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Les rencontres de Catherine Schwaab qui reçoit Bruno Dubois, Professeur de Neurologie à l'Université Pierre et Marie Curie, Directeur de l'Institut de la Mémoire et de la Maladie d'Alzheimer à la Pitié-Salpêtrière à Paris. À propos du livre : «Alzheimer: La vérité sur la maladie du siècle» paru aux éditions Grasset C’est l’une des maladies les plus craintes par les Français, mais aussi l’une de celles que le public connait le moins. C’est le grand mal du siècle, appelé à devenir dans les prochaines années la première préoccupation de santé de nos sociétés, mais un mal que la Recherche et la médecine ne savent pas encore soigner. Pourtant, à terme, il est probable que chacun connaîtra, dans son entourage, un proche atteint de la maladie d’Alzheimer. Les chiffres sont connus : 47 millions de cas de démence dans le monde, plus de 800 000 patients en France, 140 000 nouveaux cas chaque année, avec la perspective de voir ces chiffres doubler d'ici l'an 2030. Près de 20 % des sujets âgés de plus 80 ans en sont atteints. Les syndromes aussi : troubles de la mémoire, perte d’autonomie, démence, apathie progressive. Mais qu’est-ce, précisément, que cette maladie qui nous vole ce que nous avons de plus précieux, nos souvenirs et notre identité ? Qu’est-ce qui, dans le cerveau, dysfonctionne ? Comment la diagnostique-t-on ? Oublier le nom d’untel ou un mot doit-il suffire à nous alarmer ? Et comment la soigne-t-on ? Où en est la recherche ? Un médicament pourrait-il un jour être trouvé ou faut-il nous résoudre à voir de plus en plus d’hommes et de femmes sombrer dans l’oubli ? Quel sera alors le rôle de l’Etat ? Pour répondre à ces questions, et pour la première fois, le spécialiste de la maladie d’Alzheimer, le neurologue Bruno Dubois prend la parole et nous dit tout. Ce qu’est la maladie (I) : comment elle affecte les patients, l’entourage et la société. Comment on la prend en charge, ce que la société en sait. Son histoire (II) : du premier cas diagnostiqué par Alois Alzheimer aux différents plans présidentiels en passant par les aventures médicales et scientifiques qui ont permis de mieux la cerner. Ce que nous pouvons espérer (III). Le suivre dans cette épopée scientifique et ce cours magistral, c’est partager l’expérience d’un neurologue chevronné qui a contribué à définir la maladie pour mieux la vaincre ; comment il a dû se battre pour la faire reconnaitre comme une maladie spécifique, pour obtenir certains appareils nécessaires au diagnostic, pour informer aussi, et aller contre les inepties relayées par les médias, d’après lesquelles un carré de chocolat pourrait prévenir ou même guérir ; comment il se bat aujourd’hui pour lever des fonds. Dans cet ouvrage passionnant, il met enfin des mots sur cette maladie redoutée et livre sans fard toute la vérité sur Alzheimer. Un document choc, nécessaire. Bruno Dubois est Professeur de Neurologie à Sorbonne Université, président de la société française de neurologie et chef du service des Maladies Cognitives et Comportementale à l’Hôpital de la Salpêtrière. Il est aussi Directeur de l’équipe Inserm «Cognition, Neuro-imagerie et Maladies du cerveau» de l’Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière, coordinateur du CMRR de la région Ile-de-France et du Centre National de Référence des Démences Rares, et Président du Comité Scientifique de l’Association France Alzheimer et de la Fondation pour la Recherche sur Alzheimer.
durée : 00:56:41 - Les Savantes - par : Lauren Bastide - L'astrophysicienne Sandrine Guerlet est chercheuse au Laboratoire de Météorologie Dynamique de l'Université Pierre et Marie Curie. Elle étudie les atmosphères des planètes du système solaire : Saturne et Mars notamment. - invités : Sandrine Guerlet - SANDRINE GUERLET, physicienne / planétologue - réalisé par : Khoï NGUYEN
Saviez-vous que les innombrables galaxies qui peuplent le cosmos étaient réparties très inégalement dans l'espace ? Que par conséquent 75% du volume de l'univers était vide ? Dans une étude parue le 25 août 2016 dans la revue Physical Review Letters, une équipe internationale est parvenue pour la première fois à utiliser les gigantesques vides cosmiques pour tester la théorie de la relativité générale dans un domaine nouveau – celui des basses densités, encore largement inexploré. La théorie de la gravitation d'Einstein, qui réside au cœur de notre modèle cosmologique, a subi ce nouvel examen sans encombre... Avec Benjamin Wandelt, professeur de cosmologie théorique à l'Université Pierre-et-Marie-Curie, et David Fossé, rédacteur-en-chef adjoint de Ciel & Espace.
La science, Benjamin Wandelt est tombé dedans tout petit. « J'ai quasiment appris à lire dans les livres de science de mon grand frère » confie le cosmologiste. Fasciné par la physique, cette « magie sans trucage », il s'engage finalement dans une thèse d'astrophysique à l'Imperial College de Londres, puis occupe différents postes, de Copenhague à Princeton, en passant par Munich. Aujourd'hui professeur de cosmologie théorique à l'Université Pierre-et-Marie-Curie, il conseille aux jeunes que la science intéresse de ne pas hésiter à venir à la rencontre des chercheurs ! Avec Benjamin Wandelt, professeur de cosmologie théorique à l'Université Pierre-et-Marie-Curie, et David Fossé, rédacteur-en-chef adjoint de Ciel & Espace.
Podcast : conférence de Jean-Gabriel Ganascia à l'IFM (6 janvier 2016) sur l'intelligence artificielle, les relations homme-machine et le transhumanisme. Jean-Gabriel Ganascia est professeur à l'Université Pierre-et-Marie-Curie (UPMC)/Paris 6/Jussieu. Expert en intelligence artificielle, apprentissage machine, sciences cognitives, philosophie computationnelle, éthique des nouvelles technologies, il a écrit de nombreux ouvrages parmi lesquels « L’âme machine » aux éditions du Seuil (1990), « L’intelligence artificielle » (1993, Flammarion, coll. Domino), « Les sciences cognitives » (1996, Flammarion, coll. Domino), « 2001, l’odyssée de l’esprit » (1999, Flammarion, coll. Essai)... Résumé de son intervention : "si la machine est intelligente, c’est que nous la concevons comme intelligente".
Pour la première émission du Miroir des sciences le 18 septembre 2015 sur Radio Aligre 93.1 à Paris, Marie Mirpois et François Legrand reçoivent Jean-Louis Bobin, professeur à l'Université Pierre & Marie Curie, qui publie "Demain, quelle Terre ?" aux éditions EDP sciences
L'explosion de la taille des réseaux tels qu'Internet, Facebook ou Wikipédia offre de nouvelles opportunités d'établir de nouveaux contacts et de partager de l'information et des savoir. Cependant, l'excès d'information pose également problème : sur Facebook, à quels contacts envoyer un message sachant que la plupart des utilisateurs ont plusieurs centaines d'amis ? Quelles pages Wikipédia faut-il lire en priorité pour en apprendre le plus possible sur un sujet donné ? Comment prévenir la propagation d'un virus informatique ? Dans tous ces contextes, acquérir de l'information sur les relations entre entités (pages web, comptes Facebook, ordinateurs ou téléphones reliés à internet) et sur l'évolution de ces relations permet de mieux appréhender le fonctionnement global des systèmes sous-jacents et par la suite de proposer des outils méthodologiques ou algorithmiques adaptés aux problèmes rencontrés. La science des réseaux (networks science) tient ses origines en sociologie (SNA ou Social Networks Analysis) avec des travaux datant du début du 20e siècle mais a pris un essor nouveau ces quinze dernières années et impacte la plupart des disciplines. Je présenterai dans cet exposé un bref historique des problématiques liées au SNA en montrant comment elles ont pu évoluer pour continuer à se situer au coeur des recherches actuelles. Je mettrai en évidence certaines propriétés essentielles des réseaux réels, telles que l'identification des individus les plus centraux dans un réseau, ou l'identification (automatique) de groupes d'individus pertinents. Plus qu'une présentation sur les questions ouvertes ou les réponses en pointe de la recherche en « science des réseaux », cet exposé se veut une introduction à un ensemble de questions très actuelles. Jean-Loup Guillaume est professeur au Laboratoire Informatique, Image et Interaction à l'Université de la Rochelle depuis 2014. Il était précédemment membre de l'équipe "Complex Networks" du LIP6 à l'Université Pierre et Marie Curie". Ses travaux de recherche sont centrés sur de l'étude des graphes de terrain (ou complex networks) et plus particulièrement de leur dynamique avec un intérêt fort pour l'étude d'algorithmes de décomposition de grands graphes (dynamiques) en communautés. Il a participé à de nombreux projets de recherche et travaille en relation avec plusieurs industriels (Thalès, Orange, Linkfluence...) sur des thématiques liées à la cyber-sécurité, la lutte contre le cybercrime et la fouille de données massives de manière plus large.
Avez-vous déjà essayé de comprendre le langage de votre chien ? Il y a des scientifiques qui sont payés pour ça. Et il y arrivent. Soyons clair, la science n'est pas morale, certaines de ses applications sont même un peu glauques, mais en général, il y a quand même moyen d'en tirer une ou deux histoires sympa, en plus de comprendre un peu mieux le monde dans lequel on se trouve et, je sais pas, de faire des trucs cool comme allonger l'espérance de vie, aller dans l'espace et jouer à Pokémon X en 3D, mine de rien ! Marion Montaigne parle de tout ça dans ses BDs, il fallait bien qu'elle le fasse dans un micro. On s'est posés dans le cloitre de l'Université Pierre et Marie Curie (qui était en travaux, EVIDEMMENT) et on a passé une heure plutôt folle. Tout est là.BONUS: Visite au musée des "pathologies anatomiques" (possible ASMR) https://soundcloud.com/madeinloriginale/au-musee-des-pathologies-anatomiques-possible-asmrTu Mourras Moins Bête: http://tumourrasmoinsbete.blogspot.fr/Bill Bryson: http://www.billbryson.co.uk/Supersmart animals: http://www.bbc.co.uk/programmes/b01by613Equality Capucins: https://www.youtube.com/watch?v=lKhAd0Tyny0Alexandra Horowitz: http://www.amazon.com/Inside-Dog-What-Dogs-Smell/dp/1416583432------------------------------------------------Abonnez-vous ! @madeinloriginale------------------------------------------------A suivre sur www.loriginale.net, sur Facebook www.facebook.com/fromloriginale ou sur Twitter www.twitter.com/DrHercouet
L'université française est saisie actuellement par un courant de transformations nécessaires afin de répondre au besoin d'harmonisation européenne et internationale. Le secteur des langues et cultures étrangères pour les étudiants qui ne seront pas spécialistes en langues (LANSAD, Langues pour Spécialistes d'Autres Disciplines) n'y échappe pas ; au contraire, domaine indispensable à la mobilité des étudiants et à l'ouverture au marché de l'emploi, il est au coeur des interrogations pédagogiques. A l'université, les langues pour le secteur LANSAD ont un statut mal défini et très variable selon les établissements. Doit-on penser leur apprentissage en continuité avec les pratiques de l'enseignement secondaire ou, au contraire, en rupture, pour prendre en compte les besoins des étudiants dans leurs spécificités ? Le développement galopant des TIC pousse à réfléchir à de nouveaux dispositifs fondés sur l'immensité des possibilités offertes mais aussi sur les connaissances actuelles des processus d'apprentissage et du développement des personnes. Si la finalité d'un dispositif médiatisé est de favoriser, autant que possible, la mise en oeuvre d'expériences d'apprentissage potentiellement favorables à l'acquisition d'une langue, la conception d'un tel dispositif implique une démarche d'ingénierie pédagogique, elle-même indissociable d'un ancrage épistémologique. La description de deux dispositifs médiatisés mis en place de manière expérimentale à l'Université Pierre et Marie Curie (Paris 6) et à l'Université de Strasbourg viendra illustre les idées développées.
Introduit originellement comme un concept philosophique au Vème siècle avant J.-C., la réalité physique de l'atome est établie depuis le début du XXème siècle. Depuis cette époque, il est considéré par les chimistes comme la brique élémentaire à la base de la construction des édifices moléculaires. Dans les années 1980, des progrès technologiques remarquables ont permis de réaliser des images de molécules ou d'atomes isolés, déposés sur une surface. En chimie, un pas supplémentaire a été franchi à la fin du XXème siècle, lorsque les progrès réalisés en science des lasers ont permis de suivre "en temps réel", le mouvement des atomes pendant une réaction chimique (A. Zewail, Prix Nobel 1999). Plus récemment encore, au cours de la dernière décennie, des images "instantanées" du nuage électronique au sein d'une molécule viennent d'être réalisées, avec une résolution temporelle "attoseconde". On envisage maintenant la possibilité de "filmer en temps réel" le mouvement des électrons au sein d'une molécule, au cours d'une transformation chimique. L'exposé permettra de faire le point sur ces avancées extrêmement récentes, dont certaines ont été réalisées à l'Université Pierre et Marie Curie.
L'université Pierre et Marie Curie a honoré ses médaillés d'or et finaliste aux Jeux Olympiques d'Athènes 2004, Brice Guyart, Gaël Touya, Jean-David Bernard le 30 septembre au centre sportif Jean Talbot sur le campus Jussieu.
Pierre Encrenaz Professeur de physique à l'Université Pierre et Marie Curie. Chercheur au Laboratoire d'Etude du Rayonnement et de la Matière en Astrophysique (LERMA - UPMC-CNRS-Observatoire de Paris-ENS-Université Cergy Pontoise)
Pierre Encrenaz Professeur de physique à l'Université Pierre et Marie Curie. Chercheur au Laboratoire d'Etude du Rayonnement et de la Matière en Astrophysique (LERMA - UPMC-CNRS-Observatoire de Paris-ENS-Université Cergy Pontoise)
;- 1er partie -
- 2 éme partie -
- 2 éme partie -
;- 1er partie -
Hervé Le Guyader Professeur de biologie évolutive à l'Université Pierre et Marie Curie, Directeur du laboratoire « Systématique, adaptation, évolution » CNRS-UPMC-MNHN-IRD-ENS. Qu'est-ce que cette biodiversité dont tout le monde parle ? En fait, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose, tout naturaliste l'étudiait sans le savoir, avant que le monde socio-économique ne fasse entrer de force ce concept en biologie.
Hervé Le Guyader Professeur de biologie évolutive à l'Université Pierre et Marie Curie, Directeur du laboratoire « Systématique, adaptation, évolution » CNRS-UPMC-MNHN-IRD-ENS. Qu'est-ce que cette biodiversité dont tout le monde parle ? En fait, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose, tout naturaliste l'étudiait sans le savoir, avant que le monde socio-économique ne fasse entrer de force ce concept en biologie.
Nicole El Karoui - Professeur de mathématiques appliquées à l'Université Pierre et Marie Curie et à l'École Polytechnique
Nicole El Karoui - Professeur de mathématiques appliquées à l'Université Pierre et Marie Curie et à l'École Polytechnique
14 Jun 2008 19:00:00 GMT support-monupmc@upmc.fr
14 Jun 2008 19:00:00 GMT support-monupmc@upmc.fr
14 Jun 2008 19:00:00 GMT support-monupmc@upmc.fr
14 Jun 2008 19:00:00 GMT support-monupmc@upmc.fr
16 Jun 2007 18:00:00 GMT support-monupmc@upmc.f
16 Jun 2007 19:00:00 GMT support-monupmc@upmc.f
16 Jun 2007 18:00:00 GMT support-monupmc@upmc.fr
16 Jun 2007 19:00:00 GMT support-monupmc@upmc.fr
Lecture commémorative du 1 er cours à la Sorbonne Accueil par Gilbert Béréziat, Délégué Général de Paris Universitas, Edouard Brézin, Président de l'Académie des Sciences, Président de l'Association Curie et Joliot-Curie. - "Marie Curie professeur à la Sorbonne : une décision historique " par Hélène Langevin-Joliot, Directrice de recherche émérite, - Madame Curie, chargée de cours à la Sorbonne "Les théories modernes relatives à l'Électricité et à la Matière " Leçon d'ouverture du cours de physique générale professé à la Sorbonne le 5 novembre 1906. Lecture du cours commentée par Marie-Paule Pileni, Professeure des Universités et Directrice du Laboratoire LM2N à l'Université Pierre et Marie Curie, Administratrice de l'Institut Universitaire de France et Pierre Radvanyi, Directeur de recherche émérite, Secrétaire Général de l'Association Curie et Joliot-Curie
14 Jun 2005 15:16:51 GMT support-monupmc@upmc.fr
14 Jun 2005 15:16:51 GMT support-monupmc@upmc.fr
Avec Berni HASENKNOPF L'Université Pierre et Marie Curie