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Après 20 ans passés à des postes de direction Product Marketing aux États-Unis, il accompagne depuis +3 ans les entreprises B2B tech dans leur repositionnement et structuration de la fonction PMM.Bertrand a managé des équipes de plus de 20 PMM, recruté des dizaines de profils, structuré des fonctions de zéro… Et même collaborer avec la reine du Positioning : April Dunford. Il partage sa conviction : le positionnement est le socle de toute stratégie marketing efficace. Et il nous livre son approche très terrain du Product Marketing, nourrie par des années à côtoyer sales, produit et direction.Vous découvrirez :
L'ensemble des liens utiles : Besoin de former vos managers via notre Yaniro Leadership Program ? Prenez rendez-vous iciEnvie d'envoyer à vos managers la version auto-administrée de notre formation au management ? C'est ici : https://yanirowiki.co/kitEt pour retrouver les meilleures pratiques RH directement dans notre Yaniro Wiki c'est ici : https://yanirowiki.co/Bienvenue dans le podcast du HUMAN FACTOR by YANIRO, je m'appelle Alexis Eve et tous les mercredis je vais à la rencontre des Startups les plus véloces pour rentrer en détails dans les bonnes pratiques RH qui leur permet de faire du Facteur Humain un levier de croissance plutôt qu'un risque ! Le Human Factor ce n'est pas qu'un Buzzword, c'est aussi le nom de notre premier livre !Les clés de l'alignement entre associé.e.s, d'une organisation adaptée ou encore de la bonne relation à son travail, The Human Factor c'est 100 pages de retours terrain des plus belles startups et de bonnes pratiques actionnables.Vous pouvez contacter Mathilde sur LinkedInEt suivre les actualités du Lab RH pour rester à la pointe de l'innovation RH. Elle sera notamment présente à Vivatech où elle anime des learning expeditions pour les DRH qui veulent se former sur l'IA, ainsi qu'aux événements organisés par le Lab RH.
Dans cet épisode, nous revenons sur les temps forts de la Week 8 de College Football avec nos coups de cœur… et nos coups de bambou.Carson Beck et Miami passe à côté de leur match, un nouveau record NCAA de yards à la course, la valse des entraineurs qui continue et la belle histoire de BYU. En deuxième partie, cap sur la Week 9 avec la présentation des plus belles affiches, dont une équipe des UCLA Bruins qui retrouve des couleurs après un début de saison catastrophique et qui s'attaque à leur Everest, l'équipe classée 2 : les Indiana Hoosiers. La rédemption va-t-elle se poursuivre pour les Bruins ? Une chose est sûre : ne pariez pas vos économies !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l''a marquée !
Dominique traverse une période de souffrance émotionnelle après avoir quitté un partenaire qu'elle avait idéalisé malgré ses défauts. Elle se débat avec des sentiments de culpabilité et de manque, tout en étant consciente que la séparation était nécessaire. Elle cherche à comprendre son ex-partenaire tout en luttant contre sa propre douleur. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Braquage au Musée du Louvre. Le cessez-le-feu est déjà rompu à Gaza. Le ton monte entre Trump et Zelensky. La rencontre Bureau-Dumont avec Stéphan Bureau et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
J'ai commencé à me poser des questions sur l'investissement il y a quelque temps, au moment où je travaillais sur la série “Se projeter dans l'avenir quand on est freelance” (en interviewant Saibatou notamment). Et depuis, je creuse doucement, à mon rythme. L'autre jour, une collègue de coworking m'a dit un truc qui m'a marquée : “Ce sont des sous qu'il faut oublier.” Et cette approche m'a complètement détendue. Dans cette Minute Marine, je te parle de mon éveil (prudent) à l'investissement, des a priori que j'avais, et de ce que j'apprends en m'y mettant doucement. On y parle aussi de patience, de vocabulaire flou, et de l'intérêt de mieux comprendre comment tourne l'économie. Et toi ? Tu investis une partie de ton épargne ? Tu arrives à oublier ces sous-là, ou pas vraiment ? (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
Égalité femmes-hommes : et si nous arrêtions de nous mentir ?Il y a quelques années, lors d'une conférence, un dirigeant m'a dit :“Chez nous, il n'y a pas de problème d'égalité, tout le monde est traité pareil.”Quelques minutes plus tard, une salariée de la même entreprise est venue me voir :“Ah bon ? Parce que moi, je n'ai jamais vu une femme au comité de direction…”Ce décalage, je le retrouve partout. Les entreprises affichent leur engagement, les labels se multiplient, les chartes fleurissent… mais sur le terrain, la réalité reste têtue.Avec mon partenaire Great Place to Work, nous avons voulu savoir ce que VOUS en pensiez.
Dans cet épisode, je reçois Jean-Samuel, un ami cher et une personne d'une résilience incroyable. On parle de dépendance alimentaire, de la gestion des émotions depuis l'enfance jusqu'à aujourd'hui, et surtout… de persévérance. Jean-Samuel nous montre qu'on peut tomber souvent, mais qu'on peut toujours se relever, peu importe le poids qu'on porte.Bonne écoute Merci à mes commanditaires • Twins shirts – Facebook | Instagram | TikTok• La Station Bolvita – Facebook | Instagram | TikTok• Bon24h – Facebook | Instagram | TikTok | www.bon24h.com Besoin d'aide?Des ressources sont là pour toi :• Narcotiques Anonymes : 1 855 LIGNE NA | naquebec.org• Drogues, aide et référence : 1 800 265-2626• Ligne d'écoute (prévention suicide) : 1 866 APPELLE (277-3553)• www.bon24h.com/ressources
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Invité : Kendji Girac, pour son livre "Mi Vida" disponible aux Éditions Flammarion, sa tournée et son nouvel album "Vivre encore" qui sortira le 17 octobre Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un nouvel épisode du Pharmascope est maintenant disponible et on termine notre série d'épisodes sur les troubles neurocognitifs majeurs. Dans ce 76ème épisode, Nicolas, Sébastien, Isabelle et leur invité discutent du traitement pharmacologique de la démence. Les objectifs pour cet épisode sont: Expliquer les bénéfices et les risques associés aux traitements pharmacologiques des troubles neurocognitifs Discuter du suivi de l'efficacité et de l'innocuité des traitements utilisés dans les troubles neurocognitifs Comparer les avantages et inconvénients des différents agents utilisés dans le traitement des troubles neurocognitifs Ressources pertinentes en lien avec l'épisode Revues systématiques Birks JS, Harvey RJ. Donepezil for dementia due to Alzheimer's disease. Cochrane Database Syst Rev. 2018;6:CD001190. Birks JS, Evans JG. Rivastigmine for Alzheimer's disease. Cochrane Database Syst Rev. 2015;4:CD001191. McShane R et coll. Memantine for dementia. Cochrane Database Syst Rev. 2019;3:CD003154. Consensus canadien sur la démence Ismail Z et coll. Recommendations of the 5th Canadian Consensus Conference on the diagnosis and treatment of dementia. Alzheimers Dement. 2020;16:1182-95. Commission du Lancet Livingston G et coll. Dementia prevention, intervention, and care: 2020 report of the Lancet Commission. Lancet. 2020;396:413-46. Documents de l'INESSS Institut national d'excellence en santé et en services sociaux. Outils de repérage mesurant les fonctions cognitives, l'autonomie fonctionnelle et les symptômes comportementaux et psychologiques de la démence. 2015. Institut national d'excellence en santé et en services sociaux. Alzheimer – outils / activités. 2015.
L'arithmétique est implacable. Si le PS se joint au reste de la gauche et au RN pour voter la censure, Sébastien Lecornu tombera aussitôt, on le sait. Mais s'il obtient la neutralité des 66 députés socialistes et qu'il perd symétriquement les 49 députés Républicains, et bien l'issue sera la même. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Jérôme Marty et Zohra Bitan, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Un nouvel épisode du Pharmascope est maintenant disponible et on poursuit notre série d'épisodes sur les troubles neurocognitifs majeurs. Dans ce 75ème épisode, Nicolas, Sébastien, Isabelle et leur invité discutent de la prise en charge non pharmacologique de la démence. Les objectifs pour cet épisode sont les suivants: Identifier des facteurs de risque d'exacerbation des troubles neurocognitifs Conseiller des mesures non-pharmacologiques bénéfiques pour aider les individus atteints d'un trouble neurocognitif Connaître les preuves scientifiques concernant le risque de certains médicaments en trouble cognitif Ressources pertinentes en lien avec l'épisode Étude FINGER Ngandu T et coll. A 2 year multidomain intervention of diet, exercise, cognitive training, and vascular risk monitoring versus control to prevent cognitive decline in at-risk elderly people (FINGER): a randomised controlled trial. Lancet. 2015;385:2255-63. Consensus canadien sur la démence Ismail Z et coll. Recommendations of the 5th Canadian Consensus Conference on the diagnosis and treatment of dementia. Alzheimers Dement. 2020;16:1182-95. Commission du Lancet Livingston G et coll. Dementia prevention, intervention, and care: 2020 report of the Lancet Commission. Lancet. 2020;396:413-46. Documents de l'INESSS Institut national d'excellence en santé et en services sociaux. Outils de repérage mesurant les fonctions cognitives, l'autonomie fonctionnelle et les symptômes comportementaux et psychologiques de la démence. 2015. Institut national d'excellence en santé et en services sociaux. Alzheimer – outils / activités. 2015.
Philippe et Sandy partagent avec vous plein de techniques pour ne plus oublier !
Philippe et Sandy partagent avec vous plein de techniques pour ne plus oublier !
"Marseille, ça ne se refuse pas, c'est magnifique". Benjamin Pavard a été présenté jeudi à Marseille et s'est dit "très heureux et très honoré" d'être à l'OM, club qu'il a rejoint dans les derniers instants du mercato estival. "C'est beaucoup d'émotion. Cela fait neuf ans que je suis parti de France. Ca m'a beaucoup manqué. C'est pour ça que ce projet m'a tout de suite plu. Je suis très heureux et très honoré d'être ici", a déclaré Pavard lors de sa conférence de presse de présentation. Le défenseur polyvalent de 29 ans a quitté Lille à 20 ans pour rejoindre Stuttgart, avant de poursuivre sa carrière au Bayern Munich puis à l'Inter Milan. Arrivé mercredi seulement à Marseille, l'ancien Munichois et Milanais s'est dit "prêt physiquement et mentalement" à jouer dès vendredi contre Lorient. Que peut-il apporter à l'OM ? ESt-ce un mariage "gagnant-gagnant" ? Autour de Philippe Sanfourche, retrouvez Hugo Amelin et Cédric Chasseur.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Journée mondiale de sensibilisation au syndrome d'alcoolisation fœtale : « La femme boit seule pour oublier sa souffrance, nous les aidons à comprendre les dangers de l'alcool pendant la grossesse, » déclare Micaella Clément, d'Etoile d'Espérance by TOPFM MAURITIUS
Église réformée baptiste de la Trinité Christian K. Balayi
Comme toujours, nous commencerons notre émission par une discussion sur l'actualité. Notre première conversation portera sur le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, qui met en avant l'unité entre les dirigeants de la Chine, de l'Inde et de la Russie. Puis, nous parlerons du 80ème anniversaire de la capitulation du Japon, qui a marqué le début d'une ère d'alliances et de libre-échange. Depuis, les souvenirs de la guerre se sont estompés, tout comme le consensus sur ce qu'il faut faire pour éviter que l'histoire se répète. Nous passerons ensuite à une étude scientifique sur des traces possibles de métissage entre l'Homo sapiens et les Néandertaliens. Cette étude repousse d'environ 100 000 ans la chronologie jusque-là admise de ce métissage. Enfin, nous discuterons du Beer Mile World Classic, qui s'est récemment déroulé dans la capitale du Portugal. Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue et à la culture françaises. Notre point de grammaire de la semaine sera : The Imperfect Tense. The Verbs of the Third Group with the roots: mettre, venir, cevoir and the verbs conjugating like rendre. Nous parlerons de la restitution par la France de restes humains aux autorités malgaches lors d'une cérémonie officielle. Ce geste historique marque un pas vers le pardon pour les massacres commis à Madagascar pendant la colonisation. Nous terminerons avec l'expression de la semaine : Mettre son grain de sel. Nous verrons que certains mots de vocabulaire diffèrent selon les régions de France, ce qui donne souvent lieu à des débats passionnés entre les Français. - La Chine, l'Inde et la Russie provoquent l'Occident en affichant leur unité - Oublier les leçons des guerres mondiales conduit à l'effondrement de l'ordre international - Une étude met en cause la théorie établie sur le métissage entre les humains et les Néandertaliens - Corey Bellemore domine le Beer Mile World Classic pour la cinquième année consécutive - La France rend à Madagascar trois crânes datant de l'époque coloniale - Pain au chocolat ou chocolatine : la guéguerre des régions françaises
On revient sur le 3ème match des Bleus à l'#EuroBasket où Israël s'impose 82‑69 face à la France, grâce à un ultime quart-temps renversant mené par un Deni Avdija incandescent (23 pts, 8 rebonds, 5 interceptions). Un match compliqué pour l'Équipe de France qu'on tente d'analyser avec Erwan et Thomas, avant de se projeter sur la suite du parcours des Bleus dans une poule désormais très ouverte. Prochain match décisif contre la Pologne, hôte du groupe D à retrouver mardi à 20h30 sur TFX et beIN Sports ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est une question universelle, souvent posée après une rupture : combien de temps faut-il pour vraiment oublier un ex ? Une équipe de chercheurs dirigée par Grace Larson (Northwestern University) et David Sbarra (University of Arizona) a tenté d'y répondre scientifiquement. Leur étude, publiée dans la revue Social Psychological and Personality Science, révèle un chiffre bien plus élevé que ce que l'on imagine souvent : il faut en moyenne 4,18 années pour se remettre pleinement d'une relation amoureuse marquante.Les chercheurs ont suivi des adultes ayant vécu une séparation récente et ont analysé plusieurs dimensions : le niveau d'attachement émotionnel, la détresse psychologique, l'évolution de l'estime de soi, et surtout la manière dont les participants reconstruisent leur identité personnelle.Car selon l'approche de Larson et Sbarra, l'oubli d'un ex ne dépend pas seulement du temps ou de la douleur ressentie, mais surtout d'un phénomène bien plus profond : la redéfinition du “soi”. Quand on est en couple, notre identité se lie progressivement à celle de l'autre. Après la rupture, il ne s'agit pas simplement de “passer à autre chose” : il faut reconstruire qui l'on est sans l'autre. C'est ce que les chercheurs appellent la “réintégration de soi”.L'étude montre que plus la relation a été intense et fusionnelle, plus ce processus est long. Le cerveau, lui aussi, joue un rôle dans ce délai. L'imagerie cérébrale (IRM fonctionnelle) montre que les zones activées par la douleur amoureuse (notamment le cortex cingulaire antérieur) sont les mêmes que celles activées en cas de douleur physique. En d'autres termes, une rupture amoureuse fait “physiquement” mal. Ce n'est pas une métaphore.Ajoutons à cela des facteurs aggravants : le rejet brutal, le manque de clôture, l'absence de soutien social ou encore la persistance d'un lien numérique avec l'ex (réseaux sociaux, messages non effacés) ralentissent tous le processus. À l'inverse, les personnes qui parviennent à recontextualiser la rupture, à en tirer un sens ou une leçon, récupèrent plus vite.Les chercheurs insistent toutefois sur un point : le chiffre de 4,18 ans est une moyenne. Certains se remettent en quelques mois, d'autres ont besoin de beaucoup plus. Il ne s'agit pas d'un compte à rebours figé, mais d'un chemin personnel, influencé par notre histoire, nos attachements, et notre capacité à réinventer notre vie.En conclusion, la science nous rappelle que “oublier un ex” ne veut pas dire effacer le souvenir, mais guérir l'attachement. Et ce processus prend du temps. Beaucoup plus qu'un simple “verre entre amis” ne le laisserait croire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Message apporté par Daniel Pottier le dimache 25 août 2025, dans la série estivale : "Sans filtre - Sortons des clichés". Voir en vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=AldEtlJckCQ+ de messages et d'infos sur www.eglise-elm.com
Voici faire ton deuil de rupture et tourner la page suite à ta séparation avec ton ex.
Lundi 24 octobre 2022Rencontre avec Valérie Da Costa autour de “Paul Thek en Italie (1962-1976)” aux éditions Les presses du réel et pour son ouvrage “Vita Nuova - Nouveaux enjeux de l'Art en Italie (1960-1975)” paru chez Snoeck publisher. “Paul Thek” , l'un des artistes américains les plus singuliers de la seconde moitié du XXe siècle, a toujours refusé d'appartenir aux courants artistiques dominants.De 1962 à 1976, il voyage en Italie, multipliant les longs séjours. À Rome, il découvre la sculpture antique, les réalisations de la Renaissance, les églises baroques, mais surtout l'effervescence artistique de la capitale. En Sicile, avec son ami le photographe Peter Hujar, il regarde la mort à travers les reliquaires, les processions religieuses ou encore les extraordinaires catacombes des Capucins. Sur l'île de Ponza, il expérimente une vie méditerranéenne extatique, en osmose avec la nature et notamment la mer.Autant d'attitudes qui sont à l'origine de son oeuvre, des célèbres Technological Reliquaries aux expositions installations novatrices jusqu'au retour à la peinture et au dessin.“Vita Nuova” : Depuis l'exposition qui s'est tenue au Centre Pompidou en 1981 : « Identité italienne. L'art en Italie depuis 1959 », dont le commissariat était assuré par Germano Celant, il n'y a pas eu en France une exposition qui proposerait de repenser largement la scène artistique italienne. Or, l'Italie a connu une période particulièrement fertile et exceptionnelle du début des années 1960 jusqu'au milieu des années 1970 qui est aussi liée notamment à la richesse du cinéma et de la littérature de ces années. L'exposition entend faire découvrir l'exceptionnelle vitalité de cette scène artistique profondément renouvelée par une jeune génération d'artistes (nés entre les années 1920 et les années 1940) actifs à Rome, Milan, Turin, Gênes et dont le travail commence à être exposé au début des années 1960.Valérie Da Costa est historienne de l'art, critique d'art et enseignante, maître de conférences habilitée à diriger des recherches en histoire de l'art contemporain (XXe-XXIe siècles). Ses recherches portent notamment sur les avant-gardes italiennes. De 2007 à 2014, elle a été responsable de la rubrique Arts visuels de la revue Mouvement. Auteur de nombreux livres, textes et articles sur la sculpture moderne, contemporaine et la pluridisciplinarité artistique, ses recherches abordent l'histoire de l'art dans une conception élargie et portent tout autant sur la création des années 1950-1960 que sur ses formes les plus contemporaines. En 2014 et 2015, elle a été commissaire invitée au Centre Pompidou pour les nouvelles éditions de Vidéodanse (Oublier la danse, Le corps en jeu) dans le cadre du Nouveau festival. Elle est notamment l'auteur des Écrits de Lucio Fontana, Les presses du réel, 2013.
Podcast Horreur : Préparez-vous à entendre l'inacceptable.Dans cet épisode glaçant de Dans l'Ombre des Légendes, un dossier oublié ressurgit des ténèbres. Un cold case effacé volontairement des archives officielles. Pas par erreur. Mais pour une raison que personne ne veut encore dire à voix haute.Un nom gratté sur tous les formulaires.Un rapport absent de toutes les bases de données.Une pièce d'évidence… jamais mentionnée, jamais retrouvée.Et pourtant, ce dossier existe. Un enregistrement audio classé sous la mention null_null_null. Une voix qui murmure des noms effacés. Des témoins qui oublient leurs témoignages. Des enquêteurs qui disparaissent sans un mot après avoir consulté le fichier original.Ce cold case effacé n'est pas qu'un mystère judiciaire. C'est une possession documentaire, une entité sonore qui modifie ceux qui l'écoutent. La preuve ? Cet épisode lui-même pourrait être un vecteur.Ce podcast horreur français mêle true crime, légende urbaine, horreur surnaturelle et enquête interdite. Une production immersive et dérangeante dans la lignée de Clive Barker et Stephen King, où l'auditeur devient lui-même suspect.L'archive n'a pas disparu. Elle a juste changé de forme.Et maintenant… elle vous parle.
Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Et malgré toutes ces catastrophes, la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes, cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. Liban : la culture malgré tout. Nous visitons Beit Beyrouth ou la maison de Beyrouth, c'est le nom donné à un immeuble, l'un des rares vestiges de la guerre civile, conservée comme un lieu de mémoire. « À l'entrée du bâtiment, il n'y a pas de plafond, c'est assez exceptionnel. Cela a été voulu par l'architecte. Toutes les salles de Beit Beyrouth de l'immeuble Barakat sont liées à la ville, ce qui a permis aux snipers, entre autres, d'avoir une vue à 180° de la rue. » Delphine Abi-Rached, coordinatrice de l'exposition à Beit Beyrouth intitulé aussi la maison jaune qui se situe au cœur vibrant de la ville. D'un côté la rue de Damas qui borde Beyrouth ouest et les quartiers musulmans. De l'autre, la rue du Liban qui nous emmène au cœur d'Ashrafieh, le quartier chrétien bourgeois. Une position stratégique donc occupée par les francs-tireurs durant la guerre civile. L'immeuble est ouvert au public aujourd'hui après une longue lutte menée par la militante Mona Hallak pour le sauvegarder et en faire un lieu de mémoire. Youssef Haidar architecte l'a consolidé. « Je n'ai jamais considéré ce bâtiment-là comme un bâtiment. J'ai toujours considéré comme un être vivant. Pour moi, c'est un Libanais, c'est une personne qui a 90 ans d'âge. Et pour moi, il n'était pas du tout question de faire un lifting. C'est que d'un coup, on efface toutes les traces du temps et de la mémoire et que ça devienne une jeune personne. Non, c'est une vieille personne et qui garde dans son corps tous les stigmates du temps et de la guerre, toutes ses blessures qui étaient là. » L'exposition qui revisite la guerre civile À présent, Beit Beyrouth invite le visiteur à s'immerger dans le passé pour ne pas recommencer les mêmes erreurs ou simplement évacuer les traumatismes. « Donc ici vous allez vous apercevoir donc un mur qui a été construit par les snipers, un mur de brique et on aperçoit trois meurtrières. Et donc l'expérience des visiteurs, c'est de se mettre à la place des snipers et de voir les passants passer », explique Delphine Abi-Rached. Et malheureusement au Liban une guerre en chasse une autre. L'exposition qui revisite la guerre civile dans Beit Beyrouth se termine par un volet sur la dernière guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier. « Ici, on a le symbole de la clé qui est souvent en fait lié aux Palestiniens et à cette idée du droit du retour, de retourner dans leur maison. Les libanais du Sud et de la Bekaa cette fois-ci, quand ils sont partis de chez eux, ils ne savaient pas s'ils allaient pouvoir revenir. Donc le symbole de la clé a été très fort. Et ici, les clés qu'on voit, ce sont des clés de maison qui ont été démolies et détruites par les attaques israéliennes », raconte la coordinatrice de l'exposition. « Le lieu est ouvert comme un lieu public » Beit Beyrouth est aussi un lieu qui se veut vivant et non pas juste tourné vers le passé. « Ça, c'est un bon exemple de ce qu'on veut pour Beit Beyrouth. C'est un groupe de personnes qui trouve Beit Beyrouth maintenant comme un lieu de rassemblement parce que le lieu est ouvert comme un lieu public », souligne Delphine Abi-Rached. Ainsi, durant notre visite, un groupe de personnes constitué en association pour la paix s'était réuni. « Nous sommes un groupe de personnes qui travaillons sur la paix au Liban. Car après toutes les destructions et les drames que nous avons vécus, nous nous demandons quels changements nous pouvons apporter pour être plus constructifs », explique Soha Fleifel. Beit Beyrouth un lieu cathartique et citoyen unique au Liban, accueille le public gratuitement. À lire aussiLiban, la culture malgré tout: visite du Musée national de Beyrouth
Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Et malgré toutes ces catastrophes, la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes, cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. Liban : la culture malgré tout. Nous visitons Beit Beyrouth ou la maison de Beyrouth, c'est le nom donné à un immeuble, l'un des rares vestiges de la guerre civile, conservée comme un lieu de mémoire. « À l'entrée du bâtiment, il n'y a pas de plafond, c'est assez exceptionnel. Cela a été voulu par l'architecte. Toutes les salles de Beit Beyrouth de l'immeuble Barakat sont liées à la ville, ce qui a permis aux snipers, entre autres, d'avoir une vue à 180° de la rue. » Delphine Abi-Rached, coordinatrice de l'exposition à Beit Beyrouth intitulé aussi la maison jaune qui se situe au cœur vibrant de la ville. D'un côté la rue de Damas qui borde Beyrouth ouest et les quartiers musulmans. De l'autre, la rue du Liban qui nous emmène au cœur d'Ashrafieh, le quartier chrétien bourgeois. Une position stratégique donc occupée par les francs-tireurs durant la guerre civile. L'immeuble est ouvert au public aujourd'hui après une longue lutte menée par la militante Mona Hallak pour le sauvegarder et en faire un lieu de mémoire. Youssef Haidar architecte l'a consolidé. « Je n'ai jamais considéré ce bâtiment-là comme un bâtiment. J'ai toujours considéré comme un être vivant. Pour moi, c'est un Libanais, c'est une personne qui a 90 ans d'âge. Et pour moi, il n'était pas du tout question de faire un lifting. C'est que d'un coup, on efface toutes les traces du temps et de la mémoire et que ça devienne une jeune personne. Non, c'est une vieille personne et qui garde dans son corps tous les stigmates du temps et de la guerre, toutes ses blessures qui étaient là. » L'exposition qui revisite la guerre civile À présent, Beit Beyrouth invite le visiteur à s'immerger dans le passé pour ne pas recommencer les mêmes erreurs ou simplement évacuer les traumatismes. « Donc ici vous allez vous apercevoir donc un mur qui a été construit par les snipers, un mur de brique et on aperçoit trois meurtrières. Et donc l'expérience des visiteurs, c'est de se mettre à la place des snipers et de voir les passants passer », explique Delphine Abi-Rached. Et malheureusement au Liban une guerre en chasse une autre. L'exposition qui revisite la guerre civile dans Beit Beyrouth se termine par un volet sur la dernière guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier. « Ici, on a le symbole de la clé qui est souvent en fait lié aux Palestiniens et à cette idée du droit du retour, de retourner dans leur maison. Les libanais du Sud et de la Bekaa cette fois-ci, quand ils sont partis de chez eux, ils ne savaient pas s'ils allaient pouvoir revenir. Donc le symbole de la clé a été très fort. Et ici, les clés qu'on voit, ce sont des clés de maison qui ont été démolies et détruites par les attaques israéliennes », raconte la coordinatrice de l'exposition. « Le lieu est ouvert comme un lieu public » Beit Beyrouth est aussi un lieu qui se veut vivant et non pas juste tourné vers le passé. « Ça, c'est un bon exemple de ce qu'on veut pour Beit Beyrouth. C'est un groupe de personnes qui trouve Beit Beyrouth maintenant comme un lieu de rassemblement parce que le lieu est ouvert comme un lieu public », souligne Delphine Abi-Rached. Ainsi, durant notre visite, un groupe de personnes constitué en association pour la paix s'était réuni. « Nous sommes un groupe de personnes qui travaillons sur la paix au Liban. Car après toutes les destructions et les drames que nous avons vécus, nous nous demandons quels changements nous pouvons apporter pour être plus constructifs », explique Soha Fleifel. Beit Beyrouth un lieu cathartique et citoyen unique au Liban, accueille le public gratuitement. À lire aussiLiban, la culture malgré tout: visite du Musée national de Beyrouth
Après une phase euphorique qui a duré plusieurs semaines à Wall Street, la bourse se prend à nouveau à douter des conséquences de la politique commerciale agressive des Etats-Unis. Mais pendant que Washington accroît la pression sur l'Inde, le Brésil ou le Canada, les rumeurs d'une poursuite des discussions avec la Chine et le narratif entourant une possible baisse des taux plus importante que prévu à partir de septembre sont porteurs d'espoir.
À Gaza, les universités et les écoles ont disparu, bombardées pendant plus de 21 mois par l'armée israélienne. Comment vivre quand on est un jeune homme, une jeune femme ? À quoi peut-on bien rêver dans ces conditions que même les adultes ne peuvent plus imaginer ? À quoi ressemble le quotidien ? De notre correspondant à Gaza, « Je m'appelle Bayan Zaqout et en ce moment, je recherche du réconfort et de la sécurité dans un endroit où même la paix n'existe pas. Je suis une jeune écrivaine, une poète, qui n'aspire à rien d'autre qu'à vivre normalement avec sa famille, tenter de survivre dans la bande de Gaza. » La jeune femme qui parle, Bayan Zaqout, rêvait de devenir écrivaine. Elle s'imaginait déjà publier des romans avec son nom sur la couverture. Elle aurait aussi aimé avoir un bureau indépendant, créatif, à côté, dans lequel elle travaillerait dans la communication. Mais aujourd'hui, Bayan, Gazaouie d'une vingtaine d'années, dit ne plus aspirer à rien. « Chaque jour, il y a des martyrs et des blessés. Donc maintenant, quand on me demande d'où je viens, je dis que je viens du pays du sang : de Gaza, de cet endroit digne, de ceux qui résistent encore. J'habitais dans des tours qui ont été les premières à être visé, au tout début de cette guerre. Depuis, je vis dans une tente de déplacés, juste en face de ce qui était tout pour nous, en face de notre maison où j'espérais être réunie avec ma famille. Désormais, mon seul souhait, chaque jour, c'est d'essayer de trouver du pain le matin, trouver de l'eau que l'on peut boire. Rien que cela, c'est très difficile. J'aspire uniquement à retrouver un semblant de vie quotidienne, la routine que j'avais avant. » Bayan en est consciente : elle n'a pas le même quotidien que les jeunes femmes de son âge, celles qui vivent dans d'autre pays. Elle est devenue la principale ressource financière de sa famille. Son père, qui avait un garage, a dû cesser son activité. Elle aide aussi sa mère à nettoyer la tente, faire la vaisselle, cuisiner. « J'essaie de contribuer à ma façon, même si ce n'est pas énorme. Car ici, même si tu travailles beaucoup, et peu importe combien tu gagnes, cela ne suffit même plus pour acheter les choses les plus basiques de la maison. J'aide aussi en essayant d'allumer des feux, mais dès que tu y touches, tu te sens toute noire, toute salie. Ici même l'air que l'on respire nous noircit. Alors oui, je travaille, mais j'allume aussi, je cuisine, pourquoi pas, mais ce n'est pas que moi. C'est le cas de toutes les jeunes femmes de mon âge à Gaza. Nous avons le rôle de femme et d'homme, on fait les deux à la fois. » Tous les soirs, quand elle peut, elle enseigne l'anglais à ses quatre plus jeunes frères. Le plus difficile, raconte Bayan, c'est quand elle a été séparée – plus tôt dans l'année – de ses deux frères aînés, elle dans le sud, eux dans le nord de Gaza. « Pendant quatre mois, nous n'avions aucune nouvelle. Je ne savais pas s'ils étaient vivants ou morts, s'ils allaient bien ou pas. Être séparé de tes frères avec qui tu as grandi, sans rien savoir d'eux, c'est une douleur indescriptible », confie-t-elle. Alors comme les jeunes filles de son âge, elle s'échappe en lisant, en allant sur Internet quand elle le peut. Et pour oublier qu'elle vit dans un cauchemar, dit-elle, Bayan chante. Surtout lorsqu'elle est face à la mer, sa dernière lueur d'espoir. À lire aussi«Je ne vois rien de l'aide qui arrive»: à Gaza, l'aide humanitaire revendue à prix d'or
Oublier ses mots de passe, ce sera bientôt possible. Grâce aux passkeys (ou clés d'accès), une technologie d'authentification plus sûre et plus simple, nous entrons dans une nouvelle ère de cybersécurité. Microsoft, Apple, Google et d'autres géants du numérique sont en train de généraliser ce système qui pourrait bien reléguer les mots de passe traditionnels au rang de reliques du passé.Dans cet édito, je vous explique pourquoi les mots de passe sont intrinsèquement faibles, comment fonctionnent les clés d'accès, et en quoi elles représentent une véritable révolution en matière de sécurité numérique. Biométrie, cryptographie, appareils de confiance : les passkeys conjuguent simplicité d'usage et robustesse contre les attaques. Avec Microsoft qui prévoit de bannir complètement les mots de passe dès septembre 2025, la bascule est bel et bien en cours.-----------
durée : 00:17:13 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Jeudi 3 juillet 2025, l'actrice et mannequin Olga Kurylenko. Elle joue dans le film "Other" de David Moreau. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:13 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Après les frappes américaines sur l'Iran, la France prône le dialogue. Est-elle bien placée ? Depuis les années 1970, entre Paris et Téhéran, la tension a longtemps été maximale. Et le nucléaire, l'objet d'un bras de fer.
"On n'est pas des pochtronnes, des débauchées ou des femmes faciles ! On est avant tout des femmes qui ont subi des traumatismes intimes et c'est notamment l'alcool qui nous permet de supporter l'insupportable." Pendant des années, Laurence ne voyait rien de grave à beaucoup travailler, à beaucoup faire la fête et à beaucoup boire. Jusqu'à la mort subite de son mari qui a fait basculer son alcoolisme mondain en un alcoolisme solitaire et dévastateur. Mais le jour où elle décide de mettre fin à ses jours, un miracle va arriver... Chez Lueurs, elle raconte les raisons cachées de sa descente aux enfers mais surtout son chemin extraordinaire de rédemption.
Jean-Marie Colombani, fondateur de Slate.fr, et Géraldine Woessner, rédactrice en chef du magazine « Le Point », se prononcent sur les frappes israéliennes contre l'Iran, ayant lieu tôt ce vendredi 13 juin. Les lieux ciblés étaient des sites militaires et nucléaires à Téhéran et à Natanz. Le régime iranien promet une riposte. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour Ruth Elkrief, il y a toujours l'énigme Édouard Philippe. Elle rappelle qu'il est, selon des sondages, au troisième rang en termes de popularité ou d'intentions de vote après Marine Le Pen et Jordan Bardella. Et au sein du bloc central, il s'agit de la personnalité jugée la plus apte à la fonction présidentielle devant Bruno Retailleau et Gabriel Attal. Pourtant, à chacune de ses rares interventions, il n'y a aucune idée qui vient frapper les esprits, qui suscite un débat ou qui soulève les passions. Ruth Elkrief estime que c'est peut-être son secret pour rester haut dans les sondages. À l'Assemblée nationale, les députés ont adopté hier un amendement supprimant les ZFE dans les centres-villes. Ces zones restreignent la circulation de certains véhicules thermiques jugés polluants. L'objectif était d'améliorer la qualité de l'air dans les villes où les seuils tolérés sont dépassés. Pour Pascal Perri, les adversaires des ZFE ont gagné une bataille mais non pas la guerre. Il propose que l'on offre des alternatives sérieuses dans le domaine des transports publics et généraliser un leasing social de véhicules propres et français. Après avoir été déterrés en 1875 pour des raisons scientifiques, les crânes de deux membres de la minorité samie ont été réinhumés à la mi-mai en Laponie suédoise. Le déterrement de ces deux crânes s'inscrivent dans le cadre d'une étude en biologie raciale. Abnousse Shalmani pense que ces idées ou actes de restitution, que ce soient des reliques humaines ou des œuvres culturelles sont une manière de réintégrer l'histoire et elle les trouve légitimes. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:56 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - A partir de 13h30 deux artistes pour une question simple en cette journée spéciale Gaza : que peut-on faire ? Comment ne pas oublier les Gazaouis ? Avec nous l'écrivain palestinien installé en France Karim Kattan et la comédienne franco-israélienne Manon Azem.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Fatima Aït-Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ils sont accusés d'espionnage : la presse ne veut pas les oublier, trois ans après leur arrestationMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rejoins les anciens joueurs de la LNH Éric Bélanger, André Roy et Steve Bégin dans cet épisode de La Poche Bleue Blanc Rouge, alors qu'ils analysent les derniers développements chez les Canadiens de Montréal.Abonne-toi pour ne rien manquer des prochains épisodes!--Pour collaborations ou toutes questions : info@lapochebleue.comReste connecté avec nous sur les réseaux sociaux : Facebook: https://www.facebook.com/lapochebleueblancrouge Instagram: https://www.instagram.com/pochebleueblancrouge Twitter: https://twitter.com/lapochebbr Youtube : https://www.youtube.com/@LaPocheBleue Nos podcasts sont disponibles sur toutes les plateformes : https://linktr.ee/lapochebleuePour tes nouvelles sportives: https://lapochebleue.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
John "Paddy" Hemingway était le tout dernier pilote vivant a avoir participé à la bataille d'Angleterre, et il vient de nous quitter à l'âge très respectable de 105 ans. Ecoutez Le monde en marche avec William Galibert du 20 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Tout le monde oublie des choses. Perdre ses clés, oublier un rendez-vous ou avoir du mal à retrouver un mot sont des expériences courantes. Cependant, ces petits oublis sont généralement anodins et liés à la fatigue, au stress ou à l'âge. En revanche, lorsqu'un trouble de la mémoire devient récurrent et s'accompagne d'autres symptômes cognitifs, il peut s'agir d'un signe précoce de la maladie d'Alzheimer.Les oublis béninsLes oublis liés à l'âge ou à un manque d'attention sont généralement sans gravité. Une personne en bonne santé peut oublier le nom d'un collègue mais le retrouver plus tard. Elle peut aussi égarer un objet, mais finira par se rappeler où elle l'a posé en réfléchissant. Ces oublis ne perturbent pas significativement la vie quotidienne et sont souvent associés à des périodes de stress ou de fatigue.Les signes de la maladie d'AlzheimerLa maladie d'Alzheimer, en revanche, affecte progressivement la mémoire, mais aussi le raisonnement et le comportement. Voici quelques différences clés :Des oublis plus graves : Une personne atteinte d'Alzheimer ne se souvient pas d'un événement même après qu'on lui ait rappelé. Elle peut oublier des conversations entières ou répéter sans cesse la même question. Des troubles de l'orientation : Se perdre dans des endroits familiers, ne plus savoir quel jour on est ou ne plus reconnaître des visages proches sont des signes préoccupants. Des difficultés à accomplir des tâches courantes : Oublier comment préparer un plat habituel ou utiliser un appareil du quotidien peut indiquer un trouble cognitif plus profond. Des troubles du langage : La personne peut avoir du mal à trouver les mots, employer des termes inappropriés ou perdre le fil de la conversation. Des changements d'humeur et de comportement : L'irritabilité, l'anxiété, le repli sur soi et la méfiance sont aussi des signaux d'alerte. En résumé, un simple oubli est ponctuel et corrigé avec un effort de concentration. La maladie d'Alzheimer, elle, entraîne des oublis persistants qui perturbent la vie quotidienne. Si des doutes persistent, une consultation médicale est essentielle pour un diagnostic précoce. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
