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Tous les matins, à 7H10 et 9H45, on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
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Réécoutez FG Chic invite la cave de Cleebourg avec Jean Wine du vendredi 12 décembre 2025 La Cave de Cleebourg poursuit inlassablement sa quête d'authenticité. Situé tout au nord de l'Alsace, le vignoble de Cleebourg bénéficie de 10 terroirs « Lieux-dits » d'exception à haut potentiel. Des terroirs encore secrets, qui produisent des vins insoupçonnés. En matière de vins, Cleebourg offre une gamme d'une variété et d'une qualité confirmées. Sept cépages alsaciens (sylvaner, pinot blanc, muscat, riesling, pinot gris, gewurztraminer, pinot noir) sont affinés, vinifiés et assemblés. Un travail d'orfèvre, commencé dès la vigne avec 60% de vendanges manuelles. Le respect de la terre et la pérennité des cultures sont essentiels. Préserver et limiter l'impact sur l'environnement sont au cœur de notre viticulture, des étapes de la vinification, des outils et de la logistique mise en place.Cave Vinicole de CleebourgRoute du Vin67160 CLEEBOURGhttps://cave-cleebourg.fr/Musiques sélectionnés et mixées par Jean Winewww.djjeanwine.com
À peine l'encre des signatures des présidents congolais et rwandais avait-t-elle séché jeudi dernier à Washington que les combats s'intensifiaient dans le Sud-Kivu. « Lundi, rapporte Le Monde Afrique, des affrontements ont été signalés aux abords de la localité de Luvungi, à environ 60 kilomètres au nord d'Uvira, selon des sources militaires. Des tirs et des détonations ont également résonné aux abords de Sange, localité à mi-chemin entre Uvira et Luvungi. Un officier au sein de l'armée burundaise a évoqué de « très nombreux » soldats, congolais et burundais, en fuite et passant la frontière avec le Burundi. Les combats font rage désormais à une trentaine de kilomètres au nord de la ville d'Uvira, et impliquent plusieurs milliers de soldats burundais, en soutien à Kinshasa. » Uvira aux mains du M23… D'après le site Afrikarabia, spécialisé sur la RDC, Uvira est même déjà tombée… Les rebelles de l'AFC-M23 sont entrés hier dans la ville, affirme le site. « Les témoignages sur place faisaient déjà état de la fuite des autorités civiles et de militaires dans la journée, alors que la rébellion se tenait à Kiliba, à une quinzaine de kilomètres au Nord d'Uvira. Le scénario de la prise de Goma et Bukavu en début d'année se répète donc dans cette ville de 600 000 habitants au bord du lac Tanganyika, pointe Afrikarabia : des rebelles qui progressent très rapidement face à une armée congolaise qui opère de multiples replis stratégiques, laissant ainsi la voie libre à l'AFC-M23. » Et, ça n'est pas une surprise, poursuit le site : l'accord de paix entre la RDC et le Rwanda, sous l'égide des États-Unis, est en effet une « paix de papier », s'exclame-t-il. Pour la simple raison que « l'AFC-M23 n'est pas partie prenante de cet accord. Or, c'est justement le M23 qui est sur le terrain et qui opère, même si le mouvement rebelle est soutenu par Kigali. La signature de l'accord de Washington donne l'impression d'avoir mis la charrue avant les bœufs, constate encore Afrikarabia, en signant d'abord la paix avec le Rwanda avant de trouver un accord avec le M23 à Doha. » Cap vers le Katanga ? La Libre Afrique à Bruxelles confirme la chute d'Uvira… « La cité a été rapidement ceinturée et les rebelles ont ainsi pris le contrôle de la frontière burundaise, pour empêcher l'arrivée de renforts éventuels de l'armée congolaise. Face à cette situation et « pour éviter un bain de sang et limiter les dommages dans la ville, les notables d'Uvira ont demandé aux rebelles de les autoriser à négocier le départ des troupes fidèles au régime de Kinshasa », explique un diplomate occidental. Des tractations qui ont pris plusieurs heures mais qui ont abouti à un départ dans le calme de la plupart des hommes en armes. » Pour leur part, précise encore La Libre Afrique, « les rebelles ont déjà annoncé qu'ils allaient poursuivre leur avancée et mettre le cap sur le Katanga. […] Il faut mettre la main sur le coffre-fort du clan présidentiel », lance un cadre de l'AFC-M23. » Le Katanga, au Sud, qui « est le tiroir-caisse de la RDC, relève Afrikarabia, avec ses riches mines de cuivre et de cobalt. » Une menace pour le Burundi… La conquête d'Uvira « est (donc) stratégique à plus d'un égard », pointe Jeune Afrique. « Après la chute de Bukavu, en février, Uvira a en effet servi de point de repli aux autorités provinciales du Sud-Kivu. Située à l'extrémité nord du lac Tanganyika, c'est un point de passage obligé pour se projeter vers Kalemie (et plus au sud vers le Katanga). Enfin, Uvira fait directement face à Bujumbura, la capitale économique du Burundi, dont l'aéroport sert depuis plusieurs mois de relais discret pour l'acheminement de renforts et de munitions vers le front de l'est. » D'ailleurs, poursuit Jeune Afrique, « l'expansionnisme de l'AFC-M23 dans cette zone est considérée comme une menace directe par les autorités burundaises, déjà confrontées à une importante crise économique. Entre le Rwanda et le Burundi, la tension a continué à monter ces derniers jours. Il y a une semaine, le ministre rwandais des Affaires étrangères avait accusé le Burundi « d'être un saboteur du processus de paix ». Et, il y a deux jours, son homologue burundais lui répondait indirectement en accusant le Rwanda de mener « des activités déstabilisatrices » contre son pays et de cibler les soldats burundais dans l'est de la RDC. »
Application pour EVO360https://hlperformance.caRéférencesRyan, R. M., & Deci, E. L. (2001).On happiness and human potentials: A review of research on hedonic and eudaimonic well-being.Ryan, R. M., & Deci, E. L. (2000).Self-determination theory and the facilitation of intrinsic motivation, social development, and well-being. American Psychologist, 55(1), 68–78. doi:10.1037//0003-066x.55.1.68Ryan, R. M., & Deci, E. L. (2017).Self-determination theory: Basic psychological needs in motivation, development, and wellness. The Guilford Press.Vallerand, R. J., Blanchard, C., Mageau, G. A., et al. (2003).Les passions de l'âme: On obsessive and harmonious passion. Journal of Personality and Social Psychology, 85(4), 756–767. doi:10.1037/0022-3514.85.4.756
À peine l'encre des signatures des présidents congolais et rwandais avait-t-elle séché jeudi dernier à Washington que les combats s'intensifiaient dans le Sud-Kivu. « Lundi, rapporte Le Monde Afrique, des affrontements ont été signalés aux abords de la localité de Luvungi, à environ 60 kilomètres au nord d'Uvira, selon des sources militaires. Des tirs et des détonations ont également résonné aux abords de Sange, localité à mi-chemin entre Uvira et Luvungi. Un officier au sein de l'armée burundaise a évoqué de « très nombreux » soldats, congolais et burundais, en fuite et passant la frontière avec le Burundi. Les combats font rage désormais à une trentaine de kilomètres au nord de la ville d'Uvira, et impliquent plusieurs milliers de soldats burundais, en soutien à Kinshasa. » Uvira aux mains du M23… D'après le site Afrikarabia, spécialisé sur la RDC, Uvira est même déjà tombée… Les rebelles de l'AFC-M23 sont entrés hier dans la ville, affirme le site. « Les témoignages sur place faisaient déjà état de la fuite des autorités civiles et de militaires dans la journée, alors que la rébellion se tenait à Kiliba, à une quinzaine de kilomètres au Nord d'Uvira. Le scénario de la prise de Goma et Bukavu en début d'année se répète donc dans cette ville de 600 000 habitants au bord du lac Tanganyika, pointe Afrikarabia : des rebelles qui progressent très rapidement face à une armée congolaise qui opère de multiples replis stratégiques, laissant ainsi la voie libre à l'AFC-M23. » Et, ça n'est pas une surprise, poursuit le site : l'accord de paix entre la RDC et le Rwanda, sous l'égide des États-Unis, est en effet une « paix de papier », s'exclame-t-il. Pour la simple raison que « l'AFC-M23 n'est pas partie prenante de cet accord. Or, c'est justement le M23 qui est sur le terrain et qui opère, même si le mouvement rebelle est soutenu par Kigali. La signature de l'accord de Washington donne l'impression d'avoir mis la charrue avant les bœufs, constate encore Afrikarabia, en signant d'abord la paix avec le Rwanda avant de trouver un accord avec le M23 à Doha. » Cap vers le Katanga ? La Libre Afrique à Bruxelles confirme la chute d'Uvira… « La cité a été rapidement ceinturée et les rebelles ont ainsi pris le contrôle de la frontière burundaise, pour empêcher l'arrivée de renforts éventuels de l'armée congolaise. Face à cette situation et « pour éviter un bain de sang et limiter les dommages dans la ville, les notables d'Uvira ont demandé aux rebelles de les autoriser à négocier le départ des troupes fidèles au régime de Kinshasa », explique un diplomate occidental. Des tractations qui ont pris plusieurs heures mais qui ont abouti à un départ dans le calme de la plupart des hommes en armes. » Pour leur part, précise encore La Libre Afrique, « les rebelles ont déjà annoncé qu'ils allaient poursuivre leur avancée et mettre le cap sur le Katanga. […] Il faut mettre la main sur le coffre-fort du clan présidentiel », lance un cadre de l'AFC-M23. » Le Katanga, au Sud, qui « est le tiroir-caisse de la RDC, relève Afrikarabia, avec ses riches mines de cuivre et de cobalt. » Une menace pour le Burundi… La conquête d'Uvira « est (donc) stratégique à plus d'un égard », pointe Jeune Afrique. « Après la chute de Bukavu, en février, Uvira a en effet servi de point de repli aux autorités provinciales du Sud-Kivu. Située à l'extrémité nord du lac Tanganyika, c'est un point de passage obligé pour se projeter vers Kalemie (et plus au sud vers le Katanga). Enfin, Uvira fait directement face à Bujumbura, la capitale économique du Burundi, dont l'aéroport sert depuis plusieurs mois de relais discret pour l'acheminement de renforts et de munitions vers le front de l'est. » D'ailleurs, poursuit Jeune Afrique, « l'expansionnisme de l'AFC-M23 dans cette zone est considérée comme une menace directe par les autorités burundaises, déjà confrontées à une importante crise économique. Entre le Rwanda et le Burundi, la tension a continué à monter ces derniers jours. Il y a une semaine, le ministre rwandais des Affaires étrangères avait accusé le Burundi « d'être un saboteur du processus de paix ». Et, il y a deux jours, son homologue burundais lui répondait indirectement en accusant le Rwanda de mener « des activités déstabilisatrices » contre son pays et de cibler les soldats burundais dans l'est de la RDC. »
Entrepreneur mindset By Ludovic Guckert - Le podcast des coachs et experts de l'accompagnement
C'est à un duel au grand jour que se livrent France Télévision et Radio France et les médias du milliardaire Vincent Bolloré, la chaîne CNews, Europe 1 et le Journal du Dimanche, qui s'accusent mutuellement de partialité. Ce matin, la Tribune Dimanche braque ses projecteurs sur l'audiovisuel public. « En pleine zone de turbulences, nous dit-on, les PDG de France Télévision et Radio France seront auditionnées à partir de mercredi par une commission d'enquête parlementaire, voulue par le groupe UDR, allié du Rassemblement National ». Cette commission est chargée de « faire toute la lumière sur d'éventuels dysfonctionnements au sein du service public ». La Tribune Dimanche publie un sondage dont elle conclut « qu'il révèle un attachement réel – transversal de gauche comme de droite – aux chaînes et stations publiques ». Mais, souligne le journal, « cet attachement n'efface pas les enjeux : un budget de près de 4 milliards d'euros, avec un déficit croissant pointé par la Cour des comptes, et des attentes fortes en matière de pluralisme, d'efficacité et de rigueur dans l'information ». Interrogé, le directeur de l'information de France Télévision Alexandre Kara, assure « qu'aucun programme n'est utilisé à des fins partisanes ». Précisions apportées après la diffusion d'une enquête de France 2, sur CNews. Enquête qui a fait couler beaucoup d'encre… « On traite tous les sujets, affirme Alexandre Kara, mais l'écho n'est pas le même ». Immigration et insécurité Le Nouvel Obs se penche lui sur le cas de CNews et de Pascal Praud, son présentateur vedette. « Pascal Praud, profession propagandiste », titre l'hebdomadaire qui détaille : « Omniprésent sur CNews, Europe 1 et le Journal du Dimanche, l'ancien journaliste sportif polarise le débat sur l'immigration et l'insécurité, jusqu'à devenir un porte-parole de l'extrême droite. Comment en est-il arrivé là ? Par conviction ou pour plaire à son patron Vincent Bolloré ? » interroge le Nouvel Obs, qui en veut pour preuve « l'accueil de VIP », réservé au président du Rassemblement National Jordan Bardella, à l'occasion de la sortie de son livre « Ce que veulent les Français ». « Vingt-six minutes, sur CNews, durant lesquelles Jordan Bardella n'est presque jamais interrompu, tandis que la couverture de son livre occupe la moitié de l'écran ». « Une interview promotionnelle en bonne et due forme », accuse le Nouvel Obs, qui ajoute : « L'accueil réservé à Bardella sert la stratégie arrêtée au sommet du groupe par Bolloré lui-même. À dix-huit mois de la présidentielle, le propriétaire de CNews, Europe 1, Le JDD ou encore du groupe Hachette s'affaire à réaliser l'union des droites, en réalité la fusion entre la droite et l'extrême droite. Seule capable à ses yeux de réagir, pendant qu'il est encore temps, au péril civilisationnel que feraient courir à la France, l'immigration, l'islam et la gauche ». Hommage douloureux M, le supplément du Monde, a assisté aux funérailles de l'un des derniers otages du Hamas. « Be'eri a fini d'enterrer ses morts », nous dit M. « Situé à 5 kilomètres de Gaza, le village a payé le plus lourd tribut humain des attaques du 7 octobre 2023, avec 102 victimes. Le 30 novembre, les funérailles de Dror Or, ont réuni plusieurs milliers de personnes ». « Dror Or, poursuit le magazine, faisait partie des trois derniers otages défunts, encore retenus dans la bande de Gaza ». Cet homme de 48 ans avait été tué le 7 octobre 2023, et son corps avait « été emmené dans l'enclave palestinienne ». M a interrogé Sharon Shmuel, amie d'enfance du défunt. Elle explique : « Dror est le dernier de sa communauté à revenir sur sa terre, quelque chose se clôture enfin aujourd'hui ». Sont venus ce jour-là, « des proches, des familles de victimes du massacre, d'anciens otages libérés (…) des bénévoles d'associations, des anonymes, qui affluent et forment peu à peu un cercle de silence autour de la tombe de l'otage défunt », raconte M. « Sa mère et ses trois enfants désormais orphelins, son frère et ses plus proches amis clament "l'incompréhension et la douleur de la perte"(…) le drame des uns réveille celui des autres, et ravive la conscience qu'une tragédie collective s'est produite ici, il y a deux ans et deux mois ». Une drogue bon marché Le Nouvel Obs s'intéresse aux ravages du captagon, en Syrie. « Le trafic de cette drogue de la famille des amphétamines déployé par l'ancien régime de Damas a plongé de nombreux syriens dans la dépendance », explique l'hebdomadaire, qui a visité « à Afrin, près de la frontière turque, un centre de réhabilitation, appelé le Hope Center ». Là-bas, Le Nouvel Obs a rencontré Ali. Le jeune homme de 21 ans, consomme du captagon, et explique sa situation : « J'ai détruit ma vie et fait souffrir mes proches. Je dois 7 000 dollars à ma famille. Les dealers venaient chez moi réclamer leur dû : soit je payais, soit ils me tuaient ». Ali est loin d'être le seul, qui aujourd'hui encore consomme cette drogue « bon marché ». Le Nouvel Obs cite « les anciens soldats, les étudiants, les combattants de tous bords (...) qui faute d'échappatoire, prennent des pilules pour refouler leur trauma ».
Et si tu arrêtais enfin de devoir choisir ?Pourquoi choisir quand on peut tout être ?Instagram: @aimetoidabordpodcast/ @lauraflorenti_ Apprends à t'aimer ici: LE PROGRAMME ANTHÉSISMon livre disponible sur AMAZON: Un jour quelqu'un lira ça quelque part #partenaireAmazonHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Réécoutez FG Chic invite la cave de Cleebourg avec Jean Wine du vendredi 5 décembre 2025 La Cave de Cleebourg poursuit inlassablement sa quête d'authenticité. Situé tout au nord de l'Alsace, le vignoble de Cleebourg bénéficie de 10 terroirs « Lieux-dits » d'exception à haut potentiel. Des terroirs encore secrets, qui produisent des vins insoupçonnés. En matière de vins, Cleebourg offre une gamme d'une variété et d'une qualité confirmées. Sept cépages alsaciens (sylvaner, pinot blanc, muscat, riesling, pinot gris, gewurztraminer, pinot noir) sont affinés, vinifiés et assemblés. Un travail d'orfèvre, commencé dès la vigne avec 60% de vendanges manuelles. Le respect de la terre et la pérennité des cultures sont essentiels. Préserver et limiter l'impact sur l'environnement sont au cœur de notre viticulture, des étapes de la vinification, des outils et de la logistique mise en place.Cave Vinicole de CleebourgRoute du Vin67160 CLEEBOURGhttps://cave-cleebourg.fr/Musiques sélectionnés et mixées par Jean Winewww.djjeanwine.com
Dans cet épisode, on apprend à observer et comprendre ce que le chien exprime avant de lui demander quelque chose.Lire son intention, adapter nos demandes, et communiquer ensemble : c'est la base d'un binôme équilibré.Écouter ton chien, c'est lui donner une vraie place dans la relation.Alors tu vas demander à ton chien " Tu veux quoi?"..
Ruben Carreon Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
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Défaite des Canadiens face aux Sénateurs. Comment retrouver la victoire…? Sports et société avec Jean-Charles Lajoie. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ensemble, Docdis, Fab, Thoms, et Wicou commentent l'actualité F1, reviennent sur le déroulement du Grand Prix du Qatar, distribuent les bons points et les poings dans la gueule, et élisent le move du GP.
On est pas en hiver, mais c'est tout comme ! Si toi aussi le retour de l'été est compliqué, prend ton meilleur chocolat chaud on en discute (toujours avec humour) ensemble (tu n'es pas seul.e je te promet x) !Alors team raclette ou team barbecue ?Mes réseaux + chaîne YouTube : angedanslesnuages (pssst hésite pas à rejoindre le canal si tu veux plus de contenu à la Angéline :p)N'hésitez pas à me mettre 5 étoiles si l'épisode vous a plu, ça m'aide beaucoup beaucoup, merci beaucoup si vous pensez à le faire
Pour cette deuxième partie de notre entretien avec Véronique Boss-Drouhin, qui veille avec ses frères Philippe, Laurent et Frédéric aux destinées de la Maison Joseph Drouhin, fondée en 1880 à Beaune, nous nous envolons pour la côte Ouest des Etats-Unis.Non contente d'être devenue une référence en Bourgogne, la Maison Joseph Drouhin s'est également implantée avec succès de l'autre côté de l'Atlantique à la fin des années 80, dans l'Oregon. Situé sur le 48ème parallèle, avec au Sud la Californie et au Nord l'Etat de Washington, l'Oregon est devenu une région viticole réputée pour ses pinots noirs. Robert Drouhin, le père de Véronique, après avoir été impressionné par le potentiel des pinots noirs américains fut le premier domaine français à s'implanter dans cette région.On revient sur cette conquête de l'Ouest à travers la dégustation de pinots noirs et de chardonnays de deux AVA (l'équivalent des AOP aux USA) situées dans la Willamette River Valley : Dundee Hills et Eola-Amity Hills.Bonne dégustation
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
ASV prezidenta Donalda Trampa tā sauktais miera plāns būtiski labots, ievērojot Ukrainas intereses. Noslēdzies G20 valstu samits Dienvidāfrikā, ko Savienotās Valstis ignorēja. Aktualitātes analizē politologs Arnis Latišenko un Latvijas Radio ārzemju ziņu žurnālists Uldis Ķezberis. Vitkofa-Dmitrijeva pakts? Divdesmit astoņu punktu Ukrainas miera plānu, kuru, kā izrādās, nu jau kādu laiku slepenībā sacerējuši Baltā nama un Kremļa pārstāvji, pagājušajā nedēļā, visdrīzāk, medijiem atklāja tā galvenais autors no Maskavas puses, Putina īpašais sūtnis ārvalstu investīciju un ekonomiskās sadarbības jautājumos Kirils Dmitrijevs. Viņa partneris no Savienoto Valstu puses bijis prezidenta Trampa īpašais sūtnis Tuvajos Austrumos un arī īpašais sūtnis miera misijām Stīvs Vitkofs. Produkts, ko šie divi vīri ar pamatīgu naudas rausēju, bet praktiski nekādu diplomātu pieredzi radījuši, izraisījis gūzmu komentāru, kuros jautājuma zīme ir teju biežāk sastopamais interpunkcijas elements. Kas domāts ar „pēdējo trīsdesmit gadu neskaidrībām” Krievijas un Ukrainas starpā, kuras līdz ar vienošanās noslēgšanu tikšot uzskatītas par atrisinātām? Kā Savienotās Valstis iedomājas būt vidutājs dialogā starp Krieviju un NATO, pašas būdamas Ziemeļatlantijas alianses dalībvalsts? Kā varētu izpausties tā 50 procentu peļņa, kuru Savienotās Valstis vēlas saņemt no Ukrainas atjaunošanas pasākumiem, kuriem tiktu izmantoti simts miljardi Krievijas iesaldēto līdzekļu? Ko autori saprot ar plānā piesaukto „nacistisko ideoloģiju un darbību”, kas tikšot „noraidīta un aizliegta” abās karojošajās valstīs? Šo jautājumu virkni varētu turpināt vēl gana ilgi. Būtiskākais, kas tūdaļ lika atskanēt skeptiskām balsīm, bija plānā paredzētā Krievijas vēl neieņemtās Donbasa daļas atdošana Maskavai, Ukrainas atteikšanās no dalības NATO un tās bruņoto spēku apjoma ierobežošana, kaut arī līdz diezgan apjomīgajiem sešsimt tūkstošiem militārpersonu. Tās ir prasības, kuru pieņemšana no Kijivas puses grūti iedomājama. Taču Donalds Tramps pagājušajā piektdienā, 21. novembrī, bija visai kategorisks – Ukrainai nāksies pieņemt šo plānu vai arī turpmāk iztikt bez Vašingtonas atbalsta. Prezidents Zelenskis, tajā pašā vakarā, vēršoties ar drūmu uzrunu pie līdzpilsoņiem, iezīmēja Ukrainas izvēli: piekāpties kapitulatīvajām Krievijas prasībām vai zaudēt savu nozīmīgāko sabiedroto – Vašingtonu. Tomēr, notikumiem attīstoties, situācijas kopainā iezīmējušies nedaudz cerīgāki toņi. Pēc sarunām Ženēvā, kurās ASV delegāciju vadīja valsts sekretārs Marko Rubio, bet Ukrainas delegāciju – prezidenta Zelenska biroja vadītājs Andrijs Jermaks, Rubio paziņoja, ka rezultāts esot ļoti nozīmīgs. Līdz pirmdienai arī no Baltā nama saimnieka retorikas bija pazudis iepriekšējais kategoriskums, tai skaitā agrākā prasība Kijivai piekrist piedāvājumam līdz 27. novembrim. 25. novembrī ierasti skaļš optimisms skanēja Vašingtonas izteikumos arī par sarunām, kuras ar Krievijas un Ukrainas pārstāvjiem Abū Dabī ved ASV armijas ministrs Deniels Driskols, savukārt šodien Maskavā būtu kārtējo reizi jāierodas Stīvam Vitkofam. Zīmīgi arī tas, ka vakar Marko Rubio pirmo reizi ar savu klātbūtni pagodinājis t.s. „Labās gribas koalīcijas” videokonferenci par Ukrainas kara un miera jautājumiem. G20 samits Johannesburgā Starpvaldību forums G20 tapa 1999. gadā ar galveno mērķi veicināt globālo finanšu stabilitāti. Kopš tā laika pamattēmu loks paplašinājies, ietverot arī tādas jomas kā planētas ekoloģija, ilgtspēja, ekonomiskā izaugsme un nevienlīdzības mazināšana. Forumā ietilpst deviņpadsmit dalībvalstis, kā arī kolektīvie dalībnieki – Eiropas Savienība un kopš pagājušā gada arī Āfrikas Savienība. Līdz ar to netieši G20 pārstāvēti vēl vairāki desmiti valstu, tai skaitā Latvija. Vienīgais kritērijs dalībai ir valsts ekonomikas apjoms, un G20 individuālo dalībvalstu bilance šobrīd aptver 85% no pasaules kopprodukta, 75 % no starptautiskās tirdzniecības, 56 % no pasaules iedzīvotāju skaita un 60 % no planētas sauszemes platības. Kopš 2008. gada dalībvalstu pārstāvji pulcējas vismaz reizi gadā, un tradicionāli valstis šeit tiek pārstāvētas valstu vai valdības galvu līmenī. Lai arī G20 nav kādu lēmumu ieviešanas mehānismu, tā rezolūcijās deklarētajam ir nenoliedzams svars un prestižs, sevišķi jau globālajā finanšu un ekonomikas jomā. Divdesmitais G20 samits pagājušās nedēļas nogalē pirmo reizi notika Āfrikā – Dienvidāfrikas Republikas lielākajā pilsētā Johannesburgā. Dienvidāfrikas kā prezidējošās valsts definētais samita kredo bija „Solidaritāte. Vienlīdzība. Ilgtspēja”. Preses visvairāk apspriestais temats ir šīgada samita ignorēšana no Savienoto Valstu puses. Oficiāli deklarētais iemesls ir nepatika pret politiku, kādu Dienvidāfrikas valdība realizē attiecībā pret eiropiešu izcelsmes pilsoņu minoritāti. Jādomā gan, ka iemesls ir arī Baltā nama saimnieka attieksme pret Dienvidāfrikas definētajām foruma prioritātēm – klimata pārmaiņu problemātiku un nevienlīdzības mazināšanu starp ekonomiski attīstītajām un attīstības valstīm. Solidarizējoties ar savu sabiedroto, samitā neieradās arī Argentīnas prezidents Havjers Milejs. Situāciju vēl pikantāku padarīja fakts, ka Savienotās Valstis ir nākamā samita rīkotājas, un Johannesburgas notikuma noslēgumā Vašingtonas pārstāvim vajadzēja simboliski pārņemt prezidentūras stafeti. Taču Dienvidāfrikas prezidents Sirils Ramafosa atteicās nodot prezidentūras regālijas kādam vēstniecības ierēdnim, kuru to saņemšanai bija gatava nosūtīt Trampa administrācija. Jautājums tikšot nokārtots vēlāk. Attieksmi pret šo situāciju samitā viskonkrētāk definēja Kanādas premjerministrs Marks Kārnijs, sakot, ka pasaule varot panākt progresu arī bez Savienoto Valstu piedalīšanās. Sagatavoja Eduards Liniņš.
Le changement climatique a des effets visibles sur nos paysages. Derrière les chiffres et les rapports scientifiques, ce sont des territoires, des écosystèmes et des vies humaines qui sont bouleversés. C'est le cas notamment de la région du lac Tchad. (Rediffusion du 19 septembre 2025) Situé à la frontière entre le Niger, le Nigeria, le Cameroun et le Tchad, ce bassin hydrographique était l'une des plus grandes réserves d'eau douce du continent. Après avoir rétréci à une vitesse alarmante pendant plusieurs décennies, désormais, sous l'effet du changement climatique : il s'agrandit ! Au gré des pluies, le lac se métamorphose… Cela peut sembler une bonne nouvelle pour les ressources en eau de la région, mais c'est un véritable bouleversement pour les populations qui dépendent de l'agriculture et de la pêche pour leur survie quotidiennement menacée par les attaques de Boko Haram. Un reportage de Carol Valade, envoyé spécial pour RFI. Carol a rendez-vous sur les rives du lac, côté tchadien à Kisra avec Mahamat Mbomi. Mahamat est chauffeur pour le Comité International de la Croix-Rouge. Avec ses économies, il s'est lancé dans l'agriculture, mais tout ne s'est pas passé comme prévu... Avec les éclairages de Florence Sylvestre, directrice de recherches à l'IRD, l'Institut de la recherche pour le développement, professeur associé à l'Université de N'Djamena, qui étudie le climat et les ressources en eau du Sahel.
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Dix ans après la transformation spectaculaire qu'a connue la capitale de la Macédoine du Nord avec le projet «Skopje 2014», retour dans la ville parmi une statuaire fantomatique et un projet nationaliste qui hante encore le pays… Au cœur des Balkans, la Macédoine du Nord est un petit pays au nom longtemps disputé et au territoire convoité depuis des siècles. Située entre la Grèce, l'Albanie, la Serbie, le Kosovo et la Bulgarie, cette jeune nation issue de l'éclatement de l'ex-Yougoslavie de Tito est encore largement méconnue ; mais sa capitale Skopje a fait, un temps, il y a 10 ans, la Une de la presse internationale. « Disney des Balkans, capitale du kitsch, Disney nationaliste… » : les qualificatifs, parfois railleurs, souvent critiques, ne manquaient pas pour désigner le nouveau visage que la ville a offert au monde et aux Skopjiotes, à travers le projet «Skopje 2014». Cette opération ruineuse de rénovation urbanistique du centre-ville était alors portée par la droite nationaliste au pouvoir. Son ambition : redessiner l'identité macédonienne à coups de statues antiques géantes avec, au centre, la figure d'Alexandre Le Grand, de galion amarré le long des rives du Vardar qui traverse la ville ou de monuments néo-classiques ou néo-baroques, aux accents propagandistes. En 2014, une blague courait d'ailleurs les rues de Skopje : «Attention, si tu restes plus de 5 minutes au même endroit sans bouger, tu vas te transformer en statue ». Ce n'est certes pas nouveau que l'urbanisme est une arme pour le pouvoir et les nations boursouflées ; mais à Skopje, dix ans après ce vaste programme, que reste-t-il aujourd'hui de cette vision mégalomaniaque ? Comment les habitants ont-ils appris à vivre parmi ces façades pompeuses et ces places devenues musées d'elles-mêmes ? Comment certains artistes opposés au projet, cherchent-ils, aujourd'hui comme hier, à le déjouer et dire autrement le pays métissé, traversé d'influences qu'ils habitent ? Un reportage de Sibylle d'Orgeval à Skopje. En savoir plus : - Sur l'actualité des Balkans et notamment celle de la Macédoine du Nord, allez voir la Revue de presse des Balkans de RFI, préparé par les équipes du «Courrier des Balkans», l'indispensable portail francophone des Balkans - Sur les expressions artistiques et l'humour autour du projet Skopje 2014, un article de 2016 d'Aleksandar Takovski. En anglais - Sur le rapport de Transparency International Macedonia sur le projet Skopje 2014. Publié en 2018. En anglais - Sur l'institut français de Skopje - Sur les deux reportages que nous avions consacrés en 2015 à la Macédoine aujourd'hui dite du Nord.
La tanatóloga Gaby Pérez Islas le toma la temperatura a las relaciones de pareja. ¿Cómo saber que estás en una relación zombie? Hoy, te lo cuenta.Escucha Por el placer de entender la vida con Gaby Pérez Islas, en el podcast de Por el Placer de Vivir con César Lozano, en Uforia App, Apple Podcasts, Spotify, ViX y el canal de YouTube de Uforia Podcasts, o donde sea que escuches tus podcasts.¿Cómo te sentiste al escuchar este Episodio? Déjanos tus comentarios, suscríbete y cuéntanos cuáles otros temas te gustaría oír en #porelplacerdevivir
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Slovenský futbalový tréner Adrián Guľa otvorene prehovoril o svojej prvej sezóne v lotyšskom tíme FC Riga, kde hneď v úvodnom ročníku doviedol klub po štyroch rokoch k vytúženému majstrovskému titulu. V exkluzívnom rozhovore v podcaste Striedame! na ŠPORT.sk odhalil nielen detaily zo zákulisia úspešnej sezóny, ale aj momenty, keď musel zvažovať svoj odchod.Adrián Guľa neskrýva, že úvod v Rige bol dramatický. Po prvých štyroch zápasoch mal bilanciu 1 výhra, 2 remízy, 1 prehra. „Ešte som nebol ani vybalený. Býval som na akadémii,” priznáva otvorene tréner, ktorý do projektu išiel s jasným poslaním - vyhrať titul alebo odísť.Situácia bola natoľko vyhrotená, že s manažmentom klubu si museli nanovo nastaviť pravidlá spolupráce. „Dostali sme to na hranu a z nej sme sa potom odrazili do pozitívna, ale naozaj to bolo na hrane,” vysvetľuje 50-ročný kouč, ktorý v kluboch ako Plzeň či Dunajská Streda nebol zvyknutý na takýto typ riadenia.Po zvládnutí úvodnej krízy prišla nevídaná dominancia. Riga zaznamenala 15 víťazstiev po sebe a celkovo 31 zápasov bez prehry. Ako sa to podarilo? Adrián Guľa odhalil svoju filozofiu budovania tímu: „Vnímam hráčov ako ľudí, ako partnerov. Disciplína, charakter a dobrá mentalita plus silný team spirit.”Zaujímavou súčasťou rozhovoru je pohľad do fungovania klubu s hráčmi z 10 rôznych národností - od Peru cez Ghanu až po Ukrajinu. „Medzi hráčmi sa rozpráva minimálne tromi jazykmi,” opisuje Adrián Guľa prostredie, kde angličtina, španielčina aj francúzština tvoria každodenný komunikačný mix.Šokujúcim odhalením je finančné nastavenie klubu: „Pätnásť víťazstiev za sebou a jednoducho nula. Čistá nula.” Prémie boli viazané výlučne na konečný výsledok - zisk majstrovského titulu.Tréner sa venoval aj neúspešnému pokusu prebojovať sa do skupinovej fázy európskych pohárov, kde Rigu vyradila pražská Sparta. Zároveň načrtol víziu klubu do budúcnosti a hovoril aj o tom, čo by ho presvedčilo na odchod z Lotyšska.V rozhovore Adrián Guľa neskrýval ani emócie po nedávnom vysokom debakli slovenskej reprezentácie, v ktorej s hráčmi má osobné vzťahy z predchádzajúcich pôsobení.Celý rozhovor prináša úprimný pohľad na život trénera v zahraničí, fungovanie moderného futbalového klubu pod vedením ruského investora Sergeja Lomakina a detaily z prostredia lotyšskej ligy, o ktorej sa na Slovensku vie len málo.
Stropkov, Svidník, Revúca, Rožňava ale aj Skalica či Púchov. Aj to sú oblasti, kde odborníci z Protimonopolného úradu odhalili vyššiu koncentráciu na trhu práce. Keď je konkurencia slabá a zamestnávateľov málo, trpi aj zamestnanci.Situácia sa síce zlepšuje, no stále nie sme pomerom miezd k výkonu ekonomiky ani na európskom priemere, hovorí hlavný ekonóm úradu Vladimír Peciar.
Stropkov, Svidník, Revúca, Rožňava ale aj Skalica či Púchov. Aj to sú oblasti, kde odborníci z Protimonopolného úradu odhalili vyššiu koncentráciu na trhu práce. Keď je konkurencia slabá a zamestnávateľov málo, trpi aj zamestnanci.Situácia sa síce zlepšuje, no stále nie sme pomerom miezd k výkonu ekonomiky ani na európskom priemere, hovorí hlavný ekonóm úradu Vladimír Peciar.
Katru gadu 14. novembrī atzīmē Pasaules diabēta dienu, jo šajā dienā dzimis Frederiks Bantings, viens no insulīna atklājējiem. Šogad Diabēta dienas moto bija - par atbilstošu darba vidi diabēta pacientiem. Par to raidījumā Kā labāk dzīvot diskutē Latvijas Diabēta asociācijas valdes priekšsēdētāja, psiholoģijas un sociālo zinātņu maģistre, pasniedzēja un zinātniskā asistente Rīgas Stradiņa universitātē Gunta Freimane, Bērnu Klīniskās Universitātes slimnīcas Diabēta aprūpes un apmācības māsa Ilze Veilande un P.Stradiņa klīniskās universitātes slimnīcas Endokrinoloģijas centra vadītāja Kristīne Geldnere. Diabēts joprojām ir aktuāla problēma un pacientu skaits pieaug. Latvijā ir vairāk nekā 110000 diabēta pacientu. "tas ir lielākoties saistībā ar ar 2. tipa cukura diabēta pacientu skaita pieaugumu, kur galvenais iemesls būs mazkustīgs dzīvesveids, varbūt ne pārāk pareizi ēšanas paradumi, kas noved pie liekā svara," norāda Gunta Freimane. "Problēma joprojām aktuāla, jo šī slimība saistās ar dažādiem sarežģījumiem, kas palielina priekšlaicīgas nāves risku, nopietnu hronisku slimību risku. Tādēļ arvien svarīgi ir agrīni atklāt cilvēkus, kuriem ir paaugstināts diabēta risks, protams, arī laicīgi diagnosticēt diabētu." Gunta Freimane mudina cilvēkus, kam ir paaugstināts ķermeņa masas indekss, ko ikviens arī pats var aprēķināt, izvēloties rīku internetā, ja skaitlis ir virs 25, doties pie ģimenes ārsta, lai noteiktu cukura līmeni asinīs. Tas palīdz arī diagnosticēt diabētu. Ilze Veilande bilst, ka bērnu slimnīcā nonāk bērni smagā stāvoklī, jo diagnoze ir uzstādīta novēloti. Brīdinošie simptomi – slāpes, urinēšana, izteikts nogurums. Runājot par darba vietu cilvēkam, kuram ir cukura diabēts, Kristīne Geldnere norāda, ka svarīgi cilvēkam pašam ir apzināties, kādu darbu spēj darīt. "Ja izvēlas darbu, kur nav iespējas glikozes līmeni pārbaudīt un regulāri paēst, kā ir vajadzīgs, tajā nevar vainot darba devēju, jo viņš nevarēs mūsu vietā pieņemt lēmumus," atzīst Kristīne Geldnere. "Tas, kas tiek sagaidīts no darba devēja, gan kolēģiem, ir ļaut veikt glikozes līmeņa paškontroli, lai nevajadzētu slēpties un ievadīt insulīnu kaut kur tualetē, ja viņam tas vajadzīgs. Neteikt – atkal tas "narkomāns" tur spricējas." Kristīne Geldnere azīst, ka šādas frāzes var dzirdēt, piemēram, kafejnīcā, ja cilvēks ir nolēmis turpat pie galdiņa ievadīt insulīnu un to redz arī citi apmeklētāji. Situācijas ir dažādas.
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Bruno Poncet, cheminot, et Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La Mediumnidad es mucho más que un puente con otras dimensiones: es un Despertar Interior. A través de ella, puedes convertirte en canal de energías sanadoras. En esta entrevista, podrás descubrir si en ti también están despertando los dones de sanación espiritual: aprende cómo se manifiestan, cómo diferenciarlos y cómo potenciarlos con conciencia y responsabilidad. Ylenia Médium y canalizadora, especializada en Sanación Mediúmnica® y cofundadora de la escuela Médiums Lab, donde forma y acompaña a las personas en procesos de sanación energética y espiritual. https://mediumslab.com/ https://www.instagram.com/mediumslab.escuela/ https://www.facebook.com/people/M%C3%A9diums-Lab/61565480425624/ Más información en: https://www.mindaliatelevision.com PARTICIPA CON TUS COMENTARIOS EN ESTE VÍDEO. ------------ INFORMACIÓN SOBRE MINDALIA ----------DPM Mindalia.com es una ONG internacional, sin ánimo de lucro, que difunde universalmente contenidos sobre espiritualidad y bienestar para la mejora de la consciencia del mundo. Apóyanos con tu donación en: https://www.mindalia.com/donar/ - Suscríbete, comenta positivamente y comparte nuestros vídeos para difundir este conocimiento a miles de personas. Nuestro sitio web: https://www.mindalia.com SÍGUENOS TAMBIÉN EN NUESTRAS PLATAFORMAS https://www.mindalia.com/plataformas/ *Mindalia.com no se hace responsable de las opiniones vertidas en este vídeo, ni necesariamente participa de ellas. #Mediumnidad #Despertar #Sanación
Dans ce premier chapitre, on revient à l'origine d'une histoire qui ne ressemble à aucune autre : celle d'un enfant qui grandit au milieu d'une maison qui deviendra l'une des plus grandes tables de France.Mathieu Pacaud arrive dans un monde où la cuisine n'est pas un métier, ni un rêve, mais le décor quotidien.Avec, en face de lui, une figure devenue quasiment mythologique dans le paysage gastronomique français : son père, Bernard Pacaud, chef de L'Ambroisie, place des Vosges, à Paris.Dans l'enfance de Mathieu, il n'y a pas de projection de carrière, pas de discours programmatique, pas de destin écrit.Il y a un environnement ultra-exigeant, une maison qui se transforme peu à peu en référence absolue, et un père dont l'excellence façonne malgré lui l'ombre et la lumière.Il observe, il absorbe, il vit à proximité de la rigueur, des gestes, de la concentration, sans encore imaginer un jour y prendre part.Dans cette première partie, il raconte comment l'univers gastronomique est entré dans sa vie non pas comme un objectif, mais comme une référence évidente.Comment l'enfant, puis l'adolescent, perçoit la grandeur sans y voir un projet, et comment ce terrain d'excellence deviendra plus tard un repère, puis un défi.Un début d'histoire où se joue déjà une question centrale :comment se construire à côté d'un chef admiré par tous, avant même d'avoir choisi de devenir cuisinier soi-même ?Retrouvez l'univers de Mathieu Pacaud, ici !
Los hombres que se cuidan en su vestir y en su aseo personal son bien escasos, sobretodo si es casado, tiene hijos y se la pasa trabajando.Por eso ten cuidado si tu esposo se anda arreglando de más ultimamente. Mantente al día con los últimos de 'El Bueno, la Mala y el Feo'. ¡Suscríbete para no perderte ningún episodio!Ayúdanos a crecer dejándonos un review ¡Tu opinión es muy importante para nosotros!¿Conoces a alguien que amaría este episodio? ¡Compárteselo por WhatsApp, por texto, por Facebook, y ayúdanos a correr la voz!Escúchanos en Uforia App, Apple Podcasts, Spotify, y el canal de YouTube de Uforia Podcasts, o donde sea que escuchas tus podcasts.'El Bueno, la Mala y el Feo' es un podcast de Uforia Podcasts, la plataforma de audio de TelevisaUnivision.
Pokrovsk stále nepadol ale situácia je zložitá. Chce Smer-SD prebrať kontrolu nad ministerstvom vnútra? Slovensko je v najhoršej bezpečnostnej situácii v dejinách.
El filosofo de Mas de uno ha recibido una nueva carta de una oyente, Alessandra le transmite su preocupacion por los ultimos comportamientos de su hijo que comenzado a bendecir la paella con el brazo en alto...
Troisième et dernier volet de notre série de reportages chez le peuple Akuak au Soudan du Sud, cette communauté de pêcheurs qui vit sur des îles dans les marécages de la plaine du Nil. Situées à une vingtaine de kilomètres de la ville de Bor, la capitale du Jonglei, leurs terres ancestrales sont aujourd'hui entièrement recouvertes d'eau. Des inondations catastrophiques provoquées par le changement climatique sévissent depuis cinq ans, une montée des eaux qui a démarré il y a des décennies et qui s'accélère, bouleversant le mode de vie des habitants, tiraillés entre s'adapter et partir. Reportage de notre correspondante dans la région. De notre correspondante à Juba, de retour des îles Akuak, Serrés sous un tukul, une demi-douzaine de voisins jouent aux dominos. Ils sont venus en canoë pour se retrouver chez l'un d'entre eux. Le chef de la communauté Akuak, Makech Kuol Kuany, veut espérer qu'ils ne sont pas condamnés à vivre éternellement confinés sur ces îles minuscules. Mais les changements climatiques ont déjà eu un impact dramatique. « La vie de notre communauté a beaucoup changé, affirme-t-il. Par le passé, nous avions des vaches, des champs agricoles, et aussi du poisson. La seule chose qui nous manquait, c'étaient des acheteurs pour notre poisson. Aujourd'hui, la situation s'est inversée. Nous n'avons plus ni champ ni bétail, mais par contre nous pouvons vendre notre poisson, c'est le seul changement positif actuel. Mais ces inondations nous ont forcés à tous devenir pêcheurs. Prenez mon cas : moi et mes six fils pratiquons la pêche. Car sans ça, comment allons-nous nous nourrir ? Et comment acheter des vaches pour la dot lors des mariages ? Nous nous sommes appauvris car, avant les inondations, nous avions ces trois ressources : l'agriculture, le bétail et la pêche. Mais maintenant il ne nous reste plus que le poisson ». À lire aussiSoudan du Sud: les Akuak, une société transformée par le changement climatique [1/3] La vie éreintante dans les îles, loin de tout service, et la persistance des inondations, ont poussé de nombreux Akuak à partir, confie le chef. « Avant ces inondations, la vie était meilleure » Pour Machiek Machar Riak, un pêcheur de 25 ans, il ne faut pas baisser les bras, car le mode de vie traditionnel reste à ses yeux meilleur pour les enfants que la vie urbaine, même s'il a bien changé : « Il y a des difficultés maintenant qu'il y a de l'eau de partout, ce n'est pas comme au temps de mon enfance. Nous étions très libres, nous avions des terrains de jeu, nous pouvions aller d'un village à l'autre à pied, nous pouvions facilement jouer avec les enfants des autres familles. Et nous cultivions du maïs, le maïs nous manque beaucoup aujourd'hui. » Comme tous les pêcheurs Akuak, Angui Kuol Kuany, 45 ans, fait l'aller-retour régulièrement entre les îles et Bor. Lui s'est spécialisé dans le commerce de poisson. Il voit pourtant la généralisation de la pêche d'un mauvais œil : « Dans le passé, avant ces inondations, la vie était meilleure, car toutes ces activités liées à la pêche étaient réservées à ceux qui avaient des filets et des canoës. Mais de nos jours, tout le monde a ces équipements et donc le commerce et la vie en général sont devenus très compétitifs. Beaucoup de gens sont partis des îles, et ceux qui y restent ont une vie misérable. » Des inondations d'ampleur similaire avaient frappé la région dans les années 1960, et la communauté avait réussi à résister pendant près de dix ans. Certains espèrent donc que la crue actuelle s'arrêtera un jour. À lire aussiSoudan du Sud: les Akuak, la pêche comme unique source de subsistance [2/3]
La mer Caspienne est un cas unique au monde : immense étendue d'eau fermée, elle est qualifiée de mer par son nom, mais de lac par sa géographie. Pourtant, d'un point de vue juridique international, elle n'est ni tout à fait l'un ni l'autre.Située entre la Russie, le Kazakhstan, le Turkménistan, l'Azerbaïdjan et l'Iran, la mer Caspienne est un bassin endoréique : elle n'a aucune communication naturelle avec les océans. Selon la géographie physique, c'est donc un lac salé, le plus grand du monde, avec une superficie de 370 000 km². Mais sa salinité (autour de 12 g/l) et son immense taille ont longtemps nourri l'ambiguïté : historiquement, les peuples riverains l'ont appelée “mer”, et les cartes l'ont toujours représentée ainsi.La vraie question, toutefois, est politico-juridique. Car si la Caspienne est une mer, elle relève du droit maritime international, notamment de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer (dite de Montego Bay, 1982). Dans ce cas, chaque pays riverain aurait une zone économique exclusive et un plateau continental, avec des droits d'exploitation sur le pétrole et le gaz situés dans sa partie. Si, en revanche, on la considère comme un lac, il faut la partager selon des règles spécifiques de droit interne entre États, par des accords bilatéraux ou multilatéraux.Pendant des décennies, cette ambiguïté a provoqué des tensions diplomatiques. L'effondrement de l'URSS en 1991 a tout compliqué : de deux États riverains (URSS et Iran), on est passé à cinq. Chacun voulait défendre sa part des immenses gisements d'hydrocarbures sous le fond caspien. L'enjeu était colossal.Après des années de négociations, un compromis a été trouvé en 2018 avec la Convention d'Aktau, signée par les cinq pays. Elle a établi un statut hybride :La mer Caspienne n'est ni un océan ni un lac au sens strict.Son eau de surface est partagée comme celle d'une mer, ouverte à la navigation commune.Mais son fond marin (où se trouvent les ressources) est divisé entre les États, comme pour un lac.Ainsi, la Caspienne bénéficie d'un régime juridique sui generis, c'est-à-dire unique en son genre. Ce statut permet à chacun des pays riverains d'exploiter ses ressources tout en maintenant une souveraineté partagée sur l'ensemble. En somme, la mer Caspienne est juridiquement… un peu des deux : une mer par son nom et ses usages, un lac par sa nature, et un compromis diplomatique par nécessité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Merci à Anthony Salsi d'être venu dans le studio de LEGEND ! Anthony est un astrophysicien et astro-photographe (photographie de l'univers). Il vient pour vulgariser toutes les questions qu'on se pose sur l'univers comme la question du temps, combien de dimensions existent ou encore savoir si d'autres formes de vie existent dans l'univers.Suivez Anthony sur ses réseaux :Instagram ➡️: https://www.instagram.com/astronophilos/TikTok ➡️: https://www.tiktok.com/@astronophilos?_t=8sHxUD6qbYc&_r=1YouTube ➡️: https://www.youtube.com/@astronophilosMerci à la Boutique Carion Minéraux, spécialisée dans les minéraux, les fossiles et surtout les météorites.C'est une des boutiques avec le plus large choix de météorites en France. Situé au 92 Rue St Louis en l'île, 75004 ParisRetrouvez-les sur leur site ➡️: https://www.carionmineraux.com/Ainsi que sur leur chaîne YouTube ➡️: https://www.youtube.com/@Chasseurdem%C3%A9t%C3%A9oritesRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/AmHdwWHsrgI Retrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 novembre 2025.Avec cette semaine :Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT LE TERRORISME A TRANSFORMÉ LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE DEPUIS DIX ANS ? Voilà bientôt dix ans qu'un commando terroriste a semé la terreur dans les rues de Paris, le 13 novembre 2015, assassinant 130 personnes et en blessant plusieurs centaines d'autres. Trois rescapés se sont depuis donné la mort, succombant à leurs blessures psychiques. Ces attentats ont profondément impacté la société française. Les médias jouent un rôle central lors de tels événements. Difficile d'informer avec précision dans un climat de peur et d'incertitude après un attentat. Le 9 janvier 2015 notamment, des chaînes d'information en continu ont divulgué la présence d'otages cachés dans la chambre froide de l'Hypercacher de Vincennes, mettant leur vie en danger. Les médias servent de caisse de résonance aux terroristes, qui, pour la plupart sont avides de spectacle. Face à la sidération après les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hypercacher, la société française s'est immédiatement massivement mobilisée comme en témoigne la grande manifestation du 11 janvier 2015. La vie quotidienne a été transformée, bouleversée par les dispositifs de surveillance, de prévention et de lutte antiterroriste. Le terrorisme provoque également des effets perturbateurs comme la montée de sentiments xénophobes, antimusulmans ou antisémites et leurs réponses politiques. Il a induit des progrès considérables de la recherche, en particulier, depuis 2015, sur la question des traumatismes. Il impacte les procédures judiciaires. En France, depuis 2019, le nombre de procès criminels pour terrorisme a été multiplié par sept : la raison principale en est non seulement la création d'un parquet national antiterroriste, mais aussi la volonté de donner réparation à toutes les victimes et leur offrir la possibilité de s'exprimer dans le lieu symbolique d'une cour de justice.Procureur de la République de Paris en charge de la lutte contre le terrorisme entre 2011 et 2018, François Molins a vécu les événements les plus dramatiques qui se sont succédé pendant cette période, des attentats de Mohamed Merah en 2012, au 13 novembre 2015, en passant par le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo. Insistant sur le fait qu'il a fallu trouver une juste mesure entre le durcissement de la réponse et le respect des libertés et droits fondamentaux, François Molins considère que « dans l'ensemble, la France y est parvenue » : L'état d'urgence décrété au lendemain du 13 Novembre a duré un peu moins de deux ans, jusqu'au 1er novembre 2017. Il a rassuré les gens et permis une amplification de la lutte - assignations à résidence, perquisitions, interdictions de séjour, fermeture de mosquées radicalisées -, toujours sous le contrôle de la justice administrative et du Parlement. Mais le risque de dérive est réel, met en garde François Mollins. En octobre 2025, cinq actes terroristes d'inspiration djihadiste ont été réalisés ou projetés, dans quatre pays européens, rappelle l'ancien procureur antiterroriste Jean-François Ricard. Ces faits, insiste-t-il, doivent nous alerter sur la persistance d'une menace qui prend des formes nouvelles.LA GUERRE AU SOUDAN Au Soudan, le 26 octobre la ville d'El-Facher, capitale de la province du Darfour du Nord est tombée aux mains des Forces de soutien rapide (FSR) qui assiégeaient la ville depuis plus de dix-huit mois. C'était le dernier bastion, au Darfour, des Forces armées soudanaises (FAS). La guerre au Soudan a commencé en avril 2023 lorsque les tensions autour du projet d'intégration des FSR à l'armée régulière ont éclaté en un conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et déplacé de 12 à 13 millions de personnes. Deux acteurs qui s'étaient partagé le pouvoir après la chute du dictateur Omar el-Béchir, renversé en 2019 s'affrontent : l'armée soudanaise, héritière de l'ancien régime, avec à sa tête le général Abdel Fattah al-Burhane ; et les FSR, une unité paramilitaire dissidente dirigée par le général Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemetti. En début d'année, l'armée soudanaise et ses supplétifs miliciens ont reconquis la capitale, Khartoum, ainsi que la région agricole de la Jézira, le long du Nil. Depuis, ils contrôlent toute la moitié orientale du Soudan. A l'ouest, en revanche, les RSF dominent. Le noyau dur des hommes de Hemetti est composé d'anciens combattants arabes jenjawids employés, à l'époque d'El-Béchir, pour effectuer les sales besognes du régime et écraser les mouvements rebelles du Darfour. Ils sont eux-mêmes originaires de cette région, grande comme la France métropolitaine.Situé à la lisière de la partie subsaharienne de l'Afrique et du Moyen-Orient, le Soudan concentre une multitude de richesses et d'avantages géostratégiques suscitant toutes sortes de convoitises et d'ingérences : d'immenses terres arables, les eaux du Nil, des mines d'or, du pétrole, l'accès à la mer Rouge face à l'Arabie saoudite, des frontières avec huit pays africains. Soutenues par une partie des Émirats arabes unis, les FSR contrôlent les mines d'or du Darfour, les circuits de contrebande vers la Libye et la Centrafrique, et finance une armée privée plus riche que l'État soudanais, tandis que les FAS ont bénéficié de l'appui de l'Égypte, de l'Arabie saoudite, de l'Iran et de la Turquie, selon des observateurs. Tous nient toute implication.Les réactions internationales demeurent d'une discrétion gênée. Lundi, toutefois, le bureau du procureur de la Cour pénale internationale a averti que les atrocités commises par les FRS à El-Fasher « pourraient constituer des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité ». Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme mentionne des « massacres massifs de civils et de combattants désarmés ». La région, déjà extrêmement affaiblie depuis les massacres de Geneina en 2023, s'enfonce dans un nouveau cycle de violences entre communautés, où vengeance et désordre remplacent toute stratégie politique. Le pays s'est disloqué en zones d'influence : le Darfour aux mains des FSR, le Nord et l'Est sous commandement militaire, le Sud livré au chaos. L'État soudanais, déjà amputé du Soudan du Sud en 2011, se délite à nouveau.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Située dans la Cité du Vatican, à l'ouest du Tibre, la Basilique Saint-Pierre est dédiée au martyre de saint Pierre, l'un des douze apôtres de Jésus-Christ. Pour parler de cet emblématique de la culture catholique, Johanne Dussez sʹentretient avec Mathieu Lours, historien de lʹarchitecture, spécialiste des cathédrales et des architectures religieuses Sujets traités : Basilique , Saint-Pierre ,Rome, Jésus-Christ, Vatican, édifice Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que s'ouvre, lundi 10 novembre, la COP30 à Belém au Brésil, de nombreuses délégations ont encore des difficultés à trouver des logements pour participer à la conférence. Très courants dans les pays d'Amérique latine, les « love motels », généralement réservés à l'heure, se reconvertissent en auberge longue durée. De notre envoyée spéciale à Belém « La lumière verte indique que la chambre est disponible. Comme ça clignote ici, c'est occupé », indique Yorann Costa, gérant du Motel Secreto. Il nous fait visiter son établissement, spécialisé dans les rencontres amoureuses. Il dispose de 33 chambres, de la plus simple à la suite royale, avec jacuzzi et sauna. Situé à quelques kilomètres seulement du siège de de la COP30, il espère louer tout son établissement à une délégation étrangère. « Pour moi, c'est plus simple de faire un paquet intégral du motel, plutôt que de louer individuellement les chambres et devoir gérer 33 demandes différentes », explique-t-il. Pour s'adapter à la demande, Yorann a enlevé tout ce qui était explicite dans les chambres : les chaises érotiques, les tableaux de nus, les miroirs au plafond, dans la limite du possible. Il nous dit sa raison : « Par exemple, les barres de pole dance font partie de la structure. Ça n'a pas de sens de tout casser, parce qu'après la COP, nous redeviendrons un motel. Nous n'avons pas l'intention de nous transformer en hôtel. » Pourtant, il n'a toujours pas trouvé de clients intéressés, alors qu'il a réussi à louer son autre bien à une délégation d'Europe du Nord. Mais cette résidence n'est pas un motel, et il pense que son secteur souffre de discriminations. Alberto Braga, propriétaire d'un motel dans le centre historique, a repeint la façade et changé le nom de son établissement, mais il est inquiet : « Nous, chefs d'entreprises de ce secteur, avons investi des sommes importantes pour répondre à des exigences que nous avons reçues. Mais maintenant, c'est l'incertitude. On marche sur des œufs et on est inquiets, car on a dépensé beaucoup d'argent. » Face à la course aux logements sur des plateformes, comme Booking ou Airbnb, les agents immobiliers permettent d'offrir plus de sécurité à travers des contrats de location. Lucas Bombonato gère l'une des plateformes d'hébergement pour la COP30. Sur son site, où se trouvent certains motels, les offres commencent avec des chambres à 200 dollars la nuit. C'est le prix subventionné par l'ONU pour certaines délégations. « L'organisation de la COP a pu réserver pour l'ONU entre 10 et 15 chambres par ambassade. Donc quand je vois que des ambassades se plaignent des prix, je ne comprends pas pourquoi. Parce que la demande a été satisfaite », s'étonne-t-il. Après des mois de polémiques sur la pénurie de logements ou certains prix abusifs, les organisateurs espèrent enfin recentrer l'attention sur l'essentiel : les négociations climatiques.
El pasado 10 de octubre se celebró el día de la salud mental por eso estaré trabajando varios episodios sobre estrategias, claves y pasos para cuidar nuestra salud mental.La reflexión: ¿Y Si tu Fracaso Fuera tu Mayor Éxito? Tomada de una historia de Jorge Bucay en su libro Cuenta conmigo.Un relato conmovedor tomado del libro "Cuenta Conmigo" de Jorge Bucay, que pone en el centro a Liu, una joven pastora que, a pesar de que no logra que su semilla florezca, demuestra un admirable compromiso con su gente, integridad y honestidad. La historia nos invita a reflexionar sobre la honestidad, la autenticidad y la verdadera naturaleza del éxito. - Devolver valor: https://sasuke.es- Únete a nuestra comunidad: https://sasuke.es/comunidad- Comparte en Whatsapp: https://sasuke.es/whatsapp- Web oficial: https://jeymifebles.net