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La fin de l'abondance énergétique a déjà commencé.Le déclin de l'Europe est acté pour beaucoup. Mais rares sont ceux qui en comprennent la cause profonde : une crise énergétique systémique.Jean-Marc Jancovici tire la sonnette d'alarme depuis 20 ans. Et cette fois, l'échéance est claire : 2027 ou rien.Avec son cabinet Carbone4 et son think tank The Shift Project, il coordonne un plan d'action concret pour transformer la France “dans la joie et la bonne humeur”.Plus de 30 000 “Shifters” sont engagés pour repenser et mettre en place les actions pour initier le changement tous les secteurs de la société.Résultat : en une semaine, avec une campagne Ulule, ils ont levé plus de 1,7 million d'euros pour influencer l'élection présidentielle.Pour Jean-Marc Jancovici, le changement ne viendra pas des sommets politiques, mais de la société civile.Et il y a urgence à clarifier un malentendu fondamental : non, énergie et électricité, ce n'est pas la même chose.La France a du nucléaire, certes — mais il est en retard, surtout face à la Chine. Et pendant ce temps, l'Europe importe 97 % de son pétrole et 90 % de son gaz. Autrement dit : on est totalement dépendants.Or dans un monde aux ressources limitées que se passera-t-il lorsque la Chine, la Russie et les États-Unis n'en auront plus en quantité suffisante pour exporter ?“C'est une course contre la montre”, les calculs estiment que la bascule aura lieu en 2030… dans 5 ans !Et après ? Sobriété forcée. Crise économique. Fin de certains acquis sociaux. Réduction massive des transports.Un changement de modèle qu'on le veuille ou non.Alors une vraie question se pose : dans quel monde voulons-nous vivre ?Un échange dense, passionnant et nuancé, pour comprendre où l'on va et pourquoi il est nécessaire de s'y préparer dès maintenant.TIMELINE:00:14:25 : Pourquoi Jancovici n'est pas éco-anxieux00:10:21 : Comprendre pourquoi l'énergie est la pierre angulaire de notre civilisation00:22:04 : Carbone4 et clarification sur le capitalisme00:31:15 : La corrélation entre le PIB ‘réel' et les tonnes chargées dans les trains : l'hypothèse Roosevelt00:39:47 : Le pétrole et la dépendance aux fournisseurs d'énergie étrangers00:51:17 : La réalité derrière les panneaux solaires00:59:25 : Comment la Chine nous rattrape sur le nucléaire01:06:24 : Les conséquences de la contrainte énergétique : trajets en avion, tourisme, production industrielle01:21:03 : Les mystères du combat politique01:34:13 : L'illusion de la “croissance verte”01:43:59 : IA vs la réalité énergétique : pourquoi jouer à un jeu auquel on a déjà perdu01:56:12 : L'hégémonie américaine et le problème des réseaux sociaux02:05:41 : Décarboner "dans la joie et la bonne humeur"02:18:16 : La campagne Ulule pour préparer 202702:37:52 : Ce qu'on peut faire à l'échelle individuelleLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #263 - Jean-Marc Jancovici - Carbone 4 - Décroissance, nucléaire, innovation : agir sous la contrainte ou par cas de conscience ?#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seul#327 - Laurent Alexandre - Auteur - ChatGPT & IA : “Dans 6 mois, il sera trop tard pour s'y intéresser”#426 - Thomas Clozel - Owkin - Comment casser Big Pharma grâce à l'IANous avons parlé de :The Shift projectCampagne Ulule : Décarbonons la France !The ShiftersCarbone4Le passage récent de Jean-Marc Jancovici chez QuotidienEmmanuel Todd (historien)What MattersVEJAAurélien Bigot (temps de déplacement constant)Yves Cochet (homme politique et universitaire)Grande Consultation des AgriculteursDécarbonons le sport (rapport)Les recommandations de lecture :Le Monde sans fin, miracle énergétique et dérive climatiqueLe Prince de MachiavelAlgocratie: Vivre libre à l'heure des algorithmesLa Défaite de l'OccidentÊtre un chêne: sous l'écorce de QuercusLes Fantômes de la nuit: Des chauves-souris et des hommesLa troisième révolution énergétique (Anne Lauvergeon)Vous pouvez contacter Jean-Marc sur LinkedIn et sur Instagram.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Frédéric m'a écrit sur Facebook pour me "confier une mission", dit-il, précisant "mais je crains qu'elle ne soit impossible". La mission, c'est d'"interdire 'du coup', que l'on entend trois fois par phrase, y compris (dans une moindre mesure) par de grands professionnels..."Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine Walid, Louise Denef et Raphaël Charlier s'intéressent à un coin de Belgique pour le moins dépaysant... Ils vous emmènent à Eupen, seule ville belge dont la langue officielle est l'allemand, au cœur des Cantons de l'Est, dans un endroit à la fois improbable et absolument génial : le centre culturel Alter Schlachthof ! Un nom qui claque, une histoire qui étonne : des anciens abattoirs devenus un lieu de culture. Autrement dit : du sang, de la sueur, et maintenant… de la poésie. Du jeu aussi puisque Anne-Laure et Frederic s'affrontent joyeusement en répondant aux questions qui autour de deux femmes pionnières qui ont fait avancer les choses pour notre pays, de la pizza hawaï, de l'aspirine, du fax ou de la tour Eiffel. Bref il y en aura pour tous les goûts. On parle nature locale aussi, avec les Hautes Fagnes, en compagnie de notre invité, Karl Marechal, responsable communication au Parc Naturel Hautes Fagnes-Eifel Botrange. https://botrange.be/ Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment la gouvernance peut-elle garantir un équilibre durable entre performances économique, sociale et environnementale ? Alors que les enjeux de durabilité deviennent cruciaux, Laurent Degabriel, directeur général de l'Institut Français des Administrateurs, nous éclaire sur le rôle clé des conseils d'administration, des indicateurs de performance globale et des mécanismes destinés à intégrer la RSE au cœur des stratégies d'entreprise. -----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
C'est la photo d'un homme debout au milieu d'un champ de ruines, qui fait la Une du Nouvel Obs, avec ces mots : « le spectre de l'annexion ». « Dix-neuf mois après les massacres commis par le Hamas, les destructions systématiques menées par le régime de Benyamin Netanyahou ont presque anéanti la Bande de Gaza », écrit le Nouvel Obs, « destructions qui font planer la menace d'un exode forcé sur ses deux millions d'habitants ». « Un spectre hante les Palestiniens de Gaza », poursuit l'hebdomadaire : « la Nakba, la catastrophe en arabe, référence à l'expulsion d'une partie des populations arabes de Palestine lors de la naissance d'Israël en 1948. Depuis les massacres du 7 octobre, les Palestiniens ont la certitude de vivre une nouvelle Nakba, à Gaza sous les bombes, mais aussi en Cisjordanie, de manière plus rampante et insidieuse, sous l'action souvent conjointe de l'armée et des colons israéliens ».Crime de guerre et génocideFaut-il alors parler de génocide ? interroge le Nouvel Obs. Le débat est ouvert et parfois violent. En préambule, la juriste Mathilde Philip-Gay spécialisée dans le droit pénal international, explique que « parmi les grands crimes en droit pénal international, on peut déjà dire que deux sont certainement commis à Gaza. » « Il y a, dit-elle, incontestablement des crimes de guerre, puisque des dizaines de milliers de civils ont été tués, ce qui n'est pas un objectif militaire. La liste est longue, poursuit Mathilde Philip-Gay : blocus de l'aide humanitaire, utilisation de la faim comme arme, interdiction aux journalistes occidentaux de se rendre à Gaza, ciblage délibéré des reporters palestiniens. On assiste aussi très probablement à des crimes contre l'humanité », ajoute-t-elle.Mais qu'en est-il du génocide ? Pour l'historien Vincent Lemire, il faut distinguer « les deux significations du mot ». « D'abord, la signification politique, tombée dans le sens commun, celle que tout le monde a en tête, l'atteinte, de manière atroce, à une population, le ' pire ' des crimes ». Or « juridiquement, précise l'historien, ce n'est pas vraiment cela. Selon le droit international, le génocide correspond à l'intention de détruire un groupe national, ethnique ou religieux. Pour être établi, il nécessite donc de prouver qu'Israël a comme unique intention de détruire la population de Gaza (…) Il doit aussi être démontré que les victimes sont ciblées de manière délibérées et non aléatoire ». Le débat reste ouvert…L'ordination des femmesDans la presse hebdomadaire également cette semaine, les réactions à l'élection du pape Léon XIV. Le Point y consacre d'ailleurs sa Une, avec ce titre : « Léon XIV, le pape d'un nouveau monde ». « Le premier Américain du Nord (…) mais qui vient aussi du Sud, il a longtemps été missionnaire au Pérou ». Un pape jeune et moderne. Mais jusqu'où ira-t-il ? Le Point s'interroge notamment sur les femmes diacres et prêtres : « le sujet de leur ordination va-t-il rester éternellement tabou dans l'Église ? »On serait tenté de dire oui, à lire l'article de l'hebdomadaire. Car, nous explique l'historien Alberto Melloni, au-delà « d'une affaire de parité ou d'égalité des sexes » « la question des femmes touche à des enjeux théologiques fondamentaux ». « Problème, ajoute-t-il : ouvrir la prêtrise aux femmes ou même rétablir le diaconat féminin nécessiterait un concile. Ce n'est pas une décision qu'un pape peut prendre seul ». Autrement dit, l'attente risque d'être longue…L'Express, lui aussi, s'intéresse au nouveau pape. Et plus précisément à son « face à face », avec Donald Trump. « Si le pape et le président des États-Unis partagent la même nationalité, ils risquent de s'opposer sur la question des migrants et de l'aide internationale » estime l'Express, d'autant que « pour les ultra-trumpistes, le successeur de François est un gauchiste. »À 300 kilomètres de CayenneEnfin, le Journal du Dimanche se fait l'écho des nouvelles intentions du ministre français de la justice, Gérald Darmanin, en matière pénitentiaire. « Gérald Darmanin va enfermer les narcotrafiquants dans la jungle amazonienne », clame le JDD, qui parle d'une « forteresse isolée, conçue pour enfermer les criminels les plus dangereux du narcotrafic et les islamistes ». Une annonce faite alors que le ministre est en visite en Guyane. Gérald Darmanin qui multiplie les annonces sur les prisons et qui déclare ainsi : « j'ai décidé d'implanter en Guyane la troisième prison de haute sécurité de France. Soixante places, un régime carcéral extrêmement strict et un objectif : mettre hors d'état de nuire les profils les plus dangereux du narcotrafic. »Le Journal du dimanche nous donne un aperçu de l'implantation de la nouvelle prison : « au bout du monde : à Saint-Laurent du Maroni, aux confins du fleuve, à 300 kilomètres de Cayenne, à des jours des premiers hameaux accessibles uniquement en pirogue ou par avion ». « Une forteresse volontairement isolée, comme un écho au bagne d'autrefois, mais avec les codes du 21ème siècle », ajoute le JDD, qui semble séduit par cette vision, alors qu'aux États-Unis, Donald Trump, lui, rêve de rouvrir Alcatraz. Autant de projets qui pourraient nourrir l'imagination de bien des scénaristes.
Aux États-Unis, les prix du bœuf continuent de grimper. En cause, une pénurie de bétail, alors que la demande est toujours importante. Le prix moyen du bœuf a augmenté de 60 % depuis 2020 dans le pays. En sortie d'abattoir, un kilo de bœuf vaut près de sept euros en moyenne aux États-Unis, soit davantage qu'en Europe, du jamais vu. « Un renversement complet de situation », dit même Jean-Paul Simier, expert de la filière viande et co-auteur du rapport CyclOpe sur les marchés des matières premières dont la dernière édition vient d'être publiée. Au pays du barbecue et du hamburger, les prix de la viande de bœuf ont traditionnellement toujours été plus bas qu'ailleurs.Aujourd'hui, il n'y a plus assez de bêtes pour répondre à la consommation nationale. En 50 ans, le cheptel est passé de 140 millions de têtes à 90 millions aujourd'hui – soit une baisse de 36 %. Conséquence, depuis deux ans, les importations américaines sont supérieures aux exportations et les Américains n'ont jamais autant acheté au Brésil : +57 % en cinq ans. Diminution des pâturagesLa principale explication, c'est la sècheresse qui a entraîné une baisse des surfaces de pâturages. Le réchauffement a touché les zones traditionnelles de production, notamment les Rocheuses, là où naissent les veaux, avant d'être transférés dans les régions agricoles où ils sont engraissés, dans le centre des États-Unis, au Texas notamment.La production de viande de bœuf étant devenue peu attractive et peu rémunératrice, il y a aussi moins en moins de « naisseurs » c'est-à-dire d'éleveurs de vaches allaitantes. Impact sur l'industrieLes premiers touchés sont les consommateurs, il faut aujourd'hui être « addict » pour continuer à manger du bœuf à prix d'or. L'industrie n'est pas moins concernée, les parcs d'engraissement n'étant pas assez remplis et devenant moins rentables. Les engraisseurs ont beau produire des animaux plus lourds, comme le prix d'achat des broutards et de l'alimentation bétail a augmenté, leur marge peine à être bénéficiaire.Le moral n'est pas meilleur chez les conditionneurs et exportateurs de viande : « Le bœuf connaît les conditions de marché les plus difficiles que nous ayons jamais vues », reconnaissait ces derniers jours le patron de Tyson Foods, cité par le Financial Times.Volonté d'exporter malgré toutTrès attentif à la situation et au moral des « farmers » américains, le dirigeant de la Maison Blanche affiche, malgré la baisse du cheptel, sa volonté d'exporter plus de bœuf. Donald Trump l'a prouvé encore ces derniers jours en demandant au Royaume-Uni d'importer du bœuf américain – et d'autres produits agricoles – en contrepartie d'un allègement des tarifs douaniers.Cette volonté risque cependant de ne pas suffire, car au-delà du bétail qui baisse, les prix sont un autre frein. Début 2025, le bœuf brésilien était 54 % moins cher que le bœuf américain – avec un prix de gros, à la sortie de l'abattoir, à trois euros en moyenne au Brésil contre 6,80 aux États-Unis.Les États-Unis arrivent encore à exporter des morceaux très chers, comme l'entrecôte, ou l'aloyau, au Japon et en Corée du Sud. C'est plus compliqué, en revanche, pour les morceaux de seconde catégorie sur lesquels la concurrence est plus rude. « Les Américains ne sont plus dans la compétition mondiale » résume Jean-Paul Simier.Canada et Mexique, des partenaires indispensables La filière bovine américaine pourrait souffrir, encore plus, si les tensions commerciales avec le Canada, et le Mexique devaient à nouveau se tendre. « Se fâcher avec le Canada serait tout simplement se tirer une balle dans le pied », résume Jean-Paul Simier. Les États-Unis aspirent 80 % de la production canadienne, ils achètent aussi bien la viande que des animaux vivants. Autrement dit, c'est le Canada qui permet de faire tourner les abattoirs américains. Le Mexique est lui devenu depuis quelques années un fournisseur de bêtes à engraisser des États-Unis. Début 2025, les flux ont baissé de 75 % en raison de restrictions sanitaires, résultat en février, les arrivées dans les usines d'engraissement américaines ont baissé de 19 % par rapport à l'année dernière. La mesure est progressivement en train d'être levée, les besoins d'alimenter le marché américain sont trop grands. À lire aussiÉtats-Unis : la viande de bœuf s'arrache à prix d'or
L'offensive israélienne pourrait être déclenchée dans les heures qui viennent… « Gaza dans l'inconnu » titre L'Orient-le-Jour. « Des renforts israéliens se préparent à la frontière de Gaza, à ce qui devrait être une invasion brutale, ressemblant à un massacre », avertit sur X le journaliste palestinien Younis Tirawi, cité par le quotidien francophone libanais. Le journal d'opposition israélien Haaretz annonce de son côté « une opération élargie », alors que « les frappes israéliennes ont fait hier plus de 100 morts ». En Suisse, Le Temps tape du poing sur la table. Dans son éditorial, Madeleine von Holzen, s'indigne « que le droit humanitaire international soit piétiné par le gouvernement israélien à Gaza où la population meurt sous les bombardements et par la faim ». « Cette situation », nous dit-elle, « est intolérable ». En France, Mediapart fait aussi part de sa colère : « Génocide à Gaza, que fait le monde ? » interroge le site d'information, qui reprend les propos de Tom Fletcher, secrétaire général adjoint des Nations unies, il y a quelques jours : « que dirons-nous aux générations futures ? Que nous avons fait tout ce que nous pouvions ? Ce sont des mots vides de sens », a lancé Tom Fletcher.La cohabitation : stop ou encore A la Une de l'actualité également, le premier tour de l'élection présidentielle demain en Pologne. « Le camp libéral résistera-t-il aux conservateurs du Pis ? » interroge Courrier international qui a lu la presse polonaise… « Elle souligne, nous dit-il, l'enjeu de l'élection présidentielle (…) mettre fin à la cohabitation entre le camp national conservateur à la présidence et le gouvernement pro-européen du premier ministre Donald Tusk – ou la prolonger ». « Stop ou encore à la cohabitation », annonce ainsi l'hebdomadaire Polityka, qui cite le sociologue Andrzej Rychard, selon lequel « cette élection sera extrêmement importante pour la Pologne, aussi importante que celle de 1989 et 2023 ». Et le sociologue va plus loin : « Si le candidat de la coalition gouvernementale Rafal Trzaskowski l'emporte », assure-t-il, « nous avons une chance (…) de finaliser (…) la reconstruction de la démocratie libérale et le renforcement de la Pologne en Europe ».De son côté, Gazeta Wyborcza, estime que si le candidat de la coalition gouvernementale perd, « nous serons confrontés, jusqu'aux élections législatives, à deux années de divisions violentes (…) et à une cohabitation pleine de tensions ». Il y a aussi une inconnue : le score que fera le parti d'extrême droite Konfederacja. « Il pourrait bien s'imposer comme la troisième force politique du pays », estime Courrier international.Deux candidats pour un fauteuilLa presse française s'intéresse au duel entre Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez, qui vont se disputer ce week-end la tête de LR, Les Républicains. « Qui va expulser l'autre ? » titre ironiquement Libération, faisant implicitement allusion à l'un des sujets préférés des deux hommes : l'immigration. « Les adhérents LR votent ce week-end pour désigner leur président », explique le quotidien français. « Face à face, le ministre de l'Intérieur et le patron du groupe à l'Assemblée. Un avant-goût de la bataille interne pour 2027 ». Autrement dit, pour la prochaine élection présidentielle. Et à ce petit jeu, les deux hommes présentent quasiment le même programme, si l'on en croit Le Figaro. Pour le journal conservateur, « rarement deux rivaux auront été plus proches sur le fond (…) tous deux prônent une droite qui n'a pas peur de son ombre et qui, pour cela, entend tourner clairement la page du macronisme et érige La France Insoumise en menace absolue ».Libération présente la situation de manière plus caustique, estimant notamment que Laurent Wauquiez « a tenté de compenser de mauvais choix politiques, par des saillies plus navrantes les unes que les autres ». Cette élection à la tête de LR, intéresse aussi nos voisins belges, le quotidien le Soir s'amuse de cette « droite française », qui est « en quête d'un chef pour revenir au pouvoir ». « Cela fait près de 20 ans qu'elle n'a plus conquis l'Elysée », rappelle le journal belge.
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Le Guide Michelin honore enfin les restos québécois, mais pendant que la gastronomie brille, certains établissements abandonnent les pourboires. Sophie Durocher en discute avec Thierry Daraize. Puis, Brigitte Bédard raconte une bagarre surréaliste en plein vol vers Paris. De son côté, Caroline G. Murphy partage les histoires les plus absurdes de la semaine, dont une plaque d’immatriculation très embarrassante et un incident gluant pour William Cloutier. Enfin, Sophie Durocher et Rémi Villemure débattent de l’interdiction de la nudité à Cannes : entre art et hypocrisie. Dans cet épisode intégral du 15 mai, en entrevue : Thierry Daraize, consultant en gastronomie et alimentation. Brigitte Bédard, présentatrice météo à TVA Nouvelles et LCN. Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Imaginez, votre tirelire ne pèse plus une tonne, elle tient uniquement dans douze petits mots. Autrement dit, votre code secret pour vos cryptomonnaies. Mais voilà, quelqu'un vous les a fait répéter sous la menace d'un couteau et tout votre patrimoine s'évapore. C'est le film d'horreur bien réel qui secoue la planète Crypto depuis début mai. En plein Paris, des ravisseurs ont sectionné le doigt d'un père pour débloquer le portefeuille numérique de son fils, raconte Le Figaro. Et, trois mois plus tôt, l'ex-fondateur de Ledger, une société spécialisée dans la conception et la commercialisation de portefeuilles physiques de cryptomonnaies, subissait exactement la même brutalité : agression, rançon et phalanges sacrifiées. Pourquoi cette montée de la violence? Un, parce que dans le monde de la crypto monnaie, la valeur est portable. Plus de lingots à charger, juste un mot de passe à soutirer. Deux, parce que le public s'élargit. Il semblerait que 18 % des Français détiennent déjà des crypto. En tous cas, d'après le consultant Gemini, c'est effectivement un bel annuaire, très tentant pour les apprentis bandits. Et puis, troisième raison, l'étalage permanent, comme des selfies devant une belle voiture de sport ou une grosse villa, ou d'autres maladresses sur les réseaux sociaux. Le paradoxe est cruel : la crypto vit de visibilité, notamment pour lever des fonds ou inspirer confiance, mais elle réclame maintenant la discrétion d'un coffre fort. Donc, concrètement, il y a au moins trois réflexes simples à adopter : parler le moins possible de ses gains et de ses adresses séparer les usages. Un petit compte de poche, si je puis dire, pour payer les petites dépenses, et un vrai coffre hors ligne pour le gros du pactole installer une double validation pour tout transfert important : deux personnes ou deux appareils doivent confirmer avant que les fonds ne bougent. Moralité, bien que vous possédiez quelques euros en cryptomonnaies, ou des montants plus conséquents, retenez qu'il faut accumuler les précautions autant que la monnaie virtuelle. Un portefeuille bien caché vaudra toujours mieux qu'un bandage flambant neuf, et vos dix doigts vous en seront reconnaissants. criminalité, bitcoin, cryptomonnaie, mot de passe, code secret, couteau, attaque, enlèvement, menace, patrimoine, envolé, vol, hacking, paris, agression, déblocage, portefeuille numérique, fils, père, mère, Ex-fondateur, Ledger, société spécialisée, conception, commercialisation, portefeuilles physiques, violence, brutalité, rançons, phalanges sacrifiées, coupées, Québec, modérateur, forum crypto, échappé, pinces coupantes, Ukraine, homme mort, meurtre, argentine, influenceur, démembré, richesse, kidnapping, recette, montée violence, valeur portable, lingots, large public, consultant Gemini, bandits, étalage permanent, réseaux sociaux, selfies, voiture de sport, villa, malfaiteurs, risque, investisseurs, Dubaï, Monaco, ravisseurs, proches, parents, conjoints, enfants, registres d'entreprises, données fiscales, photos de soirées, paradoxe, cruel, visibilité, fonds, inspirer confiance, discrétion coffre-fort, secteur, bling bling, investir, sobriété, invisible, réflexes, gains, compte, dépenses, pactole, double validation transfert, autorités, Europe, directive DAC 8, hors ligne, plateformes, mouvements suspects, police, technologie, bon sens, protection, information proches, vérification, serrures, doigts, phalanges, précautions, moralité, monnaie virtuelle --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les marchés s'emballent pour une trêve de 90 jours entre les États-Unis et la Chine. Mais derrière les chiffres, une vérité dérangeante : les droits de douane restent monstrueusement élevés. Et Trump n'a pas rangé ses menaces. Une chronique d'Amid Faljaoui à ecouter avant de se laisser bercer par l'euphorie stupide des marchés boursiers. Ce lundi 12 mai, les États-Unis et la Chine ont annoncé une trêve dans leur guerre commerciale. Résultat immédiat : les marchés boursiers ont bondi, le dollar s'est renforcé, l'or a chuté, et les traders ont activé frénétiquement le bouton « Acheter », comme si le conflit n'avait jamais existé. Pourtant, il ne s'agit que d'une pause de 90 jours, destinée à tester la capacité de Washington et Pékin à afficher un semblant d'entente. Les droits de douane baissent, mais demeurent à des niveaux historiquement élevés. Si aucun accord n'est conclu d'ici trois mois, Donald Trump a déjà promis d'en remettre une couche. Il y a encore quelques mois, les économistes les plus pessimistes imaginaient des tarifs douaniers à 20 %, voire 60 % dans le pire des scénarios. Aujourd'hui, Trump brandit la menace d'un taux à 145 %. Dès lors, lorsqu'il revient simplement à 40 %, les marchés applaudissent. Le pire a été placé si haut que l'on célèbre désormais les catastrophes modérées comme des victoires. Pendant ce temps, l'économie réelle vacille. En Chine, jusqu'à 16 millions d'emplois sont menacés. Aux États-Unis, les premières victimes seraient les très petites entreprises, celles qui n'ont ni les ressources humaines ni les moyens financiers pour relocaliser ou réorganiser leur production dans l'urgence. Pour elles, cette trêve représente certes une bouffée d'oxygène, mais une bouffée éphémère, susceptible d'éclater à tout moment. Autrement dit, la guerre commerciale marque une pause, mais cette accalmie est factice, temporaire, trompeuse. Rien n'est réglé ! Dans cette mécanique d'escalade et de recul, Donald Trump a réussi un coup de maître : faire passer l'anormal pour le nouveau normal. Mots-clés : action, tesla, capitalisation, amnésie, raison, investissement, hésitation, chaine logistique, container, mer, bateau, Shanghai, Los Angeles --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le rendez-vous aura-t-il lieu jeudi à Istanbul entre Vladimir POUTINE et Volodymyr ZELENSKY ? Rien n'est encore sûr mais en tout cas les lignes bougent après un intense week-end diplomatique… Alors la paix a-t-elle pour la première fois une chance de l'emporter ou assistons-nous à un vaudeville géopolitique qui ne débouchera sur rien ? Qui piège qui dans ce qui ressemble à un poker menteur mondial ? On en débat ce lundi 12 mai avec nos invités : ▶︎ Isabelle LASSERRE Correspondante diplomatique du Figaro▶︎ Elena VOLOCHINE Grand reporter, autrice de « Propagande : l'arme de guerre de Vladimir Poutine » aux éditions Autrement (02.10.24)▶︎ Diana FILIPPOVA Directrice éditoriale de France Positive, essayiste, romancière, co-fondatrice de Place Publique, autrice de « De l'inconvénient d'être russe » aux éditions Albin Michel (01.09.2023)▶︎ Régis GENTÉ Journaliste, correspondant de RFI et au Figaro en Géorgie, auteur de « Notre homme à Washington: Trump dans la main des Russes » aux éditions Grasset (16.10.24)▶︎ Cyrille AMOURSKY Reporter de guerre indépendant, chroniqueur à LCI▶︎ Florian LOUIS Historien, docteur de l'École des Hautes Etudes en sciences sociales (EHESS)
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L'humoriste et podcasteur Cédric Bergeron s'est ouvert à nous dans un témoignage touchant, drôle et rempli de vulnérabilité. De l'infertilité à l'adoption en passant par la DPJ, il nous raconte avec une grande authenticité le parcours qui l'a mené à devenir papa de magnifiques jumelles. Un épisode puissant, porteur d'espoir pour tous ceux et celles qui se sentent perdus dans leur propre parcours. ❤️ Suivez nos commanditaires Littoral Marketing et Éros et compagnie pour des offres exclusives et des services sur mesure.Code promo Eros : li15 (pour 15% de rabais sur la boutique en ligne!)Restez connectés avec nous sur les réseaux sociaux : Facebook : / lesinfertiles.ca Instagram : / lesinfertiles.podcast Nos différents épisodes sont également disponibles sur toutes les plateformes :https://linktr.ee/lesinfertiles
Depuis quelques années, on entend souvent dire que nous vivons dans une ère de la post-vérité. Une époque où les faits comptent moins que les émotions, où les opinions pèsent parfois plus lourd que les preuves, et où les fake news circulent plus vite que la vérité. Mais que signifie exactement cette expression, et pourquoi s'applique-t-elle à notre époque ?Une définition simpleLe terme “post-vérité” (ou post-truth en anglais) a été popularisé en 2016, au moment du Brexit et de la campagne présidentielle de Donald Trump. Il a même été élu mot de l'année par le Oxford Dictionary, qui le définit comme :“Une situation dans laquelle les faits objectifs ont moins d'influence sur l'opinion publique que les appels à l'émotion ou aux croyances personnelles.”Autrement dit, dans l'ère de la post-vérité, ce qu'on ressent ou croit peut avoir plus de poids que ce qu'on sait réellement.Des faits relégués au second planPrenons un exemple simple : si une information factuelle – comme un chiffre ou une étude scientifique – contredit une croyance personnelle ou une émotion forte, beaucoup de gens choisiront de ne pas y croire. Non pas parce que l'information est fausse, mais parce qu'elle dérange, heurte une conviction, ou ne s'aligne pas avec ce qu'ils veulent entendre.C'est ce phénomène qui rend la post-vérité si puissante — et si dangereuse. Elle repose non pas sur l'absence d'information, mais sur la remise en cause volontaire de la vérité, au profit de discours rassurants, polarisants ou émotionnellement efficaces.Le rôle d'Internet et des réseaux sociauxInternet a permis un accès massif à l'information, mais aussi à la désinformation. Sur les réseaux sociaux, chacun peut diffuser sa version des faits, qu'elle soit vraie ou non. Les algorithmes favorisent les contenus qui suscitent des réactions émotionnelles fortes, comme la peur, la colère ou l'indignation — souvent au détriment des contenus nuancés et factuels.Résultat : les “bulles de filtre” enferment les gens dans des univers d'opinion, où tout ce qu'ils voient confirme ce qu'ils pensent déjà.Une crise de confiance généraliséeEnfin, l'ère de la post-vérité reflète aussi une crise de confiance envers les institutions : médias, scientifiques, politiques. Quand les repères s'effondrent, tout devient discutable, même les faits les plus établis.En résumé : on parle d'ère de la post-vérité parce que, dans nos sociétés actuelles, les émotions, les croyances personnelles et les récits séduisants prennent souvent le pas sur les faits objectifs. Une réalité qui nous pousse à être plus vigilants, plus critiques… et plus curieux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Notre invitée est Aurélie Wilmet pour sa BD "Diane Arbus : Photographier les invisibles" (Casterman) La première biographie dessinée sur la célèbre photographe new-yorkaise. Artiste majeure du milieu du XXᵉ siècle, Diane Arbus débute sa carrière comme photographe de mode mais développe peu à peu une démarche plus personnelle en prenant pour modèles des individus appartenant à des groupes marginalisés (travestis, handicapés, nudistes...) et en les montrant dans leur humanité plutôt que comme des bêtes de foire. Diane Arbus a redéfini les limites de ce qui peut être photographié, montré, exposé, et a contribué à la normalisation et à l'acceptation de ces identités atypiques. Malgré un rôle majeur dans l'histoire de la photographie, elle reste relativement méconnue en France et dans le reste de la francophonie. Cette biographie retrace son parcours professionnel mais aussi sa vie personnelle et amoureuse ainsi que la dégradation de sa santé mentale durant les dernières années de sa vie. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Souvent, les débutants en Facebook Ads vont passer à côté de ce concept Facebook Ads.Ou bien, ils vont commencer à se poser la question trop tôt.Quel est l'emplacement Facebook Ads que je dois utiliser ?Aujourd'hui, Meta vous donne du Advantage+, c'est-à-dire que vous ne contrôlez rien, Meta s'occupe de tout.Mais on peut vous assurer que cela a un impact sur vos coûts et sur le temps que votre campagne met avant de sortir des résultats.En effet, il existe une couche supplémentaire d'analyse à même votre campagne, lorsqu'elle a assez dépensé.Et ça concerne évidemment les emplacements publicitaires.Dans cette vidéo de No Pay No Play, on vous partage tout ce qu'il y a à savoir sur le sujet pour que vous preniez de meilleures décisions.Envie d'aller plus loin ? Rejoignez la J7 Académie, notre écosystème dédié aux Media Buyers : https://j7academie.com/Newsletter gratuite : Chaque lundi, on vous envoie une astuce ou un test Facebook Ads à appliquer directement sur votre compte : http://j7media.com/escouadeNotre agence : https://experts.j7media.com/agence/Autrement, rendez-vous sur notre autre chaîne : https://www.youtube.com/@podcastsocialscaling
De son vrai nom Sean Combs, celui qui a régné pendant des années sur le hip-hop de la côte Est des États-Unis est le principal accusé d'un dossier qui mêle sexe, argent, drogue et manipulation. Sean Combs, c'est le rappeur et producteur à succès qui s'appelait autrefois Puff Daddy, un nom qui fait clairement référence au cannabis, puis plus tard P. Diddy. Sean Combs, c'est 3 Grammy Awards, un Oscar, des millions d'albums vendus, dont quatre certifiés disque de platine. Ce sont aussi des collaborations avec Mary J Blige, Notorious BIG, Jennifer Lopez, Jay Z, ou le pédophile condamné R. Kelly. Il a son étoile sur Hollywood Boulevard, à Los Angeles. Bref, c'est un homme qui pèse d'un poids énorme dans le milieu musical, rappelle notre correspondant à Washington, Guillaume Naudin.P. Diddy est inculpé de 5 chefs d'accusation, dont certains peuvent lui valoir la prison à vie, parmi lesquels trafic sexuel et racket ou encore transport en vue d'activités de prostitution. Les procureurs lui reprochent notamment l'organisation de ce que lui-même appelle des « freak offs », des événements au cours desquels des femmes à qui il faisait miroiter des opportunités de carrière étaient sommées, en étant droguées si nécessaire, de satisfaire ses désirs sexuels ou encore de s'engager dans des activités sexuelles avec des prostitués masculins, pendant plusieurs jours. Le tout filmé à la fois pour le plaisir de Sean Combs et aussi à des fins de faire chanter les victimes pas assez dociles. Plaider non-coupable ?P. Diddy a décidé de plaider non-coupable, alors que les accusations sont suffisamment graves pour que même une star comme lui attende son procès en prison, dans une section réservée tout de même à des célébrités, ou à des gens qui bénéficient d'un traitement privilégié. Il dément toutes les accusations, indiquant que toutes ces activités étaient consenties. Quatre femmes figurent parmi les accusatrices. L'acte d'accusation les désigne anonymement, mais on sait au moins que la victime dite N°1 est Casandra Ventura, Cassie pour la scène et ses activités de choriste, ex-petite amie de Sean Combs. Comme d'autres femmes, elle l'avait déjà poursuivi au civil dans une affaire qui s'était réglée à l'amiable, autrement dit moyennant finances.Ce procès doit durer 8 à 10 semaines et il commence aujourd'hui par la traditionnelle sélection du jury, on sait déjà qu'il sera très suivi dans l'industrie du spectacle, parce que Sean Combs connaissait beaucoup de monde et depuis longtemps. Des fêtes, il en a organisé beaucoup dans ses différentes maisons. Il est donc légitime de se demander qui savait quoi et qui participait à quoi. Il faut dire que ce genre de pratiques ne date apparemment pas d'hier dans l'industrie musicale. C'est assez courant depuis les années 70 de faire taire les victimes par la menace ou par des NDA, des « non-disclosure agreements », des accords de confidentialité moyennant finances, selon une enquête du Washington Post. Quelques femmes ont osé témoigner et elles ne sont évidemment plus dans le milieu musical. À Miami, où va Little Haïti ?Le quartier de Little Haïti à Miami a pris ce nom après l'arrivée de très nombreux Haïtiens dans les années 1960 et 1970, ceux qui fuyaient la dictature des Duvalier. De la vie de l'époque, il reste encore les peintures murales. Mais pour le reste, les magasins de produits haïtiens, les marchés, les restaurants, plus grand-chose ne subsiste. L'appétit des promoteurs immobiliers a fait partir les Haïtiens, comme l'a constaté notre envoyé spécial, Eric Solo. Reportage à réécouter dans son intégralité dans l'édition du jour. Les États-Unis désignent deux entités criminelles d'Haïti comme des organisations terroristesLa coalition Vivre Ensemble et le gang Gran Grif viennent d'être désignés « organisations terroristes transnationales ». Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, les qualifie de « menace directe pour la sécurité nationale » et il estime dans un communiqué que ces deux entités sont « les deux principales sources d'instabilité et de violence en Haïti ».Conséquence concrète de cette décision : toute transaction avec Gran Grif ou Vivre Ensemble placera les auteurs de ces transactions sous la menace de sanctions anti-terroristes. On parle aussi bien de ressortissants haïtiens que de personnes résidant légalement aux États-Unis, et même de citoyens américains. Autrement dit, l'administration Trump tente d'asphyxier ces groupes criminels en coupant leurs sources de revenus. Réaction du Conseil président de transition sur le réseau social X : c'est « un pas dans la bonne direction », estime le CPT qui parle aussi de signal encourageant pour les magistrats d'Haïti qui souhaitent éradiquer la criminalité. Le CPT se dit « prêt à collaborer avec tous les pays soutenant la lutte contre le fléau du terrorisme ». L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreC'est une conséquence peu connue de l'éruption en 1902 de la Montagne Pelée : « l'exil » d'un certain nombre de Martiniquais… en Guyane. À écouter aussiSe souvenir de l'éruption de la montagne Pelée de 1902, avec Anne Terrier
En à peine 70 ans, la teneur en vitamines, minéraux et antioxydants de nos fruits et légumes a nettement diminué. Une tendance confirmée par de nombreuses études, dont l'une des plus citées est celle du Dr Donald Davis, biochimiste à l'Université du Texas, publiée en 2004 dans le Journal of the American College of Nutrition. En comparant les données nutritionnelles de 43 légumes et fruits entre 1950 et 1999, l'étude a révélé des baisses significatives : -6 % en protéines, -16 % en calcium, -9 % en phosphore, -15 % en fer et jusqu'à -38 % en vitamine B2.Mais à quoi est due cette perte de qualité nutritionnelle ?1. L'agriculture intensive et la sélection variétaleDepuis les années 1950, les variétés agricoles ont été sélectionnées avant tout pour leur rendement, leur croissance rapide, leur résistance au transport et leur aspect esthétique, souvent au détriment de leur densité nutritionnelle. Ce phénomène, appelé effet de dilution, signifie que plus une plante pousse vite et produit de masse, moins elle concentre de nutriments dans ses tissus. Autrement dit : des tomates plus grosses, mais moins riches.2. L'appauvrissement des solsL'usage massif d'engrais chimiques a favorisé une production rapide, mais a aussi déséquilibré les sols, souvent privés de microéléments essentiels. Or, un sol pauvre produit des végétaux pauvres. Les rotations de cultures limitées, le labour excessif et la monoculture réduisent encore davantage la richesse biologique du sol, privant les plantes de nutriments qu'elles devraient absorber naturellement.3. La récolte précoce et la conservationDe nombreux fruits et légumes sont récoltés avant maturité, pour supporter les longs trajets ou la conservation. Or, c'est en fin de maturation que la concentration en antioxydants et en vitamines atteint son maximum. De plus, les méthodes de conservation (réfrigération, atmosphère modifiée) peuvent entraîner une dégradation progressive des nutriments.4. Le changement climatiqueDes travaux récents publiés dans Nature Climate Change montrent que l'augmentation du CO₂ atmosphérique stimule la croissance végétale, mais dilue certains nutriments, notamment le zinc, le fer et les protéines dans les céréales et les légumineuses. Une tendance préoccupante à l'échelle mondiale.Conclusion :Nos fruits et légumes sont moins nutritifs non parce qu'ils sont "pires", mais parce que les méthodes de culture modernes privilégient la quantité à la qualité. Ce constat relance l'intérêt pour des pratiques agricoles plus durables, des variétés anciennes, et la consommation locale et de saison. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Denise, alias Nora Colson, est passionnée de chant lyrique. Elle ne manque pas une occasion de chanter ou de siffler. En 1991, son public se compose de voyageurs du métro parisien où elle est gardienne de lavatory. Autrement dit, elle est Dame pipi. Parfois, elle a la chance de travailler place de la Madeleine. Construit en 1905, le lavatory madeleine est un bijou d'art nouveau. Il est même classé monument historique depuis 2011.*** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique "Là bas, si j'y suis : La dame pipi qui chante" de Mermet. Reportage : Carole Pither. - France Culture - 22/01/1991 ****** Crédits podcast *** Documentaliste : Anne Brulant - Textes : Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy, Stéphane Rives - Enregistrement : Franck Couillard - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) : Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistante cheffe de projet : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a grandi en Centrafrique, traversé les guerres, et choisi de répondre par la créativité. Teddy Kossoko, 30 ans, utilise les jeux vidéo pour raconter l'Afrique autrement. Mais créer ne suffit plus. L'entrepreneur installé à Toulouse poursuit désormais un objectif plus vaste : bâtir un marché du jeu vidéo africain. Pour lui, il faut aussi pouvoir vendre, localement. Portrait d'un entrepreneur engagé. La mission de Teddy Kossoko : reconnecter les Africains à leur histoire et casser les clichés. Une ambition qui le pousse à créer Masseka Game Studio en 2018. « "Masseka" dans ma langue natale, Sango, veut dire "jeune, jeunesse". Pour moi Masseka, c'est un moyen de raconter l'Afrique. D'abord aux Africains, car la plupart des Africains ne connaissent pas le continent africain. Ensuite raconter l'Afrique au reste du monde, pour que les gens puissent connaître l'Afrique au-delà de la colonisation et de l'esclavage. Qui colle aujourd'hui à la peau des Africains, on n'est pas que cela », raconte-t-il.Ses jeux s'inspirent des cultures africaines. Kissoro, par exemple, revisite l'awalé, ce jeu de stratégie traditionnel, pour en faire un outil de paix. « C'est un jeu avec des pions et des cases. À l'époque, je voulais promouvoir la paix entre deux royaumes », se souvient-il. La Centrafrique à l'époque est en guerre, et Teddy Kossoko choisit la créativité comme arme politique. Le succès est au rendez-vous : plus de 50 000 téléchargements. Puis vient La Légende de Mulu, un jeu d'aventure pédagogique, mais un problème persiste. Ses jeux se vendent partout sauf en Afrique.Les grandes plateformes comme Google imposent des cartes bancaires et empêchent les créateurs africains de vendre localement. Pour contourner ces blocages, Teddy Kossoko lance Gara, une boutique en ligne pensée pour l'Afrique. Elle centralise les contenus et utilise le mobile money pour simplifier l'achat. « L'idée, c'est : j'arrive, j'ai 100 francs CFA, je paie avec mon mobile money et j'accède aux contenus. Ça aide les créateurs à générer des revenus », explique-t-il.Mais pour lui, l'enjeu dépasse l'économie. « J'ai vécu deux guerres. La première guerre que j'ai vécue, j'ai vu d'enfants soldats venir chez nous et tout casser. Je me suis posé la question : pourquoi sont-ils devenus des enfants soldats ?, s'interroge-t-il. Quand tu travailles et que tu as un emploi, tu ne vas pas prendre les armes. Il faut qu'on arrive à avoir suffisamment des chaînes de valeur pour que les jeunes eux-mêmes génèrent des revenus et vivent de ça. »Derrière ses jeux, Teddy Kossoko défend un combat : bâtir une industrie capable de créer des emplois. Car stabiliser les sociétés passe aussi par là.À écouter aussiGabino Guerengomba pour «IST» et Teddy Kossoko pour «Masseka Game Studio»
Moins fringant depuis plusieurs semaines, le PSG défie mardi (21h) Arsenal à Londres pour sa deuxième demi-finale de Ligue des champions en deux saisons et doit retrouver son élan pour continuer de rêver à la finale du 31 mai à Munich. Après un début d'année 2025 enflammé, la belle mécanique parisienne s'est mise à grincer, de la défaite 3-2 contre Aston Villa à Birmingham à celle de vendredi contre Nice (3-1), la première de la saison en championnat. La défense des Rouge et Bleu est poreuse et sa charnière formée par Marquinhos et Pacho, moins solide. Le milieu Ruiz-Vitinha-Neves est moins rayonnant et le leader d'attaque, Ousmane Dembélé, voit son efficacité décliner. Autrement dit, les voyants ne sont pas au vert avant d'aller défier le club au canon, invaincu chez lui depuis deux saisons en Ligue des champions. Pour rejouer une finale de Ligue des champions, cinq ans après la première perdue contre le Bayern Munich, il faudra que Paris franchisse l'obstacle Arsenal, tombeur du Real Madrid au tour précédent (3-0 et 2-1). L'équipe de Mikel Arteta a soufflé le champion sortant grâce à un collectif solide et bien huilé, et des performances majuscules de Declan Rice et Bukayo Saka, entre autres. Présentation de cette demie aller avec Philippe Sanfourche et Nicolas Georgereau autour de Éric Silvestro.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Envie d'aller plus loin ? Rejoignez la J7 Académie, notre écosystème dédié aux Media Buyers : https://j7academie.com/Newsletter gratuite : Chaque lundi, on vous envoie une astuce ou un test Facebook Ads à appliquer directement sur votre compte : http://j7media.com/escouadeNotre agence : https://experts.j7media.com/agence/Autrement, rendez-vous sur notre autre chaîne : https://www.youtube.com/@podcastsocialscaling
Ancien officier et chroniqueur de guerre, Guillaume Ancel publie "Petites leçons sur la guerre : comment défendre la paix sans avoir peur de se battre" aux éditions Autrement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« Le 2 avril 2025 sera à jamais gravé dans les mémoires comme le jour de la renaissance de l'industrie américaine, le jour de la reconquête du destin de l'Amérique, et le jour où nous avons commencé à rendre sa richesse à l'Amérique », avait déclaré Donald Trump lors de son « jour de la libération », quand le président américain avait provoqué un chaos mondial en annonçant des droits de douane massifs sur tous les pays commerçant avec les Etats-Unis. Avant de renoncer à les appliquer quelques jours plus tard, sauf pour les échanges avec la Chine.Les assauts du président américain ne sont pas restés sans réponse de Pékin. Le président chinois, Xi Jinping, a répliqué en appliquant des droits de douane similaires contre les produits américains. Une escalade qui aboutit aujourd'hui à des chiffres prohibitifs : 145 % de droits de douane imposés aux produits chinois qui entrent aux Etats-Unis, 125 % sur les produits américains qui entrent en Chine. Autrement dit : un coup d'arrêt massif et brutal sur les échanges entre ces deux pays.Pourquoi Donald Trump est-il à ce point décidé à faire couler la Chine ? Combien de temps l'économie chinoise peut-elle tenir ? Le dragon chinois est-il de taille face à l'aigle américain ? Et quelles conséquences pour le reste du monde, notamment l'Europe ? Harold Thibault, correspondant du Monde à Pékin, répond à ces questions dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde ».Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait d'un discours de Donald Trump, le 2 avril 2025 ; extrait d'une émission de LCI, le 11 avril 2025.Cet épisode a été publié le 25 avril 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frQue pensez-vous des podcasts du « Monde » ? Donnez votre avis en répondant à cette enquête. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Depuis que des outils comme ChatGPT permettent de générer des images ultra-réalistes, la ligne rouge entre créativité et criminalité s'est dangereusement amincie. Ce qui, hier encore, relevait de l'expertise ou du dark web, devient aujourd'hui accessible en quelques clics… à n'importe qui.Le rapport Cato CTRL 2025, tout juste publié, tire la sonnette d'alarme : il ne faut désormais que quelques instructions bien formulées pour générer un faux passeport crédible. Finis les logiciels spécialisés, les longues heures sur Photoshop ou les réseaux clandestins. Désormais, un prompt bien tourné et une IA mal détournée suffisent.Les plateformes automatisées – banques en ligne, assurances, services administratifs – sont les premières victimes de cette révolution à double tranchant. Ces dernières s'appuient sur des contrôles par images, qui deviennent obsolètes face à des faux indétectables. Le rapport l'affirme sans détour : “Toute vérification basée sur des documents visuels est désormais dépassée.”Ce nouveau risque donne naissance à un profil inédit : l'acteur de menace à connaissance nulle. Autrement dit, une personne sans aucune compétence en cybercriminalité, capable de fabriquer de faux documents d'une redoutable efficacité. Les cas d'usage cités vont de l'ouverture frauduleuse de comptes bancaires à la manipulation de contrats d'assurance.Et le processus est d'une simplicité déconcertante : il suffit de télécharger une image, d'en demander la modification, et l'IA fait le reste. Même lorsque ChatGPT refuse une demande directe, il suffit de la contourner avec un prompt plus subtil, comme « créer une carte de visite ressemblant à un passeport ». Face à cette menace, les experts recommandent une refonte totale des processus de vérification. Fini le simple selfie ou la photo de pièce d'identité : place à la puce NFC, aux détections d'activité pour contrer les deepfakes et aux identités numériques chiffrées. Car une chose est sûre : la fraude assistée par IA n'en est qu'à ses débuts. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les week-ends, à 6h51 et 8h20, évasion touristique et gastronomique avec Vanessa Zhâ et Olivier Poels. Ils nous font découvrir quelques pépites du patrimoine, et des bons plans en France et à l'étranger. De quoi vous faire voyager !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De quoi la Mission Dakar-Djibouti est-elle le nom ? Partie de France le 19 mai 1931 pour traverser d'est en ouest le continent pendant presque deux ans, la mission menée par Marcel Griaule, jeune ethnologue de 33 ans, est un périple transafricain d'exploration scientifique doublé d'une vitrine médiatique dont l'objectif est d'« archiver dans l'urgence les cultures africaines en voie de disparition ». Résultat des courses : une collection de 3 600 objets, 6 000 spécimens zoologiques ou botaniques et 370 manuscrits éthiopiens dont le Musée du Quai Branly décide un siècle plus tard d'interroger la provenance. Autrement dit : ont-ils été offerts, achetés ou volés ? Si le secrétaire archiviste de la Mission Michel Leiris a décrit précisément les méthodes de collecte dans son livre journal de bord, L'Afrique fantôme, son récit invisibilise néanmoins totalement la multitude d'africaines et d'africains indispensables à la réalisation de la mission. Une Afrique fantôme, c'est le titre de son récit qu'il s'agit de réincarner à partir d'une contre-enquête initiée par le Musée du Quai Branly. Son principe ? Retourner sur le terrain africain de la Mission Dakar-Djibouti pour interroger la mémoire des lieux et de ses habitants afin d'établir la réalité des faits et la fonction des objets. Une contre-enquête avec les premiers concernés interrogés par six chercheurs africains dont les pays ont été traversés par la mission : le Bénin, le Cameroun, l'Éthiopie, le Mali, le Sénégal et bien-sûr Djibouti.Mais la Mission Dakar-Djibouti contre-enquêtes propose-t-elle un contre-récit ? C'est toute la question !► Avec la participation de : Gaëlle Beaujean, Commissaire générale de l'exposition Dakar-Djibouti Contre-enquêtes et responsable de Collections Afrique au Musée du quai Branly Mame Magatte Sène Thiaw, Historienne et cheffe du service médiation Culturelle au Musée des Civilisations noire de Dakar Didier Houénoudé, Professeur à l'Université d'Abomey-Calavi au Bénin Eric Jolly, directeur de recherche au CNRS et directeur de l'ouvrage qui accompagne l'exposition Emmanuel Kasarhérou, Président du Musée du Quai Branly Jacques Chirac
Annie Montaut est linguiste de formation et spécialiste de la civilisation indienne. Son nouvel ouvrage Trois mille ans d'écologie indienne : Penser autrement la nature est un livre érudit et passionnant sur la pensée et les pratiques de l'écologie dans la civilisation indienne depuis ses lointaines origines. Entretien. Alors que l'Inde moderne est souvent montrée du doigt comme mauvais élève écologique à cause de ses records de pollution non-maîtrisée, les penseurs indiens n'ont cessé de réfléchir depuis des temps anciens sur les liens de l'homme avec son environnement. Faisant sienne l'affirmation de l'écologiste indienne Vandana Shiva selon laquelle l'Inde est dans ses « principes civilisationnels profonds » une civilisation fondamentalement écologique dans la mesure où elle ne sépare pas l'être humain des autres êtres vivants, l'essayiste Annie Montaut revient dans son nouvel opus sur les tenants et les aboutissants de la pensée écologique indienne. Le hiatus et le prolongement entre les fondements philosophiques et les pratiques écologiques contemporaines sont le sujet de ces pages.RFI : Comment est née l'idée de ce livre ?Annie Montaut : L'idée, elle est née, il y a très longtemps. Ce n'était pas l'idée d'un livre, c'était d'abord un intérêt, qui a été suscité, je dirais, dès mon arrivée en Inde où j'ai travaillé entre 1981 et 1987 en tant qu'enseignante dans une université à New Delhi. Il se trouve qu'à l'université j'étais collègue de Maya Jani qui était la secrétaire d'une association qui s'appelle « Navdanya ». C'est l'association de Vandana Shiva, connue pour son combat contre le brevetage des semences et pour avoir placé la femme et l'écologie au cœur du discours sur le développement moderne. J'ai donc connu très rapidement Vandana Shiva, en fait dès mon arrivée en Inde en 1981. A la suite, j'ai rencontré l'écologiste gandhien Anupam Mishra, qui, lui aussi, a beaucoup contribué à mener à bien ma réflexion sur les stratégies de protection de l'environnement en Inde. Mishra est l'homme de l'eau, de collecte, de gestion et de préservation de l'eau en milieu aride, notamment au Rajasthan. Quant à l'écologie tout court, pour ça il a fallu que j'aille puiser dans mon archéologie personnelle, familiale en particulier. Je suis d'origine rurale, à seulement deux générations. J'ai eu aussi un père qui m'a beaucoup sensibilisé aux dégradations commises dans nos campagnes françaises dès les années 1950. Ce livre est un mix de tout ça. C'est vrai qu'il y a beaucoup de militantisme dans ces pages, mais il y a aussi l'envie de faire découvrir ce qui se passait en Inde dans ce domaine à un public non-spécialisé, c'est-à-dire à d'autres que des indologistes.Annie Montaut, vous convoquez la linguistique, la littérature, la philosophie, les arts de l'Inde antique pour montrer que la conscience écologique existait en Inde depuis les débuts de la civilisation indienne. Mais vous dîtes aussi qu'en Inde il n'y avait pas de mots pour désigner autrefois l'environnement ou l'écologie. C'est plutôt paradoxal, non ?Non, non, si vous y réfléchissez, le mot « écologie » est moderne, le mot « environnement » au sens qu'il a aujourd'hui, c'est aussi un néologisme. Donc, je pense que dans aucune culture traditionnelle, qu'elle soit orientale ou occidentale, il n'y avait pas de mot jusqu'à encore très récemment pour désigner ce qu'on appelle la discipline écologique ou environnementale. Oui, maintenant, il y a des mots pour le dire ces choses-là. En Inde aussi, où on emploie beaucoup la terminologie anglaise. Le mot « environment » est couramment utilisé, « ecology » un peu moins. Il existe aussi des mots en hindi, souvent des mots savants que personne dans la rue n'emploie, mais qui sont des calques de l'« environment » anglais. On dira, par exemple, paristhiti, qui signifie la nature qui est autour, dont on est par définition extérieur, à l'écart, alors que selon la vision qui est particulièrement prégnante en Inde, l'homme n'est pas à l'extérieur de quelque chose qu'on appelle « nature » et qui nous environnerait. L'homme n'en est pas le maître, mais il en fait partie.La question fondamentale qui se pose alors : comment les Indiens pensent la nature ? C'est un sujet auquel vous avez consacré tout un chapitre de votre livre. Pourriez-vous nous en parler ?En Occident comme en Inde, avant « environment », on avait « nature » et « culture ». Chez nous, en Occident, les deux concepts s'opposent. Même linguistiquement, si les deux mots ont les mêmes suffixes, leurs racines sont différentes. En Inde, ça ne se passe pas du tout comme ça. Lexicalement déjà, dans les langues indo-aryennes, le mot pour dire « nature », c'est prakriti et sanskriti pour « culture ». Les deux mots sont formés sur une base verbale commune : kri. Ils sont construits à partir des préfixes différents, mais qui ne sont pas opposés. Le préfixe du mot signifiant la nature en langues indiennes désigne un mouvement dynamique, un développement interne, et le préfixe pour culture désigne son ordonnancement. Quant à la racine, commune aux deux termes, c'est une forme nominale du verbe « agir », un agir qui veut dire perfectionnement dans le cas de la culture et qui conçoit la nature comme un réservoir d'énergies libres. Moi, j'ai trouvé extrêmement intéressant que « nature » et « culture » soient les deux versants du même « agir ». Dans la tradition classique indienne, la nature est pensée comme l'amont de la culture, dans un même mouvement de l'énergie de création.Autrement dit, comme vous l'expliquez, nature et culture sont interconnectées dans la pensée indienne...Dans la conception indienne, les deux phénomènes se posent en partenariats. Ils sont interconnectés au sein d'un cosmos dans lequel l'homme fait partie et où les vivants acquièrent leur complétude dans leur interdépendance. Cette vision de l'interconnexion a été élaborée depuis des millénaires dans la pensée philosophique, spéculative et mystique indienne. On peut parler d'autant plus de l'interconnexion que l'ensemble du monde matériel procède des mêmes éléments fondamentaux. Il y a la terre, l'air, l'eau, le feu, le ciel, et tout est issu de ces éléments de base. L'être humain, il est formé des mêmes cinq éléments. L'être végétal, pareil. L'être animal, pareil. Tout le monde est formé de ces cinq éléments et on ne peut donc pas dissocier l'être humain, du milieu végétal, aquatique et aérien dont il fait aussi partie.Enfin, diriez-vous que cette vision plurimillénaire d'une création interconnectée continue de nourrir la pensée écologique indienne d'aujourd'hui ?C'est une question super difficile parce qu'il y a plusieurs écologies en Inde. Il y en a une qui m'a intéressée, c'est celle qui a donné lieu aux grands mouvements populaires et c'est celle qui a beaucoup contribué à faire connaître l'écologie indienne, en particulier la pensée dans ce domaine de Vandana Shiva à qui j'emprunte cette notion que la pensée indienne est fondamentalement écologique par sa philosophie de l'interconnexion généralisée. Parallèlement, vous avez ce qu'on appelle une écologie urbaine, qui n'a pas du tout les mêmes bases. Elle encourage, par exemple, la sanctuarisation de l'espace naturel sous forme de parcs naturels dont l'entrée est souvent payante, donc réservée à une élite argentée. Contrairement aux populations rurales, les défenseurs de cette écologie urbaine ne vivent pas l'idée de l'interconnexion de tous les vivants dans leur chair, tout simplement parce que quand on vit en ville, on ne voit plus la terre ! Mais comme l'Inde est encore largement rurale, la pensée de la nature et sa sauvegarde restent encore empreintes des idées traditionnelles d'interconnexion et de partenariat entre l'homme et son environnement.Peut-on dire que la rupture épistémologique en Inde dans son approche de la nature date de la période de la colonisation occidentale ?La colonisation a certes modifié en profondeur la vision indienne du monde et elle a eu des conséquences sur les pratiques écologiques comme dans d'autres domaines. Cette rupture coloniale a été largement documentée par une école qui s'appelle l'école des subalternistes. Ces derniers ont magnifiquement mis en lumière la schizophrénie entre des modes de pensée traditionnelle et des modes de pensée occidentale. La colonisation a été une entreprise de prédation avec ses exactions sur l'environnement au nom de la modernité, mais rien de commun avec ce qui s'est passé en Inde dans ce domaine après l'indépendance. La « révolution verte » des années 1970 a été le pas décisif pour modifier le rapport à la nature, avec un recours massif à l'agrochimie. En découle l'endettement des paysans qui sont obligés désormais d'acheter quantité de pesticides, d'herbicides et d'engrais chimiques. Ce changement de paradigme dans l'agriculture a entraîné dans son sillage la catastrophe de l'usine pétrochimique de Bhopal qui a endeuillé l'Inde en 1984. On a là un pays qui n'a rien à voir avec son écologie traditionnelle et ses décideurs jouent à fond le modèle développementaliste, qui est très critiqué par des écologistes indiens comme Anupam Mishra ou Vandana Shiva.Votre thèse sur la « vertuosité » de l'écologie indienne s'appuie sur les pratiques de sauvegarde de l'environnement au niveau des « grassroots », soit des populations de base. Pourriez-vous en citer quelques exemples saillants ?Ces pratiques ont la particularité d'émerger spontanément des besoins vitaux des populations marginalisées. Je pense aux habitants premiers qu'on appelle les « adivasis » qui, tout comme d'autres populations vivant dans des milieux fragiles, soit subdésertiques ou montagnards, défendent les ressources limitées dont ils dépendent pour leur survie. Elle est déterminée par l'entretien de leurs ressources, notamment en eau, en agriculture ou pour la chasse, car les « adivasis » chassent beaucoup. Les pratiques agroécologiques propres à ces communautés se caractérisent par une interaction basée sur le partenariat - et non sur la prédation - entre les acteurs et le milieu spécifique dans lequel ces derniers oeuvrent. Dans mon livre, j'ai évoqué longuement l'agropastoralisme, le respect de la forêt ou la métallurgie traditionnelle pratiquées par les communautés d'« adivasis », aux modes de vie particulièrement respectueux du vivant.Vous avez parlé aussi longuement des combats écologiques menés par les femmes indiennes, qui semblent jouer un rôle de premier plan dans ce domaine. L'exemple qui vient à l'esprit et qui est connu dans le monde entier, c'est le mouvement Chipko.En effet, les femmes furent au cœur de ce mouvement né dans les années 1970 pour la conservation des forêts en Inde. « Chipko » signifie littéralement « s'enlacer ». C'est ce que ces militantes ont fait en enlaçant les troncs des arbres de leur forêt pour empêcher les bûcherons missionnés par le gouvernement d'abattre les arbres. Elles ont effectivement réussi à stopper les tronçonneuses et le massacre programmé. Pourquoi ce sont les femmes qui étaient au premier plan ? En fait, dans la région des Himalayas, dans le nord de l'Inde où ce mouvement s'est déroulé, les hommes descendent en ville pendant la mousson pour trouver du travail qu'ils ne trouvent pas localement. C'était donc aux femmes restées sur place de prendre le flambeau. Elles l'ont fait avec courage et efficacité. Il faut dire que les femmes sont les premières concernées dans ces combats écologiques menaçant les ressources en eau ou en bois, indispensables pour la subsistance. Traditionnellement, en Inde, ce sont les femmes qui s'occupent du bétail. La forêt fournit du fourrage pour le bétail, du combustible pour cuisiner, elle est aussi le réservoir de plantes médicinales et de certaines plantes vivrières aussi. N'oublions pas les corvées d'eau ? Dans les villages indiens où l'eau courante n'arrive toujours pas, ce sont toujours des femmes qui sont obligées d'aller chercher de l'eau avec un pot sur la tête. L'économie vivrière étant très largement aux mains des femmes, ces dernières sont particulièrement sensibles aux menaces sur leurs ressources. Ce sont toujours les femmes qui ont mené la révolte contre les usines Coca-Cola parce qu'elles prenaient toute l'eau et l'empoisonnaient.Derrière votre célébration des pratiques écologiques indiennes, faites de combats et d'affirmation d'un modèle vertueux d'interaction entre l'homme et la nature basé sur partenariat et non prédation, difficile de ne pas lire une véhémente critique de la pensée écologique occidentale. L'écologie traditionnelle des pauvres pratiquée dans l'Inde des villages et des « adivasis » peut-elle être le modèle pour le monde ? Elle peut évidemment, mais elle doit, si on ne veut pas, comme on le dit grossièrement, aller dans le mur. Ce ne sont certainement pas les techno-solutions qui vont permettre de reconstituer les sols abîmés dans le monde. L'écologie sera sociale ou ne sera pas comme l'a écrit l'écologiste belge Daniel Tanuro. En effet, on a besoin que se généralisent dans le monde des pratiques écologiques visant à préserver et à promouvoir une gestion holistique de la question de la protection de l'environnement, se substituant à la gestion aux visées prédatrices qui ne font que dégrader nos milieux vitaux. Cela dit, je ne voulais pas que mon livre soit une simple critique de l'occident, même si je critique un certain modèle de développement qui a bien sûr germé en Occident, mais qui n'a pas été adopté à travers tout le monde occidental. Il a été critiqué dès les années 1950 dans mon pays limousin où un chansonnier occitan, qui se faisait parfois porte-parole de la paysannerie française pour affirmer qu'« épuiser la terre jusqu'à la rendre stérile » était comme « violenter une fille non-consentante ». Pour moi, ces propos ne sont pas sans rappeler les propos apocryphes du chef indien qui dans sa lettre apocryphe envoyée au président américain à la fin du XIXe siècle en apprenant qu'il allait devoir céder les terres de son peuple aux Etats-Unis, écrivait : « La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre ». Les résonances entre les propos du chanteur de mon pays limousin et ceux du chef indien sont la preuve que l'Occident est tout sauf monolithique.Propos recueillis par Tirthankar ChandaTrois mille ans d'écologie indienne : penser autrement la nature, de Annie Montaut, aux Éditions du Seuil, 235 pages, 23,50 euros.
Pour écouter mes autres épisodes:- Le libre arbitre existe-t-il ?Spotify:https://open.spotify.com/episode/3oVQpR2qpmhw94HJrmTjgI?si=62a17a0725f247bfApple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/bonus-le-libre-arbitre-existe-t-il-vraiment/id1057845085?i=1000703952672- Que se passe-t-il dans le cerveau lors d'une anesthésie ?Spotify:https://open.spotify.com/episode/4ewTtsRwZQoRMtxux62Kcy?si=MmaPm0uJT6O5DcsHi9b-pQApple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/bonus-que-se-passe-t-il-dans-le-cerveau-pendant-une/id1062748833?i=1000703953386--------------------------Cette affirmation peut paraître exagérée… mais elle repose sur une réalité étonnante : la diversité gigantesque des produits que propose la marque à travers le monde.Un empire mondial du goûtCoca-Cola, ce n'est pas seulement la fameuse boisson brune au goût sucré. L'entreprise possède plus de 500 marques et distribue plus de 3 500 produits différents, dans plus de 200 pays. Cela inclut non seulement des sodas, mais aussi des eaux, des jus, des thés, des cafés, des boissons énergétiques, des laits aromatisés, et même des produits locaux spécifiques à certaines cultures ou régions.Par exemple, en Inde, Coca-Cola vend Maaza, une boisson à la mangue. Au Japon, on trouve Ayataka, un thé vert glacé. Au Mexique, on peut boire du Del Valle, un jus de fruit populaire. Aux États-Unis, la marque commercialise aussi Vitaminwater, Minute Maid, ou encore Fresca.Pourquoi 9 ans ?L'affirmation selon laquelle il faudrait 9 ans pour tout goûter repose sur un calcul simple : si vous testiez un nouveau produit Coca-Cola chaque jour, il vous faudrait près de 10 ans pour venir à bout de tous.3 500 produits ÷ 365 jours = environ 9,6 ansMais attention : cela suppose qu'on ait accès à tous ces produits… ce qui est quasiment impossible, car certains ne sont disponibles que dans un seul pays, ou même dans une seule région. Autrement dit, il faudrait aussi faire le tour du monde pour les goûter tous !Une stratégie de diversificationCette incroyable variété n'est pas un hasard : elle fait partie de la stratégie de Coca-Cola pour s'adapter aux goûts locaux, aux réglementations alimentaires, et aux tendances de consommation. Dans certains pays, les boissons sont moins sucrées, parfois sans caféine, parfois enrichies en vitamines, ou encore aux arômes totalement inconnus ailleurs.Coca-Cola investit aussi beaucoup dans l'innovation, lançant chaque année des dizaines de nouvelles saveurs ou formats, testés parfois sur des marchés spécifiques avant d'être élargis. Le dernier produit mis sur le marché par Coca-Cola est le Jack Daniel's & Coca-Cola Cherry, une boisson alcoolisée en canette de 330 ml, combinant le célèbre whisky Jack Daniel's et le Coca-Cola Cherry. Cette nouvelle saveur a été lancée au Royaume-Uni en avril 2025, en collaboration avec Jack Daniel's, et est disponible dans les supermarchés Tesco... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si la douceur était une force ? Et si l'émerveillement était un guide fiable, même — et surtout — dans un monde qui semble aller trop vite ? Dans cet épisode de Passages Insolites, je t'emmène dans l'univers tendre, inspirant et profondément vivant de Julie Flamingo.Julie, c'est une créatrice qui infuse du sens dans chaque geste, chaque objet, chaque mot. À travers sa papeterie poétique, elle ne propose pas seulement des carnets ou des stickers : elle ouvre des espaces. Des espaces pour écrire, pour ressentir, pour ralentir, pour se reconnecter.Dans notre conversation, on explore ensemble :• la sensibilité comme source de créativité et de lien• comment la beauté stimule l'endorphine et apaise le système nerveux• la papeterie comme outil de soin et d'expression personnelle• l'écriture comme thérapie douce• l'art de résister par la beauté (et pourquoi c'est loin d'être naïf)• le lien entre hormones du bien être, émerveillement et créativité• comment une communauté se crée autour de valeurs sensibles et profondesC'est une rencontre avec une femme qui résiste autrement. Non pas en criant plus fort que le bruit ambiant, mais en choisissant chaque jour d'honorer le doux, le juste, le vrai. C'est aussi un temps pour toi, si tu ressens ce besoin de faire une pause, de nourrir ta sensibilité, de reconnecter à ce qui t'ancre.
Dans le langage courant, la filouterie désigne un comportement malhonnête, mais souvent rusé, discret, sans violence. Il s'agit de tromper autrui pour obtenir un avantage, sans utiliser la force, mais en abusant de sa confiance ou en profitant d'une situation. Le mot est dérivé du terme « filou », qui évoque un voleur habile et astucieux, plutôt qu'un criminel brutal.On emploie volontiers le mot « filouterie » avec une nuance ironique ou légère, pour parler d'un petit tour de passe-passe ou d'un acte de malice, comme partir discrètement d'un restaurant sans payer, ou mentir sur son âge pour bénéficier d'un tarif réduit. Mais dans certaines circonstances, cette ruse peut devenir un véritable délit aux yeux de la loi.La filouterie en droit françaisEn droit pénal français, la filouterie est une infraction spécifique, qui consiste à obtenir un bien ou un service en connaissance de cause, sans intention de payer, tout en dissimulant cette intention. Autrement dit, c'est un vol par dissimulation, sans effraction ni menace.Le Code pénal ne contient pas de rubrique "filouterie" à proprement parler, mais ce type d'infraction est réprimé sous différentes formes, notamment dans les cas suivants :Filouterie d'hôtel : s'installer dans un établissement hôtelier en sachant qu'on ne paiera pas, puis partir sans régler.Filouterie de restaurant : consommer un repas tout en prévoyant de fuir sans payer.Filouterie de carburant : faire le plein à une station-service et prendre la fuite sans passage en caisse.Filouterie de transport : monter dans un train, taxi ou avion sans billet, en cachant volontairement son intention.Ces faits peuvent être poursuivis au titre de l'escroquerie (article 313-1 du Code pénal), ou de l'abus de confiance, selon les circonstances.Sanctions et peines encouruesLa filouterie peut être punie de peines allant jusqu'à :5 ans d'emprisonnement,Et 375 000 euros d'amende, en cas d'escroquerie caractérisée.Pour des faits mineurs (comme une addition impayée ou un plein de carburant frauduleux), les peines sont souvent réduites, mais peuvent tout de même inclure :Une amende (souvent entre 150 et 1500 euros),Un stage de citoyenneté,Des travaux d'intérêt général,Et en cas de récidive, un passage au tribunal correctionnel.Si la filouterie fait parfois sourire dans le langage courant, elle est, juridiquement, un acte répréhensible assimilé à de la fraude ou du vol par ruse. Et à ce titre, elle peut entraîner de vraies sanctions pénales. La malice n'est pas toujours sans conséquence… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Birmanie a officiellement changé de nom pour devenir le Myanmar en 1989, une décision qui, au-delà de la simple terminologie, est profondément politique, historique et symbolique.Un changement imposé par la junte militaireC'est la junte militaire au pouvoir depuis le coup d'État de 1988 qui a décidé de ce changement. L'année suivante, elle a modifié plusieurs noms de lieux à consonance coloniale ou étrangère, dans une volonté affichée de rompre avec l'héritage du passé colonial britannique et de marquer une nouvelle ère. Ainsi, Burma en anglais est devenu Myanmar, Rangoon est devenu Yangon, et ainsi de suite.Que signifient « Birmanie » et « Myanmar » ?Les deux noms font en réalité référence au même peuple majoritaire, les Birmans (ou Bamars). "Myanmar" est la forme plus formelle et littéraire du mot "Birmanie", qui est lui-même dérivé de "Bamar", la prononciation plus familière. Autrement dit, il ne s'agit pas d'un changement radical de sens, mais plutôt d'une variation linguistique — comparable à dire « France » au lieu de « République française ».Cependant, pour les autorités militaires, « Myanmar » était jugé plus neutre et inclusif, car « Birmanie » pouvait sembler ne désigner que le peuple bamar, alors que le pays compte plus de 135 groupes ethniques. En ce sens, le changement visait aussi à affirmer une unité nationale, même si cette unité reste très contestée dans les faits.Une reconnaissance internationale partielleLe changement de nom a été reconnu par plusieurs pays et par l'ONU, mais pas par tous. Les États-Unis et le Royaume-Uni, par exemple, ont longtemps refusé d'utiliser le terme « Myanmar » car ils ne reconnaissaient pas la légitimité du régime militaire à l'origine de cette décision. Pour eux, continuer à dire « Birmanie » était un acte politique, un moyen de ne pas cautionner le pouvoir en place.Aujourd'hui encore, le double usage subsiste : on dit souvent « Birmanie (Myanmar) » ou inversement, notamment dans les médias ou les documents officiels internationaux.En résuméLe changement de nom de Birmanie en Myanmar n'est pas un simple ajustement linguistique. Il s'inscrit dans une logique de rupture avec le passé colonial, de reconquête identitaire, mais aussi de légitimation d'un pouvoir militaire contesté. Ce nom continue de porter une charge politique forte, reflet d'un pays complexe, à l'histoire tourmentée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Des champignons hallucinogènes pour soigner l'alcoolisme sévère: Science-fiction ? Plus maintenant. Au CHU de Nîmes, une étude inédite explore le pouvoir de la psilocybine, ce psychédélique longtemps tabou, pour briser les chaînes de l'addiction et de la dépression. Une séance de six heures sous psychédélique: l'équivalent d'une année de thérapie, une promesse de transformation profonde. Antonin Blanc, journaliste chez Konbini, a suivi cette expérimentation hors norme. Il nous emmène dans l'intimité de John, ancien alcoolique, dont le voyage sous psilocybine a bouleversé l'existence.
Cette semaine, revivez l'effroyable crash du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571. Autrement appelé le drame de la Cordillère des Andes, cet accident aéronautique aura marqué le milieu des années 70. Véritable tragédie humaine, cette catastrophe est aussi une incroyable histoire de survie. Joignez-vous alors à nous pour découvrir cette effroyable épopée. L'expédition du dernier espoir Nous sommes le 12 décembre, cela fait maintenant 61 jours que le crash s'est produit. Suite à l'avalanche, encore trois amis de Roberto sont morts de froid et de maladie. Il ne reste plus que 16 survivants. Aujourd'hui, le groupe tente l'un de leurs derniers espoirs : une expédition dans la cordillère des Andes pour trouver de l'aide. Nando et Roberto se tiennent au pied de la montagne, prêts à affronter l'ascension qui pourrait être leur seule chance de survie. Leur objectif : trouver un endroit où ils pourront demander du secours… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [Les oubliées de l'histoire] Valentina Terechkova, la première femme dans l'espace [Les oubliées de l'histoire] Madame de Staël, la femme qui défia Napoléon [Les oubliées de l'histoire] Sophie Scholl, l'héroïne de la Résistance allemande [Les oubliées de l'histoire] Joséphine Baker, du ghetto américain au Panthéon Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam (montage Julien Roussel) Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans le langage courant, on utilise souvent les termes "lettres capitales" et "lettres majuscules" comme s'ils étaient synonymes… mais en réalité, ils ne désignent pas exactement la même chose. Voici une explication claire et détaillée, idéale pour un podcast de culture générale.1. Les majuscules : une question de grammaireLe terme "majuscule" est utilisé dans le cadre grammatical. Il désigne l'utilisation d'une lettre en grand format pour signaler une fonction précise dans un mot. Par exemple, on met une majuscule :au début d'une phrase : Il fait beau.pour les noms propres : Victor Hugo, Paris, la Seine.parfois dans des titres ou sigles : ONU, CNRS.Autrement dit, la majuscule est une règle d'écriture, une convention liée au sens du mot ou à sa position dans la phrase. On peut écrire une majuscule en capitale, en script ou en cursive, selon le style typographique ou manuscrit.2. Les capitales : une question de formeLe mot "capitale", lui, vient du domaine typographique. Il désigne la forme graphique d'une lettre. Une lettre capitale, c'est une lettre en grand format, droite, le plus souvent sans empattement (ou avec, selon la police), et qui correspond à ce que l'on appelle familièrement "lettre en majuscule".Par exemple :La lettre A en capitale : ALa lettre b en capitale : BLes capitales sont utilisées :pour écrire un texte entièrement en grandes lettres (exemple : sur un panneau : ENTRÉE INTERDITE)dans des inscriptions officielles, des monuments, des logosen stylisation graphique, souvent pour insisterMais attention : un texte tout en capitales peut ne pas respecter la grammaire des majuscules. Par exemple, dans RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, on écrit tout en capitales, même si selon la grammaire, seule "République" prendrait une majuscule dans un usage courant.3. Pour résumer simplement :Majuscule = fonction grammaticaleElle sert à signaler le début d'une phrase ou un nom propre.On peut la retrouver en capitale, en cursive, en manuscrit…Capitale = forme typographiqueC'est la lettre en grand format, droite, comme dans les titres.Elle peut être utilisée avec ou sans lien grammatical.Un exemple pour tout éclairer :Dans la phrase :Paris est la capitale de la France.Le P de Paris et le F de France sont des majuscules : ils marquent des noms propres.La forme de ces lettres est aussi une capitale, si on les écrit en grand.Mais si vous écrivez tout en capitales :PARIS EST LA CAPITALE DE LA FRANCELà, vous utilisez la forme capitale, mais pas toujours la majuscule au sens grammatical.Ce petit détail de vocabulaire illustre bien comment la langue écrite mêle grammaire et esthétique, et comment deux mots apparemment similaires peuvent cacher des fonctions bien différentes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, revivez l'effroyable crash du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571. Autrement appelé le drame de la Cordillère des Andes, cet accident aéronautique aura marqué le milieu des années 70. Véritable tragédie humaine, cette catastrophe est aussi une incroyable histoire de survie. Joignez-vous alors à nous pour découvrir cette effroyable épopée. Seuls en enfer Cela fait maintenant 16 jours que le crash du Vol Fuerza Uruguaya 571 s'est produit. Depuis une semaine, un certain ordre semble s'être imposé dans le groupe. Chacun est assigné à des tâches vitales pour leur survie. Tous sont à bout, et le petit groupe décide d'aller dormir. Alors que Roberto, commence à entendre des ronflements, un bruit sourd l'interpelle. Le bruit se fait de plus en plus proche. Et d'un coup, une masse de neige s'engouffre par l'arrière de l'avion, et recouvre l'intérieur du fuselage. Roberto est pétrifié, il ne voit plus rien, la neige les a tous submergé… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [Les oubliées de l'histoire] Valentina Terechkova, la première femme dans l'espace [Les oubliées de l'histoire] Madame de Staël, la femme qui défia Napoléon [Les oubliées de l'histoire] Sophie Scholl, l'héroïne de la Résistance allemande [Les oubliées de l'histoire] Joséphine Baker, du ghetto américain au Panthéon Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam (montage Jean Gabriel Rassat) Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Lorsqu'on observe un chien marcher pieds nus sur la neige, on peut légitimement se demander comment il ne gèle pas sur place. Pourtant, même par des températures très basses, les chiens ne semblent pas souffrir du froid aux pattes. Ce phénomène s'explique par un mécanisme biologique étonnant : un système d'échangeur thermique à contrecourant présent dans leurs coussinets.Ce système ingénieux permet aux chiens de conserver leur chaleur corporelle, même lorsque leurs pattes sont en contact direct avec un sol glacé. Le principe repose sur une astuce de circulation sanguine. À l'intérieur des pattes, les artères (qui transportent le sang chaud venant du cœur) sont étroitement entourées par des veines (qui ramènent le sang refroidi vers le cœur). Cette disposition particulière permet au sang chaud artériel de transmettre sa chaleur au sang veineux qui remonte, avant même que celui-ci n'atteigne le tronc de l'animal.Autrement dit, le sang qui descend vers les extrémités réchauffe le sang qui remonte, limitant ainsi les pertes de chaleur vers l'extérieur. Ce transfert thermique se fait à très petite échelle, directement à travers les parois des vaisseaux sanguins. En conséquence, le sang qui retourne au cœur est déjà réchauffé, et les pattes du chien restent juste assez chaudes pour ne pas geler, sans gaspiller inutilement de l'énergie.Ce type de système n'est pas propre aux chiens. On le retrouve aussi chez d'autres animaux adaptés au froid extrême, comme les manchots, les renards polaires ou certains oiseaux. Chez tous, l'objectif est le même : réduire la perte de chaleur tout en maintenant une circulation sanguine suffisante dans les extrémités.Il faut également noter que les coussinets des chiens sont constitués de tissus particulièrement résistants au froid. Ils sont épais, riches en graisse, et relativement peu sensibles aux basses températures. Ce tissu adipeux agit comme un isolant naturel, limitant encore davantage les effets du froid.Grâce à ce double mécanisme — l'échangeur thermique à contrecourant et les tissus adaptés — les chiens peuvent marcher sur la neige ou la glace sans ressentir de gêne particulière, et ce jusqu'à des températures aussi basses que -35 °C. Bien sûr, cela ne signifie pas qu'ils sont insensibles au froid en général, mais leurs pattes, elles, sont véritablement conçues pour l'endurer.Ce petit miracle de la nature rappelle combien les animaux ont développé, au fil de l'évolution, des stratégies sophistiquées pour survivre dans des environnements extrêmes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, revivez l'effroyable crash du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571. Autrement appelé le drame de la Cordillère des Andes, cet accident aéronautique aura marqué le milieu des années 70. Véritable tragédie humaine, cette catastrophe est aussi une incroyable histoire de survie. Joignez-vous alors à nous pour découvrir cette effroyable épopée. Des restes humains comme dernier repas Depuis maintenant quelques jours, une idée sordide circule parmi eux… Une idée qui les ferait définitivement basculer dans l'immoralité absolue. Mais il est question de vie ou de mort, et pour survivre, ils envisagent l'impardonnable : manger les cadavres. Jusqu'à présent, l'idée ne faisait pas l'unanimité. Mais aujourd'hui… Quelque chose en eux s'est brisé. Le monde entier les croit morts. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [Les oubliées de l'histoire] Valentina Terechkova, la première femme dans l'espace [Les oubliées de l'histoire] Madame de Staël, la femme qui défia Napoléon [Les oubliées de l'histoire] Sophie Scholl, l'héroïne de la Résistance allemande [Les oubliées de l'histoire] Joséphine Baker, du ghetto américain au Panthéon Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam (montage Jean Gabriel Rassat) Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Cette semaine, revivez l'effroyable crash du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571. Autrement appelé le drame de la Cordillère des Andes, cet accident aéronautique aura marqué le milieu des années 70. Véritable tragédie humaine, cette catastrophe est aussi une incroyable histoire de survie. Joignez-vous alors à nous pour découvrir cette effroyable épopée. Un accident dramatique Le 13 octobre 1972, l'avion F571 s'écrase dans la cordillère des Andes. Le pilote expérimenté Julio Ferradas, avait à ses côtés le co-pilote en formation, Dante Lagurara. Alors qu'ils survolent les Andes, les nuages cachent les montagnes en dessous. Au moment où l'avion approche de son lieu de destination, le copilote demande l'autorisation d'atterrir auprès de l'aéroport de Santiago. L'avion entame alors sa descente. Malheureusement, les trous d'air qu'ils ont subis et la mauvaise visibilité les surprennent. Lorsqu'ils ont traversé les nuages, l'avion n'était pas encore au niveau de la piste d'atterrissage…. Mais face à la montagne… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [Les oubliées de l'histoire] Valentina Terechkova, la première femme dans l'espace [Les oubliées de l'histoire] Madame de Staël, la femme qui défia Napoléon [Les oubliées de l'histoire] Sophie Scholl, l'héroïne de la Résistance allemande [Les oubliées de l'histoire] Joséphine Baker, du ghetto américain au Panthéon Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam (montage Julien Roussel) Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Vous aimez Home(icides), le podcast true crime de Bababam ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir La Traque le podcast Bababam Originals qui raconte les plus grandes courses-poursuites entre flics et voyous qui ont marqué l'Histoire. Bonne écoute ! Revivez l'extravagante histoire de Christophe Rocancourt. Autrement appelé "l'escroc des stars", il est l'un des plus grands arnaqueurs de l'histoire. Avec son beau parler et son allure assurée, il a réussi à monter plusieurs escroqueries, extorquant des millions de dollars à de nombreuses personnalités d'Hollywood. Recherché par Interpol et par de nombreux services de police à travers le monde, revivez son incroyable traque. Un podcast Bababam Originals Textes : Pierre Serisier Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Montage : Joey Daou Production : Bababam En partenariat avec Upday Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Vous avez moins de 100€/jour à investir sur Facebook Ads ? Dans cette vidéo, on vous partage notre méthode simple et efficace pour démarrer sans gaspiller votre budget. On vous explique comment structurer votre compte, quelles campagnes lancer, et surtout, quoi tester en priorité pour obtenir des résultats rapidement.Pas besoin de dizaines de tests complexes : on vous montre comment aller droit au but avec des concepts publicitaires clairs, des produits bien choisis et une stratégie de budget adaptée. Que vous soyez e-commerçant, prestataire de service ou débutant sur la plateforme, cette vidéo va vous éviter bien des erreurs.
Le piège de la Fast Life : Et si on faisait autrement ?On vit dans un monde qui nous pousse à aller toujours plus vite.Et ça, c'est une réalité.Tout doit être immédiat : les réponses, les résultats, les transformations.On ne supporte plus d'attendre.On veut que les choses avancent vite, un point, un trait.Ça veut dire nos projets, nos relations, et même notre propre évolution.Mais ce que j'ai compris,c'est qu'à force de courir, on s'épuise. On perd le lien avec soi, avec l'instant, et avec ce qui compte vraiment.On est là à cocher des cases, à scroller, à vouloir toujours plus, toujours mieux. Mais est-ce qu'on vit vraiment ?Je ne suis pas sûre.Du coup, dans cet épisode, j'ouvre un vrai sujet.Est-ce qu'on n'est pas tombé dans un piège ?Est-ce qu'on n'a pas oublié que la vie, la vraie, demande du temps,du silence,de la patience,et de l'espace ?C'est tout.Retrouvez-moi sur Instagram pour encore plus de love : @lalamissaki Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode du Panier, Laurent Kretz reçoit Anthony Aubert et Jean-Charles Mathieu, cofondateurs de Aubert & Mathieu, pour une plongée dans l'univers du vin sous un nouvel angle.Deux ans après leur premier passage dans Le Panier, en septembre 2022, la marque de vins engagée et décomplexée a triplé son chiffre d'affaires, conquis plus de 40 pays, et lancé des produits sans alcool.Engagés, bicorp, modernes et (très) malins sur le digital, Anthony et Jean-Charles bousculent les standards d'un secteur en crise, avec une stratégie 99% B2B assumée et une volonté de rester maîtres de leur croissance.
Vénus, la deuxième planète du Système solaire, intrigue les astronomes depuis des siècles. Elle possède une particularité unique : sa rotation est rétrograde, c'est-à-dire qu'elle tourne sur elle-même dans le sens opposé à la plupart des autres planètes, y compris la Terre. Alors que la plupart des planètes tournent dans le même sens que leur révolution autour du Soleil, Vénus tourne sur elle-même dans le sens inverse. Comment expliquer ce phénomène étrange ?Une rotation atypique et extrêmement lenteLa majorité des planètes, dont la Terre, tournent d'ouest en est, dans le même sens que leur révolution autour du Soleil. En revanche, Vénus tourne d'est en ouest. En d'autres termes, si l'on pouvait observer le Soleil depuis la surface de Vénus, il semblerait se lever à l'ouest et se coucher à l'est, à l'opposé de ce que l'on observe sur Terre.De plus, la rotation de Vénus est extrêmement lente : une journée vénusienne dure 243 jours terrestres, soit plus longtemps qu'une année sur Vénus, qui ne dure que 225 jours terrestres ! Autrement dit, une journée sur Vénus est plus longue que son année.L'hypothèse d'une collision gigantesqueL'explication la plus courante pour cette rotation inversée repose sur l'hypothèse d'un impact géant survenu il y a plusieurs milliards d'années. À l'origine, Vénus aurait probablement tourné dans le même sens que les autres planètes. Cependant, une collision avec un astre massif aurait modifié son axe de rotation, provoquant un ralentissement et même une inversion progressive du mouvement.Une autre hypothèse suggère que ce changement serait dû aux effets gravitationnels du Soleil sur l'atmosphère dense de Vénus. La planète étant enveloppée d'une épaisse couche de gaz, des forces de marée gravitationnelles auraient pu agir sur sa rotation au fil du temps, inversant progressivement son sens de rotation.Une planète pleine de mystèresVénus reste une planète fascinante, et son comportement atypique continue d'intriguer les scientifiques. En plus de sa rotation inversée, elle est recouverte d'une atmosphère extrêmement dense et toxique, composée principalement de dioxyde de carbone, avec des températures atteignant 475°C en surface. Ces conditions extrêmes rendent son exploration difficile, mais de nombreuses missions spatiales cherchent encore à percer ses mystères.En conclusion, si Vénus tourne dans le sens inverse des autres planètes, c'est probablement à cause d'un choc colossal ou d'une influence gravitationnelle sur le long terme. Ce phénomène en fait l'une des planètes les plus étranges et captivantes du Système solaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez Les Fabuleux Destins, le podcast Bababam Originals qui vous plonge dans les destins les plus surprenants et incroyables ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir La Traque, le podcast true crime de Bababam. Bonne écoute ! Revivez l'extravagante histoire de Christophe Rocancourt. Autrement appelé "l'escroc des stars", il est l'un des plus grands arnaqueurs de l'histoire. Avec son beau parler et son allure assurée, il a réussi à monter plusieurs escroqueries, extorquant des millions de dollars à de nombreuses personnalités d'Hollywood. Recherché par Interpol et par de nombreux services de police à travers le monde, revivez son incroyable traque. Un podcast Bababam Originals Textes : Pierre Serisier Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Montage : Joey Daou Production : Bababam En partenariat avec Upday Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices