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durée : 00:20:12 - Journal de 18h - Emmanuel Macron a reconnu cet après-midi dans un communiqué, "l'assassinat" du dirigeant du Front de libération nationale (FLN) Larbi Ben M'hidi "par des militaires français", placés sous le commandement du général Aussaresses", indique un communiqué de l'Elysée.
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durée : 00:59:43 - Une histoire particulière - 8 janvier 1957. Le général Massu quadrille Alger avec sa 10ème division parachutiste. Pas moins de 8 000 hommes. La grande répression d'Alger va commencer. La torture, elle, va se généraliser. À la « manœuvre », Paul Aussaresses.
durée : 00:59:43 - Une histoire particulière - 8 janvier 1957. Le général Massu quadrille Alger avec sa 10ème division parachutiste. Pas moins de 8 000 hommes. La grande répression d'Alger va commencer. La torture, elle, va se généraliser. À la « manœuvre », Paul Aussaresses.
durée : 00:13:08 - Une histoire particulière - Comment trainer un homme devant la Justice alors que des lois d'amnistie votées à l'issue des accords d'Évian les disculpent des crimes qu'ils ont commis ? Alors c'est un livre qu'on va juger ! - invités : Gilles Manceron Historien, spécialiste du colonialisme français. Membre de la Ligue des Droits de l'Homme (LDH) et du CVUH (Comité de vigilance face aux usages publics de l'histoire); Sylvie Thénault Historienne, directrice au CNRS, spécialiste de la colonisation en Algérie et de la guerre d'indépendance algérienne; Henri Leclerc Avocat, président d'honneur de la Ligue des Droits de l'Homme (LDH); Florence Beaugé Ancienne journaliste au journal Le Monde
durée : 00:15:41 - Une histoire particulière - En publiant le 3 mai 2001 aux éditions Perrin un ouvrage choc intitulé « Services spéciaux : Algérie 1955-1957 » dans lequel il reconnait l'usage de la torture et son utilisation légitime, Paul Aussaresses persiste et signe. - invités : Gilles Manceron Historien, spécialiste du colonialisme français. Membre de la Ligue des Droits de l'Homme (LDH) et du CVUH (Comité de vigilance face aux usages publics de l'histoire); Florence Beaugé Ancienne journaliste au journal Le Monde ; Marie-Monique Robin Journaliste d'investigation, réalisatrice et écrivain; Sylvie Thénault Historienne, directrice au CNRS, spécialiste de la colonisation en Algérie et de la guerre d'indépendance algérienne; Malika Rahal Historienne, chargée de recherche HDR au CNRS, et directrice de l'Institut d'Histoire du Temps Présent. Elle est spécialiste de l'histoire contemporaine de l'Algérie
durée : 00:12:01 - Une histoire particulière - Celui qui va se qualifier lui-même de voyou de la République, décide, 40 ans après la signature des accords d'Évian mettant un terme à la guerre d'Algérie, de tout révéler sur la torture. - invités : Florence Beaugé Ancienne journaliste au journal Le Monde ; Malika Rahal Historienne, chargée de recherche HDR au CNRS, et directrice de l'Institut d'Histoire du Temps Présent. Elle est spécialiste de l'histoire contemporaine de l'Algérie; Marie-Monique Robin Journaliste d'investigation, réalisatrice et écrivain; Claire Mauss-Copeaux Historienne de la guerre d'Algérie et des violences de guerre
durée : 00:14:48 - Une histoire particulière - 8 janvier 1957. Massu prend possession d'Alger avec ses parachutistes de la 10ème division. La torture va désormais être au centre de la politique de « pacification ». Combien en ont été victimes en toute légalité ? - invités : Sylvie Thénault Historienne, directrice au CNRS, spécialiste de la colonisation en Algérie et de la guerre d'indépendance algérienne; Florence Beaugé Ancienne journaliste au journal Le Monde ; Malika Rahal Historienne, chargée de recherche HDR au CNRS, et directrice de l'Institut d'Histoire du Temps Présent. Elle est spécialiste de l'histoire contemporaine de l'Algérie
Pas d'excuses de la France à l'Algérie, mais des actes symboliques forts, comme la création d'une commission « Mémoires et Vérité ». C'est de cette façon qu'Emmanuel Macron espère apaiser le conflit mémoriel sur la guerre d'Algérie et rapprocher les deux pays. Le président français s'inspire du rapport que lui a remis hier mercredi l'historien Benjamin Stora. Mais ces actes symboliques suffiront-ils ? Il y a quelques années, l'essayiste Akram Belkaïd a publié au Seuil « Un regard calme sur l'Algérie ». Aujourd'hui, il écrit dans Le Monde diplomatique et le Quotidien d'Oran. Il répond à Christophe Boisbouvier. RFI : « Il y aura des actes symboliques, mais ni repentance, ni excuses », prévient l’Élysée. Qu’est que vous en pensez ? Akram Belkaïd : Il n’y a pas de demande officielle d’excuses côté algérien. C’est un sujet qui ressemble à une espèce de serpent de mer. Mais si l’on se place du côté algérien, pour dire la vérité, cela n’a jamais été un leitmotiv politique. C’est brandi de temps à autre, parce qu’on a envie d’embêter Paris, parce qu’on a envie de créer de la tension, mais c’est une revendication qui est très rare. En revanche, ce qui est quelque chose d’assez récurrent, c’est le refus de la réécriture, d’une certaine manière, de l’histoire. C’est-à-dire, d’obliger les Algériens à, finalement, relativiser la portée de leur combat, d’obliger les Algériens à reconnaître des points positifs à la colonisation. Là, pour le coup, les choses se tendent et effectivement, en retour, on peut avoir des réactions un peu plus radicales. Côté algérien, il y a aussi cette idée qu’il ne faudrait pas que des excuses servent à renforcer et à légitimer un régime qui est énormément contesté en ce moment. C’est-à-dire que, dans le scénario parfait, cela pourrait arriver le jour où, en Algérie, on aura un état de droit, on aura une démocratie, on aura des gens au pouvoir qui n’utiliseront pas la question des excuses et de la relation avec la France pour renforcer leur pouvoir. C’est loin d’être le cas aujourd’hui. C’est-à-dire que, pour le mouvement Hirak, ce n’est pas le bon moment, aujourd’hui, pour présenter des excuses à Alger ? Cela va peut-être étonner beaucoup d’auditeurs, mais, à bien des égards, la question mémorielle franco-algérienne est plus un sujet franco-français, aujourd’hui, qu’un sujet algérien. L’Algérie est un pays dont la population est jeune, les deux tiers de la population n’ont pas connu la période coloniale. Lorsque monsieur Macron avait qualifié la colonisation de crime contre l’humanité, il était encore candidat à l’époque, on se souvient de la réaction de la classe politique française, à droite, mais aussi chez une partie de la gauche. Donc je vois cela plutôt comme un vrai sujet de politique intérieure française, alors qu’en Algérie, même si la question reste posée, il y a plus de distance. Tout de même, concrètement, Benjamin Stora propose la création d’une commission « Mémoires et vérité », qui pourrait impulser des initiatives communes entre la France et l’Algérie. On parle, par exemple, de la restitution de biens très symboliques, comme l’épée de l’émir Abd el-Kader ou le canon Bab Merzoug, qui est actuellement en Bretagne… Qui est à Brest, oui… Et on parle de la déclassification de toutes les archives d’avant 1970 et de la restitution d’un certain nombre de ces archives à l’Algérie. On parle aussi de la recherche de la sépulture de tous les disparus de la guerre d’Algérie… C’est du concret, est-ce que cela pourrait permettre d’avancer ? Bien sûr. C’est du concret, mais c’est autant de mesures qui auraient pu figurer dans quelque chose d’un peu plus ambitieux, à mon sens, qui aurait été ce fameux traité d’amitié, qui était prêt à être signé au début des années 2000, sous la présidence de Jacques Chirac, et qui a été abandonné, parce qu’on a eu la très fameuse polémique autour du projet de loi français sur le rôle positif de la colonisation. Il y a eu quand même, par Emmanuel Macron, la reconnaissance que la France avait tué le pro-FLN Maurice Audin, à Alger, en 1957… C’est très important, mais cela n’a pas empêché quelques remarques acerbes côté algérien sur « Et les autres ? ». Parce que Maurice Audin, aussi valeureux était-il, beaucoup de gens ont eu cette lecture en Algérie de dire « C’est du sort d’un Européen que monsieur Macron s’est préoccupé ». Il faut que la France reconnaisse sa responsabilité dans la mort d’Ali Boumendjel ? Absolument ! Pour le coup, ce serait quelque chose d’important. Et puis que l’on sache un peu ce qui s’est passé pour Larbi Ben M’hidi, par exemple, dont le militaire français Aussaresses avait revendiqué l’assassinat. L’un des chefs de la bataille d’Alger… La bataille d’Alger, en soi, est un dossier brûlant. L’usage de la torture, les disparus pendant cette bataille, etc. Là, pour le coup, oui, c’est quelque chose qui pourrait avoir un impact assez important, côté algérien. Vous parliez tout à l’heure des archives. Il est évident qu’il y a un fantasme absolu, en Algérie, à propos de ces archives. Certains sont persuadés que la France détient encore des secrets inavouables concernant des trahisons, sur des gens qui auraient servi les intérêts de la France en étant au FLN… Là aussi, il faut l’ouverture des archives et leur accès réciproque, parce que très peu de chercheurs algériens ont accès à leurs propres archives, en Algérie. A tel point que certains préfèrent qu’elles restent encore en France, de peur qu’elles ne soient altérées ou mises sous le boisseau. Et ce traité de réconciliation et d’amitié, est-ce qu’il pourrait être signé l’année prochaine, à l’occasion du 60e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie ? C’est toute la question. Le problème étant, aujourd’hui, presque le vide politique de l’autre côté de la Méditerranée. On est tout de même dans une situation de crise politique importante, en Algérie, avec un président malade, avec une contestation qui n’attend que le retour à des conditions sanitaires normales pour reprendre la rue, pour manifester… Est-ce que les Français auront un interlocuteur qui aura toute la légitimité pour signer un tel accord mémoriel ? Je ne le sais pas. Je remarque, par exemple, qu’on espérait aussi avoir les propositions algériennes et pas seulement celles de monsieur Stora. Donc qu’est-ce qui se passe côté algérien, où est-ce que cela en est ?
Como a Segunda Guerra Mundial, Guerra do Vietnã e o processo de libertação da Argélia se relacionam com o Brasil? No episódio desta semana contamos a história do general francês Paul Aussaresses, que cunhou o termo estado de tortura total e foi implacável com seus inimigos. Durante a década de 1970, ele desembarcou no Brasil com duas missões: vender armas e ensinar aos oficiais de toda a América Latina o seu método de repressão contra os adversários. Entregou um verdadeiro manual para a Ditadura criar Esquadrões da Morte e abusar da tortura. Patrocinador: www.drinko.com.br
[...] effondrée par mort du Général Aussaresses à qui EDF doit tant, la Salle 101 retombe en enfance, parle de Bidouille et Violette, bande-dessinée d’Hislaire, du Cycliste de Tchernobyl, roman de Javier Sebastian, et du Bookfighting Club, concept d’Yves Duranthon. Alors s’il te plaît. « La poésie, moi, c’est toute ma vie« , lance François F.
[…] effondrée par mort du Général Aussaresses à qui EDF doit tant, la Salle 101 retombe en enfance, parle de Bidouille et Violette, bande-dessinée d'Hislaire, du Cycliste de Tchernobyl, roman de Javier Sebastian, et du Bookfighting Club, concept d'Yves Duranthon. Alors s'il te plaît. « La poésie, moi, c'est toute ma vie« , lance François F.
1-Tensioni nel mare cinese: il mediatore joe biden fa la spola tra Pechino e Tokyo. ..2-Manipolazione dell'Euribor: Maxi multa dell'UE ..a otto grandi banche. ..3-Brasile: assassinato il leader dei Guaranì Ambrosio Vilhalva. ..4-USA: ora che il sito ha cominciato a funzionare ..Obama rilancia la sua riforma sanitaria. ..5-torturatore non pentito. È morto il generale Aussaresses. Il militare più decorato della francia ..scrisse una delle pagine più nere della battaglia di Algeri. ..5-World music: cantando in greco sulle sponde del Bosforo: l'album dell'artista curda Cigdem Aslan...6-Progetti sostenibili : Seattle si dota di un piano per ridurre del 90% i gas serra. 7-Musica e nuove tecnologie: finalmente pubblicati i guadagni degli artisti dagli ascolti in streaming.....
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