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77% des femmes salariées sont régulièrement confrontées à des propos ou des décisions sexistes. C'est ce que révèle le baromètre 2025 du sexisme ordinaire au travail, une étude réalisée par l'Association française des managers en partenariat avec l'institut de sondage Ipsos. Depuis 2018, initiative #StOpE pilotée par cette association vise à mutualiser les énergies pour lutter contre le sexisme ordinaire en entreprise. Selon les résultats de l'étude, les entreprises montrent de plus en plus d'engagement, mais les comportements sexistes restent profondément ancrés dans le monde professionnel. Qu'est-ce que le sexisme ordinaire en entreprise ? Comment lutter contre ? Que faire si je suis victime ou témoin ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le syndrome du grand coquelicot, qui discrimine les femmes au travail ? Les femmes sont-elles vraiment plus émotives que les hommes ? Sexisme : comment internet creuse-t-il les inégalités hommes femmes ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:28:28 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Frédéric Pierrot n'a jamais vraiment lâché la clarinette qu'il a commencé à apprendre, seul, à l'adolescence ; avec "Les Musiciens" de Grégory Magne, l'acteur remet un pied dans les croches et les notes avec son rôle de compositeur. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Frédéric Pierrot Comédien
Tous les matins, à 6H10 et 8H40, c'est les Sondages du matin.
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Le mal de l'époque : les aliments ultra-transformés, que l'on ne devrait pas consommer car ils sont responsables de nombreuses maladies "nutritionnelles" : obésité, diabète, accidents cardiaques... Mais ils sont partout ! Comment les reconnaître et... comment les éviter ? Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi on devrait arrêter de dire « oh lui je l'ai toujours su » ou « pourtant lui il était si gentil »? Un podcast Bababam Originals Ecrit par Hélène Vézier Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Vous ne vous reconnaissez pas dans ce qu'on dit de la sensibilité ? Ou au contraire, trop sensible pour fonctionner dans ce monde ?Vous avez l'impression que seule l'hypersensibilité mérite d'être prise au sérieux ?Vous avez du mal à comprendre en quoi la sensibilité est un SUPER-POUVOIR ?On parle souvent de sensibilité de manière confuse : soit on la caricature, soit on l'invisibilise.Et au milieu, beaucoup de femmes passent à côté d'une ressource intérieure immense, simplement parce qu'elles ne savent pas la reconnaître.Dans cet épisode, on explore les 3 formes principales de sensibilité et en quoi ces sensibilités — toutes — sont des portes d'accès à 3 super-pouvoirs.✨ Écoute cet épisode pour :faire le point sur ta forme de sensibilité dominante et apprendre à la repérercomprendre pourquoi ta sensibilité n'est pas un obstacle, mais un levierdécouvrir les trois super-pouvoirs de la sensibilité… et comment les activer chaque jourEt tu découvriras pourquoi j'ai créé L'Étoile, mon nouveau programme qui vous guide pas à pas pour transformer votre sensibilité en force d'action, d'expression et de création.
Imaginez une nuit glaciale. Deux hérissons cherchent à se rapprocher pour se réchauffer. Mais dès qu'ils s'approchent trop, leurs piquants les blessent. Ils s'éloignent, puis tentent à nouveau de se rapprocher, sans jamais trouver la distance idéale. Cette métaphore, formulée par le philosophe Arthur Schopenhauer au XIXe siècle, illustre le paradoxe des relations humaines : notre besoin de proximité se heurte à la peur de la souffrance que cette proximité peut engendrer.Sigmund Freud a repris cette image pour décrire la complexité des relations humaines. Plus nous nous rapprochons des autres, plus nous devenons vulnérables. Cette vulnérabilité peut entraîner des blessures émotionnelles, des conflits ou des rejets. Pour se protéger, certains choisissent de s'isoler, évitant ainsi le risque de souffrir, mais se privant également de la chaleur des relations humaines.Une étude menée par Jon Maner et ses collègues en 2007, publiée dans le Journal of Personality and Social Psychology, a exploré ce phénomène. Les chercheurs ont découvert que les personnes ayant vécu une exclusion sociale étaient plus enclines à rechercher de nouveaux liens sociaux. Cela suggère que, malgré la peur de la blessure, le besoin de connexion reste fondamental.Cependant, cette recherche de lien peut être entravée par des mécanismes de défense. Par exemple, une personne ayant été blessée dans le passé peut éviter de s'engager à nouveau, par crainte de revivre la même douleur. Ce comportement, bien que protecteur à court terme, peut conduire à une solitude prolongée et à un isolement émotionnel.Le dilemme du hérisson nous rappelle que l'intimité comporte des risques, mais que l'isolement n'est pas une solution durable. Trouver un équilibre entre proximité et protection est essentiel. Cela implique de développer une communication ouverte, de poser des limites saines et de cultiver la confiance en soi et en l'autre.En somme, le dilemme du hérisson illustre la tension entre notre désir de connexion et notre peur de la souffrance. Reconnaître cette tension et apprendre à naviguer entre ces deux pôles peut nous aider à construire des relations plus épanouissantes et authentiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les arnaqueurs sont de plus en plus méticuleux. Si à une époque, les personnes âgées étaient les premières cibles des tentatives d'escroqueries, aujourd'hui, tout le monde peut tomber dans le panneau, même les plus avertis ! Aujourd'hui, on s'attèle à reconnaitre un site miroir, un type d'escroquerie qui ne cesse de se multiplier. C'est tout simplement une copie exacte d'un site web déjà existant. Généralement, il est créé dans le but de fournir une alternative ou une sauvegarde au site principal. Mais parfois leur utilisation est détournée. Les escrocs vont ainsi tenter de tromper les utilisateurs en se faisant passer pour un site authentique et officiel, souvent dans le but de récupérer des informations personnelles et financières. Qu'est-ce qu'un site miroir ? Comment savoir si un site est authentique ? Et si je repère un site miroir, que faire ensuite ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. Première diffusion : 14 mars 2024. À écouter aussi : Quelles sont les premières causes de décès en France ? Comment renouveler ses papiers d'identité plus vite ? Pourquoi le CDI n'attire plus les jeunes ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
70% des professionnels se sentent comme des imposteurs... Et si on déjouait ensemble ce syndrome ?
Dans un épisode précédent de Maintenant vous savez, nous vous parlions des pervers narcissiques, ces personnalités à tendance manipulatrices. Elles infligent tout un tas de comportements toxiques à leur cible et se placent dans le rôle de victime. D'abord, ils sont souvent à l'origine de l'agression, comme l'explique la Coach spécialiste de l'emprise Agnès de Reulle, dans un billet de blog sur le site Les Mots Positifs. Mais en plus, cette relation agresseur-victime ne se situe pas toujours qu'entre deux personnes. Il peut y avoir une troisième figure dans cette dynamique, celle du complice. Qui sont les flying monkeys et d'où vient ce nom ? Comment éviter de devenir complice d'un pervers narcissique ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. À écouter aussi : Comment reconnaître une amitié toxique ? Qu'est-ce que la positivité toxique ? Qu'est-ce qu'un pervers narcissique ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 12 /02/2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Il se fit reconnaître par eux à la fraction du pain (Lc 24, 13-35)Méditation par Mgr Emmanuel Gobillard Chant Final : "Reste avec nous ressuscité" de la Communauté de l'EmmanuelDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il se fit reconnaître par eux à la fraction du pain (Lc 24, 13-35)Méditation par Mgr Emmanuel Gobillard Chant Final : "Reste avec nous ressuscité" de la Communauté de l'EmmanuelDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marion Du B' est l'invitée du 192ème épisode du podcast C'est quoi le bonheur pour vous? Oser parler de santé mentale, briser les tabous. On parle souvent de santé mentale comme si cela concernait uniquement « les autres ». Mais pour Marion Du B', c'est une réalité intime, un combat parfois invisible qu'elle a choisi de mettre en lumière. Une interview passionnante pour vous donner un avant-goût de la conférence de Marion qui se tiendra le 12 juillet au 2ème congrès C'est quoi le bonheur pour vous? à Arcachon. La billetterie est ouverte ! Pour prendre vos places c'est ici https://congres.cestquoilebonheur.fr/ Autrice, conférencière et accompagnante, Marion partage son parcours avec sincérité : derrière ses livres et ses stages, il y a une femme hypersensible, marquée par son enfance, qui doit parfois lutter pour avancer. Une famille aimante, un métier passionnant, une vie alignée… et pourtant, des jours où tout semble plus lourd. Parce que la santé mentale n'est pas une destination, mais un chemin semé de tempêtes et de victoires, Marion a fait le choix de la vérité. Dans cette conférence, elle ouvre un espace où chacun peut dire « moi aussi », sans honte ni peur. Reconnaître sa souffrance, ce n'est pas être faible, c'est être humain. Et ensemble, comme Julien Peron l'incarne à travers ses engagements, nous pouvons choisir le bonheur. Marion Du B' est auteure de la saga LA THÉRAPIE PAR LE RIRE, 7 romans qui font du bien par le biais de l'humour et qui abordent des thèmes sérieux et profonds tels que l'hypersensibilité, le burnout, la résilience et le deuil, le pardon inconditionnel, la gratitude et le bonheur, la construction identitaire, les relations toxiques, le regard de l'autre, les traumas et agression physique et psychologique… des romans qui sont recommandés par les psychologues et thérapeutes, vendus partout en France. Marion est également fondatrice des éditions Chafouine et conférencière en milieu scolaire et professionnels depuis 2020. Elle accueille et propose désormais des stages de libération émotionnelle par l'écriture dans sa maison, dans le sud des Landes, à 10min de l'océan. Pour en savoir plus : www.mariondub.fr
Donnez-moi votre feedback par SMS (mobile uniquement)!Le leadership transformationnel possède quatre dimensions:Influence Idéalisée (II): modèle, confiance, admiration (épisode 272)Motivation Inspirante (MI): motivation, vision ou direction claireStimulation Intellectuelle (SI): créativité, innovation, remise en question, implicationConsidération Individualisée (CI): intérêt sincère, développement personnel et professionnel des collabs, mentorat, encadrement individualiséQue veut dire cette dimension?La motivation inspirante (MI) est une dimension du leadership transformationnel où les leaders motivent et inspirent leurs subordonnés en communiquant une vision claire et inspirante pour l'avenir de l'organisation. Ils utilisent des symboles et des gestes pour renforcer cette vision et encourager les équipes à dépasser leurs attentes et à atteindre des objectifs ambitieux.Exemples de personnages célèbresWinston ChurchillAragorn (personnage fictif du Seigneur des Anneaux)Malala YousafzaiChapitre 3: Outils et pratiques de la motivation inspirante(voir l'épisode et l'article sur la motivation au travail)Communiquer une vision claire et inspirante:Formulez une vision qui est alignée avec les valeurs et les objectifs de l'organisationUtiliser des symboles, des gestes, des métaphores pour renforcer la vision. Impliquez les membres de l'équipe dans le processus de réalisation de la vision.Reconnaître et célébrer les succès, cela renforce la motivation et l'engagement des équipes.Utiliser des discours inspirants:Préparer soigneusement les discours: mettez l'accent sur les points clés de la vision et en utilisant des anecdotes et des exemples inspirants.Adaptez le ton et le style de vos discours en fonction du public et de la situation.Montrez votre passion et votre enthousiasme pour la vision.Profitez des occasions, et en particulier des difficultés, pour rappeler la vision par des discours simples et percutantsEncourager le réalisme:Promouvoir une attitude réaliste: voyez les obstacles, faites front commun, montrez l'exemple en surmontant les défis avec détermination.Offrez un soutien émotionnel aux membres de l'équipe. Écoutez leurs préoccupations et encouragez-les à persévérer malgré les difficultés.Aidez les membres de l'équipe à développer leur résilience en leur fournissant des outils et des ressources pour surmonter les obstacles. Encouragez-les à voir les difficultés comme des opportunités de croissance et de développement.Quelles sont les limites de la motivation inspirante?Risque de surmenageDérives possiblesDéconnexion entre la vision et la réalitéCes deux premières dimensions (influence idéalisée et motivation inspirante) forment le "leadership charismatique". Il peut avoir mauvaise presse parce qu'il permet la manipulation et la violence psychologique s'il est mal utilisé ou utilisé à des fins néfastes. Il faut nécessairement lui ajouter la stimulation intellectuelle et la considération individualisée. Accès gratuit à toutes nos ressources: www.coapta.ch/campusAccès aux archives du podcast: www.coapta.ch/podcast© COAPTA SàrlTous les épisodes disponibles sur www.coapta.ch/podcast ou sur votre plateforme préférée (Spotify, Apple Podcasts, Google Podcasts); cherchez "Leadershift" ou "Vincent Musolino" Faites partie de notre communauté sur le Discord officiel COAPTA!
Vous vous demandez comment devenir plus intelligent, éviter les pièges cognitifs et prendre de meilleures décisions ? Dans cet épisode best‑of, j'ai rassemblé pour vous les meilleurs extraits de mes conversations avec des experts mondiaux de la neuroscience et de la prise de décisions :Albert Moukheiber – Découvrez ce qu'est l'illusion du savoir et les 4 réflexes simples pour aiguiser votre pensée critique.Olivier Sibony – Apprenez sa méthode REF pour structurer vos décisions et savoir quand (et comment) faire confiance à votre intuition.Hélène Lee Bouygues – Pourquoi et comment développer le raisonnement critique dès l'enfance, à l'école comme à la maison.Fabien Olicard – Sa méthode inédite pour apprendre plus vite, sans stress, et mieux retenir l'essentiel.En à peine 1h, vous allez apprendre à :Reconnaître vos biais cognitifs et vos faux-savoirsChallenger vos certitudes et renforcer votre pensée critiqueInstaller des routines pour une prise de décision claire et alignéeApprendre plus efficacement, à tout âge
Dans cet épisode, je me penche sur un sujet qui me tient à cœur : le burnout. Ayant frôlé le burnout il y a 2 ans, je partage mon expérience personnelle et les stratégies qui m'ont aidé à l'éviter. Le burnout, contrairement aux idées reçues, ne nous tombe pas dessus soudainement ; il s'installe petit à petit, mais la bonne nouvelle, c'est qu'on peut agir. Avec 10 à 12 % des salariés touchés, comprendre comment l'éviter est crucial.Dans cet épisode, je vous détaille les cinq stratégies éprouvées pour prévenir le burnout :Reconnaître les signaux faibles, comme la fatigue matinale persistante, l'irritabilité ou la perte de motivation.Instaurer des limites claires entre vie professionnelle et personnelle.Cultiver un réseau de soutien pour discuter ouvertement du sujet.Prendre soin de sa santé physique par de petites actions quotidiennes.Utiliser des techniques de relaxation et de méditation pour gérer le stress.Je vous invite à écouter pour découvrir ces stratégies concrètes, applicables dès maintenant. Ensemble, explorons comment préserver notre bien-être et éviter le burnout.
N'étant pas considéré comme une maladie professionnelle, le burn-out ou syndrome d'épuisement professionnel, est difficile à quantifier. Selon l'Institut de veille sanitaire, 480 000 salariés français seraient en souffrance psychique liée au travail, dont 7 % en burn-out. Comment le prévenir ? Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 15 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Arrivé deuxième à la présidentielle gabonaise avec 3,02% des suffrages, Alain-Claude Bilie-By-Nze, plus farouche opposant au général Oligui, a reconnu sa défaite, mais pointé les conditions "opaques et contestables" de la victoire de son adversaire.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:48 - L'info d'ici, ici Gascogne - D'ici à 2050, le nombre de personnes atteintes de Parkinson aura doublé. Cette maladie neurodégénérative touche plus particulièrement les seniors mais elle peut être diagnostiquée à partir de 40 ans. "ici Gascogne" a rencontré Floriane, une Landaise dépistée à l'âge de 58 ans.
Dans cet épisode, Joël propose cinq stratégies essentielles pour transformer vos rencontres d'équipe en leviers d'impact organisationnel. Apprenez à : ✅ Identifier les bonnes personnes autour de la table ✅ Créer un ordre du jour dynamique et pertinent ✅ Encourager des échanges authentiques (même les désaccords) ✅ Reconnaître que le silence parle fort ✅ Clarifier les décisions pour mieux les concrétiser
A 10h, ce jeudi 10 avril 2025, les GG : Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, Charles Consigny, avocat, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : "La prise de position d'Emmanuel Macron sur la reconnaissance d'un État palestinien".
« Tout le monde est pour, à condition que [les Palestiniens] reconnaissent le droit d'Israël à exister », estime l'écrivain et éditorialiste Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bonjour à tous et bienvenue dans ce 23ème épisode de "Potentiel 2 Manager". 80 % des professionnels disent avoir déjà travaillé avec un collègue toxique.Dans cet épisode solo, je vous propose des clés concrètes pour repérer et gérer ces comportements, sans tomber dans la généralisation.
La volte-face de Donald Trump : Tout le monde retourne à 10 pourcents de droits de douane pour 3 mois, sauf la Chine La Belgique pourrait-elle reconnaître un état palestinien ? 107 étudiants libérés en Turquie La liste des films sélectionnés à Cannes : Les frères Dardenne sont sélectionnés Situation de plus en plus catastrophique à Gaza : Gaza est un champ de mort Adolescence, série d'utilité publique Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emmanuel Macron a annoncé vouloir reconnaître un État palestinien dès le mois de juin malgré la poursuite des combats dans la bande de Gaza.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Reconnaître un infarctus en phase précoce grâce à l'IRM, vérifier la bonne santé d'un bébé par échographie, dépister un cancer du sein via une mammographie… L'imagerie médicale permet de diagnostiquer une maladie, de la suivre et même de la soigner. Existe-t-il des maladies pour lesquelles le diagnostic repose exclusivement sur un examen d'imagerie médicale ? Dr Julien Savatovsky, neuroradiologue, chef du service imagerie de l'hôpital Fondation Rothschild Retrouvez l'émission en intégralité iciImagerie médicale : diagnostic, suivi et traitement des maladies
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ensemble, ils reviennent sur la déclaration du Président Emmanuel Macron, qui a annoncé ce mercredi que la France pourrait prochainement reconnaître un Etat palestinien durant une conférence qu'elle coprésidera avec l'Arabie Saoudite à New York.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emmanuel Macron a annoncé vouloir reconnaître un État palestinien dès le mois de juin malgré la poursuite des combats dans la bande de Gaza.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Reconnaître un infarctus en phase précoce grâce à l'IRM, vérifier la bonne santé d'un bébé par échographie, dépister un cancer du sein via une mammographie… L'imagerie médicale permet de diagnostiquer une maladie, de la suivre et même de la soigner. Cependant, ces nouvelles techniques de pointe ne sont pas toujours accessibles partout dans le monde. Comment l'imagerie fonctionne-t-elle ? Dans quels cas est-elle indispensable et à l'inverse, peut-elle être contre-indiquée ? Quelles sont les dernières avancées en matière d'imagerie médicale ? Quelle est la place de l'intelligence artificielle actuellement dans ce secteur ? Comment améliorer l'accès aux examens essentiels d'imagerie ? Dr Julien Savatovsky, neuroradiologue, chef du service imagerie de l'hôpital Fondation Rothschild Pr Ali Coulibaly, radiologue et chef du service d'imagerie médicale du CHU d'Angré à Abidjan. Professeur titulaire de radiodiagnostic et imagerie médicale à l'UFR des sciences médicales de l'Université Félix Houphouët-Boigny à Abidjan en Côte d'Ivoire Un reportage de Louise Caledec au centre d'imagerie numérique CSE (Centre de sénologie et d'échographie), à Paris, sur les évolutions de l'imagerie dans le dépistage des maladies du sein. Programmation musicale :► Gabriella Lima – Meu lugar ► Gyedu blay Ambolley – Who Made Your Body Like Dat
Reconnaître un infarctus en phase précoce grâce à l'IRM, vérifier la bonne santé d'un bébé par échographie, dépister un cancer du sein via une mammographie… L'imagerie médicale permet de diagnostiquer une maladie, de la suivre et même de la soigner. Cependant, ces nouvelles techniques de pointe ne sont pas toujours accessibles partout dans le monde. Comment l'imagerie fonctionne-t-elle ? Dans quels cas est-elle indispensable et à l'inverse, peut-elle être contre-indiquée ? Quelles sont les dernières avancées en matière d'imagerie médicale ? Quelle est la place de l'intelligence artificielle actuellement dans ce secteur ? Comment améliorer l'accès aux examens essentiels d'imagerie ? Dr Julien Savatovsky, neuroradiologue, chef du service imagerie de l'hôpital Fondation Rothschild Pr Ali Coulibaly, radiologue et chef du service d'imagerie médicale du CHU d'Angré à Abidjan. Professeur titulaire de radiodiagnostic et imagerie médicale à l'UFR des sciences médicales de l'Université Félix Houphouët-Boigny à Abidjan en Côte d'Ivoire Un reportage de Louise Caledec au centre d'imagerie numérique CSE (Centre de sénologie et d'échographie), à Paris, sur les évolutions de l'imagerie dans le dépistage des maladies du sein. Programmation musicale :► Gabriella Lima – Meu lugar ► Gyedu blay Ambolley – Who Made Your Body Like Dat
durée : 00:02:24 - C'est mon boulot - Un salarié qui utilise ChatGPT a-t-il intérêt à le dire à son manager ? Et s'il ne le fait pas, quels sont les risques et les pertes pour l'employeur ? Une étude d'HEC s'est penchée sur le sujet.
As-tu déjà voulu faire quelque chose (et même en avoir envie) sans pour autant le faire ? Comme si tu subissais 100% de ton propre comportement ? Si oui, tu n'es VRAIMENT PAS SEULE.J'en parle dans ce nouvel épisode de podcast. A la fois pour - Reconnaître tes propres stratégies d'évitement- Les questionner et les comprendre- Les dépasser pour enfin reprendre le contrôle sur tes actionsBonne écoute et surtout : prenez le temps de t'écouter avec bienveillance et indulgence parce que c'est déjà suffisamment inconfortable d'avoir l'impression d'être victime de soi-même.PS : tu peux candidater jusqu'à ce dimanche pour rejoindre l'Aventure BOUM via ce lien : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSdmVlGQM3FLDlZaU3n6wiYv4cs80dRO2WVBPQ0p2Nk1pO_SAQ/viewform?usp=preview……..……..Retrouve-moi sur Instagram : https://www.instagram.com/doublehoppe/……..……..Si tu aimes cet épisode, n'hésite pas à le partager en story ou avec tes proches en me taguant, et pourquoi pas, à laisser 5 étoiles & un commentaire sur Apple Podcast – ça met du vent dans mes voiles. #DoubleHoppe #StratégieDévitement #PodcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je t'aide à créer plus de sérénité et de temps dans ton business :5 mois pour organiser et structurer ton business, raccourcir tes journées et ne plus te sentir débordé.e ⚡️Clique ici pour en savoir plus_Comment arrêter d'être perfectionniste pour enfin gagner en confiance et avancer ? Je te partage mes meilleurs conseils de perfectionniste en rémission et je te donne 3 clés pour te libérer du perfectionnisme. Après cet épisode, tu sauras : 1. Reconnaître quand tu tombes dans le piège du perfectionnisme 2. Identifier les peurs qui se cachent derrière ton perfectionnisme 3. Ce que tu peux faire concrètement pour te libérer de ton perfectionnismeBonne écoute !_Je t'aide à créer plus de sérénité et de temps dans ton business :5 mois pour organiser et structurer ton business, raccourcir tes journées et ne plus te sentir débordé.e ⚡️Clique ici pour en savoir plus sur le coaching
Cet épisode est tiré de ma newsletter (à laquelle vous pouvez vous abonner ici bien sur et est disponible intégralement en vidéo sur la chaine Youtube :)La semaine dernière, je discutais avec un ami de longue date, père de deux garçons adolescents. La voix incertaine, il m'a confié : "Je ne sais plus quoi leur dire. Comment être un homme aujourd'hui ? Quels conseils leur donner quand moi-même je n'y comprends plus rien ?" Son désarroi m'a profondément touché, car il résonne avec une question que je me pose depuis l'adolescence : qu'est-ce qu'être un homme dans notre société ?Est-il encore possible d'incarner une masculinité qui ne soit ni toxique ni effacée ? Comment naviguer entre les attentes contradictoires qui bombardent les hommes quotidiennement ? Et surtout, pourquoi est-il devenu si difficile de simplement être soi-même ? Est-ce que cela signifie même quelque chose ?La confusion règne partout. La bouleversante série "Adolescence" sur Netflix nous plonge dans la réalité de jeunes garçons perdus, tiraillés entre les modèles masculinistes qui prolifèrent sur les réseaux sociaux et une société qui condamne - à juste titre - les comportements toxiques. Pendant ce temps, l'affaire Gérard Depardieu révèle nos incohérences collectives : comment comprendre qu'un comportement de prédateur puisse encore être défendu au nom du "génie artistique", y compris par des figures féminines respectées ? De manière anecdotique, j'écris cette newsletter alors que simultanément j'observe de jeunes adolescents simuler une bagarre et jouer à la loi du plus fort.Dans ma propre histoire, des femmes m'ont parfois qualifié de "trop sensible" ou "tellement fragile" pour avoir simplement exprimé mes ressentis avec vivacité. Ces expériences m'ont amené à m'interroger profondément : notre société sait-elle ce qu'elle attend des hommes ? Savons-nous, en tant qu'hommes, ce que nous voulons être ?Cette confusion n'est pas seulement théorique - elle se manifeste dans nos comportements quotidiens, dans nos relations, dans notre façon d'élever nos enfants. Elle a des conséquences réelles sur la santé mentale des hommes, sur les dynamiques de couple, sur l'éducation des garçons qui tentent désespérément de trouver des repères dans ce brouillard identitaire. Les modèles masculins manquent cruellement : les pères sont souvent absents, les films & séries sont caricaturaux et les algorithmes des réseaux sociaux avantagent les avis extrêmes.J'observe des hommes qui, comme des caméléons, changent de personnalité selon qu'ils cherchent à séduire, à impressionner leurs pairs masculins, ou à répondre aux attentes contradictoires de la société.La masculinité est devenue un champ de mines - un pas trop appuyé vers la virilité et vous êtes un dinosaure toxique; un pas trop léger et vous êtes invisible, insignifiant. Ce numéro d'équilibriste épuise des générations entières d'hommes qui ne savent plus qui ils sont censés être.Aujourd'hui, je plonge sans retenue dans cette question explosive : qu'est-ce qu'être un homme au XXIe siècle, quand personne – ni les hommes, ni les femmes, ni la société – ne semble capable de formuler une réponse cohérente ?Mon histoire d'homme un peu perduParadoxalement, pour un homme, parler de masculinité reste compliqué. On craint de dire une bêtise, de ne pas être légitime. J'avais d'ailleurs expliqué à Angelo Foley cette « peur d'être un homme » sur son podcast il y a quelques années. Mais aujourd'hui, je me sens plus légitime que jamais pour mettre les deux pieds dans le plat.Mon histoire personnelle offre peut-être quelques clés de compréhension. Enfant, j'avais un père pompier de Paris, musclé et "viril" – une sorte de super-héros. Mais un super-héros chroniquement absent, qui ne prenait pas de temps pour ses enfants. Commercial avec le Maghreb, il était souvent en voyage et par ailleurs, il ne nous a pas beaucoup accompagné, pas appris à faire du vélo, pas joué avec nous. Il était un excellent bricoleur mais chaque fois qu'on essayait de l'aider et d'être curieux, il nous rejetait en nous disant que nous étions des incapables…Ce n'était pas nécessairement méchant mais juste réaliste, on lui faisait perdre du temps, très basique.Si je partage cela, c'est parce que je ne crois pas être le seul homme à avoir eu un père absent et donc un manque d'amour inconscient et surtout un père aimant et gentil mais loin de la paternité idéale.Il nous a quitté il y a 9 ans et je n'ai pas eu l'occasion de parler de cela avec lui malheureusement.Il y a d'autres sujets que j'ai abordé avec lui, j'y reviendrais peut-être.En parallèle, ma mère avait arrêté de travailler pour s'occuper de mon frère et moi. J'ai passé de très nombreuses journées dans le jardin de la cité, à écouter les conversations de ma mère et ses amies pendant des années.C'est peut-être de là que vient mon appétence pour les femmes, les conversations profondes, et ma facilité à m'entendre avec elles.J'ai grandi avec une bande de garçons et adolescent, nous trainions et faisions les 400 coups et beaucoup de skateboard. Mais mon caractère s'est véritablement ancré vers 13-14 ans, quand je me suis lié d'amitié avec Émilie. Ma première meilleure amie.Nous nous écrivions, nous nous appelions jusqu'à rendre fous nos parents respectifs.Quand ils en avaient assez, j'allais dans la cabine téléphonique du quartier (ceux qui savent, savent…) pour poursuivre nos échanges. Cette relation – parfaitement platonique puisqu'elle était la petite amie de mon meilleur ami – avait une profondeur incomparable avec les discussions entre garçons. Elle a nourri en moi une sensibilité qui ne demandait qu'à éclore.Depuis lors, mes amitiés sont très majoritairement féminines. Elles représentent sans doute 90% de mon entourage proche.On qualifie la sensibilité, l'écoute, et la vulnérabilité de valeurs féminines, pourtant, elles ne sont pas des qualités genrées – elles sont simplement humaines. Marque de notre société, et de manière très curieuse, même aujourd'hui, je ressens le besoin de préciser que j'ai toujours été attiré sexuellement par les femmes. Comme si une petite voix m'imposait cette clarification, de peur que vous ne fassiez d'autres suppositions. Preuve que les préjugés ont la peau dure, même à l'intérieur de moi-même.J'ai conscience que c'est idiot mais j'ai choisi de vous partager de manière sincère ce que je ressens.En 2 mots, ma vie s'est construite sur des amitiés homme-femme authentiques. Contrairement à ceux qui doutent de leur possibilité, je trace une ligne claire dans mon esprit entre mes « amies » et mes « intérêts romantiques potentiels ». Cette sensibilité est peut-être la raison pour laquelle vous êtes majoritairement des femmes à suivre cette newsletter et mon podcast par ailleurs. La quête d'une masculinité authentiqueComme je l'ai décrit dans ma dernière newsletter, ces dernières années, j'ai travaillé sur ma «gentillesse » parfois excessive pour renforcer ce que l'on pourrait nommer ma « colonne masculine» : plus décisif, plus ancré, plus fort.Et d'ailleurs, je ne peux que constater que depuis que je vis à Lisbonne, je me suis lié d'amitié avec des hommes avec lesquels j'adore échanger. J'ai même créé un cercle d'hommes dans mon salon pour libérer une parole authentique entre nous – car, en vérité, les hommes se parlent rarement de cœur à cœur.Alors, parlons-nous franchement : c'est extrêmement compliqué d'être un homme aujourd'hui (je ne prétends pas que c'est simple d'être une femme, loin de là). En vérité, nous dansons tous ensemble une chorégraphie complexe de genre et d'identité. Mais cette réflexion se concentre spécifiquement sur la masculinité contemporaine.Je ne l'ai pas dit dans ma dernière newsletter mais ma « gentillesse » et mon côté « débonnaire» viennent partiellement d'un rejet du modèle masculin que j'observais autour de moi : mon grand-père, mes oncles, mon père….Mais ce faisant, comme pour beaucoup d'hommes, ma masculinité s'est construite en creux – par opposition plutôt que par affirmation.Mon ami Jerry Hyde que j'ai reçu sur Vlan avec sa femme Mai Hua, l'a judicieusement noté : une certaine masculinité misogyne a parfaitement compris la frustration des jeunes hommes d'aujourd'hui. L'absence de modèles masculins positifs a créé un vide facilement exploitable. On leur a fait croire que le féminisme les avait privés de leur héritage légitime, que les hommes étaient naturellement destinés à dominer, et qu'il fallait revenir aux anciennes normes.Cette rhétorique toxique, combinée au fait que dans les classes populaires, les jeunes femmes réussissent souvent mieux à l'école et trouvent des emplois mieux rémunérés, a privé de nombreux hommes de leur rôle traditionnel de « pourvoyeurs ». Résultat : de nombreux jeunes hommes adhèrent massivement à cette vision régressive.Plus inquiétant encore : certaines femmes adhèrent aussi à cette vision. Pourquoi ? Parce qu'au fond, elles non plus ne veulent pas d'un homme perçu comme faible, insipide, fade, glissant, trop conciliant ou constamment dans l'excuse.Il faut admettre que ce n'est pas très sexy. La misogynie est culturelle et ne dépend pas du genre – les femmes absorbent ces mêmes messages toxiques. Encore aujourd'hui, beaucoup de femmes se construisent aussi, entre autres, avec l'idée que l'homme doit pouvoir subvenir seul au besoin d'un foyer et doit « protéger », créant par là même une dépendance financière et donc une relation de pouvoir à l'avantage des hommes.Nous sommes loin de cette masculinité en creux.Et en comparaison, l'image de l'homme misogyne paraît claire et séduisante pour certaines : puissant, identifiable, riche, entouré de belles femmes, propriétaire de belles voitures etc…Pour des jeunes désorientés, anxieux, perdus, ou pour des personnes plus âgées élevées dans des visions dépassées, cette masculinité toxique devient malheureusement une option attractive. Nature ou culture : au-delà des clichésPour démêler ces questions complexes, j'ai voulu remonter à la source – au moment où la culture pesait moins lourd sur nos comportements. La préhistoire humaine s'étale sur 2,5 millions d'années et représente 99,8% de notre histoire, elle est donc constituée de multiples phases.Mais pour faire court, quand on interroge les experts, il leur est impossible de définir clairement des rôles genrés à cette époque. Les femmes chassaient vraisemblablement autant que les hommes. Et nos ancêtres n'avaient pas établi le rôle de l'homme dans la reproduction, ce qui empêchait tout système patriarcal structuré puisque l'homme n'avait, pour eux, aucun rôle dans la procréation.La sédentarité des femmes est en réalité apparue avec la fin du nomadisme et l'invention de l'agriculture, il y a seulement 10-15 000 ans. Quant à l'imagerie de la femme préhistorique restant dans la grotte et tirée par les cheveux par un homme des cavernes – elle a été créée au 19ème siècle et ne représente aucunement une réalité historique. Il s'agit simplement d'une projection d'une époque sur une autre.Pour aller plus loin, j'ai eu l'immense plaisir de recevoir l'un des primatologues les plus respectés au monde, Frans de Waal. Car au final, tout autant que nous sommes plus proches des humains préhistoriques qu'on aimerait le croire, nous sommes également tous des primates, très proches des grands singes. Ses conclusions sont éclairantes : la distinction entre sexe biologique et identité de genre est cruciale. Si une identité biologique existe, l'identité de genre est largement formée par l'imitation et l'apprentissage social. Les enfants observent et reproduisent les comportements associés à leur genre, ce qui active les centres de récompense du cerveau.Les différences physiologiques sont indéniables – cycles menstruels, gestation, allaitement sont exclusivement féminins. La conséquence principale est que les mâles ont tendance à considérer leur corps comme moins important. Mais la différence semble s'arrêter là.Contrairement aux idées reçues, « l'instinct maternel » tel qu'il est souvent conçu n'existe pas vraiment. Il y a une attirance des femelles vers les bébés, mais les compétences maternelles s'apprennent par l'observation. Quand une mère meurt, ce n'est pas une autre femelle qui prend le relai avec les bébés mais un mâle, qui développe alors dans son cerveau les même éléments qu'une femelle et qui ont trait au soin.A la naissance, les males sont un peu plus turbulents et plus actifs que les femelles mais encore une fois une partie de ce comportement est aussi généré par du mimétisme social pour répondre aux exigences du centre de récompenses de notre cerveau. De même, l'idée qu'un mâle cherche nécessairement de nombreux partenaires tandis qu'une femelle serait sélective est fausse. De Waal explique que les femelles primates sont également entreprenantes sexuellement et recherchent souvent de multiples partenaires.L'idée de la protection des femelles par les mâles est également une construction sociale. Bien que les mâles soient généralement plus grands chez de nombreuses espèces, cette différence est souvent liée à la compétition entre mâles plutôt qu'à la préférence des femelles. D'ailleurs, De Waal note que le dimorphisme sexuel (différence de taille) est relativement faible chez les humains, les chimpanzés et les bonobos comparativement à d'autres mammifères.Enfin, concernant les émotions, De Waal suggère que si leur intensité peut être similaire entre mâles et femelles, leur expression est fortement influencée par des règles culturelles. Les mâles, dans un contexte de compétition, cachent souvent leur vulnérabilité – non par nature, mais par construction sociale.Nous cherchons donc à opposer une réalité physiologique (les hommes et les femmes sont bien plus semblables qu'on veut nous le faire croire) à une réalité sociale – des millénaires de patriarcat. Mais dans le même temps, il est illusoire de penser que l'on puisse s'abstraire totalement de son contexte social.Les 3 grandes religions ont joué également un rôle dans la structuration du patriarcat évidemment mais je ne vais pas descendre dans l'histoire « récente » ici.Je ne crois pas aux hommes parfaitement déconstruits mais très souvent les femmes ne le sont pas plus.Au mieux, je crois que l'on peut s'éduquer sur le sujet et que nous pouvons observer le patriarcat dans nos pensées et développer suffisamment de conscience de soi pour prendre du recul.Et parfois, ça sort j'avoue, je dis une bêtise, ça m'échappe et je m'excuse.Une preuve simple si les expressions « ne fait pas ta meuf » ou « soit un mec » résonnent ou si quand vous pensez à un « care giver » vous pensez automatiquement à une femme ne serait-ce que 1 seconde dans votre cerveau, vous savez exactement ce à quoi je fais référence. Vers une masculinité réinventéeFace au retour en force d'une masculinité toxique (coucou Trump, Vance, Tate, Zuck, Bezos ou Musk…) et à la dérive de certains espaces (comme les communautés de musculation sur les réseaux sociaux qui glissent vers le masculinisme), il est essentiel de proposer une alternative.Comme me le faisait justement remarquer mon amie Mai Hua, également co-autrice avec Jerry du documentaire « make me a man » , en m'envoyant un réel Instagram, les hommes « gentils » utilisent parfois cette masculinité toxique à leur avantage : « je vais te défendre contre ces hommes ». Mais cette masculinité en creux n'est pas une solution viable, car elle suppose le masculinisme pour exister. Ces hommes restent, d'une certaine manière, passifs et complices.D'ailleurs, ils montent rarement au créneau quand ils en ont l'occasion.Il faut reconnaître qu'une société qui vénère la compétition, la domination et l'accumulation (de biens, de pouvoir, de notoriété) est fondamentalement patriarcale. Ensuite, il est crucial de comprendre qu'il existe des masculinités et des féminités plurielles – il n'y a pas une seule "bonne manière" d'être au monde. Personne n'a besoin de s'enfermer dans un carré minuscule défini par des stéréotypes étroits.La série « Adolescence » sur Netflix montre bien comment les hommes souffrent aussi du patriarcat. Aucune place n'est laissée à la vulnérabilité, considérée comme une faiblesse, ce qui entraîne une atrophie de la capacité à exprimer ses émotions. J'ai même observé que certains hommes n'arrivent pas à décrire ce qu'ils ressentent intérieurement – leur vocabulaire émotionnel se limitant souvent à la joie, la frustration et la colère.Ma conclusion personnelle est qu'on peut développer une masculinité posée et ancrée, qui ne soit ni toxique ni effacée. Cette masculinité équilibrée implique une intelligence émotionnelle développée, l'assurance de ses envies et points de vue, une évolution constante en tant qu'être humain (notamment en matière de sexualité, où l'homme croit devoir « savoir » et « dominer », alors que personne ne sait vraiment puisque seul le porno nous « éduque »), la capacité à reconnaître ses torts et à poser des limites claires.Comme le résume parfaitement Jerry : il s'agit simplement d'être un adulte. Cela implique de dialoguer avec d'autres hommes qui ont développé cette maturité émotionnelle (qui n'est malheureusement pas une question d'âge).Finalement, comme pour tout être humain, la tendresse est au fondement d'une masculinité saine. Être un homme suppose d'intégrer toutes les parties de soi – force et vulnérabilité, courage et sensibilité, indépendance et connexion.Pour revenir à la question initiale, le rôle du père n'est pas de faire de son fils un homme mais un être humain entier.D'ailleurs, la théoricienne féministe bell hooks nous offre ici une boussole précieuse.Dans son œuvre "La volonté de changer: Hommes, Masculinité, et Amour", elle soutient que le patriarcat blesse profondément les hommes en les privant de leur pleine humanité émotionnelle. Selon elle, les hommes souffrent d'une "blessure de l'âme" en étant conditionnés à réprimer leurs émotions et à éviter la vulnérabilité.Si je devais traduire ses théories en conseils pratiques pour mes semblables masculins, voici ce que je retiendrais :1. Reconnaître que notre capacité à aimer a été diminuée par le patriarcat - non pas pour nous victimiser, mais pour comprendre ce qui nous empêche d'être pleinement présents dans nos relations.2. Développer une conscience critique de la manière dont les médias et la culture façonnent nos idées de la masculinité, et oser questionner ces messages.3. Pratiquer activement la vulnérabilité - non comme une faiblesse, mais comme la plus grande force qui soit. Comme l'écrit hooks, "l'amour ne peut pas fleurir dans une culture de domination".4. Créer des espaces entre hommes où l'on peut partager ouvertement ses peurs, ses doutes et ses émotions sans jugement.5. Embrasser ce que hooks appelle une "éthique de l'amour" qui valorise la connexion, le soin des autres et la croissance personnelle au-delà des performances de virilité.Cette masculinité réinventée n'est pas un retour en arrière vers des archétypes dépassés, ni une négation de ce qui fait la spécificité masculine. C'est une proposition d'avenir, un équilibre dynamique qui répond aux besoins profonds des hommes tout en s'inscrivant dans une société qui aspire à l'égalité.Le temps est venu de dessiner ensemble ce que pourrait être cette masculinité du XXIe siècle – ni lavette, ni macho, mais pleinement humaine. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Javier Milei en Argentine, Giorgia Meloni en Italie, Viktor Orban en Hongrie, Alice Wiedel en Allemagne et Marine Le Pen en France : depuis plusieurs années on observe une montée de l'extrême droite dans le monde. Historiquement, l'extrême droite et le fascisme ont souvent partagé les mêmes idées nationalistes et autoritaires Umberto Eco, écrivain et sémiologue italien, a grandi sous le régime de Mussolini. En 1995, il publie un essai intitulé Ur-Fascisme maintenant publié sous le nom Reconnaître le fascime dans lequel il détaille quatorze caractéristiques communes aux mouvements fascistes. Quels sont les points communs des régimes fascistes ? Ces idées reposent-elle sur la haine ? Et sur la guerre ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : “Femme”, “équité”, ”climat” : quels sont ces mots interdits par Donald Trump ? Quels sont vraiment les motifs d'une OQTF ? Pourquoi le Rassemblement National est-il régulièrement accusé d'antisémitisme ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On pense souvent que l'emprise, ça n'arrive qu'aux autres. Pourtant, elle peut toucher n'importe qui, quel que soit l'âge ou le genre, sans qu'on s'en rende compte. Dans une relation amoureuse, familiale, professionnelle… Elle s'installe petit à petit, grignotant l'estime de soi, isolant la victime et la rendant dépendante. C'est donc un mécanisme de domination qui peut intervenir dans tous types de relations sociales. L'emprise peut avoir plusieurs conséquences pour la personne qui la subit comme une faible estime de soi, de l'anxiété, des crises d'angoisses, la dépression et même des idées suicidaires. Qu'est-ce que l'emprise psychologique ? Quels en sont les mécanismes ? Comment la reconnaître dans mon couple / mon amitié / ma famille / mon travail ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le syndrome de l'anus sans repos ? Qu'est-ce que le looksmaxxing, cette nouvelle tendance toxique ? Quels sont les gadgets d'espions les plus fous de l'histoire ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le biais des coûts irrécupérables, ou sunk cost fallacy en anglais, est un phénomène psychologique qui influence nos décisions. Il nous pousse à persévérer dans une action ou un investissement, même lorsqu'il serait rationnel d'arrêter, simplement parce que nous avons déjà dépensé du temps, de l'argent ou des efforts dans celle-ci.1. Une erreur de raisonnement couranteLes coûts irrécupérables sont les ressources (argent, temps, énergie) déjà engagées et qui ne peuvent pas être récupérées. Ce biais intervient lorsque nous prenons une décision en nous basant sur ces coûts passés, plutôt que sur les bénéfices futurs potentiels.Exemple classique : un film au cinéma. Si, au bout de 30 minutes, vous réalisez que le film est mauvais, la décision rationnelle serait de partir. Mais la plupart des gens restent jusqu'à la fin en se disant : « J'ai payé ma place, autant rester », alors que cet argent est déjà dépensé et ne sera pas récupéré, qu'ils restent ou non.2. Pourquoi ce biais est-il si puissant ?Ce biais repose sur plusieurs mécanismes psychologiques :- La peur du gaspillage : Nous avons du mal à accepter une perte et préférons tenter d'« amortir » notre investissement, même si cela empire la situation.- L'effet d'engagement : Plus nous investissons dans une décision, plus nous avons tendance à la justifier et à persévérer.- L'orgueil et la dissonance cognitive : Reconnaître qu'on s'est trompé est difficile. Nous préférons croire que nos efforts finiront par payer.3. Des conséquences dans la vie quotidienne et professionnelleLe biais des coûts irrécupérables se retrouve partout :- En amour : Rester dans une relation malheureuse parce que « cela fait 10 ans qu'on est ensemble ».- Dans les études ou le travail : Continuer un cursus qui ne nous plaît pas, juste parce qu'on y a déjà investi des années.- En entreprise : Maintenir un projet coûteux qui échoue, au lieu de le stopper et réallouer les ressources.4. Comment s'en libérer ?- Se concentrer sur l'avenir, pas sur le passé : Demandez-vous « Si je n'avais pas encore investi dedans, est-ce que je prendrais la même décision aujourd'hui ? »- Évaluer objectivement les bénéfices restants plutôt que de chercher à « rentabiliser » un mauvais choix.- Accepter l'erreur : Admettre qu'on s'est trompé est difficile, mais plus on s'obstine, plus les pertes sont grandes.ConclusionLe biais des coûts irrécupérables nous pousse à poursuivre des décisions non rentables par peur du gaspillage. Savoir l'identifier permet de prendre des décisions plus rationnelles et de ne pas s'enliser dans de mauvais choix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:39 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question posée par la jeune auditrice de six ans, Margaux sur le répondeur de l'émission de France Inter pour les enfants. C'est la biologiste spécialisée en biologie végétale, Catherine Lenne qui lui répond. - invités : Catherine Lenne - Catherine Lenne : Chercheur en physiologie végétale. Maître de conférences à l'université Blaise Pascal de Clermont Ferrand. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Comment dépasser ses vulnérabilités pour renforcer son leadership ? Comment identifier ses forces et s'appuyer sur elles au lieu de chercher à combler ses lacunes ?Découvrez le 3ᵉ épisode d'une série spéciale autour de mon livre 100 jours pour révéler votre leadership.Dans cet épisode, nous plongeons dans l'exploration des forces et des vulnérabilités.Nous suivons pour cela Alexandre, un manager expérimenté, mais en pleine remise en question. À travers son parcours, nous explorons :✅ Pourquoi reconnaître ses forces permet d'en faire des leviers puissants de leadership.✅ Comment accepter et partager ses vulnérabilités peut renforcer la connexion et la confiance avec son équipe.✅ Pourquoi vouloir être parfait fragilise plus qu'il ne renforce.✅ Comment l'authenticité et l'alignement personnel transforment notre impact en tant que leader.Bonne écoute !
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.
En 2018, une vidéo de Barack Obama insultant son successeur Donald Trump fait le tour de la toile. Il s'agissait, bien sûr, d'un faux mais le résultat semble plus vrai que nature. C'est sans doute le premier deepfake connu du grand public. Deepfake ou «hypertrucage» pour désigner un enregistrement vidéo ou audio réalisé ou modifié grâce à l'intelligence artificielle. Depuis, le phénomène a pris de l'ampleur. Certains l'utilisent à des fins humoristiques ou parodiques comme avec cette fausse photo du pape François emmitouflé dans une doudoune blanche digne d'un rappeur américain. Mais d'autres usages apparaissent bien plus inquiétants. Désinformations, arnaques, crises politiques, supercheries scientifiques... les risques de ces manipulations sonores ou visuelles sont bien réels. L'avènement de l'intelligence artificielle et son omniprésence dans nos quotidiens interrogent sur notre capacité à nous en protéger. Dans nos sociétés saturées d'images, comment distinguer le vrai du faux ? Émission à l'occasion du Sommet pour l'action sur l'Intelligence Artificielle qui se tient à Paris les 10 et 11 février 2025. Avec : Olivier Lascar, ingénieur de formation et journaliste. Rédacteur en chef numérique du magazine de vulgarisation scientifique Sciences et avenir. Auteur de Deep Fake – l'IA au service du faux (Éditions Eyrolles, 2024) Moïse Gomis, le correspondant de RFI à Abuja, Nigeria. En fin d'émission, un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Rencontre avec le Camerounais Joël Sikam. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer dans leur pays après des études à l'étranger... C'est le moment du « Succès des Repats ». Notre reporter Charlie Dupiot a rencontré Joël Sikam, un repat camerounais et un industriel passionné. Fort de son mètre 92, il a hésité à devenir basketteur professionnel aux États-Unis. Mais il a plutôt choisi de lancer en 2015 « Fisco », une entreprise de produits d'entretien, détergents, eau de Javel, produits vaisselle... Il nous accueille dans son usine à Douala, un samedi matin. Ici, on travaille 6 jours sur 7. Des camions s'apprêtent à partir pour des livraisons vers Yaoundé et Joël Sikam fait le point avec l'un de ses employés. Programmation musicale :► Ole – Qing Madi► Toujours debout – Straiker.
Edit "Son interview reste et restera une de celle qui m'a le plus marquée. J'ai tant de gratitude d'avoir pu le recevoir sur mon podcast.Stéphane MORIOU était un grand professionnel et surtout homme bon et généreux. Une personne rare. Son ouvrage « Feedback l'art des conversations » est, selon, moi un des outils les plus puissants aujourd'hui sur le management. Il incarnait cet art, de la conversation et du feedback. Et il m'a fait à la fin de notre échange un feedback qui a été fondateur pour moi. Il a su mètre le doigt sur quelque chose dont je n'avais pas conscience et pourtant que j'avais besoin d'entendre. Pour renforcer l'estime de moi. Je voudrais lui rendre hommage et vous inviter à l'écouter. Pour faire vivre sa mémoire et l'honorer.Pour sa femme, ses enfants, ses proches, pour lui."Le voici enfin, l'épisode dédié à un des outils clés du leadership : le feed back ! Et pour explorer le feed back : la personne référente en France sur ce sujet, Stéphane Moriou, auteur de "Feed back, l'art des conversations" et conférencier. J'ai grandement apprécié cette conversation avec celui qui incarne à mon sens cette langue qu'il souhaite nous enseigner : le feed back.Au point que j'en rougis à la fin ☺️. Vous ne le verrez pas mais l'entendrez... Nous décryptons cette une langue encore bien trop peu maitrisée. Ses vertus, ses règles et sa magie. Car oui si le feed back est un outil de haute performance, je suis d'accord avec Stéphane c'est aussi le sel de la vie ! Reconnaître, donner confiance, permettre de grandir, c'est à la fois plaisant et gratifiant, pour celui qui le reçoit comme pour soi. A vos feed back ! Mais d'abord, à vos écouteurs !
Ecoutez Ca va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 06 février 2025.
Le syndrome du canard flottant est une métaphore utilisée pour décrire une situation où une personne semble calme et en contrôle en apparence, mais se débat intensément en interne pour faire face à des défis ou des pressions, souvent de manière invisible. Cette notion, bien qu'elle ne soit pas un diagnostic clinique, met en lumière les tensions psychologiques et émotionnelles souvent dissimulées derrière une façade de sérénité, en particulier dans des environnements professionnels exigeants. 1. Origine de la métaphoreL'image du canard flottant provient de l'observation du comportement des canards : lorsqu'ils nagent, ils semblent glisser sans effort sur l'eau. Cependant, sous la surface, leurs pattes s'activent frénétiquement pour avancer. Cette métaphore illustre le contraste entre l'apparence extérieure et la réalité intérieure. 2. Lien avec le milieu de travailDans un contexte professionnel, le syndrome du canard flottant se manifeste par des employés qui maintiennent une apparence de productivité et de calme, mais qui ressentent une pression intense, un stress ou une anxiété croissante en coulisses. Cette situation peut découler de plusieurs facteurs :- Culture du perfectionnisme : La peur de montrer des faiblesses ou des erreurs incite à masquer les difficultés.- Pression sociale et attentes élevées : Dans certains environnements, l'apparence de contrôle et de succès est valorisée, au détriment de la santé mentale.- Comparaison sociale : Avec l'essor des réseaux sociaux et des performances visibles des collègues, il est courant de ressentir une pression pour "rester au niveau". 3. Conséquences sur la santé mentaleLe syndrome du canard flottant peut entraîner divers problèmes de santé mentale et physique, notamment :- Stress chronique : En tentant de maintenir une façade constante, le système nerveux reste en alerte, ce qui peut provoquer fatigue, insomnie ou problèmes cardiovasculaires.- Burnout : L'effort constant pour paraître en contrôle épuise les ressources mentales et émotionnelles.- Isolement : La peur de montrer ses vulnérabilités peut éloigner les collègues ou empêcher de demander de l'aide. 4. Comment y remédier ?- Reconnaître ses limites : Accepter que personne n'est parfait et que demander de l'aide est une force, pas une faiblesse.- Créer un environnement sain : Encourager une culture d'entreprise basée sur l'authenticité et le soutien mutuel.- Pratiquer la pleine conscience : Réduire le stress en adoptant des pratiques comme la méditation ou le yoga.En conclusion, le syndrome du canard flottant illustre le coût invisible du stress caché au travail. Le reconnaître et y répondre est essentiel pour préserver la santé mentale et instaurer des environnements professionnels plus bienveillants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Français ne sont pas seulement en France ! Ils voyagent beaucoup et vous avez donc de grandes chances d'en voir près de chez vous. Mais comment les reconnaître ? Interactive Transcript and Vocab Helper Get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes! FREE trial for 7 days at: easyfrench.fm/membership Show Notes Films mentionnés : 2 Days in Paris (https://en.wikipedia.org/wiki/2_Days_in_Paris) 2 Days in New York (https://en.wikipedia.org/wiki/2_Days_in_New_York) Transcript Intro Judith: [0:16] Bonjour Hélène. Hélène: [0:18] Salut, comment ça va ? Judith: [0:21] Ça va plutôt bien. En cette semaine extrêmement froide à Paris et pluvieuse, ça va plutôt bien, je garde le moral. Et toi ? Hélène: [0:30] Oui, ça va. Il fait froid ici aussi. Bien sûr, il y a souvent du brouillard ces derniers jours. Donc, c'est vrai que c'est un peu démoralisant, mais il faut tenir le coup. Judith: [0:43] Je rigole, c'est nerveux, je suis désolée. À chaque fois que je me plains du temps ici, je sais que c'est encore pire chez toi. Donc, ça me permet de relativiser. Hélène: [0:53] Ouais. Judith: [0:54] Bon, trêve de plaisanteries. Le thème du jour, c'est toi qui me l'as inspiré, justement, avec cette drôle d'anecdote que tu m'as racontée qui t'est arrivée en Hollande. Est-ce que tu veux bien nous la raconter ? Hélène: [1:06] Alors, tu parles de ce que j'ai raconté sur le train. Judith: [1:09] Ouais. Hélène: [1:09] Donc, je prends très souvent le train entre Rotterdam et Paris. Et donc, bien sûr, dans ce train, il y a beaucoup de Français. Et c'est vrai qu'on les reconnaît. Moi, je les reconnais à leur manière de s'exprimer par sons. C'est assez drôle. Je trouve que c'est vraiment très français de faire des sons pour exprimer tout un tas d'émotions, soulagement d'être enfin assis. De s'être débarrassé de ses affaires, mais un peu aussi parfois vraiment pour exprimer une sorte de fatigue, le fait d'être fatigué de bouger, de porter des affaires, il y a un peu cette expression de "oh la la, j'en ai marre, je suis fatigué", et ça je trouve que c'est plus les Français qui font ça dans le train que les autres. Et donc, c'est assez drôle d'observer ça et je remarque que je le fais aussi. Judith: [2:14] Oui, c'est pour ça que j'adore cette anecdote. C'est parce qu'elle me fait me rendre compte que je fais ça et qu'effectivement, ce n'est pas non plus très courant dans le monde et ça me fait vraiment rire. Hélène: [2:25] Oui, on a du mal à cacher nos émotions parfois. Judith: [2:28] Exactement. Mais bon, avant cela, un de nos moments préférés, le message d'un auditeur, ou je crois cette fois-ci d'une auditrice. Hélène: [2:36] Allez ! Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership