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Concert de l'Orchestra Baobab le 7 juin 2025 au festival Musiques métisses à Angoulême (France). Suite et fin de la semaine concerts de RFI. Après Tiken Jah Fakoly, Luidji, Queen Rima, Kutu, Ballaké Sissoko & Piers Faccini, place à l'Orchestra Baobab ! Avec sa fusion inimitable de rythmes afro-cubains, de sonorités mandingues, et de traditions musicales wolof et sérères, Orchestra Baobab offre une célébration de l'âme sénégalaise et un hommage vibrant à son patrimoine musical. Leur dernier album Made in Sénégal est un voyage musical inoubliable et un retour triomphal après sept ans de silence. Titres interprétés lors du concert : Outro Horas, Wanema Ma Guiss, Sutukoum, Anna Maria, Sénégal, Ndiga Niaw et Sibo Odia. Line Up : Seydou Norou Koite (directeur musical, sax alto), Mamadou Mountaga Koite (batterie), Zaccharia Koite (chant lead), René «Boléro» Sowatche (guitare lead), Yahya Fall (guitare rythmique), Moussa Sissokho (percussions), Malick Sy (basse), Ndeye Korka Dieng (chant) et Wilfrid Ambroise Zinsou (sax ténor). Nos invités : Mamadou Mountaga Koite alias Taga et Abib M'Baye (manager). Biographie Orchestra Baobab Depuis l'indépendance (1960), les nuits dakaroises sont principalement animées par les musiques cubaines. La clientèle, aisée, composée principalement d'élites politiques et économiques qui dirigent l'État présidé par Léopold Sédar Senghor, s'y retrouve pour boire et danser. L'Orchestra Baobab naît en 1970 dans l'effervescence nocturne de Dakar, capitale cosmopolite du Sénégal. Le plus prolifique et le plus durable des orchestres dakarois des années 1970, enregistre plus de vingt disques et cassettes entre 1972 et 2001. À l'image d'un Sénégal indépendant, moderne et ouvert tant aux influences occidentales qu'aux flux migratoires panafricains, l'Orchestra Baobab dévoile une musique métissée qui mêle instruments électriques importés et percussions de facture locale, rythmes et mélodies tirées du folklore et improvisations jazzistiques. L'orchestre a animé l'élégant « Club Baobab », situé dans un complexe du même nom regroupant un bar américain, un restaurant et la boîte de nuit. La musique de l'Orchestra Baobab reprend une formule consacrée par ses prédécesseurs d'Afrique de l'Ouest. Les grands orchestres de danse post-indépendance comme le Bembeya Jazz National et l'Orchestre Paillotte de Guinée Conakry, les Maravillas de Mali de Boncana Maïga ou le Rail Band de Bamako, le Star Band de Dakar, font vibrer les élites des nations nouvelles au rythme de musiques inspirées tant des folklores locaux que des rythmes caraïbes ou noirs américains. Le Sénégal est, avec le Congo Zaïre, le pays qui a le plus consommé les musiques cubaines et latino-américaines. Ce qui caractérise le « son » du Baobab, c'est qu'il tire son inspiration de plusieurs folklores nationaux. Le wolof est la langue nationale, et la principale influence dans les autres orchestres de la capitale. Mais les inspirations sérère, toucouleur, malinké ou créole font tout autant partie du registre du Baobab. Plusieurs folklores harmonisés par des arrangements orchestraux modernes pour le plaisir d'un public demandeur de distractions nocturnes qui soient autant les réinterprétations des folklores entendus dans l'enfance que les musiques étrangères contemporaines en vogue en Europe et aux États-Unis. Panafricain et enraciné dans les cultures régionales du Sénégal et de ses frontières, moderne, l'orchestra Baobab n'est pas un orchestre national à proprement parler, comme ce fut le cas de certains orchestres maliens ou guinéens. Basé dans la capitale, il reflète à lui seul la diversité ethnoculturelle d'un Sénégal uni par une capitale qui attire des habitants venus de l'ensemble du pays. Pas d'orchestre officiel régional ici. Plus cosmopolite, peut-être aussi plus élitiste, le « son » du Baobab est à l'image d'un Dakar très ouvert à la modernité occidentale. Le succès rapide de l'orchestre Baobab est dû aussi bien au talent des musiciens qu'à celui des entrepreneurs qui ont idéalisé le Club, à leur capacité à attirer certains des meilleurs musiciens et chanteurs du Dakar by night. Mais la vie nocturne dakaroise est le théâtre d'un éternel conflit entre concurrents sur un marché de taille restreinte. Beaucoup de musiciens et quelques orchestres se disputent une place sous les spotlights, alors que la capitale compte en définitive peu de clubs et encore moins de clients. Les membres du Baobab sont recrutés dans les autres formations déjà actives dans les boîtes dakaroises. Le premier chef d'orchestre, Baro N'Diaye, travaillait auparavant au bar-restaurant club « La Plantation ». Saxophoniste ténor, c'est lui qui forme la première mouture de l'orchestre du Baobab, probablement avec le bassiste Sidath Ly. Balla Sidibe, chanteur/batteur, Rudy Gomis et Barthélémy Attisso sont issus du Star Band, qui animait le club « Le Miami » d'Ibrahima Kasse. Le Club Baobab ferme ses portes en 1979. L'Orchestre demeure en activité, et continue d'enregistrer des disques tout aussi géniaux. Mais le « son » n'est plus le même. Au fil des changements techniques et stylistiques, avec l'apparition de la mini-cassette qui ouvre la porte à la piraterie en masse, l'explosion du m'balax, et du simple fait qu'il n'anime plus un club destiné à certaines élites, se perd le cachet si particulier aux enregistrements d'une époque marquée par une vie nocturne intense. Au XXIè siècle, rencontre avec l'Anglais Nick Gold du label World Circuit qui relance la carrière du Baobab avec Specialist in all styles. Aujourd'hui, l'Orchestra Baobab s'est lancé dans une trilogie avec Made in Dakar (2007), Made in Sénégal (2026) puis Made in Africa (dans le futur avec des invités prestigieux). Son & Mixage en binaural : Mathias Taylor (RFI Labo). Site Orchestra Baobab - Facebook - YouTube.
Concert de l'Orchestra Baobab le 7 juin 2025 au festival Musiques métisses à Angoulême (France). Suite et fin de la semaine concerts de RFI. Après Tiken Jah Fakoly, Luidji, Queen Rima, Kutu, Ballaké Sissoko & Piers Faccini, place à l'Orchestra Baobab ! Avec sa fusion inimitable de rythmes afro-cubains, de sonorités mandingues, et de traditions musicales wolof et sérères, Orchestra Baobab offre une célébration de l'âme sénégalaise et un hommage vibrant à son patrimoine musical. Leur dernier album Made in Sénégal est un voyage musical inoubliable et un retour triomphal après sept ans de silence. Titres interprétés lors du concert : Outro Horas, Wanema Ma Guiss, Sutukoum, Anna Maria, Sénégal, Ndiga Niaw et Sibo Odia. Line Up : Seydou Norou Koite (directeur musical, sax alto), Mamadou Mountaga Koite (batterie), Zaccharia Koite (chant lead), René «Boléro» Sowatche (guitare lead), Yahya Fall (guitare rythmique), Moussa Sissokho (percussions), Malick Sy (basse), Ndeye Korka Dieng (chant) et Wilfrid Ambroise Zinsou (sax ténor). Nos invités : Mamadou Mountaga Koite alias Taga et Abib M'Baye (manager). Biographie Orchestra Baobab Depuis l'indépendance (1960), les nuits dakaroises sont principalement animées par les musiques cubaines. La clientèle, aisée, composée principalement d'élites politiques et économiques qui dirigent l'État présidé par Léopold Sédar Senghor, s'y retrouve pour boire et danser. L'Orchestra Baobab naît en 1970 dans l'effervescence nocturne de Dakar, capitale cosmopolite du Sénégal. Le plus prolifique et le plus durable des orchestres dakarois des années 1970, enregistre plus de vingt disques et cassettes entre 1972 et 2001. À l'image d'un Sénégal indépendant, moderne et ouvert tant aux influences occidentales qu'aux flux migratoires panafricains, l'Orchestra Baobab dévoile une musique métissée qui mêle instruments électriques importés et percussions de facture locale, rythmes et mélodies tirées du folklore et improvisations jazzistiques. L'orchestre a animé l'élégant « Club Baobab », situé dans un complexe du même nom regroupant un bar américain, un restaurant et la boîte de nuit. La musique de l'Orchestra Baobab reprend une formule consacrée par ses prédécesseurs d'Afrique de l'Ouest. Les grands orchestres de danse post-indépendance comme le Bembeya Jazz National et l'Orchestre Paillotte de Guinée Conakry, les Maravillas de Mali de Boncana Maïga ou le Rail Band de Bamako, le Star Band de Dakar, font vibrer les élites des nations nouvelles au rythme de musiques inspirées tant des folklores locaux que des rythmes caraïbes ou noirs américains. Le Sénégal est, avec le Congo Zaïre, le pays qui a le plus consommé les musiques cubaines et latino-américaines. Ce qui caractérise le « son » du Baobab, c'est qu'il tire son inspiration de plusieurs folklores nationaux. Le wolof est la langue nationale, et la principale influence dans les autres orchestres de la capitale. Mais les inspirations sérère, toucouleur, malinké ou créole font tout autant partie du registre du Baobab. Plusieurs folklores harmonisés par des arrangements orchestraux modernes pour le plaisir d'un public demandeur de distractions nocturnes qui soient autant les réinterprétations des folklores entendus dans l'enfance que les musiques étrangères contemporaines en vogue en Europe et aux États-Unis. Panafricain et enraciné dans les cultures régionales du Sénégal et de ses frontières, moderne, l'orchestra Baobab n'est pas un orchestre national à proprement parler, comme ce fut le cas de certains orchestres maliens ou guinéens. Basé dans la capitale, il reflète à lui seul la diversité ethnoculturelle d'un Sénégal uni par une capitale qui attire des habitants venus de l'ensemble du pays. Pas d'orchestre officiel régional ici. Plus cosmopolite, peut-être aussi plus élitiste, le « son » du Baobab est à l'image d'un Dakar très ouvert à la modernité occidentale. Le succès rapide de l'orchestre Baobab est dû aussi bien au talent des musiciens qu'à celui des entrepreneurs qui ont idéalisé le Club, à leur capacité à attirer certains des meilleurs musiciens et chanteurs du Dakar by night. Mais la vie nocturne dakaroise est le théâtre d'un éternel conflit entre concurrents sur un marché de taille restreinte. Beaucoup de musiciens et quelques orchestres se disputent une place sous les spotlights, alors que la capitale compte en définitive peu de clubs et encore moins de clients. Les membres du Baobab sont recrutés dans les autres formations déjà actives dans les boîtes dakaroises. Le premier chef d'orchestre, Baro N'Diaye, travaillait auparavant au bar-restaurant club « La Plantation ». Saxophoniste ténor, c'est lui qui forme la première mouture de l'orchestre du Baobab, probablement avec le bassiste Sidath Ly. Balla Sidibe, chanteur/batteur, Rudy Gomis et Barthélémy Attisso sont issus du Star Band, qui animait le club « Le Miami » d'Ibrahima Kasse. Le Club Baobab ferme ses portes en 1979. L'Orchestre demeure en activité, et continue d'enregistrer des disques tout aussi géniaux. Mais le « son » n'est plus le même. Au fil des changements techniques et stylistiques, avec l'apparition de la mini-cassette qui ouvre la porte à la piraterie en masse, l'explosion du m'balax, et du simple fait qu'il n'anime plus un club destiné à certaines élites, se perd le cachet si particulier aux enregistrements d'une époque marquée par une vie nocturne intense. Au XXIè siècle, rencontre avec l'Anglais Nick Gold du label World Circuit qui relance la carrière du Baobab avec Specialist in all styles. Aujourd'hui, l'Orchestra Baobab s'est lancé dans une trilogie avec Made in Dakar (2007), Made in Sénégal (2026) puis Made in Africa (dans le futur avec des invités prestigieux). Son & Mixage en binaural : Mathias Taylor (RFI Labo). Site Orchestra Baobab - Facebook - YouTube.
ESSENTIEL - Côté Jardin. Emission présentée par Jacques Benhamou Il reçoit Dany Doriz, saxophoniste, qui viendra parler d'un endroit mythique et historique à Paris : Le Caveau de la Huchette qu'il dirige. Et où se réunissaient, entre-autres, les révolutionnaires de 1789.
Cet épisode de "La partition" nous plonge dans l'univers fascinant de Charlie Parker, l'un des plus grands saxophonistes de jazz de l'histoire. Surnommé "Bird", ce musicien visionnaire a révolutionné le jazz en développant le bebop, un style musical caractérisé par une improvisation audacieuse et une virtuosité époustouflante. À travers les récits passionnants d'Ombline Roche, nous découvrons les débuts de Charlie Parker, son apprentissage acharné dès son plus jeune âge, et son émancipation du jazz "swing" de la génération précédente. Nous comprenons comment Parker, avec son complice Dizzy Gillespie, a voulu repousser les limites du jazz traditionnel pour créer quelque chose de totalement novateur, où le soliste devient le centre de l'attention.L'animatrice nous fait également entrer dans l'univers tourmenté de cet artiste, qui a lutté contre ses démons personnels tout en repoussant les frontières de l'improvisation. On apprend ainsi que Parker, véritable "magicien" du saxophone, n'hésitait pas à jouer avec des instruments en mauvais état, préférant se concentrer sur la magie de l'instant présent plutôt que sur la perfection technique.Cet épisode est une véritable plongée dans l'âge d'or du bebop, une époque charnière où le jazz s'est réinventé. À travers le parcours singulier de Charlie Parker, on saisit toute la richesse, la complexité et la liberté de cette révolution musicale. Un must-écoute pour tout amateur de jazz et d'histoire de la musique !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Premier quatuor de saxophones récompensé aux Victoires de la musique classique (Ensemble de l'année en 2020), Ellipsos souffle ses vingt ans avec un huitième album. Dans Symphonic Stories, les quatre virtuoses revisitent quatre œuvres emblématiques - Carmen, Casse-Noisette, West Side Story et Rhapsody in Blue – aux sons lumineux et fougueux de leurs instruments. Rencontre avec le Franco-Éthiopien Paul-Fathi Lacombe au saxophone soprano qui raconte ces histoires symphoniques de l'album à l'occasion des 30 ans de la Folle Journée de Nantes. Pour en savoir plus surQuatuor Ellipsos, cliquez ici.À écouter dans Invité CultureLe saxophoniste Laurent Bardainne: «J'ai envie d'écrire de la musique qui rend les gens joyeux surtout»
Premier quatuor de saxophones récompensé aux Victoires de la musique classique (Ensemble de l'année en 2020), Ellipsos souffle ses vingt ans avec un huitième album. Dans Symphonic Stories, les quatre virtuoses revisitent quatre œuvres emblématiques - Carmen, Casse-Noisette, West Side Story et Rhapsody in Blue – aux sons lumineux et fougueux de leurs instruments. Rencontre avec le Franco-Éthiopien Paul-Fathi Lacombe au saxophone soprano qui raconte ces histoires symphoniques de l'album à l'occasion des 30 ans de la Folle Journée de Nantes. Pour en savoir plus surQuatuor Ellipsos, cliquez ici.À écouter dans Invité CultureLe saxophoniste Laurent Bardainne: «J'ai envie d'écrire de la musique qui rend les gens joyeux surtout»
durée : 00:08:57 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - C'est le Sofiane Pamart du saxo ! Comme le pianiste star des rappeurs, il est en train de propulser son instrument dans le XXIème siècle. Pour son premier album solo, "Take O1", le saxophoniste Ferdi est ce matin l'invité de Mathilde Serrell.
durée : 02:03:52 - Musique matin du mardi 27 août 2024 - par : Jean-Baptiste Urbain - La saxophoniste Valentine Michaud sort son disque "Oiseaux de Paradis", en duo avec son frère, le percussionniste Gabriel Michaud. Une escapade onirique alliant transcriptions de musique baroque, arrangements de jazz, créations et même éventail de bruitages et imitations d'oiseaux. - réalisé par : Yassine Bouzar
Un jazzman pharmacien ? Oui, c'était Jacques Pelzer, un saxophoniste de Liège qui peu à peu, avait transformé sa pharmacie en repère pour tous les musiciens de passage, dont le trompettiste Chet Baker qui fut l'un de ses amis. Portrait d'un musicien discret qui participa à l'âge d'or du jazz belge !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:56:33 - Musique matin du mardi 11 juin 2024 - par : Jean-Baptiste Urbain - C'est après un voyage en Amérique Latine que Jeanne Michard a décidé de faire de la musique sa vie. Révélation de l'année aux Victoires du Jazz 2023, son second album "Entre Las Flores" est profondément empreint de ces sonorités, à la croisée du jazz, de la musique afro-cubaine et même du hip-hop. - réalisé par : Margot Page
durée : 00:59:18 - invitée : Julieta Eugenio - par : Alex Dutilh - La saxophoniste Julieta Eugenio approfondit son travail avec un nouvel album poétique “Stay” à la suite de ses débuts avec “Jump”. Elle poursuit sa collaboration avec le bassiste Matt Dwonszyk et le batteur Jonathan Barber, et se dote d'un invité de marque en la personne de Leo Genovese. - réalisé par : Fabien Fleurat
durée : 00:59:18 - invitée : Julieta Eugenio - par : Alex Dutilh - La saxophoniste Julieta Eugenio approfondit son travail avec un nouvel album poétique “Stay” à la suite de ses débuts avec “Jump”. Elle poursuit sa collaboration avec le bassiste Matt Dwonszyk et le batteur Jonathan Barber, et se dote d'un invité de marque en la personne de Leo Genovese. - réalisé par : Fabien Fleurat
durée : 02:04:35 - Musique matin du mercredi 27 mars 2024 - par : Jean-Baptiste Urbain - Intimiste, émouvant, le compositeur et saxophoniste Christophe Panzani revient avec un nouvel album en hommage à sa mère, "Mères Océans". Une épopée musicale qui nous embarque vers un monde de souvenirs, au-delà des mots. - réalisé par : Yassine Bouzar
Après son concert, Camilla George, étoile montante du jazz panafricain, dévoile comment son héritage nigérian et son amour pour l'afrobeat fusionnent dans un jazz révolutionnaire. Dans l'ambiance cosy du théâtre François Ponsard, lors du Jazz Club de Jazz à Vienne, j'ai eu le privilège de rencontrer la saxophoniste nigériane Camilla George. Elle est considérée comme une étoile montante du jazz panafricain, alliant avec brio afrobeat, hip-hop, jazz, et les sonorités traditionnelles ibibios, un hommage à son ethnie, une des plus anciennes du Nigéria, thème central de son dernier album "Ibio-Ibio". Au sein de ce nouvel album, la saxophoniste s'entoure de talentueux musiciens issus de la scène jazz londonienne, dont elle fait elle-même partie. Elle partage des similitudes avec le légendaire Fela Kuti, notamment leur héritage nigérian, leur amour pour l'afrobeat, leur virtuosité au saxophone, et leur passage par le Trinity College of Music à Londres. Représentant la nouvelle vague du jazz londonien, avec une carrière déjà riche de dix ans et trois albums, elle se distingue par une sonorité envoûtante, un mélange de jazz, de rap, et une profonde connexion avec la spiritualité ibibio et les rythmiques nigérianes. Il était une heure du matin dans ce théâtre à l'italienne, lorsque Camilla George, avec son regard captivant, m'a fait découvrir sa musique, me transportant dans son monde, depuis son enfance jusqu'à ses premiers pas avec le saxophone.
Forte d'une cinquantaine de musiciens, la Musique de l'Artillerie assure les cérémonies officielles et protocolaires, constituant ainsi un élément de relations publiques de premier ordre pour l'armée de Terre. Comme chaque année, elle animera le concert du Gouverneur Militaire de Lyon qui se tiendra, cette année encore, à la Bourse du Travail à Lyon le 14 décembre prochain. La Musique de l'Artillerie est implantée au cœur de Lyon, dans le quartier de Gerland, au sein de l'emprise du 7e Régiment du Matériel de Lyon. Nous avons rencontré le caporal Quentin, l'un des 4 saxophonistes de la musique, pour parler de son expérience. Ecoutez le podcast....
Musicien de jazz haïtien-canadien, Jowee Omicil revient avec un nouvel album solo « Spiritual Healing: Bwa Kayiman Freedom Suite ». Un album d'improvisations autour de la cérémonie du Bois-Caïman, une réunion d'esclaves marrons la nuit du 14 août 1791 en Haïti. Un vent haïtien de révolte et de mystique souffle sur RFI, grâce à une étoile du jazz, le saxophoniste Jowee Omicil, qui a décidé de se plonger dans ses racines haïtiennes, en enregistrant un nouvel album qui s'inspire de la cérémonie du Bois-Caïman. Cette réunion d'esclaves marrons est considérée en Haïti comme l'acte fondateur de la révolution et de la guerre d'indépendance. C'est le premier grand soulèvement collectif de Haïti contre l'esclavage.Spiritual Healing : Bwa Kayiman Freedom Suite est le titre du nouvel album de Jowee Omicil. Une improvisation d'une heure, découpée en 21 stations, comme autant de rites. Un vent mystique de révolte et de mémoire souffle naturellement dans cette cérémonie d'exorcisme. L'album a été imaginé en plein Covid, comme un disque pour nous guérir.Jowee Omicil est l'invité de VMDN.En fin d'émission, Hugo Casalinho présente sa chronique Playlist RFI Musique. Il nous fera découvrir la musique d'Yaeji la Coréenne de l'underground new yorkais, les Français Manudigital & Blaiz Fayah pour une digital Session, le rappeur belge Krisy & Marc Lavoine, réuni dans une collaboration improbable, et pour finir le retour du Guinéen Moh Kouyaté avec Gabi Hartmann.« Yaeji » de la Coréenne Yaeji. La digital Session des Français Manudigital & Blaiz Fayah « Lucy & les chanteurs pour dames » du rappeur Belge Krisy avec Marc Lavoine « Tanoun » du Guinéen Moh!Kouyaté avec Gabi Hartmann
Sophie Alour est l'une des musiciennes les plus respectées du jazz français. Saxophoniste et flutiste de 48 ans, elle avait reçu l'an dernier la Victoire du jazz en tant qu'artiste de l'année. Sophie Alour a sorti à la mi-octobre son neuvième album intitulé Le Temps Virtuose. Elle le présentera la semaine prochaine, le 30 novembre, dans l'un des temples du jazz parisien, le New Morning.
durée : 01:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Avec ses lunettes d'étudiant appliqué, le saxophoniste Barney Wilen dénote dans le milieu du Jazz. Propulsé en 1957 par l'enregistrement avec Miles Davis de la BO du film "Ascenseur pour l'échafaud", héros d'un sensuel album de BD en 1987, Barney Wilen a imprimé au jazz une distance élégante. - invités : Barney Wilen Saxophoniste, compositeur jazz (1937, Nice - 1996, Paris)
durée : 02:04:31 - Musique matin du jeudi 16 novembre 2023 - par : Jean-Baptiste Urbain - Depuis le début de sa carrière il y a plus de 20 ans, Sophie Alour n'a cessé de chercher de nouvelles sonorités pour enrichir ses compositions. L'album "Le Temps virtuose" est le fruit de cette recherche : le son nouveau d'un quartet original, avec saxophone, guitare, violoncelle et batterie. - réalisé par : Anne-Lise Assada
The Rempis Percussion Quartet Concert du 14 mars 2023 au Petit faucheux, Tours Chicago, place forte d'un jazz protéiforme, tour à tour poignant, free, groovy, planant, et historique. Ce jazz est à jamais lié à l'histoire musicale de cette ville ô combien passionnante et aux générations de musiciens sans cesse renouvelées. Nombreux sont les musiciens importants en provenance de la capitale de l'Illinois. Dave Rempis en est aujourd'hui un incontournable. Saxophoniste au jeu d'une fluidité incroyable, magnifié par un phrasé d'un naturel absolu, mais aussi promoteur de concerts à l'elastic arts, lieu emblématique pour la création internationale, il travaille depuis une vingtaine d'années à son art : une musique toute entière dirigée vers l'improvisation libre, très ancrée dans l'histoire américaine et ouverte sur le monde. Dans ce quartet, l'un de ses plus beaux projets, Tim Daisy et Frank Rosaly tissent en toile de fond des rythmiques tourbillonnantes pendant qu'Ingebrigt Haker Flaten assure les arrières du saxophoniste. Une musique aux frissons garantis ! Etats-Unis, Norvège Dave Rempis saxophones alto et ténor Ingebrigt Haker Flaten contrebasse, basse électrique Tim Daisy batterie, percussions Frank Rosaly batterie, percussions Une production Radio Campus Tours et Le Petit Faucheux https://www.radiocampustours.com https://petitfaucheux.fr/
The Rempis Percussion Quartet Concert du 14 mars 2023 au Petit faucheux, Tours Chicago, place forte d'un jazz protéiforme, tour à tour poignant, free, groovy, planant, et historique. Ce jazz est à jamais lié à l'histoire musicale de cette ville ô combien passionnante et aux générations de musiciens sans cesse renouvelées. Nombreux sont les musiciens importants en provenance de la capitale de l'Illinois. Dave Rempis en est aujourd'hui un incontournable. Saxophoniste au jeu d'une fluidité incroyable, magnifié par un phrasé d'un naturel absolu, mais aussi promoteur de concerts à l'elastic arts, lieu emblématique pour la création internationale, il travaille depuis une vingtaine d'années à son art : une musique toute entière dirigée vers l'improvisation libre, très ancrée dans l'histoire américaine et ouverte sur le monde. Dans ce quartet, l'un de ses plus beaux projets, Tim Daisy et Frank Rosaly tissent en toile de fond des rythmiques tourbillonnantes pendant qu'Ingebrigt Haker Flaten assure les arrières du saxophoniste. Une musique aux frissons garantis ! Etats-Unis, Norvège Dave Rempis saxophones alto et ténor Ingebrigt Haker Flaten contrebasse, basse électrique Tim Daisy batterie, percussions Frank Rosaly batterie, percussions Une production Radio Campus Tours et Le Petit Faucheux https://www.radiocampustours.com https://petitfaucheux.fr/
durée : 01:13:06 - Club Jazzafip - L'immense saxophoniste et compositeur de jazz américain nous a quittés ce jeudi 2 mars à l'âge de 89 ans.
Dans ce 11ème épisode, j'ai le grand plaisir d'échanger avec le saxophoniste Sandro Compagnon. Après des débuts précoces et prometteurs, Sandro intègre rapidement le CNSM de Paris et en sort brillamment en juin 2020 en pleine période Covid. Ça ne l'empêche pas de tracer sa route musicale, entre musique de chambre, créations, improvisation… Et de préparer son premier CD solo dédié à la musique de Bruno Mantovani qui sort ces jours-ci. Les mots que Sandro utilise pour décrire son rapport à l'instrument et à la musique en général sont sans équivoque quant à la passion qui l'anime: Il consomme Gould en intraveineuse, a des obsessions musicales aussi prenantes que la cigarette pour un fumeur et peut se retrouver scotché par une pièce ou un interprète. Rencontre avec un musicien passionnant , insatiable et incroyablement éclectique. Bonne écoute ! Vous pouvez faire plus ample connaissance avec Sandro grâce à sa biographie détaillée: https://www.fondationbanquepopulaire.fr/portrait/sandro-compagnon/ ou en allant l'écouter jouer le 21 decembre prochain à Rennes avec Vincent Mussat, Rodolphe Menguy et Alexandre Pascal, ou bien encore le 14 avril 2023 à Paris pour "l'Autre Saison" , avec Ismaël Margain et Félicien Brut.
durée : 00:25:16 - ARCHIE SHEPP 5 - Archie Shepp est "la mémoire babélienne du jazz", dit de lui un spécialiste. Le saxophoniste de légende nous a accueilli chez lui dans sa petite maison des environs de Paris. Au micro d'Yvan Amar, Il nous livre le condensé d'une carrière hors-norme.
durée : 00:25:17 - Archie Shepp, saxophoniste (2/5) - par : Yvan Amar - Archie Shepp est "la mémoire babélienne du jazz", dit de lui un spécialiste. Le saxophoniste de légende nous a accueilli chez lui dans sa petite maison des environs de Paris. Au micro d'Yvan Amar, Il nous livre le condensé d'une carrière hors-norme. - réalisé par : Gilles Blanchard
durée : 00:25:07 - Archie Shepp, saxophoniste (4/5) - par : Yvan Amar - Archie Shepp est "la mémoire babélienne du jazz", dit de lui un spécialiste. Le saxophoniste de légende nous a accueilli chez lui dans sa petite maison des environs de Paris. Au micro d'Yvan Amar, Il nous livre le condensé d'une carrière hors-norme. - réalisé par : Gilles Blanchard
durée : 00:25:18 - Archie Shepp, saxophoniste (3/5) - par : Yvan Amar - Archie Shepp est "la mémoire babélienne du jazz", dit de lui un spécialiste. Le saxophoniste de légende nous a accueilli chez lui dans sa petite maison des environs de Paris. Au micro d'Yvan Amar, Il nous livre le condensé d'une carrière hors-norme. - réalisé par : Gilles Blanchard
durée : 00:25:11 - Archie Shepp, saxophoniste (1/5) - par : Yvan Amar - Archie Shepp est "la mémoire babélienne du jazz", dit de lui un spécialiste. Le saxophoniste de légende nous a accueilli chez lui dans sa petite maison des environs de Paris. Au micro d'Yvan Amar, Il nous livre le condensé d'une carrière hors-norme. - réalisé par : Gilles Blanchard
Saxophoniste de l'émotion et de l'esprit, Pharoah Sanders aura marqué les générations de l'après Coltrane. Un mois après sa disparition, retour sur le parcours d'un ténor fasciné par le son, arrivé à New-York en 1962 en mode survie, sans un sous en poche, et qui trouva dans la figure de John Coltrane un passeport pour l'au-delà.
Pour son premier album «Apertura», le saxophoniste Arthur Donnot, entouré d'Erwan Valazza (guitare), Jules Martinet (contrebasse) et Nathan Vandenbulcke (batterie), signe sept compositions qui révèlent une nouvelle facette de son univers sonore, à la fois solaire et nostalgique, traversé par les influences jazz, folk, hip-hop et ambient. Arthur Donnot sera en concert, samedi 20 août, à 6h sur la jetée de la compagnie à Lausanne, dans le cadre des Musiques à l'Aube. Il évoque cet album au micro d'Anya Leveillé.
Dans cet épisode, j'ai l'honneur de recevoir Gaël Horellou saxophoniste, artisan musicien et promoteur du métissage musical. Les informations sur les albums, les masterclasses et les concerts de Gaël Horellou sont sur sa page personnelle : http://www.gaelhorellou.com/archive/ Voici également le lien vers sa page facebook : https://www.facebook.com/horellou.gael Crédits : - 1:24 - Gaël Horellou - Nathanaël - 7:36 - Gaël Horellou - Twistin' - 13:12 - Gaël Horellou - Funky Ruffel - 15:22 - Gaël Horellou - Minority - 22:48 - Gaël Horellou - Identité - 27:42 - Gaël Horellou - Saint Leu - 32:57 - Gaël Horellou - Cité Engloutie - 41:10 - Gaël Horellou - KHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
" Ce qui est important, ce n'est pas ce qui nous arrive, c'est la façon dont on y réagit !" Avoir de la chance dans la vie c'est vraiment cool, mais que se passe-t-il quand elle n'est pas au rendez-vous et qu'on connait des galères incalculables qu'on ne pourrait pas imaginer ? Alizée Morand est saxophoniste : elle est pétillante, optimiste, travailleuse... Et pourtant, elle a connu ces dernières années, bien souvent dans le cadre de son job, des anecdotes de vie plutôt très malchanceuses ! Dans cet épisode, Alizée m'a expliqué comment elle gère aujourd'hui beaucoup mieux cette malchance et donné ses conseils d'expérimentée en la matière pour renverser le sort ! Car oui, on peut retourner les choses... Et provoquer sa chance ! Retrouve Alizée sur : - Son compte instagram Tu as aimé cet épisode et tu as envie de participer à faire connaitre Ma Passion Mon Job ? Tu peux me laisser un commentaire sur Apple podcast, tunes ou spotify et partager le podcast autour de toi ! Montage : Cédric Chanet
Bintou Simporé vous propose de vous replonger dans une archive de Néo Géo pour rendre hommage à la légende de l'afro-soul Orlando Julius Ekemode. Le saxophoniste et compositeur nigérian, qui a longtemps vécu aux Etats-Unis, connu notamment pour sa participation au morceau de Lamont Dozier “Going back to my Roots” est décédé le 18 avril dernier, à l'âge de 79 ans, au grand dam de ses nombreux fans et de toutes celles et ceux qui ont redécouvert l'oeuvre afrofunk, afro-soul et afrobeat de cet artiste très sympathique. Réinstallé dans son pays de naissance le Nigeria, il avait créé son studio d'enregistrement, produisait le show télé Afro high et était resté très actif quand nous l'avons rencontré à Nova en janvier 2011 muni d'un coffret anthologie de six disques. Il était accompagné par Julien Lebrun du label Hot casa records qui a déployé une belle énergie pour le faire revenir sur le devant de la scène en 2014, en publiant notamment son titre “Disco Hi-Life”. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
“Une certaine propension à faire le zouave”. Toute sa vie, Robert Mavounzy a dû composer avec cette image qui lui collait à la peau. Pourtant, c'était un immense musicien, l'un des premiers à faire le grand écart entre la biguine et le be-bop. Saxophoniste (alto et soprano), clarinettiste, il avait un son ample et généreux à la Benny Carter. Le pianiste Alain Jean-Marie le compare même à Charlie Parker.
Saxophoniste et compositeur, Benjamin Nid nous importe dans l'univers de l'Attracteur Etrange, qui oscille entre folie chaotique et poésie sensible. Fédérant une quinzaines d'improvisateurs.trices chevronné.es, ce collectif favorise la connexion non verbale par le langage gestuel du Sound Painting. Ce goût pour l'étrange, l'exceptionnel et la surprise se lie à la multiplicité des timbres et des influences de chaque artiste. L'Attracteur Etrange nous offre des textures d'une rare richesse et des influences de musiques qui font battre un cœur universel. A l'occasion d'une résidence au Périscope, Benjamin Nid nous explique comment la musique prend forme en quelques gestes. ***************** Jessica MARTIN-MARESCO : chant Laura TEJEDA : chant Camila NEBBIA : saxophone tenor Damien SABATIER : saxophone alto Florent BRIQUE : trompette Frederic ROUDET : trompette Simon GIRARD : trombone Jean-Baptiste LACOU : trombone Maurizio CHIAVARO : batterie Vincent GIRARD : basse Anne QUILLIER : claviers Jean-Paul HERVE : guitare Lise PECHENART : violoncelle Stéphane GINER : violon, basse Laurent VICHARD : clarinette basse Benjamin NID : direction *********************** Production : Le Périscope Réalisation : Lucie Baverel Crédit Jingle : Zajazza Crédit Photo : ©
Saxophoniste et compositeur, Benjamin Nid nous importe dans l'univers de l'Attracteur Etrange, qui oscille entre folie chaotique et poésie sensible. Fédérant une quinzaines d'improvisateurs.trices chevronné.es, ce collectif favorise la connexion non verbale par le langage gestuel du Sound Painting. Ce goût pour l'étrange, l'exceptionnel et la surprise se lie à la multiplicité des timbres et des influences de chaque artiste. L'Attracteur Etrange nous offre des textures d'une rare richesse et des influences de musiques qui font battre un cœur universel. A l'occasion d'une résidence au Périscope, Benjamin Nid nous explique comment la musique prend forme en quelques gestes. Jessica MARTIN-MARESCO : chantLaura TEJEDA : chantCamila NEBBIA : saxophone tenorDamien SABATIER : saxophone altoFlorent BRIQUE : trompetteFrederic ROUDET : trompetteSimon GIRARD : tromboneJean-Baptiste LACOU : tromboneMaurizio CHIAVARO : batterieVincent GIRARD : basseAnne QUILLIER : claviersJean-Paul HERVE : guitareLise PECHENART : violoncelleStéphane GINER : violon, basseLaurent VICHARD : clarinette basseBenjamin NID : direction Production : Le PériscopeRéalisation : Lucie BaverelCrédit Jingle : ZajazzaCrédit Photo : ©
durée : 00:41:24 - L'humeur vagabonde - par : Kathleen Evin - Huit années après son 1er album, Lisa Cat- Berro qui collabore également avec Rhoda Scott et son Lady Quartet depuis 2007,vient de sortir un album magnifique :"Good days, bad days" - invités : Lisa CAT-BERRO - Lisa Cat-Berro : Musicienne de Jazz - réalisé par : Jérôme BOULET
Matt est vite tombé amoureux de son saxo qu'il ne quitte que très rarement. Après avoir vécu de superbes rencontres qu'il raconte en direct à l'antenne, il faut bien reconnaitre que l'année 2020 est compliqué pour cet artiste qui passe ses weekend sur des scénes, à des mariages ou à n'importe quel endroit ou il peut jouer : confiné et privé de public, il espére que l'année prochaine il puisse rattraper son retard et que son activité se remette en route !Cliquez ici pour voir son site web : mattmez.com
Julie vient de recevoir une alerte de KUPLA pour rencontrer son premier client. Elle ne sait pas du tout comment le rendez-vous va se dérouler.C'est une expertise sur la catégorie "humour".Voix comédiens :Julie Danmatombe: Pénélope BoeufLe saxophoniste : Alban BlondeauFanny de Guep : Joy BelmontMme Kupla : Caroline CirclaeysScénario: Pénélope BoeufRéalisation et production: La Toile sur Ecoute Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.