POPULARITY
Categories
Le géant suédois du streaming musical fait face à de nombreuses critiques, notamment sur la rémunération des artistes et sur les investissements controversés de son patron et fondateur, Daniel Ek. Alors que certains et certaines appellent au boycott, le Point J se demande s'il est vraiment possible de se passer de Spotify avec Loic Riom, chercheur postdoctoral et chargé de cours au Laboratoire d'études des sciences et des techniques de l'Université de Lausanne. Ses recherches portent sur les marchés en ligne, l'innovation et le numérique, particulièrement à la plateformisation des industries culturelles et créatives. Journaliste: Jessica Vial Réalisation: Sylvain Michel >> Pour aller plus loin: - "Que gagnent les artistes avec le streaming ?", épisode du Point J du 6 novembre 2023 Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch Vous inscrire à l'enregistrement en public du Point J le 27 septembre 2025 à la Nuit des Musées à Lausanne: https://avecvous.rts.ch/evenements/experiences/le-point-j-comment-survivre-au-travail
Le BAC STL, Sciences et Technologies de Laboratoire, s'adresse aux élèves venant d'une seconde générale ou technologique intéressés par les cours de sciences comme la SVT ou la chimie et par les travaux pratiques et les expériences en laboratoire.✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :le bac STL
(English below)---Cet épisode, animé en français par Victoria Barlow, est consacré au colloque « Violence à la cour française », qui s'est tenu en juin dernier au Centre Roland Mousnier à Paris. Victoria s'entretient avec Fanny Giraudier, présidente de l'association Cour de France et l'une des organisatrices du colloque, aux côtés de Caroline Zum Kolk et Nicolas Le Roux. Cet échange aborde les raisons du choix du thème « La violence à la cour » et la richesse des approches présentées lors du colloque, qu'il s'agisse du rôle des femmes dans les dynamiques de violence, de la variété des formes qu'elle pouvait prendre ou de leur impact sur la légitimité du pouvoir royal. Nous revenons aussi sur quelques découvertes marquantes et pistes de réflexion nouvelles mises en lumière par les intervenants. Bio de l'invitée :Fanny Giraudier est docteure en histoire moderne, professeure agrégée et chercheuse associée au Laboratoire de recherche historique en Rhône Alpes. Elle a récemment publié un ouvrage issu de sa thèse : "Sortir des guerres de religion. Henri IV, les nobles et la cour", aux Presses Universitaires de Rennes avec le soutien du Centre de recherche du Château de Versailles. Ses recherches portent sur la noblesse et la société de cour entre le seizième et le dix-septième siècle et sur les engagements nobiliaires lors des guerres de Religion. Elle s'intéresse également au rôle des femmes dans les sociétés de l'Europe moderne et notamment à la place des femmes de la famille de Nassau dans le renforcement des liens entre les Provinces Unies et la France." https://cour-de-france.fr--This episode, hosted in French by Victoria Barlow, focuses on the conference “Violence at the French Court”, which took place last June at the Centre Roland Mousnier in Paris. Victoria speaks with Fanny Giraudier, president of the association Cour de France and one of the conference organizers, alongside Caroline Zum Kolk and Nicolas Le Roux. The conversation explores the reasons behind the choice of the theme “Violence at the Court” and the richness of the approaches presented at the conference, whether concerning the role of women in courtly dynamics of violence, the variety of its forms, or its impact on the legitimacy of royal power. We also highlight some of the most striking discoveries and new avenues of reflection that emerged from the event. Guest Bio: Fanny Giraudier holds a PhD in Early Modern History, is an agrégée professor, and a research associate at the Laboratoire de recherche historique en Rhône-Alpes. She recently published a book based on her dissertation: Sortir des guerres de religion. Henri IV, les nobles et la cour (Presses Universitaires de Rennes), with the support of the Research Center of the Château de Versailles. Her research focuses on the nobility and court society between the sixteenth and seventeenth centuries, as well as on noble engagements during the Wars of Religion. She is also interested in the role of women in early modern European societies, particularly the place of the women of the Nassau family in strengthening ties between the Dutch Republic and France. https://cour-de-france.fr
Invitée: Fiona Del Puppo. Le marché immobilier est très tendu en Suisse romande, à quelques exceptions près. Difficile de trouver un appartement, surtout en ville, et encore plus si le budget nʹest pas élevé. Quelles sont les conséquences sociétale de cet pénurie de logement? Quelles sont les stratégies mises en place par le personnes qui cherchent un nouveau toit? Tribu reçoit Fiona Del Puppo, chercheuse au Laboratoire de sociologie urbaine à lʹEPFL.
durée : 00:03:00 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Je t'aime, un peu beaucoup, passionnément, à la folie… Georgio pose une question importante pour le jeu d'effeuiller la marguerite. Le biologiste François Parcy lui apporte une réponse scientifique très étonnante. - invités : Francois Parcy - François Parcy : Généticien, directeur de recherche CNRS au Laboratoire de Physiologie cellulaire et végétale à Grenoble - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:53:40 - Questions d'islam - par : Ghaleb Bencheikh - Comment la rencontre entre les recherches du kalâm et du fiqh et les traditions gréco-romaine, iranienne pré-islamique et indienne a-t-elle produit une philosophie spécifique à l'islam, portée par des figures emblématiques comme Kindī, Fārābī, Ibn Sīnā, Ghazālī et Ibn Rushd ? - réalisation : François Caunac - invités : Mathieu Terrier Philosophe et spécialiste de la pensée chiite, chargé de recherche au CNRS, membre du Laboratoire d'études sur les monothéismes
Suite de la série qui vous emmène tout au long de l'été dans les lieux où l'art vibre et se crée sur le continent. Pour ce sixième rendez-vous, direction Yaoundé au Cameroun, pour y découvrir le Laboratoire musical de Bastos. Notre correspondant Richard Onanena y a rencontré plusieurs artistes. Patrick, guitariste, a rejoint le Laboratoire musical de Bastos il y a trois ans à son arrivée à Yaoundé. Une salle en brique de terre cuite, insonorisée, qu'il fréquente régulièrement avant chaque séquence. Il n'hésite pas à répéter ses gammes. « Quand j'arrive, je m'installe, je branche mon matériel, je vérifie que tout est ok, et je me mets au boulot », raconte l'artiste. Parmi les artistes que Patrick a accompagnés sur scène, figure Joys Sa'a, une autre pépite du Laboratoire musical de Bastos. Joys s'est fait connaître du grand public grâce à ses talents de comédienne. Quand elle a voulu faire de la musique sa priorité, elle s'est rapprochée du Laboratoire. « Tout ce que j'avais fait avant, c'était d'envoyer une chanson, et je ne savais même pas qu'il avait tenu compte de cette chanson. Un jour, il m'appelle, il me dit, je veux que tu fasses un essai. Pour moi, le Laboratoire musical de Bastos, c'est la maison mère. Parce que, c'est cette maison, qui a bien voulu m'accueillir la première fois, sur scène, en live, ici à Yaoundé. Je ne savais même pas si j'en étais capable. Tout le labo m'a accompagnée, encouragée et soutenue », explique la jeune femme. La chanteuse camerounaise Sandrine Nanga, qui vient de se produire à l'Alambra de Paris, a répété ses gammes ici au Laboratoire musical de Bastos, qu'elle visite toujours régulièrement malgré le succès. « Après mon éducation donnée par mes parents, qui est l'amour du travail bien fait, je suis entrée du bon côté de la musique, et c'est ça qui me permet aujourd'hui d'avoir cette vision de la musique entre deux générations, la génération mature et la génération jeune, on va dire. Parce que ma musique, est écoutée par toutes les générations », confie-t-elle. Serge Maboma, promoteur du laboratoire, ambitionne de créer une génération d'artistes capable de faire voyager les rythmes camerounais, en live. Il retrace l'histoire du laboratoire : « Quand on est un artiste au Cameroun, comment on fait pour pouvoir vendre sa musique, pour s'exporter ? Au départ, cet espace était le lieu de répétition de mon groupe. On a pensé qu'il était bon d'avoir un endroit où travailler sereinement. On occupait les pièces de la maison. Et finalement, on nous a dit, prenez un bout de terrain et construisez quelque chose, qui va appartenir à la musique. Donc cet endroit-ci, est né pour abriter les répétitions des Macase. Il n'y avait pas de lieu de répétition à Yaoundé, alors, on a commencé à accueillir des amis qui venaient travailler. De fil en aiguille, on s'est rendu compte que ce lieu n'appartenait plus qu'au groupe Macase, mais à tous les jeunes aspirants musiciens. Il nous est alors venu à l'idée de dire, ça, ça ressemble à un laboratoire. C'est un laboratoire pour les musiciens ! ». La salle est aussi un lieu de répétition pour les musiciens confirmés. Sur les murs, une photo de Manu Dibango, décédé en 2025, rappelle qu'il est passé par là. À lire aussiAu Cameroun, la colère des artistes monte face aux 850 millions de FCFA de droits d'auteur impayés
Suite de la série qui vous emmène tout au long de l'été dans les lieux où l'art vibre et se crée sur le continent. Pour ce sixième rendez-vous, direction Yaoundé au Cameroun, pour y découvrir le Laboratoire musical de Bastos. Notre correspondant Richard Onanena y a rencontré plusieurs artistes. Patrick, guitariste, a rejoint le Laboratoire musical de Bastos il y a trois ans à son arrivée à Yaoundé. Une salle en brique de terre cuite, insonorisée, qu'il fréquente régulièrement avant chaque séquence. Il n'hésite pas à répéter ses gammes. « Quand j'arrive, je m'installe, je branche mon matériel, je vérifie que tout est ok, et je me mets au boulot », raconte l'artiste. Parmi les artistes que Patrick a accompagnés sur scène, figure Joys Sa'a, une autre pépite du Laboratoire musical de Bastos. Joys s'est fait connaître du grand public grâce à ses talents de comédienne. Quand elle a voulu faire de la musique sa priorité, elle s'est rapprochée du Laboratoire. « Tout ce que j'avais fait avant, c'était d'envoyer une chanson, et je ne savais même pas qu'il avait tenu compte de cette chanson. Un jour, il m'appelle, il me dit, je veux que tu fasses un essai. Pour moi, le Laboratoire musical de Bastos, c'est la maison mère. Parce que, c'est cette maison, qui a bien voulu m'accueillir la première fois, sur scène, en live, ici à Yaoundé. Je ne savais même pas si j'en étais capable. Tout le labo m'a accompagnée, encouragée et soutenue », explique la jeune femme. La chanteuse camerounaise Sandrine Nanga, qui vient de se produire à l'Alambra de Paris, a répété ses gammes ici au Laboratoire musical de Bastos, qu'elle visite toujours régulièrement malgré le succès. « Après mon éducation donnée par mes parents, qui est l'amour du travail bien fait, je suis entrée du bon côté de la musique, et c'est ça qui me permet aujourd'hui d'avoir cette vision de la musique entre deux générations, la génération mature et la génération jeune, on va dire. Parce que ma musique, est écoutée par toutes les générations », confie-t-elle. Serge Maboma, promoteur du laboratoire, ambitionne de créer une génération d'artistes capable de faire voyager les rythmes camerounais, en live. Il retrace l'histoire du laboratoire : « Quand on est un artiste au Cameroun, comment on fait pour pouvoir vendre sa musique, pour s'exporter ? Au départ, cet espace était le lieu de répétition de mon groupe. On a pensé qu'il était bon d'avoir un endroit où travailler sereinement. On occupait les pièces de la maison. Et finalement, on nous a dit, prenez un bout de terrain et construisez quelque chose, qui va appartenir à la musique. Donc cet endroit-ci, est né pour abriter les répétitions des Macase. Il n'y avait pas de lieu de répétition à Yaoundé, alors, on a commencé à accueillir des amis qui venaient travailler. De fil en aiguille, on s'est rendu compte que ce lieu n'appartenait plus qu'au groupe Macase, mais à tous les jeunes aspirants musiciens. Il nous est alors venu à l'idée de dire, ça, ça ressemble à un laboratoire. C'est un laboratoire pour les musiciens ! ». La salle est aussi un lieu de répétition pour les musiciens confirmés. Sur les murs, une photo de Manu Dibango, décédé en 2025, rappelle qu'il est passé par là. À lire aussiAu Cameroun, la colère des artistes monte face aux 850 millions de FCFA de droits d'auteur impayés
durée : 00:50:59 - Où est-ce que tu vas pour les vacances ? - par : David ABITTAN - Direction le Val-de-Marne, pour découvrir Créteil ! Entre les tours en forme de choux, un lac artificiel devenu lieu de voile, et les rives de la Marne où l'on se baigne à nouveau, une balade urbaine mais rafraîchissante. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Outre la libération des otages et la destruction du Hamas, le premier ministre israélien souhaite désormais contrôler totalement la bande de Gaza. Pourquoi tient-il tant à cette portion de territoire ? L'analyse d'Amélie Ferey, responsable du Laboratoire de recherche sur la défense à l'Institut français des relations internationales. Journaliste : Caroline Stevan Réalisation : David Chapuis
durée : 00:43:36 - Questions du soir : le débat - par : Marguerite Catton - Le 17 août 2025, des dizaines de milliers personnes étaient rassemblées dans tout le pays pour demander la fin de la guerre. La libération des otages et la vie des soldats envoyés à la guerre étaient les mots d'ordre de cette "grève générale". Mais qu'en est-il du sort des palestiniens ? - réalisation : Phane Montet - invités : Denis Charbit Professeur de science politique à l'université libre d'Israël; Sylvaine Bulle Sociologue française spécialiste de la conflictualité, chercheuse au Laboratoire d'anthropologie du politique (CNRS-EHESS); Elad Lapidot Professeur d'études hébraïques à l'Université de Lille
durée : 00:43:36 - Questions du soir : le débat - par : Marguerite Catton - Le 17 août 2025, des dizaines de milliers personnes étaient rassemblées dans tout le pays pour demander la fin de la guerre. La libération des otages et la vie des soldats envoyés à la guerre étaient les mots d'ordre de cette "grève générale". Mais qu'en est-il du sort des palestiniens ? - réalisation : Phane Montet - invités : Denis Charbit Professeur de science politique à l'université libre d'Israël; Sylvaine Bulle Sociologue française spécialiste de la conflictualité, chercheuse au Laboratoire d'anthropologie du politique (CNRS-EHESS); Elad Lapidot Professeur d'études hébraïques à l'Université de Lille
Dr Clara Liu Chung Ming est chargée de recherche à l'Institut de recherche cardiaque, Heart Research Institute de NSW. Elle est spécialisée dans la bio-ingénierie de modèles in vitro 3D avancés pour l'étude de la physiopathologie cardiaque humaine et de la cardiotoxicité induite par les traitements anticancéreux. Les scientifiques du HRI utilisent des « mini-cœurs » cultivés en laboratoire – de minuscules sphéroïdes cardiaques battants de la taille d'un grain de sable – pour tester un nouveau médicament qui pourrait protéger les personnes atteintes d'un cancer du sein des complications cardiaques liées à la chimiothérapie.
A Genève, les représentants des plus de 180 pays n'ont finalement pas réussi à s'accorder sur un traité pour lutter contre la pollution plastique. Un échec cuisant pour l'environnement et la diplomatie. Est-ce une nouvelle preuve de l'affaiblissement du multilatéralisme ? Faut-il inventer de nouveaux formats de prise de décision ? Eléments de réponse avec Yamina Saheb, présidente du Laboratoire mondial des sobriétés, chercheuse à Sciences Po, rédactrice au sein du Giec.
durée : 00:04:08 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question que pose Adrien, 5 ans, à l'équipe des P'tits Bateaux. Philippe Charlier, archéologue et anthropologue, lui répond. - invités : Philippe CHARLIER - Philippe Charlier : Médecin, archéologue et anthropologue. Directeur du Laboratoire anthropologie, archéologie, biologie (LAAB) de l'université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ). - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Mini-série spéciale "Que sont-elles devenues ?" - Épisode #2 : Manon Auffret Retrouvons Manon Auffret, pharmacienne et docteure en neurosciences ! Quatre ans après notre première rencontre, cette spécialiste de Parkinson nous raconte son évolution
Mini-série spéciale "Que sont-elles devenues ?" - Épisode #1 : Mathilde Maillard Retrouvons Mathilde Maillard, ma toute première invitée femme scientifique ! Quatre ans après notre rencontre, cette spécialiste de l'impression 3D biomédicale nous raconte son parcours fait de rebonds
Mini-série spéciale "Que sont-elles devenues ?" - Épisode #3 : Célia PelluetRetrouvons Célia Pelluet, physicienne quantique et humoriste ! Deux ans après notre rencontre, cette spécialiste des atomes froids nous raconte son parcours entre espace et scène
Savez-vous que les couleurs que nous utilisons au quotidien peuvent être issues de plantes, et que ces teintes végétales sont non seulement esthétiques mais aussi bénéfiques pour notre santé ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert, Pauline Leroux a le plaisir d'accueillir Jean-Marie Poulle et Antoine Rivière du laboratoire Poule-Rivière, deux experts passionnés par l'univers fascinant des plantes tinctoriales et des plantes médicinales. Ensemble, ils nous plongent dans l'univers des colorants végétaux et des applications variées de la couleur végétale dans des domaines aussi essentiels que la cosmétique et la pharmacologie. Jean-Marie partage avec nous son parcours inspirant, passant de la reconversion en herboristerie à son expérience enrichissante dans la saponification à froid, tandis qu'Antoine, pharmacien de formation, aborde les aspects scientifiques et réglementaires liés à l'utilisation des plantes dans les médicaments. Leur discussion ne se limite pas aux simples nuances de teinture végétale, mais s'étend à l'importance cruciale de la souveraineté en matière de médicaments, un enjeu majeur pour notre société actuelle. Ensemble, ils nous parlent également de leur projet commun, qui vise à valoriser les plantes médicinales en France. Ils mettent l'accent sur l'utilisation de colorants naturels dans leurs produits, notamment des savons et des tisanes, tout en soulignant l'importance de la biodiversité et des pratiques durables dans la production de médicaments et de cosmétiques. Ils nous révèlent comment des pigments végétaux issus de jardins locaux peuvent transformer notre approche de la teinture et de l'agriculture tinctoriale. Ce podcast est une véritable invitation à découvrir les tanins, l'indigo, la garance et bien d'autres secrets que la nature a à nous offrir. Quelle place occupe la couleur dans notre quotidien et comment pouvons-nous l'utiliser de manière responsable ? Ne manquez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur les biotechnologies et les fibres naturelles qui façonnent notre avenir. Pour plus d'informations sur les sujets abordés, n'hésitez pas à consulter les liens utiles dans la description. Écoutez cet épisode captivant et engageant d'ArtEcoVert et laissez-vous inspirer par la beauté et la richesse des plantes tinctoriales. Belle écoute ! ArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
En avril 2025, les Nations unies avaient alerté : concernant Haïti, «nous approchons d'un point de non-retour». Le pays des Caraïbes - le plus pauvre des Amériques - est ravagé par les violences des gangs : plus de 3 000 personnes ont été tuées depuis le début de l'année 2025. Les autorités officielles et les renforts envoyés par le Kenya n'arrivent pas à rétablir l'ordre. Le poste de président est vacant depuis l'assassinat de Jovenel Moïse en 2021. Et les quelques institutions encore debout peinent à fonctionner. L'ordre peut-il être rétabli ? La confiance entre habitants et autorités restaurée ? Que reste-t-il de l'État en Haïti ? Comment le reconstruire, et avec qui ? Pour en débattre : - Jacques Nési, docteur en Science Politique, membre du Laboratoire caribéen de Sciences sociales - Jean-Marie Théodat, maître de conférences en géographie à l'Université Panthéon-Sorbonne à Paris, enseignant à l'Université d'État d'Haïti - Frantz Duval, rédacteur en chef du quotidien francophone haïtien Le Nouvelliste, directeur de Ticket Magazine et directeur de Magik 9 une radio haïtienne en ligne.
En avril 2025, les Nations unies avaient alerté : concernant Haïti, «nous approchons d'un point de non-retour». Le pays des Caraïbes - le plus pauvre des Amériques - est ravagé par les violences des gangs : plus de 3 000 personnes ont été tuées depuis le début de l'année 2025. Les autorités officielles et les renforts envoyés par le Kenya n'arrivent pas à rétablir l'ordre. Le poste de président est vacant depuis l'assassinat de Jovenel Moïse en 2021. Et les quelques institutions encore debout peinent à fonctionner. L'ordre peut-il être rétabli ? La confiance entre habitants et autorités restaurée ? Que reste-t-il de l'État en Haïti ? Comment le reconstruire, et avec qui ? Pour en débattre : - Jacques Nési, docteur en Science Politique, membre du Laboratoire caribéen de Sciences sociales - Jean-Marie Théodat, maître de conférences en géographie à l'Université Panthéon-Sorbonne à Paris, enseignant à l'Université d'État d'Haïti - Frantz Duval, rédacteur en chef du quotidien francophone haïtien Le Nouvelliste, directeur de Ticket Magazine et directeur de Magik 9 une radio haïtienne en ligne.
À 92 ans, Paul Biya, au pouvoir depuis 1982 au Cameroun, se représente pour un huitième mandat. Dans un contexte de crise économique, de violences dans les régions anglophones, de fatigue démocratique et de mobilisation d'une jeunesse en quête d'alternance, cette élection pourrait bien cristalliser toutes les frustrations d'un peuple divisé. Roger Nicolas Oyono Mengue, doctorant au Laboratoire les Afriques dans le Monde de Sciences Po Bordeaux, est notre invité.
durée : 00:43:57 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - En France, diverses mesures témoignent d'un recul global de l'action climatique. Mais le débat continue sur le plan des idées. Quels sont les concepts qui accompagnent la transition écologique ? Quel rôle jouent les intellectuels dans la fabrication de l'écologie politique ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Fabrice Flipo Professeur de philosophie, membre du Laboratoire du Changement Social et Politique (Université Paris Diderot) et enseignant-chercheur en Grande Ecole à Institut Mines-Télécom; Pierre Charbonnier Philosophe, chercheur à Sciences-po; Patrice Maniglier Philosophe, maître de conférences à l'Université Paris-Nanterre
Episode 210: Entretien avec l'Historien Mohamed Lazhar Gharbi Le projet « Archives d'histoire orale de la production intellectuelle maghrébine » vise à documenter les trajectoires de vie, les formations intellectuelles et les luttes politiques de plusieurs générations de femmes et d'hommes nord-africains qui ont contribué à la création de la culture écrite et parlée dans cette partie du monde. Les entretiens sont réalisés avec des économistes, planificateurs, nutritionnistes, architectes, sociologues ruraux et d'autres chercheurs algériens, marocains et tunisiens. Il s'agit de la toute première initiative au Maghreb visant à créer des archives écrites, orales et filmées du travail intellectuel de générations qui se sont battues pour construire leurs sociétés. Elle innove en rassemblant ces voix et en les portant à la connaissance d'un large public afin de mieux faire connaître les premiers aux seconds et de démocratiser l'accès au savoir dans notre région. Dans ce podcast, enregistré en Tunisie en avril 2022, Habib Ayeb, Professeur émérite de géographie à l'Université de Paris 8, s'entretient avec l'Historien Mohamed Lazhar Gharbi, Professeur d'Enseignement Supérieur Histoire contemporaine et histoire économique dans la Faculté des Lettres, Arts, et Humanités à l'Université de Manouba, Tunis ; Directeur du Laboratoire de Recherche (LR) Échanges Maghreb - Afrique - Europe ; et Directeur de la Commission doctorale (histoire). Équipe : Habib Ayeb, Géographe Max Ajl, Sociologue Ernest Riva Image : Ernest Riva Post-production :Benoît Kalka Découvrez la vidéo et l'interview en pdf We thank Mr. Souheib Zallazi, (student at CFT, Tunisia) and Mr. Malek Saadani (student at ULT, Tunisia), for their interpretation of el Ardh Ardhi of Sabri Mesbah, performed for the introduction and conclusion of this podcast. Souheib on melodica and Malek on guitar. Montage : Lena Krause, Boursière Résidente au Centre d'Études Maghrébines à Tunis (CEMAT)
durée : 00:43:57 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - En France, diverses mesures témoignent d'un recul global de l'action climatique. Mais le débat continue sur le plan des idées. Quels sont les concepts qui accompagnent la transition écologique ? Quel rôle jouent les intellectuels dans la fabrication de l'écologie politique ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Fabrice Flipo Professeur de philosophie, membre du Laboratoire du Changement Social et Politique (Université Paris Diderot) et enseignant-chercheur en Grande Ecole à Institut Mines-Télécom; Pierre Charbonnier Philosophe, chercheur à Sciences-po; Patrice Maniglier Philosophe, maître de conférences à l'Université Paris-Nanterre
durée : 00:54:38 - Les Nuits de France Culture - par : Mathias Le Gargasson - Étonnante visite de l'accélérateur de particules du Cern à Genève où le boson de Higgs a été découvert, en compagnie du dramaturge Edward Bond, du comédien Carlo Brandt et de la physicienne Sandrine Laplace pour un dialogue singulier entre théâtre et science. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Edward Bond Dramaturge et metteur en scène britannique; Carlo Brandt; Sandrine Laplace Physicienne. Chargée de recherche au Laboratoire de physique nucléaire et des hautes énergies de Paris.
Dans ce bestiaire écrit avec Pierre Avenas, la célèbre linguiste Henriette Walter nous raconte les anecdotes historiques et mythologies autour des mammifères. Pourquoi dit-on un spectacle «équestre» mais un «hippodrome» alors que tout vient du mot... cheval qui vient du latin «caballus» ? Pourquoi le «lièvre» a-t-il donné naissance à l'un des patronymes les plus répandus en France ? Connaissez-vous le point commun entre un chat et le dieu grec Eole ? L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas fourmille d'anecdotes passionnantes sur le nom de quelque trois cents animaux, et les origines des mots peuvent parfois se croiser ! Les naturalistes du XVIIIè siècle, ou les habitants du pays d'où vient l'animal, ont nommé les animaux, et les histoires d'étymologie sont parfois surprenantes ! Les mots que portent les animaux me plaisent beaucoup. Cela m'amuse beaucoup de circuler d'un animal à l'autre. Lorsqu'on travaille en linguistique, on peut remonter les diverses époques jusqu'à la naissance du mot. L'étymologie, c'est un peu comme l'archéologie ! Invitée : Henriette Walter, née en 1929 à Sfax en Tunisie, est une linguiste et phonologue française d'origine italienne. Elle a grandi dans un environnement polyglotte. Elle a commencé par apprendre l'anglais avant de devenir linguiste. Elle a écrit de nombreux ouvrages consacrés à la phonologie, à la linguistique et aux mots. Elle a dirigé le Laboratoire de phonologie à l'École pratique des Hautes études. Présidente de la Société Internationale de la Linguistique Fonctionnelle. L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas, est publié aux éditions Robert Laffont en version poche. À lire également de Henriette Walter : L'aventure des langues en Occident L'aventure des mots français venus d'ailleurs. Et la chronique Ailleurs nous emmène cette semaine à Rome avec Sam Stourdzé, directeur de l'Académie de France à Rome : la villa Médicis ! un lieu pour les artistes depuis plus de trois siècles ! C'est dans cette magnifique villa que des artistes viennent s'installer pour une année pour développer leurs projets artistiques. Écrivains, vidéastes, compositeurs : ils sont seize chaque année à passer un an avec une bourse ! Et l'été venant, c'est la période où les visiteurs peuvent voir ce qui s'est imaginé, fabriqué dans les ateliers avec une exposition intitulée Changer la prose du monde, un titre magnifique extrait d'un vers de la poétesse italienne Amelia Rosseli disparue il y a peu ! Une exposition à voir jusqu'au 8 septembre ! Programmation musicale : L'artiste Vincent Delerme avec le titre Si beau.
Dans ce bestiaire écrit avec Pierre Avenas, la célèbre linguiste Henriette Walter nous raconte les anecdotes historiques et mythologies autour des mammifères. Pourquoi dit-on un spectacle «équestre» mais un «hippodrome» alors que tout vient du mot... cheval qui vient du latin «caballus» ? Pourquoi le «lièvre» a-t-il donné naissance à l'un des patronymes les plus répandus en France ? Connaissez-vous le point commun entre un chat et le dieu grec Eole ? L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas fourmille d'anecdotes passionnantes sur le nom de quelque trois cents animaux, et les origines des mots peuvent parfois se croiser ! Les naturalistes du XVIIIè siècle, ou les habitants du pays d'où vient l'animal, ont nommé les animaux, et les histoires d'étymologie sont parfois surprenantes ! Les mots que portent les animaux me plaisent beaucoup. Cela m'amuse beaucoup de circuler d'un animal à l'autre. Lorsqu'on travaille en linguistique, on peut remonter les diverses époques jusqu'à la naissance du mot. L'étymologie, c'est un peu comme l'archéologie ! Invitée : Henriette Walter, née en 1929 à Sfax en Tunisie, est une linguiste et phonologue française d'origine italienne. Elle a grandi dans un environnement polyglotte. Elle a commencé par apprendre l'anglais avant de devenir linguiste. Elle a écrit de nombreux ouvrages consacrés à la phonologie, à la linguistique et aux mots. Elle a dirigé le Laboratoire de phonologie à l'École pratique des Hautes études. Présidente de la Société Internationale de la Linguistique Fonctionnelle. L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas, est publié aux éditions Robert Laffont en version poche. À lire également de Henriette Walter : L'aventure des langues en Occident L'aventure des mots français venus d'ailleurs. Et la chronique Ailleurs nous emmène cette semaine à Rome avec Sam Stourdzé, directeur de l'Académie de France à Rome : la villa Médicis ! un lieu pour les artistes depuis plus de trois siècles ! C'est dans cette magnifique villa que des artistes viennent s'installer pour une année pour développer leurs projets artistiques. Écrivains, vidéastes, compositeurs : ils sont seize chaque année à passer un an avec une bourse ! Et l'été venant, c'est la période où les visiteurs peuvent voir ce qui s'est imaginé, fabriqué dans les ateliers avec une exposition intitulée Changer la prose du monde, un titre magnifique extrait d'un vers de la poétesse italienne Amelia Rosseli disparue il y a peu ! Une exposition à voir jusqu'au 8 septembre ! Programmation musicale : L'artiste Vincent Delerme avec le titre Si beau.
durée : 00:55:17 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, une histoire à la frontière de l'ethnologie, de la mythologie et du fantastique, celle de Clairvius Narcisse – l'homme qui s'est transformé en zombie ! - invités : Philippe CHARLIER - Philippe Charlier : Médecin, archéologue et anthropologue. Directeur du Laboratoire anthropologie, archéologie, biologie (LAAB) de l'université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ). - réalisé par : Frédéric Milano Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:43:52 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - À l'occasion de la sortie du rapport de la commission d'enquête parlementaire sur les violences scolaires, cette émission revient sur les solutions proposées pour prévenir les violences physiques et sexuelles. - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Paul Vannier député La France Insoumise du Val-d'Oise; Violette Spillebout Députée Renaissance de la 9e circonscription du Nord et porte-parole du groupe à l'Assemblée; Élisabeth Lusset Historienne, chargée de recherche au CNRS, rattachée au Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris; Frank Burbage Ancien professeur de philosophie et ancien inspecteur général, membre de la Ciivise (Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants) et copilote du projet de programme EVARS (éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle)
durée : 00:43:52 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - À l'occasion de la sortie du rapport de la commission d'enquête parlementaire sur les violences scolaires, cette émission revient sur les solutions proposées pour prévenir les violences physiques et sexuelles. - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Paul Vannier député La France Insoumise du Val-d'Oise; Violette Spillebout Députée Renaissance de la 9e circonscription du Nord et porte-parole du groupe à l'Assemblée; Élisabeth Lusset Historienne, chargée de recherche au CNRS, rattachée au Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris; Frank Burbage Ancien professeur de philosophie et ancien inspecteur général, membre de la Ciivise (Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants) et copilote du projet de programme EVARS (éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle)
durée : 00:58:15 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Il y a 10 ans, le programme "Swachh Bharat" de Narendra Modi voulait mettre fin à la pratique de la défécation en plein air en Inde. Si le Premier ministre se félicite d'avoir atteint ses objectifs, et que l'accès aux toilettes s'est effectivement amélioré, des problèmes structurels persistent. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Catherine Bros Professeure d'économie à l'université de Tours et chercheuse au Laboratoire d'économie d'Orléans, spécialiste de l'économie indienne; Marie-Hélène Zerah Directrice de recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement, et membre du CESSMA (le Centre d'Etudes en sciences sociales sur les mondes africains, américains et asiatiques) de l'Université Paris-Cité.; Priyam Tripathy Chercheuse indépendante en géographie et en urbanisme
Loïs Boisson, soutenue par une foule galvanisée et aidée aussi par son mental d'acier a atteint la demi-finale de Roland Garros. Elle, qui était jusque-là une inconnue, a réalisé un exploit. Quelques semaines plus tard à Wimbledon, Loïs Boisson, qui a désormais un nom à défendre, est éliminée dès les premières phases de qualification. Dans son cas, comme dans celui d'autres athlètes, à quel point le mental a joué ? À l'approche des Jeux olympiques de Paris, l'été dernier, de nombreux sportifs ont d'ailleurs mobilisé, en plus de leurs entraîneurs habituels, des représentants d'un nouveau métier : des préparateurs dédiés aux questions psychologiques. Coach mental : atout indispensable pour devenir un grand champion ? Pour en débattre : - Ayodélé Ikuesan, vice-championne d'Europe du relais 4 x 100 m - Yann Enslen, préparateur mental pour des sportifs de haut niveau et spécialiste de la formation des jeunes sportifs de haut niveau - Seghir Lazri, sociologue du sport à l'Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux sociaux, Laboratoire de recherche rattaché au CNRS/EHESS et chroniqueur au Nouvel Obs.
Loïs Boisson, soutenue par une foule galvanisée et aidée aussi par son mental d'acier a atteint la demi-finale de Roland Garros. Elle, qui était jusque-là une inconnue, a réalisé un exploit. Quelques semaines plus tard à Wimbledon, Loïs Boisson, qui a désormais un nom à défendre, est éliminée dès les premières phases de qualification. Dans son cas, comme dans celui d'autres athlètes, à quel point le mental a joué ? À l'approche des Jeux olympiques de Paris, l'été dernier, de nombreux sportifs ont d'ailleurs mobilisé, en plus de leurs entraîneurs habituels, des représentants d'un nouveau métier : des préparateurs dédiés aux questions psychologiques. Coach mental : atout indispensable pour devenir un grand champion ? Pour en débattre : - Ayodélé Ikuesan, vice-championne d'Europe du relais 4 x 100 m - Yann Enslen, préparateur mental pour des sportifs de haut niveau et spécialiste de la formation des jeunes sportifs de haut niveau - Seghir Lazri, sociologue du sport à l'Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux sociaux, Laboratoire de recherche rattaché au CNRS/EHESS et chroniqueur au Nouvel Obs.
durée : 00:59:16 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - La destruction du site PSA Sud, parcelle de l'usine historique Peugeot de Sochaux-Montbéliard, touche à sa fin après plus d'un an de travaux. Dans quelle mesure ce bastion de l'industrie française est-il emblématique de la désindustrialisation du pays, mais aussi marqué par la mémoire ouvrière ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Nicolas Hatzfeld Professeur d'Histoire contemporaine à l'Université d'Evry; Nicolas Renahy Docteur en sociologie, chercheur à l'INRA (Centre d'économie et de sociologie appliquée aux espaces ruraux) et chercheur associé au Laboratoire de sciences sociales (ENS/EHESS).
durée : 00:03:47 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Valentine se demande comment le tournesol parvient-il à suivre la course du soleil dans le ciel ? François Parcy, généticien, directeur de recherche CNRS au laboratoire de physiologie cellulaire et végétale à Grenoble, lui répond. - invités : Francois Parcy - François Parcy : Généticien, directeur de recherche CNRS au Laboratoire de Physiologie cellulaire et végétale à Grenoble - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Ce lundi 23 juin 2025, nous avons diffusé une émission enregistrée le 12 juin, avec Norbert Danysz, doctorant à Lyon et Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche à Lille. Comme il est également membre du laboratoire InTru, dont les ateliers « lectures de planches », nous avons évoqué les activités du laboratoire mais aussi sa […] L'article I Love Mes Cheveux — autour du laboratoire InTru et des bandes dessinées en chinois — avec Norbert Danysz est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
durée : 00:22:51 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Vous qui avez toujours rêvé de savoir composer un morceau de musique techno, entrez dans l'intimité d'un producteur. Voici ce que vous propose "Clair de Lune" en 1996. En compagnie des producteurs et musiciens Eric Chédeville et Aphex Twin, samplez et laissez aller votre créativité. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Aphex Twin Compositeur britannique de musique électronique
Ce mercredi 18 juin, l'utilisation de l'intelligence artificielle dans les PME, l'industrie pharmaceutique qui est de moins en moins séduite par le marché français, les points d'achoppement sur la réforme des retraites, et le débat autour de la taxe Zucman, ont été abordés par Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, Sylvain Orebi, président d'Orientis, et Christian Poyau, PDG de Micropole, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 18 juin, les différentes raisons qui poussent les laboratoires pharmaceutiques à quitter la France et à investir ailleurs ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 01:59:37 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Au programme des Matins du samedi, l'impact de la réduction de la consommation de la viande, un état des lieux de la situation au Moyen-Orient depuis l'attaque israélienne sur l'Iran et la riposte de Téhéran et la romancière québécoise Gabrielle Filteau-Chiba qui nous présente son dernier livre. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Carine Barbier Économiste de l'environnement et ingénieure de recherche au CNRS ; Amélie Ferey Chercheuse à l'IFRI, responsable du Laboratoire de recherche sur la défense; Amélie Chelly Sociologue, spécialiste de l'Iran. Auteure d' “Iran, autopsie du chiisme politique” à paraître le 19 mai aux éditions du Cerf.; David Rigoulet-Roze Chercheur associé à l'IRIS et à l'Institut français d'analyse stratégique, spécialiste du Moyen-Orient et de la péninsule arabique, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques ; Gabrielle Filteau-Chiba Romancière et traductrice québécoise
Ce podcast a été réalisé indépendamment de la rédaction de L'Express. « 40% de la population adolescente a des symptômes dépressifs. »Au micro de Philippine Dolbeau dans 20/20, Grégoire Borst, Professeur de psychologie, du développement et de neurosciences cognitives de l'éducation à l'Université de Paris Cité, et Directeur du Laboratoire de Psychologie du Développement et de l'Éducation de l'Enfant.Chercheur et auteur reconnu, Grégoire Borst consacre ses travaux à comprendre comment les fonctions cognitives et socio-émotionnelles influencent les apprentissages et le développement des jeunes. Inégalités sociales à l'école, impact des écrans, pression du système éducatif et rôle de l'IA, dans cet épisode, nous abordons des questions que nous nous posons toutes et tous.
durée : 00:37:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que les lycéens reçoivent leurs résultats sur Parcoursup et qu'Elisabeth Borne vient de présenter son plan consacré à l'orientation, nous nous demanderons si le sens des études universitaires a changé. - réalisation : François Richer - invités : Monique Canto-Sperber Philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, ancienne directrice de l'ENS et ancienne présidente de PSL, présidente du Conseil d'Administration d'Atouts+ University; Bruno Andreotti Physicien, professeur à l'Université Paris Cité et chercheur au Laboratoire de Physique de l'Ecole Normale Supérieure
La pollution plastique dans les eaux africaines n'a jamais été aussi élevée. Chaque année, des millions de tonnes de déchets se déversent dans les océans bordant le continent, menaçant les écosystèmes marins et les populations côtières qui en dépendent. Mais contrairement au Pacifique, les données aujourd'hui disponibles sur la pollution plastique autour de l'Afrique demeurent très limitées, freinant de facto la compréhension de ce phénomène. Pour combler ces lacunes, plusieurs études scientifiques essentielles ont été récemment lancées dans le sud-ouest de l'océan Indien, zone particulièrement complexe. Reportage de notre envoyée spéciale de retour des Seychelles, Sarah Tétaud Aussi idylliques soient-elles, les plages des Seychelles ne sont pas épargnées par les détritus qui viennent s'y échouer. « À chaque nouvelle marée, explique un plagiste, on retrouve des petits bouts de plastiques, des sachets... On nettoie deux fois par jour. Même les touristes ramassent les saletés et nous les apportent pour qu'on les mette à la poubelle ». Cette pollution, visible à différents degrés sur les côtes africaines, ainsi que ses effets, restent cependant assez mal connus à l'échelle du continent. Yashvin Neehaul, scientifique, spécialiste de la chimie des océans, basé à Maurice, est co-auteur du livre The African Marine Litter Outlook : « Pour comprendre la pollution plastique marine, il est essentiel de commencer par identifier les sources ainsi que les voies de dispersion des déchets plastiques. Dans les pays continentaux, les rivières et autres cours d'eau constituent les principaux vecteurs de transport des plastiques vers les océans. En fonction des courants marins et de la topographie côtière, ces déchets s'accumulent dans certaines zones spécifiques, le long des côtes africaines ». Les chercheurs ont défini deux zones qui concentreraient des milliers de kilomètres carrés de ce qu'ils appellent des « soupes de microplastiques ». L'une dans l'océan Atlantique, au sud de l'Afrique du Sud ; l'autre dans l'océan Indien, au sud de Madagascar. Néanmoins, rappelle Yashvin Neehaul : « Il est difficile de se prononcer sur les sites exacts où s'accumule le plastique. Pourquoi ? Parce qu'il y a un manque de données sur l'étude des courants autour du continent africain ». Et c'est particulièrement le cas pour la façade est de l'Afrique, comme l'explique Christophe Maes, océanographe et physicien à l'IRD, du Laboratoire d'océanographie physique et spatiale, à Brest, en France : « L'océan Indien souffre d'un manque d'observation in situ et a un gros retard par rapport aux autres océans, tout simplement parce que ce n'est pas forcément le lieu de passage des principaux rails de navigation océanique ... ». Pour y remédier, un programme de collecte de données a lieu en ce moment-même dans le sud-ouest de l'océan Indien, grâce au largage, à partir du navire Plastic Odyssey, de bouées dérivantes, qui émettent un signal GPS.« Quand on lâche des bouées, explique Christophe Maes, ça nous permet d'avoir une description au moins à l'échelle de la bouée, des principaux mouvements de l'océan pour valider nos modèles, et à partir de ces modèles, essayer de mieux comprendre la dynamique que peuvent subir les plastiques dans l'océan Indien. Et le second intérêt de ces largages et d'études sur leur dispersion, c'est qu'en utilisant nos modèles “dans l'autre sens”, on va pouvoir remonter à l'origine de ces plastiques qui viennent polluer l'ensemble de la région. Ça va permettre de comprendre leur dispersion depuis leur zone d'origine à l'échelle de l'océan Indien, et peut-être même plus loin ». Des programmes novateurs et surtout d'intérêt international. La pollution plastique dans les eaux africaines n'a jamais été aussi élevée. Si la majorité des déchets en mer provient de la terre ferme, les chercheurs estiment toutefois que l'abandon et la perte d'équipement de pêche dans les océans seraient responsables jusqu'à 30 % de la diminution des ressources halieutiques. À lire aussiUne mission scientifique inédite dans l'océan Indien À lire aussiEn Afrique, une pollution plastique due surtout aux emballages à usage unique
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons de l'anémie, véritable problème de santé publique chez les femmes en Afrique subsaharienne. Cette maladie se caractérise par un nombre de globules rouges inférieur à la normale et peut avoir de nombreuses conséquences sur la santé. Quels sont les symptômes de l'anémie ? Quels sont les aliments à privilégier ou à éviter pour les personnes anémiées ? Pr Awa Oumar Touré, hématologue au Laboratoire de l'Université Cheick Anta Diop et enseignante en Hématologie à la Faculté de médecine, de pharmacie et d'odontostomatologie de l'Université Cheick Anta Diop de Dakar. Auteure de l'ouvrage Elles étaient là, les pionnières de la santé !,aux éditions Nara La palabre au féminin de Charlie Dupiot. Programmation musicale : ► Aya Nakamura, Stormzy - Plus Jamais ► Victor Solf – Que le coeur.
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons de l'anémie, véritable problème de santé publique chez les femmes en Afrique subsaharienne. Cette maladie se caractérise par un nombre de globules rouges inférieur à la normale et peut avoir de nombreuses conséquences sur la santé. Quels sont les symptômes de l'anémie ? Quels sont les aliments à privilégier ou à éviter pour les personnes anémiées ? Pr Awa Oumar Touré, hématologue au Laboratoire de l'Université Cheick Anta Diop et enseignante en Hématologie à la Faculté de médecine, de pharmacie et d'odontostomatologie de l'Université Cheick Anta Diop de Dakar. Auteure de l'ouvrage Elles étaient là, les pionnières de la santé !,aux éditions Nara La palabre au féminin de Charlie Dupiot. Programmation musicale : ► Aya Nakamura, Stormzy - Plus Jamais ► Victor Solf – Que le coeur.
durée : 00:58:05 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Se raconter, à travers une autobiographie ou de l'autofiction, est-ce impudique ? Pourquoi sommes-nous si intéressée·es par l'intimité des écrivain·es, parfois au-delà de ce qu'ils écrivent ? Tour d'horizon avec, entre autres, Violette Leduc et Hervé Guibert. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Vincent Kaufmann Professeur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), directeur du Laboratoire de sociologie urbaine (LaSUR) et directeur scientifique du Forum Vies Mobiles; Anaïs Frantz Docteure en littérature et civilisation françaises, enseigne la littérature et les études de genre dans les Universités américaines de Paris et chercheure associée au sein du groupe « Violette Leduc » de l'ITEM
durée : 00:03:00 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Je t'aime, un peu beaucoup, passionnément, à la folie… Georgio pose une question importante pour le jeu d'effeuiller la marguerite. Le biologiste François Parcy lui apporte une réponse scientifique très étonnante. - invités : Francois Parcy - François Parcy : Généticien, directeur de recherche CNRS au Laboratoire de Physiologie cellulaire et végétale à Grenoble - réalisé par : Stéphanie TEXIER