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durée : 00:58:02 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Si Donald Trump se félicite d'avoir réuni le Rwanda et la RDC pour signer un traité de paix le 27 juin dernier, les combats au Kivu font toujours rage. Pourquoi les Etats-Unis se sont-ils engagés dans la résolution de ce conflit et peuvent-ils réellement y mettre fin ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Onesphore Sematumba Analyste senior pour la République démocratique du Congo et le Burundi auprès de l'International Crisis Group; Sonia Rolley Journaliste,ancienne correspondante de RFI en République Démocratique du Congo; Christophe Le Bec Journaliste à Africa Intelligence, responsable de la rubrique Mines
durée : 00:57:58 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Trump poursuit son rêve de paix au Moyen-Orient, mais les tensions régionales rendent sa stratégie incertaine. Son slogan « faire des affaires, pas la guerre » semble de plus en plus difficile à tenir. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Rym Momtaz Rédactrice en chef de la plateforme Strategic Europe chez Carnegie; Martin Quencez Directeur du bureau de Paris du think tank German Marshall Fund des États-Unis (GMF); Jérôme Viala-Gaudefroy Docteur en civilisation américaine, chargé de cours à Sciences Po
Conférence de préparation aux fêtes de Tichri 5786 Chers amis, Merci de dédier l'étude de ce cours pour l'élévation de l'âme de ma chère femme Nathalie Kamra bat Daniel Saada BENCHETRIT. Merci,
durée : 00:58:45 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Après avoir successivement rencontré Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, Donald Trump affirme pouvoir rétablir la paix. Dans quel cadre et à quel prix pour l'Ukraine et l'Europe ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Michel Duclos Diplomate français; Maud Quessard Maître de conférences des universités, directrice du domaine Euratlantique à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM); Julien Malizard Économiste français
Avec le P. Nicolas sautereau
Cours de préparation à Roch Achana 5786
Pendant deux semaines, quatorze jeunes femmes d'Israël et des Territoires Palestiniens Occupés ont partagé un chalet dans les Alpes vaudoises. Elles y ont suivi une formation pour devenir des leaders de la paix. Un programme porté par les associations Coexistences et Tomorrowʹs Women qui militent pour le dialogue israélo-palestinien. Jessica Da Silva est partie en randonnée avec ces militantes en herbe.
Eid Milaad-un-Nabi : la communauté musulmane célèbre avec ferveur la naissance du Prophète Muhammad, une journée dédiée au rappel de ses enseignements, tels que l'importance de la paix et de l'amour envers autrui by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:02:43 - Regarde le monde - Après les images de gigantesque parade militaire, hier, à Pékin, Jean-Philippe Balasse nous propose ce matin un instant de méditation. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:43 - Regarde le monde - Après les images de gigantesque parade militaire, hier, à Pékin, Jean-Philippe Balasse nous propose ce matin un instant de méditation. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec Fouad Hassoun et Donia Tawk, directrice de la "Cuisine de Marie" https://www.le-phoenix.org/ https://www.facebook.com/p/La-Cuisine-de-Mariam-Marys-soup-kitchen-100064227993686/?locale=fr_FR
Le 2 novembre, vous devrez choisir qui sera le nouveau maire de Montréal. Un des candidats à la mairie est Gilbert Thibodeau. Il est le seul qui se positionne clairement sur la question des prières de rues : il leur ferme la porte et promet de les bannir dès son arrivée à la mairie. Entrevue avec Gilbert Thibodeau, Chef d’Action Montréal. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Il a fait son grand retour aux Etats-Unis. Vendredi 15 août, le président russe, Vladimir Poutine, a posé le pied sur la base américaine d'Anchorage, en Alaska, avant de fouler un long tapis rouge et de s'entretenir en tête à tête avec Donald Trump dans la limousine présidentielle. Cette réhabilitation spectaculaire du maître du Kremlin sur la scène internationale devait être le point d'orgue des efforts diplomatiques entrepris par le locataire de la Maison Blanche sur le dossier ukrainien, au cœur de l'été.Depuis, cependant, les discussions se sont enlisées. Aucun accord de cessez-le-feu n'a encore été trouvé. Et si le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, travaille toujours à obtenir des garanties de sécurité, de concert avec les Européens, Vladimir Poutine n'a en rien infléchi sa position.Que faut-il retenir de toute cette séquence diplomatique ? Pourquoi les différents protagonistes ont-ils subitement accepté de se rencontrer pour discuter ? Et à quelles fins, alors que le peuple ukrainien subit chaque jour les bombardements russes ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Sylvie Kauffmann, éditorialiste au Monde, analyse les derniers mouvements diplomatiques sur le front ukrainien.Un épisode de Marion Bothorel. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extraits d'une interview d'Emmanuel Macron accordée à LCI, le 19 août ; du direct de France 24 et de la conférence de presse donnée par Donald Trump et Vladimir Poutine à Anchorage, le 15 août ; de la réception de Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche, le 28 février.Cet épisode a été diffusé le 2 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
André Kaspi, historien spécialiste des États-Unis, était l'invité de la matinale de Radio Classique ce mardi 2 septembre. L'occasion de rappeler les ambitions parfois peu réalistes du président américain à propos de Gaza et de son futur. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La violence s'est amplifiée ces dernières années en Colombie. En cause notamment : la création de plusieurs groupes de dissidents de la rébellion des FARC. Les efforts pour consolider la paix signée en 2016 peuvent être multiples. Ainsi, un groupe d'anciens guérilleros s'est lancé dans le secteur de la mode. Ils créent des vêtements aux côtés de victimes du conflit armé et de citoyens volontaires. Malgré la peur, les menaces de mort, la stigmatisation et le manque de financement. « La mode pour la paix en Colombie », un grand reportage de Najet Benrabaa.
Chroniqueurs : -Gauthier Le Bret -Caroline Ithurbide -Christophe Bordet -Gérard Carreyrou Invité : -Grégory Moreau, adjoint de la mairie du 11eme arrondissement de Paris Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans les couloirs de l'Université de Neuchâtel, des lycéennes et lycéens découvrent l'exposition inspirée par les travaux de l'historienne belge Anne Morelli, "Résister à la propagande de guerre". Avec leur professeur, les élèves s'interrogent sur l'écho de certaines questions avec l'actualité. Sur le campus de Founex, l'Ecolint - qui accueille 143 nationalités - propose une formation au corps enseignant sur l'éducation en temps de conflits. Reportages de Laure Gabus Réalisation : David Golan Production : Raphaële Bouchet
Entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue russe Vladimir Poutine, la rencontre n'aura, pour l'instant, pas lieu. L'Ukraine a beau rechercher un cessez-le-feu, rien n'y fait. Moscou fait la sourde oreille et redouble d'intensité dans ses attaques. Pour "gagner" la guerre ou contraindre l'Ukraine à capituler avec l'aide des Occidentaux ? La question peut sembler incongrue quand on voit à quel point les Européens font bloc autour de Kiev.
durée : 00:58:51 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - L'Arménie et l'Azerbaïdjan ont signé à Washington le 8 août dernier une déclaration allant vers un accord de paix après plus de trente ans de conflit. L'occasion pour Donald Trump d'apparaître comme un faiseur de paix et de prendre pied dans le Sud-Caucase, historiquement sous influence russe. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Julien Zarifian professeur à l'université de Poitiers, membre junior de l'Institut universitaire de France; Anita Khachaturova Doctorante au Cevipol, à l'Université Libre de Bruxelles; Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier et à Sciences Po Paris
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Dix jours après le sommet Trump-Poutine en Alaska, les espoirs de négociation de paix qu'il avait fait naître sont retombés : la Russie a mis des conditions difficilement acceptables. Aucune rencontre Zelensky-Poutine n'est prévue, a confirmé hier le ministre russe Sergei Lavrov. Que fera Trump ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Dix jours après le sommet Trump-Poutine en Alaska, les espoirs de négociation de paix qu'il avait fait naître sont retombés : la Russie a mis des conditions difficilement acceptables. Aucune rencontre Zelensky-Poutine n'est prévue, a confirmé hier le ministre russe Sergei Lavrov. Que fera Trump ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Est-ce que tu as parfois l'impression d'être en retard dans ta vie ?Dans cet épisode, je vais t'aider à faire la paix avec le temps qui passe.Tu vas découvrir :– Pourquoi tu n'as jamais vraiment été en retard– Comment chaque détour t'a préparée à ce que tu es aujourd'hui – Et pourquoi il n'est jamais trop tard pour commencer un nouveau projetEt si ce projet, c'était apprendre l'arabe ?Beaucoup pensent avoir “raté le bon moment” alors qu'en réalité, le meilleur moment, c'est M.A.I.N.T.E.N.A.N.TLes cours Miftah ouvrent leurs portes.
Invité : Jérôme Fourquet : directeur du département Opinion de l'IFOP "Métamorphoses françaises" (Seuil, 2024) Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Européens semblent être parvenus en partie à rattraper par la manche le président américain, qu'ils voyaient dériver à grande vitesse vers les positions de Vladimir Poutine, le laissant en position de médiateur à défaut d'être solidement dans leur camp.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:42:54 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Au lendemain du sommet de Washington, la guerre en Ukraine semble entrer dans une nouvelle dimension : celle de la diplomatie, même si les combats continuent. Pourtant, de nombreuses incertitudes demeurent : concessions territoriales, garanties de sécurité... La paix en Ukraine est-elle possible ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
A 10h, ce mardi 19 août 2025, les GG : Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de : Guerre en Ukraine, la paix, vous y croyez ?
Invitée : Aurélie Trouvé, députée LFI Seine Saint-Denis Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : Gérard Vespierre, analyste en géopolitique et fondateur du média le "monde décrypté.com" Nicolas Conquer, porte-parole du Parti Républicain en France Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 18 août 2025 - Trump / Zelensky : la paix... ou le clash ?Faire bloc. C'est le but des dirigeants accompagnant aujourd'hui Zelensky à la Maison blanche. Le président ukrainien fera entendre sa position face à Trump, qui cherchera à lui faire accepter des concessions après sa rencontre avec Poutine. Personne n'a toutefois oublié la scène d'humiliation dans le bureau ovale en février dernier, et c'est pour éviter que celle-ci se reproduise qu'Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Giorgia Meloni, Keir Starmer, mais aussi le président finlandais Alexander Stubb, le chef de l'Otan Mark Rutte et Ursula von der Leyen, l'escorteront. Il faut dire que Trump semble soutenir le plan du chef du Kremlin : la paix contre les territoires conquis par les Russes. Le président américain a affirmé que la balle était donc dans le camp du président ukrainien. « Ce n'est pas encore un accord conclu... mais l'Ukraine doit l'approuver ! » Quelles garanties de sécurité obtiendrait toutefois l'Ukraine ?Pendant ce temps, certains pays proches de la Russie craignent pour leur sécurité. Ils pourraient être les prochains dans le viseur de Poutine, ils se tiennent donc sur leurs gardes. C dans l'air est allé en Estonie, où le budget de la défense augmente. Avec une armée composée de 7 700 soldats, le pays compte aussi sur le soutien de 40 000 volontaires civils de la Ligue de défense estonienne.Du côté de l'Ukraine, un mouvement de contestation inédit voit le jour depuis le début de la guerre. Après le vote au Parlement d'une loi supprimant l'indépendance de deux organes anticorruption, des manifestations ont eu lieu, soutenues par de nombreuses ONG. Les partenaires européens de l'Ukraine ont eux aussi exprimé leur consternation. Zelensky a dû reculer, et annoncer un nouveau texte de loi. Il faut dire que l'entrée dans la Communauté européenne est conditionnée à la lutte contre la corruption.Alors, que peut donner la visite de Zelensky à Washington ? Comment l'Estonie se prépare-t-elle à un éventuel conflit avec la Russie ? Comment expliquer le faux pas politique du président ukrainien au sujet de la lutte contre la corruption ? LES EXPERTS :Nicole Bacharan - Historienne, politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest France Marie Jégo - Journaliste spécialiste de la Russie pour Le Monde, ancienne correspondante à MoscouGallagher Fenwick - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sangBertrand Gallicher - Grand reporter, spécialiste des questions internationales PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 18 août 2025 - Trump / Zelensky : la paix... ou le clash ?LES EXPERTS :Nicole Bacharan - Historienne, politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest France Marie Jégo - Journaliste spécialiste de la Russie pour Le Monde, ancienne correspondante à MoscouGallagher Fenwick - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sangBertrand Gallicher - Grand reporter, spécialiste des questions internationales
durée : 00:28:45 - Avoir raison avec... - par : Xavier Mauduit - Le 17 juillet 1979, puisque doyenne, Louise Weiss préside la séance constitutive du Parlement européen pour la première fois élu au suffrage universel. Son discours marque les esprits et demeure dans les mémoires. Louise Weiss est alors surnommée "la grand-mère de l'Europe". - réalisation : Thomas Beau - invités : Marion Gaillard Historienne, spécialiste des relations franco-allemandes et des questions européennes et maître de conférences à Sciences-Po Paris
« Je ne suis pas venu mettre la paix sur terre, mais bien plutôt la division » (Lc 12, 49-53)Méditation de l'Évangile par le père Sébastien AntoniChant Final : "Je suis venu porter le feu" par la Maitrise de la Cathédrale d'AutunRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump, confronté, à 10.000 km de là, à un autre dirigeant désireux de faire entériner ses annexions, aurait donné son blanc-seing à Benyamin Netanyahou.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:13 - 8h30 franceinfo - Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, était l'invité du "8h30 franceinfo" vendredi 15 août. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:44 - La Question du jour - par : Julie Gacon - Depuis le vendredi 8 août, les combats opposant le groupe du M23 et l'armée congolaise ont repris dans l'est de la République Démocratique du Congo. Ces affrontements se sont déroulés malgré la signature d'un accord de paix à Washington fin juin et d'un accord de cessez-le-feu à Doha mi-juillet. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Thierry Vircoulon Chercheur associé à l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'IFRI
Invités : - Général Jacques Morel, général de Gendarmerie, ancien patron section recherches Versailles - Arno Klarsfeld, avocat et écrivian - Wandrille de Guerpel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:42:46 - Le Débat de midi - par : Camille Crosnier, Thomas CHAUVINEAU - Depuis 1901, le Nobel de la paix couronne les artisans d'un monde plus juste. Avec Donald Trump en lice cette année, la récompense semble toujours plus contestée. Doit-on réformer… voire supprimer l'institution centenaire ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:46 - Journal de 12h30 - Donald Trump et Vladimir Poutine se rendront en Alaska pour discuter d'une issue au conflit en Ukraine. Ce sommet, très attendu par le président américain, porte notamment sur la possibilité de concessions territoriales. L'Ukraine a immédiatement réagi, exprimant son opposition à cette idée.
durée : 00:43:30 - Questions du soir d'été - par : Marguerite Catton - À l'heure où les sanctions et pressions internationales se multiplient, que ce soit en lien avec la guerre en Ukraine ou à Gaza, leur efficacité ne va pas de soi. Cette émission revient sur l'intérêt de ces sanctions pour construire une paix durable et mettre fin aux conflits. - réalisation : Phane Montet - invités : Eric Danon Ancien ambassadeur de France en Israël, spécialiste des questions de sécurité et de défense; Johann Soufi Avocat spécialisé en droit international, ancien directeur du bureau juridique de l'Unrwa dans la bande de Gaza ; Alexandra Novosseloff Politiste, chercheuse associée au Centre Thucydide de l'Université Paris 2 Panthéon-Assas
Le ballet diplomatique se poursuit à Washington et à Doha pour finaliser et mettre en pratique l'accord signé fin juin entre Kinshasa et Kigali. Un accord, rappelle Le Journal de Kinshasa, qui « engage la RDC et le Rwanda à respecter l'intégrité territoriale, à cesser toute activité militaire hostile, à désarmer et encadrer les groupes armés non étatiques, et à mettre en place un mécanisme conjoint de sécurité ». « Une première réunion du comité mixte de surveillance de l'accord de paix s'est tenue à Washington », vendredi dernier, poursuit le site. Des représentants des deux pays ont approuvé les principes d'un cadre d'intégration économique régional. « Parallèlement, relève encore Le Journal de Kinshasa, des négociations ont lieu à Doha entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23. Une déclaration de principes a été signée le 19 juillet dernier, engageant les deux parties à respecter une feuille de route pour le rétablissement de l'autorité de l'État dans l'est de la RDC. Les discussions pour un accord de paix détaillé doivent débuter au plus tard le 8 août, pour une signature prévue autour du 18 août. Enfin, une rencontre au sommet entre les présidents de la RDC et du Rwanda est attendue fin août à Washington, dans l'espoir de sceller un règlement global et durable de la crise dans la région des Grands Lacs. » À lire aussiDéclaration de principe entre la RDC et le groupe AFC/M23: ces points qui bloquent dans son application Les États-Unis ont la clé Toutefois, tempère Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, « aucune avancée ne s'est fait sentir sur le terrain, les affrontements se poursuivent entre milices supplétives de Kinshasa et rebelles. » « Les lignes ont certes bougé, puisque Kinshasa s'est résolu à entamer le dialogue avec l'AFC/M23 à Doha, mais le chemin est encore long puisque le retrait de l'AFC/M23 des zones qu'il contrôle reste le point de blocage majeur entre Kinshasa et la rébellion, poursuit Afrikarabia. D'autant que les prétextes ne manquent pas à chacune des parties pour ne pas respecter les engagements des accords signés. En fait, pointe le site, Kinshasa compte surtout sur Washington pour faire plier la rébellion. Donald Trump en a les moyens. Le président américain a récemment déclaré que les présidents congolais et rwandais devaient se retrouver prochainement dans la capitale américaine pour signer le texte final. Il peut sans doute arriver à ses fins, mais, s'interroge Afrikarabia, avec quelle place pour l'AFC/M23, et quelles conséquences en cas de non-respect de l'accord ? Les États-Unis revêtiront-ils de nouveau le costume du gendarme ? Pour l'instant, nous n'en savons rien. » À lire aussiEst de la RDC: des attaques du M23 malgré l'accord à Washington Vers la formation d'un nouveau gouvernement Dans le même temps, sur le plan intérieur, le président Félix Tshisekedi s'apprête à remanier son gouvernement. « Lors d'une réunion tenue avant-hier avec les cadres de l'Union sacrée de la Nation, sa plateforme politique, le chef de l'État a esquissé les grandes lignes de cette refonte imminente, pointe Afrik.com. (…) Judith Suminwa conservera son poste de Première ministre, mettant ainsi fin aux spéculations sur une éventuelle éviction ou sur la nomination d'un membre de l'opposition à la Primature. (…) Parmi les autres annonces, la réduction du nombre de membres du gouvernement : il comptera moins de 50 ministres, contre 54 actuellement. Cette rationalisation vise à rendre l'exécutif plus efficace et mieux adapté aux défis du moment. » Enfin, note encore Afrik.com, « dans une volonté affichée d'inclusivité, le président Tshisekedi a confirmé l'entrée prochaine de personnalités issues de l'opposition et de la société civile. Une ouverture politique censée renforcer la cohésion nationale dans un contexte tendu sur les plans sécuritaire, social et diplomatique ». Commentaire du quotidien Aujourd'hui à Ouaga : « guerre à l'est de la RDC, géopolitique instable, petit couac avec l'affaire Constant Mutamba, le Garde des sceaux, englué dans une affaire de détournement de 19 millions de dollars qui a dû démissionner le 18 juin dernier. Il fallait redonner un second souffle au gouvernement. Et le prochain devra être celui du combat, pour conforter l'union sacrée, mais aussi colmater les brèches et consolider le pouvoir de Tshisekedi ». À lire aussiRDC: Félix Tshisekedi s'apprête à remanier le gouvernement en maintenant Judith Suminwa en poste
« Il faut aller à la palabre africaine », disent les évêques de Côte d'Ivoire, après l'exclusion de plusieurs personnalités de l'opposition de la présidentielle du 25 octobre prochain. Dans une lettre pastorale publiée il y a une semaine, la Conférence des évêques de Côte d'Ivoire appelle à une élection « juste et inclusive », à laquelle, outre le président sortant Alassane Ouattara, qui a déclaré sa candidature ce 29 juillet, ses principaux opposants pourraient, eux aussi, se présenter. Mgr Jacques Ahiwa répond aux questions de Christophe Boisbouvier depuis son archevêché de Bouaké. RFI : À trois mois de l'élection présidentielle, vous venez de publier une lettre pastorale dans laquelle vous ne cachez pas votre inquiétude. Pourquoi ? Mgr Jacques Ahiwa : Parce que nous sommes des pasteurs. Nous avons les quinze diocèses de Côte d'Ivoire. Nous sommes au contact des populations. Et ce sont un peu les craintes de ces populations que nous avons essayé d'analyser, de prendre en compte non seulement dans nos prières, mais aussi dans nos analyses pour apporter quelques éléments de réponse et surtout de propositions pour apaiser, aider à apaiser ces craintes-là. Et quelles sont ces craintes ? Les craintes, c'est la peur d'une élection émaillée de violence. Nous savons depuis un certain temps que chaque fois que, les élections sont annoncées, les populations ont la peur au ventre. Et donc ça nous remonte. Tout le monde nous dit "priez, priez pour nous, faites quelque chose". Et ce que nous pouvons faire, effectivement, en tant que pasteur, c'est de prier et puis d'apporter notre contribution à la construction, à la préservation de la paix. Monseigneur Jacques Ahiwa, dans votre lettre pastorale, il y a une semaine, vous appelez à une élection « juste et inclusive », est-ce à dire que pour l'instant ces deux conditions ne vous paraissent pas réunies ? De ce qui revient des différents états-majors, je parle des groupements politiques de la société ivoirienne, nous constatons que, jusqu'à présent, il y a des dinosaures, comme on dit, de la politique ivoirienne qui ne figurent pas sur la liste électorale. Et cela crée beaucoup de tensions. Chacun fait valoir ses arguments et cela crée beaucoup de crispations dans la population. Donc en termes d'inclusion, pour l'instant, je pense que nous n'y sommes pas encore arrivés. Il y a encore du travail à faire pour que cette élection soit la plus large possible. Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Charles Blé Goudé… Plusieurs dinosaures, comme vous dites, n'ont pas le droit de se présenter, car les autorités affirment qu'elles ne sont pas éligibles au regard de la loi ivoirienne. Quelle est la position de la conférence épiscopale à ce sujet ? La position de la conférence, elle porte sur la loi, sur la loi fondamentale. Nous avons fait notre analyse sur la base de la loi, mais aussi de l'environnement. Ceux qui estiment qu'ils ne sont pas éligibles ont les éléments pour argumenter. Mais nous, en tant qu'acteur aussi de la vie sociale, en regardant ce qui se passe, en analysant les crispations, parce que chacun fait valoir ses arguments, on aurait souhaité que les discussions se poursuivent pour voir dans quelle mesure cette exclusion ou bien ce manque qui pourrait permettre à ces candidats de compétir puisse trouver des solutions. Concernant l'éligibilité de ces opposants, et c'est toujours dans votre lettre épiscopale, vous appelez à concilier le respect du droit et le bon sens politique. Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Nous voulons dire que, quand les lois ne permettent pas de préserver la cohésion, il faut peut-être aller à la palabre africaine. La palabre africaine, c'est quand il y a un problème presque insoluble, on active des leviers, des mécanismes pour entendre tout le monde et résoudre la question. D'autant plus que, depuis un certain temps, depuis 2010, la Côte d'Ivoire a quelques fois eu recours à ce genre de procédé. Et nous le disons très bien dans notre lettre que ce n'est pas nouveau que les acteurs de la vie politique puissent s'asseoir autour de la même table au niveau de l'élection présidentielle pour trouver des solutions. On parle même d'arrangements politiques. C'est ce que nous appelons le bon sens politique au regard des crispations, au regard de toutes les plaintes et de tout ce qui est susceptible de créer des désordres jusqu'à mort d'homme. Vous le savez très bien, les dernières élections étaient émaillées de pas mal de violence. Pour éviter tout cela, nous en appelons au bon sens politique qui consiste à s'asseoir autour de la même table et à trouver les solutions pour résoudre définitivement cette question de l'éligibilité. Est-ce que vous faites référence à l'accord politique conclu sous l'égide du président sud-africain, Thabo Mbeki, afin que Monsieur Alassane Ouattara puisse être candidat en 2010 ? Oui, nous l'avons dit dans la lettre aussi, c'est très clairement signifié. Nous parlons des accords issus des négociations de la crise de 2002, qui ont permis à tous les candidats de se présenter, au point qu'en 2010, les élections ont connu quand même un engouement assez fort. Quand il y a contradiction entre le respect du droit et le bon sens politique, qu'est-ce qui doit primer à vos yeux ? C'est la sagesse africaine, la préservation de la paix. Il n'y a pas de sacrifice de trop pour préserver la paix. Si vraiment il faut mettre entre parenthèses, dans un premier temps, le droit pour sauver les vies humaines, je pense que le choix est clair. Il faut sauver d'abord les vies humaines et après trouver vraiment les meilleurs mécanismes pour écrire des lois consensuelles qui pourront être acceptées par tous. Alors ce que disent les autorités ivoiriennes, c'est que, si elles n'appliquent pas le droit de façon stricte et rigoureuse, elles risqueront ensuite d'être accusées d'autoriser les passe-droits. Oui, ça, c'est vrai. C'est ce qu'on a toujours dit. Mais vous le savez très bien, depuis toujours, la loi, elle a été la loi et c'est face à la rigueur de la loi qu'on a toujours sollicité des médiations hors loi pour régler des crises. Il se trouve que nous sommes pratiquement dans les mêmes situations de crise qu'auparavant. Alors, je pense qu'il vaut mieux, pour sauver des vies. Nous, notre objectif, c'est cela : comment préserver la paix ? Comment faire en sorte que chaque ivoirien, chaque habitant de ce pays puisse aller et venir sans crainte en temps d'élection comme en temps de non élection. Que chacun puisse vaquer normalement à ses occupations et que les élections ne soient pas sources de crainte, de peur et surtout de violence en Côte d'Ivoire. La vie de l'homme est plus que tout. La vie est sacrée et nous, évêques de Côte d'Ivoire, nous sommes au service de la vie. Et nous sommes les veilleurs pour que tout soit mis en œuvre, même s'il faut mettre entre parenthèses pour un moment la loi pour que la vie soit sauvée, il faut le faire. Ce ne sera pas la première fois et ce ne sera pas le premier cas de figure dans le monde entier. Et puis, dans votre lettre pastorale, Mgr Jacques Ahiwa, vous dénoncez, je cite, l'amateurisme de l'administration électorale. Faut-il à vos yeux remplacer la CEI, la Commission électorale indépendante, par autre chose ? La CEI dans sa configuration actuelle est assez critiquée par les différents acteurs de la vie politique et sociale en Côte d'Ivoire. Il y a donc un travail à faire pour avoir une CEI, d'autant plus qu'elle est permanente, une CEI qui puisse être acceptée par tous pour que les règles qu'elle dicte soient reçues et bien mises en œuvre. Je pense qu'on va y arriver, mais pour l'instant, telles que les choses se présentent, la CEI, quand on la regarde, elle est un peu déséquilibrée. Et donc, il y a ce travail d'équilibrage pour qu'elle soit la plus consensuelle possible.
☀️ C'est cadeau : je vous offre le guide d'application de l'épisode pour intégrer concrètement les clés que je vous y confie. Pour le télécharger, cliquez ici : https://changemavie.com/guidesCet épisode est à écouter quand vous vous trouvez en désamour de votre corps et que vos complexes vous gâchent la vie. Quand vous vous sentez envahi·e de pensées d'insatisfaction à propos de votre corps, quand vous vous sentez focalisé·e sur toutes les façons dont il ne correspond pas à vos attentes — par sa forme, sa texture, son apparence… Je me propose de vous aider à décoder cette insatisfaction si douloureuse lorsqu'elle survient, pour vous apaiser, et retrouver une forme de connexion avec votre corps, tout imparfait qu'il soit.
durée : 00:43:07 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - La RDC et le Rwanda ont signé un accord de paix le 27 juin dernier, sous l'égide des États-Unis. Peu de temps après, la déclaration dite de Doha, menée sous la coupe du Qatar, a été signée entre le gouvernement congolais et les groupes armés de l'AFC-M23. S'agit-il d'un coup d'éclat diplomatique ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Maria Malagardis Grand reporter au journal Libération; Bob Kabamba Professeur de sciences politiques à l'Université de Liège; Séverine Autesserre Professeure des universités et directrice du département de science politique à la Faculté Barnard de l'université Columbia à New York
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 3. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis le 7 octobre 2023, date des attaques commises par le Hamas en Israël, le monde vit de nouveau au rythme du conflit israélo-palestinien. Depuis l'offensive du mouvement islamiste palestinien, Israël a déclenché sa riposte militaire à coups de bombardements dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, au Liban et en Iran, plongeant toute la région dans la guerre. Alors que des milliers de personnes ont perdu la vie, que Gaza souffre de la faim, que les économies dévissent, le reste de la population vit dans l'attente des pourparlers, des trêves et des négociations. Dans la région du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, 54% de la population a moins de 30 ans, selon les Nations unies. Dans ce contexte incertain, difficile de se projeter vers l'avenir pour cette nouvelle génération. Entre l'instabilité politique, les conflits récurrents, la vie chère et les taux de chômage élevés, comment croire en la paix quand on est jeune au Moyen-Orient ? Avec : • Marie Kortam, sociologue au département des Études contemporaines à l'Institut français du Proche-Orient, IFPO • Stéphanie Latte Abdallah, historienne, directrice de recherche au CNRS, co-autrice de Faire art, société et politique entre guerre et paix (Presses de l'Institut français du Proche-Orient, Ifpo / Diacritiques Éditions) • Anthony Samrani, co-rédacteur en chef à L'Orient-Le Jour et auteur de Vu du Liban : La fin d'un pays, la fin d'un monde ? dans la collection Tracts chez Gallimard en 2024. Des témoignages recueillis par Alice Moreno, correspondante de RFI à Ramallah. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, croire en la paix : qu'en pensent les jeunes ? Programmation musicale : ► Shmaali Tarweeda (Nicolas Jaar Remix) - Yasmine Hamdan ► Corazon - JUL feat. GIMS.
durée : 00:03:53 - Choses vues - A propos de notre sujet de cette semaine ? « Nous chercherons le soleil au milieu de la nuit, et nous parlerons de paix intérieure… » Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
UNESCO 2025 : Serigne Fallou Mbacké : « Déclaration Universelle Cheikh A. Bamba pour la Paix»
UNESCO 2025 : Cheikhouna Mbacké A. Wadoud : « La Culture de la Paix et de la Tolérance en Islam »
UNESCO 2025 : Pr Galaye Ndiaye : « La Culture de la Paix dans la Doctrine de Cheikh A. Bamba »
UNESCO 2025 : S. Cheikh Fatma Mbacké : «La Paix en Héritage ou le modèle mouride de vivre-ensemble»