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À Belem au Brésil, c'est la dernière ligne droite pour la COP30 sur le changement climatique. Va-t-on vers une feuille de route pour la sortie des énergies fossiles ? Peut-on aller au-delà de 300 milliards de dollars par an pour l'adaptation des pays du Sud ? Seyni Nafo est le porte-parole du groupe des négociateurs africains. Il préside aussi le Fonds vert pour le climat et coordonne l'initiative de l'Union africaine pour l'adaptation au changement climatique. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le président Lula a l'air très confiant. Cette COP 30 va être un succès, dit-il. Est-ce que vous partagez son optimisme ? Seyni Nafo : Je crois que, dans les conditions actuelles, c'est difficile. Mais je pense que le Brésil et la communauté internationale ont énormément investi pour qu'on fasse un maximum sur un certain nombre de sujets : le financement, l'adaptation au changement climatique et naturellement les forêts. Donc, je pense que, dans les circonstances actuelles, géopolitiques, c'est déjà un grand pas. Il reste encore quelques heures et comme vous le savez, une COP se décide toujours cinq ou 6h après la fin. Parmi les points de blocage, il y a la sortie ou non des énergies fossiles, le pétrole, le gaz, le charbon. À la COP 28 à Dubaï, il y a deux ans, un compromis a été trouvé pour une transition juste, ordonnée et durable. Est-ce que depuis on a avancé ou on a reculé ? C'est paradoxal. Sur les énergies renouvelables, on continue à accélérer. Par exemple, actuellement, quand on regarde les nouvelles capacités d'énergies qui sont installées, on a dépassé la moitié, 50, 60 % sur les énergies renouvelables. Donc, ça, c'est un fait. Mais sur la question des énergies fossiles, nous n'avons pas évidemment avancé aussi vite qu'on le voulait. Bien sûr, le retour de l'administration Trump y joue un certain rôle. Et donc, à cette COP, le plus important, c'est d'avoir une feuille de route sur cette transition pour évidemment qu'elle soit équitable et juste. On ne peut pas demander, par exemple, à des pays africains de prendre le lead sur ce sujet. Il faudrait que, pour l'équité et la justice climatique, les pays développés qui ont plus de ressources technologiques, plus de finances, soient les premiers dans cette transition et ensuite que les pays en développement soient soutenus. L'autre gros point de blocage, c'est le montant de l'aide financière des pays riches aux pays pauvres pour leur adaptation climatique. À la COP 29 à Bakou, il y a un an, les pays riches ont accepté de passer de 100 milliards à 300 milliards de dollars par an. Et visiblement, ils n'ont pas envie d'aller plus loin ? Ce que nous demandons pour ces cibles, il faut maintenant des feuilles de route détaillées avec des cibles intermédiaires, avec une description très précise des montants. C'est ce que nous sommes en train de négocier actuellement. Mais je pense que, après plus de quinze ans de cible, vous vous rappelez, en 2009, c'était la cible des 100 milliards, ensuite 300 milliards, je pense qu'aujourd'hui la question la plus importante, c'est l'accès. C'est bien d'annoncer des montants significatifs, mais si les pays africains, si les pays en développement, n'ont pas accès aux ressources existantes, c'est la question qui aujourd'hui est la plus problématique pour ces pays. Dans cette fameuse enveloppe de 300 milliards de dollars par an, il y a les quelque 3 milliards de dollars du Fonds vert pour le climat. Vous êtes président du conseil d'administration de ce Fonds vert. Pourquoi est-il stratégique à vos yeux ? La raison pour laquelle ce Fonds est stratégique, c'est qu'on peut prêter jusqu'à 45 ans, à moins d'1%. Donc, il y a ce premier élément-là. Le deuxième élément, c'est qu'on peut également travailler avec le pays directement. Je vais prendre un exemple. L'Éthiopie a son ministère des Finances qui est accrédité, donc qui peut recevoir directement des financements du Fonds vert et ne pas passer par des institutions internationales. Et c'est notre grande préoccupation. Quand on regarde, par exemple notre portefeuille avec l'Afrique, l'Afrique représente 40 % des financements du Fonds vert, mais malheureusement, plus de 85 % de ces financements passent par des institutions internationales. En Afrique centrale, nous avons encore beaucoup de travail parce que nous n'avons pas encore d'entité accréditée en Afrique centrale. Donc, au conseil d'administration du mois de mars, nous aurons notre première entité dans cette région. Nous allons avoir une entité régionale qui travaille justement dans quatre pays en Afrique centrale. Et ça, c'est une question qui est extrêmement importante pour nous, parce que le Fonds vert travaille à la transformation économique et justement à intégrer le climat dans la planification du développement. Et quels sont les quatre pays d'Afrique centrale en question ? Nous aurons le Cameroun, la RDC, le Tchad et probablement le Rwanda. On sait déjà que la COP 32 en 2027 aura sans doute lieu en Éthiopie. Qu'est-ce que cela signifie pour vous ? Le fait que ce soit l'Éthiopie qui a été sélectionnée cette année démontre le leadership de ce pays sur cette question. Mais au-delà de l'Éthiopie, il y a une prise en charge de la question climatique par les chefs d'États africains. Que ce soit avec le président (kényan) William Ruto qui est le président du Comité des chefs d'État ou avec le président (congolais) Denis Sassou-Nguesso sur la question du bassin du Congo. Donc, toutes les solutions africaines vont être mises sur la table et on va commencer les préparatifs juste à la fin de Belem. À lire aussiÀ la COP30, d'ultimes heures de négociation aux enjeux multiples
À la 30è conférence des Nations unies sur le changement climatique, organisée en ce moment à Belém au Brésil, ce vendredi 21 novembre 2025 est officiellement le dernier jour de négociations. Mais en raison de désaccords et d'un incendie, qui s'est déclaré jeudi (20 novembre 2025) dans l'enceinte de la COP, les négociations pourraient se poursuivre jusqu'à samedi (22 novembre). Une légère odeur de brûlé flotte encore dans les couloirs des immenses tentes temporaires de la COP30, explique notre envoyée spéciale à Belém, Lucile Gimberg. Hier après-midi, (20 novembre) malgré les six heures de fermeture, certains pays et blocs de pays puissants ont continué à discuter, de manière extra-officielle, toute la nuit. Il est probable que la COP s'étende jusqu'à demain samedi (22 novembre). «La COP se terminera au moment opportun pour les négociations. L'objectif n'est pas seulement de respecter le calendrier, mais d'atteindre les résultats escomptés en matière de changement climatique», a assuré Marina Silva, la ministre brésilienne de l'Environnement. La présidence de la COP a publié, à l'aube, une série de nouveaux textes dont le principal, le dénommé «mutirao» (un terme autochtone au Brésil pour dire qu'une communauté se rassemble pour réaliser une tâche commune). Dans ce texte, la présidence appelle les pays développés à redoubler d'efforts pour fournir 120 milliards de dollars aux pays en développement pour les aider à résister aux catastrophes climatiques. Mais rien d'obligatoire, alors que c'est une demande forte des pays africains notamment. De plus, elle exhorte les pays qui n'ont pas publié de nouveaux plans climat à le faire rapidement. Une formulation trop timide, estiment certains, alors que le manque d'ambition dans les politiques pour freiner le réchauffement mondial se fait sentir un peu partout sur la planète, explique Lucile Gimberg. L'Union européenne, dont la France, est donc mécontente. D'autant que le document ne mentionne plus une éventuelle «feuille de route» qui expliquerait comment les pays peuvent mettre en œuvre l'objectif, adopté à Dubaï, il y a deux ans, de sortie des énergies fossiles. Des pays - notamment pétroliers - s'y opposent. En Amazonie brésilienne, de l'açaí sans pesticides Non loin de Belém, où se tiennent les négociations de la COP30, on cultive dans l'État du Pará un fruit appelé l'açaí. Ce «superfruit antioxydant», en vogue en Europe ou encore aux États-Unis, est récolté au sommet de palmiers en Amazonie. Il est cueilli par des familles de peuples traditionnels qui habitent au bord des fleuves, dans des zones marécageuses. Une agriculture sans pesticides, qui permet de protéger la forêt tout en générant des revenus pour ces familles. Certaines travaillent ainsi en agroforesterie, comme dans la communauté de Mupi, à une demi-journée de voyage de Belém. «À l'époque, ces terres n'étaient pas entretenues. C'était du simple açaí natif. Et quand on a vu qu'il pouvait y avoir un marché de l'açaí, on a changé d'attitude et on en récolte les fruits aujourd'hui. On peut dire que l'açaí, c'est la spécialité de la maison. Ça représente la plus grande partie de nos revenus», explique Leonilson de Reis Castro, président de l'association des producteurs d'açaí de Mupi, au micro de notre correspondante Sarah Cozzolino. Au sein de la coopérative, les producteurs d'açaí ont reçu plusieurs formations pour encourager la biodiversité et la fertilité des sols, à contre-courant de la monoculture d'açaí observée dans certaines communautés. «Les entreprises jouent un rôle important. Car notre marché exige de l'açai bio, [d'autant plus que] les regards du monde entier sont tournés vers l'Amazonie, témoigne Solène Guillot, agronome chez Nossa, une entreprise française qui exporte l'açaí des producteurs de Mupi. Donc si on veut pouvoir vendre un produit qui vient d'Amazonie en Europe, il faut montrer patte blanche. [Montrer que c'est] vertueux pour le territoire, pour l'environnement, et pour les populations. » Le ministère de la Justice «enterré» en Bolivie Le nouveau président bolivien de centre-droit Rodrigo Paz a annoncé ce jeudi 20 novembre la suppression du ministère de la Justice. «Nous allons l'enterrer pour de bon. C'en est fini du ministère de la persécution, c'en est fini du ministère de l'injustice, [...] c'en est fini du ministère qui était un moyen pour les politiques de faire du chantage. Aucun homme politique n'interférera plus jamais dans le système judiciaire», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. Parmi les proches de Rodrigo Paz, au centre-droit mais aussi à droite, la suppression du ministère de la Justice est saluée, souligne le site d'information Vision 360. Le gouverneur de la province de Santa Cruz, par exemple, estime que l'ancien président Evo Morales et son parti (le MAS, le Mouvement vers le socialisme) s'en servaient pour mener une persécution politique contre l'opposition de l'époque. Mais chez les élus qui font aujourd'hui partie de l'opposition, c'est perçu comme un «mauvais signal», un signe «d'instabilité» envoyé aux Boliviens, estime un candidat déçu à la vice-présidence. Pour sa part, La Razon rapporte les craintes que cela suscite pour la protection des droits humains dans le pays. Cet épisode reflète déjà des tensions et des divisions au plus haut niveau de l'État : les désaccords entre Rodrigo Paz et son vice-président sont apparus au grand jour, explique le journal El Alteño. Le vice-président avait d'abord obtenu que soit nommé un de ses proches au ministère de la Justice. Avant que soit révélé, il y a quelques jours, que ce dernier avait un casier judiciaire, une condamnation au pénal pour des faits de corruption, lit-on dans El Deber. Ce qui a finalement poussé Rodrigo Paz à tenir sa promesse de campagne et (face à la polémique) à supprimer le ministère de la Justice... Malgré les protestations, sur les réseaux, de son propre vice-président, explique encore le journal. Dans le journal de «La 1ère» Caraïbes... Deux ans de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité ont été requis à Paris contre le président de la Collectivité de Martinique Serge Letchimy, rapporte Benoît Ferrand.
#Zidane #Mbappé #RollandCourbisRolland Courbis : la forte réaction au SCANDALE Mbappé !
Le cent vingt-et-unième épisode du Podcast : QUITTE LE BOOMER DREAMLA FUITE DES MILLIONNAIRESTu veux investir dans l'immobilier et faire ta première opération en partant de 0 ? tu trouveras la solution ici :https://www.laflouzerie.com/1to1-part1(RESERVE TON CALL AVANT LE 30/11 POUR BENEFICIER DE NOTRE OFFRE BLACK FRIDAY)TU PEUX NOUS RETROUVER SUR INSTAGRAM @QUITTELEBOOMERDREAM OU SUR @LAFLOUZERIEhttps://linktr.ee/quitteleboomerdream
Chaque matin, retrouvez le meilleur débat de l'émission d'hier. Aujourd'hui, Mbappé à Dubaï en plein rassemblement, est-ce que ça vous choque ? Avec autour de la table Jérôme Rothen, Jean-Miche Larqué, Jean-Pierre Papin et Benoit Boutron.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
durée : 00:02:13 - Le brief éco - Le salon aéronautique de Dubaï s'ouvre sur un avantage pour Boeing, qui enchaîne les commandes malgré une série de déboires techniques et financiers. Airbus reste toutefois en lice, avec de possibles achats massifs à venir. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les stocks de pétrole s'accumulent sur les mers et les océans en cette fin d'année 2025. Il y a aujourd'hui 1,3 milliard de barils chargés sur des pétroliers, soit l'équivalent de presque deux semaines de consommation. C'est un record depuis 2020. On peut trouver en mer du pétrole déjà vendu, en cours d'acheminement, et du pétrole en attente d'être acheté, qui est stocké. Sur leurs écrans, les sociétés de suivi maritime savent repérer ces pétroliers qui sont immobiles plusieurs jours et qui constituent des stocks flottants. Depuis le mois de septembre, on est passé de 1,1 à 1,3 milliard de barils en mer, selon les derniers chiffres du cabinet de suivi maritime Kpler, et 30 % de cette hausse représente du pétrole sous sanction. L'augmentation des volumes de pétrole en mer mobilise un nombre plus grand de navires et a fait grimper les taux de fret pour les pétroliers ces dernières semaines. Hausse notable depuis septembre Depuis le mois de septembre, 200 millions de barils sont venus s'ajouter aux volumes déjà chargés et sur l'eau. Certaines raffineries privées chinoises ont épuisé leur quota annuel d'importation et ont dû interrompre temporairement leurs achats? C'est une première explication. Il y a aussi les sanctions américaines prises mi-octobre sur le terminal pétrolier chinois de Rizhao – qui représente 10% des importations de pétrole en Chine. Elles ont augmenté la congestion sur l'eau, explique Homayoun Falakshahi chef analyste pétrole chez Kpler. L'augmentation des volumes en mer illustre aussi le refus de certains importateurs de décharger des cargaisons de pétrole russe suite aux dernières sanctions occidentales, même si les flux vers l'Inde n'ont pour l'instant pas cessé. Autre raison : les pétroles indexés sur les références européennes (brent) et américaines (WTI) affichent, depuis octobre, un prix plus bas que le brut de la région du Golfe (référence Dubaï). Cet avantage de prix a séduit les acheteurs asiatiques, qui ont commandé plus. Les trajets des pays d'origine concernés, vers l'Asie, sont plus longs, ce qui contribue à augmenter le nombre de navires sur l'eau. Baisse sur les prix, mais pas trop Cette quantité de pétrole sur l'eau est susceptible de faire baisser les prix, mais cette hausse est à relativiser : dans ces volumes, il y a une proportion importante de pétrole sous sanction, qui n'est destinée qu'à un nombre limité d'acheteurs. Les prix sur ce marché « parallèle » n'ont que peu d'impact sur les cours mondiaux. « Plus la part de pétrole sous sanction est importante dans ces volumes sur l'eau, moins cela a d'impact sur le marché général », précise l'expert de Kpler.
Dans cette interview express, on parle changement de vie, déclics et douceur retrouvée avec Alix Petit, fondatrice de la marque Heimstone qui a lâché sa vie parisienne pour s'installer à Dubai.Parisienne dans l'âme, créatrice passionnée, mère de famille, Alix a tout quitté (appartement, habitudes, rythme effréné) pour s'installer à Dubaï avec son mari et leurs filles. Elle nous raconte le moment où la routine devient trop lourde, ce qu'il faut de courage pour dire “on y va”, et ce qu'on découvre une fois sur place : la lumière du désert, la lenteur apaisante des matins, un quotidien plus simple qu'on ne l'imagine.Dans cet épisode, on parle aussi du concret : budget de départ, visas, écoles, loyers payés en chèques, cartons triés au millimètre… mais aussi de l'émotion du grand saut, de ce que c'est de laisser sa sœur jumelle à Paris, et de cette sensation unique : se réveiller ailleurs, pour de bon. Une conversation sincère, pleine d'énergie et de sérénité, sur ce que veut (vraiment) dire changer de vie.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après un an de silence, je reviens ici pour vous raconter tout ce qui s'est passé.Pourquoi j'ai arrêté le podcast, ce que j'ai traversé, ce que cette pause m'a appris… et surtout, pourquoi je reviens aujourd'hui, avec une énergie totalement différente.Dans cet épisode très personnel, je vous parle de cette année charnière :
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Un livreur de Doordash coupable d’avoir agressé sexuellement une femme se la coule douce en vacances! Trois Québécois font face à la justice pour fraude. Un octogénaire floué sur internet. Deux nouvelles mesures pour prévenir le suicide à Montréal. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Grosse opération en matière de pornographie juvénile dans la province. Un agresseur sexuel condamné au Québec se la coule douce à Dubaï. Des parents indignes qui ont menti au juge écopent d’une peine de prison à domicile. Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ils sont tous les jours à 17 heures sur Sud Radio. Ils racontent leur parcours qui a débuté à Toulouse et les conduits jusqu'à Dubaï
Ce matin, Romano et Jean-Louis de Dubaï essaient de vendre aux français le tout nouveau produit phare de Maeva Ghennam : des bonbons pour sentir bon des parties intimes ! Les conseils pas chers sur Skyrock !
Avant la conférence des Nations unies sur le climat qui commence la semaine prochaine, le Brésil accueille les 6 et 7 novembre 2025 le sommet des dirigeants. Le président Lula a fait le choix symbolique de réunir les participants à Belém, au cœur de l'Amazonie. Après les COP en pays pétrolier, à Dubaï et à Bakou, place à un hôte champion des énergies renouvelables, qui veut protéger les forêts et qui a une société civile vivante. Mais le Brésil est aussi le 6ème producteur mondial de pétrole, la mère patrie de l'agrobusiness et le deuxième exportateur mondial de viande de bœuf. Avec nos invités : - Hervé Théry, géographe, directeur de recherche émérite au CNRS et professeur à l'Université de Sao Paulo au Brésil. Auteur de Amazone - Un monde en partage, CNRS éditions - Catherine Aubertin, économiste de l'environnement et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD), affectée au Muséum national d'Histoire naturelle, autrice de « La nature en partage », IRD Éditions.
Et si le vrai risque, c'était de rester? Cette semaine, on reçoit Alix Petit — créatrice de la marque de vêtements Heimstone et cofondatrice de l'agence The Refreshment Club — qui a quitté Paris pour réinventer sa vie à Dubaï. Dans cet épisode, Alix Petit raconte le moment où elle a “tiré la prise” pour de bon : quitter Paris, trier sa vie en cartons, dire oui au mouvement… et tout réapprendre aux Emirats.On parle du déclic qui renverse une trajectoire, de l'énergie d'un hub où tout va vite (visas, bureaux, projets), des écoles tournées vers le monde, de ce qu'on gagne en douceur de vivre — et de ce qu'on laisse derrière soi. Loin des clichés, Alix décrit une vie quotidienne géniale: baignade au lever du jour, travail l'esprit clair, enfants curieux, rencontres qui ouvrent l'horizon. On aborde aussi les sujets qui fâchent (administratif, coûts, regards des autres) pour mieux comprendre ce choix : préférer l'élan à l'inertie, la liberté à l'habitude.Si vous avez déjà murmuré “on verra à la prochaine rentrée”… cet épisode pourrait bien vous donner l'envie d'appuyer, vous aussi, sur ON.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si le vrai risque, c'était de rester ? Cette semaine, on reçoit Alix Petit — créatrice de la marque de vêtements Heimstone et cofondatrice de l'agence The Refreshment Club — qui a quitté Paris pour réinventer sa vie à Dubaï. Dans cet épisode, Alix Petit raconte le moment où elle a “tiré la prise” pour de bon : quitter Paris, trier sa vie en cartons, dire oui au mouvement… et tout réapprendre aux Émirats.On parle du déclic qui renverse une trajectoire, de l'énergie d'un hub où tout va vite (visas, bureaux, projets), des écoles tournées vers le monde, de ce qu'on gagne en douceur de vivre — et de ce qu'on laisse derrière soi. Loin des clichés, Alix décrit une ville quotidienne : mer au lever du jour, travail l'esprit clair, enfants curieux, rencontres qui ouvrent l'horizon. On aborde aussi les sujets qui fâchent (administratif, coûts, regards des autres) pour mieux comprendre ce choix : préférer l'élan à l'inertie, la liberté à l'habitude.Si vous avez déjà murmuré “on verra à la prochaine rentrée”… cet épisode pourrait bien vous donner l'envie d'appuyer, vous aussi, sur ON.Pour retrouver l'épisode en intégralité taper "Alix Petit : Tout quitter en 4 mois, se réinventer pour être heureux et la face cachée de Dubai"Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dubaï : mirage ou vrai eldorado pour entrepreneurs ?Dans cet épisode de Lead the Future, David revient sur une semaine passée à Dubaï.Au-delà des clichés, il partage ses premières impressions, les opportunités qu'il a perçues et les contrastes marquants de la ville.Au programme :
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSDUBAI - ART : Journal des Arts, Capital, HRW, Le MondeDOCUMENTAIRE PAUL MCCARTNEY : Le Figaro, RTL2DJ SNAKE SHOW : Le Parisien, Le FigaroGROKIPEDIA ELON MUSK : Le Monde, Le PointSINGLE ROSALÍA : Rolling Stone, NRJNETFLIX CRASH BANDICOOT : Journal du GeekÉcriture : Eden AyachIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Enquêteur en fraude, notre invité Cyber Moustache infiltre les réseaux d'arnaqueurs pour documenter leurs méthodes avant qu'elles ne touchent le grand public. Il détaille les arnaques phares de 2025, de la fraude au retour chez les e-commerçants (ex. Amazon) aux opérations d'influenceurs basés à Dubaï, jusqu'aux guerres de faussaires autour des cartes d'identité. On voit comment les escrocs exploitent la logistique, les plateformes et le droit de la consommation, et comment ces enquêtes sont transmises aux entreprises et aux autorités.En plateau Michaël de Marliave — animateur Matthieu Lambda — chroniqueur Cyber Moustache — invité Jonathan Spedale — invitéPour consulter les détails de l'offre Trade Republic : https://trade.re/Underscore_PodL'investissement comporte un risque de perte en capital. Les intérêts et les gains financiers sont soumis aux prélèvements fiscaux et sociaux. Les performances passé es ne garantissent pas les résultats futurs. Les fonds non-cotés sont des investissements à long terme et ne devraient représenter qu'une partie du portefeuille total. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le GITEX de Dubaï est une véritable vitrine des ambitions technologiques du Moyen-Orient. On examine les tendances 2025 avec le cabine Niji, spécialisé dans la transformation numérique.Florent Roulier, responsable innovation chez NijiQu'est-ce qui distingue le GITEX de Dubaï du CES de Las Vegas ?Le GITEX, c'est un salon d'une ampleur impressionnante : plus de 6 800 exposants venus du monde entier. Contrairement au CES, qui concentre surtout les États-Unis, l'Europe et quelques dragons asiatiques, le GITEX rassemble des pays souvent absents de Las Vegas — la Chine, l'Inde, la Russie, l'Amérique du Sud ou encore les pays d'Asie centrale. Cette diversité offre une vision réellement globale de l'innovation. Les Émirats, qui organisent l'événement, y montrent aussi leurs ambitions : devenir un leader mondial de l'intelligence artificielle.L'intelligence artificielle est partout. Quelle tendance vous a le plus marqué ?Sans surprise, l'IA est omniprésente, mais ce qui m'a frappé cette année, c'est la montée en puissance des agents autonomes, qu'on appelle “agentic AI”. Ces IA ne se contentent plus de dialoguer : elles prennent des décisions seules, gèrent des processus complets. On a vu des démonstrations où plusieurs agents collaborent pour traiter des réclamations clients ou gérer des opérations internes sans intervention humaine. Cela montre à quel point les entreprises se préparent à intégrer des IA véritablement actrices de leurs processus.Dubaï est souvent citée comme une ville ultra-connectée. Qu'avez-vous observé en matière de services publics ?Les Émirats poussent très loin l'automatisation. On y trouve déjà des commissariats 100 % automatisés, ouverts 24h/24, capables d'enregistrer une plainte ou de mettre un citoyen en relation vidéo avec un agent à distance. L'aéroport de Dubaï, lui, expérimente la reconnaissance faciale à grande échelle : les voyageurs peuvent passer les contrôles sans sortir leur passeport. Et dans la rue, des véhicules de police autonomes patrouillent déjà, épaulés par des systèmes de vidéoprotection alimentés par l'IA. Cette automatisation s'appuie sur un haut niveau de confiance et de respect des règles : ici, personne ne songerait à dégrader un véhicule de police.-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
Éric Carrière et Francis Ginibre sont les invités du "Buzz TV", ce jeudi 16 octobre, pour promouvoir leur nouveau spectacle Vacances à Dubaï. L'occasion pour le duo de revenir sur leur départ précipité de Sud Radio en 2011 avant de revenir en cette rentrée.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine : les logiciels Microsoft délaissé en Europe, les vidéos deepfake s'emballent, ChatGPT plus permissif, nouveaux produits Apple M5, et immersion dans les villes intelligentes du futur à Dubaï.
Avertis par un abonné inquiet pour son beau-frère de 22 ans, nous avons infiltré pendant six mois un business club basé à Dubaï promettant des rendements irréalistes. Virements de 10 000 €, pression pour recruter famille et amis, faux profils et caméra cachée : notre enquête révèle un système de type Ponzi qui transforme vos proches en prospects et vos économies en fumée. On explique comment ces réseaux opèrent, les signaux d'alerte et comment s'en protéger.En plateau Michaël de Marliave — animateurPour consulter les détails de l'offre Trade Republic : https://trade.re/Underscore_PodL'investissement comporte un risque de perte en capital. Les intérêts et les gains financiers sont soumis aux prélèvements fiscaux et sociaux. Les performances passé es ne garantissent pas les résultats futurs. Les fonds non-cotés sont des investissements à long terme et ne devraient représenter qu'une partie du portefeuille total. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Soirée en live de folie sur les 3 leviers de l'argent : inscription : https://www.grosbillets.com/levier
durée : 01:48:31 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Philanthropes de la fondation Vuitton à la collection Pinault, nouveaux acteurs comme Abu Dhabi ou Dubaï, intelligence artificielle : ces dernières années, le marché de l'art ne cesse de se recomposer. Plongée dans un écosystème en pleine mutation. - réalisation : Peire Legras, Alexandra Malka - invités : Guillaume Cerutti Président de la collection Pinault et président du conseil d'admnistration de Christie's; Omar Youssef Souleimane Poète, écrivain, journaliste syrien; David Larousserie Journaliste
DUBAİ'DE TÜRK MAFYASINA DARBE
Grand dossier du JdeM cette fin de semaine sur la popularité des injections esthétiques. Formé à Dubaï, un oncologue de Saint-Hyacinthe s’est lancé à temps partiel dans la médecine esthétique, une pratique qu’il décrit comme thérapeutique — pour lui comme pour ses clients. Entrevue avec Dr Mike Maëd Osili, oncologue à l’hôpital Honoré-Mercier, de Saint-Hyacinthe et injecteur en médecine esthétique. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les Français sont toujours plus nombreux à succomber au dynamisme de Dubaï. Cet émirat attire surtout nos compatriotes désireux de booster leur carrière. Mais s'installer ici et y réussir ne s'improvise pas. Le dossier. À lire aussiLa préparation du retour d'expatriation
Ce matin, Romano et Jean-Louis de Dubaï se lancent dans la vente d'un produit d'influenceur : une crème contre les boutons ! Les conseils pas chers sur Skyrock !
Dans ce nouvel épisode des Pieds dans le Plat, Claudio Vandi reçoit Mona L'Hostis, Global Travel Retail Marketing Director dans le Groupe L'Occitane.Avec plus de 30 collaborateurs répartis entre Genève, Miami, Dubaï et Hong Kong, Mona gère au quotidien une équipe multi-sites, multi-générationnelle et multiculturelle. Bref, beaucoup de multi… Un vrai défi de management !Alors forcément, cela donne un épisode plus que riche d'apprentissages ! Au programme :
Pour cet épisode, l'échange s'est fait à distance, mais la richesse de la conversation, elle, était bien réelle. Bertrand Meylan, qui vit aujourd'hui à Dubaï, nous a offert un moment de partage unique, entre souvenirs de voyages, vision stratégique et passion horlogère.Il revient notamment sur les voyages marquants qu'il a faits avec son père — dont un séjour à Hong Kong qui, en contraste avec la Vallée de Joux de son enfance, a laissé une trace indélébile. On comprend vite l'attrait pour cette vibration asiatique qui a façonné sa manière de voir le monde.Mais si j'ai voulu interviewer Bertrand, c'est surtout pour comprendre les rouages du monde de la distribution horlogère. Et il a pris le temps, avec clarté et pédagogie, de nous expliquer les étapes clés qui relient une montre fraîchement produite à sa mise en vitrine. Un éclairage rare, précieux, pour tous ceux qui veulent mieux comprendre l'envers du décor.Enfin, Bertrand nous partage sa lecture des marchés asiatiques et nous invite à découvrir une nouvelle facette de Moser, avec toute la finesse et la vision qu'on lui connaît.Si tu veux nous poser une question ou simplement discuter, ça se passe ici, sur ▶️ Instagram ◀️Si tu veux partager le podcast à un ami, tu peux utiliser ce lien : MERCI DU PARTAGEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Jeremstar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'idée est simple : réunir autour d'un dîner des personnalités de la Tech que vous connaissez, et les laisser parler librement, sans micro officiel, sans mise en scène. Juste une table, du vin, et la promesse de conversations vraies.Ce premier épisode s'intitule « Douce France
Monter un cabinet comptable en France, c'est déjà un défi. Mais le développer à Dubaï, en Afrique du Nord et bientôt ailleurs, c'est une autre histoire. Dans cet épisode des Geeks des Chiffres, je reçois Samy Sehrine, expert-comptable et cofondateur de DaftTime. On parle de : Son aventure de 0 à 11 collaborateurs aux Émirats Les erreurs à éviter quand on s'installe à l'international La réalité derrière le mythe de la “good life” à Dubaï Les atouts qui font la force d'un expert-comptable français à l'étranger Sa vision d'un cabinet nouvelle génération, pensé comme une startup Une véritable masterclass pour tous les pros du chiffre qui veulent sortir du cadre et voir grand.
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This week we go over everything that happened at Forbidden Door, look ahead to Clash in Paris as well as the headlines!
Ruth Elkrief fait part de son inquiétude quant à l'avenir à travers trois anecdotes. Elle affirme avoir ressenti qu'il y a tellement de blocages qui restent à surmonter et tellement de colère qui cohabitent dans notre pays. Elle confie également avoir trouvé un pays de solidarité intime et amical. François Lenglet affirme que la Suisse n'est pas trop tolérante et ça fait fuir certains milliardaires suisses, hors de Suisse, qui vont en Italie ou à Dubaï. Tout ça se produit en ce moment parce que les États sont face à des nécessités d'investissement très lourds pour la transition climatique, le vieillissement et les dépenses militaires. Quant à Abnousse Shalmani, elle revient sur la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska. Le tout sans la présence de l'Ukraine qui est au cœur des débats. D'après elle, Trump est un opportuniste volatile, et cette rencontre symbolise le retour gagnant de Poutine sur la scène internationale. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec l'été, les Tunisiens de l'étranger rentrent au pays. Leurs transferts représentent 6,5 % du PIB. Plus de la moitié d'entre eux investissent en Tunisie. Mais sur place, les obstacles à l'investissement et au retour restent nombreux. En Tunisie, la diaspora est au centre des discussions avec l'été et le retour des « TRE », les Tunisiens résidant à l'étranger pour les vacances. Sur les collines d'El Monchar, près de Hammamet, Sofien Grira, 40 ans, Tuniso-Français, a fait le choix du retour. « On est originaire du sud de la France et d'Antibes, c'est pour ça que la lavande et le terrain de pétanque, c'est important pour nous », explique-t-il en montrant son domaine. Installé depuis cinq ans, Sofien a transformé la villa de son frère en une demeure de luxe destinée à une clientèle haut de gamme. « Ce n'est pas assez mis en valeur. Je pense qu'on a réussi à créer quelque chose parce qu'il y a un petit engouement autour de notre villa Apolonya au niveau d'Instagram, des revues Google, d'Airbnb », décrit-il. Un exemple rare d'investissement productif dans le tourisme Ancien développeur informatique, spécialiste du marketing digital et de la finance, Sofien vivait à Dubaï avant de revenir investir en Tunisie. « Quand je vois que le Maroc avance, que la diaspora marocaine commence à investir et à faire des projets comme Apolonya là-bas… Quand je vois qu'en Grèce, ils sont sortis du tourisme de masse pour faire ça et que ça a cartonné, je me dis : si on ne montre pas l'exemple, il n'y a personne qui suivra. Donc, pourquoi ne pas le faire ? Pourquoi ne pas avancer ? Malgré les difficultés et les contraintes », affirme-t-il. Alpagas, poneys et paons peuplent aujourd'hui ce petit coin de paradis. Mais ce genre de projet reste l'exception. Nombreux sont les membres de la diaspora qui hésitent encore à investir. C'est ce que confirme le professeur Mustapha Kaanichee, expert en migration, lors du Tunisia Global Forum, le forum annuel sur la diaspora. « La plupart des investissements de la diaspora en Tunisie, je dirais que ce sont des investissements non productifs dans le secteur immobilier, dans la construction ou l'achat de maisons, et aussi dans l'agriculture. Et même dans l'agriculture, c'est l'achat de terrains agricoles plutôt que de projets agricoles », explique-t-il. Pour l'universitaire, les freins sont bien identifiés : « Quels sont les obstacles à l'investissement en Tunisie ? Il y a des obstacles essentiellement administratifs, la complexité administrative, l'environnement d'affaires qui n'est pas vraiment très favorable », souligne-t-il. Une réforme du Code des changes, l'instauration d'avantages pour favoriser une migration circulaire : ce sont, selon lui, des leviers nécessaires pour encourager les investissements et le retour des Tunisiens de l'étranger. Mais la réalité est encore loin des discours. Selon une étude présentée lors du forum, seulement 20% des TRE souhaitent rentrer au pays. Près de 60 % excluent cette possibilité.
Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville. 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins. Dans ce deuxième épisode de notre série Vivre en ville direction les États-Unis à San Antonio. Deuxième ville la plus peuplée du Texas avec 1,5 million d'habitants, elle est connue mondialement pour son équipe de basket, les Spurs. San Antonio est aussi un bastion démocrate dans un Texas qui vote en majorité républicain. Une ville qui veut miser sur les énergies renouvelables plus que sur le pétrole présent dans le sol texan. Située à 250 km du Mexique, San Antonio est avant tout une ville profondément multiculturelle. Les deux-tiers de sa population sont d'origine mexicaine. Longtemps endormie, San Antonio connait aujourd'hui un boom démographique et économique, mais qui en profite vraiment ? Avec : • Théo Quintard, correspondant de RFI à San-Antonio aux États-Unis. En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault : Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants. Aujourd'hui, Dubaï vs Riyad : le soft power faiseur de rivalité. Programmation musicale : ► Hey baby que paso - Texas Tornado ► Wembanyama Go Spurs Go - Le Groupe Campanas de America ► Black & Silver - Da Army (T-Krazie, Triple B & Black Outt) ► San Antone - Randy Rogers Band.
Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle saison de notre série spéciale Vivre en ville. 8 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte d'Antananarivo, Damas, en passant par Pékin. Urbanisme, société, transports, loisirs : les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins. Dans ce deuxième épisode de notre série Vivre en ville direction les États-Unis à San Antonio. Deuxième ville la plus peuplée du Texas avec 1,5 million d'habitants, elle est connue mondialement pour son équipe de basket, les Spurs. San Antonio est aussi un bastion démocrate dans un Texas qui vote en majorité républicain. Une ville qui veut miser sur les énergies renouvelables plus que sur le pétrole présent dans le sol texan. Située à 250 km du Mexique, San Antonio est avant tout une ville profondément multiculturelle. Les 2/3 de sa population sont d'origine mexicaine. Longtemps endormie, San Antonio connait aujourd'hui un boom démographique et économique, mais qui en profite vraiment ? Avec : • Théo Quintard, correspondant de RFI à San-Antonio aux États-Unis. En fin d'émission, la chronique Ville contre Ville de Juliette Brault : Elles sont en concurrence, se jalousent, se moquent l'une de l'autre... Cette semaine, Juliette Brault explore les rivalités urbaines à travers 5 duels pour comprendre l'origine de ces confrontations, la façon dont elles structurent leurs relations et façonnent le quotidien des habitants. Aujourd'hui, Dubaï vs Riyad : le soft power faiseur de rivalité. Programmation musicale : ► Hey baby que paso - Texas Tornado ► Wembanyama Go Spurs Go - Le Groupe Campanas de America ► Black & Silver - Da Army (T-Krazie, Triple B & Black Outt) ► San Antone - Randy Rogers Band.
C'est les vacances !! Et pour fêter ça, on a décidé de faire nos valises et partir en road trip entre potos pour explorer les réseaux sociaux dans les autres pays du globe ! T'es chaud de nous suivre ? Aller viens, on part aux Émirats arabes unis ! Embarquez pour un road trip express direction les Émirats Arabes Unis (EAU), un véritable laboratoire numérique mondial. Cet épisode vous plonge au cœur des tendances numériques de cette région fascinante, notamment à Dubaï et Abu Dhabi.Ce que vous allez apprendre :• Une Pénétration Digitale Record : Les Émirats affichent un taux de pénétration des réseaux sociaux de 115 % en 2024, avec plus de 11,3 millions de comptes sociaux, dépassant le nombre d'habitants. Découvrez l'incroyable intensité d'usage : les Émiriens passent en moyenne 8h par jour en ligne, dont 2h58 sur les réseaux sociaux.• L'Écosystème Social Média : Comprenez pourquoi WhatsApp est la première plateforme avec 85 % de pénétration, essentielle pour 90 % de la population composée d'expatriés. Explorez la montée en puissance d'Instagram, devenu une plaque tournante pour le luxe et le lifestyle, et l'explosion de TikTok chez les jeunes et adultes grâce à sa créativité et viralité.• Dubaï, le Refuge des Influenceurs : Découvrez pourquoi Dubaï est le cadre idéal pour les influenceurs expatriés, notamment européens et français. Nous détaillons les avantages : un cadre fiscal à 0 % d'impôt sur le revenu, une simplification de création d'entreprises, des visas gold, une sécurité renforcée et des lieux hautement photogéniques.• Le Soft Power Émirien et la Régulation : Explorez comment les autorités émiriennes utilisent les influenceurs comme des "ambassadeurs de la marque Dubaï" via une stratégie de soft power sophistiquée. Apprenez-en plus sur la licence d'État obligatoire pour les influenceurs, l'Académie d'influenceurs et des événements majeurs comme le "One Billion Followers Summit".• Le Tourisme et le Luxe : Comprenez comment Dubaï s'est imposée comme une destination touristique majeure, transformant chaque visiteur en créateur de contenu. Nous abordons l'explosion du marché du luxe (passé de 10,4 à 15,9 milliards de dollars entre 2018 et 2024) et la forte présence de lieux emblématiques comme le Burj Al Arab ou le Louvre d'Abu Dhabi qui stimulent la création de contenu....• Les Règles du Jeu : Attention, les Émirats sont un émirat ! Découvrez les limites de la liberté d'expression : les créateurs doivent rester consensuels, éviter l'appropriation culturelle (interdiction d'utiliser les tenues traditionnelles ou le dialecte local dans les contenus) et sont surveillés par le Conseil national des médias. L'affaire Hamdan Alrind est citée comme exemple de "l'abus d'internet" et "propagande nuisant à l'intérêt public".• Le Phénomène Dubaï Chocolate : Ne manquez pas le buzz mondial autour du Dubaï Chocolate, une tendance food virale sur TikTok avec plus de 90 millions de vues, ayant même influencé le cours de la pistache turque.Plongez dans les tendances et les secrets de cette puissance digitale unique. Écoutez cet épisode pour comprendre comment les Émirats arabes unis sont devenus un acteur incontournable du paysage numérique mondial ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Yann Darwin est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, il raconte son parcours d'ex-pompier devenu entrepreneur et vice-président du groupe Greenbull à Dubaï. Vous vous demandez si investir à Dubaï est une bonne idée ? "On ne peut pas griller un feu rouge deux fois", avertit-il : ici, ça file droit… et ça rapporte. Flip immobilier, villas de luxe, co-investissement via la plateforme InvestDubaï : "On achète, on rénove, on revend — avec des rendements nets visés de 15 %." Quels quartiers cibler ? Quelles erreurs éviter ? Faut-il tout planifier ou foncer ? Un épisode sur les vraies opportunités et les pièges à éviter. .
Alors que l'Autorité des aéroports israéliens annonce un retour progressif à la normale, les perturbations causées par la guerre entre l'Iran et Israël ont profondément désorganisé le trafic aérien mondial. Annulations massives, détournements de vols, allongement des trajets, les compagnies aériennes paient le prix fort de cette nouvelle escalade militaire. Depuis les frappes israéliennes du 13 juin, le ciel au-dessus de l'Iran et d'une grande partie du Golfe reste déserté. Selon le site Flightradar24, plus de 3 000 vols sont annulés chaque jour dans la région. Et pour ceux qui décollent malgré tout, les itinéraires sont systématiquement modifiés pour éviter la zone. Ces détournements provoquent une hausse des coûts d'exploitation. La raison s'explique par la consommation supplémentaire de carburant, les contraintes liées au temps de travail des équipages et la nécessité de faire escale pour changer de personnel. À cela, ajoutez les retards en cascade qui désorganisent les plannings et la rotation des appareils, habituellement réglée à la minute près. À lire aussiLes turbulences du secteur aérien à l'heure de la présidence de Donald Trump Hubs paralysés et corridors aériens saturés À ces coûts s'ajoute un autre facteur : la fermeture temporaire de grands aéroports comme ceux de Dubaï ou Tel-Aviv, qui sont de véritables plaques tournantes du transport international. Leur mise à l'arrêt perturbe l'ensemble du secteur, y compris pour les compagnies américaines, asiatiques et européennes, qui y font transiter vols et passagers. La marge de manœuvre est d'autant plus réduite que l'espace aérien ukrainien est interdit depuis plus de trois ans. Résultat : les couloirs aériens entre l'Europe, l'Asie et l'Afrique de l'Est deviennent de plus en plus étroits, ce qui complexifie la logistique du secteur. Les marchés réagissent, les passagers paieront Sans surprise, les marchés financiers ont immédiatement réagi. Les actions d'Air France-KLM, Delta ou United ont chuté d'environ 5 % après l'annonce des frappes israéliennes. Et si les compagnies du Golfe sont évidemment touchées, la crise touche désormais l'ensemble du transport aérien mondial. Pour faire face à la situation, le Parlement israélien a étendu une garantie d'État de 8 milliards de dollars aux compagnies étrangères, dans le cadre d'une assurance contre les risques de guerre. Cette mesure s'ajoute aux 6 milliards déjà validés depuis octobre 2023. Mais même avec ce soutien, une hausse des tarifs semble inévitable, en particulier sur les longues distances. Car si la sécurité des passagers reste la priorité, son coût, lui, ne cesse d'augmenter.
Après les lourdes pertes dues au Covid-19, le tourisme mondial a retrouvé des niveaux records partout dans le monde. Cette croissance exponentielle suscite des interrogations : comment attirer les visiteurs sans dénaturer les lieux et en maîtrisant les impacts environnementaux ? Quelles stratégies pour les professionnels et les pouvoirs publics ? Quels nouveaux outils pour mieux raconter un territoire et séduire les voyageurs ?
Hélène raconte son mariage express à Copenhague, une alternative prisée par les couples mixtes face aux démarches complexes en France. On vous raconte ensuite les traditions françaises : vin d'honneur, brunch, tenues chics… et même superstitions autour des dragées ! Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Show Notes Quatre mariages et une lune de miel (https://www.tf1.fr/tf1/4-mariages-pour-une-lune-de-miel) Transcript Hélène: [0:17] Bonjour tout le monde. Judith: [0:19] Bonjour Hélène. Comment ça va ? Hélène: [0:21] Ça va très bien. Et toi ? Judith: [0:23] Oui, ça va, ça va. Hélène: [0:25] Alors les amis, avant de commencer avec le sujet du jour, comme d'habitude, on écoute un petit message. Elena: [0:32] Bonjour Hélène et Judith. Je m'appelle Elena, je suis professeure de russe et d'anglais. Je suis russe et j'habite à Dubaï. Je voudrais partager avec vous mon histoire d'apprentissage du français. J'ai commencé à apprendre le français en 2016 aux Etats-Unis à Union College où je travaillais comme l'assistant de professeur de russe. Dans le cadre de mon progra mme Fulbright, je pouvais suivre trois cours et j'ai choisi le français. C'était très efficace, très intensif et vraiment génial d'être parmi les autres étudiants. Après un an là-bas, j'ai essayé de continuer les cours en ligne avec différentes enseignants, ainsi qu'à l'Alliance Française à Dubaï. Mais après 3-4 mois, ma motivation disparaissait et j'étais même contente quand le prof annulait le cours. Un jour, j'ai découvert les vidéos d'Easy French et j'ai commencé à étudier le français toute seule. Et maintenant, chaque fois que je suis dans un taxi, presque chaque jour, j'écoute vos podcasts. Merci beaucoup pour votre travail et au revoir. Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership