POPULARITY
Aude de Nexon artiste renommée notamment pour ses tableaux dans lesquels les corps se dévoilent par fragments le tout dans une atmosphère de contorsion et dʹeffacement. Née en 1978 à Lille, installée depuis 2019 à Lausanne elle crée ses œuvres avec des matériaux traditionnels tels que : lʹhuile, le fusain etc… Elle a aussi travaillé comme décoratrice dans le cinéma avec des chefs décorateurs parmi lesquels: Bertrand tavernier, catherine Corsini, ou encore Tonie Marshall. Elle vient aujourdʹhui nous présenter sa nouvelle exposition qui aura lieu du 17 mai au12 juillet à la galerie Aarlo u Viggo à Buchilllon. Aude de Nexon est lʹinvitée de Pierre Philippe Cadert
La Galerie de Florence racontée par Dumas. Rencontre avec Cristina Farnetti et Jocelyn Fiorina pour leur livre publié aux éditions ChêneUn trésor oublié signé Alexandre Dumas, publié pour la première fois, 7 volumes, 1 900 pages, 700 images.En 1840, Alexandre Dumas, tout juste installé à Florence, est sollicité pour rédiger un guide du musée des Offices à la forme révolutionnaire. Grand amateur d'art, l'écrivain transforme le projet en une création magistrale : il commente 200 chefs-d'oeuvre de la galerie des Offices auxquels il ajoute une histoire des Médicis, une histoire de la peinture et des peintres, le tout formant une arborescence romanesque, érudite et vivante. L'inégalable collection des portraits de peintres complétera l'ouvrage. Édité pour la première fois, ce monument littéraire, en plus de l'intégralité des gravures d'origine, est enrichi de toutes les oeuvres en couleur, et est éclairé par les annotations de Cristina Farnetti et de Jocelyn Fiorina.Édition établie, présentée et annotée par Cristina Farnetti et Jocelyn Fiorina, en collaboration avec le musée des Offices de Florence.Cristina Farnetti, spécialiste en philosophie et en littératures anciennes, se consacre à la recherche et à l'histoire des idées, notamment aux liens entre arts figuratifs et performatifs. Elle est l'autrice de nombreuses éditions critiques.Elle est en disponibilité du ministère de la Culture italien.Jocelyn Fiorina est président de la Société des Amis d'Alexandre Dumas. Il est enseignant à CentraleSupélec, à l'Université Paris-Saclay, et à l'Université de Rome La Sapienza. Passionné de littérature, il a consacré un ouvrage aux riches liens entre le célèbre écrivain français et l'Italie.
Barry McGee, icône du graffiti américain devenu une star de l'art contemporain, investit pour la deuxième fois la Galerie Perrotin à Paris avec l'exposition "I'm Listening" Barry McGee vient du bitume, du graffiti illégal, des squats et des marges de San Francisco, berceau de la contre-culture californienne. Il émerge dans la Street art dans les années 90 avec le mouvement d'artistes engagés socialement et politiquement de la Mission School et signe ses premières œuvres Twist, pseudonyme qu'il réserve à son travail à la bombe aérosol.Il se démarque en dessinant des personnages cartoonesques avec des visages crispés, traits tirés et aux paupières lourdes inspirés des sans-abri qui font désormais partie de son ADN.L' artiste culte de 59 ans, fils d'un mécanicien irlandais et d'une secrétaire chinoise, s'est fait connaître en montrant sur les murs ce que les villes refusaient de voir : la solitude, l'errance, la pauvreté, l'addiction, l'effondrement... Trente cinq ans plus tard, Barry McGee, réputé pour son talent à transformer l'espace urbain en toile de fond vibrante, l'ancien vandale devenu une célébrité vénérée dans le monde entier, expose chez Perrotin, haut lieu du marché de l'art mondialisé. À travers une série d'œuvres foisonnantes et colorées, peintures à grande échelle frôlant l'art brut, sculptures, skates totems, tableaux géométriques ou toiles de cerises, il offre une immersion saisissante dans son univers aussi saturé que cohérent et fascinant.Ses créations n'ornent pas, elles débordent. Et ici, rien de spectaculaire : tout est non-dit et frontal. Ni nostalgique, ni didactique, cet événement dessine les contours d'un monde où le chaos n'est pas une fin, mais une forme de lucidité pour Barry McGee. « I‘m Listening », exposition de Barry McGee à la Galerie Perrotin jusqu'au 24 mai 2025 à Paris.
Barry McGee, icône du graffiti américain devenu une star de l'art contemporain, investit pour la deuxième fois la Galerie Perrotin à Paris avec l'exposition "I'm Listening" Barry McGee vient du bitume, du graffiti illégal, des squats et des marges de San Francisco, berceau de la contre-culture californienne. Il émerge dans la Street art dans les années 90 avec le mouvement d'artistes engagés socialement et politiquement de la Mission School et signe ses premières œuvres Twist, pseudonyme qu'il réserve à son travail à la bombe aérosol.Il se démarque en dessinant des personnages cartoonesques avec des visages crispés, traits tirés et aux paupières lourdes inspirés des sans-abri qui font désormais partie de son ADN.L' artiste culte de 59 ans, fils d'un mécanicien irlandais et d'une secrétaire chinoise, s'est fait connaître en montrant sur les murs ce que les villes refusaient de voir : la solitude, l'errance, la pauvreté, l'addiction, l'effondrement... Trente cinq ans plus tard, Barry McGee, réputé pour son talent à transformer l'espace urbain en toile de fond vibrante, l'ancien vandale devenu une célébrité vénérée dans le monde entier, expose chez Perrotin, haut lieu du marché de l'art mondialisé. À travers une série d'œuvres foisonnantes et colorées, peintures à grande échelle frôlant l'art brut, sculptures, skates totems, tableaux géométriques ou toiles de cerises, il offre une immersion saisissante dans son univers aussi saturé que cohérent et fascinant.Ses créations n'ornent pas, elles débordent. Et ici, rien de spectaculaire : tout est non-dit et frontal. Ni nostalgique, ni didactique, cet événement dessine les contours d'un monde où le chaos n'est pas une fin, mais une forme de lucidité pour Barry McGee. « I‘m Listening », exposition de Barry McGee à la Galerie Perrotin jusqu'au 24 mai 2025 à Paris.
Dans cet épisode exceptionnel (en français et en anglais), Rem reçoit quatre invités à l'occasion de l'exposition “Sasha Katz x Guests”, visible à la Galerie Data (26 Bd, Jules Ferry 75011, Métro République) à Paris jusqu'au 10 mai.À travers 17 œuvres de Sasha Katz et 3 œuvres invitées, cette exposition propose une immersion dans un univers dense, hybride et profondément sensible, où se croisent art numérique, féminité, mythologie et introspection. Les invités :* Sasha Katz, artiste 3D d'origine russe, installée à Paris* Ganbrood, artiste néerlandais reconnu pour ses portraits créés à l'IA* Gabrielle Debeuret, fondatrice de la Galerie Data* Elisabeth Karolyi, curatrice pour le collectif 1703Ce qu'on y découvre* L'univers de Sasha Katz, influencé par la peinture symboliste, les contes slaves, la photographie, la sculpture et le cinéma (notamment David Lynch).* Des personnages féminins puissants, ambigus, parfois grotesques, souvent mélancoliques — qu'elle fait évoluer comme des actrices dans un théâtre visuel.* Une scénographie pensée comme un écho entre ses œuvres et celles de :* Natalia Shlyakhovaya, photographe russe* Fernand Khnopff, peintre symboliste belge (œuvre de 1921)* Ganbrood, avec Heir Apparent, portrait d'enfants inspiré par les codes de la peinture classique et les ambiguïtés de l'IA. Les séries de Sasha Katz évoquées* Radio Silence : portraits de femmes seules mais connectées par un “bruit blanc émotionnel”* Twilight Drive : série narrative en noir et blanc, entre Hitchcock et Lynch* Yakamoz : hommage à la mer et aux souvenirs d'Istanbul* Orgasm Series : exploration frontale de l'intime et du plaisir féminin La phrase clé de l'épisode"I create synthetic women. They are not real, and that's important to me. Because if they're not real, they can be anything. They can age with me, they can carry emotions, desires, fears. I give them space to exist on their own, to have their own thoughts. They are like actresses in a theatre of solitude."— Sasha Katz
“Lisa Sartorio” Les désoeuvréesà la galerie binome, Parisdu 16 avril au 14 juin 2025Entretien avec Lisa Sartorio,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 15 avril 2025, durée 17'33,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/05/08/3614_lisa-sartorio_galerie-binome/Communiqué de presse En 1916, dans l'une de ses fameuses notes, Marcel Duchamp définissait par l'exemple le « ready-made réciproque » : « Se servir d'un Rembrandt comme planche à repasser. » À l'inverse des ready-made bien connus, le ready-made réciproque entendait convertir une oeuvre d'art en objet utilitaire. Comme les ready-made, il n'introduisait pas une différence de degré mais de nature avec l'objet d'origine : ce dernier ne devenait pas plus ou moins ce qu'il était déjà, il était dénaturé. Le ready-made réciproque n'est resté, pour l'anartiste Duchamp, qu'une hypothèse. Sa postérité n'en est pas moins immense car, de nos jours, il n'est pas un chef-d'oeuvre, de Rembrandt ou autre, que l'industrie culturelle n'ait converti, au mieux en bijou, boîte, assiette ou tasse, au pire en set de table, coque de smartphone, ruban adhésif ou papier hygiénique… Autant d'objets qui, par leur prolifération, s'imposent dans notre quotidien comme les nouveaux modes d'existence des oeuvres originelles, au point d'effacer, quand nous les connaissons, la réalité de ces dernières de nos mémoires.Le récent travail de Lisa Sartorio porte sur la dénaturation de l'art opérée, à l'ère du consumérisme culturel et touristique, par ces ready-made réciproques que sont les produits dérivés. L'artiste s'était déjà intéressée au devenir image des oeuvres d'art quand, en 2013, elle avait collecté sur internet des centaines de reproductions différentes de la Joconde, oeuvre comme il se doit la plus partagée sur les réseaux, pour créer une composition abstraite. Aujourd'hui, les quatre corpus qui forment Les Désoeuvrées sont consacrés à leur devenir objet.Pour constater l'ampleur du phénomène, Lisa Sartorio a commencé par réunir, toujours grâce à internet, les produits dérivés de deux chefs-d'oeuvre, Amandier en fleurs (1890) de Vincent van Gogh et Le Baiser (1908-1909) de Gustav Klimt, dont elle a assemblé les images dans des compositions saturées qui, en dépit de l'homogénéité du motif, laissent apparaître la diversité des objets commercialisés, y compris des chaussures, escarpins ou baskets, pour le tableau de Van Gogh, ou un parapluie, des collants et un skateboard pour celui de Klimt. Une fois imprimées, elle a utilisé ces compositions pour confectionner des objets en trois dimensions en les moulant sur de la vaisselle, des bouteilles, ustensiles de cuisine, téléphones, tongs, etc., qu'elle a agencés dans l'espace. Elle a ensuite photographié ces natures mortes en variant les lumières pour souligner la matérialité de ces objets. Mais cette matérialité, apparente dans les deux dimensions de la photographie, est feinte car, et c'est ce qui importe, ces objets sont creux : le geste de l'artiste, qui fait écho à la perte de réalité de l'oeuvre désoeuvrée en produit dérivé, a consisté à retirer le moule qui, faut-il le rappeler, s'appelle aussi l'âme. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Exposition « vermine », Angélique Aubrit & Ludovic Beillard, du du 22 mars au 10 mai 2025, Galerie Valeria Cetraro, 16 Rue Caffarelli, 75003 Parishttp://www.galerievaleriacetraro.com/https://www.instagram.com/tempodelart/Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'invité culture est l'artiste tchadien Doff, qui présente à Paris sa première exposition monographique à la Galerie Vallois. Depuis son atelier à Ndjamena, Doff construit une œuvre dont la violence est le sous-texte, à l'image de son pays qui, depuis son indépendance en 1960, a connu deux coups d'État et trois guerres civiles. À lire aussiDoff, plasticien tchadien à la galerie Art-Z à Paris
L'invité culture est l'artiste tchadien Doff, qui présente à Paris sa première exposition monographique à la Galerie Vallois. Depuis son atelier à Ndjamena, Doff construit une œuvre dont la violence est le sous-texte, à l'image de son pays qui, depuis son indépendance en 1960, a connu deux coups d'État et trois guerres civiles. À lire aussiDoff, plasticien tchadien à la galerie Art-Z à Paris
durée : 00:03:15 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Depuis quelques jours, une vague d'images à la manière du Studio Ghibli submerge les réseaux sociaux. À l'origine de cette déferlante, la dernière version de ChatGPT qui amuse la galerie au détriment du droit d'auteur et des ressources planétaires.
durée : 00:04:04 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Le 15 mars 2025, la direction d'Auchan a obtenu l'accord des syndicats sur le plan social qui concerne 2400 emplois, dont 200 condamnés à Clermont-Ferrand. L'hypermarché Auchan Nord de Croix-de-Neyrat va fermer le 17 mai, mais que vont devenir la galerie et sa vingtaine de commerces ?
durée : 00:04:59 - L'art contemporain vient vers vous à Quimper avec un espace d'expo tiré par un vélo : "la Galerie remorquée"
durée : 00:28:39 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - Visite de l'exposition “Objets en questions : Archéologie, ethnologie, avant-garde” au Musée du Quai Branly-Jacques Chirac. Comment l'archéologie et l'ethnologie ont-elles influencé les arts plastiques dans l'entre deux guerres? Comment ces deux sciences de terrain ont-elles transfiguré les musées? - réalisation : Olivier Bétard - invités : Philippe Peltier Conservateur général honoraire du patrimoine
Hans-Gorg Meiermeier est un artiste international dont l'œuvre révolutionnaire, "Platitude n°104", est mystérieusement absente à l'aube d'une exposition cruciale à la Galerie 31 de Londres. Mais le mystère s'épaissit lorsque une autre création inédite disparaît dans des circonstances inexplicables, défiant même les enquêteurs de Scotland Yard. Que s'est-il réellement passé dans cette galerie huppée ? Des meurtres qui défient la raison, des enquêtes impossibles, ou encore des assassins imprenables : abonnez-vous pour ne rater aucun nouveau récit passionnant de Pierre Bellemare, pour qui l'art de conter n'avait aucun secret.
“Jean-Michel André” Chambre 207à la galerie Sit Down, Parisdu 7 mars au 10 mai 2025Entretien avec Jean-Michel André,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 20 février 2025, durée 19'05,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/06/3597_jean-michel-andre_galerie-sit-down/Communiqué de presse Après avoir été présentée au Musée de l'Hospice Comtesse à Lille, dans le cadre de l'exposition hors-les-murs de l'Institut pour la Photographie, la galerie Sit Down a le plaisir de dévoiler une sélection de photographies issues du livre Chambre 207, publié aux éditions Actes Sud et honoré du prestigieux prix Nadar-Gens d'image 2024.“La chambre des enfants était la 207 : j'y ai laissé ma mémoire et mon enfance.“Avec Chambre 207, Jean-Michel André poursuit une démarche photographique mêlant politique et poésie, interrogeant les frontières, la mémoire et les mutations du territoire. Ce projet questionne des thèmes universels tels que l'absence, le manque et la quête de réparation, qui traversent l'ensemble de son oeuvre. Inscrit dans une veine autofictionnelle, ce travail s'appuie sur une mémoire réinventée, née d'un profond traumatisme d'enfance. Dans cette série inédite, le photographe replonge dans les souvenirs de cette nuit qui a bouleversé sa vie et dans la mémoire disparue de son père. Chambre 207 prend la forme d'un récit visuel, oscillant entre “reconstitution et reconstruction“ comme le décrit l'historien de la photographie Clément Chéroux.A contrario de l'expérience muséographique adressée aux visiteurs du musée de l'Hospice Comtesse de Lille, la Galerie Sit Down entend offrir une proposition différente où la reconstruction occupe une large place. Dans une moindre mesure, un dialogue entre images familiales, éléments d'enquête et tirages photographiques persiste encore. Néanmoins, l'objectif central réside ici dans l'exaltation de la démarche réparatrice de l'artiste à travers le médium photographique. Interagissent ainsi des images d'Avignon et de la région d'Arles, sur les lieux du drame et de l'enquête judiciaire, ainsi que d'autres sites empreints d'une résonance intime : la Corse, le Sénégal ou encore l'Allemagne.Dans ces images délicates et oniriques, les oiseaux occupent une place symbolique majeure. Ils incarnent pour l'artiste “l'élévation, la liberté et le voyage“. Chambre 207 se veut ainsi une invitation au voyage, un cheminement visuel et poétique à travers lequel Jean-Michel André tente de “conjurer le traumatisme pour aller vers la lumière“. La subtilité et la retenue caractérisent les photographies, qui vibrent d'une poésie discrète, loin de tout pathos. Fidèle à son approche délicate, Jean-Michel André confie : “Je travaille sur les lisières, sur le fil, tel un funambule qui avance en essayant de ne pas chuter, de rester concentré.“Cette exposition coproduite par l'Institut pour la photographie et le Centre Méditerranéen de la photographie, repose sur le pouvoir du symbole, permettant de relater avec pudeur l'événement tragique qui a bouleversé la vie de l'artiste. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Résumé de l'épisode #835 du NFT Morning sur l'exposition Machina FaunaDans cet épisode du NFT Morning, John et Rem accueillent Diane Drubay, curatrice de l'exposition Machina Fauna, ainsi que Gabrielle Debeuret, fondatrice de la Galerie Data, où se tiendra l'événement.L'exposition, qui ouvre ses portes le 27 février à la Galerie Data à Paris, explore la fusion entre l'organique et le synthétique, mettant en scène un monde post-naturel où la faune et la technologie coexistent. Diane explique sa démarche curatoriale par une volonté de dépasser la peur de la technologie en imaginant une symbiose entre le vivant et l'artificiel.Gabrielle Debeuret revient sur l'évolution de la Galerie Data, initialement dédiée à l'art génératif, et son ouverture à des thématiques plus larges grâce à la collaboration avec des curateurs externes comme Diane.Parmi les artistes exposés, on retrouve :* Ziyang Wu, qui présente The Song of the Connectors, une série de vidéos explorant les interconnexions entre espèces et intelligence artificielle.* Viola Rama, dont la série Tender Monsters interroge la transformation du corps et la représentation du féminin à travers une esthétique hybride et troublante.* Frédérik De Wilde, avec ses œuvres biomorphiques générées par IA, qui questionnent les mutations entre nature et machine.* Hypereikon, duo d'artistes créant des paysages numériques immersifs explorant la fusion entre biologie et algorithmes.* Manon Pretto, qui propose une installation physique immersive avec des sculptures hybrides mêlant impression 3D et matières organiques.L'épisode aborde aussi l'importance de cette exposition dans le débat actuel sur l'impact de la technologie sur la nature et notre rapport au vivant. Diane insiste sur sa volonté de proposer un futur positif, loin des récits catastrophistes habituels.L'exposition est visible jusqu'au 15 mars et une partie des bénéfices sera reversée à l'association Wild Tomorrow, qui œuvre pour la protection de la biodiversité.
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
A la Une de la presse, ce mardi 28 janvier, la présentation, aujourd'hui, au Sénat, d'une proposition de loi transpartisane, pour renforcer la lutte contre le narcotrafic. La visite, aujourd'hui, d'Emmanuel Macron au Louvre, où des annonces sont attendues concernant la dégradation du musée. La suspension de l'aide humanitaire américaine par l'administration Trump. Et deux études étonnantes.
Pour sa réouverture après plus d'un an de travaux, le Musée Jacquemart-André voit les choses en grand. Avec une exposition passionnante intitulée « Chefs d'œuvre de la Galerie Borghese ». C'est l'occasion d'admirer un ensemble d'œuvres majeures d'artistes célèbres de la Renaissance et de la période baroque rarement prêtées à l'étranger. Cette collection provient d'une villa construite entre 1607 et 1616, sur ordre du puissant cardinal Scipion Borghese, neveu du pape Paul V. Son goût était très sûr. Vous serez plongés dans un univers fastueux. Vous admirerez des ouvres des plus grands maîtres de l'époque, comme Véronèse, Raphaël, Titien ou Botiicelli. Mais aussi des artistes plus confidentiels. « Chefs d'œuvre de la Galerie Borghese », c'est jusqu'au 9 février au Musée Jacquemard-André, 158 boulevard Haussmann dans le 8ème. Crédits photo : Nicolas Heron
Aujourd'hui, l'objectif de cette discussion est de comprendre le pouvoir du merchandising et les techniques pour mettre en valeur son travail quel que soit le lieu de vente. Pour parler de ce sujet, nous avons la chance d'avoir avec nous : Catherine Paoli - Catherine est la fondatrice de Expérience Collective, une galerie exposant artisans d'art, artistes et designers français. Catherine a plus de 20 ans d'expérience dans le monde du retail en Vente, Visuel merchandising, Achat, Marketing et Communication. Clélia Chotard - Clélia est créatrice et fabricante de bijoux spécialisée dans la faïence de récupération. Elle a créé sa marque, l'atelier Vézanne, en avril 2021. S'il y a un message que nous retenons de cette conversation, c'est que le merchandising doit pouvoir raconter visuellement l'histoire de la marque et ses valeurs. Si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple podcast ou Spotify ;) Tous les mois, nous proposons un nouveau thème de discussion, pour éclairer une spécificité de l'artisanat d'art. Nous diffusons l'échange ici, mais si vous voulez poser vos propres questions, inscrivez-vous à l'événement, nous le communiquons via notre newsletter, et nos réseaux sociaux. Enfin, si vous voulez décrypter l'artisanat d'art avec nous, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @artisansdavenir (Instagram, Facebook, Linkedin). Si vous voulez acheter le livre "Profession artisan d'art" que nous avons écrit, il est disponible dans toutes les librairies et peut se commander depuis notre site internet. Pour nous rejoindre, c'est par ici ! Références : Trudon La Réserve des Arts
“Corinne Mercadier” Une borne à l'infinià la galerie binome, Parisdu 5 décembre 2024 au 25 janvier 2025Entretien avec Corinne Mercadier,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 décembre 2024, durée 14'39,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/12/22/3584_corinne-mercadier_galerie-binome/Communiqué de presse Les oeuvres de Corinne Mercadier sont comme des brèches dans le réel. Elles nous happent instantanément, nous transportent en des territoires incertains où réel et merveilleux s'entendent bien. Des lieux insondables, primitifs, faits de pénombre et de faisceaux de lumière, très proches et très lointains. Ils résonnent en nous sans que l'on sache exactement pourquoi.L'exposition Une Borne à l'infini réunit trois corpus de photographies et de dessins, des pièces parmi les plus anciennes de l'artiste produites en 1986 aux plus récentes dans les séries en cours Rêves et La Nuit Magnétique. S'ils relèvent de gestes et de recherches bien différents, ils ont pourtant en commun de vouloir faire surgir à la surface du papier des mondes flottants, aussi fugaces que persistants. Par ses constructions visuelles, aux confins de la mémoire et des sensations, Corinne Mercadier nous livre des visions, donne figure à des hallucinations passagères. Comme un antidote à la pesanteur ambiante, chaque œuvre bouleverse en douceur l'ordre des choses, nous propose une expérience visuelle et mentale presque mystique. Un rêve éveillé en état stationnaire. Ici le jour et la nuit n'existent plus. Ici, l'idée de paysage ou d'architecture vacille au profit d'espaces plus impénétrables, de situations irrationnelles. Dans le silence de l'atelier les oeuvres s'élaborent par strates, depuis ses carnets de recherches et d'esquisses, en laissant sa part au hasard. Elles s'ancrent dans l'Histoire de l'art occidental, des fresques de Giotto, du fond d'or médiéval à la représentation du paysage et des lointains à la Renaissance.Au coeur des préoccupations de l'artiste, transcender par la lumière la puissance discrète et latente des matériaux. Pigments, pixels, émulsions, propriétés mêmes du papier, peinture sur verre, confèrent à chaque image une aura singulière. Mais également langage, titres, accessoires et décors de ce théâtre intérieur. Dans ces atmosphères cristallines et ouatées, nous nous glissons. Et c'est comme si quelqu'un avait subitement rallumé la lumière dans le noir, une lumière astrale et sacrée. Ondulations, morsures, lignes floues et nettes libèrent le grain, comme des flambées, elles ravivent les souvenirs tout en faisant surgir de nouvelles projections. Nous nous tenons au seuil de ces étuves froides et dorées, devant ces êtres de pure illusion qui frôlent les murs, devant ces bornes à l'infini.Les images de Corinne Mercadier sont aussi sophistiquées qu'expérimentales. A la part mécanique du photographique, elle adjoint toujours la part fantasque et inconsciente de la main. Chaque image dans sa fausse quiétude émet un signal comme une réponse intermittente à l'inexprimable situation du monde. Si un fond d'inquiétante étrangeté persiste, toujours un rayon de lune, un signe viendra piquer notre curiosité, réinjecter de l'étonnement et du plaisir là où on ne l'attend pas.Géraldine Bloch, commissaire d'expositions et auteure indépendante Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour redonner vie à ce lieu cher au patrimoine bruxellois, le projet de réouverture a été pensé dans le respect de son histoire, tout en y apportant une touche de modernité. La Galerie Bortier réinvente sa vocation en proposant une expérience culturelle complète : un café littéraire, des librairies spécialisées en livres d'art et d'occasion, ainsi qu'une programmation d'événements littéraires et artistiques — lectures, signatures et mini-concerts — pour enrichir l'expérience des visiteurs.La Galerie accueille une sélection d'artisans de renom. Parmi eux, le café littéraire Kawa Club, inspiré des anciennes librairies anglaises où des soirées seront organisées. Côté librairie, Pierre Coumans et Fanny Genicot, bouquinistes historiques du lieu, présentent une collection de livres d'art et de seconde main. Parmi les noms connus de la gastronomie bruxelles : Yves Mattagne y dévoile Naanry, une adresse dédiée aux saveurs épicées de l'Inde. César Lewandowski (Top Chef) fait voyager les amateurs de produits de la mer avec Polpo, un comptoir méditerranéen proposant huîtres et ceviches.D'autres comptoirs tels que la charcuterie Dierendonck, la fromagerie Sœurs, ainsi qu'une épicerie italienne, viennent compléter cette offre. Enfin, un espace inédit de bières artisanales belges permetde célébrer le savoir-faire bruxellois en la matière.De quoi rallier culture, gastronomie et littérature... et vous donner des idées en cas d'escapade à Bruxelles.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
"La Galerie de Florence racontée par Alexandre Dumas" aux éditions Chêne. Entretien avec David Pigeret.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue sur 2Goodmedia, le conscious media sur la transformation des industries qui couvre les grands salons professionnels, en France et à l'étranger.Aujourd'hui je vous amène à NFT Paris pour parler révolution numérique et culturelle dans le milieu de l'art à NFT Paris en 3 interviews.3 personnalités à découvrir absolument si vous êtes intéressés par le marché de l'art et des NFTs français et internationalPart1 : Annelise Stern, fondatrice de la galerie Art Girls #Episode88
Pour ce 769eme épisode, nous avons tout d'abord reçu Polygon1993 qui est venu nous parler de son travail et nous présenter sa collection de cartes à jouer Phantasm TCG. Gabrielle Debeuret, fondatrice de Galerie DATA et l'artiste Florian Zumbrunn nous ont rejoint pour évoquer l'exposition Disrupt qui se déroule jusqu'au 26 octobre.1. Phantasm TCG par Polygon1993* Polygon1993 présente un jeu de cartes à collectionner (Trading Card Game), inspiré de son travail d'art numérique glitch analogique. Les cartes présentent des œuvres d'art rétro, rappelant l'esthétique des jeux comme Pokémon et Magic.* Basé sur une mécanique de type Pierre-Papier-Ciseaux, avec des niveaux de rareté des cartes et des éditions spéciales, y compris des God Packs.* Le projet associe à la fois l'art et la collection en mélangeant numérique et physique. Il s'inscrit dans une volonté de démocratiser l'accès à son art, tout en offrant une expérience de jeu ludique et immersive.* Les cartes sont disponibles à l'achat sur Phantasm.world, avec une série limitée encore disponible.2. Exposition “Disrupt” à la Galerie DATA* La Galerie DATA est située située au 26 boulevard Jules Ferry, 75011 Paris.* Gabrielle Debeuret fondatrice de la galerie DATA, expose les œuvres de Florian Zumbrun et Alexandra Jovanić.* L'exposition explore le thème de la perturbation dans les systèmes génératifs et les codes. Alexandra Jovanić s'inspire du travail minimaliste de Sol LeWitt pour déconstruire des systèmes géométriques, tandis que Florian Zumbrun présente une série physique et digitale basée sur des algorithmes, avec un travail sur l'aquarelle.* Les œuvres de Florian Zumbrun et d'Alexandra Jovanić sont également disponibles sur la plateforme FXhash.Ces deux projets reflètent l'innovation à la croisée de l'art traditionnel et digital, apportant de nouvelles expériences immersives pour les amateurs d'art et de technologie.Pour aller plus loin:* Linktr.ee de Polygon1993* Site officiel de Florian Zumbrunn* Site officiel de la Galerie DATA* Profil LinkedIn de Gabrielle DebeuretReplay de l'épisode en vidéo: This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit www.nftmorning.com
durée : 01:48:09 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Roselyne Bachelot dépeint les beaux "monstres" politiques. / Comment repenser la place de gare SNCF dans le territoire français ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Roselyne Bachelot Éditorialiste, ancienne ministre; Raphaël Poli Directeur général adjoint de SNCF Gares & Connexions et président de SNCF Retail & Connexions; Alexandra de Hoop Scheffer Présidente du think tank transatlantique German Marshall Fund of the United States; Pierre Vimont Ancien ambassadeur de France aux Etats-Unis, ancien secrétaire général exécutif du Service européen pour l'action extérieure, chercheur associé au think tank Carnegie Europe; Claire Bommelaer Journaliste culture au Figaro
Le dessinateur dʹorigine Congolaise Jean Phillipe Kalonji présente une collection de nouvelles œuvres à la galerie Tiramisu de Carouge à Genève sous le nom Afrique Asie Kitoko Katashi jusquʹau 2 octobre 2024. Une chronique de Michel Ndeze.
durée : 00:04:09 - Une semaine dans leurs vies - Des collectionneurs du sud de la France et d'Espagne répondent présents à chacune de leurs expositions. En ce mois de septembre, à Céret, on peut voir leurs dernières œuvres. Sabine y présente des peintures sur des briques fabriquées dans le village voisin. Une commande de la Galerie LE 27.
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
REDIFF - Entre les anecdotes de camping du Docteur Jean-Michel Cohen et celles de Julien Courbet, on en apprend davantage sur la jeunesse de l'équipe de "Ça peut vous arriver". Tout l'été, revivez les meilleurs fous rires, coup de gueule et débats de l'émission "Ça peut vous arriver" en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.
Avec Manon Bril, excellente, mais aussi Judith, Clara, Cheriecream, Boulet et Thomas.Les timecodes :13:50 Pouce (Cheriecream)17:30 L'Envoutement (Boulet)30:30 Le Palais des Glaces (Judith)50:34 Sainte Paula (Cheriecream et Manon)58:47 La Galerie Cardenas (Manon et Boulet)1:12:22 Manderley (Clara)1:18:07 Le Billettiste (Boulet, Cheriecream, Thomas, Manon)1:32:53 La Fumée (Cheriecream)1:43:20 Le Peuple de l'eau (Thomas)1:54:28 Ses Yeux (Boulet)2:08:50 Debunk Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Pendant une semaine, Éric Ciotti s'est démené pour trouver des candidats à investir sous la double bannière RN-LR. Alors que le parti de Jordan Bardella a recasé ses éternelles personnalités problématiques, lui n'a eu d'autre choix que de recycler d'anciens députés LR, quelques figures de CNews et une poignée de zemmouristes. Un article de Youmni Kezzouf et Ellen Salvi publié lundi 17 juin et lu par Jérémy Zylberberg.
Êtes-vous certain de maîtriser la langue française ? Règles de grammaire étonnantes, abus de langage, vocabulaire mal employé, origine insoupçonnée d'expressions... vous allez être surpris ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La semaine dernière, la Galerie Simon Blais a ouvert une vaste exposition en hommage à l'artiste visuelle Marcelle Ferron. Cette exposition met en lumière un nombre impressionnant d'œuvres inédites et peu exposées de l'artiste, notamment ses célèbres verrières de la station de métro Champ-de-Mars. Entrevue avec Simon Blais, galeriste.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Lors d'un dîner en janvier 2012, Roger Hanin se chargeait de l'animation, pour le plus grand bonheur de François Mitterrand et de Laurent Fabius. Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.
Rencontre avec Bertrand Estrangin, directeur de la galerie Aboriginal Signature, au cœur de Bruxelles, une des plus importantes d'Europe entièrement dédiée à l'art Aborigène d'Australie depuis 10 ans. L'exposition en cours "femmes du lever du soleil" avec les artistes de Buku Art Now à Yirrkala sera clôturée le 23 décembre. Dans l'interview on parle aussi des prochaines expositions de la saison 2024 qui commencera le 17 janvier prochain.
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
La puissance de l'eau, celle des femmes, celle de la nature… En bonne poisson que je suis, j'ai été envoûtée par le travail de l'artiste peintre Rossella Rossi. Aujourd'hui, nous plongeons dans l'univers de cette artiste si inspirante. De formation scientifique et après 15 ans d'activités en tant que chercheuse moléculaire, Rossella s'installe à Paris en 2005, où elle prend des cours aux Beaux-Arts et où elle fréquente régulièrement les ateliers de la Grande Chaumière. En septembre 2008 elle rentre à Milan et décide de se consacrer à plein temps à la peinture, sa passion qui l'anime depuis sa plus tendre enfance. Comment est venu ce déclic ? Comment l'artiste peint la magie de l'eau et de la mer ? Songeries aquatiques, naïades ou encore métamorphoses, les œuvres de Rossella Rossi sont de véritables poésies plastiques qui nous invitent au voyage. Vous pouvez retrouver Rossela Rossi le soir du jeudi 14 septembre à la galerie Roanne de Saint Laurent dans le XVI arrondissement, juste au pied du métro Boissière. Terres vierges, terres poudrées, découvrez la nouvelle exposition “Au plus près de la lumière”. L'artiste accompagne chacune de ses créations par un de ses poèmes. Tous les détails, références et ressources des épisodes sont disponibles sur le site www.lespassionariarts.com
Un épisode Hors-série enregistré le 28 Août 2023 autour de l'exposition de Francisco Bianchi "Les Garçons Bleus" dans la Galerie de Rachel Hardouin, La Galerie de l'Intime 15 rue Martel Paris 10. C'est en présence de l'artiste Francisco Bianchi, de son producteur Benjamin Bonnet, de Rachel Hardouin et de Jérémie Lapeyre l'un des portraits, que nous avons abordé le passage à l'acte de l'intime. Partir de l'intime pour créer, se raconter, déranger, questionner nos corps, nos êtres de manière plus profonde. Mais aussi pour offrir une transformation qui touche autant la personne qui regarde que celle qui créé. Mais quand décide t'on de passer à l'acte que l'on soit créateur, producteur, diffuseur ? L'intimité dans les réseaux sociaux est partout mais à quel moment devient-elle un objet d'art ? Un épisode qui célèbre la diversité de nos corps, dans leur état le plus naturel : la nudité. L'épisode est disponible sur toutes vos plateformes préférées. Le projet de l'artiste Francisco Bianchi "Les Garçons Bleus", sera exposé à La Galerie de L'intime 15 rue Martel jusqu'au 23 septembre 2023 // Crédits // Shapes est un podcast produit par Les Ondes Mécaniques. Cet épisode a été enregistré dans le studio des Ondes Mécaniques, rue des Cascades Paris 20ème. Prise de son & réalisation : Romain Prouveur & Violaine Khal / Musique originale : Alix Clément Nous suivre : @shapespodcast
durée : 00:54:00 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Il se refaisait une beauté tel une star ! Le mammouth de Durefort , le plus remarquable spécimen fossile du MNHN est de retour, après un an de restauration, pour trôner en majesté dans la Galerie de Paléontologie et d'Anatomie comparée du Muséum.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:54:00 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Il se refaisait une beauté, telle une star ! Le mammouth de Durfort, le plus remarquable spécimen fossile du MNHN est de retour, après un an de restauration, pour trôner en majesté dans la Galerie de Paléontologie et d'Anatomie comparée du Muséum.
Présentation des invités : Découvrez l'histoire de Jeremy Pradier et Aurélien Jeauneau, deux passionnés d'art qui ont ouvert la Galerie Pradier-Jeauneau, au cœur du plus grand maché d'antiquités au monde. Tout a commencé lorsque de Jeremy et Aurélien ce sont rencontrés sur les bancs de l'école, lors de leurs études en Histoire de l'Art. Leur parcours académique ainsi que leur passion pour le design a contribué à forger leur expertise, ainsi Jeremy et Aurélien ont décidé de mettre leur passion en pratique en créant leur propre galerie. Située au célèbre marché Paul Bert Serpette, la Galerie Pradier-Jeauneau est devenue un lieu de référence pour les amateurs de design. Jeremy et Aurélien mettent en valeur des pièces signées et référencées, en s'appuyant sur une recherche documentaire rigoureuse pour garantir l'authenticité et la valeur des œuvres proposées. Leur travail de marchands permet aux visiteurs de plonger dans l'univers du design français du XXe siècle mélangé à l'art contemporain, et de découvrir des créations intemporelles qui restent une source d'inspiration actuelle. Dans cet épisode captivant, vous en apprendrez davantage sur le parcours de Jeremy et Aurélien, l'histoire du marché Paul Bert Serpette, ainsi que celle du designer Pierre Guariche. Ils vous dévoileront l'importance cruciale de la documentation pour authentifier les œuvres d'art, tout en partageant l'histoire de la Galerie Pradier-Jeauneau et leurs collaborations avec des figures telles qu'Isabelle Stanislas et Ionna Vautrin. Vous découvrirez également les coulisses du métier de galeriste et comment attirer une clientèle. Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : - Leur parcours - L'histoire du marché Paul Bert Serpette - L'histoire du designer Pierre Guariche - L'importance de la documentation pour l'authentification des œuvres - L'histoire de la Galerie Pradier-Jeauneau - Leur collaboration avec Isabelle Stanislas - Leur collaboration avec Ionna Vautrin - Le métier de Galeriste - Comment attirer sa clientèle ? - Qui ils souhaiteraient entendre dans ce podcast "Moi, le meuble, j'ai considéré ça très tôt comme un pan d'histoire qu'il fallait déchiffrer." "Créer sa chance c'est pas seulement se dire je suis prêt. Il faut que t'ai des gens derrière toi, il faut que t'ai un peu de sous, il faut avoir des soutiens et de l'appuie." "On n'imagine pas que sur un marché d'antiquités, il peut y avoir des tendances aussi présentes qui font la mode et qui font la tendance d'aujourd'hui, c'est un endroit assez inspirant." "Dessiner un chaise, ça mobilise autant de génie créatif que de faire une toile." N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode !