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Imaginez une petite fille, perchée sur un rocher, avec toujours un carnet à la main, dans une forêt du nord de l'Ontario. Elle s'appelle Margaret. Son terrain de jeu ? Les arbres, les rivières, et les bruits d'animaux. Pas de télévision, pas de bibliothèque municipale, encore moins de cinéma. Seulement quelques livres, une radio à piles et beaucoup, beaucoup d'imagination.Connaissez-vous l'histoire de Margaret Atwood ? Juliette Livartowski raconte.Connaissez-vous l'histoire est un podcast de Binge Audio écrit et raconté par Juliette Livartowski. Autrice : Juliette Livartowski. Réalisation : Paul Bertiaux. Production : Charlotte Baix et Juliette Livartowski. Edition : Marie Foulon. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez une femme, directrice marketing le jour… et romancière la nuit.Dans le plus grand secret, Aurélie Valognes écrit son 1er roman, sans plan de carrière, sans maison d'édition, sans réseau littéraire. Juste elle, son ordinateur, et l'intuition profonde qu'elle a quelque chose de fort à raconter.Ce roman, elle l'autoédite sur Internet. Et contre toute attente… c'est l'explosion.Des centaines de milliers de lecteurs, sans marketing, sans appui médiatique. Une success story fulgurante, née en dehors des circuits traditionnels.Aujourd'hui, Aurélie est l'une des romancières les plus lues en France.Et pourtant, elle continue d'avancer sans chercher l'approbation du monde littéraire.Un roman par an, tous les ans. Un best-seller à chaque fois. Avec méthode. Avec foi. Avec une indépendance d'esprit qui force l'admiration.Dans cet épisode, on a parlé de ses rituels d'écriture, de la solitude du début, de ses doutes persistants, de la discipline derrière le succès… et de cette envie farouche de rester libre.Si vous cherchez un élan, un souffle d'audace ou que vous êtes simplement curieux de comprendre ce qui se cache derrière une réussite hors norme, vous êtes au bon endroit.Bonne écoute !Chapitrage : 00:00 - Introduction : Une romancière née dans le secret02:12 - Le mensonge fondateur qui a changé sa destinée08:32 - Écrire dans l'ombre, sans plan, sans filet12:28 - Le roman auto-édité qui explose tout sans marketing15:45 - Quand les maisons d'édition lui tournent le dos (puis la courtisent)24:01 - Best-seller malgré le mépris du milieu littéraire25:10 - La solitude, la discipline et les doutes qui persistent29:05 - Écrire pour réparer, pour transmettre, pour exister36:02 - Comment elle écrit un roman par an (et pourquoi)53:50 - Le combat pour rester soi dans un monde de cases56:03 - Ses conseils à ceux qui veulent prendre plus de temps pour lire01:05:00 - Les Podcasts écoutés par Aurélie01:07:41 - Le crible du Podcast01:20:39 - Les livres recommandés par Aurélie ValognesNotes et références de l'épisode✨Pour retrouver Aurélie Valognes : Sur Instagram✨Pour retrouver les livres écrits par Aurélie Valognes : Mémé dans les ortiesMinute, papillon ! En voiture, Simone !Au petit bonheur la chanceLa cerise sur le gâteauLe tourbillon de la vieLa ritournelle✨Pour retrouver les livres cités dans l'épisode : La Femme gelée d'Annie ErnauxLes gens heureux lisent et boivent du café d'Agnès Martin-LuganL'élégance du hérisson de Muriel BarberyArt de la joie de Goliarda Sapienza(Lien affilié Fnac)✨Est également cité dans l'épisode : Le podcast : Les secrets du mental #AurélieValognes #PodcastInspiration #Écriture #BestSeller #SuccessStory #AuteurFrancophone #Autoédition #ÉcrireUnLivre #Indépendance #DisciplineCréative #LibertéDÉcrire #PodcastLittéraire #PaulineLaigneau #RituelsDAuteur #ParcoursInsolite #FemmesQuiÉcrivent #RomancièreFrançaiseVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
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Bienvenue à tous dans ce nouvel épisode de Beau Voyage ! Aujourd'hui, j'ai le privilège de vous présenter Caroline de Benoist, une femme dont le parcours va certainement vous captiver et vous inspirer. Si son nom ne vous est pas familier, il est fort probable que son univers vibrant et ses bijoux éblouissants aient déjà illuminé votre fil Instagram.Imaginez un instant : une carrière stable de salariée, une vie bien rodée, puis... À 40 ans, Caroline prend une décision audacieuse qui va tout bouleverser. Pourquoi ? Parce que l'appel de l'aventure est devenu irrésistible, et que les dimanches soir ont commencé à perdre de leur éclat.Au cœur de cette transformation : l'Inde. Un pays qui a littéralement embrasé son imagination et révolutionné sa perception du monde. Dans cet épisode, Caroline nous ouvre les portes de sa nouvelle existence avec générosité. De la création de sa marque de bijoux à ses voyages réguliers au pays des maharadjas, elle nous dévoile tout : les succès, les défis, les doutes... et ce fameux syndrome de l'imposteur qu'elle a dû surmonter.Nous explorerons ensemble comment l'Inde est devenue sa seconde maison, un pays qui l'a envoûtée par ses couleurs éclatantes, ses parfums enivrants et sa cuisine épicée. Caroline nous raconte comment ce pays est désormais au cœur de son quotidien et de son entreprise, avec ses voyages en solo trois fois par an, jonglant entre création de bijoux, découvertes culinaires et rencontres inspirantes.De salariée à entrepreneuse passionnée, Caroline est la preuve vivante qu'il n'est jamais trop tard pour réinventer sa vie et poursuivre ses rêves. Que vous ayez 30, 40 ou 50 ans, si vous commencez à appréhender vos dimanches soir, cet épisode est fait pour vous.Êtes-vous prêts à vous laisser transporter dans les ruelles colorées de Jaipur et à découvrir comment un pays peut transformer une vie ? Ne ratez pas cette épisode pépite !**************************************Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à nous laisser 5 étoiles sur Spotify ou un commentaire sur Apple Podcasts. Ce serait vraiment un sacré coup de pouce pour nous !Retrouvez-nous sur @beauvoyage pour encore plus de contenu !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a réception à l'Élysée ce samedi soir, après le consensus trouvé par les forces politiques dans la crise multisectorielle qui secouait le territoire de Nouvelle-Calédonie. Création d'un nouvel État de Nouvelle-Calédonie, d'une nationalité calédonienne à côté de la nationalité française, un accord dit historique a été trouvé entre les négociateurs. Éclairage avec Charlotte Mannevy, correspondante de RFI à Nouméa. Rappel pour bien saisir l'importance de ce texte : en mai 2024, la Nouvelle-Calédonie a connu des émeutes tragiques d'ailleurs avec un bilan très lourd de 14 morts. Qu'est-ce qui a mis la Nouvelle-Calédonie en colère à l'époque et comment, en si peu de temps, est-on arrivé à un consensus ? Charlotte Mannevy : Tout a commencé en 2021 avec le dernier référendum de l'accord de Nouméa sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie. Référendum qui avait été boycotté par les indépendantistes. Résultat, ils en ont toujours contesté le résultat, donc la victoire du "non" à l'indépendance et surtout ce scrutin sans les indépendantistes a définitivement jeté le discrédit sur cette sortie de l'accord de Nouméa qui avait été signé en 1998. Et depuis, plus personne ne se parlaient. Le précédent gouvernement et le ministre de l'Intérieur et des Outre-mer de l'époque, Gérald Darmanin avait tenté de relancer le dialogue, sans succès, au point de lancer unilatéralement une réforme électorale contestée par les indépendantistes. Et c'est cette réforme qui, à l'époque, avait jeté dans la rue des milliers de jeunes indépendantes qu'on ne voyait plus depuis des années dans les meetings. Ils se sont en quelque sorte réveillés, mobilisés pour la pleine souveraineté de l'indépendance, on a vu revenir en force la revendication indépendantiste. Qu'est ce qui s'est passé pour qu'on réussisse à remettre tout le monde autour de la table, depuis une dizaine de jours à Paris ? Il y a eu des concessions, mais tout d'abord un principe de réalité, c'est-à-dire que ce bilan terrible, 14 morts en quelques mois pour un pays d'à peine 270 000 habitants, c'est un traumatisme. C'est un traumatisme économique. Imaginez que le PIB a chuté de 20% et que des milliers de personnes aujourd'hui n'ont plus d'emploi. La Calédonie ne vit plus que des subsides de l'État qui a multiplié par deux son aide au territoire qui est sous perfusion. Et bien sûr sans accord politique, impossible de relancer l'économie. C'est la porte ouverte à une nouvelle crise politique et économique. Si on entre dans l'état de ce projet d'accord qui vient d'être signé, on acte la création d'un État de Nouvelle-Calédonie au sein de la République française, avec des Calédoniens qui restent français, mais qui disposent de leur propre nationalité. C'est une solution qu'on avait envisagée par le passé ? C'est une solution qui est en fait la souveraineté partagée, déjà inscrite dans l'accord de Nouméa, c'est-à-dire une souveraineté qui appartient à la fois à la Nouvelle-Calédonie et à la France. C'est une concession pour l'État français qui est jacobin. C'est une concession pour les non-indépendantistes qui voulaient à tout crin rester dans la France et qui acceptent donc ce terme d'État et de nationalité. Mais c'est aussi une concession pour les indépendantistes puisqu'ils acceptent que cet État reste dans la France. Il y a aussi le renforcement des capacités régaliennes de la Nouvelle-Calédonie. C'est une demande de longue date des indépendantistes qui souhaitent notamment être représentés à l'ONU, pouvoir avoir une reconnaissance internationale. Tout cela sera décliné dans les mois à venir. Parmi les compétences régaliennes, des transferts vers la Nouvelle-Calédonie serait éventuellement également fait, par exemple, dans le domaine de la justice et de la police. Mais ce n'est pas encore fini, il faut que le Parlement français d'abord se réunisse en Congrès à Versailles, probablement au mois de septembre. Et à la rentrée, il y aura aussi des scrutins locaux en Nouvelle-Calédonie. Il y a de l'espoir, mais ce n'est pas encore bouclé ? Oui, parce qu'il va falloir convaincre maintenant. Qui dit consensus, compromis, dit mécontents des deux côtés. Il faut savoir que la société calédonienne est aujourd'hui extrêmement fracturée. Chacun campe sur ses conditions. Il va falloir aller expliquer ce compromis. Car ce texte, pour pouvoir être adopté, il doit être adopté par référendum. Un référendum qui aura lieu en février prochain. Et bien sûr, il doit être remporté pour que le texte entre en vigueur. Mais surtout, il faudra que, politiquement, il soit emporté à une très large majorité. On n'imagine pas un texte d'une ampleur pareil, créant un État, adopté à 52% des voix seulement, par exemple, et qui ferait l'unanimité. Là encore, ça crée de la fragilité. Donc il faudra convaincre pour que le “oui” soit massif à ce référendum. Il y a une chance de convaincre véritablement une masse de population de voter cet accord qui vient d'être signé ? La population, majoritairement en Calédonie, veut vivre ensemble. Ça, c'est de tout temps. La population calédonienne vit ensemble depuis la colonisation, donc la prise de position française en 1850 et quelques, donc de ce point de vue, effectivement, il y a des désaccords politiques, mais les gens vivent ensemble, les gens aspirent à ce vivre ensemble. D'autant plus avec cette crise économique majeure qui touche toutes les couches de la population et toutes les ethnies.
Et si la couleur de demain était végétale ? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, Pauline Leroux et Émilie Roulland se plongent au cœur des tendances sociétales et technologiques qui redéfiniront la teinture végétale d'ici 2050. Émilie nous guide à travers cinq futurs potentiels qui promettent de transformer notre approche des couleurs, des plantes tinctoriales et de l'industrie textile. Imaginez un monde où la biophimie et les couleurs intelligentes cohabitent, où la couleur devient soin, et où la circularité et la durabilité sont des normes établies. Les teintures végétales, telles que l'indigo et la garance, pourraient alors prendre une toute nouvelle dimension. Dans cet épisode, chaque futur est illustré par des exemples concrets et inspirants, comme le projet Oxia de Pneuma, qui révolutionne les textiles en créant des matériaux vivants capables de photosynthèse. Également à l'honneur, le projet TransSense, qui utilise des pigments photochromiques pour concevoir des stores réactifs à la lumière. Ces innovations démontrent l'énorme potentiel des colorants végétaux et des pigments végétaux dans divers domaines, allant des textiles à la cosmétique et à la nutraceutique. Mais ce n'est pas tout ! La discussion met également en lumière l'importance cruciale de la transparence et de la traçabilité des couleurs, ainsi que la préservation des savoir-faire ancestraux. Les fibres naturelles et les tanins des plantes sont au cœur de cette révolution colorielle, et leur intégration dans nos vies quotidiennes est essentielle pour un avenir durable. Les jardins de teinture, véritables laboratoires de l'agriculture tinctoriale, deviennent des espaces d'innovation où la nature et la technologie se rencontrent. Êtes-vous prêt à découvrir comment ces tendances façonnent l'avenir de la couleur ? Écoutez cet épisode pour plonger dans un univers où la teinture végétale et la couleur végétale ne sont pas seulement des choix esthétiques, mais aussi des engagements vers un avenir plus respectueux de notre planète. Belle écoute ! ArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
Imaginez, vous venez d'accoucher, et votre seule envie, c'est de profiter à fond de votre petit bébé, et surtout, de capturer chaque instant de vie avec lui.Imaginez qu'en plus, vous êtes vidéaste et monteuse pour une grande chaîne télévisée, et que la caméra, et bien vous l'avez dans vos mains presque depuis que vous êtes née.Ça, c'est l'histoire de Clara Desse, vidéaste de famille plus connue sous le pseudo Crocomaman.Alors monteuse dans de grandes émissions pour France 2, Clara adore son métier mais à la naissance de sa fille, sa maternité devient sa nouvelle priorité.Mais comment profiter de son bébé quand on part à 8h du matin et que l'on rentre à 8h du soir ?Dans cet épisode, Clara nous révèle ce qu'elle a mis en place pour maintenir le même niveau de vie qu'avant, sans sacrifier sa nouvelle vie de famille.Elle explique le rôle crucial qu'Instagram a joué dans le développement de son business et comment elle a su être à l'écoute de ses abonnés pour créer des offres très populaires.Elle partage ses astuces pour s'immiscer dans le quotidien des gens et leur offrir des moments de vie à revoir à l'infini, tout en donnant ses meilleurs conseils pour réussir cela à la maison.Découvrez les secrets de captation vidéo d'une vidéaste passionnée, et le parcours inspirant d'une crocomaman au service de vos plus beaux souvenirs.-------------------------------------------------❤️ Merci à Tiime, l'outil de gestion et de facturation 100% gratuit, de sponsoriser cet épisode. Pensé pour simplifier la vie des entrepreneurs (et des parents débordés), Tiime te permet de gérer ta compta, tes paiements et tes factures en quelques clics — le tout, depuis une seule plateforme.
Je fais partie d'une génération à qui on disait que si tu n'étais pas manager avant 30 ans, tu avais raté ta carrière. Mais les temps ont-ils vraiment tant changé ?
Et si la teinture végétale devenait la norme d'ici 2050 ? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, Pauline Leroux et Emilie Roulland nous plongent dans l'univers fascinant des plantes tinctoriales et des innovations qui pourraient transformer notre approche de la couleur végétale. À travers une discussion riche et éclairante, elles explorent les grandes tendances sociétales qui façonneront l'avenir de la teinture végétale, tout en mettant en lumière l'importance cruciale de choix audacieux dans les domaines politique, scientifique et économique. Emilie, experte en biotechnologies, nous présente cinq futurs potentiels pour la teinture végétale, où des concepts tels que la biologie des couleurs intelligentes et la circularité prennent tout leur sens. Les thèmes abordés incluent la valorisation des savoir-faire ancestraux et l'importance de la transparence et de la traçabilité dans le secteur. Imaginez un monde où les pigments végétaux, issus de la fermentation, remplacent les teintures synthétiques, et où des couleurs comme l'indigo et la garance retrouvent leur place dans nos jardins et nos textiles. Les intervenantes soulignent également le rôle essentiel des fibres naturelles et des tanins, qui contribuent à une approche plus durable et respectueuse de l'environnement. La conversation se veut optimiste, car de nombreuses initiatives sont déjà en cours, bien qu'elles ne soient pas encore largement adoptées. En effet, la prise de conscience collective est primordiale pour favoriser des pratiques durables et innovantes dans le domaine de l'agriculture tinctoriale. En écoutant cet épisode, vous découvrirez comment la couleur végétale peut être synonyme de soin et de respect de notre planète. Avec des discussions techniques et des partages d'expériences, Pauline et Emilie vous invitent à réfléchir aux nuances de la teinture végétale et à l'impact qu'elle pourrait avoir sur notre avenir. Alors, êtes-vous prêt à plonger dans l'univers coloré et engagé de la teinture végétale ? Pour en savoir plus sur les sujets abordés, n'hésitez pas à consulter les liens utiles que nous avons préparés pour vous. Belle écoute ! ArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
LE GRAND RETOUR de SRT chez RAM, DODGE, JEEP, CHRYSLER ! TORQ PODCAST - Épisode 422C'est officiel : SRT est de retour en force au sein du groupe Stellantis ! Jul Torq décrypte le grand retour de la division Street and Racing Technology chez Ram, Dodge, Jeep et Chrysler. Préparez-vous à des performances extrêmes et à des véhicules qui feront vibrer les passionnés !Après une période d'incertitude, le sigle SRT, synonyme de puissance brute, de sportivité et de sensations fortes, reprend du service. Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement pour les futurs modèles de vos marques préférées ?Jul Torq explore en détail :Pourquoi SRT revient maintenant ? Les raisons stratégiques derrière cette décision de Stellantis.Quel avenir pour Dodge SRT ? Les muscle cars emblématiques retrouveront-elles leur gloire avec des versions encore plus extrêmes ?Ram SRT : Le retour du camion de performance ? Quel impact sur le marché des pick-ups sportifs ?Jeep SRT : Les SUV les plus rapides du monde vont-ils pousser les limites encore plus loin ? Imaginez le prochain Grand Cherokee Trackhawk !Chrysler SRT : Y aura-t-il des surprises du côté des berlines et familiales de luxe ?Motorisations et Technologies : SRT va-t-il miser sur l'électrique, l'hybride, ou rester fidèle aux gros V8 suralimentés ? Quel mix pour l'ère moderne ?L'Impact sur les Consommateurs : Qu'est-ce que ce retour signifie pour les amateurs de performance et les futurs acheteurs ?L'Analyse de Jul Torq : Ses attentes, ses espoirs et ses craintes face à cette relance de SRT.Si vous êtes un inconditionnel des performances américaines, un fan de Dodge Hellcat, Ram TRX, Jeep Trackhawk, ou simplement curieux de l'avenir des véhicules sportifs, cette vidéo est un indispensable !Ne manquez pas l'analyse experte de Jul Torq et partagez votre enthousiasme en commentaires ! Le retour de SRT est-il une excellente nouvelle pour l'industrie automobile ? Abonnez-vous au Torq Podcast pour ne rien rater des révélations sur les voitures les plus excitantes !YOUTUBE Membres VIP :https://www.youtube.com/channel/UCbha0iHrKImRyDXbDNO-EJw/joinSpotify Membres VIP :https://podcasters.spotify.com/pod/show/torqpodcast/subscribeTORQ MEDIASite Web : https://torqmedia.ca FAST WHEELS https://fastco.ca/Fast-Wheels/HomeONEBONE Site Web : https://onebonebrand.com/jultorqCode : JULTORQ ( - 15% Rabais )Suivez-Nous sur Instagram :@JulTorq : https://www.instagram.com/jultorq/@EveTorq : https://www.instagram.com/evetorq/#SRTReturns #SRT #DodgeSRT
Imaginez une balle posée contre un mur vertical. À l'arrêt, elle tombe. Classique. Mais maintenant, imaginez qu'elle commence à grimper toute seule, lentement mais sûrement, sans moteur, sans aimant, sans trucage. Ça semble impossible ? Et pourtant, c'est ce qu'ont réussi des chercheurs de l'Université de Waterloo, au Canada. Leur expérience repose sur un principe de physique méconnu mais fascinant : l'asymétrie des frottements dans un système vibré.Le dispositifLe mur n'est pas totalement passif : il est vibré verticalement à haute fréquence. En d'autres termes, il oscille de haut en bas, des dizaines de fois par seconde. C'est ce mouvement qui alimente le système en énergie.La balle, quant à elle, est souple, élastique et adhérente. Elle est légèrement comprimée contre le mur, ce qui crée un contact ferme. Ce point est crucial : le comportement de la balle dépend de sa forme et de sa capacité à se déformer au contact.Le cœur du phénomène : briser la symétrie temporelleQuand un objet est soumis à des vibrations périodiques, on pourrait penser que le mouvement est symétrique : autant d'énergie vers le haut que vers le bas, donc aucun déplacement net. Mais ici, les chercheurs exploitent une rupture de symétrie temporelle induite par la nature du contact entre la balle et le mur.Lors des phases descendantes des vibrations, la balle a tendance à rester collée au mur (par adhérence et inertie). Mais quand le mur remonte rapidement, la balle, plus lente à réagir, est légèrement décollée, comprimée puis relâchée, ce qui provoque un mini bond vers le haut. Ce déséquilibre dans la dynamique des contacts produit une force moyenne dirigée vers le haut.Un moteur sans moteurCe type de mouvement est un cas particulier de ce qu'on appelle un moteur brownien ratchet, ou "cliquet brownien". C'est un système dans lequel une source d'énergie non dirigée (ici : les vibrations) peut être transformée en mouvement dirigé, grâce à une asymétrie structurale ou matérielle.La combinaison :d'une base vibrante,d'une balle souple avec un comportement non linéaire,et d'un frottement directionnel variable selon les phases du cycle,…permet à la balle de grimper sans aucune commande externe.Une prouesse fondamentaleCette expérience n'est pas juste une curiosité : elle ouvre des pistes en robotique douce, en nanotechnologie, ou pour le transport passif de matériaux dans des environnements où l'énergie est diffusée de façon globale et non ciblée. Ce genre de système pourrait inspirer des machines capables de se déplacer ou de grimper sans moteur, alimentées uniquement par des vibrations ambiantes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Emmanuel de Villier débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Imaginez un verre qui vous détend, vous désinhibe, vous rend sociable — sans provoquer de maux de tête le lendemain, ni endommager votre foie à long terme. Une sorte d'alcool… sans les effets secondaires. Cette idée, un peu folle à première vue, est pourtant en train de devenir réalité. Son nom : Alcarelle.Alcarelle est une molécule de synthèse développée par le neuropsychopharmacologue David Nutt, ancien conseiller du gouvernement britannique sur les drogues. Ce scientifique s'est fait une spécialité : comprendre comment l'alcool agit sur le cerveau, et comment reproduire ses effets… sans les dangers.Pour cela, il s'est penché sur le principal mode d'action de l'éthanol (l'alcool que l'on boit) : il agit sur les récepteurs GABA-A du cerveau. Ces récepteurs freinent l'activité neuronale, ce qui explique les effets apaisants et désinhibiteurs de l'alcool. Mais l'éthanol est une molécule “sale” : il agit sur de nombreux autres récepteurs, ce qui entraîne ivresse, dépendance, dommages au foie, troubles du sommeil… et bien sûr, la célèbre gueule de bois.L'idée derrière Alcarelle est simple mais ambitieuse : créer une molécule plus propre, qui cible uniquement les bons récepteurs, ceux responsables de l'euphorie douce et de la relaxation, sans toucher aux circuits de l'addiction ou aux organes internes. Mieux encore, ses effets seraient réversibles : il suffirait de prendre un “antidote” pour redevenir sobre, comme on coupe un interrupteur.Actuellement, Alcarelle n'est pas encore commercialisé. Son développement est encore en cours, et les essais toxicologiques sont menés avec prudence. La société à l'origine du projet, également nommée Alcarelle, espère contourner la classification classique d'un alcool en tant que drogue, en le faisant approuver comme ingrédient dans des boissons “bien-être”.Les promesses sont grandes : pas de gueule de bois, pas de dépendance, pas de dommages au foie. Mais les défis le sont aussi. Les autorités sanitaires devront être convaincues de son innocuité sur le long terme, et l'acceptation sociale pourrait prendre du temps. Boire un produit de synthèse pour “simuler” l'alcool ne séduira pas tout le monde d'emblée.Et pourtant, si cela fonctionne, Alcarelle pourrait révolutionner nos rapports à l'alcool. Un tournant historique, comparable à l'arrivée des édulcorants dans l'industrie du sucre.Alors, dans quelques années, lèvera-t-on notre verre… d'Alcarelle ? La science, en tout cas, semble prête à relever le défi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez être convaincu que votre corps est fait de verre. Que chaque contact pourrait vous fissurer. Que vous risquez, à tout moment, de vous briser en mille morceaux. Voilà ce qu'éprouvent les personnes souffrant de ce que l'on appelle l'illusion de verre, ou délire de verre. Ce trouble psychiatrique, aussi rare qu'étrange, appartient à une forme ancienne de trouble délirant somatique : les individus croient que leur corps est physiquement altéré, ici remplacé par une matière aussi fragile que le verre.Ce phénomène a été principalement observé en Europe, entre le XVe et le XVIIe siècle, et de manière surprenante, il toucha surtout des membres de la noblesse ou de la royauté. Le cas le plus célèbre est sans doute celui de Charles VI de France, surnommé plus tard Charles le Fol. Le roi, qui régna de 1380 à 1422, souffrit d'épisodes de démence tout au long de sa vie. À partir de 1392, il connut plusieurs crises violentes, dont certaines le plongeaient dans des états délirants profonds. À l'une de ces périodes, il affirma être fait de verre. Persuadé qu'un simple choc pourrait provoquer sa désintégration, il refusa tout contact physique, évita les foules, et fit aménager un véhicule rempli de coussins pour se déplacer en toute "sécurité". Il allait même jusqu'à refuser de s'asseoir sans précaution, de peur de se casser.Ce délire peut sembler absurde, mais il illustre bien la façon dont certaines pathologies mentales peuvent modifier la perception que l'on a de son propre corps. Dans le cas de l'illusion de verre, il s'agit d'un délire hypochondriaque extrême : le patient n'a pas seulement peur de tomber malade, il est convaincu d'une transformation radicale de sa constitution physique. Ce trouble s'inscrit dans une catégorie plus large de syndromes psychosomatiques historiques, au même titre que la mélancolie noire, l'hystérie ou encore le syndrome de Cotard, où l'on croit être déjà mort.Pourquoi cette illusion a-t-elle émergé à cette époque précise ? Certains historiens y voient un effet de contexte. La noblesse, souvent élevée dans l'oisiveté et le rituel, vivait dans un monde symbolique où la fragilité, la pureté et l'apparence comptaient énormément. Le verre, à la fois précieux, transparent et fragile, pouvait alors devenir une métaphore du corps aristocratique menacé par un monde brutal.Aujourd'hui, ce trouble a pratiquement disparu, mais il reste une illustration marquante de la façon dont l'esprit humain, sous l'effet du stress ou de troubles mentaux, peut reconfigurer le réel de manière radicale. L'illusion de verre nous rappelle que la frontière entre le corps et l'imaginaire peut parfois être aussi fine… qu'une feuille de cristal. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tampco (tampco.fr) est une marque de pédale française fondée par Rodolphe Puccio. Voilà la Distorter dans ce test de matos. Imaginez une fuzz et une overdrive câblées en parallèle plutôt qu'en série, ajoutez un clean boost réinjecté et vous avez cette machine à gros son pour guitare et pour basse. La Distorter a été développée L'article Tampco Distorter : Fuzz, Overdrive Parallèles & Clean Boost est apparu en premier sur La Chaîne Guitare.
Dans ce nouvel épisode de "Beau Voyage", j'ai la chance de recevoir Nicolas et Véronique, deux passionnés qui ont fait de la Thaïlande leur terre d'adoption depuis plus de 20 ans!Oubliez les sentiers battus! Ce couple d'aventuriers vous dévoile une Thaïlande secrète et préservée. Imaginez-vous au cœur de Khao Sok, une forêt primaire vieille de 160 millions d'années, où des bungalows flottent sur l'eau dans une brume matinale envoûtante. Attendez-vous à croiser des gibbons, des éléphants sauvages et même des écureuils volants dans ce paradis naturel!Et pour les voyages en famille? Nicolas et Véronique ont toutes les astuces! Avec leurs enfants nés en Thaïlande, ils ont exploré le pays en long, en large et en travers. Que vos enfants soient petits ou adolescents, ces experts partagent leurs conseils pour des vacances inoubliables et sans stress.Fondateurs de l'agence “Odasie", ils nous partagent leur vision unique du voyage sur mesure: une immersion culturelle authentique loin du tourisme de masse. Découvrez Pat Talung et ses paysages de marais où se baignent les buffles, vivez l'expérience du Songkran, cette incroyable fête de l'eau, ou explorez les anciennes capitales du royaume de Siam aux temples majestueux.Amateurs de plongée? Gourmands curieux? Passionnés d'histoire? Chaque minute de cet épisode regorge de conseils précieux et d'anecdotes savoureuses pour explorer ce pays où, comme ils le disent avec passion, "tout est simple, avec des sourires partout".Si vous êtes tentés de faire vos valises et de filer direction la Thaïlande, n'hésitez pas à contacter Nicolas et Véronique ! https://www.odasie.fr/fr/Bonne écoute ! Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans le monde de la science des matériaux, il existe un phénomène aussi fascinant que redouté : la "barbe métallique", ou "whisker" en anglais. Imaginez de minuscules filaments, semblables à des poils d'acier, qui se mettent à pousser spontanément à la surface de certains métaux ou alliages. Un phénomène discret, encore mal compris, mais qui peut provoquer des dégâts considérables dans l'industrie électronique.Ces fameuses barbes apparaissent principalement sur des métaux comme l'étain, le zinc, le cadmium, ou encore l'argent. Leur formation résulte d'un phénomène cristallographique complexe. Sous certaines conditions, le métal va littéralement faire pousser des filaments ultra-fins et longs, qui peuvent atteindre plusieurs millimètres, voire davantage.Mais comment cela se produit-il ? C'est là que le mystère commence. Les scientifiques pensent que ces barbes naissent d'un phénomène de contrainte interne dans le matériau. Lorsque le métal subit un stress mécanique, thermique ou chimique — par exemple après un dépôt de couche mince, un vieillissement ou une oxydation partielle — des déséquilibres se créent dans son réseau cristallin. Pour soulager ces contraintes, les atomes du métal migrent peu à peu vers la surface et s'assemblent en filaments, comme si le métal cherchait à "évacuer" son trop-plein d'énergie.Ce phénomène reste encore partiellement inexpliqué. On sait que l'humidité de l'air, les impuretés du métal ou les traitements de surface peuvent influencer la croissance des barbes, mais il n'existe pas encore de modèle prédictif universel. C'est un véritable casse-tête pour les ingénieurs en fiabilité des composants électroniques.Car si ces barbes métalliques peuvent paraître anecdotiques à l'œil nu, leurs conséquences sont bien réelles. Dans un circuit imprimé, par exemple, un filament d'étain peut traverser l'espace entre deux pistes conductrices et provoquer un court-circuit brutal. Des cas célèbres de défaillances de satellites, de systèmes militaires ou de télécommunications ont été attribués à ces minuscules barbes invisibles.Le problème s'est accentué depuis les restrictions sur l'utilisation du plomb dans les alliages électroniques. Autrefois, le plomb ajoutait une certaine souplesse et limitait la formation de whiskers dans les soudures à l'étain. Aujourd'hui, avec les alliages sans plomb, les ingénieurs redoublent de vigilance face à ce phénomène.En résumé, la "barbe métallique" est un exemple parfait de ces phénomènes discrets mais redoutables qui émergent dans le monde des matériaux. Une simple pousse de quelques microns… qui peut suffire à faire tomber un satellite en panne. La recherche continue pour mieux comprendre et contrôler cette étrange pilosité des métaux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans la prochaine saison de Home(icides), vous découvrirez une affaire de famille hors normes. Imaginez : une héritière millionnaire plongée dans le coma, un mari qui fait figure de suspect, des enfants portant des titres princiers, une femme de chambre dévouée.... Et une mystérieuse seringue usagée. Voici l'affaire von Bülow en quelques indices. Derrière ce nom, se cache une famille américaine richissime… et un drame aux airs de crime parfait. Après deux procès, la vérité sur cette affaire n'a toujours pas été formellement établie. Rendez-vous bientôt sur toutes les plateformes d'écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C'est un nouveau phénomène. En Afrique, de plus en plus de pays se livrent à une « guerre » de leurs espaces aériens. Dernier exemple en date : en avril dernier, le Mali et l'Algérie, réciproquement, se sont fermés leurs espaces aériens. Le Niger a fait de même contre la France. Et la République démocratique du Congo a pris la même mesure contre le Rwanda. Quelles conséquences pour les compagnies aériennes et pour les passagers ? Ibra Wane est le directeur, pour l'Afrique, du courtier aérien français Avico, qui est spécialisé dans la location d'avions et de moteurs d'avion. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Depuis la dernière crise entre le Mali et l'Algérie en avril dernier, les deux pays se sont mutuellement fermé leurs espaces aériens. Et concrètement, les avions Paris-Abidjan, par exemple, ne peuvent plus survoler le Mali s'ils sont passés au-dessus de l'Algérie : ils doivent donc faire un grand détour par le Maroc et le Sénégal à l'ouest. Quelles conséquences pour les passagers ? Ibra Wane : La première conséquence, c'est d'abord pour les compagnies aériennes elles-mêmes, parce que ça allonge beaucoup le temps de vol. Ça peut aller jusqu'à même 50 minutes de temps de vol supplémentaire, ce qui renchérit donc le coût du carburant, le coût d'exploitation global de la compagnie. Et comme vous le savez, le poste de carburant est le premier poste de coûts directs pour une compagnie aérienne. Imaginez donc un allongement du temps de vol de 50 minutes, ce que ça peut être comme coûts supplémentaires. Est-ce que, du coup, les passagers de Corsair, de SN Brussels, de British Airways ou d'Air France payent plus cher leur billet depuis le mois d'avril ? Non, je ne pourrais pas dire que ces passagers payent plus cher les billets, parce que les compagnies aériennes ont chacune une politique commerciale différente. Je ne suis pas certain que toutes les compagnies aient répercuté le surcoût sur les billets des passagers. Mais il est clair qu'un surenchérissement des coûts qui perdure, cela mènera forcément à une augmentation des tarifs à long terme. Et ces 50 minutes de vol supplémentaires représentent quelle surconsommation de kérosène ? Cela représente à peu près jusqu'à un sixième ou un septième de surconsommation de kérosène pour tout le vol. Si vous avez un vol Paris-Abidjan par exemple, qui fait six heures et que vous augmentez 50 minutes de vol, c'est presque une heure de vol de plus. Vous voyez, vous avez augmenté à peu près un sixième de vos coûts de carburant et c'est énorme. Alors, on dit beaucoup qu'Air France est la compagnie internationale la plus impactée par tous ces événements. Mais est-ce que la compagnie Air Algérie n'est pas aussi touchée ? Elle l'est forcément, notamment en ce qui concerne le Mali. Je m'explique. Un avion qui survole l'Algérie n'a pas le droit de survoler le Mali et vice versa. Bien entendu, si les vols d'Air Algérie vers l'Afrique passaient par le Mali, tous ces vols-là sont complètement impactés. Absolument. Autre événement politique qui impacte le transport aérien, le putsch de juillet 2023 au Niger. Depuis cette date, les avions français n'ont plus le droit de survoler ce pays qui représente un cinquième de la superficie totale de l'Afrique de l'Ouest et qui est au carrefour de plusieurs couloirs aériens. Quelles conséquences pour Air France ? Vous savez, selon la convention de Chicago, chaque État a la souveraineté complète et exclusive sur l'espace aérien au-dessus de son territoire. C'est ce qui s'est passé avec le Niger. C'est une affaire bilatérale entre le Niger et la France. La conséquence immédiate, c'est qu'aucun avion français ne peut survoler le territoire nigérien. Il faut donc passer par l'est ou par l'ouest pour pouvoir rallier des territoires au sud du Niger, sur le continent africain. Et quand on regarde une carte de l'Afrique, on voit que, pour aller par exemple de Paris à Douala ou de Paris à Kinshasa, il faut survoler le Niger, sinon il faut faire un énorme détour ? Il faut faire un énorme détour, en effet. Absolument. Autre évènement politique : la conquête de Goma par les rebelles du M23 et l'armée rwandaise. Depuis ce mois de février, la République démocratique du Congo interdit le survol de son territoire aux avions rwandais. Est-ce que la compagnie RwandAir est impactée par cette mesure ? Ah oui, elle est forcément impactée. De toute façon, le territoire de la RDC, comme vous le savez, est tellement vaste par rapport au Rwanda que la plupart des vols vers l'ouest du Rwanda devaient passer par ce territoire-là. C'est vrai que cette compagnie est totalement impactée, en effet. L'un des faits majeurs de ces deux dernières années, c'est donc la fermeture de l'espace aérien du Niger à tous les avions français. Est-ce que cette mesure très restrictive profite à d'autres compagnies ? Je ne crois pas. Quand il y a une restriction, cela ne profite à personne, ni au pays qui a restreint, ni aux compagnies. Donc, nous espérons, nous, dans notre profession, que cette affaire connaîtra un épilogue favorable dans les meilleurs délais, aussi bien en ce qui concerne le Mali et l'Algérie que le Niger, parce que cela ne profite pas du tout à l'activité. C'est une crise. Ça renchérit les coûts aussi bien pour les compagnies aériennes que pour les populations et que pour les passagers. Donc cela n'a aucun bénéfice pour personne. Mais maintenant qu'Air France et Corsair ne peuvent plus atterrir à Niamey, à Agadez ou à Zinder, il y a nécessairement d'autres compagnies qui en profitent ? Je ne crois pas. D'abord, Corsair n'y allait pas, de toute façon. C'est Air France qui allait à Niamey, tout simplement. Et de toute façon, il ne faut pas oublier que cette affaire du Niger avec la France s'accompagne aussi d'une restriction des voyages eux-mêmes, parce que les problèmes de visas se posent aussi. Je crois que les relations sont telles que les voyages vont être complètement réduits. Oui, le flux des passagers a diminué sur les vols à destination du Sahel, c'est ça ? C'est ça. Absolument.
Imaginez qu'un jour, vous croisiez un corbeau dans un parc. Par jeu, vous le chassiez d'un geste brusque ou lui lanciez un caillou. Vous pensez que l'incident s'arrête là. Mais non : des années plus tard, dans une autre ville, ce même oiseau – ou ses congénères – vous reconnaissent, vous harcèlent, vous suivent du regard, croassent en bande et vous poursuivent. Science-fiction ? Pas du tout. Ce comportement a été rigoureusement observé par plusieurs équipes de chercheurs, notamment à l'université de Washington.Dans une expérience devenue célèbre, des scientifiques ont porté des masques représentant des visages humains tout en capturant des corbeaux à des fins d'étude (sans les blesser). Résultat : même des années plus tard, les oiseaux réagissaient agressivement à la simple vue du masque du "malfaiteur", le reconnaissant immédiatement. Ce qui est encore plus étonnant : d'autres corbeaux, n'ayant jamais vu la scène initiale, se mettaient aussi à attaquer la personne masquée. Les corbeaux s'étaient donc transmis l'information entre eux. Une véritable réputation sociale était née.Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Des personnes qui, au contraire, ont nourri ou secouru des corbeaux ont parfois reçu des "cadeaux" : branches, boutons, objets brillants. Des gestes spontanés qui témoignent d'une forme de reconnaissance. Les scientifiques y voient des comportements similaires à ceux observés chez des primates : mémoire sociale, coopération, et même représentation morale.Comment ces oiseaux, pourtant si éloignés de nous sur le plan évolutif, peuvent-ils faire preuve d'une telle intelligence ? Les corvidés – dont les corbeaux, les pies et les geais font partie – ont un cerveau particulièrement développé, notamment au niveau du nidopallium caudolaterale, une région analogue au cortex préfrontal chez l'humain. Ils savent utiliser des outils, planifier des actions, et comprendre la perspective d'un autre individu.Mais ce qui fascine ici, c'est cette capacité à construire une mémoire sociale collective. Un corbeau peut signaler à ses congénères qu'un humain est dangereux, et cette réputation peut se transmettre de génération en génération. Un humain malveillant peut ainsi devenir un ennemi public chez les corbeaux… sans même le savoir.Ces découvertes nous rappellent que les animaux, même ceux qu'on considère comme "communs", peuvent être dotés d'une intelligence sociale et émotionnelle surprenante. Alors la prochaine fois que vous croisez un corbeau, un conseil : soyez respectueux. Il se souviendra de vous. Longtemps. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez être banni d'un magasin pour un vol que vous n'avez jamais commis… C'est ce qui est arrivé à Danielle Horan, une Britannique de Manchester, expulsée à deux reprises d'une enseigne Home Bargains à cause d'un algorithme de reconnaissance faciale.L'histoire, révélée par la BBC, interroge sur les dérives de l'intelligence artificielle dans l'espace public. Le système, fourni par la société Facewatch, a tout simplement accusé Mme Horan d'avoir volé… du papier toilette. Une erreur qui l'a automatiquement inscrite sur une liste noire numérique, sans vérification humaine. Lorsqu'elle s'est rendue dans un autre magasin de la même chaîne, les agents de sécurité l'ont immédiatement repérée via le système, encerclée, puis sommée de quitter les lieux. Aucun échange, aucun doute, aucun recours sur place.Même après vérification de ses paiements, l'accusation a continué de la suivre. Il lui a fallu prouver sa bonne foi non seulement auprès de l'enseigne, mais aussi auprès de Facewatch. Une inversion totale de la logique judiciaire : ici, la machine vous désigne coupable, à vous de démontrer votre innocence. Le plus inquiétant ? Ce n'est pas un cas isolé. Big Brother Watch, organisation britannique de défense des libertés civiles, affirme avoir été contactée par plus de 35 personnes victimes de signalements erronés similaires.Facewatch a reconnu l'erreur et suspendu temporairement ses services dans les magasins concernés. L'entreprise rappelle que la fiabilité de son IA dépend des informations initiales, mais cela ne suffit pas à calmer les inquiétudes. Car au-delà de la faille technique, c'est la place croissante de la reconnaissance faciale dans nos vies qui est en question. Déjà controversée lorsqu'elle est utilisée par les forces de l'ordre, cette technologie pose aujourd'hui un nouveau dilemme : peut-on confier notre présomption d'innocence à un algorithme ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Révolution scientifique et technologique, l'intelligence artificielle est une nouvelle arme redoutable sur le front de la désinformation. Avec la démocratisation des images, sons et vidéos synthétiques, la frontière entre le vrai et le faux tend à disparaître. Notre invitée, Carole Bienaimé Besse, experte des médias et du numérique, nous plonge dans ce nouveau monde, avec son essai : « Crépuscule numérique : quand l'IA bouleverse notre rapport à la vérité », aux éditions de l'Observatoire. « Imaginez un monde où la frontière entre le réel et le virtuel aurait disparu ». Dans son essai, « Crépuscule numérique : quand l'IA bouleverse notre rapport à la vérité », Carole Bienaimé Besse explore les défis éthiques, juridiques et politiques que nous réserve la démocratisation de l'intelligence artificielle. Alors qu'il n'a jamais été aussi simple de générer des fausses informations, cette experte du numérique et des médias alerte sur les menaces qui pèsent actuellement sur notre société. Émeutes à Los Angeles : images artificielles et chatbots sèment la confusion Cette semaine, Los Angeles, la deuxième ville des États-Unis, a été en proie à des heurts parfois violents entre des manifestants et les forces de l'ordre. Un couvre-feu a été imposé en début de semaine pour tenter de mettre fin aux pillages. Quelque 700 marines ont été appelés en renforts, rejoignant 4 000 militaires réservistes de la Garde nationale. Un déploiement de force dénoncé par les autorités locales qui parlent d'un abus de pouvoir de la part de Donald Trump. Sur les réseaux sociaux, confusion et fausses informations entourent ces évènements. Dans sa chronique, Olivier Fourt, de la cellule Info Vérif de RFI, fait le point sur les infox les plus virales. Non, le chef de l'Africom n'a pas démissionné Au Sahel, une rumeur circule avec insistance ces dernières semaines. À en croire des centaines de publications, le chef du commandement militaire américain pour l'Afrique (Africom), le général Michael Langley, aurait démissionné. En cause, une prétendue brouille avec Ibrahim Traoré, le chef de la junte burkinabè. Émilie Beraud, journaliste pour l'AFP Factuel, s'est penchée sur cette campagne de désinformation lancée en mai 2025.
Imaginez grandir dans un univers où chaque mot prononcé par un proche soulève plus de questions qu'il n'apporte de réponses. Que faire quand on ne sait plus où s'arrête la réalité et où commence la fiction ? Dans cet épisode, notre invitée, Lya, revient sur un parcours familial déroutant, tissé de secrets et de récits incroyables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez une armée nocturne, dévalant les forêts des Pyrénées, armée de faux, de bâtons, de fusils parfois. Ce ne sont pas des soldats, ni des brigands… mais des paysans déguisés en femmes, en jupons et bonnets. Leur nom ? Les Demoiselles. Et leur révolte, l'une des plus saisissantes de la France du XIXe siècle.Tout commence en 1829, dans le département de l'Ariège, au cœur des montagnes. Cette année-là, le gouvernement de Charles X adopte une nouvelle loi forestière. L'État centralise les droits d'usage des forêts, interdisant aux populations locales l'accès libre au bois, à la chasse, au pacage. Or, pour les paysans ariégeois, ces ressources sont vitales. Les forêts sont leur banque, leur garde-manger, leur réserve de chauffage et de matériaux.Privés de ces droits ancestraux, ils entrent en résistance. Mais pas à visage découvert. Dans une stratégie aussi symbolique qu'efficace, les insurgés se griment en femmes : robes, corsages, foulards, parfois même maquillage. Ils adoptent ainsi le nom de "Demoiselles".Ce travestissement a un double effet. D'un côté, il désarme symboliquement l'adversaire, tournant en ridicule les gendarmes et gardes forestiers. De l'autre, il renforce la cohésion du groupe, dans une mise en scène à la fois grotesque et terrifiante. La nuit, des centaines d'hommes se rassemblent dans les bois, masqués, hurlant des chants de guerre ou frappant aux portes des fonctionnaires forestiers pour les menacer, les humilier, voire les expulser.La révolte se propage vite. De 1829 à 1832, les Demoiselles mènent une guérilla rurale intense. Plus de 300 incidents sont recensés, certains très violents. Gendarmes, ingénieurs forestiers, percepteurs : tous deviennent des cibles.Mais malgré les arrestations, les condamnations, et même l'envoi de troupes, l'État ne parvient jamais à éteindre complètement la révolte. Car elle repose sur une solidarité communautaire profonde. Les villages couvrent les insurgés. Les femmes, cette fois les vraies, les soutiennent, les ravitaillent, les cachent. Et puis, comment faire la différence entre un simple paysan et une Demoiselle, une fois la robe tombée ?Finalement, l'État plie. Dans les années 1840, une série de concessions sont faites sur la gestion forestière. La révolte s'essouffle, mais le mythe reste.Aujourd'hui encore, dans l'Ariège, le souvenir des Demoiselles perdure. À la fois mouvement de contestation sociale et geste de théâtre politique, elles sont restées dans l'histoire comme une preuve que même dans les coins les plus reculés, le pouvoir peut être défié… en robe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez un navire semblant flotter dans les airs au-dessus de la mer. Ce phénomène étrange, presque surnaturel, a longtemps été source de légendes maritimes. Les marins y voyaient des vaisseaux fantômes ou des mirages d'îles invisibles. En réalité, cette illusion d'optique porte un nom poétique : la Fata Morgana, inspirée de la fée Morgane, la magicienne des légendes arthuriennes censée créer des illusions sur l'horizon.Mais loin de la magie, ce phénomène est parfaitement expliqué par la physique de la lumière. Il s'agit d'une forme extrême de mirage, causée par une réfraction atmosphérique très particulière.Tout commence par une inversion de températureDans des conditions normales, la température de l'air diminue avec l'altitude. Mais lors d'une inversion thermique, une couche d'air chaud se trouve au-dessus d'une couche d'air plus froide, souvent au-dessus d'une surface d'eau glacée ou très fraîche, comme en mer ou dans les régions polaires.Cette configuration crée une discontinuité dans la densité de l'air. Or, l'indice de réfraction de l'air — c'est-à-dire sa capacité à courber la lumière — dépend de sa densité. Résultat : les rayons lumineux émis par un objet (un bateau, une île, un rivage) se courbent en traversant ces couches superposées, et suivent parfois une trajectoire sinueuse vers l'observateur.Ce que perçoit notre œilPour l'œil humain, ces rayons lumineux réfractés donnent l'illusion que l'objet se trouve plus haut qu'il ne l'est réellement, voire qu'il est dupliqué ou inversé. C'est ainsi qu'un bateau peut sembler léviter au-dessus de l'eau, ou qu'un rivage prend la forme d'un château flottant. Dans certains cas, les objets paraissent étirés, empilés, ou retournés comme dans un kaléidoscope.Une illusion stable, mais complexeContrairement aux mirages simples (comme les flaques d'eau sur l'asphalte en été), la Fata Morgana implique plusieurs couches thermiques et des variations complexes de l'air, ce qui la rend plus instable mais aussi plus spectaculaire. Elle peut durer plusieurs minutes, voire heures, et se déplacer avec l'observateur ou le soleil.Observée même aujourd'huiLa Fata Morgana a été photographiée à de nombreuses reprises, notamment sur les côtes britanniques ou canadiennes. Elle peut affecter aussi bien des bateaux que des montagnes lointaines ou des icebergs. Ce phénomène rappelle à quel point notre perception du monde dépend des conditions physiques de l'environnement, et combien la lumière peut jouer des tours fascinants à notre cerveau.En somme, la Fata Morgana est un chef-d'œuvre de la nature : une illusion spectaculaire née des caprices de l'atmosphère, transformant un simple bateau en vaisseau volant digne d'un conte de fées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bon. Imaginez un monde sans toilettes. Genre, un monde où faire ses besoins est une question d'improvisation… Eh bien, pendant la majeure partie de l'Histoire de l'humanité, c'était le theme, on allait où on pouvait : derrière un arbre, au fond de la grotte, dans un coin de cour, puis un pot, ou... par la fenêtre. Littéralement. Mais quand est-ce qu'on s'est dit : et si on faisait caca dans un meuble ? Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Téléchargez la fiche du cours ici : https://www.anglaiscours.fr/fiche-see-each-other?utm_source=podcast&utm_medium=social&utm_campaign=see_each_other_-_explications_sur_cette_expression_courante_en_anglais Hello everyone! Imaginez entendre quelqu'un dire, "We've been seeing each other for a while" (littéralement : "Nous nous voyons depuis un moment), mais de quoi parle-t-on exactement ? Que veut dire "to see each other" ? L'expression "to see each other" signifie se fréquenter ou se voir. Elle ne signifie pas simplement "se voir avec les yeux" (to look at each other), mais bien se voir dans le sens "passer un moment ensemble". Cela dit, il y a deux sens !!! Alban nous explique tout dans cette leçon. AnglaisCours Club est une méthode en ligne, animée par une petite équipe de professeurs enthousiastes, qui vous propose des formations en ligne conviviales et simples d'accès. Si vous souhaitez apprendre l'anglais cette année, rejoignez-nous sur l'Espace Membres AnglaisCours Club et accédez à toutes nos formations : https://www.anglaiscours.fr/commencer Accédez à un test de niveau : https://www.anglaiscours.fr/test-de-niveau-anglais.html Téléchargez 150 phrases utiles pour bien communiquer en anglais : https://www.anglaiscours.fr/150phrases Accédez à notre site de cours d'anglais : https://www.anglaiscours.fr/ Accédez à notre catalogue formations en ligne : https://www.anglaiscours.fr/formations #apprendrelanglais #anglais #coursdanglais #learnenglish #english #speakenglish
Imaginez la scène : vous retirez 50 euros à un distributeur automatique, et la machine vous en donne 100. Un coup de chance ? Pas vraiment. En France, la loi est très claire : vous êtes dans l'obligation de rendre l'argent, même si l'erreur vient de la machine.Ce type de dysfonctionnement peut sembler rare, mais il arrive plus souvent qu'on ne le pense. Et il pose une question juridique simple mais essentielle : garder cet argent est-il un délit ? La réponse est oui. En droit français, profiter sciemment d'une erreur pour s'enrichir constitue ce qu'on appelle un “enrichissement sans cause”, et dans certains cas, cela peut même être requalifié en vol ou abus de confiance, passibles de poursuites pénales.Prenons un exemple concret : si vous retirez de l'argent à un distributeur défectueux qui vous remet une somme supérieure à celle que vous avez demandée, vous êtes censé signaler l'erreur et restituer l'excédent. À défaut, la banque peut vous réclamer l'intégralité de la somme perçue à tort, assortie de frais bancaires, parfois appelés commissions d'intervention. Et si vous refusez de coopérer, elle peut engager des poursuites devant les tribunaux civils ou même pénaux, notamment si l'intention frauduleuse est démontrée.La jurisprudence va dans ce sens : les juges estiment que le client a l'obligation morale et légale de corriger l'erreur, même si le ticket de retrait ou l'application bancaire n'indique pas d'anomalie. L'erreur matérielle de la machine ne dispense pas de restituer ce qui ne vous appartient pas.Et attention : les distributeurs sont presque tous équipés de caméras et chaque opération est traçable électroniquement. Ce qui signifie que même si vous quittez discrètement les lieux, la banque saura rapidement qui a retiré quoi et quand. Certaines affaires similaires ont déjà conduit à des peines de prison avec sursis ou à des amendes salées, notamment quand plusieurs retraits successifs ont été effectués avec la conscience du dysfonctionnement.Par exemple en 2020, un habitant de Montpellier se rend dans un distributeur pour retirer 20 euros. À sa grande surprise, le distributeur crache plusieurs billets, pour un total de 1000 euros. Au lieu de signaler l'anomalie, l'homme repart discrètement… mais revient plusieurs fois dans la journée pour tenter d'autres retraits.Ce qu'il ignore, ou feint d'ignorer, c'est que les distributeurs sont équipés de caméras de vidéosurveillance, et que chaque transaction est enregistrée numériquement. Très vite, la banque remarque l'erreur et remonte jusqu'à lui.Résultat : il est interpellé, poursuivi en justice pour vol, et contraint de rembourser l'intégralité des sommes indûment perçues. Le tribunal retient que le client avait conscience du dysfonctionnement et a agi de manière répétée, ce qui caractérise l'intention frauduleuse.En résumé, même si l'argent ne sort pas de la poche d'un guichetier mais d'une machine, le principe légal reste le même : ce qui ne vous est pas dû doit être rendu. La morale de l'histoire ? Si le distributeur se transforme soudain en Père Noël… méfiez-vous. En droit, l'erreur ne fait pas le bonheur, et encore moins une excuse. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À Knokke, là où tout est censé rester secret (surtout les scandales de week-end), une députée bourgeoise N-VA, Kathleen Depoorter, a réussi l'exploit : conduite en état d'ébriété... au volant d'une voiturette de golf ! Le tout sans assurance, avec refus du test d'alcoolémie, évidemment. C'est pas Hollywood, c'est juste Knokke qui se prend pour Fast and Furious version gazon ! Imaginez la scène : une dame élégante, un peu pompette, criant en flamand « Joepie, Ik ben rond als de staart van een schop » (traduction libre : « Je suis aussi rond qu'une queue de pelle »), fuyant une brigade de policiers en segways ou monocycles — la fine fleur de la police anti-voiturettes. Au pays du pipigate, on a désormais le “VoituretteGate”, un feuilleton estival où la justice met la gomme (ou presque). La députée, en vraie star, demande elle-même à lever son immunité parlementaire — histoire de faire genre “je prends mes responsabilités”, même si ça sent plus la petite amende et le stage de remise à niveau. Moralité : au royaume des folies politiques, rouler bourrée sans assurance, c'est plus grave que certains scandales internationaux… Et nous, on reste là, à attendre les détails croustillants : y'avait-il une plaque d'immatriculation parlementaire sur sa voiturette ? Est-ce que N-VA veut dire “Niet Voiturette Assureren” ? Et surtout, qui a osé penser qu'il fallait une assurance pour une voiturette de golf ? Ah, Knokke… là où même les cuistax font des burnouts sur la digue. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez : il est 8h02. Vous ouvrez vos mails. Ligne 1 : un client vous descend froidement. Ligne 2 : une critique injuste sur votre dernier post Insta. En 30 secondes, vous sentez la colère monter, l'injustice vous brûler de l'intérieur.Maintenant, autre scène : il est 7h12. Votre réveil a sonné depuis 42 minutes. Votre tenue de sport vous fixe du coin de l'œil. Vous aviez promis d'aller courir. Vous ne l'avez pas fait.Ces deux moments ont un point commun : vous avez l'impression d'avoir perdu contre vous-même.Dans ce nouvel épisode solo, je vous parle de ces instants qu'on vit tousMais surtout, de ce qu'on peut faire pour changer ça.Pour ne plus subir. Pour ne plus exploser.Pour reprendre un peu le contrôle, sans devenir une version aseptisée de soi.Je partage avec vous :Les 2 habitudes toutes simples qui ont changé ma manière de réagirCe que disent vraiment les neurosciences sur nos automatismes émotionnelsPourquoi la discipline ne dépend pas de la motivation (et comment j'ai “hacké” la mienne)Bonne écoute !Chapitrage 00:00 Introduction : pourquoi on cède parfois face à nos émotions 02:34 Le vrai enjeu : reprendre le contrôle intérieur 04:20 Comment ne pas exploser sous l'effet d'une émotion 09:10 L'outil qui change tout (et comment je l'utilise) 14:41 3 conseils concrets pour mieux gérer ses émotions 22:32 Mes conseils pour créer une discipline durable 27:17 Ma méthode personnelle pour retrouver une habitude sportive 33:43 Le hack des 5 minutes par jour (et pourquoi ça marche) 36:13 Le “habit stacking” : l'arme secrète pour installer une nouvelle routine 37:32 Pour conclure : trois clés pour avancer sans se perdreNotes et références de l'épisode Pour retrouver les scientifiques cités :Joseph LeDouxAntonio DamasioLisa Feldman BarrettPour retrouver les podcasts avec :Marie RobertJulie GrangerPour les appli / conseils :DISCPetit BambouHeadspacePour retrouver les livres cités : Atomic Habits de James Clear(liens affiliés Fnac) Pour retrouver mon site : Pauline Laigneau#discipline #gestiondesémotions #confianceensoi #leadershipféminin #routinesquotidiennes #developpementpersonnel #maîtrisedesoi #clarte #calmeintérieur #mindsetpositif #ambitionféminine #motivationquotidienne #selfleadership #intelligenceémotionnelle #résilience #réussiteauféminin #concentration #entrepreneuriatféminin #alignement #pouvoirpersonnelVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Imaginez une silhouette massive, toute blanche, faite d'anneaux empilés comme des pneus. Deux yeux malicieux, un sourire jovial… et parfois, un verre à la main. Voici Bibendum, la célèbre mascotte du groupe Michelin. Un personnage devenu l'un des symboles publicitaires les plus reconnaissables au monde. Mais d'où vient cette étrange créature ? Et pourquoi est-elle devenue l'incarnation d'un fabricant de pneus ?Pour le comprendre, il faut remonter à la fin du XIXe siècle, à Clermont-Ferrand, berceau de l'entreprise Michelin. En 1894, lors de l'Exposition Universelle et Coloniale de Lyon, les frères Édouard et André Michelin repèrent un tas de pneus empilés sur leur stand. En les regardant, Édouard s'exclame : « Avec des bras, on dirait un bonhomme ! ». L'idée est lancée.Quelques années plus tard, en 1898, ils font appel à l'artiste O'Galop – de son vrai nom Marius Rossillon – pour créer une affiche publicitaire. Celui-ci s'inspire d'un croquis qu'il avait réalisé pour une brasserie, représentant un gros buveur tenant un verre rempli de clous et de verre pilé. La phrase « Nunc est Bibendum », tirée d'un poème d'Horace, y figure en latin : « Maintenant, il faut boire ! »Le lien avec les pneus ? Il est là : le bonhomme Michelin, levant son verre rempli d'obstacles, symbolise un pneu capable d'« avaler » les dangers de la route – clous, pierres, éclats – sans crever. Le slogan s'adapte : « Le pneu Michelin boit l'obstacle ». Le personnage est baptisé Bibendum, en clin d'œil à la citation latine. Et le succès est immédiat.Au fil des décennies, Bibendum change d'apparence. Au début, il fume des cigares, il a un corps potelé, un air aristocratique. Il est parfois présenté en costume, en cycliste, en sportif. Mais toujours, il incarne la robustesse, la fiabilité et la longévité des pneus Michelin. Il devient un ambassadeur souriant, rassurant, populaire. Et surtout : il reste unique dans le monde de la publicité, à une époque où les mascottes deviennent des armes redoutables pour attirer l'attention.Ce personnage aura une carrière extraordinaire : élu icône du siècle par le Financial Times en 2000, il traverse plus d'un siècle d'histoire industrielle sans jamais quitter le devant de la scène. Plus qu'une simple mascotte, Bibendum est devenu le visage de l'innovation à la française, un symbole d'endurance… et de génie marketing.Et penser qu'il est né, presque par hasard, d'une pile de pneus oubliée sur un stand d'exposition. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez la scène : vous retirez 50 euros à un distributeur automatique, et la machine vous en donne 100. Un coup de chance ? Pas vraiment. En France, la loi est très claire : vous êtes dans l'obligation de rendre l'argent, même si l'erreur vient de la machine.Ce type de dysfonctionnement peut sembler rare, mais il arrive plus souvent qu'on ne le pense. Et il pose une question juridique simple mais essentielle : garder cet argent est-il un délit ? La réponse est oui. En droit français, profiter sciemment d'une erreur pour s'enrichir constitue ce qu'on appelle un “enrichissement sans cause”, et dans certains cas, cela peut même être requalifié en vol ou abus de confiance, passibles de poursuites pénales.Prenons un exemple concret : si vous retirez de l'argent à un distributeur défectueux qui vous remet une somme supérieure à celle que vous avez demandée, vous êtes censé signaler l'erreur et restituer l'excédent. À défaut, la banque peut vous réclamer l'intégralité de la somme perçue à tort, assortie de frais bancaires, parfois appelés commissions d'intervention. Et si vous refusez de coopérer, elle peut engager des poursuites devant les tribunaux civils ou même pénaux, notamment si l'intention frauduleuse est démontrée.La jurisprudence va dans ce sens : les juges estiment que le client a l'obligation morale et légale de corriger l'erreur, même si le ticket de retrait ou l'application bancaire n'indique pas d'anomalie. L'erreur matérielle de la machine ne dispense pas de restituer ce qui ne vous appartient pas.Et attention : les distributeurs sont presque tous équipés de caméras et chaque opération est traçable électroniquement. Ce qui signifie que même si vous quittez discrètement les lieux, la banque saura rapidement qui a retiré quoi et quand. Certaines affaires similaires ont déjà conduit à des peines de prison avec sursis ou à des amendes salées, notamment quand plusieurs retraits successifs ont été effectués avec la conscience du dysfonctionnement.Par exemple en 2020, un habitant de Montpellier se rend dans un distributeur pour retirer 20 euros. À sa grande surprise, le distributeur crache plusieurs billets, pour un total de 1000 euros. Au lieu de signaler l'anomalie, l'homme repart discrètement… mais revient plusieurs fois dans la journée pour tenter d'autres retraits.Ce qu'il ignore, ou feint d'ignorer, c'est que les distributeurs sont équipés de caméras de vidéosurveillance, et que chaque transaction est enregistrée numériquement. Très vite, la banque remarque l'erreur et remonte jusqu'à lui.Résultat : il est interpellé, poursuivi en justice pour vol, et contraint de rembourser l'intégralité des sommes indûment perçues. Le tribunal retient que le client avait conscience du dysfonctionnement et a agi de manière répétée, ce qui caractérise l'intention frauduleuse.En résumé, même si l'argent ne sort pas de la poche d'un guichetier mais d'une machine, le principe légal reste le même : ce qui ne vous est pas dû doit être rendu. La morale de l'histoire ? Si le distributeur se transforme soudain en Père Noël… méfiez-vous. En droit, l'erreur ne fait pas le bonheur, et encore moins une excuse. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez la galerie des Glaces à Versailles. Les dorures étincellent, les miroirs renvoient l'éclat des chandelles, et au centre de cette mise en scène grandiose, avance une silhouette. C'est le Roi-Soleil. Il marche d'un pas lent, majestueux… et légèrement surélevé. Car Louis XIV porte des talons. Des talons rouges, hauts, sculptés, presque théâtraux. Et non, ce n'est pas une coquetterie. C'est une stratégie.Né en 1638, Louis XIV est un roi de moyenne taille – environ 1,63 mètre – ce qui ne choque pas pour l'époque, mais dans un monde où le pouvoir se mesure aussi en apparence, chaque centimètre compte. Très tôt, Louis comprend que l'image est une arme politique. Il ne dirige pas seulement par la guerre ou la loi. Il gouverne par le regard. Chaque détail est pensé pour renforcer son autorité, et ses chaussures ne font pas exception.En portant des talons, il gagne en prestance, bien sûr. Mais surtout, il crée une hiérarchie visuelle à la cour. Il va jusqu'à réglementer la mode : les talons rouges deviennent un privilège royal, réservés à ceux qui jouissent de sa faveur. Plus les talons sont hauts, plus leur porteur est proche du roi. C'est un signe de distinction, un code silencieux qui structure la cour de Versailles comme une scène de théâtre. Car c'est bien de cela qu'il s'agit : d'une immense pièce, où Louis XIV est à la fois metteur en scène, premier rôle… et dieu vivant.Danseur accompli, passionné de ballet, il sait aussi que les talons ont un effet sur la posture : ils redressent le dos, tendent la jambe, rendent chaque mouvement plus fluide et noble. Dans les grandes fêtes, les cérémonies, les ballets qu'il dirige lui-même, le roi incarne l'ordre cosmique – le Soleil autour duquel tout gravite. Les talons ne sont donc pas une mode frivole : ce sont des instruments de domination, à la fois politiques, esthétiques et symboliques.Et ce qui est fascinant, c'est que ce goût royal va s'imposer à toute l'Europe. Pendant près d'un siècle, les hommes porteront des talons, souvent plus hauts que ceux des femmes. Jusqu'à ce que, après la mort de Louis XIV, les mœurs changent. La raison et la simplicité prennent le pas sur la grandeur. Les talons deviennent féminins, et ce qui était à l'origine un attribut de pouvoir masculin devient peu à peu… un accessoire de mode.Ainsi, en s'élevant de quelques centimètres, Louis XIV ne cherchait pas seulement à paraître plus grand. Il voulait surtout rappeler à tous qu'il était au-dessus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez un monde il y a plus de 4 000 ans. Les premières grandes sociétés humaines sont en plein essor. En Mésopotamie, dans la plaine entre le Tigre et l'Euphrate, les cultures irriguent les champs. En Égypte, les villages s'organisent le long du Nil. En Iran, en Anatolie, dans la vallée de l'Indus, des peuples sédentaires développent l'agriculture, bâtissent des maisons, inventent des rituels.Et puis soudain, le climat bascule.Autour de l'an 2200 avant notre ère, la pluie cesse de tomber, les rivières se tarissent, les sols s'assèchent. Les arbres meurent, les récoltes s'effondrent. En quelques décennies à peine, ce qui ressemblait à un progrès irrésistible se transforme en crise globale. Cet événement climatique, longtemps ignoré, est aujourd'hui reconnu comme l'un des premiers grands cataclysmes écologiques de l'histoire humaine.Un dérèglement planétaireLes scientifiques qui étudient les cendres des volcans, les couches de sédiments au fond des lacs ou les bulles d'air prisonnières dans les glaces de l'Arctique ont mis en évidence une période de refroidissement rapide, accompagnée d'une aridification brutale. Ce phénomène ne s'est pas limité à une région : du Moyen-Orient à l'Asie centrale, de l'Afrique du Nord jusqu'à la Chine, les signes sont concordants.Pour les sociétés humaines de l'époque, encore jeunes, encore fragiles, cela représente un choc terrible. Leur survie dépend d'une chose : l'eau. Sans elle, pas de moisson, pas de bétail, pas de pain.Un monde qui s'effondre en silenceCe que l'on observe ensuite, c'est une série d'abandons, de migrations, de transformations radicales. En Mésopotamie, la civilisation d'Obeïd décline brusquement. Dans la vallée de l'Indus, les villages se vident. En Égypte, les populations nomades du désert fuient vers les rives du Nil, où naîtra, quelques siècles plus tard, la civilisation pharaonique.Il n'y a pas de bataille décisive, pas d'ennemi venu du nord. Le responsable, c'est le ciel. C'est l'air devenu sec, les saisons devenues imprévisibles. C'est le climat, ce maître invisible mais implacable, qui dicte la chute comme il avait permis l'essor. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si l'IA faisait nos courses à notre place? Il fut un temps, pas si lointain, où quand nous voulions acheter quelque chose, nous tapions notre question sur Google. Et il nous rendait une longue liste de résultats, des dizaines de liens, de pubs, d'avis. C'était à nous de de farfouiller, de comparer, de cliquer. Bref, c'était nous le pilote. Désormais, nous posons la même question à ChatGPT, GEMINI ou Perplexity. L'intelligence artificielle nous répond directement. Une seule réponse claire, concise, personnalisée. Il n'y a plus de liste, pas de liens à trier. L'IA choisit pour nous. Pour le consommateur, c'est confortable. Mais pour les marques, pour les annonceurs, c'est un véritable tremblement de terre. Car si votre produit ne fait pas partie de cette fameuse réponse, vous n'êtes pas juste mal classé, vous devenez invisible. Ce n'est donc plus une compétition pour arriver premier sur une page Google. C'est une compétition pour être le seul site. Et dans cette nouvelle règle du jeu, il n'y a pas de deuxième chance. Les chiffres commencent à tomber. Selon une étude Havas, 70 % des Français qui demandent conseil à une intelligence artificielle pour un achat se laissent guider par sa réponse. Et un quart d'entre eux achètent ce qu'elle leur recommande. Forcément, c'est la panique du côté des agences de publicité, parce que, jusqu'ici, elles travaillaient le SEO, donc l'art de de rendre visible. Demain il faudra maîtriser le GEO, le Generative Engine Optimization. Autrement dit, comment, en tant que marque, être bien vu par une intelligence artificielle. Et, pour corser le tout, l'IA change, apprend, se met à jour sans prévenir. Pour les marques, c'est donc un nouveau défi. Elles doivent désormais séduire non seulement les consommateurs, mais aussi la machine intelligente qui les conseille. Et donc la révolution, elle est là, devant nous. Demain, ce n'est plus le client qui cherchera vos produits ou vos services, c'est l'intelligence artificielle qui décidera de les montrer ou pas. Et pour les marques, le risque est immense. Ne pas être la réponse, c'est ne plus exister du tout. Cette chronique révèle comment ChatGPT et consorts sont en train de remplacer Google dans nos décisions d'achat. Un bouleversement majeur pour les marques… et une bascule silencieuse pour les consommateurs. On écoute Amid Faljaoui --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si le vrai danger de l'IA ne résidait pas dans ses bugs ou ses hallucinations… mais dans son obéissance parfaite, comme un chien ? Cette chronique n'est pas une alerte dystopique, mais une mise en garde très concrète. Le docteur Laurent Alexandre, grand spécialiste de l'intelligence artificielle, a une formule qui fait mouche : l'IA, ce n'est pas un cerveau humain, c'est un chien avec un QI très élevé. Imaginez un chien fidèle, rapide, obéissant. Maintenant, imaginez ce même chien avec un QI de 160. Il ne comprend pas le sens de ce qu'il fait, mais il l'exécute parfaitement : il est puissant, mais bête, donc dangereux et incontrôlable s'il est mal dressé. L'intelligence artificielle ne pense pas, elle exécute et optimise. Aujourd'hui, les entreprises intègrent l'intelligence artificielle générative pour optimiser les coûts. Mais elle optimise aussi l'élimination des tâches humaines. Que fait ce chien intelligent ? Il propose de licencier 30 % des effectifs. Logique, rentable, mais inhumain. Le véritable danger, c'est un capitalisme dopé à l'IA, un système sans frein moral. Et à force d'obéir à ce chien intelligent, on devient soi-même un maître automatique, un gestionnaire sans intuition, un humain qui ne décide plus mais qui acquiesce. L'intelligence artificielle est un chien avec un QI très élevé, mais la véritable question est : sommes-nous encore capables de le tenir en laisse ? Mots-clés : fantasme, skynet, malveillant, Terminator, imaginaire, catastrophe, machine, autonome, inquiétude, détection, bombe, sauvetage, langage, mathématique, wikipedia, rapport, humeur, performance, compte, métier, utile, docile, métaphore, calcul, prédiction, exécution, rentabilité, éthique, justice, solidarité, objectif, zèle, danger, service client, patron, chatbot, data, intuition, science-fiction, ressources humaines, finance, médecine, droit, journalisme, méchanceté, sens, --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez : vous êtes agent de sécurité dans un hypermarché français, les yeux rivés sur les allées et venues des clients. Votre regard s'arrête soudain sur un homme d'une soixantaine d'années. Sa démarche vous paraît hésitante ; sa sacoche, toujours serrée contre lui, frôle un peu trop souvent les jupes des clientes. Votre instinct se réveille. Vous le suivez, discret, attentif. Au détour d'un rayon, le doute s'efface : l'individu glisse furtivement son téléphone sous la jupe d'une jeune femme et déclenche l'enregistrement. Cette fois, vous n'attendez plus. Vous bondissez, l'arrêtez, et mettez un terme immédiat à son manège. Ce que vous ignorez encore, c'est que cette intervention ne se limite pas à un simple cas de voyeurisme. Vous venez de faire tomber Dominique Pelicot… et de déclencher l'une des affaires criminelles les plus bouleversantes de l'histoire récente en France. Nos Commanditaires : Obtenez 25$ de rabais, 10 go de données mobiles gratuites ainsi que votre premier mois d'internet gratuitement lorsque vous activez votre forfait FIZZ avec le code promo PODZZ sur https://fizz.ca/
Imaginez partir littéralement nu, sans argent et sans vêtements, avec pour unique objectif d'atteindre Paris en décapotable rouge pour sortir en boîte de nuit. Une folie? Une révélation? Un peu des deux...Dans cet épisode exceptionnel de "Beau Voyage", je reçois l'emblématique duo de l'émission "Nus et culottés", Nans et Guillaume "Mouts" Mouton. Ces deux ingénieurs devenus "intermittents du miracle" nous racontent comment une simple conversation téléphonique s'est transformée en défi délirant puis en concept d'émission génial qui nous captive tous depuis plus de 12 ans.De leur première expérience dans la Drôme où ils se sont jetés à l'eau - au sens propre comme au figuré - jusqu'à leurs incroyables rencontres en chemin, ils partagent avec authenticité leur philosophie de vie où sobriété rime avec liberté et où chaque rencontre devient une aventure humaine.Comment passe-t-on d'une course de poubelles en école d'ingénieur à un voyage en hélicoptère sans débourser un centime? Comment transformer la peur en créativité? Pourquoi la vraie richesse se trouve dans le dépouillement total? Entre rires et philosophie de vie, anecdotes improbables et réflexions profondes, cet épisode vous fera redécouvrir le pouvoir de la générosité humaine et vous donnera peut-être envie de lâcher prise à votre tour. Alors montez le son et venez rêver avec nous d'un monde où "l'aventure est partout et à la portée de tout le monde".La suite de cet épisode sera diffusé la semaine prochaine !Bonne écoute !Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, à l'occasion du Festival de Cannes, cap sur le cinéma : Un tournage qui vire au chaos, un film devenu légendaire pour de mauvaises raisons, ou encore une œuvre maudite dès son clap de départ… Plongez dans les récits les plus fous de l'histoire du 7ᵉ art. Un tournage dramatique Tippi et Noel n'étaient pas de ceux qui se contentent de la banalité. Non, ils visaient l'extraordinaire. Après leur voyage en Afrique, ils ont décidé d'élever des lions dans leur demeure à Los Angeles. Imaginez ça : des prédateurs nés pour régner dans une villa de la Cité des Anges. Leur but ? Faire un film pour dénoncer la captivité des fauves. L'histoire est simple : Une femme accompagnée de ses deux enfants décide de rendre visite à son ancien époux. Ce dernier vit en Afrique et élève des félins au sein d'une réserve. Cependant, à leur arrivée, les choses ne vont pas se passer comme prévu... Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : combat contre l'Apocalypse (1/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : la bombe mentale (2/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : massacres et sauvetages (3/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : l'ennemi public des braconniers (4/4) Une production Bababam Originals Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Imaginez, votre tirelire ne pèse plus une tonne, elle tient uniquement dans douze petits mots. Autrement dit, votre code secret pour vos cryptomonnaies. Mais voilà, quelqu'un vous les a fait répéter sous la menace d'un couteau et tout votre patrimoine s'évapore. C'est le film d'horreur bien réel qui secoue la planète Crypto depuis début mai. En plein Paris, des ravisseurs ont sectionné le doigt d'un père pour débloquer le portefeuille numérique de son fils, raconte Le Figaro. Et, trois mois plus tôt, l'ex-fondateur de Ledger, une société spécialisée dans la conception et la commercialisation de portefeuilles physiques de cryptomonnaies, subissait exactement la même brutalité : agression, rançon et phalanges sacrifiées. Pourquoi cette montée de la violence? Un, parce que dans le monde de la crypto monnaie, la valeur est portable. Plus de lingots à charger, juste un mot de passe à soutirer. Deux, parce que le public s'élargit. Il semblerait que 18 % des Français détiennent déjà des crypto. En tous cas, d'après le consultant Gemini, c'est effectivement un bel annuaire, très tentant pour les apprentis bandits. Et puis, troisième raison, l'étalage permanent, comme des selfies devant une belle voiture de sport ou une grosse villa, ou d'autres maladresses sur les réseaux sociaux. Le paradoxe est cruel : la crypto vit de visibilité, notamment pour lever des fonds ou inspirer confiance, mais elle réclame maintenant la discrétion d'un coffre fort. Donc, concrètement, il y a au moins trois réflexes simples à adopter : parler le moins possible de ses gains et de ses adresses séparer les usages. Un petit compte de poche, si je puis dire, pour payer les petites dépenses, et un vrai coffre hors ligne pour le gros du pactole installer une double validation pour tout transfert important : deux personnes ou deux appareils doivent confirmer avant que les fonds ne bougent. Moralité, bien que vous possédiez quelques euros en cryptomonnaies, ou des montants plus conséquents, retenez qu'il faut accumuler les précautions autant que la monnaie virtuelle. Un portefeuille bien caché vaudra toujours mieux qu'un bandage flambant neuf, et vos dix doigts vous en seront reconnaissants. criminalité, bitcoin, cryptomonnaie, mot de passe, code secret, couteau, attaque, enlèvement, menace, patrimoine, envolé, vol, hacking, paris, agression, déblocage, portefeuille numérique, fils, père, mère, Ex-fondateur, Ledger, société spécialisée, conception, commercialisation, portefeuilles physiques, violence, brutalité, rançons, phalanges sacrifiées, coupées, Québec, modérateur, forum crypto, échappé, pinces coupantes, Ukraine, homme mort, meurtre, argentine, influenceur, démembré, richesse, kidnapping, recette, montée violence, valeur portable, lingots, large public, consultant Gemini, bandits, étalage permanent, réseaux sociaux, selfies, voiture de sport, villa, malfaiteurs, risque, investisseurs, Dubaï, Monaco, ravisseurs, proches, parents, conjoints, enfants, registres d'entreprises, données fiscales, photos de soirées, paradoxe, cruel, visibilité, fonds, inspirer confiance, discrétion coffre-fort, secteur, bling bling, investir, sobriété, invisible, réflexes, gains, compte, dépenses, pactole, double validation transfert, autorités, Europe, directive DAC 8, hors ligne, plateformes, mouvements suspects, police, technologie, bon sens, protection, information proches, vérification, serrures, doigts, phalanges, précautions, moralité, monnaie virtuelle --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez un château de 12 000 m², 150 chambres, des jardins à perte de vue… Et une mission folle : tout redécorer, en respectant l'histoire, les archives, l'âme du lieu.C'est le défi qu'a relevé Cordélia de Castellane, mon invitée du jour.Directrice artistique de Baby Dior et de Dior Maison, fondatrice de sa propre marque, décoratrice d'intérieur, maman, et amoureuse du beau, elle évolue avec grâce dans un univers où l'exigence est reine.Dans cet épisode, on plonge dans les coulisses de ces maisons aussi emblématiques que secrètes.Comment naît une collection ? Quelle place laisse-t-on à la spontanéité dans un cadre aussi codifié ? À quoi ressemble son quotidien entre création, archives, essayages d'enfants et mille responsabilités ?C'est un échange intime, inspirant, et résolument concret où Cordélia nous ouvre les portes de son art… et de son organisation.Si cet épisode vous touche, je compte sur vous pour le faire rayonner et le partager :) ça m'aide beaucoup ! Un grand merci ! CHAPITRAGE 00:00 – Introduction03:33 – Création intemporelle et style personnel06:13 – Réinterprétation du château historique09:08 – Philosophie du beau et exigence12:36 – Émotion et pouvoir de création15:09 – Héritage de l'enfance et transmission18:13 – Valeur liberté et indépendance créative27:03 – Routine matinale et organisation personnelle32:59 – Temps d'isolement pour créer35:01 – Jardin intime et mémoire familiale40:24 – Coulisses créatives de Dior Maison57:46 – Lecture, imagination et solitude#cordeliadecastellane #babydior #diormaison #podcastfrançais #entrepreneuriatféminin #designintérieur #créationartistique #artdevivre #podcastinspirant #paulinelaigneau #slowbusiness #organisationcréative #chateaufrenchstyle Notes et références de l'épisode ✨Pour retrouver Cordélia de CastellaneSur InstagramSur son site✨Pour retrouver les livres recommandés par Cordélia de CastellaneÀ la recherche du temps perdu de Marcel ProustL'Inconnue du portrait de Camille de Peretti✨Pour retrouver les livres écrits par Cordélia de CastellaneFleurs sur mesureMa maison de campagne(Liens affiliés Fnac)Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
On nous avait promis de la transparence pour les puissants, pour les multinationales, pour les fraudeurs professionnels. Mais, aujourd'hui, ce sont nos comptes bancaires, nos assurances, nos cryptos, nos investissements, bref, notre vie patrimoniale tout entière qui se retrouve sous microscope. Le fisc belge sait désormais presque tout de nous. Les fichiers mouchards s'empilent. Cadastre, registre, échange automatique, PCC, directive DAC. Nos comptes belges sont centralisés, nos comptes étrangers sont déclarés. Nos dividendes, prélèvements directs, nos locations immobilières signalées par les plateformes elles-mêmes. Vous pensiez qu'en tant que salarié, vous étiez à l'abri ? Que seuls les dirigeants, les indépendants ou les petits margoulins avaient des choses à craindre ? C'est faux. Le piège se referme sur tout le monde parce qu'il ne s'agit plus de fraude, il s'agit de surveillance. Lutter contre la fraude fiscale est tout à fait juste. Personne ne le conteste. Mais à quel prix collectif ? La disparition programmée du cash, une bascule ? La disparition programmée du cash n'est pas une simple modernisation, c'est une bascule. Car il est la dernière forme de liberté anonyme. Quand il disparaît et que nos transactions sont numérisées, nos avoirs visibles, nos choix financiers scannés, il ne nous reste plus aucun refuge. Imaginez un pouvoir politique autoritaire demain. Ce que vous avez acheté, vendu, loué, cédé, transmis… Tout est archivé. Pas de cash, pas d'oubli, pas d'échappatoire. La transparence fiscale devient alors une transparence politique et l'outil du contrôle absolu. Demain, quand l'euro papier aura cédé sa place à l'euro numérique, comme on veut nous l'imposer, ça voudra dire qu'en cas de ruée bancaire, le gouvernement pourrait y mettre un terme. En gelant les transferts de l'euro numérique, le gouvernement pourrait même récupérer l'argent du virement réalisé antérieurement. Cela signifie qu'une fois que cette nouvelle monnaie numérique sera mise en place, nous serons prisonniers d'un système contrôlé par le gouvernement. L'argent numérique sera l'une des nombreuses façons de conférer au gouvernement un contrôle total de notre argent et la capacité de surveiller nos moindres faits et gestes. Mots clés : Transparence, puissants, multinationales, fraudeurs, comptes bancaires, assurances, locations Airbnb, cryptos, investissements, vie patrimoniale, sous microscope, fisc belge, fait, l'Echo, fichiers mouchards, quotidien économique, Cadastre, registre, échange automatique, PCC, directive DAC, crypto-monnaies, traçage, suivre, analyse, comptes belges, comptes étrangers, centralisé, surveillé, surveillance, déclaration, dividendes, prélèvements directs, locations immobilières, signalement, plateformes, crainte, salarié, être à l'abri, dirigeants, indépendants, margoulins, craindre, piège, fraude, lutte, lutter, fraude fiscale, liberté, sommes, société libre, transparence, Simone Wapler, analyste financière, dérive, disparition, cash, transactions numériques, numérisation, avoirs visibles, choix financiers scannés, refuge, pouvoir politique autoritaire, archivage, échappatoire, politique, politicien, contrôle, 1984, big brother, location, banque, bancaire, cacher, vie privée, culpabilité, droit, faillite bancaire, retrait, smartphone, gestion, euro papier, ruée bancaire, mettre un terme, transferts, récupération, virement, versement, bénéficiaires, nouvelle monnaie, gardes fous étatiques, sociétés technologiques, banquiers, débiter, Jim Rickards, --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez qu'un jour la France redevienne une monarchie. Savez-vous qui pourrait prétendre au trône ? L'un est un Bourbon, il est Espagnol et s'appellerait Louis XX, l'autre est l'actuel comte de Paris, j'ai nommé Jean d'Orléans. La semaine prochaine, dans Au cœur de l'Histoire, vous saurez tout des derniers souverains français et des querelles qui ont opposé leurs descendants tout au long du XIXe siècle. Et, c'est promis, le légitimisme et l'orléanisme n'auront plus de secrets pour vous !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez une danseuse étoile à New York, allongée dans un Uber, incapable de s'asseoir. Ce jour-là, Julie Granger touche le fond. Mais ce moment ne sera pas une fin : ce sera un basculement.Dans cet épisode, Julie revient sur la quête de perfection qui a façonné sa vie, ses années de sacrifices, la scène américaine, puis l'effondrement. Et surtout : la reconstruction. Celle d'une femme qui a choisi d'enseigner autrement, avec discipline et douceur.Fondatrice de Brooklyn Barre, Julie défend une autre idée du mouvement : exigeante, mais respectueuse du corps. Ensemble, on parle de burn-out, de blessures qui transforment, de cours à 7h du matin, et de liberté retrouvée.Si vous voulez entendre une histoire de résilience, vraie et sans fard, cet épisode est pour vous !Si cet échange vous touche, pensez à vous abonner et à le partager
Imaginez ressortir d'un café avec une amie en vous sentant vidée, démotivée, découragée. C'est un signal. Et dans cet épisode, je vous explique comment l'interpréter.Cette semaine, on s'intéresse à la qualité de vos relations, parce qu'elle a une influence directe sur votre météo émotionnelle au quotidien, mais aussi sur votre état d'esprit, vos croyances, votre ambition et votre confiance en vous.Pour ça, je vous propose un outil tiré de mon livre, La Méthode Change ma vie : l'audit des relations.Cet outil va vous permettre d'identifier les relations qui vous portent et vous soutiennent, et celles qui vous freinent ou vous entravent.
Imaginez un monde où votre voisin est un robot. Un monde où les humains ne sont plus les plus intelligents dans la pièce. Ce monde, ce n'est pas de la science-fiction. C'est celui que les esprits les plus brillants de la Tech ont présenté lors de la conférence annuelle de TED. Mais au-delà de la carte postale ce qui nous a le plus frappé, ce n'est pas tant ce que les speakers ont dit. C'est surtout ce qu'ils n'ont pas dit. Et c'est çà que nous allons vous raconter aujourd'hui avec mes invités.La synthèse de TED 2025 : https://www.mikiane.com/blog/2025/12/la-synthse-de-ted-2025-e8mtp4===============================
Imaginez entendre quelqu'un parler… et voir, en même temps, les mots s'écrire devant vos yeux, comme si le monde réel était un film étranger automatiquement sous-titré. Non, ce n'est pas de la science-fiction ni une technologie futuriste, mais une réalité neurologique vécue par certaines personnes atteintes d'un phénomène rare : la synesthésie lexicale visuelle, un type particulier de synesthésie.La synesthésie est un trouble neurologique fascinant, où les sens sont « câblés » de façon inhabituelle. En d'autres termes, la stimulation d'un sens entraîne involontairement une réponse dans un autre. Par exemple, certaines personnes peuvent voir des couleurs en entendant de la musique, ou associer des chiffres à des personnalités ou à des textures. Dans le cas qui nous intéresse, le lien se fait entre le son (particulièrement le langage parlé) et la vision de mots écrits.Les personnes atteintes de cette forme de synesthésie « entendent » les mots comme tout le monde, mais leur cerveau génère automatiquement une image mentale des mots entendus, comme s'ils étaient écrits quelque part dans leur champ de vision — parfois sur des surfaces imaginaires, parfois flottant dans l'espace, ou projetés sur une ligne fictive à hauteur des yeux. Pour elles, cette expérience est naturelle. Elles n'ont pas l'impression d'imaginer les mots : elles les voient, réellement, dans leur esprit, comme une projection superposée au monde réel.Ce phénomène reste extrêmement rare et peu documenté. Il n'existe que quelques cas recensés dans la littérature neurologique. Mais il nous éclaire sur le fonctionnement mystérieux du cerveau. La synesthésie serait liée à une hyperconnectivité entre différentes zones cérébrales, notamment entre les aires auditives (qui traitent les sons) et les aires visuelles (chargées de l'interprétation des formes, dont les lettres). Ces connexions inhabituelles provoquent des associations automatiques et involontaires.Les scientifiques s'interrogent encore : s'agit-il d'une anomalie, ou simplement d'une autre façon d'expérimenter le monde ? Pour les personnes concernées, cela peut même s'avérer utile. Certaines affirment mieux retenir les noms, les phrases ou les langues étrangères grâce à ces « sous-titres » mentaux.Contrairement à un hallucination pathologique, cette synesthésie n'est ni dangereuse ni liée à un trouble psychiatrique. C'est une variante de la perception, une fenêtre différente sur le réel.Voir le monde avec des sous-titres, c'est donc un petit miracle neurologique, à la frontière du langage, de la vue et de l'imaginaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.