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durée : 00:26:49 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - La découverte d'une nécropole antique, à Orléans, intrigue les archéologues depuis 2022. Le site est unique par son organisation étonnante mais aussi par la présence de 22 plaquettes en plomb gravé. Ces tablettes de malédiction sont des témoins précieux d'une pratique de la magie en Gaule romaine. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Julien Courtois Archéologue responsable d'opérations spécialisées de l'époque romaine au sein du service d'archéologie de la ville d'Orléans; Caroline Millereux Archéologue spécialiste de la Proto-histoire au service Archéologie de la Ville d'Orléans et responsable des dernières fouilles du site de la Porte-Madeleine
430 000 étudiants africains partent chaque année étudier à Harvard, Oxford ou la Sorbonne. Mais seulement 3 sur 10 reviennent au pays ! Face à ce constat, le Gabon va supprimer ses bourses vers les États-Unis et le Canada dès 2026. Bonne ou mauvaise décision ? Comment concilier excellence académique et développement local ? Avez-vous bénéficié d'une bourse d'études à l'étranger ? Êtes-vous rentré ? Parents d'étudiants : préféreriez-vous une université d'excellence locale ou une formation à l'étranger ? On attend vos réactions.
✨ Suis-moi sur Instagram : https://instagram.com/laurita.socaliente/ En amitié, personne ne nous apprend à naviguer. On apprend sur le tas, et parfois, on fait des erreurs. Êtes-vous un bon ami ? Avez-vous de bons amis ? Voici quelques réflexions autour de l'amitié, à partager d'urgence avec votre bff ! - Certains amis ne sont là que dans les bons moments - Certains ne sont présents que dans les mauvais moments (true story) - Le rôle de l'amitié dans les burn out - Choisir l'ami qui nous choisit - Il y a des amitiés de circonstances - L'effort est un reflet direct de l'intérêt - On ne sauve pas quelqu'un qui est accro à ses problèmes - Certains s'alimentent de ta réaction - Because I healed does not mean you can access me again - Ton pote en a marre de t'entendre parler de ce que tu ferais - Les gossip et les amis A tout de suite ;)
Hello c'est margo ! J'espère que vous allez bien ? Pour l'occasion du mois des dramas je suis de retour pour vous donner mon avis sur le drama Chinois "Snowfall". J'espère que l'épisode va vous plaire !
De Stokely Carmichael, figure des luttes noires du XXème siècle, on connaît surtout le combat aux États-Unis, comme dirigeant des Black Panther. On sait moins qu'en 1968, Carmichael a rejoint la Guinée avec son épouse, la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba. Il est alors devenu un proche collaborateur du président ghanéen en exil Kwame Nkrumah et s'est engagé aux côtés de la révolution guinéenne. Bokar Ture, fils de Stokely Carmichael, a accordé un entretien à RFI : il raconte les années africaines de la vie de son père. RFI : Votre père a été un acteur important des luttes noires du XXème siècle. Aux États-Unis, où il a été l'un des responsables des Black Panther… mais aussi dans son parcours transatlantique puisqu'il vient s'installer en 1968 en Guinée. Parlez-nous d'abord de lui. D'où vient-il ? Comment est née cette conscience militante noire ? Bokar Ture : Kwame Ture est né Stokely Carmichael à Trinidad et Tobago, connu aussi en français comme Trinité-et-Tobago, en 1941. Il immigre plus tard aux États-Unis pour retrouver sa mère -donc ma grand-mère- qui y était déjà installée quelques années plus tôt. Elle avait pu avoir sa nationalité américaine parce qu'elle était née à Panama. Comment a commencé cette conscience ? Déjà, il avait un penchant politique très tôt. Il y a une de ses tantes qui racontait une anecdote : quand il était jeune, il la poussait à aller voter pour un syndicaliste à l'île de Trinidad. Et au lycée, aux États-Unis, il fréquentait déjà des groupes gauchistes. Un de ses amis de classe était le fils du président du Parti communiste américain dans les années 1952. Et donc, très tôt, il a pu découvrir les discours marxistes. Et bien sûr, il vivait au sud du Bronx, à côté de Harlem. Et la 125e rue de Harlem est une rue reconnue pour des discours politiques de tout genre, de différents groupes. Il a été l'un de ceux qui ont travaillé l'idée de Black Power. Il a même coécrit, en 1967 avec Charles Hamilton, un ouvrage qui le théorise, intitulé Black Power, the politics of Liberation in America. Effectivement, le concept de Black Power existait avant. Il y avait un livre qui s'appelait Black Power par Richard Wright, qui a été écrit pendant les années 1950 et qui était un ouvrage dédié à Kwame Nkrumah. Mais personne n'a rendu l'idée de Black Power aussi populaire que Kwame Ture - Stokely Carmichael à l'époque. Notamment durant une marche contre la peur au sud des États-Unis, aux côtés de Martin Luther King, où il disait, plus ou moins : « On est fatigué de mendier notre liberté, comme on l'a fait ces dernières années dans les droits civiques. Maintenant, ce qu'on va faire, c'est de demander le Black Power », le pouvoir noir, qui était un appel à une autodétermination en termes de structures politiques et économiques pour les personnes noires descendantes d'africains aux États-Unis. En 1968, votre père épouse une première femme, la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba. Au-delà de la relation amoureuse qui s'est nouée entre eux, cette union reflète-t-elle aussi une pensée de votre père, de plus en plus tournée vers l'Afrique et vers le panafricanisme à cette époque ? Ce n'est pas un tournant, c'est une continuité. Kwame Ture a toujours été Africain dans l'âme. Il vient d'un milieu où l'Afrique est centrale dans l'identité noire. Bien avant qu'il ne se marie avec Miriam Makeba. On le voit dans des photos au début des années 1960 avec ses camarades où il est en tenue africaine. Il se sentait toujours africain. Pour lui, être noir et africain, il ne voyait pas de distinction et toute sa vie était ainsi. Quand il a marié Tantie Miriam, comme je l'appelle, c'était juste une continuité. Après aussi, ma mère, Marlyatou Barry, qui était aussi une Guinéenne. C'était juste une continuité de sa façon de vivre. Comment se fait concrètement la connexion entre votre père et le premier responsable guinéen, Ahmed Sékou Touré ? Stokely Carmichael, à l'époque, faisait une tournée mondiale et il a rencontré Shirley Graham Du Bois, qui était la veuve de W.E.B Du Bois, qui est aussi une légende de l'histoire de la lutte antiraciste et du développement du panafricanisme. Elle a invité Stokely Carmichael à venir en Guinée pour une conférence du Parti démocratique de Guinée pour rencontrer Kwame Nkrumah et Sékou Touré. Quand il est venu, il a rencontré les deux présidents. Il avait déjà beaucoup entendu parler de Kwame Nkrumah, parce que mon grand-père a travaillé dans un bateau un moment. Il est parti au Ghana et quand il est revenu à New York, il expliquait que c'était la première fois qu'il avait vu une nation noire, indépendante, avec sa propre armée, un président, etc. et il expliquait ceci à un jeune Stokely Carmichael. Cela a vraiment marqué sa pensée. Quelques années plus tard, ils se voient face à face avec Kwame Nkrumah. Après la conférence, en quittant la Guinée, il part dire au revoir à Sékou Touré, qui lui dit : « Écoute, mon fils. Ici, c'est chez toi, tu peux revenir quand tu veux. C'est ta maison. » Il part voir Kwame Nkrumah qui lui dit « Écoute, moi, je cherche un secrétaire politique, donc si ça t'intéresse, tu es toujours le bienvenu. » Un an et demi plus tard, deux ans pratiquement, il était de retour avec sa nouvelle épouse, Miriam Makeba. Qu'est ce qui fait qu'il vient s'installer à Conakry à cette époque ? Pour lui, c'était le coin le plus révolutionnaire en Afrique. Lumumba a été assassiné très tôt donc il n'y avait plus le Congo. Après, il y a eu le coup d'État contre Kwame Nkrumah en 1966. Modibo Keïta en 1968. Quand lui est arrivé, le seul autre pays, c'était la Tanzanie, mais qui était beaucoup moins radicale. Donc il a choisi la Guinée. C'était le pays qui s'alignait le plus avec sa pensée du pouvoir noir à l'échelle mondiale. Il est aussi menacé aux États-Unis. C'est aussi pour cela qu'il quitte les États-Unis ? De toute façon, mon père était prêt à se martyriser. Il a vu Malcolm X tué, il a vu Martin Luther King tué et les agences voulaient sa tête. Il a échappé à pas mal d'attentats. Mais ce n'était pas la raison centrale. Déjà, il y avait l'invitation. Ensuite, il ne voyait pas les États-Unis comme le centre de cette lutte à laquelle il a dédié sa vie. Il voyait l'Afrique comme étant une partie essentielle. Pour lui, en venant en Guinée, il rejoignait l'Afrique, il rejoignait la révolution africaine qui pouvait donner la dignité à tout le peuple noir à travers le monde. Diriez-vous qu'il y a un vrai projet politique international derrière cette volonté de s'installer en Guinée ? Il a toujours eu ce projet. Quand il parlait de Black Power, déjà, dans le livre dont vous avez parlé, il parlait aussi des colonies en Afrique. Dans Black Power, lui et Charles Hamilton faisaient le parallèle entre la situation que vivaient les Afro-Américains aux États-Unis et la situation que vivaient les Africains en Afrique et aux Caraïbes aussi. Il faisait ce parallèle. Dans sa tête, c'était quelque chose qui était un combat international dès le début. Quelles sont les idées sur lesquelles votre père, Stokely Carmichael – Kwame Ture, une fois qu'il change de nom – et Ahmed Sékou Touré se retrouvaient ? On parle de personnes qui avaient la même vision d'une Afrique unie, une Afrique libre où il n'y a pas d'inégalités. Ils étaient tous deux penchés vers des idées socialistes. Ils étaient totalement alignés idéologiquement. Sékou Touré était un de ses mentors, une de ces personnes qui l'ont formé dans cette idéologie. Ils se retrouvent dans l'idée, qui est défendue par Ahmed Sékou Touré à l'époque, d'authenticité africaine ? À 100 %. Et il s'intègre à 100 %. Je peux vous dire que moi, par exemple, j'ai très peu de souvenirs de mon père en habit occidental. Il s'habillait en tenue africaine, cousue en Afrique. Il s'est enraciné dans la population africaine. Ce qui était quand même unique parce que tout le monde était tourné vers une façon de vivre occidentale. Et lui non, il voulait se réapproprier son héritage culturel. Et la volonté de promouvoir les cultures africaines, de leur donner leur vraie place ? C'est exactement cela, revaloriser la culture africaine, la culture noire, se réapproprier celle-ci. Et ne pas avoir de complexes vis-à-vis des cultures européennes, dominantes et autres. Depuis le début de cet entretien, on joue avec deux noms pour parler de votre père, Stokely Carmichael, Kwame Ture. À un moment donné de sa vie, il décide de passer du nom de Stokely Carmichael à celui de Kwame Ture. C'est une démarche qui dit aussi beaucoup de choses sur le lien qu'il a avec Kwame Nkrumah et Ahmed Sékou Touré. Effectivement. Il y avait un précédent aux États-Unis. Il y avait pas mal d'Afro-Américains, notamment dans son milieu révolutionnaire, qui changeaient de nom. Notamment Malcolm X, Mohamed Ali. Bien sûr, le nom est inspiré de Kwame Nkrumah et de Sékou Touré. L'anecdote, c'est qu'il était en Tanzanie lors d'un entretien radio. Après l'entretien, apparemment, un vieil homme venu à pied d'un village lointain est venu le voir et lui a dit : « Écoute mon fils, j'ai vraiment aimé ton entretien. Mais il y a une chose : ton nom sonne un peu bizarre, un peu féminin, il faut le changer ». Il a alors pris le nom de Kwame Nkrumah et de Sékou Touré. Lorsqu'il venait l'annoncer à Sékou Touré et lui dire : « J'ai pris le prénom de Kwame », Sékou Touré lui a répondu : « C'est bien, parce qu'à chaque fois que nous avons des débats, tu prends toujours son parti. » Il lui a répondu : « Mais j'ai pris le nom Touré comme nom de famille. ». Ce qui était approprié, car c'étaient ses deux mentors. À lire aussiKwame Ture, le destin hors du commun d'un Black Panther parti s'installer en Guinée [1/2] Comment est-ce que vous décririez les liens qu'il entretenait avec Kwame Nkrumah et Ahmed Sékou Touré ? En Kwame Nkrumah, il voyait un symbole de cette lutte. Il était prêt à le suivre. Il a mené quelques opérations au Ghana pour essayer de voir s'il pouvait réinstaurer Kwame Nkrumah au pouvoir. Il était très proche de lui. Et Sékou Touré était comme un père pour lui. En 1970, votre père vit l'un des moments charnières de l'histoire de la Première République guinéenne, à savoir l'attaque contre Conakry du 22 novembre 1970. Savez-vous comment il a vécu ces journées ? Je sais qu'il était un participant dans l'action de repousser les troupes portugaises. Il était armé ce jour et a dû utiliser son arme. Selon ce que j'ai appris, il était un des premiers à alerter les autorités, y compris le président, du fait qu'il y avait une attaque qui venait. Ca tirait sur sa case, donc il devait quitter sa maison. Lui et Miriam Makeba ont dû se réfugier quelque part d'autre où il l'a laissée et lui est ressorti pour aider à défendre la ville. Cette opération conjointe de militaires portugais et de rebelles guinéens a conduit à la plus grande vague d'arrestations en Guinée de toute la Première République. La vie du pays va être rythmée pendant de longs mois par des confessions publiques de personnes présentées comme les complices d'un « complot impérialiste » aux ramifications tentaculaires. Comment est-ce que votre père se positionnait par rapport à cette thèse du complot permanent contre la Guinée ? Et plus généralement, quel regard portait-il sur l'État policier qu'était aussi devenu la Guinée de cette époque ? C'est quelque chose de très complexe et malheureusement, la Guinée ne s'est toujours pas réconciliée avec ce passé et les positions sont assez ancrées. Maintenant, si on parle de Kwame Ture précisément, pour lui, c'était un régime panafricaniste, le seul régime panafricaniste radical. Et malgré toutes ses erreurs, c'était celui qui pouvait tenir jusqu'au bout cette conviction qu'il avait lui-même. Il était totalement d'accord avec le fait qu'il fallait conserver ce régime pour qu'il ne bascule pas dans un régime néocolonialiste. À tout prix ? À tout prix. En 1974, il y a un autre évènement important pour l'Afrique et plus généralement pour le monde noir, c'est le combat en Afrique, à Kinshasa, entre Mohamed Ali et George Foreman. Dans un livre de mémoires, votre père indique qu'il a été invité par Mohamed Ali lui-même à venir à Kinshasa pour le combat. Est-ce que vous savez ce que représentait cet affrontement pour votre père ? Mohamed Ali était son ami. Il y avait ce symbole de Mohamed Ali qui représentait l'Africain fier et George Foreman qui était un peu l'opposé de cela. Mais après, il a rencontré George Foreman et il disait que George Foreman l'avait séduit avec son charme, l'a embrassé et tout. Je pense qu'au-delà du symbolique, mon père était beaucoup plus intéressé par ce qui se passait au Congo démocratique, c'est-à-dire le Zaïre à l'époque, et le fait que c'était sous le régime de Mobutu Sese Seko, auquel il était farouchement opposé par ce qu'il représentait en termes de corruption et d'alignement avec les puissances coloniales. Qui sont de manière générale les acteurs politiques qui fréquentaient le salon de votre père dans ces années 1970 et au début des années 1980, pendant la Première République en Guinée ? On parle d'un melting pot qui ne dit pas son nom. Que ce soit des artistes - Miriam Makeba et Nina Simone, qui était une de ses amies très proches - ou des activistes de partout dans le monde. Qui venaient à Conakry et qui venaient le rencontrer ? Qui venaient à Conakry ou qui y vivaient. Parce que vous savez qu'à une époque, Conakry était un centre du monde noir où on conciliait l'art, les mouvements de libération, etc. Il y avait un grand nombre de personnes qui y vivaient, comme Amilcar Cabral, comme Kwame Nkrumahn, avant même il y avait Félix-Roland Moumié du Cameroun, pour ce qui est de la politique. Concernant les arts et la littérature, il y avait Ousmane Sembène qui y vivait, il y avait Maryse Condé qui y vivait. C'était vraiment un centre… et il se retrouve chez lui avec toutes ces personnes, plus ou moins de différentes sphères. Moi, je peux raconter avoir vu des activistes exilés sud-africains, Tsietsi Mashinini, qui a commencé la révolte estudiantine de Soweto, qui était parmi d'autres exilés sud-africains. Il y avait beaucoup d'Afro-Américains, bien sûr, des Black Panthers exilés. Il y avait la diplomatie guinéenne, des diplomates de pays gauchistes et souverainistes, il y avait tout un monde. Mais aussi, il faut savoir que Kwame Ture était vraiment penché vers la masse, la masse populaire. Donc autour de tout ça, on voit un chef villageois qui est assis ou on voit la personne déshéritée du quartier qui est là, assise, qui peut recevoir un repas. Parce que notre maison était comme un centre communautaire pour la jeunesse du quartier. Il amenait tous les enfants du quartier à la plage chaque dimanche. Puis se retrouvait peut-être un mardi à saluer un chef d'État. Puis avait une conférence avec un groupe communautaire. Moi, j'ai vu tout cela dans cette maison. C'était quelque chose de magique. Il recevait où, justement ? Dans son salon, dans son bureau ? Y avait-il un rituel autour de la réception de ses amis politiques ? Déjà, il avait une véranda où il était assis… parce que c'était un bibliophile. Il lisait beaucoup, il écrivait beaucoup. Il ne lisait pas pour le plaisir, mais il lisait pour ses conférences. Après, il y a des gens qui venaient pour le rencontrer. Je sais qu'il y a eu Charles Taylor qui était venu de nulle part pour le rencontrer. C'était vraiment un melting pot. À cette époque, votre père continue aussi ses voyages et ses tournées, il n'est pas tout le temps à Conakry ? Il était très organisé. Sur toutes ses photos, il écrivait les dates et les lieux. On se demande comment il pouvait parcourir toutes ces distances en si peu de temps. Un jour, on le voit au Connecticut. Le lendemain, on le voit à Paris, banni, chassé. En Angleterre, peut-être, d'où il est banni et chassé. Parce que c'était très compliqué pour lui d'avoir accès a beaucoup de pays. Après, on le voit en Californie... Il était partout. Sékou Touré disparaît en 1984. Mais votre père continue, lui, son engagement pour ses idées au sein du Parti démocratique de Guinée. Qu'est-ce qui a marqué ces années de militantisme politique sous Lansana Conté ? Le contexte a vraiment changé ! Et c'est là que l'on voit vraiment les convictions de l'homme. Parce que, du jour au lendemain, tout a changé. Il a été arrêté par le régime de Lansana Conté. Donc, il a perdu les privilèges qu'il avait, bien sûr, où il connaissait le président et était sous sa tutelle. Mais malgré cela, il a décidé de rester en Guinée. La moitié de sa vie guinéenne, quinze ans, s'est passée ainsi. Il a décidé malgré tout de rester en Guinée, d'être actif dans la vie politique guinéenne et la vie sociale de la Guinée. … Et de rester fidèle à ses convictions. Exactement. Vous êtes à l'époque enfant. Quel souvenir est-ce que vous gardez de ces années, de votre maison à Conakry, de ceux qui y passaient ? Quelle était l'ambiance ? Vous disiez tout à l'heure que tout le quartier se retrouvait chez vous… C'est cela. Mon père était d'une gentillesse rare, d'un altruisme qu'on ne retrouve pas très souvent. Donc effectivement, c'était pour moi quelque chose de très formateur. Comment quelqu'un peut traiter un chef d'État avec le même respect qu'il traite la personne la plus déshéritée du quartier. Et toutes ces personnes pouvaient se retrouver chez lui, devant lui, avec le même respect, ou peut-être même le déshérité avec un peu plus d'amour. Vous appelez régulièrement les Guinéens à se souvenir de votre père, Stokely Carmichael / Kwame Ture. Avez-vous le sentiment que son histoire a été oubliée en Guinée ? Je parle de manière générale. Il y a une politique de mémoire en Guinée qui doit être améliorée. Stokely Carmichael est un pont unique entre l'Afrique et l'Amérique. On parle d'un personnage qui a passé la moitié de sa vie en Guinée. À ce stade, l'État guinéen n'a pas fait une seule initiative pour se réapproprier de l'héritage de cette personnalité. Donc il y a un vrai chantier ? Il y a un chantier. Une dernière question plus personnelle. Quel père a été Stokely Carmichael ? Quelle image retenez-vous de lui ? Un père adorable, d'une gentillesse rarissime, qui m'a beaucoup appris, que j'ai profondément aimé. Quelqu'un qui était attaché à tout ce qui est beau dans le monde, à commencer par les enfants. ►A lire pour aller plus loin : BERTHO Elara, Un couple panafricain, Editions Rot-Bo-Krik, 2025 À (ré)écouterElara Bertho: «Replacer Conakry au centre des imaginaires, c'était un peu l'idée de cet ouvrage»
Hello c'est margo ! J'espère que vous allez bien ? Pour l'occasion du mois des dramas je suis de retour pour vous donner mon avis sur le film Japonais "A Man". J'espère que l'épisode va vous plaire !
« Si vous avez la foi, rien ne vous sera impossible » (Mt 17, 14-20)Méditation par le Père Michel QuesnelChant Final : "Celui qui met en Jésus" par Celui qui met en JésusRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hello c'est margo ! J'espère que vous allez bien ? Pour l'occasion du mois des dramas je suis de retour pour vous donner mon avis sur le drama coréen "Shadow Detective" saison 2. J'espère que l'épisode va vous plaire !
Voici l'Évangile du samedi 9 août 2025 : « Si vous avez la foi, rien ne vous sera impossible » (Mt 17, 14-20) En ce temps-là, un homme s'approcha de Jésus, et tombant à ses genoux, il dit : « Seigneur, prends pitié de mon fils. Il est épileptique et il souffre beaucoup. Souvent il tombe dans le feu et, souvent aussi, dans l'eau. Je l'ai amené à tes disciples, mais ils n'ont pas pu le guérir. » Prenant la parole, Jésus dit : « Génération incroyante et dévoyée, combien de temps devrai-je rester avec vous ? Combien de temps devrai-je vous supporter ? Amenez-le-moi. » Jésus menaça le démon, et il sortit de lui. À l'heure même, l'enfant fut guéri. Alors les disciples s'approchèrent de Jésus et lui dirent en particulier : « Pour quelle raison est-ce que nous, nous n'avons pas réussi à l'expulser ? » Jésus leur répond : « En raison de votre peu de foi. Amen, je vous le dis : si vous avez de la foi gros comme une graine de moutarde, vous direz à cette montagne : “Transporte-toi d'ici jusque là-bas”, et elle se transportera ; rien ne vous sera impossible. » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Avez-vous déjà menti sur vos atouts physiques pour séduire? Chronique sexologie avec François Renaud, sexologue. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Hello c'est margo ! J'espère que vous allez bien ? Pour l'occasion du mois des dramas je suis de retour pour vous donner mon avis sur le drama coréen "When the phone rings" de 2025. J'espère que l'épisode va vous plaire !
Dans cet épisode, Judith et Hélène explorent la place du café dans la culture française ☕️
Avez-vous aussi l'impression de vous abrutir en été ? Au contraire, le temps de vacances est une opportunité formidable pour nourrir votre cerveau. Découvrez comment lutter contre un déclin cognitif même en vacances. Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Émilie Steinbach du 06 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hello c'est margo ! J'espère que vous allez bien ? Pour l'occasion du mois des dramas je suis de retour pour vous donner mon avis sur le drama Japonais "9 Borders" sans spoilers. J'espère que l'épisode va vous plaire !
De quoi vous avez besoin aujourd'hui ?C'est la deuxième question que je pose à chaque début de cours. Juste après : “Comment allez-vous ?”Dans cet épisode, je vous emmène dans les coulisses de cette phrase toute simple — et pourtant pleine de sens.Parce qu'au-delà du rituel, c'est une véritable posture pédagogique. Une manière d'écouter, d'ajuster, de créer du lien et de donner une place à chacun.Je vous partage pourquoi cette question m'anime, comment elle crée une dynamique de groupe unique, et ce qu'elle implique pour nous, professeurs :oser improviser, affiner, sentir… tout en gardant une direction.Et si c'était ça aussi, enseigner : traduire une demande floue en expérience claire ?Cet épisode est une invitation à vous poser la question — que vous soyez pratiquant·e ou enseignant·e :
Hello c'est margo ! J'espère que vous allez bien ? Pour l'occasion du mois des dramas je suis de retour pour vous donner mon avis sur le film Coréen "Hopeless". J'espère que l'épisode va vous plaire !
Ce que 72% de vos collègues ont fait hier à la Question impossible // Avez-vous déjà voyagé dans un pays juste pour la bouffe? // L’intelligence artificielle peut-elle lire l’avenir? // La vérité sort de la bouche des enfants // On fait le tour de nos réseaux sociaux // On joue à Open Mic // Keven Aubut veut savoir sur quelle chanson vos enfants trippent un peu trop //
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BALADO DU LUNDI ! Avez-vous changé votre brosse à dents? MO est allé voir le film Menteuse 2 et il a ADORÉ! SM a vu une CONNE aux magasins!
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Elle fixe la voiture devant, la main crispée sur la portière...Victoire, Pascale et Jeanne comparent le récit Sur la route de Madison de Robert Waller James à son adaptation cinéma par Clint Eastwood. En août 1965, Robert Kincaid s'embarque pour un reportage photo des ponts couverts de l'Iowa, et fait la rencontre de Francesca Johnson, dont le mari et les enfants sont absents pour la semaine. C'est le début d'une passion incandescente de quatre jours qui les marquera pour le reste de leurs vies...Le film de Clint Eastwood est-il fidèle au livre dont il est tiré ? Réponse dans l'épisode !4 min : On commence par parler du récit Sur la route de Madison de Robert James Waller, paru en 1992.44 min : On enchaîne sur l'adaptation en film sortie en 1995 et réalisée par Clint Eastwood avec Meryl Streep et Clint Eastwood.1 h 40 min : On termine sur nos recommandations autour des passions amoureuses, des cowboys et de l'Amérique profonde.Avez-vous lu ou vu Sur la route de Madison ?Recommandations :Titanic, un film réalisé par James Cameron (1997)L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, écrit par Nicholas Evans (1995)L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, réalisé par Robert Redford (1998)Out of Africa, réalisé par Sydney Pollack (1985)The Rider, réalisé par Chloe Zhao (2017)
Hello c'est margo ! J'espère que vous allez bien ? Pour l'occasion du mois des dramas je suis de retour pour vous donner mon avis sur le drama Japonais"Ripe for the picking" sans spoilers. J'espère que l'épisode va vous plaire !
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Enregistrement devant public de l'équipe du talk-show "Star Wars en Direct" au Comic Con de Montréal 2025. Sébastien, Francis, Tamara et Julie-Anne discutent de la situation actuelle et de l'avenir de la franchise. Est-ce que Star Wars et sa communauté peuvent survivre sans les films et avez-vous encore espoir en Star Wars? Star Wars en Direct est disponible sur les applications Apple Podcast / Spotify / Amazon Music / Audible / Deezer Venez rejoindre et participer à notre communauté d'auditeurs sur les plateformes Discord / Facebook / X / Instagram Merci à nos partenaires : MintInBox.net, Planete-StarWars.com, StarWars-Universe.com, Star Wars Geeks Quebec, Boutique Kaia et Générations SW et SF Comme toujours, si vous avez suggestions ou réactions sur les sujets que nous venons de discuter, écrivez-nous un commentaire ci-dessous ou envoyez-nous un e-mail à studio@starwars.direct.
Est-ce que vous avez déjà essayé de remédier à votre fatigue ou à votre manque d'énergie en dormant davantage, mais en vous réveillant toujours épuisé.e ? Est-ce que vous avez l'impression d'être perpétuellement au bord du burn-out ? Est-ce que vous avez déjà envisagé que le repos et le sommeil ne soient en réalité pas des synonymes ? Dans cet épisode, je vous parle de 7 types de fatigue et des 7 types de repos correspondants, pour prendre soin de soi et retrouver son énergie !Bonne écoute !
Avez-vous des problèmes de sommeil? Entrevue avec la Dre Annick Vincent, médecin-psychiatre. Fondatrice et directrice générale de la clinique FOCUS, auteure de plusieurs livres dont « Mon cerveau a besoin de focus ». Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Avez-vous des problèmes de sommeil? Entrevue avec Dr Jacques Malo, pneumologue retraité, président de la Fondation du Centre Épic de l’Institut de Cardiologie de Montréal. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Commentaire de L'Évangile du jour Matthieu 13, 47-53 En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Le royaume des Cieux est encore comparable à un filet que l'on jette dans la mer, et qui ramène toutes sortes de poissons. Quand il est plein, on le tire sur le rivage, on s'assied, on ramasse dans des paniers ce qui est bon, et on rejette ce qui ne vaut rien. Ainsi en sera-t-il à la fin du monde : les anges sortiront pour séparer les méchants du milieu des justes et les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. » « Avez-vous compris tout cela ? » Ils lui répondent : « Oui ». Jésus ajouta : « C'est pourquoi tout scribe devenu disciple du royaume des Cieux est comparable à un maître de maison qui tire de son trésor du neuf et de l'ancien. » Lorsque Jésus eut terminé ces paraboles, il s'éloigna de là. L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
Voici l'Évangile du jeudi 31 juillet 2025 : « On ramasse dans des paniers ce qui est bon » (Mt 13, 47-53) En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Le royaume des Cieux est encore comparable à un filet que l'on jette dans la mer, et qui ramène toutes sortes de poissons. Quand il est plein, on le tire sur le rivage, on s'assied, on ramasse dans des paniers ce qui est bon, et on rejette ce qui ne vaut rien. Ainsi en sera-t-il à la fin du monde : les anges sortiront pour séparer les méchants du milieu des justes et les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. » « Avez-vous compris tout cela ? » Ils lui répondent : « Oui ». Jésus ajouta : « C'est pourquoi tout scribe devenu disciple du royaume des Cieux est comparable à un maître de maison qui tire de son trésor du neuf et de l'ancien. » Lorsque Jésus eut terminé ces paraboles, il s'éloigna de là. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Avez-vous déjà terminé votre semaine avec cette sensation désagréable de ne pas en avoir fait assez, malgré tous vos efforts? Ce sentiment amer est souvent causé par une to-do list qui déborde, semaine après semaine. Et si le problème ne venait pas de vous, mais plutôt de la manière dont vous planifiez votre temps? Dans cet épisode, je vous partage les 5 étapes essentielles pour planifier de façon réaliste et surtout, satisfaisante. Je vous présente surtout comment placer vos tâches aux bons endroits dans votre horaire, pour arrêter de surcharger vos journées et enfin cocher ce que vous aviez prévu. L'objectif? Que chaque jour, vous ressentiez de la fierté, plutôt que de la frustration. Si vous en avez assez de courir après le temps et de finir vos semaines épuisée et insatisfaite, cet épisode est pour vous. Il est temps de transformer votre planification … pour de bon! >> Le résumé de cet épisode se trouve ici. LIENS ET RESSOURCES PARTAGÉS DANS CET ÉPISODE Grand dévoilement de l'agenda 2026 Épisode 55 : Diminuez le stress et la charge mentale grâce à la technique du brain dump Webinaire gratuit sur la gestion des priorités RESTONS EN CONTACT Infolettre éducative Instagram Facebook YouTube Pinterest TikTok
Rock and roll baby ! (Mdr je me prends pour qui.)Suivez les coulisses de La Leçon sur Instagram : @paulette_grisoniDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFFUSION. Cet été, Faites des gosses prend des vacances et vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes favoris. Bonne écoute !Avez-vous déjà demandé à vos parents comment ils avaient choisi votre prénom ? Était-ce une histoire de transmission familiale, une rencontre avec une personne formidable qui portait le prénom qui figure maintenant sur votre carte vitale ? Votre mère, enceinte, lisait peut-être un roman qui lui a inspiré votre prénom. Et qu'en est-il des effets de mode ? Pourquoi y-a-t-il trois Gabriel dans la classe de votre fils de 3 ans ? Pourquoi d'autres parents cherchent l'originalité ? Cherchent-ils à se raconter à travers leur enfant ? Est-ce que les prénoms portent en eux un déterminisme ? Est-ce que certains prénoms vous prédisposent à être moqué·e·s dans la cour de récré, ou à devenir ministre ? Dans cet épisode, Marine Revol s'entretient avec le sociologue Baptiste Coulmont, professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay, et interroge Clémentine, Caroline, Arnaud, Loup, Elsa et Agathe pour tenter de comprendre comment se fait ce choix pour les parents. Ensemble, ils discutent de l'évolution de l'usage du prénom, de Victor Hugo et de Balzac qui jugeaient eux aussi les choix de certain·es, de racisme, de discriminations et de mixité, de poèmes et d'interprétations. En somme, de l'imaginaire porté par les prénoms et de leur lien indissociable avec leur époque.Les ressources citées dans cet épisode : Le livre “Sociologie des prénoms” de Baptiste Coulmont aux éditions La DécouverteLe livre “Vivre avec nos morts” de Delphine Horvilleur aux éditions GrassetFaites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Louise Tavera et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Charlotte Pudlowski est à la direction éditoriale, Elsa Berthault est en charge de la production.Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.com ou racontez-nous votre histoire via ce formulaire.Suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Et si vous souhaitez soutenir Louie, n'hésitez pas à vous abonner au Club. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avez-vous déjà entendu parler du “female gaze” ? Ce regard féminin, à contre-courant de la tendance trop fréquente à sexualiser les corps féminins, replace les femmes au centre, comme sujets, et non objets. Aux Rencontres de la photographie d'Arles, l'exposition rétrospective Les femmes, les sœurs, consacrée à l'œuvre d'Erica Lennard, incarne ce concept. Dès 1976, la photographe choisit de poser un œil bienveillant sur sa sœur et ses amies, loin des codes du regard masculin dominant.Pour elle, “nous sommes toutes sœurs”. Cette phrase bouleverse Clara Bouveresse, commissaire de l'exposition. Au micro de Charlotte Pudlowski, elle raconte la photographie comme un outil d'affection plutôt que de domination et l'importance de la représentation des amitiés entre femmes. L'exposition “les femmes, les soeurs” est à voir jusqu'au 5 octobre 2025 aux rencontres de la Photographie d'Arles. Cet épisode a été tourné et monté par Charlotte Pudlowski, Gautam Shukla était à la réalisation et au mix. La musique originale est de Michaël Liot. Julie Deltheil-Tourrenc est en charge de la production.Merci à notre partenaire Les Rencontres d'Arles, avec qui nous avons réalisé cette série Louie s'invite à Arles.Abonnez-vous à la newsletter de Louie Media, pour retrouver les interviews d'artistes et de commissaires pendant Les Rencontres et la rubrique Empreinte qui se focalise sur une œuvre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:39:20 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Né en Suède en 2018, le mouvement "Flygskam", porté par Greta Thunberg, a mis en lumière la honte liée aux voyages en avion. Mais ce sentiment résiste-t-il encore face au retour du trafic et à la quête de confort ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avez-vous parfois la sensation que vos données vous échappent en ligne ? Aujourd'hui, nos traces numériques sont très convoitées, autant par des entreprises pratiquant le marketing ciblé que par des individus malveillants cherchant à faire du profit. Noé Zufferey, chercheur en sécurité de l'information à l'EPFZ, donne ses conseils pour mieux protéger nos quotidiens ultra-connectés. Episode initialement publié le 15 mai 2025. Journaliste: Jessica Vial Réalisation: Frédéric Zahnd >> Pour aller plus loin: - Judith Monfrini, "Nos données personnelles ? Du pain béni pour l'intelligence artificielle", Tribune de Genève du 12 mai, https://www.tdg.ch/meta-quel-est-lenjeu-reel-pour-nos- donnees-personnelles-897568614438 Plusieurs épisodes du Point J à consulter : - "Comment fonctionne le cloud ?" (26 mars 2025) - "Arnaques amoureuses: pourquoi se fait-on encore avoir ?" (8 avril 2025) Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Audrey Fella, écrivaine et historienne de formation, s'intéresse aux diverses voies et expressions de la spiritualité féminine, et à la manière dont celles-ci peuvent participer à notre quête de sens. Son écriture, profonde et vibrante, fait la part belle à la conversation avec l'œuvre et l'univers des femmes qu'elle met en lumière – des figures féminines spirituelles (historiques et contemporaines) qui ont pour point commun d'ouvrir le champ des possibles. Audrey a accepté de parler avec moi de son parcours et d'écriture – un bon prétexte pour parler de la vie. De cette vie que nous avons le pouvoir de transformer en œuvre d'art. Au cours de notre conversation, Audrey Fella et moi parlons entre autres : de son parcours, de nos choix de vie et de la vie qui nous choisit du choix de dire un grand oui à notre chemin singulier et du temps qu'on prend pour se l'autoriser de la place de l'écriture, de spiritualité, de création et d'espace de rencontre et de liberté Ou encore du choix de faire le choix du cœur. Bonne écoute ! - Les épisodes du podcast sont mis à disposition selon les termes de la Licence suivante : Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:41:13 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - La fête nationale du 14 juillet résonne chaque année comme un rituel républicain. Mais que signifie-t-elle aujourd'hui pour les Français ? En particulier dans le contexte du retour de la guerre en Europe ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Jannik Sinner a donc remporté Wimbledon pour la première fois de sa carrière en battant Carlos Alcaraz en 4 sets. Qu'avez vous pensé de cette finale ? Avez-vous été déçu par Alcaraz ou impressionné par Sinner ? La rivalité entre Sinner et Alcaraz est-elle déjà légendaire ? Les voyez-vous se partager des Grand Chelems encore longtemps ? On revient également sur les tops et flops de ce Wimbledon et on se projette sur les tournois de la semaine.
Vous aimez La Traque, le podcast Bababam Originals ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir Les Fabuleux Destins le podcast qui vous plonge dans les histoires les plus incroyables. Avez-vous déjà entendu parler de l'affaire Cambridge Analytica ? Ou encore du scandale des pentagones papers ou celui du médiator ? Si ces histoires ne vous disent rien vous serez surpris d'apprendre l'existence de ces véritables complots. Des histoires qui dépassent largement la fiction. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Production : Bababam Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
"Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement"Médiation de l'évangile (Mt 10, 7-15) par la Pasteure Magali GirardChant Final : "Privilège" par Florine SmithRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participer à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Prière du matin : https://audmns.com/DwJysxvHalte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
On laisse enfoncé le bouton «Record» après l'enregistrement, on en fait une bande-annonce...Pour commenter cette bande-annonce, donner votre avis ou simplement discuter avec notre communauté, connectez-vous au serveur Discord de Silence on joue!Soutenez Silence on joue en vous abonnant à Libération avec notre offre spéciale à 6€ par mois : https://offre.liberation.fr/soj/Retrouvez Silence on Joue sur Twitch : https://www.twitch.tv/liberationfrSilence on joue ! C'est l'émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et ses chroniqueur·euse·s Patrick Hellio et Corentin Benoit-Gonin.CRÉDITSSilence on joue ! est un podcast de Libération animé par Erwan Cario. Cette bande annonce a été enregistrée le 26 juin 2025 sur Discord. Réalisation : Erwan Cario. Générique : Marc Quatrociocchi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce matin, on vous demande quand est-ce que vous avez pleuré la dernière fois en vous faisant juger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aurélie, professeure de français de Lisa, nous fait découvrir la poésie de Marceline Desbordes-Valmore, poète du XIXe siècle, à travers le poème "L'éphémère". Aurélie a découvert cette poète quand elle préparait ses examens pour devenir professeure. Le poème "L'éphémère" parle d'un petit papillon qui vit seulement un jour. Le poème semble léger mais il donne une vraie leçon de vie. Aurélie explique comment elle présente ce texte à ses élèves : elle commence toujours par demander leurs impressions après la première lecture. www.onethinginafrenchday.com #FrenchLiterature #PoetryInFrench #FrenchTeacher #LearnFrenchWithPoetry #FrenchClassroom #19thCenturyPoetry #FrenchCulture #FrenchLanguageLearning #LiteratureStudy #FrenchEducation
Cet épisode solo est une lecture de ma newsletter si vous souhaitez prendre le temps de revenir sur le texte, c'est ici : https://vlan.kessel.media/Aussi tous les épisodes sont maintenant disponible en vidéo sur youtube ici : https://www.youtube.com/@vlanpodcastImaginez un instant que je vous pose cette question : "Êtes-vous un bon ami ?" Votre première réaction sera probablement un "oui" automatique. Nous nous considérons tous comme de bons amis. Nous sommes là quand ça va mal, nous écoutons, nous conseillons, nous soutenons. Moi le 1er d'ailleurs.Creusons un peu plus profondément avec quelques questions moins confortables :Avez-vous déjà annulé un dîner avec des amis parce qu'une grosse flemme et une bonne série se sont présentées ?Avez-vous déjà mis involontairement de la distance avec un ami parce que vous débutiez une relation amoureuse ?Combien de fois par mois appelez-vous vos amis juste pour prendre de leurs nouvelles, sans agenda caché ?Quand un ami traverse une période difficile, allez-vous physiquement chez lui pour vous asseoir en silence et partager sa peine ?Avez-vous déjà dit "je t'aime" à un ami homme (si vous êtes un homme) ou avez-vous déjà exprimé votre affection profonde sans détour ?Soudainement, la réponse devient moins évidente…Cette gêne que vous ressentez peut-être en lisant ces questions n'est pas accidentelle.Les amitiés ne sont pas des relations sur lesquelles nous concentrons beaucoup de notre énergie dès lors que l'on arrive à l'âge adulte.D'ailleurs, plusieurs penseurs s'accordent à dire que nous vivons dans une société qui a méthodiquement dévalorisé ce qui pourrait être notre plus puissant antidote contre les maux de notre époque.Tout simplement parce que parmi toutes nos relations, l'amitié est la seule qui ne soit pas particulièrement fertile économiquement.Cette semaine, j'ai décidé de creuser l'amitié parce que pour moi qui ne suis pas marié, ces relations sont les plus essentielles et que j'ai la sensation que nous sabotons inconsciemment ce qui est notre meilleure arme contre les maux de notre époque.D'ailleurs, j'aimerais dédier cette newsletter aux personnes qui sont là pour moi, celles qui sont les plus proches depuis tellement d'années dans les rires comme dans les pleurs mais aussi parfois malgré des distances physiques voire temporelles.Et puis, j'écris cette newsletter pour moi aussi parce que j'ai évidemment pleins de dysfonctionnements dans ma manière d'aborder l'amitié et donc c'est une recherche personnelle comme chaque fois. Suggestion d'autres épisodes à écouter : [SOLO] Gâcher du temps est un acte de résistance (https://audmns.com/YGGCTKa) [SOLO] Apprendre à gérer une discussion compliquée! (https://audmns.com/ciholDL)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.