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durée : 00:04:39 - Le Reportage de la rédaction - Le projet de budget 2026 du gouvernement prévoit une coupe d'une quinzaine de millions d'euros, soit la moitié du FSER, Fonds de soutien à l'expression radiophonique. Une économie dérisoire à l'échelle du PLF, mais qui aurait des conséquences très lourdes pour près de 700 radios associatives.
Son kit essentiel à avoir en manif, son suivi du procès dit “des viols de Mazan”, la victimisation secondaire (retraumatiser une victime au cours d'une procédure judiciaire), son féminisme antifasciste et intersectionnel, lutter sur les réseaux sociaux, son apparition dans le documentaire “À l'avant Post” (@On Suzanne/@Judicaëlle Perrot), le rôle du photojournalisme face aux violences policières et le fémonationalisme (l'instrumentalisation du féminisme à des fins xénophobes)… Aujourd'hui on reçoit Anna Margueritat, photojournaliste et rédactrice indépendante, elle vient de publier un livre, “Pour que la honte change de camp”, aux éditions @La Meute. Un récit qui retrace quelques étapes du procès dit des “viols de Mazan”, mais surtout la manière dont celui-ci a fait écho à sa réflexion de militante féministe, de journaliste et de femme. Elle y parle du traitement des victimes par la justice, dévoile les impacts de ce procès sur les journalistes, notamment les femmes qui l'ont suivi, décrit son questionnement sur le fait de prendre en photo Gisèle Pélicot à la sortie du tribunal et évoque également le silence autour du sujet de l'inceste dans cette affaire. Avertissement / Trigger Warning : cet épisode inclut des discussions sur les violences sexistes et sexuelles.10 minutes pour sauver le monde, c'est le podcast de So good qui ne dure pas 10 minutes et qui, à défaut de sauver le monde, sauvera peut-être votre journée.Musique citée dans l'épisode : “Les draps” de Solann
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : François Hollande et sa compagne victimes d'un cambriolage Le titre de champion du monde de pâté en croûte revient à la maison
Les stratégies des agresseurs, la grossesse LE moment à risque pour les femmes, accueillir le récit, comment accompagner les femmes victimes de violences ? On développe tous ces points dans cette 2ème partie... Anissa Allek est ostépathe et a dédié sa pratique à l'accompagnement des femmes victimes de violences.Elle exerce au sein de deux lieux à Paris dans le 11ème, et à Saint Denis.Voici son profil doctolib : https://www.doctolib.fr/osteopathe/paris/anissa-allek?pid=practice-155238Elle est aussi formatrice à ce sujet au sein du CFPCO, une prochaine formation aura lieu en mars 2026 : https://www.cfpco.fr/workshop/458/accompagnement-en-osteopathie-des-personnes-victimes-de-violenceLes références bibliographiques conseillées : "Le corps n'oublie rien", de Bessel Van der Kolk"Réveiller le tigre", de Peter A.Levine"Guérir par delà les mots", de Peter A. Levine"Le trauma et le corps", de Pat OdgenUn recueil de poésie "Home body" de Rupi Cor.Douce écoute Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:28 - Le Reportage de la rédaction - Le projet de budget 2026 du gouvernement prévoit une coupe d'une quinzaine de millions d'euros, soit la moitié du FSER, Fonds de soutien à l'expression radiophonique. Une économie dérisoire à l'échelle du PLF, mais qui aurait des conséquences très lourdes pour près de 700 radios associatives.
durée : 00:04:28 - Le Reportage de la rédaction - Le projet de budget 2026 du gouvernement prévoit une coupe d'une quinzaine de millions d'euros, soit la moitié du FSER, Fonds de soutien à l'expression radiophonique. Une économie dérisoire à l'échelle du PLF, mais qui aurait des conséquences très lourdes pour près de 700 radios associatives.
Manifestations syndicales: la CSQ ne veut pas se faire imposer des décisions de la CAQ et Jean Boulet garde le cap | Éric Duhaime en opération séduction pour les électeurs anglophones du Québec | Des Montréalais signent une lettre ouverte pour réclamer une meilleure gestion des finances | Revue et corrigée, c’est revu… jusqu’à la dernière minute! | Crise au PLQ: Pablo Rodriguez doit des remerciements au PLC… Dans cet épisode intégral du 1er décembre, en entrevue : Dany Prescott, propriétaire du garage PREDAS pneus mécaniques à St-Amable. Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Alexandre Brodeur, Résident de Ahuntsic-Cartierville. Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec. Pierre Brassard, acteur. Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:43 - Gare aux fraudes à la rénovation énergétique - Les coups de fils pour vendre des panneaux photovoltaïques ou de l'isolation à un euro sont de plus en plus fréquents en ce moment. Des arnaques bien ficelées dans lesquelles sont tombées certains béarnais et bigourdans. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Là, Benoit trace la ligne! Continuez à mettre la pression sur vos supermarchés et refusez d’acheter de la viande halal, point final | Les agents de probation sonnent l’alarme | Un an depuis Santé Québec: les citoyens ne se sentent toujours pas mieux servis! | Les chiens ressemblent-ils à leurs maîtres? Dans cet épisode intégral du 1er décembre, en entrevue : Benoît Fontaine, président des Éleveurs de volailles du Québec. Guillaume Bouvrette, président du Syndicat des professionnels du gouvernement du Québec. Pierre Blain, directeur général à Les Usagers de la santé du Québec. Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - 128 morts et 200 disparus, selon le dernier bilan du terrible incendie à Hong Kong. Trois minutes de silence ont été observées autour des lieux de recueillement installés partout dans la ville.
durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - 128 morts et 200 disparus, selon le dernier bilan du terrible incendie à Hong Kong. Trois minutes de silence ont été observées autour des lieux de recueillement installés partout dans la ville.
durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - 128 morts et 200 disparus, selon le dernier bilan du terrible incendie à Hong Kong. Trois minutes de silence ont été observées autour des lieux de recueillement installés partout dans la ville.
Invité :Grégory Joron secrétaire général du syndicat de police UnitéDébatteurs :Thomas Bonnet, journaliste politique CNewsGeorges Fenech, Ancien MagistratHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
60 ans d’histoire de restauration montréalaise | Le Canada est-il vraiment en train de reculer en matière d’environnement | Encore une mauvaise semaine du PLQ | Le Vérificateur général du Québec juge le plan de retour à l’équilibre budgétaire du gouvernement Legault incomplet | Trump ordonne le réexamen des cartes vertes d’immigrants en provenance de 19 pays | Crise au PLQ: l’UPAC s’en mêle | Mike Matheson signe une prolongation de contrat de 5 ans et 6 M$ en moyenne Dans cet épisode intégral du 28 novembre, en entrevue : Olivier Kemeid, auteur et metteur en scène, scénariste de l’exposition « Au menu ». Caroline Brouillette, directrice générale de Réseau Action Climat Canada Mathieu Galarneau, porte-parole de l’Unité permanente anticorruption (UPAC). Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Projet de loi sur la laïcité : l’opposition se prononce | Syndicats vs gouvernement: Mélanie Hubert se prononce | Vendredi fou : gare aux fausses aubaines! | Des citoyens de Laval reçoivent des dizaines de contraventions pour avoir suivi les instructions de l’école de leur quartier | Ludovick Bourgeois s’ouvre sur le deuil de son père Dans cet épisode intégral du 28 novembre, en entrevue : André A. Morin, porte-parole de l’opposition officielle en matière de laïcité. Mélanie Hubert, présidente de la Fédération autonome de l’Enseignement (FAE). Julien Gandelin, fondateur et rédacteur en Chef de achetezlemeilleur. Leyna Sahl, citoyenne de Laval. Ludovick Bourgeois, chanteur. Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Cisjordanie occupée, les enfants sont sur-représentés parmi les victimes de l'occupation militaire israélienne. Cinquante mineurs palestiniens ont été tués depuis le début de l'année 2025, la plupart par l'armée. Plus de 2 000 enfants et adolescents ont été arrêtés depuis les attaques du 7-Octobre, pour des séjours plus ou moins prolongés dans les prisons israéliennes, où ils subiraient des sévices dénoncés par les principales ONG de défense des droits humains. RFI est allé à la rencontre de Bassam : il a 17 ans et a été libéré dimanche 23 novembre, après six mois de détention dans la prison israélienne d'Ofer. De notre correspondant à Ramallah, Sous le regard de sa mère, Bassam soulève son t-shirt sous lequel les marques, sur son corps amaigri, racontent la prison israélienne. « J'ai encore les traces des coups, les marques des menottes. Pendant trois mois, je ne pouvais pas sentir mes mains. C'est le résultat de la maladie qu'on attrape en prison, la gale », témoigne-t-il. Le jeune homme de 17 ans a été arrêté pour avoir jeté des pierres sur une jeep de l'armée, puis condamné après des aveux contraints : « Ils m'ont interrogé pendant trois jours pour m'arracher des aveux. Ils menaçaient ma mère. Toute cette pression, surtout quand il parlait de ma mère, cela m'a détruit. J'ai eu peur pour elle, alors j'ai fini par avouer. Pour qu'ils ne lui fassent rien. » Prison ou pas, Bassam est un adolescent. Comme de nombreux jeunes de son âge, il vit et rêve football. « J'ai fourré un bout de drap dans une chaussette et j'ai serré autour avec un bout de tissu. Je l'ai cousue et j'ai commencé à jouer avec, comme un petit ballon. Un truc pour m'entraîner et jouer au foot dans la cellule », détaille-t-il. Des rêves qui n'ont pas leur place dans les cellules de la prison. « Le gardien m'a dit : "Toi, tu n'es pas au Camp Nou, tu n'es pas au Bernabeu", et il a commencé à me frapper en répétant : "Ici, ce n'est pas un terrain de jeu, ce n'est pas dans un stade." Moi, je me disais : avec tout ce que j'invente juste pour réussir à vivre un peu, ils me frappent quand même », se souvient-il. Pour avoir, lui aussi, jeté des pierres sur une jeep de l'armée israélienne, le frère de Bassam a été tué d'une balle dans la tête, en 2018. Il avait 16 ans. Son sourire juvénile est encadré sur les murs du salon. Sami, 15 ans, fan de football... abattu par un sniper À Kufr Aqab, près de Ramallah, un autre rêveur de ballon rond a été fauché par un tir de sniper, vendredi 21 novembre. Il s'appelait Sami et il avait 15 ans. « Il jouait sur sa trottinette électrique avec ses amis et son cousin, ils faisaient le tour du quartier, ils étaient contents. Ils ont entendu qu'il y avait une incursion de l'armée, alors comme n'importe quel jeune, par curiosité, ils sont allés voir. Le sniper a tiré et la balle l'a frappé dans le dos », raconte sa mère avec douleur. Celle-ci nous ouvre la chambre du garçon. Sur son lit, soigneusement pliée, sa tenue complète de l'équipe palestinienne de football. « Ils l'ont aussi arraché à ses frères et sœurs. Chaque matin, en se réveillant, ils respirent son odeur sur ses vêtements restés à la maison, et cela leur rappelle sa présence. C'est la seule chose qui nous aide à supporter son absence », confie-t-elle. Comme tous les vendredis, Sami aurait dû se rendre à l'entrainement. « Comme n'importe quelle mère palestinienne, je vivais dans la crainte : est-ce que mon fils va rentrer à la maison ou non ? Chaque fois qu'il quittait la maison, je le confiais à Dieu », se lamente-t-elle. Secouée de sanglots, la mère serre contre son cœur, les chaussures imbibées de sang que son fils portait, ce jour-là. À lire aussiL'armée israélienne lance une «vaste opération» dans le nord de la Cisjordanie
Dans l'est de la République du Congo, déchiré par les conflits armés depuis une décennie, des organisations humanitaires locales et internationales sont à pied d'œuvre pour soutenir les milliers des personnes qui souffrent suite à la guerre. Parmi ces organisations, le Club RFI intervient dans les communautés au travers des aides, en soutenant la population meurtrière. Durant deux ans, plus de 100 000 femmes et enfants ont été pris en charge dans l'accompagnement psychosocial. Aujourd'hui, ces bénévoles nous racontent leurs engagements pour la communauté au risque de leurs vies. Dans le quartier Himbi, au cœur de Goma, sous un silence accompagné du chant des oiseaux, Nathalie Muchinya et Alphanie Thembo racontent leur engagement en faveur des habitants de l'est du pays. En dépit des incertitudes, ces deux membres du Club RFI de Goma sont décidées à aller à la rescousse des communautés. « Depuis la guerre du M23, j'organise deux séances de groupe de paroles, de résilience émotionnelle et de décharge émotionnelle avec les jeunes. Travailler pour le bien des autres personnes sans attendre quelque chose en retour », explique Alphanie Thembo. « Ce qui m'anime aujourd'hui est de travailler en tant que bénévole au sein du club RFI Goma. C'est cet esprit d'abord d'humanité. L'humanitaire, c'est vraiment important pour moi et ce service qu'on rend à la communauté. Quelqu'un vient et témoigne de ce que vous lui avez fait ressentir, ce que vous lui avez encore donné, de nouveau cet espoir de vivre », abonde Nathalie Muchinya. Nathanaël Bora, chargé de programme au sein de l'organisation, estime que servir les communautés qui souffrent devrait animer l'humanité aujourd'hui : « Nous ne sommes pas affectés de la même manière. Bien sûr que, nous aussi, vivons dans cette communauté. Il y a des difficultés que nous connaissons. Par exemple, à cause de ce conflit, il y a des femmes qui sont violées. Alors qu'est-ce que nous, au Club RFI, nous faisons ? Nous cherchons à mettre ensemble le psychologue bénévole pour l'accompagnement psychologique de ces femmes violées, de ces victimes de violences sexuelles. Je suis vraiment motivé à continuer à aider ma communauté. Parce que ma communauté a besoin des œuvres caritatives, des œuvres de bénévolat pour surmonter toutes les difficultés que nous connaissons. » Des besoins énormes Depuis la prise des villes de Goma et Bukavu, les besoins sont devenus énormes. Maître Zacharie Bashwira, coordonnateur du Club RFI, plaide pour plus du financement, au regard de la crise actuelle qui s'accentue et dont les femmes et les jeunes, dit-il, sont les premières victimes. « Notre objectif, c'est d'arriver à encadrer ces jeunes. Les clubs RFI, par exemple, viennent de donner une chance à une trentaine de jeunes orphelins de guerre qui vivent dans les orphelinats à Goma et à Nyiragongo. Nous les avons formés à des métiers professionnels. Aujourd'hui, ils sont sur le marché de l'emploi. On ne va pas s'arrêter là. On va continuer ces cycles pour essayer de passer d'une jeunesse à risque à une jeunesse opportune », détaille-t-il. Aujourd'hui, le Club RFI à Goma compte 39 volontaires permanents et une centaine des bénévoles occasionnels, qui œuvrent tous au service de la communauté.
durée : 00:09:09 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - À travers son association Fight for Dignity, Laurence Fischer, multiple championne de karaté, accompagne des femmes victimes de violences. Elle aide les survivantes à se réapproprier leur corps et à retrouver une affirmation de soi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air l'invité du 25 novembre 2025 avec Nathacha Appanah, écrivaine et journaliste, lauréate du prix Femina pour son dernier livre, La Nuit au Cœur, paru aux éditions Gallimard.Ce mardi 25 novembre est la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. En France, plus de trois femmes sont victimes chaque jour de féminicide ou de tentative de féminicide conjugal selon un rapport, et 107 femmes ont été tuée par un conjoint ou ex conjoint en 2024, un chiffre en hausse. Dans le monde, selon les chiffres révélés aujourd'hui par l'Onu Femmes, 50.000 femmes et filles ont été tuées par un proche en 2024, soit une toutes les dix minutes.Dans La Nuit au cœur, l'autrice mauricienne Nathacha Appanah raconte trois histoires de violences conjugales. Celle de Chahinez Daoud, brûlée vive par son mari en 2021 à Merignac, celle d'Emma, la cousine de Nathacha Appanah tuée par son mari à Maurice et sa propre histoire, elle qui a été victime d'un conjoint violent qui a failli la tuer lorsqu'elle habitait à Maurice. Nathacha Appanah, écrivaine et journaliste, lauréate du prix Femina pour son dernier livre, « La Nuit au Cœur », paru aux éditions Gallimard, est notre invitée à l'occasion de la journée internationale contre les violences faites aux femmes. Elle nous livrera son regard d'écrivaine et de journaliste, elle-même victime de violences dans le passé, sur la hausse du nombre de féminicides, et sur l'ampleur des violences dont les femmes sont victimes.
durée : 00:16:09 - L'invité du 13/14 - La lutte contre les violences faites aux femmes ne se résume pas aux outils judiciaires ou à la prévention elle passe avant tout par l'accompagnement des victimes et de leurs proches qui se retrouvent souvent seuls face à l'incompréhension et à la complexité des démarches Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:59:17 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Au cœur de cette journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, il y a la question de moyens, les outils judiciaires, le travail de prévention... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque matin, à 8h50, l'imitateur rejoindra Apolline de Malherbe. Au programme : un débrief impertinent et sur-mesure de l'actualité politique, juste après le face-à-face avec l'invité du jour. À l'approche des municipales et de la présidentielle et dans un contexte politique en pleine effervescence, Nicolas Canteloup apportera sa voix unique, son regard affûté, et surtout une dose d'humour bien placée pour réveiller les auditeurs.
durée : 00:31:06 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Clément Baudet - Petites mains d'immenses réseaux, de plus en plus jeunes et de plus en plus nombreuses, elles sont des dizaines à trouver la mort chaque année dans des attaques liées au trafic de stup'. Amine Kessaci est résolu à donner une voix à leurs familles dévastées. Un reportage de Clément Baudet. - réalisation : Anne Depelchin
durée : 00:31:06 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Clément Baudet - Petites mains d'immenses réseaux, de plus en plus jeunes et de plus en plus nombreuses, elles sont des dizaines à trouver la mort chaque année dans des attaques liées au trafic de stup'. Amine Kessaci est résolu à donner une voix à leurs familles dévastées. Un reportage de Clément Baudet. - réalisation : Anne Depelchin
durée : 00:04:48 - La Revue de presse internationale - par : Mathilde Romagnan - Près de 2 700 femmes ont subi des viols et agressions sexuelles dans la région d'Amhara, où le conflit entre l'armée éthiopienne et les Fano, les milices populaires traditionnelles "d'autodéfense" de l'ethnie Amhara, dure depuis plus de deux ans.
durée : 00:06:20 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - François Vacherat, directeur général de la Fondation Action Enfance, est notre invité à l'occasion de journée internationale des droits de l'enfant. La fondation publie une étude avec ce chiffre glaçant : 12 % des Français disent avoir subi des maltraitances durant leur enfance. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Rediffusion. Une affaire au cœur d'un club sportif pour évoquer les violences sexuelles dans le sport… Ces clubs sont pour certaines personnes une véritable famille de substitution, pourtant les violences y sont parfois présentes. L'histoire que Caroline Nogueras va vous raconter, c'est celle d'Isabelle Demongeot, ancienne championne de tennis, violée à plusieurs reprises par son entraîneur. Isabelle est la première victime de Régis de Camaret à avoir parlé bien avant la vague #Metoo. Régis de Camaret face à ses victimes devant la justice Après 4 ans de bataille judiciaire, fin 2009, la Cour d'Appel d'Aix en Provence a finalement décidé de ne pas poursuivre l'entraîneur de tennis pour viols et agressions sexuelles sur deux de ses anciennes joueuses, mineures au moment des faits. Pour l'ancienne star du tennis français Isabelle Demongeot, à l'origine des dénonciations et les 25 autres femmes qui se disent victimes de Régis de Camaret, cette décision est d'une violence inouïe. Avec ce sentiment injuste que ce sont elles les coupables. Coupables d'avoir parlé, coupable d'avoir dénoncé une figure de Saint-Tropez, un entraîneur de renom. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La secte terroriste connue sous le nom Boko Haram a lancé une insurrection armée en 2009 pour établir un État islamique, tuant des dizaines de milliers de personnes et déplaçant plus de deux millions dans le nord-est du Nigeria. Pour résoudre cette crise sécuritaire et humanitaire qui frappe également les pays voisins, Abuja a lancé plusieurs programmes de réconciliation et de réintégration pour favoriser les défections dans les rangs de Boko Haram et de l'Iswap. Une perspective qui indigne certaines victimes, qui se sentent abandonnées par l'État. De notre correspondant au Nigeria, La colère ne quitte plus Aisha. En 2011, son fils est pris dans une énorme rafle de l'armée nigériane, car il était suspecté, comme des milliers d'hommes, d'être un Boko Haram. Aujourd'hui, Aisha ne sait pas si son enfant est encore vivant. Et malgré les intimidations, cette septuagénaire au visage fin et tatoué, hurle à l'injustice à la face des autorités politiques et militaires qu'elle croise dans Maiduguri. « Le gouvernement fédéral ne nous reconnaît pas comme citoyens nigérians. Pourquoi il accepte les repentis ? Et en plus, il les réintègre dans la communauté ? Pourquoi l'armée ne libère-t-elle pas nos enfants pour qu'on puisse connaître la vérité ? Le gouvernement incarcère nos enfants sans jugement et accepte les repentis de Boko Haram. Ce n'est pas cela la justice pour moi », dénonce Aisha. Abba Ashigar réajuste sa prothèse orthopédique remplaçant sa jambe gauche : cet étudiant a survécu à un attentat suicide. Le 16 janvier 2017, il entre avec son père et son jeune frère dans une des mosquées du campus de l'Université de Maiduguri. À peine l'imam démarre la prière de l'aube, un kamikaze déclenche son engin explosif. « Même si vous voulez pardonner, vous ne saurez pas vraiment ce que vous pouvez pardonner. Voulez-vous dire que je dois pardonner à ceux qui ont commis un attentat suicide dans la mosquée ? Ou à ceux qui ont organisé cet attentat ? Ou à ceux qui les ont financés ? Qui dois-je pardonner ? », interroge Abba. À lire aussiNigeria: comment j'ai basculé dans Boko Haram [1/5] Le jeune frère d'Abba, ainsi que trois autres personnes, ont succombé à leurs blessures. Abba est encore marqué psychologiquement par ce drame même s'il se dit fort. Comme Aisha, Abba est choqué par le retour sans procès des repentis Boko Haram : « Comment vous, le Gouverneur de l'État de Borno, vous les gens du gouvernement fédéral, vous osez simplement ramener ces gens ? Ceux qui ont massacré votre mère sous vos yeux. Ceux qui ont massacré votre père, vos voisins. Ou ceux qui ont commis des attentats-suicides contre vous. Les ramener simplement dans la ville, puis dire : "Ce sont des repentis". Pourquoi se repentiraient-ils devant nous ? » Loin de se laisser abattre, Abba se concentre sur son master en statistiques. Et chaque jour, il retourne prier dans la même mosquée du campus, pour le repos de l'âme de son petit frère. À lire aussiNigeria: la réintégration d'ex-membres de l'Iswap dans la société, sans passer par la case prison [2/5]
Rediffusion. Une affaire au cœur d'un club sportif pour évoquer les violences sexuelles dans le sport… Ces clubs sont pour certaines personnes une véritable famille de substitution, pourtant les violences y sont parfois présentes. L'histoire que Caroline Nogueras va vous raconter, c'est celle d'Isabelle Demongeot, ancienne championne de tennis, violée à plusieurs reprises par son entraîneur. Isabelle est la première victime de Régis de Camaret à avoir parlé bien avant la vague #Metoo. L'enquête et la découverte de nombreuses victimes Isabelle Demongeot a marqué le tennis dans les années 80 et 90. Cette petite prodige aux yeux clairs, cheveux blonds coupés au carré toujours retenus par un bandana noué autour de son front, devient championne de France en 1989 et 35ème mondiale. Mais à l'ombre des courts, elle subit les viols répétés de son entraîneur Régis de Camaret depuis ses 14 ans. Jusqu'au jour, où elle lui tient tête et se libère de son emprise. Bien des années plus tard, Isabelle va découvrir qu'elle est loin d'être la seule victime de cet homme. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
À l'occasion du dixième anniversaire des attentats de novembre à Paris, la France prépare un hommage officiel avant le match contre l'Ukraine.Traduction :On the tenth anniversary of the November 2015 Paris attacks, France plans an official tribute ahead of the Ukraine match. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alicia Ambroise a 5 ans lorsque ses parents se séparent. Son père se remet en couple avec une femme qui a déjà une fille, Laura. Alicia et Laura nouent une relation forte. Mais quand elle a 13 ans, alors qu'elle est sans nouvelles de son père, elle apprend qu'il est en prison, accusé d'avoir violé Laura. Plusieurs années plus tard, alors qu'elle a coupé les ponts avec son père, elle apprend l'existence de l'« obligation alimentaire », une disposition du Code civil datant de 1804 et qui prévoit que devenus adultes, les enfants ont l'obligation de s'occuper financièrement de leurs parents âgés, s'ils sont dans le besoin. Elle décide alors de fonder un collectif qu'elle baptise « les liens en sang », et de se battre pour que les victimes de parents violents ou défaillants puissent se libérer de cette obligation. Alicia Ambroise témoigne aujourd'hui dans Code source au micro d'Anaïs Godard.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Anaïs Godard - Production : Thibault Lambert et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : M6.Annonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'était il y a dix ans, le 14 novembre 2015 : l'accident ferroviaire d'Eckwersheim en Alsace. Il a causé la mort de 11 personnes et fait 44 blessés. Un TGV effectuait des essais sur une ligne non exploitée de la SNCF dans l'est du pays lorsqu'il a déraillé au niveau d'un pont.C'est le premier accident mortel depuis la mise en circulation des TGV, il y a 35 ans. À la suite des attentats du 13 Novembre, cet accident a été peu médiatisé malgré sa gravité. Pendant les investigations, les experts ont conclu à une erreur humaine, notamment un excès de vitesse et un freinage trop tardif du train. Le procès s'est ouvert l'an dernier devant le tribunal correctionnel de Paris. 89 personnes se sont constituées parties civiles. Sur les bancs des prévenus : la SNCF, la société qui gérait les essais, mais aussi trois personnes physiques. Dans cet épisode, Pauline Revenaz et Elisa Fernandez reçoivent Maître Sophie Sarre, avocate au barreau de Paris et représentante de parties civiles au procès.
Auditrice : - Belge au cœur français, Yolanda dédie un poème aux victimes du 13 Novembre Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:38 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Après le primé "La Nuit du 12" et son immersion dans les services de la police judiciaire de Grenoble, Dominik Moll pose ses caméras dans les locaux de l'IGPN, la police des polices, en pleine crise des Gilets jaunes pour "Dossier 137". - réalisation : Laurence Malonda - invités : Dominik Moll Réalisateur et scénariste français
Selon des révélations de l'agence Reuters, Meta tirerait une part considérable de ses revenus de publicités frauduleuses – arnaques financières, casinos illégaux ou produits interdits. Des documents internes montrent que le groupe assume ce modèle économique et anticipe même le coût des sanctions qui en découle. Selon nos confrères de Reuters, Meta - le groupe qui détient les réseaux sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp - gagnerait chaque année des milliards de dollars grâce aux publicités frauduleuses. Arnaques, casinos illégaux, produits interdits, ces annonces, dont les utilisateurs sont régulièrement exposés, font partie d'une économie bien réelle. En vous connectant récemment sur votre compte Facebook, vous êtes sans doute tombés sur des publicités promettant un enrichissement rapide, de fausses interviews de célébrités ou des produits miracles pour maigrir. Ces contenus sont payés par ceux qui les conçoivent pour apparaître sur les écrans des utilisateurs. Selon Reuters, 10 % du chiffre d'affaires 2024 de Meta, soit près de 16 milliards de dollars, proviendraient de ces publicités douteuses. Et ce qui surprend, c'est que cela fait pleinement partie du business model (« modèle d'entreprise », en anglais) du groupe. Meta assume le risque et fait payer davantage les annonceurs suspects Les documents internes montrent que Meta a parfaitement conscience de ce modèle. L'entreprise anticipe même le risque judiciaire. Elle s'attend à un milliard de dollars d'amendes, un montant qu'elle juge acceptable au regard des revenus générés. Autrement dit, mieux vaut payer pour les sanctions que perdre des parts de marché. Et malgré l'existence d'un système de modération, celui-ci atteint vite ses limites. Un annonceur n'est bloqué que si les algorithmes estiment à 95 % qu'il commet une fraude. En dessous de ce seuil, Meta ne suspend pas le compte. Elle lui fait payer plus cher ses publicités. C'est ce que le groupe décrit comme une « pénalité économique ». Les annonceurs suspects paient davantage, mais leurs messages continuent de circuler. Les algorithmes, eux, aggravent encore le phénomène. Les publicités étant personnalisées, un seul clic sur une annonce douteuse suffit à en générer d'autres dans les heures et jours suivants. L'algorithme amplifie donc la fraude… et chaque clic reste rentable pour Meta. Victimes, annonceurs et confiance fragilisés D'abord pour les victimes, qui perdent parfois des sommes importantes. Pour les annonceurs honnêtes, qui subissent une concurrence déloyale dans les enchères publicitaires. Et surtout pour les utilisateurs, dont la confiance s'érode : à force de croiser de fausses publicités, beaucoup finissent par se méfier même des marques légitimes. Au-delà de Meta, cette affaire pose une question de fond : comment réguler un marché publicitaire mondial où les plateformes sont juges et parties ? Elles hébergent, diffusent et profitent parfois des fraudes qu'elles prétendent combattre. Avec plus de trois milliards d'utilisateurs, 120 milliards de dollars de chiffre d'affaires et un pouvoir colossal sur la publicité mondiale, Meta occupe une place centrale dans cet écosystème. En réalité, cette affaire interroge la soutenabilité du modèle publicitaire numérique : tant que la fraude rapportera plus qu'elle ne coûte, les géants du numérique auront peu d'intérêt à l'éradiquer. Et dans cette équation, la régulation mondiale semble encore loin derrière l'innovation. À lire aussiLe groupe Meta met fin aux publicités politiques dans l'Union européenne
Le Journal en français facile du jeudi 13 novembre 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CBJ3.A
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 13 novembre 2025, les GG : Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : "Abdeslam veut rencontrer ses victimes, indécent ?"
Invités : - Matthieu Langlois, ancien médecin-chef du raid - Louis de Raguennel, journaliste politique - Eric Naulleau, journaliste - Catherine Nay, grande voix d'Europe 1 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Matthieu Langlois, ancien médecin-chef du raid - Louis de Raguennel, journaliste politique - Eric Naulleau, journaliste - Catherine Nay, grande voix d'Europe 1 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Retour sur les attentats du 13 novembre 2015 en France, avec les cérémonies d'hommage organisées 10 ans après, notamment la visite d'Emmanuel Macron sur les différents lieux touchés.Témoignage poignant d'un rescapé du Bataclan, qui raconte son traumatisme et sa lente reconstruction après cet événement.Intervention des forces de l'ordre lors de l'assaut au Bataclan, avec le récit du chef de colonne de la BRIPP.Retour sur les sentiments de la population française, entre colère, pardon et volonté de ne pas oublier ces attentats.Actualités diverses, notamment la grâce de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal par le président algérien, et les débats sur la suspension de la réforme des retraites.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:48 - Le Reportage de la rédaction - Dix ans après les attentats terroristes du 13 novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis, comment transmettre la mémoire de ces événements aux jeunes générations ? Des victimes et des proches endeuillés, comme Aurélie Silvestre, interviennent depuis plusieurs années dans les établissements scolaires.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : "Victimes de terrorisme VS victimes de pollution, le tollé !" "Info RMC : bagages abandonnés, la RATP s'assouplit !"
durée : 00:14:47 - Journal de 12h30 - Plus de 1 500 personnes se sont élancées dimanche matin dans une "course de la liberté", dix ans après les attentats de novembre 2015 de Paris et Saint-Denis. Un évènement imaginé par les rescapés, avant une semaine de commémorations partout en France. - invités : Pauline Vilain-Carlotti Docteure en géographie
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Colombie, l'ancienne propriété de Pablo Escobar, l'Hacienda Napoles, vient d'être donnée à des femmes victimes du conflit. Un geste fort pour tourner la page du narcotrafic. Écoutez RTL autour du monde du 04 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.