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"Ce qui restait de sa vie, c'était son pouls qui battait. Il n'y avait plus rien d'autre. Aujourd'hui, je suis le seul qu'elle reconnaît. Je pense que c'est ça l'amour." Il y a 15 ans, la femme de Bernard a un grave accident de vélo... Coma profond. Deux voies possibles : la mort ou une vie de légume. Pourtant, Anne-Claire va réussir à se réveiller et à tout réapprendre : marcher, parler, connaître le prénom de ses enfants, là où elle habite... Bernard témoigne aujourd'hui de l'amour qu'il lui porte, et de la manière dont cet amour a grandi tout au long de la maladie. Merci à lui pour ce témoignage lumineux.
durée : 00:58:45 - Ils ont changé le monde - par : Isabelle Lasserre - Le Taïwan Relations Act, qui encadre les relations diplomatiques entre les États-Unis et Taïwan depuis 1979, est mis à rude épreuve par le retour de Donald Trump au pouvoir. Alors que la Chine multiplie les intimidations militaires, Washington tiendra-t-il sa promesse de sécurité envers l'île ? - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Camille Grand Chercheur au Conseil européen pour les relations internationales (ECFR) et ancien secrétaire général adjoint de l'OTAN ; Alice Ekman Directrice de la recherche de l'Institut d'études de sécurité de l'Union européenne
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection "à boire et à manger", avec celles et ceux qui font le bon goût aveyronnais, je vous propose d'écouter... Marie-Thérèse Lacombe.Cet épisode a été publié pour la première fois en 2021.Sur le chemin des Pionnières, je me suis invitée chez l'une des plus grands chefs aveyronnais. Depuis trente ans, son nom et son restaurant n'ont pas quitté le guide Michelin, qui ne compte qu'une quinzaine de femmes parmi ses étoilés. Dans le village de Belcastel, qui l'a vue grandir, mon invitée a perpétué la tradition familiale en reprenant l'auberge que tenait sa grand-mère, puis sa mère avant elle, alors qu'elle n'avait qu'une vingtaine d'années. Rejointe par sa soeur Michèle en 1987, c'est en 1991 qu'elle décroche son étoile. Derrière ses lunettes rondes, qui ne sont pas sans rappeler deux autres chefs aveyronnais, son sourire semble familier, comme l'impression de la connaître depuis toujours. Preuve qu'elle est, en Aveyron, une personnalité incontournable. A jamais la première et encore unique étoilée du département. Mon invitée, c'est Nicole Fagegaltier.
Depuis plus de 10 ans, les actes homophobes sont en augmentation constante. Preuve en est que, même si les mentalités évoluent, le chemin est encore long. Baptiste Beaulieu a vécu cette réalité dès son plus jeune âge. Il a dû se battre contre les préjugés tout en déconstruisant une certaine vision de la masculinité, de l'identité et de la parentalité. Une conversation essentielle pour mieux comprendre comment avancer vers une société plus tolérante et inclusive. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'Irak fait face à l'une des sécheresses les plus graves de son histoire. Les terres du Croissant fertile de la Mésopotamie antique se détériorent et s'appauvrissent année après année sous les effets du changement climatique et de l'activité humaine. Cet été, les apports en eau venus des principaux fleuves irakiens sont trop faibles – peu de pluie cet hiver, et peu de délestage d'eau depuis la Turquie. C'est tout un patrimoine environnemental et historique qui souffre chaque année, et disparaît petit à petit, particulièrement dans le sud de l'Irak. À l'approche d'une écluse fermée qui sépare les marais de Chibayish du fleuve Euphrate, des mouches et une odeur nauséabonde emplissent l'air. Raed Al-Assadi, directeur de l'organisation pour l'Écotourisme de Chibayish : « Des centaines de tortues sont mortes. » La main sur le nez, Raed el-Assadi, constate la catastrophe. L'Euphrate a été coupé du réseau de canaux des marais pour conserver le plus d'eau possible pour la consommation humaine, ces tortues ont été prises au piège. « Ce sont des tortues qui migrent depuis les marais vers l'Euphrate parce que les eaux de l'Euphrate sont un peu meilleures que celles des marais qui sont très salées. Tu peux voir tout le long des marais de grands nombres d'animaux morts. Bien sûr, c'est un dérèglement clair et extrêmement grave de la chaîne de l'équilibre écologique en Irak. » Ces marais, classés au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2016, dépérissent. Seules 20% des zones marécageuses restent en eau cet été. Près d'une rive dénudée, dix buffles se baignent paisiblement, semble-t-il, mais l'eau des marais est devenue trop salée et la végétation change. Leur survie, à présent, dépend de ressources acheminées par bateau. Restriction de l'eau Leurs éleveurs, Kadhem et Razzaq, peinent à maintenir ces élevages traditionnels dans les marais : « Tous les jours, une bête meurt. Tout le monde est endetté à hauteur de 10, 15 ou 30 millions de dinars, pour du fourrage. Mais on ne peut pas abandonner. » Pour Razzaq Ismaël, un autre éleveur : « C'est notre culture, celle de nos ancêtres, c'est notre mode de vie et on le perpétue. » Mais la majorité des éleveurs est partie. Et même si certains reviendront lors de saisons plus clémentes, pour le directeur de l'Écotourisme de Chibayish, Raed el-Assadi, ce déplacement de population a déjà un effet sur le patrimoine local : « Tout change chez eux. Même leur manière de parler, on n'entend plus les mots ou les expressions propres aux habitants des marais. » Les éleveurs partent souvent vers le nord, mais la situation n'y est pas meilleure. Dans la province de Najaf à Mishkhab, connue pour l'odeur de ses plantations de riz ambre, depuis des siècles, il n'y a pas d'eau non plus et donc pas l'ombre d'une rizière. Abdel Ali al-Kuraity est agriculteur, ancien cultivateur de riz ambre : « Où peut-on encore trouver l'odeur du riz "ambre" ? Il n'y a plus d'eau. » L'agriculteur le reconnaît, l'irrigation par inondation pour cultiver ce riz, emblématique de la cuisine irakienne, n'est plus une option en ces temps de pénurie. Mais les restrictions sont sévères. Les canaux du village sont fermés depuis des mois : « La population dépendait de la culture du riz ambre, comme moyen de subsistance et source alimentaire principale. On a accepté de ne plus cultiver du riz, mais qu'on nous donne de l'eau ! » Les cultures alternatives se meurent elles aussi. Fouad, porte-parole de ces agriculteurs, s'emporte : « Nous ne sommes pas indemnisés. Que faire ? Émigrer ? Partir ? » D'année en année, les migrations vers les villes se multiplient Un exode qui complique la gestion des ressources en eau potable qui doivent être toujours plus réorientée vers les grandes agglomérations au détriment des zones rurales. À lire aussiIrak: la sécheresse provoque la disparition des marais du sud du pays, joyaux du patrimoine de l'Unesco
L'Irak fait face à l'une des sécheresses les plus graves de son histoire. Les terres du Croissant fertile de la Mésopotamie antique se détériorent et s'appauvrissent année après année sous les effets du changement climatique et de l'activité humaine. Cet été, les apports en eau venus des principaux fleuves irakiens sont trop faibles – peu de pluie cet hiver, et peu de délestage d'eau depuis la Turquie. C'est tout un patrimoine environnemental et historique qui souffre chaque année, et disparaît petit à petit, particulièrement dans le sud de l'Irak. À l'approche d'une écluse fermée qui sépare les marais de Chibayish du fleuve Euphrate, des mouches et une odeur nauséabonde emplissent l'air. Raed Al-Assadi, directeur de l'organisation pour l'Écotourisme de Chibayish : « Des centaines de tortues sont mortes. » La main sur le nez, Raed el-Assadi, constate la catastrophe. L'Euphrate a été coupé du réseau de canaux des marais pour conserver le plus d'eau possible pour la consommation humaine, ces tortues ont été prises au piège. « Ce sont des tortues qui migrent depuis les marais vers l'Euphrate parce que les eaux de l'Euphrate sont un peu meilleures que celles des marais qui sont très salées. Tu peux voir tout le long des marais de grands nombres d'animaux morts. Bien sûr, c'est un dérèglement clair et extrêmement grave de la chaîne de l'équilibre écologique en Irak. » Ces marais, classés au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2016, dépérissent. Seules 20% des zones marécageuses restent en eau cet été. Près d'une rive dénudée, dix buffles se baignent paisiblement, semble-t-il, mais l'eau des marais est devenue trop salée et la végétation change. Leur survie, à présent, dépend de ressources acheminées par bateau. Restriction de l'eau Leurs éleveurs, Kadhem et Razzaq, peinent à maintenir ces élevages traditionnels dans les marais : « Tous les jours, une bête meurt. Tout le monde est endetté à hauteur de 10, 15 ou 30 millions de dinars, pour du fourrage. Mais on ne peut pas abandonner. » Pour Razzaq Ismaël, un autre éleveur : « C'est notre culture, celle de nos ancêtres, c'est notre mode de vie et on le perpétue. » Mais la majorité des éleveurs est partie. Et même si certains reviendront lors de saisons plus clémentes, pour le directeur de l'Écotourisme de Chibayish, Raed el-Assadi, ce déplacement de population a déjà un effet sur le patrimoine local : « Tout change chez eux. Même leur manière de parler, on n'entend plus les mots ou les expressions propres aux habitants des marais. » Les éleveurs partent souvent vers le nord, mais la situation n'y est pas meilleure. Dans la province de Najaf à Mishkhab, connue pour l'odeur de ses plantations de riz ambre, depuis des siècles, il n'y a pas d'eau non plus et donc pas l'ombre d'une rizière. Abdel Ali al-Kuraity est agriculteur, ancien cultivateur de riz ambre : « Où peut-on encore trouver l'odeur du riz "ambre" ? Il n'y a plus d'eau. » L'agriculteur le reconnaît, l'irrigation par inondation pour cultiver ce riz, emblématique de la cuisine irakienne, n'est plus une option en ces temps de pénurie. Mais les restrictions sont sévères. Les canaux du village sont fermés depuis des mois : « La population dépendait de la culture du riz ambre, comme moyen de subsistance et source alimentaire principale. On a accepté de ne plus cultiver du riz, mais qu'on nous donne de l'eau ! » Les cultures alternatives se meurent elles aussi. Fouad, porte-parole de ces agriculteurs, s'emporte : « Nous ne sommes pas indemnisés. Que faire ? Émigrer ? Partir ? » D'année en année, les migrations vers les villes se multiplient Un exode qui complique la gestion des ressources en eau potable qui doivent être toujours plus réorientée vers les grandes agglomérations au détriment des zones rurales. À lire aussiIrak: la sécheresse provoque la disparition des marais du sud du pays, joyaux du patrimoine de l'Unesco
(00:00:46) Notre empathie, un sentiment à l'épreuve de l'actualité internationale (00:07:27) Les fêtes nationales, pas si vieilles que ça (00:13:59) La Polynésie durcit les règles pour préserver la tranquillité des baleines
L'Afrique contre la démocratie, c'est le titre-choc de l'ouvrage du journaliste indépendant Ousmane Ndiaye, qui vient de paraître aux éditions Riveneuve. Dans cet essai vigoureux, l'auteur s'attaque au mythe de l'officier patriote et intègre qui fait un putsch pour sauver son pays. Il répond aussi à ceux qui affirment que la démocratie à l'occidentale n'est pas adaptée aux valeurs africaines. Ousmane Ndiaye, qui a été notamment le rédacteur en chef Afrique de TV5 Monde, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous dites que l'un des arguments les plus forts des régimes putschistes d'Afrique de l'Ouest, c'est l'incapacité des régimes civils à repousser la menace jihadiste. Est-ce que ce n'est pas un bon argument ? Ousmane Ndiaye : C'est un argument cousu de fil blanc. Vous prenez un pays comme le Mali ou le Burkina Faso, mais la réalité c'est que les militaires ont toujours été au cœur de la gouvernance politique. Il n'y a pas eu d'un côté les civils qui gouvernent versus les militaires. Ensuite, deuxième chose, vous prenez un pays comme le Mali. Ça a été plus longtemps dirigé par des militaires que des civils. Vous parlez de ces généraux maliens qui ont passé plus de temps à faire de la politique qu'à faire la guerre. Et vous déconstruisez le mythe des militaires maliens intègres en rappelant qu'il y a dix ans, un général français, Bruno Heluin, a réalisé un audit accablant sur la corruption au sein de l'armée malienne... Il n'y a pas une différence. Il n'y a pas un clivage entre civils et militaires parce qu'on trouve cette constante dans les armées du Sahel. Donc le mythe kaki qui sauve qui est non corrompu, patriote, ça ne tient pas à l'épreuve des faits. Vous dites que, dans ce rapport, il est notamment écrit que l'armée malienne a reçu, à la fin des années 2000, quelque 800 pickups, mais qui ont tous disparu. Les moteurs ont été volés à des fins privées, c'est ça ? Oui, c'était un entretien qu'il m'avait accordé où il parlait de ces pickups qui ont été détournés et vendus. Alors ce que vous appelez le déni de démocratie, qui gagne plusieurs États africains et une partie de la jeunesse africaine, il s'appuie, dites-vous, sur le rejet de la France et non au modèle des démocraties occidentales. Mais de fait, est-ce que le général Mamadi Doumbouya n'a pas raison quand il dit à la tribune des Nations unies que ce modèle de démocratie n'est pas adapté aux valeurs africaines ? Il a tort pour plusieurs raisons. Quand vous prenez le cas de la Guinée, puisqu'on parle de Mamadi Doumbouya, le système de Sékou Touré ne peut pas dire que c'est un système basé sur le modèle occidental. Non ! Et je pense que ce n'était pas un système démocratique, c'était un régime dictatorial. Et puis c'est dangereux, l'idée de dire qu'on va adapter la démocratie aux valeurs africaines parce que ça suppose qu'intrinsèquement les valeurs africaines sont antidémocratiques, ce qui est terrible parce que cela relève d'un préjugé relevant d'une sorte de mépris, d'infériorité. Et puis parce que c'est totalement faux. À écouter aussiLe grand invité Afrique - «Les coups d'État en Afrique rencontrent une certaine audience auprès de la population» Vous écrivez, Ousmane Ndiaye que l'aveuglement anti-occidental est un outil de légitimation des nouvelles dictatures liberticides et sanguinaires du Mali, du Niger, du Burkina et de la Guinée. Mais vous, qui voyagez beaucoup, est-ce que vous pensez que les régimes militaires d'Afrique de l'Ouest sont majoritairement soutenus par les habitants de ces pays ? Il faut se méfier de cet argument de la popularité des régimes militaires. D'abord, dans une dictature, il n'y a pas d'opinion publique et donc c'est très compliqué de mesurer le niveau d'adhésion. Par contre, ce que je trouve populaire, c'est l'aspiration des africains à sortir d'une certaine domination postcoloniale. Ça, c'est une réalité. C'est une lame de fond. Il y a une captation par le discours militaire de ce sentiment légitime et de ce sursaut africain. Une partie de ces coups d'État est une sorte de hold-up sur des mouvements sociaux légitimes. Donc il est là, le coup de génie des nouveaux régimes militaires avec un argument-massue, c'est le rejet de l'Occident et de la France. Et cela marche. Dans votre livre, Ousmane Ndiaye, vous racontez comment les nouveaux dirigeants du Sénégal, notamment le Premier ministre Ousmane Sonko et le député Pastef Guy Marius Sagna soutiennent ouvertement le régime répressif du capitaine Traoré au Burkina Faso alors que l'un des prisonniers politiques les plus connus dans ce pays, maître Guy Hervé Kam, n'est autre que l'avocat d'Ousmane Sonko. Comment expliquez-vous ce que vous appelez ce basculement idéologique à Dakar ? Pour moi, c'est surtout un double standard, notamment dans les mouvements révolutionnaires progressistes de gauche qui considèrent que les standards démocratiques sont variables en fonction des situations. Et la contradiction du Pastef et de ses alliés, c'est que le Pastef s'est battu au Sénégal pour avoir de la liberté d'expression, pour avoir le droit de ne pas être dissous. Et pendant ce temps-là, les mêmes qui se battent, légitiment dans le pays voisin, le Mali ou le Burkina, un régime qui a décidé de dissoudre tous les partis politiques. Et je pense que c'est une des maladies du continent aujourd'hui. Ces doubles standards qui souvent s'expliquent au nom de l'anti-impérialisme. Je ne comprends pas pourquoi tout ce que le Pastef n'accepte pas au Sénégal en termes de restrictions, l'accepte ailleurs. À lire aussiBurkina Faso: l'avocat Guy-Hervé Kam de nouveau placé sous mandat de dépôt
Et si une des plus grandes croyances de la maternité moderne était aussi… l'une des plus toxiques ?
REDIFF - France Gall, icône de la chanson française, a su transformer son image de jeune chanteuse insouciante en une artiste affirmée et moderne. Entre triomphes, drames et résilience, revivez son destin hors du commun, au rythme de ses tubes intemporels dans "France Gall, une vie à toute épreuve (Partie 2)"Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - France Gall, icône de la chanson française, a su transformer son image de jeune chanteuse insouciante en une artiste affirmée et moderne. Entre triomphes, drames et résilience, revivez son destin hors du commun, au rythme de ses tubes intemporels dans "France Gall, une vie à toute épreuve (Partie 1)"Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le PDG d'une startup et sa DRH ont été pris en flagrant délit d'adultère lors d'un concert de Coldplay. La scène, captée sur un écran géant, a fait le tour des réseaux sociaux. Preuve que, même dans la foule, l'anonymat n'est pas garanti. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a un an, Paris vibrait au rythme des Jeux olympiques et paralympiques. Depuis, la flamme s'est éteinte, mais que reste-t-il de cet été hors norme dans la capitale française ? Avec une série de reportages, RFI revient pendant deux semaines sur les promesses, les transformations et les traces laissées par les Jeux dans la ville et dans les vies. Aujourd'hui, on revient sur un sport qui séduit de plus en plus d'adeptes depuis un an : le tennis de table. Dans les campings, dans les cours d'école ou au milieu d'un parc, la table de ping-pong est devenue presque indispensable. Les JO 2024 et le succès des frères Alexis et Félix Lebrun, deux jeunes Français qui se sont hissés sur les podiums, ont crédibilisé le tennis de table et fait rêver de nombreuses personnes. Preuve en est : les inscriptions dans les clubs sont en hausse. En Île-de-France, la proportion d'adhérents a grimpé de 17%. À lire aussiMondiaux de tennis de table: les frères Lebrun se contentent du bronze
Dans cet épisode rempli d’émotion et de tendresse, l’équipe des Lève-Tôt plonge dans les défis du quotidien parental. D’abord, Ingrid confie son incapacité à jeter les dessins de son fils, même ceux griffonnés sur un coin de napkin. Une entreprise de rangement a dû l’aider à reprendre le contrôle, mais chaque œuvre retrouvée éveille souvenirs et larmes… Et vous, réussissez-vous à faire le tri? Puis, un moment fort : une mère a bravé les règles d’un camp de jour pour soutenir son fils, trop honteux pour retourner dans l’eau après avoir échoué son test de nage. Grâce à sa présence rassurante, il affronte sa peur… et gagne en confiance. Une histoire bouleversante sur le courage maternel. Enfin, Tati nous rappelle que 80 $ et trois heures suffisent pour apprendre à sauver une vie. Son expérience en formation RCR dans une crèmerie de St-Bruno est à la fois drôle, humaine et essentielle. Un balado à écouter en famille… ou avec un mouchoir à portée de main.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Et si les histoires d'amour les plus anciennes étaient aussi les plus folles ? Cet été, À la folie, pas du tout explore les liaisons mythologiques, de la Grèce antique à Rome, entre dieux capricieux, mortels éperdus et destins brisés. Ces récits fondateurs révèlent des passions brûlantes, parfois cruelles, souvent dérangeantes. À écouter au soleil… ou à l'ombre des tragédies. Ulysse et Pénélope, c'est le couple rassurant de la mythologie grecque. Au milieu des récits de trahison, de meurtre, de vengeance, il y a cette histoire de fidélité à toute épreuve. Ulysse et Pénélope c'est ce couple d'amis, solide qu'on n'imagine pas se séparer. Bon, dans ce mythe il y a de la fidélité, c'est certain, mais il y a aussi du sang, de la sueur et des larmes. Un podcast Bababam Originals Ecrit et raconté par Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'optimisme est une qualité précieuse qui peut transformer notre perception de la vie et influencer positivement notre bien-être général. Ok, du fait des actualités économiques et politiques, ce n'est pas toujours simple. Cependant, rester optimiste n'est pas impossible si nous le décidons. J'ai toujours beaucoup aimé cette citation de Voltaire : "J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé". Eh bien, cet article explore les clés pour cultiver et maintenir un état d'esprit optimiste, en se basant sur des statistiques et des stratégies éprouvées.
Invitée : - Marie-Odile dénonce le manque de respect dont certains fonctionnaires font preuve. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
L'infidélité peut briser un couple... Mais savez-vous vraiment quelles en sont les conséquences lors d'un divorce ? Preuve de l'infidélité, impact sur la garde des enfants, répercussions financières... L'adultère peut-il tout changer ? Décryptage dans ce podcast, avec Me Sylvie Noachovitch ! Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une véritable inspiration. Yanis Belmessikh, âgé de 23 ans, va tenter de courir sous les 2h30 au marathon de Berlin... Après avoir passé de longues années de galères, d'hospitalisation et de douleur. Atteint d'un arrêt brutal de la miction (vidange de la vessie) en 2018, Yanis a subi de nombreuses interventions chirurgicales jusqu'en 2021 et l'opération du Mitrofanoff. Et c'est dans sa chambre d'hôpital, fort de son expérience difficile, qu'il se lance dans la course à pied avec avec comme objectif le marathon de Paris 2023. Deux ans plus tard, il courra en septembre prochain au profit de l'association APEX, qui soutient les personnes atteintes d'exstrophie vésicale, malformation rare provocant des troubles urinaires. Des jambes de feu mais surtout un mental de fer : RMC Running reçoit Yanis Belmessikh. Si vous souhaitez soutenir Yanis et l'association APEX, voici le lien de la cagnotte mise en place à l'occasion du marathon de Berlin : https://app.lacagnottedesproches.fr/cagnotte/42km-pour-lespoir/
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Une sélection des actualités du jour qui ont un impact direct ou indirect sur vos finances personnelles. Avec : Matthias Baccino, directeur Europe Trade Republic, et Gustav Sonden, cofondateur de Colbr.
Des pénuries de nourriture, de médicaments, de biens de première nécessité… et des approvisionnements en très grande partie bloqués par Israël. Depuis plusieurs mois, les Palestiniens de la bande de Gaza manquent de tout. Plus de deux millions de personnes confrontées à la faim, aux maladies, et qui risquent même leur vie face aux tirs et bombardements de l'armée israélienne, lors des rares distributions d'aide. Une situation chaotique qui souligne, une fois de plus, l'importance cruciale de l'action humanitaire, déployée aussi depuis l'invasion russe en Ukraine, la guerre civile au Soudan, indispensable pour aider les victimes de catastrophes naturelles ou d'une épidémie. De plus en plus sollicitées, les différentes organisations qui s'occupent de l'action humanitaire doivent s'adapter à des contextes violents, où le droit international humanitaire est de plus en plus fragile, et qui demandent des moyens importants malgré les baisses de financements. Invités : - Jean-François Corty, président de l'ONG Médecins du monde, chercheur associé à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Il vient de publier «Géopolitique de l'action humanitaire» (éditions Eyrolles) - Philippe Ryfman, politiste et juriste, professeur et chercheur associé honoraire à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien directeur du master Coopération internationale et action humanitaire - Jean-Martin Bauer, directeur du service d'analyse de la sécurité alimentaire au Programme alimentaire mondial (PAM), lié à l'Organisation des Nations unies.
Chaque jour, votre coaching financier : on vous coache pour vous aider à devenir meilleur investisseur.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:48 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Julie Jammot qui rentre des États-Unis suivi d'une table-ronde sur l'élite politico-militaire iranienne dans le contexte de la guerre contre Israël. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Julie Jammot Journaliste à l'AFP ; Armin Arefi Grand reporter, spécialiste du Proche et Moyen-Orient; Sophia Mahroug Docteur en histoire de Sorbonne Université, spécialiste de l'Iran et du corps des Gardiens de la Révolution
durée : 00:36:50 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Depuis le 13 juin, Israël conduit l'opération « Rising Lion », marquée par une succession de frappes d'envergure visant l'Iran. Bien que le Guide Suprême, l'ayatollah Khamenei ait martelé le 18 juin que "la nation ne se rendra pas”, c'est bien l'avenir du régime qui est en jeu. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Armin Arefi Grand reporter, spécialiste du Proche et Moyen-Orient; Sophia Mahroug Docteur en histoire de Sorbonne Université, spécialiste de l'Iran et du corps des Gardiens de la Révolution
durée : 00:39:48 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - La guerre déclenchée par Nétanyahou en Iran est-elle une guerre préventive ? Est-elle une guerre juste ? Ce matin, nous interrogeons les outils conceptuels de la philosophie contemporaine : suffisent-ils pour comprendre les conflits au Proche-Orient et ailleurs dans le monde aujourd'hui ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marc Crépon Directeur de recherche à l'Université Paris Sorbonne et directeur du département de philosophie à l'École normale supérieure; Perrine Simon-Nahum Directrice de recherche au CNRS, professeure à l'École normale supérieure de Paris
durée : 02:40:02 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Paul Tourret, directeur de l'Institut Supérieur d'Économie Maritime / Marion Ogier, Avocate en droit public au barreau de Paris / Marc Crépon, Directeur de recherche au CNRS et professeur attaché à l'ENS et Perrine Simon-Nahum, Directrice de recherche au CNRS, professeure à l'ENS - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:03:07 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Le ministère de l'Éducation nationale a signalé une augmentation de 14 % des cas de triche lors du baccalauréat depuis 2023. Si plus de la moitié des fraudes utilisent des outils modernes tels que montres connectées et smartphones, les méthodes traditionnelles comme les antisèches restent courantes.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de DeepTech, Alexandre Bounouh, directeur général du CEA List et président du Réseau Carnot, revient sur le rôle central que joue la recherche publique dans la compétitivité industrielle française. Le CEA List, c'est 1 000 ingénieurs-chercheurs, un budget de 140 millions d'euros, dont seulement 20 millions de subventions publiques, avec un modèle économique fondé sur la contractualisation avec l'industrie. Son fonctionnement, partagé par les 39 instituts labellisés Carnot, s'inspire du modèle allemand des instituts Fraunhofer.Ce réseau, qui regroupe 35 000 chercheurs, génère 600 millions d'euros de contrats annuels et a permis la création de plus de 1 800 start-up depuis 2006. Preuve, selon Alexandre Bounouh, que « l'investissement de l'État dans la recherche publique irrigue efficacement l'innovation privée ».Il alerte toutefois sur le retard français : le financement R&D des entreprises stagne à 1,4 % du PIB, loin des 3 % de l'Allemagne. Pour lui, un changement culturel est nécessaire : « L'innovation ne doit plus être vue comme un centre de coût, mais comme un levier stratégique. » Il défend une recherche tournée vers les usages, tout en anticipant les ruptures à venir. IA post-deep learning, cloud distribué ou encore quantique : le CEA List investit à long terme. « On doit échouer parfois, mais on a le devoir d'essayer. » Un état d'esprit qui continue d'attirer les talents, motivés par le sens des projets et leur impact. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la conférence des Nations unies sur les océans bat son plein, le transport maritime, crucial pour le commerce mondial, fait l'objet d'une transformation sans précédent. À l'heure où ce secteur émet autant de CO2 qu'un pays comme l'Allemagne, la transition écologique devient incontournable. Décryptage. Chaque année, près de 90 % des marchandises échangées dans le monde transitent par les mers et les océans. Céréales, pétrole, voitures, vêtements, appareils électroniques, tout voyage par cargo, pétrolier ou porte-conteneurs. Actuellement, environ 90 000 navires commerciaux sillonnent la planète. Mais cette industrie titanesque pèse lourd sur l'environnement. Elle représente à elle seule 3 % des émissions mondiales de CO2. Avec l'augmentation continue du commerce mondial, ces émissions pourraient doubler d'ici 2050 si rien n'est fait. Consciente de cet enjeu, l'Organisation maritime internationale s'est fixée un objectif ambitieux : atteindre la neutralité carbone à l'horizon 2050. Une transition écologique coûteuse et complexe Cette transformation a un prix, jusqu'à 28 milliards de dollars par an, selon les estimations les plus élevées. Une question cruciale se pose alors : qui va financer cette mutation ? Les armateurs, en première ligne, sont incités à investir dans des technologies plus propres. Pour les trajets courts ou moyens, les navires hybrides – combinant fioul et électricité – représentent une piste. Pour les longues distances, les carburants alternatifs comme le bioéthanol ou l'hydrogène sont encore en phase d'expérimentation, freinés par leur coût élevé et leur disponibilité limitée. Mais toutes les solutions ne sont pas universelles. Ce qui fonctionne pour un ferry côtier ne peut pas forcément s'appliquer à un gigantesque porte-conteneurs. Moins vite, moins d'émissions ? Parmi les leviers d'action, la réduction de la vitesse des navires se révèle efficace. Un ralentissement de 10 % permettrait de diminuer les émissions de CO2 de 13 % et de diviser par deux les collisions avec les cétacés. Mais cette solution implique aussi des temps de trajet allongés et donc une hausse des coûts logistiques. L'Europe a d'ores et déjà intégré le transport maritime à son marché du carbone. Tout navire accostant dans un port européen est désormais taxé sur ses émissions, avec des recettes réinvesties dans la décarbonation du secteur. Preuve que la mutation est lancée… mais qu'elle nécessitera des moyens financiers massifs, publics comme privés, pour devenir réalité. À lire aussiTransport maritime: le grand plongeon après les tarifs douaniers américains
Dans ce spectacle, le collectif l'Avantage du doute aborde avec humour des questions de féminisme et écoanxiété... Peut-on rire de tout ? De toute évidence, oui. Le collectif «l'avantage du doute» tisse un lien entre crise climatique et patriarcat, mais sans jamais se prendre au sérieux, ni faire la leçon. Une dizaine de saynètes aussi décalées qu'empreintes de vérité composent le spectacle. On y croise, entre autres, des comédiens en toge, une côte de bœuf calcinée, des bobos de Noirmoutier, ou un ours polaire atteint de Solastalgie. Le spectacle est une ancienne création, et il se joue actuellement à la Maison des Métallos à Paris. Preuve que les thèmes abordés sont toujours cruellement d'actualité... Le collectif «L'avantage du doute» est un groupe qui se définit comme un collectif d'acteurs qui «jouent et écrivent ensemble» pour «répondre tout d'abord à une nécessité, politique au sens large». Il est composé de cinq membres - Judith Davis, Nadir Legrand, Maxence Tual, Claire Dumas, et Mélanie Bestel. - Leurs biographies ici. Les membres du collectif l'Avantage du doute se sont rencontrés en 2003. Le spectacle l'Avantage du doute - qui donnera le nom de leur collectif en 2007 - a été créé en 2005. Leur premier spectacle sur leur nom, Tout ce qui nous reste de la révolution (un spectacle sur l'héritage de mai 68), est créé en 2008. Suivront les spectacles La légende de Bornéo (sur le travail), Le bruit court que nous ne sommes plus en direct (sur l'invasion du flux médiatique), mais aussi le projet jeune public La caverne. Puis Sauvage. Enfin, en 2020/2021, Encore plus, partout, tout le temps est créé à huis clos au Théâtre de Nîmes qui sera repris trois fois. Invités : Judith Davis et Nadir Legrand du Collectif L'Avantage du doute pour le spectacle Encore plus, partout, tout le temps à voir à la Maison des Métallos jusqu'au 14 juin. À voir également : le film Bonjour l'Asile réalisé par Judith Davis sorti le 26 février dernier. Projections au Saint-André des arts suivie de rencontres les 17 et 24 juin. Et comme chaque mercredi, retrouvez la chronique de Lucie Bouteloup. Cette semaine, elle vous propose de découvrir le louchébem — l'argot des bouchers ! Pour connaitre les ficelles de ce langage crypté, elle a poussé la porte d'une boucherie parisienne, celle de Roger Yvon et de sa femme Sylvie. Et avec la complicité de leur ami Michel, ils ont taillé le bout de gras ! Programmation musicale : Le groupe Feu ! Chatterton avec le titre Allons voir.
Dans ce spectacle, le collectif l'Avantage du doute aborde avec humour des questions de féminisme et écoanxiété... Peut-on rire de tout ? De toute évidence, oui. Le collectif «l'avantage du doute» tisse un lien entre crise climatique et patriarcat, mais sans jamais se prendre au sérieux, ni faire la leçon. Une dizaine de saynètes aussi décalées qu'empreintes de vérité composent le spectacle. On y croise, entre autres, des comédiens en toge, une côte de bœuf calcinée, des bobos de Noirmoutier, ou un ours polaire atteint de Solastalgie. Le spectacle est une ancienne création, et il se joue actuellement à la Maison des Métallos à Paris. Preuve que les thèmes abordés sont toujours cruellement d'actualité... Le collectif «L'avantage du doute» est un groupe qui se définit comme un collectif d'acteurs qui «jouent et écrivent ensemble» pour «répondre tout d'abord à une nécessité, politique au sens large». Il est composé de cinq membres - Judith Davis, Nadir Legrand, Maxence Tual, Claire Dumas, et Mélanie Bestel. - Leurs biographies ici. Les membres du collectif l'Avantage du doute se sont rencontrés en 2003. Le spectacle l'Avantage du doute - qui donnera le nom de leur collectif en 2007 - a été créé en 2005. Leur premier spectacle sur leur nom, Tout ce qui nous reste de la révolution (un spectacle sur l'héritage de mai 68), est créé en 2008. Suivront les spectacles La légende de Bornéo (sur le travail), Le bruit court que nous ne sommes plus en direct (sur l'invasion du flux médiatique), mais aussi le projet jeune public La caverne. Puis Sauvage. Enfin, en 2020/2021, Encore plus, partout, tout le temps est créé à huis clos au Théâtre de Nîmes qui sera repris trois fois. Invités : Judith Davis et Nadir Legrand du Collectif L'Avantage du doute pour le spectacle Encore plus, partout, tout le temps à voir à la Maison des Métallos jusqu'au 14 juin. À voir également : le film Bonjour l'Asile réalisé par Judith Davis sorti le 26 février dernier. Projections au Saint-André des arts suivie de rencontres les 17 et 24 juin. Et comme chaque mercredi, retrouvez la chronique de Lucie Bouteloup. Cette semaine, elle vous propose de découvrir le louchébem — l'argot des bouchers ! Pour connaitre les ficelles de ce langage crypté, elle a poussé la porte d'une boucherie parisienne, celle de Roger Yvon et de sa femme Sylvie. Et avec la complicité de leur ami Michel, ils ont taillé le bout de gras ! Programmation musicale : Le groupe Feu ! Chatterton avec le titre Allons voir.
Préconisée pour les enfants et les personnes âgées, la sieste a parfois mauvaise réputation pour ceux qui ont la malchance d'être entre les deux âges. Baisse de la productivité ou tout simplement perte de temps, nos sociétés éprises de performance ont tendance à regarder les « siesteurs » d'un mauvais œil, en particulier dans le monde du travail. Mais que les adeptes du petit somme se rassurent, la sieste a aussi ses défenseurs. C'est même une tradition dans certains pays comme en Espagne ou en Italie pour supporter les heures chaudes de l'après-midi. La Chine en a fait un droit constitutionnel. De nombreuses personnalités en ont fait l'éloge, on peut citer le peintre Léonard de Vinci, le physicien Albert Einstein ou l'ancien président français Jacques Chirac, tous les trois accros à la micro-sieste. Preuve que la sieste n'empêche ni la créativité, ni les carrières politiques. Sans nourrir forcément les plus grandes ambitions, pourquoi s'adonner aux petits plaisirs de la sieste ? Comment profiter de sa sieste sans passer pour un paresseux ? Avec : Sébastien Spitzer,écrivain et essayiste, enseignant à Sciences Po, auteur de Petite philosophie de la sieste (Édition la Martinière, 2025) Nicolas Goarant, expert sommeil de la Fondation Jean Jaurès et auteur du livre Le sommeil malmené (L'aube, 2020)Un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Le portrait de Vanessa Arago, la chimiste des eaux gabonaises.Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux pour contribuer au développement de leur pays... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Vanessa Arago est revenue au Gabon il y a 10 ans. Avec un père ingénieur en pétrochimie, elle baigne dans la chimie depuis toute petite. En 2018, elle a lancé son laboratoire, appelé « Omilab », à Libreville. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée sur place, alors que Vanessa Arago et son équipe s'apprêtent à mener une analyse.Programmation musicale : ► Cabossé – Pat Kalla et le Super Mojo ► Umuwuze – Code Sangala
durée : 00:05:09 - Le Zoom de France Inter - Après trois ans de guerre, dans un pays où l'ensemble de la population est affectée par le conflit, la santé mentale est mise à rude épreuve chez les militaires comme les civils. Trois femmes, volontaire, aide-soignante et psychologue, parlent de ce défi à la fois personnel et national.
Préconisée pour les enfants et les personnes âgées, la sieste a parfois mauvaise réputation pour ceux qui ont la malchance d'être entre les deux âges. Baisse de la productivité ou tout simplement perte de temps, nos sociétés éprises de performance ont tendance à regarder les « siesteurs » d'un mauvais œil, en particulier dans le monde du travail. Mais que les adeptes du petit somme se rassurent, la sieste a aussi ses défenseurs. C'est même une tradition dans certains pays comme en Espagne ou en Italie pour supporter les heures chaudes de l'après-midi. La Chine en a fait un droit constitutionnel. De nombreuses personnalités en ont fait l'éloge, on peut citer le peintre Léonard de Vinci, le physicien Albert Einstein ou l'ancien président français Jacques Chirac, tous les trois accros à la micro-sieste. Preuve que la sieste n'empêche ni la créativité ni les carrières politiques. Sans nourrir forcément les plus grandes ambitions, pourquoi s'adonner aux petits plaisirs de la sieste ? Comment profiter de sa sieste sans passer pour un paresseux ? Avec : Sébastien Spitzer, écrivain et essayiste, enseignant à Sciences Po, auteur de Petite philosophie de la sieste (Édition la Martinière, 2025) Nicolas Goarant, expert sommeil de la Fondation Jean Jaurès et auteur du livre Le sommeil malmené (L'aube, 2020). Un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Le portrait de Vanessa Arago, la chimiste des eaux gabonaises.Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux pour contribuer au développement de leur pays... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Vanessa Arago est revenue au Gabon, il y a 10 ans. Avec un père ingénieur en pétrochimie, elle baigne dans la chimie depuis toute petite. En 2018, elle a lancé son laboratoire, appelé « Omilab », à Libreville. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée sur place, alors que Vanessa Arago et son équipe s'apprêtent à mener une analyse.Programmation musicale : ► Cabossé – Pat Kalla et le Super Mojo ► Umuwuze – Code Sangala.
La Cédéao, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest, célèbre ses 50 ans d'existence. Le 28 mai 1975, quinze pays de l'Afrique de l'Ouest signaient le traité de Lagos avec pour ambition de favoriser l'intégration régionale, la paix, la libre circulation des peuples et le développement économique. Qu'en est-il un demi-siècle plus tard ? Quel avenir et quels défis pour cette institution dans un contexte de coups d'État, de tensions sécuritaires ? Avec la participation de : Oumar Berté, chercheur associé à l'Université de Rouen en politique et droit public, avocat et auteur du livre La Cédéao face aux changements anticonstitutionnels de pouvoir en Afrique de l'Ouest (éd. L'Harmattan) Mathias Hounkpé, politologue béninois Pape Ibrahima Kane, chercheur sénégalais spécialiste des questions régionales en AfriqueÀ lire aussi1975, naissance de la Cédéao : l'unité dans la rivalité
durée : 00:06:46 - La tech la première - Veo 3, l'IA de Google, marque une rupture dans le monde de la vidéo. Capable de créer des scènes réalistes avec son et dialogues, elle soulève des défis majeurs en matière de désinformation et de vérification des faits, tout en ouvrant des perspectives pour le cinéma et la publicité.
« Il y a aussi du beau dans la maladie. C'est une des belles choses qu'elle a apporté : elle a permis de créer ou de recréer certains liens entre nous. »Dans cet extrait, Thomas Hug De Larauze, réalisateur du film documentaire "Promesse", revient sur l'évolution des liens fraternels au sein de sa famille à l'épreuve de la maladie de sa sœur jumelle, Laurène. Il partage comment, avant l'annonce du diagnostic de la leucémie, les relations entre frères et sœurs n'étaient pas aussi soudées, chacun évoluant dans son propre univers.Pourtant, l'apparition de la maladie bouleverse totalement cette dynamique et crée une unité nouvelle et profonde. Thomas explique avec sincérité comment le combat contre la leucémie de Laurène a permis de recréer des liens forts, de dépasser les conflits ou la distance, pour trouver une solidarité réconfortante et essentielle.À travers ce récit, il nous montre qu'une épreuve familiale peut, dans sa douleur, rassembler et transformer durablement les relations.L'épisode intégral est à retrouver sur toutes les plateformes d'écoutes de podcast le 29/05/2025.---------------------NOUVELLE SÉRIE : DE L'ENFANT AU PARENT (1 épisode par mois)Je vous propose une nouvelle série plus intime et personnelle où je pars à la rencontre d'artistes et personnalités publiques, pour explorer avec eux leur enfance et l'impact qu'elle a eu sur l'adulte et le parent qu'ils sont aujourd'hui. N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé en commentaire !
La photo est en couverture des journaux en Afrique du Sud : on y voit le président américain Donald Trump et son homologue sud-africain, Cyril Ramaphosa, assis sur les fauteuils jaunes du Bureau ovale de la Maison-Blanche, devant les journalistes et les caméras. Et à voir leurs mouvements de mains, la discussion est animée…Le quotidien sud-africain Cape Times relate la scène : « Ramaphosa est arrivé en disant qu'il voulait discuter du commerce et des minerais rares. La réunion a débuté de manière cordiale. Trump et lui ont commencé à discuter golf. D'ailleurs, deux champions de golf sud-africains Ernie Els et Retief Goosen étaient présents dans la délégation de Ramaphosa. Mais la réunion a rapidement tourné au vinaigre, pointe Cape Times. Trump a montré une vidéo et des documents, comme prétendues preuves de ses affirmations infondées selon lesquelles les Sud-Africains blancs seraient persécutés et leurs terres confisquées ».Des allégations déjà formulées par le président américain ces derniers mois et démenties par l'Afrique du Sud. Cyril Ramaphosa s'est défendu, a démenti une nouvelle fois…Mais, constate le Mail & Guardian, autre média sud-africain, « les discussions commerciales ont été reléguées au second plan ».Et Cape Times de parler de véritable « embuscade tendue par Trump, comme celle dont avait été victime le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en février dernier ».Trop timoré ?The Star, autre quotidien sud-africain s'en prend à… Cyril Ramaphosa. « L'occasion ratée de Ramaphosa de repositionner l'Afrique du Sud comme centre d'affaires stratégique de l'Afrique », titre le journal. The Star qui dénonce « l'inertie diplomatique » du président sud-africain : « Ramaphosa a manqué une occasion en or : celle de rétablir les faits avec fermeté et audace. Il ne s'agissait pas seulement de dire la vérité sur les statistiques de la criminalité rurale ou la réforme agraire. Il s'agissait de dire au monde ce qu'est l'Afrique du Sud aujourd'hui – et, plus important encore, ce qu'elle aspire à être. L'Afrique du Sud ne s'effondre pas sous les violences raciales, s'exclame The Star. Elle abrite en réalité plus de 600 entreprises américaines prospères dans divers secteurs, de la finance à l'énergie, en passant par l'industrie manufacturière et les technologies de l'information. Elle abrite les marchés financiers les plus performants du continent africain et un système judiciaire qui, bien qu'imparfait, demeure indépendant et respecté. Pourtant, rien de tout cela n'a été exprimé sous les projecteurs du monde entier ».Il est vrai que Cyril Ramaphosa s'est défendu mollement, pointe Le Monde Afrique à Paris : « il a tenté de désamorcer la charge explosive de Trump de façon indirecte, par le sourire, par l'évocation de Nelson Mandela et de la diversité de la coalition au pouvoir. Il a évoqué la Constitution, protégeant les droits de tout propriétaire terrien. Il n'a pas nié l'ampleur de la criminalité qui ravage l'Afrique du Sud. Mais il n'a pas pris une position de principe nette, pour nier tout génocide des Afrikaners et appeler ce mensonge par son nom. Par moments, il se frottait les paumes des mains, ne sachant plus quoi faire pour défendre l'honneur national sans aggraver la situation ».Des faits travestis…Le Monde Afrique répond également aux allégations de Donald Trump qui a été jusqu'à parler, donc, de génocide : « les meurtres dans les fermes isolées sont une réalité en Afrique du Sud, reconnait le journal. Mais ils ne représentent qu'une fraction des homicides perpétrés dans le pays, l'un des plus violents au monde. Plus de 27 000 personnes ont ainsi été tuées entre mars 2023 et mars 2024. Par comparaison, en moyenne, au cours de la décennie écoulée, une cinquantaine de meurtres ont lieu chaque année dans des fermes. Parmi les victimes, des agriculteurs blancs, mais pas exclusivement. De nombreux travailleurs agricoles ou des vigiles noirs comptent également parmi les victimes ».Commentaire du Monde Afrique : « toutefois, la réalité, dans ses nuances, a peu de chances de pénétrer le monde MAGA ».Springbok vs pitbull…Enfin, L'Observateur Paalga au Burkina caricature les deux présidents avec cette formule : « le springbok et le pitbull de la Maison-Blanche ».L'Observateur qui n'est guère surpris : « les sujets qui fâchent étaient si nombreux qu'on se demande comment le président sud-africain aurait pu s'y prendre pour déminer ce terrain quand on connaît la brutalité avec laquelle Donald Trump imprime ses relations avec les autres pays. Mais comme avec le locataire de la Maison-Blanche, tout finit toujours autour du transactionnel, Ramaphosa n'aura pas d'autres choix que de lui offrir des facilités dans l'exploitation des minerais rares (diamant, manganèse, platine…) dont le pays de Mandela regorge ».
durée : 00:09:59 - Une semaine dans leurs vies - Dans cet entretien avec Eva Bettan, l'écrivain Jean Echenoz dévoile les coulisses de son dernier roman, "Bristol" (Éditions de minuit), en lice pour le Prix du livre Inter 2025. Il révèle sa fascinante approche de l'écriture et son rapport unique au récit cinématographique. - invités : Jean Echenoz - Jean Echenoz : Ecrivain
Après des études à l'École Nationale d'Architecture de Paris-Val de Seine, dont il sort major en 2009, Benjamin Loiseau part exercer son métier à Shanghai puis à New-York pendant 5 ans. Mais il préfère finalement stopper sa pratique de projets de tours des agences prestigieuses qu'il traverse pour créer sa propre agence, en 2013. Aujourd'hui, en parallèle à la gestion de son agence, il poursuit une thèse de doctorat.Mais qu'est-ce qui fait "courir" Benjamin ? Trouvez un certain nombre de réponses en écoutant ce numéro de Com d'Archi !Portrait teaser DR © Benjamin Loiseau - Mano architectureIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:45:36 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'écrivain Pierre Ducrozet, lauréat du Prix de Flore en 2017, est connu pour l'intérêt qu'il nourrit envers les questions liées à l'écologie et au monde contemporain. Fin 2024, il a publié "Autoportrait sans moi" et il signe la preface de "L'atelier d'écriture" de G. Garcia Marquez en 2025.
En Roumanie, le second tour de la présidentielle dimanche 18 mai opposera le candidat de centre-droit Nicusor Dan au nationaliste George Simion. Cette poussée de l'extrême droite dans les urnes s'est accompagnée d'une augmentation des menaces envers la minorité rom et la communauté juive. De notre correspondant à Bucarest, Marine LeducDans un quartier périphérique de Bucarest, Alin Banu entre avec précaution au siège de l'association Roma for Democracy, une association de droit des Roms dont il est le directeur. « Nous avons des caméras vidéo, un accès avec une carte magnétique à l'entrée comme à la sortie, et nous avons un bouton d'urgence. Si on l'active, la police peut arriver en cinq à huit minutes. On a mis ça en place quand les menaces ont commencé pour notre sécurité », explique-t-il.Preuve à l'appui. Sur son téléphone, Alin Banu fait défiler les messages que lui et ses collègues ont reçus ces dernières semaines : « Je vais m'assurer que je vais avoir vos têtes et les mettre sur des pales comme Vlad l'empaleur faisait avec les Turcs et on va vous torturer un par un » ; « Vous avez mis Cosmin en prison et moi je vais vous mettre dans un cercueil » ; « Que les Juifs et les Tsiganes soient éliminés, et toutes les races impures. » « Bien sûr qu'on est inquiets », admet Alin Banu.Ces intimidations qui touchent aussi bien les Roms, les Juifs que les communautés LGBTQ+ sont proférées par des factions néo-nazies, mais aussi néo-légionnaires, mouvement inspiré des légionnaires, groupuscules fascistes roumains de l'entre-deux-guerres. Ce mouvement est à l'origine de la Shoah en Roumanie.À lire aussiPrésidentielle en Roumanie : pourquoi la diaspora a voté massivement pour l'extrême droiteUn pays au passé difficile à assumerDans le centre-ville, une répétition en yiddish a lieu au Théâtre national juif de Bucarest. En février, des commentaires antisémites ont été diffusés sur TikTok avec des menaces de mettre le feu au théâtre ou d'y poser une bombe. La police a dû protéger la bâtisse pendant quelques jours. Le directeur Andrei Munteanu préfère garder son calme et rappelle l'importance de la diversité culturelle en Roumanie : « L'État roumain s'est préoccupé, et pas seulement maintenant, du développement des minorités nationales, du développement de la culture nationale, parce que la principale richesse de la Roumanie est sa diversité. Mais il faut aider cette diversité, la conserver, la soutenir. Chacun fait partie du patrimoine humain de ce pays. »Les liens entre les groupes néo-légionnaires et les candidats d'extrême droite ne sont pas dissimulés. George Simion a certes lissé son discours, mais plusieurs membres de son parti Aur (Alliance pour l'unité des Roumains) font la glorification des dirigeants de la Garde de fer, autre nom du mouvement des légionnaires. La Roumanie a été durant les années 1940 un pays allié de l'Allemagne nazie et a encore des difficultés à regarder son passé. Le pays n'a reconnu son rôle actif dans la Shoah qu'en 2003, alors qu'environ 300 000 Juifs et 12 000 Roms y ont péri.Aujourd'hui, la Roumanie compte près de 570 000 Roms, selon le recensement de 2021, mais ils seraient au moins deux fois plus nombreux. Les Juifs, eux, ne sont plus que quelques milliersÀ lire aussiPrésidentielle en Roumanie : George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour
[MÉTAMORPHOSE PODCAST] Anne Ghesquière reçoit Jean-Philippe de Tonnac, essayiste. Et si la maladie était une métamorphose ? Comment traverser l'épreuve, la comprendre, et peut-être même en faire un chemin vers soi ? Quel rôle joue le temps dans la guérison ? Dans cet épisode, Jean-Philippe de Tonnac se confie au micro d'Anne Ghesquière avec une sincérité bouleversante. Il raconte son combat contre l'anorexie mentale restrictive et le dialogue intérieur qu'il a dû engager pour se réconcilier avec son corps… et avec lui-même. Un témoignage rare, puissant, profondément humain. Son dernier livre, Le Temps minéral de la guérison est paru chez Actes Sud. Épisode #589Quelques citations du podcast avec Jean-Philippe de Tonnac :"On a une capacité et une aptitude à transformation infinie.""Il n'y a rien de plus altruiste que le travail de guérison.""Le chemin de guérison n'est pas une destination, c'est mettre un pied devant l'autre jusqu'au bout et probablement de l'autre côté pareil."Thèmes abordés lors du podcast avec Jean-Philippe de Tonnac :00:00 Introduction02:54 La genèse du livre04:33 Le temps minéral06:42 L'expérience de l'anorexie mentale11:39 Une société qui détourne des questions fondamentales13:39 La rencontre avec Jean Dedieu15:26 Méditation zen et corps énergétique17:25 Le désir de devenir danseur20:13 « Ai-je ou suis-je un corps ? »22:39 Anorexie mentale et surdouance23:16 La librairie José Corti : un tournant29:45 La lecture du Phèdre de Platon31:28 René Daumal ou la tentative d'incarner sa philosophie35:00 Mal-être maternel et anorexie mentale38:47 Le père Mikhaël : expérience d'une libération de l'âme45:46 L'impact de la guérison47:06 La puissance du féminin53:11 Anorexie et rapport à la nourriture : l'exception du pain.58:03 L'expérience de la maladie de Charcot01:01:32 La maladie : une expérience de pleine présence01:03:14 Saint Charbel, qui est-il ?01:08:29 La guérison : un cheminement, plus qu'une destinationAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto (c) Ferrante Ferranti Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.