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Gilles Babinet, multi-entrepreneur, président de Café IA et ancien président du Conseil National du Numérique, est une figure incontournable pour décrypter les enjeux numériques européens. J'ai la chance de connaître Gilles depuis près de 15 ans et, à chaque conversation, je suis toujours frappé par la richesse de sa pensée et la profondeur de ses analyses. Il a ce talent rare de rendre limpide des sujets complexes, sans jamais céder à la facilité ni au sensationnalisme.Dans cet épisode, nous plongeons ensemble dans une réflexion aussi essentielle qu'urgente : celle de la souveraineté numérique. En tant qu'Européens, nous utilisons massivement des services américains ou chinois – des réseaux sociaux à l'IA en passant par le cloud – sans toujours saisir les implications profondes que cela entraîne sur notre liberté de penser, notre démocratie et notre modèle de société.J'ai questionné Gilles sur des sujets qui me tiennent à cœur : la domination des plateformes, le rôle des IA génératives dans la manipulation de l'opinion, le techno-féodalisme, l'inaction européenne, mais aussi les possibles voies de résistance. Nous avons parlé des alternatives européennes, de la culture du risque, de la productivité réelle de l'IA mais également du paradoxe de Solow.C'est un épisode dense, sans concession, mais qui propose aussi des pistes de solutions concrètes. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de critiquer, mais de reprendre le contrôle de notre destin technologique. Bonne écoute !5 citations marquantes“La technologie est le nerf invisible de la puissance.”“Si on ne fait rien, l'Europe disparaîtra en tant qu'acteur numérique.”“Les réseaux sociaux nous contaminent avec la vision du monde de leurs créateurs.”“L'IA n'est pas neutre, elle a une induction programmée.”“Faire, même crado, vaut mieux qu'un rêve parfait.”10 questions posées pendant l'interviewPourquoi l'Europe a-t-elle perdu la course au numérique ?Qu'est-ce que la souveraineté numérique, concrètement ?Comment les réseaux sociaux influencent-ils nos démocraties ?En quoi l'IA aggrave-t-elle ces enjeux ?Peut-on encore construire des alternatives européennes crédibles ?Que révèle le cas Spotify sur nos usages numériques ?Pourquoi les médias deviennent-ils eux aussi “putaclic” ?Comment développer une culture numérique populaire en Europe ?Quel est l'impact réel de l'IA sur la productivité ?L'IA va-t-elle vraiment remplacer massivement les emplois ?Timestamps clés 00:00 – Introduction sur la vassalisation numérique de l'Europe02:15 – Le parcours atypique de Gilles Babinet, autodidacte04:00 – Qu'est-ce que la souveraineté numérique ?08:30 – Trump, Microsoft et les risques de dépendance géopolitique13:30 – L'impact cognitif des réseaux sociaux17:30 – Peut-on concilier démocratie et IA ?20:00 – TikTok et la manipulation électorale24:00 – Le paradoxe de nos choix technologiques (cloud, IA)29:00 – Pourquoi l'Europe n'a pas de champions numériques ?34:00 – IA et productivité : déconstruire les fantasmes42:00 – L'Europe : autostoppeur ou puissance d'avenir ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #348 I.A. entre mythes et réalités avec Tariq Krim (partie 1) (https://audmns.com/cNpkHUt) #302 Quand la technologie se transforme en arme de guerre avec Asma Mhalla (https://audmns.com/oBtUPgb) #178 Les technologies vont-elles nous permettre de faire face au défi climatique? avec Philippe Bihouix (https://audmns.com/ktZSlzb)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:26 - Un monde connecté - par : François Saltiel - La Cité des Sciences et de l'industrie propose jusqu'à la fin du mois de novembre une exposition interactive et pédagogique autour des différents de l'IA. Visite guidée !
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Et si l'IA pouvait réellement nous aider à travailler mieux, ensemble ? Dans cet épisode, je reçois Hélène Desliens, cofondatrice d'Expertise, facilitatrice en intelligence collective et pionnière des formats hybrides qui combinent humains et IA.Avec elle, on parle design sprint, prise de décision, créativité, biais… et des angles morts que l'intelligence humaine seule ne voit pas toujours.Ce que vous allez entendre :Pourquoi les outils d'IA peuvent améliorer l'écoute et la qualité des échangesComment mieux capter les signaux faibles d'un groupeEn quoi l'IA peut déjouer certains biais cognitifsCe qu'un agent conversationnel bien paramétré peut (vraiment) apporter dans un sprintLes risques d'illusion d'efficacité quand on utilise l'IA sans cadre clairLes nouvelles compétences à développer pour co-faciliter avec une machineÉcoutez cet épisode si vous travaillez en équipe, facilitez des projets ou vous demandez comment marier IA et intelligence humaine sans y perdre du sens.
Le Nouvel Obs les appelle « les résistantes de l'ombre ». « Dans les territoires occupés par les Russes », nous dit l'hebdomadaire, « l'opposition s'organise et les femmes sont en première ligne. Et la répression est inouïe ». Elle vise parfois de simples gestes : comme « porter un vernis à ongles jaune et bleu (les couleurs de l'Ukraine) ou un post anti-russe sur Instagram, un partage de pétition ou encore des slogans griffonnés sur un mur ». « Sur ce front qui ne dit pas son nom », poursuit le Nouvel Obs, « les femmes sont en première ligne. Parce qu'elles connaissent les rues, les visages, les habitudes des habitants. Parce qu'on se méfie moins d'elles. Mais surtout parce qu'elles refusent la soumission ». Certaines agissent seules, d'autres se sont organisées en réseau et « mènent clandestinement des actions non-violentes ». Il s'agit parfois de « transmettre des coordonnées GPS » ou « d'observer des convois militaires ». Le Nouvel Obs a rencontré l'une de ces résistantes ukrainiennes, Aliona Romanenko, arrêtée et torturée par les Russes, et désormais réfugiée à Kiev, « en zone libre ». Elle évoque ces moments de captivité où « on la forçait à creuser sa propre tombe ». « J'étais surtout triste pour mes proches », dit-elle, « mais j'étais en paix avec moi-même. J'ai fait ce qui devait l'être. Je le referai sans hésiter ». Otages d'Alger La presse s'intéresse également au sort de deux Français, un écrivain et un journaliste, emprisonnés en Algérie. La photo de Boualem Sansal s'affiche en Une du Journal du Dimanche, avec ce titre : « Un an déjà. Un an après l'emprisonnement de l'écrivain franco-algérien, âgé et malade, la mobilisation ne faiblit pas pour réclamer la libération de "l'otage d'Alger" ». Pour Le Journal du Dimanche, Boualem Sansal est certes un écrivain, mais surtout « un lanceur d'alerte qui aura foré et révélé ce totalitarisme qui vient, le totalitarisme islamiste. Sansal dérange autant à Alger qu'à Paris, il tient en effet un langage de vérité dont on sait par expérience qu'il n'est pas toujours bon à tenir ». Le Nouvel Obs de son côté, a choisi de mettre en avant celui qu'il appelle « l'autre otage du régime algérien » : le journaliste Christophe Gleize « dont le nom est moins connu que celui de Boualem Sansal, mais le sort, aussi inquiétant. Entré en Algérie en mai 2024, afin de réaliser un reportage sur le club de football JS Kabylie, le journaliste français purge une peine de sept ans de prison pour "apologie du terrorisme". Son procès en appel se tiendra le 3 décembre », nous explique le Nouvel Obs. Pour Le Journal du Dimanche, les deux hommes, Christophe Gleize et Boualem Sansal, « sont les prisonniers d'une relation exécrable entre la France et l'Algérie », « otages innocents d'un régime de plus en plus crispé envers la France ». Les parents de Christophe Gleize, eux, se veulent « optimistes » et le Nouvel Obs met en avant les quelques signes qui pourraient changer la donne. Avec notamment, le remplacement au ministère français de l'Intérieur de Bruno Retailleau, « très virulent contre le régime algérien », par Laurent Nunez. L'hebdomadaire espère visiblement que celui-ci sera plus diplomate. Traducteur ou maçon Que nous réserve l'Intelligence Artificielle ? « Avec l'IA, la fin des cadres », annonce Marianne, annonce illustrée par un dessin, où l'on voit un robot penché sur un ordinateur, alors qu'un humain passe l'aspirateur à ses pieds. Selon l'hebdomadaire, le phénomène a déjà commencé : Marianne évoque « des charrettes d'où débordent des cols blancs et des Bac + 5 ». Marianne qui a réalisé à partir de plusieurs études, un petit tableau, avec d'abord « les 10 professions les plus menacées ». Arrivent en tête, traducteur, historien, mathématicien, et même, en dixième position, journaliste… Dans les professions qui devraient être épargnées, on trouve, notamment, les ouvriers du bâtiment, les femmes de ménage ou les dentistes. C'est tout simple, nous explique l'ingénieur en IA Aymeric Roucher : « Seuls les métiers où l'intervention humaine est indispensable résisteront ». Reste évidemment à savoir ce que l'on entend par « intervention humaine ». Aymeric Roucher nous donne son point de vue sans hésiter : « Tous les métiers qui peuvent se faire en télétravail, et qui sont donc des métiers numérisables seront assez vite transformés en profondeur par l'IA… ». Quant à ce qui restera indéniablement lié à l'humain, l'ingénieur évoque « la main d'un artiste », « la conscience d'un juge », ou encore « la sollicitude d'un soignant. Ce sont autant de parts humaines qu'on ne remplacera pas par des IA » ajoute-t-il. Une concession qui ne suffit pas vraiment à envisager l'avenir avec optimisme...
Kosmos, un nouvel agent IA scientifique capable de lire jusqu'à 1 500 articles scientifiques et d'écrire 42 000 lignes de code par session, peut accomplir l'équivalent de six mois de travail en une seule journée. Sa vraie innovation : un "modèle du monde" structuré et mis à jour en continu. S'il a permis des avancées dans les neurosciences, science des matériaux et la génétique, environ 20 % de ses résultats sont non vérifiables, rendant essentielle la relecture humaine, gage de rigueur.
Pour protéger leurs contenus, et éviter que ceux-ci ne soient volés et réutilisés sans payer de droits, les médias d'ici et d'ailleurs e tournent de plus en plus vers des organisations comme Copibec. Au moment où l'intelligence artificielle semble faire fi des lois en vigueur, Christian Laforce et Maryse Beaulieu répondent aux questions d'Hugo Prévost, dans le cadre d'Entretiens journalistiques.
Tous les jours à 6h46, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Le Morning, sur RMC.
Les robots taxis arrivent en Europe, et Londres sera la première capitale à s'équiper de véhicules sans chauffeurs. Si l'Europe a jusqu'ici refusé le marché des voitures autonomes, c'est en grande partie due à la peur des citoyens. Contrairement aux usagers américains et chinois, les Européens sont des conducteurs attachés au contrôle manuel de leurs trajets. Mais ils pourraient changer d'avis, puisqu'un rapport français montre qu'en matière de sécurité routière, les voitures sans chauffeurs font baisser le nombre d'accidents. Guillaume Moukala Same, auteur de l'étude au cabinet Asteres à Paris, parle de 580 millions d'euros de soins économisés par année en France. RFI : Cette étude est intéressante, parce qu'on dépasse le débat conducteur humain-conducteur machine ? Guillaume Moukala Same : Oui. Nous voulions aborder le problème pour sensibiliser le public européen avec un visage méconnu du robot-taxi et des véhicules autonomes – camions, voitures, navettes… – qui circulent déjà aux États-Unis ou en Chine de façon régulière. La sécurité routière est, en cela, très intéressante. Votre étude s'appuie sur des milliers de données enregistrées aux États-Unis, où les véhicules de différentes marques, dont celle de la filiale de Google, les voitures Waymo, circulent depuis 2019. Parfaitement. Ce sont plus de 90 millions de kilomètres parcourus. Pour la première fois, avec l'expérience des véhicules sans chauffeurs, on arrive à pouvoir comparer les deux conduites, celle avec le contrôle humain et celle du contrôle robot. L'intérêt de cette étude est de montrer que les accidents routiers sont provoqués par des erreurs ou des comportements humains ? Oui. Pensez à l'alcool au volant, ou bien au portable ou à la fatigue d'un conducteur humain. Nous avons reporté les taux d'accidentologie à la France. De ce fait, ce seraient des milliers d'accidents évités : en moyenne, 2 000 vies sauvées pour une économie de soins – pour la Sécurité sociale – de 580 millions d'euros par an. Comment la sûreté technologique fonctionne-t-elle ? Il existe deux technologies. La première par observation satellite et outils embarqués – la technologie de Baidou en Chine ou de Waymo aux États-Unis. Cette stratégie repose sur des capteurs, des caméras embarquées, des lidars. Autant d'outils qui cartographient l'environnement de la ville et des obstacles en temps réel. L'autre technologie est celle de Tesla, l'entreprise d'Elon Musk. Elle mise sur une technologie moins coûteuse, basée sur les données d'intelligence artificielle. Elle est encore à développer, mais c'est le pari de ce géant technologique pour les années à venir. En France, des maires de petites villes ou de villages reculés, sans trains ni bus réguliers, commencent à parler de l'intérêt pour de petites navettes de 10 à 15 passagers pour relier les zones rurales aux grandes villes. Y croyez-vous ? C'est une option, mais il existe cinq niveaux de véhicules autonomes, le niveau 5 étant le maximum d'autonomie. En France, où peu de tests ont été effectués, il y a pour le moment la possibilité de faire circuler uniquement, et en zone très restreinte, des voitures de niveau 3. Cela va donc demander encore du temps et cela dépendra des régions et de leur géographie.
En Ukraine, la situation est très compliquée pour la défense ukrainienne à Pokrovsk. Assiégée par l'armée russe depuis plus d'un an, cette ville en ruine figure comme l'épicentre des combats sur le front est. L'offensive des soldats de Moscou s'intensifie sur le terrain, mais aussi en ligne, à coups d'infox générées par intelligence artificielle. À en croire une série de vidéos mensongères diffusées sur les réseaux sociaux ces derniers jours, des milliers de soldats ukrainiens « se seraient rendus à l'armée russe dans la région de Pokrovsk ». L'une d'entre-t-elle montre des dizaines d'hommes, désarmés, abandonnant leur tranchée. Une autre met en scène des centaines de combattants ukrainiens, alignés dans un champ, les mains sur la tête. Ces vidéos cumulent des millions de vues sur X, TikTok et Facebook. Vérification faite, ces clips ne sont pas réels. Ils ont tous ont été générés par Sora 2, le générateur de vidéos artificielles développé par Open AI, la start-up derrière Chat GPT. Plusieurs éléments le prouvent, à commencer par le petit logo Sora, apposé sur les images. Visuellement, on remarque aussi plusieurs incohérences, notamment au niveau des visages et des tenues portées par les soldats. De plus, ces vidéos durent chacune dix secondes. C'est, à ce jour, la durée standard des clips générés par Sora 2. Dans les faits, des milliers de soldats ukrainiens n'ont pas déposé les armes dans la région de Pokrovsk. L'armée russe elle-même n'a jamais communiqué sur un tel événement. À lire aussiSora 2: le générateur de vidéos par IA qui a tout pour devenir une usine à infox De jeunes soldats ukrainiens en pleurs ? Une autre vidéo mensongère censée montrer un soldat ukrainien en pleurs a également fait le tour des réseaux sociaux cette semaine. On y voit un jeune homme, dans un véhicule blindé, demander de l'aide en ukrainien. « J'ai été mobilisé, je me rends à Tchassiv Yar. Aidez-moi. Je ne veux pas mourir. Je n'ai que 23 ans », dit-il, les larmes aux yeux. Les comptes qui diffusent cette vidéo affirment que l'Ukraine forcerait les jeunes à aller à l'abattoir. Sauf qu'une nouvelle fois, tout est faux puisque cette vidéo a aussi été générée via Sora 2. Ce clip provient d'un compte TikTok, récemment supprimé, qui publiait quotidiennement ce type de contenu. C'est un cas particulier, car le visage du jeune homme visible dans ce clip correspond à celui d'un véritable influenceur russe, bel et bien vivant. Quelqu'un a donc détourné son identité. Dans les faits, la conscription en Ukraine ne concerne pas les moins de 25 ans. Désinformer et détourner l'attention Cette campagne de désinformation vise à dénigrer l'armée ukrainienne et affaiblir le soutien occidental à l'Ukraine. L'objectif, c'est aussi de détourner l'attention des difficultés rencontrées par l'armée russe depuis le lancement de son invasion à grande échelle en février 2022.
Dans ce 138 ème épisode, je vous parle de ce qu'est un agent IA.C'est quoi un agent IA ?Un agent IA, c'est une intelligence artificielle autonome et proactive.Contrairement à un assistant qui répond à vos demandes, l'agent agit pour atteindre un objectif.Prenons un exemple concret :Avec un assistant IA, vous dites “écris-moi un email” ou “résume ce document”.Avec un agent IA, vous pouvez donner un objectif global : “obtiens-moi 10 leads qualifiés d'ici la fin du mois”.Et là, l'agent planifie les actions, collecte les données, segmente, envoie des emails, suit les résultats et ajuste sa stratégie.Bref, il devient votre collaborateur numérique.Les différences entre assistants et agents IALes assistants IA (comme ChatGPT, Gemini ou Copilot) restent réactifs : vous leur demandez, ils répondent.Ils n'ont pas d'autonomie ni d'accès direct à vos outils métier.Les agents IA, eux :sont autonomes ou semi-autonomes,peuvent se connecter à vos outils (CRM, base de données, agenda, etc.),et surtout, agir sans que vous interveniez à chaque étape.Ils peuvent par exemple :détecter des leads intéressés,les qualifier,les relancer,mettre à jour votre CRM,et même vous alerter lorsqu'un prospect répond.Un agent IA, c'est donc une combinaison d'intelligence, d'actions et de connectivité.Mais attention : l'automatisation (comme sur Zapier ou Make) n'est pas un agent IA.Elle suit des règles fixes, sans boucle de réflexion ni adaptation.Un agent IA, lui, raisonne, s'adapte et apprend. Les connecteurs : la clé pour les faire fonctionnerPour qu'un agent IA soit utile, il faut le connecter à votre stack d'outils.Deux plateformes se démarquent : n8nUne solution open-source et low-code.Elle offre des centaines de connecteurs : Google Sheets, Slack, CRM, APIs, etc.C'est l'idéal si vous souhaitez garder le contrôle ou héberger vos propres workflows. MakeUne plateforme no-code ultra accessible, orientée marketing et automatisation visuelle.Elle intègre plus de 3 000 apps et propose désormais les Make AI Agents :des workflows intelligents capables de comprendre vos objectifs en langage naturel et d'ajuster leurs actions en temps réel. Ensemble, ces outils transforment vos processus marketing :l'agent IA pense et planifie,le workflow exécute et connecte.C'est la nouvelle alliance entre intelligence et automatisation.Les limites et risques à anticiperLes agents IA ouvrent un potentiel énorme, mais tout n'est pas rose.Voici trois points de vigilance :1. Limites techniquesL'autonomie reste limitée : un agent mal configuré peut se tromper d'objectif ou d'action.Les modèles peuvent halluciner ou manquer de contexte.Trop d'intégrations peuvent créer des erreurs ou des chaînes d'automatisations cassées.2. Sécurité et conformitéSi votre agent agit sur des systèmes sensibles (CRM, données clients, finance), il doit respecter les règles : RGPD, chiffrement, gestion des accès, logs d'activité.Il faut prévoir des points de contrôle et des alertes pour éviter des actions indésirables (par exemple un email envoyé au mauvais segment…).3. Gouvernance et éthiqueVos collaborateurs et clients doivent savoir qu'ils interagissent avec un agent IA.Les biais peuvent se reproduire si l'IA n'est pas bien entraînée.Et surtout : l'agent IA ne remplace pas l'humain, il amplifie ses capacités.
L'IA s'impose dans le marketing, mais comment l'utiliser vraiment ? Ni gadget, ni menace, c'est un levier puissant… à condition de savoir à quel niveau jouer. Marjolaine Grondin, précurseur de l'IA en France, nous partage sa « pyramide de l'IA » : trois étapes concrètes pour intégrer l'intelligence artificielle dans son quotidien professionnel sans perdre son authenticité.Vous pouvez suivre Marjolaine sur LinkedIn ou rejoindre son Bootcamp IA. ---------------
Reconnaissance faciale, police prédictive, Chat Control : quel prix pour nos libertés ?Caméras intelligentes, reconnaissance faciale, police prédictive : la surveillance algorithmique s'installe partout en France. Promises comme des outils de sécurité, elles posent pourtant une question centrale : jusqu'où peut-on sacrifier nos libertés au nom de la protection ?Félix Treguer (Quadrature du Net) décrypte avec nous les dérives de la technosurveillance. Nous explorons l'essor massif de la vidéosurveillance, les risques discriminatoires liés aux algorithmes, l'absence totale d'évaluation malgré des milliards dépensés, et les implications politiques de mesures comme le Chat Control.
durée : 02:29:31 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:39:10 - Questions du soir : le débat - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve - Fin octobre 2025, plus de 700 personnalités dont des pontes de l'IA, ont signé une tribune pour que les travaux concernant la superintelligence artificielle - qui serait capable de dépasser les capacités humaines - cessent. - invités : Eric Sadin Philosophe, spécialiste des technologies numériques; Aymeric Roucher ingénieur en intelligence artificielle
Dans cet épisode de Connected Mate, PPC a réuni une team d'experts lucides et passionnés pour décortiquer l'actualité brûlante de l'intelligence artificielle.A ses côtés au micro :AliceDesjardins, consultante, enseignante, digital addict et écolo engagée.Charles Nastorg, assembleur de bulles et de business, expert en communication B2B.Christian Belala, Chief Data Protection Officer.Hubert Kratiroff, évangéliste technologique et provocateur de débat.Jean-Manuel Séré, Chief Design Officer.Aty, touche-à-tout du digital, experte en rien… donc essentielle.Au menu de cet épisode :Les valorisations folles de Nvidia et OpenAI.La surveillance de masse par Microsoft Viva.L'arrivée des lunettes à IA pour les livreurs Amazon.Le faux débat sur l'IA qui remplace l'humain.Les dérives de l'obsession IA dans les entreprises.PPC et ses invités échangent librement, avec précision et esprit critique, sur ce que l'IA transforme, ce qu'elle promet… et ce qu'elle menace.Et pour découvrir l'ouvrage de PPC qui s'intitule « Réinventez votre entreprise à l'ère de l'IA », c'est ici https://amzn.to/4gTLwxSPour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:39:10 - Questions du soir : le débat - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve - Fin octobre 2025, plus de 700 personnalités dont des pontes de l'IA, ont signé une tribune pour que les travaux concernant la superintelligence artificielle - qui serait capable de dépasser les capacités humaines - cessent. - invités : Eric Sadin Philosophe, spécialiste des technologies numériques; Aymeric Roucher ingénieur en intelligence artificielle
En 2024, 82% des responsables anti-fraude craignent une augmentation de la fraude dans les années à venir, selon une étude menée par Finovox en partenariat avec l'institut de sondage Selvitys.Et cette crainte est légitime, puisque de l'autre côté, selon la même étude, 10,8 % des Français assument avoir déjà fraudé via un faux document !Mais alors, comment lutter durablement contre la fraude ? Quels sont les moyens d'action des entreprises aujourd'hui ? Comment peut-on agir durablement, et à tous les niveaux, dans un monde qui se numérise ?Pour répondre à ces questions, Marc De Beaucorps, CEO de Finovox, reçoit chaque mois des invités, responsables, experts, formateurs, dans la lutte contre la fraude.Pour cette nouvelle interview, Marc de Beaucorps a eu l'honneur de recevoir Jonathane Chatllion, fondateur de la société FraudiScope.Au fil de l'échange, Jonathane est revenu sur son parcours au sein des forces de l'ordre et sur ce qui le passionne dans la lutte contre la criminalité dite “astucieuse”. Il a partagé des anecdotes marquantes afin d'illustrer l'ingéniosité des fraudeurs, tout en expliquant comment l'expérience de terrain forge un regard unique sur les mécanismes de la fraude.De la finesse d'observation nécessaire, à la réussite d'une enquête en passant par la distinction entre fraude préventive et curative, il a livré une analyse du rôle complémentaire de l'État et des entreprises dans la protection contre la criminalité financière et documentaire.Enfin, Jonathane a évoqué l'évolution des menaces à l'ère de la dématérialisation, les erreurs les plus fréquentes des fraudeurs et des victimes, ainsi que sa vision des nouveaux défis à venir dans la lutte contre la fraude.⭐ Evidemment, si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à le partager sans modération !
À travers une nouvelle de Joseph Roth, cet épisode interroge la frontière fragile entre authenticité et artifice.Une parabole littéraire qui éclaire, avec poésie, nos rapports à l'iA et au danger de perdre le goût de créer.Mémoire Vive, la chronique de Trench Tech qui raconte les mythes et légendes qui façonnent notre vision de l'iA, animée par Laura Sibony. ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
Dans ce nouvel épisode d'Insight, nous recevons Quentin Gressien, CEO de The Metrics Factory. Avec lui, on explore la puissance de la social data et la manière dont elle peut se transformer en insights activables pour les marques. Comment passe-t-on d'un flot de données brutes à quelque chose d'exploitable pour une marque ? Comment concilier automatisation, IA et expertise humaine dans l'analyse des performances sociales ? Enfin, comment mesurer l'impact réel des campagnes d'influence, y compris sur des dimensions émotionnelles comme l'attachement, la crédibilité ou la confiance, et pas seulement à travers des likes ou des vues ? Quentin nous partage son expertise sur le sujet.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce sont des drames qui ont secoué l'opinion publique américaine. Ces derniers mois, plusieurs adolescents se sont donnés la mort, et ces suicides ont tous un point commun : l'intelligence artificielle. Les parents des victimes affirment que leurs enfants étaient happés par des services comme ChatGPT ou Character AI, et que ces chatbots les auraient encouragés à passer à l'acte.Dans ce nouvel épisode de Questions Tech, la journaliste Chloé Woitier vous alerte sur les dangers des intelligences artificielles pour les enfants. Et n'oubliez pas : dans la Tech, il n'y a pas de questions bêtes !Vous pouvez retrouver Questions Tech sur Figaro Radio, le site du figaro.fr et sur toutes les plateformes d'écoute.Chronique et rédaction : Chloé WoitierMontage : Astrid LandonPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
### Comment innover avec un impact social au cœur de son ADN ? Comment impulser le changement dans une structure aussi vaste et diversifiée que le groupe SOS ? C'est la question centrale à laquelle Aurélie Gallet tente de répondre dans cet épisode de Disruption Inside, en compagnie de son invité, David Giffard. En tant que Directeur de l'innovation du groupe SOS, David partage son expérience et ses réflexions sur la manière dont l'innovation peut être un moteur puissant pour adresser les défis sociétaux contemporains. L'épisode nous invite à explorer comment une organisation peut rester agile et créative tout en poursuivant des missions à fort impact social.### À la rencontre de David Giffard, un leader de l'innovation socialeDavid Giffard, avec plus de 20 ans d'expérience au sein du groupe SOS, est un acteur clé de l'économie sociale et solidaire. Après avoir débuté sa carrière dans le tourisme d'affaires, sa rencontre avec Jean-Marc Borello, le fondateur du groupe SOS, a marqué un tournant décisif. Passionné par l'entrepreneuriat et animé par un désir de créer un impact social, David a contribué à l'expansion du groupe, qui est passé de 3 000 à 26 000 salariés. Son parcours est jalonné de projets innovants qui visent à répondre à des problématiques sociales et environnementales complexes.### L'innovation au service des défis sociétauxDans cet épisode, David Giffard explique comment l'innovation est intégrée au sein du groupe SOS pour relever les défis sociétaux. L'innovation est décrite comme étant très "bottom-up", émergeant des besoins du terrain et des équipes engagées. Les projets sont souvent développés en partenariat avec des acteurs publics et privés, illustrant l'importance du "faire ensemble". David met également en lumière les défis liés à l'adoption des nouvelles technologies, comme l'IA, dans un secteur où l'humain est au cœur de l'activité. L'épisode se conclut sur une note inspirante, soulignant l'importance de l'innovation collaborative pour créer un impact durable.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Axel Kaletka nous dévoile comment utiliser le framework des 3C (Cornerstone Content, Core Content, Cut Content) pour créer et distribuer du contenu de manière efficace.Vous pouvez retrouver Axel sur LinkedIn ou sur son site.Autres épisodes qui pourraient vous plaire : Comment faire connaître votre podcast Etre efficace avec The One Thing---------------
Cette semaine, nous accueillons le général Marc Boget, ancien chef du Commandement de la gendarmerie dans le cyberespace (ComCyberGend) et actuel Directeur de l'agence du numérique des forces de sécurité intérieure.À noter que cette émission est disponible sur toutes les plateformes audio (Spotify, Deezer, Apple et Google Podcast), ainsi que sur YouTube.Pensez à vous abonner et à laisser une note de 5 étoiles pour aider à la faire connaître.Et si vous souhaitez soutenir notre média indépendant, vous pouvez également rejoindre notre espace premium sur defense-zone.com et mettre la main sur du contenu inédit ainsi que nos magazines papier !Nous vous souhaitons une bonne écoute.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:17 - C'est mon boulot - Les emplois publics à travers le monde ne devraient pas échapper à la révolution de l'intelligence artificielle générative. 36% des tâches réalisées par les fonctionnaires sont exposées à des changements importants et un peu plus de 7% des emplois pourraient être automatisés (selon une étude du cabinet Roland Berger). Comment arrive-t-on à ce résultat ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Et si l'IA au travail n'était pas tant là pour vous aider… quer pour mieux vous contrôler ?
Amazon, le géant du commerce en ligne a annoncé la suppression de 14 000 postes liée « en grande partie au développement de l'IA » selon l'entreprise. Une annonce qui ravive les craintes dans certaines professions particulièrement exposées, car l'essor de l'intelligence artificielle pourrait avoir de lourdes conséquences sur l'emploi dans le monde. Amazon présente ces 14 000 licenciements comme la première étape d'une vague qui pourrait concerner 30 000 personnes au sein du groupe qui emploie 1,5 million de salariés à travers le monde. Mais le géant du commerce en ligne n'est pas la seule entreprise à avoir annoncé des départs en raison de l'IA. Et si le phénomène reste progressif pour le moment, les effets de l'essor de l'IA se font en effet déjà lourdement sentir en particulier aux États-Unis. Au sein du cabinet de conseil Accenture, 12 000 postes ont été supprimés au cours des trois derniers mois, des employés « qui ne pourront pas apprendre les compétences nécessaires pour utiliser l'IA » selon la direction du groupe, qui a prévenu les autres salariés : ceux qui ne s'adapteront pas à cette nouvelle technologie pourraient subir le même sort. Microsoft, de son côté, a licencié 15 000 employés cette année, et de nombreux observateurs font le lien entre cette cure d'amaigrissement et le déploiement de l'intelligence artificielle. Chez Amazon, les emplois touchés sont pour la plupart dans les bureaux (les « cols blancs ») et non pas dans les entrepôts. Parmi les métiers les plus exposés ce sont logiquement ceux qui reposent sur le traitement de données et les tâches numériques qui peuvent être facilement automatisées, cela concerne donc en particulier l'analyse de données, la comptabilité, tout ce qui est de l'ordre des supports informatiques, mais aussi des services clients, des achats... Le patron de la chaîne américaine de supermarchés Walmart, le plus gros employeur des États-Unis a estimé qu'il ne connaissait pas un seul métier, un seul secteur, qui ne sera pas affecté par l'arrivée de l'IA. À lire aussiComment l'IA a déjà commencé à remodeler le marché du travail « Job apocalypse »? Qu'en est-il vraiment du nombre d'employés menacés ? Plusieurs études vont du scénario le plus optimiste au scénario catastrophe, certaines prédictions parlent même de « job apocalypse ». Mais si l'on s'en tient au rapport de l'Organisation internationale du travail (OIT) datant de 2023, il semblerait qu'environ 2,3% des emplois dans le monde, et jusqu'à 5% dans les pays riches, pourraient, en théorie, être entièrement automatisée par l'intelligence artificielle. L'OIT précise qu'il s'agit d'un potentiel, pas d'une prévision. En revanche, près de 60% des métiers dans le monde sont partiellement exposés à l'automatisation par l'IA, c'est donc plutôt à une évolution de la plupart des métiers qu'il faut s'attendre, et le tsunami de licenciements prévu par certains se traduira plutôt par une adaptation de secteurs entiers. Certains comparent l'arrivée de l'IA sur le marché du travail à celui d'internet, alors l'inconnu est la suivante : quelle sera la rapidité du développement de ce nouveau bouleversement technologique, plusieurs décennies, plusieurs mois ou plusieurs années ? Pour ce qui est de l'IA, tout va déjà très vite et notre capacité à intégrer cette nouvelle donne est la clé pour les employeurs, la formation jouera bien sûr un rôle essentiel. Nécessité de rentabiliser les investissements dans l'IA Au final, il est intéressant de poser la question de savoir de ces annonces de licenciements, sont elles réellement toutes motivées par l'arrivée de l'IA ? Mais l'intelligence artificielle joue certainement un rôle. Si ce n'est en raison de l'automatisation de certaines tâches, c'est a minima en raison d'une nécessité d'amortir les investissements colossaux dans les infrastructures de l'IA. Amazon a ainsi annoncé, dans la foulée de cette vague de licenciements, un investissement de cinq milliards de dollars en Corée du Sud, notamment pour y construire des centres de données IA à horizon 2031. À lire aussiAmazon annonce la suppression de 14 000 postes à travers le monde
Neo, la société norvégienne 1X Technologies, soutenue par OpenAI, promet le premier véritable humanoïde domestique. Haut de 1,67 mètre, élégant et étonnamment fluide, Neo sait marcher, ranger, saisir des objets ou se recharger tout seul. Mais derrière cette prouesse technologique se cache une réalité bien moins autonome : la plupart de ses gestes sont en fait pilotés à distance par un humain en réalité virtuelle.
Et si l'intelligence artificielle n'était que le joli glaçage d'un gâteau finalement indigeste ?L'IA nous semble fluide, intuitive, bluffante. Mais sous cette "couche sucrée" se cache un "mille-feuille" technlogique bien plus complexe… et destructeur.C'est une technologie addictive, extractiviste, et financiarisée que décrit Ophélie Coelho dans cet extrait de notre Trench Tech - All Star.Écoutez l'épisode complet : "ALL STAR n°3 - L'onde de choc IA" ou tapez directement "Trench Tech Ophélie Coelho" dans votre plateforme de podcast
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En 2014, une étude interne a testé la « contagion émotionnelle » sur 700 000 utilisateurs… sans les prévenir.Un scandale éthique retentissant qui interroge encore notre rapport aux plateformes numériques.La tech entre les lignes, la chronique qui décrypte les articles tech, animée par Louis de Diesbach. ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
Concurrence déloyale, recours aux œuvres d'autrui sans autorisation, accusations de plagiat ou tout simplement de nivellement de l'art par le bas : ce ne sont que quelques-uns des arguments utilisés pour dénoncer l'usage de l'intelligence artificielle dans l'art. Les appels à réguler, voire à renoncer à l'IA se multiplient. Et dans le même temps, certains artistes utilisent l'IA de plus en plus. Leurs créations finissent parfois aux enchères ou dans les musées. Avec parfois des polémiques : sont-ils de faux artistes voire des traîtres à la cause artistique ? Pour en débattre - Hugo Caselles-Dupré, chercheur en Intelligence artificielle et co-fondateur du collectif Obvious - Alexandre Gefen, directeur de recherche au CNRS, commissaire d'exposition, directeur de l'ouvrage Créativités artificielles – La littérature et l'art à l'heure de l'intelligence artificielle, éditions Les Presses du réel.
Concurrence déloyale, recours aux œuvres d'autrui sans autorisation, accusations de plagiat ou tout simplement de nivellement de l'art par le bas : ce ne sont que quelques-uns des arguments utilisés pour dénoncer l'usage de l'intelligence artificielle dans l'art. Les appels à réguler, voire à renoncer à l'IA se multiplient. Et dans le même temps, certains artistes utilisent l'IA de plus en plus. Leurs créations finissent parfois aux enchères ou dans les musées. Avec parfois des polémiques : sont-ils de faux artistes voire des traîtres à la cause artistique ? Pour en débattre - Hugo Caselles-Dupré, chercheur en Intelligence artificielle et co-fondateur du collectif Obvious - Alexandre Gefen, directeur de recherche au CNRS, commissaire d'exposition, directeur de l'ouvrage Créativités artificielles – La littérature et l'art à l'heure de l'intelligence artificielle, éditions Les Presses du réel.
Dans cet épisode de Connected Mate, PPC et Alexandre plongent ensemble dans ChatGPT Atlas, le tout nouveau navigateur propulsé par l'intelligence artificielle d'OpenAI.Ce n'est pas un simple navigateur. C'est un agent d'interface qui comprend, agit, mémorise… et surtout, qui scrolle à votre place. PPC et Alexandre analysent cette nouvelle interface révolutionnaire : comment elle transforme notre rapport au web, ce qu'elle change concrètement pour les utilisateurs et ce qu'elle implique pour les entreprises.Ensemble, ils explorent les fonctionnalités clés (mode agent, mémoire, chat intégré), les enjeux de design, de confiance, d'usage, mais aussi les perspectives pour les managers et les responsables IT. Un échange riche, lucide, qui anticipe le web augmenté par l'IA.Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette chronique, Thomas Renard explore les capacités de Sora, une intelligence artificielle qui génère des vidéos ultra réalistes. Il met en garde contre les risques de confusion entre vraies et fausses vidéos, notamment à cause d'outils qui manipulent le logo de Sora. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si l'IA ne réconciliait pas le public avec l'information, mais achevait de le faire fuir ?Avant même ChatGPT, les journalistes étaient parmi les professions les plus détestées de France. Désormais, l'IA accélère la méfiance, la fatigue informationnelle, et pousse à l'exode médiatique.C'est ce que dénonce François Saltiel dans cet extrait percutant, enregistré en public lors de l'événement Trench Tech - All Star.L'IA amplifierait les mécanismes de désinformation, en rendant encore plus difficile le lien entre médias et citoyens.Écoutez l'épisode complet : "ALL STAR n°3 - L'onde de choc IA"ou tapez directement "Trench Tech François Saltiel" dans votre plateforme de podcast
Cette semaine : navigateur IA Atlas, panne massive AWS, l'IA à la française chez Kyutai, casque Samsung XR, test de l'iPhone Air.
Qui aujourd'hui ne connaît pas OpenAI ?Et quelle fierté de voir une Française rejoindre sa direction : Fidji Simo.Quand je l'ai reçue dans PAUSE, elle était encore à la tête d'@Instacart. Je me souviens m'être dit en sortant du studio : "Cette femme ira encore plus loin." Et c'est exactement ce qu'elle a fait.Cette semaine, je vous invite à comprendre d'où tout est parti... À Sète, dans le sud de la France. Fille d'un pêcheur et d'une commerçante, Fidji n'avait rien d'une insider de la tech américaine.Mais à force de travail, d'instinct et d'audace, elle a gravi tous les échelons :Facebook, où elle devient vice-présidente.Instacart, qu'elle dirige jusqu'à l'introduction en bourse.Et aujourd'hui, OpenAI, le laboratoire le plus scruté du monde.Dans cet épisode, Fidji m'avait parlé avec une sincérité rare de son parcours, de ses doutes, de la peur de ne pas être légitime, de la culture du risque et de ce que ça veut dire, vraiment, diriger sans renier ses valeurs.Ensemble, on évoque les codes (et les pièges) de la Silicon Valley, de la culture du risque (et de l'échec), et de pourquoi l'ambition, parfois, c'est une forme de courage. Un témoignage inspirant, visionnaire et terriblement d'actualité qui m'avait beaucoup marqué,Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'ère de l'intelligence artificielle (IA) générative, le contenu numérique explose, créant un surplus d'informations difficiles à vérifier, qu'il s'agisse de vidéos truquées avec des célébrités ou de fausses identités en ligne. Des entreprises s'appuient sur la crypto pour créer une identité numérique. C'est le cas de la start-up française Ledger, qui s'appuie sur le "donjon" : un espace dans lequel les hackers simulent des attaques pour révéler les vulnérabilités pour mieux les corriger.
Avec Grokipedia, Elon Musk jure de détrôner Wikipedia, fleuron de l'accès au savoir et du partage de connaissances sur internet. Quelle crédibilité accorder à une encyclopédie en ligne propulsée par l'IA ? Le milliardaire américain n'est pas seul à s'en prendre à Wikipedia. Les attaques informationnelles se multiplient à l'encontre de l'encyclopédie en ligne, alors que celle-ci s'apprête à fêter ses 25 ans d'existence. Le lancement de Grokipedia, une nouvelle encyclopédie en ligne, propulsée par l'intelligence artificielle est imminent ! Annonce faite par Elon Musk cette semaine. Le patron de xAi en profite pour tacler Wikipedia, qu'il accuse de partialité. Avec nos invités, nous revenons sur cette cabale anti-Wikipedia. Le milliardaire américain n'est pas seul à s'en prendre à cette entreprise de partage du savoir en ligne. Des initiatives visant à modifier les articles par effraction, sont régulièrement détectées. Comment l'encyclopédie en ligne, indétrônable depuis bientôt un quart de siècle résiste-t-elle à ces attaques informationnelles ? Nos invités sont Rémy Gerbet, directeur exécutif de Wikimedia France, Jordan Ricker, directeur des opérations d'Opsci.ai, une PME française spécialiste de la lutte informationnelle, et Marc Fadoul, chercheur en Intelligence artificielle, spécialiste des systèmes de recommandation. L'organisation qu'il a co-fondée, AI Forensics enquête sur l'influence opaque des algorithmes. Autre bataille de géants du numérique et de l'intelligence artificielle : Sam Altman, le patron d'Open Ai a lancé ce mardi (21 octobre 2025) Atlas. Le nouveau navigateur entièrement construit sur Chat GPT s'attaque lui à la suprématie de Google chrome. Marc Fadoul évoque les risques que comporte cette volonté de puissance des IA génératives, qui tentent de sortir du simple rôle de chatbot ou agent conversationnel. Enfin, côté images, ce sont les vidéos de Sora 2 qui déboulent sur les réseaux sociaux. Avec elles, de quoi bien s'amuser mais aussi désinformer en masse. Un cap est franchi dans le perfectionnement des IA génératives d'images, c'est la chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Sora 2: le générateur de vidéos par IA qui a tout pour devenir une usine à infox.
Dans cet épisode, on change les règles du jeu.C'est une intelligence artificielle, Olivia, qui prend les commandes et interviewe PPC, l'animateur habituel de Connected Mate.Oui, une IA qui pose les questions, et un humain qui y répond.Pourquoi cette inversion ? Parce que cela incarne parfaitement le propos du nouveau livre de PPC, « Réinventez votre entreprise à l'ère de l'IA », écrit en compagnonage avec une IA. La préface est de Serge Papin, ancien PDG du groupe Système U et Ministre. L'ouvrage est disponible à la commande sur Amazon https://amzn.to/4gT84ibDans cet échange, PPC revient sur son expérience d'écriture en binôme avec une machine, sur ce que l'IA révèle de nous, sur la manière dont elle transforme les pratiques managériales. Un épisode qui interroge notre rapport à la vitesse, au discernement, à la clarté… et surtout à notre humanité dans un monde technologique en accélération. Une conversation miroir à ne pas manquer.Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si on s'intéressait au profil des cybers agresseurs ? Dans 74% des cas, il s'agit d'hommes, présents dans toutes les tranches d'âge et les couches de la société ! Du harceleur de 50 ans sur LinkedIn au jeune gamer sur Twitch. Laure Salmona, directrice de l'association féministe contre le cyberharcèlement, souligne que cette violence, loin du cliché du "nerd boutonneux", est extrêmement banalisée, comme en témoigne la philosophie du mouvement Incel (faisant référence à l'affaire Elliot Roger). La normalisation de ces actes a été aggravée par le manque d'outils sur les plateformes Web 2.0.Pire, le doxing (diffusion de données personnelles) illustre la gravité de la menace : dans 72% des cas, les cyberviolences se poursuivent par des actes de violence dans le monde réel...Ecoutez l'épisode complet : → https://smartlink.ausha.co/trench-tech/cyberviolence-67-des-plaintes-refusees-scandale-ou-fatalite-laure-salmona(c) Trench Tech, LE podcast « Esprits Critiques pour Tech Éthique »Épisode enregistré le 04/09/2025---
L'intelligence artificielle (IA) ne se contente pas de bousculer les technologies. Pour beaucoup d'États africains, cette technologie devrait redessiner le futur du continent africain. L'IA pourrait permettre de répondre efficacement à certains des maux les plus pressants, en compensant les lacunes des systèmes éducatifs et de santé, en améliorant les rendements agricoles ou en facilitant l'accès aux services financiers pour une population encore largement exclue du système bancaire. Pour autant, plusieurs questions demeurent, le continent peut-il prendre part à la révolution en cours, tout en partant avec un certain temps de retard ? L'IA peut-elle devenir un facteur de développement pour l'Afrique ou, au contraire, représente-t-elle un obstacle à son indépendance économique ? Cette émission est une rediffusion du 11 septembre 2025. Avec : • Thomas Melonio, chef économiste, directeur exécutif de l'Innovation, de la stratégie et de la recherche, Agence française de développement (AFD) • Paulin Melatagia Yonta, enseignant-chercheur en Informatique à l'Université de Yaoundé 1 • Ismaïla Seck, ingénieur et docteur en informatique. Enseignant chercheur en Intelligence artificielle à Dakar American University of Science & Technology et entrepreneur. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, Thibault tâchera de comprendre comment l'IA peut nous aider à bien nous organiser ? Programmation musicale : ► No.1 - Tyla Ft. Tems ► Katam - Diamond Platnumz.
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Éric Sadin : Philosophe, penseur technocritique.