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durée : 00:04:42 - Récits d'enquête - par : Mattéo Caranta - La dernière enquête du magazine Sources d'Arte s'est penchée sur une troublante vidéo publiée sur linkedin. Derrière, une entreprise qui vend de l'influence à base de faux comptes et de faux commentaires. Une aubaine pour les campagnes de désinformation et les conspirateurs de tout poil.
durée : 00:03:11 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - La grande finale du Concours Eurovision de la Chanson, c'est ce samedi. Un concours qui a beaucoup changé cette année, notamment grâce à TikTok et à d'autres réseaux sociaux, qui alimentent l'engouement pour les chansons en compétition toute l'année.
durée : 00:03:11 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - La grande finale du Concours Eurovision de la Chanson, c'est ce samedi. Un concours qui a beaucoup changé cette année, notamment grâce à TikTok et à d'autres réseaux sociaux, qui alimentent l'engouement pour les chansons en compétition toute l'année.
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durée : 00:03:11 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - La grande finale du Concours Eurovision de la Chanson, c'est ce samedi. Un concours qui a beaucoup changé cette année, notamment grâce à TikTok et à d'autres réseaux sociaux, qui alimentent l'engouement pour les chansons en compétition toute l'année.
durée : 00:06:09 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - Emmanuel Macron n'exclut pas un référendum sur l'interdiction des réseaux sociaux pour les moins de 15 ans. Mais sont-ils réellement dangereux pour nos enfants et adolescents ? Pour en parler, nous recevions, ce jeudi 15 mai, Coralie Guérin, infirmière scolaire en collège en Meurthe-et-Moselle.
Tous les jours, du lundi au jeudi, la France bouge retrace une belle histoire entrepreneuriale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Volodymyr Zelensky attendra Vladimir Poutine demain à Istanbul Jacqueline Galant veut interdire les réseaux sociaux aux ados jusque 15 ans pour protéger du cyberharcèlement et Donald Trump en Arabie Saoudite, il annonce la levée des sanctions contre la Syrie Pfizergate : la justice européenne condamne la Commission pour son refus de divulguer les SMS d'Ursula von der Leyen avec le patron du laboratoire pharmaceutique Pfizer Qu'en pensent les ados de cette interdiction des RS ? Festival de Cannes : des documentaires présentés sur Volodymyr Zelensky et la guerre en Ukraine Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:54 - Un couple de rénovateurs mayennais pas comme les autres, on les appelle les Rénovateurs du dimanche sur les réseaux sociaux
durée : 00:03:23 - Un monde connecté - par : Thomas Baumgartner - Une série de signaux concordants montrent que l'idée d'une interdiction des réseaux sociaux aux moins de 16 ans fait des émules dans le monde. En cause, notamment : “tiktokisation” addictive et fin annoncée de la modération des contenus.
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Peut-on reconnaitre le genre d'un compositeur ou d'une compositrice en écoutant un morceau de jazz ? Vous êtes-vous déjà posé la question ? Si ce n'est pas le cas, des chercheurs l'ont fait pour vous !Dans ce nouvel épisode, le chercheur Ludovic Florin nous raconte comment il a mené l'enquête auprès d'étudiant·e·s en jazz pour découvrir si les clichés de genre ont un impact sur leur jugement en matière de musique.
durée : 00:03:32 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Cela fait partie des transformations de la ville pour répondre notamment à la demande en logements. A Clermont-Ferrand, quartier des Salins, Auvergne Habitat réhabilite les anciens locaux de la Fédération française du bâtiment pour construire 80 logements sociaux.
Vous avez l'impression que vos posts LinkedIn sont invisibles, que seuls les gros comptes tirent leur épingle du jeu ?C'est normal : la portée organique a chuté de 50 % en 2025.
durée : 00:03:31 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne
Avec : Élise Goldfarb, entrepreneuse. Daniel Riolo, journaliste RMC. Et Robert Sebbag, infectiologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Soyons honnêtes : on rêve tous, parfois, de tout plaquer pour aller élever des poules dans une chaumière et faire des tartes aux pommes dans une cuisine baignée de lumière… Eh bien, c'est exactement ce que le cottagecore propose. Un retour fantasmé à la nature, au calme, à une vie douce et poétique, loin du bruit des villes et du stress numérique. Né sur internet mais boosté par le confinement, ce courant mêle esthétique champêtre, nostalgie des temps simples et rejet du mode de vie moderne. Et il cartonne : plus de 16 milliards de vues sur TikTok. Le style cottagecore, c'est un peu comme vivre dans une carte postale bucolique… sans forcément quitter son salon. Mais alors, pourquoi cette fascination soudaine pour la vie à la campagne ? En quoi cette tendance est-elle aussi politique qu'esthétique ? Peut-on vraiment vivre le rêve cottagecore en plein centre-ville ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez" Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Laura Taouchanov. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le Liking Gap qui peut saboter nos nouvelles relations ? Qu'est-ce que la paranoïa de la productivité, qui bouleverse le monde du travail ? Règle des 5 secondes : peut-on consommer un aliment tombé par terre ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Chaque matin, Maurine nous dévoile des chiffres surprenants. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Il faut interdire l'accès des jeunes de moins de 15 ans aux réseaux sociaux", c'est ce que réclame l'ancien Premier Ministre Gabriel Attal. La secrétaire d'État au Numérique Clara Chappaz a donné son feu vert à l'interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans. Elle est l'invitée de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 30 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Il faut interdire l'accès des jeunes de moins de 15 ans aux réseaux sociaux", c'est ce que réclame l'ancien Premier Ministre Gabriel Attal. La secrétaire d'État au Numérique Clara Chappaz a donné son feu vert à l'interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans. Elle est l'invitée de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 30 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 30o/04/2025, il débat sur les risques d'exposition des jeunes enfants aux écrans et de la volonté de l'ancien Premier Ministre Gabriel Attal, d'interdire pour les jeunes de moins de 15 ans d'accéder aux réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL autour du monde du 29 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:16 - Le vrai ou faux - Des élections fédérales ont lieu lundi au Canada, alors que le groupe Meta a banni les articles des médias reconnus sur ses réseaux et que les IA sont de plus en plus utilisées pour produire de fausses informations.
Dans cette nouvelle chronique, Thomas Renard explore comment les arnaques sur les réseaux sociaux se transforment en armes politiques redoutables. À travers l'exemple de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, découvrez comment des contrefaçons de luxe sont utilisées pour influencer les consommateurs occidentaux. Quels sont les enjeux économiques et politiques de ces pratiques et comment s'en prémunir ? Réponses dans ce podcast captivant avec le journaliste de "Ça peut vous arriver" ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Insultes, diffamation, menaces... Sur les réseaux sociaux, certains mots peuvent coûter cher. Mais quels propos sont réellement punissables par la loi ? Et comment les faire retirer ? Réponses dans ce podcast, avec Me Sylvie Noachovitch. Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Fatima Aït-Bounoua et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Épisode 1307 : On n'a jamais mangé aussi épicé !Le marché mondial des sauces piquantes est estimé à 8,1 milliards de dollars d'ici à 2033, avec une croissance annuelle de 6,5 % depuis 2020 (Source : Studio Blackthorns)En France, les ventes ont grimpé de +30 % en cinq ans grâce aux réseaux sociauxUn phénomène culturel et générationnelLes consommateurs sont en quête de nouvelles expériences gustatives. Ils n'hésitent plus à tester des sauces très piquantes, influencés par la popularité de cuisines du monde (mexicaine, thaïlandaise, coréenne) MAIS AUSSI et surtout par la médiatisation de concepts comme l'émission “Hot Ones”70 % des fans de sauces très piquantes ont entre 18 et 35 ans : attirance pour les challenges, le goût intense, et la culture food du monde. Les influences culinaires internationales (Thaïlande, Mexique…) sont majeures. Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSEtude Santé Mentale : Bfm Tech & Co, CNN, Pew Research CenterLouane Eurovision : BFMTV, Le HuffpostEdits : BFM Tech &Co, MetaDisney Adventure : Le Huffpost, L'Union“Souviens toi…l'été dernier” : Allo Ciné, le HuffpostSérie Star Wars : BFMTV, VarietyÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La France compte 5,4 millions de logements sociaux, au 1er janvier 2024. Sur l'ensemble des résidences principales, ça représente presque 16% du parc locatif selon le ministère de l'Aménagement du territoire et de la décentralisation. Ces logements sont des acquis sociaux importants qui permettent à environ 18% des ménages d'être logés pour moins cher que dans le parc privé. Et ces acquis remontent à plus de 100 ans ! Quelle loi a permis la création des logements sociaux ? De quand date cette loi ? Quelles ont été les évolutions majeures des logements sociaux au XXe siècle ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. En partenariat avec Brief.eco Abonnez-vous à la newsletter Brief.eco avec l'essai gratuit À écouter ensuite : Dans quel pays ont été inventés les congés payés ? Quand la première voiture électrique a-t-elle été inventée ? Comment les luttes sociales sont-elles représentées dans l'art ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Tu veux lancer ton activité d'accompagnement, mais l'idée de t'exposer sur les réseaux sociaux te bloque ? Dans ce podcast, on parle d'une AUTRE façon de voir les choses.
Avec : Benjamin Amar, prof d'histoire-géo, Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Et Yael Mellul, ancienne avocate. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
C'est la nouvelle tendance sur les réseaux sociaux : faire des boissons ou des desserts violets à base d'ube, un tubercule venu des Philippines. Bonne ou mauvaise idée ? Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 21 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce podcast Speakeasy by /influx : Hardisk, Paul Barbosa et Romain Lanéry donnent des points qui, selon eux, sont surcotés ou souscotés vis à vis des comportements sur les réseaux sociaux.Posez-nous vos questions via ce lien : https://www.speakpipe.com/SpeakeasyDécouvrez la gamme HOLY : https://fr.weareholy.com/speakeasy/podcastRéagissez au podcast sur les réseaux avec le hashtag #SpeakeasyByInflux et en nous @ :https://www.instagram.com/paulbarbosa/https://www.instagram.com/hardisk/https://www.instagram.com/romainlanery/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Annie Montaut est linguiste de formation et spécialiste de la civilisation indienne. Son nouvel ouvrage Trois mille ans d'écologie indienne : Penser autrement la nature est un livre érudit et passionnant sur la pensée et les pratiques de l'écologie dans la civilisation indienne depuis ses lointaines origines. Entretien. Alors que l'Inde moderne est souvent montrée du doigt comme mauvais élève écologique à cause de ses records de pollution non-maîtrisée, les penseurs indiens n'ont cessé de réfléchir depuis des temps anciens sur les liens de l'homme avec son environnement. Faisant sienne l'affirmation de l'écologiste indienne Vandana Shiva selon laquelle l'Inde est dans ses « principes civilisationnels profonds » une civilisation fondamentalement écologique dans la mesure où elle ne sépare pas l'être humain des autres êtres vivants, l'essayiste Annie Montaut revient dans son nouvel opus sur les tenants et les aboutissants de la pensée écologique indienne. Le hiatus et le prolongement entre les fondements philosophiques et les pratiques écologiques contemporaines sont le sujet de ces pages.RFI : Comment est née l'idée de ce livre ?Annie Montaut : L'idée, elle est née, il y a très longtemps. Ce n'était pas l'idée d'un livre, c'était d'abord un intérêt, qui a été suscité, je dirais, dès mon arrivée en Inde où j'ai travaillé entre 1981 et 1987 en tant qu'enseignante dans une université à New Delhi. Il se trouve qu'à l'université j'étais collègue de Maya Jani qui était la secrétaire d'une association qui s'appelle « Navdanya ». C'est l'association de Vandana Shiva, connue pour son combat contre le brevetage des semences et pour avoir placé la femme et l'écologie au cœur du discours sur le développement moderne. J'ai donc connu très rapidement Vandana Shiva, en fait dès mon arrivée en Inde en 1981. A la suite, j'ai rencontré l'écologiste gandhien Anupam Mishra, qui, lui aussi, a beaucoup contribué à mener à bien ma réflexion sur les stratégies de protection de l'environnement en Inde. Mishra est l'homme de l'eau, de collecte, de gestion et de préservation de l'eau en milieu aride, notamment au Rajasthan. Quant à l'écologie tout court, pour ça il a fallu que j'aille puiser dans mon archéologie personnelle, familiale en particulier. Je suis d'origine rurale, à seulement deux générations. J'ai eu aussi un père qui m'a beaucoup sensibilisé aux dégradations commises dans nos campagnes françaises dès les années 1950. Ce livre est un mix de tout ça. C'est vrai qu'il y a beaucoup de militantisme dans ces pages, mais il y a aussi l'envie de faire découvrir ce qui se passait en Inde dans ce domaine à un public non-spécialisé, c'est-à-dire à d'autres que des indologistes.Annie Montaut, vous convoquez la linguistique, la littérature, la philosophie, les arts de l'Inde antique pour montrer que la conscience écologique existait en Inde depuis les débuts de la civilisation indienne. Mais vous dîtes aussi qu'en Inde il n'y avait pas de mots pour désigner autrefois l'environnement ou l'écologie. C'est plutôt paradoxal, non ?Non, non, si vous y réfléchissez, le mot « écologie » est moderne, le mot « environnement » au sens qu'il a aujourd'hui, c'est aussi un néologisme. Donc, je pense que dans aucune culture traditionnelle, qu'elle soit orientale ou occidentale, il n'y avait pas de mot jusqu'à encore très récemment pour désigner ce qu'on appelle la discipline écologique ou environnementale. Oui, maintenant, il y a des mots pour le dire ces choses-là. En Inde aussi, où on emploie beaucoup la terminologie anglaise. Le mot « environment » est couramment utilisé, « ecology » un peu moins. Il existe aussi des mots en hindi, souvent des mots savants que personne dans la rue n'emploie, mais qui sont des calques de l'« environment » anglais. On dira, par exemple, paristhiti, qui signifie la nature qui est autour, dont on est par définition extérieur, à l'écart, alors que selon la vision qui est particulièrement prégnante en Inde, l'homme n'est pas à l'extérieur de quelque chose qu'on appelle « nature » et qui nous environnerait. L'homme n'en est pas le maître, mais il en fait partie.La question fondamentale qui se pose alors : comment les Indiens pensent la nature ? C'est un sujet auquel vous avez consacré tout un chapitre de votre livre. Pourriez-vous nous en parler ?En Occident comme en Inde, avant « environment », on avait « nature » et « culture ». Chez nous, en Occident, les deux concepts s'opposent. Même linguistiquement, si les deux mots ont les mêmes suffixes, leurs racines sont différentes. En Inde, ça ne se passe pas du tout comme ça. Lexicalement déjà, dans les langues indo-aryennes, le mot pour dire « nature », c'est prakriti et sanskriti pour « culture ». Les deux mots sont formés sur une base verbale commune : kri. Ils sont construits à partir des préfixes différents, mais qui ne sont pas opposés. Le préfixe du mot signifiant la nature en langues indiennes désigne un mouvement dynamique, un développement interne, et le préfixe pour culture désigne son ordonnancement. Quant à la racine, commune aux deux termes, c'est une forme nominale du verbe « agir », un agir qui veut dire perfectionnement dans le cas de la culture et qui conçoit la nature comme un réservoir d'énergies libres. Moi, j'ai trouvé extrêmement intéressant que « nature » et « culture » soient les deux versants du même « agir ». Dans la tradition classique indienne, la nature est pensée comme l'amont de la culture, dans un même mouvement de l'énergie de création.Autrement dit, comme vous l'expliquez, nature et culture sont interconnectées dans la pensée indienne...Dans la conception indienne, les deux phénomènes se posent en partenariats. Ils sont interconnectés au sein d'un cosmos dans lequel l'homme fait partie et où les vivants acquièrent leur complétude dans leur interdépendance. Cette vision de l'interconnexion a été élaborée depuis des millénaires dans la pensée philosophique, spéculative et mystique indienne. On peut parler d'autant plus de l'interconnexion que l'ensemble du monde matériel procède des mêmes éléments fondamentaux. Il y a la terre, l'air, l'eau, le feu, le ciel, et tout est issu de ces éléments de base. L'être humain, il est formé des mêmes cinq éléments. L'être végétal, pareil. L'être animal, pareil. Tout le monde est formé de ces cinq éléments et on ne peut donc pas dissocier l'être humain, du milieu végétal, aquatique et aérien dont il fait aussi partie.Enfin, diriez-vous que cette vision plurimillénaire d'une création interconnectée continue de nourrir la pensée écologique indienne d'aujourd'hui ?C'est une question super difficile parce qu'il y a plusieurs écologies en Inde. Il y en a une qui m'a intéressée, c'est celle qui a donné lieu aux grands mouvements populaires et c'est celle qui a beaucoup contribué à faire connaître l'écologie indienne, en particulier la pensée dans ce domaine de Vandana Shiva à qui j'emprunte cette notion que la pensée indienne est fondamentalement écologique par sa philosophie de l'interconnexion généralisée. Parallèlement, vous avez ce qu'on appelle une écologie urbaine, qui n'a pas du tout les mêmes bases. Elle encourage, par exemple, la sanctuarisation de l'espace naturel sous forme de parcs naturels dont l'entrée est souvent payante, donc réservée à une élite argentée. Contrairement aux populations rurales, les défenseurs de cette écologie urbaine ne vivent pas l'idée de l'interconnexion de tous les vivants dans leur chair, tout simplement parce que quand on vit en ville, on ne voit plus la terre ! Mais comme l'Inde est encore largement rurale, la pensée de la nature et sa sauvegarde restent encore empreintes des idées traditionnelles d'interconnexion et de partenariat entre l'homme et son environnement.Peut-on dire que la rupture épistémologique en Inde dans son approche de la nature date de la période de la colonisation occidentale ?La colonisation a certes modifié en profondeur la vision indienne du monde et elle a eu des conséquences sur les pratiques écologiques comme dans d'autres domaines. Cette rupture coloniale a été largement documentée par une école qui s'appelle l'école des subalternistes. Ces derniers ont magnifiquement mis en lumière la schizophrénie entre des modes de pensée traditionnelle et des modes de pensée occidentale. La colonisation a été une entreprise de prédation avec ses exactions sur l'environnement au nom de la modernité, mais rien de commun avec ce qui s'est passé en Inde dans ce domaine après l'indépendance. La « révolution verte » des années 1970 a été le pas décisif pour modifier le rapport à la nature, avec un recours massif à l'agrochimie. En découle l'endettement des paysans qui sont obligés désormais d'acheter quantité de pesticides, d'herbicides et d'engrais chimiques. Ce changement de paradigme dans l'agriculture a entraîné dans son sillage la catastrophe de l'usine pétrochimique de Bhopal qui a endeuillé l'Inde en 1984. On a là un pays qui n'a rien à voir avec son écologie traditionnelle et ses décideurs jouent à fond le modèle développementaliste, qui est très critiqué par des écologistes indiens comme Anupam Mishra ou Vandana Shiva.Votre thèse sur la « vertuosité » de l'écologie indienne s'appuie sur les pratiques de sauvegarde de l'environnement au niveau des « grassroots », soit des populations de base. Pourriez-vous en citer quelques exemples saillants ?Ces pratiques ont la particularité d'émerger spontanément des besoins vitaux des populations marginalisées. Je pense aux habitants premiers qu'on appelle les « adivasis » qui, tout comme d'autres populations vivant dans des milieux fragiles, soit subdésertiques ou montagnards, défendent les ressources limitées dont ils dépendent pour leur survie. Elle est déterminée par l'entretien de leurs ressources, notamment en eau, en agriculture ou pour la chasse, car les « adivasis » chassent beaucoup. Les pratiques agroécologiques propres à ces communautés se caractérisent par une interaction basée sur le partenariat - et non sur la prédation - entre les acteurs et le milieu spécifique dans lequel ces derniers oeuvrent. Dans mon livre, j'ai évoqué longuement l'agropastoralisme, le respect de la forêt ou la métallurgie traditionnelle pratiquées par les communautés d'« adivasis », aux modes de vie particulièrement respectueux du vivant.Vous avez parlé aussi longuement des combats écologiques menés par les femmes indiennes, qui semblent jouer un rôle de premier plan dans ce domaine. L'exemple qui vient à l'esprit et qui est connu dans le monde entier, c'est le mouvement Chipko.En effet, les femmes furent au cœur de ce mouvement né dans les années 1970 pour la conservation des forêts en Inde. « Chipko » signifie littéralement « s'enlacer ». C'est ce que ces militantes ont fait en enlaçant les troncs des arbres de leur forêt pour empêcher les bûcherons missionnés par le gouvernement d'abattre les arbres. Elles ont effectivement réussi à stopper les tronçonneuses et le massacre programmé. Pourquoi ce sont les femmes qui étaient au premier plan ? En fait, dans la région des Himalayas, dans le nord de l'Inde où ce mouvement s'est déroulé, les hommes descendent en ville pendant la mousson pour trouver du travail qu'ils ne trouvent pas localement. C'était donc aux femmes restées sur place de prendre le flambeau. Elles l'ont fait avec courage et efficacité. Il faut dire que les femmes sont les premières concernées dans ces combats écologiques menaçant les ressources en eau ou en bois, indispensables pour la subsistance. Traditionnellement, en Inde, ce sont les femmes qui s'occupent du bétail. La forêt fournit du fourrage pour le bétail, du combustible pour cuisiner, elle est aussi le réservoir de plantes médicinales et de certaines plantes vivrières aussi. N'oublions pas les corvées d'eau ? Dans les villages indiens où l'eau courante n'arrive toujours pas, ce sont toujours des femmes qui sont obligées d'aller chercher de l'eau avec un pot sur la tête. L'économie vivrière étant très largement aux mains des femmes, ces dernières sont particulièrement sensibles aux menaces sur leurs ressources. Ce sont toujours les femmes qui ont mené la révolte contre les usines Coca-Cola parce qu'elles prenaient toute l'eau et l'empoisonnaient.Derrière votre célébration des pratiques écologiques indiennes, faites de combats et d'affirmation d'un modèle vertueux d'interaction entre l'homme et la nature basé sur partenariat et non prédation, difficile de ne pas lire une véhémente critique de la pensée écologique occidentale. L'écologie traditionnelle des pauvres pratiquée dans l'Inde des villages et des « adivasis » peut-elle être le modèle pour le monde ? Elle peut évidemment, mais elle doit, si on ne veut pas, comme on le dit grossièrement, aller dans le mur. Ce ne sont certainement pas les techno-solutions qui vont permettre de reconstituer les sols abîmés dans le monde. L'écologie sera sociale ou ne sera pas comme l'a écrit l'écologiste belge Daniel Tanuro. En effet, on a besoin que se généralisent dans le monde des pratiques écologiques visant à préserver et à promouvoir une gestion holistique de la question de la protection de l'environnement, se substituant à la gestion aux visées prédatrices qui ne font que dégrader nos milieux vitaux. Cela dit, je ne voulais pas que mon livre soit une simple critique de l'occident, même si je critique un certain modèle de développement qui a bien sûr germé en Occident, mais qui n'a pas été adopté à travers tout le monde occidental. Il a été critiqué dès les années 1950 dans mon pays limousin où un chansonnier occitan, qui se faisait parfois porte-parole de la paysannerie française pour affirmer qu'« épuiser la terre jusqu'à la rendre stérile » était comme « violenter une fille non-consentante ». Pour moi, ces propos ne sont pas sans rappeler les propos apocryphes du chef indien qui dans sa lettre apocryphe envoyée au président américain à la fin du XIXe siècle en apprenant qu'il allait devoir céder les terres de son peuple aux Etats-Unis, écrivait : « La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre ». Les résonances entre les propos du chanteur de mon pays limousin et ceux du chef indien sont la preuve que l'Occident est tout sauf monolithique.Propos recueillis par Tirthankar ChandaTrois mille ans d'écologie indienne : penser autrement la nature, de Annie Montaut, aux Éditions du Seuil, 235 pages, 23,50 euros.
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse au droit de rétractation lors d'un achat effectué via les réseaux sociaux.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:24 - Le vrai ou faux - Des vidéos donnent des conseils aux adolescents et très jeunes hommes pour masculiniser leur apparence. Une tendance dangereuse pour la santé, et proche du mouvement masculiniste incel.
▶️ Dans cet épisode, on vous dévoile la nouvelle formule du podcast. Désormais, nous serons 4 autour de la table : un·e invité·e et deux chroniqueur·euse·s qui animeront la discussion à mes côtés. On fait donc connaissance avec l'équipe : Nina Aguillon, Ayman Moussa et Nastassia Pouradier Duteil, tous membres du laboratoire Jacques-Louis Lions.
Tous les matins, retrouvez Laurent Tessier dans Europe 1 Bonjour pour un débrief exclusif du meilleur de l'émission "Pascal Praud et vous" diffusée la veille. Il vous propose un condensé des moments forts, des débats les plus percutants et des interventions marquantes de vos invités préférés.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Collaboration commerciale Vous êtes photographe ? Découvrez Lumys Photo et Lumys Scolaire, les solutions idéales pour partager vos photos avec vos clients en toute simplicité. Une entreprise française à taille humaine, basée à Nantes, qui vous accompagne tout au long de votre carrière. Plus d'infos sur https://lumys.photo/ et https://lumys-scolaire.photo/Dans cet épisode avec Jérôme Sevrin et David Morinière, on est revenu sur les transformations majeures que le secteur de la photographie social a connues au cours de la dernière décennie. Ils nous expliquent comment Lumys a su s'adapter à ces changements en proposant des solutions qui répondent aux besoins des photographes, qu'il s'agisse de la gestion des galeries en ligne ou de l'accompagnement dans la diversification des activités. On a également parlé d'intelligence artificielle et de l'importance de l'accompagnement pour les photographes qui souhaitent développer leur carrière et vivre de la photographie. Bonne écoute !00:01:21 - Jérôme Sevrin présente les plateformes de Lumys00:04:25 - Le parcours de Jérôme et la création de Lumys00:12:40 - Les évolutions de Lumys pour s'adapter aux besoins des photographes du social00:17:03 - Le développement du support client et le rôle de David Morinière00:31:15 - Vision et mission de Lumys00:48:00 - Concurrence et fragmentation du marché et la difficulté pour les photographes d'avoir une approche commerciale01:02:35 - L'utilisation de l'IA chez Lumys01:09:15 - Leurs conseils pour les photographesLe site de Lumys Photo : https://lumys.photo/Le site de Lumys Scolaire : https://lumys-scolaire.photo/Mon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Épisode 1299 : « On se croirait dans Black mirror », c'est quasiment devenu un expression de la vie courante pour illustrer les dérives liées à la technologie, aux réseaux sociaux ou encore au futurBlack mirror c'est cette série que vous avez forcément regardée ou dont vous avez forcément entendu parler !L'activation Nubbin : une mise en scène dans la vraie viePour la sortie de cette nouvelle saison, Netflix a orchestré une activation grandeur nature, qui a brouillé les frontières entre fiction et réalité.L'univers étendu de TCKR SystemsPour renforcer l'immersion, une fictive entreprise tech, TCKR Systems, a été inventée :Site web officiel : avec une identité visuelle crédible, des promesses technologiques futuristes, une fiche produit sur le Nubbin, des offres d'emploiCompte LinkedIn : avec des posts qui semblent tout droit sortis d'un incubateur de la Silicon Valley (“Why settle for this reality?”).Présence sur TikTok et relais via Netflix France.OPÉRATION d'influence de malade pour le lancement de la saison 7Mais le délire ne s'arrête pas là, c'est une véritable opération d'influence qu'a monte netflix sur TikTok.Ils sont allés sourcer des créateurs fans de cinéma pour qu'ils créent des contenus pour les accompagner dans la supercherie et rendre encore plus réel ce produit futuriste.Pour ce faire Netflix a visé des mega createurs de plus de 500k abonnés dans les communautés cinéma et gamingUne activation physique qui devient social mediaL'exemple du Nubbin est une masterclass d'activation social media... sans être pensée pour les réseaux, mais pour le réel.Pourquoi ça marche ?Parce que le public devient témoin et média. Les passants sont choqués, intrigués, ils filment, ils commentent.Parce que l'activation n'est pas brandée. L'absence de logo rend le tout plus crédible, donc plus viral.Parce que la narration se prolonge en ligne : le faux site, les faux comptes, les publications crédibilisent l'ensemble.C'est ce qu'on appelle aujourd'hui du social media indirect : une action dans la vraie vie qui devient contenu social naturel.Black Mirror, une expression entrée dans le langage courantAujourd'hui, dire “on se croirait dans Black Mirror”, c'est décrire une situation :Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Stéphanie Bentz raconte en détails la période d'accouplement du porc-épic; Daria Marchenko regarde comment on peut quitter les réseaux sociaux sans laisser de traces; Jean-François Gagnon explique les probabilités de perdre son argent aux machines à sous; et Piero Calosi jongle avec l'idée qu'un crabe soit un insecte marin.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
durée : 00:47:14 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - De Jean-Jacques Goldman et Céline Dion à Angèle ou Pierre Niney, une récente étude du cabinet Sociovision révèle que 89% des Français s'intéressent à la vie des célébrités, qui continuent de faire rêver et d'inspirer toutes les générations.
Vous êtes entrepreneur, indépendant ou en profession libérale et vous appréciez le format de ces leçons ? Je mets mon expérience à votre service dans un format plus approfondi ici : https://www.demian.education/.✨ Rien n'est impossible à ceux qui rêvent assez grand. À vos rêves. ✨Aujourd'hui, je reçois Sarah, fondatrice de Déjà Bu, un bar à cocktails sans alcool innovant en plein cœur de Paris. Elle fait face à une question essentielle que beaucoup d'entrepreneurs se posent :