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Concert de l'Orchestra Baobab le 7 juin 2025 au festival Musiques métisses à Angoulême (France). Suite et fin de la semaine concerts de RFI. Après Tiken Jah Fakoly, Luidji, Queen Rima, Kutu, Ballaké Sissoko & Piers Faccini, place à l'Orchestra Baobab ! Avec sa fusion inimitable de rythmes afro-cubains, de sonorités mandingues, et de traditions musicales wolof et sérères, Orchestra Baobab offre une célébration de l'âme sénégalaise et un hommage vibrant à son patrimoine musical. Leur dernier album Made in Sénégal est un voyage musical inoubliable et un retour triomphal après sept ans de silence. Titres interprétés lors du concert : Outro Horas, Wanema Ma Guiss, Sutukoum, Anna Maria, Sénégal, Ndiga Niaw et Sibo Odia. Line Up : Seydou Norou Koite (directeur musical, sax alto), Mamadou Mountaga Koite (batterie), Zaccharia Koite (chant lead), René «Boléro» Sowatche (guitare lead), Yahya Fall (guitare rythmique), Moussa Sissokho (percussions), Malick Sy (basse), Ndeye Korka Dieng (chant) et Wilfrid Ambroise Zinsou (sax ténor). Nos invités : Mamadou Mountaga Koite alias Taga et Abib M'Baye (manager). Biographie Orchestra Baobab Depuis l'indépendance (1960), les nuits dakaroises sont principalement animées par les musiques cubaines. La clientèle, aisée, composée principalement d'élites politiques et économiques qui dirigent l'État présidé par Léopold Sédar Senghor, s'y retrouve pour boire et danser. L'Orchestra Baobab naît en 1970 dans l'effervescence nocturne de Dakar, capitale cosmopolite du Sénégal. Le plus prolifique et le plus durable des orchestres dakarois des années 1970, enregistre plus de vingt disques et cassettes entre 1972 et 2001. À l'image d'un Sénégal indépendant, moderne et ouvert tant aux influences occidentales qu'aux flux migratoires panafricains, l'Orchestra Baobab dévoile une musique métissée qui mêle instruments électriques importés et percussions de facture locale, rythmes et mélodies tirées du folklore et improvisations jazzistiques. L'orchestre a animé l'élégant « Club Baobab », situé dans un complexe du même nom regroupant un bar américain, un restaurant et la boîte de nuit. La musique de l'Orchestra Baobab reprend une formule consacrée par ses prédécesseurs d'Afrique de l'Ouest. Les grands orchestres de danse post-indépendance comme le Bembeya Jazz National et l'Orchestre Paillotte de Guinée Conakry, les Maravillas de Mali de Boncana Maïga ou le Rail Band de Bamako, le Star Band de Dakar, font vibrer les élites des nations nouvelles au rythme de musiques inspirées tant des folklores locaux que des rythmes caraïbes ou noirs américains. Le Sénégal est, avec le Congo Zaïre, le pays qui a le plus consommé les musiques cubaines et latino-américaines. Ce qui caractérise le « son » du Baobab, c'est qu'il tire son inspiration de plusieurs folklores nationaux. Le wolof est la langue nationale, et la principale influence dans les autres orchestres de la capitale. Mais les inspirations sérère, toucouleur, malinké ou créole font tout autant partie du registre du Baobab. Plusieurs folklores harmonisés par des arrangements orchestraux modernes pour le plaisir d'un public demandeur de distractions nocturnes qui soient autant les réinterprétations des folklores entendus dans l'enfance que les musiques étrangères contemporaines en vogue en Europe et aux États-Unis. Panafricain et enraciné dans les cultures régionales du Sénégal et de ses frontières, moderne, l'orchestra Baobab n'est pas un orchestre national à proprement parler, comme ce fut le cas de certains orchestres maliens ou guinéens. Basé dans la capitale, il reflète à lui seul la diversité ethnoculturelle d'un Sénégal uni par une capitale qui attire des habitants venus de l'ensemble du pays. Pas d'orchestre officiel régional ici. Plus cosmopolite, peut-être aussi plus élitiste, le « son » du Baobab est à l'image d'un Dakar très ouvert à la modernité occidentale. Le succès rapide de l'orchestre Baobab est dû aussi bien au talent des musiciens qu'à celui des entrepreneurs qui ont idéalisé le Club, à leur capacité à attirer certains des meilleurs musiciens et chanteurs du Dakar by night. Mais la vie nocturne dakaroise est le théâtre d'un éternel conflit entre concurrents sur un marché de taille restreinte. Beaucoup de musiciens et quelques orchestres se disputent une place sous les spotlights, alors que la capitale compte en définitive peu de clubs et encore moins de clients. Les membres du Baobab sont recrutés dans les autres formations déjà actives dans les boîtes dakaroises. Le premier chef d'orchestre, Baro N'Diaye, travaillait auparavant au bar-restaurant club « La Plantation ». Saxophoniste ténor, c'est lui qui forme la première mouture de l'orchestre du Baobab, probablement avec le bassiste Sidath Ly. Balla Sidibe, chanteur/batteur, Rudy Gomis et Barthélémy Attisso sont issus du Star Band, qui animait le club « Le Miami » d'Ibrahima Kasse. Le Club Baobab ferme ses portes en 1979. L'Orchestre demeure en activité, et continue d'enregistrer des disques tout aussi géniaux. Mais le « son » n'est plus le même. Au fil des changements techniques et stylistiques, avec l'apparition de la mini-cassette qui ouvre la porte à la piraterie en masse, l'explosion du m'balax, et du simple fait qu'il n'anime plus un club destiné à certaines élites, se perd le cachet si particulier aux enregistrements d'une époque marquée par une vie nocturne intense. Au XXIè siècle, rencontre avec l'Anglais Nick Gold du label World Circuit qui relance la carrière du Baobab avec Specialist in all styles. Aujourd'hui, l'Orchestra Baobab s'est lancé dans une trilogie avec Made in Dakar (2007), Made in Sénégal (2026) puis Made in Africa (dans le futur avec des invités prestigieux). Son & Mixage en binaural : Mathias Taylor (RFI Labo). Site Orchestra Baobab - Facebook - YouTube.
Concert de l'Orchestra Baobab le 7 juin 2025 au festival Musiques métisses à Angoulême (France). Suite et fin de la semaine concerts de RFI. Après Tiken Jah Fakoly, Luidji, Queen Rima, Kutu, Ballaké Sissoko & Piers Faccini, place à l'Orchestra Baobab ! Avec sa fusion inimitable de rythmes afro-cubains, de sonorités mandingues, et de traditions musicales wolof et sérères, Orchestra Baobab offre une célébration de l'âme sénégalaise et un hommage vibrant à son patrimoine musical. Leur dernier album Made in Sénégal est un voyage musical inoubliable et un retour triomphal après sept ans de silence. Titres interprétés lors du concert : Outro Horas, Wanema Ma Guiss, Sutukoum, Anna Maria, Sénégal, Ndiga Niaw et Sibo Odia. Line Up : Seydou Norou Koite (directeur musical, sax alto), Mamadou Mountaga Koite (batterie), Zaccharia Koite (chant lead), René «Boléro» Sowatche (guitare lead), Yahya Fall (guitare rythmique), Moussa Sissokho (percussions), Malick Sy (basse), Ndeye Korka Dieng (chant) et Wilfrid Ambroise Zinsou (sax ténor). Nos invités : Mamadou Mountaga Koite alias Taga et Abib M'Baye (manager). Biographie Orchestra Baobab Depuis l'indépendance (1960), les nuits dakaroises sont principalement animées par les musiques cubaines. La clientèle, aisée, composée principalement d'élites politiques et économiques qui dirigent l'État présidé par Léopold Sédar Senghor, s'y retrouve pour boire et danser. L'Orchestra Baobab naît en 1970 dans l'effervescence nocturne de Dakar, capitale cosmopolite du Sénégal. Le plus prolifique et le plus durable des orchestres dakarois des années 1970, enregistre plus de vingt disques et cassettes entre 1972 et 2001. À l'image d'un Sénégal indépendant, moderne et ouvert tant aux influences occidentales qu'aux flux migratoires panafricains, l'Orchestra Baobab dévoile une musique métissée qui mêle instruments électriques importés et percussions de facture locale, rythmes et mélodies tirées du folklore et improvisations jazzistiques. L'orchestre a animé l'élégant « Club Baobab », situé dans un complexe du même nom regroupant un bar américain, un restaurant et la boîte de nuit. La musique de l'Orchestra Baobab reprend une formule consacrée par ses prédécesseurs d'Afrique de l'Ouest. Les grands orchestres de danse post-indépendance comme le Bembeya Jazz National et l'Orchestre Paillotte de Guinée Conakry, les Maravillas de Mali de Boncana Maïga ou le Rail Band de Bamako, le Star Band de Dakar, font vibrer les élites des nations nouvelles au rythme de musiques inspirées tant des folklores locaux que des rythmes caraïbes ou noirs américains. Le Sénégal est, avec le Congo Zaïre, le pays qui a le plus consommé les musiques cubaines et latino-américaines. Ce qui caractérise le « son » du Baobab, c'est qu'il tire son inspiration de plusieurs folklores nationaux. Le wolof est la langue nationale, et la principale influence dans les autres orchestres de la capitale. Mais les inspirations sérère, toucouleur, malinké ou créole font tout autant partie du registre du Baobab. Plusieurs folklores harmonisés par des arrangements orchestraux modernes pour le plaisir d'un public demandeur de distractions nocturnes qui soient autant les réinterprétations des folklores entendus dans l'enfance que les musiques étrangères contemporaines en vogue en Europe et aux États-Unis. Panafricain et enraciné dans les cultures régionales du Sénégal et de ses frontières, moderne, l'orchestra Baobab n'est pas un orchestre national à proprement parler, comme ce fut le cas de certains orchestres maliens ou guinéens. Basé dans la capitale, il reflète à lui seul la diversité ethnoculturelle d'un Sénégal uni par une capitale qui attire des habitants venus de l'ensemble du pays. Pas d'orchestre officiel régional ici. Plus cosmopolite, peut-être aussi plus élitiste, le « son » du Baobab est à l'image d'un Dakar très ouvert à la modernité occidentale. Le succès rapide de l'orchestre Baobab est dû aussi bien au talent des musiciens qu'à celui des entrepreneurs qui ont idéalisé le Club, à leur capacité à attirer certains des meilleurs musiciens et chanteurs du Dakar by night. Mais la vie nocturne dakaroise est le théâtre d'un éternel conflit entre concurrents sur un marché de taille restreinte. Beaucoup de musiciens et quelques orchestres se disputent une place sous les spotlights, alors que la capitale compte en définitive peu de clubs et encore moins de clients. Les membres du Baobab sont recrutés dans les autres formations déjà actives dans les boîtes dakaroises. Le premier chef d'orchestre, Baro N'Diaye, travaillait auparavant au bar-restaurant club « La Plantation ». Saxophoniste ténor, c'est lui qui forme la première mouture de l'orchestre du Baobab, probablement avec le bassiste Sidath Ly. Balla Sidibe, chanteur/batteur, Rudy Gomis et Barthélémy Attisso sont issus du Star Band, qui animait le club « Le Miami » d'Ibrahima Kasse. Le Club Baobab ferme ses portes en 1979. L'Orchestre demeure en activité, et continue d'enregistrer des disques tout aussi géniaux. Mais le « son » n'est plus le même. Au fil des changements techniques et stylistiques, avec l'apparition de la mini-cassette qui ouvre la porte à la piraterie en masse, l'explosion du m'balax, et du simple fait qu'il n'anime plus un club destiné à certaines élites, se perd le cachet si particulier aux enregistrements d'une époque marquée par une vie nocturne intense. Au XXIè siècle, rencontre avec l'Anglais Nick Gold du label World Circuit qui relance la carrière du Baobab avec Specialist in all styles. Aujourd'hui, l'Orchestra Baobab s'est lancé dans une trilogie avec Made in Dakar (2007), Made in Sénégal (2026) puis Made in Africa (dans le futur avec des invités prestigieux). Son & Mixage en binaural : Mathias Taylor (RFI Labo). Site Orchestra Baobab - Facebook - YouTube.
Listener suggestions are rated on the Yachtski Scale, with songs by David Gates, The Stylistics, and Boncana Maïga.
1. Liverpool - Impressões Digitais (Brazil) 2. Bernard Estardy – Bacchanales Estardiennes (France) 3. Pippo Spera - Y Sin Embargo Tú Estabas Ahí (Italy/Uruguay) 4. Jean-Pierre Sabar - Vaï - Vaï (France) 5. Tages - You're Too Incomprehensible (Sweden) 6. Jennifer Lara - I'm in Love (Jamaica) 7. Betty Chung - Bang Bang (China) 8. Boncana Maïga - Petroci (Mali) 9. Nato – Je T'apprendrai A Faire L'Amour (France) 10. Ravi Shankar - Tala Rasa Ranga (India) 11. Bob Destiny – Wang Dang (Algeria/Puerto Rico/US) 12. Muska – Kirjoita Postikorttiin (Send Me a Postcard) (Finland) 13. Volta Jazz - Mama Soukous (Upper Volta, West Africa)
durée : 00:54:32 - Côté club - par : Laurent Goumarre - Rediffusion de notre émission éclectique avec Angélique Kidjo pour son album en hommage à la la salsa Celia Cruz, Samba de la Muerte pour son tout dernier album "Landmark" aux réminiscences afro-pop, et Richard Minier et Boncana Maïga qui cherchent à faire revivre les Maravillas de Mali.
durée : 00:00:11 - Côté club - par : Laurent Goumarre - Rediffusion de notre émission éclectique avec Angélique Kidjo pour son album en hommage à la la salsa Celia Cruz, Samba de la Muerte pour son tout dernier album "Landmark" aux réminiscences afro-pop, et Richard Minier et Boncana Maïga qui cherchent à faire revivre les Maravillas de Mali.
Chaque vendredi, deux thématiques sont abordées dans le talk show de la Génération Consciente. La première est consacrée aux faits de société ou d'actualité. La seconde à la culture.Cette semaine, Claudy Siar et ses chroniqueurs (Dolores Bakèla et Prince Bafouolo) débattent autour de ces thèmes : - Société : "La jeunesse s’approprie l’Histoire et la vulgarise" en présence de nos invités Crazy Sally et Seumboy de la chaîne YouTube Histoires crépues- Culture : « Africa Mia », un film historique et bouleversant, en présence de Boncana Maïga en direct de Bamako, au Mali. Brice Albin, notre correspondant au Cameroun, nous parlera de la chanteuse Daphné. Cliquez sur le nom de l'artiste pour en savoir plus, et sur les titres des chansons pour visionner leur clip :
De passage à Nova, Boncana Maïga, membre des "Maravillas de Mali" nous raconte ce rythme traditionnel du nord est du pays See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:48:02 - Certains l'aiment Fip - Certains l'aiment Fip a rencontré le musicien Boncana Maïga et Richard Minier, le réalisateur de ce film magnifique sur l'incroyable épopée du premier groupe "afro-cubain".
Alors que le film « Africa Mia » de Richard Minier sort mercredi 16 septembre 2020, nous rediffusons l'émission qui retrace les origines de ce documentaire sur les Maravillas de Mali. Les Maravillas par Richard MinierEn 1999, lors de mon tout premier voyage en Afrique, j’ai rencontré dans un maquis à Bamako, au Mali, un flûtiste nommé Dramane Coulibaly. Je lui ai alors demandé pourquoi il aimait tant jouer la musique cubaine. Il m’a répondu : « Je suis parti à La Havane dans les années 60 pendant 10 ans... » Cette phrase a résonné en moi et m’a emmené dans une quête de 20 ans entre le Mali, la Côte d’Ivoire, le Niger et Cuba pour retrouver les membres de ce groupe mythique dont il faisait partie : Las Maravillas de Mali. J’ai, pendant toutes ces années, retrouvé d’autres musiciens de cet orchestre, je les ai filmés, enregistrés. Puis en 2016, j’ai ramené à La Havane le Maestro, Boncana Maïga, le dernier survivant de cette incroyable épopée afro cubaine. 50 ans plus tard, sur les traces de son passé, nous avons réenregistré des nouvelles versions de leur unique album produit au studio Egrem en 1967. Cet album « Africa Mia », qui est aussi la bande originale du documentaire du même nom, est le témoignage de cette fabuleuse histoire commencée dans les années 60 au temps des échanges entre l’Afrique et Cuba. L’histoire des Merveilles du Mali ! - Las Maravillas de Mali, portrait RFI Musique - Vidéo « Rendez-vous chez Fatimata » avec Mory Kanté Titres interprétés :Live1 Las Maravillas Radio MaliCd Orquesta Aragon Yaye BoyCd Africando Apollo avec Sekouba BambinoLive3 Las Maravillas Africa MiaLive4 Las Maravillas Rendez-vous ce soir chez Fatimata MusiciensBoncana Maïga, directeur musical et fondateur des MaravillasFlorent Alapini Atoyebi, chanteurNahomi Stéphanie, violon altoJuan Hurtado Valero, chanteurDavid Reicer, flûtisteFelipe Cabrera Cardenas, contrebassisteInor Sotolongo, congasAbraham Mansfaroll Rodriguez, timbalesPidi Cabrera, piano Richard Minier, cinéaste, réalisateur du documentaire « Africa Mia » Son : Fabien Mugneret et Benoît Letirant. Diaporama :
We return to Lisbon for another selection of superb international flavours from the exceptionally talented WAMANZI. Full Track List. 1. Orchestra Baobab - Mouhamadou Bamba (Senegal) 2. Bonga - Balumukeno (Angola) 3. Melodica Teens Band - Mewkuru Muthao (Kenya) 4. Celestine Ukwu & His Philosophers National - Okwukwe Na Nchekwube (Nigeria) 5. Amabano - Nter'amajane (Burundi) 6. Iftin Band - Sirmaqabe (Somalia) 7. Mighty Sparrow - Oriental Touch (Grenada) 8. Charlie Adamson - Bangalee (Bahamas) 9. Dur-Dur Band - Dholey (Somalia) 10. Merging Traffic - Mister Magic (Jamaica) 11. S. Job Organization - My Friend (Nigeria) 12. Gregory Isaacs - Beautiful Africa (Jamaica) 13. Guy One - Estre (Ghana) 14. El Rego Et Ses Commandos - E Nan Mian Nuku (Benin) 15. ¡frica Negra - Bo Lega Caco Mode (S„o TomÈ e PrÌncipe) 16. Richard Nappy Mayers - Music Man (Trinidad & Tobago) 17. Jam Band 80 - Jammin' (Suriname) 18. Brother Valentino - Stay up Zimbabwe (Trinidad & Tobago) 19. Space Cats - For Ever and Always (South Africa) 20. Space Cats - Ukhamba (South Africa) 21. Boncana MaÔga - Koyma Hondo (Mali) 22. Dionisio Maio - Dia Ja Manche (Cabo Verde) 23. Janjo - Meu Barquinho (Brazil) 24. Georgette - KiriÍ (Brazil) 25. Bebeto - Preto Velho (Brazil) 26. Richard Nappy Mayers - Let Yourself Go (Trinidad & Tobago) 27. N'Draman Blintch - Essika-Ti (Ivory Coast) 28. Deke Tom Dollard - Beant (Ivory Coast) 29. Felixson Ngasia & The Survivals - Black Precious Colour (Nigeria) www.tropicalnorthpodcast.com
Les Maravillas par Richard MinierEn 1999, lors de mon tout premier voyage en Afrique, j’ai rencontré dans un maquis à Bamako, au Mali, un flûtiste nommé Dramane Coulibaly. Je lui ai alors demandé pourquoi il aimait tant jouer la musique cubaine. Il m’a répondu "Je suis parti à La Havane dans les années 60 pendant 10 ans..." Cette phrase a résonné en moi et m’a emmené dans une quête de 20 ans entre le Mali, la Côte d’Ivoire, le Niger et Cuba pour retrouver les membres de ce groupe mythique dont il faisait partie : Las Maravillas de Mali. J’ai, pendant toutes ces années, retrouvé d’autres musiciens de cet orchestre, je les ai filmés, enregistrés puis en 2016, j’ai ramené à La Havane, le Maestro, Boncana Maïga, le dernier survivant de cette incroyable épopée afro cubaine. 50 ans plus tard, sur les traces de son passé, nous avons réenregistré des nouvelles versions de leur unique album produit au studio Egrem en 1967. Cet album "Africa Mia", qui est aussi la bande originale du documentaire du même nom, est le témoignage de cette fabuleuse histoire commencée dans les années 60 au temps des échanges entre l’Afrique et Cuba. L’histoire des Merveilles du Mali ! - Las Maravillas de Mali, portrait RFI Musique - Vidéo "Rendez-vous chez Fatimata" avec Mory Kanté Titres interprétésLive1 Las Maravillas Radio Mali Cd Orquesta Aragon Yaye BoyCd Africando Apollo avec Sekouba BambinoLive3 Las Maravillas Africa MiaLive4 Las Maravillas Rendez-vous ce soir chez Fatimata MusiciensBoncana Maïga, directeur musical et fondateur des MaravillasFlorent Alapini Atoyebi, chanteurNahomi Stéphanie, violon alto Juan Hurtado Valero, chanteurDavid Reicer, flûtisteFelipe Cabrera Cardenas, contrebassisteInor Sotolongo, congasAbraham Mansfaroll Rodriguez, timbalesPidi Cabrera, piano Richard Minier, cinéaste, réalisateur du documentaire "Africa Mia" Son : Fabien Mugneret et Benoît Letirant. Diaporama
Tracklist : Curtis Lundy - Funny (Not so much) Judy Roberts - Watercolors Uschi Brüning - Hochzeitsnacht Mosley & Johnson - Baby come back Michael Omartian -Whachersign Cheryl Lynn - All my lovin' O'Donel Levy - Freedom and good times Jimi Tenor - Chupa chups Augusto Martelli - Calories Freddie Robinson - Smoking Horace Parlan - Congalegre Airto Moreira - Toque de cuica Sun Palace - Dancing the night away Fine Young Cannibals - Johnny come home Sharon Jones & the Dap Kings - Keep on looking Preface - Palace Hotel Nu Guinea - Disco sole Deodado - Pina Colada Arto Mwambé - Ouverture Antenne DJ Friction pres. Ground Control - All night long Red Greg - Love Break Curtis Mayfield - Tell me, tell me Boncana Maïga - Koyma Hondo Dennis Bovell - Jazterpiece Andre Tanker with the Mansa Musa Drummers - Back Home Judy Roberts - Fantasy
EVERYTHING I'VE HEARD #5 Music curated by Fabio Pezzella & mixed by Andrea Setti aka Gege. Tracklist : 01 - Roy Ayers Ubiquity - Everybody Loves the Sunshine (Original Mix) 02 - Kool & The Gang - Summer Madness (Original Mix) 03 - Dopehead & Nick Speed - Guttah Guttah (Original Mix) 04 - Jennifer Lara - I'm In Love (Original Mix) 05 - Anne & Anice Peters - Rock Your Baby (Edit) 06 - Shadow - Let's Make It Up (Original Mix) 07 - Boncana Maïga - Koyma Hondo (Original Mix) 08 - Susana Estrada - Quítate El Sosten (Original Mix) 09 - Parallel Dance Ensemble -Shopping Cart (Original Mix) 10 - Nona Hendryx - Keep Funkin For The World (Original Mix) 11 - Ice Cube - No Vaseline (Original Mix) 12 - Brian Ellis feat. K-Maxx - Electric Body (Original Mix) 13 - James Otis White Jr. - Baby Come On (Extended Version) 14 - 佐藤博 - Shiny Lady (Original Mix) 15 - Suzy Q - Shake It Up Shake Your Body (Original Mix) 16 - Bottin feat. Lucio Dalla - Lunedì Cinema (Dub) 17 - Love Company - Love Tempo (Original Mix) 18 - Cristalli Liquidi - Volevi Una Hit (Original Mix) 19 - Lucio Battisti - To Feel In Love (Original Mix)
Conversación con Bill Frisell. En esta edición de "Club de Jazz" del 9 de abril de 2014 hablamos con el guitarrista y escuchamos algunos de sus trabajos y colaboraciones (Naked City, Paul Motian...). El "Jazz Porteño" de Alberto Varela recuerda al apasionado divulgador del jazz argentino Nano Herrera cinco años después de su fallecimiento y lo recuerda con su voz presentando un trabajo que grabó Enrico Rava en 1974 auspiciado por el propio Nano. Los "Ritmos Latinos" de Anxo nos acercan la figura del maliense Boncana Maïga, músico que mezcló los sonidos cubanos y los de su tierra natal. "desde mi cadiera" Jesús Moreno descubre la música del Polish Jazz Quartet, formación francesa que mira al jazz polaco. En el "Tren Azul" de Luis Díaz García descubrimos las varias vertientes del tenor Tino Folgar y la múisca de la Orquesta Gran Casino, en una mirada a las grabaciones más pretéritas de jazz en Catalunya. Toda la información y derechos: http://www.elclubdejazz.com
Conversación con Bill Frisell. En esta edición de "Club de Jazz" del 9 de abril de 2014 hablamos con el guitarrista y escuchamos algunos de sus trabajos y colaboraciones (Naked City, Paul Motian...). El "Jazz Porteño" de Alberto Varela recuerda al apasionado divulgador del jazz argentino Nano Herrera cinco años después de su fallecimiento y lo recuerda con su voz presentando un trabajo que grabó Enrico Rava en 1974 auspiciado por el propio Nano. Los "Ritmos Latinos" de Anxo nos acercan la figura del maliense Boncana Maïga, músico que mezcló los sonidos cubanos y los de su tierra natal. "desde mi cadiera" Jesús Moreno descubre la música del Polish Jazz Quartet, formación francesa que mira al jazz polaco. En el "Tren Azul" de Luis Díaz García descubrimos las varias vertientes del tenor Tino Folgar y la múisca de la Orquesta Gran Casino, en una mirada a las grabaciones más pretéritas de jazz en Catalunya. Toda la información y derechos: http://www.elclubdejazz.com