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J'associe Céline a deux de mes passions dans la vie : la nourriture et le rire. Vous le verrez, durant notre échange nous parlons de son rapport à sa passion et de son rapport à ses sourires. Sans connaître son histoire, il se trouve que ce que j'associait à Céline sont deux éléments important de sa vie qu'elle a dû apprendre à assumer : être une femme souriante et une femme qui cuisine (très bien) de la cuisine du Vietnam. Nous avons pris le temps ensemble de découvrir son parcours et je suis ravie de vous permettre d'en savoir plus sur cette femme merveilleuse.Si vous voulez découvrir Céline et son histoire vous pouvez aller par là : https://www.banhbanhrennes.com/Si vous souhaitez me contacter il y a plein de façon de le faire :toutlemondepassesurletrone@gmail.comhttps://www.linkedin.com/in/aminata-bleas-sangare-2556041b9/https://www.instagram.com/toutlemondepassesurletrone/Le podcast est une création originale d'Aminata Bléas-Sangaré, tous les épisodes sont mixés par Alice Krief : https://www.lesbellesfrequences.com/Musique d'@axelle_nllt et de @nathanaelgriot. RAP d'@aluxgt. Identité graphique : @leaguyaMerci à Elise, Kerrian, Kensoah, Prune-Agathe, Noadiah et Charlélie pour leurs voix.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Collées l'une à l'autre, traversées par une rivière, l'Oubangui, et séparées par une frontière, Zongo la congolaise est située en face de la capitale centrafricaine Bangui. Ces deux villes sont naturellement liées par l'histoire, la culture mais aussi très dépendantes économiquement l'une de l'autre. Bangui dépend de Zongo en produits agricoles et Zongo dépend de Bangui en produits manufacturés. Tous les jours, les commerçants des deux villes font des traversées en pirogue pour s'approvisionner dans une ambiance de fraternité. Et pour renforcer ce lien, un accord de jumelage a été signé entre les deux villes en 2021. De notre correspondant à Bangui,Un arc-en-ciel apparaît dans le ciel alors que la pluie se pointe à l'horizon. Quelques débrouillards qui occupent la berge, se précipitent pour décharger une pirogue en bois de couleur rouge qui vient d'accoster. Debout à l'extrémité de la pirogue, Gérard, un piroguier de 34 ans, donne quelques coups de pagaies pour stabiliser le canoë : « On fait la course tous les jours. Avec mon équipe, nous effectuons une dizaine de tours entre les deux villes. Là, je ramène des commerçants d'ici qui étaient de l'autre côté pour acheter des fruits et légumes. »Sur la berge, une dizaine de pirogues et baleinières sont accrochées à des chaînes. Devant chaque embarcation, piroguiers et passagers discutent. Les chargeurs font monter des casiers de boissons, des cartons de beurre, sucre, lait, huile ou encore des savons. Sourire aux lèvres, Adeline, propriétaire d'un magasin à Bangui, est sur le point d'aller vendre ses marchandises à Zongo : « Les produits que nous exportons manquent à Zongo. C'est notre devoir à nous les commerçants d'aller ravitailler cette ville jumelle. Les véhicules et les motos ne peuvent pas y aller donc nous utilisons la pirogue. »« Ce sont des sœurs siamoises »Aux heures de pointes, une embarcation débarque de Zongo. Debout sur le sable, les commerçantes discutent le prix avec les livreurs congolais. « Sur le plan d'huile de palme, c'est Zongo qui ravitaille l'usine du savon en Centrafrique, pointeRichard Apkiwé, président de la fédération des entreprises du Congo. Par jour, nous exportons plus de mille fûts d'huile de palme à Bangui. Chaque jour, nous envoyons des avocats, des cocos, des mangues, des arachides et des légumes à Bangui. »Dans son bureau, le maire de Zongo Arthur Nguma nous présente le contenu d'un accord de jumelage signé en 2021 entre les deux villes : « La capitale Bangui et la ville de Zongo, ce sont des sœurs siamoises que la rivière Oubangui a séparées. Cet accord consiste donc à favoriser la fraternité. Bientôt, nous allons construire un pont sur la rivière Oubangui, installer deux bacs pour la navette et construire un quai moderne. La construction de ces édifices permettra une large ouverture. Ce jumelage favorise l'intégration de nos deux peuples. »Les villes de Bangui et Zongo ont été respectivement créées en 1889 et 1971. Malgré cet accord de jumelage, certains habitants des deux villes subissent de temps en temps des tracasseries administratives et des raquettes policières de part et d'autre. Nombreux sont ceux qui demandent aujourd'hui le suivi et l'application des textes sur le terrain.À lire aussiÀ Zongo, on prend la pirogue pour aller à l'école [1/3]À lire aussiRCA/RDC: Bangui et Zongo, la culture en partage pour ces villes jumelles [2/3]
En quoi un sourire ou un mot gentil peuvent-ils faire encore plus de bien que n'importe quel plaisir matériel ? Pourquoi le sourire est-il une preuve de foi en D.ieu ? Réponse à travers des propos de Rabbi Yo'hanan, de Rav Sim'ha Cohen, d'une histoire et de plusieurs exemples.
Dernière partie du portrait de Yoni Saada, un chef solaire auteur d'une cuisine à l'empreinte affirmée. Sourire franc et son tempérament déterminé, Yoni traduit depuis toujours la Méditerranée dans une cuisine simple, vibrante et lumineuse.De ses débuts par hasard en cuisine aux grandes maisons étoilées, en passant par sa révélation dans Top Chef, il trace un itinéraire sincère, empreint de ses vibrations qu'il a nourries de soleil. Dans cet épisode, on parle de cette lignes entre terre et mer, de ce fil littoral de cultures mêlées et de saveurs partagées, portées par un chef qui fait rayonner un véritable trait d'union en méditerranée.Lumière éclatante sur rocher blanc, vous êtes face à la mer et vous écoutez l'histoire de Yoni Saada.Pour retrouver les restaurants de Yoni Saada, c'est par là !Production : NOLAJournaliste : David OrdonoRéalisation : David Ordono et Samuel LumbrosoDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernière partie du portrait de Yoni Saada, un chef solaire auteur d'une cuisine affirmée. Sourire franc et son tempérament déterminé, Yoni traduit depuis toujours la Méditerranée dans une cuisine simple, vibrante et lumineuse.De ses débuts par hasard en cuisine aux grandes maisons étoilées, en passant par sa révélation dans Top Chef, il trace un itinéraire sincère, empreint de ses vibrations qu'il a nourries de soleil. Dans cet épisode, on parle de cette lignes entre terre et mer, de ce fil littoral de cultures mêlées et de saveurs partagées, portées par un chef qui fait rayonner un véritable trait d'union en méditerranée.Lumière éclatante sur rocher blanc, vous êtes face à la mer et vous écoutez l'histoire de Yoni Saada.Pour retrouver les restaurants de Yoni Saada, c'est par là !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il est tombé à Gaza. Mais ce que Aviva Wajdenbaum veut raconter, c’est sa vie.Dans un témoignage d’une rare émotion, elle parle de son fils Dan, zl, de sa lumière, de son héritage, de ce qu’il a laissé à ceux qui l’ont aimé.
Aujourd'hui dans CHEFS, je reçois Yoni Saada, un chef solaire porteur d'une cuisine affirmée. Sourire franc et son tempérament déterminé, Yoni traduit depuis toujours la Méditerranée dans une cuisine simple, vibrante et lumineuse.De ses débuts par hasard en cuisine aux grandes maisons étoilées, en passant par sa révélation dans Top Chef, il trace un itinéraire sincère, empreint de ses vibrations qu'il a nourries de soleil. Dans cet épisode, on parle de cette lignes entre terre et mer, de ce fil littoral de cultures mêlées et de saveurs partagées, portées par un chef qui fait rayonner un véritable trait d'union en méditerranée.Lumière éclatante sur rocher blanc, vous êtes face à la mer et vous écoutez l'histoire de Yoni Saada.Pour retrouver les restaurants de Yoni Saada, c'est par là !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans CHEFS, je reçois Yoni Saada, un chef solaire porteur d'une cuisine affirmée. Sourire franc et son tempérament déterminé, Yoni traduit depuis toujours la Méditerranée dans une cuisine simple, vibrante et lumineuse.De ses débuts par hasard en cuisine aux grandes maisons étoilées, en passant par sa révélation dans Top Chef, il trace un itinéraire sincère, empreint de ses vibrations qu'il a nourries de soleil. Dans cet épisode, on parle de cette lignes entre terre et mer, de ce fil littoral de cultures mêlées et de saveurs partagées, portées par un chef qui fait rayonner un véritable trait d'union en méditerranée.Lumière éclatante sur rocher blanc, vous êtes face à la mer et vous écoutez l'histoire de Yoni Saada.Pour retrouver les restaurants de Yoni Saada, c'est par là !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi et dimanche, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour une interview sans concession. Aujourd'hui, Monseigneur Patrick Chauvet, curé de La Madeleine à Paris et ancien archiprêtre de Notre-Dame de Paris pour évoquer notamment les obsèques du pape François. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi et dimanche, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour une interview sans concession. Aujourd'hui, Monseigneur Patrick Chauvet, curé de La Madeleine à Paris et ancien archiprêtre de Notre-Dame de Paris pour évoquer notamment les obsèques du pape François. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Franchement, quand vous parlez à quelqu'un, préférez vous quelqu'un de souriant ou bien quelqu'un qui fait la tronche ? Eh oui… la réponse est évidente, je sais, et pourtant, nous n'appliquons pas forcément cela à nous meme 1️⃣ Pourquoi devriez vous sourire : plus vous sourirez, plus on vous sourit2️⃣ Ca vous fait du bien à vous-même3️⃣ Sourire allège la pire des situationSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanche entre 13h et 15h. Autour de la table : Benoït Boutron, Pierre-Ambroise Bosse, nos invités et vous bien sûr ! Les 3 sujets de débat Sport qui animent le week-end, la semaine écoulée ou la semaine à venir. "
Extrait de l'interview réalisée avec Solène Louvet, bénévole de l'ONG Pour un Sourire d'Enfant.Pour retrouver l'épisode complet: https://smartlink.ausha.co/surprises-interculturelles/ong-pour-un-sourire-d-enfant-podcasthon
La Playlist du 9 mars 2025 L'article Crossover – L'Institut du Sourire est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
"Toi, t'as toujours le sourire… c'est facile, non ?"Ben non. Mais c'est un choix. Un vrai choix. Parce que sinon ? Sinon, je m'écroule.Dans cet épisode, je vous emmène dans les coulisses de ce choix. Comment j'ai appris à voir le positif même quand tout s'écroulait. Pourquoi j'ai longtemps cherché à cocher toutes les cases de la vie parfaite avant de comprendre que le bonheur ne rentre pas dans un cadre. Comment j'ai découvert ma propre neuroatypie et ce que ça a changé dans ma façon d'être mère, d'être moi.La joie et l'optimisme ne sont pas des évidences, ce sont des décisions. Et si on en parlait ?
Rav David Ichay nous invite à trouver un sens à notre existence et mettre HM au coeur de notre vie à travers des petits cours hebdomadaires qui nous aideront à retrouver l'espoir d'une vie meilleure et pleine de joie
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Vie Sauvage, le 3 mars, BSG rediffuse cette série avec Philippe Grandcolas. Philippe Grandcolas est biologiste, et l'auteur du “Sourire du pangolin” (CNRS Éditions / oct 2021), un ouvrage dans lequel il nous invite à méditer sur notre rapport au Vivant. Philippe Grandcolas est le directeur de l'Institut de Systématique, évolution, biodiversité (ISYEB) à Paris. Philippe est aussi écologue et systématicien de formation. Le systématique consiste à ranger le Vivant dans des cases. Pas facile … En France, Philippe est aussi connu pour être Monsieur “cafards et blattes”, les animaux les plus détestés du monde. Rien que pour cela, Philippe est notre ami, celui qui raconte, révèle et défend AUSSI les mal aimés. Ses recherches concernent l'évolution de la faune en général et le comportement des insectes dictyoptères (dont les Blattes donc), y compris sur le terrain, notamment dans de nombreux pays tropicaux. Philippe est l'auteur du Sourire du pangolin (oct 2021 / CNRS éditions), un ouvrage dans lequel il nous invite à réfléchir sur notre rapport au Vivant, un livre foisonnant d'exemples et d'idées que nous passons en revue …_______
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Vie Sauvage, le 3 mars, BSG rediffuse cette série avec Philippe Grandcolas. Philippe Grandcolas est biologiste, et l'auteur du “Sourire du pangolin” (CNRS Éditions / oct 2021), un ouvrage dans lequel il nous invite à méditer sur notre rapport au Vivant.Les sciences du vivant ont apporté quantité de connaissances extraordinaires grâce à l'étude de quelques organismes en laboratoire. Ce sont les “organismes modèles”, censés représenter l'ensemble du vivant. Ceux qui permettent de comprendre des lois générales de l'hérédité, du fonctionnement des organismes. Environ 1000 espèces sont de tels modèles :Pour les vers, le favori des généticiens est Caenorhabditis elegans. Ce petit ver transparent d'1 mm, est un nématode mangeur de bactéries du sol. Il vit 20 jours, peut se reproduire 3 jours après son éclosion. Son corps comporte un nombre fixe de cellules, environ 1000. C'est le premier animal dont le génome a été entièrement séquencé en 1998.Pour les insectes, la superstar des labos est la Drosophile (Mouche du vinaigre) représentant les insectes.Pour les plantes, c'est l'Arabette des dames (une petite plante de la famille des Brassicacées, comme le Chou etc …).Le Poisson-zèbre et ses embryons transparents sont les favoris chez les poissons.Et vous connaissez tous Madame Souris blanche chez les mammifères.1000 espèces modèles seulement parmi plus de 2 millions d'espèces connues, c'est à la fois beaucoup et très peu. Beaucoup pour comprendre en profondeur les mécanismes généraux du Vivant et les transposer à l'espèce humaine. Trop peu pour gérer l'environnement et vivre en harmonie avec la nature. Que savons-nous des autres espèces au final, de toutes ces baleines sous les gravillons ?_______
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Vie Sauvage, le 3 mars, BSG rediffuse cette série avec Philippe Grandcolas. Philippe Grandcolas est biologiste, et l'auteur du “Sourire du pangolin” (CNRS Éditions / oct 2021), un ouvrage dans lequel il nous invite à méditer sur notre rapport au Vivant.L'étymologie du mot nature signifie “ce qui est à naître”. Une jolie origine mais un terme aujourd'hui clivant. Nous ne l'employons plus à Baleine sous Gravillon par exemple. Car parler de Nature, c'est sous-entendre plus ou moins consciemment que l'Homme n'en fait pas partie.“Se rendre comme maîtres et possesseurs de la nature” écrivait Descartes, dans son "Discours de la méthode", en 1637. Aujourd'hui, ces mots résonnent comme un projet anti-écologique. Ils préfigurent aussi la démesure moderne. Aujourd'hui, le mot “nature" rassemble Vivant, minéral et paysage. Par exemple, dire que l'on va se promener dans la nature décrit un mélange de paysage, de faune et de flore. On a pu lire ou entendre que la nature se vengeait avec la Covid-19. Ce qui est bien sûr faux et naïf, en tout cas pour les chercheurs. Il n'y a bien sûr pas de volonté à l'œuvre. La personnifier ainsi nous met en danger de lui prêter des intentions, alors qu'elle évolue au hasard. Nous ferions mieux de réfléchir collectivement et individuellement sur les mauvais traitements à l'origine des dérèglements qui nous retombent dessus, faféfur. Nous devons les identifier et les faire cesser._______ _______
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Vie Sauvage, le 3 mars, BSG rediffuse cette série avec Philippe Grandcolas. Philippe Grandcolas est biologiste, et l'auteur du “Sourire du pangolin” (CNRS Éditions / oct 2021), un ouvrage dans lequel il nous invite à méditer sur notre rapport au Vivant. Dans ce dernier épisode, nous évoquons en souriant les titres des grands livres de biologie qui ont inspiré Philippe.. et nous aussi ! Ces titres avec des noms d'animaux qui ressemblent étrangement au sien, “Le sourire du pangolin” et au nôtre, “Baleine sous Gravillon”. Il y a le célèbre “Pouce du panda” de Stephen Jay Gould, “Le sourire du Flamant rose” aussi. il y aussi le “Cygne noir” de Nassim Taleb qui a été repris par les auteurs du podcast et chaîne YouTube Thinkerview, proche de BSG. Vous vous souvenez sans doute des titres de Katherine Pancol : “Les Yeux jaunes des crocodiles”, “Les Écureuils de Central Park sont tristes le lundi” et “La Valse lente des tortues”. Ils creusent aussi le filon. Les animaux sont aussi des stars des titres de romans ou de films au passage : La Mouche, Le Lion, Vipère au poing, Le Zèbre, Le Guépard, Le Chat, Le Loup des steppes, La Jument verte … Par ailleurs, qu'est-ce qu'un bon titre? En journalisme et en général? vous êtes vous déjà posé la question? À part le fait d'être un bon résumé du propos, court, concernant, original et émoustillant, quel supplément d'âme pour nous titiller, nous surprendre, donc nous prendre et nous plaire au final?_______
Stéphanie De Muru, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.
Témoignage consommateur de Valérie C.G., interviewée par Eric lors d'une Visio le 20 Février 2025.---Valérie, 56 ans, est auxiliaire de vie, pétillante et pleine d'énergie… mais il y a quelques mois, elle était à bout ! Son corps lui envoyait des signaux d'alerte : impossible de prendre son petit-déjeuner, des crampes nocturnes insupportables, des bouffées de chaleur, une fatigue écrasante… et ces 10 kilos en trop qui la ralentissaient.Puis tout a changé ! Invitée à dîner chez des amis, elle découvre Kriss-Laure… et c'est une évidence : c'est pour elle ! Dès les premiers jours, fini les nausées, plus aucune sensation de faim, une digestion parfaite. En quelques semaines, son corps se transforme sans effort : 10 kg envolés, plus de crampes, plus de bouffées de chaleur, et surtout… un regain d'énergie incroyable !Aujourd'hui, Kriss-Laure est devenu "la cerise sur le gâteau de sa vie". Valérie ne regrette qu'une seule chose : ne pas avoir connu ces produits plus tôt !Comme elle le dit si bien : "Il n'y a pas de hasard. Si vous êtes ici, c'est que c'est le moment pour vous. Foncez !"----Gammes Consommées : Entremets, Tonic, repas Idée Délice----Inscrivez-vous pour suivre notre prochain webinaire "Enfin dire stop à la reprise de poids", le lundi 03/03/2025 à 20h : https://streamyard.com/watch/8XzBAH8E4QiXHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hello :)Je ne sais pas si vous êtes abonnés à ma newsletter (hop), sinon voici le lien, c'est bimensuel et c'est gratuit : https://hop.kessel.media/Plutôt que de vous faire un long discours, je voulais vous la proposer ici en vous la lisant.Le sujet de la semaine dernière était celui de la joie rebelle qui me semble essentielle et que je traite ici.Dans cette newsletter vous trouverez aussi les prochains invités de Vlan et Ping mais aussi 3 liens vers des articles que j'ai trouvé passionnant et que je vous résume.Voici le texte :Quand je dis que je regarde demain avec beaucoup de joie, j'obtiens souvent des regards incrédules. Comment peut-on être joyeux face au changement climatique qui s'accélère, à la "mort" de la DEI (diversité, équité, inclusion) aux États-Unis, à l'emprise grandissante de l'extrême droite en Europe, au triomphe de l'anti-intellectualisme ?Le grand basculement : nous sommes dans l'entre-deux mondesDepuis les années 1980, le sociologue Michel Maffesoli nous alerte : nous vivons une transformation aussi profonde que le passage du Moyen Âge à la Renaissance. La modernité née avec les lumières - et tout son système de valeurs et de croyances - est en train de mourir."Une étoile morte éclaire pendant longtemps encore avant de disparaître intégralement", m'a-t-il expliqué quand je l'interrogeais sur la lenteur de cette transformation.Pour filer la métaphore de l'étoile, je crois que ce que nous vivons actuellement ressemble à l'explosion finale de cette étoile mourante – Une explosion, un dernier éclat spectaculaire avant l'extinction.Les Trump, Musk, Zuckerberg et leurs semblables en sont les ultimes ambassadeurs, brandissant désespérément les valeurs d'un monde déjà révolu :L'individualisme triomphantLe succès mesuré à l'accumulation (argent, notoriété, biens)La toute-puissance de la rationalité et de l'analyse (ce besoin de tout découper en morceaux pour tout expliquer)La croyance aveugle dans le progrès linéaire (notamment le techno-solutionnisme)La sacralisation des grandes institutions comme garantes de l'ordre socialNous vivons tous plus ou moins dans ce monde dans lequel nous sommes nés et qui régit encore, de manière tacite, nos modes de fonctionnement.Les contours du monde qui vientMaffesoli appelle timidement cette nouvelle ère la "post-modernité" car elle n'a pas encore vraiment de nom (elle sera défini par les historiens dans quelques centaines d'années).Ce qui est évident c'est qu'on la sent très fort et qu'elle se dessine autour de 6 grandes mutations :1. Le retour au tribalisme : l'émergence de petites communautés affectives et identitaires2. La réhabilitation de la sensibilité et de l'émotion : la raison n'est plus l'unique boussole3. La valorisation du présent : la fin de la dictature du projet et de la projection perpétuelle4. Le triomphe du nomadisme : la fluidité remplace la stabilité, y compris dans nos identités5. La réinvention du sacré : de nouveaux rituels contemporains émergent6. La vision holistique : afin de prendre en considération la complexité du monde et de sortir de l'analyse pureJe suis certain que vous pouvez ressentir ce monde qui vient doucement.Par essence, ce moment, cette croisée des chemins entre 2 moments, nous amène a beaucoup de contradictions internes d'ailleurs.Parfois je suis surpris de voir des personnes qui sont encore à 200% dans ce monde déjà mort mais je ne juge pas, j'y étais encore il y a quelques années et je sais que c'est un chemin à faire.D'ailleurs, je suis encore partiellement là moi aussi bien entendu.C'est passionnant à observer par ailleurs.L'âge des turbulencesÉvidemment, la modernité ne s'éteint pas sans combattre.Elle montre même son visage le plus terrible, avec une violence inédite. On parle souvent du "retour de la force brute" en évoquant le masculinisme agressif des Zuckerberg, Bezos, Musk ou Trump.Je regarde à nouveau actuellement "The Handmaid's Tale" (la servante écarlate), 8 ans après et les parallèles avec notre présent sont troublants : rejet des personnes LGBTQ+, chute de la natalité (on en parle bientôt sur Vlan ! et qui sera je pense accélérée par les microplastiques dans nos organismes), montée des fondamentalismes.Non, nous n'en arriverons probablement pas dans la dystopie de la série, mais ces échos sont édifiants et on voit ici et là des choses qui résonnent – en particulier, j'ai vu des fondamentalistes forcer des femmes à donner leurs enfants.Je pense que cette période va durer un petit moment, sans doute 10 ou 15 ans mais vous allez voir pourquoi je vous parle de joie !De l'optimisme forcené à l'optimisme lucideLes discussions avec des experts en géopolitique comme Luis Amado (ancien ministre des Affaires Étrangères portugais) que j'ai eu la chance de recevoir chez moi ou Pierre Haski, qui sera bientôt sur Vlan !, m'ont fait évoluer d'un optimisme parfois naïf vers ce que j'appelle un "optimisme-réaliste", certains parlent d'optimalisme.Je ne vais pas vous raconter n'importe quoi pour vous faire plaisir, la période qui s'ouvre est complexe.Il ne s'agit pas de rejoindre Harari qui évoque une potentielle 3ème guerre mondiale, mais d'accepter que certains combats aillent, probablement mais temporairement, dans le sens inverse de l'histoire.Féminisme, démocratie, égalité, racisme, respect des droits de l'Homme…Pour ceux qui en ont envie et qui se sentent déjà dans cette «postmodernité », ce temps doit nous servir à dépasser nos différences, à nous serrer les coudes autour de ce qui nous rassemble.Arrêter de critiquer ceux qui ne sont pas parfaits, arrêter de parler des risques mais construire un programme qui donne envie comme le propose Arthur Auboeuf : se concentrer sur le bonheur et réaliser que cette utopie est aussi écologique.Bien sûr, comme vous, je suis choqué à chaque fois que le monde bascule un peu plus dans l'horreur des excès de la modernité mais nous n'allons pas pouvoir y échapper donc utilisons notre énergie pour construire demain.Je vous l'ai dit : optimisme mais réaliste.La joie comme acte de résistanceC'est ici qu'intervient la joie dont je parle (enfin oui je sais ça aura pris un moment à venir).Comme l'expliquait Camus dans "L'Homme révolté" (1951), la révolte, même ancrée dans la souffrance, procure une forme de joie existentielle. Le bonheur n'est pas le but du combat mais réside dans l'acte même de résister.Le "Programme du Conseil National de la Résistance" pendant la seconde guerre mondiale n'était pas appelé par hasard "Les jours heureux".Il illustrait cette idée que le combat collectif - même dans les heures les plus sombres - porte en lui une forme de bonheur partagé.C'est intéressant de lire des auteurs de cette période.René Char est l'exemple parfait de cette joie dans la résistance et la création d'un nouvel espoir.Se battre, c'est refuser l'absurde, c'est affirmer la liberté contre l'oppression et c'est d'ailleurs de cette période qu'est tirée cette citation de René Char que nous utilisons tous : « Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s'habitueront. ».Le combat même s'il est dur est une source de fierté et de joie car il redonne du sens à l'existence.Agir sur le monde c'est déjà une source de bonheur d'ailleurs (Charles Pepin – la confiance en soi)Un de mes auteurs favoris, le psychologue Viktor Frankl, enfermé dans les camps nous explique peu ou prou la même chose dans son ouvrage « Man search for meaning » et il va même plus loin puisque toute sa théorie se fait autour du « sens ».Lui explique qu'il a survécu aux camps car le sens ultime était son amour pour sa femme, son désir de finir un travail psychologique et surtout son engagement à témoigner de ce qu'il voyait.Il observe que dans les camps de concentration, ceux qui avaient un but, une mission à accomplir après la guerre, ou même une simple raison de survivre résistaient mieux psychologiquement.Ainsi, lutter n'est pas seulement une action extérieure mais aussi une transformation intérieure.Il observe que même dans l'horreur, certains détenus trouvaient du sens en aidant les autres, en récitant de la poésie, en trouvant des petites victoires sur la déshumanisation.Finalement Frankl insistait sur le fait que, même dans des conditions extrêmes, l'humain garde une liberté fondamentale : celle de choisir son attitude face à l'adversité.Comme Gramsci, il nous dit que l'optimisme de la volonté permet de surmonter le pessimisme de la réalité.La joie est déjà làCette période de contraintes nous permet paradoxalement de redécouvrir l'essentiel. Comme l'écrivait Nietzsche : "Ce qui ne me tue pas me rend plus fort."La difficulté forge non seulement notre résilience mais aussi notre capacité à apprécier les petites victoires, les moments de solidarité, la beauté des choses simples.Ma joie n'est donc pas celle d'un optimiste qui nie la réalité.C'est la joie lucide de celui qui voit dans la tempête actuelle non pas la fin du monde, mais la fin d'un monde.Et dans cette transformation douloureuse mais nécessaire, je trouve une raison profonde d'espérer car je sais que l'histoire nous donnera raison.Le réconfort comme acte de résistanceIl se trouve que je viens de partager sur Vlan ! une conversation incroyable avec Marie Robert. Elle développe dans son livre une idée qui résonne profondément avec notre époque : le réconfort n'est pas un repli douillet mais une nécessité vitale, presque un acte politique."On a tous et toutes un chagrin à raconter", dit-elle.Cette vérité universelle prend une résonance particulière dans notre monde hypernumérisé où les algorithmes nous abreuvent de catastrophes en continu, nous laissant paralysés devant nos écrans, incapables d'agir.Le réconfort dont parle Marie Robert n'est pas celui du plaid et du thé chaud (quoique en février on aime l'idée...). C'est avant tout une invitation à "retrouver le courage d'agir".Dans un monde qui nous pousse à l'individualisme et à la paralysie, se réconforter devient un acte de résistance.Comment ? En réapprenant à lever la tête.Littéralement. Sortir le nez de nos écrans pour croiser le regard des autres, pour redécouvrir l'émerveillement.Ce n'est pas un hasard si ce monde anxiogène nous pousse à baisser les yeux - regarder l'autre, c'est déjà commencer à retisser du lien.Il y a une forme d'audace, aujourd'hui, à oser la disponibilité.À ne pas optimiser chaque seconde de notre temps, à accepter ce que Trevor Noah appelle le "liming" : simplement être là, avec d'autres, sans autre but que d'être présent. Cela fait aussi écho à l'otium dont j'ai tant parlé ici.Cette disponibilité est le terreau du réconfort.Elle nous permet de renouer avec ce qui nous nourrit vraiment : l'amitié vraie (celle où l'on peut déposer son chagrin sans attendre de solution), le rire partagé (qui devient de plus en plus rare à mesure qu'on vieillit), l'émerveillement devant la beauté (même celle d'un simple trombone, comme le raconte une petite fille à Marie).Alors oui, je maintiens ma joie face à ce monde qui change.Mais j'y ajoute cette dimension essentielle du réconfort comme acte politique. Dans une société qui nous pousse à la performance et à l'urgence permanente, oser prendre le temps de se réconforter - et de réconforter les autres - devient un acte révolutionnaire.Ce n'est pas un hasard si les pouvoirs autoritaires commencent toujours par isoler les individus.À l'inverse, tisser des liens de réconfort, c'est déjà commencer à résister.C'est peut-être même la première étape pour retrouver ce courage d'agir dont nous avons tant besoin. Suggestion d'autres épisodes à écouter : [HORS SERIE] Coeur Brisé (https://audmns.com/jJlExgH) [HORS SERIE] Ecologie et mode de vie: comment réagir sans tout sacrifier? (https://audmns.com/iDvwTfO) [HORS-SERIE] 80h de conversation en 2024 résumées en 15 leçons de vie (https://audmns.com/YmITnWV)
durée : 00:58:53 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Arlie Russell Hochschild est une sociologue américaine née le 15 janvier 1940. Connue pour être l'une des fondatrices de la sociologie des émotions, elle s'est notamment distinguée en montrant que, dans une société dominée par le secteur tertiaire, nos émotions acquièrent une valeur marchande. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Cécile Thomé Chargée de recherche en sociologie au CNRS; Gwénaëlle Mainsant Sociologue, chercheuse au CNRS (IRISSO)
© RTBF - Barbara Schaal / Carine Radermecker élève des alpagas à Sprimont. C'est bagarre au Foyer culturel de Sprimont en ce jeudi : elles s'affrontent, mais dans la joie et la bonne humeur, ce sont Maud et Christine, aidées chacune par leur partenaire (Charlotte Dekoker et Olivier Fraipont) pour répondre aux questions de Walid et tenter de gagner le grand prix ! On parle des bonbons à la violette de Liège, bouquins, Sœur Sourire et suppositoire, et même d'alpagas en compagnie de Carine Radermecker, qui dirige l'élevage des Tilleuls ttps://www.alpagasdestilleuls.be/ Et bien sûr comme chaque jour un micro-trottoir qui vous demande votre avis sur un nombre incalculable de sujets, mais lesquels ? Aux candidats de deviner ????Bonne humeur, compétition et gai savoir et même chorégraphie improvisée durant cette récré de midi... Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
En Centrafrique, après les multiples crises militaro-politiques de ces dernières années, de nombreuses personnes ont perdu leur source de revenu. Dans ce contexte, où il est difficile pour les victimes de joindre les deux bouts. L'École professionnelle d'hôtellerie (EPH) de Liton, à 22 km au nord de Bangui, offre une seconde chance. Créé en 2020, cet établissement répond aujourd'hui à la demande croissante de professionnels qualifiés et permet de lutter contre le chômage des jeunes. De notre correspondant à Bangui,Aux environs de 8h du matin, la fraîcheur domine l'atmosphère du village de Liton. Située à quelques mètres de la route principale, l'École professionnelle d'hôtellerie accueille cette année une cinquantaine d'étudiants. La formation est couplée avec des séries de stages pratiques adaptés à la réalité du terrain.Les cours se déroulent en petits groupes. Dans une salle transformée en chambre bien aménagée, Stéphanie Sabé et son équipe ont pour mission de nettoyer la pièce et remettre le lit en dix minutes : « Une fois arrivé dans la chambre, si le client est présent, tu lui demandes gentiment de sortir pour quelques minutes, le temps pour toi de balayer et nettoyer la chambre avant de dresser le lit, explique l'étudiante. On arrange toujours le lit après nettoyage de la chambre pour ne pas salir le lit avec la poussière. Il y a plusieurs choses avec lesquelles on peut dresser un lit. Premièrement, nous utilisons des draps et de petites astuces adaptées pour que le lit soit confortable et bien lisse ».À lire aussiCentrafrique: une école sous paillote pour que les enfants de Ngougoua reprennent le chemin de l'école« Bonsoir monsieur, bienvenue dans notre hôtel »Dans un bâtiment en face, une autre équipe apprend les techniques d'un accueil chaleureux. Cédric Tioko, étudiant, affiche un enthousiasme contagieux en plein exercice de réception d'un client : « Tu souris, tout en étant simple dans ton accueil et surtout, il est déconseillé de lui serrer la main. Ensuite, tu lui demandes : monsieur, que voulez-vous s'il vous plaît ? Il donne son goût et tu exécutes. Si c'est la nourriture, il précise d'abord ce qu'il souhaite manger et tu le sers ».Sourire aux lèvres, Saint Cyr Tonny se dit fier d'apprendre ce métier. Ce jeune homme d'une vingtaine d'années qui s'intéresse à la restauration concocte aujourd'hui un poulet braisé. « Les aliments qui composent l'entrée, on a la tomate, salade, carottes, haricots verts et les choux. Parmi les aliments qui composent l'assaisonnement du poulet, nous avons les poivres, sel et moutarde. Après cette formation, je vais ouvrir soit mon propre restaurant, soit un hôtel ».Une formation pour reconstruire sa vieEn quatre ans d'existence, cette école a mis sur le marché de l'emploi plusieurs centaines de personnes qualifiées qui exercent dans des hôtels à Bangui et à l'étranger. Aurélien Nicaise Pamala est le directeur de cette école : « C'est depuis 2020 que l'école a vu le jour. On forme en une année, c'est-à-dire, six mois de formation théorique, trois mois de formation pratique et puis on envoie les étudiants dans les hôtels de la place pour trois mois de formation académique encore. Après cette formation, nous décernons des diplômes certifiés par le gouvernement ».Cette école est aujourd'hui indispensable pour répondre aux défis de l'emploi des jeunes et la réinsertion des victimes.À écouter aussiCentrafrique: à Bossongo, le manioc fait la bonne fortune des producteurs [2/3]
Un sourire sincère a le pouvoir de transformer une journée. Il transmet chaleur, espoir et connexion, créant des liens invisibles entre les cœurs. Sourire est un acte universel. Traduction: A genuine smile has the power to transform a day. It conveys warmth, hope, and connection, creating invisible bonds between hearts. Smiling is a universal act. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez l'incroyable histoire derrière le sourire énigmatique du chat de Cheshire, révélée par la célèbre vétérinaire Hélène Gateau ! Cette semaine, retrouvez les meilleurs moments de l'émission "Ça va faire des histoires" diffusée l'été 2024 sur RTL. Jean-Michel Zecca avait réuni les meilleurs experts de RTL pour un grand concours d'anecdotes.
durée : 00:51:56 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Sophie-Catherine Gallet, Maïwenn Guiziou - Moyen d'expression non-verbal, le sourire révèle et communique des émotions. Pourtant, sa représentation picturale n'est pas une évidence. Du sourire divin de l'art chrétien aux chefs-d'œuvre de la Renaissance, quelle est l'évolution du sourire en peinture ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Sébastien Allard Conservateur général du Patrimoine, Directeur du département des Peintures du musée du Louvre
Samory Touré, l'Intraitable Chef ! : c'est le titre de la pièce de théâtre jouée vendredi 27 décembre au Palais de la Culture d'Abidjan, en Côte d'Ivoire. C'est une réinterprétation du classique Les Sofas de l'intellectuel ivoirien Bernard Zadi Zaourou, également ancien ministre de la Culture sous Henri Konan Bédié, publiée en 1975. Les étudiants de l'Insaac (Institut national supérieur des arts et de l'action culturelle) forment la troupe de ce spectacle produit par l'ONG Y-voir et Sourire, engagée dans l'insertion des jeunes à risque. La pièce présente le chef mandingue Samory Touré, l'un des résistants à la colonisation française de l'Afrique de l'Ouest à la fin du XIXᵉ siècle. Une salle plongée dans le noir. Sur scène, un projecteur éclaire une douzaine d'acteurs, en pleine répétition. « Samory Touré vit depuis Sandougou, sa capitale », clame sur scène un acteur.La pièce retrace les grandes heures de Samory Touré et de son empire à cheval sur le Mali, la Guinée et la Côte d'Ivoire. Il résistera pendant 17 ans aux colons. « Oui, Samory Touré se fait rapidement remarquer pour ses capacités dans le maniement des armes », orchestre l'actrice.Les comédiens sont nés un siècle après la mort du chef mandingue. Axelle ne connaissait pas son histoire il y a quelques semaines : « J'acquiers des connaissances que je n'avais pas. Cette pièce écrite par Monsieur Bernard Zadi Zaourou me permet de connaître l'histoire qui s'est passée au temps de Samory Touré. »À lire aussiStéphanie François (Haïti): «Fifi, les tambours et les étoiles»D'une tragédie à un messageAu centre de la tragédie, une opposition. D'un côté, le chef de guerre soutenu jusqu'au bout par son peuple. De l'autre, son fils, le prince partisan de la paix avec les Français. Un thème d'actualité pour le docteur Charles Boguifo, qui produit le spectacle avec l'ONG Y-voir et Sourire :« On voit dans Samory Touré un personnage historique qui a fait preuve de résistance à une époque, de dignité, de souveraineté. C'est ce message qu'on veut montrer. De pouvoir se prendre en charge, qui est une notion importante, qu'il faut faire comprendre à cette jeunesse aussi par la même occasion. »Une pièce critique sur Samory TouréÉrigé en héros en Guinée, l'image de Samory Touré était négative en Côte d'Ivoire il y a 50 ans, selon la chercheure Elara Bertho : « C'est un personnage qui est considéré comme extrêmement cruel puisqu'il a ravagé le nord de la Côte d'Ivoire avec la tactique de la terre brûlée. »Pour cette spécialiste de littérature comparée, la pièce de Bernard Zadi Zaourou se veut même critique : « Il y a relativement peu d'empathie. Le père est montré comme assez cruel. Donc, on voit qu'il y a une présentation dans les années 70 en Côte d'Ivoire qui est beaucoup plus nuancée qu'actuellement où, aujourd'hui, Samory Touré est davantage montré comme un résistant à la colonisation, voire un personnage panafricain. »Pour ce spectacle, Samory Touré, l'Intraitable Chef !, une seule représentation est prévue.À lire aussiJocelyn Danga Motty (République démocratique du Congo): «Ne t'étonne pas si ma lettre sent le sel»
Elle était annoncée comme la favorite des Mondiaux de 100 kilomètres. Et elle a assumé son statut. En Inde, Floriane Hot a une nouvelle fois été sacrée championne du monde de la distance le week-end dernier. Déjà titrée en 2022, l'Aixoise a conservé son titre à plus de 14 km/h de moyenne. Sous 27 degrés et dans une chaleur moite, celle qui ne quitte jamais son sourire a bouclé les 18 tours du parcours et ses différentes côtes avec un chrono stratosphérique de 7h08'43. L'amie d'RMC Running est l'invitée cette semaine de Benoît Boutron et de Yohan Durand. Ensemble, ils reviennent sur cet évènement, sur sa stratégie de course avec beaucoup de patience et évoquent le doublé tricolore avec la deuxième place de Marie-Ange Brumelot !La séance de la semaine, elle, sera consacrée à la préparation d'une course de 100 kilomètres. Quelles sont les clés principales pour réussir ? Le volume est-il le plus important à mettre en place ? Pourquoi le renforcement musculaire est-il aussi essentiel ? Le Maître YoDu' et Floriane Hot vous disent tout !Et pour participer au podcast RMC Running délocalisé ce lundi dans le centre de Paris, vous pouvez vous inscrire via ce lien : https://app.therunningcollective.fr/physical-events
Ça ne fait aucun doute, le sort de Boualem Sansal préoccupe la presse française, et particulièrement les hebdomadaires. L'écrivain, arrêté et emprisonné en Algérie, il y a deux semaines, est à la Une du Point. À côté de sa photo, sourire aux lèvres, figure en gros le mot « otage ». Accusés : « la dictature algérienne et les islamistes ». « Il risquerait la prison à perpétuité », ajoute l'hebdomadaire, qui voit en lui « l'auteur d'une œuvre aussi percutante et courageuse, que sa voix est douce et enveloppante ». À l'origine de sa disgrâce, une interview au média Frontières, proche de l'extrême droite, dans laquelle il parle des frontières de l'Algérie et du Maroc, sujet hautement sensible, et il déclare notamment que « la France n'a pas colonisé le Maroc parce que c'est un grand État ». « Quand la France a colonisé l'Algérie », ajoute-t-il, « toute la partie ouest de l'Algérie ne faisait pas partie du Maroc. C'est facile de coloniser des petits trucs qui n'ont pas d'histoire, mais un État, c'est très difficile ». Une phrase qui ne passe pas du côté des autorités algériennes. « Désormais tout est possible : la perpétuité pour un texto, la prison pour un soupir d'agacement », écrit, toujours dans Le Point, un autre écrivain franco-algérien, Kamel Daoud, dans un appel à la libération de Boualem Sansal, signé de plusieurs prix Nobel, les Français Annie Ernaux et Jean-Marie Gustave Le Clézio ou encore le Nigérian Wole Soyinka, et de nombreux autres écrivains. « En Algérie, précise le texte de Kamel Daoud, les écrivains et les intellectuels, les éditeurs, les libraires vivent dans la peur des représailles, des accusations d'espionnage et des arrestations arbitraires, des procès et des diffamations et des attaques médiatiques violentes sur leur personnel et leur proche ».CabaleKamel Daoud a donc écrit ce texte, alors qu'il est lui-même dans l'œil du cyclone, comme le rappelle L'Express. Kamel Daoud est le récent lauréat du prestigieux prix Goncourt, en France, pour Houris, « une plongée dans la vie d'une victime de la guerre civile qui ravagea l'Algérie dans les années 1990 », explique L'Express. » Or « une rescapée de la décennie noire », poursuit l'hebdomadaire, « accuse l'écrivain d'avoir tiré son récit des confidences faites à son épouse psychiatre, violant ainsi le secret médical ». « L'écrivain, estime Marianne, est victime de cabales, pour avoir osé aborder une période taboue, la guerre civile des années 1990 (…) les autorités algériennes ont poussé sur le devant de la scène une femme qui a affirmé sur la chaîne One TV, que le récit qui sert de trame au roman, était le sien. Elle accuse Kamel Daoud et son épouse d'avoir ' volé' son histoire ». Or, accuse de son côté Marianne, « le journaliste à l'origine de l'entretien télévisé, n'est autre qu'un conseiller politique du gouvernement d'Abdelmadjid Tebboune. »La « Marocanité » du Sahara OccidentalEn filigrane de ces polémiques : les relations entre l'Algérie et la France. « En pleine crispation diplomatique, écrit L'Express, le régime algérien franchit une étape en s'en prenant à deux grandes voix de la dissidence à la double nationalité, Kamel Daoud et Boualem Sansal ». « L'arrestation de Boualem Sansal, estime Le Point, s'inscrit dans le cadre de la dégradation des relations entre la France et l'Algérie, à propos du Maroc ». « Depuis l'été, poursuit l'hebdomadaire, la crise est bien installée entre Alger et Paris, avec la reconnaissance par le président Emmanuel Macron, de la 'marocanité' du Sahara Occidental ». « Comment devrait-on réagir ? » s'indigne un responsable algérien, « Sourire et dire merci à une position qui appuie une politique coloniale du XXIe siècle ? » Ce même responsable, sous couvert de l'anonymat, précise que « l'intégralité territoriale est une ligne rouge. » « Boualem Sansal, dit-il, peut critiquer comme il veut le système, le manque de démocratie, l'islamisme, draguer l'extrême droite française… mais toucher à la terre algérienne, unie et indivisible, c'est un crime puni par le Code pénal. »Images satellitesÀ lire également dans la presse hebdomadaire cette semaine, un article de M, le supplément du Monde, sur Gaza. « À Gaza », titre M, « un inventaire pour mémoire. Des chercheurs français documentent l'état du patrimoine de l'enclave, classé à l'Unesco, alors que les deux tiers des bâtiments ont déjà été détruits par l'armée israélienne ». Plutôt que de l'inventaire du patrimoine, il s'agit en fait souvent de « l'état des destructions », réalisé notamment grâce aux images satellites de l'ONU. « Parmi les lieux recensés », nous dit M, « le souk Al-Qissariya, marché emblématique situé au cœur de la vieille ville de Gaza, ou encore le cinéma An-Nasr, construit en 1956, symbole de l'âge d'or du 7ᵉ art palestinien ». Les chercheurs qui réalisent cet inventaire, expliquent ainsi : « il en va de notre responsabilité d'écrire l'histoire de chacun de ses endroits et d'aider à préparer au mieux leur restauration ou, au minimum, de conserver leur mémoire ». « L'image satellitaire ouvre une frontière sur l'enclave gazaouie » ajoute M, « à l'heure où 139 journalistes ont été tués par les forces israéliennes dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023 et où les médias étrangers sont empêchés d'y entrer ».
Il a convoqué tous ses copains à l'écriture et à la composition : à 82 ans, Eddy Mitchell nous offre l'album "Amigos". Laurent Marsick a longuement rencontré le chef de file du rock 'n'roll à la française. Sourire malicieux, il n'a rien perdu de sa bougonnerie et de sa tendresse. La vie, les copains, l'enfance et l'après... Eddy Mitchell nous dit tout et évoque cet album, le premier sans son vieux complice Pierre Papadiamandis, disparu il y a deux ans et qui avait composé pour lui plus de 200 chansons... Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Laurent Marsick du 29 novembre 2024.
Dans cet épisode de Happy Work, je partage une réflexion qui pourrait bien changer votre façon d'aborder vos journées : le sourire.Je ne sais pas vous, mais j'ai commencé ma carrière à une époque où être trop souriant pouvait être vu comme naïf, pas très sérieux... Pourtant, les études récentes, comme celle de la Michigan State University, montrent que sourire est une vraie force professionnelle
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Pour son deuxième Ironman, Marjolaine Pierré a pris une sublime quatrième place sur les Championnats du monde féminin d'Ironman à Nice en 9h09'34. Elle est l'invitée cette semaine d'RMC Running pour revenir sur cette course. Comment s'est-elle préparée pour les 3,8km de natation, 180km de vélo et les 42,125km de course à pied ? Au-delà de cette performance, la jeune athlète du Club Triathlon Réunion se confie sur sa découverte tardive de la discipline, sur son mode d'entraînement, ses blessures et sur ses futurs objectifs, elle qui est en pleine progression depuis plusieurs années. Jusqu'où peut-elle aller ? Marjolaine Pierré se confie à Benoît Boutron et Yohan Durand !La séance de la semaine, elle, sera consacrée au profil de Marjolaine : comment bien choisir et bien déterminer sa distance favorite en course à pied ? Doit-on obligatoirement se lancer sur une distance courte pour commencer ? Pourquoi les distances s'allongent avec le temps ? Et notre distance doit-elle être déterminée par notre morphologie ? Le Maître YoDu' vous explique tout !Et enfin, cette semaine, RMC Running vous propose un bon plan matos exceptionnel : une paire de Wave Rider 28 de la marque Mizuno est mise en jeu ! Si vous souhaitez une chaussure polyvalente et dynamique grâce à une nouvelle mousse, restez attentifs et à l'écoute !
Il ne faut pas sourire aux gorilles, car pour eux, montrer les dents n'est pas un signe d'amitié ou de plaisir comme chez les humains, mais plutôt un geste de menace ou de défi. Dans le monde des gorilles, fixer quelqu'un du regard et montrer les dents sont des comportements agressifs qui peuvent déclencher des réactions tres violentes. C'est ce qui s'est tragiquement passé en 2007 avec le gorille Bokito au zoo de Rotterdam, aux Pays-Bas. Bokito était un gorille mâle de 11 ans qui avait été élevé en captivité. Et en mai, il a réussi à s'échapper de son enclos en escaladant un fossé d'eau et en franchissant une barrière de protection. Il s'est dirigé directement vers une femme. Mais pas m'importe laquelle. Il l'avait déjà remarquée parmi les visiteurs réguliers du zoo. En fait cette femme avait l'habitude de passer de longues périodes à le regarder et à lui sourire, pensant probablement qu'elle établissait un lien amical avec lui. Mais pour Bokito, ses actions étaient interprétées comme une menace continue. Lors de l'attaque, Bokito a attrapé la femme et l'a gravement blessée en lui infligeant des morsures et des coups, causant des fractures et des blessures multiples. L'incident a duré plusieurs minutes avant que le personnel du zoo n'intervienne. Cette attaque a mis en lumière les dangers de mal interpréter le comportement des animaux sauvages et de ne pas respecter leurs signaux d'avertissement. Cet incident a conduit à des discussions sur la sécurité dans les zoos et l'importance de l'éducation des visiteurs sur le comportement animal. Il rappelle que les gorilles, bien qu'ils puissent sembler calmes et familiers dans un environnement de zoo, restent des animaux sauvages avec des instincts puissants. En fin de compte, cette histoire nous enseigne l'importance de respecter les limites et le langage corporel des animaux pour éviter de transformer une interaction en situation dangereuse. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Daily Minute with J'Ouellette® - French conversation for jet-setters
French conversation for jet-setters: the verb SOURIRE (to smile) au présent: je souristu sourisil souritnous sourionsvous souriezils sourient Become fluent at ConfidentConversationClub.com
durée : 00:20:36 - Lectures du soir - Sylvain Roumette, cinéaste et écrivain, évoque quatre nouvelles de Joseph Conrad
durée : 00:58:57 - Toute une vie - Admiré pour avoir fait basculer la photo de mode dans une dimension narrative, Guy Bourdin aimait créer des énigmes. Glamour, inquiétantes, et sans doute engendrées par celles qui ont jalonné, de façon accidentelle, sa propre vie.
Nadia Comaneci n'a jamais été la Fée Clochette de la gymnastique. Elle avait beau voler dans les airs, elle vivait dans une cage. Son enfance lui fut confisquée, sa gloire mise sous cloche. On lui apprit le silence, le secret et à ne plus jamais sourire même quand on est heureuse. Invitée : Céline Nony, journaliste au journal L'Equipe Ecoutez Confidentiel avec Jean-Alphonse Richard du 06 juillet 2021
Les blagues et reparties douteuses fusent lorsque les Grosses Têtes écoutent le tube "Dominique" de Sœur Sourire. Tout l'été, retrouvez en podcast les meilleurs moments des "Grosses Têtes" depuis l'arrivée de Laurent Ruquier il y a presque 10 ans.
Il y a cinquante ans, à la fin du printemps 1974, un jeune homme âgé de vingt ans, Christian Ranucci, était inculpé de l'enlèvement et du meurtre de la petite Marie-Dolores Rambla, huit ans. On venait de retrouver le corps martyrisé de l'enfant, lacéré de coups de couteau, dans la végétation, près de Marseille. Le suspect va avouer, se rétracter, mais il sera finalement exécuté. Les questions dans ce dossier vont se multiplier. La polémique va enfler au point de faire oublier ce que raconte vraiment l'enquête, les témoignages, les indices, les déclarations. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 04 juin 2024
durée : 00:03:18 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Comment l'humour permet-il d'apprivoiser le négatif ? Pourquoi la dimension d'inclusion est-elle nécessaire ?
durée : 00:03:47 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Quelles sont les différentes fonctions du rire ? Quels liens pouvons-nous établir entre le sourire et le rire ?
durée : 00:03:44 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Pourquoi peut-on définir le rire comme une "arme sociale à double tranchant" ? Quelles différentes fonctions le rire peut-il avoir ? Comment se propage-t-il ?
durée : 00:03:45 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Pourquoi l'expérience du sourire est-elle fondamentale ? Quelles émotions diverses le sourire peut-il exprimer ?