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L'émission 28 minutes du 30/10/2025 Élections au Cameroun et en Côte d'Ivoire : alternance impossible ?Ces derniers jours, deux élections présidentielles majeures se sont jouées en Afrique. Au Cameroun, l'indéboulonnable Paul Biya a été réélu par le Conseil constitutionnel avec 53,66 % des suffrages. À 92 ans, l'éternel président s'apprête à débuter un 8e mandat après 43 ans à la tête du pays. En Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, 83 ans, a été réélu pour la 4e fois depuis 2011 : ses principaux opposants, l'ancien président Laurent Gbagbo et l'homme d'affaires Tidjane Thiam, avaient vu leurs candidatures rejetées par le Conseil constitutionnel. Ousmane Ndiaye, journaliste et auteur de “L'Afrique contre la démocratie : mythes, déni et péril”, analyse ces résultats. Licenciements chez Amazon : l'IA va-t-elle détruire nos emplois ? C'est l'un de ses plus gros coups de rabot depuis sa création. Mardi, Amazon a annoncé la suppression de 14 000 postes qui devraient concerner des employés de bureau. La première étape seulement, selon différentes agences de presse, d'un plan de licenciement de 30 000 personnes. Cette annonce vient concrétiser la volonté de son patron Andy Jassy de réduire les coûts du groupe américain alors qu'il investit dans l'intelligence artificielle. Ces réductions doivent toucher “davantage la bureaucratie”, a déclaré Beth Galetti, vice-présidente chargée des ressources humaines et de la technologie. Une annonce qui questionne la menace que fait peser l'IA sur nos emplois. On en débat avec Yahya Fallah, entrepreneur, président de la commission IA de la CPME, Céline Antonin, économiste à l'OFCE, professeure affiliée à Sciences Po et Mathieu Slama, essayiste et journaliste politique. Enfin, Xavier Mauduit s'intéresse à la première rencontre depuis six ans entre Donald Trump et Xi Jinping en Corée du Sud, en marge du sommet de l'APEC. Théophile Cossa nous explique le fonctionnement des ouragans alors que l'ouragan Melissa a sévi dans les Caraïbes. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 30 octobre 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
Et de quatre pour l'un et de huit pour l'autre… Quatrième mandat pour Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire et huitième pour Paul Biya au Cameroun. L'un a 83 ans, l'autre 92, et dans les deux cas, le scrutin présidentiel était quasiment joué d'avance. On commence par la Côte d'Ivoire. En effet, relève Le Monde Afrique, « jamais Alassane Ouattara n'aura traversé une élection avec aussi peu d'obstacles ; jamais, il n'a soulevé aussi peu d'enthousiasme. Durant la journée de vote, les bureaux étaient vides dans de nombreuses localités, tant le match semblait plié d'avance. Le taux de participation atteint à peine les 50%. Un chiffre qui, selon l'opposition, interroge sur la "légitimité" du président. Car, une fois encore, souligne Le Monde Afrique, seuls des "petits" candidats, sans réel poids politique, faisaient face à la puissante et riche machine du parti au pouvoir, le RHDP. Aucun de ses principaux adversaires n'avait été autorisé à se présenter au scrutin présidentiel. Tidjane Thiam, le patron du PDCI, et surtout Laurent Gbagbo, le chef du PPA-CI, rival historique, ont vu leurs candidatures invalidées ». Au Cameroun, Paul Biya, n'a été élu qu'avec un peu plus de 53 % des suffrages. Son principal rival, « Issa Tchiroma Bakary, candidat du Front du changement démocratique, conteste fermement les résultats officiels, relève Afrik.com. Selon lui, son équipe aurait compilé des procès-verbaux démontrant une victoire nette de l'opposition avec près de 55% des voix. Il dénonce un système électoral "entièrement verrouillé par le régime", évoquant des bourrages d'urnes, des intimidations d'électeurs et des coupures d'Internet dans certaines zones rurales ». Où est la démocratie ? Commentaire de Ledjely en Guinée : « ces deux scrutins rappellent que la démocratie, lorsqu'elle se réduit à une simple mécanique électorale, perd tout son sens. Ni la liberté de choix, ni l'alternance, ni la redevabilité ne sont garanties. L'Afrique continue de donner l'image d'un continent où l'élection sert davantage à perpétuer le pouvoir qu'à le légitimer. Cameroun et Côte d'Ivoire offrent ainsi l'illustration parfaite de cette illusion démocratique, pointe encore le site d'information guinéen : des urnes bien surveillées, des chiffres bien alignés, et un peuple tenu à distance du vrai pouvoir. En somme, deux États qui, sous couvert de démocratie, perpétuent un système verrouillé : celui d'une "légitimité électorale" sans véritable consentement populaire ». Pour Aujourd'hui au Burkina Faso, ces ceux scrutins représentent les derniers spasmes d'un système révolu : « en Côte d'Ivoire comme au Cameroun, se joue en vérité la gestation forcée d'un changement générationnel. Le quinquennat de Ouattara et le septennat de Biya sont la der des der pour ne pas dire les mandats de trop ». WakatSéra, toujours au Burkina, s'interroge : « que feront Alassane Ouattara et Paul Biya de leurs victoires, alors que les attentes de justice sociale ne font qu'enfler, tant en Côte d'Ivoire et au Cameroun ? Il n'y a visiblement qu'un seul choix pour les deux : écouter leurs peuples respectifs ». Le mandat de trop… Le site Tunisie numérique ne mâche pas ses mots : au Cameroun, « un régime sclérosé et inefficient, face à des populations qui brûlent de tourner la page pour se forger un autre destin. Biya repart alors que tout le monde le sait malade, même si le bâton de la loi interdit de l'évoquer publiquement. (…) En Côte d'Ivoire, on n'est pas loin du même désenchantement démocratique, poursuit le site tunisien, avec un président qui s'est finalement laissé tenter par un 4e mandat, à 83 ans. (…) Le mandat de trop, c'est un funeste piège que les dirigeants africains, même les plus brillants, évitent rarement, hélas, (…) alors que la jeunesse, comme partout dans le monde, aspire à autre chose. C'est un mal endémique en Afrique, soupire encore Tunisie Numérique. Entre les présidences à vie et les coups de forces des militaires, le continent et sa jeunesse tentent de cheminer. Ne cherchez pas les raisons profondes de notre sous-développement chronique, elles sont là, sous nos yeux ». Les aspirations de la jeunesse Enfin, Jeune Afrique constate justement que la jeunesse africaine, la génération Z, pourrait bien « révolutionner la politique » : « Antananarivo, Rabat, Dakar, Nairobi, Lagos, Kampala… La génération des 15-25 ans descend dans la rue et bouleverse les codes, pointe le site panafricain. Ultra-connectée, désabusée, sans peur et particulièrement impatiente, cette jeunesse, qui représente 60% de la population du continent, refuse ses conditions de vie, rejette l'ensemble des partis et exige des comptes. Cette génération ira-t-elle plus loin que celles qui l'ont précédée ? ».
Et de quatre pour l'un et de huit pour l'autre… Quatrième mandat pour Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire et huitième pour Paul Biya au Cameroun. L'un a 83 ans, l'autre 92, et dans les deux cas, le scrutin présidentiel était quasiment joué d'avance. On commence par la Côte d'Ivoire. En effet, relève Le Monde Afrique, « jamais Alassane Ouattara n'aura traversé une élection avec aussi peu d'obstacles ; jamais, il n'a soulevé aussi peu d'enthousiasme. Durant la journée de vote, les bureaux étaient vides dans de nombreuses localités, tant le match semblait plié d'avance. Le taux de participation atteint à peine les 50%. Un chiffre qui, selon l'opposition, interroge sur la "légitimité" du président. Car, une fois encore, souligne Le Monde Afrique, seuls des "petits" candidats, sans réel poids politique, faisaient face à la puissante et riche machine du parti au pouvoir, le RHDP. Aucun de ses principaux adversaires n'avait été autorisé à se présenter au scrutin présidentiel. Tidjane Thiam, le patron du PDCI, et surtout Laurent Gbagbo, le chef du PPA-CI, rival historique, ont vu leurs candidatures invalidées ». Au Cameroun, Paul Biya, n'a été élu qu'avec un peu plus de 53 % des suffrages. Son principal rival, « Issa Tchiroma Bakary, candidat du Front du changement démocratique, conteste fermement les résultats officiels, relève Afrik.com. Selon lui, son équipe aurait compilé des procès-verbaux démontrant une victoire nette de l'opposition avec près de 55% des voix. Il dénonce un système électoral "entièrement verrouillé par le régime", évoquant des bourrages d'urnes, des intimidations d'électeurs et des coupures d'Internet dans certaines zones rurales ». Où est la démocratie ? Commentaire de Ledjely en Guinée : « ces deux scrutins rappellent que la démocratie, lorsqu'elle se réduit à une simple mécanique électorale, perd tout son sens. Ni la liberté de choix, ni l'alternance, ni la redevabilité ne sont garanties. L'Afrique continue de donner l'image d'un continent où l'élection sert davantage à perpétuer le pouvoir qu'à le légitimer. Cameroun et Côte d'Ivoire offrent ainsi l'illustration parfaite de cette illusion démocratique, pointe encore le site d'information guinéen : des urnes bien surveillées, des chiffres bien alignés, et un peuple tenu à distance du vrai pouvoir. En somme, deux États qui, sous couvert de démocratie, perpétuent un système verrouillé : celui d'une "légitimité électorale" sans véritable consentement populaire ». Pour Aujourd'hui au Burkina Faso, ces ceux scrutins représentent les derniers spasmes d'un système révolu : « en Côte d'Ivoire comme au Cameroun, se joue en vérité la gestation forcée d'un changement générationnel. Le quinquennat de Ouattara et le septennat de Biya sont la der des der pour ne pas dire les mandats de trop ». WakatSéra, toujours au Burkina, s'interroge : « que feront Alassane Ouattara et Paul Biya de leurs victoires, alors que les attentes de justice sociale ne font qu'enfler, tant en Côte d'Ivoire et au Cameroun ? Il n'y a visiblement qu'un seul choix pour les deux : écouter leurs peuples respectifs ». Le mandat de trop… Le site Tunisie numérique ne mâche pas ses mots : au Cameroun, « un régime sclérosé et inefficient, face à des populations qui brûlent de tourner la page pour se forger un autre destin. Biya repart alors que tout le monde le sait malade, même si le bâton de la loi interdit de l'évoquer publiquement. (…) En Côte d'Ivoire, on n'est pas loin du même désenchantement démocratique, poursuit le site tunisien, avec un président qui s'est finalement laissé tenter par un 4e mandat, à 83 ans. (…) Le mandat de trop, c'est un funeste piège que les dirigeants africains, même les plus brillants, évitent rarement, hélas, (…) alors que la jeunesse, comme partout dans le monde, aspire à autre chose. C'est un mal endémique en Afrique, soupire encore Tunisie Numérique. Entre les présidences à vie et les coups de forces des militaires, le continent et sa jeunesse tentent de cheminer. Ne cherchez pas les raisons profondes de notre sous-développement chronique, elles sont là, sous nos yeux ». Les aspirations de la jeunesse Enfin, Jeune Afrique constate justement que la jeunesse africaine, la génération Z, pourrait bien « révolutionner la politique » : « Antananarivo, Rabat, Dakar, Nairobi, Lagos, Kampala… La génération des 15-25 ans descend dans la rue et bouleverse les codes, pointe le site panafricain. Ultra-connectée, désabusée, sans peur et particulièrement impatiente, cette jeunesse, qui représente 60% de la population du continent, refuse ses conditions de vie, rejette l'ensemble des partis et exige des comptes. Cette génération ira-t-elle plus loin que celles qui l'ont précédée ? ».
En Côte d'Ivoire, au lendemain du vote, la CEI a commencé à donner les résultats provisoires, département par département. Si les résultats nationaux provisoires pourraient être connus dès lundi - le président de la CEI a déjà annoncé que la participation se situait entre 45 et 50 %.
En Côte d'Ivoire, le dépouillement a commencé après le premier tour de la présidentielle, samedi. Un vote calme sans grand enthousiasme avec des incidents sporadiques signalés.
En Côte d'Ivoire, l'élection présidentielle se tient samedi 25 octobre. Cinq candidats sont en lice, dont Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat. RFI donne la parole à chaque candidat. Ce matin, dernier entretien, avec Simone Ehivet, l'ex-épouse de Laurent Gbagbo, qui a créé son parti en août 2022, le Mouvement des générations capables (MGC). Cette figure de l'opposition met l'accent sur la souveraineté économique et sur la réconciliation nationale. Elle répond aux questions de notre correspondante à Abidjan, Bineta Diagne. RFI : Simone Ehivet, votre principal thème de campagne porte sur la réconciliation nationale. Qu'est-ce que vous voulez faire de plus par rapport à l'administration sortante dans ce domaine ? Simone Ehivet : ce pays a vécu une crise très profonde, une grande déchirure du tissu social, et on peut dire que des choses ont été faites. Moi-même, j'ai bénéficié d'une loi d'amnistie pour sortir de prison, donc des actes ont été posés. Mais le plus grand de ce chantier-là attend encore d'être réalisé. Il faut rendre hommage à ces morts-là pour que l'esprit repose en paix. Il faut organiser le pardon au-delà de ceux qui ont perdu leurs vies, il y a ceux qui ont perdu leurs biens. Il va être nécessaire de traiter la question et de faire les dédommagements. Vous dites que rien n'a été fait. Pourtant, entre temps, il y a eu des dédommagements. Il y a eu la restitution des corps des victimes de la crise à Duekoué, à Toulépleu. On ne peut pas dire que rien n'a été fait ? Moi, je souhaiterais qu'on rende hommage aux morts. Beaucoup de personnes ont perdu leur emploi, ont perdu leur travail, ont perdu leur commerce. Mais du coup, quinze ans plus tard, qu'est-ce que vous comptez faire ? Mais quinze ans plus tard, il faut faire le point de cela. Il faut pouvoir mettre ensemble les populations pour qu'elles acceptent de pardonner, parce que tout le monde n'a pas accepté de pardonner, aujourd'hui encore. Lorsque vous avez tenu le lead au sein de la Côte d'Ivoire, vous avez mené un combat pour que le dialogue politique puisse avoir lieu, pour que la révision de la liste puisse avoir lieu, pour que la Commission électorale indépendante puisse être réformée. Toutes ces conditions sont toujours là. Qu'est-ce qui vous garantit une participation à cette élection de manière transparente ? Mais nous n'avons aucune garantie de rien du tout. Nous avons écrit trois fois au président de la République pour obtenir la convocation du dialogue. Nous sommes persuadés qu'aller à ces élections-là, telles que les choses se présentent, ça va être une participation très difficile à ces élections. Mais je dis, nous avons également convenu, ayant tiré les leçons du passé, qu'il vaut mieux encore aller à ces élections-là dans des conditions difficiles que pas du tout. C'est-à-dire que pour vous aujourd'hui, le boycott n'est pas du tout envisageable ? Non, faire du boycott aujourd'hui, c'est offrir des résultats au premier tour à Monsieur Alassane Ouattara. Mais alors du coup, si les résultats après ne vous conviennent pas, cela veut dire que vous n'aurez pas aussi la latitude de les contester ou de les critiquer. Si les choses se sont passées et que des gens ont pu observer que, la situation étant difficile, les élections ont eu lieu et que mes électeurs ont pu voter, que je n'ai pas gagné, je n'ai pas gagné. Car quand on va à des élections, on peut gagner comme on peut perdre. Alassane lui-même, il est candidat. Mais qu'est-ce qui garantit qu'il va gagner ? En lice dans cette compétition, il y a aussi Ahoua Don Mello. Pourquoi est-ce que c'était si difficile finalement d'obtenir une candidature unique entre tous les candidats, entre guillemets, issus de la gauche ivoirienne ? Il n'y a pas eu au niveau de l'opposition, ni au niveau de la gauche un débat pour une candidature unique. Mais l'objectif qui était poursuivi, c'était d'obtenir une réforme du système électoral lui-même. Et donc, il était question que chacun fasse ses propres analyses et prenne ses propres décisions. Il y a deux femmes candidates à cette élection présidentielle. Vous-même, vous avez été opposante, vous avez été première dame, vous êtes passée par la case prison, vous avez perdu votre parti, vous en avez recréé un autre. Avec du recul, quel regard vous portez sur votre trajectoire ? Moi, je continue le travail que j'ai fait depuis très longtemps, qui est de poser toutes les actions possibles pour obtenir, dans ce pays-là, la réalisation de la vision que j'ai de la Côte d'Ivoire. Ce que je souhaite pour la Côte d'Ivoire, c'est que ce soit une nation prospère, une nation souveraine, une nation forte, une nation où les hommes qui sont aguerris, qui sont capables de prendre des initiatives, de créer pour le changement. Ce travail-là, il n'est pas achevé et c'est la raison pour laquelle je suis encore dans la course. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: la vie chère, l'emploi et la sécurité au cœur du scrutin
Fluent Fiction - French: A Birthday Surprise Rewrites the Rules of Science and Life Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/fr/episode/2025-10-22-22-34-02-fr Story Transcript:Fr: L'air était frais dans le laboratoire secret d'Étienne.En: The air was fresh in Étienne's secret laboratory.Fr: L'automne colorait les feuilles dehors, mais à l'intérieur, tout était concentré sur la science.En: Autumn was coloring the leaves outside, but inside, everything was focused on science.Fr: Des machines bourdonnaient, des écrans éclataient de chiffres lumineux, et Étienne était à son poste habituel, analysant des données cruciales.En: Machines buzzed, screens burst with glowing numbers, and Étienne was at his usual station, analyzing crucial data.Fr: Cécile, fidèle amie et collègue, l'observait avec tendresse.En: Cécile, a faithful friend and colleague, watched him with affection.Fr: Elle savait à quel point ce projet signifiait pour lui.En: She knew how much this project meant to him.Fr: Étienne voulait prouver sa valeur, faire une découverte révolutionnaire.En: Étienne wanted to prove his worth and make a groundbreaking discovery.Fr: Mais elle se souvenait aussi de l'autre événement important : l'anniversaire d'Étienne approchait.En: But she also remembered another significant event: Étienne's birthday was approaching.Fr: Alors, avec la collaboration de Jacques, son mentor respecté, elle avait préparé quelque chose de spécial.En: So, with the help of Jacques, his respected mentor, she had prepared something special.Fr: Une après-midi, alors que le soleil déclinait, Étienne était plongé dans ses calculs.En: One afternoon, as the sun was setting, Étienne was engrossed in his calculations.Fr: Il voulait travailler tard, comprendre ces derniers résultats.En: He wanted to work late, to understand those final results.Fr: Mais Jacques, avec son sourire sage, proposa une pause.En: But Jacques, with his wise smile, suggested a break.Fr: « Étienne, viens boire un café.En: "Étienne, come have a coffee.Fr: Il faut s'aérer l'esprit.En: You need to clear your mind."Fr: » Étienne hésita.En: Étienne hesitated.Fr: Un instant, il pensa refuser, emporté par son désir de comprendre.En: For a moment, he thought of refusing, carried away by his desire to understand.Fr: Mais un appel au repos le tira.En: But a call to rest pulled him.Fr: Il acquiesça finalement, posant son stylo.En: He finally agreed, setting his pen down.Fr: Lorsqu'il ouvrit la porte du laboratoire, une surprise l'attendait.En: When he opened the laboratory door, a surprise awaited him.Fr: Cécile, Jacques, et plusieurs collègues étaient réunis.En: Cécile, Jacques, and several colleagues were gathered.Fr: Des ballons flottaient au-dessus des tables, et une pancarte joyeuse disait « Joyeux Anniversaire, Étienne !En: Balloons floated above the tables, and a joyful banner read "Happy Birthday, Étienne!"Fr: » Ému, Étienne resta d'abord sans voix.En: Moved, Étienne was initially speechless.Fr: Puis, un sourire s'étira sur son visage.En: Then, a smile spread across his face.Fr: Les rires et les chants emplirent la pièce.En: Laughter and songs filled the room.Fr: Cécile lui tendit un gâteau, ses yeux brillants de complicité.En: Cécile handed him a cake, her eyes shining with camaraderie.Fr: « Surprise !En: "Surprise!"Fr: » dit-elle, et Étienne ne put que rire avec tout le monde.En: she said, and Étienne could only laugh with everyone.Fr: Cette soirée-là, au lieu de conquérir des théorèmes, il s'ouvrit au plaisir simple d'être entouré de ceux qui se souciaient de lui.En: That evening, instead of conquering theorems, he opened himself to the simple pleasure of being surrounded by those who cared for him.Fr: Le laboratoire secret, ce lieu de mystère et de science, devint un théâtre de chaleur humaine et de joie.En: The secret laboratory, this place of mystery and science, became a theater of human warmth and joy.Fr: En regardant ses amis, Étienne comprit l'importance de ce moment.En: Looking at his friends, Étienne understood the importance of this moment.Fr: La science attendrait.En: Science could wait.Fr: Aujourd'hui, il célébrait la vie.En: Today, he celebrated life.Fr: Le lendemain, en revenant à son travail, il était différent.En: The next day, returning to his work, he was different.Fr: Il avait appris que même les plus brillantes découvertes avaient besoin d'une lumière humaine pour vraiment briller.En: He had learned that even the brightest discoveries needed a human light to truly shine.Fr: Il poursuivrait son rêve, mais jamais au détriment de ces précieux moments partagés.En: He would pursue his dream, but never at the expense of those precious shared moments.Fr: En cette nuit automnale, Étienne avait trouvé un équilibre précieux entre passion et amitié.En: On that autumn night, Étienne had found a precious balance between passion and friendship. Vocabulary Words:the air: l'airfresh: fraisthe laboratory: le laboratoireautumn: l'automneto color: colorerthe leaves: les feuillesto focus: se concentrerthe machine: la machineto buzz: bourdonnerto burst: éclaterthe screen: l'écrancrucial: crucialthe colleague: le collèguefaithful: fidèletenderness: la tendressethe project: le projetthe worth: la valeurgroundbreaking: révolutionnairethe mentor: le mentorwise: sageto hesitate: hésiterto refuse: refuserto pull: tirerthe calculations: les calculsthe coffee: le caféto clear one's mind: s'aérer l'esprita surprise: une surprisethe cake: le gâteaucamaraderie: la complicitéto conquer: conquérir
En Côte d'Ivoire, alors que la présidentielle approche à grands pas, le coût du logement figure parmi les difficultés les plus pressantes pour de nombreux électeurs. À Abidjan, les loyers flambent, poussant les habitants à faibles revenus toujours plus loin des centres urbains. Un sujet sensible à l'heure où l'accès au logement décent reste un défi national. Avec notre correspondant à Abidjan, À Cocody Angré, quartier huppé d'Abidjan, Stéphane Koffi, agent immobilier, enchaîne les visites. Son téléphone ne cesse de crépiter, signe d'une demande qui explose. Ces dernières années, partout dans la capitale économique, les grues s'élèvent, les immeubles sortent de terre. Mais derrière ce décor de modernité, les loyers flambent. « Le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) en Côte d'Ivoire, c'est 75 000 francs CFA. Supposons que quelqu'un a un salaire de 75 000 francs CFA, il ne peut même pas se prendre un studio. Parce qu'il n'y a pas de ce studio à ce prix dans la zone où on est actuellement. Pour un appartement de deux pièces, c'est minimum 150 000 francs CFA. Ça peut aller au-delà », constate l'agent immobilier. Une hausse nourrie par une demande bien supérieure à l'offre. Selon la Banque mondiale, le déficit de logements à Abidjan est de plus de 400 000 logements. Pour l'économiste Alban Ahouré, cette situation est favorisée par l'émergence d'une classe moyenne qui représente plus de 30% des ménages. « Cette classe moyenne ne désire pas forcément habiter dans les zones périphériques. Et donc, cette concentration de la demande sur le centre entraîne une forte pression et une hausse des prix », explique-t-il. Logements sociaux, location-vente : à la recherche de solutions Résultat : beaucoup d'Abidjanais s'installent en périphérie. C'est le cas de Moustapha Dembélé. Il travaille dans la zone portuaire de Treichville mais vit à Abobo N'Dotré, à près de 20 kilomètres, dans un deux-pièces qu'il loue 50 000 francs CFA par mois. Il a fait les calculs : « Quand je fais une association de mon loyer et de mon transport minimum par mois, ça ne vaut même pas le loyer d'un immeuble dans lequel j'ai voulu habiter. » Même s'il passe parfois plusieurs heures dans les embouteillages, Moustapha relativise. « D'abord, en termes d'espace, je suis dans un 30m². Dans d'autres communes, ça serait très coûteux. Au-delà de cela, je suis juste derrière la clôture d'une école primaire, également à côté d'un centre de santé communautaire, et je suis à deux minutes de marche du marché », décrit le locataire. Pour soulager les ménages modestes, l'État ivoirien mise sur les logements sociaux. Mais treize ans après le lancement du programme, seuls 42 000 logements ont été livrés sur 150 000 prévus. L'idée aujourd'hui est de changer de paradigme face au faible taux de bancarisation des Ivoiriens, confie le directeur général du logement, Célestin Koalla. « Il faut qu'on fasse de la location-vente et de la location simple. À ce moment-là, ils ne seront plus concernés par le crédit hypothécaire », met-il en avant. « Le gouvernement vous remet simplement une clé. Chaque mois, vous payez un loyer et 25 ans plus tard, vous êtes propriétaire parce que nous, on dit, dans notre jargon, que tout le monde ne peut pas acheter une maison, mais tout le monde loue une maison », poursuit le directeur général. Des chantiers sont en cours à PK 24 et à Yopougon BAE, avec un objectif de plus de 1 000 nouveaux logements. Une commission nationale d'attribution a déjà été mise en place et les souscriptions doivent démarrer dans les prochains mois, promet le ministère du Logement.
En Côte d'Ivoire, les cinq candidats à l'élection présidentielle multiplient les meetings et les rencontres à travers le pays. Mais leurs programmes sont-ils à la hauteur de vos attentes ? Quelles sont vos priorités économiques et sociales pour les cinq prochaines années ? Vos réactions à quatre jours du scrutin !
En Côte d'Ivoire, 8,7 millions d'électeurs seront appelés à voter le 25 octobre pour le premier tour de l'élection présidentielle. Il y a cinq candidats en lice, dont le président sortant Alassane Ouattara. RFI donne la parole à chaque candidat. Ce matin, Jean-Louis Billon, cadre du PDCI, en froid avec son parti, se présente avec une autre casquette. Sa candidature est portée par le Code, une coalition de partis politiques. Mais sur le terrain, réussira-t-il à convaincre ses camarades du PDCI, à voter pour lui ? Et va-t-il toucher plus de monde, au-delà du PDCI ? RFI : Comment peut-on gagner une élection présidentielle sans le soutien d'un grand parti politique comme le PDCI ? Jean-Louis Billon : Les partis politiques, aussi grands soient-ils, perdent aussi des élections présidentielles. Aujourd'hui, j'ai une coalition importante de plus d'une vingtaine de partis politiques à laquelle est venu s'adjoindre plusieurs militants du PDCI-RDA. Donc, c'est avec tout ce monde que nous avons organisé la campagne et que nous mobilisons sur l'ensemble du territoire national. Et aujourd'hui, on arrive à tenir des meetings avec une mobilisation bien plus importante que le parti au pouvoir. Est-ce que vous avez maintenu les discussions avec la direction du PDCI ? Je suis un militant du PDCI. Donc, nous nous parlons régulièrement. Il n'y a peut-être pas de mot d'ordre officiel, mais sur le terrain, les militants du PDCI m'accompagnent. Pour moi, je suis en train de mener une campagne raisonnable et nous restons confiants quant à l'issue de cette élection. Vous n'avez pas un soutien officiel du PDCI. Est-ce que vous espérez encore un mot d'ordre avant la fin de la campagne ? Le PDCI, ce n'est pas la majorité en Côte d'Ivoire. La très grande majorité des Ivoiriens est complètement apolitique. Nous avons plus de 6 millions d'électeurs qui ne sont pas affiliés à des partis politiques. C'est à moi de convaincre les Ivoiriens de me donner cinq ans pour diriger la Côte d'Ivoire. Et il sera plus difficile pour le président Alassane Ouattara de convaincre les Ivoiriens de lui accorder cinq années de plus. C'est pour ça que je suis confiant, parce que les Ivoiriens veulent le changement. Et les Ivoiriens veulent une nouvelle génération d'acteurs politiques. Et je représente cette nouvelle génération. Au vu des derniers taux de participation, on a plutôt lieu de se demander, si les électeurs iront voter ce samedi ? Alors c'est très simple. S'ils ne sortent pas voter, là oui, l'électorat captif du RHDP se mobilisant, ne pas voter en réalité, c'est choisir Alassane Ouattara. Par contre, s'il y a une forte mobilisation demain, elle sera plus à mon avantage parce que l'électorat du RHDP ne grandit plus. Avez-vous les ressources humaines suffisantes pour déployer des représentants dans tous les bureaux de vote le 25 octobre ? Nous nous sommes organisés pour être présents dans tous les bureaux de vote. Pourquoi est-ce que c'est un enjeu pour vous ? Parce que c'est une ambition de longue date et je veux participer au renouveau de la Côte d'Ivoire. Jean-Louis Billon, votre programme est principalement axé sur l'économie. Que comptez-vous faire de différent par rapport à l'administration sortante qui, elle, brandit sur le terrain un bilan positif ? La croissance économique ivoirienne est essentiellement le résultat de l'investissement public. Ça, c'est la gestion RHDP. C'est le programme du président Ouattara. Le programme que je présente axe la croissance sur le secteur privé, la création d'emplois, l'investissement privé avec plus de réduction de pauvreté. L'investissement public a joué son rôle, mais il a atteint ses limites. À Dabou, vous avez mis l'accent sur les questions de paix et de sécurité. Quelles mesures comptez-vous prendre pour assurer la sécurité dans le pays ? La stabilité du pays sera maintenue. Mais pour aller au-delà, il faut que nous engagions un véritable processus de réconciliation nationale. Parce que malheureusement, la crise ivoirienne passée a laissé des séquelles. Il y a encore des Ivoiriens qui se sentent, vrai ou faux, menacés et qui restent en dehors de la Côte d'Ivoire. Tout le monde doit rentrer. Vous pensez à Guillaume Soro ? Je pense à Guillaume Soro et d'autres, bien sûr. Personne ne doit se sentir exclu du processus de développement que je veux mettre en place. Donc, je m'arrangerai dans mes premières décisions pour que tout le monde rentre et que nous engagions un vrai processus de réconciliation, que nous partions sur une nouvelle base. Comment vous ferez par rapport aux menaces extérieures ? Je pense notamment à la lutte contre le terrorisme. La lutte contre le terrorisme est aujourd'hui une situation qui concerne l'ensemble des pays de la sous-région. Bien sûr, nous avons, nous même, notre système sécuritaire, mais il nous faut beaucoup plus de coopération avec les autres, pour éradiquer ce phénomène. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: les candidats s'activent dans la dernière ligne droite
Ils sont une dizaine de demandeurs d'asile regroupés au sein du collectif des Agriculteurs migrants de Rennes. Ils se sont rencontrés dans les centres de distributions alimentaires et dans des hébergements de fortune avant de se retrouver autour d'un projet agricole commun à Melesse à une quinzaine de kilomètres de Rennes dans le nord-ouest de la France. Une habitante leur a prêté un hectare de parcelle pour leur projet. Ces migrants originaires d'Afrique subsaharienne, notamment de la Côte d'Ivoire et du Cameroun, cultivent des fruits et des légumes qu'ils donnent à des associations comme les Restos du Cœur et le Secours populaire. De notre envoyée spéciale de retour de Rennes, Eddy-Valère Djonang Ngandjeu, originaire du Cameroun, est sans-papiers et n'a pas le droit de travailler. Pour s'occuper et ayant des connaissances dans l'agriculture, il a créé le collectif des Agriculteurs migrants de Rennes et lancé un projet avec d'autres personnes dans la même situation que lui. Ce matin, ils récoltent des poireaux, des poivrons et des potirons. Des légumes qui seront distribués aux bénéficiaires d'associations aidant les personnes en situation de précarité. « Lorsqu'on partait chercher à manger aux Restos du Cœur, on voyait que les Restos du Cœur et le Secours populaire partaient prendre les invendus dans les marchés pour nous les donner, se souvient Eddy-Valère Djonang Ngandjeu. On s'est demandés si on ne pouvait pas également travailler pour accompagner ces établissements alimentaires. Donc, voilà comment on s'est lancé. » Le collectif des Agriculteurs migrants de Rennes a donné gratuitement près d'une tonne de légumes au Secours populaire. Malgré le succès de cet essai, Eddy a parfois du mal à convaincre d'autres demandeurs d'asile de se joindre à eux : « Il y en a certains qui, en venant ici, pensaient que la France était un eldorado où tout se donne, où tout se ramasse. Ils ne cessent de nous dire qu'on ne peut pas laisser la terre pour venir la travailler ici. Mais si tout le monde faisaient comme eux, qui travaillerait la terre pour que les autres mangent ? » « Je veux continuer, c'est mon projet » Kassiri Gbeuli Ellogne travaille avec Eddy. Il souhaite continuer dans l'agriculture : « En Côte d'Ivoire, j'étais planteur, éleveur. Je n'ai pas changé, je veux continuer parce que je sais ce que la terre produit. Donc, j'ai eu de la chance d'avoir de la terre ici. Je veux continuer, c'est mon projet. » Pour que ce projet puisse être une réalité, le collectif Campagnes ouvertes et solidaires avait lancé un appel à la solidarité qui a fait effet selon Maxime, membre de ce mouvement citoyen : « Dans notre collectif, beaucoup sont à la Confédération paysanne, syndicat agricole. On a donc relayé le message. C'est comme ça qu'un paysan a répondu qu'il était prêt à prêter des terres à leur collectif. On a récolté du matériel dans une ferme pas très loin et on leur a amené. Et puis après, le bouche-à-oreille a fait qu'ils ont reçu des trucs au fur et à mesure. » Eddy Valère et ses camarades ont ouvert une cagnotte pour leur permettre de poursuivre ce projet agricole. À écouter aussiÀ la rencontre des agriculteurs migrants de Rennes
Le Premier Ministre Sébastien Lecornu a annoncé ce mardi la suspension de la réforme des retraites. En Côte-d'Or, la député de la première circonscription Océane Godard a réagi à cette annonce, qu'elle considère "comme une satisfaction". Cap désormais sur le budget, dans lequel davantage de justice fiscale sera la ligne rouge à tenir pour les Socialistes.
En Côte d'Ivoire, ils ont 14 jours pour convaincre. Alassane Ouattara qui brigue un 4è mandat, Jean-Louis Billon, Ahoua Don Mello, Simone Ehivet et Henriette Lagou vont enchainer les meetings jusqu'à la présidentielle du 25 octobre. La campagne électorale s'annonce-t-elle passionnante ? Quelles sont vos attentes ? Vos réactions nous intéressent.
En Côte d'Ivoire, 80 % des cours d'eaux, des lacs et des lagunes du pays seraient contaminées, en raison, entre autres, des déchets plastiques, de l'agriculture incontrôlée, ou encore de l'orpaillage. Reportage à Dimbokro, où l'état du N'Zi, l'une des plus importantes rivières du pays, suscite l'inquiétude depuis plusieurs années. De notre envoyé spécial à Dimbokro, Le soleil se lève sur le N'Zi. Une demi-douzaine de pêcheurs vident les nasses installées dans le méandre de la rivière. Matthieu sort de sa pirogue, la prise est décevante. Quelques silures frétillent dans le sac plastique au fond de son embarcation. « C'est devenu trop sale, ces temps-ci, il n'y a pas de poisson », regrette-t-il. Autrefois jugé limpide par les villageois alentours, le N'Zi a désormais la couleur de l'argile, surtout pendant la saison sèche. Et le poisson se fait plus rare. « C'est ce qu'on prend pour nourrir notre famille, quand c'est comme ça, ça ne nous arrange pas », ajoute Matthieu. Pour les pêcheurs comme Richard, les responsables sont connus. « C'est à cause des orpailleurs, les gens qui extraient de l'or, donc quand on vient, on ne trouve rien », affirme-t-il. D'après les riverains, les chercheurs d'or ratissent le lit du N'Zi à l'aide de dragues. Des monticules de graviers témoignent de leur passage. En contrebas du village de Kongossou, la berge est creusée. Loya ne veut plus nager dans la rivière. « Avant ici, on appelait ici la plage, mais aujourd'hui c'est plus la peine. Les gens des dragues ont gâté le N'Zi, ils ont fait leurs forages ici, se désole-t-il. C'est le gravier qu'ils ont sorti qui est là, c'est pour forer l'or. » Il y a la dégradation visible. L'eau boueuse est 200 fois plus trouble que la norme de limpidité. La société Sodeci la nettoie avec un floculant avant de pouvoir la distribuer vers Dimbokro. Mais il y a aussi une pollution invisible. Ces dernières années, des études scientifiques ont décelé entre autres des restes de cadmium et de mercure dans l'eau tout au long du N'Zi. Le mercure est un métal notamment utilisé pour l'amalgamation de l'or. La concentration de ces métaux lourds fluctue en fonction de la saison et du niveau de la rivière. Les dernières études en date montrent des niveaux inférieurs aux seuils de dangerosité établis par l'Organisation mondiale de la santé, mais leurs auteurs appellent à la vigilance. À lire aussiLa Côte d'Ivoire adhère à la convention des Nations unies sur l'eau Face à la pollution, les agents du ministère des Eaux et Forêts déguerpissent fréquemment les orpailleurs proches du N'Zi. Mais ce n'est pas suffisant pour le professeur Bernard Yapo, le patron du Ciapol, le centre ivoirien antipollution : « On arrête certains mais pas tout le monde, et le phénomène continue de s'amplifier. Mais il faut savoir que les populations elles-mêmes participent à ces activités d'orpaillage. Il faut vraiment impliquer les populations qui sont sur les cours d'eaux, c'est à elles de s'impliquer véritablement et de refuser que ce genre d'activités illégales s'implantent dans leur zone. » Pour Bernard Yapo, l'utilisation mal contrôlée d'engrais et de pesticides, les déchets et les rejets d'eaux usées dégradent également les rivières comme le N'Zi. Outre les conséquences sanitaires et environnementales, le directeur du Ciapol s'inquiète aussi de l'impact économique de la pollution des cours d'eau sur l'industrie. Une préoccupation qui contraste avec l'insouciance des écoliers de Dimbokro. Chaque après-midi, ils continuent de plonger tête la première malgré l'état notoirement connu de la rivière.« L'eau, elle est très sale. Très, très sale même ! », s'exclament-ils. Et quand on leur demande pourquoi ils continuent à se baigner dedans, ils répondent : « On est habitués à ça en fait, on est habitués à ça quoi. » À lire aussiCôte d'Ivoire: près de 185 cas de contamination liés à la pollution d'une mine d'or
Fluent Fiction - French: Embracing the Moonlit Journey: A Tale of Courage and Hope Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/fr/episode/2025-10-07-07-38-20-fr Story Transcript:Fr: La douce lumière de la lune éclairait la plage d'un éclat argenté, transformant la mer en un miroir étincelant.En: The gentle light of the moon illuminated the beach with a silvery glow, transforming the sea into a sparkling mirror.Fr: C'était la saison des récoltes, et le Festival de la Lune des Moissons battait son plein.En: It was harvest season, and the Festival de la Lune des Moissons was in full swing.Fr: Des lanternes colorées bordaient la plage, tandis que la musique joyeuse et les rires remplissaient l'air frais d'automne.En: Colorful lanterns lined the beach, while joyful music and laughter filled the fresh autumn air.Fr: Céleste se tenait près de l'eau, les vagues effleurant ses pieds.En: Céleste stood near the water, the waves brushing her feet.Fr: Elle aimait ce moment de paix, de solitude, sous le ciel étoilé.En: She loved this moment of peace, of solitude, under the starry sky.Fr: Pourtant, ce soir-là, son cœur était lourd.En: Yet, that night, her heart was heavy.Fr: Elle se demandait où se trouvait sa place dans le monde.En: She wondered where her place in the world was.Fr: Elle soupira, perdue dans ses pensées.En: She sighed, lost in her thoughts.Fr: Adrien, son ami d'enfance, s'approcha.En: Adrien, her childhood friend, approached.Fr: Toujours plein d'énergie, il lui sourit et dit : « La mer est belle, n'est-ce pas ?En: Always full of energy, he smiled at her and said, "The sea is beautiful, isn't it?Fr: Comme nos rêves qui s'étendent à l'infini.En: Like our dreams that stretch out to infinity."Fr: » Céleste hocha la tête.En: Céleste nodded.Fr: « Oui, mais les rêves peuvent être effrayants quand on ne sait pas où ils nous mènent.En: "Yes, but dreams can be frightening when you don't know where they lead."Fr: » Adrien posa une main réconfortante sur son épaule.En: Adrien placed a comforting hand on her shoulder.Fr: « Parfois, il faut juste se lancer.En: "Sometimes, you just have to take the plunge.Fr: Le voyage est aussi important que la destination.En: The journey is as important as the destination."Fr: » Elodie, leur vieille amie, les rejoignit.En: Elodie, their old friend, joined them.Fr: Sa présence rappelait à Céleste les souvenirs de leur petite ville, des jours plus simples.En: Her presence reminded Céleste of memories from their small town, of simpler days.Fr: « Pourquoi te tourmentes-tu, Céleste ?En: "Why do you torment yourself, Céleste?Fr: La maison est toujours là, en sécurité », dit Elodie doucement.En: Home is always there, safe," Elodie said softly.Fr: Céleste sentit les larmes lui monter aux yeux.En: Céleste felt tears well up in her eyes.Fr: Elle aimait sa ville natale, mais quelque chose en elle aspirait à plus.En: She loved her hometown, but something within her yearned for more.Fr: « J'ai peur de choisir le mauvais chemin.En: "I'm afraid of choosing the wrong path.Fr: De perdre une partie de moi-même.En: Of losing part of myself."Fr: » Adrien la regarda dans les yeux, sincère.En: Adrien looked her in the eyes, sincere.Fr: « La seule mauvaise route, Céleste, c'est celle qui ne t'apprend rien sur toi-même.En: "The only wrong path, Céleste, is the one that doesn't teach you anything about yourself."Fr: » Les paroles d'Adrien résonnaient en elle.En: Adrien's words resonated within her.Fr: Elle sentit un vent de liberté soudain l'envelopper.En: She felt a sudden wave of freedom envelop her.Fr: Avec une résolution nouvelle, Céleste annonça : « Je vais voyager, Adrien.En: With newfound resolve, Céleste announced, "I'm going to travel, Adrien.Fr: Je veux découvrir ce que le monde a à m'apprendre.En: I want to discover what the world has to teach me."Fr: » Adrien lui prit la main, un sourire éclatant aux lèvres.En: Adrien took her hand, a radiant smile on his lips.Fr: « Nous allons partir ensemble.En: "We will leave together."Fr: » En regardant la mer, Céleste sentit la peur se dissiper, remplacée par un espoir vibrant.En: Looking at the sea, Céleste felt the fear dissipate, replaced by a vibrant hope.Fr: Elle fit ses adieux à Elodie, promettant de revenir avec des histoires à partager.En: She said her goodbyes to Elodie, promising to return with stories to share.Fr: Sous la lumière de la lune, Céleste avait fait son choix.En: Under the light of the moon, Céleste had made her choice.Fr: Elle avait choisi d'embrasser le changement et de suivre ses instincts.En: She had chosen to embrace change and follow her instincts.Fr: Elle était prête à écrire son propre chemin, à explorer de nouveaux horizons, avec confiance et espoir.En: She was ready to write her own path, to explore new horizons, with confidence and hope.Fr: Fin.En: The End. Vocabulary Words:the light: la lumièrethe beach: la plagesilvery: argentéthe glow: l'éclatthe harvest: la récoltein full swing: battait son pleinthe lantern: la lanterneto line (borders): borderto brush (skin): effleurerthe solitude: la solitudethe sky: le cielto wonder: se demanderto sigh: soupirerthe thought: la penséethe childhood: l'enfanceto approach: s'approcherto smile: sourirethe journey: le voyagethe destination: la destinationto join: rejoindrethe memory: le souvenirthe hometown: la ville nataleto yearn: aspirerto lose: perdresincere: sincèreto resonate: résonnerthe resolve: la résolutionthe horizon: l'horizonthe confidence: la confiancethe hope: l'espoir
En Côte d'Ivoire, la campagne présidentielle bat son plein. Dans un contexte politique tendu, les Ivoiriens seront appelés aux urnes le 25 octobre 2025. Sur les réseaux sociaux, ce vote n'échappe pas à la désinformation, à tel point qu'il est difficile de distinguer le vrai du faux. Si vous cherchez à vous informer sur l'élection présidentielle en Côte d'Ivoire en parcourant les réseaux sociaux, vous allez très probablement tomber sur des fausses informations. TikTok en est le parfait exemple. Le premier résultat proposé par l'algorithme lorsque nous avons tapé « Côte d'Ivoire » dans la barre de recherche, est une vidéo mensongère affirmant que « l'élection est annulée ». Ce clip évoque, à tort, une décision prise par l'Organisation des Nations unies, face aux « graves irrégularités dans le processus électoral ». En réalité, la présidentielle ivoirienne n'a pas été annulée. Cette vidéo a été fabriquée de toutes pièces pour semer le doute et mettre en cause l'intégrité du scrutin. Laurent Gbagbo et Vladimir Poutine Au-delà de la sincérité du scrutin, certaines infox ciblent directement certaines figures politiques ivoiriennes. À commencer par l'ancien chef de l'État, Laurent Gbagbo. D'après une vidéo mensongère diffusée sur TikTok, le leader du Parti des peuples africains-Côte d'Ivoire (PPA-CI), dont la candidature a été rejetée par le Conseil constitutionnel, aurait reçu le soutien de Vladimir Poutine. Ce clip affirme, à tort, que le président russe aurait menacé de lourdes conséquences si Laurent Gbagbo n'apparaissait pas sur la liste électorale. Sauf qu'une nouvelle fois, tout est faux. Vladimir Poutine n'a en réalité jamais tenu une telle déclaration. Pour le savoir, nous avons consulté l'ensemble des canaux de communication officiels du Kremlin. Cette citation, introuvable, a été inventée de toutes pièces afin d'influencer l'opinion publique ivoirienne. Un mode opératoire en pleine expansion Ces deux infox utilisent le même mode opératoire, avec une recette de fabrication presque millimétrée. Une voix, générée par intelligence artificielle, prétend qu'une annonce très importante vient de tomber. Le commentaire, robotique, est accompagné d'une musique angoissante. Côté visuel, des images d'illustrations sorties de leur contexte défilent dans un rythme soutenu. Le but de ces produits sensationnels, c'est de capter l'attention des utilisateurs et de désinformer en jouant sur leurs émotions. Ce mode opératoire est omniprésent sur TikTok, en Afrique, mais aussi en Europe. Des comptes anonymes aux noms trompeurs Derrière ses fausses informations, on retrouve un véritable écosystème de comptes anonymes dédiés à la production de ces contenus trompeurs. Certains cherchent principalement à faire des vues pour monétiser leur audience. D'autres, au contraire, semblent vouloir désinformer massivement en ciblant certains pays, comme c'est le cas de la Côte d'Ivoire. Le meilleur conseil pour ne pas se faire avoir, c'est de se méfier fortement de tous ces contenus comportant une voix artificielle. Cela doit devenir un signal d'alerte. Attention aussi, certains tentent de se faire passer pour des médias avec des noms volontairement trompeurs, comme Info+ ou Live News. Alors, en cas de doute, pensez à consulter des sources d'informations fiables.
Fluent Fiction - French: Lavender Secrets: A Journey of Friendship and Storms Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/fr/episode/2025-09-29-22-34-02-fr Story Transcript:Fr: Le soleil d'automne éclairait doucement les champs de lavande en Provence.En: The autumn sun gently illuminated the lavender fields in Provence.Fr: Les fleurs violettes s'étendaient à perte de vue, formant un tableau magnifique.En: The purple flowers stretched as far as the eye could see, creating a magnificent tableau.Fr: Élodie, Matthieu et Céline voyageaient ensemble à travers ces paysages enchanteurs.En: Élodie, Matthieu, and Céline were traveling together through these enchanting landscapes.Fr: C'était un voyage attendu depuis longtemps.En: It was a long-awaited trip.Fr: Pourtant, une tension latente flottait dans l'air.En: Yet, a latent tension hung in the air.Fr: Élodie, assise à l'arrière de la voiture, rêvassait en regardant par la fenêtre.En: Élodie, sitting in the back of the car, was daydreaming while gazing out the window.Fr: Matthieu, au volant, observait Céline choisir la prochaine destination sans vraiment demander l'avis d'Élodie.En: Matthieu, at the wheel, watched Céline choose the next destination without really asking Élodie's opinion.Fr: Céline, pleine de vie et d'énergie, aimait prendre des décisions rapidement.En: Céline, full of life and energy, liked to make decisions quickly.Fr: Elle proposait souvent d'aller ici et là, oubliant parfois les envies de ses amis.En: She often suggested going here and there, sometimes forgetting her friends' desires.Fr: Un jour, alors qu'ils traversaient ces champs parfumés, Élodie sentit un fort besoin de s'affirmer.En: One day, as they were driving through these fragrant fields, Élodie felt a strong need to assert herself.Fr: Elle pensait sans cesse à un endroit secret, découvert lors de la lecture d'un guide de voyage.En: She kept thinking about a secret place, discovered while reading a travel guide.Fr: Elle prit une inspiration profonde et dit : "Et si nous prenions un détour?En: She took a deep breath and said, "What if we took a detour?Fr: Il y a un champ moins connu, mais magnifique."En: There is a lesser-known but beautiful field."Fr: Céline fronça légèrement les sourcils.En: Céline slightly furrowed her brows.Fr: "Pourquoi ne pas continuer vers le village pour dîner?"En: "Why not continue to the village for dinner?"Fr: demanda-t-elle.En: she asked.Fr: Matthieu, sentant la tension monter, dit calmement : "Écouter Élodie pourrait être intéressant.En: Matthieu, sensing the tension rising, calmly said, "Listening to Élodie could be interesting.Fr: Nous avons le temps."En: We have the time."Fr: Finalement, ils acceptèrent l'idée d'Élodie et prirent le petit chemin sinueux indiqué sur le guide.En: Eventually, they agreed to Élodie's idea and took the winding little path shown in the guide.Fr: L'atmosphère était enfin plus détendue lorsqu'ils découvrirent le champ caché.En: The atmosphere was finally more relaxed as they discovered the hidden field.Fr: Les couleurs semblaient plus vives ici, comme si le monde entier était plus serein.En: The colors seemed more vivid here, as if the whole world was more serene.Fr: Mais soudain, les nuages s'assombrirent et le vent commença à souffler fort.En: But suddenly, the clouds darkened, and the wind began to blow fiercely.Fr: Une tempête inattendue s'approchait.En: An unexpected storm was approaching.Fr: Sans hésiter, Matthieu dit : "Nous devons nous abriter."En: Without hesitation, Matthieu said, "We must find shelter."Fr: Ils cherchèrent ensemble un endroit sûr.En: Together, they looked for a safe spot.Fr: Sous un grand arbre, à l'abri des bourrasques, ils se serrèrent les uns contre les autres, riant nerveusement.En: Under a large tree, sheltered from the gusts, they huddled close together, laughing nervously.Fr: La pluie battait fort, mais le sentiment de solidarité se renforçait.En: The rain pounded hard, but the feeling of solidarity grew stronger.Fr: Céline, trempée mais souriante, saisit la main d'Élodie.En: Céline, soaked but smiling, grabbed Élodie's hand.Fr: "Merci de nous avoir menés ici.En: "Thank you for bringing us here.Fr: C'est une aventure inoubliable."En: It's an unforgettable adventure."Fr: Matthieu acquiesça, apportant sa chaleur à ce moment.En: Matthieu nodded, adding his warmth to the moment.Fr: La tempête passa aussi vite qu'elle était venue, laissant derrière elle un arc-en-ciel brillant.En: The storm passed as quickly as it had come, leaving behind a brilliant rainbow.Fr: Les gouttelettes scintillaient sur les fleurs de lavande, embellissant encore plus le paysage.En: The droplets sparkled on the lavender flowers, making the landscape even more beautiful.Fr: Sur le chemin du retour, une nouvelle compréhension les unissait.En: On the way back, a new understanding united them.Fr: Céline regarda Élodie avec admiration.En: Céline looked at Élodie with admiration.Fr: Elle avait appris à apprécier ses idées, tout comme Élodie avait découvert sa propre voix.En: She had learned to appreciate her ideas, just as Élodie had discovered her own voice.Fr: Matthieu, quant à lui, était heureux d'avoir retrouvé le calme entre ses amies.En: Matthieu, for his part, was happy to have found peace again between his friends.Fr: Les champs de lavande continuaient de défiler à travers la vitre, mais cette fois-ci, la paix régnait dans la voiture.En: The lavender fields continued to glide by through the window, but this time, peace reigned in the car.Fr: Chaque membre du trio avait grandi, enrichi par cette petite tempête.En: Each member of the trio had grown, enriched by this little storm. Vocabulary Words:autumn: l'automnelavender: la lavandefield: le champtableau: le tableautrip: le voyagetension: la tensionto daydream: rêvasserdestination: la destinationlife: la vieenergy: l'énergieto assert: s'affirmersecret: secretdetour: le détourlesser-known: moins connubrow: le sourcilopinion: l'avisguide: le guidewind: le ventstorm: la tempêteshelter: l'abrigust: la bourrasquerain: la pluiesolidarity: la solidaritéunforgettable: inoubliableadventure: l'aventurerainbow: l'arc-en-cieldroplet: la gouttelettevivid: viveserene: sereinunderstanding: la compréhension
441-M-286-14 - 1650 - Crónicaas Junto al Fuego - Einstein y Dios - Vida en Encélado y más Universo de Misterios tiene reservado el derecho de admisión y publicación de comentarios. Generalmente, los comentarios anónimos no serán publicados. Si hace comentarios con afirmaciones dudosas, arguméntelas aportando enlaces a fuentes fiables (este muro NO es una red social). En caso de no respaldar su comentario como se indica en la caja de descripción del episodio, su comentario podrá ser no publicado. Contacto con Universo de Misterios: universodemisteriospodcast@gmail.com La imagen de la miniatura que ilustra este episodio ha sido creada con la ayuda de una Inteligencia Artificial. Puedes hacerte Fan de Universo de Misterios y apoyarlo económicamente obteniendo acceso a todos los episodios cerrados, sin publicidad, desde 1,99 €. Aunque a algunas personas, a veces, puede proporcionar una falsa sensación de alivio, la ignorancia nunca es deseable. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
In nur drei Jahren ist David Hermann vom Schulschirm auf einen EN-D-Zweileiner aufgestiegen und hat bereits die 300-km-Marke geknackt. Wie geht das? +++ Wer im Jahr 2025 die Flachlandwertung des DHV-XC verfolgt hat, dem dürfte ein Name aufgefallen sein: David Hermann. Der 33-jährige aus Nürnberg hat konstant über die ganze Flugsaison hinweg mit einer Reihe großer Strecken über das deutsche Flachland für Aufsehen gesorgt. Dabei stellte er nicht nur mit einem 306 km Flug von Knobelsdorf in Thüringen aus eine eigene Bestleistung auf. Für gleich fünf weitere Fluggebiete, vom Schwarzwald bis ins Sauerland, firmiert er mittlerweile als Startplatz-Rekordhalter. Wenn man dann auch noch erfährt, dass David erst seit drei Jahren Gleitschirm fliegt und bereits vom Schulschirm über Low-B, EN-C zu einem EN-D-Schirm aufgestiegen ist, bleibt der Eindruck: Hier ist ein Durchstarter mit großer Passion am Werk. Aber irgendwie auch jemand, der die Sache mit dem Flachland-Streckenfliegen sehr gut durchstiegen haben muss. In dieser Episode 169 von Podz-Glidz erzählt David Hermann unter anderem, wie er an das Fliegen herangeht. Wie er quer durch die Republik fährt, um in der jeweils passenden Region am Start zu sein. Welche Strategie er bei der Routenwahl verfolgt. Und warum er immer auch ein Biwak-Equipment mit im Gurtzeug hat. +++ Wenn Du Podz-Glidz und den Blog Lu-Glidz fördern möchtest, so findest Du alle zugehörigen Infos unter: https://lu-glidz.blogspot.com/p/fordern.html +++ Musik dieser Folge: Track: On the Flip | Künstler: The Grey Room Youtube Audio Library https://www.youtube.com/watch?v=6G3bC2z9DZE +++ Lu-Glidz Links: + Blog: https://lu-glidz.blogspot.com + Facebook: https://www.facebook.com/luglidz + Instagram: https://www.instagram.com/luglidz/ + Whatsapp-Kanal: https://whatsapp.com/channel/0029VaBVs05CHDynzdlJlU34 + Youtube: https://youtube.com/@Lu-Glidz + Soundcloud: https://soundcloud.com/lu-glidz + Spotify: https://open.spotify.com/show/6ZNvk83xxGHHtfgFjiAHyJ + Apple-Podcast: https://itunes.apple.com/de/podcast/podz-glidz-der-lu-glidz-podcast/id1447518310?mt=2 + Linktree: https://linktr.ee/luglidz +++ LINKS zu David Hermann + Instagram: https://www.instagram.com/soulfly_dave/ + 306 km Flug von Knobelsdorf: https://de.dhv-xc.de/flight/2038479 + Flüge von David Hermann im DHV-XC: https://de.dhv-xc.de/flights?fkpil%5B%5D=16695&l-fkpil%5B%5D=Hermann%2C%20David
En Côte d'Ivoire, le Conseil constitutionnel a tranché. Les Sages ont validé cinq candidatures sur 60 : le président sortant Alassane Ouattara, l'ex-première dame Simone Ehivet Gbagbo, Jean-Louis Billon, Ahoua Don Mello et Henriette Lagou-Adjoua. Que vous inspire cette liste ? Quelles peuvent être les conséquences de l'irrecevabilité des candidatures de l'ancien président Laurent Gabgbo et de Tidjane Thiam ?
En Côte d'Ivoire, le Conseil constitutionnel a tranché. Les Sages ont validé cinq candidatures sur 60 : le président sortant Alassane Ouattara, l'ex-première dame Simone Ehivet Gbagbo, Jean-Louis Billon, Ahoua Don Mello et Henriette Lagou-Adjoua. Que vous inspire cette liste ? Quelles peuvent être les conséquences de l'irrecevabilité des candidatures de l'ancien président Laurent Gabgbo et de Tidjane Thiam ?
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'étrange conversation entre Vladimir Poutine et Xi Jinping sur l'immortalité, sur le potentiel déploiement de troupes européennes en Ukraine et sur les tensions entre les États-Unis et le Venezuela suite à la frappe ordonnée par Donald Trump visant des trafiquants de drogue. Côte d'Ivoire : pourquoi un cyberactiviste proche du PPA-Ci a-t-il été interpellé ? En Côte d'Ivoire, l'interpellation d'un cyberactiviste proche du PPA-CI relance le débat sur la liberté d'expression à l'approche de la présidentielle. Comment les autorités justifient-elles l'arrestation d'Ibrahim Zigui ? Comment le parti de l'ex-président de Laurent Gbagbo réagit-il aux multiples interpellations de ses militants ces derniers mois ? Avec Bineta Diagne, correspondante permanente de RFI à Abidjan. Chine-Russie : dans les coulisses de la discussion inattendue entre Xi Jinping et Vladimir Poutine En marge du défilé militaire de la semaine dernière à Pékin, le président russe et son homologue chinois ont eu une conversation sur l'immortalité. Censés restés privés, les propos ont été captés par la télévision d'État chinoise. Pourquoi avoir diffusé cette discussion ? Faut-il y voir une décision politique ? Comment les deux dirigeants ont-ils réagi à la fuite de cette discussion ? Avec Cléa Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Guerre en Ukraine : des troupes européennes bientôt déployées ? Réunis la dernière fois à Paris aux côtés du président Zelenski, les Européens se sont dit prêts à « apporter les garanties de sécurité à l'Ukraine ». Concrètement, de quelles garanties est-il question ? Sait-on quels pays pourraient participer au potentiel déploiement de troupes sur le sol ukrainien ? Les États-Unis soutiendront-ils l'envoi de troupes européennes ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Venezuela : vers un déploiement américain ? Après la frappe ordonnée par Donald Trump contre un bateau de trafiquants de drogue au large du Venezuela, le président Nicolas Maduro a annoncé la mobilisation de plus de 4 millions de combattants et s'est dit prêt à la « lutte armée pour la défense du territoire national ». Un déploiement de troupes américaines est-il plausible ? Avec Thomas Posado, maître de conférences en Civilisation latino-américaine contemporaine à l'Université de Rouen et chercheur à l'ERIAC (Équipe de Recherche Interdisciplinaire sur les Aires Culturelles). Auteur de Venezuela : de la Révolution à l'effondrement, aux Presses Universitaires du Midi.
¡Primer programa posverano y volvemos a lo grande! Natalia Velarde se nos une a Fernando, Juanjo, Alejandro (ELHDLT), Deborah y el barbas para charlar sobre su primer cómic: Encías quemadas, publicado en nuestro país por Reservoir books. Además, os contamos nuestras últimas lecturas. No se lo pierdan. 🎼 - Earth, Wind and fire - September 🎼 - Led Zeppelin - Down by the seaside 🎼 - Bruce Springsteen - Born to run - Santuario - Planeta - Golden West - Norma - West fantasy #1 - Yermo - Batman: patrones oscuros - Panini - Secretos de la narrativa gráfica - Grafito - Gone - Norma Puedes encontrarnos en: Facebook: https://www.facebook.com/tdtpodcast Twitter: @PodcastTDT tertuliadetebeos@gmail.com tertuliadetebeos.blogspot.com Instagram: @tdtpodcast_ YouTube: https://www.youtube.com/tdtpodcast TikTok: @podcasttdt Bluesky: tdtpodcast
En Côte d'Ivoire, les candidats à l'élection présidentielle du 25 octobre ont jusqu'à ce soir minuit pour remettre leur dossier à la Commission électorale. Sur la cinquantaine de candidatures déposées, combien seront validées ? À deux mois du scrutin, dans quel état d'esprit êtes-vous ? Se dirige-t-on vers une élection apaisée ? Vos réactions nous intéressent.
En Côte d'Ivoire, comment imaginer l'architecture du futur ? Alors que le dérèglement climatique pousse la profession à repenser la construction vers plus de durabilité et moins d'émissions de CO2, la future génération d'architectes voit cette contrainte comme une occasion d'être plus respectueux de l'environnement, mais aussi de réaffirmer une identité africaine. Reportage avec les étudiants de l'école d'architecture d'Abidjan.
En Côte d'Ivoire, le patrimoine architectural reste méconnu des habitants d'Abidjan. Le quartier administratif du Plateau recèle pourtant de petites perles, avec des immeubles emblématiques comme « La Pyramide », dessinée par l'Italien Rinaldo Olivieri, aujourd'hui abandonnée. Alors que le quartier est un chantier permanent, de jeunes architectes ivoiriens tentent de préserver la mémoire des bâtiments. Reportage dans une promenade organisée par une association, la PAACIV. Une dizaine de randonneurs remontent le temps et les rues du Plateau. « Au Plateau, on a de l'art déco, on a une période post-coloniale, on a une période coloniale, on a même de l'architecture contemporaine, expose Ben Mohammed Kouyaté, le guide de la visite. On va le voir avec les tours. Chaque bâtiment s'illustre parce qu'il est le fruit d'une époque. » Le futur architecte décrit les techniques de construction, notamment comment les bâtiments de la rue du commerce ont été conçus à la fin de l'époque coloniale pour atténuer la chaleur tropicale, à l'image des anciennes galeries Peyrissac. « Le fait de pouvoir entrer sur l'angle, le retrait des portes qui permet de ne pas avoir d'ensoleillement direct… On n'a pas de chaleur, c'est typiquement une sorte d'architecture bioclimatique. Et ils avaient pensé leurs bâtiments de sorte qu'il y ait de la ventilation naturelle à l'intérieur », retrace-t-il. Au Plateau, l'architecture est aussi politique. En 1962, le Français Henri Dufau a construit le palais présidentiel de Félix Houphouët-Boigny, avec son toit concave inspiré du tabouret Akan, symbole de souveraineté. « Le nouveau palais présidentiel est construit sur les décombres de l'ancien palais du gouverneur. Et symboliquement, Houphouët-Boigny le fait pour dire que "nous sommes indépendants" et que nous pouvons choisir des choses par nous-mêmes », poursuit Ben Mohammed Kouyaté. L'architecture comme témoin de l'histoire Un siècle d'urbanisme résumé en trois heures de balade : l'occasion de contempler l'architecture tropicale du Plateau Sud, les tours du quartier administratif, le siège de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest, ou encore l'hexagone imposant de béton et de verre de 62 mètres de haut, signé Michel Goli Kouassi. On passe également devant le siège du premier architecte ivoirien ; l'impressionnant immeuble de la Caistab [caisse de stabilisation des prix des produits agricoles, NDLR], un gratte-ciel de plus de 100 mètres de haut conçu au plus fort du « miracle ivoirien » par le Français Robert Boy ; ou encore l'emblématique « Pyramide », chef-d'œuvre brutaliste de l'Italien Rinaldo Olivieri. Au milieu des nouvelles constructions et du chantier permanent du Plateau, ces immeubles anciens sont parfois oubliés. « Les nouveaux bâtiments sont mis en avant un peu au détriment des anciens bâtiments, selon Leïla Sangaré, architecte installée depuis un an à Abidjan. C'est un nouveau souffle du Plateau, une nouvelle image du Plateau, mais il ne faut pas non plus oublier ce qui était là avant. » Le prix du mètre carré est très élevé au Plateau, autour d'un million de francs CFA. Les projets immobiliers neufs prennent de la place, ce qui, pour l'architecte Issa Diabaté, doit poser question : « Qu'est-ce que l'on préserve, qu'est-ce que l'on peut laisser partir ? Parce que la ville a aussi besoin de se transformer... Donc oui, c'est intéressant pour l'histoire de laisser des traces… Mais il faut aussi laisser de l'espace pour les générations futures puissent se réapproprier des espaces existants. » L'histoire architecturale du Plateau se poursuit. La Tour F, gratte-ciel futuriste de 420 mètres, sera inaugurée en mars 2026. À lire aussiCôte d'Ivoire : au musée des Civilisations, l'emplacement du tambour parleur montré à la France
En Côte d'Ivoire, à deux mois de l'élection présidentielle, l'heure est au dépôt des candidatures. Jean Louis Billon a été l'un des premiers, jeudi, à déposer la sienne à la commission électorale. L'ex-ministre tourne le dos au PDCI pour une plateforme nouvellement créée, le Code - pour Congrès démocratique. La rupture est désormais consommée entre l'homme d'affaire et le PDCI, parti dont il est issu.
In this conversation from 2023, Alex speaks with Pete Boettke about the relevancy of Friedrich Hayek in the contemporary context, what it means to be a "Hayekian" and the curious tale of how Hayek came to be the focus of his latest book "F. A. Hayek: Economics, Political Economy and Social Philosophy" Episode Notes Pete's book “F. A. Hayek: Economics, Political Economy and Social Philosophy“ https://a.co/d/ah7SpwW Hayek on The Stanford Encyclopedia of Philosophy https://plato.stanford.edu/entries/friedrich-hayek/ Introduction to Hayek's “Road to Serfdom” https://mises.org/library/road-serfdom-0 Murray Rothbard's “Man, Economy and State” retrospective https://fee.org/articles/rothbards-man-economy-and-state-at-50/ Milton Friedman's “Free To Choose” https://www.proglocode.unam.mx/sites/proglocode.unam.mx/files/docencia/Milton%20y%20Rose%20Friedman%20-%20Free%20to%20Choose.pdf Hayek “Prices and Production” https://mises.org/library/prices-and-production-and-other-works Introduction to economics of Lucas https://www.econlib.org/library/Enc/bios/Lucas.html Steve Horowitz on Hayek https://www.youtube.com/watch?v=K5dR0zgC1ZI Herbert Dreyfuss “What Computers Can't Do” https://mitpress.mit.edu/9780262540674/what-computers-still-cant-do/ Horowitz quote on Hayek “we have to learn to live in two worlds at once” https://www.jstor.org/stable/41560288 Hayek's “The Fatal Conceit” https://press.uchicago.edu/ucp/books/book/chicago/F/bo3643985.html Kenneth Boulding “After Samuelson, Who Needs Adam Smith?” https://read.dukeupress.edu/hope/article-abstract/3/2/225/12381/After-Samuelson-Who-Needs-Adam-Smith “The Extended Present” (concept) https://medium.com/extended-present/about The “Grapes vs. Cucumbers as pay for Monkeys” experiment (youtube video) https://www.youtube.com/watch?v=meiU6TxysCg The Constitution of Liberty - Hayek https://www.mises.at/static/literatur/Buch/hayek-the-constitution-of-liberty.pdf Chandran Kukathas' Liberal Archipelago https://global.oup.com/academic/product/the-liberal-archipelago-9780199219209?cc=ca&lang=en& Kind vs. Wicked learning environments. https://www.psychologytoday.com/ca/blog/experience-studio/202007/experience-kind-vs-wicked
En Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo affiche sa détermination. L'ancien président veut être candidat à la prochaine présidentielle malgré son absence de la liste électorale et une condamnation judiciaire. En attendant une éventuelle amnistie, il poursuit sa mobilisation sur le terrain. Son parti, le PPA-CI, vient d'achever une tournée entamée en janvier dans le district d'Abidjan.
En Côte d'Ivoire, la Commission électorale indépendante a créé la surprise en proposant la date du 27 décembre 2025 pour organiser les élections législatives, deux mois après la présidentielle qui doit se tenir en octobre. La décision doit maintenant être entérinée par un décret gouvernemental.
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. En Côte d'Ivoire, le Scrabble est le jeu où les Ivoiriens excellent. En plus de dizaines de milliers d'amateurs du jeu de lettres, le pays compte 800 joueurs de très bon niveau affiliés à la Fédération nationale. Benoît Almeras a disputé une partie au dojo de l'université d'Abidjan. Là-bas, le Scrabble, c'est presque un sport de combat. De notre correspondant à Abidjan, Le soleil se couche sur Abidjan, c'est le début de l'entraînement. Sous le badamier, une demi-douzaine de tables. Deux joueurs, un plateau, le Gborô, le combat peut commencer. Objectif : composer les mots qui rapportent le plus de points avec sept lettres tirées au hasard. En face, celui que l'on surnomme Ipman, comme le maître de Bruce Lee. Mathieu Zingbè, 37 ans, dix fois champion d'Afrique. Une machine. En quinze minutes chrono, le numéro un Ivoirien gagne avec près de 300 points d'avance. Pour lui, le Scrabble c'est une passion qui dure depuis près de 30 ans : « C'est en classe de CM1 quand j'ai fait la trouvaille du Scrabble, ça m'a tout de suite épaté, je me suis vite confectionné un tableau de Scrabble, j'ai commencé à m'entraîner et je suis immédiatement tombé amoureux de ce jeu. » Professionnel depuis 2006, Mathieu Zingbè est actuellement le capitaine des éléphants scrabbleurs, l'équipe nationale fait la fierté du président de la Fédération Michel Tétialy : « On est trois fois champion du monde, nous sommes actuellement champion d'Afrique en titre. Avec ça, l'engouement grandit et chaque année, on a plus de personnes qui intègrent les salles (...) partout dans nos bureaux, vous voyez, dans les téléphones et autres, les gens ont des "applicatifs" qui leur permettent de passer le temps en jouant au Scrabble. » Intégration du nouchi dans l'Officiel du Scrable Autre motif de jubilation pour Michel Tétialy : l'intégration des mots du nouchi, l'argot des rues d'Abidjan, dans l'Officiel du Scrabble, à l'image de « s'enjailler », une reconnaissance pour l'écrivain Josué Guébo : « On a créé des termes qui étaient à la fois périphériques et marginaux, mais qui sont en train de passer à la postérité, c'est intéressant parce que ça montre que la créativité ici s'universalise, c'est une chose à souligner. » Pour ce poète et philosophe, ancien joueur de Scrabble, les performances des Ivoiriens s'expliqueraient par un « amour pragmatique » du français : « Dans un pays où il y a plusieurs langues, la langue française est un bon moyen de communication. Donc, je pense qu'il y a un amour utilitaire pour ainsi dire. Mais il y a aussi l'amour de l'art parce que les Ivoiriens performent en Scrabble, mais aussi en Slam et aujourd'hui ça paye. » Un outil pédagogique Mais dans un pays où environ une personne sur deux est analphabète selon le gouvernement, le Scrabble reste trop élitiste et réservé aux citadins, pour Josué Guébo. Autre problème : le manque de joueuses, quand deux tiers des illettrés ivoiriens sont des femmes. Pour corriger cela, la Fédération fait la promotion du Scrabble comme outil d'apprentissage de la langue française – Adrien Edoukou, joueur et professeur de lettres : « Les enfants n'arrivent pas véritablement à saisir le sens de certains cours et le Scrabble intervient pour leur apporter une formation d'appoint. Apprendre à jouer au Scrabble pour des enfants ça leur apporte beaucoup, c'est un outil pédagogique complet. » La Fédération ivoirienne propose le jeu comme activité extrascolaire dans une vingtaine de collèges et de lycées cette année et peut-être détecter les futures stars du Scrabble francophone. À lire aussiLe Scrabble, une passion grandissante sur le continent africain
Muy buenos días, esto es Herrera en COPE. Te saluda Antonio Herráiz en este 7 de agosto, un jueves de verano, un jueves, por tanto, de calor intenso dentro de esa ola que se va a prolongar al menos hasta el martes. La máxima hoy se la reparten entre Toledo, Ciudad Real y Córdoba con 41 grados. En Cádiz, el incendio de Tarifa ha quedado estabilizado. Esa es la buena noticia de esta noche, los cerca de 1500 desalojados han podido volver a sus casas y en Galicia lo peor a esta hora lo encontramos en As Neves, en Pontevedra, la situación es crítica. Con dos frentes que amenazan las casas en los ...
En Côte d'Ivoire Alassane Ouattara a mis fin au Suspense. Le président sortant sera bel et bien candidat pour la présidentielle prévue le 25 octobre prochain. Que vous inspire cette candidature ? Êtes-vous surpris ? Cette nouvelle candidature est-elle légitime à vos yeux ?
En Côte d'Ivoire, le suspense est terminé. Le président Alassane Ouattara sera candidat à un quatrième mandat le 25 octobre prochain. Il l'a annoncé mardi 29 juillet. Pourquoi a-t-il choisi ce moment pour sortir de son silence ? Et quelle peut être désormais la stratégie de ses deux principaux adversaires, Tidjane Thiam et Laurent Gbagbo ? Le chercheur ivoirien Geoffroy-Julien Kouao a publié récemment Côte d'Ivoire : une démocratie sans démocrates ?, aux éditions Kamit. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Êtes-vous surpris par l'annonce de cette candidature d'Alassane Ouattara ? Geoffroy-Julien Kouao : Non, pas du tout surpris. Quand on sait très bien que nous avons seulement que trois mois qui nous séparent du 25 octobre, jour du scrutin, on ne pouvait pas penser autre chose que la candidature de Monsieur Alassane Ouattara au niveau du RHDP, le parti au pouvoir. Alassane Ouattara précise que sa santé lui permet d'être à nouveau candidat. Y-avait-il des doutes sur son état de santé ? Là, je ne le sais pas. Mais dans tous les cas de figure, l'état de santé n'est pas une des conditionnalités pour être candidat à l'élection présidentielle de Côte d'Ivoire. Et il précise que le pays fait face en ce moment à des défis sécuritaires, économiques et monétaires sans précédent. Est-ce la raison officielle de cette candidature à un quatrième mandat qui fait couler beaucoup d'encre en Côte d'Ivoire et dans la sous-région ? C'est une raison pertinente qu'il évoque, en ce sens que la sous-région ouest-africaine est confrontée depuis près d'une décennie à une menace terroriste. N'oublions pas que la Côte d'Ivoire, en 2016, a elle-même été attaquée par les groupes jihadistes à Grand-Bassam, et on le sait très bien, au nord de la Côte d'Ivoire, que ce soit au Burkina Faso et au Mali, le terrorisme est toujours présent. Donc c'est une justification pertinente. Cependant, je pense que le RHDP n'avait pas d'autre candidat que Monsieur Ouattara pour cette élection présidentielle. Pensez-vous que la menace terroriste que le président Ouattara met en avant, c'est un argument qui va suffire à convaincre tous ceux qui lui reprochent de vouloir briguer un quatrième mandat après quinze ans de pouvoir ? Non, je ne le pense pas. En ce sens que pour l'opposition, précisément le PPA-CI et le PDCI-RDA, c'est un mandat de trop qui viole les dispositions pertinentes de la Constitution. Ce que ne partage pas évidemment le Conseil constitutionnel dans sa décision de 2020. Donc, la bataille sera non seulement politique, mais également juridique. Depuis quelques jours, la tension est forte entre la Côte d'Ivoire et le Burkina Faso, suite à la mort en prison à Abidjan de l'influenceur burkinabé Alain Christophe Traoré, alias Alino Faso. Est-ce que l'annonce politique de ce mardi n'a pas aussi l'avantage de détourner l'attention de cette crise entre Abidjan et Ouagadougou ? Nous sommes en politique et en politique la communication est très importante. Et il est évident que, en annonçant sa candidature pour l'élection présidentielle hier, Monsieur Alassane Ouattara éclipse, sur le plan de la communication, la question du décès de Monsieur Alino Faso. Et donc tout ça peut s'inscrire dans le cadre d'une stratégie. Alors, après cette annonce de la candidature Ouattara, que peuvent faire ses deux principaux adversaires, Tidjane Thiam et Laurent Gbagbo, qui ont constitué il y a un mois un front commun contre le parti au pouvoir RHDP ? Monsieur Laurent Gbagbo et Monsieur Tidjane Thiam ont toujours affirmé qu'ils vont s'opposer par les moyens légaux à la candidature de Monsieur Alassane Ouattara. C'est dans cette optique qu'ils projetaient une grande marche dans la ville d'Abidjan le 2 août prochain. Selon les informations que nous avons reçues hier, cette manifestation a été interdite. Dans tous les cas de figure, ils vont certainement organiser d'autres manifestations contre cette candidature de Monsieur Ouattara qu'ils jugent de trop. Et pensez-vous que, si ces deux personnalités ivoiriennes n'obtiennent pas la possibilité d'être candidates le 25 octobre prochain, leurs partis respectifs, le PDCI et le PPA-CI, vont réfléchir à un plan B ? Pour l'instant, la question du plan B n'est pas à l'ordre du jour au niveau du PDCI-RDA. Dans une interview avant-hier, Monsieur Tidjane Thiam a dit que le plan B n'est pas envisageable au niveau du PDCI. Quant au PPA-CI, Monsieur Ahoua Don Mello, un des cadres de ce parti, a annoncé sa candidature comme étant une candidature de précaution, dans l'hypothèse où celle de Monsieur Laurent Gbagbo ne serait pas acceptée. Mais pour la direction du parti PPA-CI, Monsieur Ahoua Don Mello agit contre les idées du PPA-CI, c'est-à-dire la ligne affichée qui est de présenter uniquement Monsieur Laurent Gbagbo comme candidat. Dans tous les cas de figure, des trois grands ténors de la politique ivoirienne depuis 30 ans, c'est-à-dire Monsieur Henri Konan Bédié, Monsieur Alassane Ouattara et Monsieur Gbagbo, c'est Monsieur Alassane Ouattara seul qui ira à cette élection. Et donc pour une première fois, nous aurons une élection avec un seul de ces ténors, ce qui enlève toute saveur à cette élection. À lire aussiGeoffroy-Julien Kouao: «Laurent Gbagbo a une seule obsession, 2025» et la présidentielle ivoirienne
Au niveau mondial, le marché du miel représentait près de 8 milliards d'euros en 2024 et selon les estimations de Global Markets Insights, sa taille devrait augmenter de 4,7% d'ici 2034. La Chine reste le premier producteur, mais c'est le continent africain qui a enregistré la plus forte croissance de production. Le miel a donc la côte mais son avenir est bien loin d'être assuré. Il souffre en effet d'une concurrence déloyale, faute d'une bonne traçabilité, les « faux miels » dans lesquels on ajoute du sucre, les mélanges douteux se retrouvent sur les mêmes rayons que les miels authentiques, à prix cassé. Autre motif d'inquiétude et, sans doute, le plus inquiétant concerne directement sa production. Sous l'effet du réchauffement climatique et de l'utilisation de pesticides les abeilles et autres pollinisateurs tendent à disparaître. Le taux d'extinction des abeilles est, par exemple, de 100 à 1 000 fois supérieur à la normale, selon les régions et les variétés. Sans les pollinisateurs, nous perdons chaque année jusqu'à 8% de la production agricole mondiale, soit environ 500 milliards d'euros, selon la FAO. Les enjeux sont plus larges que le miel lui-même et nous invitent aussi à interroger les pratiques de sa production potentiellement pour les abeilles elles-mêmes. Comment produire du miel de qualité, en respectant les abeilles et l'environnement ? Avec : • Foucaud Berthelot, responsable de la santé de l'abeille à l'Union Nationale de l'Apiculture Française (UNAF) • Stéphane Bonnet, rédacteur en chef d'Abeilles en liberté. Apiculteur amateur et auteur de Abeilles mellifères, le pari du réensauvagement - De l'apiculture écologique à la libre évolution (Terre vivante, 2025) • Mamadou Ly, apiculteur à Niaga, village à côté du lac Rose au Sénégal, président de l'Union Nationale des Apiculteurs du Sénégal. Consultant à l'Organisation Internationale du Travail (OIT) pour la création d'emplois verts dans la région du Delta du Saloum. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. • En Côte d'Ivoire, Jean Christ Koffi s'interroge : faut-il débaptiser le pays pour en finir avec l'héritage colonial ? • Au Bénin, Emmanuel Codjo nous entraîne à Abomey, ville royale où l'histoire vit encore dans les ruelles • Et depuis la Guinée, Alpha Oumar Baldé partage ses 7 réflexes pour faire face aux discours haineux en ligne. Programmation musicale : ► Carnet secret — Pi Ja Ma ► Commitment Pt. 2 — Craig David · Tiwa Savage · Merveille.
Au niveau mondial, le marché du miel représentait près de 8 milliards d'euros en 2024 et selon les estimations de Global Markets Insights, sa taille devrait augmenter de 4,7% d'ici 2034. La Chine reste le premier producteur, mais c'est le continent africain qui a enregistré la plus forte croissance de production. Le miel a donc la côte mais son avenir est bien loin d'être assuré. Il souffre en effet d'une concurrence déloyale, faute d'une bonne traçabilité, les « faux miels » dans lesquels on ajoute du sucre, les mélanges douteux se retrouvent sur les mêmes rayons que les miels authentiques, à prix cassé. Autre motif d'inquiétude et, sans doute, le plus inquiétant concerne directement sa production. Sous l'effet du réchauffement climatique et de l'utilisation de pesticides les abeilles et autres pollinisateurs tendent à disparaître. Le taux d'extinction des abeilles est, par exemple, de 100 à 1 000 fois supérieur à la normale, selon les régions et les variétés. Sans les pollinisateurs, nous perdons chaque année jusqu'à 8% de la production agricole mondiale, soit environ 500 milliards d'euros, selon la FAO. Les enjeux sont plus larges que le miel lui-même et nous invitent aussi à interroger les pratiques de sa production potentiellement pour les abeilles elles-mêmes. Comment produire du miel de qualité, en respectant les abeilles et l'environnement ? Avec : • Foucaud Berthelot, responsable de la santé de l'abeille à l'Union Nationale de l'Apiculture Française (UNAF) • Stéphane Bonnet, rédacteur en chef d'Abeilles en liberté. Apiculteur amateur et auteur de Abeilles mellifères, le pari du réensauvagement - De l'apiculture écologique à la libre évolution (Terre vivante, 2025) • Mamadou Ly, apiculteur à Niaga, village à côté du lac Rose au Sénégal, président de l'Union Nationale des Apiculteurs du Sénégal. Consultant à l'Organisation Internationale du Travail (OIT) pour la création d'emplois verts dans la région du Delta du Saloum. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. • En Côte d'Ivoire, Jean Christ Koffi s'interroge : faut-il débaptiser le pays pour en finir avec l'héritage colonial ? • Au Bénin, Emmanuel Codjo nous entraîne à Abomey, ville royale où l'histoire vit encore dans les ruelles • Et depuis la Guinée, Alpha Oumar Baldé partage ses 7 réflexes pour faire face aux discours haineux en ligne. Programmation musicale : ► Carnet secret — Pi Ja Ma ► Commitment Pt. 2 — Craig David · Tiwa Savage · Merveille.
Tous les ans, des dizaines d'équipes convergent à Adiaké, à 100 km d'Abidjan, dans le sud-est de la Côte d'Ivoire. Objectif : devenir les champions lors du festival Êlê, une compétition disputée sur la lagune Aby juste avant la saison des pluies. Plus qu'un sport, c'est une question de fierté villageoise pour les participants. De notre envoyé spécial à Adiaké, Huit pirogues turquoise s'élancent. À grands coups de pagaie, les équipages fendent l'eau. Leur but : terminer premier à l'issue de deux allers-retours, 1 200 mètres. Une course en ligne d'aviron, en beaucoup plus physique. Au bout, les Anges de Kakoukro s'imposent. Les cinq rameurs en maillot orange s'écroulent sur le rivage. Eric le capitaine est aussi heureux qu'à bout de souffle. « Ce n'est pas un jeu. C'est un très bon sport. Cela fait du bien, c'est un niveau sportif comme le foot, c'est aussi bon, j'aime cela », confie-t-il, en reprenant haleine. Il y a de quoi. En Côte d'Ivoire, les courses d'Adiaké attirent jusqu'à 20 000 spectateurs pour les finales. Ce succès populaire prend ses racines chez les Agnis. « C'est une vieille tradition. Elle intervient au moment de l'année où on arrête la pêche pour pouvoir permettre aux poissons de se reproduire. Pour ne pas laisser les pêcheurs oisifs, on organise des courses de pirogue. Cela permet de resserrer les liens entre les différents villages et nous permet également de régler les problèmes des différentes communautés », explique Tahi Kassi, l'un des chefs de cette communauté de pêcheurs. La course de pirogue représente plus que du sport pour les concurrents. Une question d'orgueil, notamment pour Tahi Kassi : « C'est un honneur, parce que traditionnellement les villages sont célébrés pendant toute une année jusqu'à la prochaine trêve. » « Cette année, on doit rentrer à la mairie de Grand-Bassam avec le trophée. C'est très important, car on a fait un long voyage [60 kilomètres, NDLR] pour venir à Adiaké. Ce n'est pas la ville d'Adiaké qui nous plaît, ce n'est pas la lagune qui nous plaît, nous sommes venus ici pour prendre le trophée. Cela va changer beaucoup de choses, cela va nous donner l'honneur », témoigne Joël, marin. Lui et son équipe sont venus de Bassam pour gagner. Pour l'emporter, certains s'entraînent donc toute l'année. Mais plus que la compétition, c'est surtout une identité qui est préservée pour Tahi Kassi : « Cela redonne de la vigueur à la culture. C'est très important pour la communauté Agni. » Cette année, le trophée est revenu aux Anges de Kakoukro pour la sixième fois. Les terreurs de la lagune Aby sont champions jusqu'à la prochaine édition du festival Êlé. À lire aussiAfrobasket féminine 2025: avec le retour de Kariata Diaby, la Côte d'Ivoire rêve plus grand
Ayuntamientos ribereños del Guadalquivir de las provincias de Sevilla y Cádiz y numerosas asociaciones integrantes de la plataforma Salvemos el Guadalquivir se han concentrado en Chipiona para pedir la paralización de vertidos mineros en el río. En Cádiz continúan reunidos comité y representantes de la empresa de autobuses para intentar un acuerdo que permita desconvocar la huelga indefinida que hoy llega a su duodécima jornada... En Almería capital se han vivido esta pasada noche horas de tensión tras encerrarse un Policía Nacional con su pareja en una vivienda. Finalmente se ha entregado liberando a la mujer sin daños personales. Escuchar audio
Fin 2024, le prix du cacao passe à 10 000 $ la tonne. C'est deux fois plus qu'en décembre 2023. En cause : le changement climatique, l'irrégularité des pluies, et le "swollen shoot", une maladie qui décime les cacaoyers dans plusieurs pays africains. En Côte d'Ivoire, on estime qu'une plantation sur dix est touchée. Le pays fournit 44 % du cacao échangé au niveau mondial.Aucun traitement n'existe, si ce n'est lutter contre les cochenilles farineuses, ces petits insectes blancs qui transmettent la maladie aux arbres. Sauf que les cochenilles sont très peu sensibles aux insecticides et surtout, elles sont partout. Face à ce fléau, et pour éviter aux producteurs d'abattre les cacaoyers, il existe pourtant une solution : l'agroforesterie.Il y a une quarantaine d'années, la production de cacao est passée en monoculture plein soleil. Les cacaoyères d'aujourd'hui ressemblent donc à d'immenses champs uniformes, avec des arbres collés les uns aux autres. Les branches forment des ponts utilisés par les cochenilles pour se déplacer...et transmettre la maladie. Et s'il suffisait de mettre des barrières végétales entre les cacaoyers ?Avec :Régis Babin, entomologiste au Cirad Assata Doumbia, productrice de cacao en Côte d'Ivoire et présidente du conseil d'administration de la coopérative ECAMNourrir le vivant est un podcast produit par le Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement). Écriture et réalisation : Ysaline Sanguine. Mixage : Ysaline Sanguine. Identité graphique : Delphine Guard-Lavastre. Musique : uppbeat.io / Eyes Closed - Tobias Voigt.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hoy nos acompaña Natalia Velarde con su 'Encías quemadas', una fábula apabullante sobre el duelo y la redención.Escuchar audio
Fluent Fiction - French: Lavender Connections: Finding Inspiration in Provence Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/fr/episode/2025-07-02-22-34-02-fr Story Transcript:Fr: Le soleil d'été brillait haut dans le ciel, illuminant les champs de lavande de Provence.En: The summer sun shone high in the sky, illuminating the lavender fields of Provence.Fr: Les rangées infinies de fleurs violettes ondulaient sous la brise légère, créant un tapis vibrant et parfumé, enveloppant les collines douces dans une atmosphère idyllique.En: The endless rows of purple flowers swayed under the gentle breeze, creating a vibrant and fragrant carpet that enveloped the soft hills in an idyllic atmosphere.Fr: Luc, appareil photo à la main, errait parmi les fleurs, guidé par leur parfum envoûtant.En: Luc, camera in hand, wandered among the flowers, guided by their enchanting fragrance.Fr: Luc était à la recherche d'inspiration.En: Luc was in search of inspiration.Fr: Photographe de voyage passionné, il avait récemment connu un blocage créatif.En: A passionate travel photographer, he had recently experienced a creative block.Fr: Les paysages qu'il capturait semblaient vides de l'émotion profonde qu'il recherchait.En: The landscapes he captured seemed devoid of the deep emotion he sought.Fr: Alors, il était venu ici, dans ces champs, en quête de tranquillité et de beauté.En: So, he had come here, to these fields, in search of tranquility and beauty.Fr: Au même moment, Céleste marchait doucement à travers les plantes, ses doigts caressant les brins délicats avec affection.En: At the same moment, Céleste was gently walking through the plants, her fingers affectionately caressing the delicate stalks.Fr: Horticulturiste vivant dans la ville, elle avait besoin de s'évader, de respirer l'air pur, loin de l'agitation quotidienne.En: A horticulturist living in the city, she needed to escape, to breathe the fresh air, far from the daily hustle and bustle.Fr: La lavande apaisait son esprit, la reconnectant avec la nature qu'elle aimait tant.En: The lavender soothed her mind, reconnecting her with the nature she loved so much.Fr: Leurs chemins se croisèrent parmi les fleurs.En: Their paths crossed among the flowers.Fr: Luc observa Céleste, intrigué par la façon dont elle interagissait avec les lavandes.En: Luc observed Céleste, intrigued by the way she interacted with the lavenders.Fr: Elle semblait presque parler aux fleurs, son visage serein et plein de douceur.En: She seemed almost to be speaking to the flowers, her face serene and full of gentleness.Fr: Il s'approcha timidement.En: He approached timidly.Fr: « Bonjour, je m'appelle Luc, » dit-il, captivé par sa grâce.En: "Hello, my name is Luc," he said, captivated by her grace.Fr: « Bonjour Luc, je suis Céleste, » répondit-elle avec un sourire chaleureux.En: "Hello Luc, I'm Céleste," she replied with a warm smile.Fr: « Ces champs sont magnifiques, n'est-ce pas ?En: "These fields are beautiful, aren't they?"Fr: » Ils commencèrent à échanger.En: They began to exchange stories.Fr: Luc partagea ses difficultés à retrouver son élan créatif.En: Luc shared his struggles to regain his creative momentum.Fr: Céleste parla de son envie de changements, de sortir du quotidien.En: Céleste spoke of her desire for change, to break away from the everyday.Fr: Ensemble, ils trouvèrent une écoute attentive l'un chez l'autre.En: Together, they found a listening ear in one another.Fr: « Pourquoi aimes-tu tant ces fleurs ?En: "Why do you love these flowers so much?"Fr: » demanda Luc, fixant l'objectif de son appareil sur elle.En: Luc asked, focusing his camera lens on her.Fr: « Elles sont simples mais si belles, » répondit Céleste.En: "They are simple but so beautiful," Céleste responded.Fr: « Elles me rappellent qu'il y a de la beauté dans les petites choses, loin de la ville.En: "They remind me that there is beauty in small things, far from the city."Fr: » Inspiré par ses mots, Luc leva son appareil photo.En: Inspired by her words, Luc raised his camera.Fr: Il trouva l'image parfaite : Céleste, délicatement penchée sur une fleur de lavande, perdue dans la contemplation.En: He found the perfect image: Céleste, delicately leaning over a lavender flower, lost in contemplation.Fr: Un clic, et la beauté qu'il cherchait était capturée, une image de sérénité pure.En: A click, and the beauty he was seeking was captured, an image of pure serenity.Fr: Le soleil commençait à descendre, teintant le ciel de nuances dorées.En: The sun began to set, tinting the sky with golden hues.Fr: Luc et Céleste restèrent dans les champs, parlant de leurs rêves.En: Luc and Céleste stayed in the fields, talking about their dreams.Fr: Ils échangèrent leurs coordonnées, promettant de se revoir.En: They exchanged contact information, promising to meet again.Fr: En quittant les champs, Luc souriait, son esprit en paix, ses doutes dissipés.En: As they left the fields, Luc smiled, his mind at peace, his doubts dispelled.Fr: Il avait trouvé son inspiration.En: He had found his inspiration.Fr: Pour Céleste, cette rencontre lui ouvrait la porte à de nouvelles expériences, hors de ses habitudes.En: For Céleste, this encounter opened the door to new experiences, outside of her usual routine.Fr: Ainsi, sous le ciel provençal, une amitié naissait, promettant des découvertes futures.En: Thus, under the Provençal sky, a friendship was born, promising future discoveries.Fr: Les champs de lavande avaient non seulement réussi à apaiser leur esprit mais aussi à les unir.En: The lavender fields had not only succeeded in soothing their minds but also in bringing them together. Vocabulary Words:the summer sun: le soleil d'étélavender fields: les champs de lavandethe gentle breeze: la brise légèrethe atmosphere: l'atmosphèrethe travel photographer: le photographe de voyagethe creative block: le blocage créatifthe landscape: le paysagethe emotion: l'émotionthe tranquility: la tranquillitéthe beauty: la beautéthe horticulturist: l'horticulturistethe hustle and bustle: l'agitationthe mind: l'espritthe nature: la naturethe flower stalk: le brin délicatthe paths: les cheminsthe grace: la grâcethe warm smile: le sourire chaleureuxthe momentum: l'élanthe change: le changementthe everyday: le quotidienthe listening ear: l'écoute attentivethe contemplation: la contemplationthe serenity: la sérénitéthe golden hues: les nuances doréesthe dreams: les rêvesthe contact information: les coordonnéesthe doubts: les doutesthe routine: les habitudesthe discoveries: les découvertes
Focus sur la lutte contre le trafic de drogue. En Côte d'Ivoire, le trafic et la consommation de cannabis restent le fléau le plus important. Sur le terrain, les agents de police mènent des actions de sensibilisation, mais aussi de contrôle : ils détruisent régulièrement des fumoirs et saisissent de la drogue dans les principaux points de passage : aux frontières, à l'aéroport ou encore dans les gares routières. Bineta Diagne a suivi une descente dans la nouvelle gare d'Adjamé, à Abidjan. Reportage. De notre correspondante à Abidjan, Il est 19h, les allées de la gare routière grouillent de monde. Au milieu de cette foule de voyageurs, un suspect a abandonné un sac à dos noir sur un banc. Un indic alerte la police. Rapidement, une équipe de la DPSD, la Direction de la police des stupéfiants et des drogues, procède à l'ouverture du sac. Le commissaire divisionnaire Maxime Gogoua examine l'un des cinq blocs de cannabis : « Vous voyez, c'est le THC. Et c'est vraiment élevé. C'est sec. Ce bloc pèse 1 kg : il fait 40 000 francs CFA à Abidjan sur le marché noir. Mais, à Bouaké ou à Man, cela vaut 100 000 francs CFA le kg. Et quand ça va au-delà de nos frontières, au nord, ça va à 300 000 francs CFA/kg ». Ce soir-là, un revendeur a été interpellé. Mais le principal suspect, qui a acheminé la drogue, a pu s'échapper. Une enquête va être ouverte. Elle s'appuie notamment sur les enregistrements vidéo d'Issa Koné, le chef de gare, visiblement sous le choc des découvertes de la soirée : « Ça, c'est grave, supposons qu'on attrape ça là, dans le car. Le chauffeur a un problème. Il ne s'en sort pas. On dit qu'il est complice. Or souvent, il n'est pas au courant ». À lire aussiCôte d'Ivoire: 5 ans de prison pour l'ancien patron de la police anti-drogue du port d'Abidjan Un échantillon de la drogue saisie est envoyé dans un laboratoire. Cela servira à l'enquête. Le commissaire Mabonga Touré, directrice de la police des stupéfiants et des drogues : « Sur les blocs de cannabis, il y a des initiales. Il y a des numéros de téléphone. C'est ce que nous appelons la signature. Nous allons l'exploiter pour voir si déjà, cette signature est déjà apparue dans d'autres enquêtes. Et voir si on peut lier d'où c'est venu, et à qui c'est destiné ». Selon le Comité interministériel de lutte anti-drogue, le cannabis est la drogue la plus consommée dans le pays. Professeur Ronsard Yao Kouma, le secrétaire général du CILAD : « Le cannabis le plus prisé, c'est celui qui vient de chez nos voisins, le Ghana. On a des grandes saisies à la frontière ». D'après ce responsable, les saisies de cannabis oscillent entre dix et vingt tonnes chaque année. À lire aussi«Le kush a probablement causé la mort de milliers de personnes en Afrique de l'Ouest»
En Côte d'Ivoire, le deuxième congrès ordinaire du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) s'est ouvert ce samedi à Abidjan et le président sortant, Alassane Ouattara, a été désigné candidat à la présidentielle du 25 octobre par son parti. Il n'a pas encore officiellement confirmé s'il allait briguer ou non un quatrième mandat. Les activités se poursuivront jusqu'à dimanche, avec un grand meeting au Stade d'Ebimpé.
En Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara fait durer le suspense... Hier, à l'issue du congrès du parti au pouvoir RHDP, le président ivoirien a répondu ni « oui » ni « non » aux militants qui lui avaient demandé la veille, à l'unanimité, d'être candidat à un quatrième mandat présidentiel le 25 octobre prochain. Il a simplement dit qu'il prendrait sa décision « dans les jours qui viennent ». Pourquoi cette stratégie de l'attente ? Le chercheur ivoirien Geoffroy-Julien Kouao a publié récemment deux ouvrages, Faut-il désespérer de la Côte d'Ivoire ? et Côte d'Ivoire : une démocratie sans démocrate ?, aux éditions Kamit. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ce 22 juin, tous les militants du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) attendaient qu'Alassane Ouattara leur dise tout simplement : « Oui, j'accepte d'être votre candidat. » Mais le chef de l'État n'a répondu ni oui ni non et s'est donné quelques jours de réflexion. Comment expliquez-vous cette non-réponse ? Geoffroy-Julien Kouao : Je m'y attendais un peu parce que le président de la République s'inscrit dans une stratégie qui consiste à voir la réaction de ses principaux opposants qui sont Tidjane Thiam et Laurent Gbagbo. Dans tous les cas de figure et selon toute vraisemblance, il est fort possible que le président Ouattara accède à la requête de ses militants. Mais si Alassane Ouattara n'a fait que reporter de quelques jours l'annonce de sa candidature, pourquoi n'a-t-il pas profité dimanche de ce grand rassemblement de plusieurs dizaines de milliers de ses militants pour galvaniser son parti ? C'est vrai que les rencontres du samedi et du dimanche étaient une véritable démonstration de force politique pour le RHDP. Mais le président de la République a d'autres occasions. Souvenez-vous que, en 2020, c'est à l'occasion de son discours pendant la fête nationale, le 7 août, qu'il a annoncé qu'il serait candidat. Il peut rester dans cette logique. Alors, quand vous dites qu'Alassane Ouattara ne dévoile pas tout de suite son jeu parce qu'il attend les réactions de ses principaux adversaires, que voulez-vous dire par rapport notamment à Laurent Gbagbo et à Tidjane Thiam ? Vous savez très bien que Monsieur Laurent Gbagbo et Monsieur Tidjane Thiam sont pour l'instant disqualifiés de la course présidentielle. Et ils se sont mis ensemble en créant un front commun pour leur réinscription sur la liste électorale. Et dans la foulée, Monsieur Laurent Gbagbo a annoncé qu'il s'opposerait à un quatrième mandat du président Ouattara. Donc, si le président avait annoncé sa candidature hier dimanche, cela aurait donné du temps à Monsieur Thiam et à Monsieur Gbagbo pour mettre en place une stratégie politique consistant à faire pression sur le régime d'Abidjan. Vous savez que le front commun entre Monsieur Thiam et Monsieur Gbagbo obéit à une logique, celle de leur réinscription sur la liste électorale. Et s'ils arrivent à mobiliser assez d'Ivoiriens autour de leur combat, cela pourrait peut-être influencer le régime d'Abidjan. Voulez-vous dire qu'Alassane Ouattara attend éventuellement le dernier moment pour dévoiler son jeu et pour annoncer sa candidature afin d'empêcher ses adversaires de mobiliser leurs partisans ? Monsieur Alassane Ouattara, il est évident qu'il connaît la capacité de mobilisation de Laurent Gbagbo et aussi de Tidjane Thiam. Et évidemment, devant la démonstration de force opérée par son parti le samedi et le dimanche dernier, il s'inscrit dans une stratégie qui consiste à court-circuiter l'opposition sur ses propres bases. C'est-à-dire qu'en n'annonçant pas tout de suite sa candidature, il laisse l'opposition dans l'incertitude, c'est ça ? Oui. Ça lui permet de voir quelle stratégie celle-ci va mettre en place, puisque bientôt ce sera le début des parrainages. Pour qu'il y ait parrainage, il faut qu'il y ait des noms proposés. Or, pour l'instant, l'opposition ne veut pas présenter de plan B. Et si les parrainages commencent, si l'ouverture des dépôts de candidatures débute, peut-être que l'opposition serait dans l'obligation de proposer d'autres noms que ceux de Monsieur Thiam et de Monsieur Laurent Gbagbo. Ce qui permettrait à Monsieur Ouattara d'apprécier objectivement la situation et peut-être lui aussi de proposer un plan B. Alors ce plan B, justement, est-ce qu'un autre cadre du RHDP pourrait porter les couleurs du parti le 25 octobre prochain ? Et qui pourrait être cet autre responsable ? Oui, il y a d'autres cadres et le premier que je vois en tant qu'analyste politique et observateur, c'est le vice-président de la République, Monsieur Tiémoko Meyliet Koné. Il y a aussi d'autres personnalités comme l'ancien Premier ministre Patrick Achi. On peut aussi penser au gouverneur de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) [Jean-Claude Kassi Brou, NDLR]. Mais vous avez vu aussi le samedi et le dimanche à l'applaudimètre, on a vu que le ministre de la Défense Téné Birahima reste très populaire auprès des militants. Le frère du président ? Oui, le frère cadet du président de la République. Alors, si demain le président Ouattara propose un autre candidat pour le RHDP, il n'y aura pas des risques de divisions internes au RHDP ? Non, je ne le pense pas. Le congrès l'a montré, il y a une certaine cohésion autour des idéaux du parti et surtout de la personne d'Alassane Ouattara. Tant que la figure tutélaire d'Alassane Ouattara sera présente, je ne pense pas qu'il y ait des voix discordantes.
El verano comienza oficialmente este viernes a las 4:42 de la madrugada, pero en gran parte de España hace semanas que se vive como si ya estuviésemos en pleno julio. Nuestro meteorólogo de cabecera, José Antonio Maldonado, desgrana en 'Herrera en COPE' el pronóstico del tiempo para los próximos días.Ha asegurado que, aunque no se ha registrado formalmente una ola de calor, las temperaturas se han disparado hasta alcanzar cifras históricas. Recuerda Maldonado que este junio ya es el segundo más caluroso desde 1961 en temperaturas mínimas, y el segundo también en máximas, solo superado por el de 2017.En algunos puntos de Andalucía, como Fuentes de Andalucía (Sevilla), se superaron los 43 grados, mientras que ciudades como Córdoba, Jaén, Huelva, Badajoz o Cáceres han alcanzado los 42 ºC. En Cádiz y Almería, las mínimas nocturnas han rondado los 25 ºC, dificultando el descanso incluso con aire acondicionado. Viernes tórrido y con ...
Abrimos la tertulia con una nueva y arriesgada hipótesis defendida por un científico de Harvard, que afirma que antiguas civilizaciones habitaron Marte y que tuvo lugar una guerra termonuclear. Josep Guijarro comenta los detalles junto a Mado Martínez y Juan José Sánchez-Oro. Además, os contamos la IA que será el próximo Einstein, la creación de nuestro universo antes del Big Bang se debería a un agujero negro, la investigación de los restos de la mujer hallada en 1991 que desvelan que era de la época medieval temprana de Londres y murió de terribles palizas, la supuesta nueva ubicación de los restos del Arca de Noé, la elación fantasmal como explicación ovni, el experimento de inyectar vida en Encélado, satélite de Saturno, para crear un nuevo mundo y el curioso cementerio sumergido en aguas canarias.
Abrimos la tertulia con una nueva y arriesgada hipótesis defendida por un científico de Harvard, que afirma que antiguas civilizaciones habitaron Marte y que tuvo lugar una guerra termonuclear. Josep Guijarro comenta los detalles junto a Mado Martínez y Juan José Sánchez-Oro. Además, os contamos la IA que será el próximo Einstein, la creación de nuestro universo antes del Big Bang se debería a un agujero negro, la investigación de los restos de la mujer hallada en 1991 que desvelan que era de la época medieval temprana de Londres y murió de terribles palizas, la supuesta nueva ubicación de los restos del Arca de Noé, la elación fantasmal como explicación ovni, el experimento de inyectar vida en Encélado, satélite de Saturno, para crear un nuevo mundo y el curioso cementerio sumergido en aguas canarias.
En Cómo Hacer Crecer Tu Negocio, Donald Miller —autor best seller y creador del método StoryBrand— ofrece un plan claro, estructurado y fácil de implementar para llevar cualquier negocio al siguiente nivel. A partir de su experiencia ayudando a miles de emprendedores y líderes a clarificar su mensaje y escalar sus empresas, Miller condensa los principios clave del crecimiento empresarial en un marco de trabajo simple pero poderoso. Este libro no es una recopilación de consejos genéricos, sino una hoja de ruta práctica dividida en seis pasos esenciales: desde liderar con visión y construir un equipo sólido, hasta optimizar tus productos, procesos y sistemas de marketing. Con ejemplos concretos, ejercicios aplicables y herramientas de gestión empresarial, Miller muestra cómo eliminar la complejidad innecesaria y enfocarte en lo que realmente impulsa resultados. Una lectura esencial para dueños de negocios, freelancers y emprendedores que quieren dejar de improvisar y empezar a construir una empresa rentable, predecible y escalable. Cómo Hacer Crecer Tu Negocio es el aliado perfecto para quienes están listos para profesionalizar su emprendimiento y lograr un crecimiento sostenible.
En Côte d'Ivoire, quatre figures de l'opposition sont exclues de la liste électorale définitive publiée mercredi : l'ex-président Laurent Gbagbo, son ancien bras droit Charles Blé Goudé, l'ancien Premier ministre Guillaume Soro et le président du PDCI, Tidiane Thiam. Ils ne pourront pas se présenter à la présidentielle du 25 octobre, ni voter. La liste ne sera pas révisée car le délai est trop court, selon le président de la commission électorale.
En Côte d'Ivoire, avec plus de deux semaines d'avance sur le calendrier annoncé, la liste électorale définitive sera disponible dès aujourd'hui. Vos réactions nous intéressent alors que l'opposition réclame une révision complète du fichier électoral avant l'élection présidentielle du mois d'octobre et la réintégration des personnalités politiques radiées.