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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le travail des journalistes aux côtés de l'armée béninoise, sur les ennuis judiciaires de Marine Le Pen et sur la réforme de l'Église catholique allemande. CAN 2027 : pourquoi le Sénégal a échoué ?L'organisation de la CAN de 2027 a été attribuée au Kenya, à l'Ouganda et à la Tanzanie. Qu'est-ce qui a manqué au Sénégal, pays candidat, pour être sélectionné ? À quels défis, le trio est-africain va-t-il devoir faire face pour organiser la compétition ? Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports. Bénin : l'armée médiatise ses opérations antiterroristes L'armée béninoise, qui mène l'opération antiterroriste « Mirador » dans le nord du pays, a accepté d'emmener plusieurs journalistes avec elle dont une envoyée spéciale de RFI. Comment expliquer cette décision inédite de l'armée béninoise ? Comment la journaliste de RFI a-t-elle travaillé dans le cadre de cette opération ? Avec Magali Lagrange, journaliste au service Afrique de RFI. France : Marine Le Pen dans le viseur de la justiceLe parquet de Paris a requis un procès contre Marine Le Pen et 26 autres membres du Rassemblement national. Quels faits leur sont reprochés ? Quel pourrait être l'impact de cette affaire judiciaire sur le parti RN ? Avec Pierrick Bono, journaliste au service Politique de RFI. Allemagne : des prêtres bénissent des couples homosexuels En Allemagne, devant la cathédrale de Cologne, des prêtres ont procédé à la bénédiction de couples gays. Pourquoi avoir organisé cette cérémonie alors que l'Église catholique interdit l'union des couples homosexuels ? Un changement de position de l'Église allemande serait-il possible ? Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin.
Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.
Quand les supporters de football s'insultent... Des chants homophobes contre les Marseillais, à Paris. Réalisé par Jean-Pierre Pellon.
Chaque année dans le monde, on compte environ 73 millions d'avortements provoqués. Or, si en France, l'IVG (interruption volontaire de grossesse) est dépénalisée depuis 1975, ce n'est pas le cas dans tous les pays, poussant des femmes à avoir recours à des avortements clandestins, non sécurisés. Ainsi, selon l'OMS, environ 45% des avortements ne sont pas sécurisés et la grande majorité de ceux-ci (97%) a lieu dans les pays en développement. L'avortement non sécurisé constitue l'une des principales causes de décès maternels et de morbidité. Quelles sont les conséquences pour la santé des femmes ? Régulièrement menacé, où en est le droit à l'avortement dans le monde ? Dr Danielle Hassoun, gynécologue obstétricienne à Paris, elle a été responsable du Centre d'IVG de l'Hôpital Delafontaine à Saint-Denis Pr Christiane Tshabu Aguemon, cheffe de service adjointe de la Clinique universitaire de gynécologie et d'obstétrique du Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou, au Bénin Christophe Paget, journaliste à RFI, sur la situation aux États-Unis et au Mexique Dr Estelle Pasquier, chercheuse d'Epicentre/MSF qui a co-dirigé l'étude AMoCo sur la sévérité des complications d'avortements dans les contextes de conflits (Bangui) ou d'extrême fragilité (Jigawa State au Nord-Nigeria). La programmation musicale :► Clara Luciani – La grenade.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la visite du pape à Marseille, sur des prêtres allemands favorables au mariage homosexuel et sur les pourparlers au Haut-Karabakh. Football : le Guinéen Serhou Guirassy enchaîne les buts avec StuttgartDepuis le début du championnat allemand, Serhou Guirassy, l'avant-centre du club de Stuttgart a marqué dix buts en seulement cinq matchs. Comment expliquer les performances de l'international guinéen ? Le Syli national peut-il espérer un bon parcours à la CAN 2024 avec un tel attaquant ? Avec Olivier Pron, journaliste au service des sports de RFI. Religion : le plaidoyer du pape pour l'accueil des migrants Le pape François s'est rendu à Marseille pour une visite de deux jours. Pour quelles raisons a-t-il choisi cette ville ? Pourquoi le pape a-t-il fait de la question migratoire l'une des priorités de son pontificat ? Avec Véronique Gaymard, présentatrice de Religions du Monde. Allemagne : des prêtres bénissent des couples homosexuels En Allemagne, devant la cathédrale de Cologne, des prêtres ont procédé à la bénédiction de couples gays. Pourquoi avoir organisé cette cérémonie alors que l'Église catholique interdit l'union des couples homosexuels ? Un changement de position de l'Église allemande serait-il possible ? Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. Haut-Karabakh : discussions entre l'Azerbaïdjan et les séparatistes Après les combats de la semaine dernière, l'Azerbaïdjan et les séparatistes ont entamé des pourparlers sur le Haut-Karabakh. Sur quoi portent les discussions entre les deux belligérants ? Quelle est la réaction de la Russie qui a une mission de la paix sur place ? Avec Jean Radvanyi, géographe, professeur émérite à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), auteur notamment de La Russie, vertige de puissance, Éditions La Découverte, 2023.
Débat entre Micheline Calmy-Rey, ancienne présidente de la Confédération et ministre des Affaires étrangères, Vincent Chetail, professeur de droit international à l'Institut de hautes études internationales et du développement, et Régis Genté, correspondant RTS et RFI dans le Caucase.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les affrontements qui ont opposé la CMA et les forces maliennes, sur un « accord électoral » en 2018 en RDC et sur les négociations au Haut-Karabakh. Niger : les 1 500 militaires français sur le départ Le président français, Emmanuel Macron, a finalement annoncé le départ des troupes françaises du Niger après avoir écarté pendant deux mois cette option demandée par les putschistes. Comment expliquer ce revirement ? Ces militaires vont-ils être redéployés sur le continent ? Les autres contingents étrangers vont-ils également quitter le pays ? Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense. Mali : retour sur les combats entre Bamako et la CMA Après avoir occupé des camps de l'armée malienne, la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA) s'est retirée de la ville de Léré. De nouveaux affrontements sont-ils à craindre entre les ex-rebelles du Nord et les forces armées ? Ces combats enterrent-ils définitivement l'accord de paix d'Alger ? Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI. RDC : y a-t-il eu un accord électoral en 2018 ?Corneille Nangaa, l'ancien président de la Commission électorale, a accusé le président Félix Tshisekedi de mentir au sujet d'un accord électoral conclu avec son prédécesseur Joseph Kabila, lors de la dernière élection présidentielle. Pourquoi cette polémique ressurgit à quelques mois du scrutin ? Quelle était la nature de cet arrangement selon Corneille Nangaa ? Avec Fred Bauma, directeur exécutif d'Ebuteli, Institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence.Haut-Karabakh : discussions entre l'Azerbaïdjan et les séparatistes Après les combats de la semaine dernière, l'Azerbaïdjan et les séparatistes ont entamé des pourparlers sur le Haut-Karabakh. Sur quoi portent les discussions entre les deux belligérants ? Quelle est la réaction de la Russie qui a une mission de la paix sur place ? Avec Jean Radvanyi, géographe, professeur émérite à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), auteur notamment de La Russie, vertige de puissance, Éditions La Découverte, 2023.
Le gouvernement français cherche à ménager le pouvoir d'achat des automobilistes. Vente à perte, chèque carburant, casse-tête… Réalisé par Thierry Le Saint.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur un recours devant la Cédéao pour contester la dissolution du Pastef, sur le départ de l'entraîneur de l'Olympique de Marseille et sur une requête pour obtenir le retour de Mohamed Bazoum au pouvoir. RDC : Denis Mukwege, bientôt candidat à l'élection présidentielle ? Le prix Nobel de la Paix 2018 a reçu 100 000 dollars de la part de ses partisans pour se présenter à l'élection présidentielle. Ce soutien pourrait-il le convaincre d'être candidat ? A-t-il déjà parlé de ses propositions politiques ? Avec Paulina Zidi, journaliste au service Afrique de RFI. Sénégal : recours des avocats d'Ousmane Sonko devant la Cédéao Les avocats de l'opposant Ousmane Sonko ont déposé un recours auprès de la Cour de justice de la Cédéao pour faire suspendre la dissolution de son parti, le Pastef. Quelles sont leurs chances d'obtenir gain de cause ? Aujourd'hui, le Pastef est-il en mesure de présenter un candidat ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Niger : Mohamed Bazoum saisit la Cour de justice de la CédéaoL'avocat de Mohamed Bazoum a saisi la Cour de justice de la Cédéao pour demander la libération et la restauration du président déchu. Quel est son objectif dans la mesure où le Niger est suspendu de la Cédéao ? Est-ce qu'une décision de l'organisation pourrait faire évoluer la situation au Niger ? Avec Maître Seydou Mohamed Diagne, avocat de Mohamed Bazoum, avocat au Barreau de Dakar. Football : Marcelino quitte l'OMAprès seulement sept matchs, l'entraîneur de l'Olympique de Marseille, Marcelino, a annoncé son départ. Quelles en sont les raisons ? Quelles en sont les conséquences sur le plan sportif ? Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.
Miles de nostálgicos de la Unión Europea se manifestaron el sábado en Londres a favor del regreso del Reino Unido al bloque dejado tras el Brexit. Un sondeo indica que la mayoría de los británicos quieren volver. En base al informe de Daniel Postico, corresponsal de RFI en Londres.Con la melodía de The Yellow Submarine de los Beatles, pero con un estribillo donde se escucha “Estamos todos en la Tragedia del Brexit”, empezó este sábado la marcha proeuropea en Londres con miles de personas venidas de toda Inglaterra como este matrimonio de Sheffield.“Nos hemos levantado a las 6 de la mañana y hemos tardado cuatro horas en venir en un autocar con cánticos anti-Brexit”, explica a RFI uno de los manifestantes. Pese a la paliza del viaje, él quienes lo acompañan sentían que tenían que estar aquí.“Porque soy un patriota y creo en el futuro de este país y creo que el futuro de este país significa estar más cerca de nuestros vecinos, nuestros amigos y nuestros socios comerciales en Europea”, asegura otro hombre.“En las próximas elecciones generales tenemos que echar a los conservadores porque son unos criminales”, agrega una mujer.Mucha gente estaba aquí en protesta porque desde el Brexit el país entrado en una crisis económica y se ha deteriorado la calidad de vida de los ciudadanos.“Es realmente depresivo que nuestro país se haya aislado en un tiempo en el que deberíamos estar trabajando con nuestros socios y nuestros vecinos para hacer frente a los problemas que tenemos”, sostiene una joven.“Creo que el Brexit fue un error muy grande al que nos llevó un gobierno corrupto que solo quería llenarse los bolsillos” abunda un hombre mayor.Las encuestas dicen que el 64% de los británicos votaría seguir en la Unión Europea en un nuevo el referéndum. Pero dice este señor de 67 años que no piden otra consulta.“Creo que no sería necesario el referéndum, tan solo volver a entrar. La presión económica y política será tan grande que cualquiera que esté en el poder, probablemente los laboristas con el apoyo de los liberal-demócratas, no tendrá más remedio que pedir la entrada primero como miembro asociado y luego como miembro a pleno poder”, asegura.Otro de los manifestantes, de 70 años, recuerda que esta semana el líder laborista y europeísta, Kir Starmer, el gran favorito a las elecciones del año que viene, ha dicho que quiere estar cerca de la Unión Europea.“Starmer tendrá la presión de los puntos de vista que anteriormente ya ha expresado para tener una relación más cercana con la Unión Europea”, cree otro europeísta.
En mai 2019, l'enlèvement de deux Français au Bénin, et l'assassinat de leur guide béninois, fait monter le niveau d'alerte sécuritaire dans les départements du Nord. Depuis, le pays fait face à des attaques de terroristes implantés au Sahel qui cherchent à étendre leurs actions vers les pays du Golfe de Guinée. Pour contrer cette menace et sécuriser les frontières, l'armée a lancé, début 2022, l'opération Mirador. 3 000 militaires, dans ces zones dont certaines sont devenues difficiles d'accès pour les journalistes. L'état-major béninois a accepté d'y emmener plusieurs médias, dont RFI, pendant une semaine. « Dans le nord du Bénin, l'opération militaire Mirador face à la pression terroriste », un grand reportage de Magali Lagrange.
Miles de nostálgicos de la Unión Europea se manifestaron el sábado en Londres a favor del regreso del Reino Unido al bloque dejado tras el Brexit. Un sondeo indica que la mayoría de los británicos quieren volver. En base al informe de Daniel Postico, corresponsal de RFI en Londres.Con la melodía de The Yellow Submarine de los Beatles, pero con un estribillo donde se escucha “Estamos todos en la Tragedia del Brexit”, empezó este sábado la marcha proeuropea en Londres con miles de personas venidas de toda Inglaterra como este matrimonio de Sheffield.“Nos hemos levantado a las 6 de la mañana y hemos tardado cuatro horas en venir en un autocar con cánticos anti-Brexit”, explica a RFI uno de los manifestantes. Pese a la paliza del viaje, él quienes lo acompañan sentían que tenían que estar aquí.“Porque soy un patriota y creo en el futuro de este país y creo que el futuro de este país significa estar más cerca de nuestros vecinos, nuestros amigos y nuestros socios comerciales en Europea”, asegura otro hombre.“En las próximas elecciones generales tenemos que echar a los conservadores porque son unos criminales”, agrega una mujer.Mucha gente estaba aquí en protesta porque desde el Brexit el país entrado en una crisis económica y se ha deteriorado la calidad de vida de los ciudadanos.“Es realmente depresivo que nuestro país se haya aislado en un tiempo en el que deberíamos estar trabajando con nuestros socios y nuestros vecinos para hacer frente a los problemas que tenemos”, sostiene una joven.“Creo que el Brexit fue un error muy grande al que nos llevó un gobierno corrupto que solo quería llenarse los bolsillos” abunda un hombre mayor.Las encuestas dicen que el 64% de los británicos votaría seguir en la Unión Europea en un nuevo el referéndum. Pero dice este señor de 67 años que no piden otra consulta.“Creo que no sería necesario el referéndum, tan solo volver a entrar. La presión económica y política será tan grande que cualquiera que esté en el poder, probablemente los laboristas con el apoyo de los liberal-demócratas, no tendrá más remedio que pedir la entrada primero como miembro asociado y luego como miembro a pleno poder”, asegura.Otro de los manifestantes, de 70 años, recuerda que esta semana el líder laborista y europeísta, Kir Starmer, el gran favorito a las elecciones del año que viene, ha dicho que quiere estar cerca de la Unión Europea.“Starmer tendrá la presión de los puntos de vista que anteriormente ya ha expresado para tener una relación más cercana con la Unión Europea”, cree otro europeísta.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3279340/advertisement
Miles de nostálgicos de la Unión Europea se manifestaron el sábado en Londres a favor del regreso del Reino Unido al bloque dejado tras el Brexit. Un sondeo indica que la mayoría de los británicos quieren volver. En base al informe de Daniel Postico, corresponsal de RFI en Londres.Con la melodía de The Yellow Submarine de los Beatles, pero con un estribillo donde se escucha “Estamos todos en la Tragedia del Brexit”, empezó este sábado la marcha proeuropea en Londres con miles de personas venidas de toda Inglaterra como este matrimonio de Sheffield.“Nos hemos levantado a las 6 de la mañana y hemos tardado cuatro horas en venir en un autocar con cánticos anti-Brexit”, explica a RFI uno de los manifestantes. Pese a la paliza del viaje, él quienes lo acompañan sentían que tenían que estar aquí.“Porque soy un patriota y creo en el futuro de este país y creo que el futuro de este país significa estar más cerca de nuestros vecinos, nuestros amigos y nuestros socios comerciales en Europea”, asegura otro hombre.“En las próximas elecciones generales tenemos que echar a los conservadores porque son unos criminales”, agrega una mujer.Mucha gente estaba aquí en protesta porque desde el Brexit el país entrado en una crisis económica y se ha deteriorado la calidad de vida de los ciudadanos.“Es realmente depresivo que nuestro país se haya aislado en un tiempo en el que deberíamos estar trabajando con nuestros socios y nuestros vecinos para hacer frente a los problemas que tenemos”, sostiene una joven.“Creo que el Brexit fue un error muy grande al que nos llevó un gobierno corrupto que solo quería llenarse los bolsillos” abunda un hombre mayor.Las encuestas dicen que el 64% de los británicos votaría seguir en la Unión Europea en un nuevo el referéndum. Pero dice este señor de 67 años que no piden otra consulta.“Creo que no sería necesario el referéndum, tan solo volver a entrar. La presión económica y política será tan grande que cualquiera que esté en el poder, probablemente los laboristas con el apoyo de los liberal-demócratas, no tendrá más remedio que pedir la entrada primero como miembro asociado y luego como miembro a pleno poder”, asegura.Otro de los manifestantes, de 70 años, recuerda que esta semana el líder laborista y europeísta, Kir Starmer, el gran favorito a las elecciones del año que viene, ha dicho que quiere estar cerca de la Unión Europea.“Starmer tendrá la presión de los puntos de vista que anteriormente ya ha expresado para tener una relación más cercana con la Unión Europea”, cree otro europeísta.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3279343/advertisement
Miles de nostálgicos de la Unión Europea se manifestaron el sábado en Londres a favor del regreso del Reino Unido al bloque dejado tras el Brexit. Un sondeo indica que la mayoría de los británicos quieren volver. En base al informe de Daniel Postico, corresponsal de RFI en Londres.Con la melodía de The Yellow Submarine de los Beatles, pero con un estribillo donde se escucha “Estamos todos en la Tragedia del Brexit”, empezó este sábado la marcha proeuropea en Londres con miles de personas venidas de toda Inglaterra como este matrimonio de Sheffield.“Nos hemos levantado a las 6 de la mañana y hemos tardado cuatro horas en venir en un autocar con cánticos anti-Brexit”, explica a RFI uno de los manifestantes. Pese a la paliza del viaje, él quienes lo acompañan sentían que tenían que estar aquí.“Porque soy un patriota y creo en el futuro de este país y creo que el futuro de este país significa estar más cerca de nuestros vecinos, nuestros amigos y nuestros socios comerciales en Europea”, asegura otro hombre.“En las próximas elecciones generales tenemos que echar a los conservadores porque son unos criminales”, agrega una mujer.Mucha gente estaba aquí en protesta porque desde el Brexit el país entrado en una crisis económica y se ha deteriorado la calidad de vida de los ciudadanos.“Es realmente depresivo que nuestro país se haya aislado en un tiempo en el que deberíamos estar trabajando con nuestros socios y nuestros vecinos para hacer frente a los problemas que tenemos”, sostiene una joven.“Creo que el Brexit fue un error muy grande al que nos llevó un gobierno corrupto que solo quería llenarse los bolsillos” abunda un hombre mayor.Las encuestas dicen que el 64% de los británicos votaría seguir en la Unión Europea en un nuevo el referéndum. Pero dice este señor de 67 años que no piden otra consulta.“Creo que no sería necesario el referéndum, tan solo volver a entrar. La presión económica y política será tan grande que cualquiera que esté en el poder, probablemente los laboristas con el apoyo de los liberal-demócratas, no tendrá más remedio que pedir la entrada primero como miembro asociado y luego como miembro a pleno poder”, asegura.Otro de los manifestantes, de 70 años, recuerda que esta semana el líder laborista y europeísta, Kir Starmer, el gran favorito a las elecciones del año que viene, ha dicho que quiere estar cerca de la Unión Europea.“Starmer tendrá la presión de los puntos de vista que anteriormente ya ha expresado para tener una relación más cercana con la Unión Europea”, cree otro europeísta.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les relations entre la Pologne et l'Ukraine, sur un échange de prisonniers entre l'Iran et les États-Unis, et sur la hausse du cours du baril de pétrole. Gabon : les proches d'Ali Bongo dans le viseur de la justice Le fils d'Ali Bongo, Nourredine Valentin, ainsi que plusieurs proches de l'ancien président gabonais, ont été écroués notamment pour détournement de fonds publics et falsification de la signature du président de la République. Pour quels faits ont-ils été poursuivis ? Que risquent-ils ? Peut-on s'attendre à d'autres arrestations ? Avec Yves-Laurent Goma, correspondant de RFI à Libreville. Guerre en Ukraine : la Pologne ne livrera plus d'armes Fidèle allié de l'Ukraine depuis le début de la guerre, Varsovie a décidé de ne plus livrer d'armes à Kiev. Comment expliquer ce revirement ? L'arrêt de ces livraisons peut-il avoir des effets sur la contre-offensive ukrainienne ? Avec Elsa Vidal, chef du service en langue russe. Iran/États-Unis : vers un apaisement des relations ? À l'issue d'un accord conclu avec la médiation du Qatar, l'Iran et les États-Unis ont négocié un échange de dix prisonniers. Comment ont-ils pu aboutir à cet accord ? Quel intérêt le Qatar a-t-il à jouer ce rôle de médiateur ? Avec Thierry Coville, chercheur à l'Institut des relations internationales et stratégiques et auteur, spécialiste de l'Iran.Pétrole : vers un baril à 100 dollars ? Les prix mondiaux du pétrole ont atteint leur plus haut niveau depuis dix mois. Comment expliquer cette hausse ? Comment les pays de l'Opep+ répondent-ils aux craintes de pénuries ? Avec Thierry Bros, expert en pétrole, énergie et climat, professeur à Sciences Po Paris.
Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.
Premier jour de la visite d'État du ri d'Angleterre en France. Les chaînes d'information continue suivent pas à pas le monarque. Réalisé par Jean-Pierre Pellon.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la domination historique de l'hémisphère sud en Coupe du monde de rugby et sur des manœuvres militaires chinoises autour de Taïwan. Taïwan : des manœuvres militaires chinoises inquiétantes Entre le 17 et le 19 septembre, plus de 150 avions chinois ont été détectés autour de Taïwan. Comment expliquer l'ampleur de cette mobilisation militaire ? D'autres opérations chinoises sont-elles à prévoir dans les prochaines semaines ? Avec Stéphane Lagarde, correspondant permanent de RFI à Pékin. Rugby : l'hémisphère sud, toujours favori ? Depuis la première Coupe du monde de rugby en 1987, un seul pays de l'hémisphère nord, l'Angleterre, a remporté la compétition. Comment expliquer la domination historique des nations de l'hémisphère sud ? Une victoire d'une équipe de l'hémisphère nord est-elle possible cette année ? Avec Olivier Pron, journaliste au service des sports de RFI, en direct de Marseille pour le match France-Namibie. Riz : le cours en pleine flambée Le prix mondial du riz a atteint son plus haut niveau depuis quinze ans. L'Afrique de l'Ouest est particulièrement impactée par cette hausse. Quels sont les pays les plus touchés ? Faut-il craindre une pénurie ?Avec Patricio Méndez del Villar, chercheur économiste au Cirad, spécialiste des marchés internationaux et du riz.
In our previous episodes, we discussed the foundation of building your government contract pipeline and dug into the strategies for uncovering the most promising opportunities to populate your CRM. So now what do you do with those opportunities? In this episode we show you step by step how to:
L'Assemblée générale des Nations unies s'est ouverte à New-York. Les dirigeants du monde entier sont invités à prendre la parole à la tribune de l'ONU sur des thématiques qui leur semblent prioritaires. Sur quels sujets souhaitez-vous les entendre ? Quelles sont vos attentes ? RFI vous donne la parole.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'arrivée de migrants sur l'île de Lampedusa, sur l'Alliance des États du Sahel et sur la crise de l'eau à Mayotte. ONU : Mamadi Doumbouya répond présent Le président de la transition guinéenne, le colonel Mamadi Doumbouya, est le seul dirigeant putschiste à participer à l'Assemblée générale de l'ONU. Comment expliquer cette décision ? Qu'attend-il de ce rendez-vous diplomatique ? Avec Sidy Yansané, journaliste au service Afrique de RFI. Italie : 12 000 migrants arrivés sur l'île de LampedusaFace à l'arrivée de milliers de personnes sur l'île de Lampedusa, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a proposé un plan d'aide à l'Italie. Comment expliquer cet afflux inédit de migrants sur l'île italienne ? En quoi consiste ce plan d'aide européen ? Avec Charlotte Boitiaux, rédactrice en chef adjointe d'Infomigrants, de retour de Lampedusa. Sahel : une défense commune pour Bamako, Niamey et Ouagadougou Le Mali, le Niger et le Burkina Faso ont annoncé la création d'une Alliance des États du Sahel. Objectif : lutter contre le terrorisme et les groupes rebelles. Qu'est-ce que cela implique pour les armées de ces trois pays ? D'autres pays pourraient-ils rejoindre cette coalition ?Avec Seidik Abba, journaliste nigérien, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. France : 600 000 litres d'eau potable pour Mayotte Alors que Mayotte subit d'importantes restrictions d'eau à cause d'une sécheresse historique, l'État français vient d'acheminer 600 000 litres d'eau potable. Est-ce suffisant pour répondre aux besoins de la population ? Où en sont les travaux qui doivent améliorer la production et la distribution de l'eau ? Avec Simon Rozé, journaliste au service Sciences de RFI.
Le couple royal britannique arrive en France pour trois jours de visite d'Etat. Le roi Charles III descendra les Champs Élysées et dînera au château de Versailles. Réalisé par Jean-Pierre Pellon.
La declaratoria se produce cuando Argentina conmemora 40 años desde el regreso a la democracia y enfrenta el desafío de la ultraderecha. El Gobierno ha celebrado que el anuncio “constituye una contundente respuesta frente a los discursos que niegan el terrorismo de Estado” La Unesco ha declarado patrimonio Mundial al Museo Sitio de Memoria ESMA, creado en 2019 en el lugar donde funcionaba el mayor centro clandestino de detención del país. Alega el organismo que es representativo de la represión ilegal llevada a cabo y coordinada por las dictaduras de América Latina en las décadas de los setenta y ochenta sobre la base de la desaparición forzada de personas. “Es el símbolo más prominente del terrorismo estatal”, determinó la conclusión del Consejo Internacional de Monumentos y Sitios. "La memoria hay que mantenerla viva para que las malas experiencias no se repitan. En la ESMA se expresó lo peor del terrorismo de Estado. Argentina en esos años sufrió la persecución de todos los que se oponían a la dictadura militar. Algunos fueron perseguidos, algunos fueron detenidos, casi todos fueron sometidos a torturas; otros terminaron exiliados, muchos fueron asesinados y muchos desaparecieron de la faz de la tierra”, dijo el presidente Alberto Fernández desde Nueva York, donde acudía a la Asamblea de la ONU. "Logramos esto porque hubo muchos y muchas que caminaron antes, en los momentos de dictadura y en los peores momentos de democracia denunciar la impunidad. Un largo recorrido que empezó a tener otra mirada a partir del momento en el que la política pública abrazó la lucha de esos organismos por los Derechos Humanos" dice para RFI Horacio Pietragalla Corti, Secretario de Derechos Humanos de la Nación Argentina.La dictadura argentina puso en funcionamiento alrededor de 700 centros clandestinos de detención y tortura en todo el país. El espacio integrado en la lista del Patrimonio Mundial este martes fue “el centro clandestino más emblemático de Sudamérica”, según detalla la Secretaría de Derechos humanos, que comenzó las gestiones para presentar la candidatura ante la ONU en 2015"Hoy la ex-ESMA no es de los argentinos sino de toda la Humanidad" concluye Pietragalla en nuestros micrófonos. A unas semanas de las elecciones argetinas, esta declaración tiene un sentido especial ya que llaman la atención las voces nostálgicas con la dictadura como la de la candidata a vicepresidenta por la extrema derecha Victoria Villarroel junto a Javier Milei. "Es una declaración que nos viene muy bien en este momento. Lo que es el negacionismo, el avance de discursos de odio sobre todo en la figura de Villarroel, que reivindica la dictadura....La declaración es un decir ''nunca más' a esos discursos" señala Rodolgo Llansón, abogado de víctimas que pasaron por el Esma, en RFI.Los edificios de la antigua ESMA se ubican en un predio de 17 hectáreas que fue cedido a principios del siglo pasado al Ejército.
Nouvelle crise migratoire aux portes de l'Europe. L'extrême droite française à la manœuvre. Réalisé par Jean-Pierre Pellon.
Ce mardi, au sommaire de Radio Foot internationale : Spéciale C1 ! Grand brief direct à 16h10 TU (18h10 Paris). Grand débrief direct 21h10TU (23h10 Paris) Intégrale Ligue des Champions à écouter sur RFI. C1: Show must go on ! La Ligue des Champions 2023/24, c'est parti ! - Présentation grand angle des enjeux de cette campagne européenne. Les Anglais en force ! Les Espagnols font-ils encore peur ? Les Italiens vont-ils confirmer les clubs allemands de nouveau au rendez-vous ? Les Français à la peine ? Un grand favori ? Quels seront les hommes forts de cette nouvelle édition ? Les affiches du jour à la loupe- PSG / Dortmund, premier vrai test pour les Parisiens de Luis Enrique !- AC Milan / Newcastle, des Anglais plein d'ambition !- Manchester City Étoile rouge de Belgrade, un champion citizen intouchable ?- Barcelone Royal Antwerp, première historique en C1 pour le plus vieux club belge ! Marseille la grande bouillabaisse !Réunion de crise à l'OM, Marcelino sur la sellette et le président Pablo Longoria à deux doigts d'une démission ! Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Éric Rabésandratana, Salim Baungally et François David — David Fintzel — Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
Ce mardi, au sommaire de Radio Foot internationale : Spéciale C1 ! Grand brief direct à 16h10 TU (18h10 Paris). Grand débrief direct 21h10TU (23h10 Paris) Intégrale Ligue des Champions à écouter sur RFI. C1: Show must go on ! La Ligue des Champions 2023/24, c'est parti ! - Présentation grand angle des enjeux de cette campagne européenne. Les Anglais en force ! Les Espagnols font-ils encore peur ? Les Italiens vont-ils confirmer les clubs allemands de nouveau au rendez-vous ? Les Français à la peine ? Un grand favori ? Quels seront les hommes forts de cette nouvelle édition ? Les affiches du jour à la loupe- PSG / Dortmund, premier vrai test pour les Parisiens de Luis Enrique !- AC Milan / Newcastle, des Anglais plein d'ambition !- Manchester City Étoile rouge de Belgrade, un champion citizen intouchable ?- Barcelone Royal Antwerp, première historique en C1 pour le plus vieux club belge ! Marseille la grande bouillabaisse !Réunion de crise à l'OM, Marcelino sur la sellette et le président Pablo Longoria à deux doigts d'une démission ! Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Éric Rabésandratana, Salim Baungally et François David — David Fintzel — Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
La crisis diplomática entre Haití y República Dominicana podría convertirse en una crisis humanitaria, según advirtió este 18 de septiembre la ONU. Haití, que recibe al menos el 25% de los alimentos de su país vecino y que depende de la importación de medicamentos, podría agravar su crisis social tras el cierre total de la frontera. ¿Es responsable la gestión del Río Masacre? La construcción de un canal en el Río Masacre, que llevaría agua hacia Haití, provocó que República Dominicana cerrara su frontera a sus vecinos el pasado 15 de septiembre. El río es a la vez un límite natural, fuente de agua para ambas poblaciones, y también un problema más a las ya complicadas relaciones entre ambas naciones. ¿Cómo repartir justamente un recurso natural?“Los intereses de ambas naciones no están en conflicto”“Este tema está estructurado o reglamentado por un acuerdo del año 1929, pero lamentablemente nunca se negoció lo que se llama un protocolo de implementación de esos acuerdos. Una aproximación posible es a través de las vías legales internacionales, pero soy de opinión de que es perfectamente posible una negociación”, contesta para RFI el abogado dominicano Nelson Espinal Báez, experto en negociación y mediación.“Lo que hay es un conflicto de posiciones, no un conflicto de intereses. Los intereses de ambas naciones no están en conflicto. Al contrario, a República Dominicana le conviene que ese pueblo tenga agua y que tenga electricidad, que tenga desarrollo agropecuario. Clave es la gestión eficiente del mismo y que no venga a dañar los intereses de República Dominicana. Y es perfectamente posible desarrollar una propuesta, una solución de ganancia para ambas naciones”, subraya el abogado.“Un pretexto para otra cosa”El presidente de República Dominicana, Luis Abinader, habría aceptado la creación de este canal en mayo de 2021. Es por esta razón que el politólogo haitiano Joseph Harold Pierre considera que podría haber otros motivos que llevaron a Santo Domingo a tomar medidas radicales.“No hay razón para que República Dominicana tome esa posición de cerrar la frontera. Y yo creo que más que una posición técnica, hasta política, hay otros intereses. Es como si esta situación es un pretexto para otra cosa. En el caso dominicano, creo que [hay] temas políticos, electorales, y en el caso haitiano, bueno, la debilidad institucional es lo que explica todo eso”, explica.El próximo 1ro de octubre se celebrarán las elecciones primarias de las agrupaciones políticas dominicanas. En mayo de 2024 serán las presidenciales.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le délicat début de saison du PSG et sur le mouvement de contestation un an après la mort de Mahsa Amini. Ukraine : Volodymyr Zelensky ouvre la porte à l'organisation d'électionsLe président ukrainien s'est dit prêt à organiser des élections en Ukraine. Quels sont les principaux obstacles pour la tenue des scrutins ? L'Ukraine a-t-elle les moyens de les surmonter ?Avec Kseniya Zhornokley, journaliste à la rédaction ukrainienne de RFI.Iran : un an après la mort de Mahsa Amini, où en est la contestation? Le 16 septembre 2022, Mahsa Amini décède à l'hôpital après avoir été arrêtée pour « port du voile inapproprié ». Sa mort a provoqué une vague de manifestations réprimées dans le sang. Aujourd'hui, où en est le mouvement de protestation ? Cette révolte a-t-elle permis des avancées pour les droits des femmes en Iran ? Avec Firouzeh Nahavandi, sociologue, professeur émérite de l'Université libre de Bruxelles. Football : le pire début de saison du PSG sous l'ère qatarienneAprès sa défaite à domicile contre Nice (2-3), le Paris-Saint-Germain réalise son pire début de saison depuis 2010, avec seulement huit points en cinq journées. Comment expliquer les difficultés du club ? Quelle sera la stratégie de Luis Enrique pour son premier match en Ligue des Champions face à Dortmund ? Avec Frédéric Suteau, chef adjoint au service des sports de RFI.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la visite à Paris du président centrafricain et sur le retrait de l'Iphone 12 du marché français. Inondations en Libye : comment expliquer l'effondrement des barrages ? En Libye, la tempête Daniel a entraîné la rupture de deux barrages. Ces effondrements ont amplifié les dégâts des inondations. Pourquoi n'ont-ils pas résisté ? Avec Amira Souilem, correspondante de RFI à Tunis. Numérique : l'iPhone 12 retiré du marché français Depuis mercredi 13 septembre 2023, l'iPhone 12 est temporairement retiré du marché en France. La cause ? Ses ondes émises qui ne respectent pas les normes européennes. Pourquoi les autorités françaises prennent-elles cette décision maintenant, trois ans après sa commercialisation ? Les ondes émises par le téléphone sont-elles réellement dangereuses ? Avec Simon Rozé, journaliste au service des Sciences de RFI. Centrafrique/France : une rencontre pour apaiser les relations diplomatiques Le président français Emmanuel Macron a rencontré le chef de l'État centrafricain Faustin-Archange Touadéra à Paris. Comment expliquer cette rencontre après des années de tensions entre les deux pays ? La France pourrait-elle convaincre la Centrafrique de s'éloigner de la Russie ? Avec Enrica Picco, directrice du projet Afrique Centrale à l'International Crisis group.
La Fête de l'Humanité n'a pas fait taire les divisions de la gauche. Communistes et Insoumis affichent leurs désaccords. Réalisé par Jean-Pierre Pellon.
Nous vous proposons une émission spéciale, en direct de Marrakech, au Maroc, après le tremblement de terre qui a frappé la région de la ville ocre, dans la nuit du 8 au 9 septembre 2023, causant la mort de 2 946 personnes, selon le dernier bilan officiel du 13 septembre. Une secousse d'une intensité inédite ici puisqu'il s'agit du séisme le plus puissant jamais mesuré au Maroc : d'une magnitude 7, selon le Centre marocain pour la recherche scientifique et technique. Émission délocalisée à Marrakech, au Maroc.Grâce aux envoyés spéciaux de RFI, sur place, nous vous ferons entendre les voix des soignants, des rescapés, des humanitaires, tous motivés par l'urgence : sauver, soigner, soulager, abriter… Comment la population traverse-t-elle cette épreuve ? Quels moyens ont été déployés ? Comment secouristes et médecins travaillent pour prendre en charge les blessés ? ► Reportages de Caroline Paré, Mounia Daoudi, Guillaume Thibault et David Baché.► Réalisation : Steven Helsly, Boris Vichith et Julien Boileau.À lire aussiLe Maroc une semaine après le séisme: aider et reconstruire, écoutez notre édition spéciale.
Nous vous proposons une émission spéciale, en direct de Marrakech, au Maroc, après le tremblement de terre qui a frappé la région de la ville ocre, dans la nuit du 8 au 9 septembre 2023, causant la mort de 2 946 personnes, selon le dernier bilan officiel du 13 septembre. Une secousse d'une intensité inédite ici puisqu'il s'agit du séisme le plus puissant jamais mesuré au Maroc : d'une magnitude 7, selon le Centre marocain pour la recherche scientifique et technique. Émission délocalisée à Marrakech, au Maroc.Grâce aux envoyés spéciaux de RFI, sur place, nous vous ferons entendre les voix des soignants, des rescapés, des humanitaires, tous motivés par l'urgence : sauver, soigner, soulager, abriter… Comment la population traverse-t-elle cette épreuve ? Quels moyens ont été déployés ? Comment secouristes et médecins travaillent pour prendre en charge les blessés ? ► Reportages de Caroline Paré, Mounia Daoudi, Guillaume Thibault et David Baché.► Réalisation : Steven Helsly, Boris Vichith et Julien Boileau.À lire aussiLe Maroc une semaine après le séisme: aider et reconstruire, écoutez notre édition spéciale.
Venezuela tendrá elecciones presidenciales en 2024 y Nicolás Maduro trata de acumular apoyos. El presidente venezolano se ha desplazado a China, uno de los principales acreedores del país latinoamericano, en busca de más inversiones con las que paliar la maltrecha situación de su economía. El presidente venezolano Nicolás Maduro cierra este jueves una visita de siete días a China en las que ambos países aseguran haber elevado su nivel de cooperación y entendimiento. Maduró visitó varias ciudades antes de llegar a Pekín para el plato fuerte, la reunión anunciada por su homólogo Xi Jinping.“Cuanto más líquido mejor”¿Qué busca Maduro? Según explica a RFI el economista venezolano Ángel García Banchs, inversiones en el sector del petróleo, pero sobre todo, liquidez: “Desde un enfoque de economía política no es otra cosa sino dinero, recursos. Cuanto más líquido mejor. Pues hay unas elecciones que se tienen que llevar a cabo, y por supuesto no alcanzan de la factura petrolera, dado que contrario al objetivo de China, que siempre contribuyó para que Venezuela produjese más petróleo, lo que ha ocurrido en los últimos años es que la producción petrolera se ha desplomado”.De acuerdo con el Centro de Investigación Chino Latinoamericano, la deuda de Venezuela con el gigante asiático supera los 11.000 millones de dólares. Para García Banchs, las inversiones chinas tenían como fin el acceso al petróleo venezolano, pero la corrupción ha impedido que estas ayudas potencien el desarrollo del sector en el país latinoamericano, lo que ahora lleva al recelo de Pekín. “Una cosa es la China y la relación de China con Venezuela hace digamos, 15 años atrás, y otra cosa es hoy. La verdad es que los entregables prometidos nunca llegaron. ¿Cuáles eran esos entregables? Una industria petrolera que incrementara su producción para poder garantizar a China por la vía del acuerdo bilateral hacerse de recursos petroleros, en este caso distintos commodities que tiene Venezuela, pero fundamentalmente petróleo. Y esa asignación de recursos hacia la corrupción en vez de hacia el desarrollo de la industria, ha significado que evidentemente los entregables no han llegado”, precisa el economista.“La confianza se perdió”Con motivo de la visita, ambos países han anunciado la firma de hasta 31 tratados, los principales de índole económico. Sin embargo, García Banchs entiende que se trata más bien de un gesto que de una inversión real.“Puede llegar algo, sí, pero jamás llegaría lo que desea Maduro que llegue y será para mantener las relaciones, pero no para escalarlas ni nada por el estilo. Digamos, sobre todo más promesas es lo que pueden venir, más que entregas de liquidez de aquí a las elecciones, por una razón muy sencilla: la confianza se perdió”, concluye el analista.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la réforme judiciaire en Israël, sur l'influence du réseau d'Elon Musk, Starlink sur la guerre en Ukraine et sur la fin du remplissage du barrage de la Renaissance. Israël : la réforme judiciaire à l'étude de la Cour suprême La Cour suprême israélienne examine une mesure de la réforme judiciaire qui vise à réduire ses propres pouvoirs. Le Premier ministre Benyamin Netanyahu pourrait-il trouver un compromis avec l'opposition ? Sinon, à quelle décision peut-on s'attendre de la part de la Cour Suprême ? Avec Sami Boukhelifa, correspondant permanent de RFI à Jérusalem. Guerre en Ukraine : Elon Musk empêche une attaque contre la flotte russeElon Musk a refusé d'activer ses satellites Starlink au-dessus de la Crimée afin d'empêcher une attaque de l'armée ukrainienne contre la flotte russe. Depuis le début de la guerre, Elon Musk aide l'Ukraine à organiser des opérations militaires grâce au réseau Starlink. Pourquoi a-t-il refusé d'apporter son aide à l'armée ukrainienne, dans le cadre d'une attaque contre la flotte russe cette fois-ci ? Quelle est l'ampleur de la dépendance de l'Ukraine à Elon Musk ? Avec Christine Dugoin-Clément, chercheure à la Chaire « risque » de l'IAE de Paris, à l'Observatoire de l'IA de Paris 1 et au CREOGN. Migration : des handballeurs burundais demandent l'asile en BelgiqueDix handballeurs burundais, qui avaient disparu en Croatie en août 2023, ont récemment demandé l'asile en Belgique. Pour quelles raisons ces jeunes joueurs déposent-ils une demande en Belgique ? Ce statut pourrait-il leur être accordé ? Avec Charlotte Boitiaux, rédactrice en chef adjointe de Infomigrants. La fin du remplissage du barrage de la Renaissance relance les tensionsL'Éthiopie a annoncé la fin du remplissage du barrage de la Renaissance, une opération jugée « illégale » par l'Égypte. Pourquoi l'Éthiopie a-t-elle rempli le barrage alors que des négociations pour trouver un accord étaient toujours en cours ? L'Égypte pourrait-elle encore empêcher la mise en activité de ce barrage ? Avec Marc Lavergne, directeur de recherche émérite au CNRS et professeur à l'Université de Tours.
RFI conversó con hombres y mujeres iraníes sobre el impacto que tuvo el desafío al régimen un año después de que una joven muriera tras ser detenida por ir “mal velada” en público. El gobierno quiere volver a imponer la prenda, pero la resistencia al mandato religioso sigue firme. Junto a uno de los tantos puestos ambulantes que compiten con los negocios tradicionales, una mujer y su hija debaten por el color de la camisa que quieren comprar. La más joven va con la cabellera al aire, rizada, sin importarle que este sector del sur de la ciudad haya sido considerado históricamente como uno de los lugares más tradicionales y religiosos. Ella no es la única, decenas de mujeres se abren paso sin el velo en una escena que ha dejado de ser novedosa en el último año, como explica Hussein, de 57 años, que desde hace 20 años recoge clientes en el bazar en su taxi.“Desafortunadamente, el hiyab es impuesto a la fuerza y esto no es efectivo. Hay muchas mujeres que no tienen miedo de perder sus trabajos o de ir a la cárcel y no lo usan. La gente tiene pensamientos y actitudes diversas”, comenta Hussein.Dentro de uno de los tantos cafés que se han abierto en Teherán, Dima, como quiere que la llamemos, cuenta sobre el debate que ha surgido en estos días de cómo continuar la lucha en este momento que se conmemora el primer aniversario de la muerte de Mahsa Amini y cientos de personas más que alzaron su voz para defender, entre otros, los derechos de las mujeres a elegir. Dima, que se quitó el velo desde comienzo de las protestas, viene de una familia extremadamente religiosa.“Esto ya no es acerca de lo que le pedimos al régimen, porque ha pasado un año desde que gritamos lo que queremos y hemos conseguido este modo de vida en todas partes. Y se los mostramos, incluso en nuestras familias. Este año es acerca de acompañar a quienes perdieron a alguien en las protestas”, explica a RFI.La represión de las autoridades dejó más de 500 personas fallecidas según organizaciones de derechos humanos. Se suman miles de heridos y más de 2.000 prisioneros, entre ellos esta mujer de 40 años que se identifica como Leila, en prisión por más de dos meses, y que asegura que seguirá luchando.En prisión por más de 40 días “Lo que vimos hace un año en las calles fue más allá de los géneros, las generaciones o las diferentes opiniones. Lo que mostraron estas movilizaciones es que es un movimiento nacional y la gente no quiere retroceder”, enfatiza la mujer, que lleva detenida por más de 40 días.En un parque de Teherán, se escucha un concierto callejero. Entre el público, hay varias mujeres sin velo, a pesar de que hay una estación de policía cerca. Muchos iraníes piensan que la batalla por reimponer el velo está perdida, pero en el Parlamento hay una propuesta de ley para promover la “castidad y el hiyab”, que busca poner en marcha castigos extremos a quienes rompan la ley, como explica Shima Ghooshe, abogada.“Esta ley no logrará alcanzar los objetivos de los legisladores. Cuando una ley se impone en la sociedad crea disturbios. Ahora, la manera voluntaria de vestir de las mujeres no ha dañado el orden ni ha creado caos de la sociedad. Puede haber creado cierto malestar en un sector de la República Islámica, pero la sociedad es más grande”, asegura a RFI.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3279343/advertisement
RFI conversó con hombres y mujeres iraníes sobre el impacto que tuvo el desafío al régimen un año después de que una joven muriera tras ser detenida por ir “mal velada” en público. El gobierno quiere volver a imponer la prenda, pero la resistencia al mandato religioso sigue firme. Junto a uno de los tantos puestos ambulantes que compiten con los negocios tradicionales, una mujer y su hija debaten por el color de la camisa que quieren comprar. La más joven va con la cabellera al aire, rizada, sin importarle que este sector del sur de la ciudad haya sido considerado históricamente como uno de los lugares más tradicionales y religiosos. Ella no es la única, decenas de mujeres se abren paso sin el velo en una escena que ha dejado de ser novedosa en el último año, como explica Hussein, de 57 años, que desde hace 20 años recoge clientes en el bazar en su taxi.“Desafortunadamente, el hiyab es impuesto a la fuerza y esto no es efectivo. Hay muchas mujeres que no tienen miedo de perder sus trabajos o de ir a la cárcel y no lo usan. La gente tiene pensamientos y actitudes diversas”, comenta Hussein.Dentro de uno de los tantos cafés que se han abierto en Teherán, Dima, como quiere que la llamemos, cuenta sobre el debate que ha surgido en estos días de cómo continuar la lucha en este momento que se conmemora el primer aniversario de la muerte de Mahsa Amini y cientos de personas más que alzaron su voz para defender, entre otros, los derechos de las mujeres a elegir. Dima, que se quitó el velo desde comienzo de las protestas, viene de una familia extremadamente religiosa.“Esto ya no es acerca de lo que le pedimos al régimen, porque ha pasado un año desde que gritamos lo que queremos y hemos conseguido este modo de vida en todas partes. Y se los mostramos, incluso en nuestras familias. Este año es acerca de acompañar a quienes perdieron a alguien en las protestas”, explica a RFI.La represión de las autoridades dejó más de 500 personas fallecidas según organizaciones de derechos humanos. Se suman miles de heridos y más de 2.000 prisioneros, entre ellos esta mujer de 40 años que se identifica como Leila, en prisión por más de dos meses, y que asegura que seguirá luchando.En prisión por más de 40 días “Lo que vimos hace un año en las calles fue más allá de los géneros, las generaciones o las diferentes opiniones. Lo que mostraron estas movilizaciones es que es un movimiento nacional y la gente no quiere retroceder”, enfatiza la mujer, que lleva detenida por más de 40 días.En un parque de Teherán, se escucha un concierto callejero. Entre el público, hay varias mujeres sin velo, a pesar de que hay una estación de policía cerca. Muchos iraníes piensan que la batalla por reimponer el velo está perdida, pero en el Parlamento hay una propuesta de ley para promover la “castidad y el hiyab”, que busca poner en marcha castigos extremos a quienes rompan la ley, como explica Shima Ghooshe, abogada.“Esta ley no logrará alcanzar los objetivos de los legisladores. Cuando una ley se impone en la sociedad crea disturbios. Ahora, la manera voluntaria de vestir de las mujeres no ha dañado el orden ni ha creado caos de la sociedad. Puede haber creado cierto malestar en un sector de la República Islámica, pero la sociedad es más grande”, asegura a RFI.
RFI conversó con hombres y mujeres iraníes sobre el impacto que tuvo el desafío al régimen un año después de que una joven muriera tras ser detenida por ir “mal velada” en público. El gobierno quiere volver a imponer la prenda, pero la resistencia al mandato religioso sigue firme. Junto a uno de los tantos puestos ambulantes que compiten con los negocios tradicionales, una mujer y su hija debaten por el color de la camisa que quieren comprar. La más joven va con la cabellera al aire, rizada, sin importarle que este sector del sur de la ciudad haya sido considerado históricamente como uno de los lugares más tradicionales y religiosos. Ella no es la única, decenas de mujeres se abren paso sin el velo en una escena que ha dejado de ser novedosa en el último año, como explica Hussein, de 57 años, que desde hace 20 años recoge clientes en el bazar en su taxi.“Desafortunadamente, el hiyab es impuesto a la fuerza y esto no es efectivo. Hay muchas mujeres que no tienen miedo de perder sus trabajos o de ir a la cárcel y no lo usan. La gente tiene pensamientos y actitudes diversas”, comenta Hussein.Dentro de uno de los tantos cafés que se han abierto en Teherán, Dima, como quiere que la llamemos, cuenta sobre el debate que ha surgido en estos días de cómo continuar la lucha en este momento que se conmemora el primer aniversario de la muerte de Mahsa Amini y cientos de personas más que alzaron su voz para defender, entre otros, los derechos de las mujeres a elegir. Dima, que se quitó el velo desde comienzo de las protestas, viene de una familia extremadamente religiosa.“Esto ya no es acerca de lo que le pedimos al régimen, porque ha pasado un año desde que gritamos lo que queremos y hemos conseguido este modo de vida en todas partes. Y se los mostramos, incluso en nuestras familias. Este año es acerca de acompañar a quienes perdieron a alguien en las protestas”, explica a RFI.La represión de las autoridades dejó más de 500 personas fallecidas según organizaciones de derechos humanos. Se suman miles de heridos y más de 2.000 prisioneros, entre ellos esta mujer de 40 años que se identifica como Leila, en prisión por más de dos meses, y que asegura que seguirá luchando.En prisión por más de 40 días “Lo que vimos hace un año en las calles fue más allá de los géneros, las generaciones o las diferentes opiniones. Lo que mostraron estas movilizaciones es que es un movimiento nacional y la gente no quiere retroceder”, enfatiza la mujer, que lleva detenida por más de 40 días.En un parque de Teherán, se escucha un concierto callejero. Entre el público, hay varias mujeres sin velo, a pesar de que hay una estación de policía cerca. Muchos iraníes piensan que la batalla por reimponer el velo está perdida, pero en el Parlamento hay una propuesta de ley para promover la “castidad y el hiyab”, que busca poner en marcha castigos extremos a quienes rompan la ley, como explica Shima Ghooshe, abogada.“Esta ley no logrará alcanzar los objetivos de los legisladores. Cuando una ley se impone en la sociedad crea disturbios. Ahora, la manera voluntaria de vestir de las mujeres no ha dañado el orden ni ha creado caos de la sociedad. Puede haber creado cierto malestar en un sector de la República Islámica, pero la sociedad es más grande”, asegura a RFI.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3279340/advertisement
RFI conversó con hombres y mujeres iraníes sobre el impacto que tuvo el desafío al régimen un año después de que una joven muriera tras ser detenida por ir “mal velada” en público. El gobierno quiere volver a imponer la prenda, pero la resistencia al mandato religioso sigue firme. Junto a uno de los tantos puestos ambulantes que compiten con los negocios tradicionales, una mujer y su hija debaten por el color de la camisa que quieren comprar. La más joven va con la cabellera al aire, rizada, sin importarle que este sector del sur de la ciudad haya sido considerado históricamente como uno de los lugares más tradicionales y religiosos. Ella no es la única, decenas de mujeres se abren paso sin el velo en una escena que ha dejado de ser novedosa en el último año, como explica Hussein, de 57 años, que desde hace 20 años recoge clientes en el bazar en su taxi.“Desafortunadamente, el hiyab es impuesto a la fuerza y esto no es efectivo. Hay muchas mujeres que no tienen miedo de perder sus trabajos o de ir a la cárcel y no lo usan. La gente tiene pensamientos y actitudes diversas”, comenta Hussein.Dentro de uno de los tantos cafés que se han abierto en Teherán, Dima, como quiere que la llamemos, cuenta sobre el debate que ha surgido en estos días de cómo continuar la lucha en este momento que se conmemora el primer aniversario de la muerte de Mahsa Amini y cientos de personas más que alzaron su voz para defender, entre otros, los derechos de las mujeres a elegir. Dima, que se quitó el velo desde comienzo de las protestas, viene de una familia extremadamente religiosa.“Esto ya no es acerca de lo que le pedimos al régimen, porque ha pasado un año desde que gritamos lo que queremos y hemos conseguido este modo de vida en todas partes. Y se los mostramos, incluso en nuestras familias. Este año es acerca de acompañar a quienes perdieron a alguien en las protestas”, explica a RFI.La represión de las autoridades dejó más de 500 personas fallecidas según organizaciones de derechos humanos. Se suman miles de heridos y más de 2.000 prisioneros, entre ellos esta mujer de 40 años que se identifica como Leila, en prisión por más de dos meses, y que asegura que seguirá luchando.En prisión por más de 40 días “Lo que vimos hace un año en las calles fue más allá de los géneros, las generaciones o las diferentes opiniones. Lo que mostraron estas movilizaciones es que es un movimiento nacional y la gente no quiere retroceder”, enfatiza la mujer, que lleva detenida por más de 40 días.En un parque de Teherán, se escucha un concierto callejero. Entre el público, hay varias mujeres sin velo, a pesar de que hay una estación de policía cerca. Muchos iraníes piensan que la batalla por reimponer el velo está perdida, pero en el Parlamento hay una propuesta de ley para promover la “castidad y el hiyab”, que busca poner en marcha castigos extremos a quienes rompan la ley, como explica Shima Ghooshe, abogada.“Esta ley no logrará alcanzar los objetivos de los legisladores. Cuando una ley se impone en la sociedad crea disturbios. Ahora, la manera voluntaria de vestir de las mujeres no ha dañado el orden ni ha creado caos de la sociedad. Puede haber creado cierto malestar en un sector de la República Islámica, pero la sociedad es más grande”, asegura a RFI.
A medida que se acerca el 16 de septiembre, fecha de la muerte de la joven kurda iraní, tras su detención por la policía de la moralidad, las autoridades buscan reprimir las manifestaciones. RFI toma el pulso de Teherán en vísperas del aniversario. Por la corresponsal de RFI en TeheránHa caído la tarde y, como muchos en Teherán, a esta hora me dirijo a uno de los cafés populares en el área central de la ciudad. Al llegar, me encuentro con que tiene las puertas cerradas.“¿Me pregunta que qué ha pasado con el café? El café esta cerrado hasta el 25. No sé por qué. Lo hizo la policía de la moral”, explica un hombre a RFI.Después de pedir que apagara la grabadora, me explica que todo tenía que ver con el primer aniversario del fallecimiento de Mahsa Amini, el 16 de septiembre o 25 del mes persa de Sahrivar.En las últimas semanas se han cerrado decenas de cafés y restaurantes bajo la excusa de que no imponen el uso del velo islámico dentro de sus establecimientos, algo imposible de hacer en este último año donde las mujeres se quitaron el velo, como lo cuenta Safr, una joven de 23 años.“Todo el tiempo hay gente afuera en la calle que puede detenerte, puede llevarte a la cárcel por que no usas el hiyab o por no obedecer las leyes que ellos dicen, pero en algún momento una dice: A mí ya no me importa”, cuenta la mujer.En la medida que se acerca el aniversario, las autoridades han lanzado una extensa campaña a lo largo del país para evitar que jóvenes como Safr vuelvan a movilizarse en estas estas fechas. Las personas que han pasado por prisión desde entonces han recibido llamadas advirtiéndoles no realizar ninguna manifestación pública. Es el caso de una mujer de 36 años, capturada al comienzo de las protestas con la que intercambiamos mensajes de texto.“No puedo aparecer en la ciudad, me escondo en algún lugar. No he estado bien por mucho tiempo, no puedo estar en mi casa, me muevo cómo nomada”, dice a RFI.Organizaciones de derechos humanos como Anmistia Internacional también han denunciado que decenas de familias de las personas fallecidas como consecuencia de la represión del régimen durante las protestas también han recibido llamadas advirtiéndoles de no realizar ceremonias. Y algunos de sus integrantes han sido detenidos.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3279340/advertisement
A medida que se acerca el 16 de septiembre, fecha de la muerte de la joven kurda iraní, tras su detención por la policía de la moralidad, las autoridades buscan reprimir las manifestaciones. RFI toma el pulso de Teherán en vísperas del aniversario. Por la corresponsal de RFI en TeheránHa caído la tarde y, como muchos en Teherán, a esta hora me dirijo a uno de los cafés populares en el área central de la ciudad. Al llegar, me encuentro con que tiene las puertas cerradas.“¿Me pregunta que qué ha pasado con el café? El café esta cerrado hasta el 25. No sé por qué. Lo hizo la policía de la moral”, explica un hombre a RFI.Después de pedir que apagara la grabadora, me explica que todo tenía que ver con el primer aniversario del fallecimiento de Mahsa Amini, el 16 de septiembre o 25 del mes persa de Sahrivar.En las últimas semanas se han cerrado decenas de cafés y restaurantes bajo la excusa de que no imponen el uso del velo islámico dentro de sus establecimientos, algo imposible de hacer en este último año donde las mujeres se quitaron el velo, como lo cuenta Safr, una joven de 23 años.“Todo el tiempo hay gente afuera en la calle que puede detenerte, puede llevarte a la cárcel por que no usas el hiyab o por no obedecer las leyes que ellos dicen, pero en algún momento una dice: A mí ya no me importa”, cuenta la mujer.En la medida que se acerca el aniversario, las autoridades han lanzado una extensa campaña a lo largo del país para evitar que jóvenes como Safr vuelvan a movilizarse en estas estas fechas. Las personas que han pasado por prisión desde entonces han recibido llamadas advirtiéndoles no realizar ninguna manifestación pública. Es el caso de una mujer de 36 años, capturada al comienzo de las protestas con la que intercambiamos mensajes de texto.“No puedo aparecer en la ciudad, me escondo en algún lugar. No he estado bien por mucho tiempo, no puedo estar en mi casa, me muevo cómo nomada”, dice a RFI.Organizaciones de derechos humanos como Anmistia Internacional también han denunciado que decenas de familias de las personas fallecidas como consecuencia de la represión del régimen durante las protestas también han recibido llamadas advirtiéndoles de no realizar ceremonias. Y algunos de sus integrantes han sido detenidos.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3279343/advertisement
A medida que se acerca el 16 de septiembre, fecha de la muerte de la joven kurda iraní, tras su detención por la policía de la moralidad, las autoridades buscan reprimir las manifestaciones. RFI toma el pulso de Teherán en vísperas del aniversario. Por la corresponsal de RFI en TeheránHa caído la tarde y, como muchos en Teherán, a esta hora me dirijo a uno de los cafés populares en el área central de la ciudad. Al llegar, me encuentro con que tiene las puertas cerradas.“¿Me pregunta que qué ha pasado con el café? El café esta cerrado hasta el 25. No sé por qué. Lo hizo la policía de la moral”, explica un hombre a RFI.Después de pedir que apagara la grabadora, me explica que todo tenía que ver con el primer aniversario del fallecimiento de Mahsa Amini, el 16 de septiembre o 25 del mes persa de Sahrivar.En las últimas semanas se han cerrado decenas de cafés y restaurantes bajo la excusa de que no imponen el uso del velo islámico dentro de sus establecimientos, algo imposible de hacer en este último año donde las mujeres se quitaron el velo, como lo cuenta Safr, una joven de 23 años.“Todo el tiempo hay gente afuera en la calle que puede detenerte, puede llevarte a la cárcel por que no usas el hiyab o por no obedecer las leyes que ellos dicen, pero en algún momento una dice: A mí ya no me importa”, cuenta la mujer.En la medida que se acerca el aniversario, las autoridades han lanzado una extensa campaña a lo largo del país para evitar que jóvenes como Safr vuelvan a movilizarse en estas estas fechas. Las personas que han pasado por prisión desde entonces han recibido llamadas advirtiéndoles no realizar ninguna manifestación pública. Es el caso de una mujer de 36 años, capturada al comienzo de las protestas con la que intercambiamos mensajes de texto.“No puedo aparecer en la ciudad, me escondo en algún lugar. No he estado bien por mucho tiempo, no puedo estar en mi casa, me muevo cómo nomada”, dice a RFI.Organizaciones de derechos humanos como Anmistia Internacional también han denunciado que decenas de familias de las personas fallecidas como consecuencia de la represión del régimen durante las protestas también han recibido llamadas advirtiéndoles de no realizar ceremonias. Y algunos de sus integrantes han sido detenidos.
Según un informe presentado por la ONG Global Witness, al menos 177 personas "defensoras de la tierra y el medioambiente" fueron asesinadas en 2022 en todo el mundo. Además, el reporte indica que el 88 % de los crímenes tuvieron lugar en América Latina, con Colombia encabezando la lista de países con más ataques mortales dirigidos a activistas ambientales. Defender el medio ambiente o los territorios indígenas se puede pagar con la vida. Entre 2012 y 2022 se produjeron 1.910 asesinatos de estos activistas en todo el planeta y siete de cada diez de ellos tuvieron lugar en países latinoamericanos, según un informe de Global Witness.Si atendemos solo al pasado año, son casi nueve de cada 10. Tierra de importantes recursos naturales y medio ambientales, el alto activismo en la región, mezclado con la impunidad de los perpetradores, da lugar a un cóctel explosivo. Laura Furones, coautora del estudio, lo ha explicado en la antena de RFI: "En Latinoamérica se dan varias circunstancias a la vez. Por un lado, es una región en la que hay organizaciones de base muy fuertes que hacen mucho trabajo de defensa del territorio y del medio ambiente. Pero precisamente por esa defensa que hacen, por esa visibilidad que tienen, son más atacadas tal vez que en otras regiones. Esto lo que denota es, por un lado, una falta de protección efectiva por parte de los gobiernos y unas tasas de impunidad absolutamente desorbitadas. Muy pocos casos terminan con gente enjuiciada y mucho menos con gente en la cárcel".Según el conteo de Global Witness, de los 177 asesinatos ocurridos mundialmente, 139 de ellos fueron en distintos países de Latinoamérica. Colombia fue el país más peligroso. Allí tuvieron lugar 382 muertes en estos 11 años. Brasil fue el segundo con 376. En México y Honduras se superó holgadamente el centenar de asesinatos. Además, la Amazonía, pulmón del mundo y sus poblaciones indígenas, se ha convertido también en blanco fácil. "Uno de cada cinco asesinatos a nivel global sucede en la Amazonía. Es decir, es una zona donde los ataques son muy importantes, no solo a nivel regional, sino a nivel global y donde también tenemos una presencia muy importante de ataques a pueblos indígenas. Las comunidades se encuentran en una situación particularmente vulnerable y también paradójica. Son posiblemente de las que más labor de defensa están haciendo, pero también son las que están siendo particularmente atacadas. Y esto es por varias razones. Por un lado, están en una situación de importante vulnerabilidad porque están alejados de los centros donde se toman decisiones, alejados de los centros donde se hace justicia. Pero además, por otro lado, estamos hablando de pueblos que tienen una lucha histórica por la defensa de sus territorios. Muchas de ellas todavía no tienen ni siquiera los títulos de sus tierras, tierras ancestralmente que les corresponden, asegurados a nivel legal" ha afirmado Laura Furones. Además, no solo se trata de asesinatos. En ocasiones los activistas son objetos de ataques digitales para minar su imagen o por la vía legal. "Pongamos por ejemplo, una persona defensora se opone a un proyecto de extracción minera en una zona boscosa de Colombia o en la Amazonía brasileña. Lo que hace a lo mejor esa empresa es llevarla a juicio porque considera que alterando el orden público considera que ha hecho actos terroristas, cuando a lo mejor lo único que está haciendo es manifestarse de forma pacífica dentro de la legalidad. Lo que pasa es que una vez se ha metido en un proceso judicial, la persona defensora está obligada a asistir a los juicios, a pagar los costes de un abogado. La vida de la persona de repente consiste en defenderse legalmente. Es un David contra Goliat. Es una defensa de una persona que a lo mejor puede ser un pequeño campesino, una persona indígena, un activista local frente a maquinarias empresariales con departamentos legales muy, muy poderosos. De ahí la razón de que sea una estrategia tan efectiva de silenciamiento" sentencia Furones en RFI .En este último sentido, Global Witness considera que las empresas tienen que buscar un papel conciliador, negociando no solo con gobiernos, sino también tendiendo puentes con las comunidades locales. El informe ha sido presentado en vísperas de la COP28. Los líderes mundiales se reunirán el próximo noviembre en Emiratos Árabes Unidos para discutir la situación climática actual. Un espacio en donde es urgente también abordar la protección a todos aquellos que defienden la vida en el planeta, y que por ello, la de ellos corre un gran riesgo.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le séisme au Maroc, sur les relations entre l'Arménie e