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Pakistan Lost is a series of audio essays on history exploring the choices that were made that impacted millions of people for decades to come. Episode 6 of the series looks at how the political class was destroyed in Pakistan to pave the way for dictatorships. Watch all the episodes of Pakistan Lost: https://www.youtube.com/watch?v=1HVcorSr-vM&list=PLlQZ9NZnjq5qRLMfNjRNQyCTBkT0etuaZ
durée : 00:15:01 - Superfail - par : Guillaume Erner -
A wave of refugees came to Australia in 2017, escaping the conflicts in Iraq and Syria. For many overcoming the trauma of war, learning a new language and adjusting to a new life was difficult. But, four-years-on, one Yazidi refugee has started her own business and it is going down a treat. - Pêleke ji penaberan di sala 2017an de di encama şerê li Iraq û Sûriyê hat Australya. Ji bo gelekan derbaskirina troma û êşa ji şer, fêrbûna zimanekî nû û jiyaneke nû dijwar bû. Ev çar sal in, penabereke Êzîdî dest bi karsaziya xwe kiriye û gelekî baş diçe.
durée : 00:15:01 - Superfail - par : Guillaume Erner - Le numéro d'Envoyé Spécial consacré aux témoignages de femmes accusant Nicolas Hulot d'agressions sexuelles a suscité un grand intérêt en novembre 2021. Pourtant, une enquête avait révélé des faits similaires en 2018, elle était publiée dans le magazine Ebdo, et n'a pas connu le même succès. - invités : Laurent Valdiguié Journaliste d'investigation pour Marianne; Elise Karlin Journaliste
Invités : ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » ALIX BOUILHAGUET Éditorialiste politique - « France Télévisions » LORRAINE DE FOUCHER Journaliste - « Le Monde » FRÉDÉRIC DABI Directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La fracture » Dans un numéro d' Envoyé spécial diffusé jeudi soir, plusieurs femmes – quatre, dont trois à visage découvert – ont témoigné contre l'ancien ministre de la transition écologique Nicolas Hulot, l'accusant de viols et d'agressions sexuelles. Ces femmes ne se connaissent pas, elles ne se sont jamais rencontrées, est-il expliqué dans l'enquête réalisée par la journaliste Virginie Vilar, débutée en plein mouvement #MeToo, à l'automne 2017. Mais elles ont toutes pour point commun d'avoir croisé l'ex-vedette de TF1, lorsqu'elles étaient plus jeunes, et d'avoir gardé le silence pendant très longtemps sur les faits évoqués, tous prescrits et qui remonteraient pour certains à plus de 30 ans. Depuis la diffusion de l'enquête, d'autres femmes ont également mis en cause Nicolas Hulot. Dans un courrier transmis à Envoyé spécial et publié sur le site de France Télévision, l'animatrice et comédienne belge Maureen Dor raconte avoir été agressée sexuellement par Nicolas Hulot, dans un hôtel de Bruxelles, en 1989 lorsqu'elle avait 18 ans. Ce matin l'ancienne militante Europe-Ecologie-Les Verts (EELV) Pauline Lavaud a affirmé au micro de BFM-TV avoir été écartée de la campagne de Nicolas Hulot pour la primaire interne d'EELV en 2011 car « elle l'excitait trop », révélant ainsi l'identité de l'homme qu'elle évoquait anonymement dans un tweet posté en 2017 lors de l'éclatement de l'affaire #MeToo ou #BalanceTonPorc. Par ailleurs, la journaliste Elise Lucet a expliqué ce matin avoir eu « depuis, d'autres conversations avec des femmes qui n'ont pas encore témoigné, parce que ce n'est pas encore le moment pour elles. Ces femmes sont en train de réfléchir à savoir si elles vont témoigner. Et je pense qu'à un moment ou à un autre, elles témoigneront » a-t-elle indiqué. « Nous ne laisserons traîner notre client dans la boue dans ces conditions » a réagi ce vendredi Alain Jakubowicz, l'avocat de l'ancien animateur télé qui réfute toutes les accusations dont il fait l'objet. Au micro de RTL, celui-ci a estimé que l'émission avait voulu « faire le procès de Nicolas Hulot et le condamner à vie ». « Les faits sont prescrits, Nicolas Hulot est à disposition des enquêteurs, mais le sujet n'est pas là. Une émission de service public a voulu faire le procès de Nicolas Hulot et le condamner à vie » a ajouté l'avocat. La veille, l'ancien ministre d'Emmanuel Macron s'était invité sur le plateau de BFM-TV pour annoncer son retrait définitif de la vie publique et dénoncer formellement « des accusations purement mensongères », des journalistes « procureurs ». C'est la même défense qu'il avait utilisée, quatre ans plus tôt, en février 2018, au moment où le magazine Ebdo s'apprêtait à révéler une plainte pour viol qu'avait déposée contre lui, en 2008, Pascale Mitterrand, la petite fille de François Mitterrand, pour des faits survenus en 1997 mais prescrits (désormais fixée à vingt ans, la prescription était alors de dix ans en matière de viol). L'affaire avait alors été classée sans suite, comme c'est le cas lorsque les faits sont prescrits. Mais elle avait fait l'effet d'une déflagration a expliqué l'une des femmes qui a décidé de parler dans l'enquête diffusée sur France 2. Une enquête et des accusations qui font également réagir la classe politique. En 2018, Marlène Schiappa, alors secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, avait défendu son collègue au gouvernement. Un « homme charmant » décrivait-elle. Hier, elle a nuancé ses propos et dit « espérer que la justice ouvrira une instruction s'il y a des éléments ». « La justice ne se rend pas les plateaux télé » a pour sa part réagi le garde des Sceaux, avant de préciser : si « les faits énoncés sont prescrits, cela n'interdit pas au parquet de mener une enquête pour recherche d'autres plaignants éventuels » sur des faits plus récents. La prescription des faits n'avait pas empêché, dans l'affaire Duhamel notamment, le parquet d'ouvrir une enquête préliminaire. De son côté, la vice-présidente du Sénat et ancienne ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol a estimé que Nicolas Hulot « a bénéficié d'un soutien scandaleux de la part de tous ses collègues » au gouvernement en 2018. Les faits « personne ne les a contestés, le procureur ne mettait pas en cause les faits, il disait simplement qu'ils étaient prescrits ». « N'importe qui pouvait en déduire que les faits étaient réels » a déclaré la sénatrice (PS), signataire récemment avec près de 300 femmes politiques d'une tribune publiée dans Le Monde demandant ce que le monde politique « assume ses responsabilités », écarte « les auteurs de violences sexuelles et sexistes de ses rangs » et fasse « preuve d'exemplarité dans les désignations ». « La parole des femmes s'est libérée, mais à quand une libération de l'écoute, une réelle prise en compte dans les partis politiques ? », questionnent-elles, avant de conclure : « Nous exigeons que le monde politique prenne enfin en compte le mouvement #MeToo. »
Nous parlons de deux enquêtes d'investigation diffusées jeudi soir sur France 2 contre l'ancien ministre Nicolas Hulot d'une part et sur un contrat militaire entre la France et l'Égypte d'autre part. Ce sont deux enquêtes de France 2, diffusées jeudi soir, qui accusent des hommes de pouvoir. La première, celle d'Envoyé Spécial, apporte trois témoignages d'agression sexuelle contre Nicolas Hulot, ancien ministre de l'Environnement et ex-animateur de TF1. Le parquet de Paris a ouvert hier contre lui une enquête pour viol et agression sexuelle. Le reportage reprend et prolonge une enquête d'un magazine disparu peu après, Ebdo, qui avait dévoilé il y a trois ans qu'une plainte pour viol de Pascale Mitterrand, petite-fille de l'ancien président, avait été déposée contre Nicolas Hulot en 2008 avant d'être prescrite. Immédiatement, l'écologiste avait obtenu l'antenne de BFMTV pour désamorcer son affaire avant qu'elle ne paraisse et des membres du gouvernement, notamment Marlène Schiappa, à l'époque en charge de l'égalité hommes-femmes, s'étaient portés à son secours. Trois ans plus tard, Nicolas Hulot est retourné sur BFMTV pour tenter de déminer la charge en se posant en victime, mais les soutiens lui font cruellement défaut. Certes, il n'est plus au gouvernement et annonce d'ailleurs se retirer de la vie publique. Mais c'est surtout que depuis trois ans un #MeToo des médias est venu changer la donne. Patrick Poivre d'Arvor, l'ancien présentateur de TF1, en particulier, est aussi visé par une nouvelle plainte pour viol de l'écrivaine Florence Porcel et plusieurs témoignages sont venus confirmer à visage découvert dans Libération du harcèlement sexuel. Le deuxième reportage, de Complément d'enquête, met en cause les ministres Jean-Yves Le Drian et Florence Parly mais aussi les présidents Hollande et Macron, et cette fois pour des faits d'une tout autre gravité. Grâce à Disclose, un collectif de journalistes d'investigation, il est établi sur la foi de documents classés « confidentiel défense » que la France a passé un accord de coopération avec l'armée égyptienne qui a eu pour conséquence d'éliminer des trafiquants, des cibles civiles, et non des terroristes comme le prévoyait une mission en Égypte. Pour cela, un avion français a fourni des renseignements qui ont ensuite servi à bombarder un millier de véhicules-cibles dans le désert. Au nom de ses intérêts dans la vente d'armes et notamment des Rafale, la France a-t-elle sciemment choisi d'ignorer les alertes de sa Direction du renseignement militaire signalant un dévoiement de cette mission par le régime du maréchal Sissi ? C'est ce à quoi le gouvernement se refuse de répondre. Il annonce une double enquête sur le fond des révélations, mais aussi pour trouver le lanceur d'alerte à l'origine de la rupture du secret-défense.
durée : 01:33:59 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Comment le cinéma indépendant peut-il trouver la nouvelle formule économique et artistique qui lui permettra de sortir par le haut de la crise sanitaire ? Eléments de réponse avec Damien Megherbi, producteur-distributeur et enseignant à l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3. - réalisation : Peire Legras, Alexandra Malka - invités : Annie Cohen-Solal Docteur ès lettres et professeur des universités; Patrick de Saint-Exupéry co-fondateur des revues XXI et 6 mois et du journal Ebdo; Damien Megherbi Producteur-distributeur et enseignant à l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3.
durée : 00:12:49 - Le Village global - par : Frédéric Martel - Le journaliste, Prix Albert-Londres et Prix Bayeux des correspondants de guerre, publie aux éditions Les Arènes un livre qui est tout à la fois un récit et une enquête, "La Traversée". Un chemin sur les traces des génocidaires hutu réfugiés en République Démocratique du Congo. - invités : Patrick de Saint-Exupéry co-fondateur des revues XXI et 6 mois et du journal Ebdo
In questa puntata ci addentriamo nel mondo della satira più controversa di sempre, puntando i riflettori sul celebre periodico satirico “Charlie Hebdo”. Alle domande dal pubblico risponde Stefano Andreoli, fondatore del blog satirico Spinoza.it. Tra vignette di dubbio gusto, libertà di espressione e fondamentalismo, questo è 92 minuti di applausi.
Laurent Beccaria est le fondateur de la maison d'éditions Les Arènes. Il a aussi co-fondé les mooks XXI et 6 mois, avant de se lancer dans l'aventure de l'hebdomadaire Ebdo. Echec cuisant en kiosque, Ebdo a amené Laurent Beccaria à vendre ses activités de presse, et à se recentrer sur l'édition. Il revient dans ce podcast sur son aventure entrepreneuriale.
Il est déjà temps de lui dire au revoir : Ebdo, le magazine hebdomadaire qui entendait révolutionner le journalisme et redonner l'envie de lire à ceux qui ne lisent plus, a mis la clef sous la porte. Si les fondateurs d'Ebdo ont baissé les bras, d'autres ne désespèrent pas ! La Matinale reçoit Julie Morel, co-fondatrice du nouveau magazine Vraiment dont le premier numéro est sorti le 21 mars, et Johan Hufnagel, co-fondateur du tout aussi récent pure-player Loopsider. Quel vision du journalisme veulent-ils défendre dans leurs médias ? Des sujets fouillés et une approche non-partisane pour Vraiment qui s'écarte de l'actualité chaude et refuse d'avoir des éditorialistes. "Chez Vraiment on essaie de faire des sujets hors de l'actualité chaude mais qui concernent la majorité des gens. Quand on fait un article sur un application dont 4 millions de français se servent quotidiennement, on est sur des sujets "concernants" et pas complètement décalés." - Julie Morel Chez Loopsider, on oscille entre actu chaude et problématiques plus générales, l'enjeu étant de s'insérer dans le marché des vidéos d'information courtes et d'aller surprendre le lecteur, notamment ceux qui ne s'informent plus dans les médias dits traditionnels. Mais pas question de céder à la dictature du like. Le but reste d'apporter aux lecteurs les informations que la rédaction juge pertinentes. "Le véritable enjeu, ce sont les contenus qui existent pour désinformer [hoax] : il y a une obligation journalistique citoyenne d'être dans ce combat. On essaie de faire en sorte que chacun des contenus aille réveiller les lecteurs." - Johan Hufnagel On se demande également s'il est possible de survivre en se restreignant à un format papier, puisque Julie Morel nous explique que Vraiment se lancera prochainement en version digitale. On parle aussi mixité des rédactions et comment sortir de l'entre-soi médiatique de la capitale. Côté chroniques, Aliette nous offre un petit retour en arrière, au temps où les mastodontes de la presse française actuelle se lancaient. Quels manifestes pour Le Monde, Libé, le Figaro ? Puis Simon partage avec nous ses impressions de la chaîne youtube "Le Poste", lancé par un collectif lauréat de plusieurs prix récompensant des court-métrages. En toute dernière partie, Jacques nous présente comme tous les mardis les bons plans Radio Campus Paris. Présentation : Anna Péan / Réalisation : Antonin Simard / Co-interview : Elodie Hervier / Chroniques : Aliette H, Simon Marry, Jacques Bouillié / Web : Nina Beltram / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard
Il est déjà temps de lui dire au revoir : Ebdo, le magazine hebdomadaire qui entendait révolutionner le journalisme et redonner l'envie de lire à ceux qui ne lisent plus, a mis la clef sous la porte. Si les fondateurs d'Ebdo ont baissé les bras, d'autres ne désespèrent pas ! La Matinale reçoit Julie Morel, co-fondatrice du nouveau magazine Vraiment dont le premier numéro est sorti le 21 mars, et Johan Hufnagel, co-fondateur du tout aussi récent pure-player Loopsider. Quel vision du journalisme veulent-ils défendre dans leurs médias ? Des sujets fouillés et une approche non-partisane pour Vraiment qui s'écarte de l'actualité chaude et refuse d'avoir des éditorialistes. "Chez Vraiment on essaie de faire des sujets hors de l'actualité chaude mais qui concernent la majorité des gens. Quand on fait un article sur un application dont 4 millions de français se servent quotidiennement, on est sur des sujets "concernants" et pas complètement décalés." - Julie Morel Chez Loopsider, on oscille entre actu chaude et problématiques plus générales, l'enjeu étant de s'insérer dans le marché des vidéos d'information courtes et d'aller surprendre le lecteur, notamment ceux qui ne s'informent plus dans les médias dits traditionnels. Mais pas question de céder à la dictature du like. Le but reste d'apporter aux lecteurs les informations que la rédaction juge pertinentes. "Le véritable enjeu, ce sont les contenus qui existent pour désinformer [hoax] : il y a une obligation journalistique citoyenne d'être dans ce combat. On essaie de faire en sorte que chacun des contenus aille réveiller les lecteurs." - Johan Hufnagel On se demande également s'il est possible de survivre en se restreignant à un format papier, puisque Julie Morel nous explique que Vraiment se lancera prochainement en version digitale. On parle aussi mixité des rédactions et comment sortir de l'entre-soi médiatique de la capitale. Côté chroniques, Aliette nous offre un petit retour en arrière, au temps où les mastodontes de la presse française actuelle se lancaient. Quels manifestes pour Le Monde, Libé, le Figaro ? Puis Simon partage avec nous ses impressions de la chaîne youtube "Le Poste", lancé par un collectif lauréat de plusieurs prix récompensant des court-métrages. En toute dernière partie, Jacques nous présente comme tous les mardis les bons plans Radio Campus Paris. Présentation : Anna Péan / Réalisation : Antonin Simard / Co-interview : Elodie Hervier / Chroniques : Aliette H, Simon Marry, Jacques Bouillié / Web : Nina Beltram / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard
Rejoins la communauté Patreon.Le journal Ebdo s'est arrêté, deux mois après son lancement. Je m'étais abonné pour soutenir un ami, mais je n'ai jamais réussi à le lire. J'ai feuilleté le numéro 0, les autres se sont entassés dans la boite aux lettres ; j'avais l'impression d'un truc un peu pour tout le monde, un peu pour personne ; et je n'en ai parlé à personne.Quand je suis arrivé dans les locaux de SoPress, il y avait une pile de magazines : SoFoot, Society, SoFilm... J'ai pris le premier SoFoot de la pile en attendant Franck Annese, et je me suis souvenu de ce qui m'avait fait aimer ce magazine quelques années plus tôt.SoFoot était différent : ils traitaient le football comme un sujet de société en plus du pur divertissement. Je n'avais plus l'impression désagréable de perdre mon temps en m'intéressant au foot ; j'apprenais, je me marrais, j'avais l'impression d'être avec des potes et que ceux qui l'avaient créé savaient exactement ce qu'ils voulaient faire. Par chance, j'étais dans la cible. Je pouvais lire ce magazine de bout en bout et, évidemment, j'en parlais à tous mes potes.Je ne lis plus de magazines depuis longtemps mais pour préparer l'interview, j'ai trouvé plusieurs numéros de Society ; j'y ai retrouvé l'esprit qui m'avait fait aimer SoFoot. Après la lecture, j'ai eu envie d'en parler avec des gens alors je l'ai laissé trainer sur la table de la cuisine, et on en a parlé.Je voulais demander à Franck Annese comment SoPress fait pour créer des magazines papier qui marchent et dont les gens parlent.Pour le lancement de Society, ils n'ont pas fait d'étude de marché, pas de numéro 0. Ils ont fait ce qu'ils avaient envie de faire, au moment où ils pouvaient le faire. Un état d'esprit qui rappelle celui de nombreux invités de Nouvelle École.Est-ce que ça suffit pour réussir ? Il a enchaîné : "C'est surtout qu'on travaille beaucoup."Se retrouver dans l'épisode :01:00 Faire ce qu'on a envie de faire, quand on peut encore le faire07:30 Comment garder son insouciance quand le succès est au rendez-vous ?13:00 "C'est surtout qu'on travaille beaucoup" : l'importance d'être exigeant.28:00 "Trop de chefs, pas assez d'indiens" : comment montrer l'exemple.38:00 "Je prends un bain tous les jours" : comment il s'auto-évalue.46:00 Les questions de la fin.Références de l'épisode :Franck sur Instagram, TwitterSoPressLa boutique SoPress pour s'abonner à tous les magazines.Pour aller plus loin :Merci infiniment d'avoir écouté ! Si vous avez aimé cet épisode, vous pouvez vous abonner à Nouvelle École et laisser une note (5 étoiles si possible ) et un avis sur votre plateforme préférée :Apple PodcastsDeezerOvercastPodcast AddictSi vous voulez recevoir 3 recommandations de lecture, applications, films ou autres de ma part, chaque vendredi, inscrivez-vous à ma newsletter privée.Suivez-moi sur les réseaux sociaux :Instagram (le mieux)TwitterFacebookFaites un tour sur le site de Nouvelle École. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Axelle Jah Njiké est auteure. Elle a choisi le thème du plaisir féminin pour cette conversation. Le plaisir féminin, un sujet neuf (1’52) ? « Une mise à jour du clitoris », notamment grâce à des précurseurs comme le magazine Causette (https://www.facebook.com/Causette) souligne Axelle tandis que d’autres magazines dits féminins enferment les femmes plutôt que de les libérer… « Si le féminisme était un organe il serait le clitoris » Parler de plaisir féminin, c’est forcément aborder la question de l’excision (8’33) « Nous ne sommes pas encore assez nombreuses à incarner la joie d’être femme » Avant de filer en 2050, évoquons le féminisme païen que revendique Axelle… (14’15) : un féminisme qui s’incarne dans le corps, qui doit appréhender l’intime, la conquête de soi y compris par la masturbation pensée comme un acte de développement personnel. « Pour accomplir la sororité, entrons d’abord en amitié avec nous-mêmes » 2050, quelle place pour le plaisir féminin (18’26) ? Pour Axelle, les femmes doivent transmettre, de générations en générations : expliquer le plaisir, expliquer le clitoris, expliquer aux jeunes filles que leur plaisir ne dépend pas nécessairement du masculin. C’est vital. « Plaisir et pouvoir sont intimement liés » Pour Axelle, le discours sur le plaisir des femmes reste aujourd’hui subversif. Enfin, je demande à Axelle de formuler un vœu…40’15 Pour aller plus loin, • Retrouvez Axelle sur Instagram (https://www.instagram.com/axelle_jah_njike/) & Twitter (https://twitter.com/MeMySexeAndI) • « Volcaniques : une anthologie du plaisir » chez Mémoire d’Encrier : http://memoiredencrier.com/volcanique-plaisir-leonora-miano/ • « Le mythe de la virilité » d’Olivia Gazalé aux éditions Robert Laffont : https://www.lisez.com/livre-grand-format/le-mythe-de-la-virilite/9782221145012 • « Libres ! Manifeste pour s’affranchir des diktats sexuels » d’Ovidie chez Delcourt, collection Tapas BD : https://www.editions-delcourt.fr/serie/libres-manifeste-pour-s-affranchir-des-diktats-sexuels.html • Documentaire « the mask you live in » : https://www.youtube.com/watch?v=hc45-ptHMxo&list=PLx267oTDTZG6XHvIN_qZj4n9zyv5IgwxB • Le magazine Ebdo n°3 « Au plaisir des femmes » : https://twitter.com/ebdolejournal • Le nouveau magazine littéraire numéro spécial « Notre révolution » : https://www.nouveau-magazine-litteraire.com/ • Le Ted talk de Peggy Orenstein « What young women believeabout theirownsexual pleasure » : https://www.ted.com/talks/peggy_orenstein_what_young_women_believe_about_their_own_sexual_pleasure Episode enregistré le 24 janvier 2018 ---------- Abonnez-vous à la newsletter du podcast (https://mailchi.mp/db6e4174a90e/2050lepodcast-inscription-newsletter) ! Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode : Sur ITunes (https://t.co/3ipXDA4uAI) où je vous invite à laisser des étoiles et des avis, ça compte énormément ! Vous pouvez également retrouver #2050LePodcast sur Deezer (http://www.deezer.com/show/53094) et Soundcloud (http://dts.podtrac.com/redirect.mp3/soundcloud.com/latelierarmstrong/sets/2050-le-podcast). Suivez aussi la Page Facebook du podcast (https://www.facebook.com/Hashtag2050LePodcast/). Réagissez sur les réseaux sociaux avec la mention #2050LePodcast. Tous les épisodes sont également ici sous la forme d’un abécédaire bigrement pratique : http://rebeccarmstrong.net/2050lepodcast/.
C'est un des petits nouveaux du paysage médiatique français ces dernières semaines, le journal Ebdo. Tristan Barraux l'a lu et vous en propose une critique.
C'est un des petits nouveaux du paysage médiatique français ces dernières semaines, le journal Ebdo. Tristan Barraux l'a lu et vous en propose une critique.
C'est un des petits nouveaux du paysage médiatique français ces dernières semaines, le journal Ebdo. Tristan Barraux l'a lu et vous en propose une critique.
Les nouvelles offres de presseJournaux et magazines perdent des lecteurs et ceux qu’ils conservent appartiennent en majorité à la classe d’âge des seniors. Crise de financement ou crise de contenus ? En France, les médias d’information générale s’intéressent d’abord au pouvoir et à ceux qui l’exercent, aux appareils d’Etat, à Paris. Ecrite ou audiovisuelle, la presse est une lourde machine, onéreuse, mal distribuée et aujourd’hui, de plus en plus concentrée. De leur insatisfaction, les invités de cette émission thématique ont fait le moteur d’initiatives très diverses : Ebdo (à paraître début janvier) s’appuiera sur et s’intéressera à la société civile, Mediacités fait des métropoles régionales le centre de ses enquêtes approfondies sur la toile, Koï met en lumière une population plus souvent fantasmée que connue, celle des Asiatiques et Nouvelles Ecoutes produit avec succès des podcasts qui font fi des obsessions du marketing dont sont victimes les radios traditionnelles.AvecLaurent Beccaria, co-fondateur "Ebdo"Julie Hamaïde, fondatrice "Koï"Jacques Trentesaux, co-fondateur "MédiasCités"Julien Neuville, co-fondateur "Nouvelles Écoutes"Le Nouvel Esprit Public est soutenu par l’hebdomadaire Le Un, et préparé avec les élèves de la classe préparatoire à Sciences Po de l’Ecole Alsacienne, à Paris.Le Nouvel Esprit Public est produit et distribué par Nouvelles Écoutes. Production : Julien Neuville. Enregistrement et mixage : Maxime Olivier (L'Arrière Boutique Studio)LeNouvelEspritPublic.fr