POPULARITY
Categories
Le début de semaine américain n'a pas été facile. Les traders digèrent toujours les problématiques de la tech et n'arrivent pas à se positionner clairement en attendant les chiffres de l'emploi prévus tout à l'heure. Les indices ont reculé gentiment, sans panique mais sans conviction non plus. On parle de rotation de secteurs, on parle … Continued
durée : 00:02:15 - Les Brigades du Pire - "ici Gascogne" Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:17 - Benjamin vend des marrons sur la marché de Noël d'Annecy - En décembre, Benjamin ferme son restaurant ardéchois pour venir vendre des marrons chauds sur le marché de Noël d'Annecy et profiter de la montagne et du ski dès la fin du marché. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Julien : Waouh, c'est dingue le monde qu'il y a aujourd'hui pour le marché de Noël ! Ça met direct dans l'ambiance !Louise : Ah bah carrément ! En plus regarde comme c'est beau avec le grand sapin et toutes les guirlandes allumées.Julien : C'est super joli, mais j'avoue que je suis surtout venu pour me réchauffer avec un bon truc gras à manger.Louise : Allez viens, je t'offre un sandwich à la raclette, ça t'évitera de râler parce que tu as froid ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au programme : les 50 ans du Relais Bernard Loiseau, le Petit Pudlo des Bistrots 2026 et le nouveau livre de Gueuleton.
Au programme : essai de la Citroën C3 hybride, contrôle technique et airbag Takata /Loi montagne / Comment se porte le marché automobile ?
Le marché de Noël de Luxeuil commence ce week-end
Le Haut Conseil de stabilité financière met en garde contre la stagnation du marché immobilier français. La hausse des taux d'intérêt et les critères d'emprunt rigoureux freinent l'accès à la propriété.Traduction:France's High Council for Financial Stability warns of stagnation in the housing market. Rising interest rates and stringent lending criteria are severely limiting access to property ownership. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La FED a parlé hier soir. Fin du suspense : ton, nuances, projections… on décortique ce qui compte vraiment, sans le bruit médiatique.Ce matin, on revient sur : ✔️ Ce que Powell a réellement dit (et ce que le marché a entendu…) ✔️ L'impact immédiat sur taux, dollars, indices ✔️ Ma lecture psycho/stratégie après la conférence ✔️ Les niveaux à surveiller aujourd'huiEt pendant que Wall Street digère le message de la FED, Oracle a publié hier soir :
Le marché de Noël de l'ensemble scolaire St Colomban à Luxeuil
"Si j'avais gagné l'UTMB, HOKA n'existerait peut-être pas."En 2007, Nicolas Mermoud s'effondre dans la descente l'UTMB après avoir mené la majorité de la course.À l'époque, Nike et Adidas dominent le marché mais aucune technologie ne permet de courir vite et en sécurité dans les descentes.Alors avec Jean-Luc Diard, Nicolas mise 300 000 euros pour rivaliser avec les mastodontes. À 42 ans. Avec trois enfants.Aujourd'hui, HOKA fait 2,2 milliards de chiffre d'affaires avec 40% de marge.Cette histoire s'est construite sur un paradoxe qui défie toute logique. L'industrie pensait minimaliste, HOKA arrive avec des semelles géantes qui donnent la sensation de voler.Dans cet épisode fascinant, Nicolas dévoile :Les 3 innovations technologiques qui ont bouleversé une industrie de 80 milliardsComment construire une marque mondiale sans budget marketingPourquoi innover ne suffit jamais pour gagnerLe modèle économique du footwearUne masterclass d'innovation de la part d'un "mountain kid" qui a créé l'iPhone du footwear.Vous pouvez contacter Nicolas sur Linkedin et Instagram.TIMELINE:00:00:00 : De la Haute-Savoie aux pieds de Joe Biden00:10:20 : Entreprendre à 42 ans avec 3 enfants00:20:15 : Le secret des produits qui cartonnent00:30:08 : Le jour 1 de HOKA00:45:05 : Les 3 innovations technologiques de HOKA00:57:34 : La marque comme véhicule de l'innovation01:10:07 : La séparation qui a tout accéléré01:23:11 : Combien ça coûte une paire de runnings ?01:34:08 : Construire une marque mondiale sans budget marketing01:42:39 : La signature HOKA01:56:01 : Comment survivre quand tout le monde copie02:05:51 : Courir ensemble pour parler business02:22:15 : Innover ne suffit pas02:33:09 : Transmettre l'expérience de l'outdoor02:43:09 : La défaite qui a tout lancé03:00:20 : Le bad buzz qui a failli tout tuerLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #496 - Sébastien Kopp - VEJA - Faire du business autrement#495 - Anne-Laure Constanza Gorgé - Toulemonde Bochart - “Je me suis battue dans un seul but : mettre à l'abri mes enfants”#413 - Alexandre Boucheix (Casquette Verte) - Ultra-Traileur - “Je suis jamais le meilleur mais j'adore briller”#309 - Vincent Defrasne - AYAQ - Prendre sa retraite sportive à 33 ans et se lancer dans l'entrepreneuriat écoresponsable#300 - Mathieu Blanchard - Ultratrail et Aventure - Commencer le running à 26 ans et devenir une légende de l'ultratrail#203 - Catherine Poletti - UTMB - Changer l'histoire du sport et du Mont-Blanc#200 - Tristan Vyskoc - Dépasser ses limites, courir à s'en faire péter le cœur#178 - Kilian Jornet - Alpinisme & Ultra-trail - Ne pense pas au résultat, l'objectif c'est de progresser#38 - Vincent Defrasne - De l'Or Olympique à la Fondation Somfy#10 - Sébastien Kopp - VEJA - concurrencer Nike et Adidas avec du Développement DurableNous avons parlé de :Les skis paraboliques de Elan et KneisslUTMB Mont BlancJim WalmsleyLes recommandations de lecture :L'art de la victoire, de Phil KnightBorn to Run, de Christopher McDougallUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
5 fruits et légumes par jour, c´est bon pour la santé oui ! Mais de saison c´est encore mieux ! Raisin, épinard, pêche de vigne… chaque semaine dans sa chronique alimentation-diététique, Solène Rigoulet fait découvrir aux auditeurs de LYON 1ère les qualités gustatives et nutritionnelles des fruits et légumes que nous réserve la saison. Et grâce aux conseils et astuces de ses invités experts, vous saurez comment les choisir et les conserver ! Diffusion tous les mercredis à 09h50 et les samedis à 12h10 sur LYON 1ère. En partenariat avec Le Marché de Gros Lyon-Corbas Le Marché de Gros Lyon-Corbas, plateforme d'achat du commerce de détail indépendant, a remplacé en 2009 l'ancien Marché Gare de Perrache. C'est le 1er Marché de Gros français privé spécialisé en fruits et légumes frais. Il commercialise chaque année 305 000 tonnes de marchandises et approvisionne plus de 2 300 clients répartis sur 51 départements majoritairement en Auvergne-Rhône-Alpes. 25 grossistes et 60 producteurs passionnés œuvrent chaque jour pour satisfaire les besoins des clients sur un site de 12 hectares. Le Marché de Gros Lyon-Corbas organise des visites pour les particuliers tous les 1er jeudis de chaque mois !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les cours du cobalt continuent de grimper et illustrent le stress du marché qui est privé du minerai bleu congolais depuis plus de neuf mois. Les prémices d'une reprise des exportations se font sentir, mais la complexité des modalités d'application des nouvelles règles mises en place par les autorités reste le sujet qui domine le secteur. Les exportations auraient dû reprendre mi-octobre, mais ce n'est qu'il y a deux jours que des informations ont filtré sur l'expédition imminente et à titre expérimental d'une première cargaison du négociant Glencore qui réponde aux critères imposés par le régime des quotas. Cette nouvelle règlementation, jugée complexe par de nombreux acteurs de la filière, a empêché jusque-là le commerce de cobalt congolais de reprendre. Aux procédures administratives récentes, il faut ajouter le manque de personnel pour effectuer les vérifications des analyses de chaque camion, ainsi que des problèmes logistiques liés à la saison des pluies et à la mobilisation des camions pour l'exportation de cuivre, explique Chris Welch, analyste du marché du cobalt pour Argus Media. Des quotas décalés par rapport aux besoins Les importateurs comptaient sur la remise en circulation d'un peu plus de 18 000 tonnes au quatrième trimestre, mais il est peu probable que ces volumes soient atteints. Si les 7 250 tonnes prévues pour décembre devaient être expédiées, cela resterait bien en deçà des 10 000 tonnes par mois nécessaires à l'équilibre du marché, pointe l'expert d'Argus Media. Les incertitudes s'accumulent, et expliquent la hausse des prix : depuis l'arrêt des exportations, le prix de l'hydroxyde de cobalt, le principal produit exporté par la RDC, a quadruplé. Cette tendance est soutenue par les retards observés qui impliquent que les premières exportations d'hydroxyde arriveront au mieux en Chine d'ici mars-avril, explique Chris Welch. Quand les exportations seront à nouveau fluides, elles seront limitées par les quotas qui correspondent à 40-45 % seulement du volume exporté l'année en 2024. Or la demande d'alliage de cobalt reste soutenue, notamment dans le secteur aérospatial, et ce, malgré la hausse des prix. Approvisionnement critique La RDC produit 70% du cobalt mondial, et les acheteurs peinent de plus en plus à s'approvisionner : ils ont déjà puisé dans leur stock au cours des premiers mois qui ont suivi l'annonce de l'arrêt des exportations. Selon certaines sources rapportées par Argus Media, les acheteurs chinois, en quête du moindre volume de cobalt, combleraient en partie leur déficit avec du cobalt russe, vendu à prix avantageux. Mais les volumes sont limités et ne compenseront pas la pénurie liée à la nouvelle stratégie mise en place par la RDC, même si le producteur russe Nornickel a annoncé cette semaine avoir relancé en totalité sa production de métal de cobalt, qui avait été ralentie suite à un incendie il y a trois ans.
À l'occasion de cette pétition lancée, Marc Bourreau revient sur ce concours d'éloquence et de prescription culinaire. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Thomas Mulliez, Président-directeur général de Veuve Clicquot, était l'invité de l'émission Ecorama du 9 décembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : l'héritage historique de Veuve Clicquot, son intégration au sein de LVMH, le poids du champagne sur les grands marchés internationaux, la position de la maison aux États-Unis, l'impact des taxes américaines, la place du marché français, ainsi que les perspectives face au ralentissement des expéditions en 2024 et aux enjeux de consommation pour les fêtes de fin d'année. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:04:15 - Le marché de noël d'Ottmarsheim Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Selon un rapport de l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives, le marché de la cocaïne pèse désormais plus de 3 milliards d'euros. En 13 ans, le chiffre d'affaires généré par le trafic de cocaïne a plus que triplé.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la Chine s'impose comme championne mondial de la voiture électrique, un paradoxe bouscule le marché automobile : les véhicules thermiques délaissés par les consommateurs chinois sont massivement exportés vers le reste du monde. Une stratégie agressive qui séduit les pays émergents et inquiète les constructeurs occidentaux. Pékin est aujourd'hui le premier exportateur mondial d'automobiles. Portée par des marques comme BYD ou MG, la Chine inonde le marché international de véhicules électriques. Pourtant, cette ascension fulgurante ne s'accompagne pas d'un recul de la production thermique. Bien au contraire. Comme le révèle une enquête de Reuters, les voitures à essence dont les Chinois ne veulent plus sont envoyées massivement à l'étranger, où elles rencontrent un succès inattendu. Depuis cinq ans, la Chine a vu la voiture électrique exploser grâce à des subventions publiques importantes, une stratégie industrielle volontariste et l'arrivée de jeunes marques très agressives. Résultat : ces modèles représentent désormais la moitié des ventes nationales. Pendant ce temps, les constructeurs traditionnels — chinois comme étrangers — voient leurs voitures thermiques s'accumuler. Leurs usines tournent au ralenti, et les entrepôts débordent de dizaines de milliers de modèles invendus. La parade ? Exporter, et vite. Les marchés émergents, nouveaux terrains de jeu des constructeurs chinois Si l'Occident achète désormais surtout des véhicules électriques chinois, les pays du Sud, eux, restent largement dépendants du thermique. Une aubaine pour Pékin, qui vise clairement les marchés émergents : Amérique latine, Afrique, Moyen-Orient, Asie du Sud-Est, Europe de l'Est. Ces régions disposent de peu de bornes de recharge, de routes parfois difficiles et d'un pouvoir d'achat limité. Autant de raisons qui poussent les consommateurs vers des modèles robustes, en particulier les SUV. Et la stratégie porte ses fruits. En Afrique du Sud, les marques chinoises représentent déjà 16 % du marché. Au Chili, elles comptent pour un tiers des ventes. Les constructeurs chinois ne se contentent pas d'exporter. Ils ouvrent rapidement des réseaux de distribution, s'allient à des partenaires locaux et proposent une gamme complète de véhicules adaptés aux attentes locales. Des prix imbattables et une montée en gamme qui bousculent les Occidentaux Pourquoi ces voitures rencontrent-elles un tel succès ? Le prix, surtout : les modèles chinois sont souvent 20 à 40 % moins chers, parfois deux fois moins, que leurs équivalents occidentaux. Ajoutez à cela une nette montée en gamme : meilleurs systèmes de sécurité, écrans plus modernes, connectivité renforcée, intérieurs soignés. Les véhicules chinois offrent désormais un rapport qualité-prix difficilement égalable. Le tout accompagné d'une stratégie commerciale offensive : implantation rapide, distribution agile, gammes sur mesure pour chaque marché. Résultat : la Chine gagne du terrain partout, ce qui représente une menace frontale pour les constructeurs européens, japonais et américains. Car derrière ces succès se cache une double stratégie : inonder aujourd'hui le monde de véhicules thermiques, et imposer demain les modèles électriques. Les projections confirment cette dynamique. D'ici cinq ans, une voiture sur trois dans le monde pourrait être chinoise. Aujourd'hui l'économiePourquoi les constructeurs automobiles retombent amoureux de l'essence?
La cocaïne est partout. Sur le marché des drogues illicites en France métropolitaine, elle détrône même le cannabis, pourtant bien plus consommé avec un chiffre d'affaires moyen estimé à 3,1 milliards d'euros en 2023. Dans cet épisode du Choix info RTL, nous vous racontons comment elle s'immisce dans tous les milieux.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'approche des fêtes, le marché du jouet entre dans sa période la plus intense de l'année. Entre envies de cadeaux et contraintes budgétaires, les familles arbitrent leurs choix dans un contexte de pouvoir d'achat fragilisé. Franck Mathais, porte-parole de JouéClub, revient sur le démarrage de la saison, les tendances de consommation, l'impact du Black Friday, les défis d'approvisionnement et la manière dont l'enseigne cherche à se différencier face à une concurrence accrue. Ecorama du 8 décembre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
En direct du salon RENT (d'où l'ambiance sonore) Gabriel Pacheco, CEO et cofondateur de SAFTI, revient sur une année 2025 hors norme pour le réseau : 27 000 transactions, 220 M€ de chiffre d'affaires, 22 % de croissance et près de 6000 conseillers sur le terrain.Au micro d'Ariane Artinian, il explique comment SAFTI réussit à dépasser largement la reprise du marché : une culture très ancrée sur l'humain, un accompagnement massif avec 150 000 heures de formation par an, des outils digitaux maison — dont une IA utilisée au quotidien pour les annonces, les photos ou l'administratif — et une notoriété portée par des campagnes offensives.Cet interview a été enregistrée en live du salon Rent - d'où l'ambiance sonore...Animé par Ariane Artinian, journaliste et fondatrice du média MySweetImmo
Au programme, les 20 ans du Grand Tasting et l'accueil du nouveau Champion du Monde de Pâté en Croûte
Eric Allouche est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, il fait le point sur reprise du marché immobilier en France, portée par des taux redevenus attractifs et un rebond des transactions après une année difficile. Pour les vendeurs comme pour les acheteurs, son message est clair : agir plutôt qu'attendre. « Si on a les capacités d'acheter, il faut le faire », rappelle-t-il, tout en soulignant que la pénurie de biens limite le risque d'une nouvelle chute des prix. Un épisode utile pour comprendre les forces en présence et anticiper les prochains mouvements du marché.Cet interview a été enregistrée en live du salon Rent - d'où l'ambiance sonore...Animé par Ariane Artinian, journaliste et fondatrice du média MySweetImmo
L'enseigne japonaise Muji souhaite se développer en Europe, et en priorité à Paris et à Londres. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur l'histoire et sur la stratégie de cette marque sans logo mais pas sans ambition.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en décembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Yann Rousseau (correspondant des « Echos » au Japon) et Nathalie Villard (journaliste aux « Echos Week End). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Clara Grouzis. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Jordana Bermudez/Bloomberg. Sons : Extrait « L'attaque des Titans », BFM Business, TikTok, MUJI.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Marché de Noël solidaire 2025 se tiendra du 11 au 13 décembre dans le bâtiment de Pôle Sud, au centre de Lausanne. Pour cette 19e édition, il réunira 40 organisations qui oeuvrent pour des causes sociales et environnementales, tant à l'international qu'en Suisse, et qui y vendront des produits artisanaux très variés. En outre, cette année, chaque journée de marché bénéficiera de la présence de 3 ou 4 stands info, qui permettront de découvrir les activités d'un total de 11 organisations engagées. Une exposition photo de la Fondation Hirondelle présentant le travail de journalistes engagés partout dans le monde, sera aussi affichée dans les couloirs. Comme chaque année, cette manifestation a besoin de personnes bénévoles disponibles quelques heures pour effectuer diverses tâches. DEMANDE: - Des bénévoles disponibles durant 2-3 h les 11, 12 ou 13 décembre pour monter et démonter les stands, aider en cuisine, servir au bar, gérer la caisse, etc
C'est un petit événement chez les concessionnaires auto : un dépassement qui semblait encore impossible il y a 5 ans. David Barroux nous explique les raisons de cette performance. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce mercredi 3 décembre 2025, les GG : Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises et Fatima Ait Bounoua, professeure de Français débattent du sujet du jour : "Des lunettes à 2,50 euros débarquent sur le marché : bravo ?".
Depuis début octobre, le bitcoin a perdu près de 30% de sa valeur, passant de 125 000 à 85 000 dollars. Une correction spectaculaire qui intervient après une année 2025 particulièrement favorable aux cryptomonnaies entre liquidations massives, doutes sur la technologie et rôle croissant des investisseurs institutionnels. Depuis le début de l'automne, le cours du bitcoin diminue jour après jour. Début octobre, la cryptomonnaie frôlait les 125 000 dollars, un record historique. Elle évolue désormais autour de 85 000 dollars, soit une chute d'environ 30%. Une baisse marquante, alors même que 2025 avait été une année d'euphorie pour les cryptos. Cette année, les cryptomonnaies ont bénéficié d'un environnement particulièrement favorable : une politique américaine propice à leur développement, un fort appétit des investisseurs pour les actifs risqués, ainsi qu'un afflux de capitaux dans les fonds spécialisés dans le bitcoin. Dans ce contexte, la monnaie numérique avait plus que doublé en un an avant d'atteindre son record. Mais sa volatilité reste élevée et la chute actuelle le confirme. Liquidations massives et doutes sur la tech : deux moteurs de la baisse La première explication de cette baisse est mécanique. Les investisseurs ayant acheté du bitcoin à crédit ont été contraints de revendre, provoquant au total 19 milliards de dollars de liquidations en seulement quelques jours. Une augmentation soudaine de l'offre entraîne une baisse des prix, ce qui fragilise immédiatement le marché. Le second facteur tient aux doutes qui pèsent sur les valeurs technologiques, notamment celles liées à l'intelligence artificielle. Ces dernières semaines, les discussions autour d'une possible bulle de l'IA se sont multipliées et l'enthousiasme s'est essoufflé. Pour réduire leur exposition au risque, les investisseurs ont vendu en priorité le bitcoin, considéré comme l'actif le plus risqué de leurs portefeuilles. Un baromètre du marché malgré une volatilité attendue La chute actuelle du bitcoin révèle également son nouveau rôle : celui de baromètre du marché. Son cours est devenu un indicateur de l'humeur des investisseurs. Cela s'explique notamment par l'arrivée massive des institutionnels, qui ont remplacé une grande partie des investisseurs particuliers. Le bitcoin est donc désormais sensible à des facteurs qu'il ne contrôle pas : montée de la peur, déception sur la tech, niveaux élevés des taux d'intérêt ou ventes massives par un acteur majeur. Pour autant, cette baisse n'est pas jugée alarmante par les spécialistes. Le bitcoin alterne régulièrement phases d'euphorie et phases de dépression. Une chute de 30, 40, voire 60% n'a rien d'exceptionnel dans cet écosystème. On l'a déjà vu descendre jusqu'à 30 000 dollars l'unité il y a encore un an et demi à deux ans, avant de remonter jusqu'à 125 000 dollars. Le bitcoin reste finalement un marché jeune, nerveux et très sensible. Paradoxalement, il reflète l'état d'esprit des investisseurs et le climat économique général. À lire aussiPourquoi la France menace d'empêcher certaines plateformes de cryptomonnaies d'opérer sur son sol?
5 fruits et légumes par jour, c´est bon pour la santé oui ! Mais de saison c´est encore mieux ! Raisin, épinard, pêche de vigne… chaque semaine dans sa chronique alimentation-diététique, Solène Rigoulet fait découvrir aux auditeurs de LYON 1ère les qualités gustatives et nutritionnelles des fruits et légumes que nous réserve la saison. Et grâce aux conseils et astuces de ses invités experts, vous saurez comment les choisir et les conserver ! Diffusion tous les mercredis à 09h50 et les samedis à 12h10 sur LYON 1ère. En partenariat avec Le Marché de Gros Lyon-Corbas Le Marché de Gros Lyon-Corbas, plateforme d'achat du commerce de détail indépendant, a remplacé en 2009 l'ancien Marché Gare de Perrache. C'est le 1er Marché de Gros français privé spécialisé en fruits et légumes frais. Il commercialise chaque année 305 000 tonnes de marchandises et approvisionne plus de 2 300 clients répartis sur 51 départements majoritairement en Auvergne-Rhône-Alpes. 25 grossistes et 60 producteurs passionnés œuvrent chaque jour pour satisfaire les besoins des clients sur un site de 12 hectares. Le Marché de Gros Lyon-Corbas organise des visites pour les particuliers tous les 1er jeudis de chaque mois !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En redéployant navires, avions et drones vers les Caraïbes, l'Amérique centrale et la frontière sud, l'administration Trump affirme vouloir intensifier la lutte contre les cartels. Mais derrière cet objectif sécuritaire, une autre réalité s'impose : la stratégie antidrogue ouvre un marché colossal pour l'industrie américaine de défense, les start-up technologiques et les spécialistes de l'intelligence artificielle. Les États-Unis ont récemment renforcé leurs opérations contre les organisations criminelles transnationales. Si l'objectif affiché est de frapper plus fort les cartels, cette stratégie possède aussi une dimension économique considérable. Le Wall Street Journal rappelle que Washington a débloqué 165 milliards de dollars supplémentaires pour la sécurité intérieure sur dix ans, six milliards pour les technologies de surveillance de la frontière, quatre milliards pour moderniser la flotte des garde-côtes ou encore un milliard pour les opérations antidrogues du Pentagone. De telles sommes irriguent une nouvelle génération d'acteurs : start-up d'armement, entreprises spécialisées en intelligence artificielle, mais aussi groupes historiques de la défense. Cet afflux financier arrive au moment idéal pour un secteur qui sort de vingt ans de conflits au Moyen-Orient. Après les retraits d'Irak et d'Afghanistan, les contrats militaires se faisaient plus rares. La lutte antidrogue offre ainsi un nouveau terrain de jeu à ces industriels. Drones, IA et systèmes autonomes : les outils au cœur de la nouvelle stratégie Parmi les technologies qui bénéficient le plus de ce recentrage, les drones et les systèmes autonomes occupent une place centrale. Le drone V-BAT de Shield AI, désormais embarqué sur plusieurs patrouilleurs américains, est crédité de plus d'un milliard de dollars de saisies de stupéfiants depuis le début de l'année grâce à sa capacité à suivre des embarcations sur des milliers de kilomètres carrés. À cela s'ajoutent des plateformes d'intelligence artificielle capables de cartographier les réseaux criminels, de recouper des données maritimes et téléphoniques ou encore d'exploiter le dark web et les réseaux sociaux pour identifier des cargos suspects. Autant de technologies initialement conçues pour des théâtres de haute intensité et qui trouvent dans cette lutte un environnement opérationnel plus stable, plus prévisible, et surtout idéal pour faire leurs preuves. À lire aussiÉtats-Unis: Trump déploie 4000 Marines dans les Caraïbes pour lutter contre les cartels de drogue Conséquence directe : chaque saisie spectaculaire réalisée grâce à un drone ou un logiciel d'IA devient une vitrine commerciale. Une démonstration en conditions réelles qui permet aux industriels de justifier la signature de nouveaux contrats publics. Les budgets augmentent, les opérations se multiplient et les performances s'améliorent — un cercle vertueux pour toute l'industrie. Une guerre technologique qui transforme l'économie de la défense Cette dynamique crée une nouvelle convergence entre intérêts politiques, impératifs sécuritaires et ambitions industrielles. La Maison Blanche affiche sa fermeté face aux cartels. Les entreprises, elles, proposent des solutions automatisées capables de compenser le manque d'effectifs humains et de surveiller d'immenses zones maritimes. L'intensification des patrouilles et des frappes offre en outre un avantage majeur : la possibilité de tester, ajuster et perfectionner les systèmes autonomes directement sur le terrain. Chaque opération nourrit ainsi une chaîne économique plus large, dans laquelle la lutte antidrogue devient un moteur d'innovation. En réalité, la guerre contre les cartels que mène Donald Trump est aussi — et peut-être surtout — une guerre technologique. Une guerre qui redistribue les cartes de l'industrie américaine de défense au profit d'acteurs privés très innovants comme on a pu l'observer dans d'autres secteurs stratégiques, notamment le spatial, avec des entreprises telles que SpaceX ou Boeing. À lire aussiÀ la Une: le Venezuela dans le viseur de Donald Trump
Le Marché de Noël solidaire 2025 aura lieu du 11 au 13 décembre prochain au Centre culturel Pôle Sud à Lausanne. Cette 19e édition se tiendra dans le cadre d'un contexte difficile et s'impose comme un contrepoids à la vague internationale de coupes dans les ressources allouées à la coopération internationale. Ce marché pas comme les autres réunira durant 3 jours 40 organisations qui ne baissent pas les bras et qui œuvrent tout au long de l'année pour des causes sociales et environnementales, tant à l'international qu'en Suisse, et qui y présenteront des produits artisanaux très variés. Une belle occasion pour faire des achats de Noël originaux et responsables. Pour que cet évènement mis sur pied par la FEDEVACO et Pôle Sud rencontre une fois encore un vrai succès, des bénévoles sont recherchés pour monter et démonter les stands, aider en cuisine, servir au bar, gérer la caisse… Si vous avez deux ou trois heures à offrir le 11, le 12 ou le 13 décembre prochain, n'hésitez pas à nous contacter au 058 236 16 00 pour vous inscrire et/ou obtenir de plus amples informations.
Les poudres de lait ré-engraissées sont des poudres qui sont fabriquées à partir de lait écrémé, auquel on ajoute de l'huile végétale. Ces poudres de lait sont exportées sur le continent africain, aussi bien déjà conditionnées pour la vente au détail ou en vrac, dans des sacs de 25 kg. Le marché est porteur et a attiré ces dernières années des pays qui sont devenus des plaque-tournantes de ce commerce. Ces dix dernières années, la Malaisie et les Émirats arabes unis ont vu bondir leurs exportations de poudres ré-engraissées vers l'Afrique. Pourtant ce ne sont pas des exportateurs de lait. La traçabilité est très difficile à établir, explique Christian Corniaux, chercheur au Cirad, car dans certains pays un même code douanier englobe plusieurs produits, mais on sait que ces deux pays importent de Nouvelle-Zélande et d'Australie ces poudres qu'on appelle MGV, avant de les réexporter sous leur propre marque. L'essor est tel qu'en dix ans la Malaisie a vu ses exportations totales bondir, en valeur, de 66 % - pour 372 millions de dollars-, selon le dernier Baromètre 2025 des agricultures africaines publié par l'Afdi (Agriculteurs français et développement international), Farm (Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde) et la Pafo (Organisation panafricaine des agricultures). Aux Émirats arabes unis, le taux a explosé : +277 % - pour 333 millions de dollars. Dans ce pays, on partait de très bas, mais la tendance est sans appel. En parallèle, les exportations directes continuent, l'Europe et la Nouvelle-Zélande restent des fournisseurs majeurs de produits laitiers à l'Afrique. Intérêt grandissant pour le marché africain Le continent est un terrain où les débouchés sont garantis. Sur les 20 dernières années, la consommation de produits laitiers en Afrique de l'Ouest a en effet triplé alors que la production locale n'a fait que doubler. Si on ajoute à cela, une population qui va être multipliée par deux ces 25 prochaines années dans cette région d'Afrique, et une consommation de lait entier qui baisse au profit des poudres ré-engraissées, les perspectives commerciales sont séduisantes. On ne parle pas d'un produit qui rapporte beaucoup, rappelle Christian Corniaux, mais qui permet de réaliser des profits grâce aux volumes commercialisés. Les fournisseurs traditionnels ne suffiront plus Il est fort probable que les producteurs traditionnels de lait comme la Nouvelle-Zélande, ou l'Irlande, le Danemark et les Pays-Bas en Europe, ne suffisent plus pour répondre à la demande qui se profile en Afrique. Il faudra compter peut-être demain avec plus de poudre fabriquée en Amérique du Sud, ou alors en Inde, pays globalement à l'équilibre aujourd'hui, mais qui pourrait devenir un acteur sur le marché export. L'augmentation de la production de lait en Chine, permettra peut-être aussi, si le pays importe moins, de faire augmenter l'offre disponible sur le marché, et ainsi de répondre à la demande africaine croissante. À lire aussiScandale du lait en poudre Nestlé: l'un des plus longs boycott de l'histoire
Ferniot reçoit trois auteurs qui présentent leurs livres, des idées cadeaux de Noël autour de l'alimentation, la gastronomie, la cuisine.
On aurait pu croire qu'avec la montée du body positivisme sur les réseaux sociaux, le règne de la minceur était derrière nous. Et pourtant… L'injonction au “corps parfait”, tel que défini par les normes de notre société, persiste, et avec elle, un réel business : le marché de la minceur. Médicaments “miracles”, crèmes amincissantes, patchs, produits allégés… Toute une panoplie de solutions soi-disant révolutionnaires nous promettent de perdre du poids rapidement, et facilement. Qu'entend-on exactement par “marché de la minceur” ? Pourquoi ce secteur continue-t-il de prospérer à notre époque ? Et surtout, quels risques ces produits peuvent-ils présenter pour notre santé ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le body positive ? Est-ce la fin du “body positive” ? Les compléments alimentaires sont-ils vraiment efficaces ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Épisode 1396 : On entend tout le temps la même phrase. « Les jeunes ne lisent plus. »Spoiler : c'est faux. Ou plutôt, c'est devenu beaucoup plus compliqué que ça.Tout ça à cause d'un truc inattendu. Un hashtag TikTok. #BookTok.Ce hashtag a remis des livres dans les mains des 15-25 ans.Il a relancé des ventes.Il a rempli des rayons de librairies .Il a même réinventé la façon de parler de lecture.BookTok a sauvé et transformé le marché du livre.Pas juste en faisant vendre des romans.Mais en changeant ce que veut dire « lire » quand on a 15, 18 ou 22 ans.. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:01:21 - Barbara et ses lasagnes au potimarron et lardons depuis le marché d'Oloron Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:01:20 - Depuis le marché d'Oloron, Benjamin nous donne la recette du gâteau basque Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:25:32 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - François Ruffin, député Debout ! de la Somme, est notre invité dans la Grande Matinale. - invités : François RUFFIN - François Ruffin : Homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:25:32 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - François Ruffin, député Debout ! de la Somme, est notre invité dans la Grande Matinale. - invités : François RUFFIN - François Ruffin : Homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:01:35 - Magalie et sa tourte des Pyrénées, à retrouver sur le marché de Monein Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En Afrique du Sud, la justice vient d'autoriser le retour sur le marché légal des cornes de rhinocéros avec l'argument que ce serait bon pour lutter contre le braconnage. Écoutez RTL autour du monde du 14 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:37 - Ca sent bon le pain d'épices de Marie sur le marché d'Oloron Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Véra Kempf n'a pas créé une startup comme les autres.Elle a bouleversé un monde figé depuis des siècles, celui de l'art.En 2017, elle cofonde Singulart avec Denis Fayolle, l'entrepreneur derrière La Fourchette.À l'époque, elle n'a qu'un PowerPoint en main, mais une idée audacieuse : permettre à chaque artiste, où qu'il soit, d'exister sans passer par le filtre des galeries.Elle lève 1 million d'euros dès le départ, puis 71 millions au total, pour faire de sa plateforme l'une des plus influentes au monde.Avant Singulart, les artistes vivaient à la merci d'un système opaque, dépendants des galeries et de leur carnet d'adresses.Véra Kempf a tout inversé pour que les créateurs puissent reprendre le contrôle.Ils fixent leurs prix, suivent leurs ventes, connaissent leurs statistiques.Et l'art s'ouvre enfin à ceux qui en étaient exclus.Singulart permet une expérience fluide et clé en main pour acheter une œuvre en ligne, la faire livrer partout dans le monde, en toute sécurité.L'art ne se contemple plus seulement, il circule, il vit, il s'invite chez soi.6 000 artistes, 110 pays, 1 000 œuvres vendues par mois.Véra Kempf n'a pas seulement digitalisé l'art, elle l'a rendu humain, accessible et transparent.Lauréate du Bold Woman Award by Veuve Clicquot, elle incarne une nouvelle génération de fondatrices qui osent parler du réel.Parce qu'être mère et entrepreneuse, c'est un double combat, mais aussi une double victoire.Dans ce podcast, elle nous prouve qu'on peut bâtir un empire sans jamais renoncer à sa sincérité.Bonne écoute !===========================
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Chirinne Ardakani, avocate spécialisée dans la défense des droits humains, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.