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Cette semaine, on plonge dans un sujet classique mais essentiel : la location immobilière longue durée. C'est LE mode d'exploitation le plus courant… et pourtant, on en parle peu. Que vous soyez investisseur débutant ou confirmé, vous vous êtes sûrement déjà posé cette question :
"Talisman 3" est quasiment prêt à être publié ; Première bande-annonce explosive pour "The Running Man" ; La série "L'Institut" diffusée en France et en Belgique dès le 17 juillet ; La série "Ça : Bienvenue à Derry" annoncée en France pour octobre......Tout ça et bien plus encore sont au sommaire de ce nouveau numéro de la Gazette du Maine, le podcast qui vous résume l'actualité de Stephen King ! Retrouvez toutes les informations de la Gazette #117 sur https://sking.fr/LaGazetteDuMaine-119Vous aimez la Gazette du Maine ? Vous aimez les contenus de Stephen King France ? Soutenez l'association Stephen King France sur Tipeee, recevez des goodies exclusifs et la newsletter mensuelle !Toute l'actualité de Stephen King : https://stephenkingfrance.fr/Suivez Stephen King France sur les réseaux sociaux et rejoignez les communautés :DiscordTwitchFacebookBlueSkyInstagramThreadsX / TwitterHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:06 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Ces dernières années, d'importantes inondations ont touché l'Espagne, la Belgique, l'Allemagne ainsi que d'autres pays européens. À chaque fois, une mécanique similaire : des précipitations d'une ampleur inhabituelle que les sols, trop secs ou trop bétonnisés, se révèlent incapables d'absorber. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Mathilde Gralepois Professeur d'Université en aménagement-urbanisme, Département d'Aménagement & Environnement, École Polytechnique, Université de Tours.; Freddy Vinet Professeur de géographie à l'université Montpellier 3; Sébastien Baer Journaliste à la rédaction internationale de Radio France, correspondant à Berlin
Dans cette entrevue exclusive tournée aux Ardentes 2025 à Liège, Enima revient sur son parcours, ses connexions en Belgique, et ses liens profonds avec la scène montréalaise. Il parle de sa performance au festival, de son passage remarqué à High & Fines Herbes, de sa collaboration avec Bundog, et de son prochain projet centré sur le Canada.Il aborde également ses relations avec El Grande Toto, Rowjay, et d'autres figures importantes du rap francophone, tout en évoquant avec franchise ses différends avec certains artistes, sa situation migratoire, et l'avenir de son label MMS. Enima partage sa vision de la musique, son rapport à Montréal et son envie de construire une scène plus solide entre le Québec et l'international.Remerciements à :Festival Les ArdentesTeam MMSSamuel FlorentProduction : ONZMTL
Depuis le 30 juin 2025, les automobilistes français peuvent désormais stocker leur carte grise sur leur smartphone via l'application France Identité. Une avancée vers la dématérialisation des documents officiels, mais qui soulève encore de nombreuses questions pratiques et techniques.Dans cet épisode, je vous explique comment fonctionne ce nouveau service, qui peut en bénéficier, et quelles sont les limites actuelles. Vous découvrirez aussi pourquoi la carte grise numérique — comme les autres documents dématérialisés — n'est pas encore acceptée partout, malgré son caractère officiel.Je fais également un point sur l'écosystème de l'identité numérique en France, en comparant France Identité et l'identité numérique de La Poste, et en évoquant les modèles étrangers (Estonie, Suède, Belgique…). Enfin, je vous parle du futur « portefeuille d'identité européen » prévu par le règlement EIDAS 2.Au programme :Comment ajouter sa carte grise à l'application France Identité ;Les restrictions : types de véhicules concernés, conditions d'éligibilité ;Pourquoi tous les organismes ne l'acceptent pas encore ;La différence entre France Identité et l'identité numérique de La Poste ;Tour d'horizon des modèles internationaux ;Le futur portefeuille d'identité européen prévu pour 2026.-----------
Rénover en 2025, comment s'y prendre & rentabiliser son investissement ?! Une étude menée par BNP Paribas Fortis auprès de 2.000 Belges s'est penchée sur la situation en Belgique : entre explosion des coûts, pression sur le PEB, aides encore floues et promesses politiques incertaines… il devient difficile de s'y retrouver. Dans ce nouvel épisode, on décrypte les aides disponibles, des différences entre un audit énergétique et un PEB, on parle rentabilité, financement, obligations à venir… et on fait le point sur le Plan climat ! Retrouvez de ce nouvel épisode : Vincent Gérin, Prof à l'ULB Solvay & CEO Anixton Atilla Tufekci, Expert en Achat-Revente Christophe De Beukelaer, Député & Président Les Engagés Bxl Marc Delforge, Expert BNP Eric Spitzer, CEO Immovlan Animé par Davy Courteaux Nos partenaires
Cette semaine nous vous proposons une revue de lecture du best-seller « The Millionaire Next Door. Les surprenants secrets des riches américains » de Thomas J. Stanley et William D. Danko. Ce livre est unique en matière de finances personnelles. Il a en effet été écrit par des chercheurs ayant mené des études sur la richesse aux USA pendant toute leur carrière. Les conclusions reprises dans cet ouvrage sont donc issues de données mathématiques, réelles, factuelles et statistiques et pas du parcours ou de la pensée d'une seule personne. Les auteurs sont arrivés à la conclusion que les personnes riches suivent un mode de vie propice à l'accumulation de richesse. Ils ont identifié 7 facteurs permettant de devenir riche, à savoir : Les riches vivent en dessous de leurs moyens Les riches consacrent leur temps, leur énergie et leur argent de manière efficace, de façon à créer de la richesse Les riches estiment que l'indépendance financière est plus importante que d'afficher un statut social élevé Les parents des riches ne leur ont pas fourni d'aides économiques. Ils ont bâti leurs fortunes seuls Les enfants des riches sont économiquement autonomes Les riches savent bien cibler les opportunités du marché et les saisir Les riches ont choisi la bonne profession. Ils ont découvert leur vocation Dans cet épisode, nous développons ces différents points et vous partageons notre avis personnel sur ce livre. ---------------------------------------------------------------------------------- Tu es propriétaire de ta résidence principale en Belgique ou tu aimerais le devenir ? Et si ta maison devenait ton meilleur actif (quelque chose qui te rapporte de l'argent) ? On t'offre une mini-formation où on te partage 5 leviers pour utiliser ta résidence principale comme un investissement. Le lien est ici : https://www.money-mindset.be/5strategiesrp ----------------------------------------------------------------------------------
Abonnez-vous à la Newsletter : mailchi.mp/372ce005d7cc/explizik Cette semaine dans Explizik, Retour à la normale, merci pour vos message suite à l'épisode précédent et oui j'adore la Belgique et les wallons. Cette semaine donc on parle de Suno qui semble opérer un virage stratégique assez marqué vis à vis de l'industrie musicale. Fini les bravades et autres réflexions assassines de son CEO, leurs dernières embauches racontent une autre histoire.
C'est « le défi de Doha », avec cette interrogation de Jeune Afrique : « Kinshasa et le M23 peuvent-ils trouver un accord ? ». Il y a une semaine, la République démocratique du Congo et le Rwanda ont trouvé un accord, sous la houlette américaine ; à présent, raconte le magazine, « un nouveau round » de discussions va avoir lieu, « cette fois entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, que soutient le Rwanda ». Avec un objectif que rappelle Actualité.cd : « aboutir également à la signature d'un accord de paix » pour « mettre fin aux hostilités dans l'est de la RDC ». Une perspective à laquelle le New Times, au Rwanda, ne croit pas vraiment : « aucun texte final n'est prêt à être signé au Qatar, contrairement à ce que prétendent les réseaux sociaux », a affirmé au journal un porte-parole des rebelles. Ces derniers multiplient les prises de parole publique, dont une conférence de presse la semaine dernière au cours, relate Jeune Afrique, ils « ont énoncé une série de ‘mesures de confiance' censées faciliter la suite des discussions » - dit autrement, des doléances pour la suite du processus… L'AFC-M23 « n'a pas l'intention, alors qu'il a eu l'avantage sur le terrain militaire, de subir la discussion », juge une source diplomatique auprès du site spécialisé. Rien n'est encore fait Certes, « les Étasuniens ont forcé tout le monde à jouer carte sur table ». Pour autant, « les deux protagonistes poursuivront-ils dans cette voie ? ». Rien de moins sûr pour Afrique XXI, qui rappelle, pessimiste, que « la réalité a d'autres facettes ». D'autant que, dans l'accord de principe signé la semaine dernière, « aucune mesure contraignante ne semble avoir été prise à l'encontre » de l'AFC-M23, ni pour les forcer à faire preuve de bonne foi, ni sur la gouvernance des territoires conquis, gérés « avec la brutalité d'une force d'occupation ». Et puis, insiste encore le journal, le président congolais Félix Tshisekedi « a besoin d'un succès diplomatique à son actif et les apparences d'un accord pourraient lui suffire ». Des turbulences pour le clan présidentiel Plusieurs proches de Félix Tshisekedi sont attaqués en justice en Belgique. Un dossier « lourd de plus de cinquante pages » raconte l'Observateur Paalga, après le récent rapport d'une ONG dans lequel « il était question d'une prédation du clan Tshisekedi, dont une dizaine de membres posséderaient des exploitations minières au Katanga », explique le journal. « Sale temps pour le régime Tshisekedi ! » renchérit le Pays… Car cette situation, juge le journal « pointe directement du doigt la gouvernance du successeur de Joseph Kabila, qui promettait pourtant de faire dans la rupture ». Un scandale dont le chef d'État se serait bien passé, lui qui « ne sait déjà pas où donner de la tête avec la grave crise sécuritaire dans l'est du pays ». Entre « un contexte sociopolitique continuel conflictuel » et « une gestion jugée chaotique », la situation « n'est guère reluisante… » et à des milliers de kilomètres de là, soupire Afrique XXI, « depuis Bukavu, Goma, Masisi, Kalehe, loin des joutes diplomatiques, un seul cri nous parvient : ‘et nous, maintenant ? qu'allons-nous devenir ?' » À la Une également, la situation tragique au Darfour En un peu plus de deux ans de guerre au Soudan, le conflit a déplacé 11,3 millions de personnes, et les camps de déplacés sont surchargés. Particulièrement donc le Darfour du nord, qui « abrite 18% du nombre total de personnes déplacées » du pays, explique le Monde Afrique. Les besoins en nourriture, énormes, sont difficilement satisfaits : « l'acheminement de l'aide jusqu'au Darfour est un véritable défi logistique. Les chaînes d'approvisionnement évoluent avec le déplacement de la ligne de front », mais aussi au gré des autorisations de transit, et des blocages des routes. Et, ajoute le quotidien, « à l'urgence alimentaire s'ajoute le risque sanitaire », car la surpopulation des camps « favorise la propagation des maladies » avec le risque notamment d'une épidémie de choléra. Et pour encore compliquer la situation, il y a le « manque de protection apporté aux infrastructures de santé » et « la diminution de l'aide publique au développement ». D'ici la fin de l'été, conclut le Monde, « le programme alimentaire mondial prévoit la rupture de plusieurs canaux d'approvisionnement », aggravant encore ce qui ne peut plus qu'être appelé « une tragédie humanitaire ».
En République centrafricaine, les inquiétudes sur l'état de santé du chef de l'État se sont dissipées. Faustin-Archange Touadéra se porte bien et sera candidat à l'élection présidentielle de décembre prochain. C'est ce qu'affirme l'un de ses proches sur RFI. Évariste Ngamana est à la fois le premier vice-président de l'Assemblée nationale et le porte-parole du parti au pouvoir MCU, Mouvement Cœurs Unis. En ligne de Bangui, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier et s'exprime d'abord sur la catastrophe qui a provoqué la mort de 20 personnes dans la capitale centrafricaine, le 25 juin dernier. RFI : Le 25 juin, c'était le jour des examens au lycée Barthélemy Boganda de Bangui. Il y a eu une bousculade mortelle qui a tué 20 personnes, dont 19 lycéens. À l'origine de cette tragédie, il y a eu l'explosion d'un transformateur électrique. Que répondez-vous à l'opposition qui dénonce votre irresponsabilité, à vous les autorités centrafricaines, et qui vous accuse d'avoir « failli à votre devoir de garantir la sécurité des élèves » ? Évariste Ngamana : C'est faux et archi-faux, ce que dénonce l'opposition. Il s'agit ici d'une récupération politique. Nous regrettons tous ce qui s'est passé au niveau du lycée Barthélemy Boganda, mais cet accident malheureux est dû à une explosion du transformateur qui se situe dans l'enceinte même de ce lycée. Et au moment où les élèves composaient, le personnel de l'Enerca, la société nationale d'électricité, est passé faire des travaux d'entretien et c'est par la suite qu'il y a eu cette explosion. Donc une enquête est en cours. Le directeur général de l'Enerca, il est mis aux arrêts et il est entendu, ses collaborateurs sont entendus et si leur responsabilité est établie, à ce moment-là, ils vont être placés sous mandat de dépôt. Mais le cas échéant, ils vont être purement et simplement relâchés. Donc, nous laissons la justice faire son travail et, à l'issue, nous saurons qui a fait quoi. Pour la première fois depuis 1986, c'est-à-dire depuis presque 40 ans, l'État centrafricain veut organiser cette année des élections locales. La date est fixée au 31 août, mais l'expert des Nations unies Yao Agbetse dit que cette date est compromise par « de sérieux obstacles opérationnels » ... Vous savez que nous avons des calendriers qui ont été établis par l'Autorité nationale des élections et, effectivement, l'ANE a connu quelques problèmes liés à des questions techniques. Le gouvernement, ainsi que l'Autorité nationale des élections, sont à pied d'œuvre. Une alternative est en train d'être trouvée et, pour ce qui me concerne, je pense qu'il y aura un léger décalage par rapport à cette date, lié à ces problèmes techniques qui sont en train d'être réglés. Dès lors que la liste définitive va être publiée, à ce moment-là, nous saurons à quelle date ces élections locales vont être organisées. La liste définitive des électeurs ? Effectivement. Alors, vous dites que ces élections locales vont sans doute être décalées. Est-ce à dire qu'elles auront lieu après l'élection présidentielle et les élections législatives prévues le mois de décembre prochain ? Oui, pourquoi pas. Nous avons attendu depuis plus de 40 ans. Je pense qu'il n'y a pas feu en la demeure. L'essentiel, c'est que ces élections soient organisées. Lors de cette élection présidentielle, est-ce que le président Touadéra sera bien candidat à un nouveau mandat ? Le parti MCU a prévu d'organiser son congrès du 25 au 26 juillet et c'est au cours de ce congrès-là que le Mouvement Cœurs Unis va investir son candidat. Et pour moi, il ne fait aucun doute que cela soit le président Touadéra. Alors, il y a tout de même eu des inquiétudes au sujet de la santé du chef de l'État, puisque le 21 juin, il est parti en Belgique pour se faire soigner. Qu'est-ce qui s'est passé ? Pour moi, le chef de l'État reste un humain susceptible d'être malade, d'avoir eu quelques maux de tête, ce n'est pas un extraterrestre. Mais cette rumeur vient du fait de la manipulation de l'opposition qui n'espère que la mort du président. Mais c'est Dieu qui détient la vie de tout le monde. Donc, puisque l'opposition est en perte de vitesse, donc cette rumeur, cette manipulation est du fait de l'opposition. Mais le président se porte bien, vous l'avez vu, il a participé au sommet de l'Alliance Gavi [à Bruxelles le 25 juin]. Il est revenu au pays. Il était au chevet des accidentés du lycée Boganda. Le week-end, il a reçu les parents des élèves qui sont décédés. Il est en train de mener à bien sa mission. Il se porte bien et, au moment venu, il sera candidat. Il y a quand même eu une certaine inquiétude, je crois, le 21 juin. Nos confrères d'Africa Intelligence précisent qu'il a été évacué en urgence vers la Belgique à bord d'un jet médicalisé Bombardier Challenger… Ce que Africa Intelligence dit n'engage que Africa Intelligence, mais je vous dis que le président a profité de son séjour à Bruxelles pour faire quelques bilans de santé. Et la preuve, c'est que, quelques jours après, vous l'avez vu, il était présent à ce sommet de l'Alliance Gavi. Il est rentré au pays, il se porte bien. Voilà. N'a-t-il pas eu un malaise soudain lors d'une réunion ministérielle à Bangui, comme le disent nos confrères d'Africa Intelligence ? Je dis que ceux qui parlent là, ils n'ont jamais eu quelque chose dans leur vie, ne serait-ce qu'un mal de tête. Donc pour moi, ce sont des détails inutiles. Aujourd'hui, il y a un élément factuel qui est là. Le président de la République se porte très bien, il est en train de travailler comme d'habitude et le reste n'est que des supputations pures et simples.
C'est « le défi de Doha », avec cette interrogation de Jeune Afrique : « Kinshasa et le M23 peuvent-ils trouver un accord ? ». Il y a une semaine, la République démocratique du Congo et le Rwanda ont trouvé un accord, sous la houlette américaine ; à présent, raconte le magazine, « un nouveau round » de discussions va avoir lieu, « cette fois entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, que soutient le Rwanda ». Avec un objectif que rappelle Actualité.cd : « aboutir également à la signature d'un accord de paix » pour « mettre fin aux hostilités dans l'est de la RDC ». Une perspective à laquelle le New Times, au Rwanda, ne croit pas vraiment : « aucun texte final n'est prêt à être signé au Qatar, contrairement à ce que prétendent les réseaux sociaux », a affirmé au journal un porte-parole des rebelles. Ces derniers multiplient les prises de parole publique, dont une conférence de presse la semaine dernière au cours, relate Jeune Afrique, ils « ont énoncé une série de ‘mesures de confiance' censées faciliter la suite des discussions » - dit autrement, des doléances pour la suite du processus… L'AFC-M23 « n'a pas l'intention, alors qu'il a eu l'avantage sur le terrain militaire, de subir la discussion », juge une source diplomatique auprès du site spécialisé. Rien n'est encore fait Certes, « les Étasuniens ont forcé tout le monde à jouer carte sur table ». Pour autant, « les deux protagonistes poursuivront-ils dans cette voie ? ». Rien de moins sûr pour Afrique XXI, qui rappelle, pessimiste, que « la réalité a d'autres facettes ». D'autant que, dans l'accord de principe signé la semaine dernière, « aucune mesure contraignante ne semble avoir été prise à l'encontre » de l'AFC-M23, ni pour les forcer à faire preuve de bonne foi, ni sur la gouvernance des territoires conquis, gérés « avec la brutalité d'une force d'occupation ». Et puis, insiste encore le journal, le président congolais Félix Tshisekedi « a besoin d'un succès diplomatique à son actif et les apparences d'un accord pourraient lui suffire ». Des turbulences pour le clan présidentiel Plusieurs proches de Félix Tshisekedi sont attaqués en justice en Belgique. Un dossier « lourd de plus de cinquante pages » raconte l'Observateur Paalga, après le récent rapport d'une ONG dans lequel « il était question d'une prédation du clan Tshisekedi, dont une dizaine de membres posséderaient des exploitations minières au Katanga », explique le journal. « Sale temps pour le régime Tshisekedi ! » renchérit le Pays… Car cette situation, juge le journal « pointe directement du doigt la gouvernance du successeur de Joseph Kabila, qui promettait pourtant de faire dans la rupture ». Un scandale dont le chef d'État se serait bien passé, lui qui « ne sait déjà pas où donner de la tête avec la grave crise sécuritaire dans l'est du pays ». Entre « un contexte sociopolitique continuel conflictuel » et « une gestion jugée chaotique », la situation « n'est guère reluisante… » et à des milliers de kilomètres de là, soupire Afrique XXI, « depuis Bukavu, Goma, Masisi, Kalehe, loin des joutes diplomatiques, un seul cri nous parvient : ‘et nous, maintenant ? qu'allons-nous devenir ?' » À la Une également, la situation tragique au Darfour En un peu plus de deux ans de guerre au Soudan, le conflit a déplacé 11,3 millions de personnes, et les camps de déplacés sont surchargés. Particulièrement donc le Darfour du nord, qui « abrite 18% du nombre total de personnes déplacées » du pays, explique le Monde Afrique. Les besoins en nourriture, énormes, sont difficilement satisfaits : « l'acheminement de l'aide jusqu'au Darfour est un véritable défi logistique. Les chaînes d'approvisionnement évoluent avec le déplacement de la ligne de front », mais aussi au gré des autorisations de transit, et des blocages des routes. Et, ajoute le quotidien, « à l'urgence alimentaire s'ajoute le risque sanitaire », car la surpopulation des camps « favorise la propagation des maladies » avec le risque notamment d'une épidémie de choléra. Et pour encore compliquer la situation, il y a le « manque de protection apporté aux infrastructures de santé » et « la diminution de l'aide publique au développement ». D'ici la fin de l'été, conclut le Monde, « le programme alimentaire mondial prévoit la rupture de plusieurs canaux d'approvisionnement », aggravant encore ce qui ne peut plus qu'être appelé « une tragédie humanitaire ».
Le gouvernement fédéral étudierait la possibilité de céder une partie de la banque d'État Belfius. L'opération pourrait permettre de renforcer le budget de la Défense. Nvidia a franchi le cap historique des 4.000 milliards de dollars de valorisation boursière. La star de Wall Street est portée par l'explosion de la demande de puces pour l'intelligence artificielle. Le sud de la France a été touché par plusieurs incendies majeurs ces derniers jours, notamment à Marseille et Narbonne. Le changement climatique accentue les risques partout, mais est-ce le cas aussi en Belgique? Présentation: Ondine Werres Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
C'est le titre choisi par le New York Times ce matin, après les pluies diluviennes de la semaine dernière. Le bilan des crues meurtrières qui ont suivi ne cesse d'augmenter : « près de 120 morts dans tout l'État », recense le Dallas Morning News, auxquels il faut ajouter les 173 personnes toujours portées disparues. « Les eaux ont monté, et monté, et monté encore ; (…) beaucoup ont péri dans l'obscurité, dans les eaux rageuses, entraînés hors de leurs voitures, de leurs cabines, maisons ou mobile-homes ». Dans les débris, les secours poursuivent leurs recherches : « à des kilomètres à la ronde, (…) les autorités (...), ainsi que des bandes de volontaires, fouillent la rivière, (…) retournant des gravats à la main, jetant des coups d'œil dans des voitures froissées pour trouver le moindre signe des disparus », raconte le Washington Post. Mais, comme l'explique un volontaire, l'espoir est mince : « on cherche surtout des dépouilles ou des parties de corps. (…) N'importe quoi pour permettre à ces familles de tourner la page ». Les habitants en quête de réponses « Qu'est-ce qui aurait pu être fait de plus, au niveau des alertes et des évacuations ? » Le Dallas Morning News s'interroge, car, relate-t-il, « les cadres locaux ont, de manière répétée, esquivé les questions sur le suivi de la météo et les mesures prises en avance ». Pire encore, dans certains comtés, il n'y a tout simplement pas de système d'alarme, malgré « des discussions, depuis des années, sur la nécessité d'un tel dispositif ». Surtout, l'absence d'une personne a peut-être tout changé, révèle le New York Times : « l'employé du service météo chargé de s'assurer de la diffusion des alertes, (…) a récemment pris sa retraite anticipée, sur fond de coupes budgétaires voulues par le Doge », le département chapeauté à l'époque par Elon Musk. Cet employé n'a pas été remplacé. « Pour un gratte-papier de Washington, cette perte avait peut-être l'air d'une soustraction minime, mais bienvenue, sur une feuille Excel géante ». Mais le résultat concret, « dans une région si propice à ces événements qu'elle est surnommée l'Allée des crues éclair » est, assène le quotidien, que, « alors que les eaux montaient, une voix, indispensable, restait silencieuse ». Le Texas est sous les eaux, et pendant ce temps, tout aussi violemment, les flammes ravagent le reste du monde : le Canada, l'Espagne, le sud de la France. Certains pays sont encore épargnés, mais en Belgique, Le Soir ne s'y trompe pas : « c'est ce qui nous attend », titre le quotidien. « Toute l'Europe sera bientôt touchée, explique un climatologue : avec des étés "très secs" et des forêts très malades, parce que les arbres ne sont plus adaptés aux fortes chaleurs ». Cette perspective est maintenant inévitable, alors, une seule solution pour cet expert : « cartographier les zones à risques », « équiper les pompiers », bref, « investir ». L'événement musical du moment La tournée du groupe britannique Oasis, réunion inespérée après 15 ans de brouille pour le moins rock'n'roll entre les frères Gallagher. Et cette série de concerts fait couler beaucoup d'encre… au Royaume-Uni, les journaux se gargarisent du retour de ce pur produit anglais ; en France, Libération se désole plutôt de « ces images des vieux crabes revenus faire "un tour de piste" et "du passé qui refuse de mourir" » Mais il y a une dimension, « moins commentée et plus douloureuse », grimace le titre : Oasis, c'est, au départ, surtout « des gamins issus de familles modestes et dysfonctionnelles parquées dans cités-dortoirs, promis à un non-avenir total ». Ces racines, aussi lointaines soient-elles, « ont eu de l'importance dans la construction du groupe », qui a « joué jusqu'à l'outrance de son image prolo ». Sauf que ces origines précaires n'existent plus sur la scène musicale actuelle. D'après Libé, « la proportion de musiciens issus de la classe ouvrière a été divisée par deux depuis les années 1970 ». Oasis se reforme parce que cela représente une manne commerciale, c'est certain ; parce que les fans le réclament à cor et à cri depuis 15 ans, sans doute ; mais surtout, conclut Libération amèrement, « Oasis se reforme parce qu'on vit dans un monde où les possibilités qu'émerge un nouvel Oasis sont minces ».
REDIFFUSION. Cet été, Faites des gosses prend des vacances et vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes favoris. Bonne écoute !Vous avez beau tout essayer pour détourner son attention, votre enfant se rue dans le rayon “sucrerie” et exige l'équivalent de son poids en bonbons crocodiles. Face à votre refus, il se met soudainement à hurler en se roulant sur le sol du supermarché. Les regards se tournent, la pression monte. Pourquoi ces crises surviennent-elles, et comment y faire face sans perdre votre calme ? Pour comprendre les raisons de la désobéissance des enfants, Marine Revol interroge Isabelle Roskam, docteure en Sciences Psychologiques et professeure en psychologie du développement à l'Université de Louvain en Belgique. Et pour elle, ce n'est pas qu'une question d'éducation. Ensemble, elles parlent de tempérament et de maturation cérébrale, de dynamiques familiales et culturelles, d'escalade de conflit, de routine, de chantage, de priorisation et de sit-in non violents.Pour aller plus loin :- Mon enfant est insupportable, Comprendre et accompagner les enfants difficiles d'Isabelle Roskam aux éditions Mardaga- Le burn-out parental. Comprendre, diagnostiquer et prendre en charge, d'Isabelle Roskam et Moïra Mikolajczak aux éditions De Boeck Supérieur- L'épisode de Faites des Gosses “Faut-il apprendre à son enfant à désobéir ?”Faites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Myriam Mernissi et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Elsa Berthault est en charge de la production.Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.com ou racontez nous votre histoire en remplissant ce formulaire.Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI !Pour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le président français se rend à Londres aujourd'hui, pour une visite d'État de trois jours. Une façon de mettre sur pied « une entente cordiale renouvelée » se réjouit le Guardian, après cinq ans marqués par les tensions post-Brexit, durant lesquels, rappelle le site « pas le moindre sommet bilatéral France-Royaume-Uni n'a eu lieu ». Soupir de soulagement pour le Guardian : « heureusement, c'est du passé ». Et à en croire le journal, il faut pour cela remercier le Premier ministre Keir Starmer, qui a forgé avec Emmanuel Macron « une relation de travail rapprochée, afin de renforcer la défense et la sécurité européennes ». Cette collaboration a jusque-là essentiellement concerné le soutien à l'Ukraine et l'organisation face à la menace russe, mais pas uniquement : le Times britannique indique ainsi que Keir Starmer devrait « exhorter le président français à accepter un accord migratoire "un dedans, un dehors" » : en clair, ramener en France de petits bateaux de migrants pour permettre l'arrivée sur le sol britannique de demandeurs d'asile ayant de la famille au Royaume-Uni. Ce texte pourrait même, veut croire le quotidien, « être la pièce maîtresse » d'un nouvel accord entre les deux pays. Quoi qu'il en soit, cette visite (la première d'un président français depuis Nicolas Sarkozy en 2008), est « d'abord une façon de célébrer, grâce aux fastes de la monarchie, une amitié retrouvée entre les deux vieux voisins », pointe le Monde, mais aussi, pour Londres, de « renouer avec l'Union européenne sans pour autant relancer le psychodrame d'une adhésion ». Le tout avec un « sous-texte transatlantique » évident, après le « choc » du « retour de Donald Trump à la Maison Blanche (…) particulièrement douloureux pour le Royaume-Uni, » croit savoir le journal, puisque le pays « s'est toujours considéré comme l'héritier d'une "relation spéciale" avec Washington ». Dans ce contexte, reprend le Guardian, « une entente restaurée est, de façon écrasante, dans les intérêts des deux pays, et plus largement de l'Europe toute entière ». Le spectre des droits de douane « Donald Trump recommence à jouer les Monsieur Taxes », s'agace d'ailleurs le Wall Street Journal tandis que le Figaro s'interroge : est-ce par « goût du suspense » ou dans l' « espoir d'obtenir toujours plus en multipliant les décisions arbitraires » que le président américain « continue son jeu visant à faire plier » ses partenaires ? Quelles que soient ses raisons, il « sait très bien ruiner une bonne humeur économique » juge le Wall Street Journal. Car le chef d'État a décidé, lundi, d'imposer de nouveaux droits de douane, de 25%, contre une douzaine de pays, dont le Japon et la Corée du Sud. « Belle manière de traiter deux proches alliés », ironise le journal, surtout lorsqu'ils sont « dans l'arrière-cour chinoise ». Cette décision va crisper des amis ; mais il est aussi « facile de constater de quelle manière les droits de douane vont faire du mal aux entreprises et consommateurs américains », juge le titre économique. Sauf que la méthode de Donald Trump pourrait être payante, sans mauvais jeu de mots : à force d'allers-retours, l'Union européenne se montre moins catégorique qu'avant, et la France aussi, constate le Monde, qui rappelle que pour certains ministres, « une augmentation faible des droits de douane peut être acceptée, si et seulement si, sur certains secteurs clés d'exportation français, ils peuvent être réduits ». D'autres préoccupations en France La « malédiction » de la « dissolution » comme le dit le Figaro, car à partir d'aujourd'hui, le délai constitutionnel d'un an est passé, et Emmanuel Macron peut de nouveau faire tomber le couperet sur l'Assemblée nationale. « Dans l'entourage [du président], on appelle ça pompeusement le "réarmement institutionnel" » raconte le quotidien. Et même si le chef d'État « n'exclut pas totalement de repousser sur le bouton », croit savoir le Soir en Belgique, cette perspective est « la hantise de nombre de députés, qui labourent leur circonscription en cas de nouveau coup de tonnerre, ce qui vide un peu plus les bancs » d'un hémicycle déjà rendu inefficace par sa division. Bref, la sentence du Figaro est sans appel : une dissolution 2.0 n'est « souhaitable pour personne » : sur une scène politique française « dispersée façon puzzle, qui serait assez fou pour en rajouter ? ».
Japon, Corée du Sud, Thaïlande, Laos... L'Asie est la première cible des nouvelles menaces de Donald Trump avec des droits de douane américains jusqu'à 40%, reportés au 1er août prochain. Les négociations pour y échapper vont s'intensifier dans les prochains jours. Le plus grand incubateur de start-ups de Belgique s'apprête à voir le jour à Bruxelles. WAT, c'est 10.000m2 dédiés à l'intelligence artificielle, la santé, la transition énergétique ou encore la mobilité et l'agriculture. Pourquoi les médias multiplient-ils leurs attaques contre Google? Le groupe Rossel réclame 832 millions d'euros au géant de la tech. On analyse les enjeux dans cet épisode. > Brief spécial | Mariage Rossel-IPM: quelles conséquences pour la presse belge? Présentation: Ondine Werres Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Le vitiligo est une maladie auto-immune qui se manifeste par une décoloration de la peau.Le vitiligo, on en parle avec le Dr Freddy Banza, président de l'association vitiligo Belgique et membre de la section Afrique du Vitiligo International Patient Organisations Committee. Il nous explique ce qu'est cette pathologie et parle aussi de sa propre experience avec la maladie.
Le Premier ministre israélien se déplace à Washington pour la première rencontre entre les deux hommes depuis la guerre lancée par Israël contre l'Iran. Un événement porteur d'espoirs, et dont une grande partie de la presse se fait donc le relais. Les deux hommes parleront du dossier iranien, mais aussi de la guerre à Gaza. Car, écrit le Figaro, le président américain est « déterminé à arracher un cessez-le-feu » dans l'enclave palestinienne. Après sa victoire contre Téhéran, le président américain veut poursuivre sur sa lancée et « faire progresser la paix au Moyen-Orient », juge le quotidien français. Une perspective envisageable seulement « si les armes se taisent dans la bande de Gaza. » Le Washington Post lui aussi, faisant référence aux lubies pour le moins changeantes du chef d'État américain, estime que ce dernier « semble être d'humeur à faire la paix ». Il faut dire, ironise El Pais, que Donald Trump « a promis lors de la campagne qui l'a ramené à la Maison Blanche qu'il parviendrait à la paix dans le monde dès son premier jour au pouvoir », et le voilà donc, certes, « 168 jours plus tard, » prêt à avancer vers son objectif. Sauf que la « volonté de fer » du président américain va rencontrer celle d'un Benyamin Netanyahu très attaché au pouvoir, et dépendant, rappelle le Figaro, d'une « coalition va-t-en-guerre ». Mais justement, pointe le Washington Post : « Politiquement, le Premier ministre n'aura pas de meilleure opportunité que celle qui se présente après la réussite sur le terrain iranien, qui va s'estomper avec le temps. » De toute façon, abonde le Soir en Belgique, « dans les faits, les deux hommes ont intérêt à conclure cette trêve », l'un pour concrétiser l'image de faiseur de paix qu'il cherche à se donner depuis le début de son mandat, l'autre pour « ménager son opinion publique, » qui attend toujours « le retour d'une cinquantaine d'otages retenus dans Gaza ». Les négociateurs israéliens, eux aussi, en déplacement Les négociateurs israéliens se rendent à Doha, au Qatar, et ont décollé quelques heures à peine après Benyamin Netanyahu. Cette « synchronicité » n'a « rien d'une coïncidence », souligne Haaretz en Israël : « Le président américain a indiqué à plusieurs reprises qu'il perd patience au sujet des combats en Israël », et « sous la pression américaine », aussi bien Israël que le Hamas, « ont rapidement fait savoir leur disponibilité ». Une ébauche d'accord a déjà été rédigée, dont El Pais rappelle le point de départ : « Un cessez-le-feu de 60 jours » qui serait l'occasion d'un échange de prisonniers et d'otages. Mais ce premier jet, critique Haaretz, laisse de côté certains « point essentiels » comme « la fin de la guerre ou la gestion de Gaza une fois que les forces israéliennes se seront retirées ». La question du départ des soldats israéliens a toujours été l'un des points les plus sensibles des négociations et il l'est probablement toujours : un expert interrogé par Le Soir se dit ainsi « extrêmement dubitatif sur le fait que Benyamin Netanyahu l'accepte », d'autant que ces derniers mois, « Washington avait validé l'idée que la bande de Gaza telle qu'elle a existé jusqu'à présent pouvait disparaître ». Mais si cela doit arriver, ce sera, juge Le Soir, « par étapes » car « aujourd'hui, ce qui compte pour Israël, c'est de rester dans Gaza ». L'intelligence artificielle et les menaces qu'elle fait peser sur Internet Si vous utilisez encore Google, alors la sentence du Monde est irrévocable : vous êtes un « cyberboomer ». Car les plus jeunes, eux, utilisent ChatGPT, Claude, Perplexity ou un autre agent conversationnel pour leurs recherches en ligne. Une « tendance », voire une « révolution » qui aura, entrevoit déjà le quotidien français, « des conséquences vertigineuses pour l'avenir du Web ». Pour les moins convaincus, difficile d'imaginer quitter Google ou un autre moteur de recherche quand on y a passé plus de vingt ans. Pourtant, le Monde en est certain : « Demain, qu'ils le veuillent ou non, tous les utilisateurs de Google franchiront le pas », et le géant américain en a conscience, puisqu'il a « déjà mis en place deux solutions de recherche par IA ». En fait, ces moteurs de recherche par intelligence artificielle (IA), « qui n'impliquent plus de cliquer sur des liens », remettent en cause « tout le modèle économique du web, qui risque de s'écrouler », prédit le Monde. Et s'il n'y a plus de motivation financière, s'il n'y a plus de visites sur les sites, questionne le Monde, « pourquoi s'acharner à publier du contenu ? » D'où cette question : à force de systèmes d'IA qui « ringardisent les moteurs de recherche et rendent facultative la consultation de sites Internet », « que va-t-il rester [de ce fameux] World Wide Web » tel qu'on le connaît ?
Ombline Roche retrace la trajectoire singulière de Philippe Lafontaine, chanteur belge propulsé au sommet avec Cœur de loup en 1989. De ses débuts discrets aux Victoires de la Musique, retour sur le parcours d'un artiste à la carrière aussi fulgurante que marquante.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Description Arnaud Latiers est cofondateur de la société Karno. Ingénieur civil en énergie, Arnaud Latiers a réalisé sa thèse de doctorat sur l'équilibre de la production et de la consommation, en temps réel, au sein des réseaux électriques. Il a ensuite travaillé plusieurs années dans la vente et l'optimisation des marchés énergétiques. Il est entrepreneur dans le domaine de l'énergie. [0:00:00] Introduction [0:01:53] Chapitre 1 : Les réseaux de chaleur en Belgique [0:24:29] Chapter 2 : Le marché [1:44:11] Chapitre 3 : Les technologies [2:31:20] Chapitre 4 : Les questions persos URL pour les notes de l'épisode : https://www.podcastics.com/podcast/episode/les-reseaux-et-le-stockage-de-la-chaleur-371919/ This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.
Vincent Jamoulle était l'invité de David Houdret, Samuël Grulois et Rik Verbrugghe, pour évoquer son ouvrage "100 côtes de Belgique". On connait nos Classiques ... et même le Tour de France ! La 112e édition du Tour de France est à suivre chaque jour sur les médias de la RTBF. Rendez-vous chaque après-midi sur Viva Sport en DAB+ pour vivre la course en direct. Et chaque soir dans Complètement Tour avec David Houdret, Samuël Grulois et Rik Verbrugghe pour le débriefing de l'étape du jour, les réactions, les interviews et la parole aux acteurs de la Grande Boucle !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:16:36 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Quatrième étape du tour de France 1989 de Vincent Lavenu entre Luxembourg et le circuit automobile de Spa-Francorchamps en Belgique. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
L'OTAN, l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, a été créée en 1949 pour assurer une défense collective face à la menace soviétique. Au départ, son quartier général n'était pas du tout à Bruxelles, mais à Paris. Jusqu'en 1966, c'est dans la capitale française que se trouvait le siège de l'OTAN, plus précisément au Palais de Chaillot, puis à Porte Dauphine.Mais tout bascule avec le général de Gaulle.En 1966, le président français décide de retirer la France de la structure militaire intégrée de l'OTAN (même si elle reste membre de l'organisation politique). Il refuse que des troupes étrangères soient stationnées en France en temps de paix. Résultat : l'OTAN doit déménager… et vite.Alors pourquoi Bruxelles ? Pour trois raisons principales :Sa position géographique et diplomatiqueLa Belgique est située au cœur de l'Europe de l'Ouest, entre la France, l'Allemagne et les Pays-Bas. C'est un pays stable, neutre dans les grands conflits idéologiques du XXe siècle, et ouvertement pro-européen et pro-américain. Elle est donc un choix diplomatiquement consensuel.Sa tradition multilatéraleLa Belgique est un pays qui aime les institutions internationales : elle héberge déjà des organismes comme l'Union européenne (la Commission, le Conseil, le Parlement en partie). Installer l'OTAN à Bruxelles s'inscrit dans cette logique d'accueil.Sa réactivité et sa disponibilitéLorsqu'il a fallu trouver une nouvelle maison pour l'OTAN, la Belgique s'est montrée extrêmement coopérative. Elle a rapidement proposé un site à Evere, dans la banlieue nord-est de Bruxelles. Un bâtiment provisoire y a été construit, puis remplacé en 2017 par un tout nouveau siège ultramoderne.En résumé : si le siège de l'OTAN est à Bruxelles, c'est à la fois parce que la France l'a expulsé, et parce que la Belgique cochait toutes les bonnes cases : centrale, neutre, multilatéraliste… et efficace.Depuis, Bruxelles est devenue la capitale militaire de l'Occident, en complément de son rôle de capitale politique de l'Europe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Actualités. Gros plan. International. Le 20 juin 2025, Radio Slovaquie Internationale a reçu en ses studios une délégation de la faculté d'architecture de l'université libre de Bruxelles en Belgique ainsi qu'un architecte néerlandais de Rotterdam. Ils voulaient absolument visiter la Pyramide renversée de la Radio nationale. Auparavant, ils avaient participé a la Nuit de l'architecture et du design de Bratislava. Ce déplacement a été organisé en collaboration avec la Faculté d'architecture et de design de Bratislava et l'ambassade de la République slovaque sise a Bruxelles. Etaient présents autour de la table du studio : Marcelle Rabinowicz, doyenne de la Faculté d'architecture de l'ULB ; Anne-Sophie Daout vice-doyenne, Maria Klaučova, architecte se partageant entre Bratislava et Bruxelles, Michal Bogár architecte et enseignant de la FAD STU et Gijs Rikken architecte de l'atelier néerlandais MVRDV. Entretien en deux parties d'abord sur la nuit de l'architecture puis sur le bâtiment de la radio slovaque.
Dans ce podcast exclusif, Thomas Meunier se confie sur son parcours exceptionnel, revenant sur l'incroyable aventure du LOSC en Ligue des Champions, avec une mention spéciale pour la victoire historique contre le Real Madrid. Le latéral du club nordiste partage également ses années au Paris Saint-Germain, racontant son ascension fulgurante du National à la scène européenne, une progression qui a marqué sa carrière de manière décisive.Mais ce n'est pas tout : Thomas aborde aussi les échecs frustrants de la Belgique dans les tournois majeurs, tels que l'Euro 2016 et les Coupes du Monde 2018 et 2022, et dévoile les coulisses de ces moments où l'espoir a souvent laissé place à la déception. Ne manquez pas cette interview sans filtre et abonnez-vous à Colinterview pour découvrir encore plus de révélations inédites de vos joueurs préférés !
Nous sommes le 9 décembre 1864, à Douai, dans le nord de la France. Dans son discours au conseil municipal, le maire de cette cité , qui partage avec Ath, en Belgique, le privilège d'être celle des géants, déclare : « Les jardins publics ne sont pas seulement des moyens d'assainir nos villes ; ils offrent à nos population si occupées un plaisir gratuit dont, naguère, la très grande fortune seule pouvait jouir. Pendant que nos enfants du peuple s'habituent à respecter la chose publique, ils y viennent avec les vieillards et les malades prendre des forces que les habitations modestes ne répareraient que lentement. Enfin si, un jour, l'administration municipale pense à les orner de statues, de vases et d'objet d'art que la munificence de l'Etat et de nos Concitoyens ne refuserait certes pas, alors nos promenades aideraient puissamment à former et à épurer le goût de nos ouvriers. » Des jardins publics pour éduquer les classes laborieuses, donc … Des jardins publics plantés d'arbres. De quelle manière l'arbre a-t-il conquis les villes ? Symbole de l'autorité, mais aussi de la liberté. Fédérateur de la citoyenneté. Outil d'assainissement de l'air et d'embellissement des espaces publics. L'arbre a provoqué la colère, suscité l'adoration. S'il améliore nos conditions de vie, la sienne est bien souvent chahutée. Allons donc faire un tour au pied de l'arbre et de son histoire dans nos cités… Avec nous : Andrée Corvol, directrice de recherche au CNRS. « L'arbre dans la cité – Histoire d'une conquête (XVIIe – XXIe siècle) » ; éd. Le Pommier. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode d'Entre nos lèvres raconte l'histoire de Nina. Nina a 29 ans, et avec elle nous avons discuté du Pérou et de la Belgique, de l'évolution des Pokémon et des grains de sable, de souffrance émotionnelle, des cicatrices et des tatouages, mais surtout, des mots qui traumatisent, et de ceux qui guérissent.On vous souhaite une belle écoute !Céline & Margaux Nous suivre sur Instagram : @entrenoslevresDécouvrir nos soins sur notre boutique : www.entrenoslevres.frEt n'oubliez pas de vous inscrire à notre super newsletter, on y raconte plein de trucs chouettes. On dévoile nos coulisses, on vous livre tous nos conseils et on partage même tout plein de recommandations (des livres, des films, des articles, tout ce qui nous a plu ou touché ces derniers temps). Promis, c'est cool.PS. Ah oui, Entre nos lèvres, ce sont des portraits intimes qui racontent les vraies histoires autour de la sexualité (mais pas que). Le premier podcast qui parle de sexe comme on devrait en parler tous les jours, avec honnêteté et bienveillance.Réalisation & Production : Entre nos lèvresMontage & Mixage : Noémie SudreMusique : Martijn De BoerHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marché de la cocaïne en hausse, et une violence du crime organisé qui s'étend désormais à l'Europe. Le dernier rapport de l'ONU sur les drogues tire la sonnette d'alarme. Dans le nord de la Belgique, une des portes d'arrivée de la drogue est le port d'Anvers... Dans la valse des 12 millions de containers qui arrivent chaque année sur ses 5 terminaux, les trafiquants essaient de déjouer la sécurité... par la corruption auprès des dockers, par des petites mains qui viennent récupérer la drogue, et qu'on appelle les extracteurs, ou encore en plaçant des hommes de main à l'intérieur même des containers... Reportage sur un port qui lutte à armes inégales contre les trafiquants signé Jean-Jacques Hery. Une extradition dans le gang des Kinahan Et si l'on parle des gros bonnets européens à la tête du trafic, beaucoup d'entre eux ont trouvé refuge dans les Émirats Arabes Unis. C'est le cas du gang irlandais des Kinahan... Mais retournement de situation, pour la première fois, un des membres les plus influents du gang vient d'être extradé de la péninsule arabique vers l'Irlande. Une avancée majeure sur la voie du démantèlement de leur trafic, Clémence Penard. La revue de presse sonore de Franceline Beretti On a beaucoup parlé défense cette semaine avec le sommet de l'Otan à La Haye et on va faire un premier bilan. Comme le souhaitaient les États-Unis presque tous les membres de l'Alliance atlantique se sont engagés à consacrer 3,5% de leur PIB aux dépenses militaires et 1,5% aux dépenses de sécurité... Bref, même s'il a fallu prendre beaucoup de pincettes avec Donald Trump pour éviter le clash, c'est un succès, disent de nombreux éditorialistes. Bras de fer politique autour de la gay pride de Budapest Le début de l'été et les gay prides.... qui peuvent prendre un tour très politique. C'est le cas en Hongrie. Une nouvelle loi interdit l'exposition des mineurs aux contenus sur l'homosexualité et les changements de genre. De quoi justifier, selon le Premier ministre, l'interdiction d'une grande parade. Mais, le maire de Budapest maintient la marche des fiertés pour samedi... Reportage signé Florence Labruyère.
Marché de la cocaïne en hausse, et une violence du crime organisé qui s'étend désormais à l'Europe. Le dernier rapport de l'ONU sur les drogues tire la sonnette d'alarme. Dans le nord de la Belgique, une des portes d'arrivée de la drogue est le port d'Anvers... Dans la valse des 12 millions de containers qui arrivent chaque année sur ses 5 terminaux, les trafiquants essaient de déjouer la sécurité... par la corruption auprès des dockers, par des petites mains qui viennent récupérer la drogue, et qu'on appelle les extracteurs, ou encore en plaçant des hommes de main à l'intérieur même des containers... Reportage sur un port qui lutte à armes inégales contre les trafiquants signé Jean-Jacques Hery. Une extradition dans le gang des Kinahan Et si l'on parle des gros bonnets européens à la tête du trafic, beaucoup d'entre eux ont trouvé refuge dans les Émirats Arabes Unis. C'est le cas du gang irlandais des Kinahan... Mais retournement de situation, pour la première fois, un des membres les plus influents du gang vient d'être extradé de la péninsule arabique vers l'Irlande. Une avancée majeure sur la voie du démantèlement de leur trafic, Clémence Penard. La revue de presse sonore de Franceline Beretti On a beaucoup parlé défense cette semaine avec le sommet de l'Otan à La Haye et on va faire un premier bilan. Comme le souhaitaient les États-Unis presque tous les membres de l'Alliance atlantique se sont engagés à consacrer 3,5% de leur PIB aux dépenses militaires et 1,5% aux dépenses de sécurité... Bref, même s'il a fallu prendre beaucoup de pincettes avec Donald Trump pour éviter le clash, c'est un succès, disent de nombreux éditorialistes. Bras de fer politique autour de la gay pride de Budapest Le début de l'été et les gay prides.... qui peuvent prendre un tour très politique. C'est le cas en Hongrie. Une nouvelle loi interdit l'exposition des mineurs aux contenus sur l'homosexualité et les changements de genre. De quoi justifier, selon le Premier ministre, l'interdiction d'une grande parade. Mais, le maire de Budapest maintient la marche des fiertés pour samedi... Reportage signé Florence Labruyère.
Depuis le mois de décembre 2024, la Belgique permet aux travailleurs et travailleuses du sexe d'être salariés. C'est le premier pays au monde à donner accès à un tel droit aux personnes en situation de prostitution. Saluée par de nombreuses associations, cette nouvelle loi offre une protection et une sécurité inédite aux travailleurs et travailleuses du sexe en les consiérant comme des salariés comme les autres. Mais la mise en application de cette législation reste compliquée.Sur le fil vous emmène en Belgique, à la rencontre de ces nouveaux salariés avec, sur le terrain, Dimitri Korczak, journaliste reporter d'images à l'AFP.Invités : Thierry Schaffauser, trésorier du Syndicat du Travail Sexuel, en France"Mel", connue sous le pseudo de Meliciousss, travailleuse du sexe et militanteMarianne Chargois, travailleuse du sexe et militante pour l'Union des Travailleur·euses du Sexe, en BelgiqueCharles-Eric Clesse, magistrat belge expert en droit du travail et en matière de traite des êtres humainsCrédits TikTok : @weesliefvoorelkaarmetmel “Mel meliciousss”Réalisation : Camille BuonannoPrésentation : Emmanuelle BaillonDoublages : Meïssa Guèye Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes le 7 mai 1946, à Dampremy, l'un des sièges d'extraction de la « Société Anonyme des Charbonnages Réunis du Mambourg ». Un terrible coup de grisou a frappé ce que l'on appelle « le Puits du Sacré-Français ». Le « Journal de Charleroi » rapporte : « Mardi soir, vers 21h30, un dégagement intense de gaz délétères et inflammables s'est produit dans la taille Cayette, à l'étage 860 mètres (…). Seize ouvrier ont été surpris par la catastrophe et sont morts asphyxiés et brûlés (…). Parmi les victimes, on compte trois Belges, six travailleurs étrangers (deux Italiens, deux Polonais, un Tchèque et un sujet français originaire du Maroc). En plus de ces neuf victimes civiles, il faut compter sept prisonniers allemands, du camp de Lodelinsart. » Qui sont ces prisonniers allemands ? Après la Libération, des milliers d'entre eux sont restés sur notre territoire et ont participé, au même titre que les mineurs belges, et italiens par la suite, à la « Bataille du charbon ». Cette vaste opération lancée, dès la fin de la Deuxième Guerre mondiale, par le gouvernement d'Union nationale. Privés de liberté au moment même où s'achevait le conflit, 60 000 de ces hommes ont été, en effet, cédés à la Belgique par le Commandement allié, en juillet 1945, au titre de « dommage de guerre ». Mis à la disposition de l'industrie charbonnière, afin de retrouver le plus rapidement possible la production d'avant-guerre pour relancer l'économie et relever le pays de ses ruines, la majorité a été directement affectée aux travaux d'extraction, tandis qu'une minorité fut occupée à la production des bois nécessaires au soutènement des galeries et des chantiers. Ils étaient répartis entre 38 camps de travail dont 32 étaient situés dans les bassins houillers, à proximité des sites de production, et 6 dans les Ardennes, à la lisière des forêts. Grâce à cet apport en main-d'œuvre, la production totale de charbon a pratiquement doublé, entre janvier ‘45 et janvier '46, avant de décroître. Comment ces prisonniers de guerre allemands ont-ils été traités ? En quoi peut-on dire qu'ils ont constitué ainsi l'avant-garde d'une armée de la paix au service d'une économie de marché ? Avec les Lumières de : Alain Forti, conservateur au Bois du Cazier, et Pierre Muller, directeur adjoint des collections au « War Heritage Institute ». Exposition : « Le charbon de la reconstruction » au Bois du Cazier. Sujets traités : Allemands, prisonniers, charbon, Libération, Deuxième Guerre mondiale, industrie Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on quitte la Wallonie pour faire escale à Gand, en 1815, avant la création de la Belgique. Alors que Napoléon s'évade de l'île d'Elbe et remonte vers Paris, Louis XVIII, lui, fuit la capitale et trouve refuge en Flandre. À son arrivée, un repas en particulier fait sensation : un festin d'huîtres dont on parlera longtemps. Un épisode qui a inspiré la nouvelle “Une histoire d'huîtres” à Nathalie Stalmans. Avec Fanny Cuisset, elles nous plongent dans un récit où l'Histoire flirte avec la légende — et où un roi hérite d'un drôle de surnom. Une histoire d'huîtres… à déguster parmi d'autres récits dans "Belgique", le recueil de nouvelles signé Nathalie Stalmans, publié chez Ker éditions. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les impôts sur la fortune — ces taxes qui frappent le patrimoine net d'un individu au-delà d'un certain seuil — ont connu un recul massif à travers le monde depuis les années 1990. Si dans les années 1980, une douzaine de pays de l'OCDE les appliquaient, ils ne sont plus qu'une poignée aujourd'hui (comme la Norvège ou l'Espagne). Pourquoi ce recul ?1. Un rendement fiscal jugé faibleL'un des arguments les plus fréquemment avancés est celui de la faible efficacité de l'impôt sur la fortune. En France, avant sa suppression en 2018, l'ISF ne représentait qu'environ 0,5 % des recettes fiscales de l'État. Dans d'autres pays, les coûts liés à la collecte (évaluation, contentieux, contrôles) étaient jugés disproportionnés par rapport aux sommes récoltées. Les patrimoines sont complexes à évaluer (immobilier, œuvres d'art, parts non cotées, etc.), ce qui rend leur taxation techniquement coûteuse.2. Un risque de fuite des capitauxUn autre argument majeur repose sur la fuite des contribuables fortunés. Les pays appliquant un impôt sur la fortune devenaient parfois moins attractifs fiscalement, ce qui incitait certains riches contribuables à délocaliser leur résidence fiscale. En France, par exemple, plusieurs études et rapports parlementaires ont documenté des départs de contribuables vers la Belgique, la Suisse ou le Royaume-Uni. Ce phénomène — réel ou anticipé — a joué un rôle important dans les décisions politiques de suppression.3. Des effets négatifs sur l'investissementCertains économistes et responsables politiques ont souligné que l'impôt sur la fortune pouvait dissuader l'investissement productif, notamment lorsqu'il concernait des actifs comme des entreprises familiales ou des biens professionnels. En frappant le capital, y compris non liquide, cet impôt pouvait forcer certains contribuables à vendre des actifs pour le payer, nuisant à la stabilité des entreprises.4. Une pression fiscale déjà élevée par ailleursDans plusieurs pays, les fortunes sont déjà indirectement taxées via d'autres dispositifs : impôt sur les plus-values, sur les successions, sur les revenus du capital, taxes foncières… Dès lors, les gouvernements ont estimé que rajouter une couche avec l'impôt sur la fortune relevait d'une forme de double imposition peu justifiable.5. Un tournant idéologique et politiqueDepuis les années 1980, le monde occidental a connu un tournant vers des politiques plus libérales, axées sur l'attractivité, la compétitivité fiscale et la limitation des charges sur le capital. L'impôt sur la fortune, souvent perçu comme symbolique mais peu efficace, est ainsi devenu politiquement impopulaire, même à gauche dans certains pays.En France, l'Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) a été supprimé en 2018 sous la présidence d'Emmanuel Macron, et remplacé par l'Impôt sur la fortune immobilière (IFI). L'ISF ne rapportait qu'environ 5 milliards d'euros par an, et ses détracteurs estimaient qu'il nuisait à l'investissement et encourageait l'exil fiscal. Le nouvel impôt (IFI) se concentre uniquement sur les actifs immobiliers, laissant de côté les capitaux financiers. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée !Olivier Delacroix part en Belgique à la rencontre de René, Carine et de leur fille Laura. Leur vie a basculé le jour où trois individus se sont infiltrés chez eux en pleine nuit pour leur soutirer de l'argent… En 2016, René est gérant de banque depuis 30 ans. Le soir du 25 novembre, alors qu'il rentre chez lui et que sa femme et sa fille sont couchés, trois individus armés surgissent de son jardin. Les assaillants le retiennent alors dans son propre salon : ils souhaitent que René les conduise à sa banque afin de dérober l'argent. L'agence ne pouvant ouvrir ses portes avant 7h, René reste alors avec ses malfaiteurs sur le parking pendant cinq longues heures. Puis, le père de famille est missionné pour entrer à l'intérieur de sa banque. Lorsqu'il en sort avec l'argent, René craint pour sa vie et celle de sa famille… René et Carine ont accepté de confier leur histoire dans cet épisode du podcast « Dans les yeux d'Olivier », produit par Europe 1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2001, Alisson Cambier, une jeune fille de 15 ans, meurt sous les coups de couteau de Thierry Jaradin. Cet homme de 24 ans dit s'être inspiré du meurtrier des films «Scream», orchestrant ainsi de manière très méthodique la fin tragique de celle dont il se disait éperdument amoureux."Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Sylvie Chevalier et Sophie Gillet. Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Johanna LalondeAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Il a refusé de se présenter devant les députés de la commission d'enquête sur “l'organisation des élections en France”. L'homme d'affaires français Pierre-Edouard Stérin, créateur de la Smartbox, était convoqué à l'Assemblée pour être interrogé au sujet de son "projet Périclès". Révélé en juillet 2024 par le journal l'Humanité, ce plan multidimensionnel a pour but de faire arriver au pouvoir une force politique de droite conservatrice et catholique. Pour y parvenir le milliardaire, 94ème plus grosse fortune de France selon un classement du magazine Challenges remontant au mois de juillet 2024, a prévu une enveloppe d'au moins 150 millions d'euros. Dans cet épisode de Sur le Fil nous vous proposons d'en apprendre un peu plus sur ce Français “exilé fiscal” en Belgique qui veut s'impliquer dans la vie politique et électorale française. Pour en parler Sur le Fil a invité Olivia Leboyer docteure en Sciences Politiques et enseignante à Sciences Po et Paul Aubriat, journaliste chargé de l'extrême droite au service politique de l'AFP.Réalisation : Camille Buonanno Présentation : Michaëla Cancela-KiefferAutres enregistrements : AFPTVSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Charles Gorintin est le cofondateur d'Alan, le partenaire santé nouvelle génération.Après des études à l'École nationale des ponts et chaussées, à l'École normale supérieure et à l'université de Berkeley, il entame sa carrière dans la Silicon Valley, près de San Francisco.Data scientist chez Facebook, Instagram puis Twitter, il y a notamment dirigé la lutte contre les bots et les faux profils.En 2016, il revient en France pour cofonder Alan aux côtés de son ancien camarade Jean-Charles Samuelian-Werve, qui avait déjà créé puis revendu une entreprise dans l'aéronautique.À l'époque, aucune assurance n'avait été créée en France depuis 30 ans, et beaucoup leur prédisaient l'échec.Qu'à cela ne tienne, ils lèvent des fonds et recrutent une équipe de 8 personnes.Six mois plus tard, ils obtiennent l'agrément leur permettant de commercialiser des complémentaires santé.Charles et Jean-Charles s'appuient sur la réglementation comme un cadre pour innover, tout en remettant en question certaines règles qu'ils jugent dépassées ou incohérentes.Petit à petit, ils se font une place dans un secteur jusque-là figé.Pour y parvenir, ils internalisent tous les métiers de l'assurance, de la gestion du risque au traitement des sinistres en passant par la distribution, sans intermédiaires ni courtiers.Alan propose également des services de santé directs via une clinique virtuelle et un assistant médical augmenté par l'IA, tout en incitant ses membres à pratiquer du sport pour rester en bonne santé.Aujourd'hui, Alan compte 700 000 adhérents issus de 30 000 entreprises réparties en France, en Espagne, en Belgique et au Canada.Dès le début, Charles Gorintin fait le choix d'internaliser toute la technologie.En 2022, Alan opère un tournant stratégique et mise sur l'intelligence artificielle.Mais Charles réalise vite que toutes les briques utilisées viennent d'OpenAI.Pour créer une alternative européenne, Alan décide alors de développer son propre modèle d'IA générative.Charles mène une stratégie ambitieuse : lever des fonds et s'entourer des meilleurs talents, dont Arthur Mensch, Guillaume Lample et Timothée Lacroix.En 2023, ils fondent ensemble Mistral AI.En quelques mois, le succès est au rendez-vous.Bonne écoute !===========================
Eddy Merckx, surnommé "le Cannibale", est sans conteste l'une des figures les plus emblématiques du cyclisme. Né le 17 juin 1945 en Belgique, il a fêté ses 80 ans cette semaine. L'icone du plat pays possède un palmarès à ce jour inégalé. Prêt à plonger dans l'univers fascinant de cet athlète hors du commun ? On ecoute le plus Belge de l equipe de SBS, Francois Vantomme.
Tout a commencé à bord du Princesse Marie-Astrid, un bateau ancré dans la Moselle, à Schengen, petite ville luxembourgeoise située à la frontière avec la France et l'Allemagne. Lieu symbolique pour la signature, le 14 juin 1985, d'un accord de libre circulation entre la France, l'Allemagne (de l'Ouest, à l'époque), la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg. L'accord de Schengen introduit donc la fin des frontières intérieures et va jouer un rôle déterminant dans la construction européenne. Quarante ans plus tard, l'espace Schengen compte désormais 29 membres : 25 des 27 pays de l'Union européenne et quatre États associés (Norvège, Suisse, Islande, Liechtenstein). Plus de 400 millions de citoyens peuvent, théoriquement, circuler librement, pour le travail ou le tourisme, sans contrôle systématique aux frontières. Mais les défis sécuritaires et migratoires préoccupent de plus en plus de pays, à tel point que l'essence même d'une telle organisation est sans cesse questionnée. Invitées : Stéfanie Buzmaniuk, directrice de recherche, chargée du développement à la Fondation Robert-Schuman Marie-Laure Basilien-Gainche, professeure de droit public à l'Université Jean-Moulin-Lyon-III, membre de l'Institut Convergences Migrations. À lire aussiAccords de Schengen : 40 ans de libre circulation des personnes en Europe
Geneviève Lhermitte a sans doute le pire des crimes...A l'hiver 2007, dans une petite ville de Belgique, cette femme a égorgé ses cinq enfants, âgés de trois à quatorze ans. Les uns après les autres. Méthodiquement. En l'absence de son mari. La mère de famille n'était pas une femme abandonnée, ne manquait de rien, ne souffrait d'aucune pathologique apparente mais dissimulait une profonde névrose. Les enquêteurs, les médecins, les psychiatres vont se pencher sur le cas Lhermitte. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Geneviève Lhermitte a sans doute commis le pire des crimes...A l'hiver 2007, dans une petite ville de Belgique, cette femme a égorgé ses cinq enfants, âgés de trois à quatorze ans. Les uns après les autres. Méthodiquement. En l'absence de son mari. La mère de famille n'était pas une femme abandonnée, ne manquait de rien, ne souffrait d'aucune pathologique apparente mais dissimulait une profonde névrose. Les enquêteurs, les médecins, les psychiatres vont se pencher sur le cas Lhermitte. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus de 700 morts et 42.000 blessés chaque année : c'est le triste bilan des routes belges. Entre les délits de fuite, l'alcool au volant, les conducteurs sans permis, les récidives... Comment freiner ces excès ? Et surtout, comment éviter de nouveaux drames ? Parce qu'au-delà des statistiques, il y a des vies brisées, des victimes de la route qui, pour certaines, gardent des séquelles à vie. "Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Jean-Michel Dehon et Emmanuel Allaer.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Johanna LalondeAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Plus de 700 morts et 42.000 blessés chaque année : c'est le triste bilan des routes belges. Entre les délits de fuite, l'alcool au volant, les conducteurs sans permis, les récidives... Comment freiner ces excès ? Et surtout, comment éviter de nouveaux drames ? Parce qu'au-delà des statistiques, il y a des vies brisées, des victimes de la route qui, pour certaines, gardent des séquelles à vie. "Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Jean-Michel Dehon et Emmanuel Allaer.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Johanna LalondeAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C'était le 17 janvier 1961, rappelle Le Monde Afrique, « Patrice Lumumba, devenu Premier ministre l'année précédente après la proclamation de l'indépendance du Congo, était fusillé au Katanga par des séparatistes katangais et des policiers, en présence d'officiels de l'armée belge. Il avait 35 ans. Quelques semaines après son entrée en fonction sous la présidence de Joseph Kasa-Vubu, il avait été victime d'un coup d'État fomenté par Joseph-Désiré Mobutu, qui allait devenir président du Congo de 1965 à 1997 ». 64 ans après, donc, pointe Le Monde Afrique, « c'est l'une des figures majeures du monde des affaires et du gotha belges qui est mise en cause pour sa possible participation à cet épisode tragique de la décolonisation du Congo. Le comte Etienne Davignon, 92 ans, pourrait être renvoyé devant un tribunal correctionnel si la chambre du conseil de Bruxelles suit, en janvier 2026, les réquisitions rendues publiques avant-hier par le parquet fédéral. Celui-ci considère que l'ex-diplomate pourrait être impliqué dans la mort de l'ancien premier chef de gouvernement du Congo, en 1961. Le ministère public demande son renvoi pour “détention et transfert illicite“ de Patrice Lumumba au moment où il avait été fait prisonnier, et pour “traitements humiliants et dégradants“. L'incrimination d'“intention de tuer“ n'a, en revanche, pas été retenue ». Le dernier témoin ou acteur ? « Étienne Davignon, précise Jeune Afrique, ancien diplomate, ministre d'État, homme d'affaires et vice-président de la Commission européenne est la seule personnalité encore en vie, parmi les dix visées par la plainte initiale. Âgé de 28 ans au moment de l'assassinat de Lumumba, Davignon était à l'époque diplomate stagiaire, envoyé dans la zone congolaise par le ministère belge des Affaires étrangères. Au cours des différentes auditions, il a toujours réfuté la thèse selon laquelle les autorités belges auraient été impliquées dans l'assassinat de Lumumba ». Pourtant, rappelle Jeune Afrique, « une commission d'enquête parlementaire belge avait conclu en 2001 que “certains membres du gouvernement belge et d'autres acteurs belges avaient une responsabilité morale dans les circonstances ayant mené à la mort“ du héros congolais ». Et pour sa part, pointe Le Monde Afrique, « le Premier ministre belge en 2022, Alexander De Croo avait fait sienne l'idée de la “responsabilité morale“ de dirigeants belges et avait présenté des “excuses“ au nom de son pays. Il avait dénoncé ceux qui avaient préféré “ne pas voir, ne pas agir“ ». Briser les silences ? Alors va-t-on « vers un procès public en Belgique ? », s'interroge Actualité CD à Kinshasa. Peut-être… On le saura en janvier prochain si la justice belge suit les réquisitions du parquet fédéral. En attendant, relève le site d'information congolais, « la famille de Patrice Lumumba a salué la demande de renvoi devant le tribunal correctionnel de Bruxelles d'Étienne Davignon. (…) “Il s'agit d'un moment historique“, affirment ses proches. Pour la première fois, en effet, pointe Actualité CD, des faits liés à l'assassinat d'un dirigeant africain par une ancienne puissance coloniale pourraient être examinés publiquement devant une juridiction répressive. La famille espère que ce procès permettra de “briser les silences“, d'identifier les responsabilités et de susciter un débat public sur la mort de Lumumba, mais aussi sur les séquelles du passé colonial. Elle affirme ne rechercher ni compensation financière, ni revanche, mais seulement la vérité et la justice ». Des réponses ? « 64 ans après, un petit pas vers la justice historique », s'exclame Aujourd'hui à Ouagadougou. « Un survivant va peut-être être jugé pour cette disparition. Etienne Davignon confirmera-t-il que Patrice Lumumba a été exfiltré vers le Katanga où il a été fusillé avant que son corps ne soit dissous dans de l'acide ? Des sicaires de l'armée zaïroise, la sûreté belge, la CIA et l'incontournable Jacques Foccart (le monsieur France-Afrique) sont-ils vraiment mêlés à cet assassinat ? Nonagénaire, donc avec une mémoire forcément défaillante, Etienne Davignon se remémore-t-il vraiment ce qui s'est passé, s'interroge encore Aujourd'hui, si tant est qu'il soit mêlé à cette sordide affaire d'État ? » Réponse peut-être dans quelques mois…
durée : 00:34:22 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Alain Lewkowicz - Détenu à la prison de Charleroi en Belgique pour une nouvelle escroquerie, Alain Jollois décide de téléphoner à Alain Lewkowicz qui enquête sur lui depuis deux ans. Est-il prêt à dire la moindre vérité ? À jouer carte sur table ? Ou bien le mythomane en profite-t-il pour créer un nouveau scénario ? - réalisation : Sylvain Richard, Eric Lancien
Nous sommes le 17 novembre 1858. Dans le journal « L'Emancipation », fondé vingt-huit ans plus tôt par le liégeois Adolphe Bayet, opposant sous le régime hollandais, l'un des premiers à embrasser la cause de la Révolution de 1830, journal passé aux mains des frères Briavoinne, des Parisiens, on peut lire ceci : « Que vous dirais-je de la cuisine belge, sinon qu'elle est de l'école fantaisiste comme la cuisine allemande ; et que, très recommandable sous le rapport de l'abondance et de la qualité des mets, elle se livre à de déplorables écarts de soupe aux céleris, de potage au vin, de saucisses sucrées et de gigot aux pruneaux. Mais, somme toute, on mange fort bien, et l'on boit encore mieux en Belgique (…). Le Belge est certainement le plus beau mangeur de l'Europe : des exploits gastronomiques, qui seraient regardés en France comme actes de gloutonnerie, sont considérés en Belgique comme œuvre méritoire. Chaque province, je pourrais même dire chaque ville, a sa société de mangeurs, où l'on donne des prix (une dent d'or ou d'argent) à l'hercule-gastronome qui a absorbé la plus grande quantité de victuailles dans un temps donné ». Retenons donc que l'on mange et que l'on boit fort bien en Belgique. Et pourtant qu'aurait-on constaté si nous avions fait partie des invités, triés sur le volet, mais nous l'aurions mérité, de la grande fête d'inauguration du nouveau pont de Boom, dans la province d'Anvers, un pont de métal, ce qui est innovant pour l'époque, assurant la liaison permanente entre les deux rives du Rupel, un affluent de l'Escaut ? La compagnie est de haute volée puisque l'on note la présence de leurs Altesses Royales le duc de Brabant, futur Léopold II, et le comte de Flandre . Il y a de la pompe et le soir a lieu un banquet somptueux préparé par le cuisinier bruxellois Alphonse Dubos, surnommé le « roi de la cuisine belge », c'est vous dire. Mais que nous propose-t-il à becqueter ? Un trentaine de plats qui, excepté les huitres d'Ostende et un turbot à la hollandaise, appartiennent tous à la grande histoire de la cuisine … française ! Alors pourquoi tant de mépris pour la tradition belge ? N'y a-t-il rien qui vaille dans nos casseroles ? Revenons, aujourd'hui, sur la LENTE reconnaissance de notre patrimoine culinaire. Avec les Lumières de Pierre Leclercq, historien de l'alimentation, collaborateur scientifique à l'ULG, responsable du Petit Lancelot qui nous propose des repas-conférences où la gastronomie se mêle à la découverte culturelle. Sujets traités : Cuisine, belge, Adolphe Bayet, soupe céleris, potage, vin, saucisses, gigot ,pruneaux, turbot , tradition, gastronomie Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Protéger, surveiller, accompagner, placer : ce sont les missions quotidiennes de Françoise Mainil, juge au tribunal de la famille et de la jeunesse. Elle se pose une question essentielle : comment peut-elle vraiment aider ces milliers de jeunes qui passent aujourd'hui sous les radars de la protection de la jeunesse?"Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Jean-Michel et Alain Vaessen.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Protéger, surveiller, accompagner, placer : ce sont les missions quotidiennes de Françoise Mainil, juge au tribunal de la famille et de la jeunesse. Elle se pose une question essentielle : comment peut-elle vraiment aider ces milliers de jeunes qui passent aujourd'hui sous les radars de la protection de la jeunesse?"Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Jean-Michel et Alain Vaessen.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Retour en 1984, le week-end de Pâques. Dans un petit village reculé de la province de Luxembourg, un événement un peu inattendu voit le jour : la naissance du tout premier village du livre en Belgique, à Redu. Des livres partout, dans les rues, les granges, les anciennes étables, ou encore installés sur des étals improvisés pour l'occasion. Et c'est un vrai succès : pas moins de 15.000 visiteurs déambulent ce week-end-là à travers le village, curieux de chiner des ouvrages rares ou d'occasion. Mais Redu ne vit pas que dans les souvenirs ! Le village du livre est toujours bien vivant : ses librairies, ses artisans passionnés, sont là pour accueillir les visiteurs. Et cet été, une exposition insolite vous y attend : une rencontre inattendue entre deux mondes – le vitrail et la bande dessinée, dans laquelle es héros de la BD franco-belge deviennent des vitraux lumineux, à découvrir jusqu'au 31 août. Et notez-le déjà : le 2 août 2025, c'est la Nuit du Livre à Redu. Une belle occasion, parmi d'autres, de redécouvrir ce village unique et sa passion intacte pour les livres. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Récemment, vous avez proposé deux leçons concernant les différences entre le français de France et celui du Québec. Pourriez-vous aussi en proposer une sur les belgicismes ?, suggère Frédo, de Namur. Elle devrait durer plus de nonante secondes."Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.