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durée : 00:58:03 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En Somalie, la milice islamiste Al-Chabab se renforce et menace de façon toujours plus importante l'État fédéral, comme en témoigne l'attentat du 4 octobre 2025 en plein cœur de Mogadiscio. Dans les zones qu'elle administre, elle remplace même cet Etat en décomposition. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Robert Kluijver docteur en science politique, chercheur au CERI de Sciences Po ; Brendon Novel doctorant en science politique à l'université de Montréal, spécialiste du Somaliland et de ses environs; Marlène Panara journaliste, correspondante à Addis-Abeba pour RFI et Le Monde
Le procès du groupe Lafarge et de huit anciens responsables, soupçonnés d'avoir payé des groupes jihadistes, dont le groupe Etat islamique, en Syrie jusqu'en 2014 dans le but d'y maintenir l'activité d'une cimenterie, s'est ouvert mardi 4 novembre 2025, à Paris. La société et les anciens cadres doivent comparaître devant le tribunal correctionnel jusqu'au 16 décembre pour financement d'entreprises terroristes, et pour certains aussi pour non-respect de sanctions financières internationales.Comment l'entreprise en est-elle arrivée à collaborer avec Daech ? Sous quelle forme a-t-elle financé l'organisation terroriste ? Ce procès peut-il aboutir à une condamnation ? Pour bien comprendre cette affaire tentaculaire, nous vous proposons de réécouter ce dialogue enregistré avec le journaliste du Monde Christophe Ayad, en novembre 2022. À l'époque, Lafarge venait de plaider coupable aux Etats-Unis et de payer 778 millions de dollars pour éviter un procès, dans le volet judiciaire américain. Dans cet épisode, Christophe Ayad, spécialiste du terrorisme, nous explique de quelle manière Lafarge a aidé différents groupes terroristes en Syrie pour y maintenir son activité.Un épisode de Madjid Bennaceur. Réalisation : Quentin Tenaud. Musique du générique : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Shein, la plateforme chinoise de vente en ligne est de nouveau au coeur d'un scandale. Après les vêtements à bas coût, au bilan écologique et social désastreux, elle est accusée de vendre des poupées sexuelles pédopornographiques. Shein, c'est une grande foire au n'importe quoi Un souk virtuel dans lequel déambulent 25 millions de Français chaque année, attirés par les achats à bas coût. Jusqu'ici, toutes les alertes environnementales, sociales, économiques ne les ont jamais dissuadés d'y faire leurs courses. La soif des bonnes affaires est plus forte que tout. Les ventes en France doublent chaque année Pourtant, les consommateurs se mettent en danger Shein n'est pas seulement une marque de vêtements bas de gamme. C'est une centre commercial virtuel ou se côtoient des milliers de marchands hébergés par Shein. Une galerie des horreurs du commerce en ligne. Shein sert de vitrine pour ces écoeurantes poupées pour pédophiles. Mais Shein met aussi en danger les clients lambda. Il est le canal de distribution de produits et de jouets dangereux qui menacent la vie et la santé des consommateurs. Selon l'UFC que Choisir, 7 jouets sur 10 vendus via Shein ne sont pas conformes aux normes de sécurité européennes. Que dire des produits électriques qui menacent de s'enflammer, des bijoux toxiques, des éléments de décoration dangereux, des teintures de vêtements allergisantes. Ils sont à portée de clic... Nous les achetons Les clients doivent être prévenus. Mais les pouvoirs publics ? Que font-ils? Ils vident la mer à la petite cuillère : à la DGCCRF, la répression des fraudes et la protection du consommateur, moins de 100 personnes épluchent les millions d' annonces pour débusquer celles qui contiennent des contrefaçons, des objets illégaux ou hors norme. Les douanes sont dépassées: les plateformes chinoises ont envoyé 800 millions de colis en France en 2024. Impossible de les ouvrir tous. Ce n'est plus du e-commerce, c'est la roulette russe. Ca pourrait s'arranger avec des une vraie coopération européenne, sur les contrôles, tes taxes, la répression. Mais pour l'instant, chaque Etat fait sa cuisine dans son coin, et les plateformes profitent des divisions pour faire du business. Shein révèle de sacrés paradoxes. Nous exigeons en France d'être protégés, maternés, pris en charge par l'Etat pour tous les aspects de notre vie... Nous sommes obsédés par les menaces fantômes de traces de micro résidus de pesticides dans des pommes... Et nous laissons volontairement et dans la joie entrer dans nos maisons des produits ouvertement toxiques, dangereux, sans aucune traçabilité. L'Etat, lui produit de la norme à n'en plus finir, des contrôles obsessionnels, des nomenclatures absurdes qui tuent les acteurs économiques. Mais face à Shein, il abdique, incapable de faire appliquer le dixième de ce qu'il impose aux acteurs locaux. Nous avons bâti l'environnement réglementaire et sanitaire le plus sûr du monde et nous laissons les plateformes chinoises le saper à coups de petits colis. C'est désespérant. Mais c'est notre faute. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Shein, la plateforme chinoise de vente en ligne est de nouveau au coeur d'un scandale. Après les vêtements à bas coût, au bilan écologique et social désastreux, elle est accusée de vendre des poupées sexuelles pédopornographiques. Shein, c'est une grande foire au n'importe quoi Un souk virtuel dans lequel déambulent 25 millions de Français chaque année, attirés par les achats à bas coût. Jusqu'ici, toutes les alertes environnementales, sociales, économiques ne les ont jamais dissuadés d'y faire leurs courses. La soif des bonnes affaires est plus forte que tout. Les ventes en France doublent chaque année Pourtant, les consommateurs se mettent en danger Shein n'est pas seulement une marque de vêtements bas de gamme. C'est une centre commercial virtuel ou se côtoient des milliers de marchands hébergés par Shein. Une galerie des horreurs du commerce en ligne. Shein sert de vitrine pour ces écoeurantes poupées pour pédophiles. Mais Shein met aussi en danger les clients lambda. Il est le canal de distribution de produits et de jouets dangereux qui menacent la vie et la santé des consommateurs. Selon l'UFC que Choisir, 7 jouets sur 10 vendus via Shein ne sont pas conformes aux normes de sécurité européennes. Que dire des produits électriques qui menacent de s'enflammer, des bijoux toxiques, des éléments de décoration dangereux, des teintures de vêtements allergisantes. Ils sont à portée de clic... Nous les achetons Les clients doivent être prévenus. Mais les pouvoirs publics ? Que font-ils? Ils vident la mer à la petite cuillère : à la DGCCRF, la répression des fraudes et la protection du consommateur, moins de 100 personnes épluchent les millions d' annonces pour débusquer celles qui contiennent des contrefaçons, des objets illégaux ou hors norme. Les douanes sont dépassées: les plateformes chinoises ont envoyé 800 millions de colis en France en 2024. Impossible de les ouvrir tous. Ce n'est plus du e-commerce, c'est la roulette russe. Ca pourrait s'arranger avec des une vraie coopération européenne, sur les contrôles, tes taxes, la répression. Mais pour l'instant, chaque Etat fait sa cuisine dans son coin, et les plateformes profitent des divisions pour faire du business. Shein révèle de sacrés paradoxes. Nous exigeons en France d'être protégés, maternés, pris en charge par l'Etat pour tous les aspects de notre vie... Nous sommes obsédés par les menaces fantômes de traces de micro résidus de pesticides dans des pommes... Et nous laissons volontairement et dans la joie entrer dans nos maisons des produits ouvertement toxiques, dangereux, sans aucune traçabilité. L'Etat, lui produit de la norme à n'en plus finir, des contrôles obsessionnels, des nomenclatures absurdes qui tuent les acteurs économiques. Mais face à Shein, il abdique, incapable de faire appliquer le dixième de ce qu'il impose aux acteurs locaux. Nous avons bâti l'environnement réglementaire et sanitaire le plus sûr du monde et nous laissons les plateformes chinoises le saper à coups de petits colis. C'est désespérant. Mais c'est notre faute. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme :La fin des exclus et le « One Console Future »Le contexte de la surabondance des jeuxOù en est la crise du jeu vidéo ?Interlude technologies (VR et AI)La prochaine génération de « consoles » se dessine déjà---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 420 – Etat des lieux – octobre 2025Liens :
Jetzt bekannt gewordene Pläne der Bundesregierung zeigen: Trotz einem schier unglaublichen Etat für deutsche Aufrüstung in den nächsten Jahren wird die militärische Abhängigkeit von den USA nicht vermindert. Das ist zusätzlich zur ganz prinzipiellen Ablehnung des Rüstungswahnsinns zu kritisieren. Ein Kommentar von Tobias Riegel. Dieser Beitrag ist auch als Audio-Podcast verfügbar. DieWeiterlesen
Vu sur La chronique de Patsy (191) : Quatre livres pour mieux comprendre le conflit israélo-palestinien Rachad Antonius, La conquête de la Palestine. De Balfour à Gaza, une guerre de cent ans, Ecosociété, 2024. Monique Chemillier-Gendreau, Rendre impossible un Etat palestinien. L'objectif d'Israël depuis sa création, Textuel, 2025. Salah Hammouri, Prisonnier de Jérusalem. Un détenu politique en Palestine occupée, Libertalia, 2023. Béatrice Orès, Michèle Sibony, Sonia Fayman (Textes choisis par), Antisionisme, […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
durée : 00:58:57 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Discuté depuis le 24 octobre, le "PLF" mêle chiffrages techniques et proposition politique. Après s'être demandé comment se construit un budget "fiable", nous poursuivrons notre série sur l'Etat social avec Alexia Blin, auteure d' "À l'assaut de l'abondance. Socialisme et consommation" (PUF, 2025). - réalisation : Camille Mati - invités : Xavier Jaravel Économiste français; Sébastien Kott Professeur des universités, spécialiste de droit public financier, actuellement à l'Institut National du Service Public en tant que délégué à la stratégie de recherche; Alexia Blin Maîtresse de Conférences en Histoire et Civilisation des États-Unis, Université Sorbonne-Nouvelle (Paris 3)
Uwaga, wkracza kobieta! Silna, wykształcona, z wartościami. Kobieta wyemancypowana, dobrze zarabiająca. Czy jest się czego bać? Według raportu „Kobiety na rynku pracy 2025” (Hays) tylko 46% kobiet pozytywnie ocenia swoje perspektywy zawodowe, podczas gdy wśród mężczyzn to 58%. Ponad 57% kobiet doświadczyło w karierze przeszkód wynikających z płci. Czego obawiają się pracodawcy, gdy kobieta wchodzi do gry? W jaki sposób organizacje mogą naprawdę tworzyć równe szanse, a nie tylko o nich mówić? I co się zmienia, gdy władza i pieniądze przestają mieć płeć?W tym odcinku podcastu Sukces Pisany Szminką Olga Kozierowska rozmawia na ten temat z Izabelą Tworzydło, Dyrektorką Departamentu Komunikacji Korporacyjnej w Banku BNP Paribas oraz Martą Sikorą, Liderką Różnorodności w Toyota Motor Manufacturing Poland, Laureatką XVI edycji Konkursu Sukces Pisany Szminką w kategorii Female Champion of Change.
durée : 02:29:31 - Les Matins - par : Astrid de Villaines, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
Marzy Ci się rzucenie etatu i "przejście na swoje"? Zanim złożysz wypowiedzenie, MUSISZ to posłuchać.Media społecznościowe kłamią. Pokazują wolność, laptopy na plaży i ogromne zarobki. Nikt nie mówi o prawdziwych kulisach: o bezsennych nocach, gigantycznym stresie i odpowiedzialności, która potrafi przytłoczyć.W tym odcinku obnażam mity. Daję Ci 5 BRUTALNYCH PRAWD o byciu przedsiębiorcą, opartych na moich własnych błędach, problemach zdrowotnych i doświadczeniach z setkami osób, z którymi pracowałem.
Witam w dwieście dziewięćdziesiątym siódmym odcinku podcastu „Porozmawiajmy o IT”. Tematem dzisiejszej rozmowy są ubezpieczenia w IT.Dziś moimi gościem jest Adam Radniecki – karierę w ubezpieczeniach zaczął w 2008 roku. Jest twórcą marki Startlife. Specjalizuje się w tworzeniu kompleksowych programów ubezpieczeniowych dla branży IT. Jest członkiem MDRT, elitarnej organizacji z USA zrzeszającej 1% najlepszych agentów na świecie. Prywatnie pasjonat idealnego trawnika, mąż oraz ojciec dwójki wspaniałych chłopaków.Sponsor odcinkaSponsorem odcinka jest Startlife – ubezpieczenia dla branży IT.W tym odcinku o ubezpieczeniach w IT rozmawiamy w następujących kontekstach:jakie rodzaje ubezpieczeń najczęściej wybierają osoby pracujące w ITczym różnie się ubezpieczenie OC zawodowe od ubezpieczenia OC działalności gospodarczejco warto wziąć pod uwagę decydując się na takie ubezpieczenie i jakie jego parametry wziąć pod uwagęczy cokolwiek zmienia się, w przypadku OC zawodowego jeśli świadczę usługi zdalnie lub dla kontrahenta zagranicznegogdzie szukać ubezpieczenie zawodowego dla ITjaka jest cena ubezpieczenia oc dla programistówdlaczego warto rozważyć wykupienie ubezpieczenie utraty dochoduczym różni się ubezpieczenie utraty dochodu od ubezpieczenia zdrowotnegojakie błędy popełniają programiści, poszukując ubezpieczeń zdrowotnychnajważniejsze punkty ochrony, na które powinniśmy zwrócić uwagę w przypadku ubezpieczenia zdrowotnegoczy praca na etacie i towarzyszące jej benefity oraz mechanizmy ochronne są wystarczające w kontekście ubezpieczeniaSubskrypcja podcastu:zasubskrybuj w Apple Podcasts, Spreaker, Sticher, Spotify, przez RSS, lub Twoją ulubioną aplikację do podcastów na smartphonie (wyszukaj frazę „Porozmawiajmy o IT”)poproszę Cię też o polubienie fanpage na FacebookuLinki:Profil Adama na LinkedIn – https://www.linkedin.com/in/adam-radniecki-startlife/Ubezpieczenia dla branży IT – https://startlife.pl/OC dla ITUbezpieczenie utraty dochodu dla programistyWsparcie:Wesprzyj podcast na platformie Patronite -https://patronite.pl/porozmawiajmyoit/Jeśli masz jakieś pytania lub komentarze, pisz do mnie śmiało na krzysztof@porozmawiajmyoit.plhttps://porozmawiajmyoit.pl/297
durée : 00:58:44 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Pour ses 80 ans, la Sécurité Sociale doit réduire son déficit, interrogeant plus que jamais l'écart entre ses principes fondateurs et ses impératifs financiers. Un sujet d'actualité qui sera suivi d'une discussion avec Dominique Méda sur les nouvelles définitions de l'Etat social. - réalisation : Sorj Leroy - invités : Victor Duchesne Maître de conférences en économie au Centre d'économie de Paris Nord (CEPN) à l'Université Sorbonne Paris Nord, spécialiste de la Protection Sociale; Thomas Fatôme Directeur général de la Caisse nationale de l'Assurance Maladie; Dominique Méda Professeure de sociologie à Paris-Dauphine
Avant les galops et avant les vacances, Popcorn revient sur les ondes pour vous parler des dernières sorties ciné ! Au programme de cette semaine :- Soundtrack to a Coup d'Etat de Johan Grimonprez, un documentaire au cordeau sur comment les US et la Belgique ont voulu destituer le 1er ministre du Congo indépendant en utilisant le jazz et ses musiciens comme chevaux de Troie- Chien 51 de Cédric Jimenez, une dystopie autour de l'IA, d'Adèle Exarchopoulos et de Gilles Lellouche, un peu trop BAC(nord)LÉ au goût de nos chroniqueurs- The Chronology of Water de Kristen Stewart, 1er film ambitieux de l'ex-star de Twilight, ultra esthétique et expérimental, mais des TW sur les thèmes abordés, très sensiblesAvant de finir par nos habituels coups de coeurs et coups de gueule - attention, beaucoup de films sanglants, Halloween oblige !Bonne écoute et à très vite sur toutes vos plateformes !Présentation : PaulineChroniqueureuses : Juliette, Costal, Margot & Enora
Grâce à une belle collaboration entre Collectivités ZéN Gaspésie et Les 2 pieds dans le ruisseau., voici le 1e épisode d'une série spéciale de trois épisodes sur la démarche de Collectivités ZéN Gaspésie. Une approche qui nous ressemble :du dialogue autour de questions et d'enjeux liés aux changements climatiques à l'échelle de la Gaspésie, ancré dans la nature, les deux pieds dans des ruisseaux du territoire qu'on habite.Balado 1 : la démarche et les grands concepts liés au projetBalado 2 : les ateliers d'exploration du futurBalado 3 : la vision collective pour la Gaspésie de demain et les prochaines étapes du projetAprès l'écoute de ce premier épisode, vous trouverez ci-bas toute une série d'informations liées à la démarche.Pour écouter l'épisode :https://baladoquebec.ca/.../2025-10-14-special...Pour soutenir le projet des 2 pieds dans le ruisseau sur Patreon :https://www.patreon.com/c/Les2piedsdansleruisseau Bonne écoute!Liens et informations relatifs à cet épisode :Site Web de CZéNGhttps://czengaspesie.ca/ Page Facebook�https://www.facebook.com/CZeNGaspesieLinkedIn�https://www.linkedin.com/company/collectivités-zén-gaspésie Abonnement à l'infolettrehttps://app.cyberimpact.com/clients/51594/subscribe-forms/28908448-D820-4764-8174-6944C7230131 État des lieux CZéNG :Version longuehttps://czengaspesie.tor1.cdn.digitaloceanspaces.com/2025/03/2024-05-22_Etat-des-lieux-version-complete-2.pdfVersion abrégéehttps://czengaspesie.tor1.cdn.digitaloceanspaces.com/2025/03/2024-05-22_Etat-des-lieux-version-abregee-1.pdf FCTÉ: Feuille de route pour la transition du Qchttps://www.pourlatransitionenergetique.org/feuille-de-route-quebec-zen/Le parcours des Collectivités ZéNwww.parcourscollectiviteszen.org/ Les autres CZéN :(erratum, pas 12 CZéN)Depuis 2021, le Front commun pour la transition énergétique (FCTÉ) a accompagné le démarrage de neuf Collectivités ZéN à travers le Québec. Aujourd'hui encore, le FCTÉ poursuit son accompagnement avec certaines d'entre elles.Ahuntsic-Cartierville en transitionhttps://www.ahuntsicentransition.org/ClimAction LachineCollectivité ZéN L'Assomption-D'AutrayCollectivités ZéN Gaspésiehttps://czengaspesie.ca/ Collectivité ZéN Outaouaishttps://czen-outaouais.ca/ Collectivité ZéN de Québechttps://collectivitezenquebec.org/ Collectivité ZéN Rimouski-Neigette https://collectivitezenrimouski.ca/ Laval ZéN (maintenant C.I.T.É.S Laval, le Collectif d'innovation pour la transition écologique et sociale de Laval)https://www.lavalzen.com/Le Grand dialogue régional pour la transition socio-écologique du Saguenay-Lac-St-Jeanhttps://granddialogue-slsj.com/ Baromètre de l'action climatique 2024, par le Groupe de recherche sur la communication marketing climatique, et qui étudie Disposition des Québécoises et des Québécois envers les défis climatiqueshttps://cdn.prod.website-files.com/65de237a907486cd99c45264/6751cde275af0d688f16b19c_BarometreClimat2024_WEB_compressed.pdf En passant, selon les dernières nouvelles, le gouvernement Legault a mis fin au financement du Baromètre de l'action climatique et du média d'information Un pointcinq (voir les articles de La Presse et Le Devoir)La Presse : https://www.lapresse.ca/.../fin-du-financement-du...Le Devoir : https://www.ledevoir.com/actualites/environnement/922725/quebec-supprime-financement-barometre-action-climatique?Rapport de 2023 de la Direction régionale de la santé publique sur « Les vulnérabilités climatiques projetées pour 2050 en Gaspésie et aux îles-de-la-Madeleine ».https://www.cisss-gaspesie.gouv.qc.ca/.../Les...Ça, c'est le volet VRAC du projet VRAC-PARC, soit l'évaluation des vulnérabilités régionales aux changements climatiques.Le volet PARC, c'est l'étape suivante, soit l'élaboration d'un plan d'adaptation régional aux changements climatiques.Action-climat et les plans climat : ce sont deux programmes du gouvernement du Québec, en lien avec les changements climatiques. Mais ces deux programmes sont distincts.Les plans climat sont le volet 1 du programme « Accélérer la transition climatique locale », qui vise à soutenir les organismes municipaux (municipalités, MRC) dans l'élaboration d'un plan climat, puis dans le volet, sa mise en œuvre. Selon le site du gouvernement, « un plan climat présente les risques et les possibilités liés à la lutte contre les changements climatiques. Il identifie également les projets prioritaires pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES), s'adapter aux changements climatiques et soutenir la transition climatique. » Les 5 MRC de la Gaspésie sont engagées dans ce processus.Le programme Action-climat, quant à lui, soutient la mobilisation dans la lutte contre les changements climatiques, et vise à susciter l'engagement des citoyens et des organisations dans l'action climatique, en appuyant des initiatives émanant de la société civile. Le FCTÉ reçoit du financement via ce programme pour l'initiative des CZéN, dont une partie du financement de CZéN Gaspésie en découle d'ailleurs. Également, en Gaspésie, le projet de sécurité et d'autonomie alimentaire du Collectif Nourrir notre monde, dont l'Unité régionale de loisir et de sport de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine est fiduciaire, a également été l'un des (disons-le, rares…) projets retenus.
251007PC Politik für Erwachsene?Mensch Mahler am 07.10.2025Premiere im Bundestag: Zum ersten Mal stand eine Abgeordnete mit Baby in der Bauchtrage am Redepult. Es war die Grünen-Abgeordnete Hanna Steinmüller, die zum Etat des Bauministeriums sprach. Am Thema lag es hoffentlich nicht: Steinmüllers Baby verfolgte den Auftritt der Mutter gelassen und offenbar schlafend.Die 32-Jährige, die Ende Dezember Mutter wurde, nahm ihr Kind bereits bei früheren Anlässen ins Plenum mit. Insofern war nur der genaue Ort, das Redepult des Bundestags, eine Premiere. "Wilder Tag. Wir freuen uns erstmal am Feierabend", schrieb Steinmüller am Mittwochabend in einer Instagram-Story. Steinmüller vertritt seit 2021 den Wahlkreis Berlin-Mitte im Bundestag.Steinmüller fordert schon lange eine bessere Vereinbarkeit von Familie und Beruf – für alle. Die Realität sehe oft so aus: "Eine 40-Stunden-Woche, die Familien ignoriert. Eine Teilzeit-Falle, die vor allen Dingen Frauen trifft. Eine Kita-Krise, die Eltern zermürbt." Das Parlament solle "ein Abbild unserer Gesellschaft sein, auch in Strukturen, die Mütter nicht im Stich lassen", sagte sie bei Instagram einige Tage vor ihrer Rede mit Baby.Parlamentspräsidentin Julia Klöckner schrieb danach, ebenfalls in einer Story bei Instagram: "Mutter mit Säugling und Betreuungsherausforderung? Hanna Steinmüller hat das mit ihrem Kind bravourös gemeistert." Deshalb halte sie es auch für vertretbar, Säuglinge unter gewissen Umständen im Plenarsaal zuzulassen, erklärte die CDU-Politikerin. Aktuell können Abgeordnete nach vorheriger Absprache mit der Sitzungsleitung ihre Babys mit in den Plenarsaal nehmen.Mahler meint: Wenn Babys und Kinder im Plenarsaal zugelassen werden ist zu hoffen, dass Politik in Zukunft für die Zukunft gemacht wird. Für die nachkommenden Generationen eben. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
L'avocat de l'abolition de la peine de mort va entrer au Panthéon. « Le dernier "saint de la République" », titre Le Nouvel Obs. Ministre de la Justice, président du Conseil constitutionnel, sénateur : le magazine explore ce qui fait de lui une « figure morale incontestable » en rappelant, au-delà de son combat contre la peine de mort, son « rôle décisif dans la dépénalisation de l'homosexualité » et son « souci constant des détenus dont il rappelait qu'ils demeuraient avant tout des citoyens ». « Robert Badinter n'est pas un personnage fade et consensuel, sans angles ni aspérités, qui ne suscitait aucun conflit », ajoute auprès du Nouvel Obs l'ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira, figure de la gauche, tout comme l'était Robert Badinter, même si ses valeurs d'universalisme et d'humanisme sont parfois appréhendées, souligne le magazine, de différentes façons au sein de son propre camp. « Chacun projette en Badinter sa propre vision de la République », résume Le Nouvel Obs, qui est donc persuadé que « cette panthéonisation, l'une des dernières de la présidence Macron, ne divisera pas ». « Très rares sont ceux qui, en 2025, contestent » l'héritage de Robert Badinter. 5 objets symboliques au Panthéon Un an et demi après sa disparition, à 95 ans, cet avocat « nourri de l'esprit des Lumières et de Condorcet », rappelle Le Nouvel Obs, va donc rejoindre le Panthéon, jeudi 9 octobre. Plus précisément, indique L'Express, ce sont 5 objets symboliques qui seront déposés dans un cénotaphe, un tombeau élevé à la mémoire d'un mort, mais qui ne contient pas son corps. Une robe d'avocat, une copie du discours de Robert Badinter devant l'Assemblée nationale, le 17 septembre 1981, au moment de l'abolition de la peine de mort, et trois livres dont un de Victor Hugo, les Choses vues, dans lequel est écrite cette résonnante phrase : « Heureux si l'on peut un jour dire de lui : En s'en allant, il emporta la peine de mort ». Cette panthéonisation est « une récompense magnifique », se réjouit sa femme, Elisabeth Badinter, dans les colonnes du Point. « Celle de la France à l'égard de ce petit Juif issu d'une famille très modeste. » Robert Badinter dont le père, Simon, a été arrêté à Lyon en 1943 par Klaus Barbie, pour être déporté puis gazé au camp de Sobibor, en Pologne. La résurgence de l'antisémitisme depuis l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023, ce fut donc « un choc » pour lui, témoigne sa femme dans Le Point, qui publie justement un extrait d'un livre de Robert Badinter qui vient de paraître, Sur l'épreuve de l'antisémitisme. Une société israélienne « traumatisée » Ces mots résonnent particulièrement à l'approche du 7 octobre, et des deux ans de guerre entre Israël et le Hamas. Dans le même magazine (imprimé avant la réponse du Hamas au plan de paix proposé par Donald Trump) : cet article d'une correspondante à Tel-Aviv qui écrit qu'une « grande partie de la société israélienne redoute qu'une nouvelle déception ne vienne à nouveau doucher ce début d'espoir ». « Une société traumatisée », rapporte Le Point, qui a rencontré plusieurs psychologues israéliens dont les cabinets ne désemplissent pas depuis l'attaque du Hamas, le 7 octobre 2023. « Plusieurs études estiment à environ 3 millions le nombre d'Israéliens souffrant de troubles plus ou moins importants. » « Le Centre israélien sur la toxicomanie et la santé mentale évoque une hausse de 25 % de la consommation de drogue. » Malaise perceptible, aussi, dans les pays étrangers, de la France aux États-Unis. Le Point cite d'abord cette Parisienne de 56 ans qui « demande à son gendre d'ôter sa kippa quand il sort », et qui ressent « une haine, une défiance s'installer » à son travail. Elle envisage de rejoindre Israël avec sa fille d'ici l'été. Plus de 2 000 Français sont partis en 2024, soit le double de l'année précédente. À New York, aussi, « la sérénité a disparu », témoigne un autre Français installé dans cette ville pourtant vue, depuis plus d'un siècle, rappelle Le Point, « comme un refuge pour la population juive persécutée ». La probable arrivée de Zohran Mamdani à la mairie de New York inquiète une partie de la communauté, braquée par certaines déclarations du candidat démocrate et musulman. Visite dans un mémorial du 7-Octobre Une société israélienne « qui se radicalise », aussi, observe Le Nouvel Obs, « et qui ne cesse de revivre l'attaque la plus meurtrière de son histoire ». En témoigne ce reportage à Réïm, à la frontière avec Gaza, sur le site de la fête techno Nova, où le Hamas a assassiné des centaines de jeunes, le 7 octobre 2023. Un mémorial a été installé, accueillant, chaque jour, « de nombreux cars » et « des groupes de visiteurs ». Ils se recueillent devant les photos des victimes, mais aussi face au « cimetière de voitures calcinées avec, à chaque véhicule, un QR code qui envoie sur le téléphone l'histoire tragique de ses occupants ». Non loin, dans le kibboutz Nahal Oz, une partie de la population revient. « Il y a des tractopelles un peu partout, décrit Le Nouvel Obs, ça construit, ça rénove. Les jardins sont luxuriants ; des familles avec des poussettes se promènent, imperturbables quand retentit le son des explosions. » « Les gens comprennent, dit une habitante, que c'est important que nous, Juifs, habitions cet endroit, près de la frontière. Pour la sécurité de notre pays. » « Évidemment, il y a d'abord eu le choc et le deuil après le 7-Octobre, se souvient la rabbin Delphine Horvilleur auprès du Nouvel Obs. Et puis, très vite, la sidération face au manque d'empathie pour les victimes israéliennes. Mais j'ai également senti ce moment où certains des miens ont aussi vrillé, où la radicalité à l'intérieur de ma communauté est allée croissant. La difficulté pour la rabbin que je suis, dit-elle, est que je dois accompagner mon peuple dans la consolation et la quête de sécurité auxquelles il a pleinement droit et, simultanément, que je dois l'accompagner dans son questionnement sur lui-même, dans sa possibilité de critiquer le gouvernement du seul Etat-refuge dont il dispose. Et par moments, je ne sais plus si je dois tendre un miroir ou tendre les bras aux miens. » Sébastien Lecornu coincé entre les socialistes et la droite À la Une, également : la fin du compte à rebours pour la composition du nouveau gouvernement français. Ce sera aujourd'hui, 5 octobre, selon La Tribune Dimanche ; dans les 48h, d'après le JDD. Le Journal du dimanche anticipe « 24 ministres grand max » et révèle déjà son casting : la présence de la droite « devrait être renforcée » autour de Bruno Retailleau, maintenu ministre de l'Intérieur, tout comme Gérald Darmanin à la Justice. Sur le flanc gauche, en revanche, « seul Manuel Valls conserverait les Outre-mer ». Il faut dire qu'avec les socialistes, le chef du gouvernement « semble toujours dans une situation très précaire », observe La Tribune Dimanche, qui se demande si le PS décidera, ou non, immédiatement de censurer Sébastien Lecornu à l'issue de sa déclaration de politique générale, mardi 7 octobre. Le Premier ministre a pourtant accédé à une revendication des socialistes en renonçant au 49.3, mais ils « insistent sur la suspension de la réforme des retraites », chose dont la droite « ne veut pas entendre parler »... Les Républicains qui, eux, avancent, d'après La Tribune Dimanche, « sans enthousiasme vers une participation gouvernementale ». Tout cela, résume le journal, permet à Sébastien Lecornu « d'appréhender un peu plus les limites du défi auquel il est confronté à une époque où seule la radicalité paie et le compromis est vu comme une faiblesse ».
durée : 00:04:35 - India Song : une rêverie de Rimski-Korsakov à Wayne Shorter - A la découverte d'un air d'opéra du compositeur Nikolaï Rimski-Korsakov devenu, au fil des années, un véritable standard de jazz et même l'hymne officiel d'un Etat américain ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Si la Chine a tant de difficulté à se doter d'une image valorisante et de confiance, c'est en premier lieu en raison de sa conception des droits de l'homme, et du corps de l'Etat qui les appliquent - la police. Or en cet épisode, j'ai deux occasions de vous présenter cette dernière, en des termes pour une fois flatteurs : à vous de juger, sur cette maréchaussée souvent pire, mais parfois aussi meilleure ! Tous ces épisodes, inspirés par mes souvenirs et l'actualité, n'ont que le double but de vous amuser et de matérialiser la Chine, la rendre vivante et présente à vos oreilles. Si vous aimez ce que vous entendez, merci de reposter le lien sur Facebook, LinkedIn, Twitter, TikTok etc. J'en ai besoin, car le nombre d'auditeurs reste trop bas. Vous pouvez aussi me répondre pour commenter -sur LinkedIn, en titrant mon nom. Merci - Eric MEYER
C dans l'air l'invité du 23 septembre 2025 avec Pierre Haski, chroniqueur international à France Inter et au Nouvel Obs.La France et plusieurs autres pays ont reconnu hier "l'État de Palestine" depuis la tribune de l'ONU, tentant de renforcer la pression sur Israël pour mettre un terme à la guerre à Gaza, dans le cadre d'un mouvement historique mais à la portée encore avant tout symbolique. "La France reconnaît aujourd'hui l'Etat de Palestine", a déclaré solennellement sous les applaudissements le président français, Emmanuel Macron, à l'ouverture de la grand-messe annuelle des Nations unies à New York."Le temps est venu d'arrêter la guerre, les bombardements à Gaza, les massacres et les populations en fuite. (...) Le temps de la paix est venu, car nous sommes à quelques instants de ne plus pouvoir la saisir", a-t-il martelé. Il a toutefois précisé que l'établissement d'une ambassade de France dans un futur Etat palestinien serait conditionné à la libération des otages détenus à Gaza.Emmanuel Macron est à l'initiative de ce sommet, coprésidé avec l'Arabie saoudite, sur l'avenir de la solution à deux Etats, après des mois d'intense travail diplomatique pour rallier un maximum de pays et tenter de forger un plan de paix. "La France devient un agent déstabilisateur de la région Moyen-Orient", a réagi ce matin sur RTL l'ambassadeur d'Israël en France, Joshua Zarka. Une réaction du président américain Donald Trump était attendue cet après-midi à l'ONU.Pierre Haski donnera son analyse sur la portée de cette reconnaissance d'un État palestinien par la France, et par désormais 158 pays. Comment cheminer désormais vers la paix ? Il réagira aussi à une information du jour : le survol de drones sur le Danemark, dénoncé aujourd'hui comme une "grave attaque" par la Première ministre Mette Frederiksen.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a promis de riposter à la décision de la France et d'autres pays, notamment le Royaume-Uni et le Canada, de reconnaître un Etat palestinien. « Aucun Etat palestinien ne verra le jour à l'ouest du Jourdain. Nous avons doublé les implantations juives en Judée-Samarie [nom donné par Israël à la Cisjordanie] et nous continuerons sur cette voie », a-t-il déclaré dans une vidéo publiée dimanche 21 septembre.La population de colons israéliens y croît en effet sans discontinuer depuis cinquante ans, un phénomène qui s'est accentué depuis les attaques du Hamas du 7 octobre 2023. L'objectif du gouvernement israélien est clair : entraver la continuité territoriale entre les centres urbains palestiniens, et donc empêcher, de fait, la création d'un Etat palestinien.Comment les Israéliens procèdent-ils pour annexer, morceau par morceau, la Cisjordanie ? Comment les Palestiniens y vivent-ils aujourd'hui ? Et de quelle manière la guerre à Gaza a-t-elle dégradé leurs conditions d'existence ? Raphaëlle Rérolle, grande reporter au Monde, de retour de reportage en Cisjordanie, répond à ces questions dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde ».Un épisode de Garance Muñoz, réalisé par Amandine Robillard et Thomas Zeng. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait d'une prise de parole du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, le 21 septembre 2025 ; de l'émission C dans l'air, diffusée sur France 5 le 22 août 2025 ; d'un reportage diffusé au journal télévisé de France 2, le 26 octobre 2023 (archive INA) ; d'une prise de parole d'Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, le 10 septembre 2025.Cet épisode a été publié le 23 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air du 22 septembre 2025 - Etat palestinien: Macron dit oui... Trump dit nonQuelques mots du président de la République ce soir à la tribune des Nations unies, à New York, suffiront pour que la reconnaissance d'un État palestinien par la France soit effective. Ce lundi 22 septembre, Paris et Riyad vont coprésider le sommet en faveur de la mise en œuvre de la solution à deux États à l'Assemblée générale de l'ONU, où la France va officiellement reconnaître l'État de Palestine, en pleine guerre entre Israël et le Hamas.Il s'agit d'une promesse vieille de quarante ans, réitérée par tous les présidents depuis François Mitterrand. Mais c'est finalement Emmanuel Macron qui devrait franchir le pas à 21 heures (heure de Paris), au terme d'un processus accéléré ces derniers mois, embarquant avec lui plusieurs autres pays, dont le Royaume-Uni et le Canada.Cette reconnaissance a une portée très symbolique, mais les effets concrets, comme l'ouverture d'une ambassade, n'auront lieu qu'après la libération des otages à Gaza, et uniquement à cette condition, a indiqué Emmanuel Macron lors d'une interview sur la chaîne américaine CBS. Dans cet entretien, le chef de l'État a expliqué que les Palestiniens « veulent une nation, ils veulent un État, et nous ne devons pas les pousser vers le Hamas. Si nous ne leur offrons pas de perspective politique et une telle reconnaissance (...), ils seront coincés avec le Hamas comme unique solution. (…) Si nous voulons isoler le Hamas, le processus de reconnaissance et le plan de paix qui l'accompagne sont une précondition », a-t-il ajouté.Moteur de ce nouvel élan, Paris a déjà réussi à faire approuver, par une très large majorité (142 voix pour, 10 contre et 12 abstentions), la « déclaration de New York ». Il s'agit d'un texte préalable à la reconnaissance de la Palestine, élaboré par la France et l'Arabie saoudite, pour une solution à deux États excluant sans équivoque le Hamas de l'équation, et appelant à la libération des otages.Le président palestinien Mahmoud Abbas, qui doit s'exprimer au sommet par vidéo, car privé de visa par les États-Unis, a salué les nouvelles reconnaissances comme « un pas important et nécessaire vers la concrétisation d'une paix juste et durable ».Benyamin Netanyahou, de son côté, a réaffirmé dimanche 21 septembre qu'il n'y aura pas d'État palestinien, dans une vidéo adressée aux dirigeants occidentaux ayant reconnu cet État. Le Premier ministre israélien a par ailleurs affirmé qu'Israël allait étendre encore la colonisation en Cisjordanie occupée. Les États-Unis, principal allié d'Israël, se sont clairement opposés à ce processus de reconnaissance, ne jugeant pas l'Autorité palestinienne comme un partenaire crédible pour la paix. « Nous continuons à privilégier une diplomatie sérieuse plutôt que des mouvements pour la galerie. Nos priorités sont claires : la libération des otages, la sécurité d'Israël, ainsi que la paix et la prospérité pour toute la région, qui ne peuvent être garanties qu'en l'absence du Hamas », aurait déclaré un porte-parole du département d'État, sous couvert d'anonymat.Dans ce contexte, le discours de Donald Trump à la tribune de l'ONU ce mardi est très attendu.LES EXPERTS :- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - PATRICIA ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales - JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24
C dans l'air du 22 septembre 2025 - Etat palestinien: Macron dit oui... Trump dit nonLES EXPERTS :- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - PATRICIA ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales - JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24
durée : 00:10:04 - Journal de 18h - Israël rejette la reconnaissance "unilatérale" d'un Etat palestinien par des pays occidentaux, alors que plusieurs pays ont acté ce dimanche cette reconnaissance, à la veille de l'ouverture de l'Assemblée générale des Nations Unis à New York.
durée : 00:10:04 - Journal de 18h - Israël rejette la reconnaissance "unilatérale" d'un Etat palestinien par des pays occidentaux, alors que plusieurs pays ont acté ce dimanche cette reconnaissance, à la veille de l'ouverture de l'Assemblée générale des Nations Unis à New York.
durée : 00:10:20 - Journal de 18h - Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise, dans le Val d'Oise, a ordonné samedi à la mairie de Malakoff de retirer de son fronton un drapeau palestinien, hissé en amont de la reconnaissance par la France d'un Etat de Palestine.
durée : 00:10:20 - Journal de 18h - Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise, dans le Val d'Oise, a ordonné samedi à la mairie de Malakoff de retirer de son fronton un drapeau palestinien, hissé en amont de la reconnaissance par la France d'un Etat de Palestine.
C dans l'air l'invitée du 18 septembre 2025 avec Dominique de Villepin, ancien Premier ministreEmmanuel Macron a prévu d'annoncer la reconnaissance officielle de l'État de Palestine par la France devant l'Assemblée générale des Nations Unies, lundi 22 septembre. Le chef de l'Etat mise sur cet événement diplomatique de grande envergure pour donner un nouvel élan au processus de paix au Proche-Orient.Si la décision française ne dépend d'aucune instance internationale, ni d'un mécanisme législatif particulier, comme d'un vote du Parlement, elle procède néanmoins d'un effort diplomatique plus large, conjointement mené avec l'Arabie saoudite. Un texte a été rédigé, désormais connu comme la « Déclaration de New York », et constitue une feuille de route vers un retour de la paix dans la région. Ce document prévoit « un règlement juste, pacifique et durable du conflit israélo-palestinien, fondé sur la mise en œuvre effective de la solution à deux États ». La « Déclaration de New York » exclut également le Hamas des démarches diplomatiques et politiques, insistant sur la nécessité de désarmer le mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza depuis 2006, et qui a perpétré les attaques terroristes du 7 octobre 2023 contre Israël. À ce jour, 148 pays membres sur 193 reconnaissent l'Etat palestinien. Avec la France et le Royaume-Uni, ce sont désormais quatre des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies – l'organe exécutif de l'ONU -, qui valideront cette reconnaissance, la Chine et la Russie l'ayant fait dès la fin des années 1980.Dominique de Villepin, ancien Premier ministre et ancien ministre français de l'Intérieur et des Affaires étrangères, est notre invité. Il nous donnera son analyse sur le choix de la France de reconnaître un Etat palestinien lundi prochain. Il répondra aussi à nos questions sur l'actualité sociale en France, alors que des manifestations et grèves sont en cours partout en France aujourd'hui.
Die Generaldebatte im Bundestag zum Etat des Kanzleramts wurde zur Bühne für eine Grundsatzauseinandersetzung über Kanzler Merz und seine Politik. Während AfD-Chefin Weidel scharfe Kritik übte und ihm gebrochene Versprechen vorwarf, stimmte der Kanzler die Bürger auf einen „Herbst der Reformen“ ein. Opposition und Koalition zeigten sich tief gespalten.
Israels Gaza-Offensive: Das Militär hat mit Tausenden Soldaten und schwerem Gerät seine geplante Bodenoffensive in der Stadt Gaza begonnen. Schlagabtausch über die Haushaltspolitik der Regierung: Beginn der mehrtägigen Schlussdebatte über den Etat für 2025 im Bundestag. Hollywood-Legende Robert Redford ist tot: ein Nachruf. Moderation: Sascha Wandhöfer Von WDR 5.
Le deuxième Sommet africain sur le climat s'ouvre lundi 8 septembre à Addis-Abeba, où 45 chefs d'État et 25 000 délégués sont attendus pour cet évènement porté par les Nations Unies, l'Union africaine et l'Éthiopie. Celle-ci vient d'ailleurs de présenter sa candidature pour organiser le COP en 2027. L'un des objectifs du sommet de deux jours est de présenter les solutions concrètes en faveur du climat pour le continent africain, d'unifier aussi la voix des États en vue de la COP qui se tiendra en novembre au Brésil. La sénégalaise Aïssatou Diouf Notre invitée est une militante et une référence en Afrique pour les questions environnementales et responsable des politiques internationales et du plaidoyer au sein de l'ONG ENDA Énergie. Elle répond à Guillaume Thibault. RFI : Aïssatou Diouf, pourquoi ce 2ᵉ sommet africain est capital ? L'enjeu pour le continent, c'est à la fois de prendre le train en marche, mais surtout de parler d'une seule voix ? La Semaine africaine du climat est une plateforme stratégique pour l'Afrique, car elle permet aux pays, à la société civile et même au secteur privé de parler d'une seule voix, de défendre nos priorités face aux négociations mondiales. C'est donc le moment de démontrer que le climat peut être un levier de développement et d'emploi pour le continent. Donc, ce sommet va aligner les efforts des pays africains et surtout catalyser des actions concrètes, notamment sur les enjeux que j'ai cités précédemment. Quel message vous tirez du premier sommet qui s'est tenu il y a deux ans au Kenya, à Nairobi ? Les financements promis lors de ce sommet tardent à arriver et surtout, la mise en œuvre sur le terrain est encore très insuffisante. C'est pourquoi, à mon avis, cette édition doit aller beaucoup plus loin pour que les populations africaines voient réellement les bénéfices et les intérêts de ces sommets. Vous attendez beaucoup des discussions sur les questions de transition énergétique. Pour quelle raison est-ce essentiel ? Vous savez, la transition énergétique est un enjeu vital. Nous avons encore plus de 600 millions de personnes sans accès à l'électricité. Donc le défi, il est double. Premièrement, c'est répondre à cette urgence sociale tout en réduisant notre dépendance aux énergies fossiles. Mais également, on sait tous que l'Afrique doit l'aborder aussi comme une opportunité de développement en misant sur ses immenses ressources en solaire, en éolien, en hydraulique. Rappeler également que cette transition doit être juste. Le mot juste a tout son intérêt. Ça doit guider ce processus, cette transition-là. Donc, elle ne peut pas reposer uniquement sur nos budgets nationaux qui sont déjà très contraints. Donc, cela appelle à une solidarité internationale entre les pays du Nord et les pays du Sud. L'argent reste le nerf de la guerre. Dans un récent rapport, les Nations unies indiquent que 2 000 milliards de dollars ont été investis juste l'année dernière, en 2024, dans les énergies propres, mais que le continent africain n'a quasiment rien touché. Pourquoi l'Afrique reste à la marge. Donc, ce qu'il faut aujourd'hui, c'est à l'échelle internationale, réfléchir sur les mécanismes qui sont adaptés aux réalités du continent, amener aujourd'hui les banques de développement à avoir des mécanismes appropriés pour financer cette transition énergétique, le développement des énergies renouvelables et qu'enfin les pays développés respectent leurs engagements financiers. À lire aussiSommet africain sur le climat: le continent se veut source d'innovation et de solution Est-ce que vous imaginez parfois un système de sanctions pour tous ces pays qui promettent des financements, mais qui au final ne les versent jamais ? Maintenant, on sait comment le système onusien est organisé et structuré. Il est très difficile aujourd'hui de sanctionner ces États-là. Par contre, aujourd'hui, on sait que les citoyens constituent une force incontournable qui demande de la redevabilité à leurs Etats. Je pense qu'on peut s'appuyer sur ces citoyens là pour demander aux Etats de rendre compte, mais surtout aux Etats, de respecter leurs engagements. Est-ce qu'aujourd'hui, on pourrait imaginer ou c'est une utopie ? Les Etats Unis d'Afrique du climat ? Pourquoi est-ce que les Etats ont tant de difficultés à s'accorder, à avoir un vrai impact sur des discussions ou sur des négociations, notamment lors des COP ? Je pense qu'on va tendre vers cela. On n'a pas le choix. Si aujourd'hui l'Afrique veut impacter au niveau des discussions à l'échelle internationale, on doit parler d'une seule et même voix. On doit avoir des positions coordonnées portées par nos leaders politiques. Pourquoi est-il difficile d'avoir ce travail de coordination ? On n'a pas tous le même niveau de développement. Ce sont des aspects également géopolitiques où chaque Etat essaie de se positionner. Un pays, par exemple, qui découvre le pétrole et le gaz, va vouloir forcément l'exploiter, alors que les impacts du réchauffement climatique sont là. Il faudrait qu'à l'échelle de l'Union africaine, que nous arrivions à avoir des politiques au niveau continental très coordonnées, qui puissent impacter durablement nos communautés, mais également qu'au niveau international, dans les débats et dans les discussions, que nous puissions peser. Est-ce que la COP 30 qui va se tenir au mois de novembre au Brésil, Je pense qu'il y a beaucoup de pays africains qui sont sortis très déçus de la COP de l'année dernière à Bakou. Cette COP qui se tient en terre brésilienne, plus précisément en terre amazonienne, c'est une symbolique fort pour les pays en développement, notamment la question des forêts, la question de la taxe carbone et j'espère que les conclusions qui seront issues de la Semaine africaine du climat vont être portées par nos décideurs politiques pour pouvoir impacter les conclusions de la COP de Belem. À lire aussi Aïssatou Diouf, militante tout terrain de la cause climatique
Le 22 septembre prochain aux sièges de l'ONU, la France deviendra officiellement le premier pays du G7 à reconnaître l'Etat de Palestine.Le président Emmanuel Macron en avait fait l'annonce le 24 juillet, juste après une visite en Egypte pendant laquelle il a rencontré des femmes et des enfants palestiniens, blessés, par des bombardements israéliens.Le Royaume Uni, autre membre permanent du conseil de sécurité de l'ONU, ainsi que le Canada, ont annoncé dans la foulée leur intention de faire de même. 147 pays reconnaissent actuellement l'existence de cet Etat partagé entre la Cisjordanie et la bande de Gaza. Pourquoi Emmanuel Macron a pris cette décision ? Pourquoi la France n'avait pas encore reconnu jusqu'ici l'Etat de Palestine ? Réponse dans Code source avec deux journalistes du Parisien : Charles du Saint Sauveur, chef du service international, et Henri Vernet du service politique, spécialiste des questions de diplomatie. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France Info, France 24. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Notre pays est en danger parce que nous sommes au risque du surendettement », c'est « une malédiction qui n'a pas d'issue ». Ces dernières semaines, François Bayrou a multiplié les déclarations pessimistes quant à l'état des finances publiques du pays. Le premier ministre dramatise l'enjeu à quelques jours d'un vote de confiance de l'Assemblée nationale qui pourrait le voir chuter sur cette question.La dette française a atteint, fin mars, 114 % du produit intérieur brut. Les économistes le jugent-ils si inquiétants ? Pourquoi les leviers à actionner pour la réduire proposés par le premier ministre sont-ils largement contestés par les oppositions ? Et que proposent-elles comme mesures alternatives pour assainir les comptes publics. Etat des lieux dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde » avec Denis Cosnard, journaliste au service politique du Monde.Un épisode de Marion Bothorel, réalisé par Florentin Baume. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Musiques : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extraits de deux conférences de presse tenues par François Bayrou le 15 juillet 2025 et le 25 août 2025, de son intervention le 26 août 2025 lors de la rentrée syndicale de la CFDT, d'une interview de Gabriel Zucman sur France Inter le 11 juin 2025 et de l'allocution télévisée d'Emmanuel Macron, le 15 mars 2020.Cet épisode a été publié le 5 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Un « devoir moral » et une « exigence politique » : c'est ainsi qu'Emmanuel Macron qualifie son choix de reconnaître la Palestine en tant qu'Etat. Le président français doit officialiser cette reconnaissance lors de l'Assemblée générale des Nations unies, à New York, qui se tiendra du mardi 9 au mardi 23 septembre.Alors que le gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou orchestre l'anéantissement de la bande de Gaza et accélère l'annexion de la Cisjordanie, M. Macron espère insuffler une nouvelle dynamique internationale et construire un chemin vers la paix. Cette dynamique est bel et bien enclenchée puisque le Canada, l'Australie, le Royaume-Uni et la Belgique ont également annoncé leur intention de reconnaître l'Etat de Palestine en septembre.Le projet de M. Macron consiste à remettre au centre du jeu diplomatique la solution à deux Etats, c'est-à-dire le règlement du conflit israélo-palestinien par la création de deux Etats distincts, l'un arabe et l'autre juif. Une feuille de route qui ulcère le gouvernement israélien, Benyamin Nétanyahou étant allé jusqu'à accuser le président français d'« alimenter le feu antisémite ».Cette solution à deux Etats est-elle encore réaliste ? Quelles conditions le locataire de l'Elysée a-t-il posées pour acter la reconnaissance de la Palestine, notamment vis-à-vis du Hamas ? Et de quelle manière les autorités israéliennes œuvrent-elles pour anéantir la perspective d'un Etat palestinien ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Gilles Paris, éditorialiste au Monde et ancien correspondant à Jérusalem, analyse le choix d'Emmanuel Macron et ses conséquences.Un épisode de Garance Muñoz. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Réalisation : Amandine Robillard. Dans cet épisode : déclaration du président français, Emmanuel Macron, le 30 mai 2025 ; extrait d'un discours du ministre des finances israélien, Bezalel Smotrich, le 14 août 2025 ; extrait d'une archive du JT de France 2, diffusée le 13 septembre 1993 ; extrait d'un discours de Mohammed Ben Salman, le prince héritier d'Arabie saoudite, le 11 octobre 2023.Cet épisode a été diffusé le 3 septembre 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Petits ou grands, politiques ou sociaux, les événements se précipitent ces temps -ci à Pékin autour du Président Xi Jinping. On découvrira ici comment il s'initie au surf en mer de Bohai, comment il se rend à Lhassa pour vanter les vertus de la stabilité de la rue, comment il reçoit à Tianjin les grands de ce monde, sévères dirigeants de la moitié de la planète... On verra aussi le sens réel de ces péripéties, et leur rôle destiné à masquer les haies que va devoir franchir le Premier Secrétaire dans les mois qui suivent. Car ce jeu de nouvelles fictives voire artificielles, n'est qu'un jeu de miroirs inversé des très réelles difficultés rencontrées par le chef de l'Etat. Ecoutez donc ! Tous ces épisodes, inspirés par mes souvenirs et l'actualité, n'ont que le double but de vous amuser et de matérialiser la Chine, la rendre vivante et présente à vos oreilles. Si vous aimez ce que vous entendez, merci de reposter le lien sur Facebook, LinkedIn, Twitter, TikTok etc. J'en ai besoin, car le nombre d'auditeurs reste trop bas. Vous pouvez aussi me répondre pour commenter -sur LinkedIn, en titrant mon nom. Merci - Eric MEYER
C dans l'air l'invitée du 25 août 2025 avec Pierre Haski, chroniqueur international à France Inter et au Nouvel Obs.Dans une lettre adressée au chef de l'Etat obtenue ce dimanche 24 août au soir, Charles Kushner, ambassadeur des Etats-Unis en France, a dénoncé «l'absence d'action suffisante» du Président contre l'antisémitisme. Par cette missive, il a appuyé les arguments de Benyamin Nétanyahou qui a récemment critiqué la volonté de la France de reconnaître un Etat palestinien.Des accusations «inacceptables», a réagi le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères en fin de soirée ce dimanche, qui les «réfute fermement», sur le fond et sur la forme : «Elles vont à l'encontre du droit international, en particulier du devoir de ne pas s'immiscer dans les affaires intérieures des Etats […]. Elles ne sont par ailleurs pas à la hauteur de la qualité du lien transatlantique entre la France et les Etats-Unis et de la confiance qui doit en résulter entre alliés.»Dans un courrier officiel, mardi 19 août, le Premier ministre israélien s'en était à nouveau pris à la volonté du président français d'appeler à la reconnaissance internationale de l'Etat de Palestine, suggérant qu'une telle posture nourrissait l'antisémitisme. L'Elysée avait vivement répondu, dénonçant une accusation «erronée, abjecte».Pierre Haski, chroniqueur international à France Inter et au Nouvel Obs, reviendra avec nous sur l'état des relations entre la France et Israël. Des relations froides depuis un certain temps, et qui se tendent sur fond de reconnaissance de l'état palestinien. Il nous éclairera aussi sur la portée de la convocation de l'ambassadeur américain à Paris. Enfin, il nous parlera de la diplomatie française au Proche-Orient, et de l'importance du sujet dans le débat public. Ce matin sur RTL, Anne-Laure Abitbol, soeur d'Ilan Halimi, a réclamé qu'Emmanuel Macron prenne «des mesures pour que l'on puisse vivre sereinement en tant que Juif en France». Dans le même temps, la reconnaissance du état palestinien est souhaitée par une grande partie de l'opinion publique.
Quand on proposa à Winston Churchill de couper dans le budget de la culture du Royaume-Uni pour alimenter l'effort de guerre il répondit “mais alors pourquoi se bat-on ? ”. La culture nous enrichit, la culture est un bien, la culture est un besoin… un besoin social, un vecteur d'éducation et de développement personnel comme collectif La culture est bien des choses, une politique publique, mais aussi un élément patrimonial, un témoignage de l'histoire, un héritage, parfois une composante de l'identité, un lien entre les individus du présent, mais aussi un lien avec les civilisations du passé. La culture est donc essentielle, on l'a dit elle est bien des choses Mais la culture est-elle un droit ? Si la culture est de l'essence de la civilisation, la réponse positive s'impose : il est logique qu'elle puisse être considérée comme un droit, au moins dans les démocraties qui reconnaissent l'existence d'un Etat de Droit. Mais est-ce aussi simple ? Pour répondre à cette question, j'ai le plaisir de recevoir Isabelle DEFARGE, Présidente de chambre à la Cour d'appel de Nîmes.
Invités : - Arthur Delaporte, député PS du Calvados - Sarah Saldmann, avocate - Raphael Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - David Belliard, maire adjoint à Paris et candidat écologiste aux prochaines municipales - Victor Eyraud, Journaliste politique à Valeurs Actuelles - Jules Torres, journaliste politique au JDD Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 25 juillet 2025, retour sur l'annonce d'Emmanuel Macron de reconnaître l'Etat de Palestine et les réactions de la classe politique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Frédéric Encel, docteur en géopolitique, maître de conférences à Sciences-Po Paris Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Georges Fenech, ancien magistrat et député honoraire du Rhône - Vincent Roy, journaliste et écrivain Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Kommentiert wird unter anderem der Vorstoß der EU-Kommission, ihren Etat deutlich zu erhöhen. www.deutschlandfunk.de, Presseschau
Die Zeitungen beschäftigen sich unter anderem mit der Aussprache über den Etat des Kanzleramts im Bundestag, der sogenannten Generaldebatte. www.deutschlandfunk.de, Presseschau
Ce mardi 8 juillet, l'année blanche fiscale ou le gel des dépenses publiques, une piste considérée par le gouvernement pour réaliser 40 milliards d'économie et définir les grandes orientations du budget 2026, et le coût de la dette souveraine de la France, ont été abordés par Agnès Bénassy-Quéré, sous-gouverneure de la Banque de France, François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, et Denis Payre, président de Nature & People First, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La journaliste Marie Guerrier explore le bilan du chèque emploi service universel (CESU). Il permet de rémunérer des employés à domicile avec un crédit d'impôt de 50%. Qui utilise le CESU ? Faut-il le réduire, le supprimer pour renflouer les caisses de l'État ? Les invités : - Julie L'Hotel Delhoume, présidente de la FEPEM, la Fédération des particuliers employeurs. - Maxime Aiach, ancien président de la Fédération des entreprises de service à la personne. Il est le président et co-fondateur de Domia Groupe qui comprend les sociétés Acadomia, Shiva et Nos aîmés. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.