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durée : 00:04:48 - Le Son d'Outre-mer - par : Marie Sorbier - À Saint-Pierre-et-Miquelon, Maude Salomon, secrétaire de la ligue locale de pelote basque, et sa mère Anne, font perdurer l'héritage gastronomique de l'archipel. Une gastronomie où les produits de la pêche sont rois.
durée : 00:04:47 - Le Son d'Outre-mer - par : Marie Sorbier - Le miquelonnais Gary Detcheverry sculpte des œuvres en bois flotté. Ce faisant, il transforme le bois trouvé dans la nature en œuvre d'art figurative.
(00:00:39) Statues, centres historiques, musées: quand la droite radicale s'approprie le patrimoine et la culture (00:08:41) Quand la musique classique raconte l'Histoire. Episode 4/5: El Sistema (00:15:02) Arrestations massives de migrants en Mauritanie | Reportage
durée : 00:04:35 - Le Son d'Outre-mer - par : Marie Sorbier - Rencontre avec Patricia Orsini, miquelonnaise et patronne du restaurant '"L'Auberge de l'île", qui fait vivre la culture acadienne sur son île.
durée : 00:04:28 - Le Son d'Outre-mer - par : Marie Sorbier - Gérard Hélène, président de l'association des Zigotos depuis 2010, s'engage à restaurer et à faire vivre les doris, bateaux traditionnels de pêche de Saint-Pierre-et-Miquelon.
Le capitaine Morhaus a trouvé un voilier Goélette Américain, le Marie-Céleste, abandonné par son équipage et dérivant en Méditerranée. Ayant remorqué le bateau jusqu'à Gibraltar, il fait valoir ses droits sur le bâtiment et sur la cargaison. Mais le procureur Soliflot, représentant de la Couronne d'Angleterre sur l'île, a placé le navire sous séquestre. Suspicieux, il demande à l'inspecteur Austin d'enquêter sur cette affaire. *** Fiction radiophonique diffusée dans l'émission “Les Maîtres du mystère”, de Pierre Billard et Germaine Beaumont. "La Goélette du mystère" est une histoire originale de Jean Grimod. Avec : François Darbon, Jean Bolo, Jacques Hilling, Jean Mauvais, Gaétan Jor, Marcel Lestan, Henri Virlojeux, André Valmy, Jean Chevrin. Réalisation : Pierre Billard. Première diffusion : le 17/03/1959 sur la Chaîne parisienne de la RTF. Un podcast INA. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:35 - Le Son d'Outre-mer - par : Marie Sorbier - Situé en Amérique du Nord, Saint-Pierre-et-Miquelon est le plus vieux territoire français d'outre-mer. Au micro de Marie Sorbier, Bernard Briand, président du conseil territorial, retrace l'histoire de l'archipel, français depuis 1816.
Murielle, 22 ans, est étudiante en japonais et fan de jeux de rôle. On est en 1996 et depuis quelques années, les jeux de rôle sur table débarquent en France après avoir fait un carton aux Etats-Unis. Les plus appréciés mettent en scène les univers inspirés de Tolkien peuplés de dragons, d'elfes et de chevaliers. Murielle, seule fille dans un milieu masculin, serait probablement étonnée de constater qu'à l'heure actuelle près de la moitié des rôlistes dans le monde, sont des femmes ! *** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique "Le temps qui change" - Réalisée par Pierette Perrono - Produit par Marion Thiba - France Culture - 24/05/1996 *** Crédits podcast *** Documentalistes : Hélène Deudon - Textes : Elsa Coupard, Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis, Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Stagiaires : Inès Bichel, Edith Monnier - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde. Ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Tunisie où l'on joue à la chkobba. Ce jeu de cartes, originaire de la migration sicilienne dans le pays au XIXe siècle, est le jeu favori des cafés tunisiens qui vendent d'ailleurs le jeu de cartes sur le menu, à côté du thé et du café. Jeu stratégique et populaire par excellence, la chkobba est aussi symbolique du patrimoine tuniso-italien dans le pays. De notre envoyée spéciale à Nabeul, Sur la route de Nabeul dans le Cap-Bon, en pleine chaleur, alors que beaucoup font encore la sieste, Zouhair, retraité, fait une partie de chkobba avec ses amis au café. « On joue toujours ensemble, celui qui perd paye la consommation des autres. Ou alors, chacun paye sa part, cela dépend. Le plus important, c'est qu'on s'amuse et que le meilleur gagne », raconte-t-il. Chaque jour, c'est le même rendez-vous : un café, une craie et une ardoise pour noter le score et les exclamations des joueurs qui s'entendent jusque dans la rue. Ce jeu se joue à deux ou quatre, le gagnant est celui qui récupère le plus de cartes à la fin de la manche. Mais sur le jeu de 40 cartes, chacune à sa valeur et chaque prise rapporte des points différents, comme l'explique Mohamed, le gérant du café : « Une carte en fonction de sa valeur permet de prendre ou de manger, comme on dit chez nous, les cartes qui sont sur le plateau, et d'effectuer ainsi une prise. Et à la fin de la manche, on compte les points. Le point dit "dinari" récompense celui qui a le plus de carreaux dans son jeu par exemple. » Il y a « chkobba » lorsqu'un joueur arrive à manger toutes les cartes sur le plateau en un seul coup. Le jeu se déroule très rapidement et requiert de la stratégie, mais aussi une gestuelle faciale pour communiquer entre partenaires sur le jeu de chacun. « Normalement, on a le droit de communiquer avec son partenaire juste lorsqu'on a le sept de carreau, la carte la plus importante. En tapant du poing sur la table, les autres grimaces sont interdites. Si on se fait prendre, on peut perdre des points, donc moi, je ne prends pas le risque », précise Zouhair. « Bien sûr qu'il existe une grimace sûre ou un geste subtil pour chaque type de carte. Mais les bons joueurs sont surtout ceux qui arrivent à suivre les cartes qui ont été mangées au fur et à mesure du jeu et à anticiper celles qui restent pour mieux faire leur prise ou empêcher un joueur de faire une chkobba. Ça, ce sont les vrais pros, ceux qui, à la fin de la partie, sont capables de te dire quelles cartes il reste dans la dernière manche », assure Mohamed, selon qui les plus habiles connaissent au moins une douzaine de mimiques en fonction des cartes. Convivial et stratégique, la chkobba est très populaire depuis deux siècles, souligne Alfonso Campisi, professeur universitaire sicilien et tunisien. Installé dans le pays depuis une trentaine d'années, il s'est intéressé à l'histoire du jeu. « Il naît en Espagne, importé par la domination arabe en Espagne. On pense aussi à travers les Mamelouks d'Égypte. Après, depuis l'Espagne, il s'est propagé un peu dans toute la Méditerranée et notamment les ports de la Méditerranée », détaille-t-il. Le jeu se joue quasi à l'identique en Tunisie et en Sicile, même pour les mimiques supposées interdites. « Rien ne change. Cela veut dire que si un Sicilien, qui ne parle même pas arabe ou français, vient jouer dans un café tunisien, il est dans son bain. C'est ça qui est beau et qui lie encore plus ces deux régions de la Méditerranée », explique l'universitaire. Jeu populaire et culturel, la chkobba rassemble de nombreux adeptes en Tunisie, même si les plus jeunes lui préfèrent le rami, une variante du poker à la tunisienne. À lire aussiLes délices du continent: en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10]
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde. Ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Tunisie où l'on joue à la chkobba. Ce jeu de cartes, originaire de la migration sicilienne dans le pays au XIXe siècle, est le jeu favori des cafés tunisiens qui vendent d'ailleurs le jeu de cartes sur le menu, à côté du thé et du café. Jeu stratégique et populaire par excellence, la chkobba est aussi symbolique du patrimoine tuniso-italien dans le pays. De notre envoyée spéciale à Nabeul, Sur la route de Nabeul dans le Cap-Bon, en pleine chaleur, alors que beaucoup font encore la sieste, Zouhair, retraité, fait une partie de chkobba avec ses amis au café. « On joue toujours ensemble, celui qui perd paye la consommation des autres. Ou alors, chacun paye sa part, cela dépend. Le plus important, c'est qu'on s'amuse et que le meilleur gagne », raconte-t-il. Chaque jour, c'est le même rendez-vous : un café, une craie et une ardoise pour noter le score et les exclamations des joueurs qui s'entendent jusque dans la rue. Ce jeu se joue à deux ou quatre, le gagnant est celui qui récupère le plus de cartes à la fin de la manche. Mais sur le jeu de 40 cartes, chacune à sa valeur et chaque prise rapporte des points différents, comme l'explique Mohamed, le gérant du café : « Une carte en fonction de sa valeur permet de prendre ou de manger, comme on dit chez nous, les cartes qui sont sur le plateau, et d'effectuer ainsi une prise. Et à la fin de la manche, on compte les points. Le point dit "dinari" récompense celui qui a le plus de carreaux dans son jeu par exemple. » Il y a « chkobba » lorsqu'un joueur arrive à manger toutes les cartes sur le plateau en un seul coup. Le jeu se déroule très rapidement et requiert de la stratégie, mais aussi une gestuelle faciale pour communiquer entre partenaires sur le jeu de chacun. « Normalement, on a le droit de communiquer avec son partenaire juste lorsqu'on a le sept de carreau, la carte la plus importante. En tapant du poing sur la table, les autres grimaces sont interdites. Si on se fait prendre, on peut perdre des points, donc moi, je ne prends pas le risque », précise Zouhair. « Bien sûr qu'il existe une grimace sûre ou un geste subtil pour chaque type de carte. Mais les bons joueurs sont surtout ceux qui arrivent à suivre les cartes qui ont été mangées au fur et à mesure du jeu et à anticiper celles qui restent pour mieux faire leur prise ou empêcher un joueur de faire une chkobba. Ça, ce sont les vrais pros, ceux qui, à la fin de la partie, sont capables de te dire quelles cartes il reste dans la dernière manche », assure Mohamed, selon qui les plus habiles connaissent au moins une douzaine de mimiques en fonction des cartes. Convivial et stratégique, la chkobba est très populaire depuis deux siècles, souligne Alfonso Campisi, professeur universitaire sicilien et tunisien. Installé dans le pays depuis une trentaine d'années, il s'est intéressé à l'histoire du jeu. « Il naît en Espagne, importé par la domination arabe en Espagne. On pense aussi à travers les Mamelouks d'Égypte. Après, depuis l'Espagne, il s'est propagé un peu dans toute la Méditerranée et notamment les ports de la Méditerranée », détaille-t-il. Le jeu se joue quasi à l'identique en Tunisie et en Sicile, même pour les mimiques supposées interdites. « Rien ne change. Cela veut dire que si un Sicilien, qui ne parle même pas arabe ou français, vient jouer dans un café tunisien, il est dans son bain. C'est ça qui est beau et qui lie encore plus ces deux régions de la Méditerranée », explique l'universitaire. Jeu populaire et culturel, la chkobba rassemble de nombreux adeptes en Tunisie, même si les plus jeunes lui préfèrent le rami, une variante du poker à la tunisienne. À lire aussiLes délices du continent: en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10]
Cette intro, cette basse, ces notes...Qui ? Mais qui résiste à l'appel de cette mélodie ? Qui reste assis ? Qui reste immobile ?C'est un monument du Zouk que nous décryptons cette semaine, nous ne parlerons du nombre de rencontres réalisées sur cette chanson...Embarquons avec Annick & Jean-Claude pour 5'40 de pur Zouk.Une Chanson En Histoire est LE podcast de Tann présenté par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE retraçant l'histoire de la musique antillaise et ultramarine.Que ce soit du Zouk, du Ragga, du Konpa, de la Biguine, du Sega, du Merengue, de la Dancehall, du Boléro, du Rap, de la Créole Pop, de la Kadans ou de la Trap tout y passe ! Le Zouk vient de chez nous ! Alors peut être qu'il y en aura plus que d'autres ! Qui n'a jamais dansé sur cette chanson de Zouk ? On espère que vous apprendrez plein de choses sur cette chanson qui fait partie de notre patrimoine Zouk.Le podcast Une Chanson En Histoire par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE aka Valy est LE podcast musique Antilles, Guyane, Réunion, Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin.Il traite de la musique antillaise, de la musique guyanaise, de la musique réunionnaise, de la musique martiniquaise, de la musique guadeloupéenne.Certains disent que Une Chanson En Histoire est la référence du podcast zouk ! Qui parle musique histoire !Abonnez-vous pour soutenir la production de Tann ! C'est un montant libre ! https://liberapay.com/tannaudioSources & Biblio :Interview de Jean-Claude Porlon, janvier 2024, Valérie-Ann Edmond-Mariette & Gérald Joseph-Alexandre.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:33 - L'invité de "ici Maine" - Jusqu'au 17 août, les Sarthois sont invités à voter en ligne pour le prix départemental de l'Architecture, de l'Aménagement et du Patrimoine de la Sarthe, afin d'élire leur coup de cœur parmi les 35 projets proposés. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le plaisir de recevoir Agathe Zilber, fondatrice de CFNEWS MEDIA GROUP, média indépendant devenu la référence sur l'actualité M&A, LBO, immobilier et infrastructure.On est entrés ensemble dans les coulisses de l'information autour des deals : comment se collecte, se vérifie et se diffuse l'information stratégique sur les opérations de haut de bilan.Agathe a créé CFNEWS en 2007, un média 100% digital à une époque où ce pari semblait audacieux. Son objectif : fournir une information spécialisée, fiable et ciblée pour accompagner investisseurs et professionnels.Aujourd'hui, CFNEWS, c'est une équipe d'une 40ène de personnes, dont 15 journalistes dédiés, qui suivent plus de 30 deals par semaine, avec des exclusivités, des données précises sur valorisations, multiples et stratégies d'entreprise.Ce qui distingue CFNEWS, c'est sa double expertise journalistique et data. Agathe insiste sur la rigueur : pas de publication sans chiffres clés ni recoupements. Une exclusivité, c'est bien plus qu'une annonce, c'est un décryptage complet des enjeux.CFNEWS Média s'est aussi renforcé avec l'acquisition récente de Satellifacts, 1er quotidien de l'audiovisuel et du cinéma, média B2B historique de l'audiovisuel, confirmant la volonté d'Agathe de bâtir un groupe solide et indépendant.Dans cet échange, on a abordé plusieurs questions clés :
Nous sommes le 25 août 1868. Dans « Le journal de Liège », on peut lire ceci : « Une lacune existe dans l'éducation des filles, il manque un enseignement supérieur, pratique, national et franchement conforme à nos idées constitutionnelles. Cette lacune, nous désirons la combler. Il importe aussi que la famille intervienne directement dans les écoles et puisse en contrôler sans cesse les tendances et les progrès. Cette légitime satisfaction, nous désirons la donner aux chefs de famille. C'est dans ce but que nous avons fondé un Institut supérieur de demoiselles sous les auspices et la surveillance d'un comité de dames … Une bibliothèque, des collections d'histoire naturelle, des albums historiques seront à la disposition des élèves. Celles-ci feront des promenades, sous la surveillance de maîtresses, dans le but d'apprendre à observer et d'enrichir les collections de l'école ». Extrait du « Manifeste de l'Association pour l'Enseignement des Jeunes Filles », un appel lancé à l'initiative de Léonie de Waha. Léonie de Waha, liégeoise, fille d'un baron aux idées libérales, militante féministe et de la cause wallonne et … pédagogue révolutionnaire. partons sur ses traces… Invité : Nathanaël Brugmans, , professeur d'histoire à l'Athénée Léonie de Waha. Co-auteur de « Léonie de Waha, de l'institut à l'Athénée » (sous la direction de Christian Maas) édité par l'AWaP (Agence wallonne du Patrimoine). Sujets traités : Léonie de Waha ,wallonne, pédagogue, féministe, éducation, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voilà trois ans que les Raybrock n'ont aucunes nouvelles de Hugues, l'ainé de la famille. Parti en mer, le jeune marin est porté disparu, laissant derrière lui son épouse et une petite fille. Alors, que d'émotions lorsque Jonas, armateur américain, débarque dans leur petit village du Devonshire avec un message écrit de sa main ! Il déclare l'avoir trouvé au Cap Horn, glissé dans une bouteille, non loin d'ossements humains. Un message très énigmatique dans lequel il est question d'argent volé… *** Fiction radiophonique diffusée dans l'émission “Les Maîtres du mystère”, de Pierre Billard et Germaine Beaumont. "Un message de la mer" d'après une nouvelle de Charles Dickens. Avec : Jacques Morel, Pierre Vernier, Charlotte Clasis, Dominique Paturel, Arlette Thomas, Laurence Weber, André Var, Raymond Pélissier et Jean Fontaine. Réalisation : Pierre Billard. Adaptation : Germaine Beaumont. Première diffusion : le 20/02/1962 sur la chaîne France II Régionale de la RTF. Un podcast INA. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Dolce Vita
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Invités : - Georges Fenech, ancien magistrat et député honoraire du Rhône - Raphaël Stainville, directeur adjoint du JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 1er août 2025 avec Marie-Christine Sonkin est rédactrice en chef Patrimoine des Echos. Ce vendredi 1er août, le taux du Livret A baisse de 2,4 % à 1,7 %. C'est la deuxième diminution de l'année pour ce placement détenu par 58 millions de Français. Une décision attendue, dans un contexte de recul de l'inflation, tombée à 0,88 % au premier semestre 2025. Si cette baisse pénalise les épargnants, elle profite en revanche aux acteurs du logement social, qui empruntent à ce taux, ainsi qu'aux banques.Dans un climat économique incertain, marqué par des tensions géopolitiques persistantes, le taux d'épargne a atteint 18,2 % au premier trimestre 2025, un record hors période Covid. L'or s'impose par ailleurs comme une valeur refuge incontournable. L'assurance-vie continue d'attirer massivement, avec 97,8 milliards d'euros versés depuis le 1er janvier, selon France Assureurs.Cette réorientation de l'épargne intervient alors que les marchés financiers vacillent. Depuis les annonces de Donald Trump lors du "Liberation Day", les Bourses européennes reculent nettement. Des géants comme LVMH ou Pernod Ricard en subissent les contrecoups. Parallèlement, le cours du bitcoin s'envole, posant un véritable dilemme aux investisseurs. Dans ce paysage instable, une question s'impose : faut-il encore miser sur le Livret A ? sur l'assurance-vie ? Quelles alternatives envisager pour protéger son épargne ?Marie-Christine Sonkin, rédactrice en chef Patrimoine aux Échos, analysera ce 1er août la baisse du taux du Livret A à 1,7 %, un recul historique pour le placement favori des Français. Elle en décryptera les impacts directs sur l'épargne des ménages.
Armelle est une parisienne qui adore sortir en boîte pour aller danser le jerk. Nous sommes en 1966 et le Jerk vient tout juste de supplanter le twist chez les jeunes branchés. Bien plus tard, en 1990, Thierry Hazard sort une chanson décalée en hommage à cette musique. Un tube qui restera 27 semaines d'affilée au Top 50 ! *** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique " Journal de Paris" - France Inter - 18/03/1966 *** Crédits podcast *** Documentalistes : Hervé Evanno, Mathilde Hurault, Hélène Deudon - Textes : Elsa Coupard, Florence Dartois, Xavier Eutrope - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistant Chef de projet : Tom Chen - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le public est attendu ce samedi 2 août, de 16 h 30 à 18 h 45, à l'auditorium Octave Wiehé à Réduit, pour un moment fort de l'International Bhojpuri Mahotsav 2025. Au programme : Le Bhojpuri Heritage Ballet, une création inspirée du célèbre spectacle « Pani Nai Ba », présenté pour la première fois en 1982 par la Dre Sarita Boodhoo, figure incontournable de la promotion de la culture bhojpuri à Maurice. Fondatrice du Mauritius Bhojpuri Institute et ancienne présidente de la Bhojpuri Speaking Union, la Dre Sarita Boodhoo signe ici un retour émouvant aux sources, dans un spectacle qui célèbre la transmission intergénérationnelle du patrimoine vivant. « C'est une culture résiliente, en constante évolution, qui s'est taillé une place essentielle dans le paysage mauricien », affirme-t-elle. Sur scène, une quarantaine d'artistes, de tout âges, donneront vie à ce ballet à travers chants, danses et récits. Le spectacle, à la fois hommage et renaissance, retrace l'histoire des premiers arrivants jusqu'à l'affirmation contemporaine d'une identité bhojpuri fière et vivante. Pour la Dre Sarita Boodhoo, cette édition marque plus qu'un simple événement culturel : c'est la preuve tangible que la langue et les traditions bhojpuri continuent de vibrer dans le cœur des nouvelles générations, prêtes à porter cet héritage au-delà de 2025.
durée : 00:04:53 - Le Son d'Outre-mer - Isabelle Vestris, directrice du Memorial ACTe, revient à l'occasion des 10 ans de l'établissement sur ses missions mais aussi sur les évolutions nécessaires.
durée : 00:04:41 - Le Son d'Outre-mer - À Petit-Bourg, sur l'île de Basse-Terre, la galerie "Emergenc'art" fait le pari de défendre les jeunes artistes. Mais sur l'île, le marché de l'art ne permet pas aux artistes ni aux galeries de vivre de leur travail.
Tu vois d'autres réussir, investir, acheter des biens… et toi tu culpabilises ? C'est normal de se comparer — c'est même humain — mais ça peut te faire plus de mal que de bien. Dans cette vidéo, je t'explique :
durée : 00:40:10 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - L'île de Bréhat, les Calanques de Marseille, Porquerolles… les jauges et les quotas s'activent pour contenir le surtourisme cet été. Dans le même temps, de Barcelone à Naples, les manifestations se multiplient face à l'afflux de visiteurs. Peut-on encore voyager sans menacer notre patrimoine ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Fondateur du premier établissement lithographique belge important. Nous sommes le 16 septembre 1839, de retour de Paris, où il a découvert un nouveau procédé de photographie, le daguerréo type,un homme passionné, érudit, curieux de tout, réussit la première photographie belge. C'est une vue de la place des barricades, à Bruxelles. Cet homme ingénieux et fantasque, qui fit aussi entrer les musées dans une nouvelle ère, s'intéressa à toutes les nouveautés de son temps et en imagina quelques unes, s'appelle Marcellin Jobard. Marie-Christine Claes , Docteur en histoire de l'art, Responsable de l'infothèque - Département Documentation à l'Institut royal du Patrimoine artistique. Sujets traités : Marcellin Jobard, lithographe, photographe, musée Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alain, 16 ans, fils d'agriculteur, vit dans un petit village de Bourgogne. On est en 1964, et Alain s'ennuie profondément dans sa campagne. Il a soif de films, mais il est probable que ses parents, comme 84% des agriculteurs à l'époque, n'ont pas encore la télévision. *** Crédits archive *** Extraits de l'émission radiophonique " Jeunes témoins de notre temps" de Jean Thévenot - Inter jeunesse - 15/03/1964 *** Crédits podcast *** Documentalistes : Hervé Evanno, Mathilde Hurault, Hélène Deudon - Textes : Elsa Coupard, Florence Dartois, Xavier Eutrope - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistant Chef de projet : Tom Chen - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:43:14 - Les Midis de Culture - par : Chloë Cambreling - Léguée à la France par la comédienne espagnole, la Maison Maria Casarès accueille chaque été un festival qui mêle théâtre, patrimoine et nature. Entretien avec ses co-directeurs, le metteur en scène Matthieu Roy et la comédienne Johanna Silberstein. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Matthieu Roy Metteur en scène et responsable artistique de "La Maison Maria Casarès" depuis septembre 2016.; Johanna Silberstein Comédienne et responsable artistique de "La Maison Maria Casarès" depuis septembre 2016.
Au Soudan du Sud, la lutte est de loin le sport le plus populaire du pays, loin devant le foot ou le basket. Un sport ancestral, qui permet aux communautés de se réunir et d'apaiser leurs relations. Nous sommes allés dans l'un des hauts lieux de la lutte sud-soudanaise, l'une des régions qui produit de véritables champions redoutés dans le pays : le Jonglei. À Bor, la capitale régionale, les lutteurs confirmés entraînent les lutteurs en formation trois fois par semaine. De notre envoyée spéciale à Bor, Florence Miettaux Baignée de la lumière chaude et rasante de fin d'après-midi, une foule s'est formée autour de dizaines d'hommes vêtus de jellaba aux motifs floraux qui dansent et chantent au rythme des percussions traditionnelles. Atem Duot Atem, un habitant de Bor, est venu assister au spectacle : « Ces jeunes sont issus de différents villages autour de Bor et ont différentes activités en dehors de la lutte. Certains sont étudiants, d'autres sont gardiens de troupeaux ou encore commerçants. Leurs chants parlent de la lutte et sont une façon de montrer leur force et l'unité de leur groupe. La lutte favorise la paix entre les communautés, car elle rassemble des jeunes de différents clans ». « Nés avec la lutte dans la peau » Les danses et les chants répétés en cercle sont la première partie de l'échauffement. Les lutteurs ponctuent leurs danses en croisant leurs bâtons en bois sculpté comme des épées. Certains arborent une grande plume dans leurs cheveux, d'autres se sont décorés les bras et le visage de motifs dessinés à l'aide de cendre. Guguei Mamer Kuei, 25 ans, étudie les techniques de laboratoire à l'université John Garang à Bor. Mais sa passion, c'est la lutte : « Si je gagne aujourd'hui, ma famille et ma communauté vont être très contentes ! Car dans notre société, nous nous mesurons les uns aux autres. Donc, si vous gagnez aujourd'hui, ce sera au tour de votre communauté d'être célébrée. Ils vont célébrer votre victoire et cette joie permet de maintenir une bonne santé mentale. Nous sommes nés avec la lutte dans la peau. Très jeunes, comme ces gamins là-bas, vous commencez à pratiquer jusqu'à avoir assez de force pour pouvoir progresser ». Une transmission entre générations L'un des dix meilleurs lutteurs de Bor, Bior Machar, 26 ans, est pleinement conscient de la transmission de ce sport entre générations : « Vous commencez à un très jeune âge, à partir d'environ 7 ans, et vous pratiquez jusqu'à 25 ou 30 ans, car vous arrêtez la lutte une fois que vous vous mariez. C'est alors au tour des jeunes lutteurs de monter en puissance, car ce n'est pas nous qui avons inventé la lutte, c'est un sport qui existait déjà avant notre naissance. Il faut donc la transmettre. Mes propres petits-enfants continueront cette tradition. Car c'est notre patrimoine, nous ne pouvons pas l'abandonner. Maintenant, je vais danser. Allons danser ensemble ! » Les lutteurs de Bor espèrent voir leur sport se professionnaliser à l'avenir. Afin de pouvoir prendre part à des compétitions internationales et se frotter en particulier aux lutteurs du Sénégal. À lire aussiSports traditionnels: le morengy, le sport de combat qui fait vibrer Madagascar [4/10]
Vous avez reconnu la légende ?! Ou vous aviez déjà écouté l'épisode dans son intégralité ? ;)En voilà un classique qu'on doit à l'orchestre Les Aiglons de la Guadeloupe… Aujourd'hui, on parle de cuisses !Qu'on se le dise... ce titre rentre dans la catégorie des chansons grivoises et machistes des années 70-80.C'est d'ailleurs pour cette raison que plusieurs diffuseurs dont RFO ont voulu censurer le titre.Une Chanson En Histoire est LE podcast de Tann présenté par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE retraçant l'histoire de la musique antillaise et ultramarine.Que ce soit du Zouk, du Ragga, du Konpa, de la Biguine, du Sega, du Merengue, de la Dancehall, du Boléro, du Rap, de la Créole Pop, de la Kadans ou de la Trap tout y passe ! Le podcast Une Chanson En Histoire par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE aka Valy est LE podcast musique Antilles, Guyane, Réunion, Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin.Il traite de la musique antillaise, de la musique guyanaise, de la musique réunionnaise, de la musique martiniquaise, de la musique guadeloupéenne.Abonnez-vous pour soutenir la production de Tann ! C'est un montant libre ! https://liberapay.com/tannaudioSources & Biblio :Interview Michel d'Alexis, octobre 2023, Gérald Joseph-Alexandre.Debs, Henri. 2011. Mémoires et vérités sur la musique aux Antilles: Guadeloupe, Martinique, Haïti, Dominique. pays inconnu: s.n.].Paimba, Miguel Octave, Fabrice, réal. 2019. La Martinique, seconde patrie du Konpa.https://www.france.tv/documentaires/art-culture/882439-la-martinique-seconde-patrie-du-konpa.html.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si tes vacances tournaient au cauchemar ? Tu as travaillé dur toute l'année, tu pars en vacances pour enfin déconnecter… Mais un vol annulé, une valise perdue ou une carte bancaire bloquée peuvent tout gâcher. Le pire, c'est que tu n'étais pas prête à faire face à ces imprévus. Dans cette vidéo, je te partage les 6 scénarios catastrophe les plus fréquents en vacances (et que j'ai moi-même vécus
L'Unesco s'est alarmée à plusieurs reprises d'un « niveau sans précédent » des « menaces sur la culture » au Soudan, s'appuyant sur les rapports de « pillages de musées, de sites patrimoniaux et archéologiques et de collections privées ». On en parle avec notre grande invitée Afrique ce samedi : Ikhlas Abdel Latif, directrice des musées à l'Autorité nationale des antiquités du Soudan, présente à Paris fin juin, pour participer à une réunion sur les vestiges historiques pillés ou menacés dans certains pays comme le Soudan, le Yémen ou la Libye. Ikhlas Abdel Latif affirme que tous les musées nationaux et privés dans les zones contrôlées par les paramilitaires des Forces de soutien rapide ont été pillés. Selon elle, il s'agit d'un « pillage organisé ». RFI : Pourriez-vous nous mettre au courant de la destruction qui a touché le secteur des musées et du patrimoine au Soudan ? Ikhlas Abdel Latif : Il est certain que les infractions, la destruction et le pillage qui ont affecté les sites archéologiques et historiques tout comme les musées ont été une pratique répandue à grande échelle. À Khartoum il y a 13 musées qui dépendent de l'Autorité générale des antiquités et des musées du Soudan. Mais il y a d'autres musées, comme le Musée militaire, le Musée du Palais présidentiel, le Musée d'Histoire naturelle… Ils sont rattachés à nous, car nous avons une responsabilité technique et artistique sur tout le secteur des musées au Soudan. L'Autorité générale pour les antiquités et les musées est officiellement responsable de tous les musées au Soudan. Et donc, tous ces musées à Khartoum ont été vandalisés ? Tous les musées qui ont été sous contrôle de la milice des Forces de soutien rapide ont été pillés, y compris celui d'histoire naturelle, qui abritait des animaux rares vivants. Il a été détruit. Ce qui a entrainé la mort de ces animaux. De même pour le musée de la Guerre où une grande partie des chars historiques a été détruite. Celui du Palais républicain a également été dévasté. Tous ces musées sont situés dans la région de Khartoum. Parmi les musées affiliés officiellement à l'Autorité générale des antiquités et des musées, il y a celui de l'Ethnographie, qui représentait les tribus et l'identité du Soudan dans sa diversité, tout en mettant en valeur l'unité à travers cette diversité. Il a été entièrement ravagé. Quant au Musée du Khalife Abdulah al-Taachi d'Omdurman, qui retrace une partie de la colonisation ottomane, et jusqu'à la libération, il a été partiellement détruit. Le musée national de Khartoum n'a pas non plus échappé à ce sort, des trésors inestimables, 100 000 pièces ont disparu ? Le Musée national soudanais à Khartoum est le plus grand du pays et l'un des plus importants. Il a été totalement pillé et vandalisé. Il abrite le plus grand entrepôt d'antiquités soudanaises. Le contenu du musée ainsi que l'entrepôt ont été pillés. Les objets n'étaient pas en exposition, mais emballés et disposés dans des caisses en raison des travaux en cours avant la guerre pour réhabiliter le lieu. Ce qui a facilité le pillage des pièces habituellement exposées. Quant au dépôt, il s'agit du plus grand des antiquités du Soudan. Malheureusement, les salles de stockage, également pillées, contenaient la plus grande quantité d'or du Royaume de Koshe. Tout cet or a été volé. Parmi les musées les plus importants également touchés, il y a celui de Nyala, au Darfour, le plus important de la région ? À Khartoum et sa région, nous avons des équipes qui travaillent à évaluer les pertes, mais en ce qui concerne les musées de Nyala et d'el-Geneina, ils sont toujours sous contrôle de la milice des FSR, tout ce que l'on sait, c'est que toutes les pièces du patrimoine qui se trouvaient à el-Geneina, ainsi qu'au musée privé du Sultan Bahr Eddine appartenant à la tribu Massalit, une tribu menacée par la milice, ont été entièrement pillées. Leur propre résidence l'a été également et les effets personnels de la famille du Sultan Bahr Eddine ont été emportés. Le musée de Nyala est considéré comme un musée national à l'échelle de la région du Darfour. Même les vitrines d'exposition ont été pillées et la milice y réside toujours. Il y a encore des musées que les Forces de soutien rapide utilisent comme résidence pour leurs hommes armés, ce qui expose les lieux et leur contenu à des dommages irréparables ? Oui, en effet, c'est bien ce que j'ai mentionné, le musée de Nyala est considéré comme leur siège. Le musée est au Darfour qui n'est pas encore libéré de leur présence. Les FSR sont une milice primitive qui ne comprend rien à la valeur de ces vestiges, à l'archéologie et à l'histoire. Alors oui, ils volent ces antiquités de manière systématique et étudiée : seules les antiquités distinctives et de très grande valeur ont été volées. Qui voulez-vous accuser ? Ceux qui financent les FSR et qui sont derrière eux. Je n'en dirai pas plus. Vous avez formé un comité pour récupérer et suivre les vestiges pillés ? J'ai formé ce comité en tant que présidente de la direction des musées, et la présidente de l'unité de suivi des vestiges pillés. Il y a un directeur sur le terrain à Khartoum. Ce comité s'occupe de tous les musées libérés dans la zone de Khartoum, et travaille sur l'évaluation des dommages. Il dresse l'inventaire de ce qui a été pillé et de ce qui reste. En même temps, il s'occupe aussi de la protection de ce qui reste. Espérez-vous récupérer ces objets pillés ? Nous y travaillons d'arrache-pied. Nous faisons tout notre possible. Depuis août 2023, nous avons pris rapidement des mesures pour surveiller ce qui se passe. L'Autorité générale des antiquités et des musées travaille main dans la main avec le gouvernement comme avec le procureur général, l'antenne locale d'Interpol, la police, la justice et le ministère des Affaires étrangères. Nous œuvrons tous à ce que la communauté internationale sache ce qui se passe à ce niveau. Nos partenaires à l'étranger ont proposé effectivement leur aide. Ils ont tous manifesté leur intérêt à l'échelle mondiale. Est-il vrai que l'on trouve ces vestiges en vente en ligne sur certains sites ? Je tiens à préciser que nos antiquités, jusqu'à maintenant n'ont pas fait leur apparition en ligne ou dans les maisons de ventes aux enchères. Ce qui indique le contrôle du gouvernement du Soudan, sur l'acheminement de ces objets volés. Nous considérons que c'est un pillage en règle pour détruire l'identité du Soudan. Ces vestiges ne sont pas uniquement un héritage soudanais, mais c'est aussi un legs international et humain. Le Soudan regorge de pièces qui portent non seulement l'histoire de la civilisation au Soudan, mais qui font également partie de l'héritage de l'humanité. Ces vestiges sont notre héritage et montrent notre union, nos liens et notre identité. Au Soudan nous avons plus de sept pays voisins, c'est l'un des plus grands pays d'Afrique et il faut savoir que la multiplicité des tribus chez nous fait partie d'un seul moule, celui de notre civilisation ancienne, la civilisation Koushite qui nous lie tous. Il s'agit donc d'une guerre systématique contre l'identité du peuple soudanais. Y a-t-il un mot pour conclure ? Oui, j'aimerais juste lancer un appel à la communauté internationale. Tous nos partenaires mondiaux sont à nos côtés, mais je réitère mon appel à cette communauté, aux Nations unies, à l'Unesco, pour qu'ils rappellent une nouvelle fois l'interdiction de faire commerce de toute œuvre du patrimoine historique du peuple soudanais. Et de multiplier la lutte contre le trafic illicite de ces vestiges.
Pierre est un véritable amoureux des voyages en train. En 1989, il a soixante-deux ans, mais reste aussi passionné que quand il était gosse, lorsqu'un voyage en train pouvait facilement prendre 10 heures. Ce qui laissait le temps de profiter du paysage et de se laisser aller à la rêverie.*** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique Nuits magnétiques : "En voiture S'il vous plait : voyages et voyageurs" de Maurice Lemoine - France Culture - 21/09/1989.*** Crédits podcast *** Documentaliste : Stéphanie Place - Textes : Elsa Coupard, Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis, Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Alternante : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Dans cet épisode, nous discutons avec Gilles Désiré Dit Gosset, directeur de la Médiathèque du Patrimoine et de la Photographie (MPP) et Matthieu Rivallin, chef du département de la photographie à la MPP. Ensemble, ils nous racontent leur parcours respectif, mais surtout les coulisses de la plus importante collection photographique publique d'Europe.Ils partagent avec nous le rôle central de la MPP dans la préservation du patrimoine architectural et photographique français, la manière dont les archives y sont collectées, classées et valorisées, ainsi que leurs liens avec les photographes, notamment via les dons de fonds. Un échange passionnant pour mieux comprendre comment les images rejoignent les collections publiques, comment elles sont conservées, et pourquoi il est important de créer librement son œuvre avant d'envisager sa transmission.Bonne écoute !Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce deuxième mini-épisode des grandes vacances 2025, je vous fais (re)découvrir une sucrerie, une douceur du zouk, qui ne vous laissera pas de marbre..Je n'ai jamais été dans une soirée dans laquelle le ou la DJ passe cette musique et les gens restent assis.C'est le jour où je vous raconte l'histoire de Sweety doudou et ce qu'elle dit de notre histoire. Attention cet épisode est une séquence émotion !Une Chanson En Histoire est LE podcast de Tann présenté par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE retraçant l'histoire de la musique antillaise et ultramarine.Que ce soit du Zouk, du Ragga, du Konpa, de la Biguine, du Sega, du Merengue, de la Dancehall, du Boléro, du Rap, de la Créole Pop, de la Kadans ou de la Trap tout y passe ! Le podcast Une Chanson En Histoire par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE aka Valy est LE podcast musique Antilles, Guyane, Réunion, Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin.Il traite de la musique antillaise, de la musique guyanaise, de la musique réunionnaise, de la musique martiniquaise, de la musique guadeloupéenne.Abonnez-vous pour soutenir la production de Tann ! C'est un montant libre ! https://liberapay.com/tannaudioSources & Biblio :Entretien Jean-Luc Guanel, Septembre 2023, Valérie-Ann Edmond-Mariette.Guilbault, Jocelyne. 1993. Zouk: world music in the West Indies. Chicago, Etats-Unis d'Amérique: University of Chicago press.Konektion, réal. 2021. DE VOUS A NOUS PHILIPPE JOSEPH. https://www.youtube.com/watch?v=oMhUiG31Gq8.———, réal. 2022. DE VOUS A NOUS Avec Christian Louiset. https://www.youtube.com/watch?v=R7PJU1SzuFQ.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Réuni depuis le 7 juillet à Paris, le comité du patrimoine mondial de l'Unesco a décidé en fin de semaine d'inscrire 26 nouveaux sites sur la liste du patrimoine mondial. Cinq sont africains. Avec pour la première fois, l'inscription d'un lieu bissau-guinéen : l'archipel des Bijagos. Ce site avait déposé sa première candidature en 2012. Pourquoi a-t-il été choisi maintenant ? Les explications de Lazare Eloundou, le directeur du patrimoine mondial de l'Unesco. RFI : Cinq sites africains ont été inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. Il y a le paysage culturel du Mont Mulanje au Malawi, les sites archéologiques Diy Gid Biy des monts Mandara au Cameroun, le parc national de Maputo à la frontière entre le Mozambique et l'Afrique du Sud et il y a également ces deux sites bissau-guinéens et sierra-léonais. Est-ce que vous pourriez, rapidement, nous les présenter ? Lazare Eloundou: Oui, tout à fait. Celui de la Sierra Leone est un complexe d'une île de Tiwai et d'une forêt pluviale de Gola. Et la Sierra Leone célèbre son tout premier site sur la liste du patrimoine mondial. Ensuite, il y a le site de la Guinée-Bissau qui est un important écosystème marin de l'archipel des Bijagos, un hotspot tellement important de la biodiversité marine qu'il a aussi rejoint la liste du patrimoine mondial. On doit notamment l'inscription de l'île de Tiwai en Sierra Leone au combat acharné d'un activiste. Est-ce que vous pourriez nous en dire un petit peu plus ? Tommy Garnett est plus qu'un activiste. Il est vraiment un défenseur du patrimoine. Ce combat a commencé il y a plusieurs années après la guerre où il s'est engagé à tout faire pour sauver l'île de Tiwai qui avait été détruite par la guerre. Un travail important s'est fait avec les communautés et plus tard aussi avec le soutien des autorités de Sierra Leone. Pour l'archipel des Bijagos en Guinée-Bissau, ça aura été une longue attente. Le pays avait déposé sa première candidature en 2012... Le travail pour préparer une candidature pour la liste du patrimoine mondial est un travail très sérieux où il faut des données très concrètes. Il se trouve que la Guinée-Bissau a pris un peu de temps déjà parce qu'il lui fallait de l'expertise. Et c'était ça, effectivement, l'une des choses importantes qu'Audrey Azoulay, la directrice générale de l'Unesco, a voulu en faisant de l'Afrique sa priorité depuis 2018. C'est l'expertise : renforcer l'expertise des professionnels africains. C'est ce qui s'est fait en formant des experts de la Guinée-Bissau qui ont pu contribuer à la préparation de ce dossier. Et qui ont pu démontrer que ce lieu important, cet archipel deltaïque actif, le seul de la côte Atlantique africaine, est aussi un lieu important, une halte migratoire la plus importante de l'Afrique de l'Ouest et un lieu de nidification majeur des tortues marines. Ils ont pu le démontrer dans ce dossier. Que vont changer concrètement ces inscriptions pour ces différents sites ? Elles vont changer beaucoup de choses pour les communautés locales. Elles vont certainement contribuer à l'amélioration de leurs conditions de vie, ce qui est important. Mais elles vont aussi permettre à l'Unesco de continuer à former des experts, à fournir de l'assistance internationale, à encourager le tourisme local, mais aussi culturel autour de ces sites. Cela va également contribuer au développement socio-économique de tous ces pays et promouvoir la riche histoire culturelle de tous ces pays. À côté de ces nominations, trois sites africains ont été retirés du patrimoine en péril. C'est le cas notamment de l'ancienne ville de Ghadamès en Libye et des forêts humides de l'Atsinanana à Madagascar. Qu'est-ce qui vous a poussé à faire ces choix ? Il y a un grand travail qui s'est fait. C'est le cas des forêts de l'Atsinanana à Madagascar. Pendant près de quinze ans, l'Unesco et tous les experts ont travaillé pour accompagner les autorités malgaches. Il y a eu des investissements énormes pour lutter contre la déforestation qui avait été observée. Beaucoup d'autres activités qui ont été menées ont fait que l'on peut dire que sur les six composantes qui constituent ces forêts, quatre d'entre elles sont aujourd'hui suffisamment préservées. Les deux autres sont aussi en train de le faire. C'est très encourageant et le Comité du patrimoine mondial a pris tout cela en compte et a considéré que les efforts du gouvernement malgache méritaient que ces sites soient retirés de la liste en péril. Et en plus, nous avons un plan d'action pour les années à venir afin de renforcer ce travail qui a déjà commencé et rendre durable cette décision du patrimoine mondial. À lire aussiSierra Leone: l'île de Tiwai classée par l'Unesco pour sa biodiversité exceptionnelle À lire aussiGuinée-Bissau: l'archipel des Bijagós entre au patrimoine mondial de l'humanité À lire aussiPatrimoine mondial: l'Unesco accélère pour combler le retard de l'Afrique
Êtes-vous prêt à découvrir comment les plantes tinctoriales peuvent transformer notre perception de la couleur et de l'art ? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la couleur végétale. Elle nous emmène dans un voyage fascinant à travers l'univers des colorants végétaux, en mettant en lumière le magazine numéro 3 Couleur Végétale, qui célèbre le savoir-faire artisanal et la transmission des connaissances autour de la teinture végétale.Pauline nous explique pourquoi il est crucial pour les artistes et designers d'explorer la richesse des pigments végétaux, en partageant des études de cas sur l'utilisation de la teinture à base de plantes dans la restauration d'œuvres d'art. Saviez-vous que des couleurs comme l'indigo et la garance ont des histoires aussi riches que les œuvres qu'elles colorent ? Au cours de cet épisode, nous découvrons également les différentes filières émergentes qui se développent autour de la couleur végétale, ainsi que des témoignages d'artistes et d'experts passionnés.En outre, cet épisode explore des projets innovants de tourisme tinctorial et des initiatives visant à préserver le patrimoine culturel lié à ces pratiques ancestrales. Pauline invite les auditeurs à s'engager activement dans des projets autour de la couleur végétale et à soutenir le podcast ArtEcoVert en se connectant avec des acteurs locaux. Vous découvrirez des ressources précieuses pour approfondir vos connaissances sur les fibres naturelles, les tanins, et les nuances de la teinture.Ne manquez pas cette occasion d'élargir votre horizon sur le monde des plantes tinctoriales et de la couleur ! Comme le dit si bien Pauline, "la couleur végétale est un pont entre la nature et l'art". Plongez dans cet épisode inspirant et laissez-vous emporter par la magie des colorants biosourcés. Belle écoute !ArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
Chaque jour, retrouvez le journal de 7h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:51 - Journal de 8 h - Effacer l'identité ukrainienne en détruisant son patrimoine culturel. Une association française accuse la Russie et demande à la cour pénale internationale d'ouvrir une enquête.
durée : 00:14:51 - Journal de 8 h - Effacer l'identité ukrainienne en détruisant son patrimoine culturel. Une association française accuse la Russie et demande à la cour pénale internationale d'ouvrir une enquête.
Vendredi 11 juillet, Marc Fiorentino a reçu Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet Asset Management, Virginie Robert, présidente de Constance Associés, Pierre Schang, gérant de portefeuille actions chez La Financière de l'Échiquier, Pierre Le Treize, analyste-gérant chez Moneta Asset Management, Hugo Soussan, chief of staff chez Exail Technologies, Maxime Chipoy, président de MoneyVox, Lionel Mestre, associé, directeur général du fonds Eiréné de Weinberg Capital Partners, et Laurent Dubois, directeur général - Dette privée chez Sienna Investment Managers, dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:14:51 - Journal de 8 h - Effacer l'identité ukrainienne en détruisant son patrimoine culturel. Une association française accuse la Russie et demande à la cour pénale internationale d'ouvrir une enquête.
Dans cet épisode, nous discutons avec Gilles Désiré Dit Gosset, directeur de la Médiathèque du Patrimoine et de la Photographie (MPP) et Matthieu Rivallin, chef du département de la photographie à la MPP. Ensemble, ils nous racontent leur parcours respectif, mais surtout les coulisses de la plus importante collection photographique publique d'Europe.Ils partagent avec nous le rôle central de la MPP dans la préservation du patrimoine architectural et photographique français, la manière dont les archives y sont collectées, classées et valorisées, ainsi que leurs liens avec les photographes, notamment via les dons de fonds. Un échange passionnant pour mieux comprendre comment les images rejoignent les collections publiques, comment elles sont conservées, et pourquoi il est important de créer librement son œuvre avant d'envisager sa transmission.Bonne écoute !00:02:00 – Présentation de la Médiathèque du patrimoine et de la photographie (MPP) 00:05:00 – L'évolution historique de la collection photographique de la MPP 00:10:00 – Le parcours de Gilles Désiré Dit Gosset 00:18:00 – Le parcours de Matthieu Rivallin et ses débuts à la MPP 00:22:00 – Rôles respectifs au sein de la MPP : publications, expositions, gestion des fonds 00:24:30 – Comment un fonds entre dans une collection publique comme la MPP : étapes, critères, relations 00:29:00 – Le lien humain et de confiance avec les photographes donateurs 00:33:00 – L'équipe de la MPP : métiers, missions, fonctionnement interne 00:38:00 – Conseils aux photographes : anticiper, organiser, valoriser son fonds 00:43:00 – Diffusion, numérisation et accès aux images 00:49:00 – Valorisation éditoriale : livres, expositions et politique culturelleLien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sujet :Le rêve d'investir en start-up est séduisant, mais la prudence est de mise, car de nombreux investisseurs y perdent gros. Découvrez comment déjouer les pièges du marché secondaire, qu'il s'agisse des BSPCE, de la liquidité, de la valorisation ou des plateformes.L'invité du jour :Pierre Leroy est Managing Director chez Stifel. Au micro de Matthieu Stefani, il nous dévoile les pièges à éviter avant d'investir dans une start-up non cotée.Découvrez :Ce qu'est le marché secondaireLe gros problème avec les BSPCELes limites des plateformes de crowdequityLes risques liés aux actions de préférenceLes vrais avantages de l'investissement en start-upIls citent les références suivantes :Not So LiquidLes actions de préférenceL'épisode #389 de GDIY avec Nicolas Colin (The Family)On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Sapians de soutenir le podcast.Réalisez votre bilan patrimonial et recentrez vos possibilités d'investissement avec Sapians en suivant ce lien.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le sujet :L'intelligence artificielle est-elle en train de redéfinir les règles de la gestion de patrimoine ? Au sein de cette transformation, le choix entre gestion active et passive prend une dimension nouvelle.L'invité du jour :Christophe Descohand est Directeur Business Transformation et Digitalisation de La Française. Au micro d'Amaury de Tonquédec, il nous explique comment choisir entre la gestion active et la gestion passive à l'ère de l'IA.Découvrez : La révolution que traverse la gestion activeL'impact de la tokenisation et de la blockchainComment utiliser l'IA pour investir ?Gestion active vs Gestion passive : comment choisir ?Avantage Moniwan x La MartingaleBonne nouvelle ! Moniwan offre à tous les auditeurs et auditrices de La Martingale un bilan patrimonial gratuit. Pour en bénéficier, il vous suffit de prendre contact via le site moniwan.fr et de préciser que vous venez de la part de La Martingale.On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire eToro de soutenir la Martingale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.