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Merci à Isabelle Nanty d'être venue nous voir sur Legend. Elle est revenue sur ses 35 ans de carrière et ses rôles les plus marquants comme dans Asterix et Obélix : Mission Cléopatre ou encore Les Tuches. Elle a aussi mis en scène des spectacles de Dany Boon et Gad Elmaleh. Elle s'est livré sur sa vie privée notamment sa dyslexie, le fait qu'elle ne peut pas avoir d'enfant ou qu'on ne l'a jamais demandé en mariage de sa vie.Regardez la bande-annonce de Doux Jésus, une comédie de Frédéric Quiring, avec Marilou Berry ➡️: https://urls.fr/9R-TL7Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://www.youtube.com/watch?v=6tLJQPsFypQPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans un monde où l'apparence influence la perception, maîtriser son image est devenu un véritable levier de réussite.Dans cet épisode, je reçois Safiyya LaFramboise, styliste et consultante en image basée au Canada. Elle habille des personnalités publiques, des dirigeants et des athlètes de haut niveau, en leur apprenant à transformer leur style en outil de puissance et de confiance.
durée : 00:02:13 - Actualités rhénanes sur le net - Pour le découvrir, consultez la carte mondiale de la pollution lumineuse, régulièrement mise à jour, et qui prend de nombreux facteurs en ligne de compte. Regardez si votre commune fait partie des endroits les plus éclairés ou les plus sombres de la région.
Après deux ans de guerre, l'armée soudanaise vient tout juste de gagner la bataille de Khartoum, la capitale du Soudan. Elle appelle désormais les habitants à revenir chez eux. Mais à quel prix ? Nos reporters étaient sur la ligne de front lors de la dernière phase de l'offensive contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Regardez leur reportage exclusif d'une durée de 31 minutes.
Ce matin, on vous demande ce qui vous fait zapper une vidéo instantanément. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Merci à Jean Charles Skarbowsky, légende du Muay-Thaï, d'être venu dans le studio de LEGEND ! Il est le premier étranger à devenir N°1 en Thaïlande. Il vient nous raconter son parcours, avec 97 combats pour 75 victoires dont 51 KO. On a parlé des entrainements, de la rigueur, des risques de son sport, il a eu plus de 100 points de suture dans sa carrière ! On a aussi évoqué ses années vie en Thaïlande.Retrouvez les différentes salles Skarbowsky Gym sur Paris ➡️: https://skarbowskygym.com/Suivez le sur ses réseaux ⬇️: Sa chaine Youtube : https://www.youtube.com/@JCSkarbowsky/videosSon compte Instagram : https://www.instagram.com/jeancharlesskarbowsky/Sa page Facebook : https://www.facebook.com/SkarbowskyGymParis/Merci à Frédéric Dusserre, chirurgien orthopédiste, d'être revenu sur notre plateau ! Regardez notre vidéo avec lui ➡️: https://youtu.be/eo7K2-8T1cwPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Derrière chaque exploit, il y a un parcours, des doutes, du travail… et un entourage précieux. Vincent Bouillard revient sur l'importance de l'équilibre entre performance et vie personnelle, sur le rôle essentiel de sa compagne Kamina dans son évolution et sur la manière dont le sport s'intègre dans une dynamique de partage. De l'entraînement à l'assistance en course, découvrez les coulisses d'une victoire où la relation humaine est au cœur de tout.
Qui n'a jamais été tenté de passer un test de QI, juste pour voir, juste au cas où ? Mais peut-on mesurer l'intelligence ? Pour cela, il faudrait commencer par savoir ce qu'est l'intelligence. Or, personne n'a été capable d'en donner une définition précise. Et lorsque nous parlons d'intelligence, souvent nous mélangeons tout. Pourtant, la philosophie peut nous faire comprendre de quoi il s'agit précisément.➔ Regardez la version vidéo de cet épisode : https://youtu.be/PG9-T_XlX_g➔ Rejoignez-moi sur Patreon : https://www.patreon.com/ParoledephilosopheMembre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media._____________Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alice Finot a vécu une course inoubliable aux Jeux Olympiques, marquée par un finish époustouflant et un moment de pur amour : une demande en mariage sur la piste. Derrière cet exploit, des années de travail, une préparation mentale intense et une symbolique forte autour du chiffre 9.Dans cet épisode, elle revient sur sa performance, son état d'esprit, et l'émotion unique de ce moment gravé dans l'histoire.
Nouveau PM, nouveau cabinet! Fin du G7. Les amateurs de F1 sont fébriles! La rencontre Dubé-Dutrizac avec Alexandre Dubé et Benoit Dutrizac.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En 2018, la ville du Cap a vécu son « day zero », les robinets étaient presque à sec. Depuis, la gestion de l'or bleu a été complètement repensée, avec des investissements massifs. Près de la moitié du budget municipal pour les infrastructures est dédiée à cette gestion de l'eau. À Zandvliet, au sud de la ville, une station d'épuration a été entièrement rénovée pour un coût de 100 millions d'euros. Et l'objectif, à terme, est de rendre potables les eaux usées. De notre envoyé spécial, de retour du Cap,Le bâtiment principal est tout neuf, des murs blancs avec de grandes vitres donnent sur les machines. « La sécheresse nous a frappés entre 2015 et 2018, se souvient Christopher Norman, ingénieur de la station. Lors du “Day zero”, nous étions proches d'avoir les robinets à sec. La ville n'était absolument pas prête. Maintenant, nous avons ce nouveau programme de gestion de l'eau, qui comprend : la réutilisation, le dessalement et l'eau souterraine. Mais nous devons aussi faire face à des années de sous-investissements, surtout dans le domaine des eaux usées. C'est pourquoi nous avons maintenant des modèles de financement alternatifs, avec des partenariats public-privé par exemple. »À écouter dans Grand reportageLe Cap face à la crise de l'eauVingt étapesUne politique de mise aux normes et d'amélioration est lancée, comme à Zandvliet, site entièrement rénové l'année dernière, pour un coût total de 100 millions d'euros. « C'est là que les eaux usées arrivent de différents quartiers, précise Christopher Norman. Elles sont pleines de toutes sortes de déchets et d'objets, beaucoup de vêtements et de bouts de tissus. » « Ici, les débris entrent, poursuit son collègue Keith Olsen. Ces pâles en métal les attrapent à intervalles réguliers et les font remonter pour les retirer de l'eau ».L'eau continue son parcours aux quatre coins de la station, une vingtaine d'étapes en tout. Le filtrage est de plus en plus fin et chaque machine est différente, jusqu'à l'introduction de procédés chimiques ou biologiques. « Une partie de l'équipement très coûteux comprend ces souffleurs, explique Christopher Norman. L'eau est marron parce que nous injectons des particules actives sous pression, remplies d'organismes et de bactéries, pour traiter l'eau. »À écouter dans Grand reportageFace au changement climatique, Le Cap peut-il montrer la voie?10 % de l'eau potable en 2040Vient l'étape finale : les membranes, une installation coûteuse, mais innovante. « Les membranes ressemblent à des spaghettis, montre Christopher Norman. Elles trempent dans l'eau ; le liquide s'y infiltre, remonte le long de ces spaghettis, laissant tous les derniers minuscules éléments solides derrière lui. Avant, l'eau était marron, vous vous souvenez ? Regardez, maintenant qu'elle a traversé les membranes, elle est claire comme le cristal, on dirait de l'eau potable. Il reste seulement quelques particules mauvaises pour la santé. C'est pourquoi nous allons bientôt ajouter un bâtiment de traitement avancé, d'une valeur de 3,5 milliards de rands, pour vraiment purifier cette eau. »L'objectif, à terme, est que cette eau coule dans les robinets. La ville du Cap prévoit que d'ici à 2040, cette eau réutilisée représentera près de 10 % de l'eau potable.À lire aussiL'accès à l'eau potable pour tous en Afrique: des entreprises françaises tentent d'y remédier
Faut-il couper les ponts avec un membre toxique de sa famille ? Ce n'est jamais une décision facile, mais parfois, c'est nécessaire pour protéger son bien-être. Fixer des limites, prendre de la distance ou rompre définitivement… Chaque situation est unique. Regardez la vidéo du podcast : https://youtu.be/TxJ_YknALQgL'essentiel ? Se respecter et faire ce qui est le mieux pour soi. Parlons-en en commentaire !Envoyez maintenant vos questions à lavoixdesrelations@gmail.com#podcast #famille #lavoixdesrelations
durée : 00:02:35 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Eh bien, moi, je sais. Oubliez la théorie politique, les analyses autour des désirs de Poutine et des projets de Trump. Regardez plutôt les jambes des hommes et celles des femmes. - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:18:24 - Les gouts d'ici en Gironde
durée : 00:02:35 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Eh bien, moi, je sais. Oubliez la théorie politique, les analyses autour des désirs de Poutine et des projets de Trump. Regardez plutôt les jambes des hommes et celles des femmes. - réalisation : Félicie Faugère
Les grands projets miniers, comme celui de Simandou, entraînent la construction d'infrastructures et le déplacement de populations locales, compensées financièrement. Mais ces indemnisations sont souvent source de tensions, comme à Sounganyah, où elles ont divisé la communauté. Le jeune homme d'une vingtaine d'année actionne le manche du puits énergiquement et rien ne coule. « Regardez, il n'y a plus d'eau. Avant les travaux, on avait de l'eau, la rivière coulait juste derrière, mais ils ont tout arraché », explique-t-il, en rage. Son village est sur le tracé du chemin de fer en construction, tout près du port minéralier. Il en veut aux autorités et aux sociétés minières, car il a l'impression que le projet Simandou ne lui a rien apporté. Ni emploi, ni sérénité : « On n'a rien ici. Pas d'hôpital, pas de marché, pas d'eau à boire. Les jeunes ne travaillent pas. Quand on va à Conakry, les gens nous disent "Vous êtes les boss", parce qu'on a ce grand projet chez nous. Mais ils ne connaissent pas la réalité d'ici. »Des compensations qui créent des divisionsCe qu'il se passe ici, à écouter les villageois, c'est un bouleversement total dans les communautés. Les compensations financières octroyées par les sociétés minières ont chamboulé la vie de certaines familles. « Quand il y a compensation, les sommes sont si faibles que ça créé des divisions dans les familles. C'est tellement peu qu'on a du mal à se partager l'argent, explique un villageois. Là où nous sommes, la famille de cette maison a été confrontée à ce problème. Il y a eu un conflit entre les frères. Certains ont dû partir. »Les entreprises ont l'obligation légale de compenser les propriétaires terriens affectés par le projet. Chaque entreprise déroule son propre mécanisme. Et ceux-ci sont très disparates. « Ici, pour un domaine d'un hectare, les sociétés ont donné entre 35 et 40 millions de francs guinéens, soit 4 000 euros », détaille Mamoudou Youla, un habitant de Sounganyah.Et parfois, des violences À Kérouané, dans l'Est, des familles se sont retrouvées devant les tribunaux pour la gestion de l'argent de la compensation. Près de Faranah, au centre de la Guinée en 2024, les habitants de deux villages, Laya Sando et Laya Doula, se sont violemment affrontés à plusieurs reprises à cause d'un différend lié aux compensations de Winning Consortium Simandou.« Le long du corridor aujourd'hui, on a beaucoup de familles déchirées qui se retrouvent devant les tribunaux pour la gestion de cette compensation. Ce sont des montants énormes qui se chiffrent parfois à des milliards de francs guinéens qui sont en jeu au sein des familles, assure Oumar Totya Barry, le directeur exécutif de l'Observatoire guinéen des mines et métaux. Il y a un manque de préparation des communautés, mais aussi des instances de gouvernance locales. Il manque d'un cadre réglementaire suffisamment robuste. »À lire aussiGuinée: près du futur port minéralier de Simandou, les pêcheurs craignent pour leur survie [1/3]
Fondé par Pyrrhon, le scepticisme est sans doute la position la plus radicale qui ait jamais existé en philosophie. Être sceptique, c'est se tenir en équilibre sur la frontière qui sépare la philosophie de l'anti-philosophie. C'est une façon de raisonner philosophiquement contre la philosophie elle-même. Pourtant, c'est un mouvement de pensée qui a accompagné la réflexion philosophique tout au long de son histoire.➔ Regardez la version vidéo de cet épisode : https://youtu.be/hwIDTB6wJtI➔ Rejoignez-moi sur Patreon : https://www.patreon.com/ParoledephilosopheMembre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media._____________Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment défendre nos racines européennes dans un monde en mutation ?Dans cet entretien passionnant, Hélène de Lauzun, journaliste, historienne et spécialiste de l'Autriche, partage son regard unique sur les défis contemporains de l'Europe et du conservatisme. Fondatrice d'un bal viennois à Paris, elle mêle une perspective intellectuelle riche et une vision enracinée, inspirée par les grandes figures historiques comme Marie-Thérèse d'Autriche.
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En Afrique du Sud comme partout dans le monde, la pollution plastique est un problème de taille. Dans le pays, on estime que 90 000 « pickers », ces collecteurs de plastiques informels et en situation précaire, permettent une forte réduction de ces déchets — jusqu'à 90 % des emballages plastiques sont ainsi recyclés. Et parfois, ces déchets plastiques atterrissent même dans des ateliers d'art. Rencontre avec Mmutla Mojapelo, sculpteur autodidacte qui n'utilise que ce plastique des rues. De notre correspondant à Johannesburg,Dans son atelier au cœur de Johannesburg, en Afrique du Sud, de la musique résonne. « Parfois, quand je me sens seul dans mon atelier, j'écoute de la musique traditionnelle tsonga, confie Mmutla Mojapelo. Elle dit : “Nos maisons n'ont pas été construites par une seule personne, c'est un travail d'équipe”. Et c'est pareil avec mes sculptures, c'est un travail collectif, et il faut mentionner tout le monde. » Mentionner, par exemple, les collecteurs de plastique des rues, à qui Mmutla Mojapelo achète ses matériaux pour confectionner ses sculptures.« J'achète le plastique à ces gars. Maintenant, ils savent que j'ai besoin de ces matériaux pour mon travail, explique le sculpteur. Ici, on est sur ma terrasse, avec une belle vue sur toute la ville. Moi, je ne vois pas des immeubles, mais bien des sculptures. Regardez ici par exemple, il y a la bouche, le nez… C'est sur cette terrasse que je fais fondre le plastique. Ensuite, je le mets dans un moule. Là par exemple, je fais une main. Il y a ce dicton qui dit : “Les ordures d'un homme peuvent être le trésor d'un autre.” Et c'est mon trésor. Je leur donne une seconde vie. »Alors que la pollution plastique mondiale pourrait dépasser le milliard de tonnes d'ici à 2040, Mmutla agit à son échelle, et grâce à l'art : « Il y a du plastique dans les océans, il y a du plastique partout ! Alors j'essaye de nettoyer un peu, c'est du recyclage ! »À écouter dans C'est pas du vent Traité sur le plastique : il y en a partout, c'est la panique !« Je savais que j'y arriverais »Et le résultat, c'est par exemple cette sculpture à taille humaine, au centre de son atelier, qui symbolise son parcours semé d'embûches : « Vous voyez, ici, le plastique se décolle de mon corps. Ça symbolise la peur, tous les mots négatifs qu'on m'a dits : “Mmutla, tu n'y arriveras pas, tu n'as pas fait d'école”, et dont je me libère. Parce que je savais que j'y arriverais ! »« Là, on nettoie les lettres qu'il va poser sur sa sculpture, pour écrire tous les mots négatifs de ceux qui ne croyaient pas en lui, décrit Sophie, avec qui le sculpteur travaille. Avec le temps, il leur a montré qu'il avait beaucoup de talent, et ça me rend heureuse. »Après des débuts difficiles dans son village au nord du pays, aujourd'hui Mmutla est installé dans une résidence d'artistes de Johannesburg. Il expose dans de nombreuses galeries et vit de son art. « Écoutez cette musique, elle dit qu'on a été envoyé ici pour délivrer un message, indique le sculpteur. Le mien, c'est : “Soyez vous-même”. » Un art fait de rêves... et de plastique.À lire aussi Ndao Hanavao, le laboratoire malgache qui transforme les déchets en créations design
Regardez notre émission avec Florent, fondateur de EWIGO ➡️ https://youtu.be/03u3Hm1VRfIPour accéder au site d'EWIGO : https://link.influxcrew.com/EWIGO-LEGENDMerci à Christophe d'être passé nous voir chez LEGEND ! Christophe, 37 ans, a été diagnostiqué de la maladie de Charcot le 25 avril 2024, une maladie incurable qui paralyse progressivement les muscles et empêche de respirer sans assistance. Marié et père de deux enfants, il a dû arrêter son métier de surveillant pénitentiaire au fur et à mesure que la maladie progressait. La maladie de Charcot, ou SLA, est décrite par l'organisation mondiale de la santé, comme la maladie la plus cruelle du Monde, laissant au malade une espérance de vie allant de 24 à 36 mois.Suivez le quotidien de Christophe et sa famille sur Instagram ➡️ https://www.instagram.com/famille_rovere_et_la_sla?igsh=N3FoM3hvZ3BoZWR2&utm_source=qrPour les contacter ➡️ Famillerovereetlasla@gmail.comL'association ARSLA (Association pour la recherche sur la SLA) ⬇️Instagram : https://www.instagram.com/arsla_?igsh=MTlucjlmc2tnYzFkOQ==Site : https://www.arsla.org/Merci à notre ami Matthias Baccino de chez Trade Republic pour le cadeau offert à Christophe et sa famille lors de l'émission ! Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/wtDaxwcYBccPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Trump va bientôt découvrir qu'il vit dans l'illusion du retour en arrière. Il a juste oublié une chose : aucun pays aujourd'hui ne peut fabriquer un iPhone tout seul. Démonstration de l'absurdité de la politique de Donald Trump à travers l'exemple du smartphone d'Apple. Regardez bien votre iPhone. Vous l'avez peut-être acheté dans une boutique Apple aux Etats-Unis, en Europe, en Asie, que sais-je ? Mais ce bijou de technologie n'est pas vraiment américain. Son écran vient de Corée du Sud, ces puces de Taïwan, sa batterie du Japon, son assemblage de Chine… Apple, l'une des entreprises les plus emblématiques des Etats-Unis, n'existe que grâce à un réseau mondial tentaculaire. Une alchimie parfaite entre des dizaines de pays et Trump veut casser cet équilibre. 60% de taxes sur les importations chinoises, des surtaxes sur les voitures mexicaines et canadiennes, un protectionnisme à coups de marteau qui prétend ramener l'Amérique à une époque où tout était fabriqué sur son sol. Seulement voilà, cette époque n'a jamais existé. L'économie moderne repose sur des écosystèmes interconnectés et pas sur des blocs nationaux fermés… Mots-Clés : Thomas Friedman, éditorialiste, vedette, New York Times, résumé, casser, chaînes d'approvisionnement, coûts, ralentir, innovation, affaiblir, imposer, tarif, humeurs, plan cohérent, protéger, industrie américaine, caisses de l'État, lutte, fentanyl, drogue, ravage, population, stratégie, chefs d'entreprise, inquiets, Jim Farley, PDG, Ford, courage, patrons, tarif, importations automobiles, fabriquer, voiture, acier, plastique, réseau complexe, fournisseur, pièces, technologies, frontières, microprocesseurs, intelligence artificielle, vaccins, produit, écosystème global, ARN message, Covid 19, record, coopération mondiale, réseaux, innovation, pénaliser, commerce, confiance, règles du jeu, stables, exemption, explication rationnelle, chaos, certitude, partenaire, imprévisible, instabilité, inflation, baisse, taux d'intérêt, Banque centrale, crédit, investissement, coût de la vie, électorat, ouvrier, scène internationale, tombe, humilier, alliés, européens, président ukrainien, fragiliser, Otan, signal, désastre, Asie, Japon, Indonésie, Australie, défendre, Taïwan, invasion chinoise, confiance, partenaires économiques, stratégiques, pions, coup de génie. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Merci à Michel d'être passé nous avoir sur le plateau de LEGEND. Michel Lepage, dit le Gros, est une des figures du grand banditisme, de la Banlieue sud d'île de France. Spécialiste des braquages, il s'évade une première fois du fourgon cellulaire qui le transporte en 1977 et interpellé quelques mois plus tard. C'est son fils qui organise sa deuxième évasion en hélicoptère de la prison de Bois d'Arcy en 1992.Regardez notre interview de Patrick Guillemin ➡️: https://youtu.be/ylL42pyg4XgPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au cœur de la philosophie d'Henri Bergson se trouve le concept d'élan vital. Un concept simple dont le sens semble aller de soi. Mais Bergson va donner à "l'élan vital" un sens totalement original, un sens métaphysique, qui permet d'apporter une réponse à l'un des problèmes les plus complexes de toute l'histoire de la philosophie. Un problème qui remonte à l'Antiquité, et qui n'a jamais été totalement résolu.➔ Regardez la version vidéo de cet épisode : https://youtu.be/gJYrZxwUtBg➔ Rejoignez-moi sur Patreon : https://www.patreon.com/ParoledephilosopheMembre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media._____________Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Kurdistan irakien, le gel du financement de l'aide au développement étatsunienne (USAID) décrétée par Donald Trump a entraîné l'interruption de la plupart des programmes humanitaires. Dans une région qui accueille toujours des centaines de milliers de déplacés, les ONG sont sidérées. De notre envoyé spécial au camp de Sharia,Dans les couloirs du centre psychosocial du camp de Sharia, les rires des enfants ont disparu. La suspension de l'aide humanitaire américaine a porté un coup fatal à ce sanctuaire pour les milliers de familles de la minorité Yézidie, victimes des persécutions de l'État islamique et qui vivent depuis 10 ans dans ce camp du Kurdistan irakien.Huwayda, la directrice des lieux, nous ouvre ses portes : « La situation est très triste honnêtement… Regardez le centre, c'est vide. D'habitude, nous avions beaucoup de gens qui venaient visiter le centre, demander du soutien. Mais depuis la suspension des financements, nous n'avons plus grand monde qui travaille. »Les bureaux sont désertés : sur 81 salariés, l'ONG jésuite qui gère le centre depuis 2014 a rompu du jour au lendemain la moitié des contrats. À l'étage, Ikram travaille pour cinq et s'inquiète de l'avenir d'une communauté à laquelle ce programme offrait un soutien encore trop rare en Irak : « Maintenant, sur ma liste d'attente, j'ai plus de 400 personnes qui ont besoin d'un suivi psychologique, de traitements psychiatriques, alerte-t-il. Si nous les laissons comme ça, ils penseront que nous les abandonnons et que nous n'avons rien fait pour eux. Peut-être que la confiance sera détruite. »À lire aussiIrak: dix ans après, les Yézidis toujours marqués par le génocide perpétré par l'État islamique« Ils ont dit que tout pourrait s'arrêter d'un coup, c'était un choc »Pour Zéré, déplacée depuis dix ans avec ses enfants, les visites au centre sont toujours un soulagement avant de regagner sa tente. Prise au dépourvu, elle confesse son angoisse à l'annonce de la nouvelle : « Les psychologues nous ont préparés pour nous dire que nous ne pourrions peut-être pas continuer au-delà de 90 jours. Ils ont même dit que tout pourrait s'arrêter d'un coup. J'ai d'abord pleuré, je n'arrivais plus à manger, c'était un choc. Je crains pour mon futur… »Dans l'intimité d'une salle de consultation, une maman accompagnée de sa petite fille revient sur les traumatismes qui la hantent et qu'elle essaye d'apaiser avec les équipes du centre : « Je revis les massacres que Daech nous a fait subir. Les décapitations, les tortures, je vois encore tout ça, témoigne-t-elle. Ici même, j'ai essayé de me pendre dix fois. J'ai failli réussir. Mon cou devenait bleu. J'ai encore les marques. Honnêtement, c'est grâce à ce centre que je suis encore en vie aujourd'hui. »L'ONG jésuite, financée aux trois quarts par les États-Unis, a choisi d'interrompre la plupart de ses programmes de manière à maintenir tant bien que mal les soins pour les personnes les plus fragiles, comme cette femme : « C'est tellement difficile pour nous. J'espère qu'on ne nous coupera pas l'accès à nos médicaments, qu'on nous laissera les prendre. »Mais faute de financements durables, le centre pourrait bien fermer définitivement.À lire aussiPour les Kurdes syriens réfugiés au Kurdistan irakien, l'impossible retour?
« En Afrique, il faut que la France change d'attitude et de langage », affirme un rapport rédigé par trois sénateurs français, la socialiste Marie-Arlette Carlotti, le centriste François Bonneau et le LR Ronan Le Gleut. Dans ce document intitulé Voir l'Afrique dans tous ses États, les trois élus français passent au scanner les huit ans de politique africaine d'Emmanuel Macron. Ses réussites comme ses échecs. Ils font aussi 20 propositions pour l'avenir et invitent notamment le pouvoir français à faire preuve au Sahel de « patience stratégique ». La sénatrice de Marseille, Marie-Arlette Carlotti, répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Pourquoi dites-vous qu'Emmanuel Macron a eu de bonnes initiatives, mais a montré une certaine arrogance et a été dépassé par les événements ? Marie-Arlette Carlotti : Parce que c'est la vérité. Parce qu'il a compris que la distanciation entre l'Afrique et la France est devenue quelque chose de terriblement dramatique pour nous, pour la relation qu'on avait. Alors, il a voulu se ressaisir. Alors, il a décidé de faire un agenda transformationnel. Le mot est chic, mais derrière ça, il n'y a pas de véritable changement d'attitude. Des tentatives sur les œuvres d'art restituées, des tentatives de se rapprocher de la société civile. Mais tellement de maladresses, tellement de condescendance. Donc voilà, il s'est trompé. Et d'ailleurs, ce qu'on dit dans notre rapport, c'est que la parole de la France, elle ne doit pas être uniquement de la part de l'Élysée. Il n'y a que l'Élysée qui parle à l'Afrique et aux Africains. Il faut redorer le blason de notre diplomatie qui a su faire, qui était compétente, qui était bien diffusée dans l'ensemble des pays. Il faut redorer le blason du ministère des Affaires étrangères quand même. Et puis, il y a nous qui sommes des parlementaires et c'est toujours facile de se parler entre parlementaires. Voilà, donc il s'est trompé, il a vu qu'il s'était trompé, mais il n'arrive pas à sortir de ce post-néocolonialisme-là, il est toujours dedans, voilà ! Sur la fermeture récente des bases militaires françaises en Afrique, vous regrettez un manque d'anticipation de la France, alors que c'est elle-même qui avait amorcé le mouvement, pourquoi ? Parce qu'on sentait bien qu'il y avait un rejet. Regardez, dans tous les pays, l'ensemble de la société civile et d'ailleurs, les hommes qui se présentent aux élections disent tous qu'on refusera la base militaire parce qu'ils savent qu'il y a une aspiration. Les bases sont l'incarnation du colonialisme, les séquelles du colonialisme. On a été rejeté. C'est parti de Barkhane, on est resté trop longtemps sans savoir ce qui se passait derrière. À l'égard de l'Alliance des États du Sahel, vous dites que la France doit faire preuve de « patience stratégique face aux menées prédatrices de la Russie ». Mais pour l'instant, les ponts sont quasiment coupés avec le Mali, le Burkina et le Niger… Eh bien, la patience, c'est qu'aujourd'hui les pays d'Afrique, notamment au Sahel où on a eu des relations très étroites, ils n'ont plus envie de nous. Il y a un manque d'envie là, et ils sont allés chercher ailleurs, et notamment avec les Russes, et notamment pour se défendre eux-mêmes et défendre d'ailleurs les juntes qui ont pris le pouvoir la plupart du temps. Eh bien, le temps fera son affaire. C'est-à-dire qu'à force, ils auront peut-être compris la situation. Ils auront compris que ça leur coûte beaucoup plus cher. Ils auront compris qu'ils sortaient d'une dépendance pour se mettre dans une autre dépendance. Et du coup, voilà, soyons présents, soyons attentifs et soyons patients. Je ne voudrais pas que nos relations soient terminées avec le monde africain, l'Afrique en général et chacun des pays. Moi, je suis très attachée au Mali, au Niger. En fait, avec toute cette région. J'y suis allée souvent et je ne voudrais pas ça, et j'espère que voilà, chemin faisant, il y aura un regard en direction de la France, à condition que la France change d'attitude et de langage. Et vous écrivez que « la France doit continuer à jouer sa partition en changeant de méthode et en s'appuyant sur des atouts toujours présents ». Quels sont ces atouts ? Ah ben, les atouts toujours présents, c'est la francophonie. Ce sont les relations qu'on a avec les pays d'Afrique, avec la population, les échanges qu'on peut avoir. Et d'ailleurs, on met l'accent sur… En tout cas, moi, je mets particulièrement l'accent sur les visas. Parce que si on traite mal les pays d'Afrique, si on traite mal les gens qui viennent faire leurs études, qui viennent travailler dans nos pays, si on a des politiques d'immigration restrictives en les montrant du doigt, je ne vois pas pourquoi les relations s'arrangeraient. Donc voilà, on a des atouts, à condition qu'on les prenne en main. Vous dites que « l'image de la France s'est dégradée en Afrique parce que la France s'est éloignée des sociétés civiles et s'est principalement adressée à des élites qui sont aujourd'hui très minoritaires ou écartées du pouvoir ». Faut-il un autre narratif ? Et lequel ? La France, vous le savez, elle a toujours défendu les valeurs des droits de l'homme. C'est normal, hein ! C'est le pays des Lumières, et cetera, mais dans la réalité, c'est la realpolitik qui l'a complètement emporté. On dit qu'on est pour les droits humains et on s'affiche avec les dirigeants les plus autoritaires, les vieilles dynasties, et cetera, au nom de la stabilité de la sous-région. Donc, on a eu des accommodements et la société civile ne peut pas le comprendre. Donc, on doit continuer à exiger des valeurs et parler un peu plus correctement aux Africains. Ne pas leur donner des leçons, ne pas faire des boutades scandaleuses, comme l'a fait le président de la République en disant que tel chef d'État va arranger la climatisation. Ce sont des stupidités, voyez, mais qui pèsent lourd dans nos relations. La dénonciation au Niger, les yeux fermés au Tchad, vous dites que c'est une politique du double standard ? Bah oui, c'est le double standard, ça veut dire deux poids, deux mesures. On donne d'un côté une leçon, on condamne au Niger, on condamne au Mali et, d'un autre côté, on s'accommode avec le Tchad. Donc, je trouve que ça aussi, ça fait partie d'un double langage que la France ne doit plus avoir. À lire aussi Propos polémiques d'E. Macron sur l'Afrique : « Un président vexé car il estime avoir fait le maximum »
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Today's podcast is titled, “Vautier'sPerformance Art Legacy: Why EveryArtist Should Continue to Question theirCulture and Shock the World”. TheParisian performance artist Ben Vautierinspires the name. Of course, you may bewondering what was so special about hiswork, and to that, I'd say that it was hisinnate curiosity and provocative artisticdirection that made him the forwardthinker he was. In 1964, Vautier sat downin the middle of a street in Nice with aplacard on his lap. The placard read,"Regardez-moi, cela suffit, je suis art."["Look at me. That's all it takes; I'm art."]So, was Vautier right? Can a person reallybe their own art? Well, that's what we arehere to find out today! So, let's open upour minds, delve deeper into the historyand impact of performance art andquestion what makes a work of art, trulyart!
In this episode, join Max, Gabi, and Maria as they analyze Ben Vautier's performance art piece titled, "Regardez-moi, cela suffit, je suis art” (Look at me. That's all it takes; I'm art). Following along as we discuss the philosophical question, “Can humans be art?”
n our episode, Group 981 talks about the artpiece by Ben Vautier, "Regardez-moi, celasuffit, je suis art." ["Look at me. That's all ittakes; I'm art."] The impact on it has had on artand the changes on how art is interpreted now.We break down the question, “Can a man trulybe art?”, review more of the ideas behindVautier's art and the impact it has had globally.
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En Syrie, les 13 années de conflit ont entraîné un effondrement des infrastructures électriques. Depuis le début de la guerre civile, l'approvisionnement en électricité est tombé à moins de 25% du niveau d'avant-guerre. Les coupures de courant sont fréquentes, et la majorité de la population ne vit qu'avec deux heures d'électricité par jour. Rétablir le courant est l'une des priorités du nouveau gouvernement de Damas. La lumière vacille, tremble puis s'éteint. Sous l'unique ampoule, ils sont une quinzaine, réunis autour d'un poêle, installés dans le salon de la famille Alomr. L'aînée, Fatima, explique qu'ils n'ont plus d'électricité après 21 heures, malgré le panneau solaire installé sur le toit. Quatre ans d'économies ont été nécessaires pour se l'acheter, mais l'électricité ainsi générée n'est pas suffisante pour avoir du courant toute la journée.« Étudier et faire la lessive sont les deux choses les plus compliquées, estime Fatima. Les coupures de courant sont constantes ici. C'est aussi très difficile d'avoir de l'eau, car l'électricité n'est pas assez puissante pour faire fonctionner la pompe. »Une fois l'obscurité, chacun sort de sa poche un briquet, au bout duquel une petite lumière est intégrée. Ce sera l'unique source de lumière dont ils disposeront ce soir. « Nous l'utilisons uniquement pour que la famille puisse se réunir et se voir avec un éclairage adéquat. Nous sommes habitués. C'est comme ça depuis 2014, ou 2015, depuis le début de la guerre ici », selon la jeune femme.Dans ce quartier, le plus pauvre d'Alep, toutes les familles sont concernées. Karm Al Jazmati, c'est son nom, a longtemps été le théâtre de violents combats entre les rebelles et l'armée de Bachar el-Assad. La centrale électrique d'Alep, l'une des plus grandes de Syrie, a été endommagée, et seules deux turbines sur cinq fonctionnent désormais. « À cause des bombardements. La station a été bombardée », explique Emad Abo Ali, le manager du complexe.Sur ses parois, des impacts de shrapnels rappellent la guerre civile récente. Cette centrale a été tenue par le groupe État islamique entre 2013 et 2016 avant d'être reprise par le régime. « La station a été complètement vandalisée puis sabotée par les deux camps. L'État islamique l'a d'abord saboté en partant. Ensuite, le régime a recommencé en arrivant. Regardez les transformateurs, regardez l'état de cette station ! Tout a été volé, le cuivre, les câbles, tout », se désole le manager.L'objectif du nouveau gouvernement de Damas est de faire passer la production d'électricité de 1 200 à 7 000 mégawatts. La compagnie nationale d'électricité a annoncé début janvier que le Qatar et la Turquie allaient envoyer deux navires pour produire de l'électricité. « Notre principal objectif aujourd'hui est que la situation s'améliore, afin que l'électricité soit disponible non plus deux heures, mais huit par jour, indique Mahmoud El-Ahmad, directeur général de la compagnie dans la région d'Alep. La deuxième étape consistera à réhabiliter les centrales électriques afin d'augmenter la quantité d'énergie disponible. »Longtemps, les sanctions imposées au régime de Bachar el-Assad ont compliqué l'importation de pétrole. Pour que le courant reparte, le nouveau pouvoir en réclame la levée. D'après Mahmoud El-Ahmad, de premiers accords sont en cours de négociation : « Le gaz sera acheminé par un gazoduc appelé gazoduc euro-arabe, qui traversera la Jordanie. Le carburant sera, lui, acheminé par voie maritime depuis des pays pétroliers. »Pour l'heure, les plus importants champs pétroliers et gaziers du pays sont situés dans la région autonome kurde. Ils échappent ainsi au contrôle du pouvoir central. L'électricité, vitale pour la reconstruction du pays après 13 années de guerre, sera un enjeu décisif des négociations avec les Kurdes dans les prochaines semaines.À lire aussiSyrie: les habitants d'Idleb à nouveau libres de voyager et revoir les familles, «un rêve de retourner sur la route»
Contrairement à ce que prétendent les religions, l'athéisme n'est pas une opinion : c'est une véritable philosophie qui a commencé il y a plus de 2500 ans, et qui s'est poursuivie à travers les époques malgré d'innombrables persécutions. Des Présocratiques à nos jours — en passant par les "Lumières radicales" — l'histoire de l'athéisme est un fil rouge qui permet aussi de comprendre toute l'histoire de la philosophie.➔ Regardez la version vidéo de cet épisode : https://youtu.be/0396m_LByjY➔ Rejoignez-moi sur Patreon : https://www.patreon.com/ParoledephilosopheMembre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media._____________Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La guerre fait rage dans la distribution belge ! Marges écrasées, rachat de Louis Delhaize par son lointain cousin Delhaize, mondialisation galopante : seul Colruyt tient encore le drapeau national. Mais pour combien de temps ? Mais pourquoi le commerce de proximité n'est qu'une façade et comment les multinationales redessinent nos habitudes. Qui sortira vainqueur ? Début 2025, la distribution en Belgique ressemble à un champ de bataille. Ici, chaque mètre carré de surface commerciale est arraché à coups de stratégies féroces, pourquoi ? Parce que les marges sont ridicules, souvent à peine 1%. Autant dire qu'il n'y a pas de place pour tout le monde. Dans ce jeu-là, une seule règle : prendre des parts de marché ou disparaître. Simple, direct, brutal. Et ça se voit. Regardez le dernier coup de théâtre : Louis Delhaize, le groupe belge, passe sous pavillon néerlandais avec son rachat par Delhaize, 325 magasins qui changent de main en un claquement de doigts. Résultat : Colruyt devient le dernier rempart belge face à une mondialisation qui avance comme un rouleau compresseur. Pourquoi un tel remue-ménage ? Mots-Clés : bataille, terrain, panier moyen, concurrent, emplacement stratégique, arme, guerre économique, objectif, séduire, consommateur, captif, et surtout, hypermarchés, proximité, has-been, temple, consumérisme, rapide, local, relais, promesse, accessibles, épicier, data, algorithmes, efficacité, économies d'échelle, message, nationaux, transnationaux, séduire, service rapide, assortiment, vitrine, machine implacable, optimisé, maximiser les profits, année charnière, distribution belge, identité nationale, secteur, marketing, bataille, parts de marché, Mohicans, grandir, mourir, illusion, bienveillant. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Merci à Guillaume Canet d'être revenu nous voir chez LEGEND ! Il est revenu sur son enfance et son parcours qui l'a mené à cette carrière. Guillaume Canet s'est livré sur sa vie privée notamment son divorce avec Diane Kruger, son couple avec Marion Cotillard et son quotidien de papa.Le thriller « AD Vitam » où il est acteur et co-scénariste, sera disponible sur Netflix à partir du 10 janvier 2025.Regardez la bande-annonce ➡️: https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=20612668&cfilm=326596.htmlPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:13 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Bonne année, bonne santé et surtout bonne stabilité institutionnelle à tous ! Il y a des raisons de se réjouir. Regardez, nous sommes le 6 janvier, et à ce stade de l'année, on peut dire qu'on a passé 2025 avec le même gouvernement !
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En 1714, Leibniz pose la question philosophique ultime : "Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?". Autrement dit : pourquoi l'univers existe, alors qu'il pourrait ne pas exister ? Cette question en soulève d'autres : les lois de la logique et de la physique existaient-elles déjà avant la naissance du cosmos ? Comment quelque chose peut-il émerger du néant ? Mais surtout : quelles sont les limites de notre langage ? ➔ Regardez la version vidéo de cet épisode : https://youtu.be/xSPNsPndvJw➔ Rejoignez-moi sur Patreon : https://www.patreon.com/ParoledephilosopheMembre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media._____________Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Après 13 ans de guerre, la Syrie a aujourd'hui besoin d'aide humanitaire d'urgence. La Croix-Rouge a annoncé avoir besoin de 139 millions d'euros pour venir en aide à cinq millions de personnes. Certaines zones du pays sont également en ruines. C'est le cas du camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk. Cette banlieue de Damas a été le théâtre d'affrontements du régime avec des groupes rebelles puis avec le groupe État islamique, avant d'être entièrement rasé. De nos envoyés spéciaux à Yarmouk,Dans le camp de Yarmouk, pas un immeuble n'est intact. Sur un amoncellement de gravats, Hani Hassan dirige la reconstruction d'une maison. Il commente :« Sur cette rue, avant, il y avait des agences d'assurances automobiles ! C'était très civilisé, mais en 2011 avec la révolution, tout a changé ! Le camp a été coupé du reste du monde par le régime. Les gens avaient faim, certains sont morts. Quand les forces rebelles sont parties de Yarmouk, le régime a forcé tout le monde à partir pour dix jours. L'aviation russe a frappé chaque bâtiment. Il ne reste pas un seul immeuble intact. »Comme presque tous ses anciens voisins, Hani Hassan est descendant de Palestiniens qui ont fui ou ont été expulsés lors de la création de l'État d'Israël en 1948 :« Je suis né en Syrie, mais je suis palestinien. Je n'ai pas de passeport. Je ne peux pas voyager. Ma sœur est en Jordanie, je ne peux pas la voir. J'ai trois frères et sœurs à Gaza. Tout le monde déteste les Palestiniens. On nous a massacré en Jordanie, au Liban, ici ! Les peuples arabes disent s'intéresser à notre sort, mais c'est faux, personne ne veut de nous dans son pays. Je vous le dis, nous sommes l'épine dans le pied du monde entier. » À lire aussiSyrie: malgré l'urgence humanitaire les combats continuent au sud de Damas Un espoir de reconstruction pour un retour des populationsDans une rue étroite aux immeubles sans façade, une jeune femme pousse la porte en métal d'un rez-de-chaussée. Les étages supérieurs ne sont plus que des pans de murs entassés. Dans la petite pièce isolée du froid et de la lumière, c'est la grand-mère Safane qui commande :« Nous habitions déjà ici avant la guerre avec mes quatre enfants. Moi, j'habitais au rez-de-chaussée et mes enfants dans les étages. Mais tout ce qui est au-dessus de notre tête a été détruit. Je suis revenue il y a deux ans, ma maison avait été brulée. Regardez le plafond, les murs ! Alors, nous reconstruisons tout petit à petit. Mais je préfère être ici. Ma maison, c'est ma dignité. »La jeune fille qui nous a ouvert la porte s'est assise discrètement dans la pénombre. Elle confie : « J'aimerais être psychologue pour aider les enfants d'ici. Ils souffrent énormément. Quand je suis arrivée ici, j'avais très peur. J'étais seule dans ce quartier, il n'y avait personne dans les rues. Et puis, finalement, d'autres familles sont revenues avec des filles de mon âge. On va ensemble au collège et j'ai accepté la réalité : je vais vivre ici. » Avec la chute du régime, les habitants du camp de Yarmouk espèrent bientôt recevoir de l'aide financière afin de les aider à reconstruire et d'encourager leurs voisins à revenir.À lire aussiIsraël vise à nouveau la Syrie, l'ONU demande l'arrêt des «frappes israéliennes», contraires au droit international
En cette veille de Noël pour les chrétiens, reportage à Bethléem, en Cisjordanie occupée, où l'atmosphère n'est pas vraiment à la fête. La ville où, selon la croyance, Jésus serait né, est sinistrée depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas le 7 octobre 2023. Des hôtels fermés, faute de clients, quasiment aucun pèlerin, et une population locale qui sombre dans la pauvreté. De notre envoyé spécial à Bethléem,Devant la basilique de la Nativité, quelques pèlerins venus d'Asie, une dizaine tout au plus.Nadim tient une boutique de souvenirs transmise de génération en génération depuis 200 ans. « Cette année, Bethléem est triste ! Nous n'avons aucun touriste. Regardez, il n'y a même pas de décorations dans Bethléem. Ça ne ressemble vraiment pas à l'ambiance de Noël », se désole l'homme.Conséquence, sur les 80 hôtels que compte la ville, seuls 22 sont ouverts. Elais Arja dirige l'établissement Bethléem, presque désert. Il nous raconte le déclin des clients : « La crise a commencé avec le Covid, on a été fermé pendant deux ans. Puis, on a ouvert quelques mois seulement. Et depuis maintenant 445 jours et le début de la guerre, on a dû fermer à nouveau faute de visiteurs. J'ai 400 chambres à 50 dollars la nuit ici. Ça fait plus de 8 millions de pertes ! ».« Par rapport à une année normale, nous n'accueillons que 2% de touristes. Chaque jour, le manque à gagner est d'un million et demi de dollars pour la ville de Bethléem avec les hôtels, les restaurants, les souvenirs », s'inquiète Majed Israk, adjoint du ministre palestinien du Tourisme, qui nous raconte la situation catastrophique de l'économie du tourisme à Bethléem.« Un tiers des habitants de Bethléem n'a aucun revenu »Plus grave encore, des dizaines de milliers d'habitants se retrouvent sans travail. « 8 000 employés vivaient du tourisme, et plus de 10 000 travaillaient en Israël, dans le bâtiment notamment. Mais depuis le 7-Octobre, ils n'ont plus le droit de passer la frontière. Aujourd'hui, un tiers des habitants de Bethléem n'a aucun revenu ! », rajoute Majed Israk.Il suffit de se rendre au marché, à l'autre bout de la ville, pour percevoir cette pauvreté galopante. Mai y fait ses courses avec ses trois enfants.« Même les produits essentiels, il y en a beaucoup que je n'achète pas, car nous n'avons plus les moyens. Mon mari ne travaille plus depuis le début de la guerre. Il était employé en Israël », raconte la mère de famille.Alors à Bethléem, les initiatives se multiplient. Le père Laurent, membre de la communauté apostolique salésienne, est responsable d'une boulangerie solidaire. Il nous explique ce qui a changé : « Au début, la boulangerie a été créée pour les pauvres de la région de Bethléem, on aidait 50 familles. Mais depuis le début de la guerre, on aide entre 120 et 130 familles et on donne la moitié de notre pain aux bonnes œuvres. En échange de plusieurs pains par jour, les familles paient un montant symbolique comme 5 euros par mois ».Dans une rue près de la Nativité, un chrétien palestinien nous confie son vœu le plus cher pour Noël : « La paix, la paix, la paix, et encore la paix ! ».À lire aussiGaza: à Bethléem, un voile de tristesse enveloppe les célébrations de Noël 2023
"L'Obsolescence de l'homme", écrit par Günther Anders et publié en 1956, est l'un des essais les plus importants du XXe siècle. Les concepts élaborés par Günther Anders dans ce livre (comme la honte prométhéenne) sont essentiels pour penser notre condition humaine actuelle. Ils sont expliqués en détail et de façon simple dans cet épisode.➔ Regardez la version vidéo de cet épisode : https://youtu.be/oj2TSASSlDg➔ Rejoignez-moi sur Patreon : https://www.patreon.com/ParoledephilosopheMembre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media._____________Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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[PARTENAIRE] Et si, pour Noël, vous souffliez une idée lumineuse à vos proches