POPULARITY
⚡️Caio Rosa est une voix montante de la photographie contemporaine brésilienne.À travers une approche artistique profondément engagée, il offre une perspective singulière sur les identités afro-brésiliennes et les héritages culturels.Son travail mêle techniques photographiques traditionnelles et éléments graphiques – dessins, écrits, cartes affectives – pour inventer de nouvelles formes de représentation du corps et de la culture noire. Chaque image devient un espace de résistance et de réinvention, où l'intime dialogue avec le politique.Issu du quartier de Praça Seca à Rio de Janeiro, Caio puise dans son environnement et son héritage une matière vive, traversée de spiritualité. Il interroge les classifications imposées par les récits occidentaux, et tisse des liens entre mémoire, territoire et imagination.Artiste pluriel, il explore aussi la musique en tant que DJ, en particulier les rythmes sud-africains Gqom et Amapiano, prolongeant ainsi sa recherche esthétique dans le champ sonore.Caio est né à Rio de Janeiro. Il vit au Brésil.( Émission en anglais )⚡️Caio Rosa é uma voz emergente da fotografia contemporânea brasileira.Com uma abordagem artística profundamente comprometida, ele oferece uma perspectiva única sobre as identidades afro-brasileiras e os legados culturais.Seu trabalho combina técnicas fotográficas tradicionais com elementos gráficos — desenhos, textos, mapas afetivos — para inventar novas formas de representação do corpo e da cultura negra. Cada imagem se torna um espaço de resistência e reinvenção, onde o íntimo dialoga com o político.Nascido no bairro de Praça Seca, no Rio de Janeiro, Caio extrai de seu ambiente e de sua herança uma matéria viva, atravessada pela espiritualidade. Ele questiona as classificações impostas pelas narrativas ocidentais e entrelaça memória, território e imaginação.Artista plural, também explora a música como DJ, especialmente os ritmos sul-africanos Gqom e Amapiano, ampliando sua pesquisa estética para o campo sonoro.Caio nasceu no Rio de Janeiro. Vive e trabalha no Brasil.⚡️ Caio Rosa is a rising voice in contemporary Brazilian photography.Through a deeply committed artistic approach, he offers a unique perspective on Afro-Brazilian identities and cultural legacies.His work blends traditional photographic techniques with graphic elements—drawings, writings, affective maps—to invent new forms of representation for the Black body and culture. Each image becomes a space of resistance and reinvention, where the intimate dialogues with the political.Born in the neighborhood of Praça Seca in Rio de Janeiro, Caio draws from his surroundings and heritage a living material, imbued with spirituality. He questions the classifications imposed by Western narratives and weaves connections between memory, territory, and imagination.A multifaceted artist, he also explores music as a DJ, particularly the South African rhythms of Gqom and Amapiano, extending his aesthetic research into the sonic realm.Caio was born in Rio de Janeiro. He lives and works in Brazil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À première vue, Mehdi Bentahila est photographe. Et entrepreneur. Il capte des regards, des lumières, des paysages. Il cofonde des lieux, lance des idées, accompagne d'autres à faire naître les leurs. Mais ce serait réducteur.Mehdi est un tisseur de liens, il ne sépare jamais le sensible de l'engagement. Il crée pour relier, il entreprend pour rapprocher.Quand certains cherchent la lumière. D'autres la fabriquent. Mehdi Bentahila est de ceux-là.Dans cet épisode on parle de trajectoire, d'intuition et de conviction. On parle de transmission, de vulnérabilité, d'ancrage dans un territoire et de la nécessité de bâtir des projets qui ont du sens.On y parle surtout de ce qui ne se délègue pas. Le feu intérieur.Un épisode pour celles et ceux qui savent que créer, ce n'est pas montrer. C'est révéler.Mixage par le studio Revolver.Animateur et producteur Boris Pierre.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Collaboration commerciale Vous êtes photographe ? Découvrez Lumys Photo et Lumys Scolaire, les solutions idéales pour partager vos photos avec vos clients en toute simplicité. Une entreprise française à taille humaine, basée à Nantes, qui vous accompagne tout au long de votre carrière. Plus d'infos sur https://lumys.photo/ et https://lumys-scolaire.photo/Dans cet épisode avec Jérôme Sevrin et David Morinière, on est revenu sur les transformations majeures que le secteur de la photographie social a connues au cours de la dernière décennie. Ils nous expliquent comment Lumys a su s'adapter à ces changements en proposant des solutions qui répondent aux besoins des photographes, qu'il s'agisse de la gestion des galeries en ligne ou de l'accompagnement dans la diversification des activités. On a également parlé d'intelligence artificielle et de l'importance de l'accompagnement pour les photographes qui souhaitent développer leur carrière et vivre de la photographie. Bonne écoute !00:01:21 - Jérôme Sevrin présente les plateformes de Lumys00:04:25 - Le parcours de Jérôme et la création de Lumys00:12:40 - Les évolutions de Lumys pour s'adapter aux besoins des photographes du social00:17:03 - Le développement du support client et le rôle de David Morinière00:31:15 - Vision et mission de Lumys00:48:00 - Concurrence et fragmentation du marché et la difficulté pour les photographes d'avoir une approche commerciale01:02:35 - L'utilisation de l'IA chez Lumys01:09:15 - Leurs conseils pour les photographesLe site de Lumys Photo : https://lumys.photo/Le site de Lumys Scolaire : https://lumys-scolaire.photo/Mon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
30ème émission de TOKIO radio, toujours et encore des rencontres fabuleuses, des conversations qui s'étirent jusqu'aux étoiles
Grande Conversation 2025 - FEMMES (in)VISIBLES #2 Le regard des femmes photographes - partie 1
Grande Conversation 2025 - FEMMES (in)VISIBLES #2 Le regard des femmes photographes - partie 2
Collaboration commerciale Vous êtes photographe ? Découvrez Lumys Photo et Lumys Scolaire, les solutions idéales pour partager vos photos avec vos clients en toute simplicité. Une entreprise française à taille humaine, basée à Nantes, qui vous accompagne tout au long de votre carrière. Plus d'infos sur https://lumys.photo/ et https://lumys-scolaire.photo/Dans cet épisode, nous discutons avec Wilfrid Esteve, enseignant, producteur, photographe et président de l'agence Hans Lucas. Nous explorons sa carrière riche et variée dans le milieu de la photographie documentaire et du photojournalisme et ses réflexions sur ces secteurs. Wilfrid nous parle de ses débuts, de son parcours en tant que photographe indépendant, et de son engagement dans diverses structures et associations professionnelles tels que l'ANJRPC, Freelens et l'UPP. Il partage également ses expériences en tant qu'enseignant et ses projets actuels, notamment les rencontres photographiques "Face à la mer" de Tanger et le festival qui en découle qui aura lieu à Carcassonne en mai 2025. Bonne écoute !1'40 – Différence entre photojournalisme et photographie documentaire : objectivité vs subjectivité, temps court vs temps long.5'50 – Son enfance à Carcassonne, influencée par le cinéma plus que par la photographie.10'15 – Débuts en autodidacte, assistant de Yann Morvan.10'40 – Engagement associatif : NJRPC, Freelens, UPP pour défendre les droits des photographes.17'40 – Lancement de Transmission pour former les photojournalistes aux réalités du métier.30'10 – Création des Rencontres "Face à la mer" à Tanger par Yamna Mostefa pour soutenir les photographes du Sud méditerranéen.34'50 – Photodoc, une foire dédiée à la photographie documentaire et sa particularité.41'00 – Lancement du festival photo à Carcassonne en mai dans la continuité des rencontres "Face à la mer" de Tanger.54'00 – Expansion de Hans Lucas et rôle de la plateforme pour les photographes indépendants.1'04'30 – Son regard sur l'évolution du photojournalisme : plus de possibilités de financement, mais nécessité d'être créatif.Instagram de Wilfrid Esteve : https://www.instagram.com/wilfrid_esteve/Le site des Rencontres "Face à la mer" : https://rencontres-facealamer.com/Mon site d'éditrice indépendante : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On croit souvent que les objets sont inertes, qu'ils ne sont que des outils, des extensions de nos désirs, de nos gestes. Mais certains d'entre eux portent en eux une mémoire, une intensité presque mystique.Les appareils photo font partie de ceux-là
Christina Broom née à Londres, en 1862, est considérée comme la première femme photographe de presse du Royaume-Uni. C'est à l'âge de 40 ans que commence sa carrière. En 1903, elle emprunte un appareil pour photographier le prince et la princesse de Galles inaugurant les nouveaux tramways à Westminster.Inspirée par ses résultats, elle emporte un appareil photo à Epsom le jour du Derby, et photographie le cheval qui gagne la course. Elle se rend compte que la photographie est un moyen de gagner sa vie.
Martine Franck est née en 1938, à Anvers. En 1956 elle commence des études d'histoire de l'art à l'école du Louvre. En 1964, de retour à Paris d'un voyage d'une année en Extrême-Orient avec son amie d'enfance Ariane Mnouchkine, elle travaille pour Time-life. C'est le début d'une grande carrière pour les agences Vu, Viva, l'agence Magnum pour laquelle elle commence un travail sur les droits de la femme en 1993.
En 1939, Ruth Orkin a 17 ans, elle traverse seule les Etats-Unis entre Los Angeles et New York, en car, en train, ou en auto stop, accompagnée de sa bicyclette qu'elle utilise pour parcourir les villes. Elle réalise près de 350 photographies : des vues urbaines, beaucoup d'autoportraits et des compositions.
Anne de Henning, photographe française née en 1945 a commencé sa carrière en tant que photo-reporter au Vietnam en guerre. Ses photographies et articles ont été publiés dans National Geographic, Paris Match, Le Monde,Vogue, Elle, Bunte, New York Times, The Observer.
L'un des derniers romantiques du cinéma.En 1988, Le Grand Bleu fait de Jean-Marc Barr une icône instantanée, un mythe, à 28 ans.Son regard perdu dans l'infini,Sa beauté transcendante,et son lien presque mystique avec l'océan marquent à jamais le public.À Hollywood, on le courtise, mais lui prend une autre voie, loin du star-system. Jean-Marc Barr emprunte les chemins de traverse, nage à contre-courant et vit son cinéma.Avec Lars von Trier, il tourne Europa, puis s'embarque dans l'aventure Dogma 95, un mouvement cinématographique révolutionnaire qui bouleverse le cinéma indépendant. Il réalise son premier long-métrage, Lovers, avec l'actrice Élodie Bouchez, caméra à la main.Ce mouvement a forcé les réalisateurs à réinventer leur manière de raconter une histoire, en se débarrassant des artifices hollywoodiens, pour revenir à l'essence du cinéma : l'émotion pure.Ce qui frappe chez lui, c'est cette quête de liberté inconditionnelle. Il refuse les facilités du métier, préférant des rôles exigeants, un cinéma brut, une recherche artistique sans compromis.Dans un monde où le cynisme l'emporte souvent, Jean-Marc Barr incarne encore une forme de romantisme. Pas au sens mièvre du terme, mais dans cette capacité à croire en la beauté, en l'art comme espace de vérité et de liberté.Écouter Jean-Marc Barr, c'est plonger dans un autre temps.
Il y a des artistes que l'on reconnaît à leur visage, d'autres à leur voix, certains encore à une posture, une façon d'occuper l'espace. Jean-Marc Barr, lui, se distingue par son esprit. Un souffle de liberté qui traverse chacun de ses choix, qu'ils soient artistiques, personnels ou existentiels. Si vous croyez encore que la célébrité impose des compromis, il suffit d'observer son parcours pour comprendre qu'il incarne tout l'inverse : un refus du conformisme, une quête de vérité, une nécessité d'être soi – coûte que coûte.Il est impossible d'évoquer Jean-Marc Barr sans penser à Le Grand Bleu. Le film culte de Luc Besson l'a propulsé sur le devant de la scène, gravant à jamais son visage dans la mémoire collective. Pourtant, si d'autres auraient pu s'installer confortablement dans la lumière, il a choisi une autre route. Là où certains voient une carrière toute tracée, lui perçoit une cage dorée. Son esprit de liberté l'a poussé à refuser les rôles formatés, les productions sans âme, et à s'orienter vers un cinéma plus exigeant, plus intime.Le cinéma de Jean-Marc Barr est un territoire d'exploration. Il travaille avec des réalisateurs audacieux comme Lars von Trier, devenant un fidèle compagnon de route du Dogme 95. Europa, Breaking the Waves, Dancer in the Dark : des œuvres radicales qui témoignent d'une prise de risque permanente. Il ne joue pas, il habite ses rôles, s'effaçant derrière des personnages tourmentés, marginaux, écorchés. Son choix d'alternance entre cinéma d'auteur et production plus grand public prouve qu'il n'a jamais renié ses idéaux. Il ne se laisse pas enfermer dans une case, car il refuse l'idée même du moule.Jean-Marc Barr est le plus Européen des Américains, il oscille entre plusieurs cultures, plusieurs langues, et c'est peut-être cette hybridité qui nourrit son insatiable besoin de mouvement. Il est aussi réalisateur, scénariste, photographe, explorant sans cesse de nouveaux médiums pour exprimer sa vision. Dans sa filmographie, comme dans sa vie, il y a cette constante : une indépendance farouche. Il se tient loin des mondanités, des calculs stratégiques, des postures factices. Là où beaucoup cherchent à plaire, lui cherche à être.Dans Lovers, film qu'il a lui-même réalisé, il explore la sensualité avec une liberté totale, sans artifice ni tabou. Cette approche du corps comme un langage, comme un territoire d'expression, rappelle que la vraie liberté, c'est d'assumer qui l'on est, dans toute sa vulnérabilité. Ce regard sans fard, il l'applique aussi à son engagement : parler quand il le faut, se taire quand c'est nécessaire, mais toujours avec une forme d'honnêteté qui fait écho à son jeu d'acteur.Dans un monde où l'uniformisation menace l'authenticité, Jean-Marc Barr demeure une figure précieuse, un repère. Il nous rappelle qu'il est encore possible de choisir une autre voie, de privilégier l'essence à l'apparence, de refuser les compromis stériles. Sa carrière est un manifeste : celui d'un homme qui n'a jamais cessé de suivre son propre courant, envers et contre tout.Jean-Marc Barr ne joue pas à être libre. Il l'est.
« Qui est vraiment Boris Pierre ? Depuis le début de TOKIO radio, il questionne, il écoute, il explore. Mais cette fois, les rôles s'inversent. Guy Birenbaum mène l'entretien. Un échange sincère, sans filtre.Une conversation pour mieux comprendre la voix derrière TOKIO radio. »
Pour la 100ème de Jumpseat, Fred Marsaly reçoit Xavier Méal et Rémy Michelin des photographes aéro de talent pour parler de leur expérience et de leurs parcours, de leurs photos marquantes, qu'elles soient réussies ou ratées !On remercie le Fana de nous avoir accueilli dans leurs locaux : https://boutiquelariviere.fr/magazine/aviation-et-modelisme/fana-de-l-aviation/00:00 Intro00:01:09 Rémy Michelin, photographe aéronautique00:02:33 La naissance d'une passion00:09:54 Xavier Méal, journaliste et photographe aéronautique00:13:40 Apprendre le métier en agence par Rémy Michelin00:15:50 les grenouilles de Roland Garros00:18:44 la claque "De Plumes et de Fer" 00:23:23 Xavier Méal et ses "Avions de Rêve" 00:28:42 L'importance du « matos » photo00:32:04 Canon ou Nikon ?00:35:43 « Air to Air » avec 4 avions de la Sécurité Civile par Rémy Michelin00:38:48 Les avions utilisés pour les vols photo00:41:02 Rémy Michelin en vol et face à la Patrouille de France 00:49:21 Me 262, MiG-15 et F-86, le trio de Melun par Xavier Méal00:51:47 Organisation d'un vol photo, l'importance de la préparation.00:58:49 6 DC-3 devant mon objectif par Xavier Méal01:05:05 Rémy Michelin : les risques du métier ou comment je me suis fait doucher par un Canadair !01:13:40 Le Rafale Solo Display, une histoire d'amitié par Rémy Michelin01:18:20 Se lancer dans le métier aujourd'hui01:22:11 photographier deux Mirage 2000 à Djibouti 01:24:11 Le noir et blanc à l'heure du numérique, un choix d'artiste(s)01:25:10 "photographier au 1200mm !" 01:29:30 « Ondes de choc », tir canon en Mirage 2000 par Rémy Michelin01:31:20 un presque raté, La P.A.F au-dessus de Carcassonne01:38:28 Un DC-3 sur la dune du Pilat par Xavier Méal01:39:47 Patrouille mixte, P-51 Mustang et Rafale Marine01:42:28 Météo changeante : Les Mirage 2000 de la patrouille « Gusto » 01:43:34 « Carlingues », le nouveau livre de Rémy Michelin01:46:10 avions de rêves et d'exception par Xavier MéalRetrouvez #Jumpseat tous les mardis midi en direct sur #twitch :https://www.twitch.tv/jumpseat_abz-----Retrouvez-nous :Sur https://aerobuzz.frSur Twitch : https://www.twitch.tv/jumpseat_abzSur Tiktok : https://www.tiktok.com/@jumpseat_abzSur Twitter : https://twitter.com/AeroBuzzfrSur Instagram : https://www.instagram.com/jumpseat_abz/Sur Facebook : https://www.facebook.com/Aerobuzz.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Charles Comiti, Réalisateur intransigeant : filmer l'Ukraine sous les bombesRéaliser des documentaires en zone de guerre est un métier aussi exigeant que périlleux. Pour Charles Comiti, ce n'est pas seulement un métier : c'est une vocation, un engagement profond pour raconter ce que d'autres préfèrent ignorer. Depuis les premiers jours de l'invasion russe en Ukraine, ce réalisateur arpente les ruines, les tranchées et les lignes de front pour saisir l'âme d'un peuple en résistance.De Kharkiv à Bakhmout, il filme les regards, les gestes et les choix impossibles d'une jeunesse prise au piège. Une collégienne gratte les cordes d'une guitare, assise sur un monceau de ruines, défiant l'effondrement. Un couple danse sur une place vide, comme pour s'accrocher à une normalité perdue. Un jeune homme évacue sa rage en frappant une porte : « On a le choix entre l'amour et la guerre, et on choisit la guerre ! » Certains s'engagent, d'autres fuient la conscription. Tous témoignent d'un combat quotidien entre l'aspiration à la vie et la brutalité de la guerre.Malgré les difficultés financières – le manque de sponsors, la rareté des commandes et une industrie frileuse face aux sujets sensibles – Charles poursuit son travail avec une intégrité inébranlable. Refusant tout compromis, il capte la vérité au plus près, donnant une voix à ceux que la guerre tente de réduire au silence.Dans un monde où le métier de journaliste et de réalisateur documentaire est de plus en plus remis en question, Charles Comiti incarne l'exigence et la vérité. Indomptable et intransigeant, il est l'un de ces rares observateurs qui osent encore aller au bout de leur engagement, quoi qu'il en coûte.
Tu passes du temps sur Instagram, mais les résultats ne sont pas au rendez-vous ? Dans cet épisode, je te parle de ces erreurs que tu fais peut-être sans t'en rendre compte, et qui t'empêchent d'attirer tes clients de rêve. Reste jusqu'à la fin, car ces conseils pourraient bien changer ta façon d'utiliser Instagram pour ton business photo ! ✍
Dans cet épisode, je te parle du syndrome de l'imposteur que beaucoup de photographes ressentent, peu importe leur niveau. Je t'explique pourquoi ça arrive et je te partage mes conseils pour avancer avec confiance. ✍
durée : 00:06:30 - Dans l'objectif des photographes de musiciens - par : Sofia Anastasio - Photos de concerts, instantanés de coulisses, portraits, ou encore pochettes d'album, nous sommes allés à la rencontre de photographes qui immortalisent les artistes derrière leurs objectifs.
Connaissez-vous Antoine de Galbert, l'homme qui réinvente notre rapport à l'art ?Visionnaire, collectionneur et mécène, Antoine de Galbert ne se contente pas de suivre les sentiers balisés de la création.Il les détourne, les recompose et les transcende. Cet ancien galeriste, fondateur de La Maison Rouge à Paris, a marqué durablement le paysage de l'art contemporain en offrant un espace où identité, mémoire et marginalité se rencontrent et dialoguent.Sa collection, débutée dans les années 1980, échappe aux codes habituels. « Je collectionne avec mes tripes », aime-t-il dire, révélant une approche instinctive et passionnée. Ses choix ne répondent ni aux modes ni aux spéculations du marché. Ils traduisent une quête : celle de l'inattendu, du brut, du viscéral.La Maison Rouge, ouverte en 2004, fut bien plus qu'un lieu d'exposition. Elle incarnait un laboratoire d'idées, un espace d'expérimentation où l'art se faisait rébellion et introspection. Aujourd'hui, l'engagement d'Antoine de Galbert demeure intact. Son soutien aux projets artistiques est porté par une vision unique et profondément humaine.Mais au-delà de ses initiatives, Antoine de Galbert intrigue. Qui est cet homme qui fait de l'art une quête existentielle, une manière de bouleverser nos certitudes tout en reliant les âmes ?Sa démarche, empreinte d'audace et de poésie, invite chacun à explorer les marges où naissent les plus grandes inspirations.Et si vous preniez le temps de découvrir cet homme qui refuse de se laisser enfermer dans les cadres habituels ?À travers son histoire, c'est une autre façon de voir le monde qui s'offre à vous. Une vision, peut-être, qui changera la vôtre.
Photographes, musiciens, artistes, journalistes, présidents, peintres… Ils sont nombreux et nombreuses à avoir été décorés de l'Ordre des Arts et des Lettres en France, depuis la création de l'insigne en 1957. Au total, 960 croix des Arts et des Lettres sont décernées chaque année par le Ministère de la Culture. Parmi les récipiendaires historiques on peut citer Marcel Pagnol, Céline Dion ou Jean-Paul Belmondo. Mais l'insigne n'est pas réservée qu'à un style de culture, des rappeurs ont aussi été récompensés. Mais ça veut dire quoi, être décoré de l'Ordre des Arts et des Lettres ? Alors, quels rappeurs ont été décorés ? Et ça apporte quoi, ces récompenses ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. Première diffusion : 26 avril 2023. A écouter aussi : Pourquoi les fauteuils au cinéma sont-ils rouges ? Quels sont les albums les plus polémiques ? Quelles sont les légendes du Mont Saint-Michel ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les jours sont désormais comptés. Vendredi prochain, Emmanuel Macron se rendra une dernière fois sur le chantier de Notre-Dame de Paris. Puis, à la fin de la semaine prochaine, les 7 et 8 décembre, un grand moment de fête marquera la réouverture de la cathédrale parisienne au culte et aux visiteurs. Les yeux du monde entier seront tournés vers cet édifice emblématique et vers l'incroyable prouesse des artisans, qui ont réussi à rebâtir Notre-Dame en moins de cinq ans. Romaric Toussaint et David Bordes, photographes, ont documenté ces cinq années de reconstruction de la cathédrale.
Vous souvenez-vous du film « Skyfall » ? De cette scène où James Bond affronte Javier Bardem sur une île mystérieuse à l'atmosphère post-apocalyptique ?Cette île japonaise, Hashima, est un lieu fascinant à la beauté brute, où la nature commence doucement à se réinstaller parmi les structures bétonnées, vestiges d'une civilisation abandonnée.Depuis plus de cinquante ans, le cinéma puise son inspiration dans ces lieux où la nature a repris ses droits. Ces espaces, envahis par le végétal, traduisent une tension profonde entre civilisation et forces naturelles, tout en interrogeant notre rôle dans la destruction des écosystèmes et la résilience de ces derniers face aux perturbations humaines.L'artiste que je vous présente poétise le temps à travers ses œuvres : un véritable Chronopoète.Ses photographies capturent l'impermanence des créations humaines face à la force implacable de la nature. Chaque image raconte une histoire : celle d'un passé oublié et d'un futur où la nature reprend son trône. À travers ses clichés, il nous rappelle que, face à l'éphémère de nos constructions, seule la nature demeure le maître du temps.Jonk est l'un des pionniers de cette quête. Il parcourt le monde à la recherche de ces vestiges vivants, réensauvagés par la végétation, avec un profond respect pour chaque lieu qu'il immortalise.Celui que je nomme « le Calligraphe du temps perdu » sublime la beauté fragile du passage du temps, offrant une vision où la nature et l'histoire s'entrelacent dans une harmonie poignante.La photographie des lieux abandonnés où la nature reprend ses droits est bien plus qu'un simple exercice esthétique. C'est une discipline à la croisée de l'art, de l'histoire et de l'écologie.Ces images fascinantes révèlent la lente reconquête du vivant sur les vestiges de la civilisation humaine, offrant un regard à la fois mélancolique et inspirant sur le passage du temps et la résilience de la nature.
La rencontre affaires avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Sandrine Expilly est bien plus qu'une photographe – elle est une conteuse visuelle, une observatrice attentive de l'humain, dont le travail touche à la fois à l'intime et à l'universel. À travers ses portraits et ses projets personnels, elle transforme chaque image en un espace de réflexion, de mémoire et de quête poétique.
En pénétrant l'univers d'Alexandre Bré, c'est un chemin sinueux et émouvant que l'on emprunte, une invitation à se confronter à la profondeur de l'existence et à l'invisible de notre quotidien. À travers son objectif, il capture ce qui semble échapper aux mots : un regard, une ombre fugace, la texture du silence. Avec un style qui puise autant dans l'esthétique documentaire que dans la poésie visuelle, Alexandre dépasse la simple capture de l'instant pour créer des atmosphères oniriques, où chaque image semble susurrer un fragment de vérité intime.Sa liberté créative, viscérale et nécessaire, lui permet de proposer un art qui se détache des conventions et des attentes commerciales. Par ses choix artistiques, il nous rappelle l'importance d'une culture indépendante, d'une culture qui ose, bouscule, et résiste à la standardisation des émotions et des pensées.« Mon libre-arbitre c'est mon sentiment. »En refusant de se laisser enfermer dans des catégories, Alexandre Bré reste fidèle à son propre langage visuel et préserve ainsi une intégrité précieuse dans le monde de l'art contemporain.
Il y a 14 ans, la photo constituait le contenu le plus viral sur les réseaux sociaux et pourtant le secteur de la photographie professionnelle était loin d'être structuré. Myphotoagency naît en 2012, un peu par hasard, pour combler cette faille sur le marché. Après une période de tâtonnement, le business model idéal est trouvé : mettre en relation des photographes professionnels implantés sur tout le territoire, avec des entreprises qui ont besoin de visuels dans toute la France. Et il permet à l'entreprise d'être rentable rapidement et d'avoir une belle croissance. Ce nouvel épisode Just Focus est spécial : pour la première fois, j'ai effectué une interview croisée de deux fondateurs. Aujourd'hui, nous recevons Sarah Aizenmann et Dan Kleczewski, les deux co-fondateurs de Myphotoagency. Vous découvrirez : - le contexte marquant de leur rencontre et les débuts de leur collaboration - La réflexion qui leur a permis de trouver le business modèle parfait pour atteindre la rentabilité et devenir un acteur incontournable du marché B2B. - Les défis rencontrés pour structurer leur offre et attirer des clients prestigieux comme Foncia, Optical Center ou encore Zenchef. - La manière dont ils s'adaptent aux évolutions technologiques tout en préservant l'humain dans leurs offres de services. Bonne écoute !
Quand la photographie devient un miroir de la mémoire et de l'identitéChristine Delory-Momberger est une figure marquante de la photographie et de la littérature contemporaine. Son travail, à la croisée des chemins entre l'art visuel et l'écriture, interroge la mémoire, l'identité et l'intimité de manière profonde et introspectiveSes œuvres capturent des fragments de vie, des récits souvent liés à l'exil et à l'enfance. Avec une approche unique qu'elle qualifie d'auto-biographie visuelle, elle révèle des histoires enfouies et des instants suspendus qui interrogent notre propre relation au passé et à l'identité.Son travail ne se limite pas à la captation d'images : il ouvre un dialogue entre le visible et l'invisible, entre les récits personnels et la mémoire collective. En tant qu'artiste et théoricienne, elle nous invite à repenser la manière dont nous racontons nos vies et celles des autres, tout en soulignant le rôle transformateur de l'art dans la société.
durée : 00:05:25 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Alors que le biopic de Lee Miller vient de sortir en France, un peu d'exploration dans la mémoire de notre musique populaire nous rappelle l'importance majeure du photographe Robert Doisneau.
L'émission est terminé. Puis nous continuons de converser et discrètement j'appuie sur REC.Au bout de quelques minutes Gérard me dit « c'est dommage, tu aurais pu enregistrer ça ».J'étais entrain d'enregistrer… Non seulement parce que Caroline et Gérard ont tant à raconter mais aussi parce qu'à travers eux, c'est un pan de l'histoire de l'art qui nous est généreusement offert.Êtes vous prêts pour ce shot de 16mn ?
Gérard Rancinan et Caroline Gaudriault ne se contentent pas de créer de l'art : ils défient les consciences, questionnent les fondements de nos sociétés et nous forcent à regarder en face ce que nous préférons souvent ignorer. Ensemble, ils forment un duo explosif où chaque œuvre est une prise de position, un acte de rébellion face aux dérives de notre temps. Que ce soit à travers des images spectaculaires ou des textes incisifs, ils plongent au cœur des grands enjeux contemporains, de la démocratie en crise à la liberté d'expression menacée.Rancinan, avec son œil de photographe, capte la brutalité du réel et la transforme en tableaux puissants, souvent dérangeants, qui interrogent nos idéaux et nos illusions collectives. Face à lui, Gaudriault, par ses écrits profonds et engagés, déconstruit les mythes modernes, questionne la place de l'individu dans un monde globalisé, saturé d'images et de faux-semblants. Ensemble, ils donnent une voix aux invisibles, à ceux que l'on réduit au silence dans le bruit assourdissant des médias.Leur œuvre est une claque, un appel à ne pas baisser les bras face à l'apathie ambiante. Rancinan et Gaudriault nous rappellent que l'art peut être un espace de résistance, un dernier refuge pour la vérité et la liberté.
Nous sommes le 4 septembre 1944, à Charleroi. Sur l'un des nombreux clichés pris ce jour-là par les photographes, anonymes ou non, dans la foule qui laisse éclater sa joie de vivre la liberté retrouvée, on peut voir un couple. Deux jeunes gens, le visage illuminé d'un large sourire. Il est américain, les cheveux ondulés, la peau qui semble recouverte de poussière, elle est wallonne. Elle aussi a les cheveux ondulés. Elle a mis du rouge à lèvres. Vraisemblablement, ils ne se connaissent pas, ne parlent pas la même langue. Leur regard se tournent vers nous qui les observons. Ils communient dans l'émotion de la Libération. Elle a sa main discrètement posée sur l'épaule de celui qui, parmi beaucoup d'autres, a fait renaitre l'espoir des populations traumatisées. Regard, aujourd'hui, sur la Wallonie libérée… Invités : Alain Colignon, chercheur au CegeSoma (Centre d'Etudes et de Documentation Guerre et Sociétés contemporaines) et Mélanie Bost, chercheuse associée à l'Ecole royale militaire. « La Wallonie libérée » éditions Renaissance du Livre. Sujetes traités : Wallonie, Charleroi, libération, photographes, émotion, Deuxième Geurre Mondiale Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:59:25 - Toute une vie - Navigant dans le New-York underground des années 1970, Robert Mapplethorpe a photographié des visages du show business, des corps sculpturaux, des figures sado-masochistes, choquant et fascinant tout à la fois ses contemporains. - invités : Michael Ward Stout Avocat et ami. Aujourd'hui à la tête de la Fondation Robert Mapplethorpe à New York.; Judith Benhamou - Huet Journaliste sprécialiste de l'art et le marché de l'art aux « Echos » et au « Point »; Jean-Charles De Castelbajac Styliste et créateur de mode, ami de Vivienne Westwood; Hélène Pinet Chargée des collections de photographies du Rodin à Paris.; Judith Judith Childs Habitante du Chelsea Hôtel.; Bob Collacello Journaliste, rédacteur en chef de Vanity Fair.; Edmund White Ecrivain
durée : 00:59:23 - Toute une vie - Celui que l'on surnomme "l'œil de Paris", amoureux de la Capitale, saura la voir comme personne ! D'ailleurs, il ne la voit pas, il la regarde avec passion et la fixera à jamais sur la pellicule.
durée : 00:01:32 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - 80 secondes consacrées ce matin à 25 photographes japonaises visibles dans une exposition, "Quelle joie de vous voir". Un complément et un contrepoint nécessaires aux narratifs établis de l'histoire de la photographie du Japon.
durée : 00:58:57 - Toute une vie - Admiré pour avoir fait basculer la photo de mode dans une dimension narrative, Guy Bourdin aimait créer des énigmes. Glamour, inquiétantes, et sans doute engendrées par celles qui ont jalonné, de façon accidentelle, sa propre vie.
durée : 00:59:31 - Toute une vie - Le nom de Dora Maar est inextricablement lié à sa relation amoureuse avec Picasso. Mais Dora Maar, c'est surtout le combat d'une femme qui a toujours cherché à s'affranchir, à la recherche d'elle-même et de son art propre, celui de la peinture et de la photographie. - invités : Victoria Combalia Historienne et critique d'art espagnole, biographe de Dora Maar; Brigitte Benkemoun Journaliste et écrivaine; Anne Carpentier Fondatrice et directrice de la Galerie La marchande des 4 saisons; Damarice Amao Historienne de l'art et commissaire d'exposition; Jérôme de Staël Photographe; Gwen Strauss Directrice-administratrice de la Maison Dora Maar à Ménerbes; Marcel Fleiss Fondateur de la galerie 1900-2000 à Paris
durée : 00:59:02 - Toute une vie - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - Présenté dès le début de la guerre d'Espagne comme « le plus grand photojournaliste du monde », Robert Capa est une légende qui n'a cessé d'être investie par la fiction. - invités : Robert Delpire; Françoise Denoyelle Historienne; Bernard Lebrun Grand reporter
durée : 00:59:53 - Toute une vie - par : Perrine Kervran - Celle que l'on surnommait "La Castiglione", que l'on connaît pour avoir été l'une des maitresses de Napoléon III, a surtout été en secret une artiste qui a peut-être inventé la performance et l'autofiction photographique. Voici le récit de la vie et des œuvres de "la plus belle femme de son siècle". - invités : Marie Robert Professeure de lettres et de philosophie et autrice française; Françoise Heilbrun Auteur, conservateur en chef au musée d'Orsay; Philippe Thiébaut; Marianne Nahon; Nathalie Léger Directrice de l'IMEC, romancière.; Charles-Eloi Vial Archiviste-paléographe, conservateur au département des Manuscrits de la BNF
Joséphine est une artiste et elle expose aujourd'hui son travail dans le monde entier. Ses photos nous transportent et nous ramènent à des souvenirs heureux. Dans cet extrait Joséphine nous raconte qu'il ne faut pas avoir peur de déplaire, au contraire, il vaut oser se tromper pour s'accomplir pleinement.Retrouvez l'épisode complet dimanche soir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec ces artistes, on a parlé de la représentation des corps noirs en France, d'utiliser l'art pour se réapproprier son identité et raconter son histoire, de liberté et bien plus encore... On vous laisse découvrir tout ça produit en collaboration avec @the_ocus
Little Talk in Slow French : Learn French through conversations
"The Two Greatest French Photographers" Transcription : https://www.patreon.com/posts/84396254 If you like my podcast, please consider becoming a Patreon :-) https://www.patreon.com/talkslowfrench/membership
durée : 00:58:58 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Dans quelle mesure les œuvres de Bernd et Hilla Becher constituent-elles des témoignages de l'industrie allemande et de son déclin progressif au cours du XXe siècle ? - invités : Hervé Joly Historien et directeur de recherche au CNRS au Laboratoire Triangle; Françoise Haon Historienne de l'art
durée : 00:59:39 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Qu'est-ce que le regard photographique de Willy Ronis nous dit de l'histoire du Front populaire ? - invités : Danielle Tartakowsky Historienne, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis, spécialiste des mouvements sociaux; Tangui Perron Historien, chercheur associé au Centre d'histoire sociale et des mondes contemporains (Paris I et CNRS)
durée : 00:59:03 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Dans quelle mesure les photographies de Dorothea Lange constituent-elles un témoignage de l'Amérique en crise des années 1930 ? - invités : Emmanuel Didier Sociologue, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l'ENS; Pia Viewing Commissaire-chercheuse au Musée du Jeu de Paume