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Gabriely Tavares, nascida no Pará, criada no Amazonas e vivenciando Roraima a 23 anos, é formada em História pela UFRR, possui pós-graduação em Educação, fez uma segunda graduação em Pedagogia e é mestranda no PROFHISTORIA na UFRR. Já participou como roteirista do curta metragem premiado “Nosso Tempo” e do longa metragem "Ânsia Eterna”. Possui experiência como maquiadora no filme “Pedra Bruta” e no projeto “Én Comodos”, e como Assistente de Direção no Documentário “Warakan: da terra ao prato”, “Encanto – o musical”, “Além do Som” e “Baby BV”.Filme “PEDRA BRUTA”Release: Rosival e Zé Reis decidem vender a serraria que possuíam para entrar no garimpo de diamante na região da Boca da Onça, localizado no município de Amajari, norte de Roraima. No entanto, a promessa de riqueza cobra um alto preço. Uma vez que enfrentam a dura realidade da vida que resolveram seguir.Ficha Técnica: Direção: Farley SantosCo-direção: Junior MaxDireção de fotografia: Fernando Xaud e Junior MaxDireção de Arte: Kalyua VasconcelosProdução: Samya Mota e Luis CrispimMaquiagem: Gabriely DamascenoPreparador de Elenco: Vito SouzaTrilha Sonora original: Gabriel AlencarEdição e Pós-produção: Câmera Pro Filmes.Elenco: Raimundo Junior, Edney de Melo, Marcelle Wottrich, Willame Viana, Enoque Barbosa, Gustavo Hugo Andrade, Thiago Dourado, Daniel Fernandes.Site: https://red361.com/us/pedra-bruta/Link do curta "Pedra Bruta": https://youtu.be/1H1zTLhPJBIProjeto "En Cómodos" - O Solitário, O Travesseiro de Plumas, A Galinha Degolada.Release: As peças fazem parte de uma pesquisa teatral iniciada pela Cia do Pé Torto, em maio de 2010, tendo como base os contos A Galinha Degolada, O Solitário e O Travesseiro de Penas, todos do escritor Horacio Quiroga, que resultou no Projeto En Cómodos, contemplado pelo Prêmio Myriam Muniz de Teatro 2010, fomentado pela Fundação Nacional das Artes- Funarte e Governo Federal. A proposta é que cada conto seja dirigido por um dos integrantes do grupo e produzido pela atriz Cora Rufino.Em ‘O Travesseiro de Plumas' Alícia, uma jovem recém casada, é atormentada pelo distanciamento emocional de seu marido e por uma cruel enfermidade sem explicação aparente. Desenhado para um ambiente intimista, o espetáculo permite que o público seja não somente expectador, mas também participante ativo do processo de desconstrução da realidade projetada pela personagem principal.Em “A galinha degolada”, portadores de uma doença mental incurável, os filhos de uma família sofrem todas as consequências da falta de amor entre os pais. Passado certo tempo, nasce uma menina, que não é acometida pela mesma doença, mas que acaba revelando o verdadeiro sentido da falta de cuidado e amor do casal.Em “O Solitário” o monólogo apresenta Kassin, um joalheiro que vive um drama em sua relação matrimonial. A história do personagem, de acordo com o grupo, é vivenciada pelo espectador, que divide suas alegrias e dores em um espetáculo intimista, utilizando uma maneira mais simples e simbólica de construção teatral, trabalhando com pequenos objetos e iluminação alternativa.Ficha Técnica – O Travesseiro de PlumasDireção: Vito Souza e Cora Rufino.Elenco: Marcelle Wottrich e Juliana MoraisMaquiagem e Figurino: Gabriely TavaresSonoplastia: Lorena GomesLink da filmagem: https://youtu.be/YmDrMhVRmacFicha Técnica – A Galinha DegoladaDireção: Francisco Alves e Cora Rufino.Elenco: Cora Rufino, Baronso Lucena, Juliana Morais e Vitor Souza.Maquiagem e Figurino: Gabriely TavaresSonoplastia: Lorena GomesFicha Técnica – O SolitárioDireção: Baronso Lucena e Cora Rufino.Elenco: Baronso LucenaMaquiagem e Figurino: Gabriely TavaresSonoplastia: Vitor SouzaLink da filmagem: https://youtu.be/O0k9poFOa-M
Hoy nos acompaña Natalia Velarde con su 'Encías quemadas', una fábula apabullante sobre el duelo y la redención.Escuchar audio
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Focus sur la lutte contre le trafic de drogue. En Côte d'Ivoire, le trafic et la consommation de cannabis restent le fléau le plus important. Sur le terrain, les agents de police mènent des actions de sensibilisation, mais aussi de contrôle : ils détruisent régulièrement des fumoirs et saisissent de la drogue dans les principaux points de passage : aux frontières, à l'aéroport ou encore dans les gares routières. Bineta Diagne a suivi une descente dans la nouvelle gare d'Adjamé, à Abidjan. Reportage. De notre correspondante à Abidjan, Il est 19h, les allées de la gare routière grouillent de monde. Au milieu de cette foule de voyageurs, un suspect a abandonné un sac à dos noir sur un banc. Un indic alerte la police. Rapidement, une équipe de la DPSD, la Direction de la police des stupéfiants et des drogues, procède à l'ouverture du sac. Le commissaire divisionnaire Maxime Gogoua examine l'un des cinq blocs de cannabis : « Vous voyez, c'est le THC. Et c'est vraiment élevé. C'est sec. Ce bloc pèse 1 kg : il fait 40 000 francs CFA à Abidjan sur le marché noir. Mais, à Bouaké ou à Man, cela vaut 100 000 francs CFA le kg. Et quand ça va au-delà de nos frontières, au nord, ça va à 300 000 francs CFA/kg ». Ce soir-là, un revendeur a été interpellé. Mais le principal suspect, qui a acheminé la drogue, a pu s'échapper. Une enquête va être ouverte. Elle s'appuie notamment sur les enregistrements vidéo d'Issa Koné, le chef de gare, visiblement sous le choc des découvertes de la soirée : « Ça, c'est grave, supposons qu'on attrape ça là, dans le car. Le chauffeur a un problème. Il ne s'en sort pas. On dit qu'il est complice. Or souvent, il n'est pas au courant ». À lire aussiCôte d'Ivoire: 5 ans de prison pour l'ancien patron de la police anti-drogue du port d'Abidjan Un échantillon de la drogue saisie est envoyé dans un laboratoire. Cela servira à l'enquête. Le commissaire Mabonga Touré, directrice de la police des stupéfiants et des drogues : « Sur les blocs de cannabis, il y a des initiales. Il y a des numéros de téléphone. C'est ce que nous appelons la signature. Nous allons l'exploiter pour voir si déjà, cette signature est déjà apparue dans d'autres enquêtes. Et voir si on peut lier d'où c'est venu, et à qui c'est destiné ». Selon le Comité interministériel de lutte anti-drogue, le cannabis est la drogue la plus consommée dans le pays. Professeur Ronsard Yao Kouma, le secrétaire général du CILAD : « Le cannabis le plus prisé, c'est celui qui vient de chez nos voisins, le Ghana. On a des grandes saisies à la frontière ». D'après ce responsable, les saisies de cannabis oscillent entre dix et vingt tonnes chaque année. À lire aussi«Le kush a probablement causé la mort de milliers de personnes en Afrique de l'Ouest»
En Côte d'Ivoire, le deuxième congrès ordinaire du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) s'est ouvert ce samedi à Abidjan et le président sortant, Alassane Ouattara, a été désigné candidat à la présidentielle du 25 octobre par son parti. Il n'a pas encore officiellement confirmé s'il allait briguer ou non un quatrième mandat. Les activités se poursuivront jusqu'à dimanche, avec un grand meeting au Stade d'Ebimpé.
En Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara fait durer le suspense... Hier, à l'issue du congrès du parti au pouvoir RHDP, le président ivoirien a répondu ni « oui » ni « non » aux militants qui lui avaient demandé la veille, à l'unanimité, d'être candidat à un quatrième mandat présidentiel le 25 octobre prochain. Il a simplement dit qu'il prendrait sa décision « dans les jours qui viennent ». Pourquoi cette stratégie de l'attente ? Le chercheur ivoirien Geoffroy-Julien Kouao a publié récemment deux ouvrages, Faut-il désespérer de la Côte d'Ivoire ? et Côte d'Ivoire : une démocratie sans démocrate ?, aux éditions Kamit. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ce 22 juin, tous les militants du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) attendaient qu'Alassane Ouattara leur dise tout simplement : « Oui, j'accepte d'être votre candidat. » Mais le chef de l'État n'a répondu ni oui ni non et s'est donné quelques jours de réflexion. Comment expliquez-vous cette non-réponse ? Geoffroy-Julien Kouao : Je m'y attendais un peu parce que le président de la République s'inscrit dans une stratégie qui consiste à voir la réaction de ses principaux opposants qui sont Tidjane Thiam et Laurent Gbagbo. Dans tous les cas de figure et selon toute vraisemblance, il est fort possible que le président Ouattara accède à la requête de ses militants. Mais si Alassane Ouattara n'a fait que reporter de quelques jours l'annonce de sa candidature, pourquoi n'a-t-il pas profité dimanche de ce grand rassemblement de plusieurs dizaines de milliers de ses militants pour galvaniser son parti ? C'est vrai que les rencontres du samedi et du dimanche étaient une véritable démonstration de force politique pour le RHDP. Mais le président de la République a d'autres occasions. Souvenez-vous que, en 2020, c'est à l'occasion de son discours pendant la fête nationale, le 7 août, qu'il a annoncé qu'il serait candidat. Il peut rester dans cette logique. Alors, quand vous dites qu'Alassane Ouattara ne dévoile pas tout de suite son jeu parce qu'il attend les réactions de ses principaux adversaires, que voulez-vous dire par rapport notamment à Laurent Gbagbo et à Tidjane Thiam ? Vous savez très bien que Monsieur Laurent Gbagbo et Monsieur Tidjane Thiam sont pour l'instant disqualifiés de la course présidentielle. Et ils se sont mis ensemble en créant un front commun pour leur réinscription sur la liste électorale. Et dans la foulée, Monsieur Laurent Gbagbo a annoncé qu'il s'opposerait à un quatrième mandat du président Ouattara. Donc, si le président avait annoncé sa candidature hier dimanche, cela aurait donné du temps à Monsieur Thiam et à Monsieur Gbagbo pour mettre en place une stratégie politique consistant à faire pression sur le régime d'Abidjan. Vous savez que le front commun entre Monsieur Thiam et Monsieur Gbagbo obéit à une logique, celle de leur réinscription sur la liste électorale. Et s'ils arrivent à mobiliser assez d'Ivoiriens autour de leur combat, cela pourrait peut-être influencer le régime d'Abidjan. Voulez-vous dire qu'Alassane Ouattara attend éventuellement le dernier moment pour dévoiler son jeu et pour annoncer sa candidature afin d'empêcher ses adversaires de mobiliser leurs partisans ? Monsieur Alassane Ouattara, il est évident qu'il connaît la capacité de mobilisation de Laurent Gbagbo et aussi de Tidjane Thiam. Et évidemment, devant la démonstration de force opérée par son parti le samedi et le dimanche dernier, il s'inscrit dans une stratégie qui consiste à court-circuiter l'opposition sur ses propres bases. C'est-à-dire qu'en n'annonçant pas tout de suite sa candidature, il laisse l'opposition dans l'incertitude, c'est ça ? Oui. Ça lui permet de voir quelle stratégie celle-ci va mettre en place, puisque bientôt ce sera le début des parrainages. Pour qu'il y ait parrainage, il faut qu'il y ait des noms proposés. Or, pour l'instant, l'opposition ne veut pas présenter de plan B. Et si les parrainages commencent, si l'ouverture des dépôts de candidatures débute, peut-être que l'opposition serait dans l'obligation de proposer d'autres noms que ceux de Monsieur Thiam et de Monsieur Laurent Gbagbo. Ce qui permettrait à Monsieur Ouattara d'apprécier objectivement la situation et peut-être lui aussi de proposer un plan B. Alors ce plan B, justement, est-ce qu'un autre cadre du RHDP pourrait porter les couleurs du parti le 25 octobre prochain ? Et qui pourrait être cet autre responsable ? Oui, il y a d'autres cadres et le premier que je vois en tant qu'analyste politique et observateur, c'est le vice-président de la République, Monsieur Tiémoko Meyliet Koné. Il y a aussi d'autres personnalités comme l'ancien Premier ministre Patrick Achi. On peut aussi penser au gouverneur de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) [Jean-Claude Kassi Brou, NDLR]. Mais vous avez vu aussi le samedi et le dimanche à l'applaudimètre, on a vu que le ministre de la Défense Téné Birahima reste très populaire auprès des militants. Le frère du président ? Oui, le frère cadet du président de la République. Alors, si demain le président Ouattara propose un autre candidat pour le RHDP, il n'y aura pas des risques de divisions internes au RHDP ? Non, je ne le pense pas. Le congrès l'a montré, il y a une certaine cohésion autour des idéaux du parti et surtout de la personne d'Alassane Ouattara. Tant que la figure tutélaire d'Alassane Ouattara sera présente, je ne pense pas qu'il y ait des voix discordantes.
El verano comienza oficialmente este viernes a las 4:42 de la madrugada, pero en gran parte de España hace semanas que se vive como si ya estuviésemos en pleno julio. Nuestro meteorólogo de cabecera, José Antonio Maldonado, desgrana en 'Herrera en COPE' el pronóstico del tiempo para los próximos días.Ha asegurado que, aunque no se ha registrado formalmente una ola de calor, las temperaturas se han disparado hasta alcanzar cifras históricas. Recuerda Maldonado que este junio ya es el segundo más caluroso desde 1961 en temperaturas mínimas, y el segundo también en máximas, solo superado por el de 2017.En algunos puntos de Andalucía, como Fuentes de Andalucía (Sevilla), se superaron los 43 grados, mientras que ciudades como Córdoba, Jaén, Huelva, Badajoz o Cáceres han alcanzado los 42 ºC. En Cádiz y Almería, las mínimas nocturnas han rondado los 25 ºC, dificultando el descanso incluso con aire acondicionado. Viernes tórrido y con ...
Le novità del decreto correttivo della riforma fiscale sul CPB, il possibile effetto sanante della locazione del contratto, la dichiarazione IMU degli ENC. A cura di Ludovica Lopetti
Hoy es la fiesta de la Santísima Trinidad y es el momento de ofrecerles, como cada siete días, la actualidad religiosa en la cadena Cope, en Iglesia Noticia y en el programa 1937 con David Torrenova en el control de sonido y con estos titulares. La Iglesia celebra hoy la jornada Pro Orantibus con una mirada a los religiosos y religiosas de vida contemplativa. Pedro Aguado tomará posesión hoy de la diócesis de Jaca tras su ordenación y toma de posesión ayer de la diócesis de Huesca. En Córdoba se ha celebrado un congreso en el 1700 aniversario del Concilio de Nicea y en el Vaticano se celebra ...
Ha vuelto a pasar. Otra amistad rota por la política. En este capítulo de La Paella Rusa analizamos cómo se ha dinamitado uno de los bromances más épicos del siglo XXI: el de Elon Musk y Donald Trump. Dos millonarios con el corazón roto por culpa de un puñado de leyes. Solo nos quedan nuestros Chip y Chop de confianza como referentes de la amistad masculina que persiste frente a la adversidad. Posando la mirada en horizontes más cercanos (y sandungueros), en este episodio de La Paella Rusa trazamos un minuto y resultado del registro policial en el domicilio valenciano de Ábalos. Ahora que ya conocemos su barrio y bares de cabecera, ansiamos dejarnos caer por allí hasta convertirnos en parroquianos habituales. Y, si os preguntabais qué pasa con Mazón, tenemos respuestas. Como no podía ser de otra manera, este episodio cuenta con la última hora sobre las actividades de esta semana del ex teniente general del Ejército de Tierra, vicepresidente y conseller para la Recuperación Económica y Social, Francisco José Gan Pampols. Obviamente, esta semana en La Paella Rusa viene con una nueva entrega de la Liga Villaconejos, conocida por los novatos como Liga Hypermotion. El balompié no se acaba nunca. En cuanto a nuestra propuesta cultural: ¡una nueva lecturita ligera de playa! Esta semana hablamos del ensayo How To Think About AI. A Guide For The Perplexed, de Richard Susskind (Oxford University Press, 2025). ¡Dentro sinopsis! “En los últimos años, y sin duda desde el lanzamiento de ChatGPT, ha habido un enorme interés público y profesional por la Inteligencia Artificial. Pero las personas están confundidas acerca de qué es la IA, qué puede y no puede hacer, qué está por venir y si la IA es buena o mala para la humanidad y la civilización: si proporcionará soluciones a los grandes desafíos de la humanidad o si se convertirá en nuestra mayor amenaza existencial. También existe confusión sobre cómo deberíamos regular la IA y dónde deberíamos trazar los límites morales en su uso. En Cómo pensar sobre la IA, Richard Susskind se basa en su experiencia trabajando en inteligencia artificial desde principios de los años 80. Para Susskind, equilibrar los beneficios y las amenazas de la inteligencia artificial es el desafío definitorio de nuestra era. Explora la historia de la IA y posibles escenarios para su futuro. Sus opiniones sobre la IA no siempre son convencionales. Sitúa a ChatGPT y a la IA generativa como nada más que el último capítulo en la historia en curso de la inteligencia artificial y afirma que aún estamos en los inicios del desarrollo. Sostiene que pensar de manera responsable sobre el impacto de la IA requiere que miremos mucho más allá de las tecnologías actuales, sugiriendo que la tecnologías que aún no han sido inventadas tendrán un impacto mucho mayor en nosotros en la década de 2030 que las herramientas que tenemos hoy. Esto lleva a Susskind a discutir la posibilidad de máquinas conscientes, magníficos mundos virtuales habilitados por la IA y el impacto de esta en la evolución del ser humano biológico”.
En Côte d'Ivoire, la campagne de ramassage du karité a démarré, dont le pays est le cinquième producteur mondial. Cette filière est désormais régulée par le Conseil du Coton et de l'Anacarde. Avec le tout début de la saison des pluies, dans le nord du pays, les femmes activent dans ce domaine sont en plein ramassage. Avec notre envoyée spéciale à Bouna, Dans cet espace communautaire en périphérie de Bouna, plusieurs femmes sont accroupies et ramassent des amandes de karité. Il faut aller vite, car un troupeau de bœufs dévorent les fruits mûrs tombés au pied des arbres de karité. « Je viens ici tôt, vers 5h30, puisque ce fruit est prisé par tous les animaux, à cause de sa pulpe qui est très sucrée. Il faut être rapide pour le récolter avant eux », explique Béninguiéla Hien. Cette activité attire plus de monde, car la précédente campagne a été favorable. En effet, les amandes de Côte d'Ivoire étaient montées en flèche l'an dernier, après que le Mali et le Burkina Faso ont pris des mesures pour suspendre l'exportation de leurs amandes de karité. Cette hausse a attiré plus de femmes dans la collecte des amandes. En période de récolte, ces travailleuses peuvent gagner jusqu'à 2 500 francs CFA par jour. Des prix sur les marchés à la hausse Cette activité permet d'améliorer la qualité de vie de ces femmes. « L'activité se porte bien : avant, je ramassais beaucoup d'amandes de karité, mais les prix étaient faibles. Depuis l'an dernier, cela a changé : je fais des bénéfices. Par exemple, cet argent me sert à scolariser mes enfants », témoigne Kamou Sambéna. Une fois récoltées, ces amandes sont ensuite vendues à des coopératives. À l'image de Scoop Prokobab, qui regroupe 600 femmes à Bouna. Cette coopérative transforme ce fruit en beurre de karité. La hausse des prix sur les marchés internationaux a été répercutée sur les prix des produits revendus par cette coopérative. Ce qu'explique Siatta Ouattara, la présidente de cette organisation : « Aujourd'hui, la concurrence est rude. On va vendre cher notre amande que nous allons produire. Le kilo qui était à 200 francs CFA est passé à 700. Donc le kilo [d'amandes] a triplé. Le beurre [de karité] que nous vendions à 1 000 francs CFA est passé à 2 000. Et le kilo de beurre de karité que l'on vendait à 1 500-2 000 francs CFA, on est obligé de le vendre à 3 000. » Cette coopérative réalise l'essentiel de ses bénéfices sur les dérivés du karité. Notamment les produits cosmétiques fabriqués à partir des résidus de coques de karité, ou encore les briques de tourteaux, utilisés comme combustible. Le prix du karité sera fixé d'ici à la fin du mois de juin, en concertation avec le Conseil du coton et de l'anacarde. À lire aussiSans le Mali et le Burkina Faso, le prix des amandes de karité explose
VIDEO: Il matrimonio secondo Leone XIV ➜ https://www.youtube.com/watch?v=wDC5MlhOm_oTESTO DELL'ARTICOLO ➜ https://www.bastabugie.it/8189LEONE XIV DEMOLISCE AMORIS LAETITIA: IL MATRIMONIO NON E' UN IDEALE di Roberto de Mattei "Il matrimonio non è un ideale, ma il canone del vero amore tra l'uomo e la donna: amore totale, fedele, fecondo". Così ha detto Leone XIV il 31 maggio 2025, nell'omelia della Messa del Giubileo delle famiglie, sottolineando che questo amore "rende capaci, a immagine di Dio, di donare la vita".Il significato di questa frase non deve sfuggire, perché oggi troppo spesso la legge morale viene ridotta a un ideale che può essere difficilmente raggiunto. La parola "canone", nel linguaggio religioso, indica una regola ufficiale della Chiesa, una norma giuridica e morale, una legge oggettiva, che tutti i cristiani sono tenuti ad osservare.Il matrimonio, uno e indissolubile, formato da un uomo e da una donna, è un'istituzione divina e naturale, voluta da Dio stesso ed elevata da Gesù Cristo alla dignità di Sacramento. La famiglia, fondata sul matrimonio, è perciò una vera società con un'unità spirituale, morale e giuridica, di cui Dio ha fissato la costituzione e i diritti. Chi osserva questa legge riceve da Dio tutte le grazie necessarie ad osservarla. Presentare il matrimonio come un ideale, e non come una legge a cui è legata una grazia, equivale ad affermare che questo modello non appartiene al mondo della realtà, ma a quello dei desideri, talvolta irraggiungibili. Significa dunque cadere nel relativismo morale. Gli uomini, per vivere, hanno bisogno di princìpi che possono e debbono essere vissuti: uno di questi è il matrimonio. L'idea, invece, che "il matrimonio è un ideale" percorre l'Esortazione apostolica Amoris Laetitia, del 2016, nella quale Papa Francesco ha insistito sul fatto che questo ideale va proposto gradualmente, accompagnando le persone nel loro cammino. Ma la morale cattolica non è graduale e non ammette eccezioni: o è assoluta o non è. La possibilità di "eccezioni" alla legge nasce proprio dall'idea di un ideale impraticabile. Era la tesi di Lutero, il quale sosteneva che Dio ha dato all'uomo una legge impossibile da seguire. Lutero elaborò perciò il concetto di un "fede fiduciale", che salva senza le opere, proprio perché i comandamenti non possono essere osservati. Alla concezione luterana dell'impraticabilità della legge, il Concilio di Trento replicò che ci si salva attraverso la fede e le opere. Il Concilio colpisce di anatema chi dice che "per l'uomo giustificato e costituito in grazia, i comandamenti di Dio sono impossibili da osservare" (Denz.H, n. 1568) e afferma: "Dio infatti non comanda l'impossibile; ma quando comanda ci ammonisce di fare quello che puoi, di chiedere quello che non puoi, e ti aiuta perché Tu possa" (Denz.H, n. 1356).L'AIUTO NON MANCHERÀCi si può trovare di fronte a problemi apparentemente insormontabili, ma in questi casi bisogna fare di tutto, con le proprie forze, per osservare la legge naturale e divina e chiedere a Dio l'aiuto per superare il problema. È di fede cattolica che questo aiuto non mancherà e che ogni problema sarà risolto. Nei casi eccezionali Dio ci offrirà un aiuto straordinario della grazia, proprio perché non ci ha dato una legge impraticabile. La dottrina non è un ideale astratto e la vita del cristiano non è altro che la pratica dei comandamenti, secondo l'insegnamento di Gesù: "Chi accoglie i miei comandamenti e li osserva, questi mi ama" (Gv 14, 21). Per questo, in un'intervista del 2019 riportata da Corrispondenza Romana, il cardinal Burke spiegava: "Qualcuno ha detto che in fin dei conti dobbiamo renderci conto che il matrimonio è un ideale che non tutti possono raggiungere e quindi dobbiamo adattare l'insegnamento della Chiesa alle persone che non riescono a mantenere le promesse matrimoniali. Ma il matrimonio non è un "ideale". Il matrimonio è una grazia e quando una coppia si scambia i voti, entrambi ricevono la grazia di vivere un legame fecondo e fedele per tutta la vita. Anche la persona più debole, la persona meno formata, riceve la grazia per vivere fedelmente l'alleanza matrimoniale".AMORE TOTALE, FEDELE, FECONDOMa leggiamo con attenzione le parole di Leone XIV: "Negli ultimi decenni abbiamo ricevuto un segno che dà gioia e al tempo stesso fa riflettere: mi riferisco al fatto che sono stati proclamati Beati e Santi dei coniugi, e non separatamente, ma insieme, in quanto coppie di sposi. Penso a Louis e Zélie Martin, i genitori di Santa Teresa di Gesù Bambino; come pure i Beati Luigi e Maria Beltrame Quattrocchi, la cui vita familiare si è svolta a Roma nel secolo scorso. E non dimentichiamo la famiglia polacca Ulma: genitori e bambini uniti nell'amore e nel martirio. Dicevo che si tratta di un segno che fa pensare. Sì, additando come testimoni esemplari degli sposi, la Chiesa ci dice che il mondo di oggi ha bisogno dell'alleanza coniugale per conoscere e accogliere l'amore di Dio e superare, con la sua forza che unifica e riconcilia, le forze che disgregano le relazioni e le società"."Per questo, col cuore pieno di riconoscenza e di speranza, a voi sposi dico: il matrimonio non è un ideale, ma il canone del vero amore tra l'uomo e la donna: amore totale, fedele, fecondo (cfr S. Paolo VI, Lett. Enc. Humanae vitae, 9). Mentre vi trasforma in una carne sola, questo stesso amore vi rende capaci, a immagine di Dio, di donare la vita"."Perciò vi incoraggio ad essere, per i vostri figli, esempi di coerenza, comportandovi come volete che loro si comportino, educandoli alla libertà mediante l'obbedienza, cercando sempre in essi il bene e i mezzi per accrescerlo. E voi, figli, siate grati ai vostri genitori: dire "grazie", per il dono della vita e per tutto ciò che con esso ci viene donato ogni giorno, è il primo modo di onorare il padre e la madre (cfr Es 20,12)".All'inizio e alla fine della sua omelia il Papa è tornato su un tema che gli è caro: la preghiera di Gesù al Padre, tratta dal Vangelo di Giovanni: "Che tutti siano una sola cosa" (Gv, 17, 20). Non un'uniformità indistinta, ma una comunione profonda, fondata sull'amore stesso di Dio; "uno unum", come dice sant'Agostino (Sermo super Ps. 127): una cosa sola nell'unico Salvatore, abbracciati dall'amore eterno di Dio. "Carissimi, se ci amiamo così, sul fondamento di Cristo, che è «l'alfa e l'omega», «il principio e la fine» (cfr Ap 22,13), saremo segno di pace per tutti, nella società e nel mondo. E non dimentichiamo: dalle famiglie viene generato il futuro dei popoli"
Abrimos la tertulia con una nueva y arriesgada hipótesis defendida por un científico de Harvard, que afirma que antiguas civilizaciones habitaron Marte y que tuvo lugar una guerra termonuclear. Josep Guijarro comenta los detalles junto a Mado Martínez y Juan José Sánchez-Oro. Además, os contamos la IA que será el próximo Einstein, la creación de nuestro universo antes del Big Bang se debería a un agujero negro, la investigación de los restos de la mujer hallada en 1991 que desvelan que era de la época medieval temprana de Londres y murió de terribles palizas, la supuesta nueva ubicación de los restos del Arca de Noé, la elación fantasmal como explicación ovni, el experimento de inyectar vida en Encélado, satélite de Saturno, para crear un nuevo mundo y el curioso cementerio sumergido en aguas canarias.
En Cómo Hacer Crecer Tu Negocio, Donald Miller —autor best seller y creador del método StoryBrand— ofrece un plan claro, estructurado y fácil de implementar para llevar cualquier negocio al siguiente nivel. A partir de su experiencia ayudando a miles de emprendedores y líderes a clarificar su mensaje y escalar sus empresas, Miller condensa los principios clave del crecimiento empresarial en un marco de trabajo simple pero poderoso. Este libro no es una recopilación de consejos genéricos, sino una hoja de ruta práctica dividida en seis pasos esenciales: desde liderar con visión y construir un equipo sólido, hasta optimizar tus productos, procesos y sistemas de marketing. Con ejemplos concretos, ejercicios aplicables y herramientas de gestión empresarial, Miller muestra cómo eliminar la complejidad innecesaria y enfocarte en lo que realmente impulsa resultados. Una lectura esencial para dueños de negocios, freelancers y emprendedores que quieren dejar de improvisar y empezar a construir una empresa rentable, predecible y escalable. Cómo Hacer Crecer Tu Negocio es el aliado perfecto para quienes están listos para profesionalizar su emprendimiento y lograr un crecimiento sostenible.
En Côte d'Ivoire, quatre figures de l'opposition sont exclues de la liste électorale définitive publiée mercredi : l'ex-président Laurent Gbagbo, son ancien bras droit Charles Blé Goudé, l'ancien Premier ministre Guillaume Soro et le président du PDCI, Tidiane Thiam. Ils ne pourront pas se présenter à la présidentielle du 25 octobre, ni voter. La liste ne sera pas révisée car le délai est trop court, selon le président de la commission électorale.
En Côte d'Ivoire, avec plus de deux semaines d'avance sur le calendrier annoncé, la liste électorale définitive sera disponible dès aujourd'hui. Vos réactions nous intéressent alors que l'opposition réclame une révision complète du fichier électoral avant l'élection présidentielle du mois d'octobre et la réintégration des personnalités politiques radiées.
L'Aïd el-Kébir ou Aïd el-Adha, la plus grande fête de l'islam, sera célébrée ces 6 et 7 juin dans les pays et les communautés musulmanes. Elle est appelée Tabaski en Afrique de l'Ouest. En Côte d'Ivoire, où plus de 40% de la population est musulmane, les foyers se préparent à des rassemblements familiaux, mais pas seulement. À Abidjan, une famille nous a ouvert ses portes. De notre correspondante à Abidjan,Tous les ans, c'est le même ballet dans la maisonnée. Madame Taofik, qui tient une boutique à Cocody, sait que son petit pavillon de Blockhaus ne suffira pas à accueillir tous ses invités. Avec la famille élargie et les conjoints, la population du foyer devrait doubler. Alors il faut anticiper. « Le matin avant la prière, ma belle-fille et son mari vont venir, explique Madame Taofik. Ma fille aussi, qui n'est pas encore mariée vient aussi, tout comme le petit frère de mon mari. Ce qui est sûr, c'est qu'on sera en famille. Tout le monde va venir à la maison pour qu'on fête ensemble. Souvent on dépasse les quinze personnes ! Quand la famille vient, on loue les sièges quand il est l'heure de manger. On sait bien s'amuser ! »Plus que les retrouvailles, les enfants sont enthousiasmés par les habits de fête et le festin. En réunissant toutes les générations, la Tabaski est aussi l'occasion de transmettre les traditions aux plus jeunes. Les pères de famille mettront à mort le mouton ou le bœuf, pour ceux qui en ont les moyens.Le petit-fils de Madame Taofik, Jimoh, veut apprendre auprès de son père, qui a promis de l'initier. « La fête va bien se passer, prédit le garçon de dix ans. On va payer un joli habit pour moi, des jolies chaussures, un chapeau, et un bœuf. On va fêter en famille, on va manger et rigoler. Je suis très pressé ! Mon papa va tuer le bœuf, il va me montrer comment, je vais regarder. Comme ça, quand je serai grand, je pourrai le faire aussi. »« J'ai des amis chrétiens et des amis musulmans, je célèbre avec tout le monde »Les femmes de la maison préparent le repas la veille, mais les traditions évoluent chez une jeunesse urbaine et moderne. Pour elle, Tabaski n'est plus seulement une célébration familiale, mais aussi un moment de fête avec les amis, toutes religions confondues. « On a programmé de faire une sortie le soir, explique Rokia Taofik, 27 ans. Le matin, je suis à la maison avec les parents. Après avoir mangé, tout le monde est à l'aise, vous vous reposez. Et puis le soir, vers 19h, vous sortez, vous partez vous amuser… Moi, j'ai des amis chrétiens et des amis musulmans, donc je fête avec tout le monde. Tout le monde a droit à la fête de la Tabaski ! Il ne faut pas dire “lui est musulman, lui est chrétien, il ne peut pas aller fêter”. La fête, c'est la fête ! »Plus de douze millions de personnes devraient célébrer la Tabaski vendredi 6 juin, qui sera un jour férié pour tous les Ivoiriens. À lire aussiAïd-al-Adha, Aïd-el-Kebir ou Tabaski : une année à l'épreuve des crises
María Santos nos trae el tiempo de la semana. El intenso calor previsto para casi todo el país este fin de semana se sitúa fuera del rango habitual para esta época del año. Mientras que en algunas zonas del norte, como el Cantábrico oriental, el mercurio superará los 30 °C, en el sur se alcanzarán e incluso superarán los 40 °C. El sur de Extremadura y el oeste de Andalucía serán las áreas más calurosas, aunque en la mayoría de capitales se superarán los 30 °C. El viernes fue un día excepcionalmente cálido en muchas regiones, pero el sábado ese calor comienza a remitir en el norte, donde en algunos puntos las máximas podrían quedarse cerca o incluso por debajo de los 20 °C. Aunque no son temperaturas especialmente bajas, contrastan con los casi 40 °C previstos en capitales como Sevilla, Córdoba o Badajoz. Así nos spreviene Mario Picazo desde su portal El Tiempo.es No solo será intenso el calor diurno: por primera vez este año, las noches comenzarán a ser tropicales, es decir, con temperaturas mínimas por encima de los 20 °C en muchas capitales del sur peninsular. En Cádiz, por ejemplo, se prevé que la mínima del sábado no baje de los 24 °C. La entrada de aire más frío por el norte favorecerá el desarrollo de tormentas en la mitad norte peninsular, y de forma puntual, en zonas montañosas del este especialmente a lo largo de este sábado. De cara al inicio de la próxima semana, se espera que esa incursión de aire más frío, asociada a una vaguada, contribuya a aliviar parcialmente el intenso calor que vamos a experimentar durante la recta final de mayo y el comienzo de junio. Y qué podemos esperar en junio?, pues tengamos en cuenta que Este 1 de junio arrancamos el verano meteorológico en España. Y le damos la bienvenida tras vivir el primer episodio de auténtico calor de verano con el que vamos a terminar mayo. La temperatura media habitual en España durante el mes de junio es de 21,1 ºC. Sin embargo, este año 2025 se prevé que junio sea más cálido de lo normal en gran parte del país, especialmente en la Península y Baleares. Canarias también experimentará temperaturas ligeramente más cálidas.
En Côte d'Ivoire, c'est la polémique qui enfle : la présidente du Sénat, Kandia Camara, a annoncé la signature d'une convention qui permet aux fonctionnaires de cinq institutions d'avoir accès pour eux et leurs familles à des tarifs préférentiels avec la compagnie aérienne Corsair pour leurs voyages privés et professionnels, ainsi qu'avec le luxueux Hôpital américain de Paris. "Un partenariat honteux", a dénoncé de manière unanime l'opposition.
Esta semana falamos da lenda medieval da Papisa Joana, e do Papa Leão XIII e da sua encíclica Rerum Novarum, de 1891.Sugestões da semana1. Christoph Kalter - Portugal e os Retornados. Descolonização, migração e nação pós-imperial. Imprensa de Ciências Sociais, 2025.2. Encontro De Re Militari Antiqua - I Fórum Estudante História Militar Antiga (28 de Maio, FLUL).3. Encíclica “Rerum Novarum”, do Papa Leão XIII, 1981, disponível online: https://tinyurl.com/rerumnovarumpt----Obrigado aos patronos do podcast:André Silva, Cláudio Batista, Joana Figueira, Bruno Ricardo Neves Figueira, Isabel Yglesias de Oliveira, NBisme, Oliver Doerfler;Alessandro Averchi, Alexandre Carvalho, Carlos Castro, Daniel Murta, David Fernandes, Domingos Ferreira, É Manel, Francisco, Hugo Picciochi, João Cancela, João Carreiro, João Pedro Tuna Moura Guedes, Jorge Filipe, Luís André Agostinho, Luisa Meireles, Manuel Prates, Patrícia Gomes, Pedro Almada, Pedro Alves, Pedro Ferreira, Rui Roque, Tiago Pereira, Vera Costa;Adriana Vazão, Alfredo Gameiro, Ana Gonçalves, Ana Sofia Agostinho, André Abrantes, Andre de Oliveira, André Silva, António Farelo, Bruno Luis, Carlos Afonso, Carlos Ribeiro, Carlos Ribeiro, Catarina Ferreira, Diogo Camoes, Diogo Freitas, Fábio Videira Santos, Francisco Fernandes, Gn, Hugo Palma, Hugo Vieira, Igor Silva, João Barbosa, João Canto, João Carlos Braga Simões, João Diamantino, João Félix, João Ferreira, Joel José Ginga, José Santos, Luis Colaço, Miguel Brito, Miguel Gama, Miguel Gonçalves Tomé, Miguel Oliveira, Miguel Salgado, Nuno Carvalho, Nuno Esteves, Nuno Moreira, Nuno Silva, Paulo Silva, Pedro, Pedro Cardoso, Pedro Oliveira, Pedro Simões, Ricardo Pinho, Ricardo Santos, Rúben Marques Freitas, Rui Curado Silva, Rui Rodrigues, Simão, Simão Ribeiro, Sofia Silva, Thomas Ferreira, Tiago Matias, Tiago Sequeira, Tomás Matos Pires, Vitor Couto, Zé Teixeira.-----Ouve e gosta do podcast?Se quiser apoiar o Falando de História, contribuindo para a sua manutenção, pode fazê-lo via Patreon: https://patreon.com/falandodehistoria-----Música: "Hidden Agenda” de Kevin MacLeod (incompetech.com); Licensed under Creative Commons: By Attribution 4.0 License, http://creativecommons.org/licenses/by/4.0Edição de Marco António.
L'ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz est condamné en appel à 15 ans de prison ferme pour « enrichissement illicite » et « trafic d'influence ». Avancée dans la lutte contre l'impunité ou règlement de comptes ? Au Gabon, l'ancien président Ali Bongo et sa famille ont été libérés et sont arrivés dans le plus grand secret à Luanda, la capitale angolaise. Beaucoup déplorent une justice à deux vitesses, à juste titre ? En Côte d'Ivoire, le leader du PDCI Tidjane Thiam est réélu à la tête du parti, deux jours après avoir démissionné de ce poste. Une élection qui ne change cependant rien à son inéligibilité au scrutin présidentiel d'octobre prochain.En Turquie, quelles chances pour les pourparlers en l'absence des présidents russe et ukrainien ?Enfin promesses d'investissement, dossiers sensibles, soupçon de conflit d'intérêts… Que doit-on retenir de la tournée du président américain Donald Trump au Moyen-Orient ? Avec la participation de : - Wuldath Mama, consultante spécialisée dans les questions internationales pour la Société de radio et de télévision du Bénin- Karine Oriot, éditorialiste camerounaise- François Hiondi Nkam, grand reporter et chef du service Économie au quotidien camerounais Le jour.
En Côte d'Ivoire, cela a été une première. Une athlète a eu gain de cause contre son entraîneur qui la harcelait. 6 mois de prison ferme et 500 000 francs CFA d'amende : c'est la peine prononcée fin février 2025 contre Tadjou Attada, l'ex-entraîneur national de Taekwondo, qui a fait appel. L'affaire n'est pas finie... il a été condamné pour harcèlement moral et non sexuel, malgré le réquisitoire en ce sens. Mais c'est une victoire pour Mariama Cissé, la plaignante, pour d'autres Taekwondoïstes également et, au-delà encore, pour ces athlètes qui ont du mal à sortir des griffes de leur entraîneur... C'est même une porte qui s'ouvre sur la libération de la parole pour les femmes ivoiriennes. «Le procès Tadjou Attada, une brèche dans le mur du silence sur le harcèlement et les violences sexuelles en Côte d'Ivoire», un Grand reportage de Youenn Gourlay.
En Côte d'Ivoire, l'opposant Tidjane Thiam a annoncé démissionner de la présidence du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), principale formation d'opposition, mais devrait se faire réélire dès mercredi lors d'un congrès, pour mettre fin à une saga judiciaire contestant sa légitimité. À moins de six mois du scrutin, le climat politique est tendu en Côte d'Ivoire, où plusieurs opposants de premier plan, dont M. Thiam, ont été déclarés inéligibles.
En Côte d'Ivoire, Tidjane Thiam ne renonce pas. Deux semaines après sa radiation des listes électorales par un tribunal d'Abidjan, le président du PDCI, le principal parti de l'opposition ivoirienne, continue de croire en ses chances de pouvoir être candidat à la présidentielle d'octobre prochain. Mais quelle est sa stratégie ? Et que fera-t-il si ça ne marche pas ? Acceptera-t-il que le PDCI présente un autre candidat ? Ousmane Zina est professeur agrégé en sciences politiques à l'Université de Bouaké. En ligne de Côte d'Ivoire, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Alors, la justice ivoirienne se fonde sur le code de nationalité qui indique qu'on perd sa nationalité ivoirienne quand on acquiert une autre nationalité. Mais Tidjane Thiam réplique que cet article du code n'a jamais été appliqué et qu'à ce compte-là, la plupart des joueurs de l'équipe de football de Côte d'Ivoire ne pourraient pas jouer pour les Eléphants…Ousmane Zina : Bon, le fait qu'un texte existe, ou alors qu'une loi existe, ou une disposition existe et qu'elle n'ait jamais été appliquée, elle se trouve alors, cette disposition, dans une forme de silence. Est-ce que le silence de la disposition fait disparaître la disposition en soi ? Ça reste un débat juridique assez ouvert. La décision de justice, elle est là et on est obligé de l'observer en tant que tel.Depuis quelques jours, le PDCI parvient à mobiliser de plus en plus de partisans. Ils étaient plusieurs milliers samedi 3 mai dans les rues d'Abidjan. Une vingtaine de partis d'opposition appellent à un rassemblement le 31 mai. Est-ce que l'exclusion électorale de Tidjane Thiam ne va pas électriser le débat politique ?Oui, on n'est pas à la première expérience d'un jeu politique assez électrique en Côte d'Ivoire. Et je pense que la mobilisation qui est en train de se faire progressivement par le PDCI… Le PDCI est effectivement dans une disposition de combat, de combat politique. Maintenant, la question est de savoir quelle tournure pourrait prendre ce genre de tension. Et je pense que la Côte d'Ivoire n'a pas intérêt à basculer dans aucune forme de violence. L'appel à la violence ne serait pas le bienvenu dans ce contexte déjà fragile et ce contexte régional encore plus fragile.Autre stratégie de Tidjane Thiam, qui est en Europe depuis quelques semaines : pousser la communauté internationale, notamment la Cédéao et les pays européens, à prendre position en sa faveur. Qu'en pensez-vous ?Oui, je pense que c'est une stratégie diplomatique. Vous savez, on l'a vu dans le contexte ivoirien. Comment les accords politiques, les arrangements politiques, forgés à partir de relations avec la diplomatie africaine et la diplomatie internationale, ont pu changer de trajectoire… Et donc cela fait partie de la démarche d'un homme politique, qui a des ambitions présidentielles, de jouer sur ses réseaux, à la fois internes et internationaux, et d'espérer que la diplomatie, par ses actions, puisse faire bouger les lignes. Et l'idée ici, en passant par cette voie de la diplomatie africaine et internationale, l'idée, c'est de finalement trouver peut-être une solution politique à cette situation, à cette crise.« Le candidat du PDCI, en octobre prochain, ce sera moi ou personne », dit Tidjane Thiam. Comment analysez-vous cette stratégie ?Je pense que c'est dans la continuité de la démarche de Tidjane Thiam, qui est arrivé et qui a pris la tête du PDCI. Depuis qu'il a été désigné candidat du PDCI, il est dans cette démarche effectivement de conquête du pouvoir et donc je pense qu'il est dans cette démarche-là d'aller au bout. Et si éventuellement sa candidature n'est pas acceptée, la solution du seul plan qui existe va sûrement déboucher sur un boycott. Je pense que c'est cette impression que ça laisse présager.Si Tidjane Thiam ne peut pas y aller, si Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé, Guillaume Soro ne peuvent pas y aller non plus, est-ce que la présidentielle dans six mois ne va pas perdre l'essentiel de sa légitimité ?On peut se poser effectivement cette question de la légitimité par rapport au poids des acteurs. Effectivement, la présence de ce type d'acteurs, notamment Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé, donnerait en fait de la tonicité à cette élection présidentielle. Mais aller jusqu'à dire que leur absence délégitimerait cette présidentielle, je pense que le jeu démocratique compose avec ceux qui sont présents et ceux qui peuvent participer sur le plan juridique effectivement à des élections présidentielles.Du côté du parti au pouvoir RHDP, le président Alassane Ouattara ne dit toujours pas s'il va briguer ou non un quatrième mandat. Qu'est-ce qu'il va faire à votre avis ?(Rires) Je ne sais pas. Je ne sais pas ce que le président Ouattara va faire. Ce que je sais, c'est que, en fin juin, il y aura un congrès et donc il garde le suspense. Il est, dans cette approche de l'horloge, la maîtrise du temps. Et puis l'effet surprise, on ne sait jamais. Est-ce qu'il y a un dauphin ? Pour l'heure, on ne peut pas penser à un dauphin qui émerge très clairement. On l'aurait su depuis plusieurs mois en arrière. On peut penser à quelques acteurs clés, des cadres qui ont des légitimités électorales par leur parcours. On peut imaginer effectivement ce scénario, mais désigner un dauphin à l'heure actuelle, je ne suis pas très sûr. Dans le contexte actuel, on ne voit pas poindre à l'horizon un acteur qui émerge.
En Côte d'Ivoire, près de 34 000 naissances prématurées sont enregistrées chaque année. En complément de la prise en charge en couveuse dans les hôpitaux, l'Unicef et le Fonds Muskoka ont développé depuis six ans, avec le gouvernement ivoirien, le programme Centres de Soins Mère Kangourou (SMK). Une méthode de contact peau à peau entre la mère et son bébé prématuré, pour réduire la mortalité néonatale, qui donne déjà de très bons résultats. Avec notre correspondante à Abidjan, Marine JeanninMalgré les pleurs des bébés et les discussions à voix basse des jeunes mères, l'atmosphère est feutrée dans le service « Mère Kangourou » du CHU de Treichville, une commune d'Abidjan en Côte d'Ivoire. Seize femmes et leurs bébés sont actuellement logées, encadrées et soignées dans cette unité d'une vingtaine de places. Parmi elles, Fatim Wandao, 23 ans, porte entre les seins un bébé d'un mois, son premier enfant. L'hôpital a dû déclencher son accouchement avant terme, raconte-t-elle, à cause d'une complication survenue à six mois de grossesse.« Ils l'ont envoyé en couveuse, parce que le bébé était trop petit, se souvient-elle, encore émue. Je tremblais. Je me suis dit “Est-ce que mon bébé va s'en sortir ? Est-ce que je vais m'en sortir ?” Quand je le voyais dans la couveuse, je ne me sentais pas bien, parce qu'elle était trop petite. Mais quand le bébé est revenu, je me suis sentie très heureuse. La première fois que j'ai pris mon bébé dans les bras, je me suis sentie fière d'être maman. Quand on est venues ici, au fur et à mesure, j'ai commencé à prendre soin d'elle, et les mamans qui sont ici avec moi m'ont aidée. »La méthode est simple, explique l'infirmière Nicole Howo. Garder en permanence les bébés au contact de leur mère, grâce à un foulard étroitement noué, comme pour prolonger la grossesse hors du ventre maternel. « On porte les bébés peau à peau, à la poitrine des mamans, et c'est cette chaleur-là qui permet à l'enfant de se développer. Ça marche, on a des bébés qui viennent à 600 grammes, et on les voit aujourd'hui, ils sont normaux, comme les autres bébés. »Le porter « kangourou » aide l'enfant à se développer, mais aussi la mère à garder un bon état psychologique, car les risques de dépression post-partum sont accentués après un accouchement prématuré. De peur de perdre leur bébé peu après la naissance, beaucoup de parturientes refusent même de leur donner un nom. « Ça permet à la maman de regagner en confiance, parce que quand on [donne naissance à un enfant] prématuré, on se culpabilise, on est traumatisée. Donc la mère elle-même voit l'enfant grandir progressivement. Chaque jour, on fait les pesées. Cinq grammes aujourd'hui, 10 grammes aujourd'hui, 20 grammes demain. Elles sentent l'enfant grandir. Quand on atteint le kilogramme, on célèbre ! », se réjouit le Dr Chantière Somé-Meazieu, qui dirige l'unité Mère-Kangourou.Quinze centres de soin Mère-Kangourou sont déjà fonctionnels, avec l'objectif de doubler ce nombre d'ici à 2030. Le gouvernement aimerait appliquer ce programme à l'échelle nationale, encouragé par les bons résultats que souligne Mariana Stirbu, représentante par intérim de l'Unicef dans le pays. « Dans ce centre, pour l'année dernière, on a eu un taux de survie de 99 %. C'est un pourcentage très important. Beaucoup de ces enfants auraient pu décéder, c'est une question de vie ou de mort », détaille-t-elle. La prématurité reste l'une des principales causes de mortalité infantile en Côte d'Ivoire, puisqu'elle représente près de 30 % des décès néonatals. À lire aussi«Carnet de santé», le podcast – Dr Somé-Meazieu, grand-mère des prématurés en Côte d'Ivoire
Bi sedema êrîşeke dironî li ser bingehên hêzên pêşmergeyên Herêma Kurdistanê li gûndê Belave li sînorê bajarokê Dêrelûkê li qezaya Amêdî ya parêzgeha Duhokê pênc pêşmerge birîndarbun. Encûmena Ewlehiya Herêma Kurdistanê dibêje, hin alî û kom hewl didin ku pêvajoya aştî û aramiyê li herêmê asteng bikin. Bêtir derbarê vê mijarê û mijarên din raporta Ehmed Xefûr ji Hewlêrê heye.
En Côte d'Ivoire, les opposants Tidjane Thiam, Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé sont pour l'instant inéligibles. A six mois de la présidentielle, que vous inspire le climat préélectoral ? Comment ces trois figures politiques vont-elles réagir ? Vos réactions nous intéressent.
La diaspora pèse plus de 90 milliards d'euros sur le continent africain. Un chiffre en constante augmentation. Achats de terrains, location d'appartements, infrastructures, l'immobilier draine une part croissante de ces fonds. Mais ce type d'investissements ne va pas de soi. Les craintes des futurs investisseurs sont encore nombreuses. Elaje Sequifanon souhaite acheter un terrain dans son pays d'origine, la Guinée. Le trentenaire est responsable commercial dans une société de transport maritime au Havre. Il est venu s'informer au Salon pour l'investissement dans l'immobilier et les énergies renouvelables en Afrique qui se tenait à Paris du 11 au 13 avril. Il a besoin d'être rassuré par les acteurs de la filière, car il a des doutes. « Est-ce que les promoteurs immobiliers ont des outils ou une plateforme qui mettraient en lumière et en transparence pour avoir une vision claire sur l'investissement et le projet qu'on réalise sur place ? », fait-il remarquer. D'autres zones d'ombre persistent, notamment sur le financement : « Comment ça se passe sur le plan notarial ? Est-ce qu'il y a des investissements qui seront levés de leur côté ou est-ce que l'investissement se fait directement sur fonds propres ? »L'éloignement et le difficile accès au crédit freinent les investissements de la diaspora dans l'immobilier. Les acquisitions immobilières représentaient moins de 5 % des transferts d'argent de la diaspora guinéenne il y a quelques années, selon la Banque centrale de la République de Guinée.« Il y a un vieil adage qui dit : quand on achète un terrain, on achète parfois un procès » témoigne Allou Boigny Nobel. Ce magistrat en Côte d'Ivoire est spécialiste du droit foncier et immobilier. Il est venu au salon présenter son livre Acheter un terrain en toute sécurité en Côte d'Ivoire. « On a çà et là des affaires dans lesquelles des personnes estiment avoir perdu beaucoup d'argent. Beaucoup d'investisseurs ou d'acheteurs achètent des terrains dans des lotissements qui ne sont pas approuvés. Il appartient aux acteurs de comprendre les règles, de s'y mettre », estime-t-il.En Afrique de l'Ouest, le secteur immobilier grandit, mais moins vite que la demande. En Côte d'Ivoire, il manquerait plus de 800 000 logements. En Guinée, c'est plus de 500 000. Pour combler ce manque, les États changent les règles. « On a un cadre légal aujourd'hui – qui a été mis en place à travers la nouvelle Constitution à l'époque et qui n'était pas exploitée –, qui a mis en place tous les principes de copropriété et qui a permis de construire [des bâtiments] de manière verticale et donc de pouvoir ensuite morceler des immeubles sous forme d'appartements, détaille Samuel Lequertier, promoteur immobilier en Guinée. C'est pour cela que des promoteurs immobiliers comme nous aujourd'hui pouvons nous appuyer sur ce cadre légal pour développer nos programmes fonciers et donc nos programmes immobiliers. »Promoteurs, banquiers, constructeurs, tous les exposants se veulent enthousiastes et rassurants. Mais l'optimisme ambiant n'efface pas un doute persistant chez de nombreux visiteurs, l'instabilité politique de la région qui empêche les investisseurs de se projeter.À lire aussiEn Afrique de l'Ouest, un déficit de logements difficile à combler
En Côte d'Ivoire, Abidjan qui vit aux rythmes des musiques urbaines cette semaine, grâce au festival des musiques urbaines (Femua) d'Anoumabo. Lors de la 17ème édition de cet évènement, qui ambitionne de partager de la musique en éveillant les consciences, place au thème du civisme et de la sécurité routière. Le festival a rayonné dans toute la sous-région et mise aussi sur la diplomatie culturelle en invitant chaque année un pays différent. Cette fois-ci, c'est la Guinée. Salif Traoré, alias « Asalfo », du groupe Magic System, est le commissaire général du Femua et répond à notre envoyé spécial Guillaume Thibault. À lire aussiPanorama de la 17e édition du festival des musiques urbaines d'AnoumaboÀ lire aussiCôte d'Ivoire: au Femua, les femmes sur le même pied d'égalité que les hommes
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Tomy Hofbauers Gleitschirmpassion hat viele Gesichter. Ein Gespräch über Küstenfliegen, Hike and Fly und Schirmvergleiche +++ Wie viele Zellen und welche Streckung hatte eigentlich der Nova Mentor 4? Welche Leichtschirme mit EN-C und weniger als 3,5 kg Gewicht gibt es aktuell auf dem Markt? Wer solche Fragen beantworten will, der kann mühsam das Internet durchstöbern. Dabei wird man zuweilen sogar auf die irgendwo noch archivierten älteren Seiten der Schirmhersteller zugreifen müssen. Oder man nutzt eine Online-Datenbank, in der all diese Infos schon zusammengetragen sind. Parafinder.at heißt die entsprechende Website. Sie geht zurück auf eine Idee von Tomy Hofbauer, der das Projekt nun zusammen mit seiner Frau Ulrike und dem Programmierer Christian Grohs betreibt. Sie alle stecken viel Zeit hinein. Nicht weil damit Geld zu verdienen wäre. Es ist einfach Teil ihrer gelebten Passion fürs Gleitschirmfliegen, von der am Ende die gesamte Szene profitiert. Apropos Passion: Schon mal von der Hike-and-Fly Wettbewerbsserie Bordairrace gehört? Auch da mischt Tomy Hofbauer mit – nicht nur als erfolgreicher Teilnehmer, sondern seit gut zehn Jahren auch als Veranstalter. Was ihn bei all seinem Engagement antreibt, das und mehr erzählt der 53-jährige in dieser Episode 158 von Podz-Glidz. Zudem sprechen wir unter anderem auch darüber, warum Tomy mittlerweile fast noch lieber an einsamen Küsten fliegt als in den Bergen. Kleiner Spoiler: Es hat etwas mit relaxtem Entdeckergeist zu tun. +++ Wenn Du Podz-Glidz und den Blog Lu-Glidz fördern möchtest, so findest Du alle zugehörigen Infos unter: https://lu-glidz.blogspot.com/p/fordern.html +++ Musik dieser Folge: Track: Back in the Saddle | Künstler: Dan Lebo Lebowitz – Tone Seeker Youtube Audio Library, https://www.youtube.com/watch?v=ob5LNGe7dwQ +++ Lu-Glidz Links: + Blog: https://lu-glidz.blogspot.com + Facebook: https://www.facebook.com/luglidz + Instagram: https://www.instagram.com/luglidz/ + Whatsapp-Kanal: https://whatsapp.com/channel/0029VaBVs05CHDynzdlJlU34 + Youtube: https://youtube.com/@Lu-Glidz + Soundcloud: https://soundcloud.com/lu-glidz + Spotify: https://open.spotify.com/show/6ZNvk83xxGHHtfgFjiAHyJ + Apple-Podcast: https://itunes.apple.com/de/podcast/podz-glidz-der-lu-glidz-podcast/id1447518310?mt=2 + Linktree: https://linktr.ee/luglidz +++ LINKS zu Tomy Hofbauer: + Parafinder: https://www.parafinder.at/ + Bordairrace: https://www.bordairrace.com/ + Hike2Fly4Fun: https://www.hike2fly4fun.com/ + Youtube-Kanal: https://www.youtube.com/@thomashofbauer7109 + Facebook: https://www.facebook.com/thomas.hofbauer1/
En Côte d'Ivoire, le gouvernement considère la grève dans les établissements scolaires du primaire et du secondaire comme « illégale ». La ministre de la Fonction publique a menacé de licencier les enseignants grévistes. Que vous inspire ce bras de fer ? Le droit de grève est-il menacé ?
Di nav bazara Duhokê de kesekî êrîş e ser Cejna Ekîto ya 1ê Nîsanê ku bi sersala Siryanî, Aşûrî û Kildanî hatîye naskirin. Di wê hêrişê de jinek û zelamek birindar bûn. Encûmena asayişa Herêma Kurdistanê ragihandinek li ser wê êrişê belavkir, kesê êrîşkar helgirê bîr û baweriyên teroristî hene. Raporta Ehmed Xefur ji Hewlere.
Reflexión de Monseñor Munilla sobre la Encíclica Dilexit Nos
En Côte d'Ivoire, faut-il réintégrer Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro sur la liste électorale ? Leur absence peut-elle provoquer des tensions ? Pour l'instant, ces trois personnalités ne peuvent pas se présenter à la présidentielle du mois d'octobre. Nous lançons le débat
Mike McCann joins the show to discuss the current state of the ENC space and how his company is differentiating itself through a focus on existing building and infrastructure upgrades. Despite industry headwinds, Mike remains optimistic about the company's prospects, citing strong demand from mission-critical sectors such as healthcare and industrials. He also touches on the impact of tariffs.======== Schwab Network ========Empowering every investor and trader, every market day.Subscribe to the Market Minute newsletter - https://schwabnetwork.com/subscribeDownload the iOS app - https://apps.apple.com/us/app/schwab-network/id1460719185Download the Amazon Fire Tv App - https://www.amazon.com/TD-Ameritrade-Network/dp/B07KRD76C7Watch on Sling - https://watch.sling.com/1/asset/191928615bd8d47686f94682aefaa007/watchWatch on Vizio - https://www.vizio.com/en/watchfreeplus-exploreWatch on DistroTV - https://www.distro.tv/live/schwab-network/Follow us on X – https://twitter.com/schwabnetworkFollow us on Facebook – https://www.facebook.com/schwabnetworkFollow us on LinkedIn - https://www.linkedin.com/company/schwab-network/About Schwab Network - https://schwabnetwork.com/about
Reflexiones de Mons. José Ignacio Munilla sobre la Encíclica Dilexit Nos, bajo la mirada del Corazón de Jesús.
En Côte d'Ivoire, à sept mois de la présidentielle, l'opposition s'organise. Vingt-cinq partis ont lancé une coalition pour exiger des réformes électorales en vue d'un scrutin crédible et transparent. Mais parviendront-ils à s'entendre sur un candidat unique ? Quelle doit-être la stratégie de l'opposition pour provoquer l'alternance ?
En Côte d'Ivoire, les clips sont devenus un atout marketing de poids pour les artistes. Depuis que le secteur se développe, se modernise et se professionnalise, les labels acceptent d'investir des budgets conséquents pour leur production. De plus en plus de monde se retrouve donc sur les plateaux de tournage, avec des compétences de plus en plus spécialisées. Reportage sur le tournage du clip du dernier titre du jeune rappeur Famous Freaky, produit par le label Coast to Coast. Avec notre correspondante à Abidjan,À première vue, difficile de distinguer ce plateau de tournage de celui d'un film. Réalisateur, régisseur, directeur photo, cadreur, grosses caméras, acteurs et figurants, styliste et maquilleuse... Tout y est. L'artiste à l'honneur, le rappeur Famous Freaky, prend l'exercice très au sérieux. Il sait, dit-il, que le clip est devenu un passage obligé pour valoriser un morceau à haut potentiel :« C'est le clip d'un son qui sort bientôt, dans mon prochain projet. ''DMV Flow'', c'est le titre du son. Je trouve que tous les éléments sont réunis. En tout cas, tous les éléments qui définissent mon style de musique sont dans ce son-là. Le producteur a kiffé, l'équipe a kiffé, donc ils ont voulu qu'on clippe. Pour que la musique s'exporte, déjà, grâce au visuel. C'est important. On ne peut pas juste chanter, et puis, on ne voit même pas qui chante, on ne sait pas qui chante. »Pour coller à l'esthétique du genre musical DMV, un courant de rap originaire des États-Unis, inspiré du New Jersey mais adapté à la sauce ivoirienne, le réalisateur Yann-David Akpa a prévu une grosse voiture et des fumigènes, mais pas seulement : « L'artiste en question sera avec ses gars sur la voiture. Les inspirations sont de Lil Yachty et Kendrick Lamar sur la mi-temps du Super Bowl. Après ça, on aura deux inserts, une chanteuse d'opéra et un violoniste. Tout le monde essaie de se démarquer, par la réalisation, par les clips parce que c'est super important, maintenant. Plus ton clip est bien, plus tu as de vues, plus de personnes parlent de toi. Donc maintenant, je pense que les artistes accordent plus d'importance au clip, et franchement, c'est bénéfique pour nous. »À écouter aussiÉmission spéciale consacrée à l'Histoire du rap ivoire, racontée par Crystelles YohouLe clip passage obligé pour les artistesAlors que les clips à l'ancienne étaient tournés et montés par une ou deux personnes, qui jonglaient avec toutes les tâches, les jeunes professionnels du clip se sont spécialisés grâce à une scène créative qui, à Abidjan, ne cesse de grandir et de s'étoffer, dans l'audiovisuel, l'art et la mode. Le styliste sur ce clip, Yann-Axel Seba, également manager du concept-store Blu Lab, appartient à cette avant-garde :« Moi, ma particularité, c'est que je ne travaille qu'avec des marques africaines. C'est pour ça que j'ai commencé le stylisme, à la base, parce que je trouvais qu'il n'y avait pas assez de marques africaines dans les clips, surtout de rap. On a des marques de Côte d'Ivoire, d'Afrique du Sud, du Nigeria, du Ghana, etc. Elles me prêtent les vêtements pour faire les clips, la plupart du temps. Après, si l'artiste veut, il peut acheter les vêtements, mais la plupart du temps, c'est des prêts. L'artiste porte de beaux vêtements, le réalisateur a ce qu'il veut, moi, je fais mon taf, et la marque gagne en visibilité. Avant, les marques ne pouvaient pas beaucoup se baser sur les clips. Mais aujourd'hui, on remarque qu'il y a de plus en plus de vues sur les clips en Côte d'Ivoire. Du coup, quand tu es une jeune marque, qui a 1 000 abonnés, et que tu apparais dans un clip à deux ou trois millions de vues, c'est déjà une grande visibilité. »Le talent y est, le professionnalisme aussi. Et pourtant, l'immense majorité sont des autodidactes, qui ont appris le métier sur internet, faute de formations adaptées en Côte d'Ivoire.À lire aussiCôte d'Ivoire: quand le tournage de clips vidéo se professionnalise [1/3]
Bouba Atkins, Yung Nouchi, Zo Kalanga... Ces noms ne vous disent peut-être rien, mais en Côte d'Ivoire, ce sont les réalisateurs de clips vidéo que les artistes s'arrachent. Depuis quelques années, ils occupent une place centrale sur les réseaux sociaux et à la télévision. Le secteur commence donc à se professionnaliser et à se structurer, tandis que les investissements des labels sont de plus en plus conséquents. Avec notre correspondante à Abidjan, Marine JeanninPhotographie de qualité, chorégraphies soignées, beaux décors, actrices séduisantes… En Côte d'Ivoire, les clips musicaux sont devenus une identité visuelle qui, pour les artistes, compte presque autant que leur musique. Pour certains d'entre eux, c'est d'ailleurs après un clip que leur carrière a décollé. Comme Akim Papichulo, chanteur et compositeur depuis sept ans, révélé l'an dernier par le morceau Amore.« Le clip ''Amore'' m'a permis d'avoir pas mal d'opportunités, reconnaît-il. Parce que quand la qualité de ton clip est bien, il y a des portes qui s'ouvrent, en fait. Parce qu'ils se disent que tu es professionnel, maintenant. Ça pousse les gens à s'intéresser à ce que tu fais. Quand tu écoutes un morceau, tu te dis ''ce morceau, il faut que je le clippe''... Quand tu te dis que c'est un ''banger'', un son qui est ''wow'', un hit, tu le clippes ! »DJ Arafat ouvre la voieLa Côte d'Ivoire est une habituée des clips, devenus un passage obligé pour les artistes depuis les années 1990, quand ils étaient diffusés sur la télévision nationale. Mais dans ces clips à l'ancienne, la qualité n'était pas forcément au rendez-vous. Le réalisateur Bouba Atkins, passé par Blu Magik et Universal, se souvient de ses débuts en 2009, à la grande époque du coupé-décalé. « Les clips, c'était : tu t'arrêtes là, on te filme, tu danses, ou à la limite, tu fais un signe, on colle les images, c'est fini... Ils se contentaient du peu. À partir du moment où ils se voyaient à la télé, c'était suffisant. »À partir des années 2010, DJ Arafat ouvre la voie en mettant plus de moyens dans ses clips, suivi par des grands noms du zouglou comme Magic System et Yodé et Siro. Puis, les producteurs et les artistes de rap Ivoire s'y engouffrent à leur tour. Les premiers clips qui font date sont Anita (2014, 3 millions de vues) et surtout Tu es dans pain (2014, 4 millions de vues) de Kiff No Beat, tous deux produits par Blu Magik. « Les gars étaient étonnés de voir un tel clip ivoirien, réalisé par des Ivoiriens, se souvient en riant Bouba Atkins. Ça les a choqués ! Et là, ça a explosé, il y a des gars qui ont vraiment commencé à s'intéresser à l'audiovisuel. Ces deux clips-là ont vraiment révolutionné tous les clips jusqu'à aujourd'hui. »« Le top 10 ivoirien, ils sont à un million de vues minimum par clip »Depuis cinq ans, la Côte d'Ivoire a vu sa production de clips monter en qualité et en quantité. Ils sont de plus en plus consommés par les Ivoiriens, non seulement à la télévision, mais surtout sur les réseaux sociaux et sur YouTube, souligne le rappeur et producteur Pit Baccardi, gérant du label Gold Prod : « Ce matin encore, quand je me suis réveillé, je suis parti sur les plateformes. Le clip de Didi B, qui est sorti hier, il était à 1,2 million de vues sur YouTube. Le clip de Suspect95, sorti avant-hier, pareil, il était aussi à 1,2 million. Le clip de Himra, un million et des poussières, pareil. Les hommes peuvent mentir, mais pas les chiffres. Le top 10 ivoirien, ils sont au minimum à un million de vues par clip. Il y a cinq ans, on n'était pas à ces niveaux de consommation. »Grâce au clip, un morceau ne s'écoute pas seulement, mais se voit. Pour Pit Baccardi, ces capsules vidéo sont devenues en Côte d'Ivoire « l'atout marketing par excellence ». Parmi les clips récents qui ont marqué la musique ivoirienne, citons Decapo de Tripa Gninin, produit par Yung Nouchi (2021, 1,1 million de vues), Kpaflotage de Suspect95, réalisé par Kouny The Manset (2023, 3 millions de vues), 2025 de Didi B, réalisé par David Nonos (2024, 4,6 millions de vues) et Big Boss de Didi B, le clip le plus cher du rap Ivoire.
Sábado primero de marzo en el que las celebraciones del carnaval se extienden por toda Andalucía. En Cádiz esta tarde el pregón da el pistoletazo de salida al Carnaval de calle tras la final del concurso oficial esta madrugada en el Falla ... Fin de semana de puente en el que los hoteleros de Sierra Nevada han visto cómo las cancelaciones debido a la huelga en la estación de esquí han hundido una ocupación que se esperaba muy alta ... Y en Huelva Ecologistas en acción denuncia que la subdelegación del gobierno tramita una solicitud de autorización de prospecciones junto a Doñana para la construcción de un almacén de gas subterráneo ... Escuchar audio
En Côte d'Ivoire, la conteuse Flopy Mendosa fait le tour des écoles et des centres culturels avec un outil, le Kamishibaï, instrument de théâtre japonais, qu'elle a totalement adapté aux us et coutumes ivoiriens. De notre correspondante à Abidjan,Au Cours Lamartine, une école située au sud d'Abidjan, en Côte d'Ivoire, un petit théâtre en bois est posé sur une table. Derrière, la conteuse Flopy Mendosa encourage les enfants à chanter : elle ouvre progressivement les portes de cet objet, qu'elle surnomme le N'Gowa Swa. « N'Gowa veut dire histoire dans la langue baoulé et Swa, c'est la maison. Donc c'est la maison à histoires », explique la conteuse.Flopy raconte l'histoire d'un village secoué par la disparition d'œufs magiques. Des œufs qui permettent de faire apparaître n'importe quel plat. Pour attirer l'attention du public, il a fallu adapter le castelet. « Quand tu ouvres le castelet, ça ressemble à une télé. C'est un mélange entre la manière dont on racontait avant et aujourd'hui, les histoires qui se font à la télé. J'essaie de faire ce mélange », raconte-t-elle.La conteuse fait défiler des dessins représentant les principales actions de l'histoire. Le public participe largement au spectacle. De quoi inspirer Sophie Téhua, une institutrice, qui y voit un outil pédagogique pour ses activités éducatives. « Cela me donne des idées pour véhiculer les messages que l'on souhaite communiquer aux enfants. On peut l'introduire dans d'autres activités. Cela me donne beaucoup d'idées pour l'utiliser et pour permettre aux enfants de se l'approprier », affirme-t-elle.Les débouchés concernent aussi les illustrateurs. Constat dressé par Ange Boussou, étudiant en master d'Art et communication. Ce jeune travaille avec plusieurs conteurs ivoiriens et grâce à son portfolio diffusé sur les réseaux sociaux, il répond aussi à des projets commandés de l'étranger. « J'ai beaucoup de demande concernant le design de personnages africains ou de décors pour des films ou séries africaines. C'est des choses qui me sont beaucoup demandées parce que c'est notre culture. J'ai récemment une cliente qui m'a contacté depuis le Congo, dans le même esprit, toujours avec des personnages héroïques africains, des décors aussi. On a nos messages, nos traditions, que l'on aimerait communiquer », détaille-t-il. Récemment, une trentaine de bibliothécaires, de maîtres d'écoles et de conteurs ont été initiés au Kamishibaï version ivoirienne. À écouter aussiAvec Mamane et Le Magnific, Capitale du rire fête ses 10 ans à Abidjan
En Côte d'Ivoire, la France va restituer, ce jeudi 20 février, la base occupée par le 43e bataillon d'infanterie de marine (Bima) aux autorités ivoiriennes. Ce camp militaire, situé dans la commune de Port-Bouët, deviendra le camp Thomas-d'Aquin-Ouattara, du nom du premier chef d'état-major de l'armée ivoirienne. Une cérémonie officielle sera organisée en présence des deux ministres de la Défense. Cette rétrocession intervient après deux ans de discussions entre les deux parties. Que va devenir ce camp militaire ? Quelles orientations la coopération militaire entre les deux pays va-t-elle prendre ? Et quid de la coopération avec les autres partenaires internationaux dans le domaine de la sécurité ? Téné Birahima Ouattara, ministre d'État, ministre ivoirien de la Défense, est le Grand invité Afrique de RFI ce matin. Il répond aux questions de notre correspondante à Abidjan, Bineta Diagne. RFI : La rétrocession du 43ᵉ Bima est un symbole fort. Qu'attendez-vous aujourd'hui de la coopération militaire avec la France ? Téné Birahima Ouattara : C'est un sujet dont nous discutons avec la partie française depuis deux ans, depuis 2023. Nous sommes convenus d'avoir un nouveau partenariat. Nous proposons de consolider la coopération de nos forces conventionnelles, de renforcer l'appui de la partie française dans le partenariat avec la Côte d'Ivoire en ce qui concerne le volet renseignement et puis le volet aussi des forces spéciales. Et enfin de contribuer à la montée en puissance de l'armée de l'air de Côte d'Ivoire.Une centaine de militaires français devraient rester pour assurer des formations. Quels sont les besoins spécifiques de l'armée ivoirienne ? Les besoins sont nombreux, je dirais. Voici comment est-ce qu'on pense organiser le 43ᵉ Bima. Nous allons créer un centre d'aguerrissement. Nous avons besoin, avant de projeter nos soldats dans les opérations des Nations unies, de les former. Jusque-là, ces formations se faisaient dans des coins assez reculés. Nous pensons que le 43ᵉ Bima correspond parfaitement à des infrastructures qui correspondent à la formation. Nous avons déjà créé un partenariat avec la France, une école de communication au niveau des armées, ce qui est important, et nous avons l'intention aussi d'y installer un certain nombre de bataillons ivoiriens dans le camp.Quelle est la contrepartie à cette coopération ? La coopération militaire continue avec la France. Il n'y a pas de rupture en réalité parce qu'une équipe de l'armée de l'air, la France va s'installer à Bouaké, par exemple, où il y a des infrastructures appropriées pour la formation des pilotes ivoiriens. Donc la coopération continue en réalité, la France a voulu réarticuler son dispositif en Afrique. On ne peut que donc aller dans ce sens. Mais la coopération continue.A Munich, vous avez eu un entretien avec le commandant d'Africom. Est-ce que l'administration de Donald Trump vous paraît disposée à reconduire le soutien des États-Unis en matière de formation et d'équipement des armées ivoiriennes ? J'ai indiqué au responsable d'Africom, le général Langley, que nous avions quelques inquiétudes parce que nous avions un plan de formation avec les États-Unis qui a dû connaître un ralentissement à partir donc des instructions depuis Washington. Il m'a rassuré. Il m'a rassuré pour me dire que la Côte d'Ivoire constituait quand même un pays important. Et c'est une évaluation qui se fera faîte très rapidement. Et la coopération devrait continuer normalement.En décembre, deux gendarmes ivoiriens qui étaient détenus à Ouaga depuis plusieurs mois ont pu être libérés grâce à la médiation du Togo. Le soldat et le VDP burkinabé sont aussi rentrés chez eux. Passé cet épisode, est-ce que les discussions avec votre homologue burkinabé de la Défense ont pu reprendre ? Le Burkina et la Côte d'Ivoire ont une histoire commune. Nous sommes tellement liés. Nous avons des populations qui sont de part et d'autre (de la frontière, ndlr) qui parlent la même langue. C'est un certain nombre de choses qui font que la Côte d'Ivoire ne peut pas se fâcher avec le Burkina et vice versa. Donc il peut y avoir des incompréhensions, mais très rapidement, ces incompréhensions sont levées. Et puis la vie continue. Je pense qu'il n'y a pas de problème a priori.Vous parlez justement de la frontière. Est-ce que les discussions sur la délimitation de la frontière qui est commune ont pu reprendre ? Oui, effectivement, à Bobo-Dioulasso aujourd'hui, les discussions ont repris pour essayer d'arriver à une délimitation des frontières. On s'est fixé un calendrier qui devrait prendre fin à la fin du mois de juin.Est-ce que vous êtes volontaire pour essayer de relancer les discussions autour de la mise en place de patrouilles mixtes entre le Burkina et la Côte d'Ivoire ? On l'a toujours souhaité. On l'a toujours souhaité. La partie burkinabé nous avait donné des assurances dans ce sens-là, mais pour le moment, ce n'est pas effectif. Mais c'est notre souhait parce que ça permettrait de vraiment régler un problème : cela permettrait à la Côte d'Ivoire de nettoyer le nord ivoirien ; et cela permettrait au Burkina de nettoyer le sud du Burkina. Mais pour le moment, ce n'est pas effectif. La dernière opération que nous avons menée ensemble date de 2021. Depuis, donc, nous n'avons pas encore pu mener d'opération ensemble, mais j'ai bon espoir qu'on puisse y arriver quand même.Une question politique maintenant. Début janvier, à l'occasion des vœux au corps diplomatique, le président de la République a dit qu'il n'avait pas encore pris sa décision concernant le scrutin d'octobre prochain. Pensez-vous qu'il veut y aller ? Posez la question au président de la République.
La Meseta Antártica es uno de los entornos más extremos de la Tierra, con temperaturas que pueden descender hasta -89°C, vientos huracanados y una sequedad comparable a la de los desiertos más áridos. A pesar de estas condiciones hostiles, algunos microorganismos han desarrollado estrategias para sobrevivir en el hielo, adaptándose a la falta de luz y nutrientes. Este ambiente es análogo a los de Marte y lunas heladas como Europa (Júpiter) o Encélado (Saturno), donde el frío, la radiación y la falta de una atmósfera densa dificultan la existencia de vida. Por ello, la Meseta Antártica es un laboratorio natural que ayuda a los científicos a entender cómo la vida podría persistir más allá de la Tierra. Un equipo del Centro de Astrobiología, liderado por Víctor Parro, nuestro invitado en Hablando con Científicos, ha recorrido 2.578 km por la Meseta Antártica con un laboratorio móvil montado sobre un trineo impulsado por el viento, analizando restos de vida microbiana con la mirada puesta en la búsqueda de vida en otros mundos.
La Meseta Antártica es uno de los entornos más extremos de la Tierra, con temperaturas que pueden descender hasta -89°C, vientos huracanados y una sequedad comparable a la de los desiertos más áridos. A pesar de estas condiciones hostiles, algunos microorganismos han desarrollado estrategias para sobrevivir en el hielo, adaptándose a la falta de luz y nutrientes. Este ambiente es análogo a los de Marte y lunas heladas como Europa (Júpiter) o Encélado (Saturno), donde el frío, la radiación y la falta de una atmósfera densa dificultan la existencia de vida. Por ello, la Meseta Antártica es un laboratorio natural que ayuda a los científicos a entender cómo la vida podría persistir más allá de la Tierra. Un equipo del Centro de Astrobiología, liderado por Víctor Parro, nuestro invitado en Hablando con Científicos, ha recorrido 2.578 km por la Meseta Antártica con un laboratorio móvil montado sobre un trineo impulsado por el viento, analizando restos de vida microbiana con la mirada puesta en la búsqueda de vida en otros mundos.
En Côte d'Ivoire, la lèpre n'est plus considérée comme un problème de santé publique depuis 2001. Pourtant, le pays continue d'enregistrer environ 800 nouveaux cas chaque année depuis une décennie. À Manikro, près de Bouaké, l'Institut Raoul Follereau accueille et soigne des malades qui luttent, non seulement contre la maladie, mais aussi contre la stigmatisation. Dans ce centre, l'espoir renaît, malgré les épreuves. De notre envoyé spécial de retour de Manikro,« Quand on copiait les leçons, j'avais des crampes et je ne sentais plus ma main. Je ne pouvais même plus tenir un stylo », confie Hervé Kouassi, qui se souvient encore du début de son calvaire. En 2021, il est en classe de 3ᵉ lorsque les premiers signes de la lèpre apparaissent. Déconcerté et sans réponse, il finit par abandonner l'école. Mais son combat est loin de s'arrêter là. « Je me suis mis au travail de boulanger. Souvent, je me brûlais, mais je ne sentais rien, se rappelle-t-il. Les cicatrices s'infectaient dès que j'arrachais la peau. Mon bras était couvert de plaies et, un jour, un doigt est tombé. »Depuis septembre dernier, Hervé est soigné au centre de Manikro, près de Bouaké, en Côte d'Ivoire, un lieu qui symbolise pour lui une seconde chance. Il est l'un des treize patients actuellement pris en charge grâce à l'Institut Raoul Follereau, qui offre des soins gratuits. Ici, le Dr Kaba Lanciné, chirurgien résident, joue un rôle essentiel. « Nous faisons de la chirurgie réparatrice : réhabiliter le visage, les mains pour les rendre fonctionnelles, réhabiliter les pieds, détaille-t-il. Et, quand c'est nécessaire, nous procédons à des amputations pour éviter des complications graves, comme le cancer. »À lire aussi Lèpre : l'accès aux malades est l'un des enjeux pour soigner ce fléau« Interrompre la circulation du virus »La chirurgie redonne parfois de l'autonomie aux malades, mais l'enjeu majeur reste le dépistage précoce. En Côte d'Ivoire, un malade sur quatre découvre la maladie trop tard, souvent avec des mutilations irréversibles. Pourtant, les autorités visent un objectif ambitieux : zéro cas de lèpre d'ici à 2030.« Lorsqu'on dépiste un cas de lèpre, on recherche tous les contacts proches de cette personne et on leur administre un traitement, explique Dr Sylvestre Dizoé, coordonnateur du Programme national d'élimination de la lèpre. Ce traitement est efficace pour empêcher ces sujets de développer la lèpre dans les cinq à dix prochaines années. L'objectif est d'interrompre la circulation du virus. »Cependant, même guéris, de nombreux malades sont confrontés à la stigmatisation. Incapables de retourner chez eux, certains s'installent dans des villages autour des centres de soins, cherchant une nouvelle communauté où reconstruire leur vie.À écouter dans Priorité santé Reportage long format : la lèpre, maladie encore endémique à Madagascar
441-M-Musefx - 1355 - Astrobiología y Paleontología: Ensayan en el Ártico la futura búsqueda de Vida en Encélado - Descubren en Siberia el considerado mejor cadáver de mamut recuperado hasta ahora. Aunque la mayor parte de los contenidos de Universo de Misterios son nuevos, este episodio podría ser total o parcialmente en redifusión. El material en redifusión se encuentra generalmente revisado y sus datos actualizados. Tenemos reservado el derecho de admisión de comentarios. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Welcome to the First Presbyterian Church, New Bern Podcast! Join Paul and Anna each week as they chat about upcoming church events, the week's sermon, and fun facts about the church. In today's episode Paul-Scott and Anna talk about this week's ENC snowstorm and what new member classes are like here at First Pres! The conversation is followed by the prayers, readings, and sermon from Sunday's livestream service. Recorded live each week at First Pres in beautiful historic downtown New Bern, North Carolina. First Presbyterian Church, New Bern, North Carolina, established in 1817. A Congregation of the Presbyterian Church (USA). Building community, transforming lives, engaging the world. See more at https://www.firstpresnb.org Follow us on social media at https://www.facebook.com/firstpresnb Watch our streaming service each week at https://youtube.com/channel/UCKw0GnheJfOUlVv_g5bBrEw Permission to podcast/stream live music in this service obtained from ONE LICENSE, License A-701790 and CCLI 3202763. All rights reserved. Permission to podcast/stream recorded music from artist.io.
En Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara sera-t-il candidat à un quatrième mandat ? À 10 mois de la présidentielle, le chef de l'État assure qu'il n'a pas encore pris sa décision mais qu'il est « désireux de continuer à servir » son pays. Vrai ou faux suspense ? Nous lançons le débat.
Knowing what products to include in a fertility efficiency plan is vital for growers to maximize yields. In this “FieldLink Podcast” episode, we meet with Helena team members and Dave Juelf, a producer from Great Falls, Montana, to receive insight into how Resurge is assisting with fertility. (01:08) Then, Jody Lawrence returns to highlight the topics he will discuss with ag professionals at several Helena grower meetings. (18:30) Later, we head to Iowa to hear from an ENC product expert, Jamie Schechinger, on how Ele-Max can increase efficiency and profits for growers. (35:36) Follow Helena Agri on social media to stay informed: Facebook: https://bit.ly/3pq8XVJ Instagram: https://bit.ly/347QAO8 X: https://bit.ly/3hwvWdG LinkedIn: https://bit.ly/3pwWLTh YouTube: https://bit.ly/35pLLQJ