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A Abidjan, les habitants de Trechville étouffent sous la poussière de cincker. Sur TikTok, un activiste a décidé de raconter le quotidien des réfugiés dans la province d'Idlib en Syrie, où l'espoir d'un autre avenir a presque disparu.
How could I ever knowI would find myself aloneFacing your daemons as well as mineWishing for the past that words cannot find.But somewhere in the nightThe music in my mind comes aliveI hear love's haunting lullaby.And it sings of a time we once knewA time when all I could breathe was youBut seasons never remain the perfect shadeOur love's not the same so we mustChange...change...change
I hate that kind of wrong affectionI ain't ready to talk at allIt's all lies, misunderstandingsI'm all alone in the main hall
Les travaux d’équipement du second terminal à conteneurs du port d’Abidjan ont débuté le 4 octobre pour une durée de 18 mois. Avec ses nouvelles structures, les activités portuaires devraient plus que doubler à partir de fin 2021, début 2022.
Les travaux d’équipement du second terminal à conteneurs du port d’Abidjan ont débuté le 4 octobre pour une durée de 18 mois. Avec ses nouvelles structures, les activités portuaires devraient plus que doubler à partir de fin 2021, début 2022. L’intensité des activités du port autonome d’Abidjan, principale infrastructure pour le commerce de la Côte d’Ivoire avec l’extérieur, donne une indication sur le dynamisme de l’économie ivoirienne. Hien Sié, son directeur général, déclare : « Le port d’Abidjan fait 76% des échanges extérieurs et c’est au port d’Abidjan que sont perçus 75% des droits d’entrée [taxes, ndlr] au niveau de l’État de Côte d’Ivoire. Si le port ne fonctionne pas, l’économie va prendre un coup. Donc, c’est un instrument important. » Au niveau sous régional, d’autres terminaux portuaires concurrencent le port autonome d’Abidjan, mais il a des atouts à faire valoir. « Aujourd’hui, par le fait que nous avons un chemin de fer qui relie Abidjan à Ouagadougou – et qui j’espère sera prolongé un jour à Niamey –, cela fait qu’en termes de facilité pour les opérateurs de l’hinterland, le port d’Abidjan est un atout principal. C’est vrai qu’il y a aussi d’autres débouchés, mais les opérateurs aiment bien venir à Abidjan. Parce qu’ils arrivent chargés et d’Abidjan en étant aussi chargés, parce qu’il y a de quoi ravitailler les économies sous régionales », ajoute Hien Sié. Vers un traitement de 2,5 million de conteneurs par an Le port autonome d’Abidjan, c’est tout un complexe avec un terminal roulier qui traitera bientôt 110 000 véhicules par an, un terminal céréalier, encore en construction, permettra d’accueillir des navires de 60 000 tonnes contre 30 000 tonnes aujourd’hui. Mais le projet le plus emblématique, c’est la construction d’un 2e terminal à conteneurs, qui aura une capacité de traitement de 1,5 million de conteneurs par an, permettant au port autonome d’Abidjan de changer de dimensions : le premier terminal ne peut traiter qu’un million de conteneurs. La concession du deuxième a été confiée à « Côte d’Ivoire-Terminal », propriété du consortium Bolloré Ports et APM Terminal, filiale du Groupe Maersk. « Nous souhaitons favoriser les échanges intra-africains, participer à la création d’écosystèmes logistiques performants et soutenir le développement des industries de transformation locale », ditPhilippe Labonne, directeur général adjoint de Bolloré Transport & Logistics. Puis d’ajouter : « L’appel d’offres à la mise en concession de cette infrastructure stratégique pour le développement de la Côte d’Ivoire a été l’occasion pour nous, pour 2 leaders mondiaux, de mettre en commun le fruit de no expertises, afin de proposer une offre audacieuse, à même d’accroître l’attractivité du port d’Abidjan. APM Terminal et Bolloré Ports ont l’ambition de créer un hub de transbordement pour les pays côtiers limitrophes, ainsi qu’une porte d’entrée naturelle de la sous-région. » Le port autonome d’Abidjan représente aujourd’hui 75 000 emplois directs et indirects. Le 2e terminal à conteneurs s’étend sur 37,5 hectares, une superficie équivalente à 37 terrains de football. Son financement total, fruit d’un partenariat public-privé, est de 596 milliards de francs CFA, soit environ 910 millions d’euros.
En Côte d'Ivoire, la gestion de la crise sanitaire est à deux vitesses et le confinement peut se résumer à l'isolement de la ville d'Abidjan, la capitale économique. Et même à Abidjan, le respect des mesures de protection est plus lâche dans les quartiers populaires. Sur le marché du travail, c'est la banqueroute des chefs de file du secteur informel qui ont du mal à survivre dans les centres urbains du pays. Quel impact sur les expatriés ? Delphine Sabourault est établie en Afrique depuis plus de 15 ans. Directrice générale de Delphicom Afrique, une agence en communication qu'elle a créée en 2013 à Ouagadougou au Burkina Faso, Delphine Sabourault a rejoint Abidjan en plein confinement. Témoignage.
Selon un dernier bilan, les intempéries de jeudi à Abidjan ont causé la mort d’au moins neuf personnes en différents points de la ville. L’intensité des pluies a causé des inondations dans de nombreux quartiers, et a souvent suscité la colère des habitants des quartiers habitués à se retrouver les pieds dans l’eau pendant la saison des pluies. Les autorités pointent régulièrement l’« incivisme » des populations, tandis que le gouvernement est accusé de négligences et de mauvaise gouvernance. Reportage de notre correspondant à Abidjan.
Le ballon ne tourne plus rond en Afrique où tous les championnats de football sont à l'arrêt à cause de la pandémie. Les clubs qui sont aussi des entreprises s'organisent pour survivre et attendent l'aide de la maison-mère, la FIFA. Au Burkina Faso, les joueurs de football font grise mine. A l'exception d'une poignée de grands clubs, notamment dans la capitale, les autres ont en partie interrompu le versement des salaires. « Globalement les arriérés de salaires vont de trois à cinq mois et demi. Toutes les activités économiques tournent au ralenti, et cela a compliqué le financement des équipes », explique Sita Sangaré le président de la Fédération burkinabè de football. Les sponsors, pour la plupart des entreprises privées, ont leurs propres difficultés, et ne peuvent plus voler au secours des équipes. A Abidjan, le grand club de l'Asec Mimosas a dû arrêter toutes ses activités génératrices de revenus. « On a arrêté les entraînements de l'équipe professionnelle, on a dû arrêter notre centre de formation. Au sein de notre complexe sportif nous avons un hôtel, donc nous avons dû le fermer. Ensuite, nous avons aussi des activités de sport-loisir qui accueillent des enfants d'Abidjan, donc a on dû arrêter. Nous avons également une radio, la première radio de sport de Côte d'Ivoire, dont les activités ont dû stopper puisqu'il n'y a plus de sport, ni en Côte d'Ivoire, ni à l'étranger », détaille Benoit You, le directeur général de l'Asec Mimosas. Une période d'incertitude L'Asec arrive cependant à payer ses joueurs depuis deux mois, car le modèle d'affaire du club repose sur les transferts de joueurs, notamment vers l'Europe, ce qui permet des revenus réguliers, mais cette année risque de s'avérer difficile. « La période de mai à août est une période importante pour nous pour que nos joueurs soient transférés. Et là, aujourd'hui, il n'y a pas de transferts envisageables, donc là c'est un gros point d'interrogation et une grosse inquiétude pour nous », poursuit Benoit You. Les clubs ivoiriens peuvent aussi compter sur les droits de retransmission télévisés, notamment avec le groupe Canal Plus. « Les droits télé qui devaient être payés, l'ont intégralement été à chacun des quatorze clubs de première division. Ils ont tous encaissé la somme de 70 millions par club. Mais un club de ligue 1 en Côte d'Ivoire aujourd'hui, c'est un minimum de deux cent millions de francs CFA, autour de trois cent mille euros, de budget annuel. Donc vous voyez bien le "gap" entre ce que la ligue peut mettre à disposition grâce aux droits télé et ce qui reste à chercher par les clubs pour boucler leur budget », constate Sory Diabaté, le premier vice-président de la Fédération ivoirienne de football. Une aide de la FIFA? Reste que les clubs africains en sont réduits à attendre l'aide de la FIFA, la Fédération internationale. Elle a déjà décidé de débloquer plus rapidement la deuxième partie d'une subvention annuelle de 920 000 euros par fédération. Mais d'une part, certaines comme la Fédération ivoirienne attendent toujours le chèque et d'autre part l'argent doit servir en priorité aux frais de fonctionnement et non aux clubs. Pour les aider, la FIFA a promis de mettre en place un fond d'urgence dont on ne connait pas encore l'ampleur.
Est-ce que les patients souffrant d'hypertension artérielle sont plus vulnérables face au Covid-19 ? Quelles peuvent être les complications en cas d'infection ? Quelles sont les précautions à prendre ? Les réponses du Pr Roland Guetta, cardiologue interventionnel à l'Institut de cardiologie d'Abidjan en Côte d'Ivoire.
Les personnes diabétiques présentent un risque accru d’une hypertension artérielle et inversement, les personnes souffrant d’hypertension sont plus à risque de développer un diabète. Associées, ces deux pathologies augmentent les risques cardiovasculaires. Comment prévenir ces complications ? Quelle prise en charge pour les personnes souffrant à la fois du diabète et de l’hypertension ? Dr Dominique Huet, chef de service de Diabétologie endocrinologie du Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph à ParisPr Roland Guetta, cardiologue interventionnel à l'Institut de cardiologie d'Abidjan en Côte d'Ivoire.
Cette semaine, Denise Époté fait honneur à Wasswa William, concepteur de PapES, un outil pour prévenir les cancers du col de l'utérus. Mais aussi à Franck Verzefe, concepteur de True-Spec Africa, une application pour lutter contre les faux médicaments. Et enfin Carine Ouattara, initiatrice du salon international de l'amour d'Abidjan.
durée : 00:03:14 - A propos d'ailleurs - par : Mattéo Caranta - Ani Guibahi Laurent Barthélemy a été retrouvé inanimé dans le train d’atterrissage du Boeing 777 d'Air France en provenance d'Abidjan.
durée : 00:26:59 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec le cinéaste Dominik Moll, à l’occasion de la sortie de son film "Seules les bêtes". - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Dominik Moll Réalisateur et scénariste
durée : 00:26:59 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec le cinéaste Dominik Moll, à l’occasion de la sortie de son film "Seules les bêtes". - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Dominik Moll Réalisateur et scénariste
Bienvenue sur CHOOSE YOUR MENTOR podcast. Nous lançons ce programme pour tous les jeunes qui sont en recherche de mentors pour les aiguiller dans leurs choix d'études et leurs choix professionnels. Nous recevons pour eux des jeunes professionnels originaires d'Afrique ou non pour profiter de leurs retours d'expériences et créer une communauté de mentors unis par les valeurs de partage par une saine émulation. Dans ce premier épisode, nous avons eu un réel plaisir à recevoir Franck K. Il nous a fait l'honneur d'accepter d'être notre premier intervenant dans ce programme que nous débutons. Avec Franck on a discuté de son parcours d'étude, de ses choix professionnels qui l'ont emmené à Dubaï, à Joburg, à Abidjan et maintenant à Paris. Franck a quitté le conseil financier chez Deloitte pour se consacrer à sa passion, la cybersécurité en repassant par la case université. Il effectue deux diplômes au cours de l'année 2019, un à Paris à l'Ecole de guerre économique et le second à New-York University. Nous avons évoqué avec Franck sa vision de la Cybersécurité en Côte d'Ivoire son pays d'origine et sa passion pour le monde associatif. Franck est par ailleurs vice-président de la fondation "future africa" qui oeuvre dans l'éducation et l'environnement, qu'il a cofondé avec son père et à été curator du hub d'Abidjan de Global Shaper. On évoque aussi les mentors de Franck et leurs places significatives dans les décisions qu'il a eu à prendre et enfin ses petites astuces pour rester efficace au quotidien (sport, équilibre professionnel, lecture). Franck partage avec nous une application de productivité et d'entrainement cérébral (Lumosity) et un livre (thinking strategically de Avinash Dixit) sur la prise de décision; On évoque aussi l'application Koober que nous trouvons génial. N'hésitez pas à revenir vers nous avec vos feedbacks, nous en sommes friands pour améliorer le programme. Excellente écoute. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/malickmdiabategmailcom/message
durée : 00:58:07 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Dans un contexte industrialisé et mondialisé, les savoirs ancestraux sont loin d'être réservés aux classes populaires peu éduquées. Qui recourt à la médecine traditionnelle aujourd'hui ? Comment celle-ci est elle encadrée ? Pourquoi la promouvoir ? Quels en sont les dangers ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Véronique Duchesne Maître de conférence en anthropologie à l'Université Paris-Descartes,chercheuse au CEPED ( Centre de population et développement); Laurent Pordié Anthropologue et pharmacologue, chercheur au CNRS, affilié au CERMES3, Centre de recherche médecine, sciences, santé mentale, société; Simeng Wang Sociologue, chargée de recherche au CNRS, membre du CERMES3, fellow à l'IC Migrations
Comment se débarrasser de son patron raciste Que la gêne change de camps Pour ce premier épisode de l’année, on reçoit Marie Dasylva, aka la Snatcheuse de Franges sur Twitter. Son job : venir en aide aux femmes racisées en milieu professionnel, et défendre ses “pépites” contre leurs patrons racistes, joliment surnommés “Candia”... Sa devise : “pas de pédagogie”. Puis Mélanie nous raconte son voyage initiatique en Côte d'Ivoire, sur la terre de ses ancêtres ! On parlera également des Victoires de la musique, du pull de H&M et du comeback de Bamboula… C’est nous ou 2018 commence mal ? Au menu des recommandations : la série "The Chi", quelques sons ramenés d'Abidjan et une série d’articles consacrés à Kelis.Le Tchip sur Twitter : @letchippodcast, @franzoul et @kvdonat Enregistrements : 15 janvier 18 - Réalisation : Charlie Marcelet, Samuel Hirsch - Chroniqueurs : Mélanie Wanga, François Oulac, Kévi Donat
Une carte postale d'Abidjan de Bruno Guglielminetti Au sommaire : L’actualité : Des scoops qui coûtent cher sur Twitter et Facebook Suite et échange pour Samsung Galaxy Note 7 Entrevue avec la blogueuse et youtubeuse ivoirienne Edith Brou. Musique : Bensound.com DJ_Kleva_Kaslam - Moro_Kaju - Divans - Imperial_Tiger_Orchestra Infos sur : www.moncarnet.com www.bit.ly/FbkMonCarnet Une production de Guglielminetti.com Octobre 2016
Rencontre avec Les Observateurs de France 24 pour revenir avec ces contributeurs amateurs sur les histoires marquantes dont ils ont été les témoins.
Adama Adepoju est né et a grandi au Plateau, quartier d'Abidjan. Cet enfant de la ville rencontre le théâtre à l'école puis, lors de ses études à la faculté des Lettres de l'Université d'Abidjan, il découvre la richesse du patrimoine oral africain et du conte en particulier. Il devient "Taxi-Conteur", acteur, conteur et improvisateur, et ses spectacles, nourris autant des faits divers que de la tradition, parlés, chantés, scandés et qui s'adressent aux petits comme aux grands, sont une véritable invitation au voyage.