Subprefecture and commune in Provence-Alpes-Côte d'Azur, France
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La Cat'Festa 2025 tindrà lloc a Arles de Tec el diumenge 14 de setembre de 10:00 a 17:30 a la sala de festes. Una festa que ja té tretze anys! És organitzada pel Centre Cultural Català del Vallespir, una entitat que replega totes les entitats que se cuiden del català al Vallespir. Cat'Festa és doncs una trobada entre totes aquestes associacions al voltant de la música. Aquest any, el programa musical serà un homenatge al grup folklòric Alegria, que serà el padrí de la festa. També hi haura balls catalans, trobades amb llibres, bona taula i convivència. A més, el Maxime Cayuela i la Paola Escudero proposaran un concert.Entrada lliure.El Miquel Arnaudies, president del Centre Cultural Català del Vallespir, ens ha presentat l'esdeveniment.
A VISION OF TRANSFORMATION. Explore the impact of Maja Hoffmann on contemporary culture through her LUMA Foundation and innovative art projects. Maja Hoffmann is a Swiss art collector and patron. The Founder and President of LUMA Foundation, she has led the development of LUMA Arles in Provence, an important international cultural project. By addressing urgent issues in culture, nature, scientific experimentation and ecology, she has promoted new structures for innovation and positive change. Her efforts have earned LUMA widespread recognition for its diverse projects and artistic programs. Appointed President of Locarno Film Festival in 2023, Maja Hoffmann is the President of the Swiss Institute, New York (USA) and the Fondation Vincent van Gogh Arles (France), the Vice-President of the Emanuel Hoffmann Foundation, Basel (Switzerland), and serves on the boards of Serpentine Galleries, London (UK), Kunsthalle Zürich (Switzerland), the New Museum of Contemporary Art, and the Center for Curatorial Studies at Bard College, both in New York (USA). “I was called a utopist, but I was always seeing the reality of what I can do.” “I love to ride horses and to come to Arles on Saturdays, drink pastis with the men and genuinely try to say what I believe in and think. “I'd like to see a change in the mentalities that allows a real movement, because I think we are here and now in the capacity of changing things.”
An eiser Summerserie vun de renomméierte Rencontres de la photo d'Arles hu mir Iech e puermol mat an de Palais de Luppé geholl. Do haten nämlech eng Partie Lëtzebuerger Fotokënschtler:innen Geleeënheet, hir Aarbechten invitéierte Konschtexperten a Konschtexpertinne bei labbere Portfolio-Reviews ze presentéieren. Firwat an engem Palais aus dem 18. Joerhonnert, dee géint 1900 vum franséische Vicomte Gaston de Luppé opkaf an op neo-florentinesch renovéiert gi war? Well et do e Bezuch zu Lëtzebuerg gëtt. Dat ass d'Kerstin Thalau am Gespréich mam Enkel a Palais-Ierwe Loup-Sanche de Luppé gewuer ginn.
durée : 00:15:34 - Les Suds à Arles : 30 ans de rencontres entre artistes, publics et esthétiques musicales - Le festival Les Suds à Arles fête en juillet 2025 ses 30 ans avec une semaine de concerts, ateliers, siestes et apéros musicaux dans un esprit d'ouverture aux esthétiques et aux rencontres. Reportage. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Partie 1 – Rencontre avec un artisan noteur, (un fabricant de carton utiliser pour les orgues de barbarie) à Béziers (Hérault) - Pour les visites : La boîte à musique – 7 rue du soleil – 34500 BEZIERS - www.laboiteamusique.org Evénement : - Festival international de l'orgue de Barbarie les 6 et 7 septembre 2025 à Oingt www.oingt.ovh Hébergement : - Hôtel « La prison » à Béziers - A partir de 75€ la nuit www.beziers-hotel-la-prison.com Partie 2 – Le musée de la mode et du costume Fragonard à Arles (Bouches-du-Rhône) - 16 rue de la Calade à Arles. En septembre, ouvert tous les jours de 10 h à 18 h 30 - Tarif : 10€ - www.musee-mode-costume.fragonard.com Hébergement : - Chambre d'hôtes Fragonard, Impasse Favorin à Arles - www.fragonard.com - Hôtel du cloître à Arles - A partir de 100€ la nuit - www.lecloitre.com Partie 3 – Le château de la Ballue et ses jardins à Bazouges-la-Pérouse (Ille-et-Vilaine) - Jardins ouverts jusqu'au 30 septembre tous les jours de 10 h à 18 h 30 - Octobre / 11 novembre : ouvert du jeudi au dimanche de 10 h à 18 h 30 - Tarif : 10.50 € / adulte – 8,50 € pour les jeunes de 10 à 18 ans – gratuit jusqu'à 10 ans - www.laballuejardin.com Hébergement : - Chambres d'hôtes du château de la Ballue, à partir de 180 € la nuit / 270€ pour les chambres doubles - www.la-ballue.com Partie 4 – Exposition « Sage comme une image ? L'enfance dans l'œil des artistes » à Bordeaux (Gironde) - Au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux. Jusqu'au 3 novembre 2025 - Tarif : 8€ / Tarif réduit : 4,50€ - www.musba-bordeaux.fr/sage-comme-une-image Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Partie 1 – Rencontre avec un artisan noteur, (un fabricant de carton utiliser pour les orgues de barbarie) à Béziers (Hérault) - Pour les visites : La boîte à musique – 7 rue du soleil – 34500 BEZIERS - www.laboiteamusique.org Evénement : - Festival international de l'orgue de Barbarie les 6 et 7 septembre 2025 à Oingt www.oingt.ovh Hébergement : - Hôtel « La prison » à Béziers - A partir de 75€ la nuit www.beziers-hotel-la-prison.com Partie 2 – Le musée de la mode et du costume Fragonard à Arles (Bouches-du-Rhône) - 16 rue de la Calade à Arles. En septembre, ouvert tous les jours de 10 h à 18 h 30 - Tarif : 10€ - www.musee-mode-costume.fragonard.com Hébergement : - Chambre d'hôtes Fragonard, Impasse Favorin à Arles - www.fragonard.com - Hôtel du cloître à Arles - A partir de 100€ la nuit - www.lecloitre.com Partie 3 – Le château de la Ballue et ses jardins à Bazouges-la-Pérouse (Ille-et-Vilaine) - Jardins ouverts jusqu'au 30 septembre tous les jours de 10 h à 18 h 30 - Octobre / 11 novembre : ouvert du jeudi au dimanche de 10 h à 18 h 30 - Tarif : 10.50 € / adulte – 8,50 € pour les jeunes de 10 à 18 ans – gratuit jusqu'à 10 ans - www.laballuejardin.com Hébergement : - Chambres d'hôtes du château de la Ballue, à partir de 180 € la nuit / 270€ pour les chambres doubles - www.la-ballue.com Partie 4 – Exposition « Sage comme une image ? L'enfance dans l'œil des artistes » à Bordeaux (Gironde) - Au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux. Jusqu'au 3 novembre 2025 - Tarif : 8€ / Tarif réduit : 4,50€ - www.musba-bordeaux.fr/sage-comme-une-image Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Why has Cleopatra remained such an iconic figure for more than 2,000 years? Arts24 kicks off its new season with a deep dive into the Paris exhibition at the Arab World Institute "The Mystery of Cleopatra", which brings together over 250 artworks exploring the life, reign and enduring legacy of Egypt's last pharaoh. Plus, in Arles, the world-renowned "Rencontres de la Photographie" festival hosts a rare artistic dialogue between Lee Ufan and Michelangelo Pistoletto. FRANCE 24's Louise Dupont sits down with the Italian maestro to talk about collaboration, creativity and crossing cultural boundaries. Don't miss this vibrant start to the new season of arts24!
Konuğumuz İstanbul Modern fotoğraf küratörü Demet Yıldız Dinçer ile 56. Rencontres d'Arles'ı ve Fransa'nın her daim kültür sanatla anılan Arles kentinin güncel dinamiklerini değerlendiriyoruz. Dünyanın ilk ve en önemli uluslararası fotoğraf festivali olarak anılan Rencontres d'Arles, bu kez 5 Ekim'e dek 46 farklı fotoğraf sergisiyle 'karşılaşma'ya davet ediyor.
Cette année, parmi leur dizaine d'expositions, les rencontres photographiques d'Arles ont choisi de mettre la photographie anonyme à l'honneur. Rencontre avec Marion et Philippe Jacquier, anciens directeurs d'une galerie de photos spécialisés dans la photographie amateur et anonyme. Leur fond photographique de 10 000 tirages a été racheté par la fondation Antoine de Galbert, qui en a fait don au musée de Grenoble. Cette année, 300 photos anonymes de leur collection sont exposées à Arles. ► Une exposition à voir jusqu'au 5 octobre à Arles. À lire aussiLa photographe Agnès Geoffray et ses images de jeunes filles insoumises
Cette année, parmi leur dizaine d'expositions, les rencontres photographiques d'Arles ont choisi de mettre la photographie anonyme à l'honneur. Rencontre avec Marion et Philippe Jacquier, anciens directeurs d'une galerie de photos spécialisés dans la photographie amateur et anonyme. Leur fond photographique de 10 000 tirages a été racheté par la fondation Antoine de Galbert, qui en a fait don au musée de Grenoble. Cette année, 300 photos anonymes de leur collection sont exposées à Arles. ► Une exposition à voir jusqu'au 5 octobre à Arles. À lire aussiLa photographe Agnès Geoffray et ses images de jeunes filles insoumises
A wéi enger Welt wëlle mir muer liewen? Déi Escher Kulturplattform Elektron presentéiert bis den 9. September am, a baussent dem Escher Centre Mercure, Konschtwierker, déi sech mat dësem Sujet, mat Hëllef vun digitale Medien, befaassen. Dat, well d‘Trennung tëschent Natur an Technologie ëmmer méi duerchlässeg gëtt. Do ass zum Beispill dem Berliner Bruce Eesly seng Affichë-Serie “New Farmer“. Zejoert hat de Kënschtler a Gäertner déi op de renomméierte Rencontres de la photo vun Arles presentéiert. Elo kënnt Dir se zu Esch entdecken. D‘Kerstin Thalau am Gespréich mam Bruce Eesly
Este jueves en La casa Azul, nos fijamos en reformas de casas artísticas, como la casa en Arles de Van Gogh o, la casa azul de Frida Khalo.
CULTIVATING SAINTS, SAGES, AND STATESMEN THROUGH THE GREAT TRADITION OF CHRISTENDOMIn this episode, we announce the new Eternal Christendom Substack, and provide a free example of the content we are offering to premium Subscribers ($8/month). It's called "Catechesis with the Fathers," in which we will read a work of the Church Fathers, and unlock its treasury of wisdom from four perspectives: theology, philosophy, apologetics, and the spiritual life.In this "Catechesis with the Fathers," we will read two amazing sermons--Sermons 149 and 227--by a lesser known, but amazing western Church Father, St. Caesarius of Arles (c. 468/470-542). We paired these two sermons together since Sermon 149 discusses the narrow cruciform path to salvation, and Sermon 227 explains how the Catholic altar on earth is intrinsically connected with the heavenly altar, and how to approach it worthily so as to receive the Eucharist unto eternal life, instead of eternal damnation.SUBSCRIBE TO OUR SUBSTACKhttps://substack.com/@eternalchristendomVISIT OUR WEBSITEhttps://eternalchristendom.com/BECOME A PATRON OF THE GREAT TRADITIONWe are a non-profit, and all gifts are tax-deductible. Help us continue to dig into the Great Tradition; produce beautiful, substantive content; and gift these treasures to cultural orphans around the world for free:https://eternalchristendom.com/become-a-patron/EXCLUSIVE DISCOUNTS AT ETERNAL CHRISTENDOM BOOKSTOREhttps://eternalchristendom.com/bookstore/CONNECT ON SOCIAL MEDIAX: https://twitter.com/JoshuaTCharlesFacebook: https://www.facebook.com/joshuatcharles/Instagram: https://www.instagram.com/joshuatcharles/DIVE DEEPERCheck out Eternal Christendom's "Becoming Catholic," where you'll find more than 1 million words of free content (bigger than the Bible!) in the form of Articles, Quote Archives, and Study Banks to help you become, remain, and deepen your life as a Catholic:https://eternalchristendom.com/becoming-catholic/EPISODE CHAPTERS00:00 - Intro06:46 - St. Caesarius of Arles11:48 - Sermon 149: Reading21:38 - Sermon 149: Treasure39:54 - Sermon 227: Reading50:28 - Sermon 227: Treasure01:23:36 - ConclusionLISTEN ON APPLEhttps://podcasts.apple.com/us/podcast/eternal-christendom-podcast/id1725000526LISTEN ON SPOTIFYhttps://open.spotify.com/show/3HoTTco6oJtApc21ggVevu
Partez en immersion aux Rencontres photographiques d'Arles. Candice, Malo et Dominique de l'équipe edaaPix vous emmènent avec eux dans la découverte du festival international dédié à la photographie. Histoire du festival, rencontres et anecdotes : ils vous partagent tout !Visitez www.edaa.fr pour plus d'informations sur l'école et ses formations.
Bis de 5. Oktober sinn nach déi renomméiert Rencontres de la photo zu Arles, a vu datt déi Kéier och eng ganz Partie Lëtzebuerger a Südfrankräich mat dobäi sinn, deele mir all Freideg e wéineg Fotofestival-Ambiance mat Iech. Déi leschte Kéier ware mir an de Gaart vun der herrschaftlecher Villa Palais de Luppé, wou 6 visuell Kënschtler:inne vu Lëtzebuerg hir Projeten op sougenannte Portfolio Reviews presentéiert hunn. Hire Feedback fannt Dir bei eis an der Mediathéik op 100komma7.lu. Mee wéi koum et iwwerhaapt zu enger Invitatioun fir dëst Evenement? Dat ass d'Kerstin Thalau, do am Gaart, vun den 2 Curatricë Marlène Kreins a Sandra Schwender gewuer ginn.
fWotD Episode 3015: Constans II (son of Constantine III) Welcome to featured Wiki of the Day, your daily dose of knowledge from Wikipedia's finest articles.The featured article for Wednesday, 6 August 2025, is Constans II (son of Constantine III).Constans II (died 411) was the son of the Western Roman emperor Constantine III and served as his co-emperor from 409 to 411. When his father rebelled against the ruling emperor Honorius and the army in Britain acclaimed him as emperor in early 407, Constans was a monk. He was summoned to Gaul, appointed to the position of caesar (heir) and swiftly married so that a dynasty could be founded. In Hispania, Honorius's relatives took up arms in 408 and expelled Constantine's administration. An army under Constans and the general Gerontius was sent to deal with this and re-established Constantine's authority.Honorius acknowledged Constantine as co-emperor in early 409 and Constantine immediately raised Constans to the position of augustus (emperor), theoretically equal in rank to Honorius as well as to Constantine. Later in 409 Gerontius rebelled, proclaimed his client Maximus emperor and incited barbarian groups which had recently invaded Gaul to rise up. Constans was sent to Hispania to quash the revolt, but suffered a defeat and withdrew to Arelate (modern Arles). In 410, Constans was sent to Hispania with another army. Gerontius had strengthened his forces with barbarians and won a battle against Constans; the latter withdrew north and was defeated again and killed at Vienne early in 411. Gerontius then besieged Constantine in Arelate and killed him.This recording reflects the Wikipedia text as of 01:15 UTC on Wednesday, 6 August 2025.For the full current version of the article, see Constans II (son of Constantine III) on Wikipedia.This podcast uses content from Wikipedia under the Creative Commons Attribution-ShareAlike License.Visit our archives at wikioftheday.com and subscribe to stay updated on new episodes.Follow us on Mastodon at @wikioftheday@masto.ai.Also check out Curmudgeon's Corner, a current events podcast.Until next time, I'm standard Amy.
La mer d'Azov est une petite mer au Nord Est de la mer Noire, bordée en partie par l'Ukraine, en partie par la Russie. D'un côté et de l'autre : les mêmes eaux et la même lumière. En 2019, quand le photographe Patrick Wack s'y rend pour la première fois, la guerre a déjà commencé. La Crimée a été annexée par la Russie cinq ans plus tôt, et cette mer est occupée par la marine de guerre russe. Mais c'est encore avant la grande invasion de 2022. Patrick Wack retourne sur les rives chaque été, la guerre fait son œuvre, et c'est ce temps de la guerre qu'il donne à voir, pas la guerre elle-même mais la manière dont elle transforme l”altérité, dédouble les horizons et les incendies. La mer d'Azov reste la mer d'Azov et tout autour pourtant l'écroulement progressif. Au micro de Charlotte Pudlowski, il raconte cette trace du temps et qui transforme le récit et les images. Les siennes narrent l'histoire en cours d'écriture. L'exposition “Azov Horizons” de Patrick Wack, est à voir jusqu'au 5 octobre 2025 aux Rencontres de la photographie d'Arles. Cet épisode a été tourné et monté par Charlotte Pudlowski, Gautam Shukla était à la réalisation et au mix. La musique originale est de Michaël Liot. Julie Deltheil-Tourrenc est en charge de la production.Merci à notre partenaire Les Rencontres d'Arles, avec qui nous avons réalisé cette série Louie s'invite à Arles.Abonnez-vous à la newsletter de Louie Media, pour retrouver les interviews d'artistes et de commissaires pendant Les Rencontres et la rubrique Empreinte qui se focalise sur une œuvre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
An eiser Serie iwwer déi Lëtzebuerger Participatioun bei den renomméierte Rencontres de la photo zu Arles hate mir Iech scho mat an de Palais de Luppé geholl, an dee sechs Lëtzebuerger an zwielef belsch Fotokënschtler:innen op méi labber Portfolio-Reviewen an de Palais-Gaart invitéiert gi waren. D'Hallschent vun de Lëtzebuerger Kënschtler:inne war vun der Clierfer Cité de l'image selektionéiert ginn: hir Aussoe fannt Dir an eiser Mediathéik. Déi aner Hallschent war vun de Konschtzentere vun Diddeleng a Südfrankräich geschéckt ginn. An natierlech krut d'Kerstin Thalau och vun dësen Dammen ee Feedback.
Em Arles, no sul da França, o casarão da Fundação Manuel Rivera Ortiz adotou como tema a magia em todos os seus sentidos. Bruxas e espíritos fazem parte de “Sortilégios”, em cartaz até 5 de outubro, como parte dos Encontros de Arles, um das maiores mostras internacionais de fotografia. No porão, o fotógrafo Ian Cheibub apresenta “Alumbre na Macaia”, com curadoria de Glaucia Nogueira, da associação Iandé. Patrícia Moribe, enviada especial a Arles Há um ano, Ian Cheibub, fotojornalista colaborador de grandes publicações internacionais, veio a Arles mostrar seu portifólio com um projeto pessoal, calcado na vivência no terreiro de umbanda da avó, em Niterói (RJ). Em julho de 2025, depois de um mês de residência artística na fundação, o artista abriu a instalação imersiva, com imagens impressas em painéis de rendões, tambores e encruzilhada. Cheibub explica que o nome da exposição traz um duplo sentido. “Alumbrar dá a ideia de você ficar encantado com alguma coisa, mas ao mesmo tempo de você iluminar. E macaia também tem dois sentidos. Um espiritual, que é o lugar das ervas sagradas, mas também é qualquer mata e é onde o caboclo mora. Minha avó [mãe de santo] ia pegar a erva na macaia ao lado da casa dela.” Ian Cheibub se diz interessado na ideia da “não divisão, de a gente estar dentro de uma coisa a ponto de não se saber mais que o que é o quê”. Ele explica também que o projeto vem de um descontentamento com a representação exótica dos ritos afro-brasileiros. O conceito central da pesquisa de Ian é a "materialidade mágica", onde a magia e o material se misturam, tornando-se indistinguíveis. Ele vê essa fusão como um instrumento contra-colonialista, uma forma de defesa e subversão". Banhos de santo Depois de se estabelecer muito cedo no fotojornalismo, Ian começou a refletir a respeito de uma linguagem artística sobre suas raízes. Ele lembrou de banhos de santo que a avó preparava quando ele era criança. Ele passou, então, a fotografar os rituais com película e depois mergulhar os rolos em banhos de santo, tendo como resultado imagens oníricas, com cores saturadas, que se expandem. Nelas, as pessoas em transe se vestem de luzes mágicas, em movimentos fantasmagóricos. Ian Cheibub nos leva a uma visita guiada, que começa já nas escadas que descem ao subsolo da fundação, decoradas com folhas da Guiné nas quais ele imprimiu retratos de pessoas incorporadas usando a técnica da fitotipia. “Você coloca um negativo em cima da folha e bota no sol”, explica. “Ela se chama Guiné por causa das utilizações pelos escravizados que vieram da costa da Guiné, mas na verdade é uma planta 100% brasileira.” No subsolo, um corredor é decorado com cortinas de rendões, com imagens impressas dos rituais. Ele lembra que os rendões foram trazidos pelas mulheres portuguesas para o Brasil, mas quando o tecido chega no terreiro, seu uso é subvertido. Atravessando o corredor de rendões, o visitante passa por tambores que emitem vibrações em laser contra a parede, com acordes suspensos que se misturam às colagens sonoras dos rituais. Encruzilhada No último espaço, o artista criou uma encruzilhada com imagens transferidas a painéis de um tecido muito fino, que vibra com o ar. “A gente pode fazer as coisas se mexerem sem necessariamente tocá-las. Os deuses estão sempre dançando e, dessa forma, as imagens também dançam à medida em que a gente anda pela sala”, explica. No fundo da sala, por um buraco, podemos ver a imagem da avó de Ian impressa numa folha de Guiné. Por causa da umidade do local, a imagem interage com os fungos e vai se modificando. A curadora Gláucia Nogueira, da associação Iandé, de apoio à fotografia brasileira na Europa, ressalta que o trabalho de Ian Cheibub "toca, não só pela força visual, mas pelo sentido de pertencimento e pela história familiar de terreiro que ele traz". A exposição na "cave" da fundação, com sua textura e "fantasmas", foi escolhida para materializar o invisível e oferecer uma imersão na "diáspora africana" do Brasil, explica. A Iandé organizou ainda um encontro entre Ian Cheibub e a artista visual e curadora Denise Camargo. “'Alumbre na Macaia' é um trabalho super necessário, especialmente se a gente considerar toda a questão do racismo estrutural, da intolerância religiosa, o preconceito contra as religiões de origem afro-brasileira”, diz Camargo. “Esse trabalho expressa justamente a possibilidade de romper com essas visões errôneas sobre as matrizes ancestrais de origem afro-brasileira, com valor inestimável para a conquista desses espaços de tolerância”, acrescenta. "Alumbre na Macaia" pode ser visitada em Arles até 5 de outubro de 2025.
Imaginez-vous sur une terrasse ensoleillée, un verre de rosé à la main, face aux champs de lavande qui ondulent dans le mistral... Bienvenue en Provence !Mais attention, derrière cette carte postale parfaite se cache une histoire extraordinaire. Car cette terre qui nous fait rêver aujourd'hui a vécu 2600 ans de bouleversements, de conquêtes, de résistances et de renaissance.Des Grecs aux Romains, des papes aux rois de France, de Marseille à l'arrière-pays, comment cette région unique au monde a-t-elle forgé son caractère si particulier ? Pourquoi dit-on encore aujourd'hui qu'on peut être "pleinement français et fièrement provençal" ?C'est ce qu'on va découvrir ensemble. ***T'as qui en Histoire ? * : le podcast qui te fait aimer l'Histoire ?Pour rafraîchir ses connaissances, réviser le brevet, le bac, ses leçons, apprendre et découvrir des sujets d'Histoire (collège, lycée, université)***✉️ Contact: tasquienhistoire@gmail.com*** Sur les réseaux sociaux ***Facebook : https://www.facebook.com/TasQuiEnHistoireTwitter : @AsHistoire Instagram : @tasquienhistoireTiktok : @tasquienhistoire *** Crédits sonores ***CICADAS - 7 by SamuelGremaud -- https://freesound.org/s/543957/ -- License: Creative Commons 0lier.mp3 by Roger -- https://freesound.org/s/75236/ -- License: Attribution 4.0« C'est toute l'antique Provence » (« Jean de Florette », film de Claude Berri, 1986)https://shorturl.at/Q9167 « C'est le Nord » (« Bienvenue chez les Ch'tis, film de Dany Boon, 2008)@Topmonfilmhttps://urlr.me/dWsNc7 Une #tradition #Provençale la #Pégoulade d'#Arles 2017@ClaudeAvenhttps://urlr.me/PMcUgV Robert Enrico Les années Lumières la Marseillaise@EGGShttps://urlr.me/QHjnmc « Marseille, ça alors »« La vache et le prisonnier », film de Henri Verneuil, 1959https://shorturl.at/hKskAHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous possédez sans doute des photos qui ne sont destinées qu'à vous, ou à vos amant·es. Leur caractère intime vous permet d'explorer vos fantasmes et de nourrir votre confiance en vous. Mais avec le temps, le secret l'emporte, et ces images disparaissent dans l'oubli. Aux Rencontres de la photographie d'Arles, le couple Jacquier remet en lumière ces photos oubliées. Au fil des brocantes et des négociations, iels ont rassemblé les photographies de personnes anonymes, traces de quotidiens intimes effacées par le temps. Toutes ces photos cachées dans des enveloppes au fond d'un tiroir portent une histoire oubliée, comme celle de Rose et Jean, deux amoureux dont l'album photo raconte l'intensité d'une idylle de trois mois. Au micro de Charlotte Pudlowski, Philippe Jacquier redonne voix à ces fragments de vie et les arrache à l'oubli.L'exposition “Éloge de la photographie anonyme”, réalisée à partir de la collection Marion et Philippe Jacquier, est à voir jusqu'au 5 octobre 2025 aux Rencontres de la photographie d'Arles. Cet épisode a été tourné et monté par Charlotte Pudlowski, Gautam Shukla était à la réalisation et au mix. La musique originale est de Michaël Liot. Julie Deltheil-Tourrenc est en charge de la production.Merci à notre partenaire Les Rencontres d'Arles, avec qui nous avons réalisé cette série Louie s'invite à Arles.Abonnez-vous à la newsletter de Louie Media, pour retrouver les interviews d'artistes et de commissaires pendant Les Rencontres et la rubrique Empreinte qui se focalise sur une œuvre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Psalm 6Psalm 9APsalm Reading 1: 2 Corinthians 8Reading 2: From a sermon by St. Caesarius of Arles, bishopSt. Helena Ministries is a registered 501(c)3 non-profit. Your donations may be tax-deductibleSupport us at: sthelenaministries.com/supportPresentation of the Liturgy of the Hours (Divine Office) from The Liturgy of the Hours (Four Volumes) © 1975, International Commission on English in the Liturgy Corporation. The texts of Biblical readings are reproduced from the New American Bible © 1975
An ... sidd Dir prett fir eisen nächsten Tour a Südfrankräich? Zu Arles si bis de fënneften Oktober déi 56. Rencontres internationales de la photo. A wéi Dir ewell wësst, ass Lëtzebuerg duerch der Mixed-Media-Kënschtlerin Carine Krecké hire Projet “Perdre le Nord” do ënne vertrueden. D'ASBL Lët'z Arles an eisen Arts Council Kultur:LX hunn awer no 7 Arles-Editioune genuch Rencontere gemaach a Kontakter geknäppt fir nach weideren Artisten an Artistinnen, wann och keng Expo, dann awer dach eng Presenz ze erméiglechen. Zum Beispill bei enger vu ville Portfolio Reviews. D'Kerstin Thalau hat zwar de Chrono um Büro leie gelooss, mee war sech awer ee Bild maachen.
Vitrine privilegiada do mundo da fotografia mundial, os Encontros de Arles recebem neste ano, no contexto da Temporada França-Brasil 2025, a mostra "Retratistas do Morro”, com os trabalhos de João Mendes e Afonso Pimenta, que há 50 anos documentam a vida dos moradores da comunidade da Serra, em Belo Horizonte. Patrícia Moribe, enviada especial da RFI a Arles O projeto "Retratistas do Morro", idealizado e coordenado pelo artista visual, pesquisador e curador independente Guilherme Cunha, surge no final de 2014. Tudo começou com a produção de um livro, "Memórias da Vila", que visava preservar a memória da comunidade da Serra, coletando entrevistas e conectando as vivências dos habitantes à história oficial de Belo Horizonte. Um momento fundamental, conta Cunha, foi o encontro com dona Ana Martins de Oliveira, a "madrinha maior" do projeto. A mulher, que foi "escravizada na infância, retirante, lavadeira e analfabeta", possuía uma "consciência patrimonial que superou todas as políticas de preservação brasileira", conta o pesquisador. Ela guardava um conjunto de monóculos, com imagens de sua própria família, que chamava de "tesouros". Ao ser questionada sobre por que eram seus “tesouros”, dona Ana explicou: "É a única forma que o meu neto vai conhecer o avô dele". Guilherme Cunha viu essa percepção de que as imagens são presença e existência, uma forma atemporal de conectar experiências familiares, como uma transferência de conhecimento" e uma "bênção" para a equipe do projeto. O pesquisador destaca que o projeto opera em duas vertentes cruciais: a técnica de preservação, que envolve a digitalização e restauração de negativos em deterioração (muitos dos quais em risco de desaparecimento); e a produção de pensamento crítico. “Buscamos compreender o que essas imagens dizem, desenvolvendo ferramentas cognitivas e teóricas enraizadas no contexto cultural brasileiro, em vez de aplicar filosofias desconectadas que poderiam distorcer a realidade”, diz. A importância de trazer essas imagens ao público, conforme Guilherme, reside em ir na contramão dos processos coloniais, que são epistemicidas e expropriadores, apagando identidades e distorcendo realidades. O projeto propõe o conceito de "pictosceno", pensando em ideias favoráveis aos ciclos virtuosos da imagem, que promovem o avanço civilizatório, a prosperidade, a dignidade e a garantia de direitos. De vendedor ambulante a cronista da cidade João Mendes, nascido em Iapu, Minas Gerais, trabalhou na roça até os 11 anos, fez rapadura e, aos 14, vendia picolés quando foi convidado a trabalhar em uma loja de fotografia. Apesar de ganhar menos, a opção foi um divisor de águas em sua vida. Após dois anos, ele começou a fotografar para a delegacia local, fazendo perícias criminais. Depois, Mendes fotografou toda a cidade de Ipatinga, sob encomenda do prefeito da época, documentando as ruas e bairros antes de serem asfaltados. Aos 16 anos, em 1966, mudou-se para Belo Horizonte. Em 1973, João Mendes abriu seu próprio estúdio, a Foto Mendes, onde permanece até hoje. Ele relata ter enfrentado fases difíceis como comerciante, mas persistiu em seu trabalho. Um momento importante para o resgate de seu negócio foi quando uma escola estadual o contratou para fotografar a formatura de 105 alunos. João Mendes revela que Guilherme Cunha chegou à sua loja em 2016, perguntando sobre as memórias da Serra. O fotógrafo tinha guardado muitos negativos, apesar de ter descartado outros tantos e alguns terem sido danificados por vazamentos. Guilherme conseguiu resgatar 8.700 negativos em preto e branco inicialmente, além de outros coloridos de batizados, casamentos e formaturas. A jornada de exposições de João Mendes e Afonso Pimenta, graças ao projeto, começou no Sesc de São João do Rio Preto, no interior de São Paulo, seguindo para a capital, Guarulhos, Araraquara, São Paulo, Lille, na França e agora Arles. Dos becos da favela à praça do mundo Afonso Pimenta chegou a Belo Horizonte com apenas 9 anos em 1963, vindo do interior de Minas Gerais. Seus primeiros ofícios incluíam catar esterco e capinar calçamentos. A fotografia surgiu em sua vida de forma inesperada, quando um colega do curso noturno lhe apresentou uma câmera Kodak, prometendo que fotógrafos ficavam “ricos, com vida luxuosa e mulheres”. O destino o levou a morar ao lado da casa de Mendes, que já era um fotógrafo conhecido na comunidade. A mãe de João, ciente das "badernas" de Afonso na rua, pediu o filho que o aceitasse como ajudante em seu ateliê. Afonso, que pensava que já era fotógrafo por ter uma máquina, logo percebeu que "não sabia nada" e que João "não tinha muita boa vontade para ensinar", conta rindo. Apesar das dificuldades, Afonso persistiu e, ao contrário de dezenas de parentes que passaram pelo ateliê de João, foi o único que continuou exercendo a fotografia. Afonso também explorou outras áreas: estudou educação física e fisioterapia, deu aulas de artes marciais e atuou em filmes em São Paulo e Belo Horizonte. Mas a fotografia sempre foi um porto seguro. Naquela época, a escolha do que fotografar não era por gosto, mas por necessidade: "a gente tinha que fazer o que dava dinheiro". Ele se especializou em batizados, aniversários e até velórios. Pimenta ressalta que o projeto "Retratistas do Morro" foi crucial, pois tirou seu trabalho dos "becos" da favela e o colocou na "praça", com maior visibilidade. Assim como João, Afonso nunca imaginou que seu trabalho chegaria à França. Para ele, estar em Arles, divulgando o trabalho e o livro lançado em 2023, é uma sensação "boníssima". Além de serem exibidas em instituições e festivais internacionais, as fotos de João Mendes e Afonso Pimenta também passaram a integrar o acervo do Moma, o Museu de Arte Moderna de Nova York. Em Arles, a exposição segue até 5 de outubro.
durée : 00:43:34 - Les Midis de Culture - par : Chloë Cambreling - Retour en images et en mots sur les Rencontres de la photographie d'Arles, mettant à l'honneur cette année les “Images indociles”. Avec Christoph Wiesner, directeur du festival, et autour de l'œuvre de deux artistes : Louis Stettner, disparu en 2016, et Agnès Geoffray. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Christoph Wiesner Directeur des rencontres de la photographie à Arles.; Virginie Chardin Commissaire d'exposition spécialiste de photographie ; Janet Iffland-Stettner Épouse de Louis Stettner; Agnès Geoffray Plasticienne, photographe
Avez-vous déjà entendu parler du “female gaze” ? Ce regard féminin, à contre-courant de la tendance trop fréquente à sexualiser les corps féminins, replace les femmes au centre, comme sujets, et non objets. Aux Rencontres de la photographie d'Arles, l'exposition rétrospective Les femmes, les sœurs, consacrée à l'œuvre d'Erica Lennard, incarne ce concept. Dès 1976, la photographe choisit de poser un œil bienveillant sur sa sœur et ses amies, loin des codes du regard masculin dominant.Pour elle, “nous sommes toutes sœurs”. Cette phrase bouleverse Clara Bouveresse, commissaire de l'exposition. Au micro de Charlotte Pudlowski, elle raconte la photographie comme un outil d'affection plutôt que de domination et l'importance de la représentation des amitiés entre femmes. L'exposition “les femmes, les soeurs” est à voir jusqu'au 5 octobre 2025 aux rencontres de la Photographie d'Arles. Cet épisode a été tourné et monté par Charlotte Pudlowski, Gautam Shukla était à la réalisation et au mix. La musique originale est de Michaël Liot. Julie Deltheil-Tourrenc est en charge de la production.Merci à notre partenaire Les Rencontres d'Arles, avec qui nous avons réalisé cette série Louie s'invite à Arles.Abonnez-vous à la newsletter de Louie Media, pour retrouver les interviews d'artistes et de commissaires pendant Les Rencontres et la rubrique Empreinte qui se focalise sur une œuvre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque année depuis 1995, le festival des Suds à Arles investit le centre historique de la ville, le théâtre antique ou la cour de l'archevêché et beaucoup d'autres lieux, et il fait résonner aux oreilles des estivants les musiques du monde entier. Pour cette 30è édition, on a vu passer ici Salif Keïta, Seu Jorge, Birds on a Wire ou le trio Joubran. Nuria Rovira Salat, chanteuse et danseuse espagnole ; Wissam Joubran, membre du Trio Joubran et Stéphane Krasniewski, directeur du festival, sont les invités de Sur le pont des arts. Au programme de l'émission : ► Playlist du jour - Nuria Rovira Salat - Amor de Flores - Nuria Rovira Salat - Tango de bruja - Wassim Joubran - Sama - Sounounou - Wassim Joubran - Massar.
Chaque année depuis 1995, le festival des Suds à Arles investit le centre historique de la ville, le théâtre antique ou la cour de l'archevêché et beaucoup d'autres lieux, et il fait résonner aux oreilles des estivants les musiques du monde entier. Pour cette 30è édition, on a vu passer ici Salif Keïta, Seu Jorge, Birds on a Wire ou le trio Joubran. Nuria Rovira Salat, chanteuse et danseuse espagnole ; Wissam Joubran, membre du Trio Joubran et Stéphane Krasniewski, directeur du festival, sont les invités de Sur le pont des arts. Au programme de l'émission : ► Playlist du jour - Nuria Rovira Salat - Amor de Flores - Nuria Rovira Salat - Tango de bruja - Wassim Joubran - Sama - Sounounou - Wassim Joubran - Massar.
Dëse Summer huele mir Iech all Freideg mat op eng kleng kulturell Rees: an zwar op déi renomméiert Rencontres de la photo zu Arles. Dëse Summerfestival geet mëttlerweil a seng 56. Editioun; Lëtzebuerg ass fir d'aachte Kéier mat dobäi. Déi Kéier vertrueden duerch der Kënschtlerin Carine Krecké hir Multimedia-Installatioun “Perdre le Nord” an der historescher Chapelle de la Charité. Selektionéiert gouf de Projet vun engem internationale Jury, an deem och de Rencontres-Direkter Christoph Wiesner souz. An hie war och beim Vernissage vu “Perdre le Nord” den 8. Juli. D'Kerstin Thalau huet dovunner profitéiert fir dem Christoph Wiesner e puer generell Froen zum Festival ze stellen.
Spreng, Eberhard www.deutschlandfunk.de, Kultur heute
Elles ont été placées, surveillées, réduites au silence. Et pourtant, elles ont crié, griffonné sur les murs, brisé les règles. Au micro de Charlotte Pudlowski, Agnès Geoffray remonte le fil de son exposition aux rencontres de la photographie d'Arles. Son objectif met à l'honneur la désobéissance et la rébellion, il capture l'image de ces jeunes filles qui soulèvent leurs jupes, sautent de murs et défient du regard les normes auxquelles elles sont soumises.En mêlant savamment ses mots avec ses propres tirages et des photos d'archives, elle saisit la volonté de subversion de ces adolescentes placées en écoles de préservation, des lieux pensés pour invisibiliser leurs corps et entraver leur liberté. Entre incarnation et travail de recherche historique, elle raconte la révolte de celles réduites au silence, de celles « enfermées pour ce qu'elles sont ». L'exposition “Elles tempêtent”, dont Vanessa Desclaux, critique d'art, écrivaine, est la commissaire, est à voir jusqu'au 21 septembre 2025 aux rencontres de la Photographie d'Arles. Cet épisode a été tourné et monté par Charlotte Pudlowski, Gautam Shukla était à la réalisation et au mix. La musique originale est de Michaël Liot. Julie Deltheil-Tourrenc est en charge de la production.Merci à notre partenaire Les Rencontres d'Arles, avec qui nous avons réalisé cette série Louie s'invite à Arles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis Berlin, il veille sur l'héritage d'un photographe qui n'a jamais cessé de troubler le regard.Matthias Harder dirige la Fondation Helmut Newton. Il en est aussi le curateur en chef. Nommé par Helmut quelques mois avant son décès, puis accompagné par le regard de June, il orchestre depuis des années les expositions, les publications, les archives - mais surtout, il façonne une mémoire vivante. Celle de Helmut Newton, bien sûr, mais aussi celle de June Newton, Photographe elle aussi. Plus discrète, mais tout aussi précise, sous le nom d'Alice Springs, elle a construit une œuvre à part entière.On s'est retrouvés à Arles, dans la cuisine de Julia de Bierre, fondatrice de la Galerie Huit. Loin des grandes institutions, on a parlé de photographie, de regard, de pouvoir, de tendresse aussi. Et de cette ligne fine entre fascination et inconfort. Une plongée lucide dans les coulisses de la photographie contemporaine, entre passion, responsabilité et mémoire.Dans cette conversation, nous parlons longuement de ce photographe qui a bousculé les codes, imposé une esthétique aussi radicale qu'irrévérencieuse, tout autant que de la présence fondamentale d'Alice Springs.Un échange amical et généreux. Et cette intimité particulière que seule la radio permet, quand la voix devient le lieu du partage.English version :From Berlin, he watches over the legacy of a photographer who never stopped unsettling the gaze.Matthias Harder is the director and chief curator of the Helmut Newton Foundation. Appointed by Helmut just a few months before his death, and later accompanied by June's sharp eye, he has been curating exhibitions, publications, and archives for years — but above all, he has been shaping a living memory.The memory of Helmut Newton, of course — but also that of June Newton, herself a photographer. More discreet, yet equally precise. Under the name Alice Springs, she built a body of work all her own.We met in Arles, in the kitchen of Julia de Bierre, founder of Galerie Huit. Far from the major institutions, we spoke about photography, about the gaze, about power — and tenderness, too. About that delicate line between fascination and discomfort.A clear-eyed dive into the backstage of contemporary photography, where passion, responsibility and memory intertwine.In this conversation, we speak at length about a photographer who broke all the rules and carved out a style both radical and irreverent — as well as about the essential presence of Alice Springs.A warm, generous exchange. And that special intimacy only radio can offer, when the voice becomes a space for sharing.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
O Brasil é o grande destaque dos Encontros de Arles, reunião obrigatória de profissionais e amantes da fotografia, que acontece no sul da França. O curador Thyago Nogueira apresenta duas mostras de porte: “Novos Ancestrais” e “No Lugar do Outro”. Patrícia Moribe, enviada especial da RFI a Arles “'Futuros Ancestrais' é uma exposição coletiva que apresenta uma geração nova e empoderado na arte brasileira, produzindo imagens a partir de múltiplas tecnologias - fotografia, vídeo, inteligência artificial, colagem”, explica Thyago Nogueira, editor da revista Zum e coordenador-chefe de arte contemporânea do Instituto Moreira Salles. “O objetivo é reinterpretar e narrar a história do Brasil e mostrar o Brasil contemporâneo. É uma exposição que mostra artistas que desafiam a maneira como a história do país foi narrada. Eles usam partes desses arquivos para tentar contar uma outra história do Brasil, para tentar completar lacunas, para enfrentar apagamentos e violências que esses arquivos produziram. Mas também usam a imagem para construir novas formas de comunhão e de solidariedade e para pensar a integração entre diferentes tradições e ancestralidades”, acrescenta Nogueira. Representatividade A mostra denuncia a violência histórica contra comunidades afro-brasileiras, indígenas e LGBTQIA+, questionando estereótipos e a história oficial. Artistas como Denilson Baniwa, Ventura Profana, Gê Viana, Mayara Ferrão, Yhuri Cruz e Igi Lọlá Ayedun usam colagem e IA para recompor arquivos visuais e criar novas representações de beleza, afeto e espiritualidade. O coletivo Lakapoy e Lincoln Péricles abordam os relatos oficiais através de arquivos fotográficos de suas próprias comunidades, enquanto Glicéria Tupinambá destaca a expropriação colonial e a restituição de objetos sagrados. A exposição também explora o corpo como arquivo e ferramenta de denúncia contra preconceitos, com obras de Rafa Bqueer, Castiel Vitorino Brasileiro, Melissa Oliveira e Paulo Nazareth. “É uma exposição de artistas que olham para o passado não como um lugar nostálgico ou congelado, mas como um lugar que precisa ser reativado e rediscutido para poder esclarecer o nosso presente e também para poder imaginar um futuro diferente do futuro que está previsto para eles”, explica Thyago Nogueira. Cláudia Andujar Paralelamente, Nogueira apresenta “Cláudia Andujar – À la place des autres (No lugar do outro)”, focada na primeira parte da carreira da fotógrafa Cláudia Andujar, antes de seu engajamento com o povo Yanomami. A exposição é o resultado de dois anos de pesquisa nos arquivos da artista. Cláudia Andujar, sobrevivente do Holocausto que chegou ao Brasil em 1955, começou a fotografar o país e a desenvolver seu olhar e sua forma de pensar a contribuição da fotografia para uma sociedade mais justa. A exposição apresenta suas primeiras séries, incluindo “Famílias brasileiras” (1962-1964), seu trabalho editorial para a revista Realidade (1966-1971), reflexões sobre a feminilidade em “A Sônia” (1971), fotografia de rua em “Rua Direita” (cerca de 1970), e suas primeiras incursões na Amazônia (1970-1972). As mostras nos Encontros de Arles acontecem no contexto da Temporada França-Brasil 2025. * Correção – ao contrário da informação anterior, das duas exposições curadas por Thyago Nogueira, apenas “Cláudia Andujar, No Lugar do Outro”, foi produzida pelo Instituto Moreira Sales.
In deze aflevering neem ik je mee op weg naar Arles, het hart van de internationale fotografiewereld, waar het jaarlijkse Les Rencontres d'Arles fotofestival plaatsvindt. Terwijl ik onderweg ben, deel ik mijn visie op een onderwerp waar veel fotografen buikpijn van krijgen: netwerken.Hoe bouw je als fotograaf aan een sterk netwerk, ook als je introvert bent? Hoe maak je oprechte connecties zonder je anders voor te doen dan je bent? En waarom is jouw netwerk misschien wel dé sleutel tot je volgende doorbraak?Je krijgt mijn eerlijke verhaal over hoe ik zelf met netwerken ben gestart, welke strategieën écht werken, én hoe je jouw eigen manier kunt vinden – zonder jezelf te verliezen. Of je nu in documentairefotografie zit of in een commerciële niche werkt: deze aflevering helpt je groeien.Ook vertel ik over mijn zomerproject: The Daily Frame – een summer challenge met dagelijkse korte podcasts om jouw fotopraktijk in augustus een boost te geven.website van De Donkere Kamer: www.donkerekamer.comthe daily frame: schrijf je hier in tot 1 augustus. mentorship: donkerekamer.com/mentorvul hier de vragenlijst in als je interesse hebt!
durée : 00:43:26 - Live à Fip - Tour d'horizon de la 30e édition du festival, qui se tiendra dans la cité antique du 14 au 20 juillet, avec le directeur Stéphane Krasniewski et une session live de la grande figure du renouveau du flamenco. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:47:05 - La 20e heure - par : Eva Bester - “Qu'est-ce qu'un père ?” L'artiste visuelle, Camille Lévêque, tente de répondre à cette question dans son exposition A la recherche du père présentée à Arles cet été. Construit comme une enquête, son travail visuel pousse le visiteur à s'interroger sur le rôle du père et ses représentations. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
16 DE JUNIO - SAN AURELIANO DE ARLES, OBISPO
NO LE OTORGUES A TODOS EL PRIVILEGIO DE EXTRAÑARLES
Aujourd'hui, nous vous emmenons en Colombie assister, avec un peu de décalage, à la quatrième édition colombienne du festival Agir pour le vivant. Ces rencontres nées à Arles, dans le sud de la France, réunissent chaque année des militants environnementaux, des ONG, des politiques, des scientifiques, des artistes, des entrepreneurs et des universitaires avec un but commun : réfléchir à une vie plus harmonieuse avec tout ce qui vit sur cette planète. Pour vivre «avec la nature» et non pas «contre la nature», comme le dit Luz Mosquera, la représentante d'une communauté afro-colombienne que nous entendrons dans cette émission.Un reportage de Raphaël Moran.Le site de Agir pour le Vivant.Musique diffusée pendant l'émissionJOSE CARDENAS (EL MONARCA DE LA CANTINA) - Tarde Te Conoci.
Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueDans cet épisode spécial, je (Marine Lefort, l'hôte de ce podcast) passe de l'autre côté du micro. Interviewée par mon compagnon Florian, je reviens sur mon parcours, les projets que je mène en France et au Japon, et l'accompagnement que je propose aux photographes.Je parle aussi de l'évolution du podcast, de mon travail éditorial avec Gallimard, Fisheye, The Eyes, et de mes expériences à la résidence Villa Kujoyama, le festival Kyotographie, l'école des Gobelins ou à les Rencontres de la Photographie à Arles.J'espère que cet échange sincère vous permettra d'en savoir plus sur mes projets à côté de mon podcast Les Voix de la Photo.Bonne écoute !00:00:34 - Introduction de l'épisode spécial avec Florian00:02:51 - Le parcours de Marine jusqu'à un départ au Japon en 202200:04:03 - Travail au Japon : à la résidence Villa Kujoyama (Institut Français) et au festival Kyotographie à Kyoto00:04:40 - Retour en France et nouveaux projets00:05:39 - Collaboration avec des éditeurs (Gallimard, Fisheye et The Eyes) et des photographes00:07:41 - Accompagnements et projets avec des photographes00:12:38 - L'avenir du podcast Les Voix de la PhotoCrédit photo : Samuel KirszenbaumMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Expedimos pasaportes sonoros con derecho a asistir a algunos de los más interesantes festivales de músicas enraizadas del mundo que se celebrarán próximamente, como EtnoPort Poznań; Poborina Folk; Etnosur; Pirineos Sur; Festival Giacometti; Festival MED de Loulé; Festival Músicas do Mundo de Sines ; Les Suds, à Arles; Colours of Ostrava; Festival Arte Flamenco Mont-de-Marsan; Les Nuits Flamencas; Førdefestivalen; Globaltica; La Mar de Músicas; Afro-Pfingsten; Musica Mundo; Festival Gnaoua et Musiques du Monde, o MIMO Festival Amarante. Suenan músicas de algunos de los artistas que participarán en ellos, cuyos sones nos llegan desde Polonia, Rusia, los Balcanes, Francia, África del Norte, Argentina, Noruega, Galicia, Corea, África occidental o Brasil. We issue sound passports granting access to some of the most interesting rooted music festivals in the world that will take place soon, such as EtnoPort Poznań; Poborina Folk; Etnosur; Pirineos Sur; Festival Giacometti; Festival MED in Loulé; Festival Músicas do Mundo in Sines; Les Suds, à Arles; Colours of Ostrava; Festival Arte Flamenco Mont-de-Marsan; Les Nuits Flamencas; Førdefestivalen; Globaltica; La Mar de Músicas; Afro-Pfingsten; Musica Mundo; Festival Gnaoua et Musiques du Monde, or MIMO Festival Amarante. Let the music of some of the artists who will take part in these events be heard, sounds that come to us from Poland, Russia, the Balkans, France, North Africa, Argentina, Norway, Galicia, Korea, West Africa or Brazil. - HrayBery - Mitsve - Mitsve - Dobranotch - Foaie verde cinci chiperi - Vander ikh mir lustik - Zar Electrik - Choukrane likoum - Koyo - Mandy Lerouge - Zambita del buen amor - Del cerro - Poranguí - Sachamama - Ayahuasca - Juan Carmona - Laberinto de luz - Laberinto de luz - Inger Hannisdal - Virvler / Swirls - North south east west - Mercedes Peón - Déixaas - Déixaas - Chudahye Chagis - Eheori-Ssunggeoya - Underneath the dangsan tree tonight - Mandé Sila - Benkan - Live @ Levon Helm Studio - Luizinho do Jêje, Marcelo Galter, Sylvio Fraga - História do quintal - Mocofaia 📸 Mandé Sila
Theemen haut: Europadag, Interview mam Kardinol Hollerich, d'Oktav, de Mondorf Run a Lët'z Arles.
Full Text of ReadingsMonday of the Third Week of Easter Lectionary: 273The Saint of the day is Saint Hilary of ArlesSaint Hilary of Arles' Story It's been said that youth is wasted on the young. In some ways, that was true for today's saint. Born in France in the early fifth century, Hilary came from an aristocratic family. In the course of his education he encountered his relative, Honoratus, who encouraged the young man to join him in the monastic life. Hilary did so. He continued to follow in the footsteps of Honoratus as bishop. Hilary was only 29 when he was chosen bishop of Arles. The new, youthful bishop undertook the role with confidence. He did manual labor to earn money for the poor. He sold sacred vessels to ransom captives. He became a magnificent orator. He traveled everywhere on foot, always wearing simple clothing. That was the bright side. Hilary encountered difficulty in his relationships with other bishops over whom he had some jurisdiction. He unilaterally deposed one bishop. He selected another bishop to replace one who was very ill–but, to complicate matters, did not die! Pope Saint Leo the Great kept Hilary a bishop but stripped him of some of his powers. Hilary died at 49. He was a man of talent and piety who in due time, had learned how to be a bishop. Reflection Saint Hilary teaches us to respect authority even if found in a young person. Age is not the issue: prudence and wisdom are. Saint of the Day, Copyright Franciscan Media
Monday of the Third Week of Easter Saint of the Day: St. Hilary of Arles, 400-449; born in Lorraine, and joined Honoratus at Lerins Abbey; Honoroatus became bishop of Arles, and when he died in 429, Hilary succeeded him; Hilary was known for his austerities, his aid to the poor, and for ransoming captives; two disagreements with Pope Leo the Great ended in reconciliation; Hilary's sanctity brought him great veneration Office of Readings and Morning Prayer for 5/5/25 Gospel: John 6:22-29
Fanny Allié was born in Montpellier, South of France. She received her Master's Degree from the Ecole Nationale Supérieure de la Photographie (The National School of Photography) in Arles, France in 2005 and moved to New York City. Princeton University, Equity Gallery, Hyatt Centric (Philadelphia), DOT Art, A.I.R Gallery, New York City Department of Parks & Recreation, Fresh Window, Chashama and St Eustache Church (Paris, France), Hudson Yards Alliance have organized solo exhibitions and public installations of her work. Tappan Gallery, Owen James Gallery, NYU/Gallatin Gallery, Dorsky Gallery, Freight + Volume, BRIC Rotunda Gallery, Dekalb Gallery/Pratt Institute, UConn University, Mana Contemporary, Hamburg Museum of Arts and Crafts, The Bronx Museum, Teachers College Columbia University among others have featured her work in group exhibitions. Fanny is the recipient of various fellowships and residencies including AIM (Bronx Museum), BRIC Lab Fellowship, Emergency Grant (Foundation for Contemporary Arts), A.I.R. Fellowship Program, Robert Blackburn Printmaking SIP Fellowship, Elizabeth Foundation for the Arts Studio Program, Yaddo Residency, Dieu Donné Workspace Residency, NYSCA/NYFA Artist Fellowship (Craft/Sculpture), MacDowell Fellowship, Puffin Foundation Grant, Wildacres Residency and National Arts Club Artist Fellowship. Her work has appeared in the New York Times, The Guardian, Time Out, ARTnews, NY Magazine, Brooklyn Magazine, Hyperallergic, Le Monde Diplomatique, Blouin Art Info, DNA Info, Marie Claire Italy, AM New York among others. Her neon light sculpture “The Glowing Homeless” and sound installation will be exhibited at the Church of St. Eustache in Paris from December 18th 2024 until May 31st 2025. In 2025, Kaliner Gallery in New York City and Giovanni Bonelli Gallery (Milan, Italy) will present her work in solo exhibitions. Fanny lives in Brooklyn and works from her studio at the Elizabeth Foundation for the Arts in Manhattan, NY. Exhibits discussed are KALINER and Giovanni Bonelli. A Longing, March 6 - April 12, 2025, Installation view at Kaliner Gallery, 42 Allen St, NYC Ladder Leg, 2024, found fabric, collagraph print and acrylic paint, 32.5in x 50in The Night the Wind Learned to Dance, April 24 - May 25, 2025, Installation view at Giovanni Bonelli Gallery, Milan, Italy Shelved, 2025, found fabric and collagraph prints, 59in x 38.5in Circles, 2024, found fabric and collagraph prints, 55.5in x 55.5in
Arrivé en Provence en 1888, d'abord à Arles puis à Saint-Rémy-de-Provence, il a été littéralement transformé par ce paysage.On sent sa passion, son tourment aussi parfois, dans la matière même de la peinture. C'est une période d'une créativité intense, malgré les difficultés personnelles qu'il traversait. La Provence, pour Van Gogh, a été une source d'inspiration inépuisable.Il marque la France.
Diane and Sean discuss the movie that's all plot and no plot, Ronin. Episode music is, "The Ronin Myth", by Elia Cmiral, from the OST.- Our theme song is by Brushy One String- Artwork by Marlaine LePage- Why Do We Own This DVD? Merch available at Teepublic- Follow the show on social media:- BlueSky: WhyDoWeOwnThisDVD- IG: @whydoweownthisdvd- Tumblr: WhyDoWeOwnThisDVD- Follow Sean's Plants on IG: @lookitmahplants- Watch Sean be bad at video games on TwitchSupport the show
On Hour 3 of the Patrick Madrid Show, Patrick discusses the following: Ed - What does the phase, No salvation outside of the Church mean? My wife and I are having a discussion on it. Craig - The Council of Arles 475 lays out what the Vatican Council said. The Church’s teaching on salvation is not new. Be sure that you stop at mass at Sacred Heart Cathedral in the Diocese of Gallop, NM. They have just restored their communion rail. Gary – I am with you on 23andme. You are able to delete your information and discard the samples Michelle in AZ - Communion rail in Gallop, NM. I received my first communion there. Michelle in CA - facial recognition in my car: we can't escape this stuff. Patrick shares an article from the Christian Post on China's digital database Kathy - How come churches have the tabernacle in different places?
It was with great satisfaction that we welcome back to the grid Alan ALDA, who has not made too many appearances as of late, always glad to see a great ... whatever Alan ALDA is ... back in the saddle, so to speak. We also were glad to see SNL make an appearance, although since they were just mentioned yesterday, their appearance today is not nearly as momentous.Speaking of momentum (we weren't, but humor us), Jean tore through today's Triplet Tuesday segment, check out the deets herein, and, as always, drop us a line, we love feedback!Show note imagery: Le Café de Nuit, Place Lamartine, Arles, by -- as if the brushstrokes didn't give it away -- Vincent Van GoghWe love feedback! Send us a text...Contact Info:We love listener mail! Drop us a line, crosswordpodcast@icloud.com.Also, we're on FaceBook, so feel free to drop by there and strike up a conversation!
Karen Espig took early retirement from her government job in Ottawa, Canada, to dedicate more time to her passion for art. Concerned that her pension wouldn't provide a comfortable lifestyle in Canada, she explored more affordable options in Europe. She initially settled in the small town of Pogradec, Albania, which met her financial criteria but ultimately felt isolating and unfulfilling. After two years, Karen discovered a far better fit in Arles, a charming town in the south of France renowned for its rich artistic heritage. It seems she has truly found her place in Arles! To hear more about Karen's journey from Albania to France, tune in to Episode 205 of Retire There with Gil & Gene. Learn more about Karen's art and travels go to Karen's website, KarenEspig.com. Karen has written two books on Albania. They are Albania: A First-Timer's Guide for Visitors & Expats and Pogradec, Albania: Tips for Tourists, Slow Travellers, & Digital Nomads. She has also published a number of date and birthday books. #retirethere #retiretherepodcast #retirewhere #retireabroad #retirehere #wheretoretire #retireearly #bestplacetoretire #retirement #retirementplanning #babyboomers #genxers #arles #arlesfrance #france #thesouthoffrance #southoffrance #pogradecalbania #albania #karenespig #karenespigart