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« L'annonce a fait l'effet d'un coup de tonnerre nocturne à N'Djamena, s'exclame Le Monde Afrique. Dans un communiqué publié, jeudi dernier, quelques heures après la fin de la visite au Tchad du ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, le gouvernement tchadien a déclaré “mettre fin à l'accord de coopération en matière de défense signé avec la République française“. L'annonce prend de court tous les observateurs, alors que le ministre et son entourage n'ont rien laissé paraître au sortir de leur rencontre avec le président, Mahamat Idriss Déby. “La France doit considérer désormais que le Tchad a grandi et mûri, que le Tchad est un Etat souverain et très jaloux de sa souveraineté“, a simplement indiqué son homologue tchadien, Abderaman Koulamallah. »Dans la logique des élections…Quelques heures plus tôt, jeudi dernier, le Sénégal annonçait lui aussi la fin de sa coopération militaire avec Paris.Le président Bassirou Diomaye Faye a été très clair, rapporte Le Point Afrique : « “la souveraineté ne s'accommode pas de la présence de bases militaires“. Une nouvelle doctrine de coopération sécuritaire qui exclut de fait toute base étrangère : française ou non. (…) L'enjeu était avant tout politique pour Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko, affirme Le Point Afrique, qui avaient été portés à la tête de la nation sur la base d'une vive critique des ingérences étrangères, au premier rang desquelles figurait la France. Après leur victoire, ils n'avaient pas vraiment fait mention des bases françaises, au grand désarroi de leurs électeurs. Cette prise de position forte sur le plan de la souveraineté vient aujourd'hui rassurer une base électorale qui vient tout juste de réitérer son soutien aux autorités en leur conférant une majorité absolue au Parlement. »Une étape « cruciale et inévitable »Pour Jeune Afrique, « ce 28 novembre 2024 restera dans l'histoire de la relation entre la France et l'Afrique comme une date historique, celle du dernier coup de clairon d'une retraite passablement humiliante pour la “Coloniale“, cette armée de conquête devenue symbole de sujétion bien au-delà des indépendances. (…) Après la Centrafrique en 2015, le Mali en 2022, le Burkina Faso et le Niger en 2023, l'armée française est donc en passe de quitter ce qui lui restait de positions dans cette bande sahélo-soudanaise qui lui a si longtemps servi de bac à sable pour entraîner ses troupes et voler au secours de régimes amis de la France. »Toutefois, analyse Jeune Afrique, « ce départ forcé ne devrait pas être interprété pour autant comme une humiliation ou un camouflet par la France, mais comme l'étape cruciale et inévitable de la nécessaire refondation de ses relations avec ses ex-colonies. Sauf à Djibouti, où les bases militaires sont une assurance-vie existentielle contre les convoitises de voisins qui estiment que ce petit État n'aurait jamais dû exister, l'armée française n'a plus rien à faire sur le continent, estime le site panafricain, et les dirigeants ivoiriens et gabonais, qui abritent chez eux les derniers confettis de l'empire colonial défunt, seraient bien inspirés d'y songer. En 2024, plus de soixante ans après les indépendances, cette présence était une anomalie à laquelle les présidents Faye et Déby Itno avaient toutes les raisons de vouloir mettre un terme. »« Seuls face à l'enjeu sécuritaire… »Attention, prévient pour sa part Ledjely en Guinée, « les militants authentiques de la reconstruction des relations franco-africaines doivent rester à la fois prudents et vigilants. Car autant leur aspiration à un partenariat plus avantageux pour l'Afrique est légitime, autant il ne faut pas se contenter de renvoyer les néo-colons pour laisser la place aux colons locaux. De même, l'attitude intransigeante que nous adoptons aujourd'hui à l'égard de la France doit rester la même à l'égard de tous les partenaires, qu'ils soient de l'Ouest ou de l'Est. Sinon, nous courons vers un leurre ! »Et le quotidien Aujourd'hui au Burkina Faso de conclure : « désormais, le Sahel et le Sahara sont seuls face à l'enjeu sécuritaire. Plus de sous-traitance polémiquée en matière de défense ! Il est plausible que le Tchad rejoigne l'AES et que se mette en place une force sous-régionale pour combattre l'hydre terroriste. Quels résultats engageront ces pays qui entament une seconde décolonisation aux forceps ? Le souverainisme teinté d'idéocratie accouchera de quoi ? Le monde a les yeux rivés sur cette partie de l'Afrique où des militaires au pouvoir et des civils élus tentent de trouver la voie pour développer leurs pays. Tâche noble, mais ô combien parsemée de ronces ! »
« L'annonce a fait l'effet d'un coup de tonnerre nocturne à N'Djamena, s'exclame Le Monde Afrique. Dans un communiqué publié, jeudi dernier, quelques heures après la fin de la visite au Tchad du ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, le gouvernement tchadien a déclaré “mettre fin à l'accord de coopération en matière de défense signé avec la République française“. L'annonce prend de court tous les observateurs, alors que le ministre et son entourage n'ont rien laissé paraître au sortir de leur rencontre avec le président, Mahamat Idriss Déby. “La France doit considérer désormais que le Tchad a grandi et mûri, que le Tchad est un Etat souverain et très jaloux de sa souveraineté“, a simplement indiqué son homologue tchadien, Abderaman Koulamallah. »Dans la logique des élections…Quelques heures plus tôt, jeudi dernier, le Sénégal annonçait lui aussi la fin de sa coopération militaire avec Paris.Le président Bassirou Diomaye Faye a été très clair, rapporte Le Point Afrique : « “la souveraineté ne s'accommode pas de la présence de bases militaires“. Une nouvelle doctrine de coopération sécuritaire qui exclut de fait toute base étrangère : française ou non. (…) L'enjeu était avant tout politique pour Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko, affirme Le Point Afrique, qui avaient été portés à la tête de la nation sur la base d'une vive critique des ingérences étrangères, au premier rang desquelles figurait la France. Après leur victoire, ils n'avaient pas vraiment fait mention des bases françaises, au grand désarroi de leurs électeurs. Cette prise de position forte sur le plan de la souveraineté vient aujourd'hui rassurer une base électorale qui vient tout juste de réitérer son soutien aux autorités en leur conférant une majorité absolue au Parlement. »Une étape « cruciale et inévitable »Pour Jeune Afrique, « ce 28 novembre 2024 restera dans l'histoire de la relation entre la France et l'Afrique comme une date historique, celle du dernier coup de clairon d'une retraite passablement humiliante pour la “Coloniale“, cette armée de conquête devenue symbole de sujétion bien au-delà des indépendances. (…) Après la Centrafrique en 2015, le Mali en 2022, le Burkina Faso et le Niger en 2023, l'armée française est donc en passe de quitter ce qui lui restait de positions dans cette bande sahélo-soudanaise qui lui a si longtemps servi de bac à sable pour entraîner ses troupes et voler au secours de régimes amis de la France. »Toutefois, analyse Jeune Afrique, « ce départ forcé ne devrait pas être interprété pour autant comme une humiliation ou un camouflet par la France, mais comme l'étape cruciale et inévitable de la nécessaire refondation de ses relations avec ses ex-colonies. Sauf à Djibouti, où les bases militaires sont une assurance-vie existentielle contre les convoitises de voisins qui estiment que ce petit État n'aurait jamais dû exister, l'armée française n'a plus rien à faire sur le continent, estime le site panafricain, et les dirigeants ivoiriens et gabonais, qui abritent chez eux les derniers confettis de l'empire colonial défunt, seraient bien inspirés d'y songer. En 2024, plus de soixante ans après les indépendances, cette présence était une anomalie à laquelle les présidents Faye et Déby Itno avaient toutes les raisons de vouloir mettre un terme. »« Seuls face à l'enjeu sécuritaire… »Attention, prévient pour sa part Ledjely en Guinée, « les militants authentiques de la reconstruction des relations franco-africaines doivent rester à la fois prudents et vigilants. Car autant leur aspiration à un partenariat plus avantageux pour l'Afrique est légitime, autant il ne faut pas se contenter de renvoyer les néo-colons pour laisser la place aux colons locaux. De même, l'attitude intransigeante que nous adoptons aujourd'hui à l'égard de la France doit rester la même à l'égard de tous les partenaires, qu'ils soient de l'Ouest ou de l'Est. Sinon, nous courons vers un leurre ! »Et le quotidien Aujourd'hui au Burkina Faso de conclure : « désormais, le Sahel et le Sahara sont seuls face à l'enjeu sécuritaire. Plus de sous-traitance polémiquée en matière de défense ! Il est plausible que le Tchad rejoigne l'AES et que se mette en place une force sous-régionale pour combattre l'hydre terroriste. Quels résultats engageront ces pays qui entament une seconde décolonisation aux forceps ? Le souverainisme teinté d'idéocratie accouchera de quoi ? Le monde a les yeux rivés sur cette partie de l'Afrique où des militaires au pouvoir et des civils élus tentent de trouver la voie pour développer leurs pays. Tâche noble, mais ô combien parsemée de ronces ! »
Joe Chialo (CDU) muss große Einschnitte im Etat der Berliner Kultur rechtfertigen. Für den Kritiker Ingo Arend macht der Kultursenator keine gute Figur: Die Behauptung, er habe höhere Kürzungen von 70 Millionen Euro verhindert, sei unglaubwürdig. Arend, Ingo www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit
Ce lundi 25 novembre, l'état des lieux du marché immobilier après le Séminaire Technique du Pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment a été fait par Marie Coeurderoy et Fabio Rinaldi, président du Directoire de BigMat France, dans la chronique La place de l'immo dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission BFM Patrimoine du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
In Essen soll eine Wohnsiedlung abgerissen werden. Die Eigentümer wollen den Neubau - die aktuellen Mieter lieber eine Sanierung. Ums Geld geht es auch bei der Stadt: Übermorgen entscheiden die Politiker im Rat über den Doppelhaushalt 2025/26. Kurz vorher wurde aber noch Änderungsbedarf angemeldet. Außerdem steigen die Immobilienpreise in Essen nur leicht an. Die Preise liegen weiter unter dem Bundesdurchschnitt.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.
Schultens, Katharina;Wostrak, Annette www.deutschlandfunkkultur.de, Lesart
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Lesart - das Literaturmagazin (ganze Sendung) - Deutschlandfunk Kultur
Schultens, Katharina;Wostrak, Annette www.deutschlandfunkkultur.de, Lesart
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l'année suivante. Avant de partir à l'assaut de Babylone, il s'assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d'Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d'une région dont la prospérité va en s'accroissant depuis la période saïte. Lorsqu'il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu'il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d'Alexandre, chacun hérite d'une partie de son empire. Ptolémée remporte l'Egypte. C'est lui qui s'emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu'il s'attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d'Alexandre, et à l'étendre au-delà des frontières de l'Egypte. A son maximum, le royaume lagide s'étend jusqu'à l'île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d'Asie Mineure et de mer Egée. Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s'affirment comme des souverains à la grecque. L'idéologie royale qu'ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l'empire d'Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d'une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d'or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d'offrandes, selon les canons de l'art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l'Egypte sa puissance commerciale d'autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l'abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s'affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu'à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
C dans l'air du 20 novembre - Procès Palmade : le sexe, la drogue... et la chuteC'est l'heure du jugement pour Pierre Palmade. Bientôt deux ans après le grave accident de la route qu'il a provoqué en conduisant sous l'emprise de stupéfiants, il a été confronté à l'ouverture de son procès au récit des vies brisées des victimes de la famille de la voiture qu'il a percutée. Dans le véhicule, se trouvaient le conducteur, un homme de 38 ans, son fils de six ans et sa belle-sœur de 27 ans, enceinte au moment de la collision. Leurs pronostics vitaux avaient été engagés. "C'est très difficile pour moi d'être présente aujourd'hui dans cette salle, il y a un gros travail fait avec ma psychiatre", a témoigné la jeune femme. Enceinte de six mois lors des faits, elle a perdu son bébé. "Je ne pourrai plus redevenir comme avant", a de son côté déclaré le conducteur de la Mégane. Son foie et ses intestins ont été atteints et ses hanches restent très fragilisées.En février 2023, après trois jours sans dormir en prenant des drogues, l'artiste avait conduit sur une route départementale de Seine-et-Marne et percuté de face une Renault Mégane qui arrivait en sens inverse, blessant grièvement ses passagers. La France avait alors découvert la descente aux enfers de l'humoriste, sa toxicomanie, ses pratiques sexuelles, largement racontées dans les médias. Aujourd'hui, c'est un homme seul qui comparait devant le tribunal de Melun. L'expertise en accidentologie a conclu que la cause du choc revenait exclusivement à l'humoriste. Les deux passagers qui étaient avec lui lors de l'accident ont bénéficié d'un non-lieu. L'analyse toxicologique a montré la forte présence de stupéfiants, de la cocaïne et de la 3MMC, une drogue de synthèse addictive et dangereuse. La juge d'instruction a renvoyé Pierre Palmade devant le tribunal pour "blessures involontaires, aggravées par la prise de drogues", sans toutefois retenir la qualification d'"homicide involontaire" requise par le parquet pour la perte du fœtus car une expertise médicale a montré qu'il était mort in utéro dans la collision, donc sans existence légale. Mais les parties civiles entendent bien porter ce débat à l'audience. "Ce choix du magistrat instructeur est, à mon sens, hautement contesté et contestable, il doit donc être discuté", a ainsi déclaré l'avocat des trois victimes de l'accident, Mourad Battikh, ce mercredi. Pierre Palmade encourt une peine de 14 ans d'emprisonnement et 200 000 euros d'amende car il se trouve en état de récidive légale en raison d'une condamnation en 2019 pour usage de stupéfiants. Une consommation de drogues qui explose en France selon le dernier rapport de l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT), touche désormais tous les milieux et on l'a appris récemment avec l'affaire Andy Kerbrat ne s'arrête pas aux portes de l'Assemblée nationale. Le député la France Insoumise de Loire-Atlantique avait été surpris mi-octobre en train d'acheter de la 3MMC dans le métro à Paris. L'élu avait reconnu les faits qu'il avait mis sur le compte d'une «addiction» et de «problèmes personnels». Ce que l'on ne savait pas en revanche, et qu'a révélé Médiapart vendredi 15 novembre, c'est que le parlementaire aurait financé sa consommation grâce à son compte AFM – pour avance de frais de mandat – que l'Assemblée alimente chaque mois. Cette somme, qui s'élève à 5950 euros selon le site de l'Assemblée, doit permettre aux députés, qui touchent déjà une indemnité mensuelle de 7 600 euros brut, de couvrir leurs frais d'élu. Contacté par Mediapart, Andy Kerbrat confirme avoir fait "n'importe quoi" avec ses frais de mandat et avoir utilisé l'enveloppe pour son usage personnel. En revanche, il nie que cet argent ait servi directement "à acheter de la drogue". Il dit par ailleurs avoir remboursé ces dépenses auprès de l'Assemblée "sur la base d'un calcul qu'il aurait effectué avec son comptable", explique Mediapart, soit environ 25 000 euros.Nous reviendrons ce soir sur ces deux affaires et plus largement sur la forte augmentation de la consommation des drogues en France, notamment de la cocaïne. Malgré des saisies records, cette drogue se répand sur le territoire, en passant souvent par les ports notamment au Havre où intimidations et violences contre les dockers se multiplient ces dernières années. "Ce risque portuaire est bien identifié. C'est par là que l'essentiel de la cocaïne fait son entrée en France", avait affirmé le sénateur Etienne Blanc (LR), rapporteur de la commission d'enquête sur le narcotrafic, en mai dernier. "On n'est pas dans un narco-Etat, mais on s'en approche", avait également alerté le sénateur. Les experts : - Damien DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice - Le Parisien- Laurent KARILA - Professeur de psychiatrie-addictologie à l'hôpital Paul Brousse (Villejuif)- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Clotilde CHAMPEYRACHE - Économiste-criminologue – CNAM, auteure de Géopolitique des mafias PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
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Autorisation des missiles à longue portée pour l'Ukraine : vers un engrenage dangereux ? / L'amendement LFI sur le financement de l'école publique lèse-t-il l'école privée ? / les déclarations chocs de Jean-Luc Mélenchon / Etat des lieux de la biodiversité
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Spécial Salon RENT 2024C'est le jour de l'élection de Donald Trump à la Présidence des Etats-Unis, et jour d'ouverture du RENT, que nous avons eu le plaisir de recevoir au micro Charles Marinakis, Président de Century 21. Etat du marché immobilier de l'ancien, place de l'agence dans l'écosystème immobilier ou encore parcours des Français dans leur chemin vers la propriété, arrivée au pouvoir de Donald Trump et éventuelle influence sur le marché immobilier américain… Autant de points que notre invité aborde avec finesse et précision.Une émission animée par Anne-Sandrine Di Girolamo.
'Soundtrack to a Coup D'Etat' is an eclectic film essay exploring the U.S. influence in Congo in the 1960s that ranged from jazz concerts to political subversion. Filmmaker Johan Grimonprez creates a heady swirl of history that beckons us to look and listen more closely.
Invité.es:Cristina Ferreira et Marco Cicchini. Décisions de curatelle, sanctions pénales ou placements psychiatriques: voilà autant de mesures que lʹEtat prend parfois à lʹencontre de la population. Quel est la place accordée à lʹécoute dans ces décisions? Comment cette écoute a-t-elle évoluée avec le temps? Le droit dʹêtre étendu est-il et a-t-il toujours été absolu? Tribu reçoit Cristina Ferreira, sociologue, et Marco Cicchini, historien.
C dans l'air du 29 octobre - Trump / Harris : hors de contrôle...Un point d'écart dans les Etats-clés. À une semaine du scrutin décisif, la course à la Maison-Blanche est toujours aussi indécise outre-Atlantique. Les sondages ne parviennent pas à départager Donald Trump et Kamala Harris dans cette dernière ligne droite d'une campagne folle, très serrée mais aussi très genrée, qui voit plus que jamais deux Amériques s'opposer.Impossible aujourd'hui de dire qui de Donald Trump ou Kamala Harris l'emportera le 5 novembre prochain. Pourtant chaque camp dépense sans compter et rend coup pour coup. Le bras de fer se durcit et la campagne se radicalise. Dans un climat de veille de guerre civile, Donald Trump a ainsi tenu un grand rassemblement dimanche soir à New York au Madison Square Garden, où il a repris ses menaces contre les "ennemis de l'intérieur" et ses promesses d'expulser des millions de personnes après sa victoire. Insultes, propos racistes et sexistes se sont succédé lors de ce meeting mais c'est surtout les mots injurieux de l'humoriste Tony Hinchcliffe envers les Latinos, qualifiant notamment Porto Rico "d'île flottante de déchets" qui ont provoqué un tollé. L'équipe républicaine s'est empressé d'expliquer que "cette blague ne reflète pas les opinions du président Trump", les réactions depuis se multiplient.Ainsi le musicien portoricain Bad Bunny, superstar du reggaeton, vient d'apporter son soutien à Kamala Harris. Un renfort de poids pour la candidate démocrate, alors que le vote latino ( 1/5ème du corps électoral ) pourrait s'avérer déterminant notamment en Pennsylvanie, Etat qui offre le plus de grands électeurs et où la candidate démocrate effectuait lundi sa vingtième visite. Ce ralliement constitue donc une belle prise de guerre pour Kamala Harris qui enchaîne ces derniers jours les évènements de campagne accompagnée par des célébrités influentes telles que Beyoncé, Bruce Springsteen, les époux Obama ou encore l'acteur Samuel L. Jackson, avant de prononcer ce mardi soir son réquisitoire final contre Donald Trump lors d'un meeting organisé juste à côté de la Maison-Blanche. C'est là que le 6 janvier 2021, Donald Trump avait prononcé son discours avant les évènements du Capitole. De son côté, l'ex-président répondra à ce discours depuis Mar-a-Lago, avant de filer en Pennsylvanie, État labouré également depuis des semaines par l'un de ses principaux soutiens : Elon Musk. En quelques mois le milliardaire, propriétaire de X, patron de Tesla et Starlink, est devenu l'un de ses plus fervents supporteurs. L'homme le plus riche du monde ne se contente plus de financer le candidat républicain, il est devenu un rouage à part entière de sa campagne avec des méthodes qui questionnent. Ainsi il multiplie les rassemblements et a lancé une loterie quotidienne dotée de 1 million de dollars pour inciter les gens à s'inscrire sur les listes électorales. Un procédé litigieux sur le plan juridique qui pourrait s'apparenter à l'achat de voix. Le procureur du district de Philadelphie, principale ville de l'État de Pennsylvanie, a annoncé dans un communiqué avoir engagé une action au civil pour obtenir l'arrêt de cette "loterie illégale".Alors comment se déroulent les derniers jours de campagne aux Etats-Unis ? Quel est le véritable rôle d'Elon Musk auprès de Donald Trump ? Quel est l'intérêt de l'homme le plus riche du monde à s'impliquer autant dans la course à la Maison-Blanche ? La présidentielle américaine va-t-elle se jouer sur la question du genre ? Quel est le poids des questions économiques dans la campagne ? Nos journalistes se sont rendus à Middletown, une ville dans le Connecticut, dont est originaire J.D. Vance, le colistier républicain de Donald Trump.Les experts :- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV, spécialiste des questions internationales- Vincent JOLLY - Grand reporter – Le Figaro Magazine - Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L'art de trumper - Sonia DRIDI - Correspondante aux Etats-UnisDIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Nous sommes au IIIe siècle avant notre ère. C'est à cette époque que débarque dans nos régions, une bande de Celtes originaires d'Europe centrale. Les voilà qui se mettent à peupler un vaste territoire compris entre la Manche et la Mer du Nord, à l'ouest, le Rhin au nord et à l'est, la Seine et la Marne au sud. Ce sont les Atrébates, les Eburons, les Ménapiens, les Morins, les Nerviens, les Trévires, les Rèmes, les Ambiens et quelques autres : ce sont les Belges. « Fortissimi Belgae », selon Jules César. Braves, courageux, belliqueux : le sens de ces mots est, aujourd'hui encore, sujets à interprétations … Beaucoup de mythes ont été construits autour de ces anciens Belges, la naissance du jeune Etat-nation en 1830 nécessitait, en effet, la recherche de grandes figures héroïques pour peupler son panthéon, quitte à prendre quelques libertés avec l'Histoire. Alors qui sont-ils ces anciens belges ? Partons dans un monde aux contours très flous … Invité : Pierre Cattelain, directeur scientifique du Cedarc/Musée du Malgré-Tout à Treignes, collaborateur au CReA-Patrimoine à l'ULB et à l'ULG. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Invité: Bernard Baertschi. De nombreuses personnalités, surtout américaines, se revendiquent libertariennes. Elon Musk est peut-être le plus connu. Mais il y a eu aussi lʹancien candidat à la présidentielle Ron Paul. Le libertarisme (ou libertarianisme) estime que la liberté de chaque individu est une valeur absolue et veut le moins dʹEtat possible, voire aucun. Dʹoù vient ce courant de pensée? En quoi diffère-t-il du libéralisme ou de lʹanarchie? Quelle est sa vision du monde? Tribu en parle en compagnie de Bernard Baertschi, ancien maître dʹenseignement et de recherche à lʹiEH2 (institut Ethique Histoire Humanités) à Genève.
durée : 00:17:50 - Disques de légende du lundi 28 octobre 2024 - Née à Augusta en Géorgie, en 1945, la chanteuse lyrique Jessye Norman vient d'un Etat du Sud, où la ségrégation et le racisme étaient assez implantés.
durée : 00:21:31 - Harris-Trump : le clash - par : Frédéric Martel - Économie, immigration, avortement, guerre : quelles sont les préoccupations des américains ? - invités : Ludivine Gilli Docteure en histoire, spécialiste des États-Unis; Pierre Vimont Ancien ambassadeur de France aux Etats-Unis, ancien secrétaire général exécutif du Service européen pour l'action extérieure, chercheur associé au think tank Carnegie Europe
Aujourd'hui, Elina Dumont, Jérôme Marty et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Lorsque les taux d'intérêt baissent, tout le monde en général est content… sauf les banques. Ces deux dernières années, la Banque centrale européenne n'a pas hésité à augmenter très fortement et très rapidement les taux d'intérêt pour casser la fièvre inflationniste. Durant cette période de remontée des taux d'intérêt nos banques ont réalisé des profits souvent historiques. Mais cette période faste risque de l'être un petit peu moins en 2025 toujours à cause de cette même Banque centrale européenne qui est en train de faire baisser ses taux plus vite que prévu. Depuis juin dernier, la Banque centrale européenne a déjà entamé trois baisse des taux d'intérêt et comme l'inflation en zone euro est tombée sous la barre des 2 %, les taux d'intérêt vont continuer à baisser d'ici les 18 mois qui viennent. Mais cette baisse des taux, salué par tout le monde, ne fait pas les affaires des banques. Elle pourrait d'ailleurs coûter 600 millions d'euros de perte de revenus au secteur bancaire en Europe en 2025, d'après des analystes financiers. Le cabinet de conseil McKinsey, il estime que les banques européennes devront accélérer la baisse de leurs coûts si elles veulent garder leurs marges. Mais qui va payer la baisse de la marge des banques? Est-ce le client via des frais augmentés sur les services ou via les commissions prises sur ses investissements en actions ? Ou est-ce L'actionnaire qui devra s'habituer à ne pas recevoir des dividendes aussi plantureux qu'en 2023 ?. Mots-Clés : immobilier, achat, entrepreneur, dette, endettement, investissement, projet, Etat, dette publique, court terme, long terme, inflation, Belgique, profit, record, actionnaire, euro, zone euro, perte, coût, dividende, calculs, intermédiation, crédit, dépôt, pression --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
durée : 00:04:51 - Le Reportage de la rédaction - Des élections cruciales le 26 octobre en Géorgie. Ce petit Etat du Caucase vote pour des législatives considérées comme un test pour la démocratie et les aspirations européennes de longue date de Tbilissi, Le parti au pouvoir le Rêve Géorgien agite les peurs. Nous sommes allés en Kakhétie - invités : Marie-Pierre Vérot Journaliste à la rédaction internationale de Radio France
A 10h, ce jeudi 24 octobre 2024, les GG : Emmanuel de Villiers, entrepreneur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Stéphane Manigold, restaurateur, débattent de : L'Etat doit-il vendre ses bijoux de famille ?
durée : 00:04:51 - Le Reportage de la rédaction - Des élections cruciales le 26 octobre en Géorgie. Ce petit Etat du Caucase vote pour des législatives considérées comme un test pour la démocratie et les aspirations européennes de longue date de Tbilissi, Le parti au pouvoir le Rêve Géorgien agite les peurs. Nous sommes allés en Kakhétie - invités : Marie-Pierre Vérot Journaliste à la rédaction internationale de Radio France
Après ces élections, le réveil va être dur. La dette publique que ce soit au niveau wallon, bruxellois ou fédéral ne laisse aucune marge de manœuvre aux politiques qui viennent d'être élus. Ils ont juste oublié de nous le dire avant les élections. Les élections en Belgique et en France auront bientôt un goût amer pour les électeurs. En Wallonie, l'électorat a voté à droite dans l'espoir d'un changement radical et immédiat. Mais il va découvrir que la dette publique wallonne, mais également fédérale, ne laissera pas de place pour des cadeaux fiscaux. Et en France, c'est la droite qui succède à une autre droite, tout aussi maladroite en matière de gestion publique, puisqu'il est avéré maintenant qu'Emmanuel Macron et son ministre des Finances, Bruno Le Maire, ont signé des chèques en blanc, au point que Michel Barnier, le nouveau Premier ministre, est aujourd'hui obligé d'imposer un plan d'austérité. Et c'est là que j'en viens au débat sur la dette publique. Si vous parlez, par exemple à un syndicaliste ou un économiste partisan de l'endettement, il vous dira que l'erreur que commettent les gens, c'est de comparer le budget d'un État avec celui d'un ménage. En effet, les partisans de la rigueur budgétaire, comme les Allemands, disent que l'État, la région ou la commune devraient se comporter comme un ménage et donc avoir un budget en équilibre. Oui, sauf qu'un ménage n'est pas éternel alors que l'État n'a pas de durée de vie déterminée. Et donc, ce que nous disent ces syndicalistes et ces économistes : la dette publique n'a pas d'importance car elle roule comme on dit. Sous entendu qu'on ne remboursera jamais et pour peu que les taux d'intérêt ne soient pas trop élevés. S'endetter n'est donc pas un drame pour un Etat, car il n'est pas mortel comme un ménage. Alors le raisonnement est court, comme l'a fait remarquer l'économiste Etienne Wasmer, professeur à la New York University, la comparaison avec un ménage ne tient pas la route, écrit-il. Alors que diriez-vous alors si l'Etat était une A.S.B.L ? Mots-Clés : accord, équilibre, cotisations, raison, prévisions, revenus, exactes, imposer, adhésion, obligatoire, personne proximité, prétexte, pyramide, modèle économique, librement, subventions, membres, saccager, locaux, emprunt, faillite, direction, réduire, déficit, personne droguée, promesse, route, adhérent, dissolution, défaut, autorité de tutelle, direction, redresser, valable, exemple fictif, réalité, résumer, somme, déficits annuels, accumulé, fil du temps, déficit, lâcheté, fourmi, cigale, ancien, passer à la caisse puisque, mort, impôts, politiques, élections, flatter, vache, traire. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Nous sommes le 18 février 1970, à la Chambre des représentants. C'est le jour où Gaston Eyskens, Premier ministre, tient un discours qui va marquer les annales. Il dit : « L'Etat unitaire, tel que les lois le régissent encore dans ses structures et dans son fonctionnement, est dépassé par les faits. Les Communautés et les Régions doivent prendre leur place dans les structures rénovées de l'Etat, mieux adaptées aux situations du pays. » Durant les mois qui suivent, le gouvernement va chercher à trouver un compromis sur la nouvelle architecture institutionnelle et les mécanismes de protection des minorités. En décembre, quelques jours avant Noël, la révision des articles de la Constitution est adoptée à une large majorité. Dans les rangs socialistes, le vote est quasi unanime. La première étape de la décentralisation de l'Etat belge est donc ouverte. La réforme constitutionnelle crée, à la fois, le principe de Communautés, défendu avant tout par les partis néerlandophones, et celui de trois Régions, promu par les partis francophones. Mais la question bruxelloise va bloquer l'avancée du fait régional. Comment se porte le socialisme à cette époque, quel rôle va-t-il jouer dans les années suivantes marquées par les tensions entre communautés, par la crise économique et les mesures d'austérité ? Histoire du socialisme en Belgique, troisième et dernière partie. Avec nous : Pascal Delwit, professeur de science politique à l'Université libre de Bruxelles. « Le socialisme en Belgique (1885-2024) – Origines, acteurs, développements . » ; Ed. de L'Université de Bruxelles. Sujets traités : Socialisme, Gaston Eyskens, région, état, Communauté Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Ce Week-End on a appris que la Banque belge a exclu 7 villes wallonnes de son dernier financement. Et quand on voit le nom de ces villes, à savoir : Liège, Charleroi, Mons, Ath, Namur, La Louvière et Verviers, on comprend qu'en réalité, c'est la totalité des grandes villes wallonnes qui n'auront plus de financement de la part de la banque ING. Enfin, quand je dis plus de financement, du moins dans le cadre du plan Oxygène. Un plan qui se présente donc sous la forme d'un emprunt qui, comme son nom l'indique, est là pour donner un petit peu d'oxygène aux communes wallonnes surendettées. Je précise que 2 villes, Liège et Charleroi, les 2 plus grandes, représentent à elles seules 60% de l'endettement wallon. Dans le cadre de cet emprunt oxygène, la Région wallonne avait prévu de lever 350 millions d'euros auprès des banques en 2024. Outre le fait que Belfius, CBC et BNP Paribas Fortis se sont désistés de cette offre, seul ING a répondu à l'appel. Mais là, avec cette exclusion de 7 villes, il va manquer 268 millions d'euros pour boucler les besoins financiers de 2024. c'est plus qu'un embarras, c'est une bombe lancée juste quelques jours avant les élections communales… Mots-Clés : réticence, prêter de l'argent, villes wallonnes, redressement, finances communales, Bruxelles, situation, brillant, étude des finances locales, déficit, réserve, prescrit légal, équilibre, mauvaise gestion, Etat fédéral, tâches, dépense, détriment, communes, final, mauvais signal, élections communales, devin, missions actuelles, remise en question, budget, screené, ausculté, scalpel, au final, éventuelle baisse, impôts, initié, régional, fédéral, compenser, hausses, taxes, impôts, mauvaises nouvelles, vote, rigolo, médias, citoyens, résumer, visage, bourgmestre local, sympathique, affinités, véritables enjeux, élection, proximité. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Pour débuter l'émission de ce vendredi 4 octobre 2024, les GG : Florence Rouas, avocate, Etienne Liebig, éducateur, et Bruno Pomart, ancien policier du Raid, débattent du sujet du jour : Immigration : conseil d'Etat, CEDH... faut-il passer outre ?
Depuis l'annulation, le 24 juin 2022, par la Cour suprême des Etats-Unis de l'arrêt fédéral Roe v. Wade, qui garantissait le droit d'avorter sur tout le territoire, chaque Etat a désormais la liberté de déterminer sa propre politique d'accès à l'avortement. Une petite moitié des cinquante Etats américains ont depuis décidé d'interdire ou de restreindre l'accès à l'avortement.Une décision qui divise l'Amérique et qui compte parmi les sujets au cœur de l'élection présidentielle du 5 novembre. La candidate démocrate Kamala Harris a fait du rétablissement du droit à l'avortement au niveau fédéral l'un de ses arguments de campagne et tente d'attirer vers elle les voix des indécis avec ce sujet.A quel point l'interruption volontaire de grossesse sera-t-elle déterminante pour l'élection présidentielle ? Quelles conséquences l'annulation de l'arrêt Roe v. Wade a-t-elle eu sur les femmes américaines ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », notre productrice et envoyée spéciale aux Etats-Unis, Garance Muñoz, s'est rendue dans une clinique qui pratique l'avortement en Virginie. Elle a également interrogé Anne Légier, maîtresse de conférences spécialisée dans l'histoire de l'avortement, et Piotr Smolar, correspondant du Monde à Washington.Un épisode écrit et présenté par Garance Muñoz. Rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Florentin Baume.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Frédéric Farah, Barbara Lefebvre, et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C'est-ce que disent les officiers de police et les tribunaux de commerce, mais est ce aussi simple que cela ? Un article basé sur un coup de sonde auprès du Tribunal de commerce, ou plutôt de l'entreprise à Bruxelles, mais aussi de la Cellule de lutte contre le blanchiment d'argent et aussi auprès d'officiers de police, tout ce petit monde s'inquiète d'une hausse des fraudes commises via des sociétés nouvellement créées. Et leur reproche majeur qui ressort de ce sondage médiatisé, c'est que le nouveau code des sociétés, entré en vigueur il y a cinq ans, permet de créer plus rapidement et plus facilement donc une société. Résultat, les criminels et surtout les spécialistes du blanchiment d'argent en auraient donc profité pour créer des tas de sociétés bidon, sociétés liées notamment au trafic de drogue en Belgique. Les intervenants de cette enquête reprochent notamment au législateur belge d'avoir fait disparaître l'obligation d'avoir un capital minimum pour créer une entreprise et d'avoir remplacé cette obligation par la simple rédaction d'un plan financier à déposer chez le notaire. Sous entendu, si le nombre de nouvelles sociétés a explosé ces dernières années, ce serait à cause de cette absence de capital minimum pour créer une société commerciale. Alors si c'est une bonne chose, effectivement, pour la start-up, nous disent les notaires, c'est en revanche une porte ouverte aux dérives, dit le tribunal de l'entreprise. Et notamment pour la création de sociétés fantômes qui n'ont qu'un seul but criminel. Alors vu comme ça, le lecteur lambda risque de crier au loup ? Eh bien il aurait tort… Mots-Clés : actualité, sourire, Belgique, titres de presse, professeur de droit, légiférer, anecdotes, raisonner, criminel, blanchisseur d'argent, autoroute, smartphone, communiquer, mission, narcotrafiquant, banque, frein, fatal, Etat, changement, code des sociétés, illogisme, législateur belge, plan financier, Garde-fou, chefs d'entreprise, experts-comptables, bidon, chiffres, hypothèse, voiture, showroom, valeur, public, pénalement, sérieux, légion, faciliter, création, start-up, vendeur, produit, service, boite, commercial, euros, famille, amis, entourage, réalité, vie, fonds, test, juger, viabilité, résumé, problème, lutte, banditisme, absence, moyens, disposition, paresse, intellectuel. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Que se passerait-il si la France n'arrivait pas à voter son budget pour 2025 ?Agnès Verdier-Molinié explore les différents scénarios possibles dans l'hypothèse où aucun accord budgétaire ne serait trouvé d'ici la fin de l'année. Des conséquences sur le paiement des salaires des fonctionnaires et des pensions aux risques pour le financement de la dette publique, en passant par les possibilités offertes par la Constitution, les invités dressent un tableau détaillé des enjeux et des défis qui se présenteraient alors.Cet épisode offre un éclairage précieux sur le fonctionnement des institutions et les mécanismes budgétaires, permettant de mieux comprendre les rouages de la prise de décision politique en matière économique. Une analyse fine et engagée qui saura captiver tous les auditeurs, qu'ils soient passionnés d'économie ou simplement curieux de découvrir les coulisses du pouvoir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Pour débuter l'émission de ce vendredi 27 septembre 2024, les GG : Antoine Diers, consultant, Jérôme Marty, médecin, et Joëlle Dago Serry, coach de vie, débattent du sujet du jour : faut-il supprimer l'aide médicale d'Etat ?
(00:00:92) Scranton, lieu de naissance de Joe Biden et ville clé des élections américaines (00:02:13) La Pennsylvanie, état pivot que les républicains disputent désormais aux démocrates (00:03:66) Le comté de Luzern, symbole du virage républicain des zones postindustrielles de la Pennsylvanie (00:08:45) Erie, petit comté pivot d'un Etat pivot (00:13:77) Scranton restera-t-elle démocrate malgré le retrait de Joe Biden? Interview de la maire de la ville Paige Cognetti