Retrouvez toutes nos interviews sonores de Radio 9 Lives ! 9 Lives magazine vous accompagne au quotidien dans le monde de l'image et de la photographie.
Un espace solaire de création et de sororité autour de la photographie contemporaine Avec : Fanny Magot, Giulia Frigieri, Julia Gat, Kamila K Stanley, Orianne Ciantar Olive et Tina Masoumi. Pour ce nouvel épisode nous partons à Marseille pour rejoindre Solar, un collectif 100% féminin. Bienvenue dans un épisode solaire, au sens propre comme au figuré. Elles sont 6 photographes et une curatrice et elles ont choisi de se réunir autour d'un projet commun : créer un espace collectif, créatif et solidaire dédié à la photographie contemporaine.
Multiplier les regards pour créer une énergie commune Pour ce septième épisode nous avons le plaisir d'échanger avec Emmanuelle Halkin (commissaire d'exposition) et Clara Chalou (productrice de projets culturels), membres du collectif Fêtart, dans le cadre de la 15ème édition du festival Circulation(s) au Cent-Quatre jusqu'au 1er juin 2025. Cet épisode a été réalisé au Cent-Quatre avec Emmanuelle Halkin et Clara Chalou dans le cadre de la 15ème édition du festival Circulation(s) qui se termine le 1er juin 2025. Créé en 2011, Circulation(s) est le premier festival français consacré à la photographie émergente européenne. Depuis 15 ans, il réunit des artistes en début de carrière venu·es de toute l'Europe. Ils et elles sont sélectionné·es par la direction artistique collective du festival, composée de 6 commissaires d'exposition indépendantes, suite à un appel à candidatures public. Du Liban à la Tchétchénie, des îles Éoliennes à la Guadeloupe, que l'on en vienne ou que l'on y vive, les territoires sont le creuset où se forgent nos identités et nos interrogations. Certaines zones géographiques émergent enfin du silence et s'expriment avec force. Le festival donne la voix cette année à plusieurs artistes franco-caribéen⸱nes qui se réapproprient la narration de leur héritage et de leur histoire. Chaque série dévoile une carte mouvante, plurielle et poignante de nos réalités partagées et propose une remise à jour de l'imaginaire collectif.
"L'indignation est un moteur très fort de création et c'est une porte d'entrée pour contribuer à faire bouger les choses." Pour ce sixième épisode nous avons le plaisir d'échanger avec la photographe française Camille Gharbi, finaliste du Prix Elysée 2025. Cet épisode a été réalisé à la galerie Item dans le cadre de l'exposition “Faire Face. Histoires de violences conjugales” de Camille Gharbi visible jusqu'au 5 avril 2025. Camille Gharbi est une photographe et artiste visuelle française. Sa pratique artistique porte sur des problématiques sociales contemporaines suivies au long cours, dont les violences de genre, la justice sociale, le vivre ensemble. Entre photographie documentaire et plasticienne, sa démarche interroge l'état du monde en jouant sur la distance et l'esthétique afin de convoquer l'empathie et le sensible. Considérant l'art comme un vecteur de transformation sociale, son travail emmène vers une politisation du regard, par l'intime et le subjectif. Le projet “Faire Face. Histoires de violences conjugales” rassemble trois séries de photographies qui posent le constat des violences conjugales « Preuves d'amour », interrogent les parcours de reconstruction des anciennes victimes « Une chambre à soi », ainsi que les possibilités de deconstruction du rapport à la violence chez leurs auteurs « Les monstres n'existent pas ».
"C'est un cadre idéal d'être au cœur de Paris dans cet espace physique et mental pour travailler " Pour ce cinquième épisode nous avons le plaisir d'échanger avec la photographe Catherine Cattaruzza dans le cadre de la résidence Elles & Cité. Cet épisode a été réalisé dans le cadre de la résidence Elles & Cité avec l'une des lauréates, Catherine Cattaruzza, dans son atelier à la cité internationale des arts. Catherine Cattaruzza vit entre la France et le Liban où elle a passé l'essentiel de sa vie jusqu'en 2022 lorsque l'effondrement du Liban la pousse à l'exil. Depuis 1993, après des études à l'École des Beaux-Arts de Toulouse et l'obtention du Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique avec les félicitations du jury, elle participe à des expositions personnelles et collectives, au Moyen-Orient, en Europe et en Amérique du Nord. Son travail explore les thèmes autour du territoire, de la trace, le fractionnement de la culture politique et les conditions d'après-guerre. Catherine Cattaruzza interroge le paysage dans ses dimensions politique et poétique, sur ce qu'il nous dit du monde, de la transformation du territoire physique, et de la pensée qui lie le visible à l'invisible. Son dernier projet Where Home lies (2024) développé dans le cadre de la résidence « Elles et Cité » à la Cité internationale des arts, Paris (2024), s'est vu attribué l'Aide Individuelle à la Création de la DRAC Occitanie (2023).
"Elles X Paris Photo est une mise en lumière de l'artiste. Avec ce parcours il y a de la visibilité pour l'artiste et la galerie" Pour cet épisode, la galeriste Carole Kvasnevski nous a accueilli sur son stand à Paris Photo (secteur Émergence) pour échanger ensemble sur son parcours en tant que galeriste et nous parler du travail de l'artiste Hélène Amouzou présentée à cette occasion dans le cadre du parcours Elles x Paris Photo. Carole Onambélé Kvasnevski est galeriste d'art, commissaire d'exposition indépendante membre du collectif et de la revue d'art Afrikadaa. Elle fonde en 2010, à Paris, la galerie d'art Carole Kvasnevski, un espace qui assure la médiation culturelle. Dès 2016, Carole engage son identité africaine et développe depuis la promotion d'artistes émergents et confirmés du continent africain et de ses diasporas. La ligne curatoriale de la galerie promeut principalement les créations qui soulèvent des interrogations environnementales et sociétales. Représentée par la galerie Carole Kvasnevski, Hélène Amouzou est une photographe née en 1960 au Togo. Elle vit et travaille à Bruxelles. Hélène Amouzou prend le chemin de l'exil à l'âge de vingt-trois ans. Elle passe par l'Allemagne, où elle donne naissance à sa fille, avant d'arriver en Belgique en octobre 1997. Là commence une vie de luttes, jusqu'à l'obtention de sa carte de séjour en 2009, avant de devenir citoyenne belge en 2015. Si elle ressent d'abord un malaise quant au thème de l'autoportrait, elle y revient progressivement deux années plus tard, pour s'y consacrer pleinement. L'installation “Nye Nonometata” présentée dans le cadre du parcours “Elles x Paris Photo” est une série d'autoportraits liée à l'histoire personnelle d'Hélène Amouzou, son exil, sa traversée du Togo vers la Belgique, que l'artiste exprime d'une manière intime.
"Je suis photographe parce que c'est ce que je fais et je suis artiste parce que c'est ce que je suis" Elles font la culture, un podcast du ministère de la Culture pour et avec les acteurs et actrices du monde de la culture animé par Véronique Prugnaud. Pour ce troisième épisode nous avons le plaisir d'accueillir la photographe plasticienne française Valérie Belin dont le travail est influencé par différents courants minimalistes et conceptuels. Valérie Belin est une artiste plasticienne française née en 1964 à Boulogne-Billancourt. Elle vit et travaille à Paris. Tout d'abord influencée par différents courants minimalistes et conceptuels, Valérie Belin s'est intéressée au medium photographique, qui est à la fois le sujet de son œuvre et son moyen de réflexion et de création. La lumière, la matière et le « corps » des choses et des êtres en général, ainsi que et leurs transformations et représentations, constituent le terrain de ses expérimentations et l'univers de son propos artistique. Le travail se manifeste sous la forme de séries photographiques, chacune étant réalisée dans le cadre d'un projet. Les œuvres de Valérie Belin ont été exposées dans le monde entier et font partie de nombreuses collections publiques et privées. En 2024 elle est nommée sixième membre de la section de photographie à l'Académie des Beaux-Arts de Paris.
Pour ce deuxième épisode nous avons le plaisir d'accueillir la photographe Letizia Le Fur dont le travail est centré sur la représentation de la beauté et de la couleur. Letizia Le Fur partage avec nous sa pratique et son parcours. "C'est très facile de mettre sa vie artistique de côté et pour la faire ressurgir, il faut beaucoup de force et de détermintation"
Pour ce premier épisode nous avons le plaisir d'accueillir l'artiste visuelle Camille Lévêque dont le travail porte essentiellement sur les relations, les questions d'identités et d'origines. Camille Lévêque partage avec nous son parcours et la réalité de la vie d'une artiste femme en France. "Il faut vraiment faire preuve de résilience, de solidarité et de sororité."
Porte-parole des grands mouvements sociaux en France et dans le monde : révoltes étudiantes et ouvrières, combats féministes, anticolonialistes, pacifistes, droits civiques… toujours avec une même pudeur et ténacité, Marie-Laure de Decker est célébrée à la MEP par son fils Pablo Saavedra de Decker et Simon Baker. Fils de Teo Saavedra, résistant chilien, affilié au mouvement d'extrême gauche MIR qui rencontre Marie-Laure en 1982 alors qu'il est réfugié à Paris, Pablo, porteur avec son frère cadet d'un héritage dont il mesure la valeur, a mis 5 ans à réaliser ce projet commencé lors du confinement autour de 300 000 clichés en sommeil et encore du vivant de Marie-Laure, aux côtés de la commissaire Victoria Aresheva.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Sylvie Fodor, Directrice général du CEPIC pour évoquer des sujets clés du cadre juridique et technologique sur la défense du droit d'auteur concernant l'Intelligence artificielle.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Isabelle Tessier, Directrice de l'artothèque de Vitré et Coline Miailhe, Directrice Le Bus – espace culturel autour de principes d'exposer la photographie au plus près des publics.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Isabelle-Cécile Le Mée, Chargée de mission pour le pilotage de la recherche sur le patrimoine photographique et Edouard de Saint-Ours, Conservateur des collections photographiques du Musée Guimet autour du statut des photographies dans les collections.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec l'artiste martiniquais, Jordan Beal, pour aborder la situation des photographes dans les territoires d'Outre-mer.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Amélie Samson du festival Circulation(s) et Anthony Jean de LUM festival, pour nous parler des enjeux des festivals sur les territoires.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Guillaume Geneste et Linda Garcia d'Ornano pour nous présenter le projet d'inscrire le savoir-faire des tireurs photographiques à l'inventaire national du patrimoine immatériel.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Dominique de Font-Réaulx, présidente du comité scientifique du Bicentenaire de la Photographie.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Nathalie Bocher-Lenoir et Rebecca Flore pour célébrer les 70 ans de l'association des Gens d'Images.
La 68ème édition du Salon de Montrouge qui se déroule du 7 au 23 février 2025 au Beffroi, est placée sous la direction artistique d'Andrea Ponsini, Responsable des expositions et des arts plastiques à la direction culturelle de la Ville de Montrouge. Il a été coordinateur du Salon pendant 15 ans aux côtés de Work Method, Ami Barak et Stéphane Corréard.
Ce week-end, l'une des plus anciennes galeries dédiées à la photographie, Le Réverbère a inauguré "Histoire(s) sans fin", leur dernière exposition avant leur fermeture. À cette occasion, j'ai rencontré les deux cofondateurs de ce qui est devenu au fil des ans, une véritable "institution" en France et en Europe, Catherine Derioz et Jacques Damez. Dans cet entretien, ils nous parlent à cœur ouvert, avec beaucoup d'émotion, ce qu'ils estiment être la fin d'une ère. Pas (seulement) pour eux, mais pour toute la photographie. Découvrez cette rencontre passionnante et passionnée.
Ingrid Milhaud est iconographe indépendante et directrice photo de la revue La Déferlante, Chloé Devis est journaliste (mais aussi photographe!) et Marie Docher est réalisatrice et photographe. Toutes les trois font partie du collectif La Part des Femmes et elles viennent de publier l'ouvrage « Le portrait de presse au prisme des dominations« . Engagées en faveur de la pluralité des regards en photographie, elles ont décidé de mener l'enquête pour décoder les biais et les stéréotypes de représentation en étudiant un échantillon de 1000 portraits photographiques publiés dans la presse. À cette occasion, nous les avons rencontrées…
Il y a un an, nous publions un entretien avec la fondatrice des éditions l'Axolotl, Caroline Bénichou. Elle nous présentait son tout premier ouvrage publié "Smoke" conçu avec le photographe Michael Acherman. Aujourd'hui, nous la rencontrons de nouveau, mais elle est cette fois-ci accompagnée du photographe suédois, Martin Bogren, qui signe le second ouvrage des éditions l'Axolotl : « A Summer of a Thousand years ». Un livre intime qui est actuellement en pré-vente à un tarif préférentiel avant sa sortie officielle, le 1er juillet !
Aliocha Boi est photographe. Au printemps 2019, il lance son podcast intitulé Vision(s). Marine Lefort est éditrice indépendante, c'est en mars 2020, quelques jours avant le confinement qu'elle publie son premier épisode des « Les Voix de la Photo ». Tous les deux ont la particularité d'avoir choisi un média sonore pour raconter la photographie sous toutes ses formes. Rencontre croisée entre deux podcasteurs de la photographie !
Pour la quatrième année consécutive, 9 Lives magazine poursuit son partenariat avec le ministère de la Culture dans le cadre de la cinquième édition du Parlement de la Photographie, qui se déroulera les 5 et 6 juin prochains. Chaque jour, nous vous dévoilerons les différentes thématiques explorées à travers de courts entretiens. Aujourd'hui, nous finalisons ce rendez-vous hebdomadaire avec la rencontre de deux intervenants de la table ronde "Quand l'intelligence artificielle s'invite dans les métiers de l'image : jusqu'où iront les bots et les robots ?" avec Alexandra Bensamoun, professeure de droit privé et personnalité qualifiée au Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique - ministère de la Culture et l'artiste photographe Eric Tabuchi.
Pour la quatrième année consécutive, 9 Lives magazine poursuit son partenariat avec le ministère de la Culture dans le cadre de la cinquième édition du Parlement de la Photographie, qui se déroulera les 5 et 6 juin prochains. Chaque jour, nous vous dévoilerons les différentes thématiques explorées à travers de courts entretiens. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir deux intervenantes de la table ronde « Quel avenir pour les archives photographiques de presse ? » avec l'historienne Françoise Denoyelle et Marie-Eve Bouillon, chargée de mission photographie aux Archives nationales.
Pour la quatrième année consécutive, 9 Lives magazine poursuit son partenariat avec le ministère de la Culture dans le cadre de la cinquième édition du Parlement de la Photographie, qui se déroulera les 5 et 6 juin prochains. Chaque jour, nous vous dévoilerons les différentes thématiques explorées à travers de courts entretiens. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir deux intervenants de la table ronde autour de PERFORMANCE, une commande photographique du Cnap avec l'artiste Suzanne Hetzel et Pascal Beausse, modérateur et responsable de la collection photographie au Centre national des arts plastiques.
Pour la quatrième année consécutive, 9 Lives magazine poursuit son partenariat avec le ministère de la Culture dans le cadre de la cinquième édition du Parlement de la Photographie, qui se déroulera les 5 et 6 juin prochains. Chaque jour, nous vous dévoilerons les différentes thématiques explorées à travers de courts entretiens. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir trois intervenant·es pour la présentation du Cercle Hippolyte Bayard réunissant cinq structures photographiques des Hauts-de-France : Anne Lacoste (Directrice de l'Institut pour la photographie), Paul Leroux (Directeur du Château Coquelle) et Horric Lingenheld (Directeur artistique de Destin Sensible).
Pour la quatrième année consécutive, 9 Lives magazine poursuit son partenariat avec le ministère de la Culture dans le cadre de la cinquième édition du Parlement de la Photographie, qui se déroulera les 5 et 6 juin prochains. Chaque jour, nous vous dévoilerons les différentes thématiques explorées à travers de courts entretiens. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir deux intervenantes de la table ronde intitulée « Vers une photographie plus inclusive, état des lieux et perspectives » : Cathy Bouvard, directrice des Ateliers Médicis et l'artiste pluridisciplinaire, Hélène Jayet.
Après avoir partagé cinq épisodes juridiques autour du droit d'auteur, droit à l'image, contrats et inquiétudes sur l'intelligence artificielle, c'est Cyrielle Gauvin, avocate au barreau de Paris, qui clôt ce cycle juridique avec une vidéo qui parle fiscalité et plus particulièrement de la TVA pour l'activité de photographes pour vous donner les bases principales sur le sujet. Cyrielle vient de fonder avec son associée Lucie Tréguier, Aœdé, un cabinet spécifiquement consacré aux industries créatives et au marché de l'art.
En 2021, nous faisions la connaissance de Lucie Tréguier, avocate au barreau de Paris et co-fondatrice et présidente du Barreau des Arts, une association qui vient en aide aux artistes précaires. Il y a quelques mois, Lucie et Cyrielle Gauvin ont fondé Aœdé, un cabinet spécifiquement consacré aux industries créatives et au marché de l'art. Chaque mois, les deux avocates répondront à nos questions pour approfondir six sujets liés à la photographie. Pour ce cinquième épisode, Lucie Tréguier nous parle du droit à l'image.
L'année 2024 marque le 75ème anniversaire de la mort d'Ensor dans la ville d'Ostende. Une célébration qui promet d'être exceptionnelle avec des résonances à Ostende, Anvers et Bruxelles. Le lancement se fait à Ostende dans sa ville natale à travers de nombreuses manifestations dont à La Maison James Ensor (Ensor Huis), entreprise familiale et immense source d'inspiration pour l'artiste qui puise énormément dans sa biographie. Mu.ZEE est tout naturellement au cœur de cette célébration, détenant pas moins de 370 œuvres du maître, avec l'exposition : « James Ensor et la nature morte en Belgique (1830 – 1930) » sous le commissariat du Dr Bart Verschaffel et Sabine Taevernier assistés du Dr Stefan Huygebaert, conservateur du Mu.ZEE.
En résidence à la Villa Panthéon avec Mona Cara, Laura Bartier retrace son itinéraire de Paris (diplômée de l'EnSAD) au Japon et à Taïwan autour du textile qu'elle envisage dans un lien élargi au vivant et à différents écosystèmes qui nous entourent. De sa première rencontre avec un couple d'artisans de kimonos Kazuko et Ueda, (dans la région du Kansaï), inscrits dans une pratique animiste au sein de la forêt est née sa démarche autour d'une pratique en phase avec un mode de vie ancré et eco-responsable, complétée par son compagnonnage auprès de Lu Jinxia, artiste de Taïwan dont elle partage la vie en communauté pendant quelques mois et se forme au tressage de jonc.
Dernière semaine de l'année avec plusieurs femmes de l'art qui repoussent les limites et insufflent de l'inédit et de l'audace dans le quotidien, à commencer par l'artiste Margaux Derhy. A l'origine du programme collectif d'entraide « Le Cercle de l'Art » et de la résidence d'artistes « Massa Stories » dans le sud du Maroc, Margaux Derhy partage un double héritage franco-marocain et défend des valeurs d'émancipation et d'inclusion à travers des projets de co-création.
Je rencontre Mona Cara dans le cadre de sa résidence à la Villa Panthéon qu'elle partage avec Laura Bartier. Après la Biennale de Paname et l'installation suspendue « Chapiteau chahuté », 100% l'Expo à la Villette avec la foisonnante « La Grande pêche foire » ou le Prix Dauphine pour l'art contemporain autour du monstrueux, elle poursuit ses expérimentations autour du textile qu'elle conçoit comme le ferait une peintre et sa palette à partir de nombreuses sources d'inspiration : la BD, les symboles de la société de consommation mais aussi des rituels mexicains (Arbres de vie) ou des images chaotiques de l'actualité. De nombreuses collisions revendiquées au fil des strates aux couleurs vives.
Dans le cadre du Programme de développement des artistes de la Banque Européenne d'Investissement (Luxembourg), mené par Delphine Munro, l'artiste Jonathan Pêpe résident à la Cité internationale des Arts de Paris, présente le court métrage Bassin d'attraction (2021), conçu en partenariat avec le musée des arts étrusques de Rome. Né à Toulouse en 1987, Jonathan a été formé à L'École Nationale Supérieure d'Art de Bourges puis au Fresnoy, Studio national des arts contemporains.
Après avoir partagé les trois premiers épisodes juridiques autour du droit d'auteur, de l'IA et de contrat de vente et de commande, Cyrielle Gauvin, avocate au barreau de Paris, nous propose aujourd'hui un focus contractuel sur les relations entre les artistes et les galeries. L'occasion de dévoiler les points important pour consolider vos futures collaborations. Cyrielle vient de fonder avec son associée Lucie Tréguier, Aœdé, un cabinet spécifiquement consacré aux industries créatives et au marché de l'art. Chaque mois, les deux avocates répondront à nos questions pour approfondir six sujets liés à la photographie.
Défi remporté pour FAB Paris au Grand Palais Ephémère après le Carrousel du Louvre ! Une surface augmentée et 25% de nouveaux participants pour un total de 110 galeries. Un homme est à l'origine de ce succès : Louis de Bayser, président de FAB Paris et par ailleurs à la tête du Salon du dessin qui a su fédérer avec le SNA autour d'une réelle exigence des acteurs de grande qualité tout en maintenant une atmosphère intime et raffinée. La scénographie élégante de Sylvie Zerat dans les beiges et marrons reprend la silhouette de temples antiques pour aborder cette promenade transhistorique éblouissante.
J'ai rencontré l'artiste Thibaut Huchard à l'occasion de la 4ème édition de la Biennale de Paname au Pavillon de l'Arsenal. Il y présentait un fabuleux retable qui mêle iconographie des Primitifs flamands à des enjeux très contemporains autour des dérives de l'information : fake-news, post-vérité, théories complotistes… Une forme univoque pour décrire des phénomènes très équivoques comme il le résume. La technique est du bois gravé, de la feuille d'or travaillée au laser. C'est une première version qui en appellera une autre en volume et en couleur, précise-t-il. En termes de sources, il parle d'un « syncrétisme de références antinomiques » et recherche une liberté dans la perspective et la forme.
Au départ architecte, Margaux Desombre revient à sa vocation première : la peinture lors du confinement. Autodidacte, elle fait partie du projet Poush dès le départ et insiste sur les éléments déclencheurs et impactants de cette expérience, notamment en tant que lauréate d'une fresque murale avec Manifesto pour un immeuble de bureaux sur les quais de Seine (Primonial), livrée très prochainement. Rencontre à l'occasion de sa participation à l'exposition Matières d'être à la galerie Larock-Granoff à l'initiative de l'artiste peintre Margaux Dehry et de Gabrielle Larock, directrice de la galerie.
Après avoir partagé les deux premiers épisodes juridiques autour du droit d'auteur et des questionnements qui entourent l'intelligence artificielle, c'est Cyrielle Gauvin, avocate au barreau de Paris, qui nous propose aujourd'hui un focus contractuel autour de la vente de tirages photographiques et de commandes. L'occasion de dévoiler les points stratégiques pour assurer vos futures collaborations. Cyrielle vient de fonder avec son associée Lucie Tréguier, Aœdé, un cabinet spécifiquement consacré aux industries créatives et au marché de l'art. Chaque mois, les deux avocates répondront à nos questions pour approfondir six sujets liés à la photographie.
Fondée en 2020 par Louis Vassy, marchand d'art et Achraf Touloub, artiste, avec la volonté de repenser le format et la vocation d'une galerie autour d'un écosystème collectif basé sur la circulation d'idées, Parliament Gallery participe pour la 2ème fois à Paris + by Art Basel. Un signal fort pour cette jeune enseigne qui propose à cette occasion un solo show de la sculptrice française Charlotte Dualé qui envisage la céramique comme un nouveau langage. Léonore Larrera, directrice, revient sur les principes différenciants de Parliament et sa trajectoire personnelle nourrie de nombreux échanges avec les artistes dont Achraf Touloub.
En 2021, nous faisions la connaissance de Lucie Tréguier, avocate au barreau de Paris et co-fondatrice et présidente du Barreau des Arts, une association qui vient en aide aux artistes précaires. Aujourd'hui, Lucie vient de fonder avec son associée Cyrielle Gauvin, Aœdé, un cabinet spécifiquement consacré aux industries créatives et au marché de l'art. Chaque mois, les deux avocates répondront à nos questions pour approfondir six sujets liés à la photographie. Pour ce deuxième épisode, Lucie Tréguier nous parle du des nombreux questionnements juridiques qui entourent les photographes et l'intelligence artificielle.
La ville de Liège proche de Bruxelles, a un rapport ambivalent à la création de part un manque de soutien des institutions même si des collectionneurs et initiatives locales prennent le relais pour désenclaver la scène et la positionner à une échelle européenne. L'exposition Private Views organisée par la Boverie et son catalogue est intéressante car elle retrace les origines de ce prisme local et le rôle des collectionneurs et de certaines galeries prescriptrices qui s'exportent volontiers.
Exposition labellisée d'intérêt national, Man Ray « Le Beau temps » à La Banque, musée des cultures et du paysage d'Hyères, témoigne d'une période d'intense créativité et d'amitié dans le sud pour l'artiste, entre Antibes et la plage de la Garoupe, Mougins et Picasso et la villa cubiste du Vicomte et de la Vicomtesse de Noailles où il tourne son film « Les Mystères du Château du Dé », projeté dans l'ancienne Salle des coffres du musée. Une sorte de parenthèse enchantée avant que la guerre ne sonne le glas de l'insouciance.
En 2021, nous faisions la connaissance de Lucie Tréguier, avocate au barreau de Paris et co-fondatrice et présidente du Barreau des Arts, une association qui vient en aide aux artistes précaires. Aujourd'hui, Lucie vient de fonder avec son associée Cyrielle Gauvin, Aœdé, un cabinet spécifiquement consacré aux industries créatives et au marché de l'art. Chaque mois, les deux avocates répondront à nos questions pour approfondir six sujets liés à la photographie. Pour ce premier épisode, Lucie Tréguier nous parle du droit d'auteur.
Première exposition muséale française dédiée à l'artiste franco-vietnamienne Thu Van Tran à l'invitation d'Hélène Guenin, directrice du Musée d'art moderne et contemporain de Nice, MAMAC qui poursuit un important travail à partir de la collection du musée en résonance avec des pratiques et enjeux contemporains. Dans le prolongement d'une première invitation à l'occasion de l'exposition "Cosmogonies au gré des éléments" en 2018, cet opus révèle en profondeur les réflexions menées par l'artiste autour des fantômes de l'histoire et de la colonisation.
Première révélation publique de la Collection Benoît Doche de Laquintane à l'invitation de Véronique Collard Bovy et Jérôme Pantalacci (Fraeme, Art-o-rama) à la Friche La Belle de Mai, avec comme commissaire Thomas Boutoux. L'exposition, intitulée « Au Hasard Balthazar » en hommage au film de Robert Bresson est placée sous le régime des rencontres et d'une aventure personnelle nourrie de découvertes et de confrontations avec les galeries et la foire Art-o-rama, un élément clé comme le collectionneur le précise en préambule.
Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, la photographe Juliette Agnel qui vient de remporter le Prix Niépce et qui est actuellement exposée au festival des Rencontres d'Arles laisse la parole à Eythar Gubara, photographe soudanaise exposée en 2021 lors de l'exposition collective à Arles « Thawra! ثورة Révolution! » curatée par Juliette et Duha Mohammed. Avec sa série « Kandaka can't be stopped », Eythar Gubara a remporté la 5ème édition du Prix de la Photo Madame Figaro à Arles. Aujourd'hui, Eythar est étudiante en Allemagne.
Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, la photographe Juliette Agnel qui vient de remporter le Prix Niépce et qui est actuellement exposée au festival des Rencontres d'Arles laisse la parole à Eythar Gubara, photographe soudanaise exposée en 2021 lors de l'exposition collective à Arles « Thawra! ثورة Révolution! » curatée par Juliette et Duha Mohammed. Avec sa série « Kandaka can't be stopped », Eythar Gubara a remporté la 5ème édition du Prix de la Photo Madame Figaro à Arles. Aujourd'hui, Eythar est étudiante en Allemagne.
Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, la photographe Juliette Agnel qui vient de remporter le Prix Niépce et qui est actuellement exposée au festival des Rencontres d'Arles laisse la parole à Eythar Gubara, photographe soudanaise exposée en 2021 lors de l'exposition collective à Arles « Thawra! ثورة Révolution! » curatée par Juliette et Duha Mohammed. Avec sa série « Kandaka can't be stopped », Eythar Gubara a remporté la 5ème édition du Prix de la Photo Madame Figaro à Arles. Aujourd'hui, Eythar est étudiante en Allemagne.
Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, la photographe Juliette Agnel qui vient de remporter le Prix Niépce et qui est actuellement exposée au festival des Rencontres d'Arles laisse la parole à Eythar Gubara, photographe soudanaise exposée en 2021 lors de l'exposition collective à Arles « Thawra! ثورة Révolution! » curatée par Juliette et Duha Mohammed. Avec sa série « Kandaka can't be stopped », Eythar Gubara a remporté la 5ème édition du Prix de la Photo Madame Figaro à Arles. Aujourd'hui, Eythar est étudiante en Allemagne.
Axolotl, c'est le nom choisi par Caroline Bénichou pour sa maison d'édition. Un projet qui mûrit depuis longtemps, en parallèle de son poste de directrice de la galerie VU'. Cet amphibien assez peu connu du grand public malgré une caractéristique étonnante, celle de pouvoir régénérer n'importe quelle partie de son corps sera désormais l'emblème de ce projet éditorial et artistique photographique. Pour le lancement de son premier ouvrage « Smoke », de Michael Ackerman, en septembre prochain, toutes les planètes se sont parfaitement alignées. L'ouvrage est en appel à souscription à un prix préférentiel, dépêchez-vous, il n'y en aura pas pour tout le monde !