Investigation and reporting to a broad audience
POPULARITY
Categories
Direction Israël avec une nouvelle manifestation contre la guerre. Plusieurs centaines de pilotes de l'armée israélienne, des réservistes ou des hommes à la retraite, se sont mobilisés à Tel Aviv pour dénoncer la stratégie de Benyamin Netanyahou à Gaza. Le Premier ministre israélien qui, on le rappelle, a déclaré son intention de prendre le contrôle de l'enclave palestinienne. Reportage de notre correspondante Bethsabée Salem.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - C'est ce que tentent de faire les EHPAD, notamment. Reportage dans ce journal.
En Bolivie, l'élection présidentielle a lieu dimanche prochain 17 août. La crise économique et les solutions proposées par les candidats ont été au cœur de la campagne électorale. L'une des propositions les plus en vogue : favoriser et développer l'élevage et l'agriculture dans l'est du pays. Un projet qui donne des ailes aux principaux intéressés, mais qui inquiète les communautés autochtones qui craignent un recul de leurs droits et une augmentation de la déforestation et des incendies. Reportage de Nils Sabin. De notre correspondant en Bolivie, À San Javier, dans l'est de la Bolivie, la campagne pour l'élection présidentielle du 17 août est particulièrement suivie. Cette petite ville de 15 000 habitants est la capitale laitière du département de Santa Cruz… Et les nombreux éleveurs locaux espèrent voir leur secteur favorisé par le prochain président. « Nous espérons, si Dieu le veut, qu'il y aura un changement et que le nouveau gouvernement aura en tête que la production et le progrès se trouvent ici », confie María Gloria Paz Tambare, présidente de l'association des éleveurs de San Javier. Malgré des lois environnementales très permissives, des prêts à taux bas, ou encore l'augmentation des permis de déforestation, l'agrobusiness, c'est-à-dire les secteurs de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle, a le sentiment d'avoir été maltraité par les gouvernements de gauche de ces vingt dernières années. Selon Mauricio Tambare, éleveur rencontré dans son ranch à quelques kilomètres de San Javier, la Bolivie doit virer à droite et s'inspirer d'autres présidents conservateurs du continent : « On aime bien ce que fait Milei en Argentine, ce qu'a fait Bukele au Salvador. On ne demande pas que ce soit un copié-collé, mais que ce soit similaire à ce que fait Milei ». « Les candidats ont très peur de se fâcher avec l'agro-industrie bolivienne » Pour le secteur de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle, la fin de la crise économique qui touche le pays — 17 % d'inflation depuis janvier, pénurie de carburant et de dollars — passe forcément par leur développement. « Pour nous, c'est très clair que si on ne nous permet pas d'exporter plus facilement, qu'on ne baisse pas les droits de douane, qu'on ne nous soutient pas, le pays va droit dans le mur », avance María Gloria Paz Tambare. Un message qui s'est peu à peu imposé dans la campagne électorale. Ainsi, Samuel Doria Medina et Jorge Quiroga, les deux candidats d'opposition en tête des sondages, proposent de faciliter les exportations de l'agrobusiness, de favoriser le développement technologique de ces secteurs et admettent qu'il faudra étendre la frontière agricole pour permettre leur développement. Et même chez les candidats se revendiquant de gauche, aucun n'ose remettre en cause cette idée. « Les candidats ont très peur de se fâcher avec l'agro-industrie bolivienne. Ils redoutent d'avoir une image qui va à l'encontre du secteur privé et d'être associés à des pays comme le Venezuela, l'Équateur ou Cuba », explique Stasiek Czaplicki, économiste environnemental, spécialisé sur la déforestation et les incendies. Et de rappeler que l'idée de résoudre la crise économique via le développement du secteur de l'agrobusiness n'est pas nouvelle : « Ça a déjà été fait dans les années 1980, dans les années 1950 et à d'autres moments de l'Histoire bolivienne ». Augmentation probable de la déforestation Mais du côté de la Centrale indigène Paikoneka, qui regroupe une soixantaine de communautés autochtones à San Javier, ces propositions inquiètent. « Nous avons analysé les programmes des différents candidats et il n'y en a pas un en faveur des droits des peuples indigènes ou de l'environnement », s'alarme Brian Baca Talamas, coordinateur des pompiers volontaires de l'organisation indigène. En effet, renforcer la place de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle dans l'économie revient à continuer à agrandir la frontière agricole dans l'est de la Bolivie. En clair, cela favorisera la déforestation et les incendies alors qu'en 2024, le pays était le deuxième pays au monde avec le plus de forêts primaires au monde, derrière le Brésil, et que les incendies ont ravagé plus de 12 millions d'hectares, l'équivalent de quatre fois la superficie de la Suisse. Des conséquences écologiques vues comme des dommages collatéraux par les candidats. « S'il y a contradiction entre l'environnement et la production, je choisirai la production », a ainsi déclaré Samuel Doria Medina fin juin. Quant à Jorge Quiroga, il est rappelé dans la section environnement de son programme qu'une extension de la frontière agricole sera forcément nécessaire. « Tout le monde veut des solutions à la crise. Les candidats et une grande partie de la population sont prêts à voir une dégradation écologique si cela permet une amélioration économique », analyse Stasiek Czaplicki. L'année dernière, une vingtaine de communautés de l'organisation ont été touchées par les incendies historiques qui ont ravagé le pays. L'une de leurs peurs est que les incendies continuent de s'aggraver si des mesures favorables à l'agrobusiness sont prises. Pour s'y opposer, la Centrale indigène Paikoneka prépare déjà l'après-élection. « Nous sommes tous unis, les peuples des terres basses, pour qu'après le 17 août, nous fassions une manifestation pour exiger que l'on respecte nos territoires indigènes et nos droits », indique María Suárez Macoñó, l'une des dirigeantes de l'organisation. Entre crise économique, mesures d'austérité pour y mettre fin et recul écologique, les prochaines années s'annoncent difficiles pour la population bolivienne. À lire aussiBolivie: des électeurs dénoncent leur inscription à leur insu dans des partis politiques
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - C'est ce que tentent de faire les EHPAD, notamment. Reportage dans ce journal.
Que ce soit en France, au Japon, aux États-Unis... partout autour du globe, la question du métissage suscite le débat, voire déchaine les passions. Pourtant, nos sociétés sont de plus en plus cosmopolites. Au Brésil, par exemple, la population métisse est devenue majoritaire, selon les chiffres du dernier recensement publié en 2022. Quant au Québec, 5% des nouveau-nés avaient un parent natif du Canada et l'autre de l'étranger en 1980 ; cette statistique est passée à 12% en 2023, selon le bilan démographique du Québec. Avoir des origines multiples n'a donc plus rien d'exceptionnel, mais l'identité, l'appartenance n'en sont pas moins des sujets d'actualité. À la fois pour ceux qui demandent « tu viens d'où ? » et pour ceux à qui s'adresse la question. Le besoin de mettre son interlocuteur dans une case semble encore bien présent. Mais pourquoi s'intéresser aux origines de son voisin ? Par curiosité, pour comprendre la différence ou pour l'exclure ? Et comment vivre ses identités multiples quand on est métis ? Cette émission est une rediffusion du 7 avril 2025. Avec Maïka Sondarjee, professeure en Développement international et Mondialisation à l'Université d'Ottawa au Canada. Autrice de Tu viens d'où – réflexions sur le métissage et les frontières ? (Éditions Lux, 2025). En fin d'émission, ♦ un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Aujourd'hui, le portrait de Tisya Mukuna, le café à la mode kinoise. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Tisya Mukuna 32 ans, est née à Kinshasa. Elle a suivi l'essentiel de sa scolarité en France, entre la Normandie et Paris où elle a fait une école de commerce. Après un master en négociation des affaires en Chine, à Shanghai, elle a travaillé chez Microsoft, pour des agences de publicité ou encore une succursale de magasin bio. Il y a six ans, Tysia Mukuna décide de rentrer en République démocratique du Congo pour lancer sa marque de café, « La Kinoise ». Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée chez elle à l'automne 2024, dans son appartement de Kinshasa. ♦ un reportage de Tom Malki qui s'est rendu à l'exposition Game Story à Versailles en banlieue parisienne. L'exposition retrace 70 ans d'histoire du jeu vidéo. Une plongée dans l'histoire du jeu vidéo. L'exposition Game Story qui se tient jusqu'au 16 avril à Versailles, à l'ouest de Paris, vous propose de découvrir la plus grande collection de jeux vidéo et de consoles d'Europe et d'y jouer ! De quoi ravir les enfants, mais aussi les plus nostalgiques. Reportage de Tom Malki. Programmation musicale : ► Jëli – Amadeus feat. Waly B. Seck ► Ils me rient tous au nez – Theodora.
P1:s veckomagasin om Sverige och världen politik, trender och analyser. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. I första timmen:Stora protester i Israel mot regeringens beslut om GazaMånga oklarheter kring mötet mellan Trump, Putin och ZelenskyjOrmar som skrämmer och fascinerarSvenska insatsen i PolenKrönika av Lotta LundbergPanelen med Veronica Palm, Lotta Ilona Häyrynen och Adam CwejmanI andra timmen:Vad ska hända med Gaza?Reportage om människor som har försvunnit i GazaBilder från krigets Gaza - hur kan vi verifiera det vi ser?Var går gränserna för offentlig nakenkonst?Satir med RadioskuggaDet röda huset tillbaka i politikenKåseri av Augustin ErbaProgramledare: Åsa FuruhagenProducent: Hansjörg KisselTekniker: Ludvig Matz
Au Brésil, le candomblé est l'une des religions afro-brésiliennes vivantes dans le pays, en particulier, à Salvador de Bahia où elle s'est développée pendant la colonisation portugaise et qui est devenue un instrument d'émancipation des Noirs. (Rediffusion) Les orixás (ou orishas), les dieux originaires d'Afrique en particulier les Yorubas du Nigeria et du Bénin, incarnent les forces de la nature et des esprits des ancêtres et dans un syncrétisme particulier, les saints catholiques ont été intégrés et associés eux-mêmes à des divinités. Les adeptes du candomblé ont régulièrement subi des persécutions, encore aujourd'hui, dans un pays où les églises évangéliques se sont largement développées. Et ces religions afro-brésiliennes ont aussi retraversé l'Atlantique, pour circuler sur le continent européen où elles trouvent un succès étonnant. Invités en studio : - Sara Clamor, docteur en Anthropologie sociale et ethnologie de l'EHESS, l'École des Hautes Pratiques en Sciences Sociales, auteure de « Les orixás dansent en Europe » (Éd. Karthala, 2024) - Stéphane Herbert, photographe, arpente depuis plus de 30 ans le Brésil et notamment Salvador de Bahia et les communautés spirituelles du candomblé, auteur de « Rituels du Brésil », un ouvrage de photos pour illustrer la capoeira, le candomblé et le carnaval (Éd. Hémisphères). Reportage dans un terreiro (maison du candomblé) près de Rio de Janeiro, de notre correspondante au Brésil, Sarah Cozzolino. - Fondation Pierre Verger. Émission initialement diffusée le 2/2/2025.
Au Brésil, le candomblé est l'une des religions afro-brésiliennes vivantes dans le pays, en particulier, à Salvador de Bahia où elle s'est développée pendant la colonisation portugaise et qui est devenue un instrument d'émancipation des Noirs. (Rediffusion) Les orixás (ou orishas), les dieux originaires d'Afrique en particulier les Yorubas du Nigeria et du Bénin, incarnent les forces de la nature et des esprits des ancêtres et dans un syncrétisme particulier, les saints catholiques ont été intégrés et associés eux-mêmes à des divinités. Les adeptes du candomblé ont régulièrement subi des persécutions, encore aujourd'hui, dans un pays où les églises évangéliques se sont largement développées. Et ces religions afro-brésiliennes ont aussi retraversé l'Atlantique, pour circuler sur le continent européen où elles trouvent un succès étonnant. Invités en studio : - Sara Clamor, docteur en Anthropologie sociale et ethnologie de l'EHESS, l'École des Hautes Pratiques en Sciences Sociales, auteure de « Les orixás dansent en Europe » (Éd. Karthala, 2024) - Stéphane Herbert, photographe, arpente depuis plus de 30 ans le Brésil et notamment Salvador de Bahia et les communautés spirituelles du candomblé, auteur de « Rituels du Brésil », un ouvrage de photos pour illustrer la capoeira, le candomblé et le carnaval (Éd. Hémisphères). Reportage dans un terreiro (maison du candomblé) près de Rio de Janeiro, de notre correspondante au Brésil, Sarah Cozzolino. - Fondation Pierre Verger. Émission initialement diffusée le 2/2/2025.
durée : 00:53:52 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - réalisation : Annie Brault
Die Crack-Epidemie breitet sich auch in der Schweiz aus. Zum Beispiel in Brugg: Innert zweier Jahre ist die Kleinstadt zu einem Crack-Hotspot geworden. Ein Besuch vor Ort zeigt, wie die Szene funktioniert. Gast: Simon Hehli, Inland-Redaktor Host: Alice Grosjean Die ganze [Reportage über die Crack-Szene in Brugg](https://www.nzz.ch/schweiz/zum-beispiel-brugg-wie-sich-die-crack-epidemie-in-der-ganzen-schweiz-ausbreitet-ld.1892527) findest du bei der NZZ. Informiere dich kurz, kompakt und fokussiert über das Weltgeschehen mit unserem täglichen Newsletter, dem «[NZZ Briefing](https://abo.nzz.ch/registrieren/?target=https%3A%2F%2Fabo.nzz.ch%2Fbenutzerkonto%2Fnewsletter%2FMOBN%2F%3Ftrco%3D23053772-05-10-0097-0029-022906-00000004&nl=mobn)». Jetzt kostenlos registrieren und abonnieren.
Dies ist der erste Teil unserer Spezial-Serie zur besonderen Challenge vom Lauf über die Alpen. Gibt es noch ziemlich verrückte Herausforderungen im Laufsport, die Philipp und Felix noch nicht gemacht haben? Ja, sicher eine ganze Menge, aber muss es gleich soweit, so hoch, so weit runter und mit so viel Schmerz und Anstrengung sein? Die Jungs haben es so gewollt. Jetzt gehts rein ins Abenteuer! Zum Glück ist ihr Freund Tim zur Stelle und ist im warten Sinne des Wortes die ultimative Rettung für die Beiden. Aber hört selbst die ersten Tage und Qualen und überragenden Eindrücke aus den Alpen. Ralf hat sich derweil nicht gelangweilt und berichtet über die besonderen, vor allem emotionalen Eindrücke der DM in Dresden und dem anrührendsten Moment des Wochenendes rund um Karl Bebendorf. Und er philosophiert über eine sehr eigenwillige Konstellation von Podcast Gästen bei uns und ihren Erfolgen... ihr dürft gespannt sein.
Bis 2005 lebten im Gazastreifen mehr als 8.000 jüdische Siedler in mehr als 20 Siedlungen. 2004 kündigt Ministerpräsident Ariel Scharon an, diese Siedlungen räumen zu lassen. Ausgerechnet er, der einst einer der Väter der Siedlerbewegung war. Offiziell begründet Scharon die Entscheidung damit, dass es im Gazastreifen keine Chance auf eine jüdische Mehrheit geben kann. Außenpolitisch verkauft er es auch als Zugeständnis im israelisch-palästinensischen Friedensprozess. Viele deuten es aber so, dass Scharon glaubt, dass Israel nicht alle Siedlungen wird behalten können. Und dass er Gaza aufgibt, um umso mehr an den Siedlungen im Westjordanland festzuhalten. Seine Entscheidung ist jedenfalls in seinem Kabinett umstritten. Scharons Finanzminister – der spätere Regierungschef Benjamin Netanjahu – tritt aus Protest gegen die Entscheidung zurück, und zwar kurz bevor die Räumung am 15. August 2005 beginnt. An jenem Tag sendet SWR1 diese Hintergrundsendung. Sie zeigt den Widerstand der Siedler, aber auch, wie Experten damals den Abzug aus Gaza eingeschätzt haben. Es folgt eine Reportage vom 16. August 2005. Korrespondent Ralf Borchard schildert auch hier die heftigen Proteste einiger Siedler.
En Haïti, Laurent Saint-Cyr prend la tête du Conseil présidentiel de transition ce mercredi (6 août 2025). Comme prévu, lors de sa création en avril 2024, la présidence du CPT change tous les cinq mois. Il succède, donc, à Fritz Alphonse Jean et va devoir tenter de convaincre des Haïtiens désabusés, notamment face à la dégradation de la situation sécuritaire. «Le CPT est passé totalement à côté de sa mission. C'est un échec», estime ainsi Sephora, étudiante haïtienne interrogée par le correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Pour Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, Laurent Saint-Cyr et le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé «peuvent aussi bien sauver la transition que l'enfoncer». Provoquer un naufrage en règle ou tenter une césarienne in extremis. «C'est un peu la présidence tournante de la dernière chance», explique notre confrère haïtien qui rappelle que le CPT est censé remettre le pouvoir à des élus, le 7 février 2026. Les dirigeants haïtiens ont donc beaucoup à faire. «Or, pour l'instant, ils n'ont pas fait grand chose», souligne Frantz Duval. «Il faut remettre l'efficacité au service de la population, mettre l'intérêt du pays au premier plan et aussi remettre un peu de moralité dans tout cela», estime le journaliste. «Les membres du CPT ont été nommés mais n'ont pas été élus. Ils ont accaparé les fonctions et les privilèges, sans jamais assumer les responsabilités», juge-t-il. «Ils ne s'entendent sur absolument rien de ce qui est important», constate encore Frantz Duval. En Bolivie, le lithium, enjeu de la présidentielle En Bolivie, l'élection présidentielle aura lieu le 17 août 2025. Un dossier pourrait peser sur le résultat du scrutin : le cas du lithium. Le pays possède les plus importantes ressources mondiales de ce métal indispensable à la fabrication de batteries, mais il peine à industrialiser le secteur. Deux entreprises, une russe et une chinoise, prévoient de venir extraire du lithium, mais les communautés locales s'inquiètent du peu de transparence autour de ce projet, et des potentielles conséquences de l'extraction sur leurs ressources en eau. Reportage de Nils Sabin. Le Washington Post dévoile une partie du contenu du rapport américain sur les droits humains Le Washington Post a eu accès à certaines parties de la version quasi-définitive du très attendu Rapport annuel sur les droits humains dans le monde rédigé par le département d'État américain. Exit les accusations de mauvais traitements envers les prisonniers, de discrimination à l'encontre de personnes LGBTQ+ ou de corruption dans les chapitres consacrés au Salvador, à Israël et à la Russie que le Washington Post a pu lire. Il reste bien quelques mentions d'abus perpétrés par le gouvernement mais ils ont été atténués, précise encore le journal. Du coup, ces parties sont beaucoup plus courtes que sous Joe Biden et bien différentes aussi, voire en contradiction flagrante. Par exemple, au sujet du Salvador, on peut lire que les États-Unis n'ont reçu «aucun rapport crédible de violations significatives des droits humains» en 2024, que la violence carcérale a considérablement diminué dans le pays et que les assassinats supposés font l'objet d'enquêtes de la part du gouvernement, alors qu'en 2023, l'administration Biden dénonçait des meurtres, des cas de tortures et des conditions de détention (...) potentiellement mortelles. Il faut dire, précise le Washington Post, que le Salvador a accepté d'incarcérer des migrants renvoyés des États-Unis. Du côté du département d'État, on explique que le rapport 2024 «a été restructuré (...) afin de le rendre plus lisible». Il se concentre sur les «questions fondamentales», ajoute cette source anonyme, comme par exemple, le recul de la liberté d'expression. L'administration Trump «ne s'intéresse qu'aux droits humains de certaines personnes... dans certains pays, quand ça l'arrange», se désole dans les colonnes du journal Keifer Buckingham, ancien employé du département d'État. Plus généralement, c'est toute la conception de la démocratie que le président américain remet en cause, analyse le quotidien qui raconte qu'en juillet 2025, Marco Rubio a envoyé des instructions aux diplomates américains. Ils ne doivent plus commenter les résultats des élections qui ont lieu dans d'autres pays. Interdiction même dire que le scrutin a été juste et équitable. Motus et bouche cousue «à moins que ce ne soit dans l'intérêt de la politique étrangère américaine de le faire.» Les cartels mexicains accroissent leur présence à l'étranger Grâce aux travaux du chercheur Víctor Manuel Sánchez Valdés, on apprend que le Cartel de Sinaloa est présent dans 96 pays quand son rival, le Cartel Jalisco Nueva Generación n'est, lui implanté que dans 61 États. Ces groupes «reçoivent de la cocaïne d'organisations colombiennes, achètent des armes aux États-Unis, fabriquent des drogues synthétiques avec des précurseurs chimiques venus de Chine et blanchissent leurs bénéfices grâce aux systèmes financiers des Émirats arabes unis», résume El Universal. Si ces cartels étendent leur emprise sur toujours plus de pays, c'est tout simplement pour gagner plus d'argent. Ils privilégient les pays où aucune organisation ne répond à la demande locale, et ceux qui leur sont utiles soit parce qu'ils peuvent s'y fournir en produits chimiques, soit parce que le pays est un point de passage essentiel pour le trafic de drogue, explique Victor Manuel Sanchez Valdes. Selon lui, la seule solution pour démembrer ces réseaux, c'est que les autorités des pays concernés travaillent ensemble. Adidas accusé d'appropriation culturelle Les sandales Oaxaca Slip-on d'Adidas seraient une copie des huaraches, les sandales traditionnelles portées par la communauté zapotèque du village Villa Hidalgo Yalalag. Or, cette population autochtone n'a été ni consultée, ni associée à ce projet, rapporte le journal Proceso. Les autorités mexicaines rappellent que c'est illégal. Il existe au Mexique une loi de protection du patrimoine culturel des peuples et des communautés indigènes et afromexicaines. Selon El Universal, elles demandent à Adidas de cesser de vendre les Oaxaca Slip-on et menacent de saisir la justice. Ce n'est pas la première fois que la culture de la région de Oaxaca est ainsi pillée, rappelle Proceso qui cite Zara, Isabel Marant ou bien encore Levis. Le journal de la 1ère Benoît Ferrand nous parle d'un projet afin de construire un mémorial caribéen des catastrophes naturelles.
durée : 00:04:21 - Le Reportage de la rédaction - La Russie à 150 mètres : immersion à Narva, ville estonienne où la guerre en Ukraine se fait sentir. Préparatifs militaires, contrôles renforcés, mais aussi divisions au sein de la population russophone. Reportage au cœur d'une Europe sous tension.
Was will ich noch erreichen? Erfüllt mich mein Job überhaupt? Ist der Zug für meinen Traumberuf schon abgefahren? Um die 40 hinterfragen viele ihre bisherige Laufbahn. Marc, 39, arbeitet seit bald 20 Jahren im selben Architekturbüro als Projektleiter. Seit einiger Zeit ist er unzufrieden. «Ich kann mir nicht vorstellen, nochmal 20 Jahre hier zu bleiben». Doch die Suche nach einer erfüllenden beruflichen Alternative fällt ihm schwer. Die 39-jährige Selina hat den Schritt bereits gewagt: Sie studiert Hebamme an der ZHAW – neben Familie und finanziellen Herausforderungen. «Ich habe praktisch keine Freizeit mehr.» Ausserdem sei es gewöhnungsbedürftig, sich im Praktikum plötzlich von einer zehn Jahre Jüngeren beurteilen zu lassen, so Selina. Und trotzdem: «Bereut habe ich den Schritt noch nie.» ____________________ Habt ihr Feedback, Fragen oder Wünsche? Wir freuen uns auf eure Nachrichten an input@srf.ch – und wenn ihr euren Freund:innen und Kolleg:innen von uns erzählt. ____________________ - Autor: Matthias von Wartburg - Publizistische Leitung: Anita Richner ____________________ Das ist «Input»: Dem Leben in der Schweiz auf der Spur – mit all seinen Widersprüchen und Fragen. Der Podcast «Input» liefert jede Woche eine Reportage zu den Themen, die euch bewegen. ____________________ In dieser Episode zu hören: - Selina, 39, geht wieder studieren - Marc, 39, ist unzufrieden in seinem Job - Corinne Lindt Zbinden, Berufs- und Laufbahnberaterin ____________________ (00:00) Intro (01:32) Selina hat ihren Traumberuf gefunden (05:43) Marc steckt in der Krise (09:54) Laufbahnberatung (16:41) Marc ist blockiert (20:25) Studieren mit 40 ist nicht easy (25:32) Einen Wechsel muss man sich leisten können ____________________ Diese Folge wurde zum ersten Mal am 08.01.2025 ausgestrahlt.
durée : 00:04:21 - Le Reportage de la rédaction - La Russie à 150 mètres : immersion à Narva, ville estonienne où la guerre en Ukraine se fait sentir. Préparatifs militaires, contrôles renforcés, mais aussi divisions au sein de la population russophone. Reportage au cœur d'une Europe sous tension.
Rätsel des Lebens – Kolumne von Dirk Kaesler & Stefanie von WietersheimDirk Kaesler & Stefanie von WietersheimIst der Bauch das neue Dekolleté?(Hördauer ca. 20 Minuten)Unter der Überschrift „Rätsel des Lebens“ schreiben wir jeden Monat in unserer Kolumne darüber, was uns in der aktuellen Gesellschaft als erstaunlich, rätselhaft, aufsehenerregend oder amüsant erscheint.Ist der Bauch das neue Dekolleté?Rätsel des Lebens. Wie konnte das nur passieren? In der U-Bahn, im Büro und auch am heimischen Esstisch begegnet man seit ein paar Jahren einem Phänomen, das viele schockt, stört oder irritiert – das aber zum Mainstream geworden ist: die Parade des nackten Frauenbauchs. Vor allem junge Mädchen und Frauen tragen Crop Tops, Oberteile, die den Bauch schüchtern angedeutet oder komplett blank rauf bis zum Busen zeigen. Bauchfreie Looks über gestählten Sixpack-Muskeln, weichen Kissenbäuchen oder ausufernden Fleischrollen sind so selbstverständlich geworden wie Sneakers zu Herrenanzügen und Hoodies auf der Pressekonferenz von großen Unternehmen. ...Den Text der Kolumne finden Sie hier Dirk Kaesler Prof. Dr., war nach seiner Promotion und Habilitation an der Universität München von 1984 bis 1995 Professor für Allgemeine Soziologie an der Universität Hamburg, von 1995 bis zu seiner Pensionierung 2009 an der Universität Marburg. Er lebt inzwischen in Potsdam. Zu seinen Forschungs- und Publikationsschwerpunkten gehören Wissenschafts- und Religionssoziologie, Politische Soziologie, Geschichte und Theorien der Soziologie, ihre Klassiker und Hauptwerke und dabei vor allem Max Weber. Zu seinen letzten Buchveröffentlichungen gehören die 2014 im Verlag C.H. Beck erschienene Biographie „Max Weber. Preuße, Denker, Muttersohn“ und sein zusammen mit Stefanie von Wietersheim 2021 im Verlag LiteraturWissenschaft veröffentlichter Band "Schön deutsch. Eine Entdeckungsreise".2009 bis 2014 sind in "literaturkritik.de" regelmäßig seine Glossen "Abstimmungen mit der Welt" erschienen.Stefanie von Wietersheim ist Kulturjournalistin und Buchautorin. Ihre Bildbände Frauen & ihre Refugien, Vom Glück mit Büchern zu leben und Mütter & Töchter wurden zu Klassikern ihres Genres. In ihrem Buch Grand Paris – Savoir-vivre für Insider und solche, die es werden wollen schreibt sie über ihre Wahlheimat Frankreich. Sie geht als Autorin der Frankfurter Allgemeinen Sonntagszeitung im In- und Ausland auf Reportage. Zusammen mit Dirk Kaesler veröffentlichte sie 2021 im Verlag LiteraturWissenschaft.de Schön deutsch. Eine Entdeckungsreise.Sprecher Matthias PöhlmannAufnahme, Schnitt und Realisation Uwe Kullnick
Au Brésil, les sanctions contre Jair Bolsonaro se renforcent : l'ancien président, en procès pour tentative de coup d'État, vient d'être assigné à résidence par le tribunal suprême. Son tort est de s'être exprimé sur les réseaux sociaux, ce qui lui était formellement interdit. «Bolsonaro pourra-t-il rencontrer sa femme ? Parler au téléphone ? Aller chez le médecin ?» Le grand journal O Globo décortique le nouveau quotidien de l'ancien homme fort du Brésil, dont les gestes sont de plus en plus limités. Jair Bolsonaro pourra voir sa femme Michelle, sa fille et belle-fille, rassure O Globo, car elles vivent avec lui. Mais ses autres enfants devront demander une autorisation, qui sera certainement refusée dans le cas de son fils Eduardo, accusé également dans ce procès. Jair Bolsonaro pourra sortir chez le médecin, mais pas utiliser de téléphone, ni s'entretenir avec des responsables étrangers, ce qui est compréhensible étant donné l'énorme pression exercée par Washington dans ce dossier. Les nombreux juristes interrogés par O Globo estiment que cette sanction est logique, car Jair Bolsonaro a ouvertement violé les règles édictées par la justice. Et il pourrait rester assigné à résidence jusqu'à la fin de son procès, voire emprisonné dans un bâtiment militaire s'il ne respecte pas cette nouvelle sanction. D'autres médias brésiliens sont plus exaspérés. «Nous vivons sous la dictature d'une Cour suprême, où un juge peut décider ce qu'il veut sans aucune limite, tonne un éditorialiste dans le Folha de Sao Paolo. Loin d'être un adorateur de Bolsonaro, cet économiste assure que «la place d'un putschiste comme lui est bien en prison» mais que le juge Moraes va trop loin. «Il est à la fois victime, enquêteur et juge. Et punit sévèrement ceux qui lui désobéissent», dénonce-t-il. Le zèle du juge était nécessaire pour contrer la dérive autoritaire de Bolsonaro, quand il était au pouvoir, mais il doit maintenant s'arrêter. Sauf que la puissance est devenue une drogue pour le juge : «Le problème des pouvoirs exceptionnels est qu'une fois passée la menace qui justifiait leur utilisation, ils ont tendance à se maintenir», s'inquiète l'éditorialiste brésilien. En Argentine, veto pour empêcher l'augmentation des retraites Le président ultralibéral Javier Milei refuse cette réforme pour la 2è fois, et empêche donc la promulgation de la loi qui permettait cette augmentation. Une décision cruelle pour les intéressés. «Le niveau des retraites est très bas, rapporte la syndicaliste argentine Sandra Zapatero . Il est en-dessous du niveau de la pauvreté, et l'augmentation prévue est minime. Les retraités pourraient peut-être s'acheter 3 kilos de pain en plus… c'est rien ! Les retraités vivent leur pire moment de l'histoire. » Cela n'émeut pas le président argentin, qui a promis de redresser les comptes publics de manière drastique. Avec une efficacité comptable, car ces comptes ont terminé la dernière année fiscale en excédent, pour la 1ère fois depuis 14 ans, grâce à une baisse de 27% des dépenses de l'État. Pour Javier Milei, accepter ces augmentations des retraites ferait donc «couler l'Argentine au fond de la rivière», illustre une éditorialiste du quotidien La Nacion. Pour le président, «ce veto n'est donc pas cruel, mais responsable. Et le président est prêt à en payer le coût politique». Toutefois, cette posture est affaiblie par un autre dossier : la présidence vient d'octroyer d'importants allégements fiscaux aux entreprises de la Terre de feu, au sud du pays. «Pourquoi ce gouvernement libertarien qui dérégule et se désengage vient soudainement en soutien à ces entrepreneurs?», s'interroge cette chroniqueuse. En Amérique latine, les entrepreneuses peinent à recevoir des financements Ces femmes d'affaires dirigent de petites et moyennes entreprises d'Amérique latine, créent des emplois, mais manquent de soutien: leurs entreprises ne reçoivent que 1% des aides publiques ou des crédits, révèle El Pais. Mais cela change doucement : le correspondant régional rapporte qu'en Colombie et au Paraguay, des grands groupes cherchent à diversifier leurs fournisseurs, et aident les sociétés dirigées par des femmes, entre autres, car elles sont perçues comme plus résilientes financièrement. Des formations sont aussi offertes à ces entrepreneuses pour qu'elles améliorent leur réseau, et sortent de leur marginalisation traditionnelle. L'égalité est encore loin, mais quand les entreprises voient des avantages économiques à favoriser les femmes, on peut considérer qu'on est sur une bonne voie. En Haïti, l'aide aux déplacés est insuffisante 1,3 million de personnes sont déplacées par les violences en Haïti, selon l'ONU. L'État distribue des chèques de 100 000 gourdes (720 euros) à ces personnes pour les aider à se reloger, mais cette somme est dérisoire par rapport aux prix des loyers, et du reste, beaucoup ne peuvent pas rentrer à cause de la fermeture des routes nationales par les bandits. Reportage de notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Sur la trace des bouteilles en plastique qui polluent nos côtes Ce mardi s'ouvre, à Genève, les négociations finales pour aboutir à un accord international pour lutter contre la pollution plastique. Des chercheurs de l'Université de Barcelone, en collaboration avec l'Université catholique du nord du Chili, ont réalisé une enquête inédite sur l'origine des bouteilles en plastique. Ils ont analysé plus de 12 000 kilomètres de côtes dans dix pays d'Amérique latine. Nemo Lecoq-Jammes s'est entretenu avec l'un d'eux. Miquel Canals est directeur du groupe de recherche en géosciences marines de la Faculté des sciences de la Terre de l'Université de Barcelone. Entretien.
Ein romantischer Sonnenuntergang auf Borkum, ein süßes Biber-Meme, Zieleinlauf beim Ingelheimer Polder-Run. Social Media könnte ein Ort des lebensfreudigen Austausches sein. Stattdessen füllen sich Kommentarspalten nicht selten mit abwertenden Bemerkungen, Beleidigungen, Zurechtweisungen, roten Ausrufezeichen und Kotze-Emojis. Für einige ist Hate-Speech ein Hobby geworden. Die Gründe sind vielfältig. Verletzte Eitelkeit, Langeweile, Kulturkampf oder gezielte politisch motivierte Hetze. Damit muss man irgendwie klarkommen, will man sich nicht komplett aus digitalen Netzwerken zurückziehen. Aber wie? (Wir kriegen ja schon Herzrasen, wenn wir zwei Flat White mit einem 50 Euroschein bezahlen müssen. Gott bewahre uns davor, unvorbereitet ins Auge eines amtlichen Shitstorms zu geraten). Aminata Belli ist als Schwarze Frau in der Öffentlichkeit so eine Art Honey Pot für Hobby-Hasser auf allen Plattformen. Sie kocht ein norddeutsches Gericht, sie nutzt den Begriff „weißer Mann“ oder dreht eine Reportage über den „Gender Orgasm Gap“ – für einige jedes Mal ein guter Anlass, in ihrer Kommentarspalte zu eskalieren. Meist frauenfeindlich oder rassistisch, nie an einem echten Diskurs interessiert. In dieser Folge erzählt Aminata, was sie verletzt, welche Kommentare ihr am A… vorbeigehen, dass man nicht mit jedem befreundet sein kann, und welche Entwicklungen ihr wirklich Sorgen bereiten. Und dass sie hin und wieder Profile bei Hate Aid meldet. Wir haben auch mit Judith Strieder von Hate Aid gesprochen. Sie und ihr Team betreuen Menschen, die digitale Gewalt erfahren haben. Meist sind das Privatpersonen, die gar nicht mal so viele Follower haben. Aber auch die werden gestalkt, bekommen Dick Pics oder werden in sozialen Netzwerken bloßgestellt. Der Ton im Netz wird härter, aber es ist keine Alternative den Hetzern das Feld zu überlassen. Mehr hier: https://hateaid.org Und hier das Quiz, das Anne mit 0 Fehlern bestanden hat. Glückwunsch nochmal! https://hateaid.org/quiz-gegenrede/ Unser Podcast Tipp: https://www.ardaudiothek.de/sendung/musste-durch-mit-levi-und-fabi/urn:ard:show:a029fd2f59cb52dd/ Mit dieser Folge verabschieden wir uns in die kleine Sommerpause. Wir freuen uns über 5 Sterne-Bewertungen und liebende Kommentare. Denn wir lieben euch ja sowieso.
durée : 00:03:55 - Rencontre avec les chœurs de jeunes au festival Les Choralies, dans le Vaucluse - Direction le Vaucluse, dans la petite commune de Vaison-la-Romaine. Tous les trois ans, elle accueille le grand rassemblement du chant choral avec 4 000 festivaliers et des chanteurs venus du monde entier. Parmi eux, des chœurs de jeunes chanteurs. Nous les avons rencontrés. Reportage. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est une nouvelle illustration de la violence qui grangrène Haïti. À Kenscoff, 9 personnes ont été enlevées ce week-end, à l'orphelinat Sainte-Hélène. L'établissement, créé en 1988, accueille environ 270 enfants, dont une cinquantaine vivant avec un handicap. Parmi les victimes : une ressortissante irlandaise, responsable de la section réservée aux enfants à mobilité réduite, une infirmière et un enfant de 3 ans. Cette attaque sans précédent choque profondément la population. Aucune revendication, ni demande de rançon n'ont été formulées pour l'instant. Le maire de la commune, Jean Massillon, lance un appel urgent aux autorités pour prendre des mesures concrètes et arrêter cette spirale de violence qui s'installe dans sa commune depuis le début de l'année 2025. C'est ce qu'il a confié au correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama. En Haïti, les malades du cancer ont beaucoup de mal à se soigner. Le Miami Herald raconte l'histoire de Jean Fritz Dieu, habitant de l'Ile à vache, dans le baie des Cayes, qui est mort ce week-end après s'être battu contre le cancer pendant quatre ans. Pendant un temps, il a pris un bateau puis le bus pour se faire soigner à Port-au-Prince. Il a ensuite fait la route en moto. Il lui fallait alors jongler avec «les péages des gangs, les fusillades et les barrages policiers», détaille le journal. Puis quand les gangs ont coupé la dernière route allant jusqu'à la capitale haïtienne, l'homme de 42 ans a pris un bateau. Et quand la chimiothérapie n'a plus fait d'effet et que Jean Fritz Dieu a eu besoin de radiothérapie, l'homme est allé se faire soigner en République dominicaine, grâce à une ONG. «Alors que la radiothérapie reste une part important dans le traitement du cancer, il n'y a plus aucune machine en Haïti (...) depuis plus de 20 ans», explique le quotidien américain. En mars 2025, raconte encore le journal, «les gangs ont attaqué Mirebalais, entraînant l'évacuation de l'hôpital» de la ville, «l'établissement de santé le plus moderne d'Haïti». 40% des hôpitaux et cliniques de Port-au-Prince ne fonctionnent plus. Aux manques de moyens, s'ajoute donc la distance à parcourir pour se faire soigner. Et puis le coût bien sûr car, bien souvent, il faut aller dans des établissements privés ou se rendre à l'étranger. Mais même si on a l'argent pour se rendre à Cuba ou en République dominicaine comme le faisaient auparavant les Haïtiens, est «quasiment impossible» aujourd'hui, explique le Miami Herald car il n'y a pas de vols directs vers Cuba et les frontières avec la République dominicaine sont fermées. La seule solution, ce sont donc les visas humanitaires, raconte un médecin interrogé par le journal. Mais là encore, c'est très compliqué. Bonne nouvelle dans ce panorama si triste, une première : avant-hier (2 août 2025), un service d'oncologie a ouvert dans une clinique privée aux Cayes. Démonstration de force des pro-Bolsonaro Au Brésil, plusieurs dizaines de milliers de sympathisants de Jair Bolsonaro ont défilé dans plusieurs grandes villes, ce dimanche 3 août 2025. Un soutien de plus pour l'ancien président brésilien, également défendu par son homologue américain. Washington envisage d'imposer 50% de taxes douanières sur certains produits du Brésil et Donald Trump justifie cette décision en accusant le juge de la Cour suprême, Alexandre de Moraes, de mener une «chasse aux sorcières» contre Jair Bolsonaro, en plein procès pour tentative de coup d'État. Reportage de Sarah Cozzolino, à Rio de Janeiro. Aux États-Unis, le coup de poker d'élus texans pour empêcher la réforme de la carte électorale Un nouveau palier est franchi dans cet «âpre conflit partisan», estime le New York Times qui parle de «manœuvre de la dernière chance». Des élus démocrates de la Chambre des représentants du Texas ont fait leurs valises hier afin qu'aujourd'hui, le quorum ne soit pas atteint et que le projet qui pourrait offrir 5 sièges de plus aux républicains lors des élections de mi-mandat en 2026, ne soit pas voté, explique le journal. C'est la 3è fois que les démocrates texans recourent à la politique de la chaise vide en 22 ans, depuis que les Républicains sont majoritaires, rappelle le Washington Post, mais cela n'a jamais marché. Les lois qu'ils dénonçaient ont toujours fini par être votées. En tout cas, plusieurs gouverneurs démocrates menacent de modifier, eux aussi, la carte électorale de leur État en leur faveur, rapporte le Washington Post. C'est un virage au sein de ce parti qui, jusqu'à présent, a toujours défendu un découpage des circonscriptions non partisan. Reza Zavvar, Iranien menacé d'être renvoyé des États-Unis Cet homme de 52 ans, arrivé aux États-Unis à 12 ans, qui a une «green card», pourrait être extradé vers la Roumanie ou l'Australie, 2 pays qu'il ne connaît pas, raconte le Washington Post. Quand il avait une vingtaine d'années, il a été arrêté deux fois en possession de cannabis. La justice avait finalement renoncé à le renvoyer en Iran, estimant le pays pas assez sûr. Mais ce refus d'exécuter l'ordonnance d'expulsion, l'administration Trump la transforme aujourd'hui en outil pour renvoyer Reza Zavvar, cette fois vers un pays tiers. Et ce n'est pas le seul Iranien dans le viseur des autorités américaines qui ciblent même des personnes au casier vierge, indique le Washington Post. Des cas rendus publics depuis que les États-Unis ont bombardé les installations nucléaires iraniennes, en juin 2025, souligne le journal. «L'érablanchiment» énerve au Canada C'est l'arbre symbole du Canada : l'érable, «maple» en anglais. Et c'est d'ailleurs ce qui inspire le nom d'un drôle de phénomène : le «Maple Washing» (ou «érablanchiment»), une pratique bien canadienne, mais pas forcément très honnête. Il s'agit d'une méthode de marketing pas très honnête qui consiste à faire passer des produis importés pour des produits canadiens en leur collant une feuille d'érable ou un drapeau blanc et rouge, le tout afin d'augmenter les prix, explique Nafi Alibert, correspondante de RFI à Montréal. Sauf que c'était sans compter sur le sens de l'observation des consommateurs canadiens qui regardent davantage les étiquettes et qui sont sensibles à l'origine des produits, surtout dans le contexte de la guerre commerciale avec les États-Unis. Des plaintes ont été déposées auprès de l'Agence canadienne d'inspection des aliments. Le journal de la 1ère Le fléau des algues sargasses est en hausse en Guadeloupe.
Suite de notre série qui vous emmène à la découverte des délices du continent. Au menu : le plat emblématique autour du lac Kivu, entre le Rwanda et l'est de la République démocratique du Congo : les sambazas ou isambazas. Ce sont de minuscules poissons, traditionnellement pêchés à la lumière de lampes de pompage. Frits ou en sauce, en plat ou en snack à partager, ils font le délice des habitants proches des rives du lac et des voyageurs. C'est notamment l'assiette incontournable des restaurants de la ville de Gisenyi, à l'ouest du Rwanda. Reportage de notre envoyée spéciale de retour de Gisenyi, au bord du lac Kivu.
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Centrafrique, à la découverte du Ngbaba, un sport traditionnel très pratiqué dans le pays. Le Ngbaba en langue locale Sango est un mélange de golf, du tennis ou encore de baseball. Il se joue avec deux équipes qui s'affrontent sur un terrain plat en frappant un palet en caoutchouc avec des bâtons pour marquer le but. Aujourd'hui, il n'existe pas de fédération de Ngbaba en Centrafrique et ce jeu se pratique de manière artisanale avec des joueurs capables de transformer des objets recyclés ou des matériaux du quotidien pour pratiquer ce sport traditionnel. Reportage de Rolf Steve Domia-leu. Après avoir recyclé des objets dans les quartiers, un groupe de joueurs de Ngbaba se rassemblent à l'ombre d'un teck sur le terrain de l'université de Bangui. Avec application, chacun fabrique ses propres équipements à base d'objets collectés : babouches, bâtons, caoutchoucs et même de la farine de manioc pour délimiter le terrain. Bernardine Terrach est à pied d'œuvre : « On n'a pas besoin de déployer beaucoup d'efforts pour avoir les équipements. Il suffit seulement de couper les branches d'arbres. On utilise un couteau ou une machette pour découper les branches. On peut même ramasser les bâtons par terre lorsqu'ils traînent. Il n'y a pas de bâtons spécifiques pour pouvoir jouer le Ngbaba avec. Il suffit de choisir les branches d'arbres qui sont solides. Nous fabriquons le palet à base des tapettes qu'on peut recycler, découper en rondelles. » Aujourd'hui, le Ngbaba est un sport traditionnel uniquement pratiqué en Centrafrique. Sonek Langaté est organisateur de tournois. Grâce à ses recherches auprès d'historiens et de sociologues, il a compris l'essence du jeu : « Ce jeu était à l'époque un rite d'initiation avec des valeurs de l'inclusivité et de solidarité. Lorsqu'on lance le palet, on ne sait pas qui viendra jouer. Il suffit d'avoir ton bâton, tu rentres et tu joues avec tout le monde. À l'époque, ces rites consistaient à mettre les gens ensemble, pour pouvoir développer une forme de solidarité mécanique dans notre société. » Avoir une fédération de Ngbaba Le Ngbaba est un jeu très physique qui nécessite aussi de la concentration et de l'intelligence. Debout à côté du terrain, David Louisant, l'un des joueurs, se prépare à faire son entrée : « C'est un jeu qui se pratique sur un terrain, un peu comme le football. Sauf qu'on ne le joue pas sur des gazons. Il faut un terrain en terre battue. On divise le terrain en deux, séparé par une ligne blanche. Et chaque équipe doit défendre son côté. Lorsqu'on lance le Ngbaba, ou le palet, tu dois tout faire pour que ça ne tombe pas dans ton camp. Tu dois faire de ton mieux pour le ramener dans le Camp adverse. Si ça tombe de ton côté, ça veut dire qu'on t'a marqué d'un point. » À chaque mouvement, course et frappe, la poussière envahit les lieux. À défaut d'une fédération, chaque arrondissement de Bangui dispose d'une association qui organise des rencontres inter-quartiers. Pour Sonek Langaté, il est temps de professionnaliser ce jeu : « On espère que nous aurons la fédération de Ngbaba cette année. Le vœu pieux que nous avons, c'est de faire en sorte que le Ngbaba soit considéré comme une discipline sportive à part entière pour essayer de pérenniser notre culture et traditions. C'est très important en termes de survie de notre culture. » Selon les historiens, le Ngbaba existait déjà à l'époque de l'Oubangui Chari, avant l'indépendance en 1960. Peut-il s'exporter à l'international ? Aujourd'hui, c'est le rêve de tous les joueurs.
Au Bénin, le culte vodoun honore la puissance des éléments, l'eau, la terre, l'air, la foudre et on invoque les ancêtres, pour améliorer sa vie. Les croyances traditionnelles en ces forces du monde invisible sont très ancrées avec un vaste panthéon des dieux, des ancêtres que l'on invoque et l'oracle, le fa, l'art divinatoire, que l'on consulte. C'est l'une des religions endogènes qui, depuis 1993, est célébrée le 10 janvier. (Rediffusion) Des pratiques ancestrales qui ont été longtemps interdites par les puissances coloniales. Le christianisme qui s'est implanté à partir de la moitié du XIXè siècle au Bénin a considéré les rites de ces religions traditionnelles comme de la sorcellerie maléfique, diabolique, notamment le vodoun qui a été stigmatisé. Aujourd'hui, les temples vodoun, les églises catholiques, protestantes, évangéliques et les mosquées cohabitent pacifiquement, le christianisme et l'islam ont d'ailleurs intégré la culture traditionnelle dans leurs pratiques, ce qu'on appelle l'inculturation. Mais beaucoup de fidèles naviguent entre le vodoun et les autres religions, notamment vers le christianisme qui poursuit sa quête d'évangélisation. Comment réagit-on de part et d'autre ? Reportage au Bénin à la rencontre de fidèles et de représentants de toutes les religions. Émission initialement diffusée le 26/01/2025.
durée : 00:53:56 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - réalisation : Annie Brault
C'est le côté obscur de la lutte contre le changement climatique. Pour émettre moins de gaz à effet de serre, nous éliminons dans de nombreux secteurs la combustion du pétrole, du gaz et du charbon en la remplaçant par l'électrification. Mais cette électrification de nos économies nécessite l'extraction de minerai dans des quantités massives avec des conséquences environnementales catastrophiques. (Rediffusion du 30 mai 2025) Nous parlons souvent du cuivre et du cobalt, mais il y a aussi le nickel. Ce minerai est essentiel à la fabrication de l'acier inoxydable, mais aussi désormais à celle des batteries de véhicules électriques. Son extraction a donc massivement augmenté ces dernières années. Avec 21 millions de tonnes, l'Indonésie détient la moitié des réserves mondiales de nickel. Le pays a fait de ce secteur la clé de son programme de développement national, mais à quel prix environnemental et social ? Yann Chavance est allé enquêter ! Reportage de Yann Chavance en Indonésie.
Oft kommt es vor, dass mitten in der Nacht mehrere Schleusergruppen gleichzeitig aufbrechen. Mit Bolzenschneidern und Trennschleifern durchtrennen sie in Sekunden den Grenzzaun in Ungarn – die Grenzschützer dürfen keinen Moment zögern. Im zweiten Teil unserer Reportage erlebt unsere Reporterin, wie ein solcher Einsatz konkret abläuft.
Donald Trump a annoncé que les États-Unis imposeront 50% de droits de douane sur une grande partie des produits importés du Brésil, à partir du 6 août 2025. Un coup dur pour la plus grande économie sud-américaine. «Un grand sentiment de frustration». Voici la réaction à chaud du président de l'Association brésilienne des producteurs de sucre, rapportés par la Folha de Sao Paolo. Renato Cunha a accompagné la délégation parlementaire aux États-Unis cette semaine pour essayer d'obtenir un accord, mais impossible : «il y avait un mépris total, personne ne nous a vraiment accueillis, commente l'entrepreneur. Car il ne s'agit pas d'une décision commerciale, mais politique, venant du président». Ces droits de douane sont les plus sévères imposées au Brésil en 200 ans de relations diplomatiques, pointe le journal O Globo, et le secteur agricole est le plus durement touché - le secteur bovin a déjà perdu 1 milliard de dollars dans les six derniers mois de tarifs douaniers et demande déjà le soutien du gouvernement fédéral. Mais le journal de Rio voit aussi la bouteille à moitié pleine : «700 produits ont été exclus de tarifs, soit 43% du total des exportations», dont une grande partie du secteur manufacturier. Le cours en bourse du constructeur brésilien d'avions Embraer a ainsi grimpé de 10% hier (30 juillet 2025) après avoir été exclu de la hausse des droits de douane, gagnant plus de 600 millions d'euros. Le gouvernement brésilien n'a toutefois pas dit son dernier mot «L'attaque contre le Brésil aura une réponse judiciaire», assure une éditorialiste du quotidien O Globo. Le décret qui impose des droits de douane ainsi que les sanctions contre le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes se basent sur de prétendues atteintes aux droits humains contre l'ancien président Bolsonaro, «ce qui n'est pas justifié», assure la chroniqueuse. Le Brésil pourrait ainsi saisir la justice américaine, ou faire recours devant la justice internationale. Ce qui est sûr, conclut-elle, c'est que «l'extrême droite brésilienne, cachée derrière cette mesure, reste en mode coup d'État et n'a pas honte de se battre pour la soumission du pays». Le Chili est soulagé Les produits à base de cuivre doivent en effet être taxés de 50% à partir du 1er août 2025, mais pas la matière première. Énorme soulagement pour le Chili, qui est le premier producteur et exportateur de ce métal au monde. Le quotidien El Mercurio estime que le répit ne pourrait toutefois n'être que temporaire, car 15% de taxes pourraient encore être imposés dès 2027. L'incertitude et l'imposition des tarifs sur les tuyaux et autres produits en cuivre a quand même entraîné une chute de 21% du cours du métal à la bourse de New York, rapporte le journal Tercera. Le coût de ces droits de douane se fait sentir aux États-Unis Cela a été annoncé mercredi par l'énorme groupe Procter et Gamble, une référence pour les produits de première nécessité comme le liquide vaisselle, le dentifrice et le détergent - la multinationale augmentera ses prix de 2.5% en moyenne, sur un quart de ses produits dès le mois d'août, rapporte le Washington Post... Ceci en partie à cause des droits de douane d'un milliard de dollars qu'il prévoit chaque année. La chaîne de grande distribution Walmart, elle, prévoit des augmentations pour les produits fabriqués en Chine, comme les articles pour bébés, les ustensiles de cuisine et les jouets. Les droits de douane de 50% sur l'acier et l'aluminium entraîneront aussi une hausse des coûts des emballages alimentaires et des boissons, comme les boîtes de café et les canettes de bière. Tout devrait y passer, donc. Les consommateurs américains comprennent qu'ils vont payer, rapporte le quotidien de Washington, et ils constituent des stocks de détresse avant la rentrée scolaire. Panique et incertitude s'installent dans les rayons de supermarchés. Il est donc de plus en plus difficile de savoir qui va bénéficier de cette guerre commerciale lancée par Donald Trump. En Argentine, la recherche scientifique subit les coupes budgétaires du président ultra-libéral Javier Milei Déjà affaiblie par des coupes budgétaires massives et une chute des salaires, la recherche est à nouveau visée par un décret limitant les compétences de sa principale agence de financement. Face à une fuite inédite des cerveaux, la communauté scientifique alerte sur les conséquences d'un véritable « scientificide ». Reportage de Lucas Lazo dans le laboratoire de neuroscience de l'Université de Buenos Aires. En Haïti, l'organisation des États d'Amérique présente une nouvelle feuille de route pour la sécurisation de Haïti. Le rédacteur en chef du quotidien Le Nouvelliste, Franz Duval, offre une analyse critique et dénonce le peu de moyens proposés pour la sécurisation de l'île, qui est le problème principal pour les habitants ? Aux États-Unis, un redécoupage électoral controversé. Les républicains sont lancés dans une grande opération de redécoupage électoral entre le Texas et la Californie, dans le but d'essayer de gagner jusqu'à cinq sièges lors des prochaines élections de mi-mandat, l'année prochaine (2026). Une opération qui fait débat, nous raconte notre correspondante Loubna Anaki.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Radio diffusant en slovaque d'Oujgorod en Ukraine. Reportage de la présentation du livre de Maria Danthine Dopjerova La France par le stylo et le pinceau.
Weil die Sowjets einst die Nazis aus Kirkenes verjagten, war die Beziehung zu den Russen gut. Doch der Ukraine-Krieg hat alles verändert. Bis heute. Heutiger Gast: Linda Koponen, Korrespondentin Nordeuropa und Baltikum Host: Simon Schaffer Die [ganze Reportage von Linda Koponen](https://www.nzz.ch/international/kirkenes-im-kampf-gegen-russlands-hybriden-krieg-gegen-des-westen-ld.1860432) aus Kirkenes findet ihr bei der NZZ. Mehr lesen? Zum Beispiel mit [NZZ Digital](https://abo.nzz.ch/m_99002860/?trco=19001541-05-18-0001-0000-000000-00000004&tpcc=19001541-05-18-0001-0000-000000-00000004&gad_source=1&gad_campaignid=199803519&gbraid=0AAAAAD5QrmmlQFcygwoucH_6DU3Ty7DUY&gclid=Cj0KCQjwhafEBhCcARIsAEGZEKL4Fyc5w_zUnPt6ANc27nOzSaNqWLrvgpDLmtTtlcq5WZ_bGuFdlbAaAnb9EALw_wcB#year).
Sue war 36 als die Beschwerden begannen: Kopfschmerzen, Dünnhäutigkeit, Schlafstörungen. «Ich dachte, es sei Stress: kleine Kinder, strenger Job.» Aber es sind die frühen Wechseljahre. Input über eine Phase, die viele Frauen vor 40 und auch Ärztinnen und Ärzte nicht auf dem Schirm haben. «Sue ist kein Einzelfall», sagt Susanna Weidlinger, Oberärztin vom Menopausezentrum am Inselspital Bern. Zu ihr kommen viele Frauen, bei denen die ersten Wechseljahrbeschwerden schon vor 40 auftreten. «Oft waren diese Frauen schon bei zig Fachärzten, im Schlaflabor, bei der Frühdemenz-Abklärung, beim Rheumatologen. Denn viele Ärzte und Ärztinnen haben die frühen Wechseljahre nicht auf dem Schirm.» Es sei auch tatsächlich schwierig, diese frühen Beschwerden zu diagnostizieren, vor allem weil der Menstruationszyklus noch regel-mässig ist. Zudem sind viele dieser Frauen mit Mehrfachbelastungen konfrontiert – sei es durch anspruchsvolle Berufe oder die Be-treuung kleiner Kinder. Input klärt auf: Was passiert in dieser Phase im Körper und warum haben ÄrztInnen das nicht auf dem Schirm? ____________________ Habt ihr Feedback, Fragen oder Wünsche? Wir freuen uns auf eure Nachrichten an input@srf.ch – und wenn ihr euren Freund:innen und Kolleg:innen von uns erzählt. ____________________ 00:00 Intro 01:36 Sue erzählt von ihren frühen Wechseljahrbeschwerden 09:30 Menopause, Perimenopause und Prämenopause 18:40 Die Frauenärztin über die frühen Wechseljahrbeschwerden 25.15 Viele Ärzte und Ärztinnen haben die frühen Wechseljahre nicht auf dem Schirm 33:51 Warum wissen wir nichts über die frühen Wechseljahrbeschwerden? ____________________ In dieser Episode zu hören - Sue J. (44), erzählt von ihren frühen Wechseljahrbeschwerden - Susanna Weidlinger, Oberärztin Menopause-Zentrum Inselspital Bern, Präsidentin Schweizerische Menopausenge-sellschaft - Strassenumfrage ____________________ - Autorin: Mariel Kreis - Publizistische Leitung: Anita Richner ____________________ Das ist «Input»: Dem Leben in der Schweiz auf der Spur – mit all seinen Widersprüchen und Fragen. Der Podcast «Input» liefert jede Woche eine Reportage zu den Themen, die euch bewegen ____________________ Diese Folge wurde zum ersten Mal am 16.10.2024 ausgestrahlt.
Si vous regardez autour de vous, il y a sûrement de l'acier quelque part. Même si vous êtes loin de la tour Eiffel ou du pont de San Francisco, cet alliage est devenu indispensable pour fabriquer nos transports, nos bâtiments, nos machines industrielles, mais aussi des prothèses médicales, des ciseaux ou des couverts… Résultat : 1,8 milliard de tonnes d'acier sont produites dans le monde chaque année. (Rediffusion du 05/07/2024) Le problème, c'est que produire de l'acier émet beaucoup de dioxyde de carbone. 8% des émissions mondiales de CO2 en 2023 pour être précis. Alors comment faire ? En utiliser moins ? Cela va être compliqué, car la demande est croissante. Le recycler ? C'est déjà le cas pour ¼ de l'acier mondial. La Suède est le premier pays au monde à se lancer dans la production d'acier vert. Même si elle ne produit que 1% de l'acier mondial, elle montre la voie. Cela se passe dans le nord du pays, à 200 km au-delà du Cercle polaire. Dans la ville de Kiruna pour l'extraction du minerai de fer qui fournit 80% des besoins européens. Et dans celle de Lulea pour les aciéries. C'est donc là que nous vous emmenons aujourd'hui. Dans la région de Norrbotten connue pour ses aurores boréales et ses forêts à perte de vue. Nous allons commencer par la ville de Kiruna où, en ce moment, la nuit ne tombe jamais… Reportage réalisé par François Porcheron. Financé par l'Union européenne. Les points de vue et avis exprimés n'engagent toutefois que leur(s) auteur(s) et ne reflètent pas nécessairement ceux de l'Union européenne ou de l'Agence exécutive européenne pour l'éducation et la culture (EACEA). Ni l'Union européenne ni l'EACEA ne sauraient en être tenues pour responsables.
durée : 00:02:07 - Le grand format - Aux États-Unis, Donald Trump poursuit la lutte contre l'immigration, visant en priorité les étrangers qui ont commis des actes répréhensibles, dit-il. Mais selon plusieurs ONG, beaucoup de personnes sans casier judiciaire se retrouvent enfermées dans des centres de rétention. Reportage à Washington. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:17 - Le Reportage de la rédaction - Le programme Limit's se diffuse progressivement pour "limiter l'implication des mineurs dans le trafic de stupéfiants". Reportage dans l'agglomération de Creil Sud Oise qui vient de signer un plan d'actions avec la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives.
C'est en Suisse que se tient un nouveau cycle d'exposition sous le signe du ré-enchantement avec Afrosonica, Paysages sonores. Reportage de Monica Fantini et Laurence Aloir avec Hadrien Touraud. Nous avons visité l'exposition Afrosonica paysages sonores qui se tient au Musée d'Ethnographie de Genève (MEG) jusqu'au 4 janvier 2026. Visite guidée avec nos invités : Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), Madelaine Leclair, Yewhe Yeton, Mathias Liengme, Dédé Duguet et Elsa M'Bala. Les co-commissaires sont Madeleine Leclair et conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), artiste Dj avec Mathias Liengme, conseiller scientifique. Yewhe Yeton est un musicien et chanteur béninois, Dédé Duguet, conteur et comédien martiniquais, Elsa M'Bala, artiste sonore d'origine camerounaise et Karl Mayala Bizet, disquaire et ambianceur à Brazzaville Records. Il s'agit d'une exposition sonore immersive qui explore le rôle de la musique et du son dans les sociétés africaines et leurs diasporas. À travers une sélection d'instruments, d'archives sonores et d'installations contemporaines, l'exposition met en lumière le pouvoir du son et de la musique pour ouvrir les esprits, ressentir l'instant présent, communiquer, établir des connexions entre humains et non-humains, transmettre des connaissances et des émotions et se souvenir. L'exposition présente aussi des installations centrées sur la voix des masques, les musiques méditatives pour lamellophones, ainsi que les musiques liées aux cultures vodoun et soufi. Un voyage au cœur des paysages sonores africains Par une approche transhistorique et multidisciplinaire, Afrosonica - Paysages sonores met en lumière le pouvoir du son comme source dynamique de connexion, de mémoire et de transformation culturelle. L'exposition offre un voyage multisensoriel à travers des musiques issues du continent africain. Afrosonica - Paysages sonores invite à expérimenter différents aspects du rôle du son et de la musique : connexion avec sa propre intériorité, avec son histoire et sa généalogie, avec son environnement et avec l'au-delà. L'ancrage historique et contemporain L'exposition Afrosonica - Paysages sonores est ancrée dans la réalité historique et contemporaine de l'Afrique et de ses diasporas. L'exposition couvre des millénaires, de la création sonore contemporaine aux patrimoines musicaux hérités et transmis sur plusieurs générations. Le parcours de l'exposition montre comment le sonore constitue un lien entre des pratiques d'origine ancienne, comme la danse ou le jeu de certains instruments de musique, et d'autres, plus contemporaines, comme les musiques électroniques et expérimentales. Afrosonica - Paysages sonores présente une multitude de pratiques musicales et sonores provenant de différentes régions du continent africain, de l'Égypte à l'Afrique du Sud en passant par le Bénin, et au-delà, dans certaines de ses diasporas, y compris aux États-Unis. Un focus sur la diversité instrumentale et matérielle Une grande variété d'instruments de musique est mise en valeur dans le parcours de l'exposition, comme les lamellophones (sanza, mbira, likembe, etc.), joués dans un contexte méditatif, les harpes, dont on trouve des représentations sur des peintures pariétales datant de plusieurs millénaires, divers instruments anthropomorphes qui relient l'humain et le sonore, ou encore le rhombe, dont la sonorité revêt une dimension sacrée. L'exposition s'intéresse également aux multiples matériaux utilisés pour fabriquer ces instruments, qu'ils soient issus de l'environnement naturel ou récupérés. Avec les œuvres de : Tarek Atoui, Rohan Ayinde et Tayo Rapoport, Sammy Baloji et David Nadeau-Bernatchez, Elena Bertuzzi, Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), Sonia Boyce avec Ain Bailey, Simnikiwe Buhlungu, DJ Lynnée Denise, Ahmed Essyad, Em'kal Eyongakpa, Hamadoun Kassogué, KMRU, Evita Koné, Mansara et Amaury Voslion, Luca Mazzaferri, Elsa M'Bala, Yara Mekawei, Trinity Mesimé Njume-Ebong, Aja Monet, Bocar Niang, Nicolas Repac, Reda Sayagh, Jürgen Schadeberg, Segen, Wasulu Selecta, Bintou Simporé, Penny Siopis, Binetou Sylla, Midori Takada, Laëtycia Vumuka. Playlist : Mo Laudi, Yewhe Yeton, Sibusile Xaba, Aja Monet et Dr Nico & l'African Fiesta. Voir le Facebook du MEG. Reportage de Monica Fantini et Laurence Aloir avec Hadrien Touraud.
C'est en Suisse que se tient un nouveau cycle d'exposition sous le signe du ré-enchantement avec Afrosonica, Paysages sonores. Reportage de Monica Fantini et Laurence Aloir avec Hadrien Touraud. Nous avons visité l'exposition Afrosonica paysages sonores qui se tient au Musée d'Ethnographie de Genève (MEG) jusqu'au 4 janvier 2026. Visite guidée avec nos invités : Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), Madelaine Leclair, Yewhe Yeton, Mathias Liengme, Dédé Duguet et Elsa M'Bala. Les co-commissaires sont Madeleine Leclair et conservatrice au MEG, et Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), artiste Dj avec Mathias Liengme, conseiller scientifique. Yewhe Yeton est un musicien et chanteur béninois, Dédé Duguet, conteur et comédien martiniquais, Elsa M'Bala, artiste sonore d'origine camerounaise et Karl Mayala Bizet, disquaire et ambianceur à Brazzaville Records. Il s'agit d'une exposition sonore immersive qui explore le rôle de la musique et du son dans les sociétés africaines et leurs diasporas. À travers une sélection d'instruments, d'archives sonores et d'installations contemporaines, l'exposition met en lumière le pouvoir du son et de la musique pour ouvrir les esprits, ressentir l'instant présent, communiquer, établir des connexions entre humains et non-humains, transmettre des connaissances et des émotions et se souvenir. L'exposition présente aussi des installations centrées sur la voix des masques, les musiques méditatives pour lamellophones, ainsi que les musiques liées aux cultures vodoun et soufi. Un voyage au cœur des paysages sonores africains Par une approche transhistorique et multidisciplinaire, Afrosonica - Paysages sonores met en lumière le pouvoir du son comme source dynamique de connexion, de mémoire et de transformation culturelle. L'exposition offre un voyage multisensoriel à travers des musiques issues du continent africain. Afrosonica - Paysages sonores invite à expérimenter différents aspects du rôle du son et de la musique : connexion avec sa propre intériorité, avec son histoire et sa généalogie, avec son environnement et avec l'au-delà. L'ancrage historique et contemporain L'exposition Afrosonica - Paysages sonores est ancrée dans la réalité historique et contemporaine de l'Afrique et de ses diasporas. L'exposition couvre des millénaires, de la création sonore contemporaine aux patrimoines musicaux hérités et transmis sur plusieurs générations. Le parcours de l'exposition montre comment le sonore constitue un lien entre des pratiques d'origine ancienne, comme la danse ou le jeu de certains instruments de musique, et d'autres, plus contemporaines, comme les musiques électroniques et expérimentales. Afrosonica - Paysages sonores présente une multitude de pratiques musicales et sonores provenant de différentes régions du continent africain, de l'Égypte à l'Afrique du Sud en passant par le Bénin, et au-delà, dans certaines de ses diasporas, y compris aux États-Unis. Un focus sur la diversité instrumentale et matérielle Une grande variété d'instruments de musique est mise en valeur dans le parcours de l'exposition, comme les lamellophones (sanza, mbira, likembe, etc.), joués dans un contexte méditatif, les harpes, dont on trouve des représentations sur des peintures pariétales datant de plusieurs millénaires, divers instruments anthropomorphes qui relient l'humain et le sonore, ou encore le rhombe, dont la sonorité revêt une dimension sacrée. L'exposition s'intéresse également aux multiples matériaux utilisés pour fabriquer ces instruments, qu'ils soient issus de l'environnement naturel ou récupérés. Avec les œuvres de : Tarek Atoui, Rohan Ayinde et Tayo Rapoport, Sammy Baloji et David Nadeau-Bernatchez, Elena Bertuzzi, Ntshepe Tsekere Bopape (Mo Laudi), Sonia Boyce avec Ain Bailey, Simnikiwe Buhlungu, DJ Lynnée Denise, Ahmed Essyad, Em'kal Eyongakpa, Hamadoun Kassogué, KMRU, Evita Koné, Mansara et Amaury Voslion, Luca Mazzaferri, Elsa M'Bala, Yara Mekawei, Trinity Mesimé Njume-Ebong, Aja Monet, Bocar Niang, Nicolas Repac, Reda Sayagh, Jürgen Schadeberg, Segen, Wasulu Selecta, Bintou Simporé, Penny Siopis, Binetou Sylla, Midori Takada, Laëtycia Vumuka. Playlist : Mo Laudi, Yewhe Yeton, Sibusile Xaba, Aja Monet et Dr Nico & l'African Fiesta. Voir le Facebook du MEG. Reportage de Monica Fantini et Laurence Aloir avec Hadrien Touraud.
Ils ont changé le visage de Paris et ont fait rêver le monde entier... Il y a un an, le 26 juillet 2024, les Jeux olympiques étaient lancés, au cœur de la capitale française, lors d'une cérémonie d'ouverture grandiose sur la Seine, Des jeux urbains avec une promesse : profiter aux habitants du Grand Paris, rendre la Seine baignable, et transformer la Seine-Saint-Denis - département le plus pauvre de France métropolitaine. Un an plus tard, que reste-t-il des Jeux de Paris 2024 ? Que sont devenues les infrastructures ? La flamme brûle-t-elle toujours ?... Reportage de Sonia Baritello.
La marche des fiertés berlinoise se tient ce samedi 26 juillet. Plusieurs centaines de milliers de personnes sont attendues dans la capitale allemande pour célébrer les droits de la communauté LGBTQ+. Cet événement se déroule alors que les agressions contre ces marches augmentent, comme les délits homophobes. Dans le monde politique, ces questions polarisent. Reportage de notre correspondant à Berlin. À lire aussiDroits des personnes LGBTQ+: tour d'horizon des situations à travers le monde
durée : 00:04:26 - Le Reportage de la rédaction - Le secteur du travail social regroupe 1 300 000 million de salariés. La fédération des acteurs de la solidarité (FAS) a organisé les journées du travail social à Nancy. Reportage dans cette ville à l'Association Accueil et Réinsertion Sociale (AARS), qui accueille des personnes sans domicile fixe.
durée : 00:14:57 - Journal de 8 h - Reportage, dans cette édition, près de Tel Aviv où des rescapés attendent toujours de rentrer chez eux.
durée : 00:14:57 - Journal de 8 h - Reportage, dans cette édition, près de Tel Aviv où des rescapés attendent toujours de rentrer chez eux.
durée : 00:14:57 - Journal de 8 h - Reportage, dans cette édition, près de Tel Aviv où des rescapés attendent toujours de rentrer chez eux.
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) toucherait environ 5% des enfants en France, selon la Haute Autorité de Santé. Ce trouble du neurodéveloppement se manifeste par un déficit de l'attention, de l'hyperactivité et de l'impulsivité. Sur quelles bases se fonde le diagnostic ? Pourquoi est-il difficile à poser ? Quelles prises en charge existent ? Dr Margaux Dutemple, médecin psychiatre en cabinet et au Centre Médico-Psychologique Eugène Millon à Paris. Dr Anna-Corinne Bissouma, pédopsychiatre, docteur en psychologie à l'Institut national en santé publique à Abidjan en Côte d'Ivoire. Responsable d'un centre qui s'occupe des enfants ayant des troubles du neurodéveloppement. Reportage de Thibault Matha. Programmation musicale : ► Lady Wray – You're gonna win ► Prince – Free
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) toucherait environ 5% des enfants en France, selon la Haute Autorité de Santé. Ce trouble du neurodéveloppement se manifeste par un déficit de l'attention, de l'hyperactivité et de l'impulsivité. Sur quelles bases se fonde le diagnostic ? Pourquoi est-il difficile à poser ? Quelles prises en charge existent ? Dr Margaux Dutemple, médecin psychiatre en cabinet et au Centre Médico-Psychologique Eugène Millon à Paris. Dr Anna-Corinne Bissouma, pédopsychiatre, docteur en psychologie à l'Institut national en santé publique à Abidjan en Côte d'Ivoire. Responsable d'un centre qui s'occupe des enfants ayant des troubles du neurodéveloppement. Reportage de Thibault Matha. Programmation musicale : ► Lady Wray – You're gonna win ► Prince – Free
durée : 00:15:15 - Journal de 8 h - Reportage à l'hôpital Al-Shifa, dans la ville de Gaza, où 21 enfants enfants sont morts de faim ou de malnutrition ces trois derniers jours. Une centaine d'organisations humanitaires alertent sur la "famine de masse", tandis que l'Unicef France réclame la levée du blocus de l'aide alimentaire.
durée : 00:15:15 - Journal de 8 h - Reportage à l'hôpital Al-Shifa, dans la ville de Gaza, où 21 enfants enfants sont morts de faim ou de malnutrition ces trois derniers jours. Une centaine d'organisations humanitaires alertent sur la "famine de masse", tandis que l'Unicef France réclame la levée du blocus de l'aide alimentaire.
Le 31 janvier 2020, les cloches de Big Ben ont retenti, sonnant du même coup le glas de la participation du Royaume-Uni à l'Union européenne. 5 ans plus tard, certains Brexiters ont changé d'avis, et le bilan de cette sortie tonitruante reste mitigé, particulièrement dans le secteur agricole. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe. Cette émission est une réédition estivale de nos programmes Cinq ans après le Brexit, les agriculteurs britanniques font la moue Et si c'était à refaire ? Le Royaume-Uni ne quitterait sans doute pas l'UE si l'on en croit ce sondage Yougov publié, il y a quelques mois, fin janvier : 11% des personnes interrogées seulement estiment que le Brexit a été une réussite, et parmi les électeurs qui avaient voté oui au divorce, 20% sont pour un retour de leur pays dans l'UE. Au sein du secteur agricole où les partisans du Brexit étaient nombreux, le bilan, 5 ans plus tard, est mitigé. Le reportage de Marie Billon dans les Midlands. Les Balkans ne font plus rêver leurs jeunes L'exode de la jeunesse est l'une des questions qui préoccupent le plus le sud de l'Europe. La région des Balkans est l'une des plus touchées au monde par la fuite des cerveaux. Au point de susciter des craintes pour l'avenir même de ses sociétés. Les explications de notre correspondant dans les Balkans, Louis Seiller. Chronique musicale Le choix de Vincent Théval : Vecchia Storia, d'Ada Oda (Pelle d'oca). Les glaciers suisses, bientôt une carte postale du passé ? 40% : c'est le volume total perdu par les glaciers suisses depuis l'an 2000. Les scientifiques l'ont constaté, en 2024, la chaleur à la surface de la planète n'a jamais été aussi élevée. Les glaciers européens fondent à un rythme sans précédent et leur disparition semble inéluctable si rien n'est fait. Celui d'Aletsch, en Suisse, semble déjà condamné ; d'autres pourraient encore survivre, à condition que la neutralité carbone devienne réalité. Reportage sur le plus grand glacier d'Europe de l'Ouest, Jérémie Lanche.
C'est une première réalisée par le paléontologue Antoine Balzeau : recréer en 3D le cerveau de Neandertal et de Cro-Magnon. Le projet Paléo-brain ou comment se mettre dans la tête de nos ancêtres pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ? (Rediffusion du 11/02/2025) Mettons-nous dans la tête de nos ancêtres préhistoriques, pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ! Sauf qu'il y a un sacré problème : le cerveau ne se fossilise pas. Comment à partir du crâne de Néandertal Cro-Magnon ou Homo Erectus, reconstituer le contenu c'est-à-dire le cerveau de nos ancêtres ? Un défi de taille, relevé par notre invité le paléontologue Antoine Balzeau. Avec Antoine Balzeau, chargé de recherche au CNRS et chercheur au Muséum national d'Histoire naturelle. Il consacre ses travaux à l'étude des transformations morphologiques des premiers hommes, en s'intéressant surtout à l'évolution du crâne et du cerveau. Son ouvrage Dans la tête de nos ancêtres vient de paraître aux Éditions Belin. Reportage de Raphaëlle Pluskwa sur la pièce Néandertal au Théâtre du Rond-Point. Musiques diffusées - Serge Reggiani - L'homme fossile - Thomas Fersen, Trio SR9 – Blasé [Playlist RFI].
Dans le supplément de ce dimanche, Grand reportage week-end vous emmène en Pologne, sur le camp nazi d'extermination d'Auschwitz-Birkenau dont c'est le 80è anniversaire de la libération par l'armée russe en 1945... Des collégiens ou des familles de déportés font souvent le voyage pour un «travail» de mémoire et un hommage aux victimes de la Shoah. En seconde partie, direction le Pérou, où l'approvisionnement en eau potable demeure difficile notamment pour les personnes démunies. (Rediffusion) Mémoire de la Shoah: les jeunes se sentent-ils capables de la transmettre ? C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. Un Grand reportage de Baptiste Coulon qui s'entretient avec Jacques Allix. L'accès à l'eau dans la capitale péruvienne : avant tout le combat des pauvres À Lima, au Pérou, 1 million et demi de personnes n'ont pas accès à l'eau courante… Leur seul moyen d'approvisionnement est le passage d'un camion citerne, à la venue aléatoire et dont la qualité de l'eau est critique... ; et critiquée. Et si les pouvoirs publics ne s'emparent pas rapidement du sujet, de plus en plus de Péruviens risquent d'être concernés. Selon une étude d'Aquafondo, le Pérou ne disposera, en effet, d'ici 40 ans, que de 60% de ses ressources actuelles en eau. Un Grand reportage de Marion Bellal qui s'entretient avec Jacques Allix.