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Chaque matin à 8h10 sur Chérie FM, Tiffany vous dévoile le chiffre qui fait l''actualité !
Un podcast court qui en dit long ! Découvrez la nouvelle invitée du Podcast VOUS AVEZ 2 MINUTES ? initié par Brigitte Patient et Patrick Delat. Cette seconde semaine est consacrée à le photojournaliste Ed Alcock. Chaque jour, découvrez un épisode inédit de 2 minutes !
L'essentiel des nouvelles le 17 novembre 2025 --- Avez-vous une assurance vie? Comparez vos options d'assurance vie, et obtenez rapidement des soumissions:https://www.clicassure.com/assurance-vie?code=INFOBREF --- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir chaque jour InfoBref Matin, la version écrite de ce bulletin audio): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Racontez-nous la dernière fois où vous avez été raisonnable !
Avez-vous déjà eu le sentiment de vous débattre avec la vie, voire carrément de vous taper la tête contre les murs ? Cette difficulté, si commune de nos jours, pourrait sembler d'ordre psychologique. Elle est en fait liée à une conception invisible et erronée de ce que nous sommes. J'en parle avec Denis Marquet.Le dernier livre de Denis : https://editions.flammarion.com/la-priere-ou-lart-de-recevoir/9782080412157Mon site : https://www.fabricemidal.comFacebook Fabrice Midal : https://www.facebook.com/FabriceMidalFacebook du podcast Dialogues : https://www.facebook.com/dialogues.fmInstagram Fabrice Midal : https://www.instagram.com/fabricemidalInstagram du podcast Dialogues : https://www.instagram.com/fabricemidal_dialogues/Tiktok : https://www.tiktok.com/@fabricemidalMes trois chaînes YouTube :Mes vidéos : https://www.youtube.com/@fabricemidal1Les Dialogues : https://www.youtube.com/@dialoguesfmLes méditations guidées : https://www.youtube.com/@mediteravecfabricemidalMes podcasts :Le podcast de Fabrice Midal (toutes mes vidéos en version audio) :
Un podcast court qui en dit long ! Découvrez la nouvelle invitée du Podcast VOUS AVEZ 2 MINUTES ? initié par Brigitte Patient et Patrick Delat. Cette seconde semaine est consacrée à la photographe Dana Cojbuc. Chaque jour, découvrez un épisode inédit de 2 minutes !
Dans cet épisode, je plonge dans le concept du droit à l'erreur et comment l'accepter peut transformer votre vie professionnelle. Voici quelques points forts que vous ne pouvez pas, selon moi, négliger :✅ L'importance des erreurs : Découvrez pourquoi tomber 2000 fois avant de commencer à marcher n'est pas une métaphore, mais une réalité neurologique.✅ Erreurs et progression : Apprenez pourquoi chaque erreur est une étape vers l'amélioration et l'excellence.✅ Gérer les grosses erreurs : Des stratégies pratiques pour reconnaître, comprendre et corriger les erreurs sans les cacher ou les nier.✅ Dialogue ouvert sur les erreurs : Comment parler de vos erreurs peut non seulement vous aider mais aussi enrichir toute votre équipe.✅ Exemples inspirants : Des entreprises qui célèbrent les erreurs avec des "Journées de la loose", encourageant le partage et l'apprentissage collectif.En tant que manager pendant plus de 20 ans, j'ai appris que l'authenticité et la transparence dans la gestion des erreurs sont des qualités essentielles pour un leadership efficace.Alors, comment gérez-vous vos erreurs ? Avez-vous des expériences de grandes boulettes qui vous ont finalement servi ? Partagez vos histoires dans les commentaires ! Vos retours sont précieux et pourraient bien inspirer les prochains épisodes de notre podcast.
Un podcast court qui en dit long ! Découvrez la nouvelle invitée du Podcast VOUS AVEZ 2 MINUTES ? initié par Brigitte Patient et Patrick Delat. Cette seconde semaine est consacrée à la photographe Dana Cojbuc. Chaque jour, découvrez un épisode inédit de 2 minutes !
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
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Vous pourriez bientôt participer à une demande de recours collectif si vous avez acheté chez certains restaurateurs en ligne. Il s'avère que les prix affichés lors de magasinage de votre panier sont bien en deçà du prix réel que vous payerez. Entrevue avec Me Sébastien A. Paquette, avocat au cabinet SP. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Avez-vous chez vous une pile de livres à lire par peur du manque et sans toujours les lire ?
durée : 00:26:54 - Bienvenue chez vous, l'invité - Écoutez Mickaël Bacconnier, psychiatre et médecin du sommeil, nous explique comment mieux comprendre notre sommeil, identifier les troubles courants comme l'insomnie et l'apnée, et découvrir des solutions adaptées. Il livre également des conseils pratiques pour améliorer la qualité de vos nuits. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Je prends acte de ce geste d'humanité du président Tebboune et l'en remercie », a déclaré hier Emmanuel Macron, après la libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal par les autorités algériennes. « Avec l'Algérie, le bras de fer ne fonctionne pas », a ajouté l'un des conseillers du Président français. Est-ce à dire que le départ du gouvernement français de Bruno Retailleau, qui prônait la fermeté avec Alger, a facilité les choses ? L'écrivain franco-algérien Kamel Bencheikh, qui est l'un des membres fondateurs du comité de soutien à Boualem Sansal, témoigne au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Quelle est votre réaction à la libération de Boualem Sansal ? Kamel Bencheikh : Vous vous doutez que je saute au plafond, que c'est une joie incommensurable. Lorsque je l'ai appris, d'abord, je ne m'y attendais pas du tout. Parce qu'on s'est attendu à sa libération pendant l'Aïd el-Kébir, puis pour le 5 juillet, fête de la libération de l'Algérie. On a été déçus et chat échaudé craint l'eau froide. Je ne m'y attendais pas et je n'espérais plus rien. Tout de même, il y a quelques jours, sur France Inter, le patron de la DGSE, les services français de renseignement extérieurs, Nicolas Lerner, déclarait : « Il y a des signaux venant d'Alger en faveur d'une reprise du dialogue. J'espère qu'il y aura libération de nos deux compatriotes, Boualem Sansal et Christophe Gleizes. » Je l'ai écouté et nous espérions tous. Mais connaissant le pouvoir d'Alger et le régime d'Alger, je me suis dit que, à moins qu'il soit grièvement malade, ils ne le lâcheront pas. Je pense que ce n'est pas un geste de clémence. C'est parce qu'il est malade qu'ils voulaient se débarrasser de lui. Apparemment, l'Allemagne et son président Frank-Walter Steinmeier ont joué un grand rôle, non ? Certainement. Parce que, entre l'Allemagne et l'Algérie, il y a des relations fortes dans le domaine économique. Il ne faut pas se le cacher, le président Abdelmadjid Tebboune a l'habitude d'aller se faire soigner en Allemagne. Il l'a fait l'année dernière et il y a deux ans. Cette médiation allemande, en aviez-vous déjà eu connaissance ces derniers mois ? Non, pas du tout. C'est une surprise pour moi. Sans être une surprise, parce que Boualem Sansal est très connu en Allemagne. Il a eu le Grand Prix des libraires allemands pour l'ensemble de son œuvre. Il avait l'habitude d'aller faire des conférences pour les ambassadeurs allemands à l'étranger. C'est là-bas qu'il a écrit son livre Gouverner au nom d'Allah. Il a été reçu deux ou trois fois par l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel. On peut donc imaginer qu'Emmanuel Macron a demandé à Frank-Walter Steinmeier de faire une démarche auprès d'Alger ? Je ne l'imagine pas et je n'imagine rien parce que maintenant que Boualem Sansal est arrivé à Berlin, tout le monde va dire : « C'est grâce à moi. » Moi, je ne le sais pas, je ne suis pas au courant. Tout ce que je sais, c'est qu'on a essayé de contacter la présidence française qui n'a jamais réagi. Que les deux filles de Boualem Sansal, Sabira et Naouel, ont écrit dans Le Figaro une lettre ouverte au président Macron à laquelle il n'a jamais répondu. Cela nous a déçu. Du côté des Français, on avait remarqué ces derniers mois qu'il y avait deux lignes sur la question algérienne : la ligne de fermeté, incarnée par le ministre de l'Intérieur de l'époque, Bruno Retailleau ; et la ligne modérée, incarnée par le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Avez-vous senti la même chose ? Bien évidemment. On dirait que ce sont des ministres des deux gouvernements différents. Jean-Noël Barrot en est même arrivé à taper sur le comité de soutien et en particulier sur Xavier Driencourt, l'ancien ambassadeur de France en Algérie, en le traitant de tous les noms et en le traitant de militant d'extrême droite. Alors que Bruno Retailleau tenait la ligne dure vis-à-vis de l'Algérie et je pense que l'Algérie l'a humilié. Ne serait-ce qu'en n'acceptant pas les obligations de quitter le territoire français (OQTF). N'est-ce pas le départ du gouvernement de Bruno Retailleau qui a facilité l'issue favorable à Boualem Sansal ? Je n'y crois pas. D'abord, c'est parce que le président allemand l'a demandé et l'Allemagne est un partenaire important pour l'Algérie. Deuxièmement, je suis sûr – on le saura dans les prochaines heures, sinon dans les prochains jours –, que les examens de santé que demandait Boualem Sansal devaient être faits en Occident. Je pense qu'ils ne pouvaient pas le laisser mourir chez eux parce que le monde entier aurait réagi. Donc, pour vous, le moment de la libération de Boualem Sansal, c'est d'abord un moment médical ? Médical, oui. Une année, cela suffit. En gardant Boualem Sansal pendant une année, le pouvoir algérien, le régime algérien, a montré non seulement au monde qu'il était « souverain », mais surtout aux opposants que nul n'est à l'abri d'une arrestation. Boualem Sansal n'était-il pas l'otage d'une crise politique entre Alger et Paris ? Sa libération n'est-elle pas le signe que cela va mieux entre les deux pays ? Ce n'est pas ma lecture. Ma lecture, c'est que Boualem Sansal a été arrêté parce que les islamistes se sont sentis forts en Algérie. Ils lui en voulaient terriblement. Le jour où il a dérapé, dans le média Frontières, en parlant des frontières algéro-marocaines, c'était l'occasion ou jamais pour obliger le président et le pouvoir algérien à l'arrêter. Tout de même, le président Abdelmadjid Tebboune n'envoie-t-il pas un message d'apaisement à Paris par l'intermédiaire de cette grâce à l'égard de Boualem Sansal ? Cela aurait été le cas s'il avait été libéré à la demande de Paris. Ce n'est pas le cas. Mais le résultat est le même. Le résultat est le même et nous sommes heureux. Boualem Sansal arrive en Allemagne et d'ici à quelques jours, il sera probablement parmi les siens, y compris en France ? Bien sûr, nous l'attendons de pied ferme. Mais je ne suis pas sûr que c'est pour faire plaisir au gouvernement français qu'il a été libéré. C'est même l'inverse. Ils ont résisté à toutes les demandes françaises pendant une année. Il y a Boualem Sansal et puis il y a un autre ressortissant français, le journaliste Christophe Gleizes, qui a été condamné au mois de juin dernier à sept ans de prison. Comment voyez-vous sa situation aujourd'hui ? Il faut absolument qu'il en sorte. Mais au-delà de Boualem Sansal et de Christophe Gleizes, il y a des centaines de prisonniers politiques qui sont dans les prisons algériennes. Maintenant que nous avons eu le bonheur d'avoir le retour de Boualem Sansal, il faudrait que nous ne lâchions pas concernant Christophe Gleizes. Il faut absolument que l'on commente, que l'on se batte pour qu'il nous revienne. Son procès en appel est prévu dans quelques semaines, début décembre, à Alger. Êtes-vous optimiste ? Je ne suis ni optimiste ni pessimiste parce que les réactions algériennes sont très improbables. C'est là où l'on verra justement si le pouvoir algérien veut faire plaisir à la France, puisque cela ne passera pas par l'Allemagne, cette fois-ci. Ce que vous dites, c'est qu'avec le sort à venir de Christophe Gleizes, on saura si, oui ou non, il y a un apaisement entre Alger et Paris ? C'est exactement ce que je veux dire. Mais en tout cas, ce que vous souhaitez, c'est la libération de Christophe Gleizes également. Oui, qu'il revienne vers sa famille, vers son pays, à son métier. À lire aussiLibération de Boualem Sansal par l'Algérie: la diplomatie française en question
Un podcast court qui en dit long ! Découvrez la nouvelle invitée du Podcast VOUS AVEZ 2 MINUTES ? initié par Brigitte Patient et Patrick Delat. Cette seconde semaine est consacrée à la photographe Dana Cojbuc. Chaque jour, découvrez un épisode inédit de 2 minutes !
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 12 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avez-vous déjà entendu l'expression « le Grand Paris », c'est le projet de métropole qui change nos vies autour de Paris. Il faut penser Paris au-delà du périphérique : découvrir une autre vie culturelle, de nouvelles balades, de nouveaux horizons. Il y a aussi le Grand Paris Express, le nouveau métro qui va faire le tour de Paris en passant par la banlieue. Nous aurons une gare de ce nouveau métro à côté de chez nous. En attendant, voici un peu de notre vie dans le Grand Paris, alors que l'hiver s'installe. Dans les notes qui accompagnent cet épisode, il y aura des notes culturelles, des photos et des tournures de phrases utiles à remarquer et à garder en mémoire parce qu'elles sont naturelles en français. Pour recevoir la lettre et les notes, vous pouvez vous abonner sur www.cultivateyourfrench.com L'abonnement est à 4 euros par mois, les textes et leurs notes vous sont envoyés par email à chaque fois qu'un épisode est mis en ligne. En vous abonnant, vous recevez automatiquement les dix derniers épisodes avec notes du podcast. Si suivre ce podcast est facile pour vous, je vous invite à écouter One Thing In A French Day ! Mon podcast « à vitesse normale ».
« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat : « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR
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L'une des témoins du jour habite à la frontière espagnole. Cela a donné une bonne idée à Julien Courbet : entamer une discussion en espagnol. Une tentative qui a très vite viré au fiasco... Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:45:09 - Bienvenue chez vous : à la une Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Parce que… c'est l'épisode 0x661! Shameless plug 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 14 au 17 avril 2026 - Botconf 2026 28 et 29 avril 2026 - Cybereco Cyberconférence 2026 9 au 17 mai 2026 - NorthSec 2026 3 au 5 juin 2025 - SSTIC 2026 Description Dans cet épisode spécial consacré aux petites et moyennes entreprises, Cyndie Feltz, Nicholas Milot et Dominique Derrier abordent l'un des sujets les plus redoutés par les entrepreneurs : les formulaires de sécurité informatique. Ces documents, souvent exigés par les grandes entreprises ou les assureurs pour établir des relations commerciales, représentent un véritable casse-tête pour les PME qui ne possèdent pas de certifications reconnues. Les invités partagent leur expérience et offrent des conseils pratiques pour naviguer dans cet univers complexe. Un cauchemar universel Dès le début de la conversation, le ton est donné avec humour mais réalisme : même pour des experts en sécurité informatique, la vue d'un de ces formulaires donne envie de changer de métier. Les participants tiennent à rassurer les entrepreneurs en leur confirmant qu'il est tout à fait normal de trouver ces documents épuisants et frustrants. La complexité de ces formulaires ne reflète pas l'incompétence de ceux qui doivent les remplir, mais plutôt un problème systémique dans la manière dont ils sont conçus. Le principal défi réside dans le fait que ces formulaires ne se ressemblent jamais et ne sont basés sur aucune référence standardisée. Chaque client ou assureur développe son propre questionnaire, ce qui oblige les PME à tout recommencer à zéro à chaque fois, sans pouvoir réutiliser le travail effectué précédemment. Deux grandes catégories de formulaires Les experts identifient deux grandes familles de questionnaires. Premièrement, il y a les formulaires orientés vers la vente, que les entreprises doivent remplir pour répondre aux exigences de sécurité de leurs clients potentiels. Dans ce contexte, la pression commerciale est forte et il devient tentant de répondre favorablement à toutes les questions pour ne pas perdre un contrat. Deuxièmement, il existe les formulaires d'assurance cyber, qui présentent des enjeux différents et encore plus critiques, car les réponses peuvent avoir des conséquences directes sur la couverture en cas d'incident. Des critères parfois absurdes L'un des aspects les plus frustrants de ces formulaires est que certains critères sont tout simplement irréalistes ou dénués de sens. Les invités partagent l'exemple mémorable d'un appel d'offres gouvernemental qui exigeait un outil de scan capable de détecter les vulnérabilités futures. Ce critère éliminatoire était techniquement impossible à satisfaire, démontrant que les personnes qui rédigent ces formulaires ne sont pas toujours des experts techniques. Un autre problème majeur est le manque d'adaptation aux différentes tailles d'entreprise. Les mêmes formulaires sont souvent envoyés à des multinationales et à des compagnies de cinq personnes, avec des questions comme “Avez-vous un centre d'opérations de sécurité ?” Une PME de cinq employés ne devrait logiquement pas avoir besoin d'un tel centre, mais si la réponse négative est éliminatoire, cela crée une situation impossible. La tentation et ses dangers Face à ces formulaires complexes et parfois irréalistes, la tentation de mentir ou d'embellir la réalité est forte, particulièrement dans un contexte de vente où refuser de répondre positivement peut signifier perdre un contrat. Les invités admettent honnêtement que personne dans l'industrie ne peut prétendre n'avoir jamais répondu “oui, mais…” à une exigence qu'ils ne remplissaient pas exactement. Cependant, les experts insistent sur une distinction cruciale entre les formulaires de vente et ceux d'assurance. Pour les formulaires de vente, il peut être acceptable de répondre positivement en s'engageant à mettre en place les mesures requises après avoir signé le contrat. En revanche, pour les formulaires d'assurance, mentir est extrêmement dangereux. L'exemple frappant d'une ville en Ontario dont l'assureur a refusé de payer suite à un incident parce que l'authentification multifacteur n'était pas déployée comme déclaré illustre les conséquences désastreuses de fausses déclarations. L'enjeu financier des incidents Les participants rappellent qu'un incident de sécurité peut coûter cent mille dollars par jour, ce qui représente une somme catastrophique pour une moyenne entreprise et peut même mener à la fermeture pour une petite structure. Dans ce contexte, avoir une assurance cyber est crucial, mais elle ne sera d'aucune utilité si l'assureur peut prouver que les déclarations étaient mensongères. Les experts comparent la situation à l'assurance habitation : personne ne fait de feu de camp dans son salon en se disant que l'assurance couvrira les dégâts. De la même manière, l'assurance cyber ne devrait pas servir d'excuse pour négliger les mesures de sécurité de base. Des réponses de bonne foi mais erronées Un autre problème soulevé est celui des personnes qui répondent aux formulaires de bonne foi mais qui donnent des informations inexactes par manque de connaissance technique. Quelqu'un peut sincèrement croire que l'authentification multifacteur est correctement déployée dans son entreprise alors que la configuration n'est pas complète ou que certains produits n'ont jamais été testés. De plus, la situation peut évoluer entre le moment où le formulaire est rempli et la survenue d'un incident, par exemple si une licence n'a pas été renouvelée. Solutions et recommandations Face à ces défis, les experts proposent plusieurs pistes de solution. La première est de poser des questions lorsque c'est possible, particulièrement quand une relation existe avec le client potentiel. En cherchant à comprendre le besoin réel derrière la question, on découvre parfois que des solutions moins coûteuses ou différentes de ce qui était initialement imaginé peuvent satisfaire l'exigence. Se faire accompagner par un expert est également fortement recommandé. Un spécialiste peut aider à vulgariser le jargon technique, comprendre l'intention derrière chaque question et identifier si l'entreprise possède déjà des mesures équivalentes sous une forme différente. Par exemple, la question pourrait porter sur des protocoles spécifiques comme DKIM et SPF, mais l'intention réelle est de savoir si l'entreprise a mis en place une protection contre l'hameçonnage, ce qui peut être accompli par d'autres moyens comme la formation des employés ou des outils anti-spam. Pour les entreprises qui font face régulièrement à ces questionnaires, obtenir une certification de sécurité peut s'avérer rentable à long terme. Bien que coûteuse, une certification permet souvent de court-circuiter les longs formulaires ou d'obtenir une version simplifiée. En calculant le temps humain nécessaire pour répondre à de multiples questionnaires détaillés sur deux ou trois ans, l'investissement dans une certification peut se justifier financièrement. Les invités encouragent également les entrepreneurs à consulter leur réseau professionnel. D'autres PME ont certainement dû affronter les mêmes formulaires et peuvent partager leur expérience, leurs stratégies et leurs apprentissages. Un appel à l'amélioration En conclusion, les experts reconnaissent que malgré tous les problèmes identifiés, ces formulaires partent d'une bonne intention. Les grandes entreprises cherchent légitimement à se protéger en s'assurant que leurs fournisseurs ne représentent pas une porte d'entrée pour des cyberattaques. Le problème réside dans l'exécution et le manque de standardisation. Les participants encouragent les PME à également challenger leurs propres fournisseurs sur la sécurité, tout en évitant de créer des formulaires interminables qui ne seront même pas analysés en profondeur. L'appel final est à la compréhension mutuelle de l'intention derrière les questions, autant pour celui qui pose les questions que pour celui qui y répond, afin d'avancer ensemble vers un écosystème numérique plus sécuritaire. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Dominique Derrier Cyndie Feltz Nicholas Milot Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm
Dans cette leçon, vous apprendrez les phrases suivantes : Où se trouve le musée ? / Le musée est sur la gauche. / Savez-vous où sont mes clefs ? / Vos clefs sont sur la table. / Avez-vous vu mes lunettes ? / Vos lunettes sont sur la chaise. / Son bureau est dans le centre-ville.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 12 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un podcast court qui en dit long ! Découvrez la nouvelle invitée du Podcast VOUS AVEZ 2 MINUTES ? initié par Brigitte Patient et Patrick Delat. Cette seconde semaine est consacrée à la photographe Dana Cojbuc. Chaque jour, découvrez un épisode inédit de 2 minutes !
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Hello c'est margo ! J'espère que vous allez bien ? Cette semaine je suis de retour pour vous donner mon avis sur le drama coréen "Way Back Love". J'espère que l'épisode va vous plaire !
Avez-vous un malaise d’aller voir des personnalité publiques qui ont déjà été « annulées ». Tribune téléphonique avec Marie-France Bazzo, productrice. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
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Avez-vous l'impression de courir après le temps ?Journées trop courtes, trop de projets, trop de casquettes… et la sensation de ne jamais en faire assez ?Dans cette vidéo, je vous partage les 5 habitudes concrètes qui m'ont permis de :- Gagner des heures par jour- Arrêter de me disperser dans le multitasking- Être plus productif sans finir épuisé ou en burnout- Avancer sur mes projets tout en gardant une vraie vie perso
Avez-vous déjà entendu parler de la Sartidia perrieri ? C'est, ou plutôt, c'était une espèce d'herbe gracieuse d'une cinquantaine de centimètres qui se terminait par une jolie touffe gracile. Elle a été vue pour la dernière fois à Madagascar en 1914 à 1 900 mètres d'altitude dans une savane arborée près d'Antsirabe. Depuis, plus de nouvelles... (Rediffusion du 9 mai 2025) Les scientifiques l'ont pourtant cherchée, ils ont ratissé les collines et les montagnes malgaches, mais partout où elle aurait pu être, il y avait du bétail en train de brouter, des feux pour défricher ou des gens qui faisaient pousser du riz… La Sartidia perrieri a disparu et ne reviendra jamais. Ce n'est qu'une herbe, me direz-vous, mais il y a des centaines d'espèces végétales qui ont disparu à cause des activités humaines, or les plantes soutiennent toute la vie sur Terre. Un sanctuaire pour les espèces végétales menacées du monde entier à Brest On associe les espèces disparues au monde animal, beaucoup moins aux plantes. Pourtant, le changement climatique, les activités humaines ou l'urbanisation mettent en péril la biodiversité végétale. À Brest, dans l'ouest de la France, un conservatoire botanique s'est donné pour mission à sa création au début des années 1970 de sauvegarder les espèces menacées d'extinction. On trouve dans sa banque de graines 2 200 espèces menacées, venues de partout dans le monde, notamment des plus hauts lieux de biodiversité comme les îles Maurice, Madère, les Canaries, Juan Fernandez... Certaines plantes éteintes dans la nature ont pu être réintroduites grâce au savoir-faire pointu de l'établissement. Virginie de Rocquigny a pu visiter ce jardin unique au monde. Reportage. À lire aussiPlantes : disparition ? Action ! Les gardiens de la biodiversité en Colombie On les appelle semences traditionnelles, anciennes, créoles, natives ou locales. Les paysans ont su, au fil des siècles et des millénaires, les sélectionner pour les adapter aux maladies et aux climats locaux. En Colombie, comme dans plusieurs pays du monde, elles sont aujourd'hui menacées et n'assurent plus la souveraineté alimentaire du pays. Et c'est pour conserver la diversité exceptionnelle de ces variétés que se met en place un réseau national de semences avec l'appui de l'ONG Swissaid. L'objectif : recenser, valoriser et défendre les semences traditionnelles et les savoir-faire qui leur sont associés avec la création de 15 maisons des semences réparties dans tout le pays. Nous suivons Pierre Lefèvre qui est allé enquêter en Colombie. À lire aussiLes semences : un enjeu de souveraineté alimentaire !
Sur fond de différend culinaire avec son épouse, le Dr Cohen réalise une chronique abracadabrantesque sur le chocolat. Personne n'a rien compris et cela a donné naissance à une séquence légendaire, qui est à retrouver dans cet extrait ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Série “7 Jours, 7 Chakras” – Épisode 5 : Le Chakra de la Gorge (Vishuddha)Le lien de la plateforme gratuite pour accéder aux ressources du programme :https://preview.mailerlite.io/forms/1181199/169552010292495677/shareLa liste d'attente de la Formation Énergétique :https://dashboard.mailerlite.com/forms/1181199/138054905707365814/shareÊtes-vous conscient de l'impact de votre voix sur votre vie quotidienne ?Avez-vous déjà ressenti des blocages dans votre capacité à vous exprimer librement ?Dans ce cinquième épisode de la série 7 jours, 7 chakras, on explore le Vishuddha Chakra, plus connu sous le nom de chakra de la gorge — le centre énergétique de la communication, de la créativité et de l'authenticité.Je vous guide à travers les mystères de ce chakra essentiel, qui relie pensée, parole et vérité intérieure.Au programme de cet épisode :Rôle du Vishuddha Chakra : comprendre comment ce centre énergétique influence notre expression personnelle, notre communication consciente et nos relations sociales.Élément éther et planète Mercure : explorer les correspondances énergétiques qui nourrissent le chakra de la gorge et favorisent la clarté d'esprit.Fonctions physiques associées : découvrir l'impact du Vishuddha sur les voies respiratoires, la thyroïde, la bouche et les oreilles.Déséquilibres et symptômes : apprendre à reconnaître les signes d'un chakra bloqué, comme les maux de gorge, les troubles de la voix ou les difficultés à s'affirmer.Outils pratiques d'harmonisation : exercices de respiration (pranayama), postures de yoga, mantras et sons vibratoires pour équilibrer votre énergie.Mémoires karmiques et émotionnelles : comprendre comment les blocages familiaux ou les traumatismes passés peuvent affecter votre expression et comment les libérer.S'ouvrir au chakra de la gorge, c'est apprendre à écouter sa voix intérieure et à communiquer avec vérité et bienveillance.En harmonisant ce centre énergétique, vous développez votre créativité, votre confiance et votre authenticité dans vos relations et vos projets de vie.Écoutez dès maintenant “Vishuddha Chakra – La voix de la vérité”, et découvrez comment votre parole peut devenir un outil de transformation et de guérison énergétique.**********************************************Je suis Amba, énergéticienne, formatrice en énergétique, en cartomancie, et en médiumnité. J'accompagne depuis plusieurs années celles et ceux qui veulent intégrer la spiritualité dans leur vie, à travers mes formations professionnelles, mes accompagnements individuels et ce podcast qui rassemble aujourd'hui des centaines de contenus disponibles gratuitement !
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Sarah Saldmann, avocate. - Georges Fenech, ex magistrat. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Sarah Saldmann, avocate. - Georges Fenech, ex magistrat. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:17 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Le 1ᵉʳ novembre 2024, l'effondrement de l'auvent de la gare de Novi Sad faisait 16 morts. Cet évènement a immédiatement illustré la corruption du régime, une corruption qui tue. Depuis, les manifestations s'enchaînent, gagnent les campagnes et fragilisent le régime. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Amaël Cattaruzza géographe, professeur des universités à l'IFG (Institut Français de Géopolitique); Louis Seiller Correspondant dans les Balkans; Benjamin Couteau Chercheur au centre Grande Europe de l'Institut Jacques Delors
Avec : Carine Galli, journaliste. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
A 10h, ce vendredi 31 octobre 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de : En avez-vous ras-le-bol des politiques ?
Dans cet épisode solo, je vous lis ma newsletter (abonnez-vous ici) qui touche à un sujet à la fois personnel, politique et profondément humain : la capacité à penser contre soi-même.Je vous parle ici sans filtre, comme je le ferais à un ami proche. Ce texte est né d'un inconfort, d'une réflexion sur mes propres biais et sur notre incapacité collective à dialoguer sereinement. J'ai moi-même été tenté par la facilité de la disqualification, du blocage, de l'entre-soi idéologique. Et pourtant, j'en suis venu à cette conclusion difficile : notre démocratie ne survivra pas sans une forme de radicalité inversée – celle de l'écoute, du doute, de l'alliance improbable.Dans cet épisode, je m'interroge : pourquoi ne supportons-nous plus la contradiction ? Quel est le prix à payer pour préserver l'espace du désaccord ? Pourquoi devons-nous parfois désobéir à nos propres convictions pour défendre le bien commun ?C'est un épisode inconfortable, mais je crois essentiel. Parce que penser contre soi-même, c'est peut-être le seul moyen qu'il nous reste pour sauver notre capacité à vivre ensemble.5 citations marquantes"Nous sommes devenus les idiots utiles d'un système qui prospère sur notre division.""Le vrai clivage n'est plus entre gauche et droite, mais entre démocrates et autocrates.""Penser contre soi-même, c'est refuser le confort de la cohérence narrative.""Nous avons tous des angles morts, et la démocratie commence par les reconnaître.""La démocratie n'est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité."10 questions structurées posées dans l'épisodeA quel sacrifice seriez-vous prêt pour sauver la démocratie ?Avez-vous déjà rompu une amitié à cause d'un désaccord politique ?Pourquoi est-il devenu si difficile de dialoguer avec ceux qui ne pensent pas comme nous ?Le clivage gauche/droite est-il encore pertinent ?Que signifie véritablement "penser contre soi-même" ?Pourquoi est-il crucial d'écouter les arguments des personnes avec qui nous sommes en désaccord ?Pouvons-nous encore faire confiance à nos institutions démocratiques ?Comment l'autoritarisme s'installe-t-il progressivement dans une société ?Quelle est notre responsabilité individuelle dans la préservation de la démocratie ?Peut-on vraiment dialoguer sans chercher à convaincre ?Timestamps clés optimisés00:00 – Introduction : pourquoi ce solo et pourquoi ce thème02:30 – Le prix de nos désaccords : quand la démocratie vacille06:45 – L'illusion de la supériorité morale : mon propre piège11:10 – L'état de la démocratie en France (et ailleurs)16:20 – Kasparov, Juppé, Meurice : quand les alliances improbables deviennent nécessaires20:55 – Le rôle central de la justice et de l'écoute active26:00 – Pourquoi "penser contre soi-même" est devenu vital30:15 – Biais cognitifs, héritages culturels et autodérision34:45 – Exemples pratiques pour cultiver la pensée critique39:20 – Conclusion : sauver l'arène du débat avant nos idées Suggestion d'épisode à écouter : #368 Un juge face aux fractures françaises avec Youssef Badr (https://audmns.com/jatTwwX)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Chirinne Ardakani, avocate spécialisée dans la défense des droits humains, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:58 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Astrid de Villaines - Il y a toujours une réaction quand on parle à quelqu'un de Marcel Proust. - réalisation : Félicie Faugère
Nouveauté pour la rentrée : Le E-carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 39 € ! 1️⃣ Présentation de l'invitée : Avez-vous déjà rêvé d'un séjour à la campagne qui combine le confort de l'hôtellerie de luxe avec l'authenticité d'une maison familiale ? Dans cet épisode, j'ai le plaisir d'accueillir Camille Personnat, une entrepreneure dynamique qui a su créer un concept unique en réponse aux nouvelles tendances du travail flexible et du bien-être. Camille a un parcours impressionnant dans le monde de l'hôtellerie et du tourisme. Après ses études à l'École Hôtelière de Lausanne et des expériences marquantes chez Airbnb et dans des établissements de luxe, Camille a cofondé The Oasis House, avec Guillaume Prigent. Leur objectif était de repenser l'expérience de séjour à la campagne en intégrant des éléments de confort, de qualité et des processus automatisés pour offrir le meilleur des deux mondes. Nous plongeons, donc, dans l'univers de The Oasis House et de La Prairie, l'une des maisons de cette collection située près de Paris. Camille nous explique comment elle a conçu ces espaces pour répondre aux besoins des entreprises et des particuliers en quête d'un cadre propice à la créativité, au travail et au bien-être. Avec des services sur mesure, une expérience clé en main et une forte dimension de bien-être, The Oasis House se positionne comme une réponse innovante aux besoins du travel BtoB, dans un cadre bucolique et ressourçant. 2️⃣ Notes et références : Airbnb ; l'École Hôtelière de Lausanne (EHL) ; HEC ; Les Airelles ; Le livre "De Zéro à Un" de Peter Thiel. 3️⃣ Pour contacter l'invitée : LinkedIn Site web de The Oasis House Son email : camille@theoasishouse.fr 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : Influence Society Influence Society Prendre un rendez-vous avec le fondateur Sébastien Felix En venant de la part d'Hospitality Insiders, vous bénéficiez de 45 minutes en tête-à-tête avec Sébastien Felix pour repenser votre stratégie digitale et parler d'Intelligence Artificielle. Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.