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Les PM des provinces arrivent en Ontario pour accélérer les discussions sur les droits de douane. Une deuxième disparition potentiellement résolue par des youtubeurs à Deux-Montagnes. Une Québécoise de 9 ans retrouvée morte aux États-Unis après une alerte amber. Un autre projet informatique en voie d’exploser fait l’objet d’un bras de fer. Les manufacturiers veulent poursuivre Ottawa en réaction aux nouvelles règles sur les travailleurs étrangers. Un des chefs du gang Arab Power tué au pénitencier. Des Québécois fraudés par de faux docteurs sur Facebook. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
- 25 pays, dont le Canada, appellent immédiatement à la fin du conflit à Gaza- Le père de la fillette québécoise retrouvée morte à NY est accusé - Terrorisme : pas de prison pour une montréalaise qui avait rejoint L’État Islamique - Une autre disparition pourrait être élucidée à Deux-Montagnes - Un AUTRE projet informatique explose au Québec - Trump souhaite le retour des INDIANS et des REDSKINS Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Moranville Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Retour sur les intempéries d’hier. Grève évitée à la SÉPAQ. Beaucoup de gens resteront au Québec pour les vacances de la construction. Trump souffre d’une insuffisance veineuse. Trump veut poursuivre le Wall Street Journal. Forcé de faire du camping à l’hôpital pour que leur fils autiste soit pris en charge. La fonderie Horne refuse de respecter la limite établie par Québec. La Presse au centre d’une controverse après avoir publié une lettre de Gilbert Rozon. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Au Japon, les élections sénatoriales prévues dimanche 20 juillet s'annoncent périlleuses pour la coalition au pouvoir, les sondages prédisant une forte progression des petits partis ultra-conservateurs, nationalistes et populistes. Tout au long de la campagne, ces formations ont pris les étrangers pour cible, ont tenu des propos xénophobes et ont diffusé sur les réseaux sociaux des contre-vérités concernant les immigrés. De notre correspondant à Tokyo, L'archipel ne compte que 3% d'immigrés, soit moins de 4 millions de personnes, pour 120 millions de Japonais. Pourtant, ils sont devenus les boucs émissaires de la campagne électorale. Dans les meetings, on les a accusés de tous les maux et, en boucle, en réclamant la préférence nationale : « Les Japonais étant des êtres supérieurs, ils n'ont plus à passer au second plan par rapport aux étrangers », « Les Japonais d'abord ! Il faut d'urgence mettre fin à ce traitement préférentiel dont les immigrés ont toujours bénéficié », ou encore « Regardez ce qui se passe en Europe. Ce continent est complètement à la dérive en raison d'une immigration incontrôlée ». Des propos sévères, mais « ce n'est pas faire preuve de xénophobie ou de populisme que d'exiger que les immigrés respectent nos règles et que nous, les Japonais, bénéficiions d'une discrimination positive par rapport à eux. Cela paraît la moindre des choses », a-t-on pu entendre notamment lors de ces événements politiques au Japon. Face à cette vague populiste, les électeurs japonais sont partagés. « On ne se sent plus chez nous avec autant d'étrangers. Et beaucoup se comportent mal, en plus. C'est vraiment la double peine », estime une jeune femme. « Enfin des politiciens qui disent la vérité et sortent du politiquement correct, de ce prêchi-prêcha assommant sur ''le vivre ensemble" », abonde une autre, croisée dans les rues de Tokyo. « À mon sens, un pays se grandit en acceptant la diversité qui figure en son sein et en veillant à la coexistence harmonieuse au-delà des différences culturelles », estime à l'inverse un électeur. « Les partis traditionnels ayant tellement déçu, menti et magouillé, les gens optent pour une alternative et se tournent vers des formations populistes. Une telle dérive, c'était couru d'avance », regrette celui-ci. Beaucoup d'immigrés ont mal vécu cette campagne qui, de bout en bout, a stigmatisé les étrangers. « Tous les jours, on me fait comprendre que ma place n'est pas ici, mais dans mon pays. C'est dur, se désole Aung, qui est née en Birmanie. Mais je m'accroche, je serre les dents. Au boulot, je veille à être une employée modèle pour que mon titre de séjour soit renouvelé chaque année, et donc que je puisse continuer à aider mes parents, qui sont toujours en Birmanie. Car mon soutien financier leur est vital. » Contrairement à ce qui a été dit et répété dans les meetings, le Japon n'est pas « submergé par une vague de sans-papiers » : on en dénombre un quart de moins qu'il y a 20 ans. Un étranger sur trois ne vit pas « au crochet de l'assistance publique » : on ne compte que 3% d'immigrés parmi les bénéficiaires d'une allocation de subsistance. S'agissant des incivilités et des infractions commises par les étrangers, on en déplore un peu plus qu'avant. Mais, selon les experts, c'est mathématique, automatique, dû à l'envolée du nombre d'immigrés ces dernières années. Pour autant, le gouvernement a promis un tour de vis répressif envers les résidents étrangers qui n'auraient pas un comportement irréprochable. Et, à en croire un récent sondage, près de 80% des Japonais s'en félicitent. À lire aussiAu Japon, les populistes ciblent les immigrés à l'approche des élections
Dis-moi comment tu as été aimé, je te dirai comment tu fais l’amour. Chronique sexologie avec François Renaud, sexologue et psychothérapeute et créateur du programme raviver le désir sexuel. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans cet épisode bouleversant de La Poche Gastrique, les Drs Pierre Garneau et Alexandre Bougie reçoivent Johana Monthuy-Blanc, professeure titulaire à l'Université du Québec à Trois-Rivières, chercheure au CR-IUSMM et spécialiste des troubles de la perception corporelle. Ensemble, ils explorent en profondeur l'impact de l'image de soi avant et après une chirurgie bariatrique.
Québec rétropédale en éducation et promet 540 millions de dollars. Guilbeault obtient 275 millions de dollars pour le 3e lien. Mark Carney veut prioriser l’acier canadien. Les coupes du DOGE à l’USAID mettent les États-Unis dans l’embarras, alors qu’ils devront détruire de l’aide alimentaire. L’affaire Epstein continue de tourmenter le président. Un homme de Laval soupçonné de propagande terroriste. Prix absurdes pour Paul McCartney. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
- Alerte d’orages violents et microrafale au Saguenay - Les pénalités pour no-show entrent en vigueur aujourd’hui! - 2 menaces de grève : la SÉPAQ et la STM - Un jeune homme tue son ami et volant et l'abandonne pour s’enfuir hors du pays - Des bébés avec l’ADN de 3 personnes Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Moranville Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le virus du papillome humain: Anne-Marie Ménard raconte son histoire-choc et invite à agir. Entrevue avec Anne-Marie Ménard, professionnelle en sexologie et autrice. Florence Lamoureux, journaliste à QUB. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cérémonie d’hommage national : le Québec a rendu un dernier hommage à Serge Fiori. Mark Carney doute d’une éventuelle levée des droits de douane. 10 milliards de dollars pour débloquer l’aéroport Montréal-Trudeau. Saisie de deux maisons d’une famille d’un ex-dentiste criminel. Un influenceur condamné pour s’être approprié l’argent d’une investisseuse inexpérimentée. Un autre cas de vie broyée par le système de paie Phénix. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles. De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol, Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ». Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique
Est-ce difficile pour vous de maintenir de bonnes habitudes de vie? Bien en santé avec Jacques Aubin, conférencier, coach et motivateur. Isabelle Huot, docteure en nutrition. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Est-ce difficile pour vous de maintenir de bonnes habitudes de vie? Bien en santé avec Isabelle Huot, docteure en nutrition. Vincent Joyce, qui a perdu 80 livres avec l’aide d’une nutritionniste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Frustrations après les inondations à Montréal. Un record de pluie a d’ailleurs été battu lors du fameux orage de dimanche après-midi ! Le cabinet de Mark Carney se rencontre aujourd'hui pour réagir aux droits de douane, tandis que Trump affirme qu’il s’agit déjà d’une entente. Les actions du portefeuille de Carney dévoilées, Poilievre lui demande de les vendre.C’est aujourd’hui que le Québec rend son dernier hommage à Serge Fiori. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
- Hommage à Fiori aujourd’hui - Mark Carney rencontre son cabinet pour faire face aux tarifs, mais affirme douter de la possibilité d’un accord avec Trump - Montréal parmi le top 10 des villes les plus polluées au monde - Les sinistrés des inondations en grogne contre la Ville - Un père multiplie les poursuites contre l’école de sa fille - Le dossier Epstein embête les républicains- Vous voulez aller à la FIFA au Canada en 2026? Bonne chance! Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Moranville Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles. De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol, Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ». Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique
Des pluies diluviennes sur le Québec: plusieurs routes inondées et des foyers sans électricité. Les pluies affectent également les agriculteurs, qui comptent au moins 40% plus de dommages dans les champs. Trump va recevoir le chef de l’OTAN aujourd’hui dans le cadre d’une annonce sur l’Ukraine. Un nouveau record de Québécois attendent de voir un médecin spécialiste. Le service du RTC va reprendre graduellement aujourd'hui. Poursuite contre le FEQ. Entrevue à lire dans le Journal : Jean-Nicolas Blanchet s’entretient avec le patron mondial du hockey. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
" Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive "Méditation de l'évangile (Mt 10, 34 – 11, 1) par le père Jean-Marie PetitclercChant final : "Regardez le Fils aimé du Père" par Ad Dei GloriamRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participer à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Prière du matin : https://audmns.com/DwJysxvHalte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
" Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive "Méditation de l'évangile (Mt 10, 34 – 11, 1) par le père Jean-Marie PetitclercChant final : "Regardez le Fils aimé du Père" par Ad Dei GloriamRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participer à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Prière du matin : https://audmns.com/DwJysxvHalte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des tarifs de 35% dès le 1er août pour le Canada : c’est reparti. Un policier de la GRC sous enquête criminelle pour des menaces visant Trump durant le G7. Parlant de la GRC : une enquête serait ouverte de leur part concernant… Lion Électrique! Droit de grève : le ministre Boulet n’exclut pas de devancer l’entrée en vigueur de son projet de loi. Le NPD déclenchera sa course à la chefferie cet automne. Crues soudaines dans Bellechasse et en Beauce. Prix Polaris : six des dix finalistes sont Québécois ! Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
- Le Canada de retour dans la mire tarifaire de Donald Trump - Le Québec, champion du bonheur parmi le Canada! - Une femme vit une attaque terrifiante de pitbull et souhaite mettre en garde- Le véhicule d’un homme disparu depuis 2014 aurait été retrouvé au fond de l’eau - Insolite : Un musée spécialisé en fossiles de dinosaure a fait toute une découverte… Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Moranville Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Avez-vous déjà été infidèle ou victime d’infidélité? Sexologie avec François Renaud, sexologue et psychothérapeute et créateur du programme raviver le désir sexuel. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
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Être philosophe, pour Marc Aurèle, c'est d'abord être empereur de soi. Et c'est cela que la lecture des "Pensées pour moi-même" nous apprend à conquérir : l'empire de soi. Selon Marc Aurèle, le philosophe doit pouvoir, à tout instant, se retirer en lui-même pour piloter son âme dans la traversée de l'existence. Car la vie est d'abord un voyage, une navigation entre un point de départ et un port d'arrivée.➔ Regardez la version vidéo de cet épisode : https://youtu.be/yEr9V1FL91o➔ Rejoignez-moi sur Patreon : https://www.patreon.com/ParoledephilosopheMembre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media._____________Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La tête d’Éric Ducharme roule à la SAAQ. Mais est-ce trop tard? Surtaxe sur le cuivre et sur le Brésil dès le 1er août. Suivi des 4 arrestations pour avoir facilité une activité terroriste : une ZEC comme repère, les parents défendent leurs enfants. Gilbert Rozon considère que sa vie est finie. Attention à une nouvelle vague de textos fraudeurs! Deux Québécois se joignent à la comédie musicale « La Légende de Monte Cristo » en France ! Émission spéciale pour Serge Fiori. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
4 anciens et actuels militaires arrêtés pour complicité au terrorisme : ils voulaient créer une milice anti-institutionnelle. Des nouveaux droits de douane annoncés aujourd’hui par le Donald. Les États-Unis laissent flotter la menace de surtaxer le cuivre. Une nouvelle hausse subite de demandeurs d’asile à Lacolle en raison des politiques MAGA. Santé Québec sabre dans un service en matière d'agression sexuelle. Un jeune homme dénonce de l’homophobie vécue au FEQ dans une vidéo Tiktok très visionnée. Album envoyé à Donald Trump : Viviane Audet nous donne des nouvelles. Une vraie bombe dans le monde de la F1. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Onze ans après l'adoption de la nouvelle Constitution égyptienne qui prévoyait son retour sur ses terres ancestrales d'où il avait été chassé il y a plus de soixante ans par la construction du haut barrage d'Assouan, le peuple nubien attend toujours. De notre correspondant de retour d'Assouan, Martin Dumas Primbault C'est jour de mariage dans ce village nubien. Les doufoufs, percussions traditionnelles, résonnent dans toutes les rues. « Il n'y a qu'en Nubie qu'on célèbre les mariages avec les doufoufs, et surtout ici, dans ce village », précise un habitant. La commune de Dehmit, à 60 kilomètres au nord d'Assouan, fait partie de celles qui ont été construites dans les années 1960 pour reloger les déplacés après l'édification du barrage. Amer Nour, 62 ans, est né ici : « La Nubie a été totalement sacrifiée. Malheureusement, nous n'avons jamais obtenu justice. Regardez, 62 ans après le déplacement, il n'y a toujours pas de système d'assainissement dans les villages de déplacés. C'est pourtant un des droits humains les plus élémentaires ». À lire aussiBarrage d'Assouan: les populations nubiennes réclament le retour à leurs terres Cette histoire douloureuse remonte à 1960 lorsque le président égyptien Gamal Abdel Nasser lance la construction du haut barrage d'Assouan. Le projet pharaonique, inauguré le 15 janvier 1971, est une promesse de développement pour le pays, autant qu'un drame pour les Nubiens. Le lac de rétention engloutit les rives du Nil sur lesquels ils vivaient. Près de 100 000 d'entre eux sont déplacés, pour beaucoup relogés dans des villages artificiels construits en plein désert aux alentours de la ville d'Assouan. Leur destin est alors oublié. Jusqu'en 2014, où la nouvelle Constitution égyptienne, née après le printemps arabe, promet dans son article 236 un droit au retour de ce peuple, sous dix ans, sur ses terres ancestrales, au bord du lac Nasser. Onze ans plus tard, Amer Nour fait part de son amertume. « Cette décision n'a jamais été appliquée, dénonce-t-il. Au contraire, il y a eu un décret présidentiel qui établit une zone militaire de 110 kilomètres depuis la frontière avec le Soudan. Alors qu'on aurait dû obtenir 17 villages dans cette zone. C'est une injustice flagrante ! » En 2017, à Assouan, la dernière manifestation pacifique en date avait été durement réprimée par la police. « Dieu nous préserve, il n'y a pas de minorité en Égypte, selon le gouvernement. Nous sommes tous des citoyens modèles. C'est en tout cas le narratif que le gouvernement essaye d'imposer à la population », explique un activiste qui préfère rester anonyme par peur des représailles. « Les Nubiens sont une minorité. Mais ils disent qu'ils sont égyptiens-nubiens, pas l'inverse. Ils sont très fiers d'être égyptiens, mais en même temps, ils clament leur identité », constate-t-il. Aujourd'hui, entre promesses constitutionnelles oubliées et silence imposé, les Nubiens continuent de résister, dans leur langue, et en chanson. À lire aussiTerre de rivalités, à quoi ressemblait la Nubie médiévale ?
Onze ans après l'adoption de la nouvelle Constitution égyptienne qui prévoyait son retour sur ses terres ancestrales d'où il avait été chassé il y a plus de soixante ans par la construction du haut barrage d'Assouan, le peuple nubien attend toujours. De notre correspondant de retour d'Assouan, Martin Dumas Primbault C'est jour de mariage dans ce village nubien. Les doufoufs, percussions traditionnelles, résonnent dans toutes les rues. « Il n'y a qu'en Nubie qu'on célèbre les mariages avec les doufoufs, et surtout ici, dans ce village », précise un habitant. La commune de Dehmit, à 60 kilomètres au nord d'Assouan, fait partie de celles qui ont été construites dans les années 1960 pour reloger les déplacés après l'édification du barrage. Amer Nour, 62 ans, est né ici : « La Nubie a été totalement sacrifiée. Malheureusement, nous n'avons jamais obtenu justice. Regardez, 62 ans après le déplacement, il n'y a toujours pas de système d'assainissement dans les villages de déplacés. C'est pourtant un des droits humains les plus élémentaires ». À lire aussiBarrage d'Assouan: les populations nubiennes réclament le retour à leurs terres Cette histoire douloureuse remonte à 1960 lorsque le président égyptien Gamal Abdel Nasser lance la construction du haut barrage d'Assouan. Le projet pharaonique, inauguré le 15 janvier 1971, est une promesse de développement pour le pays, autant qu'un drame pour les Nubiens. Le lac de rétention engloutit les rives du Nil sur lesquels ils vivaient. Près de 100 000 d'entre eux sont déplacés, pour beaucoup relogés dans des villages artificiels construits en plein désert aux alentours de la ville d'Assouan. Leur destin est alors oublié. Jusqu'en 2014, où la nouvelle Constitution égyptienne, née après le printemps arabe, promet dans son article 236 un droit au retour de ce peuple, sous dix ans, sur ses terres ancestrales, au bord du lac Nasser. Onze ans plus tard, Amer Nour fait part de son amertume. « Cette décision n'a jamais été appliquée, dénonce-t-il. Au contraire, il y a eu un décret présidentiel qui établit une zone militaire de 110 kilomètres depuis la frontière avec le Soudan. Alors qu'on aurait dû obtenir 17 villages dans cette zone. C'est une injustice flagrante ! » En 2017, à Assouan, la dernière manifestation pacifique en date avait été durement réprimée par la police. « Dieu nous préserve, il n'y a pas de minorité en Égypte, selon le gouvernement. Nous sommes tous des citoyens modèles. C'est en tout cas le narratif que le gouvernement essaye d'imposer à la population », explique un activiste qui préfère rester anonyme par peur des représailles. « Les Nubiens sont une minorité. Mais ils disent qu'ils sont égyptiens-nubiens, pas l'inverse. Ils sont très fiers d'être égyptiens, mais en même temps, ils clament leur identité », constate-t-il. Aujourd'hui, entre promesses constitutionnelles oubliées et silence imposé, les Nubiens continuent de résister, dans leur langue, et en chanson. À lire aussiTerre de rivalités, à quoi ressemblait la Nubie médiévale ?
Le cap des 150 000 signatures franchi pour la pétition contre les coupes en éducation. La partielle dans Arthabaska déclenchée aujourd’hui. Le 3e lien pourrait coûter jusqu’à 9,3G$. 106 employés promus cadres à Santé Québec. Mark Carney impose une cure minceur aux ministères. Trump affirme vouloir envoyer plus d’armes défensives en Ukraine. Négociations Hamas-Israël : aucune percée pour l’instant. Hommage national à Serge Fiori : les billets s’envolent en une trentaine de minutes. Les Blue Jays signent une 9e victoire de suite, et égalent un record de victoires à ce stade de la saison. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le marketing des protéines, des produits sans sucre et du gluten. Discussion bien en santé avec Isabelle Huot, docteure en nutrition. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Inondations au Texas : le bilan continue de s'alourdir. Trump va envoyer ses lettres de menaces de droits de douane aujourd’hui… et il reçoit Benjamin Netanyahu au bureau ovale aujourd’hui. Elon Musk lance un 3e parti. Lion Électrique racheté pour une bouchée de pain. Des fauteuils et des lunettes à grand prix pour les employés de l’État. Des patrons d’un syndicat de la construction faisaient travailler leurs employés sur leurs terrains. Des automobilistes coincés par des poteaux électriques déracinés à Lévis. Un « avantage » permettant aux conseillers municipaux d’acheter des laissez-passer pour le Festival d’été de Québec ne fait pas l’unanimité. Prolongation de contrat de deux ans pour Jakub Dobes. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Il faut mobiliser 4 000 milliards de dollars par an pour le développement des pays du Sud », a déclaré, lundi 30 juin, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à l'ouverture de la Conférence de Séville, aux côtés du Français Emmanuel Macron, du Sénégalais Bassirou Diomaye Faye et de cinquante autres chefs d'État. Mais à quoi sert cette Conférence de l'ONU sur le financement du développement au moment où le monde est en crise ? L'économiste italien Mario Pezzini a été le directeur du Centre de développement de l'OCDE. Il est aujourd'hui conseiller spécial à l'Unesco. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Cette conférence sur le développement s'est ouverte lundi 30 juin à Séville, en l'absence des Américains, qui avaient déjà dit il y a quinze jours qu'ils ne viendraient pas. Est-ce que ce n'est pas mauvais signe ? Mario Pezzini : Oui, c'est un problème sérieux parce que la coopération multilatérale, à travers ce signe, on le voit très clairement, est mise à rude épreuve. Un autre signe, si vous voulez, c'est aussi la réduction progressive des financements au développement. On est tous au courant du fait que les États-Unis ont décidé donc de réduire à zéro l'instrument principal de la coopération qu'on appelait USAID. Mais ce ne sont pas les seuls, les États-Unis ne sont pas le seul pays. Le Royaume-Uni réduit de moitié sa contribution, au point que la ministre du Développement a démissionné. Et aussi plusieurs pays européens ont fait le même. Entre autres, la France aussi a réduit. À mon avis, le problème n'est pas que le financement, c'est aussi : qu'est-ce qu'il faut faire avec ? Quelles capacités on doit mettre en place pour y arriver ? Pour la FEPS, la Fondation pour les études progressistes en Europe, vous proposez justement à l'Union européenne une nouvelle stratégie à l'égard des pays du Sud. Vous écrivez notamment : « l'incitation aux investissements privés en Afrique, c'est bien, mais cela ne suffit pas ». Mais oui, vous savez, dans ce monde, on voit apparaître une voix des pays du Sud qui appelle à une réforme de la gouvernance mondiale et à une coopération qui soit plus alignée avec les priorités des pays du Sud, pays d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique. Ces pays demandent un financement équitable, mais ils demandent aussi une voix, une voix autour de la table où on décide et on discute de « l'ordre mondial », comme on aime dire. Alors, à ce propos, l'Europe, que doit-elle faire ? Moi, je suis persuadé qu'il faut redéfinir son rôle parce que le monde, vous l'avez dit, est plus fragmenté, parce que l'Europe doit avoir des partenaires dans son action. Et donc là-dessus, nous, on propose, j'ai écrit l'article avec Stefano Manservisi qui a été le directeur de la coopération à l'Union européenne à deux reprises… Donc, nous, on propose une nouvelle alliance avec les pays du Sud. Il s'agit pour l'Europe d'avoir des interlocuteurs, compte tenu de la fracture atlantique, compte tenu des difficultés avec la Russie et la Chine. Donc l'interlocuteur naturel pour l'Europe, ce sont les pays du Sud. Regardez la Commission européenne, elle s'est déplacée entièrement pour la première fois dans son histoire et c'était en Inde. Voilà, c'est dans cette direction qu'il faut aller. Mais alors l'Europe, qu'est-ce qu'elle peut faire ? L'Europe, ça fait un certain temps qu'elle a changé son approche et a pensé qu'il fallait renforcer ses interventions avec des ressources privées. Mais pour le faire, il faut donner des garanties aux capitaux privés afin que les résistances à investir soient réduites. Donc, il faut le faire en créant une gouvernance partagée avec les pays du Sud. Il faut qu'il y ait une plateforme derrière ce type d'intervention, dans laquelle, autour de la table, il y a le Nord, l'Europe, et il y a le Sud, ensemble. Avec un ordre du jour commun et une sorte de copropriété ? Oui, vous savez, l'aide aujourd'hui est discutée, dans ses règles et dans son architecture, dans des comités dans lesquels il n'y a aucun pays du Sud. Donc c'est évident que le Sud veut y être aussi. Les pays du Sud ont déjà obtenu le fait d'être un membre permanent du G20. Donc, il faut aller davantage dans cette direction. « L'un des freins aux investissements privés en Afrique », écrivez-vous, « c'est l'évaluation du risque par des entrepreneurs qui sont souvent frileux ». Qu'est-ce que vous proposez pour rassurer ces opérateurs économiques ? Aujourd'hui, les investissements privés s'orientent sur la base des agences de notation et de la notation que ces agences donnent aux pays en développement. Or, ces notations sont construites sur la base de critères qui ne sont pas transparents, qui la plupart des fois sont subjectifs et qui tendent à pénaliser les pays du Sud. Je vous donne un seul exemple : quand on était au milieu de la crise du Covid-19, les pays qui souffraient le plus, qui étaient le plus atteints, étaient les pays du Nord. N'empêche que les agences de notation ont pénalisé dans ce moment-là les pays du Sud, bien plus que les pays du Nord. Il y a toujours une sorte de pénalisation, et ça, il faut le revoir. Alors la vraie question est comment est-ce qu'on va le faire ? L'Union africaine, différents acteurs africains, proposent de créer des agences africaines de notation. D'accord. C'est une hypothèse. Il faut aussi faire en sorte que les investisseurs regardent les notations de ces agences-là et pas celles des quatre agences privées, Fitch et compagnie, qu'on regarde toujours.
Dans "La Désobéissance civile", H.D Thoreau pose une question radicale, toujours d'actualité : où s'arrête le devoir collectif et où commence la responsabilité individuelle ? Pour y répondre, il va remettre en cause la légitimité du fameux "contrat social" théorisé par de nombreux philosophes. Et nous amener au cœur d'une interrogation grave : respecte-t-on la Loi par amour de la justice ou bien par amour de l'ordre ?➔ Regardez la version vidéo de cet épisode : https://youtu.be/RjzX29-e-bg➔ Rejoignez-moi sur Patreon : https://www.patreon.com/ParoledephilosopheMembre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media._____________Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le braconnage est un problème majeur en Afrique du Sud. Et il touche particulièrement les rhinocéros, qui, selon le mythe bien répandu en Asie, ont des cornes aux propriétés aphrodisiaques. Résultat : des centaines de rhinocéros sont tués chaque année. Le célèbre parc Kruger a ouvert la voie récemment en décidant de couper préventivement les cornes, une stratégie payante, puisque le braconnage a chuté. Un autre parc fait régulièrement les frais de cette chasse illégale, le parc Hluhluwe dans le KwaZulu Natal. Là-bas aussi, on écorne depuis peu, en plus de se doter de nouveaux équipements ultra-modernes. Portrait du responsable sécurité du parc avec notre journaliste Valentin Hugues. À notre droite, dans la voiture, le volant entre les mains, Amos Tembe : « Vous voyez ces arbres ici ? On a de grandes chances de trouver un rhinocéros noir pas loin ». Lunettes noires, une voix qui porte et une énergie débordante, c'est un spécialiste des rhinocéros : « Regardez sur la route, vous voyez cet amas de terre ? C'est le signe de leur passage. Ils ont marqué leur territoire. Je peux vous assurer qu'ils vont revenir ici aujourd'hui ». Chez lui, à la maison, il a deux enfants, et à Hluhluwe parc… des milliers d'autres : « Quand un rhinocéros se fait braconner, j'ai l'impression de perdre un membre de ma famille. Parce qu'avec le temps, je me sens connecté à eux. Vous savez, j'ai commencé ici avec l'unité anti-braconnage. Je me souviens d'un jour où on était tombé sur six braconniers. Et on n'était que deux. Il n'y avait aucun signal ! Aucun moyen d'appeler des renforts… On a pu en arrêter deux. Les quatre autres ont été neutralisés. Ce n'était pas notre objectif, mais ces gars-là veulent vous tuer ! ». Quinze ans plus tard, Amos a rangé son fusil pour rejoindre l'équipe de direction. Il est monsieur sécurité. Et pour mettre fin aux affrontements dangereux avec les braconniers, le parc a une nouvelle stratégie : « On met en place une clôture connectée autour du parc. On a aussi des drones et des caméras. Comme celles-ci, regardez, vous pouvez à peine la voir, elle est entièrement camouflée ». Sifiso, assis dans la salle de contrôle : « Si vous cliquez sur “léopard”, vous avez les photos de tous les léopards détectés par les caméras. Et vous pouvez aussi sélectionner “humain”. Là par exemple, c'est un braconnier repéré hier ». Mais face à l'urgence, le parc a aussi pris une décision drastique : couper les cornes des rhinocéros, pour prévenir le braconnage. « Regardez celui-ci. On lui a coupé la corne, mais elle va repousser. On s'assure de couper au bon endroit. On espère qu'après trois ou quatre ans, on n'aura plus à faire ça. C'est simplement le temps de stabiliser notre stratégie de défense ». Pour l'instant, grâce à l'écornage, le parc n'a perdu qu'un seul rhinocéros au mois de juin. « Quand on fera un mois sans braconnage. Ce jour-là, croyez-moi, je ferai un gros barbecue, et je boirai un bon coup ! ». Une trentaine ont été braconnés depuis janvier, c'est trois fois moins que l'année dernière à la même période. À lire aussiAfrique du Sud: l'écornage des rhinocéros contribue à réduire fortement le braconnage, selon une étude
Pour ou contre des funérailles nationales à VLB? Discussion avec Rémi Villemure, chroniqueur Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Guy Bertrand nous parle de son livre “Le français au micro - chronique de langue” (Éditions Le Robert Québec). Entrevue avec Guy Bertrand, conseiller linguistique. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le spectacle d’humour “Père Recherché” le samedi 14 juin 19h30 au Cabaret des Curiosités (4264 rue Ste-Catherine Est). Entrevue avec Virginie Courtiol et Radi, humoristes. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Une femme entrepreneure révolutionne le déménagement et inverse les codes avec sa campagne “Coup de Main, Coup d’Oeil”. Entrevue avec Chloé Daneau, propriétaire du Groupe Brisson. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Des citoyens réclament la fin des activités sportives extérieures à cause du bruit provenant d’un terrain de football. Doit-on sacrifier le vivre-ensemble pour quelques décibels de trop? Chronique de Rémi Villemure, chroniqueur. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Alléluia. Êtes-vous prêts pour la parole ? Regardez 2 Corinthiens 4. Il est écrit « Si notre évangile est encore voilé, il l'est pour ceux qui périssent, pour les incrédules dont le Dieu de ce monde, c'est le diable, a aveuglé l'intelligence afin qu'ils ne voient pas briller l'éclat que...
Certains hommes confondent volontairement agression et flirt, se cachant derrière le masque de la séduction. Une mise au point nécessaire sur les limites, le consentement et les mécanismes de pouvoir. Entrevue avec Jocelyne Robert, écrivaine et sociosexologue. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
À l’approche de la fête des Pères, plusieurs épiceries proposent des promotions alléchantes. Entrevue avec Jean-François Gagné Bérubé, fondateur de Glouton.app et chroniqueur au Journal de Montréal / Journal de Québec. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Du patin artistique à un moment d’émotion virale, en passant par une plaque d’immatriculation absurde et des starter packs hilarants : Caroline G. Murphy nous livre le meilleur (et le plus décalé). Chronique de Caroline G. Murphy, cheffe de marque du Sac de chips. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ouPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La Sierra Leone est l'un des pays au monde les plus exposés à l'érosion côtière. Près de deux millions de personnes établies le long des côtes encourraient le risque de perdre leur habitation et leurs moyens de subsistance. La montée des eaux est particulièrement inquiétante pour ceux qui vivent sur les îles au large des côtes sierra-leonaises. Ainsi, sur l'île Plantain, située au sud de la capitale Freetown, des dizaines de bâtiments ont déjà disparu, la terre se réduisant chaque jour un peu plus. La terre sablonneuse semble avoir fondu à force d'être léchée par les vagues. Le rivage s'enfonce maintenant à pic dans l'océan. L'érosion de la côte a déjà emporté une partie de l'école de Plantain Island, en Sierra Leone. L'extrémité du bâtiment est détruite et frôle le vide. Le professeur Ibrahim Tarawally se remémore son arrivée sur place, il y a presque vingt ans : « Beaucoup d'entre nous sont venus ici depuis le nord, pendant la guerre civile. Maintenant, cette île est en train de disparaître, à cause de l'érosion et des intempéries. Oui, j'ai peur ! Regardez cette école... une salle de classe et le bureau du principal sont tombés dans la mer. Graduellement, l'île rétrécit de plus en plus. Et quand elle disparaîtra, il faudra bien partir. » La population était initialement de plus de 5 000 personnes, il n'en resterait que quelques centaines. En contrebas, les vagues turquoises viennent se briser à quelques mètres seulement d'une petite mosquée bleue. Autrefois, ce bâtiment se trouvait au centre du village. « Une partie des murs s'est déjà effondrée, donc les gens viennent encore prier, mais ils ont peur. Alors quand la marée est haute, les fidèles prient vite, vite, le plus vite possible avant de repartir », témoigne l'imam Djibril Alhaji Kamara, qui continue d'y diriger la prière. Une voisine s'approche. Kadiatou Diallo porte un long voile noir qui recouvre son corps sec. La vieille femme originaire de Côte d'Ivoire pointe la surface lisse qui a fait disparaître de nombreuses maisons. « Avant, on pouvait marcher jusqu'à la petite île, tout là-bas. Il y avait une route, des maisons et une autre mosquée, mais tout a disparu. Juste là, c'était ma maison. Nous vivions de manière très confortable. En fait, on ne pouvait même pas entendre les vagues quand on dormait. Il y a des années, on ne pouvait même pas deviner qu'on vivait sur une île quand on se tenait ici ! On ne voyait même pas la mer », se souvient-elle. L'agence pour la protection de l'environnement en Sierra Leone et l'Organisation internationale pour les migrations ont mené récemment une étude pour voir comment améliorer la vie des habitants sur place. « Pour ceux qui veulent rester sur l'île, il y a un besoin de prendre des mesures de protection. Par exemple, on réfléchit à la manière dont on pourrait restaurer les mangroves qui entourent l'île, car cette végétation permet de ralentir l'érosion et de protéger la côte », explique Henry David Bayo, consultant pour l'agence gouvernementale. Une bonne partie des habitants de l'île Plantain n'ont tout simple nulle part d'autre où aller, ni même les moyens de quitter leur habitat en plein déclin. À écouter aussi8 milliards de voisins: les villes côtières du continent face à l'érosion
Un professeur d’anglais du Collège Mont-Saint-Louis n’a vraiment pas aimé que quelqu’un écrive “Vive le Québec libre” sur son tableau. Il a même envoyé un message insultant à tous les ados de sa classe. Entrevue avec Marie-Anne Alepin, présidente générale de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Une fillette voilée sur l’affiche du Club de lecture d’été à la Bibliothèque de Québec Entrevue avec Romain Gagnon, ingénieur, essayiste et auteur. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Une nouvelle ère pour Éduc’alcool: prendre ses distances avec l’industrie des boissons alcoolisées. Entrevue avec Geneviève Desautels, directrice générale d’Éduc’alcool. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Nouvelle émission estivale avec Marc. La censure en humour. Discussion avec Marc Boilard, chroniqueur Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr