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L'iA menace-t-elle l'art et la créativité humaine ?Cette crainte du dépassement de l'humain par la machine est, pour Marion Carré, toujours la même rengaine, alors que comprendre comment utiliser l'intelligence artificielle n'est rien d'autre qu'une forme d'apprentissage comme une autre.En outre, l'IA n'est pas l'alpha et l'omega : la place de l'humain et de la créativité humaine est cruciale. Il faut créer des sas de créativité humaine et les sanctuariser pour éviter le slop et les contenus standardisés.
durée : 00:18:13 - Les informés de l'éco - Tous les samedis, Emmanuel Cugny et Hadrien Bect débattent des sujets qui marquent l'actualité économique et sociale Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Je me posais pas mal de questions sur Christel Heydemann avant de la recevoir. Sa nomination à la tête d'Orange avait suscité du bruit et je voulais me faire mon propre avis.Et je suis très heureux de l'avoir fait : j'ai découvert une dirigeante drôle, transparente et incroyablement humaine.Je ne sais pas si on se rend vraiment compte de ce que ça représente, de prendre les rênes d'une entreprise comme Orange.137 000 collaborateurs. Plus de 300 millions de clients. Un groupe au cœur de toutes les tensions : IA, souveraineté numérique, sécurité, écologie, régulation, concurrence… Tout ça, en même temps.Et au centre de tout ça, il y a Christel Heydemann.Une dirigeante d'une détermination, d'une humilité et d'une lucidité rares.Ce qui m'a frappé pendant cet épisode, ce n'est pas son CV impressionnant, Polytechnique, les Ponts, Alcatel, Schneider, puis la tête d'Orange, mais sa façon d'en parler.Simplement. Sans posture. Avec franchise.Elle évoque le poids d'être “la première femme à…”, la pression, les doutes, mais aussi la responsabilité qu'elle porte, son héritage familial, et les défis titanesques qui attendent les télécoms et l'Europe face aux géants mondiaux.Cet échange, c'est bien plus qu'un épisode : c'est une plongée dans l'esprit d'une leader qui doit réinventer un géant sans perdre le sens ni le cap humain.J'espère que vous apprécierez autant que moi la discussion.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Pologne connaît l'une des plus fortes croissances de l'Union européenne, 3,7% du PIB au troisième trimestre. Ces derniers mois, l'économie polonaise s'est montrée résiliente face aux tensions douanières et à la guerre en Ukraine. Mais aujourd'hui, l'intelligence artificielle vient menacer ce miracle économique. L'économie polonaise a été portée ces dernières années par les investissements étrangers. Finance, ressources humaines, marketing et construction. Le pays est aussi devenu le champion de l'externalisation des processus métiers. Cela consiste, par exemple, à confier une partie des opérations commerciales d'une entreprise française à un prestataire de services, basé en Pologne. L'IA pourrait faire disparaître certains emplois Mais aujourd'hui, le coût de la main-d'œuvre a augmenté et un certain nombre de ces emplois dans le secteur des services, qui ont attiré les jeunes Polonais, pourraient disparaître. Ils risquent d'être remplacés par l'intelligence artificielle. Les multinationales implantées en Pologne suppriment des emplois. À lire aussiPologne : la difficile croissance des start-up de l'industrie d'armement C'est le cas à Cracovie qui était devenue une des villes les plus dynamiques du pays. Cela concerne les spécialistes du traitement des données, de l'hébergement web, de la comptabilité et même le conseil fiscal. Le brasseur Heineken, par exemple, transfère progressivement plusieurs centaines de postes en Inde. C'est aussi le cas de la banque HSBC, pour des opérations simples qui seront désormais effectuées en Asie. Effet domino Est-ce un risque pour l'économie du pays ? Pas encore, mais c'est ce que redoutent les Polonais. Le pays est le premier pays européen pour les services aux entreprises internationales, devant l'Inde et les États-Unis. Un secteur qui représente 6% du PIB polonais et qui emploie près d'un demi-million de personnes. Et l'IA dans ces entreprises aussi est en train d'automatiser certains processus. Avec, à la clé, un effet domino. Les suppressions d'emplois dans les entreprises de service et les multinationales fragilisent les autres secteurs. Celui de la restauration qui perd une partie de sa clientèle aisée. On peut aussi citer les sociétés de locations de bureaux dont les tours se vident parce qu'une partie des opérations a été transférée vers des pays à moindres coûts. Vers un nouveau modèle économique Dans ce contexte, la Pologne devra changer son modèle économique pour s'adapter. La mutation est en marche. La Pologne aussi veut prendre le train de l'IA. Une deuxième usine d'intelligence artificielle dotée de supercalculateur devrait bientôt être inaugurée à Cracovie, comme la première. Un projet ambitieux qui vise à faire de la Pologne un leader européen de l'IA. Attirer une nouvelle vague d'investissements et de talents pour in fine créer des emplois plus qualifiés. À lire aussiPologne: manifestation à Varsovie contre le pacte migratoire européen et l'afflux de migrants
IA & loto : ce que vos enfants voient en ligne et quoi leur répondreLes promesses magiques sont-elles en train d'illusionner nos jeunes ? Dans cet épisode captivant de Princesse Montessori, Xénia Troubetzkoï nous plonge au cœur d'un sujet brûlant : l'influence des récits embellis autour de l'intelligence artificielle et des jeux de loterie comme l'EuroMillion sur la jeunesse d'aujourd'hui. Xénia commence par analyser les vidéos virales qui inondent les réseaux sociaux, où de jeunes utilisateurs affirment avoir gagné grâce à l'IA. Ces histoires séduisantes, bien que fascinantes, ne reposent souvent que sur des récits embellis. Princesse Montessori met en lumière la nécessité de comprendre que le tirage de la loterie est ALÉATOIRE. Aucune intelligence artificielle ne peut prédire les résultats des jeux de hasard. En démystifiant le phénomène, Xénia évoque le BIAIS DE SURVIVANT, où seules les histoires de gagnants sont mises en avant, créant ainsi une fausse impression de réussite. À travers des exemples concrets, elle déconstruit les méthodes utilisées par ceux qui prétendent avoir une recette miracle pour gagner. L'analyse des tirages passés et la présentation de grilles de numéros esthétiques ne sont que des leurres. Mais alors, comment aider nos jeunes à naviguer dans cet océan de fausses promesses ? Dans Princesse Montessori, Xénia insiste sur l'importance d'EXPLIQUER aux jeunes que le HASARD ne peut pas être contrôlé. La vraie compétence réside dans la capacité à créer de la valeur, à apprendre et à développer des compétences concrètes, plutôt que de croire en des promesses irréalistes. Ce podcast est un appel à la RÉFLEXION pour les PARENTS et les ÉDUCATEURS. Comment pouvons-nous encourager nos enfants à cultiver un esprit critique face à ces récits séduisants ? Quelles sont les valeurs que nous souhaitons leur transmettre ? Rejoignez-nous pour un épisode riche en idées et en conseils pratiques. Ensemble, apprenons à guider nos jeunes vers une compréhension saine du monde qui les entoure. Écoutez Princesse Montessori et participez à cette conversation essentielle !
Et si l'intelligence artificielle, en nous aidant à créer plus vite, nous rendait tous… pareils ?C'est le paradoxe du tapis roulant : l'iA booste la productivité, mais risque d'uniformiser la créativité.Marion Carré, fondatrice de AskMona, entrepreneuse à la croisée de l'art et de la tech, explore avec nous la frontière mouvante entre création, technologie et culture. Cet épisode questionne :L'IA est-elle un outil d'émancipation ou un moteur de standardisation ?Comment préserver la diversité culturelle face à des modèles d'IA globaux ?L'erreur et l'imperfection peuvent-elles devenir des sources de créativité ?Quelle est la responsabilité des concepteurs d'IA dans cette transformation ?
Dans ce nouvel épisode de IA pas que la Data, nous recevons un profil hors du commun : Kevin Yauy. À la fois médecin praticien au CHU de Montpellier et docteur en Intelligence Artificielle, il incarne le pont entre le soin et le code. Créateur de Doc Simulator, une IA qui entraîne les futurs médecins, il nous partage sa vision pragmatique et profondément humaniste de la technologie en santé.Un échange sans filtre qui confronte le pragmatisme du terrain, validé par la science, aux grandes questions sur l'avenir d'une profession au cœur de notre société.Dans cet épisode, vous découvrirez :- Doc Simulator : L'IA qui entraîne les médecins de demain. Découvrez les coulisses de cet outil qui permet aux étudiants de s'entraîner sur des patients virtuels et dont l'efficacité pour améliorer les performances cliniques a été prouvée scientifiquement.- Raisonnement médical vs informatique. Comment Kevin a entraîné un algorithme à "penser" comme un médecin en se basant sur les liens entre symptômes, plutôt que sur des logiques informatiques classiques, pour mieux diagnostiquer les maladies rares.- L'IA, fossoyeur ou sauveur de l'empathie ? Loin de l'image du médecin remplacé par un algorithme, Kevin défend une IA qui libère du temps sur les tâches administratives pour se recentrer sur l'essentiel : l'écoute et la relation humaine avec le patient.- Du techno-optimisme à l'humain-optimisme. Pourquoi, au-delà de la technologie, la vraie révolution est de redéfinir les compétences humaines que nous souhaitons préserver et valoriser à l'ère de l'intelligence artificielle.Bonne écoute Partagez vos impressions, laissez un commentaire, et aidez-nous à faire entendre la voix de "IA pas que la data".(00:00) - Introduction et présentation de Kévin Yauy (01:37) - De "C'est pas sorcier" au double doctorat : le parcours d'un médecin-chercheur (06:31) - Le code au service du soignant : automatiser les tâches pour se libérer (09:45) - Doc Simulator : une IA pour entraîner et évaluer les médecins de demain (14:07) - Raisonnement médical vs informatique : comment apprendre à une IA à "penser" comme un humain (20:10) - L'IA, menace ou outil pour recentrer le médecin sur l'humain ? (25:47) - Le risque d'une médecine à deux vitesses : l'IA va-t-elle creuser les inégalités ? (31:28) - Quand le patient utilise ChatGPT : entre auto-diagnostic et responsabilité médicale (38:22) - Prévention, régulation et science : comment accompagner le tsunami technologique (46:32) - Ni techno-optimiste, ni alarmiste : plaidoyer pour un "humain-optimisme" (51:24) - Question de Stéphanie Allassonnière : l'IA agentique au quotidien (54:22) - Conclusion
Aujourd'hui, parlons d'un sujet absolument central à l'ère de l'intelligence artificielle. Et ce sujet c'est celui de la confiance.Parce que plus les technologies deviennent performantes, plus elles bouleversent notre rapport au réel.Et donc plus nous avons besoin de repères pour rester serein dans justement notre usage de la technologie.L'IA brouille nos perceptions du réelD'abord, il faut bien comprendre que l'IA brouille nos perceptions du réel.Lors de la conférence SpiceWorld, l'experte Helen Papagiannis a pointé du doigt à quel point il devient difficile de distinguer les contenus authentiques des médias synthétiques.Images, vidéos, voix, textes… l'IA peut aujourd'hui tout fabriquer, au point de tromper même des professionnels les plus aguerris.Et cette disparition progressive du « réel » tel qu'on le connaît change profondément nos attentes non seulement envers les technologies, mais aussi envers les humains qui les utilisent.Effacement du réel et augmentation de nos compétences grâce à l'IACar, et c'est le paradoxe soulevé par le second point, ce brouillage intervient en même temps qu'une augmentation massive des capacités humaines.C'est ce que Papagiannis appelle la collision entre deux grandes transitions.D'un côté, l'effacement du réel sous l'effet des contenus générés par l'IA, et de l'autre, l'augmentation de nos compétences grâce à l'IA qui s'invite dans notre travail et notre quotidien.Oui, au point où nous en sommes, l'IA ne se contente plus de compléter nos activités. Elle redéfinit la manière même dont nous interagissons, apprenons et produisons.Et dans ce contexte, la confiance devient le nouveau centre de gravité.Il s'agit d'avoir confiance dans les outils, mais aussi confiance dans les intentions, dans la transparence, et surtout dans l'humain.Et là, il n'est plus du tout question de technologie.Restaurer la confiance passe d'abord par nous mêmeCar, et c'est le troisième point, restaurer la confiance passe d'abord par nous même.L'experte insiste sur ce point. Elle pense même que la confiance est le nouvel indicateur clé de performance, le fameux KPI.Pour les organisations, cela signifie établir très tôt des garde-fous éthiques clairs. Mais pour chacun d'entre nous, cela implique aussi un travail intérieur. Il faut se donner le droit de réfléchir, de douter, de ralentir.Faire d'abord confiance à son propre jugementEt voici un exemple très concret.Avant de demander systématiquement à un chatbot tout et n'importe quoi, pourquoi ne pas reprendre l'habitude d'examiner, de faire confiance à son propre jugement, et de cultiver sa propre curiosité.Parce que dans un monde où tout peut être synthétique, notre humanité, notre créativité, notre capacité à nous poser des questions, même à nous ennuyer, devient très clairement un atout essentiel.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernier jour pour Educ@tech Expo, le salon de l'innovation pédagogique et du numérique éducatif. C'était sa 29ᵉ édition à Paris. Les thématiques retenues cette année sont les intelligences humaines, collectives, territoriales, artificielles. L'IA, qui imprègne toute la société et évidemment l'école. D'après le ministère de l'Éducation nationale, la quasi-totalité des élèves utilise ChatGPT, alors que 20% des enseignants auraient recours à l'IA. Face à cette technologie qui va se déployer de manière inéluctable dans le système éducatif français, certains professeurs font part de leurs craintes sur l'apprentissage ou le développement de l'esprit critique des élèves. Quand d'autres enseignants pensent qu'il faut se saisir de l'IA plutôt que de la subir.
durée : 00:02:15 - Le brief éco - La Commission européenne reconnaît la rigidité de sa réglementation sur l'IA et annonce un assouplissement. Bruxelles veut surtout relancer la compétitivité européenne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'exécutif européen doit présenter, ce mercredi 19 novembre, un projet de loi de simplification numérique. Une révision des textes en vigueur qui ont fait de l'Europe la superpuissance régulatrice des activités en ligne. Objectif affiché : relancer la compétitivité européenne et favoriser le développement de l'intelligence artificielle (IA). Mais les associations spécialisées craignent surtout une dilution de la protection de la vie privée des Européens sous la pression de Washington et des Gafam. Règlement général sur la protection des données (RGPD) en 2018, Digital Markets Act et Digital Services Act en 2022, toute première règlementation au monde sur l'intelligence artificielle en 2024 : à défaut de briller sur le plan de l'innovation, depuis bientôt dix ans l'Union européenne se présente comme la superpuissance régulatrice du numérique. Forte de son marché unique aux 500 millions de consommateurs, l'Europe est parvenue à imposer ses règles aux grandes plateformes du numérique, qu'elles soient américaines ou chinoises. Mais tout pourrait changer avec la proposition dite « Omnibus numérique » que la Commission doit présenter ce mercredi 19 novembre. Un projet de loi qui devrait de toute façon en passer par le Parlement européen et les États membres mais dont une première version a fuité une semaine avant sa présentation. L'exécutif européen y défend une série de mesures présentées comme le moyen de relancer la compétitivité européenne et notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle. Pour cela la Commission propose de réécrire tous les textes en vigueur pour en assouplir les règles ou laisser une plus grande place à l'interprétation. De quoi susciter l'inquiétude des associations spécialisées qui y voient une « dilution » de tout le bouclier réglementaire dont s'est dotée l'Union européenne ces dix dernières années. Mort à petit feu du parapluie réglementaire européen Par exemple, à l'heure actuelle la loi européenne empêche les acteurs du numérique d'exploiter les données personnelles d'un internaute, pour lui proposer de la publicité ciblée en fonction de son état de santé, son orientation politique ou sexuelle. Des données très sensibles mais qu'il est facile d'obtenir ou de deviner si vous avez accès à l'historique de navigation d'un internaute, à la liste des applications installées sur son téléphone, ce genre de chose. Avec les nouvelles règles proposées par la Commission au nom de la compétitivité, tant que l'internaute en question n'est pas directement identifié, les entreprises pourraient exploiter ces données personnelles : les vendre à des tiers ou les utiliser pour entraîner une intelligence artificielle. L'ONG autrichienne Noyb (pour « None of your business »), la référence en la matière, estime que ce projet de la Commission est de nature à tuer à petit feu tout le parapluie réglementaire qui protège la vie privée des Européens. La Commission se défend en expliquant vouloir ne pas vouloir freiner le développement des acteurs européens. Certaines entreprises se réjouissent par avance de la diminution de ce qu'elles considèrent comme un carcan administratif trop lourd. Mais les mesures proposées vont surtout servir les intérêts des géants américains, déjà en place : Google, Amazon, Meta, Open AI... Vassalisation numérique Alors pourquoi ce soudain volte-face européen ? Peut-être à cause d'un certain Donald Trump qui n'a de cesse d'accuser l'Europe de faire preuve de protectionnisme en citant son cadre réglementaire et en particulier numérique. Déjà mise en difficulté par les droits de douane l'UE semble vouloir donner des gages à Washington, quitte à devenir plus encore le vassal numérique des États-Unis.
Le Congo-Brazzaville se mobilise face au défi des infrastructures de l'intelligence artificielle (IA). La capitale abritera bientôt un data center, financé en partie par la Banque africaine de développement (BAD). Il s'agit de développer la souveraineté du Congo en matière d'IA, et de permettre aux startups d'entraîner les modèles d'IA sur les données locales. Un immeuble en voie de finition se dresse sur l'avenue qui traverse Bacongo, le deuxième arrondissement de Brazzaville, la capitale du Congo-Brazzaville. Il s'agit d'un data center, destiné à loger les données numériques. « Au sein de ce data center, explique Eric Armel Ndoumba, conseiller aux télécommunications du ministre congolais des Postes et télécommunications, on peut héberger des ordinateurs de puissance, des supercalculateurs qui permettent de traiter des données massives, des données que l'intelligence artificielle (IA) utilise pour entraîner des modèles ». L'infrastructure est financée en grande partie par la Banque africaine de développement (BAD). Le rôle de l'État est déterminant, estime le ministre. « Ce sont des infrastructures que nous devons mettre à la disposition de nos jeunes startups, pour entraîner des modèles d'IA. Parce que ces startups n'ont pas d'argent, n'ont pas de moyens pour acheter ce genre d'ordinateurs », souligne-t-il. Souveraineté des données « Nous avons aujourd'hui un data center que l'État congolais est en train de construire, se félicite Eric Songo, le directeur de la sécurité des services d'information à la Banque postale du Congo. Il va naturellement servir de socle, de base, pour permettre cette éclosion, ce développement, tout en gardant la souveraineté des données ». La dynamique engagée par le Congo est également saluée par l'institution financière régionale. « Nous recevons des données et des rapports qui nous confirment que la République du Congo a fait beaucoup d'efforts », souligne Juan Bang Edu Mangué, directeur des systèmes d'informations à la Banque de développement des États de l'Afrique centrale (BDEAC). Brazzaville abrite déjà le Centre africain de recherches en intelligence artificielle (Caria). Selon les données de la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique, le continent ne détient à ce jour que 2 % des data centers construits à travers le monde. À lire aussiComment l'Afrique veut performer dans la course à l'intelligence artificielle
ChatGPT a-t-il vraiment tué les formations en ligne ?L'intelligence artificielle a bouleversé le monde de l'apprentissage et de la transmission.Aujourd'hui, pourquoi payer pour une formation alors que l'information est gratuite et accessible partout ?Ici, Johann Yang-Ting partage 15 ans d'expérience dans la création de formations et d'accompagnements en ligne, et explique pourquoi l'IA n'a pas tué l'expertise humaine, mais a simplement élevé le niveau du jeu.
En 2024, 82% des responsables anti-fraude craignent une augmentation de la fraude dans les années à venir, selon une étude menée par Finovox en partenariat avec l'institut de sondage Selvitys.Et cette crainte est légitime, puisque de l'autre côté, selon la même étude, 10,8 % des Français assument avoir déjà fraudé via un faux document !Mais alors, comment lutter durablement contre la fraude ? Quels sont les moyens d'action des entreprises aujourd'hui ? Comment peut-on agir durablement, et à tous les niveaux, dans un monde qui se numérise ?Pour répondre à ces questions, Marc De Beaucorps, CEO de Finovox, reçoit chaque mois des invités, responsables, experts, formateurs, dans la lutte contre la fraude.Dans cet épisode, Marc de Beaucorps part à la découverte des coulisses de la lutte contre la fraude chez Roole, avec Magali Poulain. Elle nous raconte son parcours, les fraudes les plus fréquentes dans le monde automobile et les outils qui permettent de les repérer. Un échange passionnant entre technique, intuition et anecdotes parfois… surprenantes !⭐ Evidemment, si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à le partager sans modération !
Rodolphe Gelin, Expert Leader Intelligence Artificielle chez Renault Group, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, spéciale La Nuit de l'IA, ce mardi 18 novembre. Il s'est penché sur la place centrale de l'IA dans l'automobile,
Donald Trump a reçu le prince héritier d'Arabie Saoudite Mohammed ben Salmane à la Maison Blanche. Les Saoudiens souhaitent acheter des F-35 et signer un accord sur des transferts de technologie dans le nucléaire et l'intelligence artificielle, tandis que le président américain place Riyad au cœur de sa stratégie au Moyen-Orient et veut convaincre MBS de normaliser ses relations avec Israël. Le prince héritier a promis d'investir 1 000 milliards de dollars dans le pays.
On ressort notre planche à voile ? Une innovation qui promettait la liberté… et offrait surtout des courbatures.Un sport trop technique pour le vacancier, trop grand public pour le pro, coincé entre le rêve tahitien et la réalité en combinaison néoprène.Bref : l'histoire d'une invention brillante et renversante... surtout pour ceux qui tentaient de tenir debout.Un moment d'égarement, la chronique animée par Laurent Guérin, qui traite avec humour des échecs les plus retentissants de la tech.***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
Dans ce nouvel épisode d'Insight, nous recevons Alexandre Chauve, Directeur de Production chez Band Originale. Avec lui, nous y explorons les bénéfices de la production intégrée, modèle où création, production et postproduction sont réunies au sein d'une seule et même agence. Comment ce fonctionnement permet-il d'assurer une meilleure cohérence créative, de gagner en agilité et de réduire les coûts pour les marques ? Quels sont les défis humains derrière cette approche et comment l'intelligence artificielle s'y intègre aujourd'hui pour repousser les limites de la création ? Alexandre nous partage son expertise sur la transformation du métier ainsi que les retombées concrètes pour les annonceurs qui décident de se tourner vers une agence en modèle intégré.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:04 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Ce 18 novembre 2025 se déroule à Berlin, le Sommet sur la souveraineté numérique européenne. L'occasion pour l'Europe de revenir sur sa dépendance aux technologies chinoises et étasuniennes, particulièrement en matière d'Intelligence Artificielle. - invités : Julien Pillot Economiste, enseignant-chercheur à l'INSEEC ; Benjamin Pajot Chercheur associé au Centre géopolitique des technologies de l'Ifri
L'inaction face au changement climatique coûte déjà plus cher que la transition, selon l'un des rapports de la Cour de Comptes de 2025. Dans cet épisode, nos invités de SNCF Réseau et du CEREMA décryptent comment collectivités et opérateurs d'infrastructures transforment cette urgence en actions concrètes.Au-delà des réponses techniques, l'épisode met aussi en lumière le paradoxe de l'adaptation : déployée localement pour répondre aux besoins des territoires, elle doit pourtant être pensée de manière systémique, car le changement climatique ignore les frontières. Les interviewés détaillent les outils existants et les perspectives offertes par la technologie pour modéliser les scénarios, coordonner les acteurs et garantir la continuité des services. Un message résolument optimiste : pour chaque défi, des solutions existent, à condition d'agir collectivement.Un échange animé par Valère Corréard avec Benoît Chevalier, Directeur de la stratégie d'adaptation au changement climatique de SNCF Réseau, Pascal Berteaud, Directeur général du CEREMA, et Maëlle Bouvier, Directrice du développement durable pour le secteur public chez Capgemini Invent.
### Comment innover avec un impact social au cœur de son ADN ? Comment impulser le changement dans une structure aussi vaste et diversifiée que le groupe SOS ? C'est la question centrale à laquelle Aurélie Gallet tente de répondre dans cet épisode de Disruption Inside, en compagnie de son invité, David Giffard. En tant que Directeur de l'innovation du groupe SOS, David partage son expérience et ses réflexions sur la manière dont l'innovation peut être un moteur puissant pour adresser les défis sociétaux contemporains. L'épisode nous invite à explorer comment une organisation peut rester agile et créative tout en poursuivant des missions à fort impact social.### À la rencontre de David Giffard, un leader de l'innovation socialeDavid Giffard, avec plus de 20 ans d'expérience au sein du groupe SOS, est un acteur clé de l'économie sociale et solidaire. Après avoir débuté sa carrière dans le tourisme d'affaires, sa rencontre avec Jean-Marc Borello, le fondateur du groupe SOS, a marqué un tournant décisif. Passionné par l'entrepreneuriat et animé par un désir de créer un impact social, David a contribué à l'expansion du groupe, qui est passé de 3 000 à 26 000 salariés. Son parcours est jalonné de projets innovants qui visent à répondre à des problématiques sociales et environnementales complexes.### L'innovation au service des défis sociétauxDans cet épisode, David Giffard explique comment l'innovation est intégrée au sein du groupe SOS pour relever les défis sociétaux. L'innovation est décrite comme étant très "bottom-up", émergeant des besoins du terrain et des équipes engagées. Les projets sont souvent développés en partenariat avec des acteurs publics et privés, illustrant l'importance du "faire ensemble". David met également en lumière les défis liés à l'adoption des nouvelles technologies, comme l'IA, dans un secteur où l'humain est au cœur de l'activité. L'épisode se conclut sur une note inspirante, soulignant l'importance de l'innovation collaborative pour créer un impact durable.Dans cet épisode, David se prête à l'exercice de la boîte à questions.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il s'appelle Breaking Rust et son tube «Walk my walk» fait un tabac chez les amateurs de musique country. Pour vous dire, cette chanson est arrivée début novembre 2025 en tête des écoutes aux États-Unis dans la catégorie country, selon le média de référence Billboard. Mais nous ne sommes pas prêt de voir Breaking Rust en chair et en os sur scène ou à la télévision. Pourquoi ? Parce que ce chanteur n'existe pas. Dans ce nouvel épisode de Questions Tech, la journaliste Chloé Woitier vous parle de la nouvelle tendance : la musique générée par l'intelligence artificielle.Et n'oubliez pas : dans la Tech, il n'y a pas de questions bêtes !Vous pouvez retrouver Questions Tech sur Figaro Radio, le site du figaro.fr et sur toutes les plateformes d'écoute.Chronique et rédaction : Chloé WoitierMontage : Astrid LandonPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours à 6h46, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Le Morning, sur RMC.
Dans cet épisode, Youssef Agouzoul, Product Marketing Manager chez Metroscope, explique comment la réussite d'un projet digital industriel repose sur un équilibre entre technologie et humain. À travers ses retours d'expérience dans le secteur de l'énergie, il montre que l'innovation n'a d'impact que si elle s'appuie sur l'implication des équipes terrain, la compréhension des processus existants et un diagnostic organisationnel précis, pour ancrer durablement le changement et en tirer toute la valeur.Hosted by Ausha. See ausha.co/privacy-policy for more information.
Et si l'IA était la clé pour créer des vidéos YouTube engageantes, visibles et rentables ? Jean-Baptiste Viet, Youtubeur expert aux 100K abonnés et auteur du livre Co-créateur, vous livre sa méthode pas à pas !Au programme Pourquoi YouTube est une opportunité stratégique pour les entrepreneurs et dirigeants en 2025 ?Quelles sont les étapes clés pour créer une vidéo virale avec l'aide de l'IA ?Comment construire un scénario engageant avec les bons frameworks de storytelling ?Quels outils d'IA utiliser pour la recherche, l'écriture, la vignette ou le montage ?Comment bien optimiser vos titres, miniatures et chapitres pour l'algorithme YouTube ?Pourquoi faut-il incarner votre marque dans vos vidéos ?Comment démarrer sans être expert, avec un niveau technique minimum ?A PROPOS DE L'INVITEYouTube https://www.youtube.com/@jeanvietLivre Cocréateur https://livre.cocreateur.fr/
Construire une base emails ça n'a aucun sens si vous n'envoyez pas d'emails. Les deux questions qui reviennent le plus souvent quand j'enseigne l'emailing sont :Tous les combien est-ce qu'il faut que j'envoie des emails ?Qu'est-ce que je suis sensé raconter ? Si vous êtes déjà posé l'une de ces deux questions, cet épisode est fait pour vous.
Une conférence sur la souveraineté technologique en Europe se tiendra ce mardi (18 novembre 2025) à Berlin, en présence du chancelier allemand Friedrich Merz et du président français Emmanuel Macron. En matière d'innovation, l'Union européenne est aujourd'hui largement devancée par les États-Unis et la Chine, alors qu'a lieu actuellement le virage de l'intelligence artificielle. L'UE peut-elle rattraper son retard ? Comment innover tout en préservant la spécificité culturelle européenne ? La souveraineté numérique est-elle un objectif ? Pour en débattre - Philippe Latombe, député Modem de Vendée, auteur et rapporteur en 2021 du rapport «Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne» - Julien Pillot, économiste, enseignant-chercheur à l'Inseec Grande École, spécialiste de l'économie et de la régulation du numérique - Nathalie Devillier, experte en droit de l'intelligence artificielle à l'Unesco et à la Commission européenne.
Fabrice Valentin, vice-président et responsable de l'Intelligence Artificielle chez Airbus, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce lundi 17 novembre. Il s'est penché sur l'impact de l'intelligence artificielle et de l'IA généra
Une conférence sur la souveraineté technologique en Europe se tiendra ce mardi (18 novembre 2025) à Berlin, en présence du chancelier allemand Friedrich Merz et du président français Emmanuel Macron. En matière d'innovation, l'Union européenne est aujourd'hui largement devancée par les États-Unis et la Chine, alors qu'a lieu actuellement le virage de l'intelligence artificielle. L'UE peut-elle rattraper son retard ? Comment innover tout en préservant la spécificité culturelle européenne ? La souveraineté numérique est-elle un objectif ? Pour en débattre - Philippe Latombe, député Modem de Vendée, auteur et rapporteur en 2021 du rapport «Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne» - Julien Pillot, économiste, enseignant-chercheur à l'Inseec Grande École, spécialiste de l'économie et de la régulation du numérique - Nathalie Devillier, experte en droit de l'intelligence artificielle à l'Unesco et à la Commission européenne.
Des drones sans base légale aux caméras omniprésentes, au nom de notre sécurité, l'État surveille de plus en plus - et souvent sans contrôle.Félix Tréguer, chercheur associé au CNRS et cofondateur de La Quadrature du Net, dénonce une bascule démocratique silencieuse : celle d'un État qui généralise la surveillance au nom de la sécurité, sans rendre de comptes.Le risque avancé par Félix ? Glisser d'un régime libéral à une société de contrôle fascisante, où la dissidence devient impossible.
Dans cette édition :Un policier a été légèrement blessé lors d'un refus d'obtempérer à Poitiers, les deux suspects étaient sous l'emprise de l'alcool et de stupéfiants.Un jeune de 12 ans, mineur non accompagné d'origine nord-africaine, a été grièvement blessé par balles à Grenoble près d'un point de vente de drogue.Une étude montre que les auditeurs ont du mal à différencier les chansons générées par l'intelligence artificielle des chansons humaines, posant la question des droits d'auteur.Les températures vont baisser de manière significative dans la moitié nord de la France à partir de demain.La bière de Noël, une tradition alsacienne, est déjà disponible dans les bars de Strasbourg en prévision du marché de Noël.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de Connected Mate, PPC reçoit Prûne Marre, directrice générale d'Essilor France, pour une plongée au cœur d'une innovation discrète… mais puissante. Ensemble, ils explorent Nuance, des lunettes équipées d'un assistant d'écoute invisible.À la croisée de la vision et de l'audition, cette technologie s'efface volontairement pour mieux servir, sans stigmatiser. PPC et Prûne échangent sur la mutation profonde de l'industrie santé-tech, l'évolution des usages, l'intégration des capteurs dans des objets du quotidien, et ce virage stratégique vers une santé augmentée, prédictive et inclusive.Un épisode inspirant tourné vers un futur où la technologie s'intègre dans la vie sans la déranger. Une conversation passionnante pour les innovateurs, les décideurs… et tous ceux qui rêvent d'un monde plus accessible.Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Et pour découvrir l'ouvrage de PPC Réinventez votre entreprise à l'ère de l'IA, préfacé par Serge Papin, rdv ici https://amzn.to/4gTLwxSHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un policier a été légèrement blessé lors d'un refus d'obtempérer à Poitiers, les deux suspects étaient sous l'emprise de l'alcool et de stupéfiants.Un jeune de 12 ans, mineur non accompagné d'origine nord-africaine, a été grièvement blessé par balles à Grenoble près d'un point de vente de drogue.Une étude montre que les auditeurs ont du mal à différencier les chansons générées par l'intelligence artificielle des chansons humaines, posant la question des droits d'auteur.Les températures vont baisser de manière significative dans la moitié nord de la France à partir de demain.La bière de Noël, une tradition alsacienne, est déjà disponible dans les bars de Strasbourg en prévision du marché de Noël.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:21 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les dépenses vertigineuses des géants de la tech pour développer des centres de données, des puces électroniques, s'accumulent, quitte à s'endetter. Sauf que les profits dans l'IA sont insuffisants. Cette bulle financière pourrait éclater, sur le modèle de celle des chemins de fer au XIXe siècle. - invités : Yamina Tadjeddine économiste et professeure d'économie à l'Université de Lorraine
Et si la sécurité servait désormais à justifier la surveillance ?Dans cet extrait percutant, Félix Tréguer démonte la rhétorique politique qui, depuis des décennies, a réduit la sécurité à une affaire de police et de contrôle des citoyens.
Selon des révélations de l'agence Reuters, Meta tirerait une part considérable de ses revenus de publicités frauduleuses – arnaques financières, casinos illégaux ou produits interdits. Des documents internes montrent que le groupe assume ce modèle économique et anticipe même le coût des sanctions qui en découle. Selon nos confrères de Reuters, Meta - le groupe qui détient les réseaux sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp - gagnerait chaque année des milliards de dollars grâce aux publicités frauduleuses. Arnaques, casinos illégaux, produits interdits, ces annonces, dont les utilisateurs sont régulièrement exposés, font partie d'une économie bien réelle. En vous connectant récemment sur votre compte Facebook, vous êtes sans doute tombés sur des publicités promettant un enrichissement rapide, de fausses interviews de célébrités ou des produits miracles pour maigrir. Ces contenus sont payés par ceux qui les conçoivent pour apparaître sur les écrans des utilisateurs. Selon Reuters, 10 % du chiffre d'affaires 2024 de Meta, soit près de 16 milliards de dollars, proviendraient de ces publicités douteuses. Et ce qui surprend, c'est que cela fait pleinement partie du business model (« modèle d'entreprise », en anglais) du groupe. Meta assume le risque et fait payer davantage les annonceurs suspects Les documents internes montrent que Meta a parfaitement conscience de ce modèle. L'entreprise anticipe même le risque judiciaire. Elle s'attend à un milliard de dollars d'amendes, un montant qu'elle juge acceptable au regard des revenus générés. Autrement dit, mieux vaut payer pour les sanctions que perdre des parts de marché. Et malgré l'existence d'un système de modération, celui-ci atteint vite ses limites. Un annonceur n'est bloqué que si les algorithmes estiment à 95 % qu'il commet une fraude. En dessous de ce seuil, Meta ne suspend pas le compte. Elle lui fait payer plus cher ses publicités. C'est ce que le groupe décrit comme une « pénalité économique ». Les annonceurs suspects paient davantage, mais leurs messages continuent de circuler. Les algorithmes, eux, aggravent encore le phénomène. Les publicités étant personnalisées, un seul clic sur une annonce douteuse suffit à en générer d'autres dans les heures et jours suivants. L'algorithme amplifie donc la fraude… et chaque clic reste rentable pour Meta. Victimes, annonceurs et confiance fragilisés D'abord pour les victimes, qui perdent parfois des sommes importantes. Pour les annonceurs honnêtes, qui subissent une concurrence déloyale dans les enchères publicitaires. Et surtout pour les utilisateurs, dont la confiance s'érode : à force de croiser de fausses publicités, beaucoup finissent par se méfier même des marques légitimes. Au-delà de Meta, cette affaire pose une question de fond : comment réguler un marché publicitaire mondial où les plateformes sont juges et parties ? Elles hébergent, diffusent et profitent parfois des fraudes qu'elles prétendent combattre. Avec plus de trois milliards d'utilisateurs, 120 milliards de dollars de chiffre d'affaires et un pouvoir colossal sur la publicité mondiale, Meta occupe une place centrale dans cet écosystème. En réalité, cette affaire interroge la soutenabilité du modèle publicitaire numérique : tant que la fraude rapportera plus qu'elle ne coûte, les géants du numérique auront peu d'intérêt à l'éradiquer. Et dans cette équation, la régulation mondiale semble encore loin derrière l'innovation. À lire aussiLe groupe Meta met fin aux publicités politiques dans l'Union européenne
Jean-Pierre Domingo est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, le “monsieur IA” du groupe Septeo dévoile comment l'intelligence artificielle transforme en profondeur le quotidien des professionnels de l'immobilier. Déployée depuis plus de deux ans dans les solutions du groupe, l'IA permet désormais d'automatiser les tâches chronophages : gestion des e-mails, agenda, relances marketing, réactivation des leads… autant d'actions que l'agent immobilier n'a plus à réaliser.« L'IA, c'est comme un assistant ultra-rapide, disponible 24h/24, mais qu'il faut éduquer », explique-t-il, détaillant l'arrivée prochaine d'une IA centrale capable de piloter l'ensemble du logiciel pour l'utilisateur. Une évolution qui rend les outils véritablement personnalisables : « Le même logiciel devient différent pour chaque agent, car il apprend sa manière de travailler. »Selon lui, il est désormais impossible de s'en passer : l'IA ne remplace pas l'humain, mais augmente la performance de ceux qui l'adoptent. Les agents qui l'ignorent prendront du retard. Pour préserver la place de l'humain, les modèles intègrent le principe du « human in the loop », garantissant que les décisions clés restent contrôlées par l'utilisateur.Sur les prochaines années, la mutation s'accélère : l'IA deviendra force de proposition, anticipant chaque matin les tâches à mener. « L'agent immobilier arrivera au bureau avec des actions déjà préparées pour lui. » Son conseil final : ne pas avoir peur et s'appuyer sur des éditeurs qui forment et accompagnent. Animé par Ariane Artinian, journaliste et fondatrice du média MySweetImmo
Une étude surprenante montre que les requêtes les plus impolies adressées à ChatGPT produisent des réponses plus précises. Une découverte contre-intuitive sur le pouvoir du ton et du langage face à l'IA.Quand l'impolitesse devient un atoutSelon une étude de l'Université de Pennsylvanie, parler sèchement à ChatGPT améliorerait ses performances. Les chercheurs Om Dobaria et Akhil Kumar ont testé cinquante questions sur le modèle GPT-4o, reformulées du ton le plus courtois au plus brutal. Résultat : les requêtes les plus rudes obtiennent 84,8 % de bonnes réponses, contre 80,8 % pour les plus polies. Une différence modeste mais réelle, détaillée dans le rapport disponible sur arXiv.Une question d'attention et de clartéLes chercheurs avancent plusieurs explications. Les formulations polies dilueraient l'attention du modèle : trop de mots périphériques comme « s'il te plaît » ou « pourrais-tu » dispersent le sens. À l'inverse, un prompt direct va droit au but : « Résous ce problème » plutôt que « Peux-tu m'aider à résoudre ce problème ? ». Cette concision renforce la focalisation de l'IA sur sa tâche.Défier l'IA, ça marcheAutre hypothèse : la rudesse agirait comme un défi cognitif. Face à une tournure provocante – « Si tu n'es pas complètement à côté de la plaque, réponds à ceci » – le modèle basculerait dans un mode plus compétitif, optimisant sa recherche de précision. Une attitude qui rappelle, ironiquement, le comportement humain face à la pression.N'insultez pas pour autant les IA !Les chercheurs insistent : inutile de devenir désagréable avec vos robots. L'expérience portait sur un échantillon limité et un seul modèle. Surtout, la clé ne serait pas la méchanceté, mais la clarté syntaxique et la concision. Et pour la santé mentale collective, mieux vaut préserver un climat bienveillant, même à l'ère des machines.-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
Dans cet épisode spécial de La France bouge, trois startups françaises présentent leurs innovations pour renforcer la sécurité du quotidien :Safee transforme le smartphone en garde du corps grâce à une appli et un boîtier discret. En cas d'agression, une alarme se déclenche et envoie des preuves audio/vidéo en temps réel. Abonnement : 2,99€/mois.Orasio utilise l'intelligence artificielle pour analyser les images de vidéosurveillance et détecter les situations critiques. Déjà testé dans une douzaine de villes, son système facilite les enquêtes judiciaires.CountAct améliore la gestion des évacuations et confinements dans les lieux publics. Inspirée des attentats de Strasbourg, l'appli suit les déplacements et diffuse les consignes de sécurité en temps réel.Ces solutions 100% françaises visent à concurrencer les géants étrangers sur le marché stratégique de la sécurité, avec le soutien de l'avocat David Smadja.À retenir :Des innovations accessibles pour renforcer la sécurité individuelle et collective.L'intelligence artificielle au service de la prévention et de la réactivité.Une volonté de souveraineté technologique face aux acteurs internationaux.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Invités :- Luc Nadier , cofondateur de Safee- Florian Fournier,CEO de Orasio- David Smadja, fondateur du Cabinet Milestone Avocats- Lounis Lakhal, cofondateur de CountActHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:30 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La presse et des experts financiers s'inquiètent de la capacité des géants de la tech à absorber les coûts colossaux de la course à l'IA avec le développement de centres de données - gourmands en eau -, de puces électroniques et de partenariats au montant vertigineux.
Il parait que Président-Fondateur est un avatar créé par une Intelligence Artificielle.
Il parait que Président-Fondateur est un avatar créé par une Intelligence Artificielle.
L'IA bouscule le monde de l'enseignement et de l'emploi. Dans un livre au titre provocateur, Olivier Babeau et Laurent Alexandre, de l'institut Sapiens, appellent à une révolution dans la manière d'apprendre et de se former.Olivier Babeau, co-auteur du livre Ne faites plus d'études ! Les études traditionnelles sont-elles vraiment devenues inutiles ?Ce que nous expliquons dans ce livre, avec Laurent Alexandre, c'est que le modèle actuel de l'enseignement est en complet décalage avec la révolution en cours. L'intelligence artificielle rend obsolètes les cursus figés et les diplômes qui ne garantissent plus l'employabilité. Aujourd'hui, ce qui compte, ce sont les compétences réelles, la capacité à apprendre en continu, à s'adapter. Il faut sortir du modèle passif des cinq années d'études « paresseuses » suivies d'une entrée dans la vie active. Le savoir ne peut plus être statique.Qui sont les premiers impactés par l'IA sur le marché du travail ?Ce que l'on constate, c'est que les juniors semblent les premières "victimes" de cette révolution. En effet, ce sont les tâches de début de carrière qui sont les plus facilement automatisables dans de nombreux secteurs tels que développeurs, juristes, consultants… À l'inverse, les seniors expérimentés tirent pleinement parti de l'IA, qu'ils utilisent comme un levier pour aller plus loin. C'est une forme de revanche des boomers mais cela pose un problème inquiétant : s'il n'y a plus de place pour les débutants, comment former les experts de demain ?Alors, comment se former aujourd'hui ?Il faut travailler avant tout sa capacité à apprendre, à se réinventer, à connecter des savoirs issus de différents domaines. Il faut valoriser la culture générale, l'histoire des idées, le raisonnement critique. Et surtout, il faut travailler. Il n'y a plus de place pour les "feignasses". Mais l'époque est formidable car l'IA peut être une aide puissante si elle est utilisée comme un coach, un partenaire d'apprentissage. En revanche, si elle remplace l'effort intellectuel, alors cela devient un piège. Tout l'enjeu est là.Quel avenir pour les enseignants dans ce nouveau modèle ?Les enseignants professionnels ne disparaîtront pas, mais leur rôle va profondément changer. Grâce à l'IA, chaque élève pourra bénéficier d'un accompagnement personnalisé, comme un précepteur numérique. Le professeur deviendra alors un guide, un coach, qui aidera l'étudiant à se construire intellectuellement et humainement. C'est une transformation radicale de la pédagogie, mais aussi une immense opportunité.Livre : Ne faites plus d'études, apprendre autrement à l'ère de l'IA (Buchet-Chastel).-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
Dans ce nouvel épisode d'Insight, nous recevons Martin Hamelin, AI Creative Director de The Source. Avec lui, on explore la manière dont l'intelligence artificielle redéfinit les contours de la création. Comment s'intègre-t-elle aujourd'hui à la chaîne de création ? Comment garder une vraie diversité sur les réseaux avec l'IA ? Et surtout, comment préserver l'authenticité, la singularité et l'incarnation ? Enfin, faut-il voir l'intelligence artificielle comme une alliée ou une menace pour la créativité ? Martin nous partage son expertise sur le sujet.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gilles Babinet, multi-entrepreneur, président de Café IA et ancien président du Conseil National du Numérique, est une figure incontournable pour décrypter les enjeux numériques européens. J'ai la chance de connaître Gilles depuis près de 15 ans et, à chaque conversation, je suis toujours frappé par la richesse de sa pensée et la profondeur de ses analyses. Il a ce talent rare de rendre limpide des sujets complexes, sans jamais céder à la facilité ni au sensationnalisme.Dans cet épisode, nous plongeons ensemble dans une réflexion aussi essentielle qu'urgente : celle de la souveraineté numérique. En tant qu'Européens, nous utilisons massivement des services américains ou chinois – des réseaux sociaux à l'IA en passant par le cloud – sans toujours saisir les implications profondes que cela entraîne sur notre liberté de penser, notre démocratie et notre modèle de société.J'ai questionné Gilles sur des sujets qui me tiennent à cœur : la domination des plateformes, le rôle des IA génératives dans la manipulation de l'opinion, le techno-féodalisme, l'inaction européenne, mais aussi les possibles voies de résistance. Nous avons parlé des alternatives européennes, de la culture du risque, de la productivité réelle de l'IA mais également du paradoxe de Solow.C'est un épisode dense, sans concession, mais qui propose aussi des pistes de solutions concrètes. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de critiquer, mais de reprendre le contrôle de notre destin technologique. Bonne écoute !5 citations marquantes“La technologie est le nerf invisible de la puissance.”“Si on ne fait rien, l'Europe disparaîtra en tant qu'acteur numérique.”“Les réseaux sociaux nous contaminent avec la vision du monde de leurs créateurs.”“L'IA n'est pas neutre, elle a une induction programmée.”“Faire, même crado, vaut mieux qu'un rêve parfait.”10 questions posées pendant l'interviewPourquoi l'Europe a-t-elle perdu la course au numérique ?Qu'est-ce que la souveraineté numérique, concrètement ?Comment les réseaux sociaux influencent-ils nos démocraties ?En quoi l'IA aggrave-t-elle ces enjeux ?Peut-on encore construire des alternatives européennes crédibles ?Que révèle le cas Spotify sur nos usages numériques ?Pourquoi les médias deviennent-ils eux aussi “putaclic” ?Comment développer une culture numérique populaire en Europe ?Quel est l'impact réel de l'IA sur la productivité ?L'IA va-t-elle vraiment remplacer massivement les emplois ?Timestamps clés 00:00 – Introduction sur la vassalisation numérique de l'Europe02:15 – Le parcours atypique de Gilles Babinet, autodidacte04:00 – Qu'est-ce que la souveraineté numérique ?08:30 – Trump, Microsoft et les risques de dépendance géopolitique13:30 – L'impact cognitif des réseaux sociaux17:30 – Peut-on concilier démocratie et IA ?20:00 – TikTok et la manipulation électorale24:00 – Le paradoxe de nos choix technologiques (cloud, IA)29:00 – Pourquoi l'Europe n'a pas de champions numériques ?34:00 – IA et productivité : déconstruire les fantasmes42:00 – L'Europe : autostoppeur ou puissance d'avenir ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #348 I.A. entre mythes et réalités avec Tariq Krim (partie 1) (https://audmns.com/cNpkHUt) #302 Quand la technologie se transforme en arme de guerre avec Asma Mhalla (https://audmns.com/oBtUPgb) #178 Les technologies vont-elles nous permettre de faire face au défi climatique? avec Philippe Bihouix (https://audmns.com/ktZSlzb)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le patron de Nvidia, géant américain des puces électroniques, prévient : la Chine pourrait bien remporter la course mondiale à l'intelligence artificielle. Avec une stratégie d'État, des investissements massifs et une capacité d'adaptation impressionnante, Pékin avance vite — pendant que l'Europe cherche encore sa place. En 2017, Pékin a publié une feuille de route très claire : devenir la première puissance mondiale de l'intelligence artificielle d'ici à 2030. Depuis, les investissements se chiffrent en dizaines de milliards de dollars. Selon plusieurs estimations, près de 100 milliards ont été consacrés à l'IA pour la seule année 2025. L'État chinois mobilise tout son écosystème : universités, laboratoires publics, géants du numérique comme Alibaba, Tencent ou Huawei. Et même sur le plan énergétique, Pékin met la main à la pâte. Au début du mois, les autorités ont divisé par deux les factures d'électricité des centres de données utilisant des puces chinoises. Un coup de pouce décisif pour encourager l'adoption nationale. Autre atout, le marché intérieur. Avec plus d'un milliard d'internautes, la Chine dispose d'un réservoir inépuisable de données — le carburant essentiel de l'intelligence artificielle. Chaque nouveau produit d'IA peut être testé à grande échelle, sur des millions d'utilisateurs, en quelques semaines seulement. Et le paradoxe est là. Les sanctions américaines censées freiner Pékin ont en réalité accéléré son autonomie technologique. Privés des puces Nvidia les plus avancées, les ingénieurs chinois ont appris à « faire mieux avec moins » — une IA plus ingénieuse, plus économe et souvent plus efficace. À lire aussiL'intelligence artificielle, une bulle qui gonfle artificiellement la croissance américaine? Une victoire symbolique sur le terrain : l'IA chinoise performe dans le trading Cette puissance ne reste pas théorique. Il y a quelques semaines, une compétition internationale de trading automatisé a opposé plusieurs modèles d'intelligence artificielle du monde entier. Chaque modèle devait investir un capital initial, faire tourner ses algorithmes sur un marché en temps réel et générer du profit. C'est un robot chinois qui a remporté la compétition haut la main. Une victoire symbolique, mais hautement significative. La Chine ne se contente plus de s'inspirer ou de copier les grands modèles américains. Elle les dépasse désormais dans leur mise en application concrète. C'est le signe d'une maturité technologique qui ne cesse de surprendre les observateurs occidentaux. L'Europe cherche sa voie entre régulation et innovation Et pendant que les États-Unis et la Chine s'affrontent, l'Europe peine à suivre le rythme. Alors que se déroule en ce moment le Web Summit de Lisbonne, la commissaire européenne au numérique, Henna Virkkunen, le reconnaît : « Les 27 sont encore trop dépendants des géants américains et chinois ». Pour l'instant, l'Union européenne mise davantage sur la régulation que sur l'investissement. Le AI Act encadre les usages de l'intelligence artificielle, mais aucun grand acteur industriel européen n'émerge encore face à Nvidia, OpenAI ou Alibaba. L'Europe n'est donc pas un concurrent dangereux à court terme. Mais la course est loin d'être terminée. Comme le souligne Jensen Huang, le patron de Nvidia, la Chine a peut-être remporté une bataille, mais pas encore la guerre de l'intelligence artificielle. À lire aussiChute brutale du Nasdaq: va-t-on vers un éclatement de la bulle de l'IA?
durée : 00:03:26 - Un monde connecté - par : François Saltiel - La Cité des Sciences et de l'industrie propose jusqu'à la fin du mois de novembre une exposition interactive et pédagogique autour des différents de l'IA. Visite guidée !
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Et si l'IA pouvait réellement nous aider à travailler mieux, ensemble ? Dans cet épisode, je reçois Hélène Desliens, cofondatrice d'Expertise, facilitatrice en intelligence collective et pionnière des formats hybrides qui combinent humains et IA.Avec elle, on parle design sprint, prise de décision, créativité, biais… et des angles morts que l'intelligence humaine seule ne voit pas toujours.Ce que vous allez entendre :Pourquoi les outils d'IA peuvent améliorer l'écoute et la qualité des échangesComment mieux capter les signaux faibles d'un groupeEn quoi l'IA peut déjouer certains biais cognitifsCe qu'un agent conversationnel bien paramétré peut (vraiment) apporter dans un sprintLes risques d'illusion d'efficacité quand on utilise l'IA sans cadre clairLes nouvelles compétences à développer pour co-faciliter avec une machineÉcoutez cet épisode si vous travaillez en équipe, facilitez des projets ou vous demandez comment marier IA et intelligence humaine sans y perdre du sens.