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Pendant l'été 2022, on a assisté à une succession de discours de jeunes diplômés des grandes écoles appelant ouvertement leurs camarades à bifurquer ou à déserter. Les médias se sont emparés du sujet et ont multiplié les articles, les interviews, et les portraits de ces bifurqueuses et bifurqueurs. Ayant écrit un livre sur le sujet (Le courage de renoncer, Payot, 2022), j'ai été invité dans plusieurs émissions pour en discuter. À cette occasion, certains journalistes ont fait le parallèle entre ce mouvement et celui des années 70 dont la figure emblématique est celle du Larzac. Et force fut de constater que je n'y connaissais rien. J'avais une image très caricaturale de communautés "pseudo hippies" sans comprendre réellement d'où venait ce mouvement, quelle fut son ampleur, et dans quel contexte il apparut. Pour moi, il n'y avait pas de parallèles entre ces deux mouvements sociaux que presque 50 ans séparent. Et pourtant, je me trompais lourdement. Jean-Paul Malrieu a 83 ans. Chercheur au CNRS, il est l'un de ces bifurqueurs des années 70 qui a décidé de quitter Paris pour s'installer en communauté à la suite de mai 68. Il a écrit en février 2023, dans la revue Terrestres, une très belle lettre aux bifurqueurs d'aujourd'hui dans laquelle il fait part de son expérience et de ce qu'il retire de ce mouvement qui s'est essoufflé dans les années 1980. Cette lettre m'a particulièrement touché et j'ai eu envie de le rencontrer. Dans cet épisode, Jean-Paul revient sur les événements de mai 68, sur son parcours personnel, et le mouvement des bifurqueurs des années 70. Tout au long de notre échange, nous essayons de dresser les similitudes et les différences entre ces deux mouvements sociaux tout en nous interrogeant sur ce que l'on peut en retirer pour celles et ceux qui souhaitent transformer notre modèle de société face à l'urgence écologique. Bonne écoute !
Les enfants vont bien: homoparentalité et autres schémas familiaux
Voila plusieurs semaines que je vous partage le lien d'une enquête qui me semble essentielle pour quantifier nos familles et qualifier nos parcours dans le monde de la parentalité. Cette enquête, c'est celle de l'INED: l'institut National d'Etudes Démographique qui s'intitule AMP sans frontières. Son titre est très évocateur de son angle de recherche. L'idée est de recenser les personnes ayant eu recours à la PMA à l'étranger, quelque soit leur configuration familiale et les raisons de ce recours. Plusieurs associations ont été intégrées à la conception du questionnaire: des associations qui apportent leur soutien aux parents solos, aux parents ayant recours à une GPA, aux parents LGBTQIA, et aux parents ayant recours a une PMA. La réussite de cette enquête dépend de nous toustes, de notre engagement à y répondre!Et nous savons combien il est difficile d'obtenir des données chiffrées concernant nos familles et combien elles sont sous-estimées dans le paysage public. Alors cette enquête est, a mon sens, une véritable opportunité pour nous, de nous visibiliser. Pour que vous en compreniez mieux les motivations des chercheurs qui sont derrière ce projet, j'ai invité Virginie Rozee, Chercheur.e en infertilité, reproduction, genre, famille, santé et droits sexuels à l'INED et Elise De La Rochebrochard Chercheur.e en santé reproductive, fécondité, famille, conjugalités, santé et droits sexuels à l'Ined aussi, afin qu'elles nous exposent le cheminement qui les a mené à developper cette enquête. Je vous ajoute ici le lien de l'enquete, n'hésitez pas à y répondre.https://amp-sans-frontieres.site.ined.fr/Je vous souhaite une bonne écoute. J'ajoute juste ici, que si ce podcast vous plait et que vous souhaitez le soutenir, je vous propose de nous retrouver sur ma page Steady. Vous en trouverez le lien en bio du compte Instagram du podcast: @lesenfantsvontbienpodcast et ici: https://steadyhq.com/les-enfants-vont-bienSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/lesenfantsvontbien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que les réseaux sociaux sont souvent considérés comme l'une des raisons pour lesquelles les jeunes lisent de moins en moins, TikTok pourrait peut-être sauver l'industrie du livre. Depuis le lancement en 2019 du hashtag Booktok, mélange de “book” et de “TikTok”, les librairies, les maisons d'édition et même les auteur·ices se mettent à investir le réseau social avec l'espoir de voir leurs ventes augmenter. Stéphanie Bascou se penche sur le phénomène des booktoker au côté de Louis Wiart, professeur en communication à L'université libre de Bruxelles et co-auteur des Plateformes à la conquête des industries culturelles, de Julien Pillot, enseignant-Chercheur en Économie à l'Inseec Grande École et de Florence Euzéby, enseignante chercheuse en sciences de gestion à l'IAE de la Rochelle. TikTok a-t-il réellement changé l'économie du livre ou s'agit-il seulement d'un phénomène de surface ? Qu'est-ce que gagnent les influenceurs à publier des contenus avec le #Booktok ? Leur recommandations font-elles réellement décoller les ventes ? Sources Les études de l'agence Reech, 2023 The real impact of #Booktok on book sales, Aline Zara, 2022 L'étude de l'Ipsos pour le Centre National du Livre : Les jeunes français et la lecture, 2022 Splash est un podcast de Nouvelles Écoutes Écrit et animé par moi, Stéphanie Bascou en compagnie d'Emmanuel Martin Prise de son, montage, et mixage : Adrien Beccaria à l'Arrière Boutique Studio Réalisé par Adrien Beccaria et Mathilde Jonin Produit par Julien Neuville Directrice Générale Adjointe : Nora Hissem Directrice Des productions : Marion Gourdon Directrice artistique : Aurore Mahieu Chargée de production : Mathilde Jonin avec l'aide de Neïla Hakmi
Eloi Benoist-Vanderbeken, responsable technique de l'équipe Reverse chez Synacktiv et David Berard, chercheur en sécurité chez Synacktiv, étaient les invités de François Sorel dans Tech & Co, ce mercredi 5 avril. Ils sont revenus sur leurs exploits dans le concours de hacking qui a lieu chaque année à Vancouver, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:14:43 - Les Enjeux internationaux - par : Marguerite Catton - Retour sur le parcours d'Evgueni Prigojine, le visage de la milice Wagner, depuis ses débuts à Saint-Pétersbourg jusqu'aux cercles rapprochés du pouvoir. - invités : Colin Gérard Chercheur au centre Géode et à l'Institut français de géopolitique
Il y a 27 ans, Emmanuel Mignot, professeur de pharmacologie, est envoyé aux Etats-Unis pour étudier un médicament prescrit pour les patients narcoleptiques. A cette époque, rares sont les traitements qui existent pour soigner cette maladie qui reste mystérieuse. Sur place, il rencontre des patients et devient fasciné par cette pathologie du sommeil. Il va alors se lancer un pari fou : trouver la cause de la narcolepsie en étudiant des chiens atteints de la maladie...
EXPERTS PARTIE 1 - BRUNO LE MAIRE Ministre de l'Économie et des Finances EXPERTS FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales THOMAS PORCHER Économiste Auteur de « Mon dictionnaire d'économie » ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS PARTIE 2 - FRANÇOIS HOLLANDE Ancien Président de la République EXPERTS FRANÇOIS CLEMENCEAU Rédacteur en chef international « Le Journal du Dimanche » MARION VAN RENTERGHEM Grand Reporter – « L'Express » PARTIE 3 - THIERRY BRETON Commissaire européen au marché intérieur EXPERTS PHILIPPE DESSERTINE Directeur de l'Institut de Haute Finance Auteur de « Le grand basculement » NATHALIE MAURET Journaliste politique Groupe de presse régionale « Ebra » La France de 2023 s'ouvre sur un monde qui a basculé. Les prix explosent, les règles économiques sont balayées et les rapports de force mondiaux chamboulés. C dans l'air vous propose une soirée inédite, ce 8 janvier à 20.55, pour savoir ce qui nous attend en 2023. Entre l'inflation, l'économie et la guerre qui continue d'inquiéter l'Europe et le monde, 2023 sera-t-elle l'année de toutes les crises ? Cette émission spéciale de 90 minutes sera proposée en trois parties, avec trois invités et plusieurs experts, pour comprendre, décrypter et analyser la France de 2023. En première partie de soirée, Caroline Roux recevra le ministre de l'Economie et des Finances, BRUNO LE MAIRE. Ils aborderont, avec des experts de C dans l'air, la question de l'inflation, les mesures d'accompagnement prévues par le gouvernement pour y faire face et la dette. En deuxième partie de soirée, Caroline Roux accueillera l'ancien président de la République FRANÇOIS HOLLANDE. Ils reviendront sur la guerre en Ukraine (bilan et perspective), l'Europe de la défense, la Chine et ils s'interrogeront sur : qui sont nos alliés aujourd'hui ? Enfin, en troisième partie de soirée il sera question de la crise climatique, du virage vert qui nous attend et de l'Europe avec THIERRY BRETON, commissaire européen au marché intérieur. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce vendredi 6 janvier, la publication d'un groupe de chercheurs chinois affirmant qu'ils peuvent casser le cryptage informatique grâce un ordinateur quantique, a été abordée par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS GAËLLE MACKE Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges » JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste - « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques SANDRA HOIBIAN Directrice générale du CRÉDOC Des factures d'électricité multipliées par 2, par 5 ou carrément par 10 : c'est ce qui arrive à certains professionnels, comme les boulangers qui crient à la « catastrophe » et appellent à manifester le 23 janvier à Paris. Pour tenter de répondre à leurs inquiétudes, le gouvernement, qui subit les attaques de l'opposition, et notamment du Rassemblement national, auteur d'une « Lettre aux boulangers de France », a multiplié les interventions et réunions mardi sur le sujet, en particulier avec les fournisseurs d'électricité et de gaz. Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire et sa ministre déléguée aux PME, Olivia Grégoire, ont ensuite reçu à Bercy les représentants de la profession. Ils leur ont notamment annoncé qu'ils pourront demander le décalage de leur échéances fiscales et sociales, comme d'ailleurs toutes les PME. Surtout, ils pourront désormais résilier leur contrat sans frais en cas de hausse « prohibitive ». Cette « mesure exceptionnelle » a été prise uniquement pour venir en aide aux boulangers « dans le cas où la survie de l'entreprise est menacée » a expliqué Bruno Le Maire. Mais déjà d'autres professions, comme les restaurateurs, demandent à pouvoir en bénéficier. Invité sur France Inter ce mercredi matin, le ministre de l'Économie a affirmé qu'il ne relancerait pas de « quoi qu'il en coûte » pour toutes les professions touchées par la crise énergétique. « En 2023, les aides désormais seront ciblées sur ceux qui en ont le plus besoin ». Cependant, Bruno Le Maire a indiqué qu'il allait recevoir les restaurateurs « dans la semaine ». En ce début d'année, l'inflation impacte fortement les entreprises mais elle se fait également de plus en plus sentir dans le budget des ménages notamment avec une facture des courses qui s'envole, et commence à produire des effets dans le secteur de l'immobilier. Sur fond de baisse de pouvoir d'achat des ménages, de rapide augmentation des taux d'intérêt en 2022 et de difficultés d'accès au crédit les prix de l'immobilier commencent à baisser : - 7 % pour les appartements au mois de décembre. Un premier signe d'un retournement du marché de l'immobilier en France après dix ans de hausses spectaculaires. Les taux remontent, l'inflation se poursuit, le pouvoir d'achat s'effrite… Alors pourquoi les factures d'électricité des boulangers et d'autres PME s'envolent-elles ? Les mesures annoncées par le gouvernement pour les ménages et les entreprises sont-elles suffisantes pour faire face à l'inflation ? Enfin que se passe-t-il sur le marché de l'immobilier ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
NOTRE BOULANGER VA-T-IL FERMER ? – 04/01/23 EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS GAËLLE MACKE Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges » JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste - « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques SANDRA HOIBIAN Directrice générale du CRÉDOC
Pierre Jaillet, chercheur associé à l'Institut Jacques Delors et à l'IRIS, était l'invité de Sandra Gandoin et Stéphane Pedrazzi dans Good Morning Business, ce vendredi 30 décembre. Ils se sont penchés sur l'entrée de la Croatie dans la zone euro à partir du 1er janvier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Tu aimes Papa PhD ? Laisse-moi un commentaire > ici < – une courte phrase suffit ! Et inclus ton identifiant Twitter – comme ça je pourrai te remercier personnellement ! Cette semaine sur Papa PhD, je t'apporte un des épisodes les plus écoutés de la saison 2 de Papa PhD – ma conversation avec... The post Faire le pont entre chercheur.e.s. et entreprises avec Anne Bonlarron (rediffusion) appeared first on Papa Phd Podcast.
SOBRIÉTÉ : LES FRANÇAIS JOUENT LE JEU ! – 20/12/22 EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS GAËLLE MACKE Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges » PASCALE HÉBEL Directrice associée chez C-Ways Spécialiste des questions de consommation THIERRY BROS Professeur à Sciences Po Spécialiste des questions énergétiques
EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS GAËLLE MACKE Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges » PASCALE HÉBEL Directrice associée chez C-Ways Spécialiste des questions de consommation THIERRY BROS Professeur à Sciences Po Spécialiste des questions énergétiques Le risque de coupure d'électricité en France pour le mois de janvier s'éloigne. Alors que jusqu'à présent le début de l'année 2023 était classé comme à risque « élevé » par RTE, le réseau de transport d'électricité vient d'abaisser sa prévision. Selon sa dernière analyse, ce risque pour le réseau électrique en janvier apparaît désormais comme « moyen » mais « sous réserve du maintien des efforts d'économies d'énergies », précise le gestionnaire. Cette évolution favorable pour le mois de janvier est en effet d'abord à mettre sur le compte d'une forte baisse de la consommation des Français qui est « désormais solidement établie », avec un recul de 9 % sur les quatre dernières semaines et même de 9,7 % la semaine dernière par rapport à la moyenne des années précédentes (2014-2019, hors crise sanitaire). Des chiffres qui confirment selon RTE « l'effet réel des actions de sobriété engagées par les particuliers et les entreprises », alors même que « les températures se sont situées significativement en-dessous des normales de saison » la semaine passée, contrairement aux semaines précédentes où les températures plus douces « avaient réduit les besoins d'électricité pour le chauffage », souligne le gestionnaire. Une baisse de la consommation électrique que l'on observe désormais dans tous les secteurs après avoir été particulièrement marquée dès l'automne dans l'industrie où l'envolée des prix de l'énergie et la crainte des délestages ont poussé des entreprises à réorganiser leur production. Ainsi à l'usine Accuride Wheels, à la Chapelle-Saint-Luc, près de Troyes, les salariés travaillent depuis un mois la nuit, pour réduire la consommation d'électricité et les risques de coupure de courant. Autres bonnes nouvelles : les stocks hydrauliques, largement impactés par la sécheresse record qui a touché la France ces derniers mois, ont pu être reconstitués au cours de l'automne, tandis que les stocks de gaz, eux aussi remplis à 100 % avant l'arrivée de l'hiver, ont pu être préservés grâce aux températures particulièrement douces des mois d'octobre et de novembre. Enfin du côté du parc nucléaire français, la capacité dépasse à présent les 40 gigawatts (GW) après la remise en service de certains réacteurs, mais EDF doit faire face à de nouveaux coups durs. L'entreprise a fait savoir, lundi, à l'AFP, que deux réacteurs ne pourront finalement pas redémarrer avant la fin de cet hiver, et six autres devront être arrêtés en 2023 pour des réparations liées à des problèmes de corrosion. L'électricien explique sur son site avoir fait le choix de remplacer systématiquement les tuyauteries de la catégorie de réacteurs la plus exposée à ces risques de corrosion, sur des conduites de secours servant à refroidir le réacteur en cas d'urgence. Ces réacteurs devront être arrêtés le temps des travaux, ce qui augure un hiver 2023-2024 tout aussi compliqué que cette année. Actuellement 40 réacteurs sur 56 fonctionnent. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Pour rester au fait d'un marché du travail en évolution, les pratiques de recrutement doivent changer également. Dans ce discours pratique, l'experte en acquisition de talents Nithya Vaduganathan donne cinq conseils cruciaux que chaque recruteur (et chaque chercheur d'emploi) devrait connaître pour alimenter une culture du travail inclusive, aller vers plus de productivité et révéler les talents cachés.
durée : 00:04:28 - Les Savanturiers - par : Daniel FIEVET - Pour évaluer l'impact des activités humaines et du dérèglement climatique sur la biodiversité, l'écoacousticien Jérôme Sueur pose des micros en pleine nature. Il raconte son travail à Daniel Fiévet.
EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS EMMANUEL DUTEIL Directeur de la rédaction - « L'Usine Nouvelle » SHARON WAJSBROT Journaliste spécialiste des énergies - « Les Echos » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » Alors que l'hiver s'installe dans le pays, l'hypothèse de coupures de courant apparaît de plus en plus plausible. Le gouvernement a adressé la semaine dernière aux préfets une circulaire pour préparer leurs départements aux « délestages » que RTE imposera pour éviter un effondrement complet du réseau électrique, le redouté « black-out ». On y apprend que les coupures pourront avoir lieu durant les deux pics de consommation (le matin de 8 heures à 13 heures) et le soir (entre 18 heures et 20 heures), et entraîneront notamment l'arrêt des métros et trains, des numéros de téléphone à l'exception du 112 et d'Internet ainsi que la fermeture des écoles situées dans les zones touchées par les délestages. Selon Enedis, ces coupures devraient être limitées à deux heures par zone et annoncées à l'avance. Mais quelques « zones rouges » y échapperont totalement, principalement les territoires où se situent les établissements de santé et les installations liées à la sécurité nationale. La probabilité de coupures d'électricité cet hiver, notamment durant le mois de janvier, est donc de plus en plus envisagée. « Un test national » est même prévu par Enedis et RTE « le 9 décembre prochain ». Mais alors que le scenario se précise, l'inquiétude gagne les Français et les questions abondent. Au point qu'Emmanuel Macron a tenté de calmer le jeu samedi dans un interview au Parisien en lançant un « pas de panique », si les Français font des « efforts », le pire pourra être évité. Depuis ce lundi, l'ensemble des ministres reprennent ce discours et mettent l'accent sur la « responsabilité collective » pour passer l'hiver, bien que la situation résulte de la crise énergétique mais surtout des défaillances de la filière nucléaire, en incapacité de fonctionner à plein régime. Un point soulevé par plusieurs membres de l'opposition qui commencent à fulminer. Ainsi Alexis Corbière (La France insoumise) voit dans l'éventualité de coupures de courant un « désordre ». « On ne peut pas tout mettre sur le dos de la guerre en Ukraine ». « Les coupures d'électricité comme il y a quarante ans en Union soviétique semblent planer sur la France. Voilà où nous mène l'inconséquence » estime Eric Ciotti (Les Républicains). De son côté Jordan Bardella (RN) s'insurge : le plan du gouvernement est « extrêmement inquiétant ». Emmanuel Macron et Elisabeth Borne « devraient s'excuser » pour avoir organisé le « sabordage de notre filière nucléaire depuis maintenant 5 à 10 ans ». Alors quel est l'état parc nucléaire français ? Aujourd'hui parmi les 56 réacteurs nucléaires que compte le pays, pour la plupart construits entre 1965 et 1985, 20 se trouvent toujours à l'arrêt, pour maintenance, notamment en raison de la découverte de problèmes de fissures sur les circuits de refroidissement. Entendu mardi à l'Assemblée nationale par la commission d'enquête sur la souveraineté et l'indépendance énergétique, l'ex-haut-commissaire à l'énergie atomique Yves Bréchet (de 2012 à 2018) a estimé que le nucléaire tricolore souffre d'une « désinformation continue [...] acceptée par l'État, quand elle n'est pas organisée par lui ». Il a également pointé « l'inculture scientifique et technique de notre classe politique », et la « faiblesse des analyses conduisant aux décisions de l'Etat » en matière de politique énergétique. C'est dans ce contexte de forte tension que l'Assemblée nationale se penche à partir d'aujourd'hui sur le projet de loi visant à rattraper le retard français en matière d'énergies renouvelables (solaire, éolien). Le pays, qui s'est longtemps reposé sur la puissance de son parc nucléaire, a généré en 2021 19 % de son électricité avec du renouvelable, une part plus faible qu'ailleurs en Europe et que les objectifs fixés. Alors quelles sont les prévisions de RTE pour cet hiver ? Comment fonctionne la plateforme Ecowatt ? Que prévoit le plan du gouvernement ? Comment vont se dérouler les coupures d'électricité ? Quelles zones ou bâtiments seront épargnés ? Lesquelles ne le seront pas ? Pourquoi le parc nucléaire français est-il affaibli ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
ÉLECTRICITE : PRÊTS POUR LES COUPURES ? EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS EMMANUEL DUTEIL Directeur de la rédaction - « L'Usine Nouvelle » SHARON WAJSBROT Journaliste spécialiste des énergies - « Les Echos » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne »
La semaine où je célébrais le 200e épisode de Papa PhD, j'ai eu le plaisir d'interviewer un invité d'honneur - Rémi Quirion, le scientifique en chef du Québec - pour entendre son point de vue sur le doctorat et sur l'avenir des PhD sur le marché du travail.Durant l'enregistrement j'ai posé à Rémi les questions que vous m'avez envoyées et celles que ont été partagées en direct, sur Linkedin ou sur YouTube. Et Rémi à répondu à toutes mes questions, de la pertinence du doctorat en 2022 aux programmes offerts à la relève en recherche par les FRQ à la question de la professionnalisation et de la rémunération des doctorantes et des doctorants, donc c'est un épisode à écouter avec crayon et papier !Pendant que tu es là, je profite de l'occasion pour t'annoncer que Papa PhD a rejoint l'initiative Podcast 2.0 et est maintenant prêt à recevoir des boosts de ta part ! Un boost est une contribution valeur pour valeur (V4V) en Satoshis (ou Sats), la plus petite dénomination Bitcoin existante.Tous les boosts reçus feront l'objet d'une mention dans l'émission, en remerciement pour le soutien.Télécharge l'application Fountain, qui soutient les initiatives Podcast 2.0, et booste l'émission.J'aimerais aussi apprendre à mieux te connaître. Si tu as 60 secondes, remplis l'enquête auprès des auditeurs en cliquant sur ce lien. Fais un don à Papa PhD et soutiens le podcast.Échange d'autocollants : envoie-moi l'autocollant de ton podcast et je t'enverrai un autocollant Papa PhD. J'aimerais bien avoir un mur d'autocollants de mes amis podcasteurs ! VIDÉO https://youtu.be/oRfwpkKXAkoRémi Quirion est un chercheur québécois en neurosciences. Auteur de plus de 750 publications dans des revues scientifiques reconnues, il est l'un des chercheurs en neurosciences les plus cités dans le monde et récipiendaire de nombreux prix et distinctions.En juillet 2011, il est nommé scientifique en chef du Québec par le gouvernement du Québec devenant ainsi le premier à assumer la fonction.Il est le premier dirigeant des Fonds de recherche du Québec (FRQNT, FRQS, FRQSC) et préside, depuis septembre 2011, le Réseau international des scientifiques en chef et conseillers scientifiques (INGSA). Il devient ainsi le premier président francophone de cette organisation qui regroupe plus de 5 000 membres répartis dans environ 110 pays. Les ressources de cet épisode : Rémi Quirion | LinkedInRémi Quirion | TwitterScientifique en chef du Québec | Site WebRapport "L'université du Futur" | Site WebComité intersectoriel étudiant | Site WebBourse tremplin - Stage en milieu pratique | Site Web Merci Rémi Quirion ! Si cet entretien avec Rémi Quirion, le scientifique en chef du Québec, t'a plu, fais-nous en part en cliquant sur les liens ci-dessous et en nous laissant un message :Clique ici pour remercier Rémi Quirion sur Twitter !Clique ici pour partager avec David le principal message que tu retiens de cet épisode !Si tu trouves de la valeur dans le contenu que je t'apporte chaque semaine, clique sur l'un des boutons ci-dessous et renvoie-moi l'ascenceur :) Don sécuritaire sur PayPal Deviens supporter sur Patreon ! Ou paye-moi un café :) Tu aimeras aussi ces épisodes : Charlotte Hendryckx – L'aventure du doctorat à l'étranger : PapaPhD.com/193Erika Dupont – Le parcours doctoral est-il au service de chercheurs ? : PapaPhD.com/175Jean-Patrick Toussaint – Mieux préparer les doctorants à l'emploi : PapaPhD.com/155Myriam Beaudry - L'importance de rencontrer d'autres chercheur.e.s pendant ton doctorat : PapaPhD.com/183
Invité: Younes Belfellah , Chercheur et consultant, directeur de MEDFOCUS Think tank.
Comment lutter contre la désinformation sur les réseaux sociaux ? Une étude révèle des phénomènes intéressants sur les signalements de contenus par les utilisateurs. Seuls 7% des contenus signalés par les utilisateurs des plateformes du groupe Meta (Facebook, Instagram...) font réellement l'objet d'une modération. Pour quelles raisons ? Parce que certains contenus ne sont pas réellement de la désinformation ou bien parce qu'ils sont trop peu significatif. Que faut-il en déduire sur la perception de la désinformation ? C'est l'objet d'une étude menée par les chercheurs en intelligence artificielle Hubert Etienne et Onur Çelebi.
L'ex-chercheur d'Hydro-Québec accusé d'espionnage est remis en liberté. Quelque 400 employés de l'Institut national de santé publique du Québec sont en grève durant trois jours. L'auteur de la tuerie survenue dans un supermarché de Buffalo en mai dernier a plaidé coupable de meurtres racistes et d'acte de terrorisme devant la justice de l'État de New York. | Joane Prince (journaliste-présentatrice)
durée : 00:25:08 - Schreker, Le chercheur de trésor, rare opéra - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur "Le Chercheur de trésors", un opéra du compositeur autrichien, Franz Schreker ! - réalisé par : Philippe Petit
L'avenir de la francophonie se joue en Afrique, et se joue dans la complémentarité entre le français et les langues africaines... C'est le constat que font des chercheurs alors que l'Organisation internationale de la francophonie se réunit en sommet à la fin de cette semaine à Djerba en Tunisie. Comment l'Afrique en est-elle venue à occuper cette position centrale dans la francophonie ? Quelles sont les fragilités et les défis auxquels fait face la transmission du français sur le continent ? Pour en parler notre invité ce matin est le chercheur canadien Richard Marcoux, qui dirige l'observatoire démographique et statistique de l'espace francophone. Il répond aux questions de Laurent Correau. RFI : Dans le dernier rapport la Langue française dans le monde, vous indiquez que c'est sur le continent africain que se joue l'avenir de la langue française, qu'est-ce qui vous amène à ce constat ? Richard Marcoux : En fait, ce sont vraiment les estimations démographiques. On estimait qu'il y avait à peu près 60 millions de francophones sur la planète au début des années 60, au moment des indépendances en Afrique. Ces 60 millions de personnes se répartissaient à 50 – 55 millions sur le continent européen et 5 millions de Canadiens français, donc plus de 90% de la population francophone était au nord de l'hémisphère. Cela a été transformé complètement à partir des années 60-70, porté d'abord par la croissance démographique assez importante qu'on a pu observer sur le continent africain, mais également par des investissements importants dans le domaine de l'éducation en langue française. Voilà les éléments qui font en sorte qu'on estime en 2022, à peu près, à la présence de 50% des 321 millions de personnes francophones sur le continent africain. Et donc cette progression, elle se poursuit en Afrique à l'heure actuelle ? Elle se poursuit en Afrique et elle y est vraiment portée par la croissance démographique. Dans plusieurs pays, on a réussi à maintenir les taux de scolarisation, il y a eu des augmentations considérables des taux de scolarisation primaire et secondaire dans les années 90, dans les années 2000, et évidemment dans d'autres pays on assiste à une stagnation, voire même à une régression. Je ne vous étonnerai pas en vous disant qu'au Mali, au Burkina Faso, la scolarisation stagne, voire diminue alors qu'ailleurs, en Côte d'Ivoire par exemple, depuis je dirais une dizaine d'années, on assiste à une augmentation assez importante, c'est également le cas au Bénin et au Togo. Vous avez une expression intéressante pour qualifier la place du français dans le monde contemporain, vous dites : « On naît de moins en moins francophone, mais on le devient de plus en plus », qu'est ce que vous voulez dire ? Tout ce que ça signifie c'est que le français, comme langue maternelle, est peut-être de moins en moins important... Les gens ont l'arabe comme langue maternelle, le wolof, le bambara, et bien d'autres langues, mais ils vont se franciser en quelque sorte à travers l'institution scolaire. En fait, il y a des contextes plurilingues extrêmement complexes dans la plupart des pays africains d'Afrique francophone, qui font en sorte qu'il est difficile qu'émerge une seule langue, une langue qui serait partagée par l'ensemble des populations. Depuis les années 80-90, le Français occupe cet espace-là. Le français cohabite donc avec les langues africaines et les usages ne sont pas les mêmes, on ne parle donc pas les mêmes langues au bureau, à la maison, au marché ? Dans des pays comme le Mali, ou encore le Sénégal, on voit bien qu'il y a une dichotomie : la langue à la maison est plutôt le bambara au Mali -ou d'autres langues maliennes- le wolof au Sénégal, mais ailleurs c'est assez étonnant, nos études montrent de plus en plus que le français est partagé à la maison. Je vous donnais l'exemple tout à l'heure de la Côte d'Ivoire, on le voit bien il y a une socialisation à des âges très jeunes parfois à deux même trois langues. Cette cohabitation du français avec les langues africaines et cette répartition des usages suivant les lieux et les situations, est-ce que ça oblige à d'autres stratégies d'enseignement du français ? Assurément, et je vous dirais que le programme ÉLAN [École et langue nationale en Afrique, NDLR] qui forme les élèves, qui les alphabétise dans leur langue maternelle d'abord et avant tout, en intégrant tranquillement la langue française, de façon progressive, donne des résultats extrêmement importants et ce depuis plusieurs années. Concernant la transmission du français, il y a aussi des fragilités importantes, une étude, qui s'appelle l'étude PASEC [Programme d'analyse des systèmes éducatifs, NDLR], qui a porté sur 14 pays de la francophonie, a montré qu'à la fin de leur scolarité plus de la moitié des élèves étaient en-dessous du seuil “suffisant” en lecture du français, est-ce que ça veut dire que la protection, le renforcement des systèmes éducatifs c'est l'un des grands défis actuels de la francophonie ? Assurément, dans les années 80-90, on a beaucoup tablé sur ce qu'on a appelé la massification de l'éducation sans se préoccuper de la qualité. Il faut maintenant mettre de l'avant un certain nombre de mesures pour s'assurer que les élèves qui passent à travers le système scolaire puissent en sortir avec des compétences vraiment assurées. Est-ce que vous constatez, Richard Marcoux, un ralentissement de la progression de la langue française avec les courants anti-français que l'on voit se développer dans plusieurs pays ou est-ce que la langue française vit sa propre vie avec les populations africaines ? Je vous dirais que les enjeux qu'on observe pour l'instant sont liés en quelque sorte à des problèmes structurels, économiques, à des problèmes de crise politique. Est-ce que c'est lié à un sentiment anti-français ? Je ne crois pas. J'ai l'impression que le français est devenu une langue africaine, je ne sens pas qu'il y ait un lien entre ce courant anti-français et l'essor de la langue française.
RDV demain matin pour l'épisode complet avec Michaël Hirsch !➡️ IMPORTANT ! Abonnez-vous à mes podcasts :Mettez 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify + un cool commentaire sur Apple PodcastsHistoires de DaronsHistoires de DaronnesHistoires d'ArgentHistoires de SuccèsHistoires de MecsTrouver sa raison d'êtreDeuxième Vie (après le divorce)Les Biscuits de la VieVous voulez sponsoriser le podcast ? Mais avec grand plaisir, par ici !
"Le paradigme n'est plus de finir avec des voitures pas chère qui se conduisent seule, mais à des taxis qui coûteront plus cher dans des contextes très définis" Le D.E.V. de la semaine est Baptiste Freydt, Chercheur en visite au MIT et podcasteur chez Niptech. Baptiste nous raconte son projet de recherche au MIT. Nous discutons avec lui du potentiel d'avoir des IA qui contrôlent les infrastructures ou guident les conducteurs en plus des voitures autonomes. Ces dernières étant trop minoritaires sur les routes et encore incapable de gérer la moindre spécificités d'une route, d'un pays ou d'un climat. Il nous raconte comment ces IA sont construites, puis entraînées, ainsi que l'approche d'un labo universitaire pour résoudre ces challenges. Liens évoqués pendant l'émission The Box **Continuons la discussion**@ifthisthendev@bibearLinkedInLinkedIn de Baptiste FreydtDiscord** Plus de contenus de dev **Retrouvez tous nos épisodes sur notre site.Nous sommes aussi sur Instagram, TikTok, Youtube, Twitch **Le bitcoin c'est so 2018** La blockchain est une formidable innovation, mais les crypto-monnaies sont dépassées ! Désormais, avec RealT vous pouvez investir dans l'immobilier via la blockchain. Enfin un moyen simple de devenir propriétaire et de générer un revenu passif combiné avec une application pratique de la blockchain !** Job Board If This Then Dev **Si vous avez envie de changer de job, visitez le job board If This Then Dev ! Si vous voulez recruter des personnes qui écoutent IFTTD, il va s'en dire que le job board d'IFTTD est l'endroit où il faut être ! Ce job board est fait avec My Little Team!** Soutenez le podcast **Ou pour aller encore plus loin, rejoignez le Patréon IFTTD.** Participez au prochain enregistrement !**Retrouvez-nous tous les lundis à 19:00 (mais pas que) pour assister à l'enregistrement de l'épisode en live et pouvoir poser vos questions pendant l'épisode :)Nous sommes en live sur Youtube, Twitch, LinkedIn et Twitter
durée : 00:24:15 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Alexandra Bensaid - Maud Chirio, historienne, maîtresse de conférences à l'Université Eiffel, Cristina Terra, économiste. professeure à l'ESSEC Business school, Christophe Ventura, directeur de recherche à l'IRIS et Olivier Poujade, envoyé spécial de France Inter au Brésil, sont les invités du Grand Entretien.
durée : 00:06:01 - Classic & Co - par : Anna Sigalevitch - Ce matin coup de coeur d'Anna Sigalevitch pour un opéra du compositeur autrichien Franz Schreker, "Le chercheur de Trésors". Il est joué pour la première fois en France à l'Opera National du Rhin, à Strasbourg jusqu'au 8 novembre puis à Mulhouse les 27 et 29 novembre
Banania, chéchia et coupe-coupe... La trilogie autour des tirailleurs sénégalais remporte sans nul doute la palme des clichés historiques. Fuyant ces images simplistes, reprises d'ailleurs dans la propagande de guerre, le livre d'Anthony Guyon retrace l'histoire complexe et étonnante d'un corps d'armée de ses origines à sa disparition en 1960. Les tirailleurs étaient-ils tous sénégalais ? Quel rôle joue Louis Faidherbe dans la création de ce corps africain ? Quelles seront les forces et les limites de l'analyse de Charles Mangin sur la "force noire" ? Pourquoi les Anglais et les Allemands estimaient-ils l'envoi d'un corps de couleur comme un scandale ? Quels fut le rôle de ces soldats pendant la Grande Guerre et la deuxième Guerre mondiale ? L'invité : Enseignant agrégé et docteur en Histoire, Anthony Guyon a consacré sa thèse aux tirailleurs sénégalais durant l'entre-deux-guerres. Il participe au site à Nonfiction.fr, le quotidien des livres et des idées depuis 2013. Il y coordonne l'histoire contemporaine et anime les entretiens du Regard du Chercheur. Il vient de publier chez Perrin en co-édition avec le Ministère des Armées : Les tirailleurs sénégalais, de l'indigène au soldat de 1857 à nos jours (380 pages, 22 €)
durée : 00:15:12 - Journal de 22h - La Première ministre a engagé la responsabilité du gouvernement pour faire voter la première partie du budget. La France insoumise a répliqué avec une motion de censure. - invités : Eric Fassin sociologue, Professeur à l'Université Paris-8 Vincennes-Saint Denis (Département de science politique et Département d'études de genre), Chercheur au LEGS (Laboratoire d'études de genre et de sexualité, CNRS / Paris-8 / Paris-Nanterre)
EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste - « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques ERWAN BENEZET Journaliste en charge de l'énergie « Le Parisien - Aujourd'hui en France » La CFE-CGC et la CFDT disent oui, la CGT répond non. A l'issue d'une nuit de négociations un accord a été signé par les deux syndicats majoritaires de TotalEnergies mais pas par les grévistes. Le compromis trouvé prévoit d'après le groupe pétrolier une augmentation des salaires de 7 % et une prime allant de 3 000 à 6 000 euros. « Mascarade » rétorque la CGT qui a quitté les discussions à 2 heures du matin. Les propositions sur la table, 5 % de hausse des salaires fixes plus les traditionnelles mesures annuelles liées aux performances, « sont largement insuffisantes ». « C'est en dessous de l'inflation c'est-à-dire que Total Energies refuse à minima de couvrir l'inflation » a déclaré Alexis Antonioli, secrétaire général CGT de la plateforme TotalEnergies Normandie. « Nous, on demande 10 % », une hausse correspondant à « l'inflation plus le partage des richesses, puisque Total se porte bien et que les actionnaires ont été servis depuis longtemps », a souligné le leader cégétiste, Philippe Martinez, ce vendredi sur France Info. « Pour le moment, 5 % c'est loin de 10 % (…) Les salariés n'acceptent pas la proposition de la direction, il faut renégocier », a-t-il ajouté. « On a un patronat qui a décidé de garder tous les bénéfices pour lui. Si Total ne partage pas, personne ne partagera », a estimé de son côté le secrétaire CGT du comité européen TotalEnergies avant d'appeler à « une réaction globale. (...) il faut maintenant appeler à l'indexation des salaires sur l'inflation » en France. Le syndicat FO souhaite lui aussi que la hausse des salaires compense au moins l'inflation actuelle qui est à 6,8 %. En attendant, si dans les deux raffineries Exxon-Mobil les grévistes ont voté la reprise du travail, sur les sites Total Energies il n'est pour l'instant pas question d'arrêter le mouvement. Désormais la CGT a la grève interprofessionnelle de mardi prochain en ligne de mire et appelle à élargir partout le mouvement. Dans plusieurs secteurs, SNCF, RATP, fonction publique, les appels à la grève sont lancés quand chez EDF le mouvement débuté depuis plusieurs jours se prolonge et paralyse les travaux de maintenance dans huit réacteurs nucléaires. Un nouveau risque pour EDF qui manque cruellement de marges de manœuvre pour répondre à la demande d'électricité cet hiver. Alors que prévoit l'accord signé par la CFE-CGC et la CFDT ? Que se passe-t-il dans les centrales nucléaires d'EDF ? Se dirige-t-on vers une grève générale ? Comment sortir de la crise ? Faut-il une indexation des salaires sur l'inflation ? Pouyanné ? Pourquoi six ONG ont assigné le groupe pétrolier en justice pour son projet d'oléoduc en Tanzanie et en Ouganda ? Enfin Berlin vient de confirmer que l'Allemagne va entrer en récession en 2023. Quelle est la situation dans le pays ? Quelles conséquences en Europe ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dr Hugo Bottemanne, psychiatre, chef de clinique à la Pitié Salpêtrière. Chercheur en neurosciences à l'Institut du Cerveau et en philosophie à la Sorbonne Université. Co-auteur avec le Dr Lucie Joly (psychiatre) de « Dans le cerveau des mamans » (Ed. Du Rocher). Clotilde Margottin, Journaliste, maman de 5 enfants. Spécialiste en communication et journaliste en radio et TV. Elle est … Continued
Phuc-Vinh Nguyen, chercheur en politique énergétique à l'Institut Jacques Delors, était l'invité de Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce lundi 10 octobre. Ils ont abordé la solidarité européenne avec le démarrage des exportations françaises de gaz vers l'Allemagne sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La 77è session de l'Assemblée générale des Nations unies s'est terminée à New York. Cette grand-messe onusienne de septembre est un rendez-vous unique dans la coopération internationale. Mais, l'ONU ressemble de plus en plus à une vieille dame, jugée désuète et de plus en plus considérée comme dysfonctionnelle. Incapable de réformes. Son avenir est en question. Dédaignée par deux pays membres du Conseil de Sécurité, la Chine et la Russie… elle est plus que jamais en quête de sens, totalement dépassée par la conjonction des crises internationales. Impuissance face à la guerre en Ukraine, après la Syrie, la Birmanie ou le Yémen. Bilan piteux et attentes insatisfaites à en juger par la répression en toute impunité dans le Xinjiang. La légitimité de l'ONU continue de sombrer dans un monde accablé par une conjonction de fléaux. Comme le déclarait récemment Antonio Guterres, le secrétaire général de l'Organisation, l'heure est au péril tandis que la planète est dévastée par la guerre, meurtrie par le chaos climatique, défigurée par la haine et déshonorée par la pauvreté, la faim et les inégalités. Sciences Po à Paris vient de lancer l'Observatoire du Multilatéralisme et des Organisations Internationales. L'occasion de dresser un état des lieux… Derrière le multilatéralisme, il y a des institutions spécialisées sur différents registres : stratégique, tiers-mondiste, commercial et humanitaire, ce dernier incluant l'environnement. Partout, le même constat de faiblesse des institutions multilatérales. Que reste-t-il de la coopération internationale ? Invités : Lucile Maertens, maîtresse d'enseignement et de recherche à l'Institut d'Études politiques de l'Université de Lausanne, spécialiste des organisations internationales, notamment dans le domaine de l'environnement. Membre associée du GRAM, Groupe de Recherche sur l'Action Multilatérale. Co-auteur avec Marieke Louis d'un ouvrage non traduit en français « Why international Organizations hate Politics. Dépolitiser le monde », paru en 2021 Marieke Louis, maîtresse de conférences en Science politique rattachée au Centre Marc Bloch. Spécialiste du multilatéralisme social et économique Mathilde Leloup, docteure associée au Ceri/Sciences PO. Spécialiste des enjeux relatifs au patrimoine culturel Charles Tenenbaum, maître de conférences en Science Politique à Sciences Po Lille, Chercheur au CERAPS, Université de Lille. Spécialiste des enjeux sécuritaires.
SOBRIÉTÉ, PÉNURIE D'ESSENCE : ÇA SE COMPLIQUE DÉJÀ ! Avec les experts : - Elie Cohen, économiste - Chercheur au CNRS - Nabil Wakim, journaliste - Le Monde, auteur du podcast "Chaleur humaine" - Eve Roger, directrice adjointe de la rédaction Le Parisien - Aujourd'hui en France - Sylvie Matelly, économiste - Directrice adjointe de l'IRIS, Institut de Relations Internationales et Stratégiques
EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS NABIL WAKIM Journaliste - « Le Monde » Auteur du podcast « Chaleur humaine » ÈVE ROGER Directrice adjointe de la rédaction « Le Parisien - Aujourd'hui en France » SYLVIE MATELLY Économiste - Directrice adjointe de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques Réduire la consommation d'énergie et permettre à la France de passer l'hiver sans coupures d'électricité, c'est l'enjeu du plan de sobriété énergétique du gouvernement présenté ce jeudi en grande pompe par neuf ministres dans un contexte de raréfaction du gaz en Europe liée à la guerre en Ukraine et de baisse de la production d'électricité nucléaire en France. Pour faire face à cette situation, et aussi accélérer la transition énergétique, l'exécutif vise cette année une réduction de 10 % de la consommation d'énergie dans l'Hexagone et met l'accent sur la « responsabilité » de chacun plutôt que la contrainte. Parmi les mesures présentées on trouve la diminution de la température partout, une incitation au télétravail, un chèque de 100 euros pour les nouveaux inscrits dans les plateformes de covoiturage, une enveloppe de 150 millions d'euros pour la rénovation des bâtiments publics, la limitation de l'éclairage public, voire le couper si nécessaire, la suppression de l'eau chaude dans les bâtiments publics… Mais ces mesures seront-elles suffisantes pour éviter que le système électrique français s'effondre cet hiver ? Et que se passe-t-il depuis quelques jours dans les stations-service ? Au moment où la chasse au gaspillage énergétique est lancée par le gouvernement, la chasse aux carburants s'intensifie dans le pays. Entre hausse des prix et stations-service à sec, trouver de l'essence devient en effet très compliqué dans certaines régions. Dans le Nord de la France, en région parisienne et ailleurs les automobilistes sont contraints de prendre leur mal en patience et d'attendre parfois des heures pour faire le plein dans les stations ouvertes où des files d'attente s'étirent parfois sur des centaines de mètres. Officiellement 12 % des stations manquent d'au moins un carburant mais dans certaines zones la tension est bien réelle. Des « tensions temporaires » mais pas de pénurie a expliqué le porte-parole du gouvernement qui ont poussé l'Etat à « puiser dans les stocks stratégiques pour permettre d'alimenter » certaines stations. Parallèlement l'inquiétude grandit dans les entreprises confrontées à la flambée des prix de l'énergie et certaines, comme le groupe verrier Arc, ont décidé de mettre une partie de leurs salariés en chômage partiel. Reçus ce mercredi au ministère de l'Economie, les principaux fournisseurs d'énergie ont signé une charte comprenant 25 engagements « pour aider les consommateurs à faire face à la crise énergétique ». Parmi eux, il y a le soutien aux entreprises et notamment les PME qui peinent à trouver un fournisseur proposant des prix raisonnables, à l'heure où de nombreux contrats sont renégociés. Comment réduire notre consommation d'énergie ? Que prévoit le plan sobriété du gouvernement ? Sera-t-il suffisant ? Pourquoi certaines stations-service sont-elles actuellement à sec ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Notre mémoire nous joue souvent des tours ! Clés égarées, mot sur le bout de la langue... Ces petits oublis du quotidien sont-ils normaux ? Les troubles ou pertes de mémoire appelés aussi troubles mnésiques correspondent à l'incapacité ou à la difficulté à mémoriser un fait actuel, à retrouver un souvenir. Ils sont généralement anodins, mais ils peuvent être invalidants lorsqu'une maladie ou un traumatisme sont en cause. Le trouble de la mémoire est un symptôme complexe. Quels sont les différents types d'amnésie ? Peut-on essayer de muscler ses neurones pour ne plus rien oublier ? Quelle est la différence entre la mémoire à court terme et mémoire à long terme ? Quels sont les traitements ? Quand et qui consulter ? Dr Julien Lagarde, neurologue dans le service de Neurologie de la mémoire et du langage à l'Hôpital Sainte-Anne à Paris. Chercheur au Laboratoire BioMaps (SHFJ/CEA-Joliot) et lauréat du prix en Recherche clinique et translationnelle pour ses travaux sur les mécanismes physiopathologiques des maladies neurodégénératives. Pr Célestin Kaputu, neuropsychiatre-neuropédiatre au Centre neuropsychopathologique (CNPP) de la Faculté de Médecine de l'Université de Kinshasa en République Démocratique du Congo.
Chaque jour, Nicolas Poincaré dresse le portrait d'une personnalité au cœur de l'actualité, dans Apolline Matin, sur RMC. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.
Notre mémoire nous joue souvent des tours ! Clés égarées, mot sur le bout de la langue... Ces petits oublis du quotidien sont-ils normaux ? Les troubles ou pertes de mémoire appelés aussi troubles mnésiques correspondent à l'incapacité ou à la difficulté à mémoriser un fait actuel, à retrouver un souvenir. Ils sont généralement anodins, mais ils peuvent être invalidants lorsqu'une maladie ou un traumatisme sont en cause. Le trouble de la mémoire est un symptôme complexe. Quels sont les différents types d'amnésie ? Peut-on essayer de muscler ses neurones pour ne plus rien oublier ? Quelle est la différence entre la mémoire à court terme et mémoire à long terme ? Quels sont les traitements ? Quand et qui consulter ? Dr Julien Lagarde, neurologue dans le service de Neurologie de la mémoire et du langage à l'Hôpital Sainte-Anne à Paris. Chercheur au Laboratoire BioMaps (SHFJ/CEA-Joliot) et lauréat du prix en Recherche clinique et translationnelle pour ses travaux sur les mécanismes physiopathologiques des maladies neurodégénératives. Pr Célestin Kaputu, neuropsychiatre-neuropédiatre au Centre neuropsychopathologique (CNPP) de la Faculté de Médecine de l'Université de Kinshasa en République Démocratique du Congo.
Imaginer : vous n'êtes plus gouverné par vos peurs, et c'est désormais vous qui avez le contrôle dessus. Ça paraît trop beau pour être vrai ? C'est pourtant ce qu'a réussi à accomplir Nicolas, après plusieurs années de travail et de recherche. Comment se libérer de ses peurs, celles qui nous empêchent de nous accomplir ? Comment atteindre l'état de “flow”, celui où on ne voit même plus le temps passer, au quotidien ? Comment dépasser la peur du jugement et du regard des autres ? C'est tout ce que l'on aborde dans cet épisode avec Nicolas, Entrepreneur et Chercheur en “développement personnel radical”. On aborde aussi bien les questions d'éducation, d'épanouissement, ou encore de productivité : un épisode rempli de conseils pour vous aider à prendre le pouvoir de votre vie. Pour découvrir les coulisses du podcast : https://www.instagram.com/inpowerpodcast/ Pour retrouver Nicolas sur les réseaux :https://www.linkedin.com/in/nhennion/fr?originalSubdomain=fr Et pour suivre l'aventure MyBetterSelf au quotidien : https://www.instagram.com/mybetterself/ Si cet épisode t'as plu, celui-ci te plaira surement : https://app.ausha.co/app/show/23818/episodes/preview/1641592
Il a connu Serguei Brin et assisté à la création de Google... Aujourd'hui, il signe un livre intitulé "Nous sommes les réseaux sociaux". Le chercheur Serge Abiteboul, membre de l'ARCEP, décrypte le fonctionnement des réseaux sociaux. Serge Abiteboul est une personnalité du monde de l'informatique. Chercheur à l'INRIA et à l'Ecole Normale Supérieure, membre du collège de l'ARCEP (autorité de régulation des télécoms), il a vu naître Google aux Etats-Unis. Co-auteur avec Jean Cattan du livre intitulé "Nous sommes les réseaux sociaux" (éditions Odile Jacob), il explique comment la dérive actuelle des réseaux sociaux est due, selon lui, aux comportements des humains et pas aux outils informatiques. Il en appelle à une prise de conscience et une intervention des pouvoirs publics, dans le fil des récents règlements européens. Une plongée passionnante dans les arcanes des plateformes numériques. Dans cette interview, il raconte aussi la naissance du moteur de recherche, sur le campus de Stanford.
durée : 00:58:36 - Cultures Monde - par : Florian Delorme - En juin 2022, la Chine annonçait une nouvelle feuille de route de sa politique énergétique prévoyant de doubler ses capacités solaires et éoliennes d'ici 2025. Des mesures qui détonneraient avec la situation actuelle du pays : dépendance croissante au charbon et forte consommation de pétrole. - invités : Thibaud Voïta Chercheur associé au Centre Énergie de l'Ifri; Jean-François Huchet Economiste, spécialiste de la Chine, et président de l'Institut national des langues et civilisations orientales; Nathalie Bastianelli fondatrice du forum We Belong to Change
MACRON RALLUME LES CENTRALES, LES FRANÇAIS DÉJÀ DANS LA SOBRIÉTÉ – 02/09/22 Experts ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique - « Les Echos » MAUD DESCAMPS Journaliste en charge de l'économie - « Télématin » SYLVIE MATELLY Économiste - Directrice adjointe de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques C'est "un enjeu vital pour le pays en vue de l'hiver". Signe de la gravité du moment, Emmanuel Macron a décidé d'appliquer le modèle du conseil de défense, éprouvé pendant la pandémie de Covd-19, à la crise énergétique. Cette réunion s'est tenue aujourd'hui, dans la matinée, en présence des "ministres compétents" sur ce dossier, comme la Première ministre Elisabeth Borne, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, le ministre des Comptes publics Gabriel Attal et les ministres chargés de la Transition énergétique Christophe Béchu et Agnès Pannier-Runacher. Des experts étaient également présents pour faire le point sur l'approvisionnement en gaz et en électricité et examiner les différents scénarios, afin d'éviter la pénurie et réaliser des économies. Car la situation se tend de plus en plus. Depuis hier, le géant Russe Gazprom a arrêté ses livraisons au groupe Engie. Pour éviter la pénurie, la France a déjà rempli à 90,06% ses stocks de gaz pour la période hivernale, selon la plateforme européenne AGSI. L'objectif du gouvernement est de parvenir à atteindre 100% des capacités de stockage d'ici novembre. Cela équivaudrait à plus de 25% de la consommation annuelle de gaz en France. Alors que l'approvisionnement énergétique en France est fragilisé à l'approche de l'automne et que les prix de l'énergie battent des records, le gouvernement, après avoir appelé à la sobriété et aux efforts de chacun, passe à la vitesse supérieure. En ligne de mire : les entreprises, poussées à réduire leur consommation énergétique de 10%. Il leur faut donc désormais explorer toutes les pistes pouvant permettre d'atteindre cet objectif. Chacune doit établir son propre plan de sobriété. Si certaines ont déjà franchi le pas, pour d'autres, notamment dans l'industrie, l'opération s'avère délicate tant la consommation énergétique est intimement liée au niveau de production. Avec le dérèglement climatique et le coût de l'énergie qui ne cesse d'augmenter, la question de l'isolation des bâtiments devient de plus en plus sensible. Les passoires thermiques, notamment, sont au coeur des enjeux. Il s'agit des logements les plus énergivores, classés F et G sur le diagnostic de performance énergétique. Selon le dernier décompte officiel, ce sont 5,2 millions de résidences principales qui sont concernées. Le Gouvernement entend les éradiquer d'ici 2028. Pour parvenir à cet objectif, l'idée est d'inciter les propriétaires de logements énergivores à réaliser les travaux de rénovation nécessaires. Des aides, comme MaPrimeRénov', sont ouvertes aux propriétaires tentés de se lancer. Des aides, mais aussi des devoirs. Une nouvelle législation vient d'entrer en vigueur. Depuis le 24 août, les propriétaires de logements classés F et G ne peuvent plus augmenter les loyers. Dès le 1er janvier 2023, la location des pires passoires classées G, qui consomment 450 kilowattheures au mètre carré par an, sera tout simplement interdite. Va-t-on grelotter cet hiver ? Comment les entreprises peuvent-elles baisser leur consommation ? Le gouvernement peut-il tenir son objectif d'élimination des passoires thermiques en 2028 ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
6 mois après l'invasion russe; Résumé des temps marquants de cette guerre en son d'archives. Un conflit qui s'enlise, le point sur cette demi-année de guerre en Ukraine, discussion avec Yanik Dumont Baron et Tamara Alteresco. Déclenchement des élections au Québec le 28 août, Analyse d'Hugo Lavallée Alliance sur l'hydrogène entre l'Allemagne et le Canada, Explications de Madeleine Blais-Morin et Entrevue avec Johanne Whitmore, chercheuse principale à la Chaire de gestion du secteur de l'énergie à HEC Montréal Retraités sur le marché du travail Resteraient-ils ou retourneraient-ils au travail s'ils apprenaient que c'est un choix plus rentable? Le reportage de Karine Mateu et Entrevue avec Luc Godbout, Chercheur à la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiquesPakistan:Le premier ministre déchu sur le point d'être arrêté Analyse de François Brousseau Dix ans plus tard, Lance Armstrong continue de polariser Retour sur sa carrière avec Robert Frosi
Gaz, électricité : le rationnement c'est maintenant ! LES INVITÉ.ES : - Elie COHEN - Économiste - Chercheur au CNRS - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction – « Challenges » - Jade GRANDIN DE L'EPERVIER - Journaliste à « l'Opinion », spécialiste des questions économiques - Mathieu PLANE - Économiste et directeur adjoint du Département Analyse et Prévision - OFCE L'Europe sans gaz russe ? Cela fait maintenant dix jours que le gazoduc Nord stream 1 est en maintenance et le gaz coupé. En théorie, le pipeline, qui alimente l'Europe en gaz russe, doit refonctionner à partir de ce jeudi 21 juillet. Mais rien ne dit que les travaux ne vont pas à la demande de Moscou s'éterniser. Vladimir Poutine ne cesse depuis des jours de souffler le chaud et le froid la main sur le robinet alors Bruxelles a décidé d'anticiper : un plan d'urgence a été présenté aujourd'hui pour parer à l'éventualité d'une coupure totale du gaz russe et éviter une pénurie cet hiver. Dénommé « économiser le gaz pour un hiver sûr », ce plan de bataille repose sur un triptyque : substitution, solidarité et sobriété. Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie fin février, les Vingt-Sept mettent les bouchées doubles pour augmenter les importations depuis d'autres sources que la Russie, comme les Etats-Unis, le Qatar, la Norvège ou encore l'Algérie. L'Union européenne a également annoncé lundi un accord avec l'Azerbaïdjan pour doubler en « quelques années » ses importations de gaz naturel depuis ce pays du Caucase. Mais « la substitution, ce n'est pas seulement changer une source de gaz contre une autre. C'est aussi accélérer le passage du gaz vers d'autres sources d'énergie. Vers les énergies vertes partout où c'est possible ; vers d'autres sources d'énergie quand cela est nécessaire », a insisté Thierry Breton, commissaire en charge du marché intérieur. Néanmoins malgré ces efforts, l'UE reste à court terme dépendante - à des degrés divers selon les pays - des importations de gaz russe. Selon la Commission européenne, diversifier les fournisseurs et les sources d'énergie ne sera pas suffisant, il faut que les Européens parviennent eux-mêmes à réduire leur consommation par un comportement de sobriété, en diminuant par exemple la température de la maison, en raccourcissant les douches, en éteignant les appareils au lieu de les mettre en veille... L'Agence internationale de l'énergie (AIE) tire elle aussi la sonnette d'alarme : l'Europe manquera de gaz cet hiver si elle ne réduit pas sa consommation dès à présent. Le directeur de l'AIE parle même d'une « alerte rouge » pour l'Union européenne et demande aux gouvernements d'agir dès maintenant. Il préconise notamment de limiter l'usage des climatiseurs, de réduire l'usage du gaz pour produire de l'électricité et d'encourager les industriels à économiser de l'énergie, grâce à des plateformes d'enchères. Un système déjà mis en place en Allemagne, pays qui importe près de 35 % de son gaz depuis la Russie et qui a décidé pour sécuriser son approvisionnement d'avoir également davantage recours au charbon. En France, comme chez tous ses voisins européens, les autorités se dépêchent de faire le plein de gaz. Actuellement, les seize sites de stockage souterrains français sont pleins à 68 %. Le président de la République veut que le remplissage soit achevé avant le 1er novembre. Emmanuel Macron a également évoqué lors de son interview du 14-Juillet la préparation d'un plan de sobriété énergétique cet été, qui vise à réduire la consommation d'énergie de 10 % en deux ans. Le secteur de la grande distribution vient également de s'accorder sur un plan de « sobriété énergétique » qui sera déployé à l'automne. Mais faut-il avancer la mise en œuvre de ces plans ? Et seront-ils suffisants ? Ces derniers mois, plusieurs communes ont dû fermer leur piscine municipale faute de pouvoir payer leurs factures de gaz, qui avaient presque triplées par rapport à 2021. Et certaines municipalités font désormais appel à des conseillers en énergie pour réduire les dépenses énergétiques qui ne cessent de flamber. D'autant qu'en France de nombreux réacteurs nucléaires sont arrêtés pour maintenance et que le l'EPR en cours de construction à Flamanville connaît un nouveau dysfonctionnement. Une partie du système de pilotage du réacteur est en panne a reconnu aujourd'hui l'entreprise EDF en passe d'être renationalisée. Alors comment éviter une pénurie de gaz cet hiver ? Les appels à diminuer sa consommation se multiplient, mais comment faire ? Enfin pourquoi le gouvernement veut-il renationaliser EDF ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Phuc-Vinh Nguyen, chercheur en politique énergétique à l'Institut Jacques Delors, était l'invité de Stéphane Pedrazzi dans Good Morning Business, ce mercredi 20 juillet. Ils sont revenus sur la dépendance de l'Europe au gaz russe et les solutions en cas d'arrêt total de livraisons, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Cette semaine sur Papa PhD, je vous apporte une conversation avec Myriam Beaudry, l'animatrice du balado Tête à tête avec la science. Nous allons parler du rôle que le balado et les rencontres avec d'autres chercheur.e.s qu'il engendre jouent dans le parcours doctoral de Myriam. Nous allons aussi parler du pourquoi de cette mission qu'elle s'est donnée d'amplifier les voix des scientifiques qu'elle invite à son micro. VIDÉO https://youtu.be/AecBBLQ7fvE?sub_confirmation=1 Myriam a complété son baccalauréat en sciences de la nutrition à lUniversité dOttawa, elle est donc nutritionniste-diététiste. Son amour pour la recherche et la science la amené à poursuivre son cheminement académique au doctorat à lUniversité de Montréal. Infiniment passionnée par son domaine, elle laisse libre cours à sa créativité et son plaisir de communiquer la science via sa plateforme Instagram (@myriam.beaudry.dtp) et comme animatrice du balado Tête-à-tête avec la science. Les ressources de cet épisode : Myriam Beaudry | LinkedIn Myriam Beaudry | Instagram Tête-à-tête avec la science | Apple Podcasts Merci Myriam ! Si cet entretien avec Myriam Beaudry t'a plu, fais-nous en part en cliquant sur les liens ci-dessous et en nous laissant un message : Clique ici pour remercier Myriam Beaudry sur Instagram ! Clique ici pour partager avec David le principal message que tu retiens de cet épisode ! Si tu trouves de la valeur dans le contenu que je t'apporte chaque semaine, clique sur l'un des boutons ci-dessous et renvoie-moi l'ascenceur :) Don sécuritaire sur PayPal Deviens supporter sur Patreon ! Ou paye-moi un café :) Télécharge la "Boîte à outils pour le doctorat" maintenant ! Tu aimeras aussi ces épisodes : Erika Dupont - Bien profiter de ton parcours doctoral : PapaPhD.com/175 Anne-Claire Huard – Comment tisser des liens professionnels : PapaPhD.com/181 Jean-Patrick Toussaint – Mieux préparer les doctorants à l'emploi : PapaPhD.com/155 Catherine Cimon-Paquet – L'importance de vulgariser : PapaPhD.com/177
Poursuivant la piste des fantômes du réveillon apparus à Irène et Mihai, Julien Cernobori se rend au Collège de France pour rencontrer l'anthropologue Grégory Delaplace, éminent spécialiste de l'invisible.CERNO est un podcast créé par Julien CernoboriReportage, montage, réalisation et mixage : Julien CernoboriMusique originale : Théo BoulengerParticipez à CERNO sur patreon.com/cerno !Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Poursuivant la piste des fantômes du réveillon apparus à Irène et Mihai, Julien Cernobori se rend au Collège de France pour rencontrer l'anthropologue Grégory Delaplace, éminent spécialiste de l'invisible. CERNO est un podcast créé par Julien CernoboriReportage, montage, réalisation et mixage : Julien CernoboriMusique originale : Théo BoulengerParticipez à CERNO sur patreon.com/cerno !Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
C'est la surprise du gouvernement Elisabeth Borne. L'historien Pap Ndiaye, nommé ministre de l'Education nationale le 20 mai dernier, est décrit comme un « anti-Blanquer », du nom de son prédécesseur à ce ministère. Chercheur et maître de conférence spécialiste des questions raciales, il prend position, tout au long de sa carrière, tantôt sur l'utilisation du mot “race”, tantôt sur la notion d'islamo-gauchisme.C'est sur la base de ses travaux que ses détracteurs s'empressent de dénoncer sa nomination. Quand Marine Le Pen accuse le directeur général du musée de l'Histoire de l'immigration “d'indigénisme, de racialisme et de wokisme”, Eric Zemmour le soupçonne de “vouloir déconstruire l'Histoire de France”. Les syndicats enseignants, eux, doutent de sa capacité à gérer un aussi gros ministère avec aussi peu d'expérience politique. Pourquoi cette nomination a-t-elle suscité des réactions aussi vives ? Code source retrace le parcours de Pap Ndiaye avec trois journalistes du Parisien : Gwenaël Bourdon du service enquête Ile-de-France, Thomas Poupeau du service société, et Rosalie Lucas, cheffe-adjointe du service politique. Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Thibault Lambert, Ines Chaieb et Sarah Hamny - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musique François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : INA, BFM TV, LCI, France Inter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.