japon et la Corée du Sud. « Belle manière de traiter deux proches alliés », ironise le journal, surtout lorsqu'ils sont « dans l'arrière-cour chinoise ». Cette décision va crisper des amis ; mais il est aussi « facile de constater de quelle manière les droits de douane vont faire du mal aux entreprises et consommateurs américains », juge le titre économique. Sauf que la méthode de Donald Trump pourrait être payante, sans mauvais jeu de mots : à force d'allers-retours, l'Union européenne se montre moins catégorique qu'avant, et la France aussi, constate le Monde, qui rappelle que pour certains ministres, « une augmentation faible des droits de douane peut être acceptée, si et seulement si, sur certains secteurs clés d'exportation français, ils peuvent être réduits ». D'autres préoccupations en France La « malédiction » de la « dissolution » comme le dit le Figaro, car à partir d'aujourd'hui, le délai constitutionnel d'un an est passé, et Emmanuel Macron peut de nouveau faire tomber le couperet sur l'Assemblée nationale. « Dans l'entourage [du président], on appelle ça pompeusement le "réarmement institutionnel" » raconte le quotidien. Et même si le chef d'État « n'exclut pas totalement de repousser sur le bouton », croit savoir le Soir en Belgique, cette perspective est « la hantise de nombre de députés, qui labourent leur circonscription en cas de nouveau coup de tonnerre, ce qui vide un peu plus les bancs » d'un hémicycle déjà rendu inefficace par sa division. Bref, la sentence du Figaro est sans appel : une dissolution 2.0 n'est « souhaitable pour personne » : sur une scène politique française « dispersée façon puzzle, qui serait assez fou pour en rajouter ? ».
« Il faut mobiliser 4 000 milliards de dollars par an pour le développement des pays du Sud », a déclaré, lundi 30 juin, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à l'ouverture de la Conférence de Séville, aux côtés du Français Emmanuel Macron, du Sénégalais Bassirou Diomaye Faye et de cinquante autres chefs d'État. Mais à quoi sert cette Conférence de l'ONU sur le financement du développement au moment où le monde est en crise ? L'économiste italien Mario Pezzini a été le directeur du Centre de développement de l'OCDE. Il est aujourd'hui conseiller spécial à l'Unesco. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Cette conférence sur le développement s'est ouverte lundi 30 juin à Séville, en l'absence des Américains, qui avaient déjà dit il y a quinze jours qu'ils ne viendraient pas. Est-ce que ce n'est pas mauvais signe ? Mario Pezzini : Oui, c'est un problème sérieux parce que la coopération multilatérale, à travers ce signe, on le voit très clairement, est mise à rude épreuve. Un autre signe, si vous voulez, c'est aussi la réduction progressive des financements au développement. On est tous au courant du fait que les États-Unis ont décidé donc de réduire à zéro l'instrument principal de la coopération qu'on appelait USAID. Mais ce ne sont pas les seuls, les États-Unis ne sont pas le seul pays. Le Royaume-Uni réduit de moitié sa contribution, au point que la ministre du Développement a démissionné. Et aussi plusieurs pays européens ont fait le même. Entre autres, la France aussi a réduit. À mon avis, le problème n'est pas que le financement, c'est aussi : qu'est-ce qu'il faut faire avec ? Quelles capacités on doit mettre en place pour y arriver ? Pour la FEPS, la Fondation pour les études progressistes en Europe, vous proposez justement à l'Union européenne une nouvelle stratégie à l'égard des pays du Sud. Vous écrivez notamment : « l'incitation aux investissements privés en Afrique, c'est bien, mais cela ne suffit pas ». Mais oui, vous savez, dans ce monde, on voit apparaître une voix des pays du Sud qui appelle à une réforme de la gouvernance mondiale et à une coopération qui soit plus alignée avec les priorités des pays du Sud, pays d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique. Ces pays demandent un financement équitable, mais ils demandent aussi une voix, une voix autour de la table où on décide et on discute de « l'ordre mondial », comme on aime dire. Alors, à ce propos, l'Europe, que doit-elle faire ? Moi, je suis persuadé qu'il faut redéfinir son rôle parce que le monde, vous l'avez dit, est plus fragmenté, parce que l'Europe doit avoir des partenaires dans son action. Et donc là-dessus, nous, on propose, j'ai écrit l'article avec Stefano Manservisi qui a été le directeur de la coopération à l'Union européenne à deux reprises… Donc, nous, on propose une nouvelle alliance avec les pays du Sud. Il s'agit pour l'Europe d'avoir des interlocuteurs, compte tenu de la fracture atlantique, compte tenu des difficultés avec la Russie et la Chine. Donc l'interlocuteur naturel pour l'Europe, ce sont les pays du Sud. Regardez la Commission européenne, elle s'est déplacée entièrement pour la première fois dans son histoire et c'était en Inde. Voilà, c'est dans cette direction qu'il faut aller. Mais alors l'Europe, qu'est-ce qu'elle peut faire ? L'Europe, ça fait un certain temps qu'elle a changé son approche et a pensé qu'il fallait renforcer ses interventions avec des ressources privées. Mais pour le faire, il faut donner des garanties aux capitaux privés afin que les résistances à investir soient réduites. Donc, il faut le faire en créant une gouvernance partagée avec les pays du Sud. Il faut qu'il y ait une plateforme derrière ce type d'intervention, dans laquelle, autour de la table, il y a le Nord, l'Europe, et il y a le Sud, ensemble. Avec un ordre du jour commun et une sorte de copropriété ? Oui, vous savez, l'aide aujourd'hui est discutée, dans ses règles et dans son architecture, dans des comités dans lesquels il n'y a aucun pays du Sud. Donc c'est évident que le Sud veut y être aussi. Les pays du Sud ont déjà obtenu le fait d'être un membre permanent du G20. Donc, il faut aller davantage dans cette direction. « L'un des freins aux investissements privés en Afrique », écrivez-vous, « c'est l'évaluation du risque par des entrepreneurs qui sont souvent frileux ». Qu'est-ce que vous proposez pour rassurer ces opérateurs économiques ? Aujourd'hui, les investissements privés s'orientent sur la base des agences de notation et de la notation que ces agences donnent aux pays en développement. Or, ces notations sont construites sur la base de critères qui ne sont pas transparents, qui la plupart des fois sont subjectifs et qui tendent à pénaliser les pays du Sud. Je vous donne un seul exemple : quand on était au milieu de la crise du Covid-19, les pays qui souffraient le plus, qui étaient le plus atteints, étaient les pays du Nord. N'empêche que les agences de notation ont pénalisé dans ce moment-là les pays du Sud, bien plus que les pays du Nord. Il y a toujours une sorte de pénalisation, et ça, il faut le revoir. Alors la vraie question est comment est-ce qu'on va le faire ? L'Union africaine, différents acteurs africains, proposent de créer des agences africaines de notation. D'accord. C'est une hypothèse. Il faut aussi faire en sorte que les investisseurs regardent les notations de ces agences-là et pas celles des quatre agences privées, Fitch et compagnie, qu'on regarde toujours.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:15 - La BO du monde - Tournée de reformation d'Oasis, nouveaux albums de Pulp et de Blur... Trente ans après son âge d'or, la Britpop vit une seconde jeunesse. Une façon pour le public britannique de soigner sa déprime post-Brexit ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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►Notre commanditaire : Jean Sébastien Lebrun, Avocat / Lawyer, Associé / Partner T: 514-866-9842Dans cet épisode 178 du Trio Économique, Vincent Geloso profite de l'actualité d'une grève à Postes Canada pour aborder un sujet qu'il traite depuis plus de 10 ans : la privatisation de cette société d'État.Il évoque notamment le cas de l'Allemagne, qui a entrepris une telle réforme, et explique pourquoi cette transformation peut être bénéfique pour tous : tant les consommateurs que les entreprises.Nous répondons aussi à une série de contre-arguments présentés dans un article de Radio-Canada, qui cite Vincent de manière inexacte. C'est également l'occasion d'évoquer Hayek et le discours qu'il a prononcé lors de la remise de son prix Nobel en 1974.0:00 — Commanditaire0:49 — Introduction et présentation du livre d'Antoine Bernier2:09 — Vincent reçoit des insultes sur le sujet6:11 — Deux marchés distincts : lettres et colis11:08 — Réformes aux Pays-Bas, en Autriche et en Allemagne15:51 — Article de Radio-Canada qui cite mal Vincent18:24 — Le Royaume-Uni est-il un exemple d'échec ?21:31 — L'argument du « grand territoire »30:51 — La prétention à la connaissance chez Hayek40:05 — Villes fantômes en Chine44:13 — Comment faire la transition vers le privé53:44 — Conclusion
Napoléon Bonaparte, malgré sa volonté affirmée de soumettre l'Angleterre, n'a jamais concrétisé une invasion du Royaume-Uni. Pourtant, l'idée l'a obsédé durant plusieurs années, notamment entre 1798 et 1805. Alors pourquoi cette attaque n'a-t-elle jamais eu lieu ? Plusieurs raisons expliquent cet échec stratégique.Une volonté forte mais contrariéeDès son accession au pouvoir, Napoléon voit l'Angleterre comme le principal obstacle à son hégémonie européenne. Elle finance les coalitions contre la France, domine les mers et refuse tout traité durable. En réponse, Napoléon envisage une invasion directe des îles britanniques, projet baptisé « Opération Boulogne », avec des troupes massées sur les côtes françaises à partir de 1803. Près de 200 000 hommes sont entraînés pour traverser la Manche depuis Boulogne-sur-Mer.La supériorité navale britanniqueLe problème, c'est que pour envahir l'Angleterre, il faut traverser la Manche, et pour cela, contrôler la mer. Or, la Royal Navy domine les océans. Napoléon tente de ruser en imaginant un détour : attirer la flotte britannique vers les Antilles avec un jeu de diversion, puis ramener sa flotte en Europe pour sécuriser un passage. Ce plan complexe aboutit à la bataille de Trafalgar en 1805.L'amiral Nelson y inflige une défaite décisive à la flotte franco-espagnole. La supériorité maritime de l'Angleterre devient incontestable, et tout espoir de débarquement s'effondre. Napoléon comprend alors qu'il ne pourra jamais rivaliser sur mer.Une stratégie continentale de remplacementFace à cet échec, Napoléon change de tactique. Il choisit la guerre économique : c'est le Blocus continental, lancé en 1806, qui interdit à tous les pays européens sous influence française de commercer avec le Royaume-Uni. L'objectif est d'étrangler l'économie britannique. Mais cette stratégie se retourne contre lui, ruinant des économies alliées et poussant certains pays à la révolte, comme la Russie.Une impossibilité technique et politiqueAu fond, même si Napoléon était un stratège redoutable sur terre, il n'avait ni la maîtrise navale, ni les capacités logistiques suffisantes pour traverser la Manche face à la Royal Navy. De plus, l'opinion publique britannique, unie et protégée par la mer, n'a jamais montré de signe de faiblesse permettant une attaque surprise ou un soulèvement interne.ConclusionNapoléon n'a jamais attaqué directement le Royaume-Uni car il en était empêché par un mur naturel — la mer — et un rempart militaire — la flotte britannique. Ce projet abandonné signe l'une de ses rares limites stratégiques : le contrôle des mers lui a échappé, et avec lui, l'idée d'une conquête de l'Angleterre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au début du printemps, une série Netflix a ému, choqué, touché, voire indigné des millions de personnes. La mini-série britannique Adolescence, qui racontait le meurtre d'une jeune fille par un de ses camarades de classe, radicalisé sur internet par l'idéologie masculiniste et incel – l'idée que les hommes n'ont pas le choix que d'utiliser la violence pour parvenir à des relations avec les femmes, popularisée par des influenceurs comme Andrew Tate. Au Royaume-Uni, le gouvernement a même décidé de diffuser la série dans les écoles à des fins éducatives. Mais le programme a aussi permis de lancer un vaste débat sur la santé mentale des garçons et des jeunes hommes. Rencontre avec ceux qui essaient de faire changer les choses. Le regard un peu fuyant, les bras tatoués du prénom de ses deux filles, Ben a 26 ans. Après une enfance difficile, entre un père alcoolique et décrochage scolaire, il se crée une idée très précise du type d'homme qu'il veut incarner : « Un homme traditionnel, qui protège, qui ramène l'argent à la maison, s'assure que sa famille a un toit et de quoi manger. Pour moi, c'est ça, être un homme. C'est beaucoup de pression, mais c'est mon choix. Mais je crois quand même que la société a une responsabilité majeure dans ce qu'on attend d'un homme. »Et parmi ces attentes, il y en a une qui le touche particulièrement : l'impression de ne pas pouvoir exprimer ses émotions, en tant qu'homme. « Ma manière de les gérer, c'était de m'automutiler. Ce n'est pas pour rien que le taux de suicide chez les hommes est si élevé : nous n'avons personne à qui parler. Pour les femmes, en général, vous prenez votre téléphone et vous allez prendre un thé avec des amies. Pour un homme, si j'appelle un pote pour discuter, il se moque de moi. »Après un passage par les drogues et la prison, Ben devient chef cuisinier et intègre un groupe de parole pour hommes. Dans ce groupe, son mentor connaît bien ce phénomène, des émotions refoulées, un sentiment d'injustice qui conduisent à la violence. Parfois contre soi-même, comme pour Ben, mais parfois contre les femmes, surtout depuis #MeToo. Chris Hemmings, ex-journaliste devenu thérapeute, intervient dans les établissements scolaires pour lutter contre cette violence. « Ces 10 dernières années, beaucoup a été fait pour aider les femmes. Mais les jeunes hommes voient toujours le taux de suicide, de sans-abrisme, d'alcoolisme, et se sentent lésés. Ce qu'ils ressentent, c'est une société qui s'occupe des femmes et des filles, et qui se fiche d'eux. Je leur dis : "ok, mais les femmes se sont battues pour tout ça, à nous de nous battre" ! »« L'école a un vrai rôle à jouer »Mais ce genre d'initiatives, dans les établissements scolaires, reste rare. James McCann, co-fondateur d'une ONG baptisée Feminist Men, déplore l'espace laissé aux influenceurs misogynes sur les réseaux sociaux. « Certains hommes se sentent seuls, isolés, se demandent comment naviguer dans un monde qui a tellement changé. Et qui fournit une information accessible ? Malheureusement, ce sont ces individus misogynes, qui font des femmes un bouc émissaire. Il est là, le problème. »Dans son appartement de Brighton, le jeune Ben fixe la mer par la fenêtre : « J'aurais aimé qu'on me tende la main plus tôt. Je pense que je n'aurais pas eu à traverser tout ce que j'ai traversé. Et l'école a un vrai rôle à jouer là-dedans. »Parmi les solutions évoquées par les associations, plus d'investissements pour la santé mentale des hommes, qui représentent encore trois quarts des suicides. Et plus de modération sur les réseaux sociaux, voire des restrictions d'accès pour les plus jeunes.À lire aussiNetflix hit 'Adolescence' stokes UK parents' anxiety
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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le départ du footballeur Luka Modric du Real Madrid, les expulsions massives de migrants par l'Algérie vers le Niger et les nouvelles sanctions adoptées par l'UE contre la Russie. Iles Chagos : le Royaume-Uni reconnait la souveraineté de MauriceAprès un bras de fer de plus d'un demi-siècle, les îles Chagos ont été rétrocédées par le Royaume-Uni à l'île Maurice. Mais les Britanniques garderont la base militaire de Diego Garcia, moyennant un loyer annuel de 120 millions d'euros, durant 99 ans. Pourquoi les Britanniques veulent-ils à tout prix garder cette base ? Les 2 000 personnes qui avaient été expulsées dans les années 1960 et 1970 vont-elles pouvoir revenir sur les îles et si oui, qui prendra en charge leur retour ? Avec Abdoollah Earally, correspondant de RFI à Port-Louis. Football : le milieu de terrain croate Luka Modric signe son départ Une page se tourne au Real Madrid. Le milieu de terrain croate Luka Modric quittera le club après la Coupe du monde clubs, en juillet 2025. Il aura porté le maillot des Merengues durant 13 ans, comment expliquer une telle longévité ? Sait-on quelle est sa prochaine destination ? Avec Antoine Grognet, journaliste au service des Sports de RFI. Niger : les expulsions massives de migrants depuis l'Algérie se multiplient Les expulsions massives de migrants par l'Algérie vers le Niger soulèvent de vives inquiétudes chez les ONG. Quelle est la position des autorités nigériennes concernant ces pratiques ? Comment le Niger compte-t-il négocier avec ses voisins pour le rapatriement de leurs ressortissants ? Avec Florence Boyer, chargée de recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement, membre de l'Unité de Recherche Migration et Société. Guerre en Ukraine : l'UE sanctionne les navires «fantômes» russes L'Union européenne vient d'imposer un nouveau train de sanctions contre la Russie en ciblant sa flotte «fantôme». Que sait-on de ces navires et pourquoi sont-ils traqués par l'UE? Ces nouvelles sanctions peuvent vraiment avoir un impact sur le conflit et pousser la Russie à « vouloir la paix » ?Avec Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors.
L'émission 28 minutes du 24/05/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse Blick.fr, Aysegul Sert, journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po, Gilles Gressani, directeur de la revue "Le Grand Continent", et le dessinateur de presse Pierre Kroll.Le Royaume-Uni est-il en train d'effacer le Brexit ? Lundi 19 mai, le Premier ministre britannique Keir Starmer accueillait à Londres la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Un pas décisif pour le Royaume-Uni depuis le référendum historique sur le Brexit de 2016, avec un objectif affiché : resserrer les liens avec l'Union européenne, notamment à travers un partenariat de sécurité et de défense. Nouvellement élu, Keir Starmer ne cache pas son tropisme pro-européen, qui le distingue de ses prédécesseurs. Dans un contexte marqué par la guerre en Ukraine, la menace russe et l'isolationnisme américain, le Premier ministre britannique décidera-t-il de renouer avec l'Europe ?Présidentielle française : deux ans avant, c'est trop tôt ?“J'y vais pour l'emporter.” Alors que Bruno Retailleau vient d'être élu à la tête du parti Les Républicains, le député de la Somme François Ruffin, ancien de La France Insoumise, réclame une primaire à gauche où il se voit gagnant. Alors que 2027 approche, ces événements donnent-ils d'ores et déjà des indices sur les personnalités marquantes de la course à la présidentielle ? Et autour de quels débats peut se cristalliser l'opinion ?Nous recevons la sportive suisse de haut niveau Géraldine Fasnacht, qui vient de publier “La femme oiseau” aux éditions Arthaud, écrit avec Florence Saugues. Adepte de snowboard freeride, de base-jump, de wingsuit et d'ULM, notre invitée repousse les limites de ces disciplines en sautant et volant toujours plus haut, toujours plus loin. Valérie Brochard nous présente Rita de Crescenzo, figure d'un nouveau populisme à l'italienne, et plus précisément à la napolitaine. Influenceuse au 1,8 million d'abonnés sur TikTok, maniant insultes et menaces avec brio, elle envisage de se lancer en politique.Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine au conservateur polonais Karol Nawrocki. À 42 ans, il s'est qualifié pour le second tour de la présidentielle de son pays qui aura lieu le 1er juin. Intronisé par le parti conservateur et souverainiste PIS, il est diamétralement opposé au Premier ministre Donald Tusk, à qui il rêve d'imposer une cohabitation sans concession.Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision de Corée du Sud, où l'alcool est partout : dans les séries, sur les plateaux de débat ou même dans les émissions de variétés où triomphent les stars de la K-pop. Une visibilité qui n'est pas sans conséquences sur l'alcoolisme des jeunes du pays.Paola Puerari s'intéresse au sommeil des adolescents. Depuis trois ans, un collège de Suède a décidé de décaler le début des cours pour permettre à ses élèves de dormir une heure de plus. Les conséquences sur les résultats scolaires et sur l'ambiance sont sans appel : il est bon de laisser dormir l'ado qui dort. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : comment lutter contre les feux de forêt ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 124 mai 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a signé l'accord restituant les Chagos à l'île Maurice. La justice britannique a rejeté un recours contre cette décision. Le Royaume-Uni avait expulsé les habitants, dans les années 1960-1970, pour y installer une base militaire américaine qui, elle, restera. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:16 - Journal de 18h - Alors que l'armée israélienne continue de bombarder Gaza, les protestations européennes se font plus fortes, et Londres suspend ses négociations commerciales avec Israël.
durée : 00:20:16 - Journal de 18h - Alors que l'armée israélienne continue de bombarder Gaza, les protestations européennes se font plus fortes, et Londres suspend ses négociations commerciales avec Israël.
Le Royaume-Uni et l'Union européenne amorcent un rapprochement prudent, marquant une nouvelle phase de coopération notamment sur les plans économique, sécuritaire et militaire. Si un retour dans l'UE (un “BrexIN”) n'est pas à l'ordre du jour, les liens se resserrent, avec des avancées notamment saluées par des pays tiers comme la Suisse. Toutefois, ce rapprochement divise au Royaume-Uni : la presse conservatrice crie à la trahison du Brexit, tandis que d'autres médias y voient une opportunité de renouveau. En parallèle, un article du New York Times compare les limites du Brexit à l'évolution du mouvement populiste incarné par Donald Trump. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Dans cet épisode, nous abordons les rôles de médiateur joués par la Turquie dans les négociations entre la Russie et l'Ukraine, les projets du gouvernement britannique pour réduire l'immigration légale, ainsi que les plans de l'administration Trump pour limiter les recours judiciaires des migrants aux États-Unis.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:18:59 - Journal de 18h - C'est une première trêve dans la guerre commerciale de Donald Trump. Le président américain annonce un accord entre les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Il s'agit en réalité d'un compromis qui prévoit par exemple de réduire à 10% les taxes sur les véhicules britanniques exportées aux Etats-Unis.
durée : 00:18:59 - Journal de 18h - C'est une première trêve dans la guerre commerciale de Donald Trump. Le président américain annonce un accord entre les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Il s'agit en réalité d'un compromis qui prévoit par exemple de réduire à 10% les taxes sur les véhicules britanniques exportées aux Etats-Unis.
Episode à paraitre le 5 Mai, extrait :
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Au fait, c'est quoi une femme ? Le Royaume-Uni a tranché Un "starter pack" de Gisèle Pelicot fait polémique Affaire abbé Pierre, le Vatican savait depuis... 1955 !
Dans sa chronique, Stéphane Ricoul revient sur une série d'initiatives fiscales menées par plusieurs pays pour mieux encadrer les géants du numérique. Le Royaume-Uni songe à abandonner sa taxe GAFA, la France veut taxer les centres de données, et l'Italie réclame près d'un milliard à MetaX et LinkedIn.
En plus de faire un carton d'audience, cette minisérie Netflix a provoqué un débat au plus haut sommet de l'Etat britannique. Adolescence commence comme un polar. Dans une proprette banlieue anglaise, une brigade de police intervient violemment dans une maison à l'aube pour interpeller… le cadet de la famille. Jamie, 13 ans, gueule d'ange et pyjama mouillé d'urine, ne comprend pas ce qui lui arrive. Bientôt, il sera accusé d'avoir tué de sept coups de couteau Katie, une camarade de son collège. La série, diffusée depuis le 13 mars, bascule alors dans le drame familial et sociétal et pointe en creux l'influence grandissante des idées masculinistes sur les jeunes hommes britanniques. Un sujet qui préoccupe les enseignants au Royaume-Uni depuis déjà quelques années.Les créateurs d'Adolescence, Jack Thorne et Stephen Graham, espéraient susciter le débat avec cette œuvre. Au Royaume-Uni, c'est allé au-delà de leurs espérances : la série a été évoquée au Parlement par le premier ministre, Keir Starmer, et sera bientôt diffusée dans tous les collèges et lycées du pays.Pourquoi cette série bouscule-t-elle autant les esprits ? Comment expliquer l'influence grandissante de la pensée masculiniste sur les jeunes garçons britanniques ? Et les réponses proposées par le gouvernement sont-elles suffisantes ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », deux journalistes de la rédaction, Thomas Sotinel, spécialiste des séries, et Cécile Ducourtieux, correspondante au Royaume-Uni, répondent à toutes ces questions.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia, réalisé par Florentin Baume. Présentation : Claire Leys. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli et Claire Leys. Dans cet épisode : extraits d'une interview à la BBC du premier ministre britannique, Keir Starmer, le 31 mars 2025 ; d'une prise de parole de la députée britannique Alexandra Davies-Jones, en janvier 2023 ; extraits de vidéos de l'influenceur masculiniste Andrew Tate ; de la bande-annonce d'Adolescence.Cet épisode a été diffusé le 15 avril 2025.---Que pensez-vous des podcasts du « Monde » ? Donnez votre avis en répondant à cette enquête. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Cette revue de presse internationale nous emmène au Royaume-Uni, en Inde et en Égypte. Découvrez les principaux sujets d'actualité dans ces pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte l'histoire d'un drôle de réchauffement entre deux vieux ennemis entré dans l'Histoire sous le nom de “l'Entente cordiale” ou quand la France et le Royaume-Uni ont - presque - fait la paix grâce à un traité signé il y a 121 ans aujourd'hui… Dans quel contexte cet accord a-t-il été signé ? Quels en étaient les objectifs ? 121 ans plus tard, où en sont les relations franco-britanniques ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Philippe Chassaigne, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Bordeaux-Montaigne, spécialiste de l'histoire de la Grande-Bretagne, auteur de ""Histoire de l'Angleterre, des origines à nos jours"" (Flammarion, collection Champs Histoire). Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Loïc Vimard. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Jean-Christophe Piot. Journaliste : Armelle Thiberge. "Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte l'histoire d'un drôle de réchauffement entre deux vieux ennemis entré dans l'Histoire sous le nom de “l'Entente cordiale” ou quand la France et le Royaume-Uni ont - presque - fait la paix grâce à un traité signé il y a 121 ans aujourd'hui… Dans quel contexte cet accord a-t-il été signé ? Quels en étaient les objectifs ? 121 ans plus tard, où en sont les relations franco-britanniques ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Philippe Chassaigne, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Bordeaux-Montaigne, spécialiste de l'histoire de la Grande-Bretagne, auteur de ""Histoire de l'Angleterre, des origines à nos jours"" (Flammarion, collection Champs Histoire). Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Loïc Vimard. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Jean-Christophe Piot. Journaliste : Armelle Thiberge. "Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Dans cette revue de presse internationale :Au Japon, la presse locale souligne l'embarras du gouvernement face à la guerre commerciale déclenchée par Donald Trump, craignant de fâcher leur puissant allié américain.En Espagne, un nouvel abonnement de train exclusivement réservé aux touristes étrangers, le Spain Rail Pass, permet de découvrir le pays de manière économique et écologique.Au Royaume-Uni, le gouvernement annonce une grande réorganisation du système public de santé, la NHS England, afin de réduire la bureaucratie et donner la priorité aux soins des patients.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Cette revue aborde les sujets d'actualité en Espagne, au Royaume-Uni et en Égypte, notamment l'utilisation de l'intelligence artificielle pour gérer les catastrophes naturelles, la distribution gratuite de la pilule du lendemain et les polémiques autour des séries télévisées du Ramadan.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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