POPULARITY
Categories
Imaginez un peu : transformer de simples cellules de peau en ovule.Imagine that: transforming simple skin cells into egg cells.Ouais.Yeah.Et qu'ils puissent être fécondés.And that they can be fertilized.C'est la prouesse que des chercheurs expliquent dans Nature Communications.This is the feat that researchers explain in Nature Communications.C'est potentiellement énorme pour l'infertilité mais ça soulève de sacrées questions.It's potentially huge for infertility but it raises some serious questions.Alors, premier point : la science derrière tout ça.So, first point: the science behind all this.L'équipe de Paula Amato de l'Oregon Health and Science University, eh bien elle a réussi à créer ces ovocytes humains fonctionnels.The team of Paula Amato from the Oregon Health and Science University, well, they succeeded in creating these functional human egg cells.Ils ont même pu être fécondés par des spermatozoïdes.They could even be fertilized by sperm.Bon, ça a donné des embryons, mais ils avaient des anomalies, alors ils ont été détruits, hein.Well, it resulted in embryos, but they had abnormalities, so they were destroyed, you know.Les idées d'application, il y en a : traiter certaines infertilités, permettre aux couples de même sexe d'avoir des enfants génétiquement liés ou pallier le manque de don de gamètes, un vrai sujet en France par exemple.There are ideas for application: treating certain infertilities, allowing same-sex couples to have genetically related children or compensating for the lack of gamete donation, a real issue in France, for example.Mais, attention, hein, Paula Amato le répète, on parle de moins d'une décennie avant d'imaginer utiliser ça en clinique.But, be careful, Paula Amato repeats it, we're talking about less than a decade before considering using this in a clinical setting.On en est vraiment qu'au tout début.We are really only at the very beginning. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez un duo de jumeaux de plus de soixante ans. Même patrimoine génétique, parcours de vie souvent proches, habitudes semblables. Et pourtant, après douze semaines d'un simple ajout à leur alimentation, l'un d'eux se souvient mieux, apprend plus vite, tandis que l'autre ne constate aucun changement. Quelle est la différence ? Des prébiotiques, ces fibres alimentaires qui nourrissent les bonnes bactéries de notre intestin.Cette scène n'est pas une fiction mais le cœur d'une étude publiée début 2024 dans Nature Communications. Des chercheurs britanniques ont recruté 36 paires de jumeaux âgés en moyenne de 73 ans. Tous ont suivi un programme d'exercices et reçu des acides aminés bénéfiques pour la musculature. Mais un seul des deux jumeaux de chaque paire recevait, en plus, un supplément quotidien de prébiotiques. Trois mois plus tard, les résultats sont frappants : ceux qui avaient nourri leur microbiote intestinal obtenaient de meilleurs scores dans des tests de mémoire visuelle et d'apprentissage. Notamment, ils faisaient moins d'erreurs dans un exercice consistant à mémoriser des associations entre des images et des emplacements, un test considéré comme sensible aux premiers signes du déclin cognitif.Comment expliquer ce lien étonnant entre intestin et mémoire ? Tout passe par ce que les scientifiques appellent l'axe microbiote-intestin-cerveau. Les milliards de bactéries logées dans nos intestins produisent en permanence des molécules, comme des acides gras à chaîne courte ou même certains neurotransmetteurs, capables de circuler dans le sang et d'agir sur le cerveau. En modulant l'inflammation, en influençant la chimie cérébrale et même en dialoguant via le nerf vague, le microbiote peut contribuer à protéger ou à fragiliser nos capacités cognitives.Dans cette expérience, les prébiotiques ont favorisé la croissance de bifidobactéries, connues pour leurs effets bénéfiques. Et cette transformation interne s'est traduite par un petit coup de pouce mental. Certes, l'effet n'est pas spectaculaire, et il reste limité à une courte période et un petit échantillon. Mais il s'agit d'une preuve élégante, renforcée par le choix de jumeaux, que nourrir son intestin peut aussi nourrir sa mémoire.Ce résultat ouvre des perspectives intrigantes : et si, avec l'âge, un simple ajustement alimentaire suffisait à retarder le déclin cognitif ? Et si la clé pour protéger notre mémoire se trouvait dans notre assiette, dans ces fibres oubliées qui, silencieusement, font travailler pour nous des milliards de microbes alliés ? La recherche continue, mais une chose est sûre : notre intestin a bien plus à dire à notre cerveau que nous ne l'imaginions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous avez un projet ou une tâche à accomplir, mais vous n'arrivez pas à vous lancer ?
Histoire postée sur le subreddit nosleep en Septembre par l'utilisateur Spades_Writes.Voici son histoire : « Imaginez que vous traversez vos trajets quotidiens… jusqu'au jour où le train ne s'arrête plus aux stations habituelles. Vous descendez au hasard sur une voie désertée, sans signalisation. Personne attend. Impossible à localiser sur une carte. Bienvenue à Kisaragi Station. »En 2004, sur le forum japonais 2channel (2ch), une internaute nommée Hasumi partage en temps réel un récit effrayant : son train s'arrête dans une gare inconnue, Kisaragi Station, qui n'existe pas sur les cartes.Elle décrit un lieu désert, bruits de tambours shinto à distance, panne de réseau, apparition inquiétante d'un vieil homme et un périple dans un tunnel sombre jusqu'au silence total. Puis, plus rien : elle disparaît et ses messages s'interrompent.Le récit a immédiatement suscité fascination et inquiétude, évoluant en légende urbaine numérique plébiscitée, discutée sur Twitter, YouTube, blogs et forums.Plusieurs internautes ont même visité la station Saginomiya (proche de Hamamatsu), suspectée d'avoir inspiré la légende. La compagnie de chemin de fer locale a tacitement contribué en créant des événements autour de Kisaragi.Source : https://www.reddit.com/r/Ghoststories/comments/1nbrus3/a_japanese_ghost_story_i_heard_growing_up/Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Et si la téléportation quantique était notre seule chance de voyager à travers l'univers ? Cette vidéo explore en profondeur cette technologie révolutionnaire qui pourrait rendre les distances interstellaires enfin accessibles.Aujourd'hui, même la lumière mettrait des années à atteindre la première étoile voisine. Les voyages spatiaux sont donc condamnés par les lois de la physique. Pourtant, grâce à l'intrication quantique, des chercheurs réussissent déjà à téléporter de l'information sur des centaines de kilomètres. Imaginez maintenant l'état quantique de chaque atome de votre corps transmis à travers l'espace... Mais cette prouesse pose une question vertigineuse : la copie parfaite de vous… est-ce vraiment vous ? Car téléporter un humain implique de détruire l'original pour en reconstruire un identique ailleurs. Seriez-vous prêt à faire ce sacrifice pour explorer une autre planète ?
Êtes-vous prêt à TRANSFORMER la vie quotidienne de votre famille ? Dans cet épisode captivant du podcast "Princesse Montessori", Xénia Troubetzkoï, experte en développement précoce de l'enfant selon la méthode Montessori, partage des STRATÉGIES PRATIQUES pour enrichir votre quotidien familial. Découvrez comment un simple portfolio peut REMPLACER les notes traditionnelles et offrir une VISION CLAIRES des progrès de votre enfant. Xénia aborde des SITUATIONS courantes que rencontrent les parents, comme les colères, et propose des techniques pour poser des LIMITES sans crier. Elle met en avant l'importance de l'AUTONOMIE des enfants, leur permettant de s'épanouir tout en développant leur CONFIANCE EN SOI. En écoutant cet épisode, vous apprendrez à sélectionner des PREUVES VIVANTES des compétences de votre enfant, telles que des enregistrements de lectures ou des projets réalisés. Mais ce n'est pas tout ! Xénia encourage les parents à établir un RENDEZ-VOUS hebdomadaire pour mettre à jour le portfolio, créant ainsi un espace de partage avec les proches. Cette méthode renforce la MOTIVATION de l'enfant et valorise ses accomplissements. Imaginez la fierté de votre enfant en voyant ses réalisations mises en avant ! Vous serez également guidé dans la création d'une PAGE DE GARDE pour le portfolio et à y ajouter la première PREUVE VIVANTE, instaurant ainsi une méthode d'ÉVALUATION POSITIVE et CONSTRUCTIVE. Cet épisode est une véritable BOUSSOLE pour les parents désireux d'adopter une approche Montessori dans leur vie quotidienne. Ne manquez pas cette occasion d'apprendre des techniques qui peuvent TRANSFORMER votre relation avec votre enfant. Écoutez "Princesse Montessori" et embarquez dans cette aventure d'apprentissage et de découverte !
Aujourd'hui, je vous emmène loin, là où le blanc est la couleur dominante et où l'air glacé réveille chaque cellule de votre corps… Bienvenue en Laponie suédoise ! Imaginez un immense désert de neige scintillante, la mer prise par les glaces sous vos pas, des balades avec des huskies et des rennes , et peut-être des aurores boréales qui danseraient juste au-dessus de nos têtes.Moins connue que sa voisine finlandaise, la Laponie suédoise réserve une atmosphère plus calme, plus intime… l'endroit parfait pour ralentir et savourer chaque instant en famille.Alors, enfilez vos moufles, ajustez votre bonnet, et suivez-moi pour un reportage givré, magique et totalement dépaysant.-------Le sponsor de cet épisode, c'est Clic Campus.Parler anglais, au quotidien ou en voyage, n'est pas toujours évident. Clic Campus propose une méthode 100 % personnalisée : en 2 min, l'IA crée un parcours sur mesure adapté à votre niveau, votre métier et vos objectifs.Vous avez un formateur dédié, pas de cours en groupe, et vous choisissez votre accent — US, UK, latino… Le tout avec suivi précis, e-learning illimité et cours adaptés au pro comme au perso.
Imaginez cette situation : vous réussissez un examen difficile. Tout de suite, vous pensez : « J'ai travaillé dur, j'étais bien préparé, je suis intelligent. » Mais si, à l'inverse, vous échouez, il est tentant de se dire : « Le sujet était trop compliqué, le professeur a été injuste, j'ai manqué de chance. » Ce mécanisme porte un nom : le biais d'auto-complaisance.Ce biais est une tendance psychologique universelle : nous attribuons nos réussites à nos qualités personnelles, et nos échecs à des facteurs extérieurs. C'est une manière de protéger notre estime de soi. Après tout, il est plus agréable de se voir comme compétent et de rejeter la responsabilité de nos erreurs sur les circonstances.Les chercheurs en psychologie sociale ont étudié ce phénomène dès les années 1970. Ils ont montré que, dans des expériences contrôlées, les participants avaient systématiquement tendance à revendiquer leurs succès comme mérités, tout en minimisant leur part de responsabilité dans leurs échecs. Par exemple, un étudiant qui obtient une bonne note pensera que c'est grâce à son intelligence, mais si la note est mauvaise, il accusera l'examinateur ou le manque de temps.Ce biais n'est pas seulement individuel : il se retrouve aussi au niveau des groupes. Une équipe sportive victorieuse mettra en avant son talent, sa cohésion, son travail acharné. Mais si elle perd, elle parlera de l'arbitre, du terrain ou du mauvais temps. Dans le monde de l'entreprise, c'est pareil : un projet réussi est attribué à la stratégie et au leadership ; un échec, à la crise économique ou à la concurrence déloyale.Pourquoi agit-on ainsi ? Parce que notre cerveau cherche à maintenir une image positive de nous-mêmes. C'est une sorte de mécanisme de défense psychologique. Il nous aide à garder confiance, à ne pas nous effondrer face aux difficultés. Mais ce confort a un prix : le biais d'auto-complaisance nous empêche parfois de tirer les bonnes leçons de nos erreurs. Si tout est toujours la faute des autres, il devient plus difficile de progresser.Être conscient de ce biais est déjà un premier pas pour le limiter. Accepter qu'un échec peut venir aussi de nos choix, de notre préparation ou de nos limites, ce n'est pas se rabaisser : c'est se donner une chance de s'améliorer. De même, reconnaître que parfois la chance ou les circonstances jouent dans nos succès, c'est garder une humilité précieuse.Ainsi, comprendre le biais d'auto-complaisance, c'est apprendre à mieux évaluer nos réussites et nos échecs, et donc à mieux grandir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Avec mon père, la langue principale, c'est la distance et le silence." "J'ignore ce que le passé me réserve."C'est profond, hein ? Préparez-vous, épisode riche sur la masculinité, la famille, la transmission, l'amour, les non-dits... Il y a matière à réflexion dans cet épisode avec Sikou Niakate, réalisateur du documentaire "Dans le noir, les hommes pleurent", auteur/host du podcast "Jour noir", il a écrit et publié en mars dernier "Dans le noir, je crie", une plongée dans son enfance, son adolescence, sa vie de jeune adulte en construction."On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille On choisit pas non plus les trottoirs de Manille, de Paris ou d'Alger pour apprendre à marcher.Être né quelque partÊtre né quelque part pour celui qui est néC'est toujours un hasard"Maxime Le Forestier Retrouvez Sikou Niakate sur les réseaux sociauxhttps://www.instagram.com/sikouniakate_/https://www.facebook.com/Sikou.Niakate.Malcom Son livre "Dans le noir, je crie" (éditions Stock) https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782234098282-dans-le-noir-je-crie-sikou-niakate/Résumé : Résumé« Je ne me sens chez moi que lorsque je suis au quartier. Un peu comme ce chien qui a toujours été en cage. Un jour, on lui ouvre la grille. Mais il ne connaît pas la vie en dehors de sa prison. Alors, après quelques pas à l'extérieur, envahi par la peur, il y retourne, puis referme la porte avec sa patte. Moi, je rêve de la quitter, ma cage. Mais personne ne me l'ouvre. L'extérieur ne me désire pas. L'extérieur est hostile avec moi, le pauvre du quartier. L'extérieur raconte que j'ai la rage, pour justifier la violence qu'il exerce sur moi. Et plus je subis, plus j'ai mal. Plus j'ai mal, plus je crie. Mais plus je crie, plus je donne raison au scénario de l'extérieur qui veut faire de moi un clebs enragé. »Grand, pauvre, noir, donc menaçant, le jeune Sikou se débat entre deux courants contraires : correspondre au stigmate ou s'en affranchir. Plus tard, devenu transfuge de classe, il comprend combien la masculinité noire l'assigne encore à un espace bien particulier, jusque dans l'intime.Un récit initiatique bouleversant qui raconte la difficulté de se constituer une identité propre lorsqu'on est sans cesse renvoyé au regard que le monde pose sur soi. Son documentaire "Dans le noir, les hommes pleurent."https://youtu.be/XI06Ntsh1yk?si=VeCOtoclfSDeJlV0"Imaginez si des hommes, dont moi, issus de quartiers populaires, s'installaient l'un après l'autre sur un canapé, afin de se livrer pour la première fois de leur vie, sans aucune concession, sur les obligations sociales masculines dont ils sont à la fois les interprètes et les prisonniers." Son podcast "Jour noir"https://podcasts.audiomeans.fr/jour-noir-5d21d58b"JOUR NOIR c'est le récit d'un homme noir, Sikou Niakate, qui, le jour de ses 30 ans, se pose la question de la paternité : “Suis-je prêt à devenir père ?” Il sent à ce moment-là̀ que son hésitation est liée à sa couleur de peau. Il nous plonge alors dans un profond état des lieux intime. Au cours d'une journée normale dans les rues de Paris, où s'enchaînent des situations à priori banales (marcher, faire ses courses, prendre le métro, un café en terrasse…), il s'enregistre et raconte le contrôle permanent de lui-même sur son corps, son comportement, la manière dont il s'habille, dont il parle et se déplace, pour ne surtout pas correspondre aux terribles stéréotypes accolés aux personnes noires. Tout sera - depuis l'intérieur - regardé, décortiqué, exprimé. Veut-il - peut-il - transmettre tout cela à son enfant ? JOUR NOIR un podcast en 3 épisodes à écouter dans l'ordre -- JOUR NOIR, un documentaire fiction de Sikou Niakate Une production StudioFact Audio Réalisation : Hélène Bizieau Musique : MiM Production : Camille Juzeau et Chloé Tavitian Illustration : Aurelia Durand Voix off titre : Assa Traore Merci à Gaëlle Senn d'avoir été là au tout début de ce qui n'était pas encore un podcast." Prochain épisode : le 8 octobre Si vous voulez soutenir Single Jungle, avec un don en une seule fois, j'ai ouvert un Tipeee : https://fr.tipeee.com/single-jungle. J'ai suivi le conseil d'auditrices et d'auditeurs qui ont proposé de participer à la hauteur de leurs moyens, ponctuellement, aux frais des épisodes (prise de son/montage). Merci aux premières personnes qui ont participé ! Références citées dans l'épisode ou en bonus (à suivre) Vocabulaire** Une personne « racisée » désigne un individu susceptible d'être assigné à un groupe minoritaire, et d'être victime de discriminations : dans ce contexte, la « race » n'est pas considérée comme biologique, mais elle est une construction sociale qui sert à exclure certaines catégories qui subissent le racisme. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/03/31/racise-privilege-blanc-intersectionnalite-le-lexique-pour-comprendre-le-debat-autour-des-reunions-non-mixtes_6075153_4355770.html "Homme Soja" Soy boy (litt.« garçon-soja »), ou parfois homme-soja, est un terme péjoratif ou ironique, souvent utilisé en ligne, notamment par l'extrême droite[1], pour qualifier les hommes qui présentent des traits physiques, affectifs, ou comportementaux attribués d'accoutumée à la gent féminine. https://fr.wikipedia.org/wiki/Soy_boy Livres "Mécanique du privilège blanc" d'Estelle Depris (Binge Audio éditions) https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782491260194-mecanique-du-privilege-blanc-comment-l-identifier-et-le-dejouer-estelle-depris/ "Pauvre petit blanc : le mythe de la dépossession raciale" de Sylvie Laurent (éditions Maison des sciences de l'homme) "Comme un million de papillons noirs" de Laura Nsafou (éditions Cambourakis) "Pourvu qu'il soit dur, chroniques sur ma masculinité" de Thomas Gravereau (éditions Albin Michel), épisode 64 de Single Jungle https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-64-thomas-gravereau-pourvu-quil-soit-dur-chroniques-sur-ma-masculinite "Lusted men : une collection de photographies érotiques d'hommes", ouvrage collectif, postface de Maïa Mazaurette (éditions Hoebeke "Les hommes hétéros le sont-ils vraiment" de Léane Alestra (éditions JC Lattès) "Retour à Reims" de Didier Eribon (éditions de poche "Champs essais") Vidéos, comptes Instagram, spectacle "Masculinités noires" de Christophe Boussambahttps://www.instagram.com/share/_1K9-syv8 Réflexions de femmes sur la taille du pénis des hommes https://www.instagram.com/reel/DOrYJrzDVb-/?igsh=X2FoRG5BNFBP "Démasculinisez-moi", performance artistique pluridisciplinaire de Pascal Beugre Tellierhttps://www.youtube.com/watch?v=Uu0QFCPKRxM AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service clientq n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez une dépense inutile. Episode enregistré en septembre 2025, à Paris, chez Isabelle, merci à elle et son chat pour leur hospitalitéPrise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Nouveau générique ! Vous l'avez reconnu ? C'est le générique de la série mythique des années 90 "Code Quantum" avec Scott Bakula. J'adore cette série, féministe, inclusive. Dédicace à Richard Gaitet (Arte Radio), auteur, fan inconditionnel aussi de cette série.Virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud
Imaginez que votre cerveau soit une immense bibliothèque. Chaque jour, vous y rangez de nouveaux livres : un souvenir de conversation, une odeur de café, une formule de mathématiques, un visage croisé dans la rue. Alors forcément, une question se pose : peut-on un jour saturer ces étagères ? Le cerveau a-t-il une limite, comme un disque dur qui finirait par afficher “mémoire pleine” ?Elizabeth Kensinger, professeure de psychologie et de neurosciences au Boston College, a passé des années à étudier la mémoire humaine. Sa conclusion est claire : le cerveau ne fonctionne pas comme un ordinateur. Dans ses travaux, notamment avec Andrew Budson, elle explique que la mémoire n'est pas un espace fixe que l'on remplit jusqu'au trop-plein. C'est un système dynamique, où chaque souvenir est découpé en morceaux — une couleur, un son, une émotion — stockés dans différentes zones cérébrales et liés entre eux par l'hippocampe.Alors pourquoi avons-nous parfois l'impression d'être saturés, incapables d'apprendre une chose de plus ? Kensinger insiste : ce n'est pas une question de capacité, mais de conditions d'encodage. Quand nous sommes fatigués, distraits, ou stressés, notre cerveau n'enregistre pas correctement l'information. Le souvenir est flou dès le départ, et il sera plus difficile à retrouver. Autrement dit, ce n'est pas que la bibliothèque manque de place, mais plutôt que certains livres ont été posés à la hâte, mal étiquetés, et deviennent introuvables.Dans ses recherches, Kensinger montre aussi que l'oubli n'est pas un défaut mais une fonction essentielle. Le cerveau trie. Il élimine une partie des détails superflus pour se concentrer sur ce qui compte vraiment. Elle a notamment démontré que les souvenirs chargés d'émotion, surtout négatifs, conservent plus de précision visuelle que les souvenirs neutres. En d'autres termes, notre cerveau sélectionne : il garde intacts certains livres parce qu'ils marquent notre histoire, et laisse s'effacer les anecdotes banales.Alors non, il n'existe pas de “saturation” de la mémoire au sens strict. Nous ne remplissons jamais complètement nos étagères neuronales. Ce que nous ressentons comme une saturation est en réalité de la fatigue cognitive, un déficit d'attention, ou simplement ce mécanisme naturel d'oubli qui libère de l'espace mental.En somme, notre mémoire n'est pas un disque dur limité, mais un organisme vivant. Elle apprend, oublie, reconstruit. Elle n'a pas besoin d'être protégée de la saturation, mais entretenue par le sommeil, l'attention et le sens que nous donnons aux choses. Et c'est justement ce tri qui permet à notre bibliothèque intérieure de rester lisible, même après des décennies d'accumulation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez-vous face à un éléphant de plusieurs tonnes, allongé au sol, l'animal à trois mètres seulement de votre objectif… Ou encore, imaginez croiser une meute de loups au Canada, juste devant vous.Dans cet épisode, je vous propose une interview express avec Mathieu Courdesses, l'un des plus grands photographes animaliers français. En 10 minutes, il nous raconte ses rencontres les plus incroyables : tigres du Bengale, orangs-outans, gorilles… , son rêve ultime, photographier le panda à l'état sauvage et ses meilleurs conseils pour les aspirants photographes. Prêts pour un grand bol de sauvage en accéléré ?Belle écoute !Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on vous propose un saut dans le passé et le présent de l'électronique du quotidien. Imaginez… À l'époque de nos grands-parents, programmer une machine à laver, c'était affaire de ressorts et d'interrupteurs mécaniques. Puis sont arrivés les transistors, l'électronique embarquée, les premiers microprocesseurs : un vrai bouleversement ! Mais comment tout cela a-t-il évolué ? Pourquoi a-t-on pris l'habitude, aujourd'hui, de tout confier à un microcontrôleur, même pour allumer une simple lampe ? On accueille dans cet épisode Jérémy Terrien, responsable service électronique de l'UTC (Université de Technologie de Compiègne).Avec Aurélien il nous emmène sur les traces des machines à laver, des circuits logiques et de l'irrésistible ascension du code dans l'électronique moderne.Entre anecdotes, explications concrètes et conseils pour se lancer, ils éclairent la différence entre bricolage "à l'ancienne" et prototypage à la sauce Arduino. Que vous soyez passionné d'électronique ou curieux de comprendre le monde caché derrière nos objets familiers, installez-vous : vous allez découvrir pourquoi, aujourd'hui, souder ou coder n'ouvre pas exactement les mêmes portes. N'hésitez pas à nous communiquer vos commentaires.Notre prochain rendez-vous ce sera avec une grosse partie de l'équipe le second mardi du mois prochain.En attendant, abonnez-vous à notre infolettre. On y partage notre veille technologique hebdomadaire et quelques infos sur nos épisodes.
On a tous en nous une image de New York, la nuit, qui nous marquée : les lumières de Manhattan qui se reflètent sur un East River tellement vaste qu'on ne sait plus si c'est encore un fleuve ou déjà la mer. Et le plus fascinant dans cette histoire, c'est que cette ville est tellement peuplée qu'elle ne dort jamais, qu'il s'y passe des choses folles, autant le jour que la nuit. Regardez cette jeune femme, très belle d'ailleurs, qui entre dans un immeuble du West Side à la fin du jour. Elle n'y habite pas, non, elle vient juste dire bonjour au concierge avec qui elle a sympathisé. Oh, elle a une idée en tête, oui, elle rêve d'y vivre. Il faut dire qu'avec son compagnon, elle déménage en moyenne une fois par an mais en cet automne 1978, même si Debbie Harry est loin d'être riche, son couple ne tire plus le diable par la queue comme cela a été le cas pendant des années. Dix ans qu'elle s'est installée à New York avec un petit boulot de secrétaire mais là, le troisième album de son groupe Blondie est bien parti pour être celui qui va faire d'eux des stars du rock. Et Debbie a eu raison de lui laisser régulièrement un pourboire pour l'avertir au cas où, elle va l'avoir son appart au dernier étage, qui était au départ, d'après le concierge, la buanderie de l'immeuble. La peinture des murs est out, il y a des fuites et des courants d'air, un toit en goudron qui va les faire cuire en été mais il y a une terrasse sur trois côtés et pour Debbie, ça veut dire tout. Imaginez la vue, de jour, comme de nuit.Enfin, la nuit, je veux dire, très tard, le point du jour quand ils rentrent de leur émission de télé. Car oui, Chris et Debbie font de la télé. Avec des artistes qui ont décidé de faire une émission barge et expérimentale tous les jeudis soirs. L'émission s'appelle TV Party et est dirigée par un réalisateur indépendant que Debbie et Chris connaissent bien, Amos Poe, sur une chaîne de télé locale qui loue son antenne à l'heure, à tous ceux qui veulent faire passer un message.Dans l'équipe, un artiste bien barré, qui compose des morceaux à l'image de ses graffitis, un certain Jean-Michel Basquiat. Jean-Michel est SDF, en galère, alors il demande à Debbie qui vient de présenter une séquence dans laquelle elle montre comment pogoter avec une béquille, de lui acheter un tableau. Et comme dans un film de Woody Allen, Chris et elle, viennent voir son œuvre monumentale et effrayante et la lui achètent pour 300 dollars. Une vraie fortune pour lui ! Le jeudi suivant, il dira aux autres de l'émission qu'il les a arnaqués. Oui, le Basquiat dont certaines toiles quittent aujourd'hui les salles de vente pour 100 millions de dollars. Quand on pense que le patron de la chaîne a refusé qu'il tague un mur du studio.Quant au type derrière la caméra, Freddy, dit Fab Five Freddy, c'est aussi un artiste hip hop. C'est quoi le Hip Hop ? Freddy emmène Debbie et Chris à leur premier concert de rap, on n'a pas encore entendu le Rapper's Delight des Sugarhill Gang que les deux artistes punks sont sous le charme, voilà pourquoi Debbie lui adressera un clin d'oeil dans le single qui fera d'elle la première rappeuse blanche.
Imaginez l'Europe scientifique des années 1920. À cette époque, la plupart des savants sont convaincus que l'univers est figé, éternel, immuable. Pourtant, dans un petit bureau de Louvain, en Belgique, un homme s'apprête à bouleverser cette certitude. Cet homme, c'est Georges Lemaître. Fait singulier : il est à la fois prêtre catholique et brillant physicien.Lemaître lit avec passion les travaux d'Einstein sur la relativité générale. En parallèle, il suit avec intérêt les observations de certains astronomes, qui montrent que la lumière des galaxies lointaines semble « tirée » vers le rouge : un indice que ces galaxies s'éloignent. Alors, une idée surgit : et si l'univers tout entier était en expansion ?En 1927, il publie une hypothèse qui va faire scandale. Si l'univers s'agrandit aujourd'hui, c'est qu'en remontant le temps, il devait être jadis concentré en un seul point, incroyablement dense et chaud. Lemaître parle d'« atome primitif » : une minuscule graine contenant toute la matière et l'énergie, avant de se fragmenter pour donner naissance au cosmos. C'est la première ébauche de ce qu'on appellera, bien plus tard, le Big Bang.La communauté scientifique est partagée. Einstein lui-même, lorsqu'il découvre cette théorie, admet qu'elle est « élégante », mais il n'y croit pas. Et en 1949, un rival, Fred Hoyle, qui défendait l'idée d'un univers éternel, se moque à la radio en parlant de « Big Bang ». Un sobriquet ironique… qui deviendra le nom officiel.Mais il y a un détail qui intrigue le grand public : Lemaître est prêtre. Un homme de foi qui propose une origine à l'univers ? Cela ressemble trop à la Création racontée par la Bible. Le Vatican s'en réjouit et tente même de faire de cette théorie une confirmation scientifique de la Genèse. Mais Lemaître s'y oppose fermement. Pour lui, la science explique le « comment » du monde, et la religion le « pourquoi ». Jamais il ne voulait que ses équations servent de preuve théologique.La suite appartient à l'histoire. En 1965, deux ingénieurs américains découvrent par hasard un bruit étrange capté par leur antenne. Ce « bruit », c'est en réalité le rayonnement fossile, l'écho lumineux de l'explosion initiale. Dès lors, la théorie de Lemaître devient incontournable.Ainsi, derrière l'une des idées les plus révolutionnaires du XXᵉ siècle se cache un homme à la double vocation. Un savant qui, en conciliant rigueur scientifique et foi personnelle, a montré que les chemins de la vérité pouvaient se croiser… sans jamais se confondre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez écouter une symphonie, et soudain, chaque note fait jaillir une couleur précise. Un do aigu devient un jaune éclatant, un sol grave se teinte de bleu profond. Pour certaines personnes, cette expérience n'est pas une métaphore poétique mais une réalité neurologique : elles vivent ce que l'on appelle la synesthésie, et plus précisément la chromesthésie, c'est-à-dire la capacité à “voir” la musique en couleur.Ce phénomène intrigant a fasciné aussi bien les artistes que les scientifiques. Contrairement à une simple association d'idées, il s'agit d'une perception automatique et stable dans le temps. Un synesthète qui associe le piano à une lueur dorée percevra cette nuance encore et encore, chaque fois que l'instrument résonnera. Mais pourquoi ce câblage particulier du cerveau existe-t-il chez certaines personnes et pas chez d'autres ?Les neurosciences avancent deux grandes explications. La première est celle de l'hyper-connectivité. Normalement, pendant l'enfance, les connexions neuronales “en trop” entre les différentes aires sensorielles s'élaguent progressivement. Chez les synesthètes, certaines de ces passerelles persistent, notamment entre les zones auditives et la fameuse aire V4, spécialisée dans la perception des couleurs. Résultat : une note de musique active non seulement le cortex auditif, mais déclenche aussi une réponse visuelle colorée. La seconde hypothèse repose sur un mécanisme de rétroaction désinhibée : ici, des régions dites multimodales, qui intègrent plusieurs sens, enverraient un signal visuel à partir d'un stimulus sonore, donnant naissance à ces visions colorées.Une étude emblématique, menée par Ward, Huckstep et Tsakanikos en 2006, a mis ce phénomène à l'épreuve. Les chercheurs ont recruté des personnes synesthètes et les ont comparées à un groupe contrôle. Résultat : quand on leur présentait des sons purs, les synesthètes associaient toujours les mêmes teintes, avec une cohérence remarquable. Mieux encore, leurs couleurs n'étaient pas de simples inventions volontaires : lors de tests de type Stroop, où l'on compare la rapidité de reconnaissance entre couleurs congruentes ou non, leurs réponses montraient que ces perceptions étaient automatiques et pouvaient interférer avec leur attention. Autrement dit, leur cerveau “voit” vraiment la musique.Cette expérience révèle aussi quelque chose d'universel : même les non-synesthètes ont tendance à associer sons aigus et couleurs claires, sons graves et teintes sombres. La différence, c'est que chez la majorité, cette correspondance reste implicite, presque inconsciente, alors que chez les synesthètes elle devient une perception consciente et constante.Ainsi, voir la musique en couleur n'est pas une fantaisie d'artiste, mais le fruit d'un câblage particulier du cerveau. Un croisement sensoriel qui transforme chaque mélodie en une fresque lumineuse, rappelant que notre perception du monde n'est pas figée mais peut varier de façon spectaculaire d'un individu à l'autre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je pense qu'il faut beaucoup de courage pour abandonner une course ou un défi que l'on avait mis à son programme. Vous avez votre dossard mais vous vous demandez si vous y aller ? C'est toujours difficile de renoncer même si ça parait logique. Voilà pourquoi il faut quelques arguments pour s'auto-convaincre. Cet épisode vous donne justement quelques questions de préparation mentale pour vous aider à faire ce choix.Liens Le formulaire pour poser vos questions : https://tally.so/r/3yBqXWTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/373
Imaginez une bibliothèque immense, remplie de millions de livres. Pendant des siècles, les humains y ont déposé leurs histoires, leurs savoirs, leurs idées. Puis, un jour, des machines ont commencé à écrire elles aussi. Et peu à peu, sans qu'on s'en rende compte, ces machines se sont mises à lire… leurs propres livres. C'est exactement ça, ce qu'on appelle la consanguinité de l'intelligence artificielle.Au départ, les grands modèles comme ChatGPT ou Claude ont été entraînés sur des données humaines : articles de presse, forums, romans, encyclopédies, photos, vidéos. Une matière brute riche, variée, imparfaite mais authentique. Mais aujourd'hui, Internet est saturé de contenus générés par IA : textes, images, musiques. Et quand les nouvelles IA s'entraînent à leur tour, elles aspirent forcément une partie de ces contenus artificiels.Le problème, c'est que ça crée une boucle fermée. En biologie, quand un groupe vit en vase clos et se reproduit entre lui, la diversité génétique s'appauvrit. On parle de consanguinité. Dans l'IA, c'est pareil : les modèles se nourrissent de leurs propres productions, et la diversité de leurs “idées” s'amenuise.Les chercheurs observent déjà les dangers :Appauvrissement des données : les textes produits par IA ont tendance à être plus lisses, plus standardisés. S'ils deviennent la norme, la richesse du langage décline.Amplification des erreurs : si une IA se trompe et qu'une autre apprend de cette erreur, la faute se propage comme un virus.Perte de créativité : à force de recycler les mêmes tournures et structures, les modèles finissent par répéter sans innover.Et pire encore : certains scientifiques parlent de “model collapse”, un effondrement progressif où les IA produiraient des contenus incohérents, inutilisables.Alors, que faire ? Une piste consiste à filtrer les données pour limiter l'entraînement sur du contenu artificiel. Une autre idée est de créer des “réserves” de savoir humain : des bibliothèques numériques protégées, un peu comme des banques de semences pour préserver la biodiversité, mais appliquées à la culture et au langage.La question est cruciale, car plus l'IA avance, plus elle produit, et plus elle risque de s'auto-alimenter. Si on n'y prend pas garde, nous pourrions finir avec des machines qui parlent beaucoup… mais qui n'ont plus grand-chose à dire.Alors, la prochaine fois que vous lisez un texte impeccable mais sans saveur, demandez-vous : est-ce la voix d'un humain… ou l'écho d'une machine qui n'a lu que ses propres mots ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment surmonter les limites de l'école et transformer les défis de l'école en opportunités d'apprentissage pour votre enfant ? Dans cet épisode de Princesse Montessori, Xénia Troubetzkoï nous guide à travers les complexités du système éducatif. Elle nous rappelle que l'école, bien qu'elle offre un cadre structuré, peut parfois devenir un obstacle à l'épanouissement de nos enfants. Mais pas de panique ! Princesse Montessori est là pour vous aider à naviguer dans cet environnement tout en maximisant les forces qu'il offre. Xénia partage des STRATÉGIES CONCRÈTES pour les parents, afin de transformer l'expérience scolaire de leurs enfants. Comment identifier les enseignants qui soutiennent réellement l'apprentissage ? Quelles ressources peuvent compléter l'éducation traditionnelle ? Comment encourager l'AUTONOMIE de votre enfant tout en respectant les limites imposées par l'école ? Ces questions trouvent des réponses pratiques dans cet épisode captivant. Nous savons que l'école a ses avantages : elle impose des échéances, offre un cadre et favorise la socialisation. Cependant, la LOGIQUE DE MASSE peut parfois nuire à l'apprentissage individuel. Xénia nous encourage à prendre des mesures proactives pour compenser ces faiblesses. En identifiant les ressources qui s'alignent avec les besoins de votre enfant, vous pouvez créer un environnement d'apprentissage plus ÉFFICACE et enrichissant. En fin d'épisode, Xénia nous propose un GESTE SIMPLE à mettre en œuvre dès aujourd'hui. Ce geste peut transformer l'ambiance de travail à la maison, rendant l'apprentissage plus agréable et productif. Imaginez un foyer où votre enfant se sent soutenu, encouragé et prêt à relever les défis scolaires avec confiance ! Ne manquez pas cet épisode de Princesse Montessori, où nous explorons comment les parents peuvent tirer parti des forces de l'école tout en contournant ses limites. Rejoignez-nous pour découvrir des outils pratiques qui vous aideront à soutenir votre enfant sur le chemin de l'apprentissage. Ensemble, faisons de l'éducation une aventure passionnante et enrichissante !
Dans cet épisode de Beau Voyage, on a la chance de recevoir un invité exceptionnel, le plus grand photographe animalier français ! Imaginez un jeune diplômé d'école de commerce qui abandonne tout pour vivre sa grande passion : photographier les animaux les plus rares et les plus dangereux de notre planète. C'est l'histoire extraordinaire de Mathieu Courdesses, qui à seulement 30 ans est devenu l'un des photographes animaliers français les plus connus au monde.Mathieu nous raconte comment sa vie a basculé lors d'un premier voyage en Namibie à 8 ans, puis comment il a réussi l'impossible en convainquant le gouvernement rwandais de le laisser seul avec les gorilles des montagnes. Vous découvrirez ses débuts rocambolesques comme "traducteur" au Botswana à 19 ans alors qu'il ne parlait pas un mot d'anglais, et comment il bluffait les touristes avec ses connaissances animalières jusqu'à ce qu'un professeur d'anglais démasque sa supercherie.Il reviendra sur ses meilleurs souvenirs comme la photo de cette louve au Canada qui continue de le réveiller la nuit tant elle le bouleverse, ou encore ces moments magiques avec des bébés chimpanzés rescapés du braconnage qui grimpaient sur ses épaules comme s'il était leur grand frère. Il nous fait même entendre ses "conversations" avec les gorilles, ses rugissements avec les lions et ses imitations d'hippopotames.Entre passion et danger, Mathieu révèle ses techniques pour approcher les animaux sans jamais se mettre en péril, explique comment il gère les charges d'intimidation des éléphants et partage cette nuit terrifiante dans le désert namibien où des touristes se sont perdus. Ses projets futurs nous font rêver, de son retour programmé auprès de "sa" première famille de gorilles six ans après leur première rencontre, à son enquête sur le mystérieux cas des populations d'ours polaires, en passant par son rêve de documenter la "diplomatie du panda" orchestrée par le gouvernement chinois.Un épisode incroyable dans lequel nous avons parlé d'aventure, d'émotion et de beauté sauvage.Son dernier livre photo est sorti et il est magnifique, pour le commander c'est par ici : https://dashbook.fr/book/orange-wildRetrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque année en France, environ une personne sur 10 000 est victime d'un AVC… de l'œil. Oui, vous avez bien entendu : pas du cerveau, mais de l'œil. Une pathologie rare, mais grave, qui peut rendre aveugle en quelques heures si elle n'est pas prise en charge immédiatement. Alors, qu'est-ce que c'est exactement ? Et surtout, comment repérer les signes d'alerte ?ExplicationUn AVC de l'œil, ou occlusion de l'artère centrale de la rétine, survient lorsque la circulation sanguine qui nourrit la rétine est brutalement interrompue. La rétine, c'est ce tissu ultra-sensible au fond de l'œil, un peu comme la “pellicule” de notre vision. Privée d'oxygène, elle se détériore très vite. En quelques heures, le dommage peut devenir irréversible.Les signes à repérerComment ça se manifeste ?Le symptôme typique, c'est une perte de vision brutale et indolore, souvent d'un seul œil. Imaginez : votre champ visuel devient soudainement noir, ou une grande ombre apparaît comme un rideau qu'on tire devant l'œil.Parfois, la baisse de vision est partielle, avec une sensation de flou ou de voile. Mais le point clé, c'est la rapidité : tout bascule en quelques minutes, sans douleur. Et si ces signes apparaissent, c'est une urgence absolue.Les causesPourquoi cela arrive-t-il ?Dans la majorité des cas, il s'agit d'un caillot de sang qui bloque l'artère de la rétine. Ce caillot peut venir du cœur, des carotides, ou se former sur place. Les facteurs de risque ressemblent beaucoup à ceux des AVC cérébraux : hypertension artérielle, diabète, excès de cholestérol, tabac, ou encore troubles du rythme cardiaque. Autrement dit, ce n'est pas un accident isolé, mais souvent le reflet d'un problème cardiovasculaire plus global.Prise en chargeQue faire ?Si vous ou un proche perdez brutalement la vision d'un œil, il faut appeler immédiatement le 15, comme pour un AVC classique. Plus la prise en charge est rapide, plus les chances de sauver la vision augmentent. Dans certains cas, un traitement visant à dissoudre le caillot ou à rétablir la circulation peut être proposé, mais la fenêtre de temps est extrêmement courte : souvent moins de 6 heures.Pourquoi c'est important d'en parlerParce qu'on connaît bien les signes de l'AVC cérébral — le visage qui s'affaisse, les troubles de la parole, la paralysie d'un bras — mais beaucoup ignorent qu'un AVC peut aussi toucher l'œil. Pourtant, l'urgence est la même.ConclusionAlors retenons bien : une perte de vision brutale, indolore, surtout d'un seul œil, c'est un signe d'alarme. Ce n'est pas “un problème passager” ou “un coup de fatigue visuelle”. C'est potentiellement un AVC de l'œil. Et dans ce cas, chaque minute compte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez plutôt : un salon avec du fromage à perte de vue… Bienvenue à la 7e édition du Mondial du Fromage et des produits laitiers. Allons sur place à la rencontre des exposants. Vous entendrez : Le CIFCA, Centre interprofessionnel de formation des commerces de l’alimentation : devenir crémier-fromager Gwenolène Gravez, La Ferme du Pont […] L'article La Méridienne – Au Mondial du Fromage 2025 est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Imaginez : vous lancez une application dans un minuscule bureau parisien… et quelques années plus tard, vous voilà à New York, en train de défier le plus grand marché du monde.C'est l'histoire de Julie Chapon, fondatrice de Yuka, l'application qui a révolutionné notre manière de consommer et qui compte aujourd'hui plus de 40 millions d'utilisateurs.Dans cet épisode, Julie m'a raconté sans détour :comment on passe d'une entreprise française à une conquête internationale,les coulisses de la pression permanente à “faire comme tout le monde”, lever toujours plus de fonds, viser toujours plus de croissance,et pourquoi elle a choisi un chemin singulier, celui de l'impact avant tout.On parle aussi de son installation aux États-Unis, de ce qu'elle a découvert dans le business et le management à l'international, mais aussi de sujets plus intimes : sa gestion de l'énergie, son organisation personnelle et ses rituels du quotidien.Une plongée dans l'aventure d'une entrepreneure qui a décidé de réinventer les règles du jeu.Bonne écoute !Notes et références de l'épisode :
Imaginez un Wi-Fi capable de franchir les murs, là où les ondes les plus courtes se brisent d'ordinaire. C'est la promesse qu'esquissent des chercheurs de Princeton, qui viennent de tester avec succès un faisceau “Airy” piloté par intelligence artificielle. Leur découverte pourrait ouvrir la voie à un successeur crédible du Wi-Fi 7, alors que la bande sous-térahertz s'impose comme le nouvel eldorado du sans-fil.Dans leur expérience, un réseau neuronal a appris à sculpter l'onde radio pour lui faire suivre une trajectoire courbe, un peu comme une balle liftée au tennis. Résultat : le signal contourne un obstacle en temps réel, sans s'effondrer. Trois microsecondes suffisent au système pour réagir lorsqu'un passant s'interpose. Une réactivité permise par une approche « informée par la physique » qui évite des calculs trop lourds. Concrètement, de simples modules actifs de metasurface reconfigurent phase et amplitude du signal, sans miroir ni mécanique complexe. Les résultats impressionnent : là où un balayage classique perd des dizaines de décibels, le lien reste stable, même hors champ visible. L'essai a été mené à 120 GHz, une fréquence clé pour la prochaine génération de Wi-Fi. Pour passer du laboratoire aux box domestiques, deux défis demeurent : miniaturiser ces plaques actives et réduire leur consommation. Le saut de performance, lui, fait rêver. Quand le Wi-Fi 7 plafonne à 46 gigabits par seconde sur un canal de 320 MHz, la bande sous-térahertz ouvre la perspective de débits au téraoctet par seconde. De quoi envisager des usages aujourd'hui hors de portée : réalité virtuelle sans câble, streaming en 16K, robotique collaborative. Ici, ce n'est plus la portée qui compte, mais la stabilité du lien à courte distance. Si le marché suit, les premiers routeurs capables de “plier” leurs ondes pourraient apparaître d'ici la fin de la décennie. Reste à standardiser les algorithmes, adapter les protocoles WLAN et produire des metasurfaces abordables. En attendant, une chose est sûre : dans le futur du Wi-Fi, les murs ne feront plus la loi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi il est si difficile de dire NON ? Dans cet épisode captivant de Princesse Montessori, Xénia Troubetzkoï nous plonge dans l'art souvent négligé de refuser des demandes. Elle révèle que de nombreuses personnes, et en particulier les femmes, se sentent piégées par des attentes sociales et un désir de bienveillance, ce qui les empêche de prendre soin de leurs propres besoins. Xénia partage des réflexions profondes sur l'importance de savoir dire NON de manière RESPECTUEUSE. Elle nous rappelle que refuser n'est pas un acte égoïste, mais un geste essentiel pour préserver notre temps, notre énergie et nos projets personnels. En effet, ne pas savoir dire NON peut mener à des frustrations tant personnelles que professionnelles. Qui n'a jamais sacrifié ses propres aspirations pour satisfaire les demandes des autres ? Dans cet épisode, vous découvrirez :Les raisons pour lesquelles il est si difficile de dire NON. Les conséquences négatives de l'incapacité à refuser. Des STRATÉGIES efficaces pour refuser poliment tout en exprimant EMPATHIE et COMPRÉHENSION. Des conseils pratiques pour s'entraîner à dire NON dans des situations peu importantes, afin de gagner en confiance. Xénia encourage tous les auditeurs à se libérer des chaînes de la conformité et à affirmer leurs besoins. En apprenant à dire NON, vous pouvez NON seulement protéger votre temps, mais aussi créer des relations plus authentiques et équilibrées.Imaginez un monde où vous pouvez exprimer vos limites sans culpabilité ! Rejoignez-nous dans cet épisode enrichissant de Princesse Montessori et transformez votre manière d'interagir avec les autres. Apprenez à dire NON avec assurance et respect, et ouvrez la voie à une vie plus épanouissante. Ne laissez pas les attentes des autres définir qui vous êtes. Écoutez maintenant et commencez votre voyage vers l'affirmation de soi !
Et si les vagues devenaient des centrales électriques ? C'est le pari d'Eco Wave Power, une start-up israélienne qui teste actuellement en Californie une technologie aussi simple qu'astucieuse. Imaginez une jetée couverte de flotteurs qui montent et descendent au rythme des vagues, comme des touches de piano. Reliés à des pistons hydrauliques, ils compriment un fluide biodégradable, stocké dans des accumulateurs ressemblant à de grosses bouteilles de plongée. La pression libérée actionne ensuite une turbine, et produit de l'électricité. Un projet pilote, encore modeste, mais qui pourrait changer d'échelle : recouvrir la jetée de 13 kilomètres du port de Los Angeles avec des centaines de flotteurs permettrait, selon la cofondatrice Inna Braverman, d'alimenter près de 60 000 foyers. De quoi séduire une Californie où la demande énergétique explose, portée notamment par l'essor de l'intelligence artificielle.L'idée n'est pas neuve : exploiter l'énergie des vagues, colossale et quasi continue, fait rêver depuis des décennies. Sur le papier, les seules vagues de la côte Ouest américaine pourraient couvrir un tiers de la production d'électricité du pays. Mais dans la pratique, l'histoire de l'énergie houlomotrice est jalonnée d'échecs. Installés en pleine mer, les dispositifs finissent souvent brisés par les tempêtes, ou deviennent impossibles à rentabiliser à cause des frais de maintenance. C'est là qu'Eco Wave Power joue sa carte maîtresse : un système fixé directement aux infrastructures portuaires. Quand la mer se déchaîne, les flotteurs se rétractent automatiquement, évitant les dégâts. Une simplicité qui séduit même des experts sceptiques. “Placer le dispositif au bord du rivage, accessible à pied pour la maintenance, a beaucoup de sens”, estime le professeur Krish Thiagarajan Sharman de l'Université du Massachusetts.Reste une limite : toutes les villes côtières ne disposent pas d'une jetée aussi longue que Los Angeles. Pour certains, la technologie restera donc cantonnée à des usages de niche, comme l'alimentation d'îles isolées. Mais Eco Wave Power voit plus grand : Israël alimente déjà 100 foyers grâce à ses flotteurs, le Portugal et Taïwan suivront bientôt. L'entreprise rêve de projets capables de rivaliser avec l'éolien, tout en affirmant un impact nul sur l'écosystème marin. La promesse est ambitieuse : transformer un éternel “serpent de mer” en une énergie d'avenir. Et cette fois, les vagues pourraient bien faire bouger les lignes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez : vous lancez une application depuis un petit bureau parisien, et un jour, sans prévenir, tout explose… à l'autre bout du monde.C'est exactement ce qui est arrivé à Julie Chapon, fondatrice de Yuka. Après des débuts difficiles aux États-Unis, une simple vidéo TikTok, postée par une adolescente sans influence particulière, change la donne et propulse l'application sur le devant de la scène.Dans cet extrait, Julie raconte ce moment inattendu, l'effet boule de neige qui a suivi, mais aussi les défis humains derrière le succès : une équipe marquée par le Covid, la perte de dynamique au bureau, et ce fameux soir où, presque sur un ton de blague, est née l'idée de s'installer… aux États-Unis.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Imaginez une grande table au XVIᵉ siècle. Des mets somptueux, des coupes de vin, des convives élégants… mais pas de fourchette. Oui, vous m'avez bien entendu. On mange avec les doigts, parfois avec un couteau, mais cet ustensile si familier aujourd'hui est encore absent des tables françaises.Alors, comment la fourchette a-t-elle fait son entrée dans notre pays ? Et surtout, quel roi, un peu excentrique, a osé imposer cet objet qui allait transformer nos repas ?Une invention venue de loinLa fourchette n'est pas née en France. Elle apparaît dès le XIᵉ siècle dans l'Empire byzantin. À Constantinople, les aristocrates l'utilisent pour éviter de se salir les doigts en goûtant des plats délicats. L'Italie, toujours proche des échanges méditerranéens, adopte plus tôt cet ustensile, qui se glisse dans les cours princières de Venise et de Florence.Mais en France ? Rien. L'idée choque. Manger sans toucher la nourriture ? Inconcevable ! La fourchette est jugée inutile, artificielle, voire ridicule.L'arrivée à la cour de FranceC'est finalement au XVIᵉ siècle que la France découvre la fourchette. Et l'homme qui la fait entrer dans les usages de la cour, c'est… Henri III.Roi élégant, raffiné, souvent critiqué pour ses manières jugées trop efféminées par ses contemporains, Henri III est séduit par la mode italienne. Lors d'un séjour à Venise, il découvre cet étrange ustensile à deux dents. Fasciné, il décide de l'adopter et de l'imposer à sa table en France.Un roi moqué, mais en avance sur son tempsLe choix ne passe pas inaperçu. Les chroniqueurs rapportent que certains courtisans se moquent ouvertement de lui. Pour beaucoup, la fourchette est le signe d'un raffinement excessif, presque d'une faiblesse. Pourquoi se compliquer la vie avec un objet de métal alors que les doigts suffisent depuis toujours ?Mais Henri III persiste. Par goût du raffinement, mais aussi par souci d'hygiène : ne pas plonger ses mains dans la nourriture est, après tout, plus propre. Peu à peu, certains nobles imitent le roi, par snobisme autant que par curiosité.Une lente conquêteLa diffusion reste cependant très lente. Il faudra encore plus d'un siècle avant que la fourchette ne s'impose vraiment en France, sous Louis XIV, dans une cour où l'art de la table devient un véritable spectacle.Mais Henri III restera celui qui a osé franchir le pas, introduisant en France un petit objet qui allait changer notre rapport à la nourriture.ConclusionAlors, la prochaine fois que vous tiendrez une fourchette, pensez à ce roi mal-aimé, au style un peu extravagant, qui a su imposer, contre vents et moqueries, l'un des symboles les plus universels de la table moderne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous voulez que vos enfants apprennent facilement les tables de multiplication ? Dans cet épisode captivant de "Princesse Montessori", Xénia Troubetzkoï partage des TECHNIQUES SIMPLES et EFFICACES pour aider les parents à gérer les devoirs scolaires dont l'apprentissage de la table de multiplication. Ces moments difficiles seront transformé en jeu grâce à une stratégie bien pensée. Xénia nous propose une MÉTHODE LUDIQUE pour apprendre la table de multiplication. Oubliez le bachotage ennuyeux ! Avec un JEU AMUSANT impliquant des cartes, vos enfants pourront jouer ensemble et rendre l'apprentissage INTERACTIF et AGRÉABLE. Imaginez les sourires sur leurs visages alors qu'ils répondent rapidement à des questions de multiplication tout en s'amusant ! Dans cet épisode, vous découvrirez : Comment préparer les cartes pour le jeuDes astuces pour organiser une séance de jeu réussieLes bénéfices de l'apprentissage ludique sur les relations entre frères et sœursXénia souligne l'importance de RENDRE L'APPRENTISSAGE AMUSANT pour les enfants, car cela favorise leur engagement et leur curiosité. En intégrant ces méthodes dans votre quotidien, vous pourrez transformer les moments d'apprentissage en véritables instants de JOIE et de PARTAGE. À la fin de l'épisode, Xénia encourage tous les auditeurs à laisser un AVIS POSITIF pour soutenir le podcast. Chaque retour compte et aide à faire grandir cette communauté de parents désireux d'apprendre et d'évoluer ensemble. Ne manquez pas cet épisode enrichissant de "Princesse Montessori", où éducation rime avec plaisir et où chaque parent peut trouver des solutions adaptées à son quotidien. Rejoignez-nous pour découvrir comment rendre l'éducation plus douce et plus efficace !
Aujourd’hui dans le BOOST ! Gabin ça : Gab ne parle plus à sa blonde… Vous avez sûrement déjà fait une erreur de GPS ? Imaginez la même affaire… mais avec un vol d’avion ! Qu’est-ce que tu empruntes toujours aux autres ? Plusieurs Estriens nous représentent dans les camps d’entraînement à travers la LNH… Bonne écoute
Dans cet épisode de Le Tilt, votre podcast sur la reconversion, le développement professionnel et les nouvelles formes de travail, je vous emmène à la découverte d'une organisation encore méconnue en France, mais aux bénéfices multiples : le job sharing.Imaginez un poste occupé non pas par une, mais par deux personnes. Deux cerveaux qui œuvrent à une mission commune, via une seule voix.Concrètement, le job sharing, ou partage de poste, consiste à diviser un poste à temps plein entre deux personnes, avec des responsabilités partagées, des horaires complémentaires, et un temps de recouvrement pour transmettre les dossiers, co-créer et avancer ensemble.Mes invitées : Léna Basile et Florence Pawlowski, praticiennes et accompagnantes du job sharing, à la croisée du salariat, du management collaboratif et des nouveaux modèles RH. Elles nous racontent son origine, son fonctionnement concret, ses conditions de réussite… et pourquoi, selon elles, ce n'est pas un effet de mode.Car derrière le job sharing, se dessinent de vraies réponses à des enjeux profonds de l'entreprise :meilleure conciliation vie pro / vie persobaisse du burn out et de l'absentéismeengagement durable des talentsinnovation managérialecontinuité sur les postes clésdéveloppement personnel et collectif
durée : 00:03:44 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est une information qui tourne en boucle depuis une semaine à Séoul. Imaginez des hélicoptères, des dizaines de véhicules et des gros bras qui prennent d'assaut une gigantesque usine du constructeur automobile Hyundai en Géorgie Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:44 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est une information qui tourne en boucle depuis une semaine à Séoul. Imaginez des hélicoptères, des dizaines de véhicules et des gros bras qui prennent d'assaut une gigantesque usine du constructeur automobile Hyundai en Géorgie Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ambiance sonore : bourdonnement de métro, annonces lointaines, respirations lentes…« Imaginez-vous dans un métro japonais, vous sortez du wagon… et vous réalisez que ce n'est pas la bonne station. Vous marchez, et un couloir vide s'étire devant vous, parfaitement identique au précédent. Malgré vous, vous remarquez que quelque chose cloche. C'est ainsi que vous comprenez : vous êtes coincé dans une boucle sans fin. »Ce week-end, Exit 8 débarque au cinéma. Adapté d'un jeu d'horreur culte, ce thriller japonais promet de vous noyer dans une angoisse psychologique aussi claustrophobe que fascinante.2. Présentation du film Exit 8 (2 min)Réalisé par Genki Kawamura, sorti en 2025.Il suit un homme perdu dans un couloir de métro japonais sans issue : il doit repérer des « anomalies » pour espérer atteindre la sortie 8… sinon, il se retrouve au début.Inspiré du jeu vidéo homonyme, le film reprend l'atmosphère angoissante du jeu et l'étend avec des personnages (l'homme perdu, l'homme qui marche, l'enfant, la fillette…) et des distorsions temporellesTourné en décor reconstituant fidèlement le jeu, avec Ninomiya, l'acteur principal, impliqué dès l'écriture pour préserver l'âme du jeuUne bande-son oppressante, long plans-séquences immersifs, scénographie minimaliste… tout est pensé pour replonger les spectateurs dans le « walking simulator »D'ailleurs, son avant-première au TIFF et à Cannes (séance de minuit) a déjà fait de lui un des films d'horreur japonais les plus efficaces de l'année Fiche du film : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1000019746.htmlPour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:03:44 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est une information qui tourne en boucle depuis une semaine à Séoul. Imaginez des hélicoptères, des dizaines de véhicules et des gros bras qui prennent d'assaut une gigantesque usine du constructeur automobile Hyundai en Géorgie Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Imaginez une grande table au XVIᵉ siècle. Des mets somptueux, des coupes de vin, des convives élégants… mais pas de fourchette. Oui, vous m'avez bien entendu. On mange avec les doigts, parfois avec un couteau, mais cet ustensile si familier aujourd'hui est encore absent des tables françaises.Alors, comment la fourchette a-t-elle fait son entrée dans notre pays ? Et surtout, quel roi, un peu excentrique, a osé imposer cet objet qui allait transformer nos repas ?Une invention venue de loinLa fourchette n'est pas née en France. Elle apparaît dès le XIᵉ siècle dans l'Empire byzantin. À Constantinople, les aristocrates l'utilisent pour éviter de se salir les doigts en goûtant des plats délicats. L'Italie, toujours proche des échanges méditerranéens, adopte plus tôt cet ustensile, qui se glisse dans les cours princières de Venise et de Florence.Mais en France ? Rien. L'idée choque. Manger sans toucher la nourriture ? Inconcevable ! La fourchette est jugée inutile, artificielle, voire ridicule.L'arrivée à la cour de FranceC'est finalement au XVIᵉ siècle que la France découvre la fourchette. Et l'homme qui la fait entrer dans les usages de la cour, c'est… Henri III.Roi élégant, raffiné, souvent critiqué pour ses manières jugées trop efféminées par ses contemporains, Henri III est séduit par la mode italienne. Lors d'un séjour à Venise, il découvre cet étrange ustensile à deux dents. Fasciné, il décide de l'adopter et de l'imposer à sa table en France.Un roi moqué, mais en avance sur son tempsLe choix ne passe pas inaperçu. Les chroniqueurs rapportent que certains courtisans se moquent ouvertement de lui. Pour beaucoup, la fourchette est le signe d'un raffinement excessif, presque d'une faiblesse. Pourquoi se compliquer la vie avec un objet de métal alors que les doigts suffisent depuis toujours ?Mais Henri III persiste. Par goût du raffinement, mais aussi par souci d'hygiène : ne pas plonger ses mains dans la nourriture est, après tout, plus propre. Peu à peu, certains nobles imitent le roi, par snobisme autant que par curiosité.Une lente conquêteLa diffusion reste cependant très lente. Il faudra encore plus d'un siècle avant que la fourchette ne s'impose vraiment en France, sous Louis XIV, dans une cour où l'art de la table devient un véritable spectacle.Mais Henri III restera celui qui a osé franchir le pas, introduisant en France un petit objet qui allait changer notre rapport à la nourriture.ConclusionAlors, la prochaine fois que vous tiendrez une fourchette, pensez à ce roi mal-aimé, au style un peu extravagant, qui a su imposer, contre vents et moqueries, l'un des symboles les plus universels de la table moderne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On aime croire que nos yeux fonctionnent comme des caméras et que notre cerveau nous transmet le monde tel qu'il est, instantanément. Mais ce n'est qu'une illusion. Selon une étude récente menée par des chercheurs de l'Université d'Aberdeen en Écosse et de l'Université de Californie à Berkeley, publiée dans Science Advances, notre cerveau accuse un léger retard… et vit en réalité dans le passé.Une illusion visuelle constanteLes chercheurs ont mis en lumière un phénomène fascinant : notre perception repose sur une illusion visuelle naturelle, permanente. Concrètement, plutôt que de traiter chaque image nouvelle dès qu'elle apparaît, notre cerveau s'appuie sur les 15 dernières secondes d'informations visuelles pour créer une représentation fluide et stable de notre environnement. Cela signifie que ce que vous voyez au moment précis où vous m'écoutez n'est pas l'instant présent, mais une reconstruction moyenne du passé récent.Pourquoi ce décalage ?Ce mécanisme a une fonction essentielle. Le monde visuel est chaotique : des objets bougent, la lumière change, des ombres apparaissent. Si le cerveau réagissait en temps réel à chaque micro-changement, notre perception serait instable, hachée, et nous serions incapables d'agir avec fluidité. En intégrant les signaux sur une quinzaine de secondes, notre cerveau fait du “lissage temporel”. Il sacrifie la précision de l'instant au profit d'une continuité confortable et exploitable.Les preuves expérimentalesPour démontrer ce phénomène, les chercheurs ont utilisé des images dont certains détails changeaient progressivement. Résultat : les participants ne remarquaient souvent pas ces changements subtils, car leur cerveau fusionnait l'image présente avec celles des secondes précédentes. C'est ce qu'on appelle l'« effet de continuité ». En d'autres termes, notre cerveau choisit la cohérence plutôt que la fidélité immédiate.Un paradoxe utileCette découverte peut sembler dérangeante : nous ne vivons jamais exactement dans le présent, mais avec un léger retard. Pourtant, ce délai est un avantage. Imaginez conduire une voiture. Si votre cerveau réagissait en temps réel aux moindres variations de la route ou de la luminosité, votre vision serait saccadée et vos réactions désordonnées. Grâce à cette fenêtre de 15 secondes, vous bénéficiez d'une vision stable, qui vous permet de prendre des décisions efficaces.ConclusionL'étude d'Aberdeen et de Berkeley change notre façon de penser la perception. Ce que nous voyons n'est pas une retransmission en direct, mais une construction mentale basée sur le passé proche. En somme, nous vivons toujours avec un quart de minute de retard… et c'est précisément ce décalage qui rend notre expérience du monde cohérente et supportable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous l'avez sûrement déjà ressenti : en passant à côté d'une voiture noire garée en plein soleil, une véritable bouffée de chaleur vous enveloppe. Eh bien, ce n'est pas une illusion. Une équipe de chercheurs de l'université de Lisbonne, menée par Márcia Matias, vient de le démontrer dans une étude publiée dans City and Environment Interactions.Pendant plus de cinq heures, deux voitures – l'une noire, l'autre blanche – ont été observées sous un soleil estival et une température ambiante de 36 °C. Résultat : la voiture noire faisait grimper la température de l'air environnant jusqu'à 3,8 degrés de plus que l'asphalte voisin. À l'inverse, la voiture blanche avait un impact bien moindre. L'explication est simple : les couleurs n'absorbent pas la lumière de la même façon. Le blanc réfléchit jusqu'à 85 % de l'énergie solaire, quand le noir n'en renvoie que 10 % au maximum. Or, la carrosserie métallique d'une voiture chauffe beaucoup plus vite que le bitume, transformant chaque véhicule sombre en véritable radiateur urbain.Imaginez maintenant des milliers de voitures garées dans une grande ville. Chacune peut devenir soit une source de chaleur supplémentaire, soit un petit bouclier thermique. Selon Márcia Matias, repeindre les véhicules en clair pourrait réduire significativement la chaleur ressentie lors des journées étouffantes. À Lisbonne, par exemple, une telle stratégie permettrait de doubler la réflectivité des rues, en passant de 20 % à près de 40 %. Des villes comme Miami, Baltimore ou Barcelone installent déjà des capteurs pour comprendre comment la chaleur se répartit dans leurs rues. Les écarts entre deux quartiers voisins peuvent atteindre trois degrés. Ces différences, loin d'être anecdotiques, influencent directement la qualité de vie et les stratégies d'adaptation au réchauffement. Jusqu'ici, les recherches s'étaient concentrées sur la couleur des toits et des trottoirs. Cette fois, ce sont les voitures qui entrent en jeu. Les chercheurs suggèrent de cibler en priorité les flottes publiques, les taxis et les utilitaires de livraison. Une piste simple, peu coûteuse et écologique pour aider nos villes à respirer… à condition, bien sûr, de changer de couleur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez la Normandie du XVIIᵉ siècle. Des campagnes verdoyantes, des petits bourgs, et soudain… la colère qui gronde. En 1639, les paysans normands se soulèvent. On appellera cet épisode la révolte des Nu-pieds. Pourquoi ce nom ? Parce que ces insurgés, souvent modestes, se battaient pieds nus, symbole de leur misère mais aussi de leur détermination.Un impôt qui met le feu aux poudresLe contexte est tendu. La France est engagée dans la terrible guerre de Trente Ans. Pour financer l'effort militaire, la monarchie a besoin d'argent, toujours plus d'argent. Et quand il faut remplir les caisses, la solution est simple : augmenter les impôts. En Normandie, la cible est la gabelle, l'impôt sur le sel.Or, jusqu'ici, la région bénéficiait d'un régime fiscal plus léger. Quand la Couronne décide d'alourdir la taxe, c'est la goutte de trop. Pour les paysans, les artisans, même certains notables, le sel n'est pas un luxe : c'est une nécessité quotidienne. Le nouveau prélèvement est vécu comme une injustice criante.Le roi des Nu-piedsLa révolte éclate à Avranches et se répand comme une traînée de poudre. À la tête des insurgés, un avocat local, Jean Quetil, bientôt surnommé le roi des Nu-pieds. Des milliers d'hommes, mais aussi de femmes et d'enfants, prennent part au soulèvement. Ils s'attaquent aux bureaux de la gabelle, malmènent les collecteurs, brûlent les registres. Le message est clair : assez d'impôts, assez de contraintes venues de Paris.Richelieu contre la NormandieMais à Paris, on ne plaisante pas avec la contestation. Le cardinal de Richelieu, tout-puissant ministre de Louis XIII, envoie les grands moyens. Le chancelier Pierre Séguier et des troupes commandées par le maréchal de Gassion débarquent en Normandie. Très vite, l'armée royale reprend la main.La répression est terrible. Des exécutions publiques sont organisées pour l'exemple, des villages incendiés. La violence est telle que la révolte est étouffée en quelques mois à peine.Plus qu'une simple jacquerieAlors, que retenir ? Bien sûr, les Nu-pieds ont perdu. Mais leur combat révèle un malaise profond : celui d'un peuple qui accepte mal l'impôt, surtout quand il paraît arbitraire et inégal. Comme l'explique l'historien Jean Nicolas, ce n'était pas une jacquerie isolée, mais un épisode d'un cycle plus vaste de révoltes antifiscales qui ponctuent tout le XVIIᵉ siècle.Un héritage de résistanceAujourd'hui encore, la révolte des Nu-pieds reste dans la mémoire comme l'un de ces moments où des communautés locales ont osé défier le pouvoir central. Elle raconte la difficulté d'un État qui, en cherchant à se renforcer, s'est souvent heurté à la résistance de ses sujets.En somme, les Nu-pieds n'étaient pas seulement des paysans en colère : ils étaient les porte-voix d'une société qui refusait de se laisser écraser par l'impôt et par la monarchie absolue naissante. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous commencez chaque lundi plein d'énergie, mais dès le jeudi, vous êtes déjà épuisé ? Ce nouvel épisode de mon podcast est là pour vous aider à maintenir un niveau d'énergie constant tout au long de la semaine, sans finir sur les rotules le vendredi.
Savez-vous que les couleurs que nous utilisons au quotidien peuvent être issues de la nature elle-même ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert La voix de la couleur végétale et des plantes tinctoriales, plongez dans le monde fascinant de la teinture végétale avec notre hôte, Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par les plantes tinctoriales. Elle nous guide à travers un voyage coloré, où la couleur végétale s'invite dans des domaines variés tels que le textile, l'ameublement, l'artisanat et la décoration.Rejoignez-nous pour une discussion captivante avec notre invitée, Estelle Defrance, qui présente le projet Gréouet. Ce projet innovant explore le potentiel bioactif d'extraits de plantes pour des applications cosmétiques. Estelle dévoile les résultats de ses recherches sur les capacités antioxydantes de divers extraits végétaux, mettant en lumière leur utilisation potentielle dans les formulations cosmétiques. Imaginez utiliser des colorants biosourcés comme l'indigo ou la garance pour non seulement embellir votre peau, mais aussi pour contribuer à une agriculture durable !Dans cet épisode, nous soulignons l'importance de valoriser les plantes et leurs coproduits, en promouvant une approche zéro déchet. Les pigments végétaux, les tanins et les fibres naturelles jouent un rôle essentiel dans cette démarche. Grâce à des initiatives comme celles d'ArtEcoVert, nous pouvons transformer notre perception de la couleur et de la teinture en intégrant des pratiques durables dans notre quotidien.Nous vous invitons à écouter cette conversation enrichissante et à réfléchir à la manière dont nous pouvons tous contribuer à un avenir plus vert. Que vous soyez passionné par les nuances de la teinture ou simplement curieux d'en apprendre davantage sur les jardins de plantes tinctoriales, cet épisode est fait pour vous !Enfin, n'oubliez pas de soutenir notre podcast et de suivre nos prochaines initiatives autour de la couleur végétale. Ensemble, faisons briller la beauté des couleurs naturelles ! Belle écoute !ArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
Imaginez que vous posez la main sur une plaque de cuisson encore chaude, et qu'au lieu de la retirer, vous la laissez, en sachant pertinemment que ça va vous faire souffrir ! Bah ça illustre parfaitement ce dont au va parler dans cet épisode : l'autodestruction :) Épisodes mentionnés : Le coaching a changé ma vie (TCA, reverse diet, sommeil…) Il m'a trompée et n'a pas regretté Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le film, que Sébastien Thoen a davantage apprécié pour la beauté de l'acteur Pierre Niney que pour son talent, lui a inspiré un joli jeu de mots. Fous rires, réponses inattendues, nouvelles rencontres, cet été redécouvrez les meilleurs moments de cette saison 2024-2025 ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de "L'Amérique dans tous ses états", Arnaud Tousch vous emmène sur Liberty Island pour visiter la Statue de la Liberté, le plus français des monuments américains, arrivé il y a 140 ans, le 17 juin 1885. Imaginez des centaines de bateaux dans le port de New York, qui accueillait la frégate Isère. À bord, 214 caisses qui renfermait 350 pièces. Car oui, la Statue de la Liberté est arrivée en kit. Le piédestal n'était pas encore prêt. Il a fallu un an pour la dresser...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez un patron qui demande à son équipe d'augmenter les ventes de 50 %. Les employés comprennent l'objectif et souhaitent l'atteindre. On peut même imaginer qu'ils ont le talent pour y parvenir. Pourtant, rien ne se passe. La pression se fait sentir, mais elle ne génère pas de résultats. On dit qu'un objectif clair est essentiel pour obtenir des résultats. C'est vrai. Mais ce n'est pas suffisant. Il faut aussi définir un comportement précis en lien direct avec cet objectif. Le patron gagnerait à parler un peu moins des conséquences de l'échec et un peu plus du comportement attendu. Dans cet exemple, il pourrait associer l'objectif à un comportement concret : cibler certains prospects avec une approche particulière. Du moins, il pourrait accompagner son équipe pour faire ce lien. Cela semble simple, mais c'est un art. Le livre The 4 Disciplines of Execution présente quatre principes essentiels pour passer de la stratégie à l'exécution. Mais comme le mot « discipline » l'indique, il faut de la rigueur pour que cela fonctionne. Discipline 1 : Établir une cible viscéralement importante (un seul objectif si possible). Discipline 2 : Définir un indicateur de comportement, directement lié à l'atteinte de l'objectif de la discipline 1. Discipline 3 : Tenir un tableau de bord engageant, reflétant la progression vers la cible. Discipline 4 : Instaurer une cadence de responsabilisation par des échanges réguliers. J'ai choisi de traiter ce sujet, car dans ma pratique de coaching, je constate que certaines règles méritent non seulement d'être connues, mais surtout appliquées. Ordre du jour 0m23: Introduction 7m49: Présentation du livre 13m23: La méthode des 4 disciplines 43m33: Réflexion personnelle Pour encore plus de détails, consulte la page web de l'épisode
Imaginez un théorème si simple à énoncer qu'un collégien pourrait le comprendre… et pourtant, il a défié les plus grands esprits pendant 358 ans !Dans ce hors-série, nous plongeons avec Aurélien et Sébastien dans l'histoire du dernier théorème de Fermat, du "post-it" griffonné par Pierre de Fermat jusqu'à sa démonstration par Andrew Wiles en 1994.En chemin, on parle de cryptographie, d'intelligence artificielle et d'un projet fou : faire comprendre cette preuve à un ordinateur !Un épisode qui lie histoire, science et mathématiques modernes, le tout avec une touche de bonne humeur.
Imaginez : si vous pouviez transformer tout le temps passé à ruminer par du temps pour créer, décider, respirer ? Dans cet épisode Best of, je vous révèle comment passer de la spirale mentale de la rumination à une posture de résilience. À la clef : plus de sérénité, plus d'impact, et un leadership reconnecté à ce qui compte vraiment.Un épisode à écouter absolument pour toutes les pros de la rumination (je vous vois !)****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez : on vous sert deux verres de vin. Même robe, même nez, même texture. L'un coûte 9 euros. L'autre, 89. Devinez lequel vous préférez ? Spoiler : vous préférez le deuxième. Pas parce qu'il est meilleur… mais parce qu'il est plus cher ! Et que votre cerveau adore se faire avoir. Déjà, commençons par ce que l'on appelle le biais de prix, ou quand le cerveau boit avec le portefeuille. En 2008, des chercheurs de Stanford et Caltech ont scanné le cerveau de 20 personnes pendant qu'elles goûtaient le même vin – sauf qu'on leur faisait croire que certains coûtaient 5 dollars, d'autres 45 dollars. Résultat ? Les zones du plaisir s'activaient davantage pour les vins prétendument plus chers, même s'il s'agissait exactement du même flacon. Moralité : ce n'est pas votre palais qui juge, mais bien votre banquier imaginaire.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle d'illusions sensorielles, de biais cognitifs et de cette petite voix intérieure qui vous pousse à aimer ce que vous avez payé trop cher.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : François DuvalProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez une petite fille, perchée sur un rocher, avec toujours un carnet à la main, dans une forêt du nord de l'Ontario. Elle s'appelle Margaret. Son terrain de jeu ? Les arbres, les rivières, et les bruits d'animaux. Pas de télévision, pas de bibliothèque municipale, encore moins de cinéma. Seulement quelques livres, une radio à piles et beaucoup, beaucoup d'imagination.Connaissez-vous l'histoire de Margaret Atwood ? Juliette Livartowski raconte.Connaissez-vous l'histoire est un podcast de Binge Audio écrit et raconté par Juliette Livartowski. Autrice : Juliette Livartowski. Réalisation : Paul Bertiaux. Production : Charlotte Baix et Juliette Livartowski. Edition : Marie Foulon. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez une femme, directrice marketing le jour… et romancière la nuit.Dans le plus grand secret, Aurélie Valognes écrit son 1er roman, sans plan de carrière, sans maison d'édition, sans réseau littéraire. Juste elle, son ordinateur, et l'intuition profonde qu'elle a quelque chose de fort à raconter.Ce roman, elle l'autoédite sur Internet. Et contre toute attente… c'est l'explosion.Des centaines de milliers de lecteurs, sans marketing, sans appui médiatique. Une success story fulgurante, née en dehors des circuits traditionnels.Aujourd'hui, Aurélie est l'une des romancières les plus lues en France.Et pourtant, elle continue d'avancer sans chercher l'approbation du monde littéraire.Un roman par an, tous les ans. Un best-seller à chaque fois. Avec méthode. Avec foi. Avec une indépendance d'esprit qui force l'admiration.Dans cet épisode, on a parlé de ses rituels d'écriture, de la solitude du début, de ses doutes persistants, de la discipline derrière le succès… et de cette envie farouche de rester libre.Si vous cherchez un élan, un souffle d'audace ou que vous êtes simplement curieux de comprendre ce qui se cache derrière une réussite hors norme, vous êtes au bon endroit.Bonne écoute !Chapitrage : 00:00 - Introduction : Une romancière née dans le secret02:12 - Le mensonge fondateur qui a changé sa destinée08:32 - Écrire dans l'ombre, sans plan, sans filet12:28 - Le roman auto-édité qui explose tout sans marketing15:45 - Quand les maisons d'édition lui tournent le dos (puis la courtisent)24:01 - Best-seller malgré le mépris du milieu littéraire25:10 - La solitude, la discipline et les doutes qui persistent29:05 - Écrire pour réparer, pour transmettre, pour exister36:02 - Comment elle écrit un roman par an (et pourquoi)53:50 - Le combat pour rester soi dans un monde de cases56:03 - Ses conseils à ceux qui veulent prendre plus de temps pour lire01:05:00 - Les Podcasts écoutés par Aurélie01:07:41 - Le crible du Podcast01:20:39 - Les livres recommandés par Aurélie ValognesNotes et références de l'épisode✨Pour retrouver Aurélie Valognes : Sur Instagram✨Pour retrouver les livres écrits par Aurélie Valognes : Mémé dans les ortiesMinute, papillon ! En voiture, Simone !Au petit bonheur la chanceLa cerise sur le gâteauLe tourbillon de la vieLa ritournelle✨Pour retrouver les livres cités dans l'épisode : La Femme gelée d'Annie ErnauxLes gens heureux lisent et boivent du café d'Agnès Martin-LuganL'élégance du hérisson de Muriel BarberyArt de la joie de Goliarda Sapienza(Lien affilié Fnac)✨Est également cité dans l'épisode : Le podcast : Les secrets du mental #AurélieValognes #PodcastInspiration #Écriture #BestSeller #SuccessStory #AuteurFrancophone #Autoédition #ÉcrireUnLivre #Indépendance #DisciplineCréative #LibertéDÉcrire #PodcastLittéraire #PaulineLaigneau #RituelsDAuteur #ParcoursInsolite #FemmesQuiÉcrivent #RomancièreFrançaiseVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.