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Et si l'IA au travail n'était pas tant là pour vous aider… quer pour mieux vous contrôler ?
Amazon, le géant du commerce en ligne a annoncé la suppression de 14 000 postes liée « en grande partie au développement de l'IA » selon l'entreprise. Une annonce qui ravive les craintes dans certaines professions particulièrement exposées, car l'essor de l'intelligence artificielle pourrait avoir de lourdes conséquences sur l'emploi dans le monde. Amazon présente ces 14 000 licenciements comme la première étape d'une vague qui pourrait concerner 30 000 personnes au sein du groupe qui emploie 1,5 million de salariés à travers le monde. Mais le géant du commerce en ligne n'est pas la seule entreprise à avoir annoncé des départs en raison de l'IA. Et si le phénomène reste progressif pour le moment, les effets de l'essor de l'IA se font en effet déjà lourdement sentir en particulier aux États-Unis. Au sein du cabinet de conseil Accenture, 12 000 postes ont été supprimés au cours des trois derniers mois, des employés « qui ne pourront pas apprendre les compétences nécessaires pour utiliser l'IA » selon la direction du groupe, qui a prévenu les autres salariés : ceux qui ne s'adapteront pas à cette nouvelle technologie pourraient subir le même sort. Microsoft, de son côté, a licencié 15 000 employés cette année, et de nombreux observateurs font le lien entre cette cure d'amaigrissement et le déploiement de l'intelligence artificielle. Chez Amazon, les emplois touchés sont pour la plupart dans les bureaux (les « cols blancs ») et non pas dans les entrepôts. Parmi les métiers les plus exposés ce sont logiquement ceux qui reposent sur le traitement de données et les tâches numériques qui peuvent être facilement automatisées, cela concerne donc en particulier l'analyse de données, la comptabilité, tout ce qui est de l'ordre des supports informatiques, mais aussi des services clients, des achats... Le patron de la chaîne américaine de supermarchés Walmart, le plus gros employeur des États-Unis a estimé qu'il ne connaissait pas un seul métier, un seul secteur, qui ne sera pas affecté par l'arrivée de l'IA. À lire aussiComment l'IA a déjà commencé à remodeler le marché du travail « Job apocalypse »? Qu'en est-il vraiment du nombre d'employés menacés ? Plusieurs études vont du scénario le plus optimiste au scénario catastrophe, certaines prédictions parlent même de « job apocalypse ». Mais si l'on s'en tient au rapport de l'Organisation internationale du travail (OIT) datant de 2023, il semblerait qu'environ 2,3% des emplois dans le monde, et jusqu'à 5% dans les pays riches, pourraient, en théorie, être entièrement automatisée par l'intelligence artificielle. L'OIT précise qu'il s'agit d'un potentiel, pas d'une prévision. En revanche, près de 60% des métiers dans le monde sont partiellement exposés à l'automatisation par l'IA, c'est donc plutôt à une évolution de la plupart des métiers qu'il faut s'attendre, et le tsunami de licenciements prévu par certains se traduira plutôt par une adaptation de secteurs entiers. Certains comparent l'arrivée de l'IA sur le marché du travail à celui d'internet, alors l'inconnu est la suivante : quelle sera la rapidité du développement de ce nouveau bouleversement technologique, plusieurs décennies, plusieurs mois ou plusieurs années ? Pour ce qui est de l'IA, tout va déjà très vite et notre capacité à intégrer cette nouvelle donne est la clé pour les employeurs, la formation jouera bien sûr un rôle essentiel. Nécessité de rentabiliser les investissements dans l'IA Au final, il est intéressant de poser la question de savoir de ces annonces de licenciements, sont elles réellement toutes motivées par l'arrivée de l'IA ? Mais l'intelligence artificielle joue certainement un rôle. Si ce n'est en raison de l'automatisation de certaines tâches, c'est a minima en raison d'une nécessité d'amortir les investissements colossaux dans les infrastructures de l'IA. Amazon a ainsi annoncé, dans la foulée de cette vague de licenciements, un investissement de cinq milliards de dollars en Corée du Sud, notamment pour y construire des centres de données IA à horizon 2031. À lire aussiAmazon annonce la suppression de 14 000 postes à travers le monde
Neo, la société norvégienne 1X Technologies, soutenue par OpenAI, promet le premier véritable humanoïde domestique. Haut de 1,67 mètre, élégant et étonnamment fluide, Neo sait marcher, ranger, saisir des objets ou se recharger tout seul. Mais derrière cette prouesse technologique se cache une réalité bien moins autonome : la plupart de ses gestes sont en fait pilotés à distance par un humain en réalité virtuelle.
Dans ce 137ème épisode , je pousse un petit coup de gueule sur l'usage et l'importance qu'on donne aux LLM , quitte à s'oublier et oublier notre valeur.Non, ChatGPT n'est pas là pour faire ton boulot à ta place.Et encore moins pour rédiger ton rapport du lundi matin pendant que tu bois ton latte avoine.L'illusion du stagiaire parfaitDepuis l'arrivée de ChatGPT et des outils d'IA générative, beaucoup ont cru avoir trouvé le stagiaire idéal : jamais fatigué, toujours poli, ultra-productif, et surtout… gratuit.Mais derrière la promesse d'efficacité se cache un risque : confondre délégation et déconnexion.L'IA ne pense pas à ta place — elle imite ta manière de penser quand tu ne sais plus trop où tu vas.Elle génère des textes impeccables, des idées bien formulées, des structures parfaites.Mais elle n'invente rien, elle combine. Elle n'interprète pas, elle prédit.ChatGPT ne comprend pas ce qu'il écrit, il calcule les mots les plus probables pour répondre à ton prompt.Résultat : des contenus souvent fluides, mais creux — de la belle forme sans fond.Les trois grandes limites de ChatGPT (et pourquoi ça compte)1. Le biais du “consensus mou”ChatGPT se nourrit d'immenses volumes de textes, donc de la moyenne des opinions.Autrement dit, il aime ce qui est déjà dit.“Il ne te contredit pas, il te conforte.”Et c'est exactement là que ton sens critique doit reprendre le pouvoir.2. Le biais culturelLe modèle est largement entraîné sur des données anglo-saxonnes.Résultat : un ton parfois “corporate”, des références très américaines, et un léger dépaysement culturel si tu cherches à écrire pour un public francophone sensible au contexte local.3. Le biais de confianceLe plus piégeux : ChatGPT a toujours raison, même quand il a tort.Il te servira une réponse fausse avec un aplomb déconcertant.C'est le collègue qui se trompe souvent, mais parle comme s'il avait un doctorat.Ce que ChatGPT peut (vraiment) faire pour toiLe problème n'est pas l'outil, mais notre manière de l'utiliser.ChatGPT n'est pas ton stagiaire : c'est ton partenaire de réflexion.1. Clarifier tes idéesTu peux lui demander de reformuler ton raisonnement, d'organiser tes arguments, ou d'expliquer ton idée à un enfant de 10 ans.C'est magique pour repérer les trous dans ta logique.2. Explorer des anglesL'IA excelle dans la divergence : elle te propose des pistes que tu n'aurais pas imaginées.Mais c'est à toi de trier, d'interpréter, de choisir celle qui te ressemble.3. Challenger ta penséeDemande-lui :“Quels sont les points faibles de mon raisonnement ?”Et là, tu transformes ChatGPT en outil d'esprit critique.C'est la version augmentée du brainstorming solo.Ce qu'il ne fera jamais aussi bien que toiChatGPT n'a pas de vécu, pas d'émotion, pas de vision du monde.Il ne sait pas pourquoi ton idée compte, ni pour qui tu écris.C'est toi qui portes l'intention. C'est toi qui donnes le ton.L'IA peut servir le plat.Mais c'est toi qui ajoutes le sel.Et dans un monde saturé de contenu généré, ce qui fera la différence, ce n'est pas la productivité, mais la personnalité.Soutenez le podcast :✅ Abonnez-vous à DigitalFeeling sur LinkedIn✅ Rejoignez ma newsletter : substack.com/@elodiechenol✅ Laissez 5 ⭐ sur Apple Podcasts ou Spotify
Et si l'intelligence artificielle n'était que le joli glaçage d'un gâteau finalement indigeste ?L'IA nous semble fluide, intuitive, bluffante. Mais sous cette "couche sucrée" se cache un "mille-feuille" technlogique bien plus complexe… et destructeur.C'est une technologie addictive, extractiviste, et financiarisée que décrit Ophélie Coelho dans cet extrait de notre Trench Tech - All Star.Écoutez l'épisode complet : "ALL STAR n°3 - L'onde de choc IA" ou tapez directement "Trench Tech Ophélie Coelho" dans votre plateforme de podcast
L'Histoire a connu de grands fraudeurs, arnaqueurs, escrocs ou encore manipulateurs… En se faisant passer pour ceux qu'ils n'étaient pas, en créant leur propre système économique frauduleux ou encore en vendant des choses qui ne leur appartenaient pas, nombreux ont été ceux qui ont cherché à se faire de l'argent illégalement.Et c'est leur malice qui a fait leur renommée. Ce sont leurs destins que l'on a souhaité vous raconter dans cette série de podcast appelée Une Fraude Presque Parfaite, imaginée par Finovox. Embarquez donc pour une dizaine de minutes et retracez les grandes histoires de fraudeurs avec Justine Gaget, Content Manager et Podcasteuse. Pour ce nouvel épisode, plongez dans l'incroyable destin d'Amy Bock. De ses premières arnaques à son faux mariage, Amy a tout osé : manipuler, séduire, falsifier, jusqu'à tromper un prêtre et toute une communauté de Nouvelle-Zélande.Derrière cette fraude, c'est une autre histoire qui se dessine : celle d'une femme qui a défié les codes, les genres et les limites de son époque. Partons ensemble à la rencontre d'Amy Bock, la “mariée imposteur” la plus célèbre de Nouvelle-Zélande et découvrons une histoire vraie plus romanesque que la fiction ! ⭐ Si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à le partager sans modération !
Cet épisode, c'est la face cachée du plan anti-salariat : comment j'ai construit un système qui me verse de l'argent en continu, même quand je dors.Je te dévoile les 3 leviers que tout le monde peut activer :1️⃣ L'argent des autres — négocier, emprunter, faire financer ses projets.2️⃣ L'argent exponentiel — faire croître son capital sans y passer des heures.3️⃣ L'argent infini — créer ses propres sources de revenus avec l'IA, le digital et l'immobilier malin.Et ce dimanche, je te montre les chiffres réels derrière ce système (banque, rentas, bourse, crypto, tout).
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En 2014, une étude interne a testé la « contagion émotionnelle » sur 700 000 utilisateurs… sans les prévenir.Un scandale éthique retentissant qui interroge encore notre rapport aux plateformes numériques.La tech entre les lignes, la chronique qui décrypte les articles tech, animée par Louis de Diesbach. ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
L'IA embarque à bord de la SNCF... Comment améliorer l'expérience voyageur ?Optimiser le trafic, anticiper les aléas, fluidifier la maintenance, personnaliser la relation client… L'intelligence artificielle s'invite dans les coulisses de la SNCF.Dans cet épisode des Carnets de l'IA, Manuel Davy reçoit Guillaume Lecoeur, responsable Dev Factory Intelligence Artificielle pour e.SNCF Solutions, pour comprendre comment le groupe met l'IA au service de deux grands leviers de transformation :
En 2022, OpenAI chamboulait Internet en sortant ChatGPT. Trois ans plus tard, l'entreprise américaine fait à nouveau parler d'elle avec une application qui connaît un succès fulgurant : Sora. Ne cherchez pas Sora sur votre smartphone, cette application n'est pas disponible en France. Mais elle a dépassé, en cinq jours, le million de téléchargements aux États-Unis et au Canada, les deux seuls pays où ce service a été lancé en avant-première.Dans ce nouvel épisode de Questions Tech, la journaliste Chloé Woitier vous fait découvrir cette nouvelle application créée par l'intelligence artificielle OpenAI. Et n'oubliez pas : dans la Tech, il n'y a pas de questions bêtes !Vous pouvez retrouver Questions Tech sur Figaro Radio, le site du figaro.fr et sur toutes les plateformes d'écoute.Chronique et rédaction : Chloé WoitierMontage : Astrid LandonPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Paul Pinault, CEO de DM91.tech, explique concrètement ce qu'est l'IoT et démontre comment il devient une commodité dans l'industrie : la vraie valeur se joue désormais dans la donnée et l'optimisation des procédés. À travers des exemples concrets et une plongée dans les technologies, il illustre comment capteurs et réseaux rendent enfin accessible la collecte de données à grande échelle. Une évolution qui transforme l'usine en un système piloté par la donnée et orienté performance.Hosted by Ausha. See ausha.co/privacy-policy for more information.
L'intelligence artificielle peut-elle être à la fois solution et problème dans la lutte contre le changement climatique ? C'est la question que Philippe Cordier, Chief AI Scientist chez Capgemini Invent, cherche à résoudre au quotidien.Dans cet épisode, il nous présente son simulateur d'empreinte environnementale des IA : un outil qui évalue la consommation en eau, en énergie et en ressources depuis la fabrication des cartes graphiques jusqu'à leur utilisation dans les data centers. Philippe partage aussi la philosophie de son équipe recherche et innovation : vingt collaborateurs qui mélangent compétences scientifiques, techniques et métiers pour créer des solutions durables. Entre hackathons, projets de recherche et missions clients, il nous explique pourquoi la créativité et la résilience sont essentielles pour faire avancer l'innovation responsable.
Concurrence déloyale, recours aux œuvres d'autrui sans autorisation, accusations de plagiat ou tout simplement de nivellement de l'art par le bas : ce ne sont que quelques-uns des arguments utilisés pour dénoncer l'usage de l'intelligence artificielle dans l'art. Les appels à réguler, voire à renoncer à l'IA se multiplient. Et dans le même temps, certains artistes utilisent l'IA de plus en plus. Leurs créations finissent parfois aux enchères ou dans les musées. Avec parfois des polémiques : sont-ils de faux artistes voire des traîtres à la cause artistique ? Pour en débattre - Hugo Caselles-Dupré, chercheur en Intelligence artificielle et co-fondateur du collectif Obvious - Alexandre Gefen, directeur de recherche au CNRS, commissaire d'exposition, directeur de l'ouvrage Créativités artificielles – La littérature et l'art à l'heure de l'intelligence artificielle, éditions Les Presses du réel.
Concurrence déloyale, recours aux œuvres d'autrui sans autorisation, accusations de plagiat ou tout simplement de nivellement de l'art par le bas : ce ne sont que quelques-uns des arguments utilisés pour dénoncer l'usage de l'intelligence artificielle dans l'art. Les appels à réguler, voire à renoncer à l'IA se multiplient. Et dans le même temps, certains artistes utilisent l'IA de plus en plus. Leurs créations finissent parfois aux enchères ou dans les musées. Avec parfois des polémiques : sont-ils de faux artistes voire des traîtres à la cause artistique ? Pour en débattre - Hugo Caselles-Dupré, chercheur en Intelligence artificielle et co-fondateur du collectif Obvious - Alexandre Gefen, directeur de recherche au CNRS, commissaire d'exposition, directeur de l'ouvrage Créativités artificielles – La littérature et l'art à l'heure de l'intelligence artificielle, éditions Les Presses du réel.
Et si l'intelligence artificielle avait signé l'arrêt de mort du modèle éducatif traditionnel ? Dans leur essai provocateur "Ne faites plus d'études !" (Buchet-Chastel), Olivier Babeau et Laurent Alexandre tirent la sonnette d'alarme : face à une IA devenue omniprésente. Selon eux, le diplôme ne garantit plus rien, et les longues études risquent de former à des compétences déjà dépassées. L'enjeu n'est plus d'être le meilleur élève, mais de comprendre les machines avant qu'elles ne nous remplacent. Entretien avec Olivier Babeau, président de l'institut Sapiens, et coauteur du livre « Ne faites plus d'études ! ». Ecorama du 27 octobre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Au menu du Journal de la tech cette semaine : un appel à stopper la course au développement de l'IA, Mistral AI qui déménage et s'agrandit, les startups ont supprimé plus d'emplois qu'elles n'en ont créés, Octave Klaba is back chez OVHcloud et Showroomprivé qui cède The Bradery à ses fondateurs. Ecorama Tic Tech du 23 octobre 2025, présenté par Aude Kersulec et Julien Khaski, rédacteur en chef de Maddyness sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Frédéric Raillard est le cofondateur de l'agence créative internationale Fred & Farid, présente à Paris, Shanghai, Los Angeles et New York. Entrepreneur nomade et fin observateur des mutations culturelles, il a traversé plusieurs continents pour construire un modèle d'agence unique, adapté aux nouveaux enjeux du monde contemporain.Comme je viens du marketing et du monde des agences, je connais Fred depuis quasi les débuts de l'agence.Ce n'est donc pas une découverte entre nous.Je sors un peu des épisodes sur le "care" dans cet épisode pour me concentrer sur d'autres sujets : l'international, le monde des agences et l'impact de l'I.A..Dans cet épisode, nous parlons de son parcours entrepreneurial, de ses expériences en Chine et aux États-Unis, mais surtout, de sa réflexion profonde sur l'intelligence artificielle et son impact sur les métiers créatifs.J'ai questionné Frédéric sur les différences culturelles entre la Chine, les États-Unis et l'Europe, son modèle d'agence « accordéon », sa gestion des équipes en mode freelance, mais aussi sur sa vision de l'IA, entre enthousiasme technologique et crainte existentielle.Avec une lucidité rare, il évoque les transformations de nos sociétés face à l'IA, la place du créatif dans ce nouveau monde, et la nécessité d'une IA « artisanale » pour préserver nos qualités humaines.Un échange dense et terriblement actuel.5 citations marquantes« L'IA, ce n'est pas une révolution, c'est un changement de civilisation. »« Intelligence is free. Et ça, c'est vertigineux. »« On est passé d'un monde Atlantic Time à un monde Pacific Time. »« La Chine est un peuple de pivoteurs, les champions du test and learn. »« On a fait la promotion des humains-machines, maintenant les vraies machines arrivent. »10 questions structurées posées dans l'interviewPeux-tu nous donner des chiffres sur Fred & Farid ?Comment fonctionnent les agences en Chine par rapport à la France ou aux États-Unis ?Quelle est ta lecture de la culture chinoise dans le business ?Qu'as-tu appris des modèles américains ?Comment s'est passée ta découverte de l'intelligence artificielle ?Quelle est ta vision actuelle de l'IA dans le monde créatif ?Quels sont les risques pour les cols blancs face à l'IA ?Comment l'agence s'adapte-t-elle à cette révolution ?Quelle est la différence entre l'approche chinoise et américaine face à la tech ?Que signifie pour toi une « IA artisanale » ?Récapitulatif des timestamps clés00:00 – Introduction et présentation de Frédéric Raillard01:30 – Chiffres clés et modèle économique de Fred & Farid03:40 – Travail et différences culturelles en Chine08:00 – Vitesse d'exécution en Chine vs. US13:00 – Transition vers les États-Unis et culture américaine du business23:50 – Découverte de l'IA et choc personnel30:00 – Création de AI Imagination et nouvelle dynamique d'agence38:40 – Impact de l'IA sur les entreprises et les cols blancs44:30 – L'humanoïde et le futur des métiers matériels48:00 – Vers une IA plus humaine, artisanaleHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours à 6h46, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Le Morning, sur RMC.
Dans cet épisode de Connected Mate, PPC et Alexandre plongent ensemble dans ChatGPT Atlas, le tout nouveau navigateur propulsé par l'intelligence artificielle d'OpenAI.Ce n'est pas un simple navigateur. C'est un agent d'interface qui comprend, agit, mémorise… et surtout, qui scrolle à votre place. PPC et Alexandre analysent cette nouvelle interface révolutionnaire : comment elle transforme notre rapport au web, ce qu'elle change concrètement pour les utilisateurs et ce qu'elle implique pour les entreprises.Ensemble, ils explorent les fonctionnalités clés (mode agent, mémoire, chat intégré), les enjeux de design, de confiance, d'usage, mais aussi les perspectives pour les managers et les responsables IT. Un échange riche, lucide, qui anticipe le web augmenté par l'IA.Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette chronique, Thomas Renard explore les capacités de Sora, une intelligence artificielle qui génère des vidéos ultra réalistes. Il met en garde contre les risques de confusion entre vraies et fausses vidéos, notamment à cause d'outils qui manipulent le logo de Sora. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si l'IA ne réconciliait pas le public avec l'information, mais achevait de le faire fuir ?Avant même ChatGPT, les journalistes étaient parmi les professions les plus détestées de France. Désormais, l'IA accélère la méfiance, la fatigue informationnelle, et pousse à l'exode médiatique.C'est ce que dénonce François Saltiel dans cet extrait percutant, enregistré en public lors de l'événement Trench Tech - All Star.L'IA amplifierait les mécanismes de désinformation, en rendant encore plus difficile le lien entre médias et citoyens.Écoutez l'épisode complet : "ALL STAR n°3 - L'onde de choc IA"ou tapez directement "Trench Tech François Saltiel" dans votre plateforme de podcast
Cette semaine : navigateur IA Atlas, panne massive AWS, l'IA à la française chez Kyutai, casque Samsung XR, test de l'iPhone Air.
Qui aujourd'hui ne connaît pas OpenAI ?Et quelle fierté de voir une Française rejoindre sa direction : Fidji Simo.Quand je l'ai reçue dans PAUSE, elle était encore à la tête d'@Instacart. Je me souviens m'être dit en sortant du studio : "Cette femme ira encore plus loin." Et c'est exactement ce qu'elle a fait.Cette semaine, je vous invite à comprendre d'où tout est parti... À Sète, dans le sud de la France. Fille d'un pêcheur et d'une commerçante, Fidji n'avait rien d'une insider de la tech américaine.Mais à force de travail, d'instinct et d'audace, elle a gravi tous les échelons :Facebook, où elle devient vice-présidente.Instacart, qu'elle dirige jusqu'à l'introduction en bourse.Et aujourd'hui, OpenAI, le laboratoire le plus scruté du monde.Dans cet épisode, Fidji m'avait parlé avec une sincérité rare de son parcours, de ses doutes, de la peur de ne pas être légitime, de la culture du risque et de ce que ça veut dire, vraiment, diriger sans renier ses valeurs.Ensemble, on évoque les codes (et les pièges) de la Silicon Valley, de la culture du risque (et de l'échec), et de pourquoi l'ambition, parfois, c'est une forme de courage. Un témoignage inspirant, visionnaire et terriblement d'actualité qui m'avait beaucoup marqué,Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Grokipedia, Elon Musk jure de détrôner Wikipedia, fleuron de l'accès au savoir et du partage de connaissances sur internet. Quelle crédibilité accorder à une encyclopédie en ligne propulsée par l'IA ? Le milliardaire américain n'est pas seul à s'en prendre à Wikipedia. Les attaques informationnelles se multiplient à l'encontre de l'encyclopédie en ligne, alors que celle-ci s'apprête à fêter ses 25 ans d'existence. Le lancement de Grokipedia, une nouvelle encyclopédie en ligne, propulsée par l'intelligence artificielle est imminent ! Annonce faite par Elon Musk cette semaine. Le patron de xAi en profite pour tacler Wikipedia, qu'il accuse de partialité. Avec nos invités, nous revenons sur cette cabale anti-Wikipedia. Le milliardaire américain n'est pas seul à s'en prendre à cette entreprise de partage du savoir en ligne. Des initiatives visant à modifier les articles par effraction, sont régulièrement détectées. Comment l'encyclopédie en ligne, indétrônable depuis bientôt un quart de siècle résiste-t-elle à ces attaques informationnelles ? Nos invités sont Rémy Gerbet, directeur exécutif de Wikimedia France, Jordan Ricker, directeur des opérations d'Opsci.ai, une PME française spécialiste de la lutte informationnelle, et Marc Fadoul, chercheur en Intelligence artificielle, spécialiste des systèmes de recommandation. L'organisation qu'il a co-fondée, AI Forensics enquête sur l'influence opaque des algorithmes. Autre bataille de géants du numérique et de l'intelligence artificielle : Sam Altman, le patron d'Open Ai a lancé ce mardi (21 octobre 2025) Atlas. Le nouveau navigateur entièrement construit sur Chat GPT s'attaque lui à la suprématie de Google chrome. Marc Fadoul évoque les risques que comporte cette volonté de puissance des IA génératives, qui tentent de sortir du simple rôle de chatbot ou agent conversationnel. Enfin, côté images, ce sont les vidéos de Sora 2 qui déboulent sur les réseaux sociaux. Avec elles, de quoi bien s'amuser mais aussi désinformer en masse. Un cap est franchi dans le perfectionnement des IA génératives d'images, c'est la chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Sora 2: le générateur de vidéos par IA qui a tout pour devenir une usine à infox.
À l'ère de l'intelligence artificielle (IA) générative, le contenu numérique explose, créant un surplus d'informations difficiles à vérifier, qu'il s'agisse de vidéos truquées avec des célébrités ou de fausses identités en ligne. Des entreprises s'appuient sur la crypto pour créer une identité numérique. C'est le cas de la start-up française Ledger, qui s'appuie sur le "donjon" : un espace dans lequel les hackers simulent des attaques pour révéler les vulnérabilités pour mieux les corriger.
Entre innovation, performance et respect du consentement, comment concilier efficacité publicitaire, transparence et explicabilité des algorithmes d'intelligence artificielle ?France Charruyer reçoit Liva Ralaivola, directeur du Criteo AI Lab, pour explorer les tensions entre recherche, éthique et business : détection des biais, gouvernance de l'IA, nouvelles places de marché de la donnée… et les dilemmes d'un marketing responsable à l'ère de l'automatisation.Liva RalaivolaLiva Ralaivola est Vice-Président Recherche chez Criteo et dirige le Criteo AI Lab, le laboratoire d'intelligence artificielle de l'entreprise. À la tête d'une équipe de plus de 100 chercheurs et ingénieurs, il pilote les travaux de recherche et d'innovation en IA ainsi que leur intégration dans les produits de Criteo.Entré chez Criteo en 2018 comme chercheur à temps partiel, il y a pris la direction de la recherche en 2019. Parallèlement, Liva Ralaivola est professeur à l'Université d'Aix-Marseille (AMU), où il contribue activement au développement de la recherche académique en apprentissage automatique.France CharruyerFrance Charruyer est fondatrice d'Altij & Oratio Avocats, réseau Baker Tilly, avocate en propriété intellectuelle, technologies de l'information et protection des données, DPO / AI Officer. Présidente de l'association d'intérêt général Data Ring, fondatrice du Lab IA Data Ring, elle s'engage activement pour une gouvernance éthique et responsable des données, au service d'une innovation durable et sécurisée.Elle est chargée d'enseignement à l'INSA sur les enjeux de l'IA de confiance, et intervient à l'Université Paris-Dauphine dans le cadre du D.U. RGPD et délégué à la protection des données. Elle enseigne également à l'Université Toulouse 1 Capitole (Master II DJCE – Master II Propriété Intellectuelle) ainsi qu'à Toulouse Business School (TBS) sur la gouvernance des données, les cyber-risques, et les enjeux liés à l'entrepreneuriat et aux startups.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Grokipedia, Elon Musk jure de détrôner Wikipedia, fleuron de l'accès au savoir et du partage de connaissances sur internet. Quelle crédibilité accorder à une encyclopédie en ligne propulsée par l'IA ? Le milliardaire américain n'est pas seul à s'en prendre à Wikipedia. Les attaques informationnelles se multiplient à l'encontre de l'encyclopédie en ligne, alors que celle-ci s'apprête à fêter ses 25 ans d'existence. Le lancement de Grokipedia, une nouvelle encyclopédie en ligne, propulsée par l'intelligence artificielle est imminent ! Annonce faite par Elon Musk cette semaine. Le patron de xAi en profite pour tacler Wikipedia, qu'il accuse de partialité. Avec nos invités, nous revenons sur cette cabale anti-Wikipedia. Le milliardaire américain n'est pas seul à s'en prendre à cette entreprise de partage du savoir en ligne. Des initiatives visant à modifier les articles par effraction, sont régulièrement détectées. Comment l'encyclopédie en ligne, indétrônable depuis bientôt un quart de siècle résiste-t-elle à ces attaques informationnelles ? Nos invités sont Rémy Gerbet, directeur exécutif de Wikimedia France, Jordan Ricker, directeur des opérations d'Opsci.ai, une PME française spécialiste de la lutte informationnelle, et Marc Fadoul, chercheur en Intelligence artificielle, spécialiste des systèmes de recommandation. L'organisation qu'il a co-fondée, AI Forensics enquête sur l'influence opaque des algorithmes. Autre bataille de géants du numérique et de l'intelligence artificielle : Sam Altman, le patron d'Open Ai a lancé ce mardi (21 octobre 2025) Atlas. Le nouveau navigateur entièrement construit sur Chat GPT s'attaque lui à la suprématie de Google chrome. Marc Fadoul évoque les risques que comporte cette volonté de puissance des IA génératives, qui tentent de sortir du simple rôle de chatbot ou agent conversationnel. Enfin, côté images, ce sont les vidéos de Sora 2 qui déboulent sur les réseaux sociaux. Avec elles, de quoi bien s'amuser mais aussi désinformer en masse. Un cap est franchi dans le perfectionnement des IA génératives d'images, c'est la chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Sora 2: le générateur de vidéos par IA qui a tout pour devenir une usine à infox.
Dans cet épisode, on change les règles du jeu.C'est une intelligence artificielle, Olivia, qui prend les commandes et interviewe PPC, l'animateur habituel de Connected Mate.Oui, une IA qui pose les questions, et un humain qui y répond.Pourquoi cette inversion ? Parce que cela incarne parfaitement le propos du nouveau livre de PPC, « Réinventez votre entreprise à l'ère de l'IA », écrit en compagnonage avec une IA. La préface est de Serge Papin, ancien PDG du groupe Système U et Ministre. L'ouvrage est disponible à la commande sur Amazon https://amzn.to/4gT84ibDans cet échange, PPC revient sur son expérience d'écriture en binôme avec une machine, sur ce que l'IA révèle de nous, sur la manière dont elle transforme les pratiques managériales. Un épisode qui interroge notre rapport à la vitesse, au discernement, à la clarté… et surtout à notre humanité dans un monde technologique en accélération. Une conversation miroir à ne pas manquer.Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si le cyberharcèlement n'était pas qu'une violence interpersonnelle, mais un "projet véritablement organisé" ? Mené par des agences d'influence (comme dans l'affaire du PSG/Neymar), elles inscrivent dans une véritable logique politique, nous dit Laure Salmona, directrice de l'association féministe contre le cyberharcèlement.Manque de volonté politique. Manque de budget alloué à la lutte et à l'accompagnement des victimes. Ces violences, systémiques et politiques, visent selon Laure à "faire taire" les femmes et les groupes minorés. Conséquence directe sur la liberté d'expression : 76% des femmes victimes de cyberviolence s'autocensurent en ligne. Et ainsi, elles se retirent progressivement du débat démocratique au profit des contenus masculins et masculinistes. Ecoutez l'épisode complet : → https://smartlink.ausha.co/trench-tech/cyberviolence-67-des-plaintes-refusees-scandale-ou-fatalite-laure-salmona(c) Trench Tech, LE podcast des « Esprits Critiques pour une Tech Éthique »Épisode enregistré le 04/09/2025---
Et si on s'intéressait au profil des cybers agresseurs ? Dans 74% des cas, il s'agit d'hommes, présents dans toutes les tranches d'âge et les couches de la société ! Du harceleur de 50 ans sur LinkedIn au jeune gamer sur Twitch. Laure Salmona, directrice de l'association féministe contre le cyberharcèlement, souligne que cette violence, loin du cliché du "nerd boutonneux", est extrêmement banalisée, comme en témoigne la philosophie du mouvement Incel (faisant référence à l'affaire Elliot Roger). La normalisation de ces actes a été aggravée par le manque d'outils sur les plateformes Web 2.0.Pire, le doxing (diffusion de données personnelles) illustre la gravité de la menace : dans 72% des cas, les cyberviolences se poursuivent par des actes de violence dans le monde réel...Ecoutez l'épisode complet : → https://smartlink.ausha.co/trench-tech/cyberviolence-67-des-plaintes-refusees-scandale-ou-fatalite-laure-salmona(c) Trench Tech, LE podcast « Esprits Critiques pour Tech Éthique »Épisode enregistré le 04/09/2025---
L'intelligence artificielle (IA) ne se contente pas de bousculer les technologies. Pour beaucoup d'États africains, cette technologie devrait redessiner le futur du continent africain. L'IA pourrait permettre de répondre efficacement à certains des maux les plus pressants, en compensant les lacunes des systèmes éducatifs et de santé, en améliorant les rendements agricoles ou en facilitant l'accès aux services financiers pour une population encore largement exclue du système bancaire. Pour autant, plusieurs questions demeurent, le continent peut-il prendre part à la révolution en cours, tout en partant avec un certain temps de retard ? L'IA peut-elle devenir un facteur de développement pour l'Afrique ou, au contraire, représente-t-elle un obstacle à son indépendance économique ? Cette émission est une rediffusion du 11 septembre 2025. Avec : • Thomas Melonio, chef économiste, directeur exécutif de l'Innovation, de la stratégie et de la recherche, Agence française de développement (AFD) • Paulin Melatagia Yonta, enseignant-chercheur en Informatique à l'Université de Yaoundé 1 • Ismaïla Seck, ingénieur et docteur en informatique. Enseignant chercheur en Intelligence artificielle à Dakar American University of Science & Technology et entrepreneur. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, Thibault tâchera de comprendre comment l'IA peut nous aider à bien nous organiser ? Programmation musicale : ► No.1 - Tyla Ft. Tems ► Katam - Diamond Platnumz.
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'intelligence artificielle (IA) ne se contente pas de bousculer les technologies. Pour beaucoup d'États africains, cette technologie devrait redessiner le futur du continent africain. L'IA pourrait permettre de répondre efficacement à certains des maux les plus pressants, en compensant les lacunes des systèmes éducatifs et de santé, en améliorant les rendements agricoles ou en facilitant l'accès aux services financiers pour une population encore largement exclue du système bancaire. Pour autant, plusieurs questions demeurent, le continent peut-il prendre part à la révolution en cours, tout en partant avec un certain temps de retard ? L'IA peut-elle devenir un facteur de développement pour l'Afrique ou, au contraire, représente-t-elle un obstacle à son indépendance économique ? Cette émission est une rediffusion du 11 septembre 2025. Avec : • Thomas Melonio, chef économiste, directeur exécutif de l'Innovation, de la stratégie et de la recherche, Agence française de développement (AFD) • Paulin Melatagia Yonta, enseignant-chercheur en Informatique à l'Université de Yaoundé 1 • Ismaïla Seck, ingénieur et docteur en informatique. Enseignant chercheur en Intelligence artificielle à Dakar American University of Science & Technology et entrepreneur. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, Thibault tâchera de comprendre comment l'IA peut nous aider à bien nous organiser ? Programmation musicale : ► No.1 - Tyla Ft. Tems ► Katam - Diamond Platnumz.
Beaucoup d'entrepreneurs et de professionnels travaillent fort. Mais sans s'en rendre compte, ils commettent des erreurs de productivité qui leur font perdre du temps, de l'argent et de l'énergie chaque semaine.Le problème? Le monde du travail a changé. Aujourd'hui, la productivité ne se mesure plus à la quantité de travail abattu… Mais à la qualité de tes systèmes, à ta capacité à collaborer avec l'intelligence artificielle et à automatiser stratégiquement. Dans cet épisode, je te dévoile 5 erreurs de productivité qui coûtent cher — même aux meilleurs — et surtout comment les éviter grâce à une approche plus moderne, alignée avec les outils d'aujourd'hui.LIENS ET RESSOURCES MENTIONNÉES :Inscris-toi à la formation "Automatisation Facile"Épisode 250: Je gagne un temps fou grâce à ces automatisations (découvre-les)Épisode 252: Comment te débarrasser des tâches répétitives ennuyantesÉpisode 253: 3 mythes qui t'empêchent d'automatiserDes questions ou commentaires en lien avec cet épisode?
Mon agneau, tu cherches à mettre de l'équilibre dans ta vie? Pro/perso, tu veux la bonne équation? ARRÊTE TOUT DE SUITE! D'après le bouquin que je suis en train de lire en ce moment (The Perfectionist's Guide to Losing Contro ou, en français, Perfectionnistes), on se trompe d'objectif. Je t'explique comment l'autrice, Katherine Morgan Schafler, voit les choses. Je suis de plus en plus d'accord avec elle. Tu me diras ce que tu en penses? Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
Portée par des investissements colossaux, l'intelligence artificielle (IA) fait aujourd'hui tourner la machine économique américaine. Mais cette frénésie, comparable à une bulle spéculative, pourrait bien n'être qu'un souffle artificiel sur la croissance des États-Unis. L'intelligence artificielle, dont on parle presque chaque jour, attire des investissements absolument colossaux et des valorisations d'entreprises hors normes. Mais le revers de la médaille, c'est que cette effervescence fait planer le spectre d'une bulle spéculative sur l'économie américaine. Même les géants du secteur s'en inquiètent. Sam Altman, patron d'OpenAI, et Jeff Bezos, fondateur d'Amazon, reconnaissent tous deux que le marché de l'IA est probablement entré dans une phase d'excès. Selon la banque Morgan Stanley, 3 000 milliards de dollars seront investis dans des centres de données d'ici à 2029. Et la dynamique est déjà bien lancée. Les « Sept Magnifiques » – Microsoft, Amazon, Google, Meta, Apple, Nvidia et Tesla – ont dépensé plus de 350 milliards de dollars cette année pour des projets liés à l'IA sur le sol américain. Ces sommes gigantesques soutiennent clairement la croissance du pays. D'après la Deutsche Bank, sans ces investissements technologiques, les États-Unis seraient déjà en récession. En clair, ce sont aujourd'hui les chantiers d'infrastructures de l'IA – data centers, réseaux et serveurs – qui maintiennent la croissance américaine à flot. À lire aussiL'intelligence artificielle, moteur ou frein de l'activité boursière? Des promesses de productivité encore très théoriques Mais une fois ces gigantesques sites sortis de terre, une question se pose : d'où viendra la croissance ? Les économistes et les grands patrons comptent sur les gains de productivité promis par les outils d'IA comme ChatGPT, Copilot ou Perplexity. L'idée est simple : un salarié aidé par l'intelligence artificielle serait plus efficace, accomplirait davantage de tâches et, finalement, générerait plus de valeur pour son entreprise – donc pour l'économie. Mais pour l'heure, cela reste largement théorique. Une étude récente du MIT menée sur 300 entreprises ayant intégré des outils d'IA montre que 95 % d'entre elles n'ont observé aucun retour sur investissement. Oui, il y a des gains de productivité individuelle, mais aucun effet réel sur les bénéfices. Les entreprises veulent croire à un effet différé, sur le long terme, mais l'attente crée de l'incertitude – et donc de la fragilité pour la croissance américaine. À lire aussiL'intelligence artificielle, nouvel atout caché des salariés Une économie sous perfusion technologique Car aujourd'hui, l'économie américaine repose largement sur l'investissement technologique. Les marchés boursiers sont dopés par la promesse de l'IA, tandis que la dette des entreprises gonfle pour suivre la cadence. Et la question demeure : jusqu'à quand ce rythme peut-il tenir ? Si le cycle d'investissement venait à s'interrompre, c'est tout l'édifice bâti autour de l'intelligence artificielle qui risquerait de vaciller. Pour l'instant, beaucoup d'argent est dépensé sans retour immédiat, et l'IA n'a pas encore prouvé qu'elle pouvait devenir un moteur durable de croissance. Reste donc à savoir si l'intelligence artificielle sera le nouvel élan économique des États-Unis ou simplement une bulle technologique de plus. Une chose est sûre : avec une technologie fondée sur la rapidité et l'immédiateté, il faudra paradoxalement faire preuve de patience.
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PPC et Alexandre partent à la découverte de Sora 2, le nouvel outil d'OpenAI qu'Alexandre a pu tester en avant-première. Sora 2, c'est quoi ? Un générateur de vidéos ? Un mini TikTok boosté à l'IA ? Une app sociale déguisée ? On parle de tout ça et bien plus.Alexandre raconte comment il a généré une vidéo en 2 minutes 30, pour un résultat à 1,5 million de vues sur TikTok. Il détaille son processus, les ressorts de la viralité, les premiers codes culturels de la plateforme, mais aussi les dérives possibles : usurpation d'identité, dérives éthiques, pièges attentionnels, et la place grandissante d'une économie des avatars.Mais derrière l'exploit techno, des questions profondes émergent : qui contrôle ton image ? Quid du consentement, de l'effacement, de l'usage commercial de ta voix ou de ton visage ? Est-ce la nouvelle ère des deepfakes banalisés ?Un échange en droite ligne de ce que nous aimons explorer dans Connected Mate : les usages, les mutations, les enjeux culturels, et les zones d'ombre d'un futur déjà présent.Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'intelligence artificielle pourrait devenir la force nucléaire du XXIè siècle, émergeant comme la rupture technologique qui va transformer la guerre de demain. Son intégration progressive au cœur des nouvelles technologies militaires est déjà en train de modifier la nature du combat moderne. Sur les terrains actuels – que ce soit dans le conflit russo-ukrainien ou dans la confrontation israélo-palestinienne- l'utilisation massive de drones et de capteurs génèrent un tel flot de données qu'il ne peut plus être géré par l'humain seul. L'intelligence artificielle devient dès lors indispensable pour analyser les données et répondre aux besoins tactiques en temps réel. Les algorithmes de l'IA jouent un rôle éminent dans les systèmes d'armement et au-delà dans les processus de décision, particulièrement dans un contexte où les acteurs privés prennent une part croissante dans le développement technologique. États et industries de défense sont-ils préparés pour la rupture technologique qui les attend ? Quels risques pour notre autonomie stratégique ? Émission enregistrée à Toulon dans le cadre des Rencontres Stratégiques de la Méditerranée. FMES/FRS. Invités L'Amiral Pascal Ausseur, directeur général de la Fondation Méditerranéenne d'Études Stratégiques Frédéric Coste, maître de recherches à la Fondation pour la Recherche Stratégique Jean-Christophe Charles, ancien officier dans la Marine nationale française. A travaillé 15 années dans l'industrie de défense innovante. Chercheur associé à la FMES.
Éric Sadin : Philosophe, penseur technocritique.
ChatGPT, reconnaissance faciale, radiologie médicale, IA générative d'image ou de musique… L'intelligence artificielle est partout et son utilisation se généralise chez le grand public et les professionnels. Mais pour quels usages ? Avec quels risques et quels bénéfices ? Et comment fonctionnent, au juste, ces systèmes de machines intelligentes ?Olivier Cappé, directeur de recherche au CNRS répond à toutes nos questions dans cet épisode de Code Source. Il a dirigé l'écriture d'un petit guide illustré paru en mai dernier : « Tout comprendre (ou presque) sur l'intelligence artificielle ». Pour ce court guide facile à parcourir, il a collaboré avec l'illustratrice et médiatrice scientifique Claire Marc dans une volonté de vulgariser le savoir sur ces technologies de plus en plus répandues.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Production et réalisation : L'équipe de Code Source - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.