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Pas une sérénade mais plutôt une berceuse. "I Go To Sleep", le cadeau rêvé de Ray Davies des Kinks à Chrissie Hynde des Pretenders.

“S'il y a plus de trois accords, c'est du jazz.” Cette citation de Lou Reed ne s'applique pas à cette chanson à tiroirs, grand prix de la complexité.

Dès l'un de ses actes fondateurs, le rap US a pioché dans le funk blanc, preuve que ce genre n'a jamais été un ghetto.

Professeurs d'anglais, soyez cléments ! Si ce titre fait offense, grammaticalement, à la langue de Shakespeare, il honore la belle pop.

Si un groupe japonais mérite un coup de projecteur, c'est bien Lamp et ses mélodies lumineuses.

Rien à voir avec Sardou ou Nicolas Mathieu, si ce n'est un artiste qui a écrit les lettres de noblesse de la pop britannique des 40 dernières années.

Si Elton John n'a jamais donné dans le métal, Black Sabbath a mis de l'eau dans son vin sanglant en 1976 avec cette ballade sucrée.

Éphémère comme le Summer of Love, la carrière des Sundowners aura été marquée par cette chanson ensoleillée à jouer en toute saison.

En 1978, le groupe à la page, c'est Magazine. Son influence va s'étendre jusqu'à Paris où Taxi Girl s'empare d'un de leurs riffs pour en faire un tube.

Une icône de la scène française arrête le temps en 1973. Cette perle méconnue écrite avec Michel Berger se rappelle à nos oreilles.

Il avait créé World Party, il est parti du monde prématurément en mars 2024. La classe mondiale de Karl Wallinger à l'honneur dans cet épisode.

Ce thème, écrit pour faire pousser les plantes puis enterré pendant des années, a repris racine grâce à une pub, ça s'arrose !

Cette chanson partage le même titre qu'un classique des Beatles et pourrait elle-même devenir un standard d'un folk nouveau venu d'outre-Manche.

Avant d'être un tube de Madness, cette chanson follement entêtante a été l'un des coups de maître du soyeux Labi Siffre, plus tard samplé par Eminem.

Le premier souffle d'un titre qui deviendra un classique de King Crimson, porté par la voix de Judy Dyble, insaisissable comme le vent.

Quand le Beyrouth des années 70 se teinte de bossa nova, l'harmonie peut enfin régner au Proche-Orient.

Avant d'être le nom d'une série culte, Wire était un fleuron du post punk. Son chanteur se cache derrière une scène culte du film “Le silence des agneaux".

Peu de gens connaissent la version originale de ce tube de 1982, composé par une artiste souvent restée dans l'ombre des plus grands.

Ce musicien irlandais est certes moins connu que la Guinness, mais on reprendrait volontiers des pintes de ses chansons à écouter sans modération.

Derrière la rage post punk, le romantisme désespéré d'un écorché vif. “Missiles”, missive explosive signée Adrian Borland.

Dans la foulée du succès de “Porque te vas”, la chanteuse espagnole Jeanette sollicite le mythique André Popp, docteur ès pop music made in France.

Pour leur 3e album, Ben Folds Five citent un alpiniste et plantent un drapeau au sommet de l'Everest de la pop.

Cette artiste brésilienne se cache derrière un grand album de Françoise Hardy. Épisode sang pour sang culte !

Découvrez la pop ultra spontanée d'un champion texan du Do It Yourself.

La perle méconnue d'une superstar japonaise qui aurait fait craquer Pappy Boyington en plein Pearl Harbour.

Disparu un jour avant Sinéad O'Connor, Biff Rose n'a eu que peu de fleurs sur sa couronne. Il a pourtant été l'une des influences du jeune David Bowie.

Visite d'une maison typiquement britannique à travers une chanson biscornue que l'on doit aux frères Brewis, architectes du projet Field Music.

Un chanteur disparu, des albums mystérieux… Retour sur la carrière énigmatique d'un dandy "lynchien" des années 80.

En 1970, la dentiste Linda Perhacs abandonne le son strident du détartrage pour la douceur de son folk inspiré. Sourire “ultra brite” assuré.

Une éclaircie en plein confinement. En 2020, Dominique A reprend un titre phare de son adolescence et fait "le deuil d'une certaine jeunesse".

Une pionnière du son se cache derrière ce collectif de musiciens savants. L'album va marquer des générations d'artistes, de Stereolab à Broadcast.

1977 : Le perspicace Quincy Jones entend dans ce titre la patte d'un compositeur qui allait offrir ses plus grands succès à Michael Jackson.

Porté par sa chanteuse styliste, Swing Out Sister rétablit un dress code où l'on exige la robe de Dusty Springfield à l'entrée de sa pop lustrée.

Imaginez que ChatGPT ait créé un album inédit des Beach Boys. En 1969, Mark Eric sort un disque unique dont l'intelligence n'a rien d'artificiel.

Samplé par Massive Attack, courtisé par Grace Jones, Gainsbourg et Herbie Hancock, ce sorcier du son a coloré les 80's caché derrière son clavier.

Libre comme l'air, la chanson “At Last I'm Free” garde son chic d'une version à l'autre, de Chic à Liz Fraser en passant par Robert Wyatt.

Deux songwriters de légende au service d'une grande chanson : autoroute vers les sommets avec “The Highwayman” en live à la télé en 1991.

Sans eux, il n'y aurait jamais eu de Saturday Night Fever. Si les Bee Gees se sont mis au disco, c'est un peu grâce aux Delfonics.

Oui, il y a des gentlemen au Texas, comme l'atteste ce titre tout en finesse, arabesque gracieuse au pays du rodéo.

En 1975, qui aurait pu prédire que ce titre garderait tout son charme près d'un demi-siècle plus tard ? Pour une fois, l'astrologue ne s'était pas trompée.

Les disques d'Oren Lavie rendent la vie plus douce. Démonstration avec “Ruby Rises”…

Comment une musique de pub pour une banque va rimer avec jackpot pour les Carpenters. "We've Only Just Begun" ou le début d'un succès.