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Retour sur les premiers jours suivant l'explosion du réacteur n°4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl en avril 1986, l'une des pires catastrophes nucléaires de l'histoire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.En 2025, Europe 1 célèbre ses 70 ans. 70 ans d'histoire, de rires, de partages et d'émotions.Pour marquer cet anniversaire, découvrez une collection inédite de podcasts : "70 ans d'Europe 1".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Présentée par Jeff Nouvelle salve de sorties avec cinq nouveautés pour une procession des plus versatile... PUTRID OFFAL explore la vie de Dominique-Jean Larrey, CYTOTOXIN revient sur les racines de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, IN THE WOODS... nous conte les légendes de l'Otra, KORSAKOV nous parle des pertes de mémoires et BLOOD ABSCISSION nous amène dans les abysses... Concours Rituel Noir à 00:43:00
Après Tchernobyl, Fukushima a eu raison du nucléaire, au moins pour un temps. La guerre en Ukraine et les fractures du marché mondial de l'énergie ont transformé le regard sur les atouts de l'atome à usage civil et les débats ont repris de plus belle sur les avantages et les risques de cette source d'énergie. Dans cette nouvelle série d'Histoire Vivante en association avec Genève-Monde, on explore l'histoire du nucléaire en Suisse, de l'enthousiasme des débuts aux affres persistants du doute. On a des images de la bombe atomique avec le champignon nucléaire d'Hiroshima et ses victimes, surprises par une force de destruction inédite en 1945. On connait un peu moins les usages très quotidiens du nucléaire civil. C'est pourtant un objet central de la coopération internationale d'après-guerre. Le nucléaire a transfiguré les rapports de force dans cette nouvelle ère. Véronique Stenger est historienne et spécialiste de l'histoire des organisations internationales. Avec elle, on explore les usages dits " pacifiques " du nucléaire. Elle répond aux questions de David Glaser pour Histoire Vivante.
Aujourd'hui je vous explique pourquoi les Etats-Unis ont décidé de mettre le concept de sécurité de l'IA à la poubelle au profit de la domination du secteur de l'IA.Et cela passe tout d'abord par de grands changements réglementaires. L'administration Biden avait mis en place plusieurs mesures de sécurité et de surveillance du développement de l'IA. Mais avec l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, ces mesures sont suspendues au profit d'une approche bien plus offensive.Que prévoyait le décret de Joe Biden ?Signé en octobre 2023, il imposait des obligations aux entreprises qui fabriquent de l'IA. L'idée était de garantir plus de transparence et de sécurité pour les utilisateurs. Un organisme, l'Institut américain de sécurité de l'IA, avait été créé pour superviser ces tests et collaborer avec des entreprises comme OpenAI et Anthropic.De plus, des agences de protection des consommateurs travaillaient à limiter les risques d'abus dans l'utilisation de l'IA dans le secteur financier.Mais avec Trump, tout à changé !Quelles sont les décisions de l'administration Trump en matière d'IADès le premier jour de son mandat, Donald Trump a annulé le décret de Biden et mis en place un nouveau texte visant à renforcer, je cite, la "domination" des États-Unis en matière d'IA.Contrairement à son prédécesseur, ce texte ne mentionne ni protection des données, ni obligations pour les entreprises, ni même la question de la sécurité.Il cherche surtout à lever les "contraintes réglementaires" pour accélérer le développement de l'IA.Quelles sont les conséquences directes du remplacement par ce texte de celui de Joe Biden ?L'administration Trump a ordonné l'arrêt de certaines initiatives de régulation, et l'Institut américain de sécurité de l'IA a perdu sa directrice, laissant planer le doute sur son avenir.Cela signifie que les entreprises de l'IA vont pouvoir développer leurs technologies avec moins de restrictions.Mais cela pose une question essentielle : la priorité donnée à l'innovation ne risque-t-elle pas de se faire au détriment de la sécurité et des droits des citoyens ? Certains experts redoutent un "moment Tchernobyl" pour l'IA, une crise majeure qui pourrait secouer tout le secteur si ces nouvelles libertés entraînaient des dérives.A noter tout de même, en France et en Europe, l'entrée en application toute récente de l'IA Act, un texte censé encadrer la fabrication et les usages de l'intelligence artificielle sur le vieux continent.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ukraine, 1986. Une simple expérience de routine à la centrale de Tchernobyl tourne à la catastrophe. Le réacteur numéro 4 vient d'exploser libérant un nuage radioactif qui franchit les frontières. En quelques heures, la vie de milliers de personnes bascule. Mais au-delà de l'accident, c'est le silence qui aggrave encore le drame. Entre mensonges d'État, sacrifices humains et contamination irréversible, la catastrophe de Tchernobyl restera à jamais gravée dans l'histoire du monde moderne. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !
Ukraine, 1986. Une simple expérience de routine à la centrale de Tchernobyl tourne à la catastrophe. Le réacteur numéro 4 vient d'exploser libérant un nuage radioactif qui franchit les frontières. En quelques heures, la vie de milliers de personnes bascule. Mais au-delà de l'accident, c'est le silence qui aggrave encore le drame. Entre mensonges d'État, sacrifices humains et contamination irréversible, la catastrophe de Tchernobyl restera à jamais gravée dans l'histoire du monde moderne. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !
La véritable histoire de l'accident nucléaire de Tchernobyl en 1986, le destin fascinant d'Amelia Earhart ou encore l'histoire du coup d'Etat du 18 Brumaire... Découvrez le programme de la semaine du 10 au 14 février 2025. Chaque dimanche dans un podcast inédit, au micro de Chloé Lacrampe, Lorànt Deutsch présente le programme à venir dans "Entrez dans l'Histoire". Retrouvez l'émission du lundi au vendredi, de 15h à 15h30 sur RTL.
Dans ce huitième épisode, la journaliste Maurine Mercier nous plonge au cœur de Pokrovsk, une ville ukrainienne sous le feu constant des bombardements. Accompagnée de son collègue ukrainien Artem, elle nous dévoile le quotidien de ses habitant·e·s qui, malgré l'adversité, trouvent la force de résister. Au milieu du chaos, la résilience s'exprime de façon inattendue : Lilia fait résonner sa voix pour apaiser les âmes tandis que les explosions déchirent le ciel, pendant que Jelena, qui a déjà survécu à la tragédie de Tchernobyl, partage son histoire.
La Playade ( laplayade.fr ) Podcast jeux vidéo et arts numériques. Ce mois-ci tintinnabule à vos oreilles le doux son d'un épisode La Playade de Noël ! Ariane tente de survivre au coeur de Tchernobyl avec S.T.A.L.K.E.R. 2, Vlad nous invite à le suivre dans les cauchemars virtuels d'[ECHOSTASIS], Ève joue son joker avec Balatro, Bénédicte fuit les romances toxiques d'Homicipher, Aurélie explore les splendides contrées de Tales of Kenzera : ZAU et Mickaël nous parle de migration dans le jeu vidéo. Une écoute plus savoureuse que la dinde de Mémé ! 0.01.50 News 0.18.49 [ECHOSTASIS] 0.28.55 Eve - Balatro 0.32.48 Homicipher 0.42.22 Tales of Kenzera : Zau 0.53.07 Mickaël - Migration dans le Jeu Vidéo 0.57.36 S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl 1.15.01 Snacks 1.18.47 QL 1.24.12 « Soleá De Las Cavilaciones » par Mëstiza (© 2024 Blanco Y Negro) Tous les liens des sujets de l'émission sont sur laplayade.fr Vous y retrouverez aussi toutes nos vidéos et interviews comme sur notre chaine Youtube : urlz.fr/8ber Réagissez, commentez, partagez : iTunes : urlz.fr/8Eqs Discord : discord.gg/WyGNk8qY5r Facebook : podcastlaplayade Instagram : la_playade
Il est le physicien qui dirige la commission qui enquête sur l'explosion nucléaire de Tchernobyl. Partisan de la transparence alors que le gouvernement préfère minimiser la catastrophe aux yeux du public en leur cachant la réalité, c'est l'homme qui a découvert et dévoilé au public les vérités sur l'accident. Nombreux sont ceux qui le considère comme le seul personnage rationnel impliqué dans les retombées de la catastrophe. Pourtant, deux ans après l'accident, il met fin à ses jours de manière inattendue. Son nom: Valery Legasov. A travers son combat et ses découvertes, découvrez sa True Story. Physicien de talent Parmis les études qu'il mène dans le domaine de la chimie physique et des explosifs, Valery se penche sur les réacteurs RMBK-1000 et découvre qu'il serait nécessaire de trouver une nouvelle méthodologie de sécurité pour prévenir des catastrophes. Il propose de protéger les réacteurs nucléaires avec un bouclier de protection. Ses collègues refusent sa proposition. D'après lui “C'est ainsi que vit le jour une génération d'ingénieurs qui, certes, étaient qualifiés dans leur travail mais qui manquaient d'esprit critique envers les équipements et les systèmes garantissant leur sécurité... Le doute commença à s'installer dans mon esprit car il me semblait urgent d'innover, d'essayer de prendre de la distance et d'agir différemment.” Écoutez nos autres épisodes : Laetitia Toureaux, l'espionne aux multiples facettes Une production Bababam Originals. Première diffusion : 25 février 2020. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
A 20h, le vendredi 8 novembre au Relais culturel La Saline. Valentina aime. Elle témoigne et raconte l'hallucinante prise de conscience d'une femme amoureuse, image de la résistance moderne et sans âge, confrontée aux conséquences de l'explosion du réacteur nucléaire de Tchernobyl en 1986. Jour après jour, les radiations détruisent l'homme qu'elle aime. Jour après jour elle se bat à ses côtés. Une histoire vraie adaptée de « La supplication » de Svetlana Alexievitch, un témoignage vibrant de foi, d'abnégation et de révolte d'une femme qui possède un don indestructible : celui d'aimer.Écoutez Emilie Keller, directrice du Relais culturel, nous en parle.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olga confie à Michael un journal, celui de Vassily, un liquidateur ayant œuvré vingt ans plus tôt lors de l'accident de Tchernobyl, témoignant de bien des choses sur les suites de la catastrophe nucléaire, les sévices physiques et moraux subis. Vassily évoque aussi une découverte immense qu'une certaine Marie a faite au siècle dernier, miraculeuse et malheureusement détournée par l'homme… Michael voyage dans le temps à travers les mots du journal et comprends mieux sa place ici, ce qu'il recherche, ce qu'il a vécu enfant sur ces terres irradiées.Mix et composition : Alexandre WettsteinHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La question de l'énergie devient cruciale pour les géants de la tech, notamment avec l'essor de l'intelligence artificielle, dont les besoins énergétiques explosent pour alimenter les data centers. Microsoft, particulièrement, investit massivement dans des solutions durables. Au printemps dernier, l'entreprise annonçait un investissement de 4 milliards d'euros en France, attirée par le potentiel du parc nucléaire français. Aujourd'hui, c'est aux États-Unis que Microsoft se tourne vers l'énergie nucléaire, en relançant une centrale au passé chargé.Vous avez sûrement entendu parler de Tchernobyl, mais un autre accident nucléaire a failli marquer l'histoire des États-Unis en 1979 : celui de la centrale de Three Mile Island, en Pennsylvanie. Le 28 mars de cette année-là, le cœur d'un des réacteurs fond en partie, avec 20 % du combustible coulé au fond de la cuve. Cet incident, classé au niveau 5 sur l'échelle internationale, n'a pas eu les conséquences dramatiques de Tchernobyl ou Fukushima (niveau 7), mais il a profondément marqué le pays, au point de geler la construction de nouvelles centrales pendant des décennies. Fermée en 2019, la centrale de Three Mile Island va cependant reprendre du service, et c'est grâce à Microsoft.Le géant de la tech a signé un contrat de fourniture d'électricité pour 20 ans, permettant la réactivation d'une unité de la centrale. L'objectif pour Microsoft est clair : accéder à une énergie non carbonée pour compenser l'augmentation de ses émissions. En effet, malgré ses ambitions de devenir carbone négatif, l'entreprise a vu ses émissions de CO2 augmenter de 29 % en 2023, en grande partie à cause des besoins croissants de l'intelligence artificielle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous quittions la saison 1 dans les airs, le petit Michael et sa mère en partance pour la France. Exilés après la chute de l'URSS et l'accident de Tchernobyl, tout était pour eux à reconstruire…Nous voici pour cette saison 2 vingt ans plus tard, au début des années 2010. Michael a une trentaine d'années. Il est de retour dans la zone de Tchernobyl et prend part au trafic de métaux surgi après l'évacuation des villages irradiés et la mise en terre des maisons, des véhicules, de toute trace de matériel radioactif. Malgré les décennies qui se sont succédé, la radiation est toujours vive ici, ce no man's land inhabitable est un cimetière apparemment besogneux qui regorgent de magouilles, de surprises, de fantômes... Que va trouver Michael sur sa route ? Pourquoi est-il revenu ?Mix et composition : Alexandre WettsteinHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans son rapport 2024, l'Onusida tire la sonnette d'alarme. S'il y a quelques bonnes nouvelles, comme la mortalité en raison du Sida en baisse de 28% depuis 2010, l'objectif d'en finir avec cette pandémie d'ici 2030 est encore loin. L'Onusida en appelle au volontarisme des gouvernements pour mener à bien cette lutte, car les nombre d'infections au VIH a augmenté en moyenne de 9% depuis 2010. Les pays les plus touchés sont le Venezuela, le Nicaragua, le Guatemala, le Paraguay et le Pérou. « Une partie de cette augmentation est liée au manque d'accès aux traitements, à la discrimination et au manque d'accès aux services de prévention, explique Luisa Cabal, directrice régionale Amérique latine de l'Onusida. Mais nous comprenons également que la situation politique dans notre région est très complexe. Il y a des migrations, des réfugiés. » Et ces migrants sont les premières victimes du VIH. « Les conditions de l'immigration irrégulière ont engendré de nombreuses vulnérabilités chez les migrants. Et ces vulnérabilités exposent les gens au risque de contracter le VIH. Nous savons également qu'elles placent de nombreux migrants dans des conditions de vulnérabilité notamment à cause de la violence sexuelle. À tel point que la prévalence du VIH chez les migrants peut être deux fois plus élevée si l'on compare avec la population générale du pays d'accueil. »Mais ils ne sont pas les seules victimes. « Les nouvelles infections se concentrent sur les populations clés, et ces groupes sont les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes, les homosexuels, les femmes transgenres, les travailleurs du sexe, les personnes qui consomment de la drogue », détaille Luisa Cabal. « Nous devons nous assurer que nous soutenons les communautés les plus proches des personnes les plus touchées, que nous soutenons les dirigeants de ces communautés. Nous devons leur donner les moyens de mettre en place des services de prévention. Nous disposons de nouveaux outils de prévention tels que ce que nous appelons la PrEP ou prophylaxie pré-exposition, c'est-à-dire des pilules que l'on peut prendre à titre préventif. Les gouvernements doivent vraiment intensifier leur plaidoyer en faveur de la distribution de la PrEP à ceux qui en ont le plus besoin. »Taïwan livre des équipements aux forces armées haïtiennesLa Police nationale haïtienne et les forces armées d'Haïti ont reçu 400 kits de protection de la part de Taïwan. Chacun est composé d'un casque, d'un gilet pare-balles, de lunettes de protection, de genouillères, détaille Gazette Haïti. Taïwan a envoyé 800 kits de ce genre depuis deux ans. L'ambassadeur taïwanais à Port-au-Prince a d'ailleurs salué la « solidarité et la fraternité » qui lient les deux pays. Le Premier ministre Gary Conille a répondu en vantant « une amitié sincère et durable entre Haïti et Taïwan, deux nations qui partagent une histoire de lutte pour la liberté, la dignité et la démocratie ». Haïti fait partie de la courte liste des douze États dans le monde qui reconnaissent officiellement Taïwan.Première interview de Kamala Harris à la télévision américaineLa candidate démocrate a donné jeudi 29 août sa première interview depuis qu'elle a été investie par son parti pour la course à la présidentielle de novembre prochain. Accompagnée de son colistier Tim Walz, elle s'est exprimée sur ses changements de positions, notamment sur certains sujets sensibles comme la fracturation hydraulique qu'elle voulait interdire en 2019 et qui à laquelle elle ne s'oppose plus aujourd'hui.La presse américaine a trouvé cette interview « vague et creuse ». « Kamala Harris n'a pas perdu des points avec cette interview, mais elle ne s'est pas aidée non plus », constate le New-York Times. « Certes, elle est apparue chaleureuse, attachante, estime le quotidien, et elle a su attaquer correctement Donald Trump. Mais elle est restée très vague dans ses réponses, au point d'en devenir creuse. » Une occasion en or pour son concurrent républicain qui décrit l'interview en un seul mot sur son réseau social : « Boring », ennuyeux. Le média Fox News, orienté à droite, est encore plus virulent. Il compare Kamala Harris et Joe Biden : « Tous les deux ont le même problème : ils se transforment en Tchernobyl humain lorsqu'on leur retire leur prompteur. »À écouter aussi7. Kamala Harris, une investiture remplie d'espoir et de liberté?Au Mexique, nouveaux affrontements entre les cartels et l'arméeDes échanges de tirs entre les forces armées et les membres du cartel de Sinaola ont rythmé la journée de jeudi 30 août, à Culiacan, dans le Nord-ouest du Mexique. « Un jeudi noir à Culiacan », titre el Universal. Culiacan est la capitale de l'État de Sinaloa, où est installé le plus grand cartel du pays au nom éponyme. Sur les vidéos diffusés dans les médias, on voit des camions remplis d'hommes armés et d'autres dont il ne reste que les carcasses dévorées par les flammes. « Un groupe lourdement armé a attaqué un convoi de l'armée, raconte El Universal, puis a mis le feu à plusieurs véhicules pour bloquer la route. »« L'armée s'est déployée pour répondre à l'attaque », précise El Sol de Mexico, mais l'université, les transports et les commerces de la ville sont restés fermés toute la journée. Le journal fait le lien entre cet épisode et ce qu'il appelle les « Culiacanazos » : deux épisodes de violence qui ont éclaté à Culiacán. Lors du premier, en 2019, « la ville était alors devenue un champ de bataille entre le crime organisé et l'armée » qui cherchait à capturer Ovidio Guzman, le fils del Chapo, le chef du cartel de Sinaola. Le deuxième « Culiacanazo » s'est produit en 2023, quand Ovidio Guzman a finalement été capturé.Journal de la 1èreEn Guyane, les professeurs font leur pré-rentrée aujourd'hui et s'attendent à une année compliquée.
Décision attendue ce jeudi de la Cour d'appel de Paris dans le procès mené contre Bayer-Monsanto et 13 autres groupes agrochimiques qui ont fourni l'agent orange à l'armée américaine. L'agent orange, c'est cet herbicide ultra-toxique utilisé pendant la guerre du Vietnam. Le quotidien français La Croix a rencontré Tran To Nga, la franco-vietnamienne de 82 ans qui a lancé ce long combat judiciaire. Elle raconte comment, en 1966, alors que la jeune journaliste se rend dans le nord du pays – le Sud est alors soutenu par les États-Unis contre l'insurrection communiste du nord, elle reçoit « du poison », l'agent orange, déversé par des avions alors qu'elle sort d'un abri.Des années plus tard, Tran To Nga perd son premier enfant de 17 mois, les deux suivants naissent avec des malformations cardiaques... et les médecins lui découvrent un cancer du sein, du diabète et une tuberculose : « Je pensais que c'était dû à ma vie de résistante », explique-t-elle, « mais ce n'est que plus tard que j'ai compris que c'était lié à l'agent orange ». Un rapport, en 2003, révèle que quatre millions de Vietnamiens ont été contaminés.En 2009, Tran To Nga rencontre l'avocat français William Bourdon et le collectif Vietnam Dioxine. Aux États-Unis, toutes les tentatives de faire condamner les grandes entreprises américaines ont échoué. Tran To Nga accepte, en tant que victime française, devenir porte-voix et déclencher la mobilisation. Un premier procès a lieu en 2021 au tribunal d'Évry, qui se déclare incompétent. Aujourd'hui, on attend le résultat de la procédure d'appel. Si la décision de première instance est infirmée, explique un des avocats de Tran to Nga, « cela ouvrira la porte à un vrai procès sur le fond ». Tran To Nga, que Heike Schmidt a interrogé pour RFI.À lire aussi«Agent orange»: l'action en justice contre Bayer-Monsanto et 13 autres groupes jugée «irrecevable» en appelEn Russie, la centrale nucléaire de Koursk en état d'alerteL'Ukraine continue sa percée en Russie, et à 50 kilomètres des combats, la centrale nucléaire de Koursk est en état d'alerte. L'envoyé spécial du Figaro s'est tendu sur place, enfin presque – le maire de Kourtchakov l'a emmené sur une petite embarcation, naviguant sur le lac réservoir créé il y a un demi-siècle pour refroidir les quatre réacteurs. La structure, écrit le journaliste, « évoque celle, funeste », de Tchernobyl – les deux centrales datent de la même époque.En ville, les militaires ne sont guère visibles : « il s'agit manifestement de ne pas créer d'effet de panique dans la population ». Mais un régime d'alerte antiterroriste a été imposé. Il y a une semaine, un des responsables de la contre-offensive russe affirmait que « l'armée ukrainienne avait prévu de prendre la centrale de Koursk vers le 11 août, après quoi leur intention était de lancer un ultimatum à la Russie ». Mais le Figaro estime qu'« il ne semble guère avéré, à ce stade de leur opération sur le territoire russe, que les forces ukrainiennes aient la volonté – ni sans doute les moyens – de s'emparer de la centrale de Koursk ». À lire aussiGuerre en Ukraine: «Les Russes avancent lentement, mais de plus en plus vite» dans le DonbassTim Walz accepte officiellement l'investiture démocrateAux États-Unis, troisième jour de la convention démocrate à Chicago, avec l'intervention du colistier de Kamala Harris, Tim Walz, qui n'a pas manqué de qualifier Donald Trump de « bizarre » et de « dangereux ». Le New York Times rappelle que depuis qu'il a rejoint le ticket démocrate, il s'est « empressé de s'attaquer » à l'ancien président, dans « un mélange de sarcasmes mordants et de commentaires plein d'esprits ». Le Soir estime que le nouvel objectif démocrate est de « ridiculiser Donald Trump », et qu'il fait florès – « tous les leaders démocrates alimentent un filon inépuisable ». Avec un Donald Trump qui répond, comme lors d'un meeting lundi 19 aout dernier où il s'est défendu d'être bizarre – « c'est lui qui est bizarre ».Une tactique qui pourrait, selon le quotidien belge, s'avérer plus efficace que les avertissements sur « le danger pour la démocratie » que poserait le candidat républicain - et sur lequel insistait Joe Biden lorsqu'il était lui-même candidat. Maintenant, avec Kamala Harris, c'est plutôt la notion de liberté que les démocrates mettent en avant : « Plus que toute autre chose, choisissons la liberté. Pourquoi ? Parce que c'est le meilleur des États-Unis », a encore martelé la nuit dernière à Chicago la célèbre présentatrice Oprah Winfrey, rapporte le Times.Kamala Harris, elle, était montée sur scène lundi au son du Freedom de Beyoncé : « Les démocrates reprennent aux républicains l'étendard de la liberté », titrait ce mercredi Le Monde. Liberté du corps des femmes entre autres : le Washington Post note qu'à Chicago, les intervenantes ont partagé leurs histoires personnelles d'avortement, de fausse couche et de stérilité ; ce qui « reflète la volonté croissante des candidates de parler de leur passé reproductif, autrefois considéré comme un handicap ». Et puis « la lutte pour le droit à l'avortement est considérée comme un sujet gagnant pour les démocrates ».Bref, à Chicago, « celles qui ont laissé leur marque furent des sénateurs, des gouverneurs, des députés, des femmes » remarque le Corriere della Sera : Michelle Obama, Hillary Clinton, Alexandria Ocasio-Cortez. « Kamala Harris mène le tournant interne des démocrates : le parti dirigé par des femmes », titre le quotidien italien.À lire aussiÉtats-Unis: Tim Walz accepte l'investiture des démocrates et devient le colistier de Kamala Harris
durée : 00:47:04 - Le temps d'un bivouac - par : Daniel FIEVET - Il a trainé crayons et pinceaux dans les coins les plus reculés de la planète. Ce mardi, du désert d'Atacama à l'Antarctique en passant par Tchernobyl, le dessinateur auteur de bande dessinée Emmanuel Lepage nous emmène de case en case dans ses aventures en terres extrêmes. - invités : Emmanuel LEPAGE - Emmanuel Lepage : Dessinateur et scénariste - réalisé par : David Leprince
durée : 00:47:04 - Le temps d'un bivouac - par : Daniel FIEVET - Il a trainé crayons et pinceaux dans les coins les plus reculés de la planète. Ce mardi, du désert d'Atacama à l'Antarctique en passant par Tchernobyl, le dessinateur auteur de bande dessinée Emmanuel Lepage nous emmène de case en case dans ses aventures en terres extrêmes. - invités : Emmanuel LEPAGE - Emmanuel Lepage : Dessinateur et scénariste - réalisé par : David Leprince
durée : 01:22:59 - Atelier de création radiophonique - par : Frank Smith, Philippe Langlois - Cet atelier de création radiophonique revient sur la catastrophe nucléaire de Tchernobyl articulé autour du livre "La Supplication" de Svetlana Alexievitch et des documents sonores recueillis par Wladimir Tchertkoff, pour ses deux films : "Nous, de Tchernobyl" et "Le piège atomique".
Découvrez la bande-annonce d'un épisode inédit réservé aux abonnés de Transfert Club, l'offre premium de Transfert. Deux fois par mois, vous aurez accès à du contenu exclusif, des histoires inédites et aux coulisses de vos épisodes préférés sur slate.fr/transfertclub et toutes les plateformes de podcast!Quand Pierre naît dans l'est de la France en 1990, la catastrophe de Tchernobyl est encore dans tous les esprits. Ses nombreuses malformations de naissance semblent n'avoir aucune autre explication. Jusqu'à ce que, des années plus tard, quelqu'un trouve enfin une réponse. Transfert est un podcast produit et réalisé par Slate.fr.Direction éditoriale: Christophe CarronDirection de la production: Sarah KoskievicDirection artistique: Benjamin Saeptem HoursProduction éditoriale: Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem HoursChargée de pré-production: Astrid VerdunPrise de son, montage et habillage musical: Victor BenhamouL'introduction a été écrite par Benjamin Saeptem Hours et Sarah Koskievic. Elle est lue par Aurélie Rodrigues.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Transfert). Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook.Pour participer au podcast: transfert@slate.fr.
Les expériences sur les animaux, désapprouvées par certains, permettent souvent de faire progresser nos connaissances sur les maladies humaines. Mais leur simple observation, dans la nature, aide aussi les scientifiques à mieux en comprendre les mécanismes.C'est ce qu'a constaté une équipe de chercheurs américains, qui s'est rendue à Tchernobyl, en 2014, pour voir comment les loups supportaient les radiations. Ces animaux sont en effet nombreux à errer sur ce site, marqué par un très grave incident nucléaire en avril 1986.Durant près de dix ans, les scientifiques ont prélevé des échantillons de sang sur ces canidés et recueilli des informations, grâce à des colliers GPS attachés à leur cou.Après toutes ces années d'investigations, les chercheurs américains viennent de donner le résultat de leurs recherches. Ils se sont aperçus que, comme on pouvait s'y attendre, ces loups étaient exposés à de très forts taux de radiations.Ils étaient même six fois plus élevés que le seuil maximal, qu'un humain ne pouvait dépasser sans faire courir un grave danger à sa santé. Mais alors comment faisaient ces animaux pour survivre à une telle dose de radiations ?C'est là le point le plus intéressant des découvertes de cette équipe de scientifiques. Ils ont en effet remarqué que certains animaux avaient développé une mutation génétique propre à les protéger contre le cancer.Les chercheurs ont pu identifier les parties du génome de ces loups qui semblaient insensibles, dans une certaine mesure, aux attaques de la maladie. En fait, le système immunitaire de ces animaux s'apparentait à celui d'un patient atteint du cancer mais bénéficiant de séances de radiothérapie.Cette découverte sur la faculté qu'auraient certaines mutations génétiques de résister aux atteintes du cancer est d'autant plus importante que l'homme réagit à la maladie de la même manière que ces loups.Ces recherches prometteuses sont malheureusement freinées par l'actuel conflit en Ukraine, qui rend l'accès à la zone de Tchernobyl très difficile. Il faudra donc patienter encore avant d'en voir les premiers résultats concrets. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les expériences sur les animaux, désapprouvées par certains, permettent souvent de faire progresser nos connaissances sur les maladies humaines. Mais leur simple observation, dans la nature, aide aussi les scientifiques à mieux en comprendre les mécanismes. C'est ce qu'a constaté une équipe de chercheurs américains, qui s'est rendue à Tchernobyl, en 2014, pour voir comment les loups supportaient les radiations. Ces animaux sont en effet nombreux à errer sur ce site, marqué par un très grave incident nucléaire en avril 1986. Durant près de dix ans, les scientifiques ont prélevé des échantillons de sang sur ces canidés et recueilli des informations, grâce à des colliers GPS attachés à leur cou. Après toutes ces années d'investigations, les chercheurs américains viennent de donner le résultat de leurs recherches. Ils se sont aperçus que, comme on pouvait s'y attendre, ces loups étaient exposés à de très forts taux de radiations. Ils étaient même six fois plus élevés que le seuil maximal, qu'un humain ne pouvait dépasser sans faire courir un grave danger à sa santé. Mais alors comment faisaient ces animaux pour survivre à une telle dose de radiations ? C'est là le point le plus intéressant des découvertes de cette équipe de scientifiques. Ils ont en effet remarqué que certains animaux avaient développé une mutation génétique propre à les protéger contre le cancer. Les chercheurs ont pu identifier les parties du génome de ces loups qui semblaient insensibles, dans une certaine mesure, aux attaques de la maladie. En fait, le système immunitaire de ces animaux s'apparentait à celui d'un patient atteint du cancer mais bénéficiant de séances de radiothérapie. Cette découverte sur la faculté qu'auraient certaines mutations génétiques de résister aux atteintes du cancer est d'autant plus importante que l'homme réagit à la maladie de la même manière que ces loups. Ces recherches prometteuses sont malheureusement freinées par l'actuel conflit en Ukraine, qui rend l'accès à la zone de Tchernobyl très difficile. Il faudra donc patienter encore avant d'en voir les premiers résultats concrets. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Guerre en Ukraine, autonomie vis-à-vis de la Russie, prix de l'électricité et transition climatique : les choix énergétiques sont au cœur des débats européens. Et notamment la question du nucléaire. ÉnergieAprès de longs débats, le Conseil européen a finalement classé le nucléaire parmi les technologies permettant de lutter contre le réchauffement climatique. Bruxelles accueille, le jeudi 21 mars 2024, un sommet global sur l'énergie nucléaire organisé par la Belgique et l'AIEA. Il réunira des États, des industriels et des spécialistes du climat. Les précisions de Jean-Jacques Héry à Bruxelles.Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement d'extrême-droite de Giorgia Meloni n'a cessé de répéter son intérêt pour l'énergie nucléaire. Rome avait abandonné l'atome après la catastrophe de Tchernobyl. Matteo Salvini promet que la première centrale sera ouverte dès 2032 à Milan, mais ces annonces sont loin de convaincre dans le nord du pays. Reportage près de Turin, où se trouvait la plus grande centrale nucléaire du pays, Cécile Debarge. Journée mondiale de la francophonieL'usage du français recule face à l'anglais au sein des organisations internationales y compris à Bruxelles, dans les institutions européennes... Mais il continue à progresser dans le monde - surtout en Afrique.Sur la petite île anglophone de Chypre, à l'extrême est de l'Union européenne, la langue de Molière tente de se faire une place au soleil. Reportage à Nicosie, Joël Bronner. En un mot : «Goblin mode»L'expression, plébiscitée par les Britanniques, a fait son entrée dans le très sérieux dictionnaire Oxford.Bien se tenir, soigner son apparence, être sociable comme il faut serait de moins en moins en vogue chez les jeunes, l'important serait plutôt d'être à l'aise et de ne pas trop s'en faire... C'est ce qui se cache derrière ces deux mots, nous raconte, à Londres, Marie Billon.
Guerre en Ukraine, autonomie vis-à-vis de la Russie, prix de l'électricité et transition climatique : les choix énergétiques sont au cœur des débats européens. Et notamment la question du nucléaire. ÉnergieAprès de longs débats, le Conseil européen a finalement classé le nucléaire parmi les technologies permettant de lutter contre le réchauffement climatique. Bruxelles accueille, le jeudi 21 mars 2024, un sommet global sur l'énergie nucléaire organisé par la Belgique et l'AIEA. Il réunira des États, des industriels et des spécialistes du climat. Les précisions de Jean-Jacques Héry à Bruxelles.Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement d'extrême-droite de Giorgia Meloni n'a cessé de répéter son intérêt pour l'énergie nucléaire. Rome avait abandonné l'atome après la catastrophe de Tchernobyl. Matteo Salvini promet que la première centrale sera ouverte dès 2032 à Milan, mais ces annonces sont loin de convaincre dans le nord du pays. Reportage près de Turin, où se trouvait la plus grande centrale nucléaire du pays, Cécile Debarge. Journée mondiale de la francophonieL'usage du français recule face à l'anglais au sein des organisations internationales y compris à Bruxelles, dans les institutions européennes... Mais il continue à progresser dans le monde - surtout en Afrique.Sur la petite île anglophone de Chypre, à l'extrême est de l'Union européenne, la langue de Molière tente de se faire une place au soleil. Reportage à Nicosie, Joël Bronner. En un mot : «Goblin mode»L'expression, plébiscitée par les Britanniques, a fait son entrée dans le très sérieux dictionnaire Oxford.Bien se tenir, soigner son apparence, être sociable comme il faut serait de moins en moins en vogue chez les jeunes, l'important serait plutôt d'être à l'aise et de ne pas trop s'en faire... C'est ce qui se cache derrière ces deux mots, nous raconte, à Londres, Marie Billon.
durée : 00:03:55 - Le Biais de Bernard Werber - par : Bernard Werber - Trente-huit ans après la catastrophe de Tchernobyl, la faune et la flore de l'endroit se sont régénérées et se sont adaptées à ces nouvelles conditions de vie. Exemple, le loup gris qui a développé d'excellentes résistances aux radiations.
Le crétin des Alpes, ce n'est pas le touriste qui se croit tout permis sur les pistes de ski deux semaines par an. Encore que. Vous risquez d'en croiser quelques-uns ce mois ci à la montagne. Le crétin des Alpes, c'est une personne malade mais au XIXe siècle, on ne sait pas encore de quoi ni comment le soigner. Retards mentaux et physiques, cous enflés, goitres disproportionnés, les souffrants sont rejetés par leurs familles, exposés comme des bêtes de foire ou servent de cobayes. Au XIXe siècle donc, le nombre de cas en France et dans le reste de l'Europe est inquiétant. Napoléon III exhorte la communauté médicale et scientifique de se pencher sur le phénomène devenu question de santé publique. On va comprendre et identifier la maladie à partir de la fin du XIXe siècle et trouver une solution efficace pour l'éradiquer au début du XXe. Les malades ont un problème de thyroïde, une insuffisance, d'où le goitre et leur croissance stoppée. On appellera cette maladie, le crétinisme. On se rend compte alors que ce sont les populations éloignées de la mer, souvent reculées dans les montagnes qui sont les plus touchées. Une carence est alors pointée chez elles, c'est le manque d'iode. Indispensable au fonctionnement de la thyroïde, elle-même indispensable au fonctionnement de notre organisme. Une thyroïde qui ne va pas bien et c'est tout le corps qui flanche. Pour remédier à ce manque d'iode, les Suisses ont une idée de génie. En 1922, ils décident d'enrichir le sel de cuisine en iode. Et ça marche ! Le sel iodé s'impose sur les tables et le nombre de cas de crétinisme chute en Europe et en Amérique au début du XXe siècle. Les scientifiques trouveront de nombreuses utilisations de l'iode pour nous protéger, notamment des ondes radioactives. Après la catastrophe de Tchernobyl, on donne des cachets d'iode pour empêcher une contamination trop importante. L'iode est donc essentiel pour nous, on trouve cet oligo-élément en bonne quantité dans tous les produits de la mer, algues, huitres, poissons, crustacés mais aussi dans les oeufs et les laitages, dans certains fruits comme l'ananas, les myrtilles ou encore les mûres. les quantités sont faibles mais bien présentes. Alors même s'il ne faut pas en abuser, n'hésitez pas à mettre votre grain de sel ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Après Tchernobyl, Fukushima a eu raison du nucléaire, au moins pour un temps. La guerre en Ukraine et les fractures du marché mondial de l'énergie ont transformé le regard sur les atouts de l'atome à usage civil et les débats ont repris de plus belle sur les avantages et les risques de cette source d'énergie. Dans cette nouvelle série d'Histoire Vivante en association avec Genève-Monde, on explore l'histoire du nucléaire en Suisse, de l'enthousiasme des débuts aux affres persistants du doute. On a des images de la bombe atomique avec le champignon nucléaire d'Hiroshima et ses victimes, surprises par une force de destruction inédite en 1945. On connait un peu moins les usages très quotidiens du nucléaire civil. C'est pourtant un objet central de la coopération internationale d'après-guerre. Le nucléaire a transfiguré les rapports de force dans cette nouvelle ère. Véronique Stenger est historienne et spécialiste de l'histoire des organisations internationales. Avec elle, on explore les usages dits « pacifiques » du nucléaire. Elle répond aux questions de David Glaser pour Histoire Vivante. Lien : geneveMonde.ch, la première plateforme collaborative sur l'histoire de la Genève internationale https://genevemonde.ch/
NOUVEAU - Abonnez-vous à Minuit+ pour profiter de milliers d'histoires vraies sans publicité, d'épisodes en avant-première et en intégralité. Vous aurez accès sans publicité à des dizaines de programmes passionnants comme Crimes - Histoires Vraies, Espions - Histoires Vraies, Paranormal - Histoires Vraies ou encore Catastrophes - Histoires Vraies.
Swazis are ok if the band is cool. Intro Music: Carnivore- Jesus Hitler https://demolisten.bigcartel.com/product/highball-five-cubes-cassette Submit music to demolistenpodcast@gmail.com. Become a patron at https://www.patreon.com/demolistenpodcast. Leave us a message at (260)222-8341 Queue: Harm Assist, Stedfast, Mean Machine, Strike Face, Tchernobyl, Private Hell, Skotos, Crown Vic, Ascended Dead, Camellia, Sinensis https://www.youtube.com/watch?v=FkVZe3-pFBg https://stedfast.bandcamp.com/album/4-song-promo https://meanmachinernr.bandcamp.com/album/i-wanna-die-by-d-beat-four-roses https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=QXCX5tEe7JM https://uneviepourrienvinyles.bandcamp.com/album/tchernobyl-face-au-mur-ep https://privatehellrva.bandcamp.com/track/tower-of-silence https://skotos.bandcamp.com/album/ep-2023-2
durée : 00:54:59 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - SI vous avez grandi dans l'est de la France dans les années 80, comme Frederick Sigrist, entre le chômage, le nuage de Tchernobyl, le petit Gregory, et Simone Weber, vous avez peut-être vous aussi une vraie passion pour les films d'horreur !
C dans l'air du 22 juin : Poutine : les chars occidentaux "brûlent de bon cœur" - LES EXPERTS : - GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU - BRUNO TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS - Conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste, spécialiste des questions internationales France Inter - IRYNA DMYTRYCHYN - Maîtresse de conférences à l'Inalco - Institut National des Langues et Civilisations Orientales Après la destruction du barrage de Kakhovka le 6 juin dernier, l'Ukraine s'inquiète au sujet de la centrale de Zaporijia. Volodymyr Zelensky a accusé ce jeudi la Russie de préparer un "attentat terroriste" impliquant une fuite "de radiations" à la centrale nucléaire occupée par les troupes russes dans le sud du pays. "Ils ont tout préparé pour cela", a déclaré sur Telegram le président ukrainien, dont le pays avait été le théâtre du pire accident nucléaire de l'histoire après l'explosion d'un réacteur à la centrale de Tchernobyl en 1986. "Nous transmettons ces informations à tous nos partenaires dans le monde entier, toutes les preuves (…) Le monde est prévenu, le monde peut et doit agir", a-t-il exhorté. "C'est un nouveau mensonge" a immédiatement réagi la Russie. "On vient juste d'avoir des contacts avec l'Agence internationale de l'énergie atomique", dont le directeur Rafael Grossi est attendu en Russie vendredi et s'est rendu la semaine dernière dans la centrale ukrainienne, a expliqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Cette installation, la plus grande d'Europe, se trouve depuis plus d'un an au cœur de la guerre lancée par la Russie contre l'Ukraine. Tombée aux mains de l'armée russe en mars 2022, elle a été visée par des tirs et a été coupée du réseau électrique à plusieurs reprises. Mais la destruction du barrage de Kakhovka a ravivé les inquiétudes et suscité des interrogations sur la pérennité du bassin servant à refroidir les six réacteurs de la centrale. En visitant le site le 15 juin dernier, le directeur de l'AIEA a estimé que la situation y était "grave" mais en cours de stabilisation. Alors quelle est la situation dans la centrale de Zaporijia ? Y a-t-il un risque d'"attentat" ? Et où en est la contre-offensive ukrainienne ? Alors que la bataille de communication se poursuit entre Kiev et Moscou, sur le terrain les combats font rage. Les troupes ukrainiennes cherchent à percer les épaisses lignes des forces russes : champs de mines, tranchées, fortifications, aviations… Mais l'avancée est lente et très difficile. Même Volodymyr Zelensky le reconnaît : la contre-offensive de l'armée de Kiev, entamée le 4 juin, connaît des progrès "plus lents que ce qui était souhaité". "Certaines personnes pensent qu'il s'agit d'un film hollywoodien et attendent des résultats immédiats. Ce n'est pas le cas", a-t-il affirmé, dans un entretien publié mercredi 21 juin sur le site de la chaîne britannique BBC. Si les premiers jours de la contre-attaque ont permis à Kiev de récupérer une dizaine de villages et environ 100 kilomètres carrés de territoire, la progression s'est depuis ralentie. Mercredi, Vladimir Poutine a déclaré à la télévision d'Etat que la contre-offensive ukrainienne n'a "aucune chance" de réussir, ajoutant que les chars de combat "Leopard, les blindés sur roue français et les chars américains brûlent de bon cœur". Mais le même jour, le chef du groupe Wagner, Evgueni Prigojine, a accusé la hiérarchie militaire russe de "cacher" les difficultés rencontrées par son armée. "L'ennemi occupe Piatykhaty, le nord de Robotyné, et Urojaïné, ce qui veut dire que de grands pans de territoire ont été perdus au profit de l'ennemi (…) Tout cela est complètement caché à tout le monde. Un jour la Russie se réveillera et s'apercevra que la Crimée est ukrainienne " a-t-il affirmé. Depuis on a appris qu'une frappe ukrainienne a touché le pont de Tchongar, reliant la Crimée à la région de Kherson. Un point stratégique : la Crimée sert notamment de base arrière logistique aux forces russes déployées dans le sud de l'Ukraine. Parallèlement, la bataille se mène aussi sur le front diplomatique. Quelques jours après la mission de médiation de sept pays africains à Kiev et Saint-Pétersbourg, Emmanuel Macron accueille ce jeudi et vendredi à Paris un "Sommet pour un nouveau pacte financier mondial". Au total, une cinquantaine de chefs d'État sont réunis pour tenter de relancer la coopération Nord-Sud. Officiellement les discussions devraient porter sur l'aide à la lutte contre le réchauffement climatique, mais la guerre en Ukraine sera également un élément central de cette rencontre. Emmanuel Macron devrait chercher à rallier les pays du Sud à la cause ukrainienne. Car la guerre a mis en lumière des lignes de fracture au sein de la communauté internationale. Avec d'un côté, les pays occidentaux unis autour de Kiev face à ce qu'ils qualifient d'agression russe. De l'autre, en Asie, en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique du Sud, un certain nombre de pays qui ont opté pour un positionnement plus ambigu, refusant ou s'abstenant de condamner la Russie. Une neutralité souvent calculée, liée à la défense de leurs propres intérêts (énergie, céréales…) mais aussi à la diatribe de Moscou qui ne cesse d'évoquer la création d'un ordre mondial multipolaire contre l'hégémonie de l'Occident. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans cette 1013e édition nous allons nous interroger sur la biodiversité autour de Tchernobyl, réensauvager la moitié de la planète, parler processions religieuses, voir à quoi ressemblera le beauf du futur et (re)découvrir On/Off.
Vous allez écouter les 15 premières minutes de l'émission « Histoire de l'Ukraine / #4 Libérée, délivrée ? », qui dure 1 heure et 32 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d'un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 4è et dernier épisode de l'Histoire de l'Ukraine, je reviendrai sur un événement qui a forcément marqué les mémoires, l'Holodomor de 1932-1933, qui a fait entre 1 et 4 million de morts selon les sources. Puis, de retour dans l'après guerre, j'aborderai une autre famine, celle de 46-47, tout aussi terrible. Pourquoi ces parties ? Car la course à la réussite agricole et industrielle aura été le fil rouge de l'Union soviétique, concrétisée sur le terrain ukrainien. Enfin, les années Gorbatchev, la chute du mur et de l'URSS amèneront la liberté dans les pays satellites, dont l'Ukraine. Liberté, vraiment ? Nous verrons … Et surtout, en toute fin d'émission, ne manquez pas l'interview de Nadia, ukrainienne vivant en France depuis une dizaine d'années, qui a vécu la fin de l'Ukraine Soviétique, et les débuts de l'Indépendance. Dans cette interview - que vraiment je vous recommande - je n'aborde évidemment pas la politique actuelle ni la guerre présente. Ce n'est pas notre mission, et, une fois encore, la conviction d'une personne n'est pas forcément celle de tout le monde, donc, ce ne sera pas notre propos. L'idée ici est de savoir quelle pouvait être la vie d'une jeune ukrainienne qui a connu la période soviétique (même jeune), la chute de l'URSS, et les débuts de la liberté.
durée : 00:07:23 - franceinfo junior - Le 26 avril est la journée internationale du souvenir de la catastrophe de Tchernobyl. Il y a 37 ans, le 26 avril 1986, un accident se produit dans la centrale nucléaire de la ville de Tchernobyl en Ukraine, alors située en URSS.
durée : 00:38:36 - Rendez-vous avec X... - par : Patrick PESNOT - 20 ans déjà ! Et toujours la controverse, le mystère et les mensonges… Je veux parler de Tchernobyl. La plus grande catastrophe du nucléaire civil. L'équivalent de cent bombes d'Hiroshima.
Nous commencerons notre programme par un passage en revue de quelques évènements de l'actualité de cette semaine. Tout d'abord, nous commenterons le projet de la Chine, annoncé lors du Congrès populaire national annuel à Beijing, d'augmenter ses dépenses de défense tout en se fixant un objectif modeste de croissance économique pour 2023. Ensuite, nous discuterons de la décision de la Commission européenne d'interdire à ses employés d'utiliser l'application du réseau social chinois TikTok sur leurs appareils professionnels. Puis, dans la partie scientifique de notre émission, nous discuterons d'une étude publiée dans la revue Science Advances indiquant que les chiens qui vivent autour de Tchernobyl ont un profil génétique différent de celui des autres chiens. Enfin, nous commenterons l'émission par l'Ukraine d'un timbre représentant une peinture murale réalisée par l'artiste britannique Banksy. Poursuivons avec la deuxième partie de notre émission, « Trending in France ». Nous parlerons des inquiétudes suscitées par le « Mars rouge » et pour finir, nous discuterons des initiatives prises en France lors de la journée internationale des femmes. - La Chine se fixe des objectifs modestes en matière de croissance économique, mais augmente ses dépenses militaires - Les agences de l'Union européenne interdisent l'utilisation de TikTok - Les chiens errants de la centrale de Tchernobyl auraient un profil génétique unique - L'Ukraine émet un timbre où figurent une œuvre de Banksy et une insulte adressée à Poutine - L'envolée de l'inflation et le « Mars rouge » - Journée internationale des femmes
Si de nombreux pays ont fait le choix du nucléaire, pour la production d'électricité, mais aussi, dans certains cas, pour la propulsion navale, c'est que cette forme d'énergie ne manque pas d'avantages.En premier lieu, elle ne rejette pas de CO2 dans l'atmosphère, mais de la vapeur d'eau. Ce qui, dans la période de réchauffement que connaît le climat, représente un atout notable.Par ailleurs, le coût de production de l'électricité n'est pas très élevé et cette énergie est disponible toute l'année. Enfin, une centrale nucléaire peut rester en service plusieurs décennies.Aussi des pays comme les États-Unis, la France ou la Chine, qui sont les trois principales puissances nucléaires, font-ils confiance à ce type d'énergie.Mais les centrales nucléaires sont souvent décriées. Certains leur trouvent en effet de sérieux inconvénients. De fait, elles produisent des déchets radioactifs, qu'on ne sait pas toujours très bien gérer et qui peuvent être nocifs pour la santé.Par ailleurs, les catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima, qui sont dans toutes les mémoires, posent avec encore plus d'acuité le problème de la sécurité des populations en cas d'accident nucléaire.C'est en raison de ces inconvénients que certains pays ont décidé de renoncer progressivement au nucléaire. On peut notamment citer le cas de l'Italie, de l'Autriche, de l'Allemagne ou encore de la Belgique.D'autres pays, cependant, n'ont pas à prendre une telle décision. Et ce pour une raison simple : ils n'ont jamais possédé de centrales nucléaires.On trouve de tels pays sur tous les continents, même si certains sont plus concernés que d'autres. C'est notamment le cas de l'Afrique, où, faute de ressources et de personnel qualifié, les centrales nucléaires n'existent qu'en Afrique du Sud.Elles sont également assez rares en Amérique du Sud, où on ne les trouve guère qu'au Brésil ou en Argentine. En Europe même, des pays comme le Portugal, l'Irlande, la Pologne, la Norvège ou le Danemark ne possèdent pas de centrales nucléaires.Il n'y en a pas davantage en Australie, en Nouvelle-Zélande ou dans les pays d'Asie du Sud-Est. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si de nombreux pays ont fait le choix du nucléaire, pour la production d'électricité, mais aussi, dans certains cas, pour la propulsion navale, c'est que cette forme d'énergie ne manque pas d'avantages. En premier lieu, elle ne rejette pas de CO2 dans l'atmosphère, mais de la vapeur d'eau. Ce qui, dans la période de réchauffement que connaît le climat, représente un atout notable. Par ailleurs, le coût de production de l'électricité n'est pas très élevé et cette énergie est disponible toute l'année. Enfin, une centrale nucléaire peut rester en service plusieurs décennies. Aussi des pays comme les États-Unis, la France ou la Chine, qui sont les trois principales puissances nucléaires, font-ils confiance à ce type d'énergie. Mais les centrales nucléaires sont souvent décriées. Certains leur trouvent en effet de sérieux inconvénients. De fait, elles produisent des déchets radioactifs, qu'on ne sait pas toujours très bien gérer et qui peuvent être nocifs pour la santé. Par ailleurs, les catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima, qui sont dans toutes les mémoires, posent avec encore plus d'acuité le problème de la sécurité des populations en cas d'accident nucléaire. C'est en raison de ces inconvénients que certains pays ont décidé de renoncer progressivement au nucléaire. On peut notamment citer le cas de l'Italie, de l'Autriche, de l'Allemagne ou encore de la Belgique. D'autres pays, cependant, n'ont pas à prendre une telle décision. Et ce pour une raison simple : ils n'ont jamais possédé de centrales nucléaires. On trouve de tels pays sur tous les continents, même si certains sont plus concernés que d'autres. C'est notamment le cas de l'Afrique, où, faute de ressources et de personnel qualifié, les centrales nucléaires n'existent qu'en Afrique du Sud. Elles sont également assez rares en Amérique du Sud, où on ne les trouve guère qu'au Brésil ou en Argentine. En Europe même, des pays comme le Portugal, l'Irlande, la Pologne, la Norvège ou le Danemark ne possèdent pas de centrales nucléaires. Il n'y en a pas davantage en Australie, en Nouvelle-Zélande ou dans les pays d'Asie du Sud-Est. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Quelque temps après l'accident nucléaire de la centrale de Tchernobyl, le rideau de fer qui sépare le bloc de l'Est et le bloc de l'Ouest pendant la Guerre Froide commence à se fissurer. Mikhail Gorbatchev, le secrétaire général du parti communiste de l'URSS, expérimente sa politique de Glasnost en laissant des journalistes mais aussi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, un Occidental, se rendre sur les lieux du drame. Le 14 mai 1986, Mikhail Gorbatchev contacte également Valery Legasov pour obtenir un compte rendu précis des évènements en vue de son discours à la télévision. Bien qu'il souhaite se montrer transparent avec le peuple pour gagner la confiance de l'opinion publique, Mikhail Gorbatchev trie soigneusement les informations que lui a transmises le chimiste… Dans ce nouvel épisode du podcast "Au cœur de l'Histoire", l'historienne Virginie Girod achève son récit historique de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl avec la mission des liquidateurs.Sujets abordés : rideau de fer - bloc de l'Est - bloc de l'Ouest – liquidateurs Tchernobyl - politique de Glasnost - catastrophe nucléaire Tchernobyl - Mikhaïl Gorbatchev - histoire de l'URSS - parti communiste Union Soviétique - superpuissances Guerre Froide – propagande soviétique - héros de Tchernobyl - Valery Legasov - armée russe "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio. Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Adèle Humbert - Direction artistique : Adèle Humbert et Julien Tharaud - Réalisation : Clément Ibrahim - Musique originale : Julien Tharaud - Musiques additionnelles : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Communication : Kelly Decroix - Diffusion et rédaction : Eloise Bertil - Visuel : Sidonie Mangin
Le 29 avril 1986, 80 pilotes de combat survolent la centrale nucléaire de Tchernobyl. Les techniciens à bord lancent dans le cratère formé par l'explosion du réacteur toujours en fusion, des sacs de 80kg de sable et des sacs d'acide carbonique. L'objectif : tenter d'étouffer le feu et absorber les particules radioactives. Tous ignorent les premiers symptômes d'une irradiation mortelle : nausées, maux de tête soudains, évanouissements… Quel discours médiatique est alors propagé par les gouvernements soviétiques et européens sur le drame de Tchernobyl et ses conséquences immédiates ? Dans ce troisième épisode de la mini-série Tchernobyl du podcast "Au cœur de l'Histoire", l'historienne Virginie Girod raconte les retombées de l'accident de Tchernobyl jusqu'en Europe.Sujets abordés : nuage de Tchernobyl – surveillance de la radioactivité - impacts de l'accident de Tchernobyl en Europe –politique de Glasnost - catastrophe nucléaire Tchernobyl - Mikhaïl Gorbatchev - histoire de l'URSS - parti communiste Union Soviétique - superpuissances Guerre Froide - bloc de l'Est "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio. Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Adèle Humbert - Direction artistique : Adèle Humbert et Julien Tharaud - Réalisation : Clément Ibrahim - Musique originale : Julien Tharaud - Musiques additionnelles : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Communication : Kelly Decroix - Diffusion et rédaction : Eloise Bertil - Visuel : Sidonie Mangin
Ecoutez la suite du récit consacré à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986. Cinq heures après l'explosion, alors que les pompiers luttent contre un incendie impossible à éteindre, des particules radioactives s'échappent du réacteur en fusion et contaminent l'atmosphère. Personne n'a encore pris la mesure du drame qui est en train de se jouer. Après son arrivée à Pripyat, la commission gouvernementale est divisée en 4 groupes : le premier travaille sur les causes de l'accident, le deuxième part faire des mesures de radioactivité dans Pripyat, le troisième travaille sur un plan d'évacuation des civils, et le quatrième, auquel appartient le chimiste soviétique Valery Legasov, travaille aux mesures à prendre pour limiter les dégâts, éteindre l'incendie et nettoyer la zone. Dans ce deuxième épisode de la mini-série Tchernobyl du podcast "Au cœur de l'Histoire", l'historienne Virginie Girod raconte les premières réactions à l'accident de la centrale à différentes échelles : celle du gouvernement, mais aussi celle des scientifiques envoyés sur place pour trouver des solutions.Sujets abordés : KGB - politique de Glasnost - catastrophe nucléaire Tchernobyl - Mikhaïl Gorbatchev - histoire de l'URSS - parti communiste Union Soviétique - superpuissances Guerre Froide - bloc de l'Est. "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio. Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Adèle Humbert - Direction artistique : Adèle Humbert et Julien Tharaud - Réalisation : Clément Ibrahim - Musique originale : Julien Tharaud - Musiques additionnelles : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Communication : Kelly Decroix - Diffusion et rédaction : Eloise Bertil - Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie : https://theconversation.com/tchernobyl-35-ans-apres-laccident-nucleaire-decouvrez-comment-la-nature-y-a-repris-ses-droits-118082 Markiyan Kamysh, La Zone, Arthaud, 2016 SOURCESTranscription des cassettes de Legasov en anglais :https://legasovtapetranslation.blogspot.com/2019/10/tape-3-side-b.html Igor Kostine, Tchernobyl, Les Arènes, 2020 DOCUMENTAIRESLa bataille de Tchernobyl, Thomas Johnson, 2006Le sacrifice, Wladimir Tcherkoff, 2004. Archives : La catastrophe vue des USA (Washington), Jean-Pierre Joulin, 30 avril 1986L'explosion des réacteurs de la centrale de Tchernobyl, interview de Pierre Tanguy, patron de la sécurité nuclaire à EDF, par Stéphane Paoli et Jean-Pierre Joulin, 30 avril 1986"Parlons vrai", interview de Pierre Messmer, Président du groupe RPR à l'Assemblée nationale, par Catherine Nay et Gerard Carreyrou 30 avril 1986"L'incident est-il terminé ?", Jean-Pierre Joulin, 2 mai 1986
Dans la nuit du 25 au 26 avril 1986, le réacteur n°4 de la centrale Vladimir Illitch Lénine explose, causant le plus grand des accidents technologiques de l'Histoire : Tchernobyl. Les dirigeants soviétiques doivent improviser des solutions pour limiter la fuite de particules radioactives dans l'atmosphère, et sécuriser le site pour empêcher une seconde explosion qui rendrait l'Europe inhabitable. Valery Legasov, chimiste soviétique membre de l'Académie des sciences de Moscou, fait partie de la commission gouvernementale de scientifiques formée en urgence pour tenter de limiter les dégâts de la catastrophe nucléaire. Dans ce premier épisode de la mini-série inédite consacrée à Tchernobyl du podcast "Au cœur de l'Histoire", l'historienne Virginie Girod raconte les origines de ce drame qui a marqué l'histoire à jamais.Sujets abordés : Catastrophe nucléaire Tchernobyl - Mikhaïl Gorbatchev - histoire de l'URSS - parti communiste Union Soviétique - Guerre Froide - bloc de l'Est - superpuissances "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio. Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Adèle Humbert - Direction artistique : Adèle Humbert et Julien Tharaud - Réalisation : Clément Ibrahim - Musique originale : Julien Tharaud - Musiques additionnelles : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Communication : Kelly Decroix - Diffusion et rédaction : Eloise Bertil - Visuel : Sidonie Mangin
Au menu de l'actualité :Le choléra continue de progresser en Haïti, s'inquiète l'ONUUne mission d'experts de l'AIEA a commencé sur le site de la centrale nucléaire de Tchernobyl en UkraineTrouver un emploi décent et bien rémunéré risque d'être plus difficile cette année, selon l'OIT. Présentation : Florence Westergard
Bien loin du froid et du climat politique de Moscou, de nombreux Russes ont trouvé refuge dans l'État balnéaire de Goa pour éviter la conscription. Ici, on fraternise avec les Ukrainiens et on fait la fête pour oublier le conflit. Avec la bienveillance de l'Inde qui délivre très facilement des visas aux Russes, tout en refusant de condamner Vladimir Poutine devant les Nations unies. De notre envoyé spécial à Goa, Un barman ukrainien, des conversations en russe, des sourires, un fond de musique électro. Au nord de Goa, le café Sho est un incontournable pour les touristes de Russie. La saison commence pour eux d'ordinaire fin novembre, mais cette année, ce fut le 21 septembre. Le jour où Poutine a décrété la mobilisation, se souvient Vladimir, arrivé de la ville de Nizhny-Novgorod. « J'ai préféré partir avant de recevoir ma lettre de mobilisation », explique Vladimir. « J'ai de la famille et des amis en Ukraine. Il était hors de question que je me batte contre eux et meurt pour un vieux dirigeant stupide. À Goa, je m'amuse. Je suis sûr que je ne veux pas rentrer tant que Poutine est au pouvoir. » « À Goa, les Russes sont plutôt des électrons libres » Vladimir part le 23 septembre et met 5 jours à rejoindre les cocotiers de Goa. « Je ne voulais pas attirer l'attention des services secrets », poursuit-il. « J'ai pris un premier avion pour la ville russe d'Oufa, puis le train pour passer la frontière du Kazakhstan. Sur place c'était terrible, il y avait énormément de Russes qui fuyaient. On a finalement trouvé un taxi pour Astana. De là, j'ai pris l'avion pour Almaty, puis Delhi, puis Goa. » Cette année tout a changé, témoigne Denis Chernenko, une figure russe de Goa qui organise des tournois d'échecs. « J'étais là quand la guerre a commencé. Beaucoup plus de Russes sont venus que d'habitude », a-t-il constaté. « Et pas des touristes de masses, ils viennent pour fuir la guerre. Ils sont arrivés en avion du Kazakhstan, de Géorgie, de Turquie, des Émirats… À Goa, les Russes sont plutôt des électrons libres. En général, ils ont des valeurs démocratiques, libérales et pacifistes. » Pour une réconciliation entre Russes et Ukrainiens Sous l'URSS, ses parents se sont installés à Saint-Pétersbourg après la catastrophe de Tchernobyl en Ukraine. Aujourd'hui, Denis milite pour la réconciliation entre les deux peuples. « Avec des Ukrainiens, nous essayons d'alerter sur la guerre. Nous avons fait une manifestation silencieuse dans la capitale Panjim, un défilé entre les villages avec des drapeaux ukrainiens. Donc, pour moi aussi, il vaut mieux rester à Goa ! En rentrant, je risquerais d'avoir de sérieux ennuis. Et puis Narendra Modi nous héberge. Il tente de ménager toutes les parties. » Le groupe Facebook de la communauté russe de Goa compte aujourd'hui plus de 45 000 membres. Venir vivre ici n'est cependant à la portée que d'une minorité de Russes. Il reste assez de pauvres à envoyer se faire massacrer au front, juge avec amertume un client du café Sho.
POUTINE ALERTE SUR UNE "CATASTROPHE DE GRANDE ENVERGURE" – 19/08/22 Invités FRANÇOIS CLEMENCEAU Rédacteur en chef international - « Le Journal du Dimanche » ELSA VIDAL Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe - « RFI » IRYNA DMYTRYCHYN Maîtresse de conférences à l'Inalco Institut National des Langues et Civilisations Orientales GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU Six mois après le début de la guerre en Ukraine, la Crimée est rattrapée par le conflit. Depuis une semaine, plusieurs explosions se sont produites sur la péninsule annexée par la Russie en 2014. La dernière en date a eu lieu mardi 16 août dans une base militaire russe, a annoncé le ministère russe de la Défense. Une semaine plus tôt, des dépôts russes de munitions destinées à l'aviation militaire avaient déjà explosé, dans l'ouest de la péninsule. Si aucune de ces attaques n'a pour l'heure été revendiquée, l'origine serait très certainement ukrainienne. Car ces attaques réinscrivent en effet le conflit en cours dans le récit ukrainien, qui fixe le début de l'agression non pas au 24 février 2022, mais huit ans plus tôt, le 27 février 2014, avec le lancement des opérations militaires russes dans la péninsule. Ces dernières ont débouché sur une annexion unilatérale qu'un référendum controversé a tenté de recouvrir d'un voile de légitimité. Mais l'Organisation des Nations Unies ne l'a jamais reconnue. Ces attaques répondraient donc aussi, en plus de la stratégie militaire, à un objectif politique : montrer que l'Ukraine n'a pas renoncé à la Crimée, malgré huit ans d'occupation russe. En tentant de remettre le sort de la Crimée sur la table militairement et en annonçant la création d'un « conseil pour la désoccupation » de la péninsule, le président ukrainien Volodymyr Zelensky fait preuve d'audace. En déclarant le 9 août que « la guerre en Ukraine a commencé par la Crimée et doit se terminer avec sa libération », il a confirmé que, selon lui, le temps de la négociation n'est pas venu. Il abat au contraire de nouvelles cartes, qui pourraient pousser la Russie à revoir son dispositif. Car ces événements sont un fait nouveau dans le déroulement de la guerre. Jusqu'à présent les Ukrainiens résistaient. Il s'agit désormais d'attaques derrière les lignes ennemies. Si sur le terrain les combats se poursuivent donc, en Crimée comme dans le Donbass ou dans d'autres régions du pays, la diplomatie suit également son cours. En ce domaine, un homme se démarque : Recep Tayyip Erdogan. Le chef d'Etat turc cherche à se poser en arbitre incontournable de la guerre en Ukraine. Il est le seul intermédiaire à avoir encore l'oreille des présidents russes et ukrainiens et veut jouer le médiateur. À Lviv, dans l'ouest du pays, il a rencontré Volodymyr Zelensky et le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, pour des pourparlers consacrés, entre les lignes, à la recherche d'une solution au conflit. Les discussions ont beaucoup tourné autour de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par l'armée russe. Le secrétaire général de l'ONU a notamment averti que tout dégât à cette centrale serait un "suicide", alors que le président turc Recep Tayyip Erdogan a, lui, dit craindre un "nouveau Tchernobyl". La guerre en Ukraine a déjà bouleversé des milliers de vies. À Kiev, dans une clinique psychiatrique ou sont traités civils et soldats revenant du front, un constat s'impose : la guerre a causé un grand nombre de traumatismes. Qu'elles soient dues à la culpabilité de ne pas avoir pu prêter main forte sur le front ou aux images d'horreur imprimées dans les esprits lors ou à l'issue des combats, ces blessures psychiques hanteront pour longtemps les Ukrainiens. La guerre entre-t-elle dans une nouvelle phase avec ces attaques en Crimée ? Erdogan parviendra-t-il à être le médiateur du conflit en cours ? Comment se reconstruire avec les traumatismes de la guerre ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
UKRAINE : LE SPECTRE D'UNE CATASTROPHE NUCLÉAIRE – 09/08/22 Invités BRUNO TERTRAIS Directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique MARIE DUMOULIN Directrice du programme « Europe élargie » ECFR (European Council on Foreign Relations) GALLAGHER FENWICK Grand reporter Auteur de « Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang » V2 sans le livre of cououououourse ;) ANTHONY BELLANGER Éditorialiste, spécialiste des questions internationales « France Inter » BRUNO CHAREYRON (En duplex) Ingénieur en physique nucléaire Directeur du laboratoire de la CRIIRAD C'est l'inquiétude qui monte. Le risque, dans le sud de l'Ukraine, d'une catastrophe nucléaire à Zaporijia, la plus grande centrale d'Europe. Une possibilité clairement envisagée par l'Organisation des Nations Unies. En fin de semaine dernière, plusieurs frappes ont visé les secteurs proches des réacteurs. Une attaque « suicidaire », selon Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU. De leur côté, Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité des bombardements et le flou règne sur la responsabilité des deux belligérants. Aucune source indépendante ne peut en effet confirmer qui des deux attaque la zone. Le spectre d'un nouveau Tchernobyl est lui clairement évoqué par le président Zelensky. Dans cette région toujours, les Russes préparent un référendum pour un potentiel rattachement à la Russie. Justifier l'annexion du territoire par ce moyen serait un scénario comparable à ce qui a été fait en Crimée en 2014. Pendant ce temps, sur le front, aucune trêve estivale. Les combats continuent de faire rage. À Kherson, au bord de la mer Noire, les autorités ukrainiennes ont même annoncé vouloir reprendre la ville d'ici septembre. Loin du front, en « seconde ligne », d'autres héros de guerre. Dans les trains du pays, qui ne se sont jamais arrêtés depuis le début du conflit, les conducteurs et membres du personnel permettent à la population de fuir le pays, d'y revenir aussi. Le rail ukrainien joue en somme un rôle vital dans l'évacuation des civils, dans le transport des troupes et le passage des marchandises aussi. Enfin, pour certains réfugiés installés en France, la proximité avec des touristes russes, de passage en France, peut être une difficulté psychologique supplémentaire pour ceux qui ont trouvé un travail dans le secteur de l'hôtellerie et de la restauration. Loin de leurs proches restés pour se battre, l'intégration, l'apprentissage de la langue sont toujours difficiles même après plusieurs mois passés en France. Alors, comment peut-on faire arrêter les attaques près de la centrale de Zaporijia ? Où en est-on réellement sur le front ? Quels risques encourent les héros de deuxième ligne ? Comment s'intègrent les réfugiés ukrainiens en France ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Christophe Hondelatte raconte l'année 1986 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là… la navette Challenger explose en plein vol, la catastrophe de Tchernobyl, l'irruption d'un beau gosse dans les cinés : Christophe Lambert et Isabelle Adjani au cœur d'une folle rumeur !
Texte:Le 3 mars, 56000 boites de cachets d'iode ont été distribuées en Belgique, suite aux informations sur les affrontements près de Tchernobyl en Ukraine.Traduction:On March 3, 56,000 packs of iodine tablets were distributed in Belgium, following reports of fighting near Chernobyl in Ukraine.