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LIBIDO au MENU : 9 ALIMENTS à connaître ABSOLUMENT Votre libido est importante pour votre bien-être et au menu vous avez plusieurs aliments à adopter qui pourrait l'améliorer ou la maintenir. Vous avez envie de raviver la flamme ou simplement de pimenter vos repas ? Découvrez 9 aliments aphrodisiaques aux effets surprenants sur votre libido ! Des au ginseng, en passant par le chocolat (vous allez avoir une surprise), ces aliments naturels pourraient bien réveiller votre désir...À consommer sans modération… ou presque ! Abonnez-vous pour plus de conseils nutrition et bien-être !
Choses à savoir absolument avant une Hiloula by Rav David Touitou
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Frédéric Laziou dirige le groupe Puzzel, un CCaaS de plus de 300 talents réalisant plus de 75 millions d'euros de chiffre d'affaires. Dans cet épisode, découvrez comment le fonds Marlin Equity Partners a accompagné à la réussite de cette belle Aventure dont la croissance rentable est un bel exemple en Europe de cheminement stratégique à suivre. Entre autres sujets abordés : la stratégie de Build Up, l'expansion internationale, l'IA et l'hybridation... Absolument génial cet épisode !
Dans son zapping, Dimitri Vernet revient sur les évènements du jour sur Europe 1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec « Sombre lagune », qui paraît aux éditions Fayard, nous plongeons dans les eaux troubles d'Abidjan, notamment dans le milieu des trafiquants de drogue et des hauts fonctionnaires corrompus. C'est donc un roman policier. Mais comme son auteur s'appelle Antoine Glaser, journaliste et expert en géopolitique, ce livre est aussi un roman à clés, dans lequel certains personnages de fiction dépeignent des personnes réelles que le reporter a croisées dans ses enquêtes en Côte d'Ivoire. Alors qui est qui ? Antoine Glaser répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Antoine Glaser, bonjour,Antoine Glaser : Bonjour,Sombre lagune raconte le combat d'un petit barbouze français contre la mafia d'Abidjan. On croise des trafiquants libanais, un flingueur marocain. Et ce qui frappe, c'est que la guerre du cacao a laissé la place à celle de la cocaïne ?Absolument, on a l'impression maintenant que la cocaïne est absolument intégrée dans le cacao, qui reste la première production de la Côte d'Ivoire. Mais on voit comment des narcotrafiquants ont pu planquer la cocaïne dans le cacao, il fallait y penser.En 2021, deux tonnes de cocaïne ont été saisies dans les ports d'Abidjan et de San Pedro. Et on vient de juger, je crois, le chef de la cellule antidrogue du port d'Abidjan ?Oui, parce que ce n'est pas particulier à la Côte d'Ivoire, on voit comment la police, les douaniers, des gens qui n'ont pas forcément des salaires extrêmement élevés, se laissent corrompre avec une grande facilité. Et quand c'est dans le port du Havre, on en parle vraiment comme quelque chose de quotidien. Et bien à Abidjan, c'est la même chose, simplement à Abidjan, il n'y a pas tous les jours des arrestations.Et c'est ce fait divers de 2021 qui vous a donné l'idée de ce livre ?Ce qui m'a donné l'idée de ce livre, c'est vrai qu'il y a eu en Côte d'Ivoire un certain nombre de personnes qui ont disparu et l'idée du livre a vraiment germé à partir de ces disparitions.Alors, il y a un enquêteur qui a disparu il y a 21 ans, dont tout le monde se souvient, c'est notre confrère Guy André Kieffer qui travaillait pour vous, Antoine Glaser, quand vous étiez le directeur de la Lettre du continent. Alors à l'époque, il a été kidnappé sur le parking d'un supermarché et depuis, on n'a jamais retrouvé son corps. Est-ce que vous avez pensé à lui en écrivant ce livre ?Oui, en partie. J'ai pensé à Guy André Kieffer, mais comme je n'ai pas enquêté réellement sur sa disparition, c'est vrai que j'ai pensé, mais j'ai fait en sorte que ça ne soit pas non plus son histoire. Guy André, il enquêtait beaucoup sur les trafics de cacao entre les pays, mais il enquêtait aussi sur la Guinée-Bissau, à l'époque du général Ansoumane Mané, donc je veux dire, c'était un ensemble, mais bien sûr, j'ai pensé à Guy André Kieffer. En fait, cette fiction, c'est une toile de fond, c'est plusieurs histoires en une, c'est une ambiance. J'adore Abidjan aussi. C'est cette lagune qui pour moi est totalement mystérieuse. Il y a 15 millions de personnes qui vivent à Abidjan et avec cette mixité de tous les pays voisins, c'est une capitale qui me fascine.Dans ce livre, Antoine Glaser, vous avez une écriture sèche, une écriture de polar. Mais quelques fois, au détour d'une phrase, comme « le cash bloqué au Liban coule à présent dans le béton ivoirien », on retrouve le style un petit peu imagé et fleuri de la Lettre du continent, qui s'appelle aujourd'hui Africa Intelligence. Romancier d'un jour, journaliste toujours ? Oui, bien sûr. C'était extrêmement difficile pour moi cette fiction, parce que, évidemment, je voyais Guy Andy Kieffer, j'en revoyais d'autres et c'était compliqué. Évidemment, c'est une fiction qui m'a demandé beaucoup de travail parce que j'avais toujours envie d'écrire et d'enquêter sur la réalité de tout ça.Alors, vous cachez évidemment de vrais personnages sous des pseudos et l'un des hommes clés de votre roman, c'est le tout-puissant ministre de l'Intérieur, Bamba. « Colosse et bon vivant », écrivez-vous. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Ahmed Bakayoko, le défunt ministre de l'Intérieur de Côte d'Ivoire.Oui et non, ce n'est pas Ahmed Bakayoko, mais c'est vrai que bon, Ahmed Bakayoko c'est vrai qu'il était le tout-puissant ministre de l'Intérieur, ensuite Premier ministre. C'est vrai que lui, un peu comme le personnage Bamba, lui aussi, il voulait aussi peut-être accéder aux plus hautes fonctions de l'État. Mais dans la fiction, on ne sait pas comment il est mort, Bamba. Donc voilà, encore une fois, c'est vraiment une fiction. Alors comme toile de fond évidemment, il faut quand même qu'il y ait des choses qui sont réelles, hein. Donc oui, c'est décalé, mais avec une toile de fond qui est la réalité du pays.Dans votre livre où la lagune est bien sombre, vous écrivez : « des aigrettes blanc immaculé picorent les jambes effilochées et sanguinolentes du corps de la jeune femme », le contraste est fort !Oui, mais justement, dans les « maquis » d'Abidjan, quand je regarde et que je me perds là, les yeux sur la lagune, je suis toujours autant révolté que fasciné de voir ces magnifiques oiseaux blancs se poser sur des détritus et de voir une lagune totalement polluée. En particulier, bien évidemment, avec le port d'Abidjan, la raffinerie et cetera, et c'est vrai qu'il y a des problèmes de pollution qui sont extrêmes et donc c'est vrai que ces contrastes, c'est fascinant.RFI : Antoine Glaser, merci.À lire aussiCôte d'Ivoire: plusieurs partis d'opposition appellent au dialogue
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la polémique soulevée par la Gauche contre le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, dans l'affaire du meurtre dans une mosquée à La Grand-Combe dans le Gard, d'un jeune Malien de 21 ans.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la polémique soulevée par la Gauche contre le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, dans l'affaire du meurtre dans une mosquée à La Grand-Combe dans le Gard, d'un jeune Malien de 21 ans.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Trop d'idées reçues circulent sur le sommeil des enfants... Dans cet épisode de ton balado feel good du motherhood, découvre 5 pièges sommeil à éviter. On déconstruit, on dédramatise… et on repart avec les idées claires pour des nuits plus sereines !
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l'a marquée !
Benjamin, le dernier fils de Maxime Danielou, est plongé dans un coma végétatif depuis 2005 à la suite d'un accident de la route en Thaïlande. Tous les médecins qui l'ont examiné sont formels : ce breton, pour qui la vie s'est suspendue à l'âge de 20 ans, ne se réveillera jamais. Maxime Danielou et sa femme se sont fait une raison et, à 70 ans passés tous les deux, aimeraient le laisser partir. Seulement, aucun cadre législatif ne permet à Benjamin de mourir dans la dignité. Et ce ne sont pas les deux projets de loi qui doivent être examinés en mai à l'Assemblée nationale, l'un sur l'aide médicale à mourir et l'autre sur les soins palliatifs, qui vont changer les choses pour lui. En effet, le texte n'envisage le recours au suicide assisté que si la personne est en capacité d'exprimer « sa volonté de façon libre et éclairée ».Maxime Danielou a décidé de prendre la parole dans les médias pour alerter sur le cas de son fils. Il raconte son histoire dans Code source au micro de Barbara Gouy. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Pattaya People Television. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Canadiens tirent de l'arrière 0-2 contre les Capitals de Washington dans leur série de premier tour éliminatoire de la Ligue nationale. Quels ajustements les Canadiens doivent-ils faire? L’ancien gardien du tricolore, José Théodore, croit que Patrik Laine devrait être laissé de côté : «Présentement, de ce que je vois de Laine, il n'apporte absolument rien. Et les autres joueurs ne veulent pas lui passer la rondelle». Avez-vous des superstitions? La plupart des sportifs en ont. Et c'est une science. Vous portez votre nouveau chandail d'Ivan Demidov pendant un match des Canadiens? Comme Martin St-Louis, vous avez une cravate fétiche? Martin Carli explique comment le cerveau fait des liens avec les superstitions. La saison du Club de hockey de l'Utah, basé à Salt Lake City, est terminée et elle est annonciatrice de belles choses. L’entraîneur André Tourigny explique à Mario Langlois que ses adjoints et lui utilisent des statistiques et des vidéos pour identifier les points faibles et envisagent des améliorations concrètes pour la prochaine saison. En table ronde LNH, Antoine Roussel, Stéphane Waite et Pierre Gervais analysent les premiers matchs de la série Canadiens-Capitals. Selon nos panélistes, le vrai visage de Patrik Laine ressort en séries chez le tricolore. Mario Langlois y va d’une suggestion qui en surprend plus d’un : rappeler Florian Xhekaj du Rocket de Laval. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Frédéric Hermel, journaliste RMC. Et Anne-Sophie Simpere, militante associative. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Rémy Barret repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagné de Paul Lahcene et sa bande, Rémy Barret s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Dans ce podcast, je vous partage 5 points clés que tout investisseur doit absolument connaître avant de se lancer dans l'immobilier. De la garantie Visale à l'importance d'un bon notaire, en passant par la fameuse SCI fiscalisée à l'IS pour s'endetter stratégiquement, découvre comment éviter les pièges et démarrer sereinement ton parcours d'investisseur.Dans ses podcasts, Monsieur Rodolphe parle d'immobilier et business. Découvrez ses activités : https://www.monsieurrodolphe.fr/qui-est-m-r?el=YTOn fait la route ensemble, Rodolphe
En 2024, 2 153 938 espèces étaient répertoriées dans le monde : majoritairement des animaux invertébrés (1 489 932 espèces dont, principalement des insectes (1 053 578 espèces)). Les vertébrés comptent 75 923 espèces, les végétaux 425 679 espèces, les champignons 157 648 espèces. Sans compter les millions voire milliards d'espèces inconnues… et les bactéries ! Un insecte symbole de la biodiversité : l'abeille. Sans elle, et les autres insectes pollinisateurs, peu de vie. Aujourd'hui, 75% des cultures alimentaires dépendent de la pollinisation. On peut contribuer à leur sauvegarde en plantant des fleurs mellifères, en ne tondant pas trop notre pelouse (et surtout pas au mauvais moment : on évite les mois d'avril et de mai !), en bannissant les pesticides et les produits chimiques pour préserver le sol. Car c'est dans le sol que vivent les micro-organismes qui transforment les déchets organiques en humus, cette couche supérieure du sol qui rend la terre fertile et permet aux plantes de pousser). Sans cette biodiversité invisible, les sols s'appauvrissent, deviennent secs, moins productifs et, par effet domino, c'est tout le reste de la chaine alimentaire qui souffre. Ce n'est qu'en gardant sur terre, beaucoup d'espèces, des espèces qui qui ont encore la capacité de s'adapter génétiquement (parce qu'elles sont justement nombreuses) et des espèces qui interagissent entre elles, qu'on pourra tous continuer de vivre : Dans un monde qui ne suffoque pas parce qu'il y a encore assez d'arbres pour capter le CO2 et rafraichir l'atmosphèreDans un monde avec moins de risque d'inondation et de glissements de terrain car il y encore assez de forêts, de racines pour maintenir la terre en place… Dans un monde où on peut encore s'inspirer de la faune et de la flore pour faire des médicaments ou des technologies + censéesDans un monde où tout le monde mange à sa faim pcq il y a encore assez d'insectes pollinisateurs et des sols fertilesDans un monde + cool aussi où on peut se ressourcer, dans la nature… et respirer à plein poumons !Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
En Centrafrique, la candidature éventuelle du président Touadéra à l'élection de décembre prochain fait polémique. D'un côté, ses partisans lui demandent d'y aller. De l'autre côté, l'opposition, qui a marché pacifiquement dans les rues de Bangui le 4 avril, dénonce la « future présidence à vie d'un Bokassa sans empire ». Mais plusieurs opposants sont prêts à aller à cette présidentielle si le pouvoir accepte d'ouvrir un dialogue politique. Martin Ziguélé a été Premier ministre de 2001 à 2003. Aujourd'hui, il est député du parti d'opposition MLPC. De passage à Paris, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Depuis la nouvelle Constitution du 30 août 2023, Faustin-Archange Touadéra, le président, est autorisé à se présenter pour un troisième mandat. Et le 28 décembre dernier, lors de son discours sur l'état de la nation, il a dit « J'exhorte les opposants à faire preuve de maturité politique », sous-entendu à ne pas boycotter le scrutin présidentiel. Qu'est-ce que vous ferez ? Martin Ziguélé : Je pense qu'il faut d'abord rappeler que le président Touadéra a prêté serment en mars 2016 sur une Constitution qui limite le nombre de mandats à deux et la durée à cinq ans. Et les dispositions de la Constitution n'étaient pas du tout changeables, parce que tout tire sa source juridiquement de la Constitution du 30 mars 2016. Donc, pour nous, il n'y a pas de débat sur cette question. Le président Faustin-Archange Touadéra doit respecter son serment. Il est à la dernière année de son deuxième et dernier mandat. Il n'y a pas de troisième mandat qui tienne.Mais il y a eu un référendum constitutionnel, c'était en juillet 2023, qui a dit oui à une nouvelle Constitution qui a été adoptée le 30 août 2023… Oui, mais justement ce référendum a été fait en violation de la décision de la Cour constitutionnelle qui a dit qu'on ne peut pas engager une procédure politique pour changer la Constitution du 30 mars 2016. Pour nous, c'est une escroquerie politique. C'est un coup d'Etat constitutionnel. C'est la même chose qu'un coup d'État militaire au Niger, au Mali, au Burkina ou ailleurs.Est-ce à dire que, quoi qu'il arrive, vous allez boycotter la présidentielle à venir ? Je n'ai pas dit ça. J'ai dit que nous demandons un dialogue politique pour nous asseoir avec Monsieur Faustin-Archange Touadéra, que ça soit lui, que ça soit le rôle de Wagner, qu'il ne faut pas sous-estimer, toute cette catégorie de personnes intéressées manipule la vie politique en Centrafrique pour nous redonner un Bokassa sans empire. Une présidence à vie en fait. Et ça, nous n'en voulons pas.Mais si le préalable à tout dialogue politique, c'est pour vous l'interdiction pour Faustin-Archange Touadéra de se représenter, il ne va jamais accepter ce dialogue, non ?Nous voulons dialoguer sans préalable sur le plan politique. Nous voulons que les élections soient inclusives. C'est quand même le minimum.En fait, ce que vous proposez au président Touadéra, c'est un deal : « D'un côté, on accepte que vous vous présentiez pour un troisième mandat, mais de l'autre, vous enlevez les dispositions de la nouvelle Constitution qui interdisent aux binationaux d'être candidats » ?Ce dont je suis sûr, c'est que l'opposition démocratique demande un dialogue politique. Ce qui sortira de ce dialogue, je ne peux pas le prévoir d'avance, mais ce sera certainement un compromis pour nous permettre d'avancer vers des élections inclusives et surtout transparentes.Aux termes de l'article 67 de la Constitution du 30 août 2023, tout candidat à la présidentielle doit être centrafricain d'origine et n'avoir que la seule nationalité centrafricaine. Alors vous, vous n'êtes pas binational, vous n'avez que la nationalité centrafricaine, donc a priori vous êtes tout à fait éligible si vous décidez de ne pas boycotter la présidentielle à venir…Absolument. Je suis éligible parce que mes deux parents ont leur état-civil centrafricain.Mais ne pourraient pas se présenter à la prochaine élection présidentielle les binationaux comme Anicet-Georges Dologuélé, Crépin Mboli-Goumba, Dominique Yandocka... Est-ce que finalement cette nouvelle Constitution, elle ne fait pas votre affaire puisqu'elle élimine plusieurs des autres candidats de l'opposition ? Mais par principe, le progressiste que je suis ne peut pas accepter qu'on catégorise les Centrafricains par le fait que, dans leur vie ultérieure, après leur naissance, ils aient pris une deuxième ou une troisième nationalité au gré de la vie. Quel est le sens profond d'une telle démarche si ce n'est pas l'exclusion, tout simplement, et un calcul politique pour écarter les uns et les autres ? C'est pour ça que nous ne pouvons pas accepter cette Constitution et cette disposition de la Constitution. C'est pour ça que nous demandons le dialogue politique, parce que les personnes que vous citez, certaines d'entre elles ont été candidates déjà à plusieurs élections, donc elles auraient pu être président de la République.Anicet-Georges Dologuélé a été candidat en 2015, il est passé à deux doigts d'être président de la République. Et est-ce qu'on peut dire à quelqu'un qui a participé à des élections, qui a été même en tête des élections, est-ce qu'on peut lui dire cinq ans après que « vous, vous n'avez plus le droit d'aller aux élections, parce qu'entre temps, nous avons pensé qu'il faut mettre en place une Constitution qui est comme un champignon qui pousse en plein été, on dit, bon, maintenant ceux-là ne peuvent plus postuler ».Je vous rappelle que cela a été tenté en 2005 et il a fallu la sagesse du président Bongo pour que tout le monde revienne dans la course. Et cela a été encore retenté en 2011. Et il a fallu la sagesse du président Sassou Nguesso pour que tout le monde revienne dans la course. Et maintenant Touadéra retente ça en 2025 et nous voulons un dialogue politique centrafricain pour régler cette question-là. Il n'est pas question qu'il y ait des élections en Centrafrique en excluant les fils de ce pays sous des prétextes fallacieux.À lire aussiCentrafrique: plus d'un millier de personnes manifestent à Bangui contre un 3e mandat du président Touadéra
BALADO du MERCREDI! FOD tenait absolument à nous parler de dauphins! MO nous a ramené des histoires de la Jamaïque!
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Fatima Aït Bounoua, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Déléguer peut te faire gagner un temps fou… mais mal fait, ça peut aussi ralentir ton businessDans cette vidéo, je t'explique quoi et comment bien déléguer, mais surtout ce que tu dois ABSOLUMENT garder sous contrôle pour ne pas te mettre en difficulté !Je te partage mes apprentissages quotidiens dans ma newsletter
Aujourd'hui dans le BOOST ! : Qui mérite d'avoir son visage sur les billets de 20$ ? Pépère Brown ne comprend plus rien à la météo... «Melting Pat» : un des plus GROS tournoi de golf débute aujourd'hui ! Bonne écoute :)
« Entre la France et l'Algérie, les relations reviennent à la normale », affirme Jean-Noël Barrot, le ministre français des Affaires étrangères, qui a été reçu le 6 avril 2025 à Alger en audience pendant plus de deux heures par le président Abdelmadjid Tebboune. Ces derniers mois, la crise entre Paris et Alger avait fait craindre une rupture des relations diplomatiques. Mais le 31 mars, un coup de téléphone Macron - Tebboune a tout débloqué. Quelles sont les coulisses de ce rebondissement ? À Paris, Akram Belkaïd est le rédacteur en chef du Monde Diplomatique. Il est aussi membre du comité éditorial du site Orient XXI. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : « Le rideau se lève », dit Abdelmadjid Tebboune. Est-ce que ça y est, la lumière jaillit ?Akram Belkaïd : Oui, quelle étrange formule ! « Le rideau se lève », c'est plutôt un spectacle. Et donc, on se dit que le spectacle continue dans ce feuilleton interminable des relations franco-algériennes. Mais peut-être que c'est aussi pour dire qu'on revient à plus de normalité, à plus de choses transparentes.« Les questions de réadmission et les questions de visas seront traitées dans le cadre des accords existants », dit le ministre français Jean-Noël Barrot. Est-ce à dire que ce sera donnant-donnant, réadmission contre visas ? Alors on peut effectivement comprendre ça, même si pour le moment ce sont les accords qui existent qui priment. Donc, le fameux accord de 1968 qui a été révisé à plusieurs reprises, faut-il le rappeler, et donc les dispositions bilatérales concernant les visas. Donc on n'est pas dans un contexte où on nous explique que tout va être remis à zéro, même si, dans le même temps, on nous dit tout de même qu'il va y avoir des négociations, en tout cas des « enrichissements ».Et des rencontres entre les consuls d'Algérie en France et les préfets de France… Ça, c'est une très bonne chose. On se demande pourquoi ça n'existait pas avant. Il y a une importante communauté algérienne en France. Il y a des problèmes concrets qui se posent à la communauté algérienne de France et c'est une très bonne chose, à mon sens, que ces consuls puissent dialoguer avec les préfectures de manière à ce que la vie quotidienne de cette communauté ne soit pas entravée.Est-ce que les déclarations du ministre français des Affaires étrangères ne sont pas en contradiction avec celles de son collègue de l'Intérieur, Bruno Retailleau, qui accusait récemment l'Algérie de vouloir agresser et humilier la France ? Absolument. On se demande d'ailleurs quelle va être la réaction de monsieur Retailleau, puisque c'est lui qui, au cours des dernières semaines, a jeté de l'huile sur le feu par des déclarations incandescentes. Une menace de démission aussi. Là, visiblement, le dossier lui échappe puisqu'il n'a même pas été cité dans la liste des contacts bilatéraux à venir, puisque c'est le garde des sceaux français qui a été cité sur le plan, en tous les cas, des questions juridiques. Je dirais que, là, pour le coup, ça devient un problème de politique intérieure française.Dans le domaine sécuritaire, le ministre français des Affaires étrangères a annoncé qu'il y aura désormais entre l'Algérie et la France « un dialogue stratégique sur le Sahel ». Comment réagissez-vous ? Alors, c'est une déclaration qui est très importante parce que, dans le contexte actuel du Sahel, avec la montée en puissance, je dirais, de la contestation contre la France mais aussi contre l'Algérie, il est évident que Paris et Alger ont intérêt à trouver un accord pour suivre ce qui se passe au Mali, au Niger, au Burkina Faso aussi, qui sont des zones où traditionnellement les intérêts français et algériens n'ont pas toujours été convergents, mais là où, pour le coup, ils le deviennent. On parle beaucoup de l'influence russe, on parle beaucoup de l'influence turque. Et les deux, je dirais, acteurs habituels semblent avoir perdu la main sur les questions géostratégiques qui concernent cette région.Peut-on parler d'une convergence entre Paris et Alger contre la présence de Wagner à Kidal ? En tous les cas, il est vrai aussi qu'il y a aujourd'hui une dissonance dans les rapports algéro-russes sur la présence effectivement de Wagner à Kidal, que l'Algérie n'accepte pas, que l'Algérie dénonce de manière plus ou moins explicite. Et donc effectivement, on sent bien que là, pour le coup, il y a une entente possible entre Algériens et Français sur ce point-là.Dans le communiqué conjoint des deux présidents lundi 31 mars, comme dans la déclaration du ministre français du 6 avril, pas un mot sur le Sahara occidental qui a pourtant été l'élément déclencheur de la crise au mois de juillet dernier. Est-ce à dire que l'Algérie se résigne à voir la France reconnaître la marocanité du Sahara ? C'est un point qui a été volontairement et délibérément mis de côté. Maintenant, les langues se délient un peu… Quand Emmanuel Macron a adressé sa lettre au roi du Maroc, il est apparu que, en fait, c'était une perspective que les Algériens avaient entérinée depuis un moment et que ça faisait partie, je dirais, des choses qui semblaient être inscrites. Donc, oui, c'est une sorte non pas de résignation, mais Alger prend acte de la position française et l'idée, c'est d'avancer en mettant ce dossier à part, c'est-à-dire en essayant de le réduire à un point, je dirais, de non-accord entre l'Algérie et la France, sachant qu'il est très possible aussi que des choses puissent se cristalliser dans les prochains mois dans, non pas un rapprochement, mais dans un léger réchauffement des relations entre Alger et Rabat.
Les fautes de français chez les jeunes Québécois. Discussion avec Rémi Villemure, chroniqueur.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Si tu souhaites faire une sadaqa sur Oudhiyah c'est ici qu'il faut cliquer : http://oudhiyah.fr/?ref=MILBLES INVOCATIONS : • Dua du pardon : Allahuma innaka afwun tuhibu al afwa fa'hfu ‘an. اللَّهُمَّ إِنَّكَ عَفُوٌّ تُحِبُّ العَفْوَ فَاعْفُ عَنِّي Ô Allah ! Certes Tu effaces les péchés et Tu aimes les effacer ainsi efface mes péchés. • Dua de El Afiyah Allahuma inni as-aluka al afiyah fi dunya wa fi al akhiraاللَّهُمَّ إِنِي أَسْأَلُكَ العافية فِي الدُنْيَا وَالآخِرَة O Allah je te demande al afiya ici-bas et dans l'au-delà. Dua de el Tawfiq Allahuma inni as-aluka el tawfiq اللهم إني أسألك التوفيقÔ Allah je te demande El tawfiq • Dua pour El Ihsan Allahuma inni as-aluka El Ihsanاللهم إني أسألك الإحسانÔ Allah je te demande el Ihsan • Dua pour l'amour d'Allah Allâh, je Te demande ton amour, l'amour de quiconque T'aime, ainsi que l'amour de toute action qui rapproche de Ton amour. Allahuma ini as-aluka hubak wa huba min youhibuk wa houba 3amalin yuqaribu ila hubak اللَّهُمَّ إِنِي أَسْأَلُكَ حُبَّكَ وَحُبَّ مَنْ يُحِبُّكَ و حبَّ عَمَلٍ يُقَرِبُ الي حُبَّك• Dua pour la Palestine ! Ô Allah secours nos frères et nos sœurs en Palestine. اللهم انصر إخواننا وأخواتنا في فلسطينAllahuma nsur ikhawana wa ikhwatina fi falestin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Fonds monétaire international (FMI) affirme qu'entre 2019 et 2024, une dette d'un montant de 7 milliards de dollars environ a été « cachée » par le Sénégal de l'exp-président Macky Sall. Cela confirme les conclusions du rapport de la Cour des comptes pointant une dette sous-évaluée et des manquements dans la gestion des finances du pays. En visite à Dakar, alors que le programme d'aide du FMI au pays est suspendu depuis ces révélations, le chef de mission du FMI pour le Sénégal, Edward Gemayel, s'est entretenu avec notre correspondante Léa-Lisa Westerhoff. RFI : Edward Gemayel, vous avez conduit la délégation du FMI à Dakar cette semaine, quel est l'objectif de cette visite ?Edward Gemayel : en effet, ça fait une semaine qu'on est à Dakar, c'est une mission à caractère un peu spécial, suite à la publication du rapport de la Cour des comptes à la mi-février. Nous sommes venus à Dakar pour discuter avec les autorités du contenu du rapport, notamment ce qui s'est passé en termes de dette pendant l'ancienne administration, comment cette dette s'est accumulée sans être divulguée. Et, troisièmement, quelles sont les mesures et les réformes que les autorités souhaitent prendre dans les semaines, mois et années à venir, afin d'éviter qu'une situation similaire ne se reproduise ? Selon le document publié par la Cour le 12 février dernier, les comptes initialement arrêtés en décembre 2023 faisaient état d'une dette publique sénégalaise qui était à plus de 70 % du PIB, finalement sous-estimée, puisque dans son audit, la Cour des comptes parle d'une dette à près de 100 % du PIB. En êtes-vous arrivé à la même conclusion que les autorités actuelles, à savoir que l'administration précédente a délibérément menti aux partenaires financiers du pays, au sujet de l'état économique du pays ? Comme le rapport de la Cour des comptes le dit très clairement, il y a eu une décision qui était très consciente de sous-estimer ce stock de la dette pendant les années précédentes. Donc, on est d'accord avec la conclusion du rapport de la Cour des comptes. Donc, on peut parler de mensonge ? Il y a une sous-estimation. Donc, il y a une partie de la dette qui a été cachée. Et ceci a permis aux autorités de pouvoir s'endetter plus sur les marchés, de donner un signal plus positif aux marchés financiers et aussi de pouvoir s'endetter à des taux plus favorables que ce que ces taux auraient été si la dette était plus élevée. Des sources parlent de 7 milliards de dollars qui auraient été détournés. Vous confirmez ? 25 % du PIB. C'est à peu près 6, 7 milliards de dollars. Je ne dirai pas détournés. C'est un endettement qui n'a pas été dévoilé. Et donc, le stock de la dette a été sous-estimé d'à peu près ce montant de 7 milliards de dollars. C'est un chiffre gigantesque. Dans ces conditions, le Fonds Monétaire International peut-il continuer à prêter de l'argent au Sénégal, comme le demandent les nouvelles autorités ? c'est pour ça, la première étape dans les semaines qui viennent, c'est de pouvoir déterminer ce qui s'est passé, comment ça s'est passé et quelles sont les mesures que nos autorités vont prendre afin d'éviter ceci, de se répéter dans le futur. Une fois que nous avons tout ceci, nous allons présenter, soumettre un dossier au conseil d'administration du FMI. Le Conseil a deux choix soit il va donner une dérogation aux autorités, une dérogation de ne pas rembourser le FMI, des décaissements qui ont eu lieu dans le passé sur la base de données erronées, en contrepartie de mesures correctrices. Et le deuxième choix, c'est de demander au Sénégal de rembourser le FMI sur ce qui a été décaissé sur base de fausses données. Mais si ce n'est pas nous qui décidons, c'est une décision que le conseil d'administration éventuellement devrait prendre dans les semaines à venir. Le rapport de la Cour des comptes relève des manquements graves qui pourraient revêtir diverses qualifications pénales, dont des faux en écriture, détournement de deniers publics, blanchiment d'argent et enrichissement illicite. Selon le ministre de la Justice, est-ce que vos experts sont arrivés à la même conclusion ? On a eu des discussions avec les autorités, y compris avec le ministère, le ministre de la Justice qui a confirmé ceci. C'est le rôle du ministère de la Justice et de la Justice sénégalaise de poursuivre ces faits. Mais est-ce que vous les qualifiez de la même façon ? Il faut laisser la justice prendre son cours et les investigations vont prendre leur cours. Et puis ceci va déterminer si ces faits ont eu lieu ou pas lieu. En tout cas, on peut parler de manquements graves ? Il y a eu certains manquements. Absolument. En 2016, le FMI avait suspendu ses financements au Mozambique après la découverte d'un milliard de dollars de prêts cachés. Est-ce qu'il est possible que le FMI fasse de même avec le Sénégal ? Pour le moment, le programme avec le FMI est suspendu, afin de résoudre la question de la fausse déclaration de données. Une fois que notre conseil d'administration va statuer sur cette affaire, à ce moment-là, on pourra reprendre les discussions sur un programme. Ce qui veut dire qu'à ce jour, le Sénégal qui est en quête de liquidité et qui demande au Fonds Monétaire International de reprendre le prêt qu'il a entamé avec lui, à ce jour, vous n'êtes pas encore en mesure de dire si ça va reprendre ou non ? Jusqu'à ce jour, on n'est pas en situation parce qu'on doit résoudre le problème des fausses données. Mais ce que je peux dire, c'est qu'on est en train d'avancer le plus vite possible afin de mettre ce dossier derrière nous et de pouvoir entamer des relations financières avec les autorités sénégalaises. Sénégal: le FMI évoque une dette «cachée» d'environ 7 milliards de dollars entre 2019 et 2024La visite de la délégation du FMI se termine le 26 mars.
Dans ce nouvel épisode les frangins se retrouvent pour parler des films qu'il faut ABSOLUMENT avoir vu pour se proclamer cinéphile. Suivez Frangins Vidéoclub sur Letterboxd @Frangins !Suivez Adam sur Youtube "Adam Bros", sur Instagram @adambrosyt et sur Twitter @Adam_Bros Suivez Nathan sur Instagram @natebensoussan
Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Derrière l'évolution fulgurante de l'intelligence artificielle et des robots se cache une question aussi vieille que la science-fiction : faut-il en avoir peur ? Mais à bien y regarder, le véritable danger ne viendrait-il pas de nous-mêmes ?Une illusion d'intelligenceContrairement aux craintes véhiculées par des œuvres comme Terminator ou Black Mirror, les robots n'ont ni conscience ni volonté propre. Ils analysent, optimisent, calculent. Ils ne font que ce pour quoi ils ont été programmés. Pourtant, l'illusion de leur intelligence s'épaissit chaque jour. L'IA générative fascine par ses performances linguistiques bluffantes, mais elle ne « comprend » pas ce qu'elle dit. Les robots chirurgiens opèrent avec une précision inégalée, mais ils n'ont pas d'autonomie décisionnelle.Alors pourquoi cette peur grandissante ?La vraie menace : une dépendance programméeLe problème n'est pas tant les robots eux-mêmes que ceux qui les conçoivent et les déploient. L'intelligence artificielle et la robotique sont aujourd'hui contrôlées par un petit nombre d'acteurs économiques et politiques capables d'influencer nos sociétés à une échelle sans précédent. Loin de la révolte des machines, la véritable crainte réside dans la place que nous leur laissons, sans véritable débat éthique ni régulation claire.À travers des exemples concrets, cet épisode de podcast interroge les défis actuels et futurs :• L'influence des algorithmes dans nos décisions quotidiennes• La montée en puissance des robots dans la médecine et la défense• L'impact social et psychologique de leur omniprésenceFaut-il avoir peur des robots ? Pas sûr. Mais devons-nous nous inquiéter de l'usage qu'on en fait ? Absolument. Entre dystopie et réalité, cet épisode interroge la place grandissante des machines dans nos vies. IA générative, robots chirurgiens, assistants domestiques… Jusqu'où ira l'illusion de leur intelligence ? Qui les contrôle ? Et surtout, sommes-nous prêts à vivre dans un monde où nos choix sont dictés par des algorithmes ?Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour Samuel Eto'o, c'est la « remontada ». Après une année 2024 très éprouvante, l'ancienne star du football camerounais revient en force cette année. Hier, mercredi 12 mars, au Caire, il a été élu au comité exécutif de la CAF, la Confédération africaine de football. Il devient donc l'un des 21 patrons du football africain. Comment a-t-il réussi ? Jusqu'où peut-il aller ? Le journaliste sénégalais Abdoulaye Thiam, qui travaille à Sud Quotidien, préside la section Afrique de l'Association internationale de la presse sportive. En ligne du siège de la CAF, au Caire, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : L'élection de Samuel Eto'o au comité exécutif de la CAF, c'était loin d'être gagné il y a encore une semaine, comment a-t-il réussi finalement ? Abdoulaye Thiam : Écoutez, vous avez parfaitement raison. C'est une très belle « remontada » comme d'ailleurs a l'habitude de faire son ancien club, le FC Barcelone. La vie de Samuel Eto'o fils, comme vous le savez aussi, a été parsemée d'embûches, mais il a toujours su tirer son épingle du jeu. Ce n'était pas facile. Il menait une bataille d'abord contre l'ancien président du comité de normalisation de son pays, Seidou Mbombo Njoya, mais aussi contre le ministre des Sports, mais également contre la Confédération africaine de football qui l'avait déclaré inéligible. Mais Samuel Eto'o étant Samuel Eto'o, il a poursuivi l'affaire jusqu'au TASS qui lui a donné finalement raisonLe TASS, qui lui a donné raison, c'est donc le Tribunal arbitral des sports. Mais en janvier dernier, comme vous l'avez dit, la CAF avait refusé qu'il soit candidat en prétextant « qu'il avait gravement violé les principes d'éthique, d'intégrité et d'esprit sportif en acceptant de devenir l'ambassadeur d'une société de paris sportifs ». Comment a-t-il réussi cette remontada finalement ? C'est tout à fait simple parce qu'il a saisi le TASS, il a amené tous ses dossiers, il a pris de bons avocats, il a défendu son dossier. Le TASS lui a donné raison. Il appartenait à la CAF de prendre une seule mesure, c'est-à-dire d'aller saisir ce qu'on appelle la Cour fédérale suisse. Mais la CAF était obligée, compte tenu de cette situation de fait qui s'imposait à elle, d'accepter cette candidature-là. Et Samuel Eto'o a fini par être élu. Il fallait le voir ici, au Caire, tout souriant, parce qu'il n'avait aucune pression. Il était sûr de passer. Il est passé comme une lettre à la poste.Et il a été élu par acclamation, c'est ça ?Absolument. Il a été élu par acclamation, comme plusieurs autres membres aussi de différentes zones. Et quand ils ont projeté la photo de Samuel Eto'o, effectivement, il y a eu quand même beaucoup plus de salves d'applaudissements comparé aux autres candidats. Donc, il reste toujours populaire, plus populaire même que le président de la Confédération africaine de football. Donc c'est de bonne guerre qu'il y ait une salve d'applaudissements quand on a cité le nom de Samuel Eto'o et surtout quand on a projeté son image au niveau de l'écran géant.Alors, vous l'avez dit, derrière la décision anti Samuel Eto'o du mois de janvier dernier, beaucoup, à tort ou à raison, ont vu la main du ministre camerounais des Sports, Narcisse Mouelle Kombi et du Camerounais qui siégeait jusqu'ici au comité exécutif de la CAF, Seidou Mbombo Njoya. Mais est ce que le président de la CAF, le Sud-Africain Patrice Motsepe lui-même, ne manœuvrait pas lui aussi en coulisse contre Samuel Eto'o ? Je n'irai pas jusque-là. D'autant plus que les organes qui s'occupent de l'éligibilité des candidats sont des organes indépendants. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'au niveau de ces organes, tous, ont déclaré Samuel Eto'o fils inéligible. Toutefois, il a poursuivi donc son combat jusqu'au niveau du Tribunal arbitral des sports. Il a obtenu gain de cause. Aujourd'hui, il est là. Reste à savoir maintenant si dans les quatre prochaines années, il envisagera de briguer la présidence de la Confédération africaine de football et pourquoi pas devenir président, par exemple, là où Michel Platini a échoué à l'Euro ?Oui. Vous dites qu'il peut viser dans quatre ans la succession de Patrice Motsepe ? Pourquoi pas ? Parce que c'est quelqu'un qui a beaucoup d'ambition. Quelqu'un qui est courageux. Beaucoup de gens le pensent ici, dans les coulisses. Samuel Eto'o pourrait être candidat. Pourquoi pas en 2029.Hier, au Caire, ont été élus également les six nouveaux représentants de la CAF au Conseil permanent de la FIFA. Et là, il y a de sacrées surprises, Abdoulaye Thiam ? Absolument. Il y a de sacrées surprises. D'abord, c'est le fait de voir Amaju Melvin Pinnick du Nigeria qui n'a pas été reconduit. Mais la plus grosse surprise, c'est Me Augustin Senghor, premier vice-président de la Confédération africaine de football, qui termine sixième sur six. Sur 53 voix, il n'a pu obtenir que treize. Là quand même, il y avait une grosse surprise, d'autant plus que partout en Afrique, on entend de lui que c'est quelqu'un qui est doté d'une probité intellectuelle et morale sans commune mesure.Est-ce à dire que pour être élu, il faut non seulement avoir un bon programme, mais manœuvrer en coulisse, avec peut-être des méthodes pas toujours orthodoxes ?De toute façon, ce sont des lobbys qui se saisissent de la CAF, de la FIFA, du CIO. Un peu partout, on constate qu'il y a des lobbys. Quand on regardait le dépouillement, on se rendait compte qu'on avait donné une liste à l'avance pour qui voter. Donc il y a trop d'arrangements dans les votes. Mais ça aussi, ce n'est pas l'apanage de la CAF. Je le dis et je le répète, que ça soit à la FIFA, que ça soit au CIO. Et c'est vraiment dommage, parce que la conséquence immédiate c'est qu'Augustin Senghor a remis sa démission à Patrice Motsepe, il ne va plus être premier vice-président de la Confédération africaine de football parce qu'il ne bénéficie plus de la confiance de ses pairs.À lire aussiPatrice Motsepe réélu président de la CAF, Eto'o au comex, Yahya à la Fifa
« Au Bénin, il faut libérer tous les prisonniers politiques », affirme l'ancien président Nicéphore Soglo, qui publie ses mémoires aux éditions L'Harmattan, sous le titre Vers le « miracle béninois » : l'épreuve du pouvoir et de la démocratie. Nicéphore Soglo, qui a gouverné le Bénin pendant six ans, de 1990 à 1996, parle aussi sur RFI de sa mission du mois de juin dernier au Niger. Et il fait une comparaison audacieuse entre Donald Trump… et l'ancien Premier ministre français Édouard Balladur. En ligne de Cotonou, l'ancien chef de l'État béninois répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Pendant la campagne de 1996, vous racontez comment l'opposition a fait campagne contre vous en disant que vous étiez l'homme de la dévaluation de 1994. Est-ce que vous ne regrettez pas d'avoir laissé le Premier ministre français de l'époque, Edouard Balladur, vous imposer un taux de dévaluation très brutal de 50 % ? Nicéphore Soglo : Écoutez, c'est la France qui doit payer à la place des débiteurs africains. Et son Premier ministre dit : « Je ne paye pas ». Que voulez-vous qu'on fasse ? Qui peut forcer la France à payer ? Non, je crois que tout le monde était convaincu que la décision appartenait à la France et elle a dit non et puis c'était terminé. Qu'elle ne pouvait pas supporter vraiment les dettes de ses anciennes colonies. Et ça s'est fait comme ça. Supposons que Donald Trump se lève en disant « voilà, maintenant, je coupe » … On a vu déjà ce qu'il a commencé à faire pour ce qui concerne l'Ukraine, comment les gens réagissent. Alors, imaginez vraiment que quelqu'un vous torde la main de cette manière-là. Mais on n'avait pas le choix et tout le monde est surpris qu'on ait pu partir d'un taux de croissance négatif de -3 à un taux positif de +6 en l'espace simplement d'un mandat. Neuf points !Alors finalement, vous écrivez que cette dévaluation de 1994, eh bien, elle a profité économiquement aux pays africains. Un remède de cheval aussi fort, vraiment, ça a été utile ? C'est-à-dire que ceux qui ont pu survivre, parce que vraiment ça a été violent. Bon, mais on a dû s'adapter et trouver nous-mêmes nos propres solutions. Pour ce qui concerne le coton, c'est moi, j'ai dit à ce moment-là, il faut que nous puissions industrialiser l'Afrique.Alors comment remplacer ce franc CFA aujourd'hui ? Est-ce qu'il faut une monnaie nationale pour chacun des pays d'Afrique de l'Ouest par exemple ? Ou une monnaie commune ? Mais oui, mais écoutez, les peuples du Nigeria, les peuples du Bénin ou bien les peuples du Togo, tout ça, ce sont les mêmes peuples. Pourquoi ce que l'Europe a réalisé au sortir de la guerre, nous, on ne pourrait pas le faire également ? On doit vraiment créer une monnaie commune. C'est évident.Alors, vous écrivez que, 30 ans après votre départ du pouvoir, vos successeurs n'ont pas su tirer profit de l'élan économique et démocratique que vous avez donné à votre pays. Quel est votre principal regret depuis 30 ans ? Moi, je crois que c'est parce qu'ils n'ont pas une vision, celle de bâtir un ensemble de l'Afrique de l'Ouest pour avoir un monde de paix.Et vous écrivez que, sur le plan des libertés publiques, la situation au Bénin est devenue « irrespirable », car plusieurs opposants politiques ont été jetés en prison. A qui pensez-vous ? Moi, je n'ai jamais mis quelqu'un en prison. Je n'ai jamais mis des gens en exil. Non, ça n'a pas de sens. Je parle au président Talon, j'ai demandé encore une audience, je lui dis « écoute, c'est moi en te soutenant qui t'ai permis d'être président, eh bien, je te dis que cette année, l'année 2025, tu dois libérer tous les prisonniers politiques, les Reckya, le professeur Aïvo, tous ceux qui sont en prison. Et tu dois permettre à mon fils, Léhady, à qui tu as collé dix ans, ça va durer combien de temps ? »=Votre fils qui est en exil à l'étranger…Absolument et en même temps, j'essaie de donner de bons conseils en disant que le pouvoir n'est jamais facile. Quand tu as un pouvoir, il faut savoir comment l'utiliser. Mais là, cette année, on doit libérer tous les prisonniers politiques, sans exception. Je lui dis ça !Et quand vous lui dites ça, qu'est-ce qu'il vous répond ? Mais pour le moment, il ne me répond pas correctement.Alors l'élection présidentielle au Bénin, c'est dans un an. Est-ce que vous êtes confiant ou inquiet avant ce grand rendez-vous politique ? Moi, je sais que notre peuple à la capacité vraiment de rebondir. D'abord, on aura libéré tous les prisonniers politiques : Reckya Madougou, on aura libéré Joël Aïvo. Tous les exilés seront rentrés et diront au président Talon ce qu'ils pensent de lui, de sa manière de gouverner un pays.Est-ce que vous pensez que le président Talon tiendra parole et quittera le pouvoir dans un an ? Je suis persuadé que, s'il ne quitte pas, il aura choisi son destin.Alors, vous êtes à la retraite, mais vous n'êtes pas inactif, loin de là, puisqu'en juin dernier, avec un autre ancien président, Thomas Boni Yayi, vous êtes allé à Niamey pour essayer de faire rouvrir la frontière entre le Niger et le Bénin. Vous n'y êtes pas arrivé. Est-ce que vous êtes déçu ? Non, moi, je compte… Je suis invité à nouveau par le général Tiani, je vais aller là-bas.Et quand irez-vous à Niamey, Monsieur le président ?Ah, pour le moment, j'attends que l'ambassadeur ici... Et on verra comment les choses se passeront. Je vous tiendrai informé.Et vous irez avec Boni Yayi comme la dernière fois ?Mais évidemment.
Chaque samedi et dimanche, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour une interview sans concession.
Une nouvelle route pour les camions de marchandises entre le Maroc et la Mauritanie à travers le Sahara occidental, c'est le projet que Rabat et Nouakchott sont en train de finaliser avec la construction des derniers kilomètres de bitume et l'ouverture d'un poste frontière au sud de Smara. Est-ce le signe que la Mauritanie sort de sa neutralité entre le Maroc et le Front Polisario ? Ahmedou Ould Abdallah a été ministre mauritanien des Affaires étrangères. Aujourd'hui, il préside une société de conseil, le Centre 4S : Stratégie, Sécurité, Sahel, Sahara. En ligne de Nouakchott, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : La Mauritanie accepte d'ouvrir un nouveau poste frontière avec le Maroc au nord-est du Sahara occidental, à 400 kilomètres à peine de Tindouf, la base principale du Front Polisario. Est-ce un geste politique de la part de Nouakchott ?Ahmedou Ould Abdallah : À mon avis, par principe, un pays dispose de la liberté de mouvement, d'investissement et d'action sur son territoire national. Si la Mauritanie ouvre une route dans une partie de son territoire national, que cela soit avec la frontière de l'Algérie ou qu'elle soit en train de construire le pont actuellement avec le Sénégal sur le fleuve à Rosso, ou qu'elle prolonge la route qui la lie de Bassikounou au Mali, je ne vois pas en principe une action hostile même si elle peut gêner. Je ne la vois pas comme hostile à un pays ou à une organisation.Mais est-ce à dire que la Mauritanie sort de sa neutralité historique dans le conflit du Sahara et se rapproche du Maroc ?Je suis bien placé pour me souvenir du communiqué que la Mauritanie a signé en août 1979. Notre communiqué, que j'ai rédigé personnellement, parle de « stricte neutralité ». Mais cela ne veut pas dire que nous renonçons aux intérêts du pays, en particulier dans une région de transit avec le Sahel qui est une région de commerce. Je ne vois pas a priori de rupture de la neutralité avec l'ouverture d'une route qui lie telle ou telle ville de Mauritanie à un pays étranger, que ce soit le Mali, le Maroc, le Sénégal ou l'Algérie. D'ailleurs, nous faisons la route maintenant Tindouf-Bir Moghrein qui est très avancée.Vous parlez commerce. Il y a déjà une route commerciale entre le Maroc et la Mauritanie. Elle longe la côte atlantique du Sahara occidental jusqu'à Guerguerat puis jusqu'en Mauritanie. Mais avec cette nouvelle route éventuelle, les camions marocains pourront couper à travers le désert au départ de Smara au nord-est du Sahara occidental et à destination du nord de la Mauritanie, quel serait l'avantage économique pour le Maroc et la Mauritanie ?Je dois ajouter que, dans la presse au Sénégal et ailleurs, on parle également non seulement de cette route actuellement existante, mais on parle même de la création d'une ligne de navigation de Dakhla directement à Dakar. Cette 3e route ne peut qu'accélérer les échanges entre la Mauritanie et le Maroc mais aussi l'Europe du Nord et l'Afrique subsaharienne. Cette route pourrait éventuellement accélérer la production des produits et une baisse des prix.Et permettrait peut-être aux trois pays de l'Alliance des États du Sahel de se mettre à l'abri d'une éventuelle crise supplémentaire avec les pays côtiers de la Cédéao ?Absolument, par exemple, vous connaissez ces problèmes entre le Bénin et le Niger mais aussi le Burkina avec certains pays côtiers.Le problème, c'est que cette route doit passer par une région du Sahara occidental, au sud de Smara, qui est un secteur où l'armée marocaine et le Front Polisario se sont durement affrontés en 1991. Aujourd'hui, le Front Polisario dit à la Mauritanie que l'ouverture éventuelle de cette route ne restera pas sans conséquences. Est-ce qu'il y a un risque d'escalade militaire ?Je pense que, tant qu'il y a un conflit, il y a toujours un risque d'escalade militaire. Il y a quelques années, il y a eu des attaques dans la région de Guerguerat, c'est-à-dire sur la route qui existe actuellement. Mais de mon point de vue, la Mauritanie n'est pas à blâmer dans cette situation. Si un pays voisin, que ce soit le Sénégal, le Mali, l'Algérie, comme je vous dis que, Dieu merci, on est en train de faire la route de Tindouf à la Mauritanie, si le Maroc fait la même chose, je ne vois pas en quoi on pourrait blâmer la Mauritanie.Concrètement en 1998, au sud de Smara, l'ONU et la Minurso ont réussi à arracher un accord pour qu'il y ait des restrictions et des retenues militaires de la part de l'armée marocaine et de la part du Polisario sur leur présence autour de ce fameux mur de sable. Est-ce que cet accord militaire n°1 comme on l'appelle peut encore tenir à l'avenir ?C'est une excellente question qui concerne les parties qui sont concernées. Je pense que la Mauritanie n'est pas concernée. Si mon avis pouvait être écouté, la Mauritanie ne serait même pas observatrice. La Mauritanie, je parle à titre privé évidemment, n'est pas partie prenante. On doit nous laisser en dehors de cette situation. La Mauritanie devra continuer d'observer la position actuelle du gouvernement qui est celle de stricte neutralité.D'équidistance entre Rabat et Alger ?Tout à fait ! À lire aussiSahara occidental: la Mauritanie et le Maroc annoncent l'ouverture d'un nouveau poste frontière terrestre
François-Xavier Bellamy, eurodéputé et vice-président exécutif Les Républicains, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet du plan de réarmement de l'Europe, du débat sur la dissuasion nucléaire, du programme européen pour l'industrie de la défense, du désaveu de François Bayrou et Bruno Retailleau au sujet de l'Algérie et des propos de Rima Hassan.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Éléonore Lemaire et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Laurent Ruquier adorerait visiter un lieu spécial situé à l'Elysée...Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Depuis plusieurs semaines, la situation sécuritaire dans l'est de la République démocratique du Congo ne cesse de se détériorer. L'AFC/M23, groupe soutenu par l'armée rwandaise selon Kinshasa, a poursuivi son avancée jusqu'à Bukavu, malgré les initiatives diplomatiques en cours. Face à cette crise, l'Église catholique et les protestants congolais ont engagé des démarches pour favoriser un dialogue entre les différentes parties. Monseigneur Donatien Nshole, secrétaire général de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco), fait partie de la délégation (réunissant la Cenco et l'Église du Christ au Congo) revient sur cette initiative, et tire un premier bilan des rencontres qui ont été menées, avec Liza Fabbian. RFI : La semaine dernière à Goma, vous avez rencontré Corneille Nangaa, le coordinateur de l'AFC/M23. Après cette entrevue, ses troupes, appuyées par l'armée rwandaise, se sont emparées de Bukavu. Était-il utile de le rencontrer ?Mgr Donatien Nshole : Oui, nous estimons que c'était très utile de le rencontrer parce que, pour nous, la solution militaire n'en est pas une. L'idéal serait que les Congolais s'assoient autour d'une table et qu'ils trouvent un consensus national autour de leurs différends plutôt que de s'engager dans une voie qui fait autant de morts, et de pertes non seulement en vies humaines, mais aussi en termes de destruction des infrastructures nécessaires pour le développement du pays.Pouvez-vous nous en dire plus sur le bilan que vous avez pu tirer de l'échange que vous avez eu avec Corneille Nangaa ?Nous sommes allés le convaincre de la nécessité d'un dialogue et ils ont été ouverts à l'initiative. Ils ont promis d'envoyer leur cahier des charges assorti des conditions pour participer à ce dialogue. Pour nous, c'était déjà une ouverture. C'est la même démarche qu'on a faite auprès des autres acteurs sociaux – politiques du pays pour le même objectif. Évidemment, on aurait souhaité qu'on puisse arrêter les combats sur le terrain. Ça nous inquiète qu'on continue encore à se battre et que du côté de Kinshasa, il y ait encore aussi des voix qui parlent en termes de résistance, en termes militaires, ça, vraiment, ça nous décourage. Pour arriver à une solution pacifique comme nous la proposons, il faut des signaux de part et d'autre. Il faut vraiment un engagement formel et de la part du M23 et de la part de Kinshasa. Il ne faudrait pas que le M23 considère que ce qu'on leur demande, c'est pour laisser le temps à l'autre camp de s'organiser. Il ne faudrait pas que de l'autre côté de Kinshasa, on considère les négociations comme une faiblesse. Non. La guerre n'est vraiment pas une solution pour nous.Vous avez également rencontré dans la foulée le président rwandais Paul Kagame. Qu'avez-vous tiré de cette rencontre ? Pouvez-vous nous en dire plus ?D'abord, l'écoute. Il nous a écoutés. Il nous a donné suffisamment de temps. Il a encouragé l'initiative « pastorale », pour reprendre ses mots, là où les politiciens n'ont pas réussi à trouver une solution. Et il a promis son implication dans tout ce qui va dans le sens du dialogue, pour qu'on en finisse avec ce conflit. Nous allons proposer quelque chose tenant compte et de la réalité et des avis des uns des autres. C'est à ce moment-là qu'on verra les vraies intentions des uns et des autres.L'initiative que vous portez vous a également amené à rencontrer plusieurs figures de l'opposition politique congolaise, notamment Martin Fayulu, Moïse Katumbi ainsi que des émissaires de Joseph Kabila. Sont-ils tous favorables à un dialogue ou une rencontre qui intégrerait le AFC/M23.Ils sont tous favorables au dialogue, à certaines conditions. Nous sommes en train de recueillir justement les avis des uns des autres. Nous allons proposer quelque chose tenant compte de la réalité et des avis des uns et des autres. C'est à ce moment que l'on verra les vraies intentions des uns et des autres.Mais vous, votre souhait, c'est donc de pouvoir organiser une rencontre qui intégrerait l'AFC/M23 ?Absolument. Parce que c'est une partie du problème aussi. On ne peut pas le mettre de côté. Corneille Nangaa et les autres sont des Congolais. Ils ont pris les armes et doivent expliquer aux autres Congolais, pourquoi et ce qu'il faudrait faire pour trouver des solutions sans la guerre.Les représentants de la Cenco et de l'ECC ont aussi échangé avec William Ruto, le président du Kenya. Il est également président en exercice de la Communauté d'Afrique de l'Est. Comment votre initiative s'intègre-t-elle dans la dynamique sous-régionale ? Et comment s'articule-t-elle avec les processus de Luanda et de Nairobi ?C'était l'objet de la rencontre. Parce que, au niveau national, nous espérons, avec la bonne volonté des acteurs sociopolitiques, arriver à un consensus qui sera la voix du Congo par rapport à la gouvernance interne, mais aussi par rapport aux relations avec le voisin. Et pour cela, la dynamique nationale a besoin de l'appui de la sous-région. Donc concrètement, après le consensus qui sera dégagé, ce ne sera plus la voix du président Tshisekedi qui sera entendue, mais celle des Congolais unis. Ça aura déjà un autre poids. Et la communauté politique sous-régionale devra en tenir compte pour voir comment intégrer ça dans les pourparlers de la sous-région. L'idéal pour nous, c'est qu'on obtienne à la fin une conférence internationale pour la paix en RDC, dans les Grands Lacs.Quelle est la finalité que vous espérez atteindre ?La finalité, c'est, d'abord, que les armes cessent. La finalité, c'est que les congolais se mettent d'accord autour d'un pacte social pour la paix et le vivre-ensemble. La finalité, c'est que les Congolais se mettent d'accord sur la façon de vivre en paix avec le voisin en tenant compte des intérêts des uns et des autres. La finalité, c'est donner au pays la matrice de la gouvernance qui pourra garantir le bien-être de la population congolaise qui devra vivre dignement. C'est cela, notre plus grand souci en tant que pasteurs.
Tout sur le Shalom Bayit en 10 questions - A écouter absolument! by Rav David Touitou
Les pléonasmes sont des redondances inutiles qui alourdissent la langue. Voici les 10 pléonasmes les plus fréquents à éviter absolument, avec explications :1. Monter en hautPourquoi c'est un pléonasme ?Monter signifie déjà aller vers le haut. Dire "monter en haut" est donc une répétition inutile.Corriger par : Monter tout court.2. Descendre en basPourquoi c'est un pléonasme ?Descendre implique un mouvement vers le bas, donc inutile de préciser "en bas".Corriger par : Descendre.3. Prévoir à l'avancePourquoi c'est un pléonasme ?Prévoir signifie anticiper quelque chose avant qu'elle ne se produise. "À l'avance" est donc superflu.Corriger par : Prévoir.4. Réserver à l'avancePourquoi c'est un pléonasme ?Réserver, c'est bloquer quelque chose en avance, donc inutile de rajouter "à l'avance".✅ Corriger par : Réserver.---5. Un petit détail
Ce matin, Maurine nous dévoile la raison pour laquelle il ne faut jamais vous réveiller avec l'alarme de votre smartphone.
C dans l'air l'invité du 4 février avec Bernard Guetta, député européen Renew. Il n'en démord pas. Donald Trump a assuré, vendredi 31 janvier, qu'il imposerait des droits de douane sur les produits européens à l'avenir. "Est-ce que je vais imposer des droits de douane à l'Union européenne ? Vous voulez la vraie réponse ou la réponse diplomatique ? Absolument. L'UE nous a très mal traités", a déclaré le président américain à des journalistes présents dans le Bureau ovale.Le bras de fer s'engage. Le président de la République a répondu aux menaces de Donald Trump de taxer les produits européens. Si l'Europe est "attaquée" sur le commerce, elle "devra se faire respecter", a affirmé le chef de l'État lors d'une réunion à Bruxelles ce lundi 3 février. "Les récentes déclarations des États-Unis poussent l'Europe à être plus forte et plus unie", a-t-il ajouté.
durée : 00:09:45 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Suzette Delaloge, oncologue médicale spécialiste du cancer du sein à Gustave-Roussy et directrice du programme de prévention personnalisée Interception, était l'invitée du 7h50 de France Inter ce mardi, à l'occasion de la Journée mondiale contre le cancer. - invités : Suzette Delaloge, - Suzette Delaloge : Oncologue, responsable du comité de pathologie mammaire de Gustave Roussy
C'est la fin d'une longue histoire. Après 65 ans de présence quasi continue, les militaires français quittent le Tchad vendredi 31 janvier. En ce jour historique, les Français sont-ils amers ? Christophe Lemoine est le porte-parole du ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier, en s'exprimant tout d'abord sur l'escalade militaire dans l'est de la République démocratique du Congo. Cela au moment où son ministre, Jean-Noël Barrot, effectue une tournée dans la région. RFI : au Nord-Kivu et maintenant au Sud-Kivu, c'est l'escalade militaire. Comment peut-on y mettre fin ? Christophe Lemoine : Alors, c'est une situation effectivement qui est très inquiétante et une situation qui est extrêmement évolutive. Il y a eu des incursions des troupes du M23, soutenues par le Rwanda, qui ont pris la ville de Goma, qui se dirigent maintenant vers le sud de la région. C'est extrêmement inquiétant, surtout parce que, pour les populations civiles, c'est absolument dramatique. Il y a eu des morts, il y a des milliers de Congolais qui sont sur les routes et qui fuient les combats et c'est une situation qui doit cesser.Du point de vue de la France, le meilleur moyen de faire cesser cette situation, c'est de trouver une issue diplomatique et une issue par le dialogue entre le président [congolais Félix] Tshisekedi et le président [rwandais Paul] Kagame pour pouvoir mettre en place un plan de retrait total de ces troupes du M23 du territoire congolais.Est-ce que vous demandez aussi le retrait des troupes rwandaises ? Oui, oui, absolument. Il y a un principe qui est absolument essentiel en la matière, c'est le principe du respect de la souveraineté territoriale de la République démocratique du Congo. Le Kivu est un territoire congolais et, effectivement, les troupes étrangères doivent quitter la zone du Kivu.L'Allemagne vient de suspendre son aide au développement du Rwanda. Est-ce que la France envisage de réduire elle aussi son aide, voire de décider des sanctions contre le Rwanda ?Pour le moment, il n'y a pas de décision qui a été prise formellement, ni en termes d'aide publique au développement. S'agissant des sanctions, vous savez que ce sont des décisions qui se décident soit à l'ONU, soit au niveau de l'Union européenne. Donc, c'est une discussion que nous devons avoir à Bruxelles, avec nos partenaires européens, et aux Nations unies, avec l'ensemble des États qui sont représentés au Conseil de sécurité. L'objectif de la France est clair. Après, les moyens qui seront déployés pour permettre d'atteindre une solution diplomatique, c'est ouvert.En novembre dernier, l'Union européenne, avec un avis favorable de la France, a accordé une nouvelle enveloppe de 20 millions d'euros à l'armée rwandaise pour financer sa projection au Mozambique. Alors du coup, le Congo est en colère. Il ne comprend pas comment vous pouvez soutenir une armée qui viole ouvertement le droit international…Mais en l'espèce, spécifiquement sur le sujet que vous citez, c'est une aide qui a été apportée au Rwanda dans le cadre d'une opération de lutte contre le terrorisme au Mozambique. Donc, ça semble être totalement justifié.C'est aujourd'hui que les militaires français quittent le Tchad, après 65 ans de présence quasi continue dans ce pays. Est-ce qu'on peut parler d'un déclin de l'influence française en Afrique ? Alors, je ne poserai pas la chose comme cela. La fermeture de la base qui a lieu aujourd'hui au Tchad est le fruit d'un dialogue que nous avons eu avec les autorités tchadiennes. Donc il y a eu avec le Tchad une discussion, assez constructive d'ailleurs, dans le cadre effectivement d'un redimensionnement du dispositif français. La fermeture de la base en est donc en fait la conséquence assez logique.Maintenant, ce n'est absolument pas la fin de la coopération avec le Tchad en matière militaire, mais aussi, d'une manière plus générale, de la coopération bilatérale avec le Tchad, que ce soit l'aide publique au développement, que ce soit la coopération économique, que ce soit la coopération culturelle, les échanges d'étudiants.Enfin, tout cela n'est pas remis en cause, bien au contraire. Il s'agit simplement d'un redimensionnement de notre dispositif militaire. Donc la fermeture de la base qui a lieu aujourd'hui est l'aboutissement assez naturel de ce dialogue que nous avons eu avec les autorités tchadiennes.Il y a un mois, Le président français a regretté « l'ingratitude » de plusieurs pays africains où des militaires français sont intervenus et, pour certains, ont perdu la vie. « Ils ont oublié de nous dire merci », a regretté le président à propos de ces pays. « Ce sont des déclarations humiliantes et inacceptables », a répondu le ministre tchadien des Affaires étrangères. Qu'en pensez-vous ? Je pense que le président de la République faisait expressément référence aux opérations qui ont été déployées dans certains pays du Sahel à la demande de ces États.Vous pensez au Mali ?Alors, les opérations Barkhane et Serval, je pense notamment au Mali effectivement, où des opérations extérieures françaises ont été déployées, encore une fois à la demande de ces pays, c'était en 2013. Les troupes françaises ont été déployées. Elles ont permis de lutter assez efficacement contre le terrorisme. La France a perdu dans ces opérations 58 soldats français et je pense que c'est à cela que faisait référence le président de la République.Ce n'était pas une critique qui s'adressait aux Tchadiens qui, pour le coup, n'étaient pas concernés par ces opérations. Encore une fois, je pense qu'il faut être assez précis dans la situation et ne pas mélanger les choses. Les mots du président de la République concernaient expressément ces opérations Barkhane et Serval qui ont été déployées par la France. Encore une fois, à la demande des pays concernés.
Episode vertigineux ! On s'est totalement emballé avec le plastique, mais pas celui que vous pensez ! Un épisode sensass pour découvrir ce qu'on ignore et que pourtant nous devons savoir pour faire les bons choix pour nous.Je ne connaissais pas Nathalie Gontard pas avant de lire votre livre qui a radicalement changé ma vision des choses. https://www.inrae.fr/actualites/nathalie-gontard-lemballadeuse> Les chapitres de l'épisode : 0:00 - Introduction5:30 - La chaîne de vie du plastique7:37 - Le comportement du matériau plastique dans notre écosystème14:02 - La vraie pollution plastique18:44 - L'empreinte plastique 33:34 - Questionner notre rapport au temps38:08 - La fausse idée du recyclage du plastique44:05 - La production du plastique48:10 - Les nouvelles habitudes face au plastique52:14 - La définition du beau54:53 - La collaboration entre la création et la science54:53 - La collaboration entre la création et la science1:00:43 - La notion du biodégradable
Le premier multiplex à 18 machs de l'histoire de la LDC aura souri aux clubs français. Et la suite s'annonce encore plus folle.
Ta to-do list est plus qu'une simple liste de tâches. C'est un outil de gestion, de priorisation, et de planification. Je le vois trop souvent mal utilisé, alors que son potentiel est énorme. Si tu as du mal à lutter contre la surcharge de tâches au quotidien, cette vidéo va définitivement t'aider à mieux structurer ton temps disponible. Éviter ces erreurs courantes te permettra de maximiser l'efficacité de ta to-do list et, par conséquent, d'optimiser ton temps et tes résultats. —
Dans cet épisode, je te partage une sélection de romances qui vont te faire vibrer, rêver, et peut-être même pleurer !!Que tu sois fan des romcoms légères, des histoires passionnées avec des bad boys, ou des romances où les héros doivent surmonter des blessures profondes, tu vas forcément trouver ton bonheur.Au programme : des couples explosifs qui passent de la haine à l'amour, des triangles amoureux qui te tiennent en haleine, des héros ultra protecteurs qui te feront fondre, et même des twists qui te laisseront sans voix. On commence par des lectures accessibles (parfaites pour se lancer en anglais), avant de monter crescendo vers une histoire qui va te bouleverser avec son intensité et ses émotions brutes.Prépare-toi à découvrir des histoires captivantes, à tomber amoureuse de personnages inoubliables, et à remplir ta pile à lire avec des tropes qu'on adore : enemies-to-lovers, friends-to-lovers, slow burn, dark romance, second chance… et bien plus encore.enjooooy bb
Le travail au bureau est déjà mort.L'ère du digital a créé toute une économie basée sur le monde numérique. Les métiers derrière un bureau se sont multipliés mais l'IA est en train de tout disrupter.La fin des SaaS ? Des PowerPoints et des “bullshit jobs” ?Shubham Sharma est ingénieur de formation et geek dans l'âme. Ses 200k abonnés sur YouTube le suivent pour découvrir comment le NoCode peut améliorer leur quotidien et les rendre plus libres.Pape de l'automatisation, il partage ses meilleures stratégies pour retrouver le contrôle de nos vies numériques tant pro que perso.Shubham apporte une incroyable valeur ajoutée dans chacune de ses vidéos et formations. Résultat : il change la vie de milliers de personnes en démystifiant la tech et le code.On explore :Le potentiel des agents IA en 2025, et la disparition des SaaSPourquoi apprendre à coder est encore importantLes automatisations qui vous rendront libresGuide d'initiation pour utiliser Notion, Make et ZapierComment atteindre l'Inbox ZéroPourquoi et comment se lancer sur YouTubeUn épisode clef pour retrouver sa liberté en gagnant du temps. Absolument crucial pour ne plus rester spectateur de la révolution IA, mais en devenir acteur.PS : J'ai négocié pour vous le code promo 'DOIT' qui vous permettra de bénéficier de 30% de réduction sur les formations de Shubham.Shubham a créé un petit quiz pour tester vos connaissances à la fin de l'épisode : https://lnkd.in/gmtiAJK2 (partagez-nous votre score en commentaire sur le post Insta).TIMELINE:00:00:00 : Le travail au bureau est déjà mort (et c'est bien)00:14:37 : Pourquoi les grandes entreprises sont si lentes pour adopter l'IA00:22:53 : Comment bien "geeker” jusqu'à faire des projets immobiliers00:34:06 : Utiliser l'IA pour décupler sa productivité00:45:18 : Les automatisations qui changent TOUT00:53:56 : Le potentiel des agents IA00:59:33 : Pourquoi il faut apprendre à coder en 202501:07:21 : La fin de l'ère des SaaS (software as a service)01:12:40 : Comment ne pas être remplacé par une IA (disparition des "jobs à la con”)01:22:20 : Commencer dès aujourd'hui à utiliser les automatisations dans sa vie pro01:28:48 : Comment devenir un ninja de Notion et Zapier01:37:15 : Se lancer sur YouTube et rester éthique face aux “influvoleurs”01:54:51 : La première vidéo à faire quand on se lance sur YouTube02:06:38 : L'Inde : pays de la débrouillardise et de la technologie02:15:24 : N'attendez pas pour vous lancerLes anciens épisodes de GDIY mentionnés :Marc Fiorentino - MonFinancier.com - la dure transition de Trader à EntrepreneurJulie Chapon - Yuka - Se lancer aux US grâce à TikTokNous avons parlé de :Shubham Sharma sur YouTubeLe site de Shubham et ses formationsCombien ça gagne (avec Clémence Lepic)L'étincelleNotionNoCode Summit 2024Matt WolfeNotebookLMLe document de Mr BeastMakePerplexityGammaVidéo sur l'Inbox zéroIFTTT : if this, then that, c'est-à-dire « Si ceci, alors cela »ZapierEric Schmidtz chez Diary of a CEOÇa vaut le coup ? calculateur en ligneMistral AIGaryVeeLa MartingaleLes recommandations de lecture : The Art of Exceptional LivingVous pouvez contacter Shubham sur Linkedin, Instagram.La musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.