POPULARITY
Categories
durée : 00:15:54 - Journal de 12h30 - Le Conseil de sécurité de l'ONU tient une réunion dimanche après-midi pour contrer le plan de contrôle total de la bande de Gaza, présenté jeudi par Israël. Ce plan prévoit de vider la ville de Gaza et d'expulser les Palestiniens.
durée : 00:15:54 - Journal de 12h30 - Le Conseil de sécurité de l'ONU tient une réunion dimanche après-midi pour contrer le plan de contrôle total de la bande de Gaza, présenté jeudi par Israël. Ce plan prévoit de vider la ville de Gaza et d'expulser les Palestiniens.
Débatteurs du soir : -Vincent Roy, journaliste et essayiste -Ophélie Roque, professeur de français et journaliste journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - Le Conseil constitutionnel a retoqué ce jeudi l'article le plus contesté de la loi Duplomb, qui prévoyait la réintroduction d'un pesticide interdit depuis 2018, au nom de la Charte de l'Environnement qui garantit le "droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé".
C dans l'air du 8 août 2025 - Loi Duplomb : camouflet pour les macronistes, la gauche se rebiffeÉmission présentée par Salhia BrakhliaUn camouflet pour le gouvernement. Le Conseil constitutionnel a retoqué jeudi l'article 2 de la loi Duplomb, sur la réintroduction partielle de l'acétamipride, un néonicotinoïde réclamé par certaines filières agricoles, mais potentiellement dangereux pour l'environnement et la santé. L'institution, qui s'est appuyée sur l'article 1 de la Charte de l'environnement, souligne que ces produits ont des "incidences sur la biodiversité (…), ainsi que des conséquences sur la qualité de l'eau et des sols et induisent des risques pour la santé humaine". À droite et à l'extrême droite, on se désole de cette décision : "En se comportant comme un législateur alors qu'il n'en détient pas la légitimité démocratique, le Conseil constitutionnel scie la branche sur laquelle il est assis", a déclaré la présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale, Marine Le Pen. À gauche, on se félicite de cette censure, mais on espère que la loi sera carrément retirée après la pétition qui a récolté 2 millions de signatures : "Le président Macron devrait permettre une deuxième délibération pour qu'il y ait enfin un examen en Hémicycle et une réponse à la grande mobilisation populaire de cet été contre l'ensemble de la loi", insiste Aurélie Trouvé, la présidente LFI de la commission des affaires économiques à l'Assemblée nationale. Quant au député Laurent Duplomb, il n'exclut pas un nouveau texte pour réintroduire le pesticide, en tenant compte des critères imposés par le Conseil constitutionnel.Cette petite victoire pour les défenseurs de l'environnement ne saurait cacher les nombreux reculs enregistrés ces derniers mois. Fin juin, le Réseau Action Climat a listé au moins 43 reculs sur les six derniers mois : suspension de MaPrimeRenov, soutien aux modes d'élevages industriels, coupe des aides sur les véhicules électriques et le vélo, reprise des travaux pour l'A69, la suppression des ZFE, ou encore des coupes budgétaires pour la transition écologique. Le camp présidentiel qui s'était engagé à faire de la transition écologique une de ses priorités a même participé à certains renoncements, à l'image des zones à faible émissions : "L'analyse des votes montre que, si ces reculs ont souvent été initiés par l'extrême droite ou la droite républicaine, le bloc central en a soutenu plusieurs ou a été trop divisé pour les contrer", analyse le Réseau Action Climat. Signe de ce relâchement, le rythme de baisse des émissions de gaz à effet de serre a fortement ralenti l'année dernière, passant de 5,8 % en 2023 à 1,8 % en 2024.À Marseille, on pense les plaies après l'incendie, parti des Pennes-Mirabeau, qui a ravagé 750 hectares le 8 juillet. Un mois plus tard, les habitants du quartier de l'Estaque, où 90 maisons ont brûlé, se sont regroupés dans un collectif pour porter plainte contre X et réclamer des comptes à la préfecture des Bouches-du-Rhône. Ils estiment que les pompiers sont intervenus trop tard, et que le préfet n'aurait pas dû recommander le confinement aux habitants touchés par les flammes. "Quand [le préfet] a fait sa déclaration en disant qu'il a bien fait de confiner les gens, je me dis que si j'étais resté dans ma maison, j'aurais cramé", témoigne un membre du collectif auprès de Franceinfo.Pourquoi le Conseil constitutionnel a-t-il censuré l'article 2 de la loi Duplomb ? Quel avenir pour ce texte controversé ? Comment expliquer les nombreux reculs sur l'environnement enregistrés cette année ? Et pourquoi des habitants de Marseille portent plainte après l'incendie des Pennes-Mirabeau ?LES EXPERTS :- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Bruno CAUTRÈS - Politologue - Chercheur au CNRS- Nicolas BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Antoine OBERDOORF - Journaliste politique - L'Opinion
durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - Le Conseil constitutionnel a retoqué ce jeudi l'article le plus contesté de la loi Duplomb, qui prévoyait la réintroduction d'un pesticide interdit depuis 2018, au nom de la Charte de l'Environnement qui garantit le "droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé".
durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - Le Conseil constitutionnel a retoqué ce jeudi l'article le plus contesté de la loi Duplomb, qui prévoyait la réintroduction d'un pesticide interdit depuis 2018, au nom de la Charte de l'Environnement qui garantit le "droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé".
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saisi après qu'une pétition ait recueillie plus de 2 millions de signatures, le Conseil constitutionnel a censuré le retour de l'acétamipride, un pesticide néonicotinoïde et banni en France depuis 2020, dans la loi Duplomb. Une décision qui rassure les défenseurs de l'environnement, puisque ce produit a des conséquences néfastes pour les abeilles et inconnues pour l'humain. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:10 - L'info d'ici de 07h30 - Le Conseil constitutionnel censure la disposition la plus contestée de la loi Duplomb. Les Sages disent non à la réintroduction sous conditions d'un pesticide controversé, l'acétamipride. La réaction de Damien Brayotel, le président du syndicat agricole majoritaire dans l'Yonne, la FDSEA. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Conseil constitutionnel a censuré, ce jeudi 7 août, la mesure la plus controversée de la loi Duplomb. Elle autorisait la réintroduction de l'acétamipride, un pesticide interdit en France depuis 2018. Cette décision intervient dans un contexte particulièrement tendu : entre les inquiétudes du monde agricole, qui alerte sur la survie de certaines filières, et une forte mobilisation citoyenne, au nom de l'environnement. Plus de deux millions de personnes avaient signé une pétition réclamant l'abandon de la loi. Pourquoi le Conseil constitutionnel a-t-il censuré cette disposition ? On pose la question à Basile Bayeux, journaliste politique à BFMTV.
Chroniqueurs : - Vincent Roy, journaliste et essayiste - Gilles Boutin, journaliste au Figaro Économie Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du jeudi 7 août 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BuFS.A
Le Conseil constitutionnel va se prononcer, jeudi 7 août, sur la loi Duplomb, au centre de nombreux débats depuis plusieurs semaines. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Soir avec Gaël Giordana du 07 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Débatteurs du soir : -Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia -Vincent Roy, journaliste et essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Viviane Leflaive est Partner chez KPMG France, co-responsable du pôle Financial Services Advisory. Elle connaît l'assurance, ses rouages, son langage, ses codes - mais surtout, elle la fait évoluer. Elle l'aide à se réinventer. Dans cet épisode, elle revient sur son parcours : ses années d'études, ses premiers pas dans le conseil, les étapes clés qui l'ont menée à son rôle actuel chez KPMG. Elle raconte aussi ce qu'on voit moins souvent : les moments de doute, les défis du management, la pression, les responsabilités. Elle aurait pu être freinée, elle a su s'adapter. Et elle s'est imposée. On plonge avec elle dans l'univers de l'assurance. Son origine, sa logique, son fonctionnement. Et ce qu'il devient. Elle explique comment les assureurs viennent chercher chez KPMG des expertises ultra-spécifiques pour répondre à des besoins nouveaux : modélisation, IA, gestion des risques, ESG, cybersécurité. Le secteur bouge. Vite. Et Viviane est en première ligne. À la fin de l'épisode, elle partage aussi ce qu'elle aurait aimé entendre au début de sa carrière. Ce qui compte vraiment. Ce qui fait la différence sur le long terme. Merci Viviane Leflaive, Voix de la FinanceHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Débatteurs du soir : -Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia -Vincent Roy, journaliste et essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec plus de 2 millions de signatures contre le texte, la loi Duplomb cristallise les tensions. Le Conseil constitutionnel doit trancher le 7 août 2025 entre une censure partielle, notamment de l'article 2 sur les néonicotinoïdes, ou totale. Au-delà du contenu, c'est aussi la représentation démocratique qui est interrogée par une mobilisation inédite. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Alain Juppé raconte ses péripéties lors d'un déplacement du Conseil constitutionnel : entre un dîner improbable et un réveil surprise dans un bus de pèlerinage, l'aventure prend des tournures inattendues ! Cet été, retrouvez tous les jours le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:43 - La Revue de presse internationale - par : Caroline Félix - Le Conseil constitutionnel du Cameroun a définitivement rejeté mardi la candidature à l'élection présidentielle du 12 octobre de Maurice Kamto, principal opposant au président Paul Biya, au pouvoir depuis quarante-trois ans.
La décision vient de tomber au Cameroun. Maurice Kamto, figure emblématique de l'opposition ne participera pas à l'élection présidentielle d'octobre 2025. Le Conseil constitutionnel a définitivement rejeté son recours confirmant son exclusion du scrutin. Cette décision soulève des questions cruciales : s'agit-il d'un coup dur pour la démocratie camerounaise ou d'une application stricte du droit électoral ? Que signifie cette absence pour l'avenir de l'opposition ?
« Maurice Kamto perd devant le Conseil constitutionnel », constate le Journal du Cameroun. « La décision définitive et irrévocable tant redoutée par une bonne partie de l'opinion est tombée. Le Conseil constitutionnel a (donc) rejeté la candidature de l'opposant au terme d'une audience qui s'est déroulée avant-hier et dont le délibéré a été renvoyé à hier mardi. L'élection présidentielle du 12 octobre 2025 se fera sans Maurice Kamto, ancien président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, militant du Manidem (et qui était en seconde position lors de la dernière présidentielle). Il a été déclaré non fondé dans sa requête ». « La candidature de l'opposant avait été écartée, le 26 juillet, rappelle Le Monde Afrique, par EleCam, Elections Cameroon, l'organe chargé de l'organisation des élections, en raison d'une "pluralité d'investitures" du Manidem. En effet, un ancien militant de cette formation avait également soumis une candidature. Maurice Kamto avait alors déposé un recours devant le Conseil constitutionnel, le 28 juillet, pour contester sa disqualification de la liste provisoire des candidats retenus à l'élection présidentielle du 12 octobre ». Peine perdue… Place nette… Pour Le Pays à Ouagadougou, c'est clair : « le Conseil constitutionnel n'a fait qu'exprimer la volonté du prince régnant… En l'occurrence, Paul Biya qui, n'étant pas sûr de son fait, ne veut pas prendre de risques. Tirant leçon de la dernière présidentielle, il préfère faire place nette en écartant toute candidature gênante comme celle de Maurice Kamto qui, on le sait, ne compte pas pour du beurre. En fait, ce qui se passe au Cameroun s'inscrit dans l'ordre normal des choses, affirme encore Le Pays. Il n'y a rien d'étonnant. Il fallait, du reste, faire montre de naïveté pour croire que le locataire du palais d'Etoudi donnerait la moindre chance à son principal challenger qui, en 2018, lui avait taillé des croupières. Et pour ce faire, il pouvait compter sur des juges acquis à sa cause pour faire le sale boulot ». Copie conforme… « Quelle saveur aura une telle élection sans Kamto ? », s'interroge pour sa part Aujourd'hui, toujours à Ouaga. « Bien qu'il faille compter avec tous les ténors d'une opposition pugnace, mais divisée, le jeu est déjà joué avec Biya et son rouleau compresseur électoral, le RDPC ! En effet, poursuit le quotidien burkinabé, la carte électorale camerounaise montre que si l'opposition a du répondant, les leaders sont des barons de fiefs, mais sans envergure nationale. (…) C'est dire que cette décision du Conseil constitutionnel inhibe le caractère inclusif du scrutin, enlève donc sa représentativité et cela devrait se ressentir dans le taux de participation. Kamto était arrivé second à la dernière présidentielle. Il aurait préféré endosser le semblant de maillot du Poulidor camerounais plutôt que d'être absent. Cette présidentielle, conclut Aujourd'hui, risque d'être donc une copie conforme des précédentes : sans enjeu… Après Biya c'est Biya forever ! » « Votons massivement le 12 octobre ! » Et puis quelques réactions de sympathisants de l'opposition à lire sur le site Actu Cameroun : « en politique tout est possible, affirme l'un d'eux, et des cas à travers le monde (Nelson Mandela en Afrique du Sud, Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, Uhuru Kenyatta au Kenya, Ousmane Sonko au Sénégal, etc.) montrent que l'on peut être victime d'une injustice et devenir président de la République. Le peuple souverain reste maître en démocratie. Vérifions notre inscription sur les listes électorales et votons massivement le 12 octobre ». Autre réaction : « nous qui voulions le changement incarné par Maurice Kamto, nous venons de perdre une bataille, mais pas la guerre. Dès demain, Kamto, Anicet et Nitcheu, avec le candidat le plus à même de nous débarrasser du clan Biya, doivent se mettre ensemble et nous donner des consignes : l'objectif ultime est encore à portée de mains ». Enfin, cette dernière réaction : « Kamto fait peur à ce régime qui a mis des stratagèmes de type mafieux pour écarter sa candidature. On a eu le sentiment hier au Conseil constitutionnel que les juges étaient impatients de l'écarter. Mais comme le dit Maurice Kamto lui-même : "le jour finit toujours par se lever" ».
Le Conseil constitutionnel du Cameroun a définitivement rejeté mardi la candidature à l'élection présidentielle du 12 octobre de Maurice Kamto, principal opposant au président Paul Biya.
Le Conseil des ministres libanais se réunit mardi 5 août pour évoquer le débat clivant sur le désarmement du Hezbollah. Le président Joseph Aoun a assuré vouloir « retirer les armes de tous les groupes armés, y compris du parti chiite » et réserver le monopole des armes aux forces militaires. Mais le Hezbollah demande, avant toute chose, le retrait définitif des Israéliens du Liban et l'arrêt des violations du cessez-le-feu. Anthony Samrani, co-rédacteur en chef au quotidien libanais L'Orient-Le Jour et auteur de Vu du Liban. La fin d'un pays, la fin d'un monde ? (Gallimard) décrypte les enjeux de cette situation.
Le projet européen baptisé “Chat Control” avance à grands pas… et avec lui, un débat explosif. Soutenu par plusieurs États membres, dont la France, l'Allemagne, l'Espagne et la Pologne, ce texte vise à obliger les applications de messagerie comme WhatsApp, Signal ou Telegram à analyser automatiquement tous les messages – textes comme images – pour détecter des contenus liés à l'exploitation sexuelle d'enfants.Une ambition sécuritaire, oui. Mais derrière, des inquiétudes grandissantes. Car pour parvenir à cet objectif, les plateformes devraient installer des systèmes de surveillance directement sur les appareils – des smartphones ou des ordinateurs. C'est ce qu'on appelle le "client-side scanning" : des outils capables d'analyser les contenus avant même leur chiffrement. Un changement de paradigme. Car même les messageries dites chiffrées de bout en bout, conçues justement pour garantir la confidentialité, seraient concernées. Et c'est là que le tollé commence.Des associations de défense des droits numériques, des experts en cybersécurité, des magistrats et même certains eurodéputés tirent la sonnette d'alarme. Patrick Breyer, élu européen, dénonce une "surveillance de masse inédite", où chaque citoyen serait traité comme un suspect. Les spécialistes en cryptographie alertent : toute porte ouverte, même bien intentionnée, peut être exploitée – par des États autoritaires, des groupes criminels, ou des acteurs malveillants. Plus grave encore : ces outils, conçus pour détecter l'illégal, pourraient produire de nombreux faux positifs. Des photos de famille, des conversations adolescentes, ou des échanges entre victimes et associations pourraient être mal interprétés. Le Conseil de l'UE lui-même a exprimé ses réserves juridiques, jugeant la mesure disproportionnée et inefficace face aux vraies méthodes utilisées par les criminels, qui contournent souvent les messageries classiques. En attendant, la bataille continue dans les couloirs de Bruxelles. Et si vous tombez sur un contenu suspect en ligne, n'oubliez pas : vous pouvez le signaler via la plateforme Pharos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Frédéric Lauze, secrétaire général du Syndicat des commissaires de la Police nationale - Frédéric Bizard, professeur d'économie à l'ESCP et président de l'Institut Santé Chroniqueurs : - Eliott Mamane, chroniqueur politique - Paul Melun, écrivain et essayiste - Gilles Boutin, journaliste en politique économique au Figaro - Ophélie Roque, professeure de français et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tandis que l'exécutif s'accorde une pause, le Conseil constitutionnel reste en alerte. Au programme : l'examen de la réforme du statut PLM (Paris, Lyon et Marseille), des textes concernant Mayotte, ou encore quelques QPC. L'été s'annonce studieux sous les ors de la République. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Conseil des ministres a approuvé le plan d'action 2025-2029 du ministère de l'Égalité des genres et du Bien-être de la famille by TOPFM MAURITIUS
Invités : - Pierre Lellouche, ancien ministre - Rachel Khan, essayiste - Jean-Christophe Couvy, secrétaire National UNITE SCGP Polic-FO - Najwa El Haite, avocate - Joachim Le Floch-Imad, essayiste et enseignant Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le conseil conso avec Nathan Bocard du 11 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le conseil conso avec Nathan Bocard du 11 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La période des vacances est celle où l'on perd le plus de chats et de chiens. Si ça devait malheureusement vous arrivez, Marie Guerrier vous donne quelques conseils pour retrouver plus facilement votre animal favori... Ecoutez Le conseil conso avec Marie Guerrier du 10 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La période des vacances est celle où l'on perd le plus de chats et de chiens. Si ça devait malheureusement vous arrivez, Marie Guerrier vous donne quelques conseils pour retrouver plus facilement votre animal favori... Ecoutez Le conseil conso avec Marie Guerrier du 10 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes pile au milieu de la période des soldes d'été, il reste deux semaines, les démarques vont atteindre 60, 70%, cela peut donner envie de se faire plaisir et de tout acheter et il n'y a pas de mal à se faire du bien. Mais on peut aussi essayer d'éviter les excès. La méthode "Bisou",, c'est une série de questions à se poser avant d'acheter. Ecoutez Le conseil conso avec Marie Guerrier du 09 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes pile au milieu de la période des soldes d'été, il reste deux semaines, les démarques vont atteindre 60, 70%, cela peut donner envie de se faire plaisir et de tout acheter et il n'y a pas de mal à se faire du bien. Mais on peut aussi essayer d'éviter les excès. La méthode "Bisou",, c'est une série de questions à se poser avant d'acheter. Ecoutez Le conseil conso avec Marie Guerrier du 09 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon une enquête de l'association de consommateurs CLCV révélée par RTL, l'origine des principales matières premières qui composent un produit sont inconnues dans 52% des cas. Ecoutez Le conseil conso avec Pierre Herbulot du 08 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon une enquête de l'association de consommateurs CLCV révélée par RTL, l'origine des principales matières premières qui composent un produit sont inconnues dans 52% des cas. Ecoutez Le conseil conso avec Pierre Herbulot du 08 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On a décidé de noter la free agency 2025 : les félicitations, les encouragements, peut mieux faire, les avertissements... on fait le gros bilan de ce qu'on a aimé et pas aimé !Si certaines franchises s'en sont très bien sorties (Nuggets, Rockets, Knicks), c'est moins le cas pour d'autres (Bucks, Warriors, Jazz).Avec Marie-Fatou Gueye et Baptiste Denis. Présenté par Nicolas Sarnak.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Profitez du passage du Tour de France pour vider vos tiroirs et vous débarrasser de vos vieux téléphones portables : des collectes pour recyclage sont organisées dans les villes étapes. L'idée est de récupérer des portables usagés pour les reconditionner et les offrir ensuite à des associations en faveur des plus démunis. Ecoutez Le conseil conso avec Hortense Crépin du 07 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Profitez du passage du Tour de France pour vider vos tiroirs et vous débarrasser de vos vieux téléphones portables : des collectes pour recyclage sont organisées dans les villes étapes. L'idée est de récupérer des portables usagés pour les reconditionner et les offrir ensuite à des associations en faveur des plus démunis. Ecoutez Le conseil conso avec Hortense Crépin du 07 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les orages sont passés, il fait moins chaud, et le soleil revient déjà ! Conseils pour choisir vos lunettes de soleil dont les niveaux de protection vont de 0 à 4. Tous les modèles ne se valent pas. Quels sont les risques si vous choisissez un modèle mal adapté ? Ecoutez Le conseil conso avec La rédaction de RTL du 03 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le conseil conso avec Pierre Herbulot du 02 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 1er juillet, le prix repère du gaz diminue mais une taxe va entraîner une hausse de factures. Comment s'y retrouver, quels sont les astuces pour faire des économies, RTL vous dit tout. Ecoutez Le conseil conso avec Pierre Herbulot du 01 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors qu'une nouvelle vague de chaleur arrive, RTK vous dit tout sur un objet qui garde le frais : la glacière. Indispensable pour les piqueniques, ça on le sait tous, ce qu'on sait moins c'est qu'il y a quelques règles à respecter pour qu'elle fonctionne correctement. Ecoutez Le conseil conso avec La rédaction de RTL du 30 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 27 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE CONCLAVE SUR LES RETRAITES Le « conclave » sur les retraites, voulu par le Premier ministre pour désamorcer les tensions autour de la réforme de 2023, s'est soldé par un « échec » a annoncé lundi la CFDT, marquant la fin de quatre mois de discussions infructueuses entre partenaires sociaux. Les discussions au sein de ce conclave, qui réunissait le Medef, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises), la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC, visaient à adoucir l'impopularité de la réforme Borne de 2023, qui a relevé l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans. Au-delà des considérations sociales, l'objectif était également d'assurer la pérennité financière d'un système qui anticipe un déficit de 6,6 milliards d'euros en 2030. Pour les organisations patronales, toute concession sur la pénibilité devait s'inscrire dans un cadre garantissant cet équilibre, tandis que les syndicats insistaient sur la nécessité de compenser les carrières hachées et les impacts physiques des métiers les plus exigeants. Sur la question de l'âge, sujet sensible de la réforme Borne, l'hypothèse d'un retour de l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans avait pourtant été enterrée par les syndicats. Dans le texte rédigé par l'animateur des débats, les représentants de salariés avaient obtenu le recul de l'âge de la décote (celui à partir duquel les assurés ont droit à une pension à taux plein, même s'ils n'ont pas le nombre de trimestres requis pour y être éligibles) à 66 ans et demi (contre 67 ans aujourd'hui).Selon l'étude Elabe réalisée pour l'Association française de la gestion financière (AFG) dévoilée mardi, les ménages semblent prêts à une vraie évolution du système : 47 % des Français se déclarent en faveur de la généralisation de plans d'épargne retraite par capitalisation en complément du système de retraite par répartition. Les « cadres » sont favorables à cette idée à 65 %, tout comme les ménages avec « une forte capacité d'épargne » à 64 % et les « investisseurs » à 56 %. Seules 18 % des personnes interrogées se montrent réfractaires à l'idée. L'enjeu financier des retraites est considérable : les pensions représentent près de 14% du PIB, 40% de la dépense sociale et un quart de la dépense publique. Le Conseil d'orientation des retraites indique, dans son rapport de juin, que l'évolution des dépenses de retraites « explique à elle seule une grande partie de la progression des dépenses publiques depuis 2002 ». Si le pays peine à financer ses services publics, c'est parce qu'il a préféré ses retraites alors que les évolutions démographiques ont bouleversé l'équilibre : il n'y a plus que 1,7 actif pour 1 retraité, tandis que le ratio était de 4 pour 1 en 1950. Le COR en tire la conclusion qu'il faudra reculer encore l'âge de la retraite.Mercredi, François Bayrou a affirmé que le conclave n'était « pas un échec » et présenté jeudi le résultat des discussions après avoir « tranché » sur« les désaccords ».LA GUERRE USA-IRAN L'attaque américaine, menée dans la nuit de samedi à dimanche derniers sur l'Iran, a été « intentionnellement limitée » à des cibles nucléaires et ne visait pas un changement de régime, a déclaré dimanche le Pentagone. Avec l'opération Midnight Hammer (Marteau de minuit), Donald Trump a exploité une fenêtre d'opportunité après qu'Israël a presque réduit à néant les alliés régionaux de l'Iran (Hamas, Hezbollah) puis les défenses iraniennes. S'il proclame toujours vouloir la paix, Donald Trump n'hésite pas dégainer. Il l'avait fait à trois reprises au cours de son premier mandat : contre la Syrie, après des attaques chimiques, en avril 2017 puis en avril 2018, enfin en ordonnant un assassinat ciblé à Bagdad contre le général iranien Soleimani, chef des forces spéciales des Gardiens de la Révolution, en janvier 2020. Toutefois, jusqu'à dimanche, il s'agissait d'opérations limitées.Dimanche, le président américain a annoncé que les trois sites de Natanz, Fordo et Ispahan avaient été « totalement anéantis ». Une affirmation difficile à confirmer, les cibles étant souterraines. Le général Dan Caine, chef d'état-major des armées américaines s'est montré plus prudent, comme le vice-président JD Vance. Selon les « premières évaluations du champ de bataille », a dit le soldat, les sites visés ont subi « de sévères dommages et destructions ». Un document classé confidentiel du renseignement américain, relayé par CNN et le New York Times, suggère que les frappes américaines sur l'Iran auraient retardé son programme nucléaire de seulement quelques mois, sans le détruire complètement. Jeudi, l'ayatollah Khamenei a affirmé que Donald Trump a « exagéré » l'impact des frappes américaines sur le territoire iranien.En représailles, lundi, l'Iran a attaqué la base aérienne américaine d'Al-Udeid, au Qatar. Treize missiles ont été interceptés sans difficulté selon l'armée, tandis qu'un autre s'écrasait sans dégâts. La base, qui en temps normal accueille près de 10 000 soldats, était très largement dépeuplée. Pour Téhéran, « la priorité était de retrouver les voies de la négociation afin de sauver le régime », estime le chercheur Bernard Hourcade, spécialiste de la République islamique. Selon lui, « les dirigeants iraniens ne voulaient pas couper les ponts avec Donald Trump, car ils savent que c'est lui qui peut arrêter la guerre avec Israël ». Via le Qatar et probablement Oman, Téhéran avait averti les États-Unis de ses tirs de missiles contre la base aérienne américaine, afin qu'il n'y ait pas de victimes. Ce fut le cas.Mardi, Israël et l'Iran ont déclaré accepter l'initiative américaine de cessez-le-feu.Tandis que les membres de l'administration Trump revendiquent une réussite totale, les questions s'accumulent sur le sort des quelque 400 kg d'uranium hautement enrichi dont disposait l'Iran. Cette question sera au centre des négociations qui devraient s'ouvrir prochainement entre l'Iran et les Occidentaux, via l'Agence internationale à l'énergie atomique (l'AIEA), dans l'espoir de tourner durablement la page de la guerre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.