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-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Dans cet épisode hors-série disponible aussi en format vidéo sur YouTube, je suis avec Thomas Hammoudi, photographe, auteur et créateur des sujets de la photographie. Ensemble, on a décortiqué toutes les façons de rater un livre photo, de l'idée de départ à la promotion finale. Un échange sans langue de bois, truffé de conseils concrets pour les professionnels de la photographie. Retrouvez la deuxième partie de notre discussion sur la chaîne YouTube de Thomas Hammoudi.Bonne écoute !Chaîne YouTube de Thomas : https://www.youtube.com/c/thomashammoudiSite Le Chineur de livres photos : https://apps.thomashammoudi.com/Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueLien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre projet de livre : https://bit.ly/LVDLPlivrephotoMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Laurence Pessez, Global Sustainability Officer de BNP Paribas, un leader européen et un acteur bancaire international implanté dans 64 pays. Par leurs financements et investissements massifs, les banques ont la capacité de favoriser certains secteurs d'activité. Alors que l'Accord de Paris a fixé l'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C d'ici 2100, certaines ONG affirment que tout ne va pas dans ce sens : D'après le rapport d'Oxfam France intitulé « Banques : des engagements climat à prendre au 4ème degré », les émissions de gaz à effet de serre issues des activités de financement et d'investissement des six plus grosses banques françaises représentaient huit fois les émissions de CO2 de la France en 2020… Sur le site de BNP Paribas, on peut lire « Le Groupe s'est engagé à dédier plus de 200 milliards d'euros à la transition de ses clients vers une économie bas carbone, notamment via des crédits verts, des fonds. Au cœur même de la raison d'être du groupe BNP Paribas, figure son ambition d'être un acteur de tout premier plan du mouvement vers une économie plus durable. » Quels sont les engagements concrets du Groupe BNP Paribas en matière de ESG ? Quelles actions concrètes ESG ont été mises en place ? Pourquoi continuer à financer de grands groupes pétroliers ? Pourquoi ne pas exclure ces entreprises complètement ? Comment accompagner les clients dans la transition énergétique ? (Surtout les moins engagés et convaincus) ? Laurence Pessez répond à ces questions sans détour dans ce nouvel épisode de L'Empreinte ! Bonne écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
Hello ! On se retrouve pour 3 nouvelles histoires ! Abonnez vous les amis ❤️Surtout dites nous ce que vous en pensez en commentaire, comme d'habitude ahah
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
L'INVITÉ
Découvrez la collection Feu de Camp "Jeux dangereux" : une sélection d'épisodes du podcast qui rassemble les meilleures histoires de jouets possédés et de rituels démoniaques ! En termes de décoration intérieure, peut-on faire pire qu'une vitrine dans laquelle sont entreposés des jouets aux allures d'enfants qui n'en sont pas ? Que peut-il y avoir de plus inquiétant qu'un visage innocent figé et cireux ? Qu'y a-t-il de plus effroyable qu'une paire d'yeux vitreux qui vous scrutent sans ne jamais battre d'un cil ? Ne cherchez pas, il n'existe rien de plus épouvantable que les poupées aux airs faussement angéliques. Surtout celles qui renferment des entités diaboliques. Dans cet épisode, Taous vous raconte trois histoires de poupées hantées qui ont fait de la vie de leur propriétaire un véritable enfer. Feu de Camp est un podcast NRJ, écrit et incarné par Taous Merakchi. Une production disponible sur l'application et le site NRJ rubrique podcast, et sur toutes les plateformes d'écoute. Production : Anne-Cécile Kirry Réalisation : Cédric le Doré Graphisme : Marlène Boulère et Guillaume Mermet Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à nous laisser des étoiles ou des commentaires. Et pour être au courant de la sortie des nouveaux épisodes, abonnez-vous au flux sur votre plateforme préférée !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les économistes le disent : la stagflation fait son grand retour. Ce phénomène, qui avait tant déconcerté lors de sa toute première occurence dans les années 1970, est maintenant bien connu : dans certaines conditions macroéconomiques, l'augmentation du chômage peut coïncider avec l'augmentation des prix, à rebours de tous les enseignements de la science économique traditionnel. Mais d'où vient la stagflation qui se profile actuellement aux États-Unis ? Et quel va être son impact ?Dans ce nouvel épisode de notre podcast “À Deux Voix”, Laetitia et moi décortiquons la situation. Nous rappelons ce qui s'est passé exactement dans les années 1970 et expliquons les causes de la stagflation de l'époque : non seulement les chocs pétroliers de 1973 et 1979, mais aussi l'essoufflement du paradigme techno-économique du pétrole, de l'automobile et de la production de masse à la fin des Trente Glorieuses.Aujourd'hui, nous pourrions nous trouver dans une situation similaire. Le paradigme de l'informatique et des réseaux, désormais dominé par une poignée d'entreprises gigantesques et toutes puissantes, semble arriver à son tour à maturité et donne des signes d'essoufflement. Surtout, les prix de l'énergie augmentent – en particulier aux États-Unis, où le réseau électrique n'arrive pas à suivre le déploiement effréné des data centers nécessaires pour démocratiser l'accès à l'intelligence artificielle.À cela s'ajoutent les politiques publiques erratiques mises en oeuvre par l'administration Trump : entre droits de douane, déportation des travailleurs immigrés, encouragement à la consolidation et à la prédation dans certains secteurs où les prix sont déjà élevés, et atteintes manifestes à l'indépendance de la Réserve fédérale, Trump semble faire tout ce qui est en son pouvoir pour faire redémarrer l'inflation – alors même que la fin annoncée de l'inflation était l'un de ses messages qui avaient résonné le plus fort lors de la campagne présidentielle de 2024 !Il est encore trop tôt pour déterminer la contribution respective de tous ces facteurs à la situation du marché du travail et à l'évolution des prix aux États-Unis et dans le reste du monde. En revanche, il est déjà clair que la stagflation est devenu un sujet brûlant dans les médias et les discussions entre économistes. Il était donc temps d'en discuter dans Nouveau Départ ! Nous espérons que vous apprécierez notre échange.La disparition de Valéry Giscard d'Estaing (“À Deux voix”, janvier 2020)
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur l'interview de Sabeha Sansal, fille de Boualem Sansal, qui a confié n'avoir eu aucune réponse d'Emmanuel Macron à son courrier. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La ministre de l'Éducation nationale, Élisabeth Borne, a annoncé qu'une intelligence artificielle sera proposée aux professeurs, afin de leur permettre de mieux préparer les cours.
Mes confrères des agences de presse ont été forcés de multiplier les mentions "avant Nvidia" dans les titres de leurs points de marché, mais j'ai décidé de faire de la résistance. J'aurais pu aussi titrer "avant Bayrou", mais il semble plus avant-gardiste de parler d'après-Bayrou. Les déboires politiques de la France et les résultats de l'avatar de l'intelligence artificielle sont deux des principaux déterminants boursiers du jour. Auxquels s'ajoutent deux Trumpitudes : la guerre ouverte contre la Fed et l'entrée en vigueur du doublement à 50% de la surtaxe douanière appliquée à l'Inde.
L'émission 28 minutes du 27/08/2025 Hausse des noyades en France : faut-il lancer un grand “plan piscines” ?Une houle dite cyclonique s'est abattue mardi 26 août sur le littoral atlantique, poussant plusieurs municipalités à interdire l'accès aux plages afin d'éviter les noyades. La maîtrise de la natation souffre de graves lacunes en France. Cette année encore 268 personnes sont mortes par noyade entre le 1er juin et le 13 août, selon les autorités sanitaires. Le nombre d'adultes qui se noient en mer est en hausse par rapport à l'an dernier. Les décès d'enfants et d'adolescents dans des cours d'eau augmentent eux-aussi : 16 contre 6 en 2024. Plusieurs causes sont à l'origine de ce phénomène. Les fortes chaleurs invitent à la baignade, parfois dans des zones non surveillées, augmentant le risque de noyade. Surtout, une importante partie de la population ne sait pas nager. C'est le cas d'un élève sur trois entrant au collège alors qu'en 2019 ils n'étaient que 20 %. En cause, l'état préoccupant des piscines publiques, vieillissantes et qui n'ont pas assez de budget pour être suffisamment ouvertes. Nous recevons Emmanuel Auvray, historien et professeur d'éducation physique. 3411 milliards d'euros ! Retraités, salariés, État : qui est prêt à faire des efforts pour réduire la dette ?En 2007, François Bayrou faisait de la dette publique l'axe principal de sa campagne présidentielle. Aujourd'hui, il met son avenir politique en jeu et engage la responsabilité de son gouvernement sur le même sujet. “La question principale, c'est de savoir si oui ou non nous sommes d'accord pour reconnaître qu'il y a une urgence”, a affirmé le Premier ministre. Les partis d'opposition ont annoncé qu'ils ne voteraient pas la confiance à son gouvernement ce qui repousserait l'élaboration et l'examen du prochain budget, censé mettre en place des mesures pour limiter le déficit. La dette s'élève aujourd'hui à plus de 3 411 milliards d'euros, soit 114 % du PIB. Le problème est moins dans le constat que dans les solutions : où faire des économies et trouver de nouvelles recettes pour réduire la dette ? Dans une interview au journal “Sud-Ouest” le 26 août, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, appelle à “un vrai débat public” sur la dette, ajoutant que “l'important, c'est que cet effort soit le plus juste et partagé possible”. Enfin, Xavier Mauduit revient sur la restitution de trois crânes datant de l'époque coloniale à Madagascar, dont le crâne présumé du roi malgache Toera, décapité par l'armée française lors d'un massacre en 1897. Marie Bonnisseau s'intéresse à une nouvelle stratégie mise en place par la plateforme de streaming Netflix qui propose à ses utilisateurs une sélection de séries et de films en fonction… de leur signe astrologique. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 27 août 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
On associe souvent l'attachement sécure à une chance qu'on a eue dans l'enfance, mais la réalité est beaucoup plus encourageante : un attachement sécure peut aussi s'acquérir et se cultiver à l'âge adulte.Dans cet épisode, on explore en profondeur ce qu'est le style d'attachement sécure « acquis » : comment il se construit, ce qui le distingue des styles insécures et ce que les neurosciences révèlent des différences entre un cerveau qui se sent en sécurité et un cerveau qui reste en alerte.Surtout, on vous partage des pistes concrètes pour développer plus de sécurité intérieure, améliorer ses relations et briser les vieux schémas. Parce que l'attachement, ce n'est pas une étiquette figée : c'est un chemin qu'on peut choisir de parcourir, étape par étape.Un épisode pour toutes celles et ceux qui veulent apprendre à aimer (et à être aimé) sans peur, sans jeux de pouvoir et avec plus de clarté._________________________Vous souhaitez avoir un coaching privé avec Laurie-Raphaëlle ou Marie-Claude ?Cliquez sur le lien suivant : https://stan.store/ellethrivecoaching Suivez-nous sur Facebook !ELLE THRIVE : https://www.facebook.com/profile.php?id=100087653514151Instagram : @ellethrivepodcastTiktok : @ellethrivepodcastSuivez-nous sur les réseaux sociaux !Instagram : @laurieraphaellleInstagram : @coachmarieclaudeTiktok : @laurieraphaellleRecommandations lecture développement personnel / relations amoureuses: Visitez le lien suivant : https://www.amazon.ca/shop/laurieraphaellle?ref_=cm_sw_r_cp_ud_aipsfshop_aipsflaurieraphaellle_T1DRQJ92BHKHQVZE1QSXNB:Nous tenons à souligner que nous ne sommes pas des professionnels de la santé. Notre objectif est d'informer et de vulgariser des informations pour le grand public. Bien que nous nous efforcions de fournir des contenus précis et fiables, il est important de consulter des experts qualifiés pour des conseils médicaux ou psychologiques personnalisés. Notre intention est de partager des connaissances dans le but de sensibiliser et d'éduquer, mais nous encourageons toujours nos auditeurs à rechercher des sources spécialisées et à prendre des décisions éclairées en matière de santé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
une aire de jeux dédiée au pokeon eau moustillon au japonPour t'inscrire sur Whatnot : https://whatnot.pxf.io/1rx5XdInstagram : https://www.instagram.com/alex_tcg_22/Tik Tok : https://www.tiktok.com/@alextcg22?lang=enTwitch : https://www.twitch.tv/alex_tcg_22aEbay : https://www.ebay.com/usr/alexleri-0Twitter : https://twitter.com/Alexandre_L_RFacebook : https://www.facebook.com/people/Alex_TCG_22/100084728982375/
J'ai acheté l'hiver dernier une paire de chaussures minimalistes Saguaro. A 32 euros je ne prenais pas un grand risque. Laurent me demande mon avis dessus et si elles demandent un temps d'adaptation. Allez c'est parti !Liens :Le modèle précis que j'ai acheté (Lien affilié Amazon)Le site officielTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/365La question de Laurent « Bonjour Bertrand, Je cours actuellement depuis 2 ans en Altra torin 6, torin 7 et olympus2 et je souhaiterai tester les Saguaro suite à mon écoute de ton podcast sur les chaussures minimalistes. Quel modèle me conseillerai-tu pour de la route principalement ? Etant en drop 0 depuis plusieurs années, penses-tu qu'il faille quand même un temps d'adaptation? Je te remercie d'avance de ton aide. »J'ai acheté une paire de Saguaro orange l'hiver dernier. Au départ je les ai utilisé comme pantoufles dans la maison. Depuis le printemps je marche et je cours avec. Et depuis juin ce sont les seules chaussures que je mets en dehors de mes tongs. J'ai marché et couru au minimum 440 km avec sans compter les déplacements du quotidien. De quoi me faire un véritable avis dessus. Surtout que ne les ai pas ménagées en les emmenant partout sur route, chemins et mêmes sable et cailloux en mode trail.Dans cet épisode :ce que j'aime dans ce modèle : confort, lacets, mesh, forme, semelleles caractéristiques des chaussures minimalistespourquoi ces chaussures sont intéressantes pour nos piedspourquoi nos chaussures ont du drop et que c'est parfois bien pratique (notamment en trail)pourquoi nos pieds ont perdu en compétence et le tendon d'Achille en élasticitémon expérience avec les chaussures minimalistesla différence avec Altrapourquoi je n'ai pas eu besoin de temps d'adaptationquelle adaptation vous devez faire si vous portez actuellement des chaussures maximalistes (et les risques si vous ne le faîtes pas)pourquoi vous devriez vous intéresser au protocole de Stanishun mot sur les modèles notamment pour enfantsle seul problème que j'ai eu avecle point intéressant si vous avez peur de vous tromper de tailleNouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
Dans Succession, la série à succès produite par HBO, la richissime famille Logan, l'une des plus puissantes des Etats-Unis, est à la fois cimentée et déchirée par l'argent. Impossible de nier que l'histoire de ce clan de milliardaires est inspirée de la réalité. Surtout que, dans « Succession », le patriarche, Roy Logan, a bâti un empire financier qui n'est pas sans rappeler celui d'un magnat bien réel : Rupert Murdoch. Il faut dire que sa vie a de quoi inspirer n'importe quel scénariste. Un épisode en particulier : le scandale de « News of the World ».Thomas Rozec raconte.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Quentin Bresson et Paul Bertiaux. Production et édition : Lorraine Besse et Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
"Surtout ne m'appelez pas !" supplie l'aiguilleur de la gare de Mugby au promeneur solitaire qui le croise le long de la voie. Mais que craint-il ? L'homme est peu causant et semble terrorisé. Au fil des jours, il se confie et dévoile l'existence d'un mystérieux spectre aux prédictions fatales. L'employé des chemins de fer aurait-il des hallucinations ? *** Fiction radiophonique diffusée dans l'émission “Les Maîtres du mystère”, de Pierre Billard et Germaine Beaumont. "Le Fantôme de la voie ferrée" d'après une nouvelle de Charles Dickens. Avec : Michel Bouquet, Robert Murzeau, Guy Piérault, Raymond Pélissier, Jean-Charles Thibault et Marcel Lestan. Réalisation : Pierre Billard. Adaptation : Germaine Beaumont. Première diffusion : le 13/02/1962 sur la chaîne France II Régionale de la RTF. Un podcast INA. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on plonge au cœur des situationships — ces relations floues qui oscillent entre l'amitié et le couple sans jamais vraiment se définir. On explore les deux côtés : celui qui ne veut pas s'engager et celui qui espère plus.À travers des exemples concrets et des réflexions percutantes, on met en lumière les dynamiques invisibles qui entretiennent ces zones grises : l'évitement, les mixed signals, le besoin de prouver sa valeur ou encore le romantisme de la rareté.Surtout, je t'amène à changer de perspective : comment reprendre ton pouvoir, reconnaître les illusions, poser les vraies questions et discerner si cette relation a réellement du potentiel… ou si elle t'empêche d'avancer.Un épisode pour celles et ceux qui veulent arrêter de subir l'ambiguïté et commencer à faire des choix conscients, même quand c'est difficile.Vous souhaitez avoir un coaching privé avec Laurie-Raphaëlle ou Marie-Claude ?Cliquez sur le lien suivant : https://stan.store/ellethrivecoaching Suivez-nous ! ELLE THRIVE : https://www.facebook.com/profile.php?id=100087653514151 Instagram : @ellethrivepodcastTiktok : @ellethrivepodcast Suivez-nous sur nos comptes perso ! Instagram : @laurieraphaellleInstagram : @coachmarieclaudeTiktok : @laurieraphaellle Recommandations lecture développement personnel / relations amoureuses: Visitez le lien suivant : https://www.amazon.ca/shop/laurieraphaellle?ref_=cm_sw_r_cp_ud_aipsfshop_aipsflaurieraphaellle_T1DRQJ92BHKHQVZE1QSX NB: Nous tenons à souligner que nous ne sommes pas des professionnels de la santé. Notre objectif est d'informer et de vulgariser des informations pour le grand public. Bien que nous nous efforcions de fournir des contenus précis et fiables, il est important de consulter des experts qualifiés pour des conseils médicaux ou psychologiques personnalisés. Notre intention est de partager des connaissances dans le but de sensibiliser et d'éduquer, mais nous encourageons toujours nos auditeurs à rechercher des sources spécialisées et à prendre des décisions éclairées en matière de santé.. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:24:53 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1963, le Louvre organise une exposition hommage à Paul Signac pour le centenaire de sa naissance. Famille, historiens de l'art et amis artistes se retrouvent pour cette émission de "L'art vivant" où il sera surtout question de son œuvre, de ses influences et de son apport à la peinture. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Germain Bazin; Françoise Cachin Historienne de l'art, conservatrice de musée, petite-fille de Paul Signac
Notre série d'été Pour une poignée de pixel sur l'économie du jeu vidéo revient sur le succès d'un des jeux les plus populaires du monde : Fortnite. Huit ans après sa sortie, le jeu du studio Epic Games, figure encore très régulièrement sur le podium des jeux vidéo réunissant le plus de joueurs. Surtout, Fortnite reste l'un des jeux les plus profitables au monde... alors qu'il est gratuit. Commençons par le commencement. À sa sortie en 2017, Fortnite est un banal jeu de tir multijoueur comme il en existe des centaines d'autres. Ces graphismes cartoon à la Pixar le rendent-ils plus sympathique aux yeux des parents ? Ils s'installent dans le paysage vidéoludique en s'emparant du concept de battle royale, très populaire à l'époque. Surtout, Epic Games multiplient habilement les partenariats avec les franchises à succès, à commencer par Marvel et ses super héros. De saison en saison, de nouveaux personnages du sport, de la pop culture font leur apparition dans Fortnite, assurant au jeu de rester au centre des conversations dans les cours de récréation. À partir de 2019, Fortnite va plus loin et propose à ses joueurs des concerts virtuels. À l'affiche, Marshmello, Ariana Grande, Sabrina Carpenter, Eminem, Metallica ou encore Aya Nakamura. Deux ans avant sa prestation remarquée en ouverture des JO 2024, la chanteuse franco-malienne se donne en concert sur Fortnite. À lire aussiDisney s'associe à Epic Games pour créer l'ultime Métaverse dans Fortnite Un jeu gratuit… mais pas tout à fait À ce stade, Fortnite est devenu un jeu vidéo tout-en-un. À son apogée, Epic Games revendique 350 millions de joueurs. Bien aidé par le fait que Fortnite soit accessible gratuitement sur presque tous les supports, des ordinateurs aux consoles en passant par les tablettes et les téléphones. Gratuit et pourtant, Fortnite a rapporté à sa maison mère, plusieurs dizaines de milliards de dollars depuis sa sortie. Comment ? D'abord parce que les marques, y compris de luxe, sont prêtes à payer — et payer cher – pour apparaître dans l'univers du jeu et toucher un public plus jeune. Et puis si l'accès au jeu est gratuit, dans Fortnite, tout le reste est payant. On paye pour habiller son avatar ou pour qu'il puisse effectuer les mêmes pas de danse qu'un youtubeur connu ou qu'Aya Nakamura. Par l'intermédiaire d'une agence de communication, l'entreprise précise que les « joueurs peuvent gagner des objets en relevant des défis dans le jeu » et que ces achats de cosmétiques sont « facultatifs ». Mais pour aller plus vite et accéder aux derniers items à la mode, les joueurs sont incités à mettre la main au portefeuille. Et dans Fortnite, on ne paye pas en dollars, en yuans ou en euros. On paye en V-Bucks. La monnaie virtuelle locale qui, elle, s'achète avec de l'argent bien réel. Mais cela permet de mettre une distance artificielle. Quand on dépense 500 V-Bucks pour acheter un chapeau rigolo à son alter ego virtuel, on n'a pas l'impression de dépenser de l'argent. Surtout quand on a douze ans, une notion de la valeur des choses encore très relative et qu'on dépense l'argent de papa et maman. Une politique qui a valu à l'entreprise une procédure menée en 2022 par la FTC, le gendarme de la concurrence aux États-Unis à la suite de laquelle Epic Games a accepté de payer une amende de 275 millions de dollars pour « violation des lois sur la confidentialité des données des enfants » et à rembourser 245 millions de dollars à des utilisateurs poussés à faire des achats non désirés. Depuis, l'entreprise précise avoir grandement renforcé sa politique de contrôle parental et de protection contre les achats non désirés. Chronique modifiée le 19 août 2025.
REDIFF - Cheveux blancs, catogan, col relevé, mitaines, lunettes noires, look toujours impeccable et petit accent allemand... Karl Lagerfeld aura marqué le monde de la haute couture comme rarement. Mais avant de devenir le Kaiser de la mode que l'on connaît tous, il aura fallu du temps... Surtout face à l'autre grand génie de la couture de l'époque, Yves Saint Laurent. Tous deux ont été de grands amis avant de devenir frères ennemis. Une rivalité autant professionnelle que personnelle... Qui était Karl Lagerfeld dans l'ombre ? Comment est-il devenu le couturier le plus célèbre au monde ? Et quel impact sa rivalité dévorante avec Yves Saint-Laurent a-t-elle eu sur sa vie ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salut les filles ! On est de retour avec un TOP 5 de nos épisodes préférés sur les parents et la famille… toute une histoire des fois, non ? Surtout quand on vit dans une famille recomposée avec un beau-père ou une belle-mère et parfois leurs enfants… pour le meilleur et pour le pire !Je vis dans une famille recomposéeJ'aimerais avoir un animal de compagnieJ'ai eu une mauvaise noteJe n'ai pas le droit d'avoir un portable, help !Sortir seul dans la rue : le mode d'emploiCrédits : Direction éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude avec Milia Legasa. Avec les voix de Candice Sansano, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc MonchyUn podcast de Milan presse 2025. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suite de notre série qui vous emmène à la découverte des délices du continent, ces plats qui font saliver rien qu'à l'évocation de leur nom. Pour ce quatrième épisode, nous allons ce matin en Tunisie, pour savourer le mleoui. Cette crêpe de semoule, aux origines berbères, est devenue une institution dans la street food (cuisine de rue). Peu coûteux et rassasiant, le sandwich s'achète dans des gargotes de quartier et se décline en différentes versions, selon les garnitures que l'on met à l'intérieur. Pour certains amateurs, trouver le meilleur mleoui à Tunis est une activité très sérieuse. De notre correspondante à Tunis, Yasser Hana, restaurateur palestinien vivant en Tunisie, est un fan de street food. Sur les réseaux sociaux, il en a fait sa marque de fabrique en tant que créateur de contenus, et le mleoui est son sandwich préféré. « Un mleoui, avec deux fromages, un peu de harissa et de thon », commande-t-il avec précision chez Mleoui Mahbouba, une gargotte tenue par deux sœurs depuis trente ans. « Un truc simple sans chichis, deux fromages triangle, un peu de harissa, des oignons et du thon. Pas d'omelette, pas d'olives, pas de mayonnaise pour ne pas gâcher le goût de la pâte, pour savourer le goût de chaque ingrédient seul, pour avoir dans la bouche une expérience homogène », explique-t-il. Car ce qui fait la force du mleoui, c'est sa simplicité : une crêpe épaisse à base de semoule, comme l'explique Mahbouba, qui travaille la pâte juste avant de la cuire. « La pâte, on la fait le jour même. Un peu de sel, de la semoule fine et un peu d'huile et le tour est joué. Je la remue comme ça, on la laisse reposer quelques minutes, et ensuite, on cuit le mleoui et on ajoute la garniture. C'est très frais et instantané. » Le prix, qui ne dépasse pas un euro, et toutes ses différentes garnitures en font l'un des sandwichs préférés des Tunisiens. Un sandwich qui évoque une certaine nostalgie, selon Yasser : « Le consommateur basique, il est très fidèle à son mleoui de quartier ou au mleoui dans la ruelle où il a grandi. » À quelques encablures, un jeune de 30 ans, Fahd, a ouvert sa propre boutique où il vend des mleouis déclinés dans une recette qui s'inspire de la version marocaine, le msemen, où l'on ajoute un peu de beurre et de farine. « À chaque fois, on ajoute un ingrédient et finalement, on a trouvé la bonne recette et la bonne combinaison de ces ingrédients-là », estime-t-il. « Les Tunisiens disent souvent qu'ils n'aiment que la nourriture de leur mère, mais c'est vrai que pour ces produits de street food, on préfère aller dans la rue. Surtout le mleoui. Je pense qu'il n'y a pas un Tunisien qui ne mange pas le mleoui une seule où deux fois par semaine », explique-t-il. Il propose aussi une version de la pâte au pesto ou épicée. Des variantes qui fonctionnent puisqu'il a gagné le Torchi Food Award 2024, une compétition qui récompense le meilleur de la street food tunisienne. À lire aussiTunisie: la richesse du patrimoine culinaire encore méconnue
Salut à tous et bienvenue pour un nouvel épisode des Secrets du SportAprès plus de 20 ans à explorer presque exclusivement le milieu du sport au travers d'articles, de vidéos et de podcasts, j'ai envie de plus. Passionné par l'humain et son fonctionnement, c'est l'occasion pour moi de vous partager des conversations sans filtres avec des individus "différents" que cela soit autour du sport, de l'entreprenariat, du développement personnel et plus encore. Je ne m'interdis aucun sujet et j'espère que cela vous aidera, vous apportera des pistes de réflexions à l'instar de mon podcast "LeaderCast" pour vivre une vie plus choisie. Si vous ne me connaissez pas et me découvrez avec ce podcast, je suis donc Rudy Coia, fondateur du site SuperPhysique.org destiné aux pratiquants de musculation sans dopage que j'ai fondé en septembre 2009. Sur ce site, j'ai donc écrit des milliers d'articles, des milliers de vidéos et je fais des podcasts depuis plus de 10 ans avec toujours la même ligne de conduite : Trouver des réponses à mes questions. Sur ce site, vous retrouverez une partie de ce que je propose que ce soit en terme de compléments alimentaires destinés à améliorer votre santé, notamment bio, mais aussi une application, SP Training, des livres, des formations ainsi que du coaching à distance, notamment via mon site personnel www.rudycoia.com sur lequel je publie régulièrement. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de vous partager ma conversation avec Boris Gurtner.Il est actuellement le meilleur athlète Suisse en Hyrox et vient de passer sous l'heure en catégorie Open.Préparant les championnats du monde en Duo, j'étais curieux d'en savoir plus sur son passé sportif ainsi que son entrainement actuel.Surtout que Boris n'a que 25 ans et donc tout le temps devant lui pour devenir encore plus fort.Voici donc ses Secrets !Bonne écoute, Rudy Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est la rentrée !Bienvenue pour une nouvelle saison de la Matrescence ! J'ai hâte qu'on chemine ensemble. Élever des enfants veut parfois dire se confronter à de grosses difficultés.Que faire face à un enfant qui crie, tape, n'écoute rien, nous pousse dans nos retranchements ?Comment éviter de péter les plombs et de faire redescendre la tension ?Ces enfants dits difficiles, insupportables, viennent appuyer là où ça fait mal.Dr Anne Raynaud, médecin psychiatre fondatrice des Instituts de la parentalité et autrice, revient pour la 4e fois dans le podcast.Anne nous embarque dans le monde merveilleux de la théorie de l'attachement pour nous donner des clés essentielles pour apaiser nos relations à nos enfants qui sont intenses.Oui ces enfants sont épuisants, sont challengeants, mais Anne vous aide à travers cet épisode à trouver des solutions efficaces.Surtout n'hésitez pas à faire passer cet épisode autour de vous.Je vous souhaite une très bonne écoute
À Gaza, les universités et les écoles ont disparu, bombardées pendant plus de 21 mois par l'armée israélienne. Comment vivre quand on est un jeune homme, une jeune femme ? À quoi peut-on bien rêver dans ces conditions que même les adultes ne peuvent plus imaginer ? À quoi ressemble le quotidien ? De notre correspondant à Gaza, « Je m'appelle Bayan Zaqout et en ce moment, je recherche du réconfort et de la sécurité dans un endroit où même la paix n'existe pas. Je suis une jeune écrivaine, une poète, qui n'aspire à rien d'autre qu'à vivre normalement avec sa famille, tenter de survivre dans la bande de Gaza. » La jeune femme qui parle, Bayan Zaqout, rêvait de devenir écrivaine. Elle s'imaginait déjà publier des romans avec son nom sur la couverture. Elle aurait aussi aimé avoir un bureau indépendant, créatif, à côté, dans lequel elle travaillerait dans la communication. Mais aujourd'hui, Bayan, Gazaouie d'une vingtaine d'années, dit ne plus aspirer à rien. « Chaque jour, il y a des martyrs et des blessés. Donc maintenant, quand on me demande d'où je viens, je dis que je viens du pays du sang : de Gaza, de cet endroit digne, de ceux qui résistent encore. J'habitais dans des tours qui ont été les premières à être visé, au tout début de cette guerre. Depuis, je vis dans une tente de déplacés, juste en face de ce qui était tout pour nous, en face de notre maison où j'espérais être réunie avec ma famille. Désormais, mon seul souhait, chaque jour, c'est d'essayer de trouver du pain le matin, trouver de l'eau que l'on peut boire. Rien que cela, c'est très difficile. J'aspire uniquement à retrouver un semblant de vie quotidienne, la routine que j'avais avant. » Bayan en est consciente : elle n'a pas le même quotidien que les jeunes femmes de son âge, celles qui vivent dans d'autre pays. Elle est devenue la principale ressource financière de sa famille. Son père, qui avait un garage, a dû cesser son activité. Elle aide aussi sa mère à nettoyer la tente, faire la vaisselle, cuisiner. « J'essaie de contribuer à ma façon, même si ce n'est pas énorme. Car ici, même si tu travailles beaucoup, et peu importe combien tu gagnes, cela ne suffit même plus pour acheter les choses les plus basiques de la maison. J'aide aussi en essayant d'allumer des feux, mais dès que tu y touches, tu te sens toute noire, toute salie. Ici même l'air que l'on respire nous noircit. Alors oui, je travaille, mais j'allume aussi, je cuisine, pourquoi pas, mais ce n'est pas que moi. C'est le cas de toutes les jeunes femmes de mon âge à Gaza. Nous avons le rôle de femme et d'homme, on fait les deux à la fois. » Tous les soirs, quand elle peut, elle enseigne l'anglais à ses quatre plus jeunes frères. Le plus difficile, raconte Bayan, c'est quand elle a été séparée – plus tôt dans l'année – de ses deux frères aînés, elle dans le sud, eux dans le nord de Gaza. « Pendant quatre mois, nous n'avions aucune nouvelle. Je ne savais pas s'ils étaient vivants ou morts, s'ils allaient bien ou pas. Être séparé de tes frères avec qui tu as grandi, sans rien savoir d'eux, c'est une douleur indescriptible », confie-t-elle. Alors comme les jeunes filles de son âge, elle s'échappe en lisant, en allant sur Internet quand elle le peut. Et pour oublier qu'elle vit dans un cauchemar, dit-elle, Bayan chante. Surtout lorsqu'elle est face à la mer, sa dernière lueur d'espoir. À lire aussi«Je ne vois rien de l'aide qui arrive»: à Gaza, l'aide humanitaire revendue à prix d'or
Amulette Podcast, le podcast qui met de la magie dans votre vie
Et si ce n'était pas un blocage ? Et si ce que tu vis en ce moment, ce ralentissement, ce silence, cette pause entre deux réalités, était une préparation sacrée ? Dans cet épisode, je t'emmène au cœur d'une vérité que j'ai réalisée profondément ces dernières semaines : ce n'est pas que tes manifestations ne fonctionnent pas. C'est que ton corps, ton système nerveux, n'est pas encore prêt à contenir l'intensité de ce que tu demandes. Je te parle du système nerveux, de comment il influence directement ta capacité à recevoir, à tenir l'expansion, à réguler l'amour, l'argent, la visibilité, la foi. Je t'explique pourquoi on ne peut pas manifester une vie de niveau 10 avec un système calibré sur les blessures du niveau 3. Et comment, parfois, ce que tu demandes (10), n'est qu'une fraction de ce que l'univers prépare pour toi (100, 1000, 10 000…).
Julien : Franchement, ils sont relous à mon taf ! Je suis venu en short ce matin, et je me suis pris un rappel à l'ordre à cause de ma tenue.Louise : Sérieux ? Mais avec cette chaleur, c'est inhumain de devoir rester en pantalon toute la journée, mon pauvre !Julien : Je te jure, je suis à deux doigts de faire une pétition pour moderniser le dress code. Surtout que les filles, elles ont le droit de venir en jupe et en robe !Louise : J'avoue que pour une fois, l'inégalité va dans votre sens ! Demande-leur à te mettre en télétravail ! Au moins, tu pourras bosser dans la tenue de ton choix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 23 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un journaliste incarcéré au Bénin avec l'aide de la Côte d'Ivoire, des éditorialistes ciblés au Sénégal… Ces trois pays ont une longue tradition de respect de la liberté d'expression, mais la situation des journalistes se dégrade depuis des semaines au Sénégal et en Côte d'Ivoire. Au Bénin, cela fait maintenant plusieurs années que journalistes et médias sont régulièrement pris pour cible. Quelle est précisément la situation dans ces pays ? Comment en est-on arrivé là ? Sadibou Marong, le directeur du bureau Afrique de Reporters sans frontières répond à Pierre Firtion. RFI : L'histoire a défrayé la chronique. Hugues Comlan Sossoukpè est incarcéré depuis huit jours à Ouidah au Bénin. Ce journaliste critique du régime béninois vivait depuis 2019 au Togo avec le statut de réfugié politique. Mais le 13 juillet, il a été extradé par la Côte d'Ivoire alors qu'il participait à un forum à Abidjan. Les autorités ivoiriennes l'ont-elles piégé selon vous ? Sadibou Marong : Nous pouvons valablement parler de piège comme nous pouvons aussi parler d'une mission professionnelle de journaliste qui s'est finalement transformée en traquenard. Le journaliste béninois, Hugues Comlan Sossoukpè, qui est journaliste réfugié au Togo depuis quelques années et qui est aussi le directeur du média béninois d'investigation Olofofo, a officiellement été invité par le ministère ivoirien de la Transition numérique pour couvrir un événement sur l'innovation digitale. Il a été considéré comme un journaliste, et là, je cite les propos du ministère, « un journaliste reconnu de la sous-région dans ce domaine ». Comment expliquer un tel acte de la part des autorités ivoiriennes ? C'est compliqué, car c'est inédit. On pourrait même considérer qu'un tel acte pourrait étonner pratiquement tous les défenseurs de la liberté de la presse d'une manière générale. Surtout par exemple quand on sait que la Côte d'Ivoire, ces dernières années, était assez bien classée au classement mondial de la liberté de la presse avec des bonds assez intéressants. Il n'y a qu'en 2025 que le pays a assez reculé. Mais il est aussi clair que cette liberté de la presse en Côte d'Ivoire était encore étroitement liée au contexte politique. Il y a aussi l'influence de certains partis, des responsables politiques dans les médias qui devenaient très grands. Dans tous les cas, c'était quand même un environnement assez intéressant. Disons que les médias évoluaient en Côte d'Ivoire jusqu'à ce que l'on se rende compte effectivement qu'il y a eu un peu ce traquenard-là. Et on ne peut pas dire que les autorités n'ont pas été complices. On peut fondamentalement dire que les autorités ivoiriennes étaient au courant, avaient certainement dû être consultées et avaient donc donné leur accord et leur aval pour pouvoir livrer ce journaliste-là. Cela est extraordinairement grave d'autant plus que c'est un journaliste réfugié. On comprend aussi que c'est le début, peut-être, d'un durcissement de la situation. La Côte d'Ivoire va vers une élection présidentielle en octobre prochain et on a vu récemment des menaces contre des correspondants de la presse internationale de la part de certains partisans politiques. À lire aussiBénin: le journaliste Comlan Sossoukpè mis en examen et placé sous mandat de dépôt Cette dérive, elle est en revanche beaucoup plus visible au Bénin, où la presse est ciblée depuis plusieurs années... Le régime du président Patrice Talon à son arrivée était jugé relativement stable. Mais ces dernières années quand même, c'est un régime qui est nettement imprévisible par rapport à la liberté de la presse. Actuellement, dans le contexte actuel, on voit que les voix indépendantes et les journalistes critiques, même modérés, sont perçus avec une attention assez croissante. Le cas de Hugues Sossoukpè est là. Je pense que les autorités béninoises l'attendaient. Ils faisaient tout pour essayer de l'avoir. Mais auparavant, on a vu aussi une vague de suspension de médias et d'instrumentalisation des régulateurs. Le régulateur des médias, la HAAC, a pris des décisions qui sont pour nous très disproportionnées avec une vague de suspension des médias. Il y a eu des vagues de répression. Et comme on va vers une élection également dans ce pays-là, on voit les dispositions de surveillance qui s'intensifient. Le climat se charge lentement mais sûrement au Bénin. Le Bénin, la Côte d'Ivoire, on parle là de pays où la liberté d'expression a longtemps été respectée. C'est le cas aussi au Sénégal. La situation des journalistes s'était améliorée, on va dire entre 2024 et 2025, mais là, depuis quelques semaines, on dénombre à nouveau des attaques contre la presse. Au Sénégal, bien que le pays ait fait un bond de 20 places lors du dernier classement mondial de la liberté de la presse, nous avons commencé à observer beaucoup de faits nouveaux ces derniers mois. Il y a la question des détentions de commentateurs et de chroniqueurs dans les médias. Par exemple, il y a le journaliste Bachir Fofana et les commentateurs Badara Gadiaga, Abdou Nguer qui utilisent les médias pour jouir de leur liberté d'expression au Sénégal. Et tout cela, ce sont des choses qui reviennent. Et l'impression qu'on a, c'est plus qu'une sorte de contrôle du narratif, disons, des voix discordantes. Et ces voix discordantes, de notre point de vue, doivent pouvoir être acceptées dans un État démocratique. Maintenant, ce qui est le plus important pour nous, c'est l'appel que nous avons lancé aux autorités qui ont commencé à s'atteler à faire des concertations. Mais aussi à réconcilier les résultats des assises nationales dans la presse, des concertations, disons, du secteur de la communication. Il faut réconcilier tout cela. Et également aussi s'atteler à renforcer les capacités des organes de régulation des médias. À lire aussiSadibou Marong (RSF): «Les journalistes des radios communautaires paient un lourd tribut dans la région du Sahel» À lire aussiSadibou Marong: «La situation des journalistes en Afrique subsaharienne ne s'est pas améliorée»
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 23 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
UNE CEREMONIE LAIQUE OFFICIEE PAR DES AMIS PROCHES Je vous l'avais promis la semaine dernière, dans ce nouvel épisode, on retrouve Alice & Pierre-Jean pour faire un gros focus sur leur cérémonie laïque officiée par des amis proches ! Je sais à quel point ce sujet vous intéresse, et à quel point les retours de vrais mariés sont utiles pour vous projeter et préparer votre propre cérémonie laïque de mariage. Surtout que dans le cas d'Alice & Pierre-Jean, la cérémonie laïque a été entièrement imaginée, préparée et animée par deux amis proches qui ont accepté le rôle d'officiants de cérémonie laïque ! Un duo plein de ressources qui a su orchestrer le tout de façon harmonieuse, tout en ajoutant leur touche BIEN personnelle … Dans cet épisode, on prend le temps de récupérer plein de conseils, je suis sûre que ça va vous donner de solides pistes pour peaufiner votre trame de cérémonie laïque ! Et puis, évidemment, on discute aussi des tenues des mariés ! Vous avez déjà eu un aperçu sur insta, mais vous allez découvrir les histoires - que dis-je les confidences - derrière les choix audacieux de nos deux amoureux … Allez, c'est parti ! Je t'invite à rejoindre la suite de notre conversation avec Alice & Pierre-Jean … Bonne écoute ! ******* Bienvenue DANS LA CONFIDENCE ! le podcast mariage qui aide les futures mariées tout au long de leurs préparatifs !Je suis Laurène, jeune mariée du 15 Juillet 2021, j'ai profité de l'année de report de mon mariage pour lancer ce podcast dédié aux futures mariées. Chaque Mercredi matin, je te donne RDV pour un nouvel épisode inédit ! Je reçois des jeunes mariées qui nous racontent tous leurs préparatifs jusqu'au déroulé de leur jour J. Et j'interviewe des professionnels du mariage pour décrypter au mieux les coulisses de leurs métiers et te faire découvrir des prestataires passionnés.Ce podcast mariage, c'est le meilleur moyen de faire le plein de conseils pratiques, de bons plans et de recommandations de prestataires ! Bref, tout ce dont on a besoin quand on prépare un mariage ! ******* Pour me contacter par mail : danslaconfidence.podcast@gmail.comRetrouvez toutes les infos de cet épisode sur le compte instagram du podcast !Montage de cet épisode : Alice KRIEF Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Roland Pérez répond aux questions de Véronique, victime d'un séjour mensonger. Appartement sans piscine, spa inexistant, travaux bruyants… Que faire lorsque les prestations ne correspondent pas à la promesse ?L'expert détaille les recours possibles : remboursement, réduction, preuves à conserver, délais à respecter. Un épisode indispensable pour faire valoir vos droits en cas de vacances décevantes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 9 juillet 2024, Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, les deux leaders de la société civile guinéenne, ont été arrêtés à Conakry par des hommes en armes et en uniformes. Sont-ils toujours en vie ? Depuis un an, on est sans nouvelles d'eux. « Pour nous, cette incertitude est insoutenable », disent leurs épouses et leurs proches. Un an après, la FIDH, la Fédération internationale pour les droits humains, appelle les États de la Cédéao à « se réveiller » pour faire libérer ces deux disparus. Maître Drissa Traoré est le secrétaire général de la FIDH. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Est-ce que vous gardez l'espoir que Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah sont vivants ? Maître Drissa Traoré : Oui, nous voulons garder l'espoir de surtout les retrouver en vie, ces deux militants des droits humains et de la société civile. Parce que, en l'état actuel, on n'a aucun élément qui puisse nous amener à croire qu'ils ne sont plus en vie. Et donc pour nous, l'espoir est toujours là et vivace. Est-ce qu'il y a eu des signes de vie depuis un an ? Non, nous n'avons pas de signes de vie, en dehors de quelques rumeurs, et de l'autre côté également, on n'a pas des éléments pouvant nous laisser croire qu'ils sont morts. Donc ce qui nous permet de garder de l'espoir jusqu'à ce moment précis. Le 9 janvier dernier, sur RFI, le porte-parole du gouvernement, Ousmane Gaoual Diallo, a déclaré que le ministre de la Justice ou le procureur général ferait bientôt un point de situation pour donner plus ample information sur l'évolution de l'enquête… Nous l'avons cru, nous l'avons espéré et malheureusement, depuis plusieurs mois, nous attendons ces déclarations. Nous attendons ce point-là, et rien ne vient. Et nous pensons que c'est le lieu d'interpeller le garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l'homme, je précise, et le Procureur général, pour qu'ils puissent nous situer sur l'état de progression et d'avancement de cette enquête-là. Parce que leur silence, ce lourd silence, devient de plus en plus insupportable pour nous. Alors, depuis un an, il y a une mobilisation internationale en faveur des deux disparus, notamment de la part des États-Unis. La Commission africaine des droits de l'homme et des peuples et le Groupe de travail des Nations unies sur les disparitions forcées ont publié un communiqué commun, c'était en octobre dernier, dans lequel ils ont fait part de leurs craintes grandissantes sur les risques de tortures et même d'exécutions concernant ces deux disparus. Est-ce que la communauté internationale se mobilise assez à vos yeux ? Non. Au départ, nous avons vu beaucoup de mobilisation. Mais au fur et à mesure que le temps passe, cette mobilisation s'affaiblit. Cela nous inquiète et nous voulons interpeller la communauté internationale, surtout les organisations sous-régionales, pour que la question de ces deux disparus et des autres disparus puisse être à l'ordre du jour et que le gouvernement guinéen continue d'être interpellé, afin qu'au moins, on puisse savoir ce qui s'est passé, ce qui leur est arrivé, où ils sont, s'ils sont en vie ou non. Et nous pensons que cette mobilisation internationale doit être ravivée par l'ensemble des responsables de ces organisations-là et de ces pays-là. Est-ce que vous pensez, comme Me Brengarth, l'un des avocats français des familles des deux disparus, que « le pouvoir guinéen est dans une guerre d'usure, dans l'attente que les choses se tassent et que plus personne n'en parle » ? Oui, je pense que c'est la stratégie du gouvernement guinéen. Mais nous, de notre côté, nous n'allons jamais cesser notre mobilisation. Nous n'allons jamais cesser notre engagement tant que la lumière ne sera pas faite et notre mobilisation sera également, je pense, à la hauteur du silence du gouvernement guinéen. Pensez-vous que la France a joué un rôle dans la réintégration de la Guinée au sein de la grande famille francophone ? C'était au mois de septembre dernier… Non, nous ne le savons pas. Mais nous regrettons surtout que la Guinée puisse être réintégrée dans l'OIF alors que la transition n'a pas pris fin, alors que les violations des droits humains continuent de se perpétrer et surtout alors qu'il y a des enlèvements et des tortures en Guinée ces derniers temps. Et pensez-vous que la France a peur de perdre un quatrième allié en Afrique de l'Ouest si elle fait trop de démarches sur les droits de l'homme en Guinée-Conakry ? Une lecture de la situation en Afrique de l'Ouest, en tout cas, peut laisser penser que la France aujourd'hui marche sur des œufs, qu'elle ne veut pas faire les erreurs qu'elle a pu faire avec le Burkina Faso, le Mali et le Niger et qu'elle veut tout faire pour maintenir ses relations avec la Guinée. Et cela est inquiétant en ce qui concerne la situation des droits de l'homme dans ce pays. Et qu'en est-il du silence de la Cédéao, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest ? Je peux dire que c'est enrageant pour nous, parce que, depuis plusieurs années, les autorités de la Cédéao ont indiqué construire la Cédéao des peuples, et nous pensons que la Cédéao des peuples, c'est la Cédéao de la protection des droits humains, c'est la Cédéao où on protège les populations. Et donc cette Cédéao des peuples ne peut pas se taire, ne peut pas être indifférente à l'enlèvement de ces acteurs qui se battent pour la démocratie, qui se battent pour les droits humains en Guinée. Pour nous, c'est incompréhensible et nous souhaitons que la Cédéao se réveille et que la Cédéao également puisse interpeller les autorités guinéennes afin que la lumière soit faite sur ces événements. À lire aussiUn an après leur enlèvement, la Guinée toujours sans nouvelle de Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« La Turquie n'est pas en rivalité avec la France en Afrique », affirme le responsable de la diplomatie turque pour l'Afrique. Depuis vingt-cinq ans, la Turquie est en pleine expansion sur le continent africain. On le voit avec ses opérateurs économiques et avec le succès de ses drones sur les champs de bataille. Mais loin de vouloir prendre sa place, la Turquie veut renforcer sa coopération avec la France. C'est ce qu'affirme Volkan Isiksi, directeur général pour l'Afrique au ministère turc des Affaires étrangères. De passage à Paris, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Volkan Isikci, bonjour, Volkan Isikci : bonjour RFI : En 2007, la France de Nicolas Sarkozy et l'Allemagne d'Angela Merkel ont dit non à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. Est-ce que c'est l'une des raisons pour lesquelles votre pays s'est tourné vers le continent africain avec une politique ambitieuse ? En fait, notre politique ambitieuse vers les autres continents, notamment l'Afrique, ça remonte bien avant 2007, donc en 1998. A partir de 2003, les relations de la Turquie avec l'Union africaine, ça s'est développé et on a essayé d'être présent sur le continent africain avec l'ouverture des ambassades. En l'an 2002, on avait douze ambassades. Aujourd'hui, on en a 44 et notre vision est de pouvoir augmenter le nombre de ces ambassades et de pouvoir les augmenter jusqu'à 50 dans les prochaines années, avec les possibilités que l'on va avoir. Tout de même, Monsieur le Directeur général, on remarque que, en 2007 donc, il y a ce refus de la France et de l'Allemagne de faire entrer la Turquie dans l'Union européenne. Et un an plus tard, en 2008, il y a ce premier sommet Turquie-Afrique. Est-ce qu'il n'y a pas un lien de cause à effet ? Non, c'est une coïncidence. Le choix de 2008, c'est indépendamment de la décision que vous avez mentionnée. C'était une feuille de route que l'on avait déjà établie. Donc, en 2008, on a organisé le premier sommet Turquie-Afrique, c'était en Turquie. En 2014, le deuxième, c'était en Guinée équatoriale. En 2021, on a organisé le troisième en Turquie et le quatrième, on va l'organiser l'année prochaine en Libye. Le choix a été ratifié par les organismes concernés de l'Union africaine. Et par les autorités libyennes de Tripoli, puisque ce sera à Tripoli ? Exactement. Depuis 20 ans, Monsieur le Directeur général, le volume d'échanges de votre pays avec l'Afrique a fait un bond très important. Il est passé de 5 milliards à 40 milliards de dollars par an. Qu'est-ce que vous apportez de différent par rapport à l'Europe et la Chine ? Avec nos amis africains, la période de Covid a eu des effets positifs pour que ce volume d'échanges augmente. Comme vous savez, à ce moment-là, il y avait des restrictions du point de vue des visas, du point de vue des vols. Nous, on n'a jamais essayé de rendre la vie difficile à nos amis africains qui voulaient visiter la Turquie. Notre régime de visas était flexible. En plus, les vols de Turkish Airlines n'ont jamais cessé à cette période-là. Nos amis africains, au lieu des destinations classiques qu'ils avaient pour voyager, faire du commerce en Europe ou bien en Asie, ils ont découvert un peu la Turquie. Et dans plusieurs pays africains, ils mentionnent que la continuité, la qualité, le prix et le suivi des produits turcs qu'ils se procurent en Turquie sont nettement plus concurrents que ceux des autres régions du monde. Ils nous disent : « Vous avez des produits de qualité européenne au prix de produits chinois. Alors en effet, certains disent en Afrique que les produits turcs sont moins chers que les produits européens et de meilleure qualité que les produits chinois. Quels produits par exemple ? De tout. Des dentifrices aux tissus, aux chaussures, aux meubles. Surtout dans le secteur de la construction. La plupart du matériel est importé de la Turquie. Évidemment, au lieu d'importer de très loin comme la Chine, le matériel qui est commandé de la Turquie, il parvient à peu près dans un délai d'un mois, un mois et demi, dans le pays concerné. Quand il faut construire un centre de conférence très vite pour un sommet de dans six mois, les Turcs sont là. C'est ça ? Voilà. Donc je ne vais pas citer le pays, mais dans un pays africain, le leader qui avait demandé à une compagnie turque de pouvoir organiser une grande conférence internationale avec la participation des chefs d'Etats, il lui a demandé s'il pouvait construire un centre de conférence en six mois. La compagnie concernée, qui est très active en Afrique, lui a fait la proposition de pouvoir le faire avec un délai de six mois. Evidemment, le prix était très abordable pour ça. La compagnie lui a demandé quelques faveurs : pouvoir amener 4000 ouvriers de Turquie avec six navires et tout le matériel qui serait nécessaire. Donc la commande a été passée au mois de janvier et les portes de cette conférence ont été ouvertes pour accueillir les chefs d'Etat mi-juin. Et donc c'est un succès qui a été réalisé en six mois. Et cet exemple que vous donnez sur six mois, je crois que c'est arrivé dans un pays d'Afrique centrale ? Oui, en Afrique centrale. L'un de vos produits phares en Afrique, Volkan Isikci, c'est le drone de la société Bayraktar. Il a fait ses preuves à Tripoli en 2019, puis dans la guerre Éthiopie -Tigré en 2021. Et du coup, beaucoup de pays africains vous achètent ce produit, comme le Mali, le Tchad. Est-ce que certains pays africains n'ont pas renoncé à la protection des avions de chasse classiques au bénéfice de ces drones, parce que c'est moins cher et parce qu'il y a moins d'abandon de souveraineté ? Je pense qu'il faut voir cette approche dans un contexte technologique et de maniabilité parce que, pour l'utilisation des avions de chasse, il faut déjà des terrains, des pistes d'atterrissage qui sont adéquats. Et ces drones ou ces nouveaux engins depuis quelque temps sont beaucoup plus abordables, maniables et efficaces que les avions de chasse. Que les Mirage 2000 par exemple ? Les avions de chasse demandent beaucoup de dépenses évidemment pour l'achat, pour la maintenance ou le personnel. Les drones, évidemment, ce sont des sociétés privées qui en font, mais l'autorisation d'exportation émane de notre ministère de la Défense. Il faut d'abord un feu vert d'Ankara ? Voilà. Et le suivi de l'utilisation de ces engins est régulé par le ministère de la Défense et d'autres institutions qui travaillent dans ce domaine-là. Est ce qu'on peut parler, de la part de la Turquie en Afrique, d'une diplomatie du drone ? Mais la question du drone se passe seulement dans quelques pays africains pour protéger leur intégrité territoriale. Ce sont des demandes conjoncturelles qui font que la demande des pays est acceptée par la Turquie. Évidemment, les formations que l'on offre, avec un prix abordable et la continuité et la confiance qu'ils ont en la Turquie, tout cela fait que beaucoup plus de pays maintenant recourent à notre technologie dans ce domaine-là. Mais quand vos drones sont utilisés pour frapper des populations civiles, je pense au Mali par exemple, est ce que vous ne craignez pas que cela ternisse l'image de la Turquie ? Évidemment, comme je vous l'ai dit, pour les ventes et l'exportation, il y a une régulation très restreinte. On fait le suivi de ces engins-là dans ces pays-là. Donc, une mauvaise utilisation de vos drones peut conduire à la rupture de la livraison de ces drones ? Voilà, parce que c'est régulé internationalement. Nous, on ne voudrait pas nuire à l'image de la Turquie dans ce sens-là, on ne voudrait pas que ça arrive. Est ce qu'il vous est arrivé, ces dernières années, de dire à un pays africain client de vos drones : « Là, vous avez utilisé ces drones contre des populations civiles, nous ne sommes pas d'accord et nous arrêtons la livraison » ? Après, on n'a pas dit. Mais avant, on dit toujours : « Il ne faut pas les utiliser de façon inappropriée, sinon ça va être la rupture », parce qu'il y a un contrôle continu dans ce sens-là ». Et c'est arrivé qu'il y ait une rupture ? Non, ça n'est pas arrivé, mais on suit de très près pour que ce genre d'évènement n'arrive pas dans ce sens-là. En 2019, la Turquie a soutenu militairement le gouvernement Sarraj à Tripoli contre l'offensive du maréchal Haftar sur la capitale libyenne. Pourquoi avez-vous fait ce choix ? Monsieur Sarraj, c'était le leader de la Libye à ce moment-là, qui était reconnu par les Nations Unies. Du coup, quand il y a eu les actes émanant de l'Est de la Libye vers Tripoli, il a écrit une lettre de demande d'aide d'urgence aux leaders internationaux de cinq pays, y compris la France et la Turquie. Et la Turquie a été le seul pays à pouvoir répondre positivement à son appel à l'aide. Donc notre coopération avec le gouvernement de Tripoli, ça a commencé avec ces démarches de Monsieur Sarraj à ce moment-là et ça continue jusqu'à présent. Et maintenant, on voit que la Libye est en cours de pouvoir solidifier sa démocratie, disons sa gouvernance, avec l'aide qu'on leur a fournie pour que le pays ne tombe pas dans le chaos. Et justement, vous continuez de soutenir Tripoli contre Benghazi ? Le gouvernement Dbeibah contre le maréchal Haftar et ses fils ? Ou est-ce que vous essayez de réconcilier les deux camps ? Non, il n'y a pas de pour et contre. Nous avons des relations avec l'Est aussi. On a ouvert notre Consulat général à Benghazi par exemple. On a des contacts avec Monsieur Haftar et les dirigeants du côté Est. Donc on soutient toutes les parties pour qu'il y ait une entente entre eux pour stabiliser politiquement leur pays. Et je crois que Turkish Airlines atterrit maintenant à Benghazi ? Voilà ! Depuis la chute du régime Assad en Syrie, au mois de décembre dernier, la Russie redéploie ses bateaux et ses avions gros-porteurs vers l'Est de la Libye, notamment Tobrouk et Benghazi. Est-ce que cela vous préoccupe ? Non, pas du tout. Nous, on a toujours des contacts avec la Russie concernant les questions de sécurité et de défense, concernant différentes régions du monde. Donc ça ne nous préoccupe pas. Est que c'est pour apaiser la situation politique au Congo-Brazzaville… Il y a 5 ans, vous avez accepté de soigner dans votre pays, en Turquie, l'opposant Jean-Marie Michel Mokoko, qui est donc sorti de sa prison congolaise pendant quelques semaines et qui y est retourné depuis. Voilà 9 ans quand même que cet opposant politique est détenu à Brazzaville. Qu'est-ce que vous pensez de cette situation ? Pour cela, il faut voir la qualité du plateau technique sanitaire que la Turquie offre aux différents demandeurs dans ce sens-là. Les pays africains font beaucoup de demandes pour pouvoir se soigner sur le sol turc. Donc, il faut considérer cette approche du gouvernement du Congo-Brazzaville pour pouvoir soigner l'opposant. La relation qui existe entre les chefs d'Etat et la confiance qui règne entre eux… Je pense que c'est le résultat de ces approches-là qui a fait que cet opposant a pu retrouver la santé et retourner après dans son pays. Donc, c'est le témoignage d'une relation de confiance entre les présidents Sassou-Nguesso et Erdogan ? Voila. Dans votre esprit, c'est plus une approche humanitaire qu'une approche politique ? Humanitaire. Il faut voir ça sous l'optique humanitaire. Autre séjour médical très remarqué dans votre pays, la Turquie, celui évidemment de l'ancien président Alpha Condé de Guinée Conakry. Est-ce à dire que vous pourriez jouer un rôle de facilitateur aujourd'hui entre le général Doumbouya, qui est venu d'ailleurs à Ankara pour la dernière investiture du président Erdogan il y a deux ans, et les opposants guinéens en exil ? Vous savez, la médiation ne se fait pas parce que vous avez le désir d'être médiateur. Ça doit venir des parties concernées. Donc une demande n'a pas été mentionnée. Donc du coup, ça n'a pas été vu dans ce sens-là. Il n'y a pas de médiation turque sur la Guinée Conakry ? Non. On dit souvent, Volkan Isikci, qu'il y a une rivalité entre la Turquie et la France en Afrique. Est-ce que c'est vrai ou pas ? Pas du tout ! Parce que le mot rivalité, c'est quelque chose de négatif. La concurrence, ça existe parce que, dans le monde, les intérêts, ça existe. Avec la France, je pense que le mot concurrence est plus adapté, mais il faut enrichir ça avec une coopération, une collaboration. Avec les relations historiques que la France a avec le continent africain, avec l'expérience de plus en plus aiguë des acteurs turcs sur le continent, je pense qu'avec ces atouts, les deux pays peuvent servir davantage pour pouvoir subvenir aux besoins des pays concernés, pour être à côté de ceux qui en ont besoin. Et dans le cadre d'un partenariat entre les deux pays, quels sont les atouts de la France en Afrique sur lesquels vous, les Turcs, vous aimeriez vous appuyer ? Les deux pays ont des expériences différentes. Évidemment, la connaissance du terrain, la présence linguistique peuvent apporter beaucoup de choses de la part de la France. La Turquie, avec son expérience de plus en plus aiguë depuis les années 2000, peut servir davantage pour pouvoir réaliser de grands investissements dans ce sens. Moi j'aimerais bien mentionner que la zone de confort n'existe pas. Il faut prendre des risques. Il faut être sur le terrain avec un partenaire de confiance. Je pense qu'on peut faire beaucoup de choses. On croit beaucoup à ça et, quel que soit le pays, on n'a jamais essayé de destituer une entité, un pays du continent africain. Vous n'avez jamais voulu chasser la France de certains pays africains ? Pas du tout, pas du tout. On n'a pas cette position. On veut seulement développer davantage et subvenir aux besoins de nos amis africains qui nous font la demande. Vous n'êtes pas dans une démarche de rivalité avec la France, comme peut l'être la Russie par exemple ? Pas du tout, pas du tout. La question de la Russie, je ne suis pas en mesure d'y répondre, mais nous, on ne voit pas la France en tant que rivale sur le continent africain. Volkan Isikci, monsieur le Directeur général, merci. Merci beaucoup À lire aussiEntre l'Afrique et la Turquie, un partenariat qui s'enracine À lire aussiLa Turquie s'apprête à débuter sa mission d'exploration pétrolière en Somalie
Dans ce nouvel épisode, je suis tellement heureuse de recevoir Charles Pépin. Philosophe et romancier reconnu pour sa capacité à rendre accessibles les idées les plus complexes avec une simplicité déconcertante, il a accepté d'explorer avec nous le voyage sous un angle philosophique profond et résolument humain.Pourquoi ressentons-nous ce besoin irrépressible de partir à la découverte d'autres horizons ?Le voyage est-il égoïste ou un remède aux replis identitaires ?Comment les voyages forment-ils la jeunesse ?Avec une sincérité désarmante, tout en citant Freud et Voltaire il partage ses expériences personnelles, des marchés colorés de l'Inde aux paysages glacés d'Islande, en révélant comment ces périples l'ont transformé. Il nous explique pourquoi le "vrai voyage" est celui qui ne se déroule pas comme prévu et comment être "confortable dans l'inconfort" peut nous révéler à nous-mêmes.De la rencontre avec l'altérité aux souvenirs qui nous façonnent, en passant par l'importance des voyages pour nos enfants, cette conversation inspirante vous donnera envie de faire vos valises... ou peut-être de redécouvrir votre quotidien avec un regard neuf.Bonne écoute !Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous explorons comment l'IA peut nous aider dans notre quotidien : organisation, achats, recettes, grammaire… Mais nous questionnons aussi ses limites, notamment pour le développement personnel et l'apprentissage des langues, où le lien humain reste irremplaçable. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Show Notes Chronique France Inter sur l'apprentissage des langues étrangères (https://www.youtube.com/watch?v=QDw0u3cjddA&ab_channel=FranceInter) Transcript Hélène: [0:17] Bonjour à tous ! Judith: [0:19] Salut Hélène ! Hélène: [0:20] Salut ! Comment ça va ? Judith: [0:22] Ça va et toi ? Hélène: [0:24] Ça va bien ! Ravie de te retrouver pour un nouvel épisode. Judith: [0:28] Alors aujourd'hui, on parle de quoi ? Hélène: [0:29] Aujourd'hui, nous allons parler de l'intelligence artificielle, qu'on appelle aussi IA en français. Donc on dit l'IA. Judith: [0:39] D'accord, vaste sujet. Hélène: [0:40] Ouais, et avant cela, nous avons reçu un charmant message et donc nous allons l'écouter ensemble. Judith: [0:49] Ok. Honoka: [0:50] Bonjour Hélène, bonjour Judith, moi c'est Honoka. Je suis née et j'ai grandi au Japon. J'attends toujours vos épisodes et vidéos avec plaisir. Je suis étudiante en master et je travaille dans le domaine de l'océanographie. J'étudie l'inflation entre le zooplancton et les bébés de poissons. Après le master, j'aimerais continuer mes études en doctorat pour devenir chercheuse. J'ai une question pour vous. Est-ce que vous préférez la mer ou la montagne? C'est une question très classique, n'est-ce pas? Moi, j'aime beaucoup la montagne pour aller loisir parce que je peux ressentir les changements de saison. Les fleurs, le vertissement, les fruits jaunes et rouges à l'automne. En revanche, la mer éveille toujours ma curiosité scientifique, car il y a encore beaucoup de choses inconnues. Donc, je ne peux pas choisir. J'aime bien les deux. J'ai hâte d'entendre votre réponse, peut-être avec quelques souvenirs à la mer ou à la montagne. Un jour, j'aimerais embarquer avec une équipe de chercheurs français pour faire des observations et des recherches en mer. Pour cela, je vais continuer à travailler mon français avec vous. Merci beaucoup. À bientôt. Judith: [2:13] L'accent japonais a quand même quelque chose d'assez mystérieux un peu. Hélène: [2:18] Ah ouais ? Tu dirais mystérieux ? Judith: [2:20] Captivant, je ne sais pas. Il y a quelque chose. Hélène: [2:22] Moi, je trouve ça extrêmement adorable. Judith: [2:26] Ouais. Hélène: [2:27] Attendrissant, mignon. J'adore cet accent. Surtout chez les femmes. Je trouve ça vraiment tellement, tellement mignon. et tellement doux. Judith: [2:37] Je vois ce que tu veux dire. Mais je ne sais pas, je trouve qu'il y a quelque chose de... Hélène: [2:41] Très exotique pour nous. Judith: [2:43] Non, j'allais dire comme si tout ce qu'elle disait devenait intéressant. Hélène: [2:47] Ah ! Judith: [2:48] Tu vois ? Hélène: [2:49] Ouais. Judith: [2:50] Alors Hélène, à la question, mer ou montagne, nous avons toutes les deux des avis très tranchés. Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
durée : 00:25:15 - Riccardo Del Fra (5/5) - par : Arnaud Merlin - De Rome à Paris, Riccardo Del Fra trace un chemin singulier entre jazz, écriture contemporaine et cinéma. Contrebassiste de Chet Baker, compositeur pour l'Ensemble Intercontemporain, il façonne une œuvre où l'improvisation dialogue avec la forme et la mémoire. - réalisé par : Arnaud Chappatte
Un mot proclitique est un mot grammatical qui ne peut pas être prononcé seul de manière autonome : il est phonétiquement attaché au mot qui le suit, comme s'il en faisait partie. Autrement dit, il se colle au mot suivant pour être prononcé, et forme avec lui une unité prosodique, c'est-à-dire une seule syllabe accentuée ou rythmique.Le terme vient du grec « pro » (avant) et « klínein » (incliner), ce qui signifie littéralement « incliné vers l'avant ». Le mot proclitique se place donc toujours devant un autre mot, sur lequel il s'appuie.En français, de nombreux mots sont proclitiques. Il s'agit notamment :– des articles définis : le, la, les → le chat, la maison– des articles contractés : du, des → du pain, des amis– des prépositions simples : de, à → de Paris, à Marseille– de certains pronoms personnels : je, me, te, se, le, la → je pars, me voilàPrenons un exemple : dans la phrase « le garçon arrive », le mot « le » ne peut pas être prononcé isolément de manière naturelle. On dit [ləgaʁsɔ̃], c'est-à-dire « le-garçon », comme une seule unité rythmique. Si l'on essaie de détacher le mot « le », il perd son sens et sa fluidité.Les proclitiques sont des mots outils : ils n'ont généralement pas de sens lexical fort, mais remplissent une fonction grammaticale essentielle. Ils servent à structurer la phrase, à introduire un complément ou à déterminer un nom. Surtout, ils n'ont pas d'accent tonique propre : l'accent tombe toujours sur le mot suivant. Cette absence d'accent les rend phonétiquement dépendants.Il ne faut pas les confondre avec les enclitiques, qui sont des mots qui se collent au mot qui les précède. En français, ce phénomène est plus rare, mais on peut le trouver dans des tournures anciennes comme « a-t-il », où le « -t- » joue un rôle enclitique. Les mots proclitiques ne doivent pas non plus être confondus avec les mots toniques, qui portent l'accent principal de la phrase.Le phénomène de cliticité (proclitique et enclitique) est répandu dans de nombreuses langues. En espagnol ou en italien, par exemple, les pronoms objets peuvent être proclitiques ou enclitiques selon la place dans la phrase.Comprendre ce qu'est un mot proclitique permet de mieux analyser la structure rythmique des phrases, d'enseigner la prononciation et de distinguer les mots de fonction des mots lexicaux. En résumé, un mot proclitique est un petit mot grammatical qui s'appuie phonétiquement sur le mot suivant. Il est indispensable pour parler naturellement, mais toujours discret. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Téléphones, ordinateurs portables, enceintes connectées, perceuses, écouteurs sans fil, vélos ou trottinettes électriques... Chaque foyer possède en moyenne 19 appareils équipés de batteries lithium-ion, selon Assurance Prévention. Mais Il est essentiel de les utiliser correctement pour éviter tout risque de surchauffe, d'explosions et d'incendies. Armelle Lévy vous explique ce qu'il faut faire et surtout ne pas faire. Ecoutez Le conseil conso avec La rédaction de RTL du 19 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julien : Bon, j'ai suivi le compte d'une influenceuse spécialisée dans la mode, et visiblement les basiques sont de retour !Louise : Ah bah c'est parfait pour toi ça ! Toi qui n'aimes pas les trucs trop fous, tu vas enfin être tendance.Julien : Oui bah désolé de pas être du genre à vouloir me mettre en avant ! J'aime bien être simple.Louise : En vrai, c'est bien ! Surtout, c'est pas compliqué de te faire plaisir quand je vais faire du shopping ! Un rien te plaît ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:17 - Le Reportage de la rédaction - Deux anthropologues sonores cherchent à comprendre comment les hommes et les autres espèces cohabitent dans un milieu marin pour lequel nous ne sommes pas faits et où, pourtant, nous prenons toujours plus de place, du bruit des moteurs à la mode de la plongée en passant par le concert sur la plage.
Julien : Je suis épuisé ce matin. J'ai à peine réussi à dormir 2 h cette nuit.Louise : Oula, qu'est-ce qui s'est passé pour que tu dormes aussi peu ? Surtout que tu es tout le temps fatigué pourtant !Julien : Je sais, c'est trop bizarre ! J'étais crevé mais je pense que j'avais trop de trucs en tête ! J'ai pas arrêté de me retourner dans le lit.Louise : Tu devrais peut-être consulter un médecin, ça se trouve tu as un problème de sommeil plus grave.Julien : Tu as pas tort ! Je vais prendre rendez-vous et en attendant je vais essayer de faire une sieste cet après-midi histoire de rattraper ça ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.