POPULARITY
Los Angeles, 1990.Les palmiers du Strip, les néons, les excès, les illusions d'Hollywood.C'est là que débute L.A. Artificial, le premier roman d'Hélène Maurice — une plongée dans la jeunesse d'une actrice happée par le mirage californien, entre culture pop, rock alternatif et quête de soi.Hélène Maurice vit dans le Finistère. Elle enseigne l'histoire-géographie, mais c'est la mémoire des sons et des images qui nourrit sa plume. Enfant des nineties, elle porte pourtant en elle toute la culture musicale des années 70 : celle des guitares électriques, des voix libres, d'une époque où la musique cherchait encore à dire quelque chose au monde.Dans cette conversation, on parle de fiction et de mémoire, de transmission et de résistance, de ce que la culture populaire a fait de nous — et de ce que nous pouvons en faire aujourd'hui. On parle aussi de liberté, d'écriture, et du pouvoir des récits quand ils résonnent avec une époque.L.A. Artificial est un roman sur l'artifice et le désir d'authenticité.Et Hélène Maurice, par sa voix et sa culture, nous rappelle que parfois, les histoires les plus lucides naissent au cœur même de l'illusion.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Session de présentation et questions/réponses sur mes formations demain, jeudi 16 octobre à 18h30 en visio. Inscription gratuite ici : https://forms.gle/HbKEghANY2Naczx96Dans cet épisode spécial, je présente la formation que j'ai conçue pour accompagner les photographes qui souhaitent créer un livre photo : de l'idée initiale jusqu'à la diffusion avec mon compagnon Florian.Née de cinq années de rencontres et d'échanges avec tous les professionnels du milieu de photographie et de sept années dans le milieu de l'édition (Beaux Arts & cie, Gallimard, Fisheye, The Eyes et le Chêne), cette formation propose une approche claire, structurée et réaliste de l'édition photographique.J'y partage une méthode structurée et réaliste pour penser et construire un projet éditorial cohérent, tout en abordant les aspects créatifs, pratiques et stratégiques de l'édition photographique.La formation sera disponible à partir du 22 octobre.Durant la période de lancement, jusqu'au 25 octobre, un prix réduit sera proposé, ainsi qu'un rendez-vous de travail offert d'1h30 en visio pour échanger ensemble sur votre projet d'édition.Pour recevoir toutes les informations :
Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je reçois Olivier Jezequel, agent de photographes et producteur chez LGA. Fort d'une vingtaine d'années d'expérience en tant qu'agent, Olivier accompagne des photographes de renommée internationale comme de jeunes talents, en France et à l'étranger.Nous revenons sur son parcours, ses missions d'agent et de producteur, son regard sur l'évolution du métier, ainsi que les défis actuels : budgets, IA, RSE, marché du luxe…Il partage aussi des conseils concrets pour les photographes professionnels : comment approcher un agent, se démarquer dans un marché saturé et construire une carrière sur le long terme.Bonne écoute !00:02 – Présentation d'Olivier Jezequel, agent et producteur chez LGA.03:15 – Son parcours avant LGA.08:42 – Différences entre production et rôle d'agent.12:05 – LGA à Paris, Londres et New York.15:30 – Son travail avec des artistes comme Steve McCurry.18:50 – Le processus de sélection et d'accompagnement des photographes représentés.23:10 – L'importance des relations humaines et de la confiance avec les clients.27:25 – Évolution du marché : digital, réseaux sociaux, “content factories”.29:35 – L'arrivée de la vidéo et du “moving image” dans les campagnes.32:47 – L'IA : limites actuelles, risques d'uniformisation et place de l'émotion.36:10 – Suivre sa vision artistique plutôt que les modes.40:20 – Enjeux environnementaux : voyages, compensations carbone et greenwashing.45:34 – Impact du ralentissement du marché du luxe et de la Chine.47:17 – Comment est rémunéré un agent : pourcentages et droits.51:40 – Conseils pour contacter un agent par e-mail.53:02 – Construire une carrière : patience, étapes, résilience.56:52 – Importance d'être ouvert et mobile : expériences à l'étranger.Site LGA : https://www.lgamanagement.com/Instagram LGA : https://www.instagram.com/lgamanagement/Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueLien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre projet de livre : https://bit.ly/LVDLPlivrephotoMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elle a donné vie à Joséphine, porté sur papier l'histoire de Cass Elliot avec California Dreamin', adapté Roald Dahl avec Sacrées sorcières, et révélé au grand public les vies d'héroïnes oubliées avec Culottées, récompensé par le prestigieux Prix Eisner et adapté en série animée.Mais derrière ces succès, il y a une histoire plus intime. Dans cet épisode de TOKIO Radio, Pénélope Bagieu raconte ses débuts, son premier cachet, le soutien indéfectible de sa mère, ses routines de création, et sa relation singulière avec son éditeur. Elle parle de ses personnages comme s'ils continuaient à vivre en dehors des planches, partage ses projets, son humour, et son regard sur l'avenir.On parle aussi de la difficulté des femmes à s'imposer dans un monde d'hommes, des progrès accomplis, et des combats encore à mener.Une conversation drôle, sensible et lucide, fidèle à l'esprit de TOKIO.©️Crédit photo Pauline Darley
Hans Silvester, un nom qui parle plus par son regard que par sa signature, et c'est précisément cela qui définit son héritage.Né en 1938 à Lörrach, il devient photographe presque naturellement dès l'adolescence, sa passion s'épanouissant à l'école de Fribourg. Dès 1960, la Camargue le marque. Sa première œuvre, Camargue, magnifiée par un texte de Jean Giono, lui ouvre les portes d'un monde qui l'absorbe.En 1962, plantant sa tente en Provence, il devient globe-trotter. Hans a photographié dans plus de 70 pays, et pourtant, son œuvre reste intimiste, lente, humaniste. Il est un voyageur sans folklore, qui refuse l'exotisme, et cherche le lien plus que l'image.En 1965, il rejoint RAPHO, l'agence photographique mythique française et entre dans la lignée des plus grands photographes humanistes. RAPHO a représenté des des légendes telles que Robert Doisneau, Willy Ronis, Sabine Weiss, Janine Niepce, Édouard Boubat. Et plus tard Hans Silvester, Marc Riboud, François Hers,..En 1977, il devient un fondateur visuel de l'aventure éditoriale de GEO, le magazine référence de la photographie-reportage et réalise la couverture du numéro 0.Dès les années 70, Hans Silvester dénonce La déforestation en Amazonie, La pollution des rivières françaises, La surexploitation forestière en Amérique du Nord. Il fait œuvre militante avec des images sensibles, éloignées du spectaculaire et fidèles à sa sobriété.Puis, dans les années 2000, l'Éthiopie. Sa fascination pour les peintures corporelles des peuples de la vallée de l'Omo le pousse à s'y immerger. Il documente ce que personne d'autre n'a su photographier ainsi, en prenant le temps de vivre avec eux, souvent accompagné de sa femme Dora.Son travail est un témoignage exceptionnel de ces arts vivants, éphémères et habités, comme une empreinte du lien entre l'homme et la nature. Il n'a pas photographié les guerres, mais un autre type de fragilité, celle des Peuples Racines, des cultures en voie de disparition, de ces formes d'expression immatérielles.Cette quête, silencieuse et respectueuse, est la quintessence de son regard.En 2022, il est couronné du Prix International Planète Albert Kahn, honneur rare rappelant la portée historique et sensible de sa carrière.Hans Silvester, c'est un photographe hors mode, hors frontières, un témoin aux aguets, qui documente plus qu'il ne capture.Ses images nous racontent autre chose que des histoires.Elles nous rappellent qui nous sommes, et ce qui importe.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De la douceur du cocon familial aux tranchées en Ukraine.Philomène Remy a fait un choix rare : quitter des certitudes pour affronter l'incertitude et l'âpreté du monde.Grand reporter, elle ne se contente pas de couvrir l'actualité, elle la construit au plus près du réel.Centrafrique, Cisjordanie, Liban, Gaza, Ukraine, autant de terrains sanglants qu'elle aborde non comme une simple liste de conflits, mais comme des lieux où des vies continuent, coûte que coûte. Sans fabriquer de sensationnel, sans aplatir les nuances, Philomène laisse au réel la place d'être complexe. Son travail donne au monde une chance de se dire.Elle signe aujourd'hui des reportages pour En société (France 5), après être passée par Ligne Rouge (BFM), France 24 et Channel 4. Ce qu'elle explore avant tout, ce sont les marges humaines des crises : l'éthique du regard, la confiance avec les témoins, et la responsabilité que porte chaque image.Pour réaliser « Russie, les enfants volés d'Ukraine », elle affronte l'enfer de la guerre avec son équipe de BFMTV, traverse tout le pays en voiture et tente de se rendre en Crimée. Son travail est primé au festival de télévision de Monte-Carlo par un jury prestigieux.Philomène Remy incarne un journalisme exigeant, respectueux, profondément humain, exactement ce dont on a besoin aujourd'hui.Dans cette conversation, on parle de cette ligne de crête où le métier rencontre l'éthique. Une ligne qu'elle ne lâche jamais.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : -Eliott Mamane, chroniqueur politique -Michel Taube, éditorialiste politique et directeur de la publication d'Opinion Internationale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On croit savoir.On fantasme.On juge très vite.Mais rarement on écoute.Lena Fire, elle, assume tout.Son métier. Son image. Son plaisir.Et surtout. Sa passion du sexe.Pas celle qu'on caricature. Une passion réelle, exigeante, traversée de choix, de limites, de liberté.Actrice X, oui. Et pleinement consciente.Le corps comme terrain d'expression. Le sexe comme langage. Le désir comme matière première.Elle est venue à TOKIO avec cette clarté peu commune, celle de ceux qui n'ont rien à cacher, rien à vendre, rien à prouver.Mais que sait-on vraiment d'une actrice X ?De ce qu'elle traverse, de ce qu'elle choisit, de ce qu'elle encaisse, de ce qu'elle transforme.Lena ne cherche pas à provoquer.Elle explique. Elle éclaire. Elle remet à l'endroit.Et derrière chaque mot, il y a cette évidence :elle sait ce qu'elle fait. Et pourquoi elle le fait.Elle déroule le fil d'une parole rare, lucide, entière, crue parfois, mais jamais gratuite. Pas pour se justifier mais pour faire savoir.Cette émission n'est ni un aveu, ni un manifeste.C'est un contrechamp.Et peut-être une invitation à poser un autre regard, un regard qui n'efface pas.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In 2018, photographer Nat Ward stumbled upon Ditch Plains beach in Montauk, and he found a vibrant energy that he couldn't resist capturing. Ward spent four summers photographing Ditch Plains and the people who enjoy the beach, and he discusses his resulting photo collection, "Ditch: Montauk, New York, 11954," featuring 49 photographs that are also on view at Montauk Historical Society's Second House Museum through Labor Day.*This segment is guest-hosted by Tiffany Hanssen.
A l'occasion d'une projection du film-photographique sur les incendies qui ont ravagé la Gironde en 2022, rencontre avec Frédéric Corbion & Cyrille Latour du collectif LesAssociés) autour de l'ouvrage "Six cents degrés" aux éditions Corps 14. Entretien avec Christophe Lucet. Photographes du collectif : Alban Dejong, Alexandre Dupeyron, Elie Monferier, Olivier Panier des Touches, Michael Parpet et Joël Peyrou.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis Berlin, il veille sur l'héritage d'un photographe qui n'a jamais cessé de troubler le regard.Matthias Harder dirige la Fondation Helmut Newton. Il en est aussi le curateur en chef. Nommé par Helmut quelques mois avant son décès, puis accompagné par le regard de June, il orchestre depuis des années les expositions, les publications, les archives - mais surtout, il façonne une mémoire vivante. Celle de Helmut Newton, bien sûr, mais aussi celle de June Newton, Photographe elle aussi. Plus discrète, mais tout aussi précise, sous le nom d'Alice Springs, elle a construit une œuvre à part entière.On s'est retrouvés à Arles, dans la cuisine de Julia de Bierre, fondatrice de la Galerie Huit. Loin des grandes institutions, on a parlé de photographie, de regard, de pouvoir, de tendresse aussi. Et de cette ligne fine entre fascination et inconfort. Une plongée lucide dans les coulisses de la photographie contemporaine, entre passion, responsabilité et mémoire.Dans cette conversation, nous parlons longuement de ce photographe qui a bousculé les codes, imposé une esthétique aussi radicale qu'irrévérencieuse, tout autant que de la présence fondamentale d'Alice Springs.Un échange amical et généreux. Et cette intimité particulière que seule la radio permet, quand la voix devient le lieu du partage.English version :From Berlin, he watches over the legacy of a photographer who never stopped unsettling the gaze.Matthias Harder is the director and chief curator of the Helmut Newton Foundation. Appointed by Helmut just a few months before his death, and later accompanied by June's sharp eye, he has been curating exhibitions, publications, and archives for years — but above all, he has been shaping a living memory.The memory of Helmut Newton, of course — but also that of June Newton, herself a photographer. More discreet, yet equally precise. Under the name Alice Springs, she built a body of work all her own.We met in Arles, in the kitchen of Julia de Bierre, founder of Galerie Huit. Far from the major institutions, we spoke about photography, about the gaze, about power — and tenderness, too. About that delicate line between fascination and discomfort.A clear-eyed dive into the backstage of contemporary photography, where passion, responsibility and memory intertwine.In this conversation, we speak at length about a photographer who broke all the rules and carved out a style both radical and irreverent — as well as about the essential presence of Alice Springs.A warm, generous exchange. And that special intimacy only radio can offer, when the voice becomes a space for sharing.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emma, c'est un flou net. Une présence magnétique capturée dans un miroir usé.Il y a quelque chose de spectral dans cette image, comme si elle venait d'un autre temps. Un passé où l'on prenait encore le temps de se regarder. Cheveux clairs, presque délavés, regard direct mais inaccessible, Emma semble à la fois devant et derrière l'objectif. Elle tient son Mamiya RZ comme on tient une arme sacrée : avec assurance et intimité.Emma Picq est photographe. Mais ce serait trop simple de s'arrêter là.L'image chez elle est un territoire instable, une matière à éprouver, une manière de dire ce qui ne se dit pas. Elle capte la lumière lente, celle qui oblige à attendre, à respirer, à choisir. Ici, chaque photo est un engagement.Mais ce n'est pas tout. Emma est aussi la fondatrice de Borderlines Paper, un projet éditorial à part. Borderlines, c'est son espace de liberté. Une revue artisanale et indocile qu'elle construit image après image, dans le refus du bavardage visuel.Emma ne cherche pas à convaincre. Elle cherche à comprendre. Et c'est précisément ce qui rend sa parole précieuse.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une année sans concession.Pas de format.Pas de filtre.Pas de programme à vendre.Des voix. Entières.Pas retouchées.Pas marketées.Des silences qu'on laisse durer.Des regards qu'on devine derrière les mots.Ici, on ne meuble pas le vide.On l'écoute.TOKIO, ce n'est pas un média.C'est un refus.Le refus de parler vite. De parler fort. De parler pour rien.C'est un lieu.Pour ceux qui ne rentrent pas dans les cases.Pour ceux qui doutent, qui cherchent, qui racontent autrement.J'ai lancé ça seul.J'ai tenu seul.Mais je ne suis pas seul.Vous avez écouté. Vous avez relayé. Vous avez compris.Alors on continue.En marge. En ligne directe. En silence parfois.Une année sans concession.Une seule promesse :Ne jamais trahir ce qui nous lie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les photographes Flora Elie et Jérémy Charbaut présentent l'exposition photo "Al Qahera, Le Caire, la Victorieuse" au Tetris du 12 juin au 12 juillet 2025. Elle y a vécu pendant deux ans, lui l'a visité il y a plus de 10 ans, pourtant leurs appareils se sont intéressées aux mêmes visages de travailleurs et travailleuses, aux moments suspendus et aux nuits illuminées du Caire. Partez à la rencontre d'une Egypte du quotidien, au-delà des monuments de la capitale. Dans cette interview, les deux havrais nous expliquent les raisons de leurs voyages, la construction de leur exposition et livrent quelques anecdotes liées à leurs photos. Photo : Compte Instagram de Flora Elie. Atelier de teinture traditionnel, Le Caire, Egypte, 2025. Née en 1901, cette ancienne maison de teinture située à Darb el Ahmar est toujours en activité. Ici, les artisans travaillent à la main, en trempant les fils dans de grands bains d'eau chaude, pigments et sel.
Entre deux terres, il a choisi de raconter.Il est né au cœur des Cévennes, dans une ville minière du Gard, mais son histoire commence ailleurs. À Tinghir, au sud-est du Maroc, dans une vallée qu'il n'a pas connue enfant, mais dont il portait déjà les contours en lui. Kamal Hachkar a grandi entre deux mondes. Et plutôt que de choisir, il a décidé d'en faire le fil conducteur de son travail.Historien de formation, cinéaste par nécessité, il a compris très tôt que l'Histoire ne suffit pas. Qu'il fallait aller chercher, rencontrer, creuser les silences, remettre en lumière ce que l'exil, le temps ou la peur avaient effacé. C'est ainsi qu'est né Tinghir-Jérusalem : d'un retour au pays, d'une question simple — que sont devenus les Juifs marocains qui vivaient ici ? — et d'une volonté, farouche, de tisser à nouveau ce qui fut brisé.Ce film, salué mais aussi critiqué, a réveillé des mémoires. On l'a accusé d'ouvrir des plaies, mais il n'a fait qu'y porter une lumière douce, patiente, humaine. Depuis, Kamal n'a jamais cessé de suivre cette ligne fragile entre les identités, les appartenances, les douleurs et les possibles.En 2019, il réalise Dans tes yeux, je vois mon pays, un film traversé par la musique, le retour et l'émotion pure. On y suit Neta Elkayam et Amit Haï Cohen, deux artistes israéliens d'origine marocaine, qui reviennent au Maroc pour faire résonner la langue, les chants, les gestes enfouis dans leur enfance. Le film est une déclaration d'amour à une culture vivante, une tentative poétique de recomposer les liens, au-delà de l'exil et de la politique.Ce n'est pas un film sur la nostalgie. C'est un film sur la promesse. Celle que la mémoire n'est pas une fin, mais un début. Que la création peut être un pont, qu'un chant peut encore réunir ce que les histoires officielles ont séparé.En décembre 2024, Kamal présentait ce film aux États-Unis, devant une salle pleine au cœur de la Nouvelle-Orléans. Preuve que ses récits trouvent écho bien au-delà des frontières. Parce qu'au fond, ils nous parlent tous. De ce qu'on perd. De ce qu'on cherche. De ce qu'on peut encore retrouver.Son cinéma est une traversée. Une manière d'habiter le monde avec plus de nuance, plus de lien. À une époque saturée de récits simplistes, Kamal Hachkar continue de tendre l'oreille. Et c'est pour ça qu'on l'écoute.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
⚡️Caio Rosa est une voix montante de la photographie contemporaine brésilienne.À travers une approche artistique profondément engagée, il offre une perspective singulière sur les identités afro-brésiliennes et les héritages culturels.Son travail mêle techniques photographiques traditionnelles et éléments graphiques – dessins, écrits, cartes affectives – pour inventer de nouvelles formes de représentation du corps et de la culture noire. Chaque image devient un espace de résistance et de réinvention, où l'intime dialogue avec le politique.Issu du quartier de Praça Seca à Rio de Janeiro, Caio puise dans son environnement et son héritage une matière vive, traversée de spiritualité. Il interroge les classifications imposées par les récits occidentaux, et tisse des liens entre mémoire, territoire et imagination.Artiste pluriel, il explore aussi la musique en tant que DJ, en particulier les rythmes sud-africains Gqom et Amapiano, prolongeant ainsi sa recherche esthétique dans le champ sonore.Caio est né à Rio de Janeiro. Il vit au Brésil.( Émission en anglais )⚡️Caio Rosa é uma voz emergente da fotografia contemporânea brasileira.Com uma abordagem artística profundamente comprometida, ele oferece uma perspectiva única sobre as identidades afro-brasileiras e os legados culturais.Seu trabalho combina técnicas fotográficas tradicionais com elementos gráficos — desenhos, textos, mapas afetivos — para inventar novas formas de representação do corpo e da cultura negra. Cada imagem se torna um espaço de resistência e reinvenção, onde o íntimo dialoga com o político.Nascido no bairro de Praça Seca, no Rio de Janeiro, Caio extrai de seu ambiente e de sua herança uma matéria viva, atravessada pela espiritualidade. Ele questiona as classificações impostas pelas narrativas ocidentais e entrelaça memória, território e imaginação.Artista plural, também explora a música como DJ, especialmente os ritmos sul-africanos Gqom e Amapiano, ampliando sua pesquisa estética para o campo sonoro.Caio nasceu no Rio de Janeiro. Vive e trabalha no Brasil.⚡️ Caio Rosa is a rising voice in contemporary Brazilian photography.Through a deeply committed artistic approach, he offers a unique perspective on Afro-Brazilian identities and cultural legacies.His work blends traditional photographic techniques with graphic elements—drawings, writings, affective maps—to invent new forms of representation for the Black body and culture. Each image becomes a space of resistance and reinvention, where the intimate dialogues with the political.Born in the neighborhood of Praça Seca in Rio de Janeiro, Caio draws from his surroundings and heritage a living material, imbued with spirituality. He questions the classifications imposed by Western narratives and weaves connections between memory, territory, and imagination.A multifaceted artist, he also explores music as a DJ, particularly the South African rhythms of Gqom and Amapiano, extending his aesthetic research into the sonic realm.Caio was born in Rio de Janeiro. He lives and works in Brazil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À première vue, Mehdi Bentahila est photographe. Et entrepreneur. Il capte des regards, des lumières, des paysages. Il cofonde des lieux, lance des idées, accompagne d'autres à faire naître les leurs. Mais ce serait réducteur.Mehdi est un tisseur de liens, il ne sépare jamais le sensible de l'engagement. Il crée pour relier, il entreprend pour rapprocher.Quand certains cherchent la lumière. D'autres la fabriquent. Mehdi Bentahila est de ceux-là.Dans cet épisode on parle de trajectoire, d'intuition et de conviction. On parle de transmission, de vulnérabilité, d'ancrage dans un territoire et de la nécessité de bâtir des projets qui ont du sens.On y parle surtout de ce qui ne se délègue pas. Le feu intérieur.Un épisode pour celles et ceux qui savent que créer, ce n'est pas montrer. C'est révéler.Mixage par le studio Revolver.Animateur et producteur Boris Pierre.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Collaboration commerciale Vous êtes photographe ? Découvrez Lumys Photo et Lumys Scolaire, les solutions idéales pour partager vos photos avec vos clients en toute simplicité. Une entreprise française à taille humaine, basée à Nantes, qui vous accompagne tout au long de votre carrière. Plus d'infos sur https://lumys.photo/ et https://lumys-scolaire.photo/Dans cet épisode avec Jérôme Sevrin et David Morinière, on est revenu sur les transformations majeures que le secteur de la photographie social a connues au cours de la dernière décennie. Ils nous expliquent comment Lumys a su s'adapter à ces changements en proposant des solutions qui répondent aux besoins des photographes, qu'il s'agisse de la gestion des galeries en ligne ou de l'accompagnement dans la diversification des activités. On a également parlé d'intelligence artificielle et de l'importance de l'accompagnement pour les photographes qui souhaitent développer leur carrière et vivre de la photographie. Bonne écoute !00:01:21 - Jérôme Sevrin présente les plateformes de Lumys00:04:25 - Le parcours de Jérôme et la création de Lumys00:12:40 - Les évolutions de Lumys pour s'adapter aux besoins des photographes du social00:17:03 - Le développement du support client et le rôle de David Morinière00:31:15 - Vision et mission de Lumys00:48:00 - Concurrence et fragmentation du marché et la difficulté pour les photographes d'avoir une approche commerciale01:02:35 - L'utilisation de l'IA chez Lumys01:09:15 - Leurs conseils pour les photographesLe site de Lumys Photo : https://lumys.photo/Le site de Lumys Scolaire : https://lumys-scolaire.photo/Mon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
30ème émission de TOKIO radio, toujours et encore des rencontres fabuleuses, des conversations qui s'étirent jusqu'aux étoiles
Grande Conversation 2025 - FEMMES (in)VISIBLES #2 Le regard des femmes photographes - partie 1
Grande Conversation 2025 - FEMMES (in)VISIBLES #2 Le regard des femmes photographes - partie 2
Collaboration commerciale Vous êtes photographe ? Découvrez Lumys Photo et Lumys Scolaire, les solutions idéales pour partager vos photos avec vos clients en toute simplicité. Une entreprise française à taille humaine, basée à Nantes, qui vous accompagne tout au long de votre carrière. Plus d'infos sur https://lumys.photo/ et https://lumys-scolaire.photo/Dans cet épisode, nous discutons avec Wilfrid Esteve, enseignant, producteur, photographe et président de l'agence Hans Lucas. Nous explorons sa carrière riche et variée dans le milieu de la photographie documentaire et du photojournalisme et ses réflexions sur ces secteurs. Wilfrid nous parle de ses débuts, de son parcours en tant que photographe indépendant, et de son engagement dans diverses structures et associations professionnelles tels que l'ANJRPC, Freelens et l'UPP. Il partage également ses expériences en tant qu'enseignant et ses projets actuels, notamment les rencontres photographiques "Face à la mer" de Tanger et le festival qui en découle qui aura lieu à Carcassonne en mai 2025. Bonne écoute !1'40 – Différence entre photojournalisme et photographie documentaire : objectivité vs subjectivité, temps court vs temps long.5'50 – Son enfance à Carcassonne, influencée par le cinéma plus que par la photographie.10'15 – Débuts en autodidacte, assistant de Yann Morvan.10'40 – Engagement associatif : NJRPC, Freelens, UPP pour défendre les droits des photographes.17'40 – Lancement de Transmission pour former les photojournalistes aux réalités du métier.30'10 – Création des Rencontres "Face à la mer" à Tanger par Yamna Mostefa pour soutenir les photographes du Sud méditerranéen.34'50 – Photodoc, une foire dédiée à la photographie documentaire et sa particularité.41'00 – Lancement du festival photo à Carcassonne en mai dans la continuité des rencontres "Face à la mer" de Tanger.54'00 – Expansion de Hans Lucas et rôle de la plateforme pour les photographes indépendants.1'04'30 – Son regard sur l'évolution du photojournalisme : plus de possibilités de financement, mais nécessité d'être créatif.Instagram de Wilfrid Esteve : https://www.instagram.com/wilfrid_esteve/Le site des Rencontres "Face à la mer" : https://rencontres-facealamer.com/Mon site d'éditrice indépendante : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On croit souvent que les objets sont inertes, qu'ils ne sont que des outils, des extensions de nos désirs, de nos gestes. Mais certains d'entre eux portent en eux une mémoire, une intensité presque mystique.Les appareils photo font partie de ceux-là
Anne de Henning, photographe française née en 1945 a commencé sa carrière en tant que photo-reporter au Vietnam en guerre. Ses photographies et articles ont été publiés dans National Geographic, Paris Match, Le Monde,Vogue, Elle, Bunte, New York Times, The Observer.
En 1939, Ruth Orkin a 17 ans, elle traverse seule les Etats-Unis entre Los Angeles et New York, en car, en train, ou en auto stop, accompagnée de sa bicyclette qu'elle utilise pour parcourir les villes. Elle réalise près de 350 photographies : des vues urbaines, beaucoup d'autoportraits et des compositions.
Martine Franck est née en 1938, à Anvers. En 1956 elle commence des études d'histoire de l'art à l'école du Louvre. En 1964, de retour à Paris d'un voyage d'une année en Extrême-Orient avec son amie d'enfance Ariane Mnouchkine, elle travaille pour Time-life. C'est le début d'une grande carrière pour les agences Vu, Viva, l'agence Magnum pour laquelle elle commence un travail sur les droits de la femme en 1993.
Christina Broom née à Londres, en 1862, est considérée comme la première femme photographe de presse du Royaume-Uni. C'est à l'âge de 40 ans que commence sa carrière. En 1903, elle emprunte un appareil pour photographier le prince et la princesse de Galles inaugurant les nouveaux tramways à Westminster.Inspirée par ses résultats, elle emporte un appareil photo à Epsom le jour du Derby, et photographie le cheval qui gagne la course. Elle se rend compte que la photographie est un moyen de gagner sa vie.
L'un des derniers romantiques du cinéma.En 1988, Le Grand Bleu fait de Jean-Marc Barr une icône instantanée, un mythe, à 28 ans.Son regard perdu dans l'infini,Sa beauté transcendante,et son lien presque mystique avec l'océan marquent à jamais le public.À Hollywood, on le courtise, mais lui prend une autre voie, loin du star-system. Jean-Marc Barr emprunte les chemins de traverse, nage à contre-courant et vit son cinéma.Avec Lars von Trier, il tourne Europa, puis s'embarque dans l'aventure Dogma 95, un mouvement cinématographique révolutionnaire qui bouleverse le cinéma indépendant. Il réalise son premier long-métrage, Lovers, avec l'actrice Élodie Bouchez, caméra à la main.Ce mouvement a forcé les réalisateurs à réinventer leur manière de raconter une histoire, en se débarrassant des artifices hollywoodiens, pour revenir à l'essence du cinéma : l'émotion pure.Ce qui frappe chez lui, c'est cette quête de liberté inconditionnelle. Il refuse les facilités du métier, préférant des rôles exigeants, un cinéma brut, une recherche artistique sans compromis.Dans un monde où le cynisme l'emporte souvent, Jean-Marc Barr incarne encore une forme de romantisme. Pas au sens mièvre du terme, mais dans cette capacité à croire en la beauté, en l'art comme espace de vérité et de liberté.Écouter Jean-Marc Barr, c'est plonger dans un autre temps.
Il y a des artistes que l'on reconnaît à leur visage, d'autres à leur voix, certains encore à une posture, une façon d'occuper l'espace. Jean-Marc Barr, lui, se distingue par son esprit. Un souffle de liberté qui traverse chacun de ses choix, qu'ils soient artistiques, personnels ou existentiels. Si vous croyez encore que la célébrité impose des compromis, il suffit d'observer son parcours pour comprendre qu'il incarne tout l'inverse : un refus du conformisme, une quête de vérité, une nécessité d'être soi – coûte que coûte.Il est impossible d'évoquer Jean-Marc Barr sans penser à Le Grand Bleu. Le film culte de Luc Besson l'a propulsé sur le devant de la scène, gravant à jamais son visage dans la mémoire collective. Pourtant, si d'autres auraient pu s'installer confortablement dans la lumière, il a choisi une autre route. Là où certains voient une carrière toute tracée, lui perçoit une cage dorée. Son esprit de liberté l'a poussé à refuser les rôles formatés, les productions sans âme, et à s'orienter vers un cinéma plus exigeant, plus intime.Le cinéma de Jean-Marc Barr est un territoire d'exploration. Il travaille avec des réalisateurs audacieux comme Lars von Trier, devenant un fidèle compagnon de route du Dogme 95. Europa, Breaking the Waves, Dancer in the Dark : des œuvres radicales qui témoignent d'une prise de risque permanente. Il ne joue pas, il habite ses rôles, s'effaçant derrière des personnages tourmentés, marginaux, écorchés. Son choix d'alternance entre cinéma d'auteur et production plus grand public prouve qu'il n'a jamais renié ses idéaux. Il ne se laisse pas enfermer dans une case, car il refuse l'idée même du moule.Jean-Marc Barr est le plus Européen des Américains, il oscille entre plusieurs cultures, plusieurs langues, et c'est peut-être cette hybridité qui nourrit son insatiable besoin de mouvement. Il est aussi réalisateur, scénariste, photographe, explorant sans cesse de nouveaux médiums pour exprimer sa vision. Dans sa filmographie, comme dans sa vie, il y a cette constante : une indépendance farouche. Il se tient loin des mondanités, des calculs stratégiques, des postures factices. Là où beaucoup cherchent à plaire, lui cherche à être.Dans Lovers, film qu'il a lui-même réalisé, il explore la sensualité avec une liberté totale, sans artifice ni tabou. Cette approche du corps comme un langage, comme un territoire d'expression, rappelle que la vraie liberté, c'est d'assumer qui l'on est, dans toute sa vulnérabilité. Ce regard sans fard, il l'applique aussi à son engagement : parler quand il le faut, se taire quand c'est nécessaire, mais toujours avec une forme d'honnêteté qui fait écho à son jeu d'acteur.Dans un monde où l'uniformisation menace l'authenticité, Jean-Marc Barr demeure une figure précieuse, un repère. Il nous rappelle qu'il est encore possible de choisir une autre voie, de privilégier l'essence à l'apparence, de refuser les compromis stériles. Sa carrière est un manifeste : celui d'un homme qui n'a jamais cessé de suivre son propre courant, envers et contre tout.Jean-Marc Barr ne joue pas à être libre. Il l'est.
« Qui est vraiment Boris Pierre ? Depuis le début de TOKIO radio, il questionne, il écoute, il explore. Mais cette fois, les rôles s'inversent. Guy Birenbaum mène l'entretien. Un échange sincère, sans filtre.Une conversation pour mieux comprendre la voix derrière TOKIO radio. »
durée : 00:05:25 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Alors que le biopic de Lee Miller vient de sortir en France, un peu d'exploration dans la mémoire de notre musique populaire nous rappelle l'importance majeure du photographe Robert Doisneau.
Nous sommes le 4 septembre 1944, à Charleroi. Sur l'un des nombreux clichés pris ce jour-là par les photographes, anonymes ou non, dans la foule qui laisse éclater sa joie de vivre la liberté retrouvée, on peut voir un couple. Deux jeunes gens, le visage illuminé d'un large sourire. Il est américain, les cheveux ondulés, la peau qui semble recouverte de poussière, elle est wallonne. Elle aussi a les cheveux ondulés. Elle a mis du rouge à lèvres. Vraisemblablement, ils ne se connaissent pas, ne parlent pas la même langue. Leur regard se tournent vers nous qui les observons. Ils communient dans l'émotion de la Libération. Elle a sa main discrètement posée sur l'épaule de celui qui, parmi beaucoup d'autres, a fait renaitre l'espoir des populations traumatisées. Regard, aujourd'hui, sur la Wallonie libérée… Invités : Alain Colignon, chercheur au CegeSoma (Centre d'Etudes et de Documentation Guerre et Sociétés contemporaines) et Mélanie Bost, chercheuse associée à l'Ecole royale militaire. « La Wallonie libérée » éditions Renaissance du Livre. Sujetes traités : Wallonie, Charleroi, libération, photographes, émotion, Deuxième Geurre Mondiale Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:59:25 - Toute une vie - Navigant dans le New-York underground des années 1970, Robert Mapplethorpe a photographié des visages du show business, des corps sculpturaux, des figures sado-masochistes, choquant et fascinant tout à la fois ses contemporains. - invités : Michael Ward Stout Avocat et ami. Aujourd'hui à la tête de la Fondation Robert Mapplethorpe à New York.; Judith Benhamou - Huet Journaliste sprécialiste de l'art et le marché de l'art aux « Echos » et au « Point »; Jean-Charles De Castelbajac Styliste et créateur de mode, ami de Vivienne Westwood; Hélène Pinet Chargée des collections de photographies du Rodin à Paris.; Judith Judith Childs Habitante du Chelsea Hôtel.; Bob Collacello Journaliste, rédacteur en chef de Vanity Fair.; Edmund White Ecrivain
durée : 00:59:23 - Toute une vie - Celui que l'on surnomme "l'œil de Paris", amoureux de la Capitale, saura la voir comme personne ! D'ailleurs, il ne la voit pas, il la regarde avec passion et la fixera à jamais sur la pellicule.
durée : 00:01:32 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - 80 secondes consacrées ce matin à 25 photographes japonaises visibles dans une exposition, "Quelle joie de vous voir". Un complément et un contrepoint nécessaires aux narratifs établis de l'histoire de la photographie du Japon.
durée : 00:58:57 - Toute une vie - Admiré pour avoir fait basculer la photo de mode dans une dimension narrative, Guy Bourdin aimait créer des énigmes. Glamour, inquiétantes, et sans doute engendrées par celles qui ont jalonné, de façon accidentelle, sa propre vie.
durée : 00:59:31 - Toute une vie - Le nom de Dora Maar est inextricablement lié à sa relation amoureuse avec Picasso. Mais Dora Maar, c'est surtout le combat d'une femme qui a toujours cherché à s'affranchir, à la recherche d'elle-même et de son art propre, celui de la peinture et de la photographie. - invités : Victoria Combalia Historienne et critique d'art espagnole, biographe de Dora Maar; Brigitte Benkemoun Journaliste et écrivaine; Anne Carpentier Fondatrice et directrice de la Galerie La marchande des 4 saisons; Damarice Amao Historienne de l'art et commissaire d'exposition; Jérôme de Staël Photographe; Gwen Strauss Directrice-administratrice de la Maison Dora Maar à Ménerbes; Marcel Fleiss Fondateur de la galerie 1900-2000 à Paris
durée : 00:59:02 - Toute une vie - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - Présenté dès le début de la guerre d'Espagne comme « le plus grand photojournaliste du monde », Robert Capa est une légende qui n'a cessé d'être investie par la fiction. - invités : Robert Delpire; Françoise Denoyelle Historienne; Bernard Lebrun Grand reporter
durée : 00:59:53 - Toute une vie - par : Perrine Kervran - Celle que l'on surnommait "La Castiglione", que l'on connaît pour avoir été l'une des maitresses de Napoléon III, a surtout été en secret une artiste qui a peut-être inventé la performance et l'autofiction photographique. Voici le récit de la vie et des œuvres de "la plus belle femme de son siècle". - invités : Marie Robert Professeure de lettres et de philosophie et autrice française; Françoise Heilbrun Auteur, conservateur en chef au musée d'Orsay; Philippe Thiébaut; Marianne Nahon; Nathalie Léger Directrice de l'IMEC, romancière.; Charles-Eloi Vial Archiviste-paléographe, conservateur au département des Manuscrits de la BNF
Joséphine est une artiste et elle expose aujourd'hui son travail dans le monde entier. Ses photos nous transportent et nous ramènent à des souvenirs heureux. Dans cet extrait Joséphine nous raconte qu'il ne faut pas avoir peur de déplaire, au contraire, il vaut oser se tromper pour s'accomplir pleinement.Retrouvez l'épisode complet dimanche soir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Little Talk in Slow French : Learn French through conversations
"The Two Greatest French Photographers" Transcription : https://www.patreon.com/posts/84396254 If you like my podcast, please consider becoming a Patreon :-) https://www.patreon.com/talkslowfrench/membership
durée : 00:58:58 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Dans quelle mesure les œuvres de Bernd et Hilla Becher constituent-elles des témoignages de l'industrie allemande et de son déclin progressif au cours du XXe siècle ? - invités : Hervé Joly Historien et directeur de recherche au CNRS au Laboratoire Triangle; Françoise Haon Historienne de l'art
durée : 00:59:39 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Qu'est-ce que le regard photographique de Willy Ronis nous dit de l'histoire du Front populaire ? - invités : Danielle Tartakowsky Historienne, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis, spécialiste des mouvements sociaux; Tangui Perron Historien, chercheur associé au Centre d'histoire sociale et des mondes contemporains (Paris I et CNRS)
durée : 00:59:03 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Dans quelle mesure les photographies de Dorothea Lange constituent-elles un témoignage de l'Amérique en crise des années 1930 ? - invités : Emmanuel Didier Sociologue, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l'ENS; Pia Viewing Commissaire-chercheuse au Musée du Jeu de Paume