French musician and actor
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This week in Episode #718, Wayne talks with creator Nick Edwards about his 48-page graphic novel The Apostasy. Nick's Kickstarter crowdfunding for this already successful book is currently underway at this link! Here's how The Apostasy is described: "THE APOSTASY tells the story of a demon, named Gainsbourg, who, for eons, has tortured the souls of the damned without consideration or concern- his existence one of gradual disillusionment. It is not easy to seek purpose within the depths of Hell. Enter Katie, a newly damned soul and the next victim of Gainsbourg." We talk about how this horror comic came to be, who the various characters are, and what else we can expect from Nick in the months ahead! This Kickstarter will conclude on Monday, December 1, at 11:59 AM EST! Don't miss this fun conversation and be sure to support this excellent project!
Plongez dans un voyage musical à travers les décennies avec Ombline Roche dans « Les Enfants d'Europe 1 ». Cet épisode met en lumière des artistes emblématiques et des titres qui ont marqué l'histoire musicale française et internationale.De Patricia Kass révélée dans les années 80, à Françoise Hardy en 1968 avec une chanson signée Gainsbourg, en passant par Johnny Hallyday et Jacques Brel à l'Olympia, chaque séquence est une immersion dans une époque et une émotion. Le périple se termine avec Alain Souchon et Stevie Wonder, pour une touche finale pleine de nostalgie et de tendresse.À retenir :Patricia Cass, icône des années 80, révélée par Barbelivien et Bernheim.Jacques Brel en live à l'Olympia avec « Amsterdam », jamais enregistré en studio.Stevie Wonder et « I Just Called to Say I Love You », bande originale culte de 1984.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Tous les jours, entre 14h et 15h, Ombline Roche vous fait revivre la musique des années 1950 à la fin des années 1980 !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Filho caçula de Serge Gainsbourg e da cantora e modelo Bambou, Lulu Gainsbourg é um frequentador da cena musical desde criança. Ao contrário de muitos “nepo babies” da chanson française, o artista não apenas reconhece o rótulo, como também o incorpora — buscando, no entanto, trilhar um caminho próprio, por meio de um dream pop poético e criativo. Daniella Franco, da RFI em Paris Lucien ou Lulu Gainsbourg, é menos conhecido que sua meia-irmã Charlotte, mas cresceu sob os holofotes. Sua estreia nos palcos aconteceu aos dois anos de idade, durante um show de Serge Gainsbourg no Zénith de Paris, em 1988 — uma cena que permanece viva na memória dos fãs da música francesa. Hoje, aos 39 anos, ele não rejeita a herança familiar, sobre a qual reconhece há “vantagens, mas também inconvenientes”. Após lançar em 2011 seu primeiro álbum solo, “From Gainsbourg to Lulu”, em homenagem ao pai, ele lançou outros três discos: “Lady Luck”, em 2015, “T'es qui là”, em 2018, e “Replay”, em 2021, desconectados do monumento que Serge representa à chanson française. Ainda assim, a figura paterna — que Lulu perdeu precocemente, aos cinco anos — continua a ecoar em suas composições, que transitam entre o pop e o eletrônico. Um exemplo é a faixa Le syndrome de Peter Pan, do novo EP Nuit Infinie, em que o artista aborda a dificuldade de crescer. A canção, com atmosfera melancólica e arranjos delicados, revela mais uma camada da sensibilidade de Lulu, que segue construindo uma identidade musical própria, mesmo à sombra de um dos maiores ícones da música francesa. *** O Balada Musical vai ao ar todos os sábados nos programas da RFI Brasil e também pode ser ouvido no Spotify e no Deezer.
Roman Doduik a voulu parodier Serge Gainsbourg pour rendre hommage à Philippe Boxho... Sans grand succès. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:26:59 - Benjamin Biolay, auteur-compositeur-interprète - Le "disque bleu" qui sort ces jours-ci a deux faces, "Résidents" et "Voyageurs", à l'image d'un album à la fois apaisé et mélancolique où Benjamin Biolay fait entendre ses influences : Gainsbourg, Brassens, Jobim mais aussi son héritage de tromboniste classique formé au conservatoire de Lyon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:57:53 - Musique matin du lundi 20 octobre 2025 - par : Jean-Baptiste Urbain - Le "disque bleu" qui sort ces jours-ci a deux faces, "Résidents" et "Voyageurs", à l'image d'un album à la fois apaisé et mélancolique où Benjamin Biolay fait entendre ses influences : Gainsbourg, Brassens, Jobim mais aussi son héritage de tromboniste classique formé au conservatoire de Lyon. - réalisé par : Yassine Bouzar Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dernière Pop-Rock Station de la semaine avant le retour de Marjorie lundi, Alexis a signé ce jeudi soir une émission riche et éclectique. L'émission s'ouvre avec Jimi Hendrix et son légendaire "Hey Joe", avant de laisser place à The Kooks. La première heure fait aussi résonner le punk rock venu de Norvège avec Turbonegro et "City of Satan". La soirée se poursuit avec Fatboy Slim, Franz Ferdinand et The Strokes, juste avant une reprise magistrale signée Mick Harvey, qui revisite "Initials B.B." de Gainsbourg. Le choix de Francis Zégut met à l'honneur Thrice et leur titre "Albatross", extrait de "Horizons/West". S'enchaînent ensuite Prince, Cream, Nine Inch Nails, Rammstein, Tom Waits, Wet Leg, The Subways, The Who, Gojira et Nirvana. Pour conclure cette ultime Pop-Rock Station de la semaine, Alexis a choisi un long format empreint d'émotion : Nick Cave and The Bad Seeds et leur bouleversant "O Children", chanson marquée par les thèmes de la perte, du pardon et de l'espérance, entendue notamment dans "Harry Potter et les Reliques de la Mort". Jimi Hendrix - Hey Joe Deftones - Infinite Source Aerosmith & Run DMC - Walk This Way Courtney Barnett - Pedestrian At Best The Kooks - Ooh La Dire Straits - So Far Away The Kills - Black Tar The Hives - Legalize Living Sex Pistols - Anarchy In The Uk Turbonegro - City Of Satan The Strokes - The Adults Are Talking Franz Ferdinand - Hooked (Ft. Master Peace) Fatboy Slim - Right Here Right Now Mick Harvey - Initials B.B. Rammstein - Rammstein Nine Inch Nails - As Alive As You Need Me To Be Cream - I Feel Free Prince - Cream Thrice - Albatross The Who - Love Reign O'er Me The Subways - Rock & Roll Queen Wet Leg - Mangetout Elvis Presley - I Got A Feeling In My Body Tom Waits - Clap Hands (2023 Remaster) Nirvana - Heart Shaped Box Gojira - Mea Culpa (Ah! ÇA Ira!) (Live J.O. 2024) Nick Cave & The Bad Seeds - O ChildrenHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Six ans après Bleue, la chanteuse Keren Ann sort Paris Amour, un album dans lequel elle clame son amour pour la capitale. « Je suis rentrée par la fêlure d'un monde qui m'a eue à l'usure. » Il lui aura fallu six ans pour composer ce nouvel album Paris Amour. Six années pendant lesquelles l'autrice compositrice aura fait un pas de côté et aura travaillé pour le théâtre, composé un opéra, fait des concerts avec le quatuor Debussy. Je suis méticuleuse dans le son, je veux que la fréquence que je recherche dans l'album, soit la bonne. En neuf titres et trente-trois minutes, elle rend hommage à Paris, sa ville d'adoption et chante l'éloge de l'amour, mais parle également du deuil et de la guerre. Issue d'une famille multiculturelle et métissée, Keren Ann est née en 1974 à Césarée en Israël. Elle a vécu en Israël et aux Pays-Bas jusqu'à ses onze ans, puis sa famille s'installe à Paris, où elle apprend le français grâce aux chansons de Gainsbourg, de Françoise Hardy ou de Bourvil. Elle écrit ses premières chansons avec l'aide de dictionnaires de traduction. Son premier album, La Vie de Luka Philipsen, coécrit avec Benjamin Biolay est sorti en 2000. En 2002, sort La disparition. Son troisième album, entièrement écrit en anglais, Not Going Anywhere, sort en 2003. Elle est nommée en 2004 aux Victoires de la Musique dans la catégorie artiste féminine de l'année. Dans ses albums, elle écrit en français ou en anglais, « deux langues qui m'intriguent, qui sont pour moi intéressantes dans l'écriture sans fin. J'aime le fait de comprendre différentes sonorités, différentes langues. Il y a une manière à travers les langues d'entendre les choses ». Elle joue du piano, de la clarinette et de la guitare et écrit des chansons comme des « récits ». À lire aussiKeren Ann : « Paris Amour », un album solaire malgré les échos de la guerre Invitée : La chanteuse Keren Ann pour la sortie de son neuvième album studio Paris Amour. Programmation musicale : Paris Amour. Comme si la mer se divisait. Expérience étrange de l'inégal. Et la chanson Jardin d'hiver qu'elle a écrite et composée avec Benjamin Biolay, pour Henri Salvador.
Six ans après Bleue, la chanteuse Keren Ann sort Paris Amour, un album dans lequel elle clame son amour pour la capitale. « Je suis rentrée par la fêlure d'un monde qui m'a eue à l'usure. » Il lui aura fallu six ans pour composer ce nouvel album Paris Amour. Six années pendant lesquelles l'autrice compositrice aura fait un pas de côté et aura travaillé pour le théâtre, composé un opéra, fait des concerts avec le quatuor Debussy. Je suis méticuleuse dans le son, je veux que la fréquence que je recherche dans l'album, soit la bonne. En neuf titres et trente-trois minutes, elle rend hommage à Paris, sa ville d'adoption et chante l'éloge de l'amour, mais parle également du deuil et de la guerre. Issue d'une famille multiculturelle et métissée, Keren Ann est née en 1974 à Césarée en Israël. Elle a vécu en Israël et aux Pays-Bas jusqu'à ses onze ans, puis sa famille s'installe à Paris, où elle apprend le français grâce aux chansons de Gainsbourg, de Françoise Hardy ou de Bourvil. Elle écrit ses premières chansons avec l'aide de dictionnaires de traduction. Son premier album, La Vie de Luka Philipsen, coécrit avec Benjamin Biolay est sorti en 2000. En 2002, sort La disparition. Son troisième album, entièrement écrit en anglais, Not Going Anywhere, sort en 2003. Elle est nommée en 2004 aux Victoires de la Musique dans la catégorie artiste féminine de l'année. Dans ses albums, elle écrit en français ou en anglais, « deux langues qui m'intriguent, qui sont pour moi intéressantes dans l'écriture sans fin. J'aime le fait de comprendre différentes sonorités, différentes langues. Il y a une manière à travers les langues d'entendre les choses ». Elle joue du piano, de la clarinette et de la guitare et écrit des chansons comme des « récits ». À lire aussiKeren Ann : « Paris Amour », un album solaire malgré les échos de la guerre Invitée : La chanteuse Keren Ann pour la sortie de son neuvième album studio Paris Amour. Programmation musicale : Paris Amour. Comme si la mer se divisait. Expérience étrange de l'inégal. Et la chanson Jardin d'hiver qu'elle a écrite et composée avec Benjamin Biolay, pour Henri Salvador.
durée : 00:53:03 - Certains l'aiment Fip - À l'occasion de la sortie de "Classe moyenne" d'Anthony Cordier, l'actrice nous parle de ses films avec Gainsbourg, André Téchiné, Erick Zonca, Cédric Klapisch, Laetitia Masson, Robin Campillo ou Quentin Dupieux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La maison Gainsbourg en danger? The Savant, écarté? La Normandie, the place to be?
durée : 00:05:49 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Doit-on, quand on est comédien, partager tout ce que disait la personnalité qu'on incarne dans un biopic ? Vous avez douze heures. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce vendredi 29 août, Laurent Gerra a notamment imité Pierre Arditi, Michel Houellebecq et Serge Gainsbourg. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 29 août, Laurent Gerra a notamment imité Pierre Arditi, Michel Houellebecq et Serge Gainsbourg. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
3 février 1990, les années 80 sont finies. Viendront celles où on les pleurera mais ce n'est pas pour aujourd'hui. Ce soir à Paris, les sièges du Zénith sont occupés par tous les acteurs de la chanson française pour une nouvelle cérémonie des Victoires de la Musique avec en finale, un trophée d'honneur remis à Serge Gainsbourg pour l'ensemble de son œuvre et l'immense influence qu'il exerce. Serge est le premier à se dire que ça sent le sapin. Il est aux premières loges. Alors il va donner le meilleur de lui-même, se montrer tel qu'il est vraiment, fini les frasques et la provoc cathodique pour faire les gros titres. Pour ce faire, il a loué le plus beau des costumes avec nœud pap et reste sobre. C'est Michel Sardou qui est chargé du discours et qui entame La Javanaise, suivi par Patrick Bruel, la nouvelle star, un symbole, et Vanessa Paradis, avec qui Gainsbourg travaille actuellement. Et puis, last but not least, il y a Laurent Voulzy. Il t'aimait bien, hein ? lui dit Alain Souchon en regardant les images plus de 20 ans après. C'est vrai que sur le papier Voulzy et Gainsbourg sont deux des artistes qui ont dominé et façonné le son des années 80. On pourrait croire de prime abord qu'ils sont l'eau et le feu, sans doute la raison pour laquelle on n'a pas eu la joie de les voir collaborer.Sans doute étaient-ils trop complets musicalement pour avoir à collaborer. Mais il n'empêche, ils partageaient la même passion pour le son et les arrangements. Combien d'ingénieurs du son et d'assistants pourraient témoigner de ces nuits interminables avec un Gainsbourg qui demandait à entendre et réentendre encore chaque piste, remixer, demander à l'interprète qui le chantait de réinterpréter car le résultat ne correspondait pas tout-à-fait au morceau qu'il avait dans la tête.Alors c'est vrai que Gainsbourg souffre d'une mauvaise réputation de bâcleur et travailleur de dernière minute, à cause des anecdotes qui ont été trop racontées. Ce n'était vrai que pour les textes, pas la musique. La musique, c'était comme par Voulzy, qui est là, assis dans la salle à reprendre la Javanaise pour lui, et avec lui. Il vient, comme Gainsbourg, de sortir une compile qui casse la baraque chez les disquaires. Tous deux voient leurs singles connus et moins connus alignés sur un même CD suscitant une admiration nouvelle. Et tous deux préparent un nouvel album. Pour Gainsbourg, ce sera un disque de blues qu'il va enregistrer à la Nouvelle Orléans mais que le destin abandonnera à jamais dans les limbes. Quant à Laurent, son Caché Derrière sera son plus grand succès, un des plus grands dans l'histoire de l'industrie de la musique française, un disque aux accents mélancoliques et nostalgiques, il est vrai que Gainsbourg était pour lui une source d'inspiration et de rêve.
Je ne les ai pas comptés mais il y avait beaucoup de drapeaux palestiniens dans le public hier soir ici à Nyon. Et ce sera sans doute un des faits marquants de cet été de festivals : à mesure que l'horreur et l'inquiétude grandissent à Gaza pour le peuple palestinien, les journalistes, les humanitaires, on sent que pour le public et les artistes, il est de plus en plus difficile de se taire. Plusieurs artistes ont protesté aux Francofolies de Spa sur la présence d'un chanteur qui affiche son soutien à l'armée israélienne, la programmation du groupe de Belfast, Kneecap, fait des vagues de Glastonbury à Rock en Seine. Ici à Paléo, si on s'attendait à voir des drapeaux flotter sous le dôme et sa programmation d'artistes du Maghreb, il y en avait encore devant Justice sur la grande scène à minuit, avec Macklemore, où dès l'ouverture de Luvanga, l'artiste de Genève que nous avons reçu hier. Luvanga, DJ et producteur d'origine cogonlaise, nous racontait comment il aime mêler les genres de l'afrobeat, à l'amapiano, la rumba congolaise ou la house, car les seules barrières ce sont celles que nous nous mettons. Vous pourrez d'ailleurs vous en rendre compte dans un petit quart d'heure, puisque les équipes de Paléo ont capté ce mix hier sur la scène Belleville, la scène électronique du festival. Au programme de notre deuxième émission, Théodort, jeune youtubeur qui a tout envoyé ballader, a effacé ses contenus et s'est jeté à corps perdu dans la musique, fort d'une importante communauté… Également sur notre plateau celui qui a eu le toupet de piquer son pseudo à Gainsbourg, Johnny Jane, mais d'abord c'est du côté de la campagne marocaine qu'on va tendre l'oreille pour entendre l'Aïta, le chant des Chikhates… avec Aïta mon amour, et Widad et Khalil.
Deux ans après sa disparition, Ombline Roche revient sur les débuts scéniques de Jane Birkin en 1987. Un concert intime au Bataclan, 20 chansons signées Gainsbourg, une reprise de Ferré… et la naissance d'une chanteuse touchante, sincère, sans artifice.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Durant trois jours Vertigo pose ses quartiers au Montreux Jazz Festival. Aujourdʹhui en ce 14 juillet, spéciale Aux armes etc : en compagnie de Sébastien Merlet, commissaire scientifique de la Maison Gainsbourg, retour sur les origines et les conséquences de cette version reggae de lʹhymne national français. Et lʹépoque Gainsbourg cʹest aussi lʹépoque Ardisson : hommage sera rendu à lʹanimateur producteur de télévision décédé ce jour. Mais le MJF offre également lʹoccasion de découvrir une toute nouvelle génération dʹartistes : la genevoise Maé sera lʹinvitée de Vertigo en première partie dʹémission. Ecouter : Sébastien Merlet de la Maison Gainsbourg, conférence-mix dès 21h à la Bibliothèque. Maé en concert sur la Terrasse Nestlé à 19h45.
En 1964, Eddy Louiss a 23 ans, et déjà des années de musique derrière lui. Il a fait ses gammes dans les bals puis dans les caves parisiennes de la rive gauche, avant de découvrir l'orgue hammond au Canada lors d'une tournée avec les Double Six. Oui, car Eddy Louiss, c'est une certaine idée du jazz et de la chanson. La preuve : il va devenir l'accompagnateur privilégié des Nougaro, Gainsbourg et Barbara, avant, enfin, de publier ses premiers disques à son nom. A l'époque, Eddy Louiss est partout !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
5 janvier 1980, le thermomètre est ce soir proche du zéro et pourtant le quartier de la colonne du congrès pourtant habitué à la foule des spectacles du Cirque Royal connaît une agitation inhabituelle. Ce soir Serge Gainsbourg va s'y produire à deux reprises, un truc de fou, car il s'agit de répondre à l'énorme demande qui a assailli le bureau de location dès l'annonce de sa venue. Cela fait donc deux fois plus de monde qui se croise à l'entrée et la sortie, entre les deux représentations. Et bien plus de monde encore que d'habitude puisqu'ayant ôté les sièges du parterre, c'est près de deux fois 2.500 personnes qui se croisent et se pressent dans la salle. La première explication, c'est que malgré 25 ans de carrière, personne ou presque en Belgique n'a encore vu Gainsbourg sur scène, puisqu'il l'a abandonnée en 1964, épuisé par les mauvaises réflexions à propos de sa voix et les insultes aussi au sujet de son physique. La seconde c'est que son album Aux armes etc paru au printemps dernier est un énorme succès en France et encore plus en Belgique, un disque 100% reggae, un genre musical qui est au sommet de sa popularité. Le reggae, c'est LA musique jeune. Alors les rythmes ronds et chauds joués par les potes de Bob Marley associés aux textes transgressifs, potaches ou joyeusement défoulatoires de Gainsbourg font un malheur. Le voilà d'ailleurs qui entre sur scène avec son personnage de dandy désabusé, jean, chemise légèrement ouverte et clope au bec. Pas de paras français aux premiers rangs comme la veille à Strasbourg pour l'empêcher de chanter sa version reggae de la Marseillaise. Au contraire, c'est la clameur d'un public conquis d'avance qui l'accueille et le rassure après un sérieux traumatisme. Il faut dire que ce public est une mosaïque : des étudiants, des couples fauchés, des fans de la première heure et des curieux. Tous scotchés. Ce n'est pas le Gainsbourg provoc' de la télé. Pas besoin de pyrotechnie. C'est un type en état de grâce, pas encore le gars qui susurre, il a encore sa voix claire., diablement magnétique. Gainsbourg danse à peine, balance doucement les hanches, l'œil rieur. On sent déjà pointer Gainsbarre, son double mal léché, mais ce soir, il reste à distance. Serge est encore poète. Il chante Aux armes et cætera une seconde fois pour notre plus grand plaisir. Et cette fois, les gens chantent avec lui. Une salle belge emportée par une chanson française née en Jamaïque. Faut le faire.Entre les deux concerts, à peine une pause. Le public du deuxième round est tout aussi brûlant. Moins surpris, peut-être, mais encore plus prêt. Ce soir-là, tout le monde repart avec un truc en plus. Une vibration. Une fièvre. Gilles Verlant, l'animateur de la seule émission de télé rock belge et coorganisateur de ce concert fou, est heureux. Il a le sentiment d'avoir vécu quelque chose de rare, loin de se douter que dans pas longtemps, il écrira la biographie de référence de l'artiste qui vient de sortir de scène.Gainsbourg au Cirque Royal, c'est pas juste un souvenir. C'est un parfum. Celui d'un moment suspendu, où un artiste a touché quelque chose de sacré. Et nous “avec”, comme on disait à Bruxelles, en ce temps-là.
19 juin 1986, la nouvelle tombe, terrible. Coluche est mort. Un proche, pour Serge. Il se rappelle ce soir pas si éloigné où il l'avait invité à la maison, et où son pote avait dégagé toute la table sans lui demander la permission pour le dîner qu'il s'était mis en tête de préparer lui-même depuis des plombes. Serge avait piqué une colère du bazar qu'il avait mis avec les autres convives, c'est vrai, c'était pas une table pour manger. En tout cas, ce qu'il regrette, c'est le frère qu'il a perdu. Car Coluche et lui ont un point commun : ils sont la cible des têtes bien pensantes d'une société qu'ils ne manquent jamais de choquer. Désormais, Serge sait qu'il est seul dans la ligne de mire. Lui, le gros dégueulasse, le provocateur. Ce n'est pas un hasard si Coluche et lui ont tous les deux crevés les records d'audience télé lors de leur passage dans Le jeu de la vérité. Tenez, c'était il y a tout juste un an. Le 7 juin 1985, Serge n'en mène pas large juste avant l'émission. Il adore la promo mais là, il va se retrouver seul devant dix millions de gens dont certains qui vont lui poser des questions. Le mettre au pied de ses récentes provocations dont il est si fier quand il voit la visibilité que cela lui rapporte. Mais là, le coup du gros billet auquel il a foutu le feu récemment, il sait que ça ne passe vraiment pas bien. Même Charlotte est victime de railleries à l'école, et elle en souffre. Va-t-il comme Coluche deux semaines plus tôt, utiliser ses deux jokers immédiatement ? Enfin, point positif, Serge a arrêté de picoler depuis huit jours. Il aura moins les idées claires. Enfin, même à jeun, il n'est plus tout à fait fit and well après autant d'années d'excès. On va le lui reprocher d'ailleurs : lui balancer au téléphone et en direct qu'il est sale, vulgaire, cynique, qu'il a déshonoré la France avec sa Marseillaise en reggae, outragé le monde ouvrier avec son billet de 500 balles et qu'il n'est pas venu chanter pour l'Ethiopie avec son pote Renaud. Mais Serge a encore des réserves, c'est le cas de le dire. Il sort un chéquier et rédige un ordre de 100.000 nouveaux francs pour Médecins sans frontières. Applaudissements. Il a marqué un point, et pas des moindres. Bon, il ne peut s'empêcher de raconter des blagues épouvantablement mauvaises qu'il collectionne. Là, il est authentique pour une fois. L'une d'entre elles lui vaut d'ailleurs d'être accosté en boîte juste après l'émission par une jeune femme qui lui dit que sa blague du petit immigré qui va demander à Le Pen combien il lui donnerait pour qu'il quitte la France et que Le Pen lui répond 5 minutes, avait bien fait rire son père. Et qui est-ce, votre père ? Ben, Jean-Marie Le Pen. Gainsbourg ne le croit pas mais c'est bien une Marine Le Pen face à lui, bien loin de s'imaginer qu'un jour elle fera un jour de la politique. Mais pour en revenir à l'émission, l'idée de ressortir une chanson d'Aznavour de 1959 et de l'interpréter, à une époque où la grande majorité du public ne connaît pas La Javanaise, était excellente. Car bientôt, avec l'arrivée du CD, on va tous découvrir ces chansons des années 50 et 60 que presque personne n'avait achetées et qui étaient bien loin du Gainsbarre des années 80 …
What we're offering today is something completely different: two outlier artists (although one is a French icon) who created off-kilter, out of the box, almost unintelligible nuggets of artistic brilliance. These cuts are linked, not only by the fact that they both feature sinuous bass lines and orchestral flourishes, but that they are produced by artists whose stances were uncompromising, prickly, unknowable - and, touched with stardust. SCOTT WALKERScott Walker, whose rich, deep baritone was first introduced to the world in the early 1960s, with the internationally famous group, The Walker Brothers (they weren't) - and their hit single “The Sun Ain't Gonna Shine Anymore.” When he went solo he faced an uphill battle, trying to gain public acceptance for his dark, and tangled personal visions. I became enamored of his work when I heard his musical evocation of Ingmar Bergman's The Seventh Seal. By 1970, his solo career went silent. Probably, as a financial imperative, he rejoined The Walker Bros, for some moderately successful MOR cover filled albums. But, in 1984 Scott's mojo returned, triumphantly, with the album “Climate of the Hunter” from which this cut, Rawhide, derives. (Don't worry about trying to figure out the lyrics - just let it wash over you). Against all odds, the “30th Century Man's” time had come, and there was a whole new generation of acolytes, eager to drink the magic potions Scott was uncorking. SERGE GAINSBOURG Serge Gainsbourg's unique 1971 concept album, Histoire de Melody Nelson, is a suite of songs telling the story of a doomed, illicit romance between a middle aged man and a 14 year old girl named Melody, portrayed by his muse, the dreamy actress and model, Jane Birkin, who also graces the cover.Produced far before the “Me Too” era, this provocative and subversive pop-music drama was not offensive to the French; on the contrary, it cemented the French chameleon's iconic status, and the celebrity couple became the subject of much tabloid journalism. His stylish, outlaw decadence generated a fascination that continues to this day. Gainsbourg, born Lucian Ginsburg, the son of Russian-Jewish immigrant parents, was a manufactured creation. He took his nom de musique as a tribute to the English painter Thomas Gainsborough. And, after surviving the German occupation of France during WW2- (he recalled having to wear the Yellow Star, which identified him as a Jew) - he went on to carve out an indelible new identity of swagger, writing and producing over 500 pop hits spanning several genres. He was one of a kind.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'info du matin - Grégory Ascher et Justine Salmon ont révélé des caractéristiques étonnantes des villes françaises. Le winner du jour : - Nos premiers winners ont suivi aveuglément leur GPS et se sont retrouvés coincés entre deux immeubles. - Un médecin québécois a écopé d'une amende car son cabinet était jugé trop mal rangé. Le flashback de janvier 2010 - Sortie de l'album "The E.N.D" des Black Eyed Peas avec "I Gotta Feeling" et "Boom Boom Pow". - Sortie du biopic "Gainsbourg, vie héroïque" réalisé par Joann Sfar. Les savoirs inutiles : - À Longyearbyen, sur l'archipel norvégien de Svalbard, il est interdit d'accoucher : les futures mamans sont transférées sur le continent une semaine avant leur terme en raison des conditions climatiques extrêmes. 3 choses à savoir sur le Club Med Qu'est-ce qu'on teste ? - L'astuce du double essorage pour sécher plus vite son linge sans l'abîmer. - Utiliser ChatGPT pour trouver ses prochains programmes à regarder sur Netflix. Le jeu surprise : Joaquim de Carros vers Nice gagne 4 billets d'avion aller-retour en Europe avec Vueling. La banque RTL2 : - Mickael de Montamisé vers Poitiers gagne 1000 €. - Marina de Mauguio vers Montpellier repart avec un coffret Marilou Bio. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Asmodeo, Luzbel o Belcebú algunos de los nombres del Maligno.La serpiente tentadora, el politico con lengua de doble filo, el dirigente con voz de oveja muerta que vende a su madre o a su pais en su sinfonola. De Paganini, el violinista del Diablo llamado, hasta sus Satánicas Majestades o Gainsbourg que tan bien le encarnó. La imagen del Maligno de las pezuñas y rabo a partir de S. XI, el Maligno disfrazado de “ser de luz” en la actualida . Capaz de hacer abjurar al hombre de su presunción de inocencia, de transmitir preocupación por los trabajadores desde su palacete y más allá. El mal en sus diversas formas y “Crawling King Snake”, la serpiente de Morrison o la mia deslizándose ya en la sinfonola del Maligno. Para los muy pecadores. Puedes hacerte socio del Club Babel y apoyar este podcast: mundobabel.com/club Si te gusta Mundo Babel puedes colaborar a que llegue a más oyentes compartiendo en tus redes sociales y dejar una valoración de 5 estrellas en Apple Podcast o un comentario en Ivoox. Para anunciarte en este podcast, ponte en contacto con: mundobabelpodcast@gmail.com.
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"La billetterie, c'est beaucoup plus drôle que juste de la mécanique, c'est un peu Dallas !" Voilà comment Charlotte Elie, Responsable billetterie, marketing digital et eshop de la Maison Gainsbourg, décrit son métier. Un domaine passionnant où marketing, technique et développement des publics se croisent.Dans cet épisode de Sold Out, Charlotte nous raconte comment la billetterie se transforme en un terrain de jeu pour créer des expériences immersives. L'exemple parfait ? L'ouverture de la Maison Gainsbourg, un projet culturel ambitieux situé rue de Verneuil à Paris, resté fermé au public pendant plus de 30 ans.Entre la maison historique de Serge Gainsbourg et un musée moderne, Charlotte y joue un rôle clé dans la gestion de la rareté des billets et des flux de visiteurs, pour offrir une expérience à la fois intime et authentique. Une conversation passionnante sur un métier souvent peu visible, mais essentiel à la création de liens durables entre un lieu culturel, ses publics et son héritage.Sold Out, le podcast pour se glisser dans les coulisses du spectacle vivant.Avec le soutien de DELIGHT.Production : Big Red Machine / Réalisation : Marc H'LIMI / Interview et programmation : Marc GONNET / Communication & image : Emilie BARDALOUHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mathieu Alterman nous plonge dans les coulisses de la carrière de Serge Gainsbourg, le légendaire auteur-compositeur-interprète français. Aux côtés de Mathieu, nous découvrons les hommes de l'ombre qui ont contribué à façonner le son unique de Gainsbourg, bien souvent sans que leur nom ne soit mis en avant.L'émission s'ouvre sur les révélations explosives de Jean-Claude Vanier, le compositeur de l'album culte "Histoire de Melody Nelson". Vanier lève le voile sur les pratiques de Gainsbourg, qui aurait cherché à s'accaparer les crédits de composition, au détriment de ses collaborateurs. Cette déclaration soulève de nombreuses questions sur la nature des relations entre Gainsbourg et ses musiciens.Mathieu Alterman nous entraîne ensuite dans une passionnante rétrospective, retraçant les différentes étapes de la carrière de Gainsbourg. Nous découvrons ainsi les rôles essentiels joués par des arrangeurs tels qu'Alain Goraguer et Michel Colombier, qui ont apporté leur touche personnelle aux productions de Gainsbourg, sans pour autant être pleinement reconnus.Tout au long de l'émission, Mathieu Alterman souligne l'importance de ces hommes de l'ombre, sans qui la musique de Gainsbourg n'aurait pas atteint la même qualité et la même renommée. Il invite les auditeurs à rendre hommage à ces artistes trop souvent oubliés, qui ont contribué à faire de Serge Gainsbourg l'icône qu'il est devenu.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Après quelques semaines d'absence, on reprend le chemin des micros, avec un épisode consacré à la collection de disques de Gainsbourg. Quoi de plus parlant pour aborder un artiste que d'aller fouiller dans sa discothèque ? Découvrir ses influences, son ouverture d'esprit, et ce qui a nourri (parfois plus) son oeuvre... Un nouvel angle super intéressant, qui témoigne de l'éclectisme et de la modernité du grand Serge. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mathieu Alterman nous plonge dans la vie fascinante de Marianne Faithfull, icône du Swinging London. De la gloire aux abysses, entre rock, drogues et anorexie, elle renaît avec Broken English en 1979. Amie des Rolling Stones, muse de Gainsbourg, actrice inoubliable, elle a su transformer ses épreuves en une voix unique, mêlant force et fragilité. Un hommage vibrant à une artiste libre, dont l'empreinte marque encore la pop culture.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables.
Flavia Capitani"A Parigi con Serge Gainsbourg"Giulio Perrone Editorewww.giulioperroneditore.comProvocatore, innovatore, rivoluzionario nella musica e nel costume, un uomo pieno di contraddizioni. Serge Gainsbourg nasce da genitori ebrei russi fuggiti alla rivoluzione bolscevica, cresce nella Parigi povera e insalubre di Pigalle. Studia pittura all'Accademia di Montmartre ma da un giorno all'altro distrugge tutti i suoi quadri per darsi a quella che lui considera un'arte minore, la musica. Negli anni Cinquanta si esibisce nei locali jazz di Saint-Germain, nel '69 con J'ai t'aime… Moi non plus compie una rivoluzione culturale insieme a Jane Birkin, che è stata la sua compagna, la sua musa ma anche la sua creatrice. Dieci anni dopo scandalizza la Francia con una Marsigliese reggae. In un viaggio tra ieri e oggi Flavia Capitani ci porta alla scoperta della sua Parigi, dalla Rive droite, in origine approdo di esuli e ora di gran moda, alla Rive gauche, borghese e chic. E ci fa entrare nella casa-tempio al 5 di rue de Verneuil, diventata museo, da dove Gainsbourg partiva per le sue nottate alcoliche con le Gitanes sempre in tasca.Flavia Capitani giornalista, si occupa di spettacolo, cinema, cultura, vive a Roma ma ha soggiornato a lungo a Parigi.Lavora da vent'anni per un'agenzia di stampa nazionale, ha collaborato in passato con Rai, «Il Venerdì» e «D» di «Repubblica», «Marie Claire», «Vogue Italia». Ha scritto con Emanuele Coen A Est (Einaudi) e La città dentro (Polaris), e curato per la casa editrice Laterza Pecore nere e Amori bicolori.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Bambou, 65 ans, dernière compagne de Serge Gainsbourg, est sortie du silence cette année. Dans un livre, la mannequin raconte la maltraitance qu'elle a subie, les tentatives de suicide qu'elle a commises et la manière dont elle a sombré dans la drogue. Elle revient aussi sur sa relation avec le chanteur dans les années 1980 et la manière dont cette rencontre inattendue a changé sa vie. Bambou a publié l'ouvrage « Pas à pas dans la nuit » en novembre 2024 aux éditions XO. Elle témoigne dans Code source au micro de Barbara Gouy.Cet épisode évoque le suicide. Si vous-même avez besoin d'écoute, vous pouvez vous tourner vers le numéro numéro national de prévention contre le suicide, au 31 14. C'est une ligne d'écoute anonyme et gratuite.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Pénélope Gualchierotti et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon. - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Bitcoin, après avoir grimpé de 30%, cale aujourd'hui devant la barre des 100.000 dollars. Est ce juste une pause avant de repartir de plus belle ou est ce juste un nouvel indice d'euphorie spéculative ? Les plus âgés se souviennent sans doute du 11 mars 1984, où en pleine émission télévisée, le chanteur Serge Gainsbourg avait brûlé un billet de 500 francs en direct devant les téléspectateurs pour protester contre la politique fiscale du gouvernement socialiste de l'époque. Ce geste avait fait scandale à l'époque auprès d'une partie de la population française. Je vous en parle parce que ce geste dénote l'esprit d'une époque, pour Gainsbourg, c'était le ras-le-bol fiscal et aujourd'hui, ce serait plutôt la spéculation. Il y a quelques jours, c'est le fondateur d'une plateforme de cryptomonnaies qui a avoué avoir acheté une banane accrochée contre un mur avec un vulgaire scotch argenté 6 millions de dollars et ce dernier avait prévenu qu'il mangerait lui-même la banane en question. Un autre indice d'euphorie spéculative, comme l'explique mon confrère Marc Lambrecht du quotidien l'Echo, c'est cette société Microstrategy qui a placé toute sa trésorerie en bitcoin… Mots-Clés : direct, artiste, travail, époque, question, journaliste, rémunéré, France, taxé, geste artistique, monde artistique, conférence de presse, dingue, indice, milliard, conceptrice, logiciels, cotée en Bourse, cours, année, pertes, activité, ressemblances, années 80, Japon, Bourse, trésorerie, marchés financiers, développement, activités, Banque centrale, taux d'intérêt, bas, endetter, bon compte, avenir, résultat, augmenter, sociétés nippones, exercice spéculatif, entrée en crise, disparu, histoire, oncle Paul, passer, cap, caler, nombre, camp. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Et le final aléatoire ! TIRZAH -Hive Mind (feat. Coby Sey)Everything Is Recorded -Losing You feat Sampha, Laura Groves, Jah Wobble and YazzKendrick Lamar - TV OffCrazy P - Human After AllThéodora - FASHION DESIGNAMYX - TAKE IT FROM MELos Pakines - VenusThe Cure - Drone:NodroneKabale Und Liebe, Daniel Sanchez - Mumbling YeahMoodymann - TechnologystolemyvinyleL'Rain - People Are Small / RaptureSerge Gainsbourg - Accéléré historiqueIsabelle Adjani - OhioAnadol & Marie Klock - Quand le Grenier Aura Pris FeuLalo Schifrin - Marquis de SadeJlin. Moor Mother - We've Been Through So Much
Il y a des couples iconiques, qui ont marqué nos vies et qu'on n'oubliera jamais. Je veux parler de Brad Pitt et Angelina Jolie, de Gainsbourg et Birkin, de Kim Kardashian et Kanye West… Et puis il y en a d'autres plus improbables, dans le sens d'inassortis, ou juste inattendus, qu'on a parfois…complètement oubliés.Dans cette saison de Scandales, le podcast de Madame Figaro, je vous propose de repartir sur les traces de ces histoires d'amour qu'on n'aurait pas imaginées. Qui se souvient de la passion impossible entre Madonna et du rappeur Tupac ? Que dire du couple que forment Kylie Jenner et Timothée Chalamet ? Est-ce qu'Ophélie Winter et Prince ont vraiment été ensemble ? Et finalement, que veulent dire ces relations amoureuses de l'époque qu'elles traversent ?Scandales est un podcast de Madame Figaro, écrit et présenté par Marion Galy-Ramounot, et produit par Lucile Rousseau-Garcia. Océane Ciuni est la responsable éditoriale de Scandales, un podcast produit par Louie Créative, l'agence de contenus audios de Louie Média. Les épisodes de Scandales sont à retrouver sur toutes vos plateformes : Apple Podcasts, Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:04:54 - Club Jazzafip - Ces fascinantes machines à quatre roues ont de tout temps inspiré les compositions musicales des artistes. Notre partition prend la route avec Dizzy Gillespie, Bobby McFerrin, Chet Baker, Gainsbourg ....
Bambou, dernière compagne de Serge Gainsbourg raconte pour la première fois au micro de Faustine Bollaert les tourments de son enfance, ses débuts à Paris et les treize années passées auprès de Serge Gainsbourg. Auteur du livre- "Pas à pas dans la nuit" (XO Éditions) Ecoutez Héros avec Faustine Bollaert du 07 novembre 2024.
durée : 00:18:29 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Bambou fut la dernière compagne de Serge Gainsbourg, elle est la mère de Lulu, est aussi mannequin, et publie aujourd'hui à 65 ans son autobiographie : "Pas à pas dans la nuit" (parue chez XO Éditions). Bambou est l'invitée de Léa Salamé
durée : 00:18:29 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Bambou fut la dernière compagne de Serge Gainsbourg, elle est la mère de Lulu, est aussi mannequin, et publie aujourd'hui à 65 ans son autobiographie : "Pas à pas dans la nuit" (parue chez XO Éditions). Bambou est l'invitée de Léa Salamé
Du rock steady lyonnais à l'afro-jazz sénégalais. Les 1ers invités de la #SessionLive sont le groupe Da Break pour la sortie du nouvel album Steady.Comme d'autres ont pu le faire avant eux (Gainsbourg, Snoop Dogg, Lavilliers ou Sinead O'Connor…), DA BREAK nous embarque pour revisiter leurs meilleurs tracks façon «Reggae Vibes», et nous propose de redécouvrir son répertoire avec un son plus «roots» que jamais. Une parenthèse enchantée qui parlera autant aux fans de la première heure qu'aux amateurs du genre; une bulle hors du temps d'un groupe en pleine introspection, libérant enfin une facette différente de son ADN. L'idée d'un «auto remix reggae old school» germait depuis un long moment, avec la volonté de se plonger dans une esthétique de sons 60's/70's et de rendre hommage à cette culture Reggae, ce monument qu'ils aiment et respectent tant. Les concerts de DA BREAK étant toujours des expériences instrumentales riches et ultra vivantes grâce à un crew de musiciens solides, le choix d'enregistrer LIVE, tous dans la même pièce, était évident ; avec instruments et micros 'vintage' afin de profiter de ce grain chaleureux et authentique. En résulte un album roots & rocksteady sans électronique, penchant vers un jazz moite et rugueux, une soul tropicale ou encore un gospel avec du sable entre les orteils… définitivement reggae ! DA BREAK reste DA BREAK, avec cette lumière intérieure, lorgnant cette fois du côté des Caraïbes. Lorsque l'on connaît l'influence historique des soundsystems jamaïcains sur les block-parties américaines, rien d'étonnant finalement à ce que DA BREAK ait souhaité rendre hommage à ceux qui les auront bercés, et qui les influencent encore aujourd'hui : Bob Marley & the Wailers, Jimmy Cliff. Culture, Toots & the Maytals, Burning Spear, The Gladiators, Yellowman, Israel Vibration, LKJ & Mad Professor, UB40, Chakademus & Pliers ou encore Peter Tosh pour n'en citer que quelques-uns.DA BREAK est de retour en 2024 avec ce 4ème album Steady sideproject sous forme de conceptalbum 100% reggae dans lequel Da Break revisite ses propres compositions. Titres interprétés au grand studio- Give Your Steady Love Live RFI- Fine & Steady, extrait de l'album- Down The Steady Street Live RFI.Line Up : Hawa (chant), Rémy Kaprielan (batterie), Pierre Vadon (claviers), Nicolas Mondon (guitare) et Kamal Mazouni (basse).Son : Mathias Taylor & Benoît Letirant.► Album Steady (La Ruche / Inouïe 2024).Facebook - YouTube - instagram. Puis nous recevons Mangane dans la #SessionLive pour la sortie de l'album Zoom Zemmatt Dans une industrie qui se repaît des jeunes premiers, Mangane a de quoi dénoter. Il aura soixante ans en 2024, et il s'apprête à publier un premier disque produit par un label, à l'heure où d'autres envisagent la retraite. Ce qui n'est pas pour déplaire aux plus curieux qui devraient s'y retrouver tant cet afro-jazz n'est pas tout à fait dans le droit sillon des classiques du style. Non, c'est plutôt dans les chemins buissonniers que s'inscrit la musique de Zoom Zemmatt - qui donne son nom à l'album -, en une dizaine de titres qui rassemblent les sédiments d'une vie passée en musiques, au pluriel de son suggestif. Et pourtant, ce n'était pas écrit d'avance pour celui qui est né à Thiès, grande cité à une heure de route de Dakar et épicentre de la construction du chemin de fer dans la sous-région, dans une lignée familiale d'agriculteurs. Son père est cheminot, sa mère gère le foyer.Aux premières heures de l'Indépendance, la tradition qui veut que la musique soit exercée par des griots est prégnante, mais le jeune Ousseynou - son prénom, Mangane étant son nom - va néanmoins comme d'autres oser s'aventurer dans ce qui n'est alors pas vraiment un métier. « J'ai grandi dans un quartier peuplé des gens de la sous-région, Nigériens comme Maliens, venus travailler à la construction du chemin de fer. Dans cette ambiance pluriethnique, il y avait tout le temps des activités culturelles, et c'est comme ça que je suis arrivé dans la musique ! »Encore gamin, il y verra le mythique Rail Band de Bamako, entre autres. Et y sera bercé par les musiques afro-cubaines, celle des Baobab, Number One et autre Star Band. Sans compter le Dieuf Dieul et le Royal Band, dans un versant plus traditionnel, deux bands de Thiès. « Et à la même époque, j'ai commencé à écouter aussi les musiques afro-américaines et anglaises. » Jazz, blues, folk, pop, tout passe dans les oreilles de ce jeune qui suit des cours de théâtre au collège, une « leçon d'humilité » dira-t-il bien plus tard, et tâte de la guitare grâce à un de ses oncles.Dans les années 90, il monte le groupe Nakodjé, qui signifie le potager « C'était un travail atypique de recherche : on cherchait à concilier le traditionnel et le moderne, en mettant en avant des instruments comme le balafon, la flûte peule, la calebasse, et en les utilisant autrement que lors des réunions traditionnelles. » Puis, après une tournée en Suisse, il découvre Limoges et s'y installe. En 2011, il sort Lann la, (Y'a quoi ?), un premier album autoproduit. 2019, Lëkkëlô (le lien) mais le Covid ne laissera pas sa chance à ce second album.Novembre 2022, Laborie Jazz rentre dans le jeu et Zoom Zemmatt voit le jour. Mangane rassemble ainsi toutes les pièces qui ont façonné sa singularité depuis tant d'années, à l'image de son répertoire, « une musique suffisamment ouverte pour permettre l'improvisation », où celui qui joue de la guitare mais aussi de la kalimba s'épanche principalement en wolof sur les questions qui le taraudent depuis toujours : l'immigration, les jeunes, l'amour, le respect. Sans oublier le bassiste Alune Wade qui est du voyage. Titres interprétés au grand studio- Emmène-moi Live RFI- Jubbantil, extrait de l'album- Nguistal - Smooth Talker Live RFI.Line Up : Mangane (voix, guitare, sanza), Hervé Samb (guitare), Benjamin Naud (batterie) et Ranto Rakotomalala (basse).Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant,► Album Zoom Zemmatt (Laborie Jazz 2024)Réalisation : Donatien Cahu.Mangane EPK - facebook - Laborie Jazz.
Du rock steady lyonnais à l'afro-jazz sénégalais. Les 1ers invités de la #SessionLive sont le groupe Da Break pour la sortie du nouvel album Steady.Comme d'autres ont pu le faire avant eux (Gainsbourg, Snoop Dogg, Lavilliers ou Sinead O'Connor…), DA BREAK nous embarque pour revisiter leurs meilleurs tracks façon «Reggae Vibes», et nous propose de redécouvrir son répertoire avec un son plus «roots» que jamais. Une parenthèse enchantée qui parlera autant aux fans de la première heure qu'aux amateurs du genre; une bulle hors du temps d'un groupe en pleine introspection, libérant enfin une facette différente de son ADN. L'idée d'un «auto remix reggae old school» germait depuis un long moment, avec la volonté de se plonger dans une esthétique de sons 60's/70's et de rendre hommage à cette culture Reggae, ce monument qu'ils aiment et respectent tant. Les concerts de DA BREAK étant toujours des expériences instrumentales riches et ultra vivantes grâce à un crew de musiciens solides, le choix d'enregistrer LIVE, tous dans la même pièce, était évident ; avec instruments et micros 'vintage' afin de profiter de ce grain chaleureux et authentique. En résulte un album roots & rocksteady sans électronique, penchant vers un jazz moite et rugueux, une soul tropicale ou encore un gospel avec du sable entre les orteils… définitivement reggae ! DA BREAK reste DA BREAK, avec cette lumière intérieure, lorgnant cette fois du côté des Caraïbes. Lorsque l'on connaît l'influence historique des soundsystems jamaïcains sur les block-parties américaines, rien d'étonnant finalement à ce que DA BREAK ait souhaité rendre hommage à ceux qui les auront bercés, et qui les influencent encore aujourd'hui : Bob Marley & the Wailers, Jimmy Cliff. Culture, Toots & the Maytals, Burning Spear, The Gladiators, Yellowman, Israel Vibration, LKJ & Mad Professor, UB40, Chakademus & Pliers ou encore Peter Tosh pour n'en citer que quelques-uns.DA BREAK est de retour en 2024 avec ce 4ème album Steady sideproject sous forme de conceptalbum 100% reggae dans lequel Da Break revisite ses propres compositions. Titres interprétés au grand studio- Give Your Steady Love Live RFI- Fine & Steady, extrait de l'album- Down The Steady Street Live RFI.Line Up : Hawa (chant), Rémy Kaprielan (batterie), Pierre Vadon (claviers), Nicolas Mondon (guitare) et Kamal Mazouni (basse).Son : Mathias Taylor & Benoît Letirant.► Album Steady (La Ruche / Inouïe 2024).Facebook - YouTube - instagram. Puis nous recevons Mangane dans la #SessionLive pour la sortie de l'album Zoom Zemmatt Dans une industrie qui se repaît des jeunes premiers, Mangane a de quoi dénoter. Il aura soixante ans en 2024, et il s'apprête à publier un premier disque produit par un label, à l'heure où d'autres envisagent la retraite. Ce qui n'est pas pour déplaire aux plus curieux qui devraient s'y retrouver tant cet afro-jazz n'est pas tout à fait dans le droit sillon des classiques du style. Non, c'est plutôt dans les chemins buissonniers que s'inscrit la musique de Zoom Zemmatt - qui donne son nom à l'album -, en une dizaine de titres qui rassemblent les sédiments d'une vie passée en musiques, au pluriel de son suggestif. Et pourtant, ce n'était pas écrit d'avance pour celui qui est né à Thiès, grande cité à une heure de route de Dakar et épicentre de la construction du chemin de fer dans la sous-région, dans une lignée familiale d'agriculteurs. Son père est cheminot, sa mère gère le foyer.Aux premières heures de l'Indépendance, la tradition qui veut que la musique soit exercée par des griots est prégnante, mais le jeune Ousseynou - son prénom, Mangane étant son nom - va néanmoins comme d'autres oser s'aventurer dans ce qui n'est alors pas vraiment un métier. « J'ai grandi dans un quartier peuplé des gens de la sous-région, Nigériens comme Maliens, venus travailler à la construction du chemin de fer. Dans cette ambiance pluriethnique, il y avait tout le temps des activités culturelles, et c'est comme ça que je suis arrivé dans la musique ! »Encore gamin, il y verra le mythique Rail Band de Bamako, entre autres. Et y sera bercé par les musiques afro-cubaines, celle des Baobab, Number One et autre Star Band. Sans compter le Dieuf Dieul et le Royal Band, dans un versant plus traditionnel, deux bands de Thiès. « Et à la même époque, j'ai commencé à écouter aussi les musiques afro-américaines et anglaises. » Jazz, blues, folk, pop, tout passe dans les oreilles de ce jeune qui suit des cours de théâtre au collège, une « leçon d'humilité » dira-t-il bien plus tard, et tâte de la guitare grâce à un de ses oncles.Dans les années 90, il monte le groupe Nakodjé, qui signifie le potager « C'était un travail atypique de recherche : on cherchait à concilier le traditionnel et le moderne, en mettant en avant des instruments comme le balafon, la flûte peule, la calebasse, et en les utilisant autrement que lors des réunions traditionnelles. » Puis, après une tournée en Suisse, il découvre Limoges et s'y installe. En 2011, il sort Lann la, (Y'a quoi ?), un premier album autoproduit. 2019, Lëkkëlô (le lien) mais le Covid ne laissera pas sa chance à ce second album.Novembre 2022, Laborie Jazz rentre dans le jeu et Zoom Zemmatt voit le jour. Mangane rassemble ainsi toutes les pièces qui ont façonné sa singularité depuis tant d'années, à l'image de son répertoire, « une musique suffisamment ouverte pour permettre l'improvisation », où celui qui joue de la guitare mais aussi de la kalimba s'épanche principalement en wolof sur les questions qui le taraudent depuis toujours : l'immigration, les jeunes, l'amour, le respect. Sans oublier le bassiste Alune Wade qui est du voyage. Titres interprétés au grand studio- Emmène-moi Live RFI- Jubbantil, extrait de l'album- Nguistal - Smooth Talker Live RFI.Line Up : Mangane (voix, guitare, sanza), Hervé Samb (guitare), Benjamin Naud (batterie) et Ranto Rakotomalala (basse).Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant,► Album Zoom Zemmatt (Laborie Jazz 2024)Réalisation : Donatien Cahu.Mangane EPK - facebook - Laborie Jazz.
durée : 00:08:28 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Alors que les fans s'émeuvent des difficultés financières inattendues de la Maison Gainsbourg, son musée personnel, revenons sur l'aura singulière de Serge Gainsbourg, célébrée par les chanteurs...
Ce vendredi 6 septembre 2024, Laurent Gerra a notamment imité Michel Houellebecq, Serge Gainsbourg ou encore Muriel Robin... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.
« Cher directeur, je crois que la nuit sera courte... » C'est à Werner Kuchler que s'adressait Gainsbourg lorsqu'il faisait rouvrir le bar à une heure du matin et venait jouer « à guichets fermés » pour les employés !Tout palace a une vie secrète : les caprices des célébrités, des créatures peu farouches, l'hystérie qui règne en cuisine, l'argent qui circule sous toutes ses formes... Dans cet hôtel mythique où tout semble possible, une guerre des tables divisait ainsi, au restaurant, les clients qui, ayant (presque) tous leurs habitudes, faisaient du chantage au directeur.Au fil de ce récit nourri d'anecdotes, on découvre les relations amicales qui se nouent de façon surprenante entre le personnel et les clients. On y croise aussi Alain Delon que l'on doit convaincre d'enfiler une veste in extremis, une ancienne cliente ruinée que l'on dépanne régulièrement de quelques liasses de billets, ou Pierre Bergé qui se fait gifler devant une cinquantaine d'habitués...Bienvenue au 25 avenue Montaigne ! Un voyage au coeur d'une époque exaltée, racontée par une figure de la vie nocturne dans un Paris peuplé de personnages fascinants.Son auteur, Werner Küchler est notre invité par téléphone
Découvrez le livre du jour des Grosses Têtes. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Il y a pile trente ans, le rap français devenait pour la 1re fois numéro un au Top 50 grâce à IAM et sa chanson Je danse le Mia. Et sans Serge Gainsbourg, ce morceau n'aurait jamais été un énorme tube. Retour en 1993. Cette année-là, IAM va sortir son nouvel album Ombre et Lumière. Le groupe marseillais existe depuis 1986, jouit d'un succès d'estime mais l'estime, c'est insuffisant pour se nourrir. Les Grosses Têtes vous proposent de découvrir ou redécouvrir le podcast de Florian Gazan. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.