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Depuis Berlin, il veille sur l'héritage d'un photographe qui n'a jamais cessé de troubler le regard.Matthias Harder dirige la Fondation Helmut Newton. Il en est aussi le curateur en chef. Nommé par Helmut quelques mois avant son décès, puis accompagné par le regard de June, il orchestre depuis des années les expositions, les publications, les archives - mais surtout, il façonne une mémoire vivante. Celle de Helmut Newton, bien sûr, mais aussi celle de June Newton, Photographe elle aussi. Plus discrète, mais tout aussi précise, sous le nom d'Alice Springs, elle a construit une œuvre à part entière.On s'est retrouvés à Arles, dans la cuisine de Julia de Bierre, fondatrice de la Galerie Huit. Loin des grandes institutions, on a parlé de photographie, de regard, de pouvoir, de tendresse aussi. Et de cette ligne fine entre fascination et inconfort. Une plongée lucide dans les coulisses de la photographie contemporaine, entre passion, responsabilité et mémoire.Dans cette conversation, nous parlons longuement de ce photographe qui a bousculé les codes, imposé une esthétique aussi radicale qu'irrévérencieuse, tout autant que de la présence fondamentale d'Alice Springs.Un échange amical et généreux. Et cette intimité particulière que seule la radio permet, quand la voix devient le lieu du partage.English version :From Berlin, he watches over the legacy of a photographer who never stopped unsettling the gaze.Matthias Harder is the director and chief curator of the Helmut Newton Foundation. Appointed by Helmut just a few months before his death, and later accompanied by June's sharp eye, he has been curating exhibitions, publications, and archives for years — but above all, he has been shaping a living memory.The memory of Helmut Newton, of course — but also that of June Newton, herself a photographer. More discreet, yet equally precise. Under the name Alice Springs, she built a body of work all her own.We met in Arles, in the kitchen of Julia de Bierre, founder of Galerie Huit. Far from the major institutions, we spoke about photography, about the gaze, about power — and tenderness, too. About that delicate line between fascination and discomfort.A clear-eyed dive into the backstage of contemporary photography, where passion, responsibility and memory intertwine.In this conversation, we speak at length about a photographer who broke all the rules and carved out a style both radical and irreverent — as well as about the essential presence of Alice Springs.A warm, generous exchange. And that special intimacy only radio can offer, when the voice becomes a space for sharing.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emma, c'est un flou net. Une présence magnétique capturée dans un miroir usé.Il y a quelque chose de spectral dans cette image, comme si elle venait d'un autre temps. Un passé où l'on prenait encore le temps de se regarder. Cheveux clairs, presque délavés, regard direct mais inaccessible, Emma semble à la fois devant et derrière l'objectif. Elle tient son Mamiya RZ comme on tient une arme sacrée : avec assurance et intimité.Emma Picq est photographe. Mais ce serait trop simple de s'arrêter là.L'image chez elle est un territoire instable, une matière à éprouver, une manière de dire ce qui ne se dit pas. Elle capte la lumière lente, celle qui oblige à attendre, à respirer, à choisir. Ici, chaque photo est un engagement.Mais ce n'est pas tout. Emma est aussi la fondatrice de Borderlines Paper, un projet éditorial à part. Borderlines, c'est son espace de liberté. Une revue artisanale et indocile qu'elle construit image après image, dans le refus du bavardage visuel.Emma ne cherche pas à convaincre. Elle cherche à comprendre. Et c'est précisément ce qui rend sa parole précieuse.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une année sans concession.Pas de format.Pas de filtre.Pas de programme à vendre.Des voix. Entières.Pas retouchées.Pas marketées.Des silences qu'on laisse durer.Des regards qu'on devine derrière les mots.Ici, on ne meuble pas le vide.On l'écoute.TOKIO, ce n'est pas un média.C'est un refus.Le refus de parler vite. De parler fort. De parler pour rien.C'est un lieu.Pour ceux qui ne rentrent pas dans les cases.Pour ceux qui doutent, qui cherchent, qui racontent autrement.J'ai lancé ça seul.J'ai tenu seul.Mais je ne suis pas seul.Vous avez écouté. Vous avez relayé. Vous avez compris.Alors on continue.En marge. En ligne directe. En silence parfois.Une année sans concession.Une seule promesse :Ne jamais trahir ce qui nous lie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Les photographes Flora Elie et Jérémy Charbaut présentent l'exposition photo "Al Qahera, Le Caire, la Victorieuse" au Tetris du 12 juin au 12 juillet 2025. Elle y a vécu pendant deux ans, lui l'a visité il y a plus de 10 ans, pourtant leurs appareils se sont intéressées aux mêmes visages de travailleurs et travailleuses, aux moments suspendus et aux nuits illuminées du Caire. Partez à la rencontre d'une Egypte du quotidien, au-delà des monuments de la capitale. Dans cette interview, les deux havrais nous expliquent les raisons de leurs voyages, la construction de leur exposition et livrent quelques anecdotes liées à leurs photos. Photo : Compte Instagram de Flora Elie. Atelier de teinture traditionnel, Le Caire, Egypte, 2025. Née en 1901, cette ancienne maison de teinture située à Darb el Ahmar est toujours en activité. Ici, les artisans travaillent à la main, en trempant les fils dans de grands bains d'eau chaude, pigments et sel.
Entre deux terres, il a choisi de raconter.Il est né au cœur des Cévennes, dans une ville minière du Gard, mais son histoire commence ailleurs. À Tinghir, au sud-est du Maroc, dans une vallée qu'il n'a pas connue enfant, mais dont il portait déjà les contours en lui. Kamal Hachkar a grandi entre deux mondes. Et plutôt que de choisir, il a décidé d'en faire le fil conducteur de son travail.Historien de formation, cinéaste par nécessité, il a compris très tôt que l'Histoire ne suffit pas. Qu'il fallait aller chercher, rencontrer, creuser les silences, remettre en lumière ce que l'exil, le temps ou la peur avaient effacé. C'est ainsi qu'est né Tinghir-Jérusalem : d'un retour au pays, d'une question simple — que sont devenus les Juifs marocains qui vivaient ici ? — et d'une volonté, farouche, de tisser à nouveau ce qui fut brisé.Ce film, salué mais aussi critiqué, a réveillé des mémoires. On l'a accusé d'ouvrir des plaies, mais il n'a fait qu'y porter une lumière douce, patiente, humaine. Depuis, Kamal n'a jamais cessé de suivre cette ligne fragile entre les identités, les appartenances, les douleurs et les possibles.En 2019, il réalise Dans tes yeux, je vois mon pays, un film traversé par la musique, le retour et l'émotion pure. On y suit Neta Elkayam et Amit Haï Cohen, deux artistes israéliens d'origine marocaine, qui reviennent au Maroc pour faire résonner la langue, les chants, les gestes enfouis dans leur enfance. Le film est une déclaration d'amour à une culture vivante, une tentative poétique de recomposer les liens, au-delà de l'exil et de la politique.Ce n'est pas un film sur la nostalgie. C'est un film sur la promesse. Celle que la mémoire n'est pas une fin, mais un début. Que la création peut être un pont, qu'un chant peut encore réunir ce que les histoires officielles ont séparé.En décembre 2024, Kamal présentait ce film aux États-Unis, devant une salle pleine au cœur de la Nouvelle-Orléans. Preuve que ses récits trouvent écho bien au-delà des frontières. Parce qu'au fond, ils nous parlent tous. De ce qu'on perd. De ce qu'on cherche. De ce qu'on peut encore retrouver.Son cinéma est une traversée. Une manière d'habiter le monde avec plus de nuance, plus de lien. À une époque saturée de récits simplistes, Kamal Hachkar continue de tendre l'oreille. Et c'est pour ça qu'on l'écoute.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
⚡️Caio Rosa est une voix montante de la photographie contemporaine brésilienne.À travers une approche artistique profondément engagée, il offre une perspective singulière sur les identités afro-brésiliennes et les héritages culturels.Son travail mêle techniques photographiques traditionnelles et éléments graphiques – dessins, écrits, cartes affectives – pour inventer de nouvelles formes de représentation du corps et de la culture noire. Chaque image devient un espace de résistance et de réinvention, où l'intime dialogue avec le politique.Issu du quartier de Praça Seca à Rio de Janeiro, Caio puise dans son environnement et son héritage une matière vive, traversée de spiritualité. Il interroge les classifications imposées par les récits occidentaux, et tisse des liens entre mémoire, territoire et imagination.Artiste pluriel, il explore aussi la musique en tant que DJ, en particulier les rythmes sud-africains Gqom et Amapiano, prolongeant ainsi sa recherche esthétique dans le champ sonore.Caio est né à Rio de Janeiro. Il vit au Brésil.( Émission en anglais )⚡️Caio Rosa é uma voz emergente da fotografia contemporânea brasileira.Com uma abordagem artística profundamente comprometida, ele oferece uma perspectiva única sobre as identidades afro-brasileiras e os legados culturais.Seu trabalho combina técnicas fotográficas tradicionais com elementos gráficos — desenhos, textos, mapas afetivos — para inventar novas formas de representação do corpo e da cultura negra. Cada imagem se torna um espaço de resistência e reinvenção, onde o íntimo dialoga com o político.Nascido no bairro de Praça Seca, no Rio de Janeiro, Caio extrai de seu ambiente e de sua herança uma matéria viva, atravessada pela espiritualidade. Ele questiona as classificações impostas pelas narrativas ocidentais e entrelaça memória, território e imaginação.Artista plural, também explora a música como DJ, especialmente os ritmos sul-africanos Gqom e Amapiano, ampliando sua pesquisa estética para o campo sonoro.Caio nasceu no Rio de Janeiro. Vive e trabalha no Brasil.⚡️ Caio Rosa is a rising voice in contemporary Brazilian photography.Through a deeply committed artistic approach, he offers a unique perspective on Afro-Brazilian identities and cultural legacies.His work blends traditional photographic techniques with graphic elements—drawings, writings, affective maps—to invent new forms of representation for the Black body and culture. Each image becomes a space of resistance and reinvention, where the intimate dialogues with the political.Born in the neighborhood of Praça Seca in Rio de Janeiro, Caio draws from his surroundings and heritage a living material, imbued with spirituality. He questions the classifications imposed by Western narratives and weaves connections between memory, territory, and imagination.A multifaceted artist, he also explores music as a DJ, particularly the South African rhythms of Gqom and Amapiano, extending his aesthetic research into the sonic realm.Caio was born in Rio de Janeiro. He lives and works in Brazil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À première vue, Mehdi Bentahila est photographe. Et entrepreneur. Il capte des regards, des lumières, des paysages. Il cofonde des lieux, lance des idées, accompagne d'autres à faire naître les leurs. Mais ce serait réducteur.Mehdi est un tisseur de liens, il ne sépare jamais le sensible de l'engagement. Il crée pour relier, il entreprend pour rapprocher.Quand certains cherchent la lumière. D'autres la fabriquent. Mehdi Bentahila est de ceux-là.Dans cet épisode on parle de trajectoire, d'intuition et de conviction. On parle de transmission, de vulnérabilité, d'ancrage dans un territoire et de la nécessité de bâtir des projets qui ont du sens.On y parle surtout de ce qui ne se délègue pas. Le feu intérieur.Un épisode pour celles et ceux qui savent que créer, ce n'est pas montrer. C'est révéler.Mixage par le studio Revolver.Animateur et producteur Boris Pierre.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Collaboration commerciale Vous êtes photographe ? Découvrez Lumys Photo et Lumys Scolaire, les solutions idéales pour partager vos photos avec vos clients en toute simplicité. Une entreprise française à taille humaine, basée à Nantes, qui vous accompagne tout au long de votre carrière. Plus d'infos sur https://lumys.photo/ et https://lumys-scolaire.photo/Dans cet épisode avec Jérôme Sevrin et David Morinière, on est revenu sur les transformations majeures que le secteur de la photographie social a connues au cours de la dernière décennie. Ils nous expliquent comment Lumys a su s'adapter à ces changements en proposant des solutions qui répondent aux besoins des photographes, qu'il s'agisse de la gestion des galeries en ligne ou de l'accompagnement dans la diversification des activités. On a également parlé d'intelligence artificielle et de l'importance de l'accompagnement pour les photographes qui souhaitent développer leur carrière et vivre de la photographie. Bonne écoute !00:01:21 - Jérôme Sevrin présente les plateformes de Lumys00:04:25 - Le parcours de Jérôme et la création de Lumys00:12:40 - Les évolutions de Lumys pour s'adapter aux besoins des photographes du social00:17:03 - Le développement du support client et le rôle de David Morinière00:31:15 - Vision et mission de Lumys00:48:00 - Concurrence et fragmentation du marché et la difficulté pour les photographes d'avoir une approche commerciale01:02:35 - L'utilisation de l'IA chez Lumys01:09:15 - Leurs conseils pour les photographesLe site de Lumys Photo : https://lumys.photo/Le site de Lumys Scolaire : https://lumys-scolaire.photo/Mon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
30ème émission de TOKIO radio, toujours et encore des rencontres fabuleuses, des conversations qui s'étirent jusqu'aux étoiles
Grande Conversation 2025 - FEMMES (in)VISIBLES #2 Le regard des femmes photographes - partie 1
Grande Conversation 2025 - FEMMES (in)VISIBLES #2 Le regard des femmes photographes - partie 2
Collaboration commerciale Vous êtes photographe ? Découvrez Lumys Photo et Lumys Scolaire, les solutions idéales pour partager vos photos avec vos clients en toute simplicité. Une entreprise française à taille humaine, basée à Nantes, qui vous accompagne tout au long de votre carrière. Plus d'infos sur https://lumys.photo/ et https://lumys-scolaire.photo/Dans cet épisode, nous discutons avec Wilfrid Esteve, enseignant, producteur, photographe et président de l'agence Hans Lucas. Nous explorons sa carrière riche et variée dans le milieu de la photographie documentaire et du photojournalisme et ses réflexions sur ces secteurs. Wilfrid nous parle de ses débuts, de son parcours en tant que photographe indépendant, et de son engagement dans diverses structures et associations professionnelles tels que l'ANJRPC, Freelens et l'UPP. Il partage également ses expériences en tant qu'enseignant et ses projets actuels, notamment les rencontres photographiques "Face à la mer" de Tanger et le festival qui en découle qui aura lieu à Carcassonne en mai 2025. Bonne écoute !1'40 – Différence entre photojournalisme et photographie documentaire : objectivité vs subjectivité, temps court vs temps long.5'50 – Son enfance à Carcassonne, influencée par le cinéma plus que par la photographie.10'15 – Débuts en autodidacte, assistant de Yann Morvan.10'40 – Engagement associatif : NJRPC, Freelens, UPP pour défendre les droits des photographes.17'40 – Lancement de Transmission pour former les photojournalistes aux réalités du métier.30'10 – Création des Rencontres "Face à la mer" à Tanger par Yamna Mostefa pour soutenir les photographes du Sud méditerranéen.34'50 – Photodoc, une foire dédiée à la photographie documentaire et sa particularité.41'00 – Lancement du festival photo à Carcassonne en mai dans la continuité des rencontres "Face à la mer" de Tanger.54'00 – Expansion de Hans Lucas et rôle de la plateforme pour les photographes indépendants.1'04'30 – Son regard sur l'évolution du photojournalisme : plus de possibilités de financement, mais nécessité d'être créatif.Instagram de Wilfrid Esteve : https://www.instagram.com/wilfrid_esteve/Le site des Rencontres "Face à la mer" : https://rencontres-facealamer.com/Mon site d'éditrice indépendante : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On croit souvent que les objets sont inertes, qu'ils ne sont que des outils, des extensions de nos désirs, de nos gestes. Mais certains d'entre eux portent en eux une mémoire, une intensité presque mystique.Les appareils photo font partie de ceux-là
Anne de Henning, photographe française née en 1945 a commencé sa carrière en tant que photo-reporter au Vietnam en guerre. Ses photographies et articles ont été publiés dans National Geographic, Paris Match, Le Monde,Vogue, Elle, Bunte, New York Times, The Observer.
En 1939, Ruth Orkin a 17 ans, elle traverse seule les Etats-Unis entre Los Angeles et New York, en car, en train, ou en auto stop, accompagnée de sa bicyclette qu'elle utilise pour parcourir les villes. Elle réalise près de 350 photographies : des vues urbaines, beaucoup d'autoportraits et des compositions.
Martine Franck est née en 1938, à Anvers. En 1956 elle commence des études d'histoire de l'art à l'école du Louvre. En 1964, de retour à Paris d'un voyage d'une année en Extrême-Orient avec son amie d'enfance Ariane Mnouchkine, elle travaille pour Time-life. C'est le début d'une grande carrière pour les agences Vu, Viva, l'agence Magnum pour laquelle elle commence un travail sur les droits de la femme en 1993.
Christina Broom née à Londres, en 1862, est considérée comme la première femme photographe de presse du Royaume-Uni. C'est à l'âge de 40 ans que commence sa carrière. En 1903, elle emprunte un appareil pour photographier le prince et la princesse de Galles inaugurant les nouveaux tramways à Westminster.Inspirée par ses résultats, elle emporte un appareil photo à Epsom le jour du Derby, et photographie le cheval qui gagne la course. Elle se rend compte que la photographie est un moyen de gagner sa vie.
L'un des derniers romantiques du cinéma.En 1988, Le Grand Bleu fait de Jean-Marc Barr une icône instantanée, un mythe, à 28 ans.Son regard perdu dans l'infini,Sa beauté transcendante,et son lien presque mystique avec l'océan marquent à jamais le public.À Hollywood, on le courtise, mais lui prend une autre voie, loin du star-system. Jean-Marc Barr emprunte les chemins de traverse, nage à contre-courant et vit son cinéma.Avec Lars von Trier, il tourne Europa, puis s'embarque dans l'aventure Dogma 95, un mouvement cinématographique révolutionnaire qui bouleverse le cinéma indépendant. Il réalise son premier long-métrage, Lovers, avec l'actrice Élodie Bouchez, caméra à la main.Ce mouvement a forcé les réalisateurs à réinventer leur manière de raconter une histoire, en se débarrassant des artifices hollywoodiens, pour revenir à l'essence du cinéma : l'émotion pure.Ce qui frappe chez lui, c'est cette quête de liberté inconditionnelle. Il refuse les facilités du métier, préférant des rôles exigeants, un cinéma brut, une recherche artistique sans compromis.Dans un monde où le cynisme l'emporte souvent, Jean-Marc Barr incarne encore une forme de romantisme. Pas au sens mièvre du terme, mais dans cette capacité à croire en la beauté, en l'art comme espace de vérité et de liberté.Écouter Jean-Marc Barr, c'est plonger dans un autre temps.
Il y a des artistes que l'on reconnaît à leur visage, d'autres à leur voix, certains encore à une posture, une façon d'occuper l'espace. Jean-Marc Barr, lui, se distingue par son esprit. Un souffle de liberté qui traverse chacun de ses choix, qu'ils soient artistiques, personnels ou existentiels. Si vous croyez encore que la célébrité impose des compromis, il suffit d'observer son parcours pour comprendre qu'il incarne tout l'inverse : un refus du conformisme, une quête de vérité, une nécessité d'être soi – coûte que coûte.Il est impossible d'évoquer Jean-Marc Barr sans penser à Le Grand Bleu. Le film culte de Luc Besson l'a propulsé sur le devant de la scène, gravant à jamais son visage dans la mémoire collective. Pourtant, si d'autres auraient pu s'installer confortablement dans la lumière, il a choisi une autre route. Là où certains voient une carrière toute tracée, lui perçoit une cage dorée. Son esprit de liberté l'a poussé à refuser les rôles formatés, les productions sans âme, et à s'orienter vers un cinéma plus exigeant, plus intime.Le cinéma de Jean-Marc Barr est un territoire d'exploration. Il travaille avec des réalisateurs audacieux comme Lars von Trier, devenant un fidèle compagnon de route du Dogme 95. Europa, Breaking the Waves, Dancer in the Dark : des œuvres radicales qui témoignent d'une prise de risque permanente. Il ne joue pas, il habite ses rôles, s'effaçant derrière des personnages tourmentés, marginaux, écorchés. Son choix d'alternance entre cinéma d'auteur et production plus grand public prouve qu'il n'a jamais renié ses idéaux. Il ne se laisse pas enfermer dans une case, car il refuse l'idée même du moule.Jean-Marc Barr est le plus Européen des Américains, il oscille entre plusieurs cultures, plusieurs langues, et c'est peut-être cette hybridité qui nourrit son insatiable besoin de mouvement. Il est aussi réalisateur, scénariste, photographe, explorant sans cesse de nouveaux médiums pour exprimer sa vision. Dans sa filmographie, comme dans sa vie, il y a cette constante : une indépendance farouche. Il se tient loin des mondanités, des calculs stratégiques, des postures factices. Là où beaucoup cherchent à plaire, lui cherche à être.Dans Lovers, film qu'il a lui-même réalisé, il explore la sensualité avec une liberté totale, sans artifice ni tabou. Cette approche du corps comme un langage, comme un territoire d'expression, rappelle que la vraie liberté, c'est d'assumer qui l'on est, dans toute sa vulnérabilité. Ce regard sans fard, il l'applique aussi à son engagement : parler quand il le faut, se taire quand c'est nécessaire, mais toujours avec une forme d'honnêteté qui fait écho à son jeu d'acteur.Dans un monde où l'uniformisation menace l'authenticité, Jean-Marc Barr demeure une figure précieuse, un repère. Il nous rappelle qu'il est encore possible de choisir une autre voie, de privilégier l'essence à l'apparence, de refuser les compromis stériles. Sa carrière est un manifeste : celui d'un homme qui n'a jamais cessé de suivre son propre courant, envers et contre tout.Jean-Marc Barr ne joue pas à être libre. Il l'est.
« Qui est vraiment Boris Pierre ? Depuis le début de TOKIO radio, il questionne, il écoute, il explore. Mais cette fois, les rôles s'inversent. Guy Birenbaum mène l'entretien. Un échange sincère, sans filtre.Une conversation pour mieux comprendre la voix derrière TOKIO radio. »
Pour la 100ème de Jumpseat, Fred Marsaly reçoit Xavier Méal et Rémy Michelin des photographes aéro de talent pour parler de leur expérience et de leurs parcours, de leurs photos marquantes, qu'elles soient réussies ou ratées !On remercie le Fana de nous avoir accueilli dans leurs locaux : https://boutiquelariviere.fr/magazine/aviation-et-modelisme/fana-de-l-aviation/00:00 Intro00:01:09 Rémy Michelin, photographe aéronautique00:02:33 La naissance d'une passion00:09:54 Xavier Méal, journaliste et photographe aéronautique00:13:40 Apprendre le métier en agence par Rémy Michelin00:15:50 les grenouilles de Roland Garros00:18:44 la claque "De Plumes et de Fer" 00:23:23 Xavier Méal et ses "Avions de Rêve" 00:28:42 L'importance du « matos » photo00:32:04 Canon ou Nikon ?00:35:43 « Air to Air » avec 4 avions de la Sécurité Civile par Rémy Michelin00:38:48 Les avions utilisés pour les vols photo00:41:02 Rémy Michelin en vol et face à la Patrouille de France 00:49:21 Me 262, MiG-15 et F-86, le trio de Melun par Xavier Méal00:51:47 Organisation d'un vol photo, l'importance de la préparation.00:58:49 6 DC-3 devant mon objectif par Xavier Méal01:05:05 Rémy Michelin : les risques du métier ou comment je me suis fait doucher par un Canadair !01:13:40 Le Rafale Solo Display, une histoire d'amitié par Rémy Michelin01:18:20 Se lancer dans le métier aujourd'hui01:22:11 photographier deux Mirage 2000 à Djibouti 01:24:11 Le noir et blanc à l'heure du numérique, un choix d'artiste(s)01:25:10 "photographier au 1200mm !" 01:29:30 « Ondes de choc », tir canon en Mirage 2000 par Rémy Michelin01:31:20 un presque raté, La P.A.F au-dessus de Carcassonne01:38:28 Un DC-3 sur la dune du Pilat par Xavier Méal01:39:47 Patrouille mixte, P-51 Mustang et Rafale Marine01:42:28 Météo changeante : Les Mirage 2000 de la patrouille « Gusto » 01:43:34 « Carlingues », le nouveau livre de Rémy Michelin01:46:10 avions de rêves et d'exception par Xavier MéalRetrouvez #Jumpseat tous les mardis midi en direct sur #twitch :https://www.twitch.tv/jumpseat_abz-----Retrouvez-nous :Sur https://aerobuzz.frSur Twitch : https://www.twitch.tv/jumpseat_abzSur Tiktok : https://www.tiktok.com/@jumpseat_abzSur Twitter : https://twitter.com/AeroBuzzfrSur Instagram : https://www.instagram.com/jumpseat_abz/Sur Facebook : https://www.facebook.com/Aerobuzz.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Charles Comiti, Réalisateur intransigeant : filmer l'Ukraine sous les bombesRéaliser des documentaires en zone de guerre est un métier aussi exigeant que périlleux. Pour Charles Comiti, ce n'est pas seulement un métier : c'est une vocation, un engagement profond pour raconter ce que d'autres préfèrent ignorer. Depuis les premiers jours de l'invasion russe en Ukraine, ce réalisateur arpente les ruines, les tranchées et les lignes de front pour saisir l'âme d'un peuple en résistance.De Kharkiv à Bakhmout, il filme les regards, les gestes et les choix impossibles d'une jeunesse prise au piège. Une collégienne gratte les cordes d'une guitare, assise sur un monceau de ruines, défiant l'effondrement. Un couple danse sur une place vide, comme pour s'accrocher à une normalité perdue. Un jeune homme évacue sa rage en frappant une porte : « On a le choix entre l'amour et la guerre, et on choisit la guerre ! » Certains s'engagent, d'autres fuient la conscription. Tous témoignent d'un combat quotidien entre l'aspiration à la vie et la brutalité de la guerre.Malgré les difficultés financières – le manque de sponsors, la rareté des commandes et une industrie frileuse face aux sujets sensibles – Charles poursuit son travail avec une intégrité inébranlable. Refusant tout compromis, il capte la vérité au plus près, donnant une voix à ceux que la guerre tente de réduire au silence.Dans un monde où le métier de journaliste et de réalisateur documentaire est de plus en plus remis en question, Charles Comiti incarne l'exigence et la vérité. Indomptable et intransigeant, il est l'un de ces rares observateurs qui osent encore aller au bout de leur engagement, quoi qu'il en coûte.
Tu passes du temps sur Instagram, mais les résultats ne sont pas au rendez-vous ? Dans cet épisode, je te parle de ces erreurs que tu fais peut-être sans t'en rendre compte, et qui t'empêchent d'attirer tes clients de rêve. Reste jusqu'à la fin, car ces conseils pourraient bien changer ta façon d'utiliser Instagram pour ton business photo ! ✍
Dans cet épisode, je te parle du syndrome de l'imposteur que beaucoup de photographes ressentent, peu importe leur niveau. Je t'explique pourquoi ça arrive et je te partage mes conseils pour avancer avec confiance. ✍
durée : 00:06:30 - Dans l'objectif des photographes de musiciens - par : Sofia Anastasio - Photos de concerts, instantanés de coulisses, portraits, ou encore pochettes d'album, nous sommes allés à la rencontre de photographes qui immortalisent les artistes derrière leurs objectifs.
Connaissez-vous Antoine de Galbert, l'homme qui réinvente notre rapport à l'art ?Visionnaire, collectionneur et mécène, Antoine de Galbert ne se contente pas de suivre les sentiers balisés de la création.Il les détourne, les recompose et les transcende. Cet ancien galeriste, fondateur de La Maison Rouge à Paris, a marqué durablement le paysage de l'art contemporain en offrant un espace où identité, mémoire et marginalité se rencontrent et dialoguent.Sa collection, débutée dans les années 1980, échappe aux codes habituels. « Je collectionne avec mes tripes », aime-t-il dire, révélant une approche instinctive et passionnée. Ses choix ne répondent ni aux modes ni aux spéculations du marché. Ils traduisent une quête : celle de l'inattendu, du brut, du viscéral.La Maison Rouge, ouverte en 2004, fut bien plus qu'un lieu d'exposition. Elle incarnait un laboratoire d'idées, un espace d'expérimentation où l'art se faisait rébellion et introspection. Aujourd'hui, l'engagement d'Antoine de Galbert demeure intact. Son soutien aux projets artistiques est porté par une vision unique et profondément humaine.Mais au-delà de ses initiatives, Antoine de Galbert intrigue. Qui est cet homme qui fait de l'art une quête existentielle, une manière de bouleverser nos certitudes tout en reliant les âmes ?Sa démarche, empreinte d'audace et de poésie, invite chacun à explorer les marges où naissent les plus grandes inspirations.Et si vous preniez le temps de découvrir cet homme qui refuse de se laisser enfermer dans les cadres habituels ?À travers son histoire, c'est une autre façon de voir le monde qui s'offre à vous. Une vision, peut-être, qui changera la vôtre.
Photographes, musiciens, artistes, journalistes, présidents, peintres… Ils sont nombreux et nombreuses à avoir été décorés de l'Ordre des Arts et des Lettres en France, depuis la création de l'insigne en 1957. Au total, 960 croix des Arts et des Lettres sont décernées chaque année par le Ministère de la Culture. Parmi les récipiendaires historiques on peut citer Marcel Pagnol, Céline Dion ou Jean-Paul Belmondo. Mais l'insigne n'est pas réservée qu'à un style de culture, des rappeurs ont aussi été récompensés. Mais ça veut dire quoi, être décoré de l'Ordre des Arts et des Lettres ? Alors, quels rappeurs ont été décorés ? Et ça apporte quoi, ces récompenses ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. Première diffusion : 26 avril 2023. A écouter aussi : Pourquoi les fauteuils au cinéma sont-ils rouges ? Quels sont les albums les plus polémiques ? Quelles sont les légendes du Mont Saint-Michel ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les jours sont désormais comptés. Vendredi prochain, Emmanuel Macron se rendra une dernière fois sur le chantier de Notre-Dame de Paris. Puis, à la fin de la semaine prochaine, les 7 et 8 décembre, un grand moment de fête marquera la réouverture de la cathédrale parisienne au culte et aux visiteurs. Les yeux du monde entier seront tournés vers cet édifice emblématique et vers l'incroyable prouesse des artisans, qui ont réussi à rebâtir Notre-Dame en moins de cinq ans. Romaric Toussaint et David Bordes, photographes, ont documenté ces cinq années de reconstruction de la cathédrale.
Vous souvenez-vous du film « Skyfall » ? De cette scène où James Bond affronte Javier Bardem sur une île mystérieuse à l'atmosphère post-apocalyptique ?Cette île japonaise, Hashima, est un lieu fascinant à la beauté brute, où la nature commence doucement à se réinstaller parmi les structures bétonnées, vestiges d'une civilisation abandonnée.Depuis plus de cinquante ans, le cinéma puise son inspiration dans ces lieux où la nature a repris ses droits. Ces espaces, envahis par le végétal, traduisent une tension profonde entre civilisation et forces naturelles, tout en interrogeant notre rôle dans la destruction des écosystèmes et la résilience de ces derniers face aux perturbations humaines.L'artiste que je vous présente poétise le temps à travers ses œuvres : un véritable Chronopoète.Ses photographies capturent l'impermanence des créations humaines face à la force implacable de la nature. Chaque image raconte une histoire : celle d'un passé oublié et d'un futur où la nature reprend son trône. À travers ses clichés, il nous rappelle que, face à l'éphémère de nos constructions, seule la nature demeure le maître du temps.Jonk est l'un des pionniers de cette quête. Il parcourt le monde à la recherche de ces vestiges vivants, réensauvagés par la végétation, avec un profond respect pour chaque lieu qu'il immortalise.Celui que je nomme « le Calligraphe du temps perdu » sublime la beauté fragile du passage du temps, offrant une vision où la nature et l'histoire s'entrelacent dans une harmonie poignante.La photographie des lieux abandonnés où la nature reprend ses droits est bien plus qu'un simple exercice esthétique. C'est une discipline à la croisée de l'art, de l'histoire et de l'écologie.Ces images fascinantes révèlent la lente reconquête du vivant sur les vestiges de la civilisation humaine, offrant un regard à la fois mélancolique et inspirant sur le passage du temps et la résilience de la nature.
La rencontre affaires avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:05:25 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Alors que le biopic de Lee Miller vient de sortir en France, un peu d'exploration dans la mémoire de notre musique populaire nous rappelle l'importance majeure du photographe Robert Doisneau.
Nous sommes le 4 septembre 1944, à Charleroi. Sur l'un des nombreux clichés pris ce jour-là par les photographes, anonymes ou non, dans la foule qui laisse éclater sa joie de vivre la liberté retrouvée, on peut voir un couple. Deux jeunes gens, le visage illuminé d'un large sourire. Il est américain, les cheveux ondulés, la peau qui semble recouverte de poussière, elle est wallonne. Elle aussi a les cheveux ondulés. Elle a mis du rouge à lèvres. Vraisemblablement, ils ne se connaissent pas, ne parlent pas la même langue. Leur regard se tournent vers nous qui les observons. Ils communient dans l'émotion de la Libération. Elle a sa main discrètement posée sur l'épaule de celui qui, parmi beaucoup d'autres, a fait renaitre l'espoir des populations traumatisées. Regard, aujourd'hui, sur la Wallonie libérée… Invités : Alain Colignon, chercheur au CegeSoma (Centre d'Etudes et de Documentation Guerre et Sociétés contemporaines) et Mélanie Bost, chercheuse associée à l'Ecole royale militaire. « La Wallonie libérée » éditions Renaissance du Livre. Sujetes traités : Wallonie, Charleroi, libération, photographes, émotion, Deuxième Geurre Mondiale Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:59:23 - Toute une vie - Celui que l'on surnomme "l'œil de Paris", amoureux de la Capitale, saura la voir comme personne ! D'ailleurs, il ne la voit pas, il la regarde avec passion et la fixera à jamais sur la pellicule.
durée : 00:59:25 - Toute une vie - Navigant dans le New-York underground des années 1970, Robert Mapplethorpe a photographié des visages du show business, des corps sculpturaux, des figures sado-masochistes, choquant et fascinant tout à la fois ses contemporains. - invités : Michael Ward Stout Avocat et ami. Aujourd'hui à la tête de la Fondation Robert Mapplethorpe à New York.; Judith Benhamou - Huet Journaliste sprécialiste de l'art et le marché de l'art aux « Echos » et au « Point »; Jean-Charles De Castelbajac Styliste et créateur de mode, ami de Vivienne Westwood; Hélène Pinet Chargée des collections de photographies du Rodin à Paris.; Judith Judith Childs Habitante du Chelsea Hôtel.; Bob Collacello Journaliste, rédacteur en chef de Vanity Fair.; Edmund White Ecrivain
durée : 00:01:32 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - 80 secondes consacrées ce matin à 25 photographes japonaises visibles dans une exposition, "Quelle joie de vous voir". Un complément et un contrepoint nécessaires aux narratifs établis de l'histoire de la photographie du Japon.
durée : 00:58:57 - Toute une vie - Admiré pour avoir fait basculer la photo de mode dans une dimension narrative, Guy Bourdin aimait créer des énigmes. Glamour, inquiétantes, et sans doute engendrées par celles qui ont jalonné, de façon accidentelle, sa propre vie.
durée : 00:59:31 - Toute une vie - Le nom de Dora Maar est inextricablement lié à sa relation amoureuse avec Picasso. Mais Dora Maar, c'est surtout le combat d'une femme qui a toujours cherché à s'affranchir, à la recherche d'elle-même et de son art propre, celui de la peinture et de la photographie. - invités : Victoria Combalia Historienne et critique d'art espagnole, biographe de Dora Maar; Brigitte Benkemoun Journaliste et écrivaine; Anne Carpentier Fondatrice et directrice de la Galerie La marchande des 4 saisons; Damarice Amao Historienne de l'art et commissaire d'exposition; Jérôme de Staël Photographe; Gwen Strauss Directrice-administratrice de la Maison Dora Maar à Ménerbes; Marcel Fleiss Fondateur de la galerie 1900-2000 à Paris
durée : 00:59:02 - Toute une vie - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - Présenté dès le début de la guerre d'Espagne comme « le plus grand photojournaliste du monde », Robert Capa est une légende qui n'a cessé d'être investie par la fiction. - invités : Robert Delpire; Françoise Denoyelle Historienne; Bernard Lebrun Grand reporter
durée : 00:59:53 - Toute une vie - par : Perrine Kervran - Celle que l'on surnommait "La Castiglione", que l'on connaît pour avoir été l'une des maitresses de Napoléon III, a surtout été en secret une artiste qui a peut-être inventé la performance et l'autofiction photographique. Voici le récit de la vie et des œuvres de "la plus belle femme de son siècle". - invités : Marie Robert Professeure de lettres et de philosophie et autrice française; Françoise Heilbrun Auteur, conservateur en chef au musée d'Orsay; Philippe Thiébaut; Marianne Nahon; Nathalie Léger Directrice de l'IMEC, romancière.; Charles-Eloi Vial Archiviste-paléographe, conservateur au département des Manuscrits de la BNF
Joséphine est une artiste et elle expose aujourd'hui son travail dans le monde entier. Ses photos nous transportent et nous ramènent à des souvenirs heureux. Dans cet extrait Joséphine nous raconte qu'il ne faut pas avoir peur de déplaire, au contraire, il vaut oser se tromper pour s'accomplir pleinement.Retrouvez l'épisode complet dimanche soir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec ces artistes, on a parlé de la représentation des corps noirs en France, d'utiliser l'art pour se réapproprier son identité et raconter son histoire, de liberté et bien plus encore... On vous laisse découvrir tout ça produit en collaboration avec @the_ocus
Little Talk in Slow French : Learn French through conversations
"The Two Greatest French Photographers" Transcription : https://www.patreon.com/posts/84396254 If you like my podcast, please consider becoming a Patreon :-) https://www.patreon.com/talkslowfrench/membership
durée : 00:58:58 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Dans quelle mesure les œuvres de Bernd et Hilla Becher constituent-elles des témoignages de l'industrie allemande et de son déclin progressif au cours du XXe siècle ? - invités : Hervé Joly Historien et directeur de recherche au CNRS au Laboratoire Triangle; Françoise Haon Historienne de l'art
durée : 00:59:39 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Qu'est-ce que le regard photographique de Willy Ronis nous dit de l'histoire du Front populaire ? - invités : Danielle Tartakowsky Historienne, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis, spécialiste des mouvements sociaux; Tangui Perron Historien, chercheur associé au Centre d'histoire sociale et des mondes contemporains (Paris I et CNRS)
durée : 00:59:03 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Dans quelle mesure les photographies de Dorothea Lange constituent-elles un témoignage de l'Amérique en crise des années 1930 ? - invités : Emmanuel Didier Sociologue, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l'ENS; Pia Viewing Commissaire-chercheuse au Musée du Jeu de Paume