POPULARITY
Bonjour et bienvenue dans cet épisode actu du mois d'aout 2022 du podcast « Parlons livres photos ». Dernière épisode avant septembre ! Je vais moi aussi faire une petite pause estivale pour le mois d'août. Je vous retrouve à la rentrée le 5 septembre avec l'épisode actu du mois de septembre. Nous enchaînerons le lundi 12 septembre avec un nouveau photographe à vous présenter : Sébastien ROIGNANT. Nous parlerons de son parcours, de son travail mais surtout, de son livre « Jessica ». Pour les photographes qui souhaitent auto-éditer leur livre ou tout simplement pour les curieux, Il nous parlera aussi de sa belle campagne de crowdfunding pour financer le livre. En effet, il a atteint la somme à 5 chiffres de 49 000 € ! En attendant septembre je vous rappel l'actu des photographes qui sont déjà passé dans le podcast : Maxime ALIAGA, invité en octobre 2020 dans le podcast expose une série de photographies au festival photographique de Moncoutant-sur-Sèvre jusqu'au 2 octobre. L'exposition grand format est gratuite et en plein air ! Marjolaine VUARNESSON, invité du podcast en avril 2022, expose sa série Apparitions avec 24 tirages et 15 Polaroïds originaux aux Promenades Photographiques de Vendôme, dans le manège Rochambeau. Son livre Apparitions paru aux Editions Bessard sera également disponible sur place. James CHEVREUIL dont vous avez pu écouter l'interview dans le podcast en juin dernier expose actuellement une série de photographies issues de son livre « Chevaux du vent » à Egletons en Corrèze avec Egletons photos nature. L'expo sera visible jusqu'au 18 septembre. Sylvain SESTER expose sa série « Sahara, rêve éveillé ! » au 7ème Festival photo de nature à L'île d'Olonne jusqu'au au 16 octobre. Pour les alsaciens ou les vacanciers qui auront la chance de découvrir cette belle région cet été, ne manquez pas non plus le 20ème Festival des Jardins Metissés à Wesserling jusqu'au 9 octobre. Sylvain SESTER y expose une série de photos relative aux voyages de Marco-Polo, en compagnie de 2 autres photographes, dont Alexandre Sattler. Quand à moi, je serais présent à Perpignan lors du Festival Visa pour l'image. N'hésitez pas à me contacter si vous y êtes également, nous pourrons enregistrer un épisode ensemble ! Vous pourrez retrouver toutes les interviews des photographes cités précédemment dans le podcast, je vous met les liens dans les notes de l'épisode. Bon mois d'août à tous, que vous soyez en vacances ou que vous ayez repris le travail ! Liens de l'épisode Festival photographique de Moncoutant-sur-Sèvre Promenades Photographiques de Vendôme Egletons photos nature 20ème festival des Jardins Métissés à Wesserling Déjà paru dans le podcast : Interview de Maxime ALIAGA, Interview de Marjolaine VUARNESSON, Interview de James CHEVREUIL, Interview de Sylvain SESTER. Soutenez gratuitement le podcast Si vous aimé ce podcast, vous pouvez le partager sur les réseaux sociaux avec le hashtag #parlonslivresphotos. Pour suivre mon travail, retrouvez moi sur : www.juliengerard.com Pour soutenir le podcast vous pouvez participer à mon Tipeee. Vous pouvez également laisser une note, 5 étoiles ça serait top, ou un commentaire sur Apple Podcast ou Spotify. Cela favorisera le référencement.
Odile Andrieu-Vergin a eu plusieurs vies et nous revenons sur les apprentissages qu'elle a pu faire de sa carrière de directrice de la photo dans la presse puis de fondatrice d'un festival de photo à Vendôme, les promenades photographiques. Dans cet épisode nous avons abordé : son combat de la reconnaissance des iconographes avec la création de l'association nationale des iconographes de presse et son envie de crée un festival dans le territoire où elle vivait. Elle revient sur le financement du festival, le problème de la centralisation des institutions, métiers et finances et Paris et elle nous interroge sur la problématique de juger un lieu recevant du public uniquement par son nombre d'entrée et non sa qualité. Bonne écoute !1 – Qui est Odile Andrieu-Verguin ? 2'50 – Elle a rencontré les grands noms de la photo lorsqu'elle travaillait dans un restaurant à Arles.4'15 – Elle est entrée dans le milieu de la photo en travaillant dans la régie de cinéma. 7'20 – Une carrière en tant que directrice de la photo dans la presse avec comme combat la reconnaissance des iconographes avec la création de l'association nationale des iconographes de presse. 10'45 – "Quand il y a des coupes budgétaires on coupe dans les arts plastiques et visuels, ce sont les budgets les plus bas au ministère de la culture."14'30 – Le festival est né d'une envie de mettre à profit ses connaissances dans le territoire où elle vivait. 17' – La première édition des Rencontres de Vendôme21'50 – Le financement du festival : des subventions publiques, des partenaires éphémères et le partenaire historique en production Picto, une billetterie pour deux expositions pour payer en autre les droits d'auteurs des photographes. 25' – Les évolutions et conseil : "Il faut tout oser. Amusez-vous. Ne vous refusez rien. Ne pas imposer de cadres aux artistes. Il faut tout s'autoriser."27'20 – Le problème de la centralisation des institutions, des métiers et des finances à Paris. Les gens courageux et discrets qui lancent des initiatives en toute discrétion peuvent être plus médiatisés. 29' – Elle nous pose la problématique de ne pas mettre en regard la qualité et le nombre d'entrée. Et d'aller contre la nécessité à faire du chiffre et d'aller à la course aux entrées. 32'50 – On a abordé la préparation de son départ en 2022 et en particulier la notion de partage. Le site des Promenades Photographiques : https://promenadesphotographiques.com/index.htmlL'Instagram des Promenades Photographiques : https://www.instagram.com/promenadesphotographiques/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto etretrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
La crise sanitaire liée au covid-19 touche tous les acteurs du monde de la photographie. Nous souhaitons donner la parole à chacun. Aujourd'hui, nous partageons notre entretien réalisé avec Odile Andrieu, directrice des Promenades Photographiques. Suite aux annonces gouvernementales sur une date possible de réouverture des festivals, la manifestation a décidé de décaler les dates de son événement afin de maintenir cette 16ème édition pour le public.
A bien regarder le film de Mat Jacob sur l'édification du labyrinthe de Jean Philippe Mauchien, et le générique, on s'aperçoit que ce projet devenu oeuvre, Land Art, est avant tout une oeuvre collective parce qu'elle est issue de la participation d'un collectivité soudée, organisée, qui a su mobiliser les énergies des territoires et convaincre pour exister, essaimer, produire un retour du collectif en Art comme un processus créatif sociétal, galvanisant les participations, les différentes couches de cette société, à commencer par le tissu des bénévoles, les politiques, les instances administratives et bien sur, toute la communauté des amis, artistes, peintres, photographes, éditeurs, et structures, du festival les Promenades Photographiques de Vendôme, au collectif de photographes Tendance Floue, La Souris sur le Gâteau, la Région Centre-Val de Loire, la Mairie, la SAIF.
A bien regarder le film de Mat Jacob sur l'édification du labyrinthe de Jean Philippe Mauchien, et le générique, on s'aperçoit que ce projet devenu oeuvre, Land Art, est avant tout une oeuvre collective parce qu'elle est issue de la participation d'un collectivité soudée, organisée, qui a su mobiliser les énergies des territoires et convaincre pour exister, essaimer, produire un retour du collectif en Art comme un processus créatif sociétal, galvanisant les participations, les différentes couches de cette société, à commencer par le tissu des bénévoles, les politiques, les instances administratives et bien sur, toute la communauté des amis, artistes, peintres, photographes, éditeurs, et structures, du festival les Promenades Photographiques de Vendôme, au collectif de photographes Tendance Floue, La Souris sur le Gâteau, la Région Centre-Val de Loire, la Mairie, la SAIF.
Virée désormais traditionnelle vers Le Campus, sous la direction artistique du photographe Mat Jacob et organisé par les enseignants en photographie de 5 institutions qui portent le projet. Cette année le worshop se plaçait sous le signe de la thématique de la 15 ème édition des promenades photographiques : l'éloge de la lenteur On y croisera deux Jésus belges sur le bord du Loir en guise de Jourdain! Un autre barbu fantasque et déjà légendaire a Vendôme , #RolandDrover le tenancier du 1/3 lieu #LaFabriqueduDocteurFaton qui accueillait les 25 étudiants en résidence du Campus, dont la jeune photographe #ClaraKennedy , 22 ans qui fit la découverte dans le cadre de son travail d'un artiste marginal vendômois, lui relevant le pouvoir de la rencontre documentaire. L'exposition qui est issue de ce worskhop sans pareil est visible dans la fabrique du docteur Faton jusqu'au 1 er septembre 2019. www.promenadadesphotographiques.com/le-campus https://www.facebook.com/docteurfaton/
Virée désormais traditionnelle vers Le Campus, sous la direction artistique du photographe Mat Jacob et organisé par les enseignants en photographie de 5 institutions qui portent le projet. Cette année le worshop se plaçait sous le signe de la thématique de la 15 ème édition des promenades photographiques : l'éloge de la lenteur On y croisera deux Jésus belges sur le bord du Loir en guise de Jourdain! Un autre barbu fantasque et déjà légendaire a Vendôme , #RolandDrover le tenancier du 1/3 lieu #LaFabriqueduDocteurFaton qui accueillait les 25 étudiants en résidence du Campus, dont la jeune photographe #ClaraKennedy , 22 ans qui fit la découverte dans le cadre de son travail d'un artiste marginal vendômois, lui relevant le pouvoir de la rencontre documentaire. L'exposition qui est issue de ce worskhop sans pareil est visible dans la fabrique du docteur Faton jusqu'au 1 er septembre 2019. www.promenadadesphotographiques.com/le-campus https://www.facebook.com/docteurfaton/
Rencontre avec Mathieu Chazal, l'un des deux lauréats des Rencontres Photographiques des Amis du Musée Albert-Kahn, exposé dans le cadre des Promenades Photographiques de Vendôme 2019.
L'innocence ternie est un hymne à ma sœur Chloé. Photographie d'un temps d'incertitude, un croisement délicat entre l'enfant et la jeune femme. À dix sept ans, la quête de sa propre identité se révèle être un combat, une recherche à prendre possession de son propre corps. Depuis que j'ai traversé la Manche, ma voix est à la recherche de son écho et mon regard de sa juste distance. Je donne à voir ces quelques photographies comme les pièces éparses d'un puzzle complexe.
« Dans l'œil de Xavier Barral » est une installation dédiée au travail de cet éditeur singulier disparu en février 2019. Dans un espace oval en forme d'œil et à partir de la mise en scène d'une sélection de livres des Éditions Xavier Barral, cette création scénographique est une expérience poétique et immersive au cœur de la page imprimée.
Le météosite du Mont Aigoual est le dernier observatoire météorologique habité de France. Situé sur le toit des Cévennes, il est soumis à des phénomènes extrêmes du fait de la rencontre du sommet avec les vents méditérranéens. Des générations de personnages se sont succédées dans cette forteresse, scrutant le ciel, la nature et ses états. Aujourd'hui encore, Chantal, Eric, Rémy et Christian, quatre salariés de Météo-France y tutoient le brouillard et les tempêtes, résistant aux assauts répétés du climat et aux évolutions inéluctables d'un métier qui disparaît.
Odile Andrieu, directrice artistique des promenades photographiques de Vendôme, en choisissant le thème de l'éloge de la lenteur pour la quinzième édition, a décliné une programmation riche de 24 expositions, et conçu ce festival dans un acte de résistance à la vitesse qui s'est emparée de l'époque, prémisses des burn-out et de l'asphyxie générale des consciences devant les enjeux actuels. Alors qu'il faut au contraire ralentir le rythme, se “poser”, réfléchir, pour pouvoir s'emparer plus sereinement de toutes les problématiques, de tous les enjeux…
Et puis, après quelques pas on se trouve en présence du travail du photographe iranien Payram, chassé en 1983 de son pays par les barbus méphitiques. Travail consacré à la Syrie martyrisée récemment par l'Histoire et qui répond aujourd'hui, à travers trois thèmes, du travail manuel et des artisans, le métal pour la fabrication de différents objets du quotidien, quand ils sont vendus au marché, au savon d'Aleph, (qu'en est-il aujourd'hui, après que la ville ait été en partie détruite), et pierres , matière première des constructions et des maisons.
Barbara Wolf expose « Ma propre affaire », au Musée de Vendôme, revient sur ses premiers pas de photographes, en Allemagne de l'Est, avec toute une série assez imprégnée de l'esprit du Bauhaus, dont justement ce Nu dont est issue l'affiche.
Un peu plus d'un mois après son inauguration, Zone I, le nouveau lieu dédié à l'image et à l'environnement présente l'exposition « La sirène d'Auderville » de Sarah Moon dans le cadre de la quinzième édition du festival des Promenades Photographiques de Vendôme. Lors du week-end d'ouverture, notre critique Pascal Therme a rencontré la célèbre photographe au Moulin de la Fontaine, lieu d'exposition qui renforce la magie de son travail.
durée : 00:04:13 - Regardez voir - par : Brigitte Patient - La liste des photographes exposés est longue. Autant de regards pour cette édition des Promenades Photographiques de Vendôme, vingt-quatre expositions sur tout le territoire vendômois pour lesquelles nous ralentirons le pas pour se lier à la ligne du festival : un éloge de la lenteur.
durée : 00:04:13 - Regardez voir - par : Brigitte Patient - La liste des photographes exposés est longue. Autant de regards pour cette édition des Promenades Photographiques de Vendôme, vingt-quatre expositions sur tout le territoire vendômois pour lesquelles nous ralentirons le pas pour se lier à la ligne du festival : un éloge de la lenteur.
La 15ème édition des Promenades Photographiques de Vendôme s'est ouverte le 15 juin 2019, sur le thème de "l'éloge de la lenteur". Nous partons pour la seconde année couvrir le week-end inaugural du 21 au 23 juin à la rencontres des organisateurs et de certains photographes parmi la vingtaine exposée, dont Anny Duperey et Payram. Une plongée immersive par le son, En Roues Libres ! www.promenadesphotographiques.com
La 15ème édition des Promenades Photographiques de Vendôme s'est ouverte le 15 juin 2019, sur le thème de "l'éloge de la lenteur". Nous partons pour la seconde année couvrir le week-end inaugural du 21 au 23 juin à la rencontres des organisateurs et de certains photographes parmi la vingtaine exposée, dont Anny Duperey et Payram. Une plongée immersive par le son, En Roues Libres ! www.promenadesphotographiques.com
Le Moulin et l’édicule Au cœur d’un îlot sur les rives du Loir, au Moulin de La Fontaine à Thorée La Rochette, Mat Jacob et Monica Santos créent Zone i., un laboratoire consacré à la photographie et aux problématiques environnementales. Ils le conçoivent comme un lieu d’expositions et de résidence, où se dérouleront des ateliers pédagogiques . Ils développeront un lieu de vie et de partage, une expérience du « vivre la photographie ». Zone i est partenaire des Promenades Photographiques. Cette année pour accueillir les premiers promeneurs il fallait y construire le fameux édicule, ce qui rappela à Alex en Roues Libres un épisode de la littérature nationale livré par Gabriel Chevalier en 1934 , "Clochemerle". Des extraits du film réalisé en 1948 par Pierre Chenal accompagne notre ouverture du fameux édicule sur les bords du Loir. Qu'il en soit remercié.
Le Moulin et l’édicule Au cœur d’un îlot sur les rives du Loir, au Moulin de La Fontaine à Thorée La Rochette, Mat Jacob et Monica Santos créent Zone i., un laboratoire consacré à la photographie et aux problématiques environnementales. Ils le conçoivent comme un lieu d’expositions et de résidence, où se dérouleront des ateliers pédagogiques . Ils développeront un lieu de vie et de partage, une expérience du « vivre la photographie ». Zone i est partenaire des Promenades Photographiques. Cette année pour accueillir les premiers promeneurs il fallait y construire le fameux édicule, ce qui rappela à Alex en Roues Libres un épisode de la littérature nationale livré par Gabriel Chevalier en 1934 , "Clochemerle". Des extraits du film réalisé en 1948 par Pierre Chenal accompagne notre ouverture du fameux édicule sur les bords du Loir. Qu'il en soit remercié.
Campus est organisé dans le cadre des Promenades Photographiques de Vendôme. Pendant dix jours 26 élèves issus de 5 écoles de photographie réunis autour de Mat Jacob, co-fondateur de Tendance Floue, ont réalisé une création collective. Cette années le thème était "Slogans". En résonance avec ceux sortis il y a 50 ans de l'imagination des étudiants de mai 68, est né dans l'esprit des apprentis photographes un nouveau slogan que l'on a décidé de commenter avec eux : "La liberté en chantier". Un workshop de choc exposé jusqu'au 2 septembre à Vendôme.
Campus est organisé dans le cadre des Promenades Photographiques de Vendôme. Pendant dix jours 26 élèves issus de 5 écoles de photographie réunis autour de Mat Jacob, co-fondateur de Tendance Floue, ont réalisé une création collective. Cette années le thème était "Slogans". En résonance avec ceux sortis il y a 50 ans de l'imagination des étudiants de mai 68, est né dans l'esprit des apprentis photographes un nouveau slogan que l'on a décidé de commenter avec eux : "La liberté en chantier". Un workshop de choc exposé jusqu'au 2 septembre à Vendôme.
A l'occasion du week-end d'ouverture, le marché couvert accueillait le Salon du livre, nous y avons rencontré Yves Bigot, des éditions de Juillet. Il nous parle notamment de son dernier ouvrage édité « Usual Heroes » de Denis Bourges et Monica Rattazzi, livre qui a été financé à la moitié par l'éditeur et la seconde par une campagne de financement participatif.
Cette année, c'est la jeune étudiante de l'Ecole des Gobelins, Margaux Senlis, qui remporte le Prix Mark Grosset dans la catégorie Documentaire. Ce prix a pour ambition de révéler un nouvel horizon et d'exposer les regards contemporains de la nouvelle génération. Le jury a sélectionné deux lauréats des catégories : Margaux pour la photographie documentaire et Antoine de Winter (École Agnès Varda Bruxelles) pour la catégorie plasticienne.
Chaque année, le festival affirme sa volonté d'éducation et de transmission, notamment auprès des écoles. En plus de l'Atelier des photos et des mots et du Prix Mark Grosset qui récompense un étudiant, on retrouve le Campus, qui réunit 30 élèves d'écoles de photographie européennes. Il s'agit d'un espace pédagogique, un terrain de jeux où les regards se croisent. Pour cette édition 2018, c'est le photographe Mat Jacob qui dirige cette expérience. Il nous en parle ici avec Philippe Labrosse, étudiant.
Chaque année, le festival affirme sa volonté d'éducation et de transmission, notamment auprès des écoles. En plus de l'Atelier des photos et des mots et du Prix Mark Grosset qui récompense un étudiant, on retrouve le Campus, qui réunit 30 élèves d'écoles de photographie européennes. Il s'agit d'un espace pédagogique, un terrain de jeux où les regards se croisent. Pour cette édition 2018, c'est le photographe Mat Jacob qui dirige cette expérience. Il nous en parle ici avec Philippe Labrosse, étudiant.
C'est au Manège Rochambeau que nous retrouvons le travail de Caty Jan, du collectif Tendance Floue, qui suite à un accident a été contrainte d'arrêter la photographie il y a 15 ans. Sa série Cabaret Cubain a été réalisée en 1995, elle est présentée entre quatre murs noirs. Ses images se confrontent au son de la voix et des mots d'Alexandre Héraud, un écho à leur rencontre au coeur des entrailles de ces nuits tropicales.
Le photographe Pierre Faure nous présente ici son travail récompensé par le Prix des amis du Musée Albert Khan sur la montée de la pauvreté en France avec « France Périphérique ». Un sujet en noir et blanc qui pointe du doigt un phénomène croissant et révoltant. Les chiffres font froid dans le dos : La France compte 8,9 millions de pauvres. Sur les dix dernières années, le nombre de personnes concernées a augmenté de près d'un million. Son exposition est visible au Manège Rochambeau.
Au musée de Vendôme, on retrouve le travail puissant et engagé d'Ayana V. Jackson. Avec sa nouvelle série, « Intimate justice in the stolen moment », la photographe américaine réalise des autoportraits autour d'une recherche sociologique : celle du rôle de l'histoire de la photographie et des beaux-arts, dans la construction d'un stéréotype du genre et de la question raciale. Elle revendique ici, la condition de la femme noire au XIXème et au XXème siècle.