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durée : 00:59:11 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Les 16ᵉ et 17ᵉ siècles voient la succession des conflits armés. Pour faire face à la hausse des dépenses militaires, les souverains ont recours à de nouveaux instruments financiers et constituent progressivement un endettement à long terme. - réalisation : Thomas Beau, Riyad Cairat - invités : Katia Béguin Historienne, directrice d'études à l'EHESS et rectrice de la région académique Pays de la Loire, chancelière des universités; Philippe Hamon Historien, professeur émérite d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, membre du laboratoire TEMPORA
Pour la première fois, depuis 1958, un gouvernement a été renversé par un vote de confiance. Hier (8 septembre 2025), François Bayrou a échoué à rallier une majorité…364 députés ont voté contre lui. Un échec historique qui l'a contraint à démissionner à la mi-journée. 1h20 d'entretien avec Emmanuel Macron et l'expédition des affaires courantes… le temps de lui trouver un successeur. Plusieurs noms circulent… Plusieurs scénarios cohabitent mais aucune vérité à l'heure où l'on se parle. Tout peut basculer dans les prochaines minutes ou pas. La France devenue enfant malade de l'Europe est-elle ingouvernable ? 24 gouvernements en 11 ans. Notre 5ème République pensée, conçue par le général de Gaulle est-elle à bout de souffle? C'est notre débat du soir ! Pour en débattre - Philippe Moreau-Chevrolet, professeur de Communication politique à Sciences-Po et président de MCBG Conseil - Frédéric Sawicki, professeur de Science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne - Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI.
Après la démission du Premier ministre François Bayrou, la situation politique en France se double d'une crise économique. Avec un déficit public à 5,5 % du PIB et une dette qui dépasse les 3 300 milliards d'euros, plusieurs pistes sont envisagées pour tenter de sortir de l'ornière. Mais chacune traduit une vision différente de la société. Durant son passage à Matignon, François Bayrou n'a cessé d'alerter sur la fragilité de la situation économique française. Son credo : réduire les dépenses publiques, limiter le recours au crédit et relancer la production par le travail. Mais cette ligne d'austérité modérée n'a pas convaincu, contribuant à son renversement politique. La gauche mise sur une fiscalité plus juste À gauche, la solution passe moins par la baisse des dépenses que par leur réorientation. L'idée : réduire certaines niches fiscales jugées inefficaces, qui pèsent près de 80 milliards d'euros par an, et faire davantage contribuer les hauts revenus et les détenteurs de capitaux. L'objectif affiché : protéger l'école, accélérer la transition écologique et rétablir plus d'équité dans l'effort collectif. La droite prône l'austérité radicale De l'autre côté de l'échiquier, la droite propose une cure sévère : suppression de certaines fonctions non régaliennes, privatisations, réduction du nombre de fonctionnaires et durcissement de l'accès aux aides sociales. Cette ligne vise à rétablir les comptes publics en serrant fortement la ceinture de l'État, quitte à risquer un frein à la croissance et des tensions sociales accrues. Finalement, une troisième voie semble émerger : celle d'un équilibre entre économies et hausse ciblée des impôts, défendue notamment par la Cour des comptes. Mais derrière les chiffres, c'est avant tout un choix politique et de société qui se profile pour l'avenir du pays. À lire aussiDéficit public: Italie, Espagne… que peut retenir la France de leurs politiques d'austérité?
Pour la première fois, depuis 1958, un gouvernement a été renversé par un vote de confiance. Hier (8 septembre 2025), François Bayrou a échoué à rallier une majorité…364 députés ont voté contre lui. Un échec historique qui l'a contraint à démissionner à la mi-journée. 1h20 d'entretien avec Emmanuel Macron et l'expédition des affaires courantes… le temps de lui trouver un successeur. Plusieurs noms circulent… Plusieurs scénarios cohabitent mais aucune vérité à l'heure où l'on se parle. Tout peut basculer dans les prochaines minutes ou pas. La France devenue enfant malade de l'Europe est-elle ingouvernable ? 24 gouvernements en 11 ans. Notre 5ème République pensée, conçue par le général de Gaulle est-elle à bout de souffle? C'est notre débat du soir ! Pour en débattre - Philippe Moreau-Chevrolet, professeur de Communication politique à Sciences-Po et président de MCBG Conseil - Frédéric Sawicki, professeur de Science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne - Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI.
La dette publique française fait régulièrement les gros titres et suscite inquiétudes et débats. Présentée parfois comme un fardeau pour les générations futures, parfois comme un outil indispensable pour financer l'économie, elle soulève de nombreuses questions. Avec : - Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à INSEEC Grande École, directeur de la Valorisation de la recherche chez Omnes Education- Léo Vigny, statisticien et enseignant à l'Université Sorbonne Paris CitéRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus d'économie et société ci-dessous :Silence, on crie : https://audmns.com/jqOozgUOù va la vie ? La bioéthique en podcast : https://audmns.com/UuYCdISContre courant : https://audmns.com/swImDAMAu bonheur des herbes : https://audmns.com/XPVizmQSacré patrimoine : https://audmns.com/TNJhOETEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 8 septembre 2025 - La chute de bayrou...et de la Vème république?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique à Franc-Tireur- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction l'Express- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef, service politique du Point- Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université Paris II Panthéon Assas
C dans l'air du 8 septembre 2025 - La chute de bayrou...et de la Vème république?Le Premier ministre François Bayrou et son gouvernement vivent probablement leurs dernières heures à Matignon. Le très attendu vote de confiance des députés doit avoir lieu ce lundi, en fin de journée. Un pari risqué que le Premier ministre a toutes les chances de perdre, sauf en cas d'énorme retournement de situation. Car les oppositions, depuis plusieurs jours, n'en font pas mystère : elles ne vont pas soutenir le Premier ministre.Et même parmi les députés de ce qu'on appelle le "socle commun", censé soutenir le gouvernement, ce vote ne sera pas une évidence. Chez Les Républicains, les députés sont divisés. « Ils auront une liberté de vote », a assuré Laurent Wauquiez, leur chef de file à l'Assemblée nationale. Un tiers, voire la moitié, pourrait s'abstenir ou voter contre, alors même que leur chef, Bruno Retailleau, est ministre de l'Intérieur.Alors qu'Emmanuel Macron a appelé, la semaine dernière, les membres du socle commun à la mobilisation, celui-ci va-t-il s'effriter ? Quels sont les scénarios possibles après le vote de confiance du gouvernement Bayrou ? Nommer rapidement un nouveau Premier ministre ou dissoudre encore l'Assemblée nationale ? Et que se passe-t-il dans les ministères pendant cette période ?Nos journalistes ont suivi Juliette Méadel, ministre déléguée chargée de la Ville.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique à Franc-Tireur- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction l'Express- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef, service politique du Point- Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université Paris II Panthéon Assas
durée : 00:23:49 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Le niveau d'endettement de la France est-il vraiment inédit ? Historien.nes et économistes rappellent qu'il a déjà été atteint, voire largement dépassé au cours de l'Histoire. Les modes de financement de la dette étaient alors moins internationalisés, plus divers, et la croissance soutenue. - réalisation : Camille Mati - invités : Laure Quennouëlle-Corre Historienne, directrice de recherche au CNRS, rattachée au Centre de recherches historiques de l'EHESS; Clara Léonard docteure en économie, directrice générale de l'Institut Avant-garde
durée : 00:58:38 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Comme chaque semaine, nous revenons sur l'actualité en nous interrogeant sur le caractère inédit de l'endettement actuel. Nous consacrons ensuite une demi-heure à l'histoire de la pensée économique avec Fanny Coulomb, qui revient sur la manière dont les économistes libéraux pensent la guerre. - invités : Laure Quennouëlle-Corre Historienne, directrice de recherche au CNRS, rattachée au Centre de recherches historiques de l'EHESS; Clara Léonard docteure en économie, directrice générale de l'Institut Avant-garde; Fanny Coulomb Maîtresse de conférences HDR en économie à Sciences Po Grenoble.
Invités : - Gérard Carreyrou, journaliste - Gauthier Le Bret, journaliste. - Christophe Bordet, journaliste. - Caroline Ithurbide, journaliste. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Montréal, le discours sur le « définancement de la police » perd du terrain. Selon un sondage Léger obtenu par Le Journal, près de la moitié des résidents souhaitent au contraire plus d’investissements dans le SPVM et une présence accrue de patrouilles dans les rues. Entrevue avec Yves Francoeur, président Fraternité des policiers et policières de Montréal. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Vie PUBLIQUE et le COUPLE avec Valérie Robert et Danick Martineau Cette semaine sur le podcast, je reçois Valérie Roberts et Danick Martineau. Ensemble, ils explorent l'amour sous toutes ses formes : les débuts d'une relation, la gestion du quotidien en couple, la jalousie, les différences de personnalité et la confiance. Au programme : - L'importance du ressenti dans la définition de l'amour - Les différences de personnalité et leur impact dans le couple - Les premières dates et les souvenirs marquants - Les défis de la vie publique sur les relations amoureuses - Comment garder l'équilibre et la confiance malgré l'exposition médiatique
Pour Élie Cohen, la chute du Premier ministre ne fait aucun doute et est déjà intégrée par les marchés : « Cette chute est tellement anticipée que cela fait des mois que les acteurs économiques se sont calés sur cette perspective. […] Cette opération coûtera sans doute quelques dixièmes de points de croissance. » Mais ce n'est pas l'instabilité politique qui inquiète le plus l'économiste, c'est le rapport des Français à la dette. « Je n'ai jamais compris pourquoi les Français n'intègrent pas du tout cette donnée. Ils sont indifférents au niveau de la dette. Ils ont l'impression qu'on a toujours vécu avec, qu'on peut continuer à vivre avec », confie-t-il.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Peut-être avez-vous déjà entendu parler de Citizen, cette application américaine censée renforcer la sécurité publique. Son principe est simple : alerter les habitants en temps réel des crimes, accidents ou urgences autour d'eux. Mais derrière cette promesse rassurante, une enquête de 404 Media révèle un tout autre visage : l'intelligence artificielle qui génère ces alertes… se trompe régulièrement, au point de transformer l'outil en source de confusion.Selon des témoignages internes, l'IA de Citizen diffuse directement les informations captées sur les ondes radio des services d'urgence, sans qu'aucun humain ne vérifie. Résultat : des erreurs en cascade. Des accidents routiers transformés en “accidents avec meurtre”, des victimes inventées comme “un blessé par balle au visage”, des adresses erronées, ou encore des plaques d'immatriculation publiées sans confirmation. Dans certains cas, l'algorithme a même multiplié les alertes pour un seul et même incident, noyant les utilisateurs sous de fausses informations.Un employé anonyme raconte que « l'IA devenait folle », générant cinq à dix notifications différentes pour un seul fait divers. De quoi semer le doute, voire la panique, au lieu d'apporter de la clarté. Pour 404 Media, on frôle l'auto-sabotage. La polémique s'ajoute à d'autres casseroles. Citizen avait déjà défrayé la chronique en 2021 lors des incendies de Palisades, en mettant à prix la capture d'un homme finalement innocent. Plus récemment, l'entreprise a licencié 13 salariés syndiqués, remplacés par… cette fameuse IA aujourd'hui pointée du doigt. Et le timing est particulièrement mauvais : l'application vient tout juste de nouer un partenariat officiel avec la ville de New York pour lancer le compte NYC Public Safety, censé informer la population en temps réel. Mais avec une IA qui invente des blessés ou transforme un simple accident en scène de crime, difficile d'imaginer que la confiance des utilisateurs sorte indemne. En voulant accélérer et automatiser l'information, Citizen risque d'avoir perdu ce qui comptait le plus : la fiabilité. SOURCE : https://www.404media.co/citizen-is-using-ai-to-generate-crime-alerts-with-no-human-review-its-making-a-lot-of-mistakes/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C'est en testant l'outil Perplexity que je suis tombée sur un dispositif dont je n'avais jamais entendu parler : HELP. Un accompagnement gratuit et coordonné de la CAF, de la CPAM et de l'URSSAF, pour les freelances confrontés à des difficultés financières. Je ne l'ai pas testé moi-même, donc je ne peux pas t'en dire plus sur son efficacité. Mais je trouve que c'est le genre d'info à garder sous le coude. Tu connaissais ? Tu l'as déjà sollicité ? Je suis preneuse de retours ! (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
durée : 00:02:57 - Le brief éco - La crise politique en France ne semble pas inquiéter les investisseurs qui nous prêtent l'argent pour rembourser la dette. Notre dernier emprunt est passé comme une lettre à la poste, jeudi. Un épisode presque rassurant depuis l'annonce du vote de confiance. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:16 - France Inter sur le terrain - Comme d'autres agences gouvernementales, le CDC s'est retrouvé dans le collimateur de l'administration Trump : 25% d'effectifs supprimés, la patronne renvoyée, un budget bientôt divisé par deux. Ses salariés, encore sous le choc, dénoncent des conséquences dramatiques pour la santé des Américains. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:02 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - En 1870, après presque 20 ans de Second Empire, la République est de nouveau proclamée. Mais l'heure n'est pas franchement aux revendications des femmes et il va falloir tout le courage et l'inventivité d'une nouvelle génération de militantes pour remettre sur le tapis la question du droit de vote. - invités : Anne-Sarah Bouglé-Moalic - Anne-Sarah Bouglé-Moalic : Historienne - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:58:35 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Comme chaque semaine, nous revenons sur l'actualité en nous penchant sur les causes du déficit, avant de consacrer une demi-heure à l'histoire de la pensée économique avec Pierre-Cyrille Hautcoeur, qui publie une "Histoire économique et sociale" de la France de la Préhistoire à nos jours. - invités : Isabelle This Saint-Jean Économiste, professeure à Sorbonne Paris Nord; Mathieu Plane Économiste, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE; Pierre-Cyrille Hautcoeur Directeur d'études à l'EHESS, spécialiste de l'histoire monétaire et financière des XIXe et XXe siècles
durée : 00:23:08 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Baisse du taux de prélèvements obligatoires depuis 2017, niveau de dépense publique, crise inflationniste ... Comment expliquer le niveau actuel de la dette ? - invités : Mathieu Plane Économiste, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE; Isabelle This Saint-Jean Économiste, professeure à Sorbonne Paris Nord
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Actualités. Gros plan. Le 1e septembre est la journée de la Constitution de la République slovaque. RSI vous propose un entretien tiré de ses archives en français avec Branislav Kadlečík, juriste, qui replacera le contexte historique de cette Constitution, en analysera le contenu et évoquera certaines révisions de cette Constitution. Vous écouterez aussi un document d'époque avec la voix de l'un des acteurs de cette journée historique, monsieur Ivan Gasparovic, deux fois présidents de la République slovaque.
Invité : Frédéric Dabi, directeur-général opinion de l'Ifop Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis son indépendance en 1991, la Moldavie cherche sa place entre l'Est et l'Ouest, portée aujourd'hui par la présidente Maia Sandu, symbole des ambitions européennes du pays dans un contexte géopolitique délicat.
Depuis son indépendance en 1991, la Moldavie cherche sa place entre l'Est et l'Ouest, portée aujourd'hui par la présidente Maia Sandu, symbole des ambitions européennes du pays dans un contexte géopolitique délicat.
Depuis son indépendance en 1991, la Moldavie cherche sa place entre l'Est et l'Ouest, portée aujourd'hui par la présidente Maia Sandu, symbole des ambitions européennes du pays dans un contexte géopolitique délicat.
Invitée : Juliette Méadel, ministre déléguée chargée de la Ville Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Martin Garagnon, porte-parole du parti Ensemble pour la République Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur l'interview de Sabeha Sansal, fille de Boualem Sansal, qui a confié n'avoir eu aucune réponse d'Emmanuel Macron à son courrier. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:11 - Le monde à l'endroit - Pendant qu'en France, le mur de la dette menace de faire chuter le gouvernement Bayrou, les pays du sud de l'Europe voient leurs taux obligataires se détendre. Déficits maîtrisés, croissance robuste : les boulets sont devenus locomotives de la zone euro. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Fournie par des États donateurs ou des institutions multilatérales, l'aide publique au développement (APD) constitue un levier essentiel pour soutenir les pays africains dans leurs efforts de croissance économique et de réduction de la pauvreté. En Afrique comme ailleurs, l'APD contribue notamment au financement d'infrastructures, à l'amélioration des systèmes de santé et d'éducation, à faire face aux défis climatiques, à la sécurité alimentaire ou encore à la gouvernance. Cependant, malgré son importance, cette aide suscite de nombreux débats sur son efficacité. L'APD serait-elle un poison lent qui étouffe toute initiative locale ou au contraire un soutien vital qu'il faut réinventer ? Avec la participation de : Marie-Yemta Moussanang, consultante indépendante, enseignante à Sciences Po et réalisatrice du podcast Afrotropiques. Sandra Kassab, directrice du département Afrique de l'Agence française de développement (AFD). Paul-Simon Handy, chercheur camerounais, directeur Afrique de l'Est de l'Institut d'études de sécurité (ISS).
durée : 00:05:13 - La Revue de presse internationale - par : Mélanie Kuszelewicz - Selon un rapport de l'ONG Human Rights Watch, les rebelles du M23 ont tué 140 civils dans l'est de la République démocratique du Congo en juillet.
Les départs clandestins de pirogues depuis les côtes guinéennes vers l'archipel espagnol des Canaries se sont multipliés, en conséquence de l'accord migratoire conclu entre la Mauritanie et l'Espagne l'an dernier. Pourtant, la traversée depuis la Guinée peut durer une dizaine de jours et est extrêmement dangereuse. En 2024, l'ONG espagnole Caminando Fronteras dénombre 10 457 morts dans l'Atlantique. Entretien avec Elhadj Mohamed Diallo, ancien exilé, qui dirige désormais l'Organisation guinéenne de lutte contre la migration irrégulière. RFI : La Guinée est devenue une alternative pour les candidats à la migration clandestine, notamment depuis la ville côtière de Kamsar. Pourquoi ce phénomène, selon vous, a-t-il pris de l'ampleur dans la ville ? Elhadj Mohamed Diallo : D'abord, la ville de Kamsar est une ville portuaire, où la pêche est beaucoup développée. La plupart des jeunes maîtrisent parfaitement l'océan. Ce sont des pêcheurs qui maîtrisent la conduite des pirogues. La situation aux îles Canaries est telle que des journalistes espagnols sont venus enquêter jusqu'en Guinée pour identifier les familles des disparus, racontez-nous. Lorsque des Guinéens sont arrivés dans les îles des Canaries – le troisième convoi au départ de Kamsar -, il y a eu un accident. Sept personnes sont décédées, dont deux enfants. Donc les journalistes se sont intéressés à la question. Ils nous ont contactés et ils sont venus sur le terrain pour identifier trois familles parmi les sept et après, ils sont venus à Conakry. On les a mis en contact avec des familles de disparus, et eux nous ont mis en relation avec des organisations qui travaillent sur les questions d'identification dans les autres pays. Il y a plusieurs familles qui sont identifiées, on est en train de mettre en place le collectif des familles de disparus. Et une fois que vous les identifiez, qu'est-ce que vous faites ? Parfois, un jeune décède dans un autre pays, mais la famille n'est pas identifiée. Donc, ils nous contactent. On accompagne la famille pour qu'elle puisse rapatrier le corps au pays et inhumer le jeune. On les accompagne aussi dans leur deuil et dans les démarches administratives. Lorsqu'un corps est identifié, il y a un tas de dossiers qu'il faut aller retirer à la justice ou à la mairie. Parfois, les familles ne sont pas informées. Nous accompagnons les familles dans toutes ces démarches, s'ils décident de rapatrier le corps ou pour qu'ils aient les documents nécessaires pour engager des procédures auprès des tribunaux. À lire aussiGuinée: une nouvelle route dangereuse pour la migration vers les Canaries au départ de Kamsar Alors concrètement, comment ça se passe ? Ce sont des passeurs qui sont, disons, des « professionnels » et qui ouvrent un nouveau point de passage ? Ou est-ce que ce sont des pêcheurs ou des personnes sur place, à Kamsar, qui se lancent dans le marché de la migration par opportunisme ? Le premier convoi, c'était des pêcheurs. Comme le Sénégal est un pays frontalier, on se dit que s'il y a des voies de passage depuis le Sénégal, nous aussi Guinéens pouvons tenter. Donc c'est comme ça qu'ils ont commencé. Un groupe d'individus étaient là en train de travailler, ils se sont réunis, ils ont formé leur convoi et ils sont partis. Ca a même échappé aux autorités. Pour le moment, on n'a pas pu avoir des informations sur les passeurs, on est en train de faire des recherches. Mais bon, vous savez, c'est une question très compliquée de former un groupe de réseaux. Ça peut être des compatriotes qui étaient déjà en Mauritanie ou au Sénégal et qui reviennent en Guinée, ou ça peut être aussi des gens issus du réseau marocain qui se ramifie jusqu'en Guinée. Ce sont des réseaux qui sont vraiment professionnels. On doit planifier le terrain, il faut identifier qui doit être impliqué, qui ne doit pas être impliqué aussi. Ça va prendre du temps. Mais quand même, il y a eu pour le moment trois ou quatre convois qui sont partis et le mois dernier, les autorités ont arrêté pas mal de groupes de personnes qui étaient prêtes à partir. Deux convois ont été arrêtés au mois de juillet. Un autre convoi a été arrêté en Mauritanie où il y avait des Guinéens, des Sénégalais et d'autres nationalités. Vous voulez dire qu'en fonction des politiques migratoires des pays pourtant voisins, le point de départ peut changer ? Pas forcément les politiques migratoires en soi. Ça peut être peut-être la façon dont on est en train de réprimer les migrants, ou bien comment on est en train de durcir un peu les politiques migratoires. C'est une chaîne, en fait. Ça a commencé par le Maroc, puis le Maroc a « fermé » sa voie d'accès. Puis la Mauritanie, le Sénégal où ça devient de plus en plus difficile. Finalement, les points de départ s'éloignent de plus en plus. Et certainement demain, quand on va « fermer » la Guinée, peut-être que c'est Sierra Leone, le Liberia ou la Côte d'Ivoire qui seront concernés. En ce qui concerne le réseau des passeurs, ce n'est pas seulement la Guinée qui doit y travailler. Il faut que les pays collaborent, que ça soit une coordination entre les États parce que ces passeurs sont des criminels. Ça, il faut le dire. Quand vous voyez ce qui se passe aujourd'hui en Tunisie, vous comprendrez pourquoi les pays doivent coopérer pour pouvoir travailler sur cette question. Est-ce que vous avez pu dresser un profil des personnes qui prennent la mer ? Ce sont des familles avec des enfants, parce qu'ils sont convaincus qu'avec des enfants, on vous donne des papiers en règle dès votre arrivé. Donc, ils prennent toute la famille pour partir. En majorité, c'est des jeunes de 17 à 35 ans. Mais il y a également des vieux, des femmes, des enfants, des intellectuels, des étudiants, des non-étudiants... C'est les mêmes personnes, des fois, qui avaient envie de partir mais qui n'en avaient pas la possibilité. Avec 15 millions de francs guinéens [1 500 €, NDLR], ils vont migrer depuis Kamsar. À lire aussiMauritanie: «Notre politique vis-à-vis de la migration irrégulière est restée la même» Alors même que la communication habituelle des autorités et la sensibilisation communautaire martèlent que le risque de partir clandestinement, c'est très dangereux, que la Guinée ou même l'Afrique en général, a besoin de bras pour se construire et que les politiques migratoires, vous l'avez dit, sont de plus en plus dures. Pourquoi, selon vous, les jeunes continuent de tenter « l'aventure », comme on l'appelle en Afrique de l'Ouest ? On est tous d'accord que d'abord, la migration, c'est un fait naturel. Deuxièmement, il y a une communication sur les réseaux sociaux qui dit que l'Allemagne ou la France ont besoin de plus de main-d'œuvre et les jeunes ont besoin de travailler. Mais quand vous prenez le cas spécifique de la Guinée, la majeure partie des jeunes Guinéens ont perdu confiance non seulement en l'intellectuel guinéen, mais aussi en la République de Guinée. Même s'ils avaient des milliards en poche, ils n'auraient pas envie d'investir dans ce pays parce qu'il y a une totale perte de confiance. Même si ces jeunes sont des intellectuels, même si vous leur trouvez un travail, ils vont chercher un moyen de transport pour quitter le pays parce qu'ils n'ont plus confiance en la République. À une époque, on avait des tee-shirts qui disaient La Guinée est mon avenir. Il y a un jeune qui m'a interpellé un jour, en me disant : « Tu penses qu'il y a une possibilité de réussir dans ce pays où un Premier ministre te dit qu'une région n'a pas le courant parce qu'un Chinois est mort ? » [en 2018, l'ex-Premier ministre Kassory Fofana avait justifié l'absence d'électricité à Kankan par le décès prématuré de l'investisseur chinois choisi pour le projet, NDLR] Vous voyez la mentalité ? Au début de ce mois, 49 Sénégalais ont quitté la Mauritanie en pirogue, se sont perdus en mer et ont finalement pu atteindre les îles Canaries en s'accrochant à une barge remorquée par un navire européen. Comment vous expliquez une telle détermination chez les jeunes Africains, avec pourtant un énorme risque de se faire arrêter ou pire, de mourir, tout simplement ? Vous interrogez dix jeunes aujourd'hui sur pourquoi ils sont prêts à prendre ces risques-là. Ils vous diront que dans l'état actuel des choses, ils sont comme déjà morts. Donc pour eux, il vaut mieux aller mourir ailleurs et peut-être réussir, que de rester ici et mourir. C'est comme un jeune avec ses parents, s'il n'a plus confiance, il va quitter la maison. Donc quand on n'a plus confiance en notre nation, on va forcément la quitter. C'est ce qui arrive en l'Afrique de l'Ouest, surtout au Sénégal et en Guinée. Quand dans un pays, même manger devient un luxe, ça devient un problème. Il y a donc la communication sur les réseaux sociaux et aussi cette question politique qui motive de nombreux jeunes à partir. Et on comprend parfois leur motivation, ils veulent tout simplement vivre en paix. À lire aussiLa France peut-elle se passer d'immigration ?
Brigitte
Cet été, découvrez le meilleur d'Au cœur de l'Histoire, avec Virginie Girod ! Depuis le XVIIe siècle, le château de Versailles est associé à la monarchie française. Mais saviez-vous que depuis la seconde partie du XIXe siècle, la demeure de Louis XIV est également un haut lieu de la République ? En 1875, dans l'aile du Midi, un grand hémicycle est construit en six mois. La salle du Congrès doit accueillir les parlementaires, alors que le gouvernement a quitté Paris. Quatorze présidents de la République y seront élus. 150 ans après les lois constitutionnelles qui entérinent la proclamation de la IIIe République, Virginie Girod vous emmène en visite guidée dans ce lieu incontournable de la vie parlementaire française, en compagnie de Frédéric Lacaille, conservateur en chef, chargé des peintures du XIXe siècle et des Galeries Historiques au château de Versailles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Michel Fayad, analyste politique Franco-Libanais - Eric Naulleau, journaliste et écrivian - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes chers camarades, bien le bonjour ! Bienvenue dans ce nouvel entretien historique dans lequel j'ai eu le plaisir d'accueillir Nicolas Patin, qui est spécialiste de l'histoire de l'Allemagne de 1914 à 1945, du nazisme, de la Shoah, et de la République de Weimar. Et si vous avez lu le titre, vous le savez : Weimar, on va en parler aujourd'hui ! Parce que cette république, à part savoir qu'elle a été en place entre la chute de l'Empire allemand et l'arrivée au pouvoir des nazis, au final on n'en sait pas forcément grand chose, et l'émission d'aujourd'hui va permettre de rectifier un peu le tir ! Alors ne faisons pas plus long, je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene !➤ Pour aller plus loin :➜ Découvrez le livre “Le monde nazi : 1919 - 1945” que Nicolas a coécrit avec Christian Ingrao et Johann Chapoutot : https://www.tallandier.com/livre/le-monde-nazi/ ➜ Retrouvez le passage de Nicolas chez le camarade Rivenzi : https://youtu.be/JtXm_i2TU3g
La République à quatre principaux symboles : le drapeau bleu blanc rouge, son hymne national, Marianne et sa devise. Nous les connaissons tous. Mais d'où viennent-ils exactement et que signifient-ils ?
durée : 00:23:17 - Orthodoxie - par : Alexis Chryssostalis - L'historien Pierre Gonneau, spécialiste de la Russie médiévale, nous guide à travers l'écheveau des rues et des monuments religieux de la ville la plus peuplée de Russie au début du XIIIe siècle : Novgorod, la cité qui fut, bien avant Saint-Pétersbourg, la fenêtre de la Russie sur l'Europe. - réalisation : Anne Perez - invités : Pierre Gonneau Professeur à Sorbonne Université et Directeur d'études à l'École Pratique des Hautes Études
Invité : - Karl Olive, député Renaissance des Yvelines Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:43:07 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - La RDC et le Rwanda ont signé un accord de paix le 27 juin dernier, sous l'égide des États-Unis. Peu de temps après, la déclaration dite de Doha, menée sous la coupe du Qatar, a été signée entre le gouvernement congolais et les groupes armés de l'AFC-M23. S'agit-il d'un coup d'éclat diplomatique ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Maria Malagardis Grand reporter au journal Libération; Bob Kabamba Professeur de sciences politiques à l'Université de Liège; Séverine Autesserre Professeure des universités et directrice du département de science politique à la Faculté Barnard de l'université Columbia à New York
durée : 01:10:12 - Les Nuits de France Culture - par : Mathias Le Gargasson - En mars 1973, l'avocate Gisèle Halimi, connue pour défendre des femmes ayant avorté clandestinement, donne une conférence publique autour de la contraception. Une conférence houleuse où elle est souvent interrompue. Un morceau d'histoire avec l'une des plus grandes figures du féminisme français. - réalisation : Emily Vallat - invités : Gisèle Halimi Avocate et militante féministe française
REDIFF - Une affaire secoue la France et même l'Europe à la fin du XIXe siècle : l'affaire Dreyfus. Émile Zola met tout son talent au service de la justice avec son célèbre manifeste, « J'accuse... ! », une lettre ouverte adressée au régime en place. Suivez les traces de cet écrivain naturaliste, observateur aigu de son époque, qui a su en dépeindre toutes les strates, des plus démunis aux plus puissants. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Deltombe Tout l'été, retrouvez l'inimitable Lorànt Deutsch pour vous révéler les secrets des personnages historiques les plus captivants !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:38 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Kinshasa et le groupe armé AFC/M23 ont signé une "déclaration de principe" pour ouvrir la voie à des accords de paix, dans l'est de la RDC, terrain de conflits meurtriers depuis des décennies.
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durée : 00:43:07 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Le secteur culturel dénonce la baisse du budget qui lui est consacré tant à l'échelle nationale que régionale. Cette émission fait le point sur le financement de la culture et sur les évolutions à venir. - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Vincent Guillon codirecteur de l'Observatoire des politiques culturelles de Grenoble et professeur associé à Sciences Po Grenoble; Alexandre Thébault conseiller délégué à la culture et au patrimoine de la région Pays de la Loire; Sandrine Mini Directrice de Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau, membre du bureau du Syndéac
Pourquoi les petites maternités de province disparaissent ? Pourquoi les maternités des CHU sont engorgées ? Pourquoi les financements comme les médecins et sage-femmes manquent à l'appel ? Quelles sont les conséquences sur la santé des femmes et des nouveau-nés ? Pourquoi la mortalité infantile progresse-t-elle en France, 7e puissance mondiale, se classant en 2024 à la 23e place sur 27 pays européens ?On aborde dans cet épisode un livre militant qui nous invite à défendre notre droit à accoucher en toute sécurité, pour la santé de nos bébés et la nôtre. « 4,1, le scandale des accouchements en France » (paru aux éditions Buchet Chastel), c'est une enquête sur l'effondrement de notre système de santé et en particulier du secteur périnatal. Anthony Cortes, co-auteur de cette enquête avec Sébastien Leurquin, est journalistes d'investigation pour l'Humanité, au-delà du constat alarmant que ce livre dresse, il nous éclaire sur les critères à prendre en compte au moment de choisir la maternité où l'on va accoucher.Mères est un podcast produit par le magazine leslouves.com qui accompagne les femmes à chaque étape de la maternité depuis 10 ans.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.