Podcasts about Sceaux

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L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 6h - 29/07/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 10:38


Dans cette édition :Le ministre de l'Économie résume le compromis trouvé entre l'Union Européenne et les États-Unis concernant les droits de douane, avec des exemptions pour certains secteurs mais des conséquences pour d'autres filières comme les cosmétiques et les vins.Le garde des Sceaux dévoile les dix articles de sa future réforme du système judiciaire, prévoyant notamment de réserver les peines de prison avec sursis aux seuls primo-délinquants.Les autorités mettent en demeure une mosquée des Hauts-de-Seine pour avoir invité un éditeur controversé soupçonné de faire la promotion d'un islam radical.Les chiffres alarmants des homejackings, ces cambriolages violents où les propriétaires sont menacés, augmentent de 7% en un an en France.Un serpent royal de 1m80 s'est échappé du terrarium de son propriétaire dans l'Essonne, inquiétant les habitants.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
Plainte des Macron contre Candace Owens : Éric Dupond-Moretti accuse l'influenceuse complotiste d'être une "proche de Marion Maréchal"

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 26, 2025 6:11


DOCUMENT RTL - L'ancien garde des Sceaux et proche du couple Macron établit des liens entre des membres de la galaxie de l'extrême droit française et l'influente américaine. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
PLAINTE DES MACRON CONTRE CANDACE OWENS - Sur RTL, Éric Dupond-Moretti dénonce "une affaire d'État"

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 26, 2025 7:00


DOCUMENT RTL - L'ancien garde des Sceaux et proche du couple Macron a décidé de s'exprimer à la suite de la plainte déposée aux États-Unis par le couple Macron contre l'influenceuse américaine Candace Owens. Éric Dupond-Moretti, l'ancien garde des Sceaux et proche du couple Macron, est l'invité de RTL ce samedi 26 juillet. Ecoutez L'invité de RTL avec Antoine Cavaillé-Roux du 26 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
Justice et politique : conversation entre Jean-Louis Bourlanges et Éric Dupond-Moretti

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 63:04


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 27 juin 2025.Avec cette semaine :- Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.- Éric Dupond-Moretti, avocat, ancien Garde des Sceaux.JUSTICE ET POLITIQUELa condamnation de Marine Le Pen, le 31 mars dernier, à cinq ans d'inéligibilité immédiate et à quatre ans de prison, dont deux fermes, a marqué l'actualité des derniers mois et a suscité de nombreux débats sur la judiciarisation de la vie politique. L'ancienne candidate aux élections présidentielles avait en effet recueilli 41% des suffrages au second tour de 2022, preuve de son poids politique et de sa capacité à être élue en 2027. Cette éventualité achoppe désormais sur la décision des juges. De « certains juges » aiment à souligner ceux qui évoque un « gouvernement des juges » pour qualifier l'emprise des magistrats sur la vie politique du pays et donc une dégradation de la démocratie.Notons que l'on rappelle rarement que l'évolution du rôle des tribunaux a son origine dans une volonté de moralisation de la vie politique liée à de nombreuses affaires de corruption. Le mouvement actuel de remise en cause des décisions judiciaires est mondial, il est aussi divers, puisque ce « gouvernement des juges » est également dénoncé en Israël ou aux États-Unis, qu'il est fréquent dans les régimes illibéraux comme la Hongrie ou l'Argentine, mais il dépasse les frontières de ces États pour devenir un enjeu important dans toutes les démocraties et susciter d'importants débats dans les médias, mais aussi dans le monde universitaire ou chez les magistrats eux-mêmes.En France, le rapport du Sénat du 29 mars 2022 soulignait à la fois le renforcement de l'État de droit et un certain affaiblissement du système démocratique, en rappelant notamment qu'une majorité des Français estime que les juges sont « plutôt politisés et laxistes ». Cette majorité était de 70% en novembre 2023. Pour ouvrir cette conversation, je propose de nous arrêter sur un sujet de société plutôt que sur un sujet politique. C'est-à-dire sur la récente censure par le Conseil constitutionnel de cinq articles d'une loi (dite loi Attal) qui entendait durcir la justice des mineurs. Ces cinq articles censurés portaient sur l'instauration d'une procédure de comparution immédiate pour les mineurs de 16 ans et plus déjà connus de la justice ayant commis une infraction punie de plus de trois ans de prison, sur l'extension des possibilités de recours à une audience unique. Sur l'inversion, pour les mineurs de 16 ans et plus récidivistes, du régime en matière d'atténuation des peines, c'est-à-dire l'excuse de minorité, en faisant de l'atténuation des peines l'exception et non plus le principe. Sur l'allongement de la durée de la détention provisoire à un an pour les mineurs de plus de 16 ans poursuivis pour certains délits et crimes terroristes ou commis en bande organisée. Et enfin, sur la possibilité de placer en rétention un mineur n'ayant pas respecté une mesure éducative judiciaire provisoire. Éric Dupond-Moretti, comment analysez-vous cette censure au regard de la question de la judiciarisation de la vie politique ?Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le goût du monde
Paris-Tokyo: récits et recettes métissées de deux pays qui s'aimantent

Le goût du monde

Play Episode Listen Later Jul 12, 2025 28:59


Une femme en kimono sortant d'un métro parisien : quelle est sa vie ? Vit-elle à Paris ? Pourquoi cette femme a-t-elle décidé de venir vivre en France ? Est-elle mariée à un Français ? Qui sont ses amis ? Que mange-t-elle ? Autant de questions à l'origine du livre de Dorothée Perkins, photographe, autrice et imprégnée de culture japonaise. De rencontres en rencontres, riches, entre Paris et Tokyo, elle a découvert un monde, et discerné les sources de la romance qu'entretiennent le Japon et la France depuis près de 2 siècles. Pour notre émission, le rendez-vous avait été donné chez Kiko et Tsuyu, mère et fille, toute deux artistes, peintre et plasticienne installées dans le 14ème arrondissement de Paris -un merveilleux ilot japonais- chez deux amies de 20 ans de Dorothée Perkins. Une rencontre suspendue, hors du temps, autour de la préparation d'un repas, observer les gestes, la confection de l'incontournable bouillon dashi, se découvrir, échanger, et au fil du repas confirmer l'attirance et le lien si doux entre nos cultures. Avec la peintre Kiko Shimizu, sa fille : l'artiste plasticienne Tsuyu Bridwell, Koto sa petite fille et Dorothée Perkins, photographe et autrice de « Paris Tokyo mon amour », paru aux éditions La Martinière. Un voyage dans le monde entre Paris et Tokyo, et des adresses de cœur y sont partagées comme chuchotées à l'oreille, ce livre est un cadeau. Dorothée Perkins est aussi l'autrice de « La foi, la fourche, la fourchette » avec Perrine Bulgheroni, aux éditions Hachette. Sur les réseaux. Pour découvrir le travail de Tsuyu Bridwell.   EN IMAGES   Pour aller plus loin - Épiceries Kioko, la première et la plus ancienne, 46 rue des Petits-Champs, Paris 2ème - Irasshai : 4-8 rue du Louvre, 75001 Paris - Dans l'émission, nous découvrons l'école hôtelière Tsuji dans le Beaujolais - L'association de Kimonos, de Yuki Eiffeil - Le parc de Sceaux pour observer les cerisiers en fleurs - Kunitoraya rue Sainte Anne à Paris - Les ramen chez Ippudo - Mika et Xavier Pensec à Brest, véritable sushi-ya, la cuisine de Xavier est un art : Hinoki - Le café Verlet à Paris  - L'association Quartier Japon - La maison du Japon  - Maison du Moji  - Nukadoko : légumes lactofermentés au son de riz - La banque de Tokyo, rue Sainte Anne, a laissé sa place aujourd'hui au supermarché coréen K-Mart - Cuisine japonaise maison, de Maori Murota - Dictionnaire gourmand du Japon de Chihiro Masui, éditions Flammarion - Les livres de Ryoko Sekiguchi notamment Nagori, aux éditions P.O.L - Paul Claudel l'oiseau noir dans le soleil levant, aux éditions NRF - Perfect Days, de Wim Wenders.   Programmation musicale : Allons voir, de Feu ! Chatterton.

Le goût du monde
Paris-Tokyo: récits et recettes métissées de deux pays qui s'aimantent

Le goût du monde

Play Episode Listen Later Jul 12, 2025 28:59


Une femme en kimono sortant d'un métro parisien : quelle est sa vie ? Vit-elle à Paris ? Pourquoi cette femme a-t-elle décidé de venir vivre en France ? Est-elle mariée à un Français ? Qui sont ses amis ? Que mange-t-elle ? Autant de questions à l'origine du livre de Dorothée Perkins, photographe, autrice et imprégnée de culture japonaise. De rencontres en rencontres, riches, entre Paris et Tokyo, elle a découvert un monde, et discerné les sources de la romance qu'entretiennent le Japon et la France depuis près de 2 siècles. Pour notre émission, le rendez-vous avait été donné chez Kiko et Tsuyu, mère et fille, toute deux artistes, peintre et plasticienne installées dans le 14ème arrondissement de Paris -un merveilleux ilot japonais- chez deux amies de 20 ans de Dorothée Perkins. Une rencontre suspendue, hors du temps, autour de la préparation d'un repas, observer les gestes, la confection de l'incontournable bouillon dashi, se découvrir, échanger, et au fil du repas confirmer l'attirance et le lien si doux entre nos cultures. Avec la peintre Kiko Shimizu, sa fille : l'artiste plasticienne Tsuyu Bridwell, Koto sa petite fille et Dorothée Perkins, photographe et autrice de « Paris Tokyo mon amour », paru aux éditions La Martinière. Un voyage dans le monde entre Paris et Tokyo, et des adresses de cœur y sont partagées comme chuchotées à l'oreille, ce livre est un cadeau. Dorothée Perkins est aussi l'autrice de « La foi, la fourche, la fourchette » avec Perrine Bulgheroni, aux éditions Hachette. Sur les réseaux. Pour découvrir le travail de Tsuyu Bridwell.   EN IMAGES   Pour aller plus loin - Épiceries Kioko, la première et la plus ancienne, 46 rue des Petits-Champs, Paris 2ème - Irasshai : 4-8 rue du Louvre, 75001 Paris - Dans l'émission, nous découvrons l'école hôtelière Tsuji dans le Beaujolais - L'association de Kimonos, de Yuki Eiffeil - Le parc de Sceaux pour observer les cerisiers en fleurs - Kunitoraya rue Sainte Anne à Paris - Les ramen chez Ippudo - Mika et Xavier Pensec à Brest, véritable sushi-ya, la cuisine de Xavier est un art : Hinoki - Le café Verlet à Paris  - L'association Quartier Japon - La maison du Japon  - Maison du Moji  - Nukadoko : légumes lactofermentés au son de riz - La banque de Tokyo, rue Sainte Anne, a laissé sa place aujourd'hui au supermarché coréen K-Mart - Cuisine japonaise maison, de Maori Murota - Dictionnaire gourmand du Japon de Chihiro Masui, éditions Flammarion - Les livres de Ryoko Sekiguchi notamment Nagori, aux éditions P.O.L - Paul Claudel l'oiseau noir dans le soleil levant, aux éditions NRF - Perfect Days, de Wim Wenders.   Programmation musicale : Allons voir, de Feu ! Chatterton.

Invité Afrique
Disparition de Foniké Menguè et Billo Bah en Guinée: «Nous voulons garder l'espoir de surtout les retrouver en vie»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 8:24


Le 9 juillet 2024, Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, les deux leaders de la société civile guinéenne, ont été arrêtés à Conakry par des hommes en armes et en uniformes. Sont-ils toujours en vie ? Depuis un an, on est sans nouvelles d'eux. « Pour nous, cette incertitude est insoutenable », disent leurs épouses et leurs proches. Un an après, la FIDH, la Fédération internationale pour les droits humains, appelle les États de la Cédéao à « se réveiller » pour faire libérer ces deux disparus. Maître Drissa Traoré est le secrétaire général de la FIDH. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Est-ce que vous gardez l'espoir que Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah sont vivants ? Maître Drissa Traoré : Oui, nous voulons garder l'espoir de surtout les retrouver en vie, ces deux militants des droits humains et de la société civile. Parce que, en l'état actuel, on n'a aucun élément qui puisse nous amener à croire qu'ils ne sont plus en vie. Et donc pour nous, l'espoir est toujours là et vivace. Est-ce qu'il y a eu des signes de vie depuis un an ? Non, nous n'avons pas de signes de vie, en dehors de quelques rumeurs, et de l'autre côté également, on n'a pas des éléments pouvant nous laisser croire qu'ils sont morts. Donc ce qui nous permet de garder de l'espoir jusqu'à ce moment précis. Le 9 janvier dernier, sur RFI, le porte-parole du gouvernement, Ousmane Gaoual Diallo, a déclaré que le ministre de la Justice ou le procureur général ferait bientôt un point de situation pour donner plus ample information sur l'évolution de l'enquête… Nous l'avons cru, nous l'avons espéré et malheureusement, depuis plusieurs mois, nous attendons ces déclarations. Nous attendons ce point-là, et rien ne vient. Et nous pensons que c'est le lieu d'interpeller le garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l'homme, je précise, et le Procureur général, pour qu'ils puissent nous situer sur l'état de progression et d'avancement de cette enquête-là. Parce que leur silence, ce lourd silence, devient de plus en plus insupportable pour nous. Alors, depuis un an, il y a une mobilisation internationale en faveur des deux disparus, notamment de la part des États-Unis. La Commission africaine des droits de l'homme et des peuples et le Groupe de travail des Nations unies sur les disparitions forcées ont publié un communiqué commun, c'était en octobre dernier, dans lequel ils ont fait part de leurs craintes grandissantes sur les risques de tortures et même d'exécutions concernant ces deux disparus. Est-ce que la communauté internationale se mobilise assez à vos yeux ? Non. Au départ, nous avons vu beaucoup de mobilisation. Mais au fur et à mesure que le temps passe, cette mobilisation s'affaiblit. Cela nous inquiète et nous voulons interpeller la communauté internationale, surtout les organisations sous-régionales, pour que la question de ces deux disparus et des autres disparus puisse être à l'ordre du jour et que le gouvernement guinéen continue d'être interpellé, afin qu'au moins, on puisse savoir ce qui s'est passé, ce qui leur est arrivé, où ils sont, s'ils sont en vie ou non. Et nous pensons que cette mobilisation internationale doit être ravivée par l'ensemble des responsables de ces organisations-là et de ces pays-là. Est-ce que vous pensez, comme Me Brengarth, l'un des avocats français des familles des deux disparus, que « le pouvoir guinéen est dans une guerre d'usure, dans l'attente que les choses se tassent et que plus personne n'en parle » ? Oui, je pense que c'est la stratégie du gouvernement guinéen. Mais nous, de notre côté, nous n'allons jamais cesser notre mobilisation. Nous n'allons jamais cesser notre engagement tant que la lumière ne sera pas faite et notre mobilisation sera également, je pense, à la hauteur du silence du gouvernement guinéen. Pensez-vous que la France a joué un rôle dans la réintégration de la Guinée au sein de la grande famille francophone ? C'était au mois de septembre dernier… Non, nous ne le savons pas. Mais nous regrettons surtout que la Guinée puisse être réintégrée dans l'OIF alors que la transition n'a pas pris fin, alors que les violations des droits humains continuent de se perpétrer et surtout alors qu'il y a des enlèvements et des tortures en Guinée ces derniers temps. Et pensez-vous que la France a peur de perdre un quatrième allié en Afrique de l'Ouest si elle fait trop de démarches sur les droits de l'homme en Guinée-Conakry ? Une lecture de la situation en Afrique de l'Ouest, en tout cas, peut laisser penser que la France aujourd'hui marche sur des œufs, qu'elle ne veut pas faire les erreurs qu'elle a pu faire avec le Burkina Faso, le Mali et le Niger et qu'elle veut tout faire pour maintenir ses relations avec la Guinée. Et cela est inquiétant en ce qui concerne la situation des droits de l'homme dans ce pays. Et qu'en est-il du silence de la Cédéao, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest ? Je peux dire que c'est enrageant pour nous, parce que, depuis plusieurs années, les autorités de la Cédéao ont indiqué construire la Cédéao des peuples, et nous pensons que la Cédéao des peuples, c'est la Cédéao de la protection des droits humains, c'est la Cédéao où on protège les populations. Et donc cette Cédéao des peuples ne peut pas se taire, ne peut pas être indifférente à l'enlèvement de ces acteurs qui se battent pour la démocratie, qui se battent pour les droits humains en Guinée. Pour nous, c'est incompréhensible et nous souhaitons que la Cédéao se réveille et que la Cédéao également puisse interpeller les autorités guinéennes afin que la lumière soit faite sur ces événements. À lire aussiUn an après leur enlèvement, la Guinée toujours sans nouvelle de Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah

Teach! EMCI TV
Jugement, trompette et sceaux : comprendre les visions

Teach! EMCI TV

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025


8.30 franceinfo:
Otages français en Iran, mouvement masculiniste, surpopulation carcérale... Le "8h30 franceinfo" de Gérald Darmanin

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 26:31


durée : 00:26:31 - 8h30 franceinfo - Le garde des Sceaux et ministre de la Justice était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 3 juillet 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

C à vous
Gérald Darmanin: Quelles solutions contre les prisons bondées?

C à vous

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 22:37


Notre 1er invité est Gérald Darmanin, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, pour évoquer l'actualité politique, la réforme de la justice qu'il va porter à la rentrée, l'état des prisons mais aussi un documentaire qui sera diffusé dimanche à 21h05 sur France 5 réalisé pour Troisième Œil, par Yann l'HENORET qui l'a suivi d'avril à septembre 2024, face à une succession de tempête, la dissolution, les législatives anticipées, les premiers ministres qui se succèdent et une question en septembre : sera-t-il l'un des ministres du gouvernement Barnier.Tous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

C à vous
L'intégrale de C à Vous - 02/07/25 

C à vous

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 53:00


Nos invités du mercredi 2 juillet 2025 : Réforme de la justice, surpopulation carcérale: Gérald Darmanin, ministre de la Justice et Garde des Sceaux. Thomas Snégaroff, journaliste et historien. Il publie le livre “Les nouveaux oligarques” le 3 juillet aux éditions Les Arènes.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, la story de Mohamed Bouhafsi et le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

Diagonalistes
David Trystram : la tête, les jambes et l'art de gérer son énergie

Diagonalistes

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 37:41


RTL Midi
PRISONS - Avec les fortes chaleurs, les syndicats s'inquiètent de la montée de la violence

RTL Midi

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 3:29


Dans les prisons, aussi, la vague de chaleur est fortement redoutée. Gérald Darmanin, le garde des Sceaux, tient ce lundi 30 juin une réunion avec l'administration pénitentiaire pour prendre des mesures d'urgence car, pendant l'été, la surpopulation carcérale rend les conditions de détention plus difficiles encore.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Diagonalistes
Thierry Vasseur : de Paris-Brest-Paris à sa première diagonale

Diagonalistes

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 26:30


INFORMATION LOCALE
12 JUIN 2025

INFORMATION LOCALE

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 4:00


Sujets traités : Gérald Darmanin de passage en Alsace ce jeudi. Le Ministre d'Etat, garde des Sceaux et ministre de la Justice se rendra tout d'abord à Sélestat au courant de l'après-midi, pour une visite du tribunal de proximité. Des échanges y sont aussi prévus, avant de prendre la direction de Colmar à l'occasion de l'inauguration de la structure d'accompagnement vers la sortie. D'une capacité de 120 places et en fonction depuis septembre dernier, cette structure accueille des détenus en fin de peine, condamnés à moins d'un an de prison, en semi-liberté pour préparer leur réinsertion.120 hamsters d'Alsace réintroduits dans la nature. En ce début de semaine, la société Vinci Autoroute a procédé au lâcher de ces rongeurs, dont l'espèce est classée en danger critique d'extinction. Cette opération, qui s'est tenue à Oberschaeffolsheim et Geispolsheim, est une mesure compensatoire pour la construction du GCO, le Grand contournement ouest de Strasbourg.A Sélestat, le marché historique, vieux de 700 ans, est toujours en lice pour décrocher le titre du plus beau marché de France. Un concours organisé par TF1. Ce marché traditionnel qui se tient chaque mardi sur la rue du Président Poincaré s'est déjà hissé dans le top 10. Marcel Bauer, le maire de la Ville, en parle avec fierté. Le marché de Sélestat espère maintenant figurer parmi le trio de tête. Il est encore possible de voter pour ce dernier jusqu'à demain vendredi. Retrouvez notre article complet sur azur-fm.comUne nouvelle nocturne des commerçants à Colmar. Pour la seconde année, l'association des commerçants Les Lanternes de Bartholdi, regroupant les commerces des rues Turenne et de la Grand Rue, organise un événement festif et convivial demain à partir de 18h. Fabrice Alexandre, président des Lanternes de Bartholdi en dit plus. Un événement qui a pour but de mettre en lumière les commerçants locaux et de proximité, qui seront ouverts jusqu'à 22h. L'entretien complet est disponible sur notre site dans l'onglet podcast actualité. Un appel au recrutement à Sélestat. Dans le cadre du 96ème anniversaire du Corso Fleuri, agent d'accueil, placier en tribune, aide au repas ou encore accompagnateurs de groupe sont recherchés, avec une rémunération calculée sur la base du SMIC horaire. Renseignements et formulaire auprès du Service Festivités et Animations Culturelles de la Ville de Sélestat.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Johnny Hallyday de A à Z sur radio RIG 90.7 www.rigfm.fr

Podcast émission radio RIG du mercredi 12 juin 2025 « Johnny de A à Z » n°579 Tournée 2000Il y a 25 ans, Johnny Hallyday fêtait en apothéose ses 40 ans de carrière sous la Tour Eiffel... Revenons sur cette tournée 2000 (du 2 juin au 31 août) à commencer par Toulouse, le parc de Sceaux, l'Olympia, le Québec et les stades... setlist :Je suis né dans la rue - Zenith de Toulouse 2 & 3 juin 2000Les larmes de gloire (2 juin) - Zenith de Toulouse 2 & 3 juin 2000Pardon (2 juin) - Zenith de Toulouse 2 & 3 juin 2000L'envie (2 juin) - Zenith de Toulouse 2 & 3 juin 2000Allumer le feu - 100% Johnny: Live À La Tour EiffelFils De Personne - 100% Johnny: Live À La Tour EiffelDerrière L'Amour - 100% Johnny: Live À La Tour EiffelLa Musique Que J'Aime - 100% Johnny: Live À La Tour EiffelLe feu - Happy Birthday Live - Parc de Sceaux - 15 juin 2000Qu'est ce que tu croyais - Happy Birthday Live - Parc de Sceaux - 15 juin 2000Nashville blues - répétitions Olympia 16 juin 2000A propos de mon père - répétition Olympia 16 juin 2000Gabrielle - Olympia 17 juin 2000Un jour viendra - Olympia 2000Deux étrangers - Marseille 16 juillet 2000Diego - Olympia 25 juillet 2000Cet homme que voilà - Olympia 2000Quelque chose de Tennessee - Johnny Hallyday France Gall - Duos Olympia 2000Le bon temps du rock n'roll - Johnny Hallyday Paul Personne - Duos Olympia 2000Be bop a lula - Johnny Hallyday Eddy Mitchell - Duos Olympia 2000Blue Suede Shoes - Olympia 2000Whole Lotta Shakin' Going On - Olympia 2000Non, je ne regrette rien - dernière Olympia 25 août 2000

Politique, le choix de la semaine
Présidentielle 2027: Gérald Darmanin y pense-t-il en se rasant?

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Jun 8, 2025 2:37


À deux ans de l'élection présidentielle, la course des petits chevaux a commencé dans le socle commun entre Édouard Philippe, Gabriel Attal, Bruno Retailleau, mais aussi Gérald Darmanin. Le ministre de la Justice espère faire partie du casting des présidentiables et pour y parvenir applique les bonnes recettes de son mentor en politique Nicolas Sarkozy : être partout, tout le temps. Gérald Darmanin maitrise parfaitement cet exercice. Il l'a encore montré cette semaine après les violences qui ont eu lieu en marge de la victoire du PSG en Ligue des champions. Il a saisi cette occasion pour proposer de changer la loi, de la durcir et ainsi endosser le costume du défenseur de l'ordre en empiétant sur les plates-bandes de Bruno Retailleau. Car le ministre de l'Intérieur est largement critiqué sur sa gestion des événements.Gérald Darmanin a senti qu'il y avait une brèche et dans son entourage, on ne s'est pas privé pour pointer les dysfonctionnements du dispositif de sécurité en déclarant : « Si Darmanin avait été ministre de l'Intérieur, Laurent Wauquiez aurait été le premier à demander une commission d'enquête », et en rappelant que pendant les Jeux olympiques, quand il était encore Place Beauvau, « Il n'y avait pas eu de morts ». Une manière de tacler un concurrent potentiel pour 2027.À lire aussiViolences après la victoire du PSG: «Il faut revoir la doctrine du maintien de l'ordre en France»Gérald Darmanin « ne s'interdit rien »La présidentielle approche, Gérald Darmanin veut donc monter en puissance. Un député macroniste pense que Gérald Darmanin « ne s'interdit rien ». Autrement dit, il s'autorise à croire qu'il a une chance en 2027. L'intéressé a d'ailleurs confirmé qu'il pensait à la présidentielle il y a quelques jours dans l'émission télévisée Ambitions intimes, où l'animatrice Karine Lermarchand recueille les confidences des politiques. Nicolas Sarkozy lui-même voit un destin présidentiel pour Gérald Darmanin. Et une ministre de droite n'en doute pas, le garde des Sceaux « a une ambition ».« Qui est capable de financer une campagne ? »Est-ce que l'ambition suffit pour gagner sa place sur la ligne de départ ? C'est une condition sine qua non mais pas une condition suffisante. Dans l'entourage d'Édouard Philippe, lui-même déjà candidat déclaré à la présidentielle, on relativise d'ailleurs sans magnanimité les chances de Gérald Darmanin de concourir. Un maire Horizons s'interroge : « Qui est capable de financer une campagne ? Gabriel Attal oui, Édouard Philippe oui, pas Gérald Darmanin ».Un ministre proche du maire du Havre pense lui qu'il y a un « cran supérieur » pour être présidentiable que Gérald Darmanin n'a pas atteint. Mais une ministre centriste affirme que Gérald Darmanin a un atout : « Il sait parler aux gens plus populaires ». Un petit plus et quelques moins pour Gérald Darmanin.

C dans l'air
Casseurs: une fatalité française? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 63:52


C dans l'air du 3 juin 2025 - Paris : pourquoi tant de violences ?Après la victoire du Paris Saint-Germain en finale de la Ligue des champions face aux Italiens de l'Inter Milan, des scènes de débordements se sont multipliées en France dans la nuit du samedi 31 mai au dimanche 1er juin. Des supermarchés et d'autres magasins ont été saccagés puis pillés, des voitures ont été brûlées, du mobilier urbain dégradé… Les dégâts matériels sont très importants et le bilan humain est tragique : deux personnes sont décédées, plus de 200 autres ont été blessées. Les forces de l'ordre ont procédé à plus de 560 interpellations dans toute la France, dont près de 491 à Paris, au terme d'une nuit marquée par des incidents d'une ampleur considérable. Mais pourquoi a-t-on assisté à de telles scènes de violence ?Depuis deux jours, la polémique monte sur la sécurité autour de l'événement et sur la réponse judiciaire apportée, alors que les premières condamnations sont tombées. Quatre hommes, âgés de 20 à 23 ans notamment, ont été jugés lundi en comparution immédiate pour des tirs de mortier ou des jets de projectiles envers les forces de l'ordre. Sans casier judiciaire et insérés socialement — étudiants ou en formation —, tous ont été condamnés à des peines allant de 2 à 8 mois de prison avec sursis. Certains d'entre eux devront également s'acquitter d'une amende et réaliser des travaux d'intérêt général ou un stage de citoyenneté.Une décision de justice qui a fait réagir le garde des Sceaux. "À la suite des graves incidents d'ordre public et des désordres répétés de ce week-end, une partie des condamnations pour violences, notamment commises à l'encontre des forces de l'ordre et pour destructions de biens, ne sont plus à la hauteur de la violence que connaît notre pays", a réagi Gérald Darmanin sur X ce mardi 3 juin au matin, avant de proposer de "faire évoluer radicalement la loi". Selon lui, il faudrait "supprimer les aménagements de peine obligatoires", "supprimer le sursis" et "mettre en place par la loi une condamnation minimale systématique une fois la culpabilité reconnue". "Par exemple, trois mois de prison ferme (réellement exécutés) minimum pour toute agression envers un représentant de l'État, ou encore une amende très élevée pour toute destruction", a poursuivi le ministre de la Justice.Les violences en marge de la victoire parisienne ont également enflammé les débats ce mardi à l'Assemblée nationale. Le groupe LFI a annoncé le dépôt d'une demande de commission d'enquête "sur la gestion de la sécurité publique après le match" PSG-Inter. Les Insoumis, qui comptent sur le soutien d'autres groupes pour faire prospérer cette initiative, entendent ainsi "expertiser ce fiasco dont le ministre de l'Intérieur", Bruno Retailleau, est à leurs yeux "directement responsable".Ciblé par l'extrême droite pour son inaction, le ministre de l'Intérieur est aussi critiqué à gauche pour ses propos. En qualifiant à nouveau les fauteurs de trouble de "barbares", il s'est attiré les foudres de plusieurs élus. "Ce tweet est indigne d'un ministre de l'Intérieur républicain. Il faut refuser la violence de ceux qui voudraient gâcher la fête, mais pourquoi utiliser ce vocabulaire : “barbare”, “sauvage”, c'est-à-dire : étranger et quasi animal ?", a déploré le député NFP de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière.Dans ce climat tendu, un autre drame a secoué l'opinion : le meurtre de Hichem Miraoui, abattu devant son domicile à Puget-sur-Argens (Var). Bruno Retailleau a qualifié les faits de "crime raciste" mais le patron des socialistes Olivier Faure juge qu'il "participe au débat public avec ceux qui, à l'extrême droite, cherchent à banaliser le racisme, à expliquer qu'il y a une forme de menace qui serait créée par nos concitoyens d'origine étrangère".Alors, que s'est-il passé en marge de la victoire du PSG ce week-end ? Pourquoi ces scènes de violence après une grande célébration sportive ? Plus largement, pourquoi les violences à l'encontre des représentants de l'État, notamment les maires, sont-elles si nombreuses ? Enfin, que sait-on du meurtre de Hichem Miraoui, dont s'est saisi le parquet antiterroriste ?LES EXPERTS :- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Arnaud DE SAINT-REMY (en duplex) - Avocat spécialiste du droit des mineursPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
Et maintenant...le retour du bagne ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 21, 2025 63:35


C dans l'air du 21 mai 2025 : Le retour du bagne ?Dans les colonnes du Journal du dimanche, le ministre de la Justice a évoqué samedi sa volonté de créer un quartier de haute sécurité au sein de la future prison de Saint-Laurent-du-Maroni en Guyane afin de "mettre hors d'état de nuire les profils les plus dangereux du narcotrafic". Sur les 495 places prévues dans cette future prison, 60 seront réservées à des pontes du narcotrafic, a indiqué le garde des Sceaux, et "quinze places" seront "dédiées aux islamistes/ radicalisés" condamnés pour terrorisme djihadiste, un profil de détenu inexistant en Guyane. De quoi laisser entendre que certains pourraient être transférés depuis l'Hexagone. Plusieurs élus locaux et la collectivité territoriale de Guyane ont alors dénoncé un projet évoquant un "retour du bagne" à Saint-Laurent-du-Maroni, deuxième ville de département amazonien et ex-colonie pénitentiaire. Face à la levée de boucliers qui a suivi ses premières déclarations, Gérald Darmanin a précisé lundi que ce quartier de haute sécurité, le troisième de ce type annoncé en France pour accueillir les prisonniers les plus dangereux, n'aurait pas vocation à accueillir des détenus venus de l'Hexagone.Un début de polémique qui survient alors que le secteur pénitentiaire est secoué par de nombreux débats et inquiétudes, sur fond de surpopulation carcérale. 82 921 détenus sont actuellement recensés dans les prisons françaises pour 62 358 places, soit une densité carcérale qui dépasse les 150 %. À ce sujet, la semaine dernière, Emmanuel Macron s'est dit ouvert à la location de places de prison à l'étranger. Dans son dernier rapport d'activité annuel, publié ce 21 mai, la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) dénonce un "délaissement coupable" à tous les niveaux et étrille certaines décisions du garde des Sceaux. "Je parle d'un État qui abandonne à la fois, ses détenus et ses fonctionnaires" affirme Dominique Simonnot qui s'indigne du niveau de surpopulation carcérale et d'un manque de surveillants.Selon la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, il manque 7 000 gardiens de prison. Mais le secteur pénitentiaire peine à recruter de nouveaux agents alors que ceux en poste s'inquiètent d'une dégradation de leur sécurité au sein des établissements mais aussi à l'extérieur, après la série d'attaques menée depuis mi-avril contre des prisons, des agents de l'administration pénitentiaire, leurs domiciles et leurs véhicules.Parallèlement un conseil de Défense a lieu ce mercredi 21 mai, avec au menu, un rapport des renseignements évaluant la lutte contre le "séparatisme islamiste". L'Elysée envisage de nouvelles mesures pour lutter contre "l'entrisme islamiste".Alors quelle est la situation dans les prisons françaises ? Quel est le projet envisagé par le ministre de la Justice en Guyane ? Que contient le rapport des renseignements, au cœur du conseil de défense ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Alain BAUER - Professeur de criminologie – CNAM- Mathieu DELAHOUSSE - Grand reporter - Le Nouvel Obs - Evelyne SIRE-MARIN - Magistrate honoraire, vice-présidente de la Ligue des Droits de l'Homme

Revue de presse Afrique
À la Une: dix ans de travaux forcés pour Matata Ponyo Mapon

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 21, 2025 4:24


Ça n'est pas tous les jours en RDC qu'un homme politique d'un tel rang est condamné à une telle peine… Ce verdict fait la Une de la presse congolaise.« L'ancien Premier ministre Matata Ponyo est condamné à 10 ans de travaux forcés, relève Actualité CD, ses co-prévenus – un ancien gouverneur de la Banque centrale du Congo et le patron Sud-africain de la société Africom - à 5 ans de travaux forcés. Les trois hommes étaient poursuivis depuis 2021 ans dans l'affaire de la débâcle du parc agro-industriel Bukanga Lonzo. Les condamnés ont été reconnus coupables d'avoir détourné plus de 285 millions de dollars liés à ce projet initié sous le régime du président Joseph Kabila. »Matata Ponyo n'était pas présent à l'audience. La Cour constitutionnelle a ordonné son arrestation immédiate et la confiscation de ses biens au prorata des sommes détournées.Irrégularités en pagaille…« C'est l'épilogue spectaculaire d'un feuilleton politico-judiciaire qui dure depuis près de quatre ans », s'exclame Afrik.com.Afrik.com qui revient longuement sur les origines de ce scandale politico-financier. « Lancé entre 2013 et 2016, Bukanga Lonzo devait symboliser la renaissance agricole de la RDC. Ce projet d'envergure nationale visait à transformer un vaste espace en centre agro-industriel moderne, créateur d'emplois, fournisseur de denrées alimentaires locales, et levier contre la pauvreté rurale. Mais les espoirs ont rapidement laissé place aux soupçons, relève Afrik.com. Dès novembre 2020, un rapport accablant de l'Inspection générale des finances, l'IGF, avait mis en lumière de graves irrégularités : choix arbitraire de partenaires, absence de mécanismes de contrôle, surfacturation, détournements massifs et abandon du chantier. L'IGF en a alors attribué la responsabilité principale à Matata Ponyo, alors Premier ministre. »Et s'en est ensuivi une longue bataille judiciaire… « Pour Matata Ponyo, le dossier est avant tout politique, pointe encore le site panafricain. Dans une vidéo publiée en mars dernier, il dénonçait une instrumentalisation du pouvoir judiciaire pour l'écarter de la scène politique. »Une justice sélective ?En tout cas, poursuit Afrik.com, « au-delà du cas Matata, ce dossier cristallise les limites de la gouvernance en RDC. Il illustre la difficulté chronique du pays à concrétiser des projets de développement malgré des ressources importantes, à cause de la corruption, du clientélisme et de l'absence de redevabilité. La condamnation d'un ancien Premier ministre pourrait être perçue comme un signal fort de la part du pouvoir en matière de lutte contre l'impunité. Mais pour beaucoup, relève encore le site, elle soulève surtout la question de la sélectivité de la justice. Pourquoi certains dignitaires de l'ancien régime ou même du régime actuel échappent-ils à toute poursuite ? Pourquoi cette affaire ressurgit-elle à des moments clés de la vie politique congolaise ? »Le site congolais L'Interview CD renchérit : « ce verdict suscite de vives réactions dans un contexte politique déjà tendu en RDC. Matata Ponyo, figure de l'opposition et ancien candidat à la présidentielle de 2023, où il s'était désisté en faveur de Moïse Katumbi, reste une personnalité influente. Ses partisans voient dans ce verdict une tentative du pouvoir en place, sous la présidence de Félix Tshisekedi, d'éliminer un adversaire potentiel en vue des prochaines échéances électorales. »Qui plus est, poursuit L'Interview CD, « cette condamnation pourrait exacerber les tensions entre le pouvoir et l'opposition, dans un pays où la justice est souvent accusée d'être instrumentalisée. »Et le site congolais de conclure : « alors que la RDC fait face à des défis sécuritaires et économiques persistants, cette condamnation risque de raviver les débats sur la transparence et la lutte contre la corruption. Pour l'heure, Matata Ponyo et ses avocats envisagent de faire appel ou de saisir des instances internationales, tandis que ses soutiens appellent à une mobilisation pour dénoncer ce qu'ils qualifient de “justice sélective“. »Au Sénégal aussi…Enfin, un autre ancien ministre sous les feux de la Justice… Cette fois au Sénégal. « Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice sous Macky Sall, a été inculpé, relate Walf Quotidien, puis assigné, hier, en résidence surveillée par les juges de la commission d'instruction de la Haute cour de justice pour “corruption et détournement de deniers publics“ présumés. »Ironie du sort, pointe Walf Quotidien : Ismaïla Madior Fall porte désormais à la cheville le bracelet électronique qu'il avait lui-même instauré quand il était garde des Sceaux…

Revue de presse Afrique
À la Une: dix ans de travaux forcés pour Matata Ponyo Mapon

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Play Episode Listen Later May 21, 2025 4:24


Ça n'est pas tous les jours en RDC qu'un homme politique d'un tel rang est condamné à une telle peine… Ce verdict fait la Une de la presse congolaise.« L'ancien Premier ministre Matata Ponyo est condamné à 10 ans de travaux forcés, relève Actualité CD, ses co-prévenus – un ancien gouverneur de la Banque centrale du Congo et le patron Sud-africain de la société Africom - à 5 ans de travaux forcés. Les trois hommes étaient poursuivis depuis 2021 ans dans l'affaire de la débâcle du parc agro-industriel Bukanga Lonzo. Les condamnés ont été reconnus coupables d'avoir détourné plus de 285 millions de dollars liés à ce projet initié sous le régime du président Joseph Kabila. »Matata Ponyo n'était pas présent à l'audience. La Cour constitutionnelle a ordonné son arrestation immédiate et la confiscation de ses biens au prorata des sommes détournées.Irrégularités en pagaille…« C'est l'épilogue spectaculaire d'un feuilleton politico-judiciaire qui dure depuis près de quatre ans », s'exclame Afrik.com.Afrik.com qui revient longuement sur les origines de ce scandale politico-financier. « Lancé entre 2013 et 2016, Bukanga Lonzo devait symboliser la renaissance agricole de la RDC. Ce projet d'envergure nationale visait à transformer un vaste espace en centre agro-industriel moderne, créateur d'emplois, fournisseur de denrées alimentaires locales, et levier contre la pauvreté rurale. Mais les espoirs ont rapidement laissé place aux soupçons, relève Afrik.com. Dès novembre 2020, un rapport accablant de l'Inspection générale des finances, l'IGF, avait mis en lumière de graves irrégularités : choix arbitraire de partenaires, absence de mécanismes de contrôle, surfacturation, détournements massifs et abandon du chantier. L'IGF en a alors attribué la responsabilité principale à Matata Ponyo, alors Premier ministre. »Et s'en est ensuivi une longue bataille judiciaire… « Pour Matata Ponyo, le dossier est avant tout politique, pointe encore le site panafricain. Dans une vidéo publiée en mars dernier, il dénonçait une instrumentalisation du pouvoir judiciaire pour l'écarter de la scène politique. »Une justice sélective ?En tout cas, poursuit Afrik.com, « au-delà du cas Matata, ce dossier cristallise les limites de la gouvernance en RDC. Il illustre la difficulté chronique du pays à concrétiser des projets de développement malgré des ressources importantes, à cause de la corruption, du clientélisme et de l'absence de redevabilité. La condamnation d'un ancien Premier ministre pourrait être perçue comme un signal fort de la part du pouvoir en matière de lutte contre l'impunité. Mais pour beaucoup, relève encore le site, elle soulève surtout la question de la sélectivité de la justice. Pourquoi certains dignitaires de l'ancien régime ou même du régime actuel échappent-ils à toute poursuite ? Pourquoi cette affaire ressurgit-elle à des moments clés de la vie politique congolaise ? »Le site congolais L'Interview CD renchérit : « ce verdict suscite de vives réactions dans un contexte politique déjà tendu en RDC. Matata Ponyo, figure de l'opposition et ancien candidat à la présidentielle de 2023, où il s'était désisté en faveur de Moïse Katumbi, reste une personnalité influente. Ses partisans voient dans ce verdict une tentative du pouvoir en place, sous la présidence de Félix Tshisekedi, d'éliminer un adversaire potentiel en vue des prochaines échéances électorales. »Qui plus est, poursuit L'Interview CD, « cette condamnation pourrait exacerber les tensions entre le pouvoir et l'opposition, dans un pays où la justice est souvent accusée d'être instrumentalisée. »Et le site congolais de conclure : « alors que la RDC fait face à des défis sécuritaires et économiques persistants, cette condamnation risque de raviver les débats sur la transparence et la lutte contre la corruption. Pour l'heure, Matata Ponyo et ses avocats envisagent de faire appel ou de saisir des instances internationales, tandis que ses soutiens appellent à une mobilisation pour dénoncer ce qu'ils qualifient de “justice sélective“. »Au Sénégal aussi…Enfin, un autre ancien ministre sous les feux de la Justice… Cette fois au Sénégal. « Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice sous Macky Sall, a été inculpé, relate Walf Quotidien, puis assigné, hier, en résidence surveillée par les juges de la commission d'instruction de la Haute cour de justice pour “corruption et détournement de deniers publics“ présumés. »Ironie du sort, pointe Walf Quotidien : Ismaïla Madior Fall porte désormais à la cheville le bracelet électronique qu'il avait lui-même instauré quand il était garde des Sceaux…

Info médias
Éric Dupont-Moretti est "Seul contre tous" sur Paris Première : "J'ai trouvé avec cette émission ce qui m'a toujours manqué : le temps long"

Info médias

Play Episode Listen Later May 19, 2025 8:56


durée : 00:08:56 - Info médias - L'ancien garde des Sceaux confronte ses idées avec quatre opposants politiques : Sarah Knafo, Sandrine Rousseau, Aymeric Caron et Robert Ménard. Un format inédit à la télévision.

RTL Matin
JUSTICE - Eric Dupond-Moretti est l'invité de RTL Matin

RTL Matin

Play Episode Listen Later May 16, 2025 9:58


Il confrontera ses points dans "Seul contre tous" le lundi 19 mai à 21h sur Paris Première : Eric Dupond-Moretti, avocat, ancien Garde des Sceaux, est l'invité de RTL. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
JUSTICE - Eric Dupond-Moretti est l'invité de RTL Matin

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later May 16, 2025 9:58


Il confrontera ses points dans "Seul contre tous" le lundi 19 mai à 21h sur Paris Première : Eric Dupond-Moretti, avocat, ancien Garde des Sceaux, est l'invité de RTL. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invité Afrique
Mali: «On est dans une véritable dictature aujourd'hui, le droit est anéanti»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 14, 2025 5:40


Au Mali, le régime militaire du général Goïta supprime les partis politiques. Ce mardi 13 mai au soir, un ministre a lu, à la télévision, un décret présidentiel qui dissout tous les partis politiques. Cette annonce tombe au moment où le chef de la junte malienne veut se faire proclamer président de la République pour cinq ans, sans passer par des élections. Réaction de l'avocat Mamadou Ismaïla Konaté, qui a été ministre malien de la Justice et garde des Sceaux. Aujourd'hui, il est inscrit au barreau du Mali et au barreau de Paris. Maître Konaté répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Êtes-vous êtes surpris par la décision de dissoudre les partis politiques ? Mamadou Ismaïla Konaté : Une décision au forceps d'un régime militaire de transition ne surprend guère. Ceci d'autant plus qu'on l'a vu arriver. Ceux qui avaient encore le moindre doute doivent ouvrir les yeux et les oreilles et comprendre simplement que nous sommes dans le contexte du Chili de 1973 d'Augusto Pinochet.Alors pourquoi cette décision du général Assimi Goïta, que vous comparez au général Pinochet ? Est-ce que c'est pour pouvoir se faire proclamer, dans quelques jours peut-être, président pour un mandat de cinq ans sans passer par la case des élections ? Il a louvoyé dans le vœu d'être comme ses autres homologues dans le cadre de l'AES, c'est-à-dire d'être déclaré président de la République sans jamais passer par une élection. Je pense que, après le tour de table qui lui a permis justement de prendre contact avec la justice constitutionnelle, un certain nombre de juristes, pour savoir s'il pouvait aller avec son képi, ses galons et sa tenue comme candidat à la présidence de la République, je pense qu'il en a été dissuadé. Au point que, aujourd'hui, il a anéanti les partis politiques qui étaient les seuls acteurs politiques qui pouvaient vraiment le gêner. Là, aujourd'hui, il a le vent en poupe. Il a dégagé l'arène, il peut tout dire, tout se proclamer et se prendre pour tout ce qu'il n'est pas.Alors, vous dites que son modèle, c'est le général chilien Augusto Pinochet en 1973. Est-ce que ce n'est pas aussi le général malien Moussa Traoré qui a putsché en 1968 et qui a tenu le pouvoir pendant 23 ans ? Oui, mais le parallèle qui me vient à l'esprit, c'est quand même le général Pinochet, qui a renversé dans les mêmes conditions un régime légal, pour s'installer au pouvoir. Et sa démarche a consisté à saccager les institutions, à anéantir les libertés, à bannir les droits. Les partis politiques ont disparu, toute la vie politique a disparu. Et de ce point de vue-là, je pense que l'équivalent du général Assimi Goïta, c'est quand même Pinochet dans sa démarche d'anéantissement de l'État de droit, dans sa démarche justement de mépris de la démocratie et des démocrates. Il ne faut pas oublier que le 26 mars, dans ce pays, il y a eu du sang. Et le 26 mars, c'est quand même le point de départ d'un système de démocratie qui est l'option fondamentale du Mali et des Maliens, qu'aucune force vive ne peut venir aujourd'hui anéantir. Les Maliens doivent ouvrir les yeux, comprendre qu'on est dans une véritable dictature aujourd'hui et que le droit est anéanti. Ce n'est que la force militaire, la baïonnette, qui va désormais parler.À lire aussiMali: les partis politiques sont officiellement dissousOui, vous faites allusion au 26 mars 1991, le jour où la révolution malienne a fait tomber le régime militaire de Moussa Traoré. Mais est-ce que ce général, qui a gouverné 23 ans d'une main de fer, n'est pas le modèle d'Assimi Goïta ?S'il le prend pour modèle, à mon avis, il se trompe parce que les époques ne sont pas les mêmes. L'option de la démocratie est définitivement faite par le Mali et par les Maliens.Le 3 mai dernier, pour la première fois depuis l'arrivée au pouvoir des militaires, des centaines de Maliens ont défilé dans les rues de Bamako au cri de « Vive la démocratie ! », « À bas la dictature ! ». Est-ce que ce sont les prémices d'un réveil démocratique ? Ce sont des prémices et des prémices qui sont quand même indicateurs de la suite. Ça ne s'est pas passé qu'à Bamako. Dans plusieurs autres villes et localités du Mali, les gens ont pris conscience que cet ordre militaire ne pourrait pas s'imposer pendant très longtemps. Et j'estime simplement que ce qui vient de se passer est un tour de vis qui va encore davantage faire prendre conscience du danger, notamment chez les jeunes, chez les femmes. Et tous ceux qui sont épris de paix et de démocratie se disent aujourd'hui que le Mali est en danger.Oui, mais est-ce que le général Goïta ne dispose pas de la police, de l'armée, d'une machine qui peut réprimer et faire peur ? Avant lui, on en a vu d'autres, après lui, on en verra d'autres. S'il a les moyens d'exterminer 22 millions de Maliens, alors là, il décidera que l'autorité militaire doit s'imposer au détriment de la démocratie, au détriment de la liberté.Mais vous ne craignez pas une vague de répression à présent ? C'est le prix à payer, justement, lorsqu'on est en quête de droits, en quête de loi, en quête de démocratie. C'est le prix à payer face à une institution militaire comme celle-ci, qui viole le serment militaire, qui viole le règlement militaire, qui ne connait plus la doctrine militaire. Bien évidemment, ils peuvent prendre le risque de tirer sur les gens, mais cela se terminera contre leur gré et ce sont eux qui en paieront le prix.À lire aussiMali: l'inédite contestation de la transition du 3-4 mai peut-elle se poursuivre?

C à vous
L'intégrale de C à Vous - 12/05/25 

C à vous

Play Episode Listen Later May 12, 2025 52:29


Nos invités du lundi 12 mai 2025 : Ukraine: Ariane Chemin, journaliste au journal “Le Monde”, et Yves Jeuland, réalisateur pour leur documentaire "Zelensky" diffusé le 13 mai à 21h sur Arte. Télévision: Éric Dupond-Moretti , ancien ministre de la Justice et Garde des Sceaux pour son émission, "Éric Dupond-Moretti, seul contre tous" diffusée le 19 mai sur Paris Première.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

Le débat africain
La corruption du quotidien en Afrique, une fatalité ?

Le débat africain

Play Episode Listen Later Apr 25, 2025 38:59


Faire courir son dossier auprès d'un fonctionnaire, mouiller la barbe d'un instituteur, payer le prix de l'eau ou du café aux policiers… Le phénomène s'immisce dans tous les pans de nos sociétés et on le rencontre chaque jour ou presque. Aux ronds-points, à la mairie, à l'hôpital… Un fléau qui possède plusieurs visages mais un seul nom, la corruption. Sur quelle logique sociale repose cette corruption du quotidien ? Sommes-nous tous responsables ? Avec la participation de : - Richard Houessou, chef de projet principal d'Afrobarometer pour l'Afrique francophone- Mamadou Ismaila Konaté, avocat, ancien ministre de la Justice, Garde des Sceaux de la République du Mali- Jacques Bemadjibaye Ngarassal Saham, coordinateur national de l'organisation tchadienne anti-corruption- Oumar Doh Diamouténé, secrétaire général de la Haute autorité pour la bonne gouvernance de Côte d'Ivoire.

C dans l'air
Qui s'attaque aux prisons françaises ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 64:08


C dans l'air du 16 avril 2025 - Qui s'attaque aux prisons françaises ?Des établissements pénitentiaires ont à nouveau été ciblés cette nuit par des attaques coordonnées. Depuis dimanche neuf prisons ont été prises pour cible : Toulon, Marseille, Aix-en-Provence, Valence, Villepinte, Nanterre, Melun, Agen, Tarascon. Des véhicules ont été incendiés sur les parkings, un incendie s'est déclaré dans le hall d'un immeuble dans lequel habite un gardien de prison, un autre agent a été visé et ses proches menacés dans une vidéo sur Telegram… Le parquet national antiterroriste s'est saisi de l'enquête et les agents sont sous le choc. Qui s'en prend aux établissements pénitentiaires ? Ces dernières heures le réseau "DDPF" pour "Défense des droits des prisonniers français" fait parler de lui. Le sigle s'est retrouvé tagué lors de plusieurs attaques contre des centres pénitentiaires français et un groupe a été créé sur la messagerie Telegram. Il totalise déjà près d'un millier d'abonnés, avec des appels à cibler les personnels surveillants pénitentiaires, et ce communiqué posté hier soir : "Nous ne sommes pas des terroristes, nous sommes là pour défendre les droits de l'Homme à l'intérieur des prisons". Ses membres dénoncent notamment les fouilles humiliantes des surveillants ainsi que la surpopulation carcérale. Au 1er mars, 82 152 personnes étaient détenues dans les prisons françaises, pour un total de 62 539 places, soit un taux d'occupation de 131 %.On peut lire également sur le canal : "Pourquoi se servir de Mohamed Amra pour faire du mal aux 82 000 autres détenus ?" Deux slogans sont aussi mis en avant sur un photomontage où l'on voit Gérald Darmanin derrière des barreaux : "justice pour les détenus" et "non au projet Darmanin", en référence à sa volonté de durcir le régime carcéral des narcotrafiquants. Les plus dangereux devraient être regroupés à partir de cet été dans les prisons de haute sécurité de Vendin-le-Vieil et Condé-sur-Sarthe. Ces établissements conçus pour être inviolables imposeront un nouveau régime carcéral très strict inspiré du modèle anti-mafia italien.Qualifiant cette série d'actes de "terroriste", le ministre de la Justice a dénoncé une tentative d'intimidation de l'Etat. "Ils le font parce que nous prenons des mesures contre le laxisme qui existait peut-être jusqu'à présent dans les prisons qui a mené notre pays à des difficultés extrêmement graves, des réseaux de drogues qui continuent à partir des cellules carcérales, on commande des assassinats, on blanchit de l'argent, on menace des policiers, des magistrats, des agents pénitentiaires, et on s'évade comme c'est le cas de monsieur Amra", a déploré Gérald Darmanin qui défend son projet de quartier de haute sécurité pour les détenus les plus dangereux, notamment les narcotrafiquants, soumis à un "nouveau régime carcéral d'isolement" visant à les "couper du monde" et qui soulève depuis des mois les critiques de nombreuses associations de défense des libertés, des groupes de gauche et de certains députés du bloc central. Ce régime est "attentatoire aux droits fondamentaux" et "contreproductif" en matière de prévention et de récidive, s'est insurgé l'Observatoire international des prisons. La Ligue des droits de l'homme a quant à elle évoqué une forme de "torture blanche". "Ce que je crée est quelque chose de révolutionnaire et de très dur, j'en conviens", avait déclaré Gérald Darmanin, le 13 mars dernier sur Sud Radio. Le garde des Sceaux qui a fait de la lutte contre la criminalité organisée "une priorité absolue" entend également frapper les narcotrafiquants au portefeuille, en luttant contre le blanchiment et confisquant systématiquement tous leurs biens.À Montpellier, après plusieurs fusillades dont une mortelle sur fond de trafic de drogue, le maire appelle à un changement de la loi. Michaël Delafosse souhaite que les maires aient le pouvoir d'autoriser ou non l'installation des commerces afin d'empêcher le blanchiment d'argent de la drogue. Nous l'avons rencontré dans sa ville. Qui cible les prisons et ses agents ? Qui se cache derrière ce groupe DDPF ? quelle est la situation dans les établissements pénitentiaires français ? Comment vont fonctionner les premières prisons de haute sécurité ? Et comment lutter contre le blanchiment d'argent de la drogue ? Les experts :- Audrey GOUTARD, grand reporter à France Info TV, spécialiste des faits de société- Damien DELSENY, rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice au Parisien - Maitre Joseph COHEN-SABBAN, avocat pénaliste- Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique à France TélévisionsPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Prisons attaquées : Gérald Darmanin assure que «les narcotrafiquants ont peur» et que «la République ne reculera pas»

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 12:46


Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des prisons attaquées et de la réaction du garde des Sceaux, Gérald Darmanin.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Info médias
"Crimes contre l'humanité" sur France 2 : une immersion exceptionnelle dans les procès Barbie, Touvier et Papon

Info médias

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 7:45


durée : 00:07:45 - Info médias - C'est grâce à Robert Badinter, garde des Sceaux de 1981 à 1986, que les audiences ont pu être intégralement filmées. Sur les centaines d'heures d'archives, le réalisateur Gabriel Le Bomin en a sélectionné trois par procès. Une collection documentaire d'une rare intensité.

RTL Matin
PRISONS - Comment la Belgique transfère des détenus marocains vers leur pays d'origine

RTL Matin

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 2:46


Le garde des Sceaux veut reprendre les accords qu'a obtenus la Belgique avec le Maroc pour expulser des détenus étrangers. Dans les faits, ce modèle n'a pas démontré son efficacité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le 13/14
Laura Cahen raconte "Hey, Who Really Cares ?" de Linda Perhacs

Le 13/14

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 5:13


durée : 00:05:13 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Actuellement en tournée pour présenter "De l'autre côté", son 3e album, elle sera le 21 mars à Sceaux, le 22 mars à Poitiers, le 20 octobre à la Cigale à Paris. Au micro de Frédéric Pommier, Laura Cahen évoque "Hey, Who Really Cares ?" de la chanteuse de musique folk psychédélique Linda Perhacs.

24H Pujadas - Les partis pris
Les Partis Pris : "Voile, Bayrou tranche à droite", "L'État doit se serrer la ceinture" et "Ils ont tué Blanche-Neige !"

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 19:46


La ministre des Sports, Marie Barsacq avait dit que le port du voile n'a rien à voir avec le radicalisme dans le sport. Quelques jours plus tard, Élisabeth Borne avait aussi exprimé son scepticisme en disant que la question relève seulement de la responsabilité des fédérations sans nécessité de légiférer. Ce mardi, dans la matinée, sur TF1 le garde des Sceaux a sévèrement tancé ses collègues. Cela a ému le Premier ministre, qui a voulu faire un acte d'autorité, mais selon Ruth Elkrief, François Bayrou tranche pour sa droite. Comment financer l'effort de réarmement ? Cela fait 40 ans que les Français se serrent la ceinture. Nous sommes numéro un au monde en termes d'imposition, numéro un du monde en termes de dépense publique, par rapport à notre richesse. L'impôt est déjà trop haut, la dette est déjà trop lourde. Pour Marc Touati, il faut s'attaquer aux dépenses de fonctionnement. Dans le nouveau film, Blanche-Neige n'est plus amoureuse. Rachel Zegler, l'interprète de la néo Blanche-Neige précise dans une interview “On n'est plus en 1937. Elle ne sera pas sauvée par un prince. Elle ne rêvera pas du véritable amour. Elle va rêver de devenir la leadeuse qu'elle sait qu'elle peut être et que son défunt père lui a dit qu'elle pourrait devenir si elle était intrépide, juste, courageuse et vraie”. Abnousse Shalmani dit : “Rendez-nous Blanche-Neige, la vraie Blanche-Neige !” Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le débat africain
La corruption du quotidien en Afrique, une fatalité ?

Le débat africain

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 38:59


Faire courir son dossier auprès d'un fonctionnaire, mouiller la barbe d'un instituteur, payer le prix de l'eau ou du café aux policiers… Le phénomène s'immisce dans tous les pans de nos sociétés et on le rencontre chaque jour ou presque. Aux ronds-points, à la mairie, à l'hôpital… Un fléau qui possède plusieurs visages mais un seul nom, la corruption. Sur quelle logique sociale repose cette corruption du quotidien ? Sommes-nous tous responsables ? Avec la participation de : - Richard Houessou, chef de projet principal d'Afrobarometer pour l'Afrique francophone- Mamadou Ismaila Konaté, avocat, ancien ministre de la Justice, Garde des Sceaux de la République du Mali- Jacques Bemadjibaye Ngarassal Saham, coordinateur national de l'organisation tchadienne anti-corruption- Oumar Doh Diamouténé, secrétaire général de la Haute autorité pour la bonne gouvernance de Côte d'Ivoire.

Les matins
Prison : les loisirs font-ils partie de la réinsertion ?

Les matins

Play Episode Listen Later Feb 19, 2025 8:44


durée : 00:08:44 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Suite à une controverse concernant des soins du visage offerts à des détenus à la maison d'arrêt de Toulouse-Seysses, Gérald Darmanin, le garde des Sceaux, a déclaré avoir donné l'ordre de suspendre toutes les "activités ludiques" en prison. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Matthieu Quinquis Avocat

Apolline Matin
Le parti-pris : Conseil consitutionnel, Macron veut Ferrand - 11/02

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Feb 11, 2025 4:30


Avec : Jean-Jacques Urvoas, ancien garde des Sceaux et professeur de droit public à l'UBO. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Betty Galazzo interpelle le Garde des Sceaux après le meutre de sa fille Lilibelle, 14 ans, qui s'était interposée dans une rixe en Essonne

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Feb 1, 2025 12:04


Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.

C dans l'air
Pierre Botton - Prisons: Quand les détenus font la loi

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 27, 2025 10:16


C dans l'air l'invitée du 25 janvier avec Pierre Botton est un ancien homme d'affaires, ancien détenu, auteur de "Quand les détenus font la loi", aux éditions Robert Lafont.Jeudi, Gérald Darmanin, ministre de la Justice et garde des Sceaux, a annoncé la création d'une prison de haute sécurité avec les 100 plus gros trafiquants de France, qui serait opérationnelle "dès le 31 juillet". L'objectif est de rendre les prisons plus hermétiques, et de lutter contre les phénomènes de narcobanditisme en prison, avec des détenus qui continuent de gérer des trafics depuis leurs cellules. "On va montrer que quand on est en prison et qu'on est un narcotrafiquant on ne peut pas téléphoner et on ne peut pas avoir une vie agréable", avait expliqué Gérald Darmanin, le 12 janvier sur LCI.Si les moyens de communication entrent en prison, c'est en raison de complicités. C'est ce qu'illustre l'affaire de corruption révélée par le Parisien cette semaine, concernant la prison d'Osny, dans le Val d'Oise. Jeudi, cinq agents pénitentiaires dans le Val d'Oise ont été mis en examen, soupçonnés d'avoir fait entrer dans cette prison du matériel à chicha, des téléphones, des consoles de jeux vidéos et du matériel électronique.Pierre Botton, ancien détenu, auteur de "Quand les détenus font la loi", aux éditions Robert Lafont, est notre invité. Il nous racontera comment les prisons ont changé, entre sa première incarcération dans les années 90, et 30 ans plus tard, dans les années 2020, lorsqu'il est retourné en prison. Les téléphones portables, le trafic de drogues, la promiscuité...Il nous expliquera comment on vit la prison de l'intérieur, et nous donnera ses recommandations pour mieux adapter les peines de prison aux individus, et surtout mieux préparer la réinsertion.

C dans l'air
Elias, tué à 14 ans pour un portable - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 27, 2025 62:50


C dans l'air du 27 janvier 2025 - Elias, tué à 14 ans pour un portableVendredi soir vers 20h, alors qu'il sortait de son entraînement de football dans le 14ᵉ arrondissement de Paris, Elias, 14 ans, a été abordé par deux adolescent de 16 et 17 ans qui lui ont demandé de leur donner son téléphone portable. En réponse à son refus, un coup de couteau lui a été porté à l'épaule. Transportée par le Samu à l'hôpital Necker avec un pronostic vital engagé, Elias est décédé samedi. Identifiés par un ami du collégien qui se trouvait avec lui au moment des faits, deux mineurs ont rapidement été interpellés et placés en garde à vue vendredi soir. L'un des deux suspects aurait reconnu dimanche avoir porté le coup de couteau mortel et assuré qu'il n'a jamais voulu tuer Elias. "Aujourd'hui il est attristé, il sait très bien ce qu'il s'est passé (...) Il sait que les choses vont changer pour lui, les choses vont changer pour une famille, pour la famille de la victime. Tout cela le rend triste", a affirmé son avocat."Déjà connus de la justice", selon le parquet, les suspects avaient été tous les deux présentés à la justice fin octobre pour de précédents faits de vol commis avec violence. Dans l'attente d'un procès prévu en juin devant le tribunal pour mineurs, les deux adolescents, qui résident dans le même immeuble, avaient pour interdiction de se voir. Ils doivent ce lundi être transférés au tribunal et présentés à un juge. L'enquête ouverte initialement pour "tentative d'homicide sur mineur de moins de 15 ans et extorsion avec arme" a été requalifiée en "extorsion suivie de mort". Un crime pour lequel ils risquent la réclusion criminelle à perpétuité.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau s'est dit "horrifié par cette violence gratuite, résultat d'une perte de repères et de l'effondrement de l'autorité", dénonçant sur X un acte "de barbares". Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a quant à lui décidé de réunir ce lundi l'ensemble des procureurs pour leur délivrer une nouvelle circulaire de politique pénale en réponse aux "violences inacceptables" récentes.Deux ministres qui multiplient les déclarations dans médias depuis leur prise de fonction, rivalisant de propositions musclées et de visites sur le terrain, consacrées notamment à la question des stupéfiants. Le Garde des Sceaux a ainsi annoncé la semaine dernière la création d'une prison haute sécurité réservée aux plus gros narcotrafiquants, qui devrait être inaugurée le 31 juillet prochain. Parallèlement une proposition de loi transpartisane, soutenue par les deux ministres, arrive ce mardi en séance au Sénat. Inspiré du rapport d'une commission d'enquête sénatoriale publiée en mai dernier qui dépeint une France "submergée par le narcotrafic", le texte porté par le sénateur LR du Rhône, Étienne Blanc et l'élu socialiste de Saône-et-Loire, Jérôme Durain, propose de remuscler l'arsenal existant, pour lutter contre des gangs aux moyens souvent plus puissants que l'État. En vrac : instaurer un nouveau statut du repenti et de l'infiltré, créer un parquet national sur la criminalité organisée (sur le modèle du parquet anti-terroriste), mettre en place une injonction à justifier l'origine de son patrimoine, faciliter le gel administratif des avoirs, améliorer la coordination entre les services de renseignement, permettre aux enquêteurs de ne pas dévoiler leurs techniques les plus sensibles pour ne pas renseigner les trafiquants, etc...La lutte contre le narcotrafic est également une priorité aux États-Unis où Donald Trump a indiqué vouloir changer la désignation des cartels comme "organisations terroristes étrangères". L'objectif affiché étant d'enrayer les activités de ces groupes, accusés par le président d'inonder "les États-Unis de drogues mortelles, de criminels violents et de gangs vicieux". La mesure fait partie des nombreux décrets annoncés par Donald Trump, lundi 20 janvier, au premier jour de son retour à la Maison Blanche. En 2023, plus de 72.000 personnes sont mortes aux États-Unis, par overdose de fentanyl, qui est la première cause de décès chez les 18-45 ans dans le pays. Donald Trump a également menacé d'augmenter drastiquement les droits de douane sur les importations chinoises, face à la passivité supposée de Pékin vis-à-vis du trafic de fentanyl. Les experts :- Audrey GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- Marcelo WESFREID - Journaliste, Chef adjoint du service politique du journal le Parisien - Evelyne SIRE-MARIN - Magistrate honoraire et vice-présidente de la ligue des droits de l'homme- Driss AÏT YOUSSEF - Docteur en droit public et spécialiste des questions de sécuritéPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
Frédéric Ploquin - Narcotrafic: la guerre mondiale

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 11:05


C dans l'air l'invité du 23 janvier avec Frédéric Ploquin, journaliste, spécialiste du grand banditisme et du narcotrafic, auteur de "Confessions d'un patriote corse", coécrit avec Jo Peraldi, aux éditions Fayard.Investi lundi, le président Donald Trump a fait de la lutte contre le narcotrafic une priorité. Il souhaite changer la désignation des cartels comme "organisations terroristes étrangères", l'objectif affiché état d'enrayer les activités de ces groupes, accusés par le républicain d'inonder "les Etats-Unis de drogues mortelles, de criminels violents et de gangs vicieux". La mesure fait partie des nombreux décrets annoncés par Donald Trump, lundi 20 janvier, au premier jour de son retour à la Maison Blanche. En 2023, plus de 72.000 morts par overdose ont été causées par le fentanyl dans le pays, qui est la première cause de décès chez les 18-45 ans dans le pays. Donald Trump a également menacé d'augmenter drastiquement les droits de douane sur les importations chinoises, face à la passivité supposée de Pékin vis-à-vis du trafic de fentanyl. Des décisions du nouveau président américain, qui résonnent avec l'actualité en France. Dimanche dernier, des émeutes urbaines ont éclaté à Mâcon, en Bourgogne, sur fond de trafic de drogues. Trois bâtiments publics ont été "dégradés", trois véhicules de police "endommagés", sept véhicules légers et une pelleteuse incendiés, a détaillé la préfecture juste après les faits.Le Sénat a lancé mercredi des débats très attendus sur la lutte contre le trafic de stupéfiants, en adoptant en commission une proposition de loi transpartisane qui propose notamment la création d'un parquet national anti-criminalité organisée. Par ailleurs, le ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Gérald Darmanin, a annoncé aujourd'hui la création d'une prison haute sécurité réservée aux plus gros narcotrafiquants, qui sera inaugurée le 31 juillet prochain. Le lieu n'a pas été précisé. Frédéric Ploquin, journaliste, spécialiste du grand banditisme et du narcotrafic, est notre invité. Il reviendra avec nous sur les annonces de Donald Trump et sur leurs conséquences possibles, ainsi que sur l'ampleur de la situation sanitaire engendrée par la consommation de fentanyl. Il nous parlera aussi des violences liées au trafic de drogues, et à la façon dont on peut lutter contre ce phénomène.

RTL Matin
JUSTICE- Jean-Jacques Urvoas est l'invité de Yves Calvi

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jan 6, 2025 9:56


Gérald Darmanin, nouveau Garde des Sceaux, a dressé sur RTL un constat assez sévère sur le traitement du trafic de drogue par la justice française. Le locataire de la Place Vendôme souhaite notamment isoler les narcotrafiquants déjà emprisonnés qui réussissent à communiquer à l'extérieur grâce à des téléphones. "Pour l'instant, la République est en échec sur cette question. Mais nous allons remettre la République à sa place", assure-t-il. Jean-Jacques Urvoas, ancien ministre de la Justice sous François Hollande, est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 06 janvier 2025.

L'invité de RTL
JUSTICE- Jean-Jacques Urvoas est l'invité de Yves Calvi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jan 6, 2025 9:56


Gérald Darmanin, nouveau Garde des Sceaux, a dressé sur RTL un constat assez sévère sur le traitement du trafic de drogue par la justice française. Le locataire de la Place Vendôme souhaite notamment isoler les narcotrafiquants déjà emprisonnés qui réussissent à communiquer à l'extérieur grâce à des téléphones. "Pour l'instant, la République est en échec sur cette question. Mais nous allons remettre la République à sa place", assure-t-il. Jean-Jacques Urvoas, ancien ministre de la Justice sous François Hollande, est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 06 janvier 2025.

RTL Matin
NARCOTRAFIC - Marc Berkane, secrétaire régional adjoint du syndicat pénitentiaire des surveillants, est l'invité de RTL Midi

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jan 2, 2025 7:17


Gérald Darmanin est de retour à Marseille en tant que nouveau garde des Sceaux pour notamment parler des narcotrafiquants.. Marc Berkane, secrétaire régional adjoint du syndicat pénitentiaire des surveillants est l'invité de RTL Midi. Il travaille également à la maison d'arrêt des Baumettes à Marseille. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec William Galibert du 02 janvier 2025.

SBS French - SBS en français
Robert Badinter : de ministre détesté à icône de la République, une vie à défendre les droits de l'Homme

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Dec 30, 2024 23:19


À l'occasion des fêtes de fin d'année, nous vous proposons de réécouter notre interview de Paul Cassia, professeur en droit à l'Université Panthéon-Sorbonne à Paris et auteur de la biographie "Robert Badinter, un juriste en politique (2009)". n février, il revenait sur les moments clés de la vie de l'ancien garde des Sceaux, père de l'abolition de la peine de mort en France, Robert Badinter, décédé vendredi 9 février 2024 à l'âge de 95 ans.

C dans l'air
Béatrice Brugère - Le plan darmanin pour la justice -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 28, 2024 10:43


C dans l'air l'invitée du 27 décembre - Béatrice Brugère, magistrate, secrétaire générale du syndicat Unité Magistrats FO et auteure de "Justice : la colère monte" (L'observatoire)Gérald Darmanin, ancien ministre de l'Intérieur, a été nommé Garde des Sceaux mardi. En déplacement mercredi en Picardie, le nouveau ministre de la Justice a déclaré qu'il comptait obtenir davantage de moyens pour son ministère, afin de permettre une "justice rapide", et a aussi dit vouloir "nettoyer les prisons" de leurs nombreuses difficultés. La justice "est malheureusement trop lente, les magistrats sont les premiers à s'en plaindre", a-t-il déclaré devant la presse au tribunal judiciaire d'Amiens, son premier déplacement. "Cette rapidité, elle passe par plus d'effectifs, plus de greffiers bien évidemment, et plus de magistrats", a-t-il poursuivi. M. Darmanin a aussi visité le centre pénitentiaire de Liancourt (Oise), alors que la surpopulation carcérale en France devient de plus en plus problématique. Plus de 80.000 personnes étaient incarcérées au 1er novembre, un nouveau record, soit une densité carcérale de 128,5%. "On n'a pas toujours besoin de prisons pour des gens qui font 20 ans (...), on doit pouvoir faire des choses beaucoup plus à taille humaine, un peu partout sur le territoire national", a imaginé mercredi M. Darmanin, rappelant être "très sensible à l'idée que les petites peines, des peines courtes, doivent être exécutées".Invité hier soir sur TF1, il a également fait une proposition : porter le délai de garde à vue à 72 heures "dans les cas de violences sexuelles aggravées et de féminicides". "Ça permet de mettre en protection la femme qui a été menacée, violentée, agressée. Ça permet de faire les constatations de police technique et scientifique et ça permet d'interroger plus longuement la personne", a-t-il détaillé.Béatrice Brugère, magistrate, secrétaire générale du syndicat Unité Magistrats FO, est notre invitée. Elle reviendra sur les propositions du nouveau ministre de la Justice, Gérald Darmanin. Elle nous donnera son sentiment sur cette nomination de l'ancien ministre de l'Intérieur, qui avait déclaré au Parisien en 2021 que "le problème de la Police, c'est la faiblesse des moyens de la Justice". Elle nous expliquera aussi sa vision d'un changement de culture en matière carcérale en France. «Nos prisons ne débordent pas parce que nous incarcérons trop, mais parce que nous incarcérons trop tard», affirme la magistrate dans le Figaro. Pour elle, "il faut en finir avec l'aménagement systématique des peines, qui ne prévient aucunement la récidive. Et accepter d'incarcérer les délinquants y compris pour des courtes durées".

Le débat des grandes voix
Annonces de Gérald Darmanin : le nouveau garde des Sceaux dévoile ses priorités... mais sont-elles vraiment applicables ?

Le débat des grandes voix

Play Episode Listen Later Dec 27, 2024 21:16


Du lundi au jeudi, Charles Luylier reçoit un invité au centre de l'actualité.

Le débat des grandes voix
Gérald Darmanin nouveau garde des Sceaux : quelles conséquences pour la justice ?

Le débat des grandes voix

Play Episode Listen Later Dec 26, 2024 11:54


Du lundi au jeudi, Stéphanie de Muru reçoit un invité au centre de l'actualité.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchine - Cellules insalubres en détention, surpopulation carcérale, impunité des dealers... Les défis de Gérald Darmamin

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Dec 25, 2024 16:34


Aujourd'hui dans "Punchline", Nelly Daynac et ses invités débattent des prochaines missions du nouveau garde des Sceaux, Gérald Darmanin

Toute une vie
Rebelles et Outsiders : Les Maîtres à penser : Anton Wilhelm Amo (1703-1753), philosophe noir des Lumières

Toute une vie

Play Episode Listen Later Dec 18, 2024 58:48


durée : 00:58:48 - Toute une vie - par : Philippe Roizès - Né au Ghana, Amo est arraché à sa terre natale, mis en esclavage et offert à une famille noble allemande. Contre toute attente, il reçoit une éducation d'élite et devient le premier Africain diplômé en Europe et professeur de philosophie. - réalisation : Yaël Mandelbaum - invités : Jean-Michel Deveau Historien spécialiste de l'esclavage, Professeur émérite des Universités; Aurélien Gabory Responsable de collection au Musée du Quai Branly-Jacques Chirac et du Pavillon des sessions du musée du Louvre; Marian Füssel Historien, Professeur à l'université de Göttingen en Allemagne; Daniel Dauvois Professeur de philosophie au Lycée Lakanal de Sceaux; Driss Gharmoul Chercheur en philosophie; Sarah Ligner Conservatrice au musée du Quai Branly-Jacques Chirac, en charge de la collection Unité patrimoniale mondialisation historique et contemporaine

Le débat africain
Sénégal, Guinée, Corée du Sud, Joe Biden… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later Dec 6, 2024 38:58


Au sommaire : Le ministère de la Communication sénégalais a publié cette semaine une première liste de médias autorisés à diffuser dans le pays. Nécessité d'un assainissement du secteur ou manœuvre politique ? Trois jours de deuil national pour les victimes de la bousculade survenue en marge d'un match de football à N'Zérékoré, en Guinée. Quel bilan ? Que peut-on attendre de la commission d'enquête mise en place par le garde des Sceaux ? En Corée du Sud, retour sur la tentative ratée du président Yoon Suk-yeol d'imposer la loi martiale dans le pays. À quelle menace des forces communistes de Corée du Nord faisaient-elles référence pour justifier sa décision ? Quelles conséquences ?Enfin direction les Etats-Unis où le président Joe Biden a gracié son fils Hunter quelques semaines avant son départ de la Maison Blanche. Une décision qui suscite de nombreuses interrogations, notamment sur l'indépendance du système judiciaire américain.Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de : - Eric Topona, journaliste tchadien au sein de la rédaction Afrique francophone de la Deutsche Welle - Boubacar Sanso Barry, administrateur général du site d'information guinéen ledjely.com, chroniqueur de l'émission On refait le Monde sur DjomaTV et rédacteur en chef de l'hebdomadaire «Le Punch»- Wuldath Mama, consultante spécialisée dans les questions internationales pour la Société de Radio et de Télévision du Bénin.