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En 2025, j'ai tout changé.Nouveau pays. Nouveau business. Nouveaux cercles.J'ai quitté Barcelone pour Paris, quitté le confort pour l'inconnu. J'ai développé et fait grandir Biz&Bibs, organisé des événements, décroché mes premiers vrais partenariats. J'ai aussi jonglé avec la maternité, le couple qui a douillé, des démarches administratives relou, un déménagement à 30 ans et plus, et le vide affectif d'un nouveau départ.Dans cet épisode, je fais le bilan de cette année pas comme les autres, sur le plan professionnel et personnel.Surtout, je t'aide à faire le tien, pour savoir ce que tu as accompli cette année, et ce que tu emportes avec toi en 2026.Un épisode définitivement personnel, mais où je t'embarque avec mes conseils pour que tu puisses toi aussi prendre le temps de réfléchir et de poser tes intentions pour l'année à venir.Tu découvres le podcast Biz&Bibs avec cet épisode ?→ Pense à t'abonner pour ne pas manquer les prochains BIZMAMA→ Laisse 5 étoiles ou un petit mot sur ton appli de podcast : c'est ce qui m'aide le plus !-------------------------------------------------❤️ Merci à Tiime, l'outil de gestion et de facturation 100% gratuit, de sponsoriser cet épisode. Pensé pour simplifier la vie des entrepreneurs (et des parents débordés), Tiime te permet de gérer ta compta, tes paiements et tes factures en quelques clics — le tout, depuis une seule plateforme.
Sport et nutrition naturelle — Bien manger pour mieux Bouger
Certaines personnes affirment qu'elles ne peuvent se réveiller sans leur café du matin. D'autres qu'il faut absolument éviter ce café du matin à cause du cortisol. Personnellement j'ai choisi de limiter ma consommation de café à des moments où je l'apprécie vraiment et où je trouve un effet stimulant. Et j'ai donc opté pour des boissons de remplacement le matin. Le but n'est pas d'arrêter de boire du café mais de limiter la quantité de caféine et de profiter vraiment de mon café sur des moments choisis où je l'apprécie vraiment.Liens complémentairesGratuit : Le kit reboot pour retrouver la forme et l'énergie : https://sn.soulier.xyz/kitLe Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolesnNouveauté : La Stratégie FlowFit pour bouger et plus et prendre du muscle (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitsnTous les liens complémentaires et les produits cités : https://sn.soulier.xyz/163Rejoindre le Hamsters Running Club : https://sn.soulier.xyz/hrcKoro : https://go.soulier.xyz/koro. Profitez d'une réduction avec le code HAMSTERS5Le café est entouré de questions : À quelle heure exacte dois-je boire mon café ? Le café perturbe-t-il mon sommeil si je le bois le matin ? Le café le matin est-il mauvais ? Le café empêche-t-il de dormir ? Combien de café je peux boire ?Et il est vrai que l'on trouve de nombreuses infos contraires sur ce breuvage tant apprécié. Mais soyons clair je ne vais pas vous dire qu'il faut le remplacer totalement. Surtout qu'en bois un tous les jours.L'idée de cet épisode n'est pas de supprimer le café, y compris celui du matin. Mais de ne pas se tromper sur l'effet attendu du café et de varier votre consommation pour mieux profiter du café que vous aimez vraiment.Dans cet épisode :la différence entre café et caféineles nombreux bénéfices du cafépourquoi le café n'a pas le même effet sur tout le mondepourquoi le café n'élimine pas la fatiguele véritable effet du café sur le cortisolle café crée-t-il vraiment une accoutumance pourquoi il est bon de limiter sa consommation de caféinequelles sont les recommandations officielles de l'Ansespourquoi je déconseille le café au réveilles moments où j'apprécie mon café de spécialitéles remplaçants que j'apprécie : chicorée, orge, lupin, yannoh, ce que pense des boissons aux champignon type Bonjour pourquoi il est préférable de mieux dormir plutôt que compter sur son caféNouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
La magie de Noël va durer 15 secondes dans l'Appel trop con du jour. Le Père Martin essaie de vendre ses calendriers de l'Avent de Noël. Mais ça ne va pas très bien se passer. Surtout avec un certain Bernard
La magie de Noël va durer 15 secondes dans l'Appel trop con du jour. Le Père Martin essaie de vendre ses calendriers de l'Avent de Noël. Mais ça ne va pas très bien se passer. Surtout avec un certain Bernard
Réunie à Washington jusqu'à ce mercredi soir, la Réserve fédérale américaine doit rendre une décision très attendue sur sa politique monétaire. Une baisse des taux directeurs apparaît aujourd'hui comme le scénario le plus probable, dans un contexte dans lequel l'inflation recule tandis que le marché du travail montre des signes de fragilité. C'est à Washington que se joue, jusqu'à ce mercredi soir, l'une des décisions économiques les plus importantes du moment. La Réserve fédérale américaine, la Fed, y tient sa réunion de politique monétaire, au terme de deux jours de discussions entre ses membres. À l'issue de cette réunion, la banque centrale la plus puissante au monde pourrait annoncer une nouvelle baisse de ses taux directeurs, un scénario désormais largement anticipé par les acteurs économiques, politiques et financiers américains. La décision est suivie de près, car les taux directeurs de la Fed jouent un rôle central dans l'économie américaine. Ils représentent tout simplement le prix de l'argent. Lorsque ces taux sont élevés, emprunter coûte plus cher: les ménages consomment moins, les entreprises investissent moins et l'activité ralentit. À l'inverse, une baisse des taux rend le crédit plus accessible et soutient la croissance. Inflation maîtrisée, emploi fragilisé : le cœur de l'arbitrage La Fed agit dans le cadre d'un double mandat: contenir l'inflation et garantir le plein emploi. C'est l'équilibre entre ces deux objectifs qui guide ses décisions. Aujourd'hui, l'inflation américaine se situe autour de 3%, un niveau encore supérieur à l'objectif officiel de 2 %. Mais la banque centrale ne se focalise pas uniquement sur le niveau des prix à un instant donné. Elle observe avant tout la tendance et les anticipations. Or, sur ce terrain, les signaux sont jugés rassurants. L'inflation ne semble plus constituer la principale menace pour l'économie américaine, ce qui ouvre la porte à un assouplissement monétaire. En revanche, le marché du travail envoie des signaux beaucoup plus préoccupants. Les créations d'emplois continuent de ralentir, les chiffres ont une nouvelle fois été révisés à la baisse et certaines publications ont été retardées en raison du shutdown. Surtout, les petites et moyennes entreprises, pilier de l'emploi aux États-Unis, sont sous pression. Or, l'économie américaine repose très largement sur la consommation. Lorsque l'emploi se détériore, les ménages consomment moins, la croissance ralentit et le risque de récession augmente. C'est précisément pour éviter ce scénario que la Fed envisage d'agir. Une baisse progressive, sous le regard méfiant des marchés Le scénario le plus probable évoque une baisse des taux directeurs de 0,25 point, ce qui les porterait dans une fourchette comprise de 3,50% à 3,75 %. Une décision qui s'inscrirait dans une stratégie prudente et graduelle. La Fed a déjà entamé ce mouvement lors de sa dernière réunion et avance désormais pas à pas, sans précipitation. Mais cette baisse des taux directeurs intervient dans un contexte paradoxal. Les taux d'intérêt à dix ans, eux, ont fortement augmenté. Cette évolution s'explique par les inquiétudes croissantes des investisseurs concernant la trajectoire de la dette américaine, mais aussi par les interrogations autour de l'indépendance future de la Fed. Avec le départ annoncé de son président Jerome Powell en mai prochain et le retour de Donald Trump sur la scène politique, certains redoutent une Réserve fédérale plus politisée, et donc moins indépendante. Or, le doute n'est jamais bon pour les marchés: lorsqu'il s'installe, les investisseurs exigent des rendements plus élevés pour prêter à long terme. À court terme, une baisse des taux directeurs devrait néanmoins soutenir l'économie américaine. À moyen terme, tout dépendra de la capacité de la Fed à préserver sa crédibilité. Si celle-ci venait à être remise en cause, le risque serait un retour de l'inflation, une fragilisation du dollar et des taux d'intérêt durablement élevés.
Épisode 1405 : “Vos collabs pèsent plus lourd que votre page corporate, mais ils parlent de moins en moins, sauf vos dirigeants.”Les entreprises ont longtemps rêvé de libérer la parole de leurs collaborateurs sur les réseaux sociaux, avec l'employee advocacy comme mantra. Mais en 2025, les lignes ont bougé. Les prises de parole s'individualisent, se professionnalisent, et surtout… elles montent dans la hiérarchie. Alors que les profils non-managériaux se taisent, le top management prend le micro.On tourne la page de l'employee advocacy à l'ancienne. Désormais, la vraie question est : qui parle, sur quoi, et avec quels moyens ?---Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le podcast Parlons RSE de Bpifrance débute une nouvelle mini-série consacrée au handicap !Dans ce premier épisode, @Stéphanie Hamon, responsable RSE à la direction développement durable de Bpifrance, accueille Laurence Vergès, déléguée générale de @La Handitech.Vous découvrirez que l'innovation inclusive n'est pas qu'une action philanthropique, mais bien un levier stratégique puissant pour les entreprises. Surtout dans un contexte de vieillissement de la population et de transformation des usages, cette approche s'avère incontournable. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
C'est l'intersaison mais comptez sur nous, on ne va pas raccrocher le vélo de l'automne et de l'hiver. Surtout que certaines équipes commencent déjà leurs stages de pré-saison avec leurs nouvelles forces vives ! Remco parti construire une armada chez Red Bull-Hansgrohe, Ayuso sorti de l'ombre de Pogi pour tenter de devenir un patron chez Lidl-Trek, Ineos-Grenadiers joue la carte française. Une équipe française, également, lui veut devenir une top team. Et Visma dans tout ça ? La hiérarchie mondiale des équipes va-t-elle être bousculée en 2026 ? C'est la question qui va nous animer aujourd'hui dans Grand Plateau ! Avec Georges Quirino, Pierre Koetschet, Yohan Bredow, Jérôme Coppel et Kevin Vauquelin Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Kevin Paugam
Discuté depuis 2021, le projet danois de location de places de prison au Kosovo pour y envoyer des criminels condamnés, originaires de pays non membres de l'Union européenne, prend petit à petit forme. Contre 200 millions d'euros, l'un des pays les plus riches d'Europe veut envoyer 300 prisonniers vers l'un des plus pauvres. Le Danemark, qui avait soutenu l'intervention de l'Otan en 1999 et l'indépendance du Kosovo, voit dans ce projet une coopération gagnant-gagnant. Mais sur place, le sujet divise. Surtout que ce genre de projets se multiplient dans des pays des Balkans, toujours tenus à la porte de l'UE. De notre correspondant à Gjilan dans le sud du Kosovo, La route goudronnée s'arrête à quelques dizaines de mètres des miradors. Perchée sur une colline sans arbres, juste au-dessus d'un village et de sa mosquée, la prison de Gjilan surplombe la deuxième ville du Kosovo. Une fois passé les portiques et les grilles de sécurité, le bruit des clés des gardiens résonne dans des couloirs particulièrement propres. Selon l'accord ratifié en 2024 à une large majorité par le Parlement, les prisonniers kosovars qui font aujourd'hui les 100 pas dans la prison de Gjilan devraient laisser la place à des détenus condamnés par la justice danoise, à 2 000 kilomètres du Kosovo. À lire aussiDanemark: premier accord pour envoyer 300 détenus dans une prison du Kosovo « C'est un mauvais accord » « Ces transferts de prisonniers ne concerneront pas les personnes condamnées pour extrémisme, extrémisme religieux ou terrorisme. Ce seront principalement des personnes condamnées à des peines de 5 à 10 ans de prison et originaires de pays tiers. On espère que cette collaboration sera un succès et un modèle pour d'autres pays », précise Ismaïl Dibrani, directeur général du système pénitentiaire du Kosovo. Les premiers détenus en provenance de Copenhague ne sont annoncés que pour avril 2027. Mais déjà, de nombreux pays comme la France ou la Belgique auraient demandé à pouvoir eux aussi louer des places de prison au Kosovo. À quelques kilomètres de la prison, le projet danois n'anime pas vraiment les conversations du centre piéton de Gjilan. Zarife Asllani en veut au gouvernement kosovar d'avoir signé un tel accord. Pour cette psychologue sociale de 38 ans, « c'est un mauvais accord. Nous ne sommes pas contre ces prisonniers. Mais ces 200 millions d'euros, cela aurait été mieux de les investir autrement au Kosovo ». À lire aussiEnvoyer ses détenus dans des prisons étrangères: une idée en vogue en Scandinavie Un geste de reconnaissance envers les États-Unis Comme plusieurs pays membres de l'Otan, le Danemark a soutenu l'indépendance et la construction du nouvel État kosovar. Les autorités de Pristina présentent cet accord comme un moyen de rembourser une dette historique et de conforter ses soutiens diplomatiques. Originaire de Gjilan, l'activiste Donika Emini dénonce une dérive honteuse. « Ces accords transforment les Balkans en dépotoir des pays riches, qui font ici ce qu'ils ne peuvent pas faire chez eux. C'est vraiment très problématique et hypocrite. Par exemple, dans le cas du Danemark, qui est un pays qui est toujours au sommet des classements internationaux pour son respect des droits humains. » À la demande de Washington, le Premier ministre kosovar, Albin Kurti, a également accepté d'accueillir 50 ressortissants latino-américains expulsés des États-Unis. Un geste de reconnaissance éternelle envers le principal soutien du Kosovo, mais qui n'a pour l'instant pas dépassé l'effet d'annonce.
Discuté depuis 2021, le projet danois de location de places de prison au Kosovo pour y envoyer des criminels condamnés, originaires de pays non membres de l'Union européenne, prend petit à petit forme. Contre 200 millions d'euros, l'un des pays les plus riches d'Europe veut envoyer 300 prisonniers vers l'un des plus pauvres. Le Danemark, qui avait soutenu l'intervention de l'Otan en 1999 et l'indépendance du Kosovo, voit dans ce projet une coopération gagnant-gagnant. Mais sur place, le sujet divise. Surtout que ce genre de projets se multiplient dans des pays des Balkans, toujours tenus à la porte de l'UE. De notre correspondant à Gjilan dans le sud du Kosovo, La route goudronnée s'arrête à quelques dizaines de mètres des miradors. Perchée sur une colline sans arbres, juste au-dessus d'un village et de sa mosquée, la prison de Gjilan surplombe la deuxième ville du Kosovo. Une fois passé les portiques et les grilles de sécurité, le bruit des clés des gardiens résonne dans des couloirs particulièrement propres. Selon l'accord ratifié en 2024 à une large majorité par le Parlement, les prisonniers kosovars qui font aujourd'hui les 100 pas dans la prison de Gjilan devraient laisser la place à des détenus condamnés par la justice danoise, à 2 000 kilomètres du Kosovo. À lire aussiDanemark: premier accord pour envoyer 300 détenus dans une prison du Kosovo « C'est un mauvais accord » « Ces transferts de prisonniers ne concerneront pas les personnes condamnées pour extrémisme, extrémisme religieux ou terrorisme. Ce seront principalement des personnes condamnées à des peines de 5 à 10 ans de prison et originaires de pays tiers. On espère que cette collaboration sera un succès et un modèle pour d'autres pays », précise Ismaïl Dibrani, directeur général du système pénitentiaire du Kosovo. Les premiers détenus en provenance de Copenhague ne sont annoncés que pour avril 2027. Mais déjà, de nombreux pays comme la France ou la Belgique auraient demandé à pouvoir eux aussi louer des places de prison au Kosovo. À quelques kilomètres de la prison, le projet danois n'anime pas vraiment les conversations du centre piéton de Gjilan. Zarife Asllani en veut au gouvernement kosovar d'avoir signé un tel accord. Pour cette psychologue sociale de 38 ans, « c'est un mauvais accord. Nous ne sommes pas contre ces prisonniers. Mais ces 200 millions d'euros, cela aurait été mieux de les investir autrement au Kosovo ». À lire aussiEnvoyer ses détenus dans des prisons étrangères: une idée en vogue en Scandinavie Un geste de reconnaissance envers les États-Unis Comme plusieurs pays membres de l'Otan, le Danemark a soutenu l'indépendance et la construction du nouvel État kosovar. Les autorités de Pristina présentent cet accord comme un moyen de rembourser une dette historique et de conforter ses soutiens diplomatiques. Originaire de Gjilan, l'activiste Donika Emini dénonce une dérive honteuse. « Ces accords transforment les Balkans en dépotoir des pays riches, qui font ici ce qu'ils ne peuvent pas faire chez eux. C'est vraiment très problématique et hypocrite. Par exemple, dans le cas du Danemark, qui est un pays qui est toujours au sommet des classements internationaux pour son respect des droits humains. » À la demande de Washington, le Premier ministre kosovar, Albin Kurti, a également accepté d'accueillir 50 ressortissants latino-américains expulsés des États-Unis. Un geste de reconnaissance éternelle envers le principal soutien du Kosovo, mais qui n'a pour l'instant pas dépassé l'effet d'annonce.
Un peu plus de six mois après le lancement de la bourse des matières premières agricoles, RFI se plonge dans ce système encore en phase pilote, censé fluidifier les transactions de trois produits : le maïs, la noix de cajou et la noix de cola. Concrètement, les échanges se fondent sur des « récépissés d'entreposage » censés garantir la traçabilité des marchandises et donc la transparence de la filière. Plongée dans ces entrepôts. De notre correspondant à Abidjan, C'est un trésor caché dans des dizaines de milliers de sacs en toile de jute empilés sur des palettes dans des hangars poussiéreux. À l'intérieur, 8 000 tonnes de noix de cajou. Joyce en est le gardien. Masque chirurgical sur le visage, ce gestionnaire d'entrepôt explique son métier : « Ça consiste à suivre un camion, une marchandise livrée par un fournisseur. C'est de vérifier que c'est stocké dans les normes. Le risque du produit est sur le compte du gestionnaire d'entrepôt, donc on tient compte de cela jusqu'à la sortie du produit. » En plus de services de manutention, la société de Joyce, Diaouné Frères, gagne 5 francs CFA par mois pour chaque kilo de noix de cajou gardé dans ses entrepôts homologués par l'Arré (Autorité de régulation des récépissés d'entreposage). Une affaire jugée rentable par la directrice générale de l'entreprise, pour qui ce système améliore la confiance des acheteurs. Surtout, Joyce émet les récépissés d'entreposage. Une carte d'identité de la marchandise où figurent, entre autres, le propriétaire, mais aussi le poids et la qualité du stock, certifiés par des contrôleurs agréés. À lire aussiDes avancées économiques et sociales grâce à l'amélioration du stockage en Afrique [2/2] Une mission : élargir le système d'entreposage à la filière cacao Le récépissé est aussi un titre de propriété, qui peut être négocié à la bourse des matières premières agricoles, voire utilisé comme un « gage » auprès des banques en vue de refinancer l'activité des producteurs. Pour Justin Koffi, directeur général de l'Arré, ce système commence à faire ses preuves. « Nous sommes aujourd'hui dans tous les entrepôts, à peu près à une vingtaine de milliards de francs CFA de transactions (30 millions d'euros). Donc ce système aussi a été mis en place dans le but d'installer des bourses physiques comme la bourse des matières premières agricoles qui a commencé par l'anacarde, le maïs, la cola. » Justin Koffi espère élargir le système d'entreposage à la filière cacao entre autres. « Ça permettra au producteur d'avoir une traçabilité réelle » Le docteur Henry Biego est directeur exécutif de l'Intercola, l'interprofession des producteurs et négociants de la noix de cola, dont la Côte d'Ivoire est l'une des principales productrices. Lui voit le système des récépissés d'entreposage comme une opportunité d'amélioration de la transparence de sa filière et un moyen d'atteindre des marchés au-delà de la seule Afrique de l'ouest, qui représente 90% des exportations ivoiriennes. « Ça permettra au producteur d'avoir une traçabilité réelle sur sa noix de cola depuis sa plantation, une idée du prix, de la cotation, et d'avoir une traçabilité sur le client éventuel. C'est vraiment de donner de la crédibilité et de la traçabilité au niveau de la filière, et au niveau étatique. Ça va également permettre d'avoir des spécifications au niveau de la qualité de ces noix, et en retour, de permettre aux producteurs de produire les noix pour ces marchés-là », développe-t-il. Aujourd'hui, la Côte d'Ivoire compte une dizaine d'entrepôts homologués d'une capacité totale de 33 000 tonnes. Près de 17 000 tonnes de produits y sont actuellement stockées, essentiellement de la noix de cajou (98%). À lire aussiCôte d'Ivoire: la filière de la noix de cajou, exemple de coopération entre Européens et Africains
Trois semaines après l'assassinat à Marseille de Medhi Kessaci, deux magistrats, un journaliste et une ancienne députée ont été placée sous protection policière. Cette ancienne députée c'est Sabrina Agresti-Roubache, qui a aussi été Secrétaire d'État à la Ville et à la Citoyenneté.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 2 décembre 2025 - Budget: c'est maintenant que tout se joue!Alors que les débats sur la fiscalité font rage au Parlement, un rapport publié ce lundi par le Conseil des prélèvements obligatoires, un organisme indépendant rattaché à la Cour des comptes, jette un nouveau pavé dans la mare de la taxation du patrimoine.Dès son préambule, les experts du CPO partent d'un constat déjà largement documenté par les études économiques : le patrimoine progresse plus rapidement que les revenus, et il se concentre entre les mains de peu d'individus. Ainsi, les 10 % les plus riches détiennent 60 % du patrimoine total. Surtout, 1 % de la population détient 27 % de la richesse nationale.En réponse, ils défendent la nécessité d'une refonte globale de l'imposition du patrimoine, dont le montant total a atteint 113,2 milliards d'euros en 2024, l'un des plus élevés des pays membres de l'OCDE. Pour cela, ils mettent sur la table deux scénarios pour taxer les plus hauts patrimoines. Ces derniers proposent notamment de taxer les holdings et les liquidités qui s'y trouvent lorsqu'elles sont restées longtemps intouchées, les biens professionnels au moment de la transmission, une refonte du pacte Dutreil ou encore la création d'un impôt différentiel sur la fortune personnelle, s'inspirant du principe de l'impôt plancher défendu par Gabriel Zucman. Par ailleurs, les hauts patrimoines ne seraient pas les seuls concernés. Selon les Sages de la rue Cambon, l'épargne réglementée, c'est-à-dire les Livrets A ou les livrets de développement durable et solidaire (LDDS), devrait être réduite. Ils préconisent aussi « un rapprochement plus marqué de l'imposition des locations meublées et non meublées », ainsi qu'une « diminution des droits de mutation à titre onéreux », aussi appelés frais de notaire.Autant de pistes préconisées par le Conseil des prélèvements obligatoires qui pourraient raviver les débats alors que les discussions sur le projet de loi de financement de la Sécu recommencent ce mardi dans l'hémicycle de l'Assemblée, pour une seconde lecture. Le Premier ministre a reçu lundi, à Matignon, les responsables socialistes. À l'orée de dix jours cruciaux, chacun fait monter la pression sur l'autre. Le patron d'Horizons, Édouard Philippe, ce mardi matin, a ouvert la voie à un vote contre ou une abstention lors du bureau politique de sa formation.En décembre 2024, c'est sur le budget de la Sécu que Michel Barnier était tombé. Un an après, un vote en bonne et due forme, semble extrêmement complexe et certains commencent à évoquer l'idée d'un éventuel recours au 49.3. Mais le Premier ministre, Sébastien Lecornu, l'avait annoncé début octobre, répondant à une exigence du Parti socialiste : il n'utilisera pas l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer les textes budgétaires à l'Assemblée nationale.Alors, le gouvernement pourrait-il finalement avoir recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter l'un de ses textes budgétaires ? Que se passe-t-il si l'Assemblée nationale n'adopte pas le budget ? Quelles conséquences pour les finances publiques et les entreprises ? La construction du budget 2026 inquiète nombre de chefs d'entreprise, dont certains sont confrontés à d'importants problèmes de trésorerie du fait des retards de paiement dans le secteur public, notamment du côté des collectivités territoriales. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs d'entre eux.Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Nathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique - Le Point - Louis HAUSALTER - Journaliste politique – Le Figaro- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue, maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po
C dans l'air du 2 décembre 2025 - Budget: c'est maintenant que tout se joue!Alors que les débats sur la fiscalité font rage au Parlement, un rapport publié ce lundi par le Conseil des prélèvements obligatoires, un organisme indépendant rattaché à la Cour des comptes, jette un nouveau pavé dans la mare de la taxation du patrimoine.Dès son préambule, les experts du CPO partent d'un constat déjà largement documenté par les études économiques : le patrimoine progresse plus rapidement que les revenus, et il se concentre entre les mains de peu d'individus. Ainsi, les 10 % les plus riches détiennent 60 % du patrimoine total. Surtout, 1 % de la population détient 27 % de la richesse nationale.En réponse, ils défendent la nécessité d'une refonte globale de l'imposition du patrimoine, dont le montant total a atteint 113,2 milliards d'euros en 2024, l'un des plus élevés des pays membres de l'OCDE. Pour cela, ils mettent sur la table deux scénarios pour taxer les plus hauts patrimoines. Ces derniers proposent notamment de taxer les holdings et les liquidités qui s'y trouvent lorsqu'elles sont restées longtemps intouchées, les biens professionnels au moment de la transmission, une refonte du pacte Dutreil ou encore la création d'un impôt différentiel sur la fortune personnelle, s'inspirant du principe de l'impôt plancher défendu par Gabriel Zucman. Par ailleurs, les hauts patrimoines ne seraient pas les seuls concernés. Selon les Sages de la rue Cambon, l'épargne réglementée, c'est-à-dire les Livrets A ou les livrets de développement durable et solidaire (LDDS), devrait être réduite. Ils préconisent aussi « un rapprochement plus marqué de l'imposition des locations meublées et non meublées », ainsi qu'une « diminution des droits de mutation à titre onéreux », aussi appelés frais de notaire.Autant de pistes préconisées par le Conseil des prélèvements obligatoires qui pourraient raviver les débats alors que les discussions sur le projet de loi de financement de la Sécu recommencent ce mardi dans l'hémicycle de l'Assemblée, pour une seconde lecture. Le Premier ministre a reçu lundi, à Matignon, les responsables socialistes. À l'orée de dix jours cruciaux, chacun fait monter la pression sur l'autre. Le patron d'Horizons, Édouard Philippe, ce mardi matin, a ouvert la voie à un vote contre ou une abstention lors du bureau politique de sa formation.En décembre 2024, c'est sur le budget de la Sécu que Michel Barnier était tombé. Un an après, un vote en bonne et due forme, semble extrêmement complexe et certains commencent à évoquer l'idée d'un éventuel recours au 49.3. Mais le Premier ministre, Sébastien Lecornu, l'avait annoncé début octobre, répondant à une exigence du Parti socialiste : il n'utilisera pas l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer les textes budgétaires à l'Assemblée nationale.Alors, le gouvernement pourrait-il finalement avoir recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter l'un de ses textes budgétaires ? Que se passe-t-il si l'Assemblée nationale n'adopte pas le budget ? Quelles conséquences pour les finances publiques et les entreprises ? La construction du budget 2026 inquiète nombre de chefs d'entreprise, dont certains sont confrontés à d'importants problèmes de trésorerie du fait des retards de paiement dans le secteur public, notamment du côté des collectivités territoriales. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs d'entre eux.Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Nathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique - Le Point - Louis HAUSALTER - Journaliste politique – Le Figaro- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue, maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po
Bienvenue dans ce nouvel épisode du Chantier ! Aujourd'hui on file tout droit dans le train jusqu'à Fontainebleau, pas très loin de Paris, pour découvrir la maison de Béatrice Laval, que vous connaissez peut-être comme la fondatrice de la marque de déco Le Monde Sauvage.Avec Béatrice, on a parlé de se lancer dans un projet travaux comme un grand projet à deux, un projet de couple, de commencer ses travaux par planter des arbres, de réunir deux maisons en une, de trouver le bon endroit pour un escalier, de plafond qui s'effondre, d'enduit chaux-chanvre, du plus gros challenge de cette rénovation et bien sûr de ma question préférée : comment construit-on un chez-soi ?J'avais aussi à coeur de découvrir la vision de la décoration de Béatrice, et notre conversation a été - pour moi - vraiment intéressante, j'espère qu'elle vous inspirera :)Vous pouvez découvrir la visite complète de la maison en photos sur www.lechantierpodcast.fr/85-chez-beatrice-laval, ainsi que les avant/après des travaux qui sont impressionnants, mais je ne vous en dis pas plus et je laisse place à l'histoire de la rénovation de Béatrice.*****NOTES DE L'ÉPISODE******- La visite en photos de la maison : www.lechantierpodcast.fr/85-chez-beatrice-laval- Le compte Instagram du podcast : @lechantierpodcast- Le compte Instagram de Béatrice : @lemondesauvageMerci à mon partenaire Schmidt, le premier fabricant français de meubles sur mesure expert de l'aménagement de toutes les pièces de la maison : cuisine, dressing, bureau, salle de bains, salon…Depuis plus de 65 ans, Schmidt mise sur son savoir-faire et sur des solutions pratiques et bien pensées pour créer avec vous des espaces plus fonctionnels, plus agréables à vivre et adaptés à vos besoins, et vous proposer des intérieurs fiables, bien conçus et durables.Alors si vous avez un projet d'aménagement sur mesure, courrez découvrir leurs solutions sur www.home-design.schmidt !Surtout que vous pouvez bénéficier, grâce au podcast, de -15% sur l'eshop de Schmidt www.shop.schmidt/ jusqu'au 28 février 2026 avec le code LECHANTIER15 !- Si vous aimez ce podcast, laissez 5 étoiles et votre avis en quelques mots sur Apple Podcasts ou Spotify, ça m'aide énormément
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
Quand Thomas Parrain reprend Marlette, ce coffee shop iconique de la rue des Martyrs, il ne reprend pas qu'un fond de commerce : il reprend une histoire, une communauté, une marque aimée. Surtout, il reprend un actif fragile à remettre à flot, un lieu à faire grandir, un héritage à honorer… en douceur.Ancien marketeur amoureux des bons produits, Thomas raconte la reprise comme on raconte un chantier minutieux : un audit express entre finances, RH et atelier de production, des montagnes russes émotionnelles, puis le « jour 1 », celui où tout est à faire… sans rien brusquer.Au menu de cet épisode☕ Le parcours de Thomas, de l'industrie agroalimentaire à la reprise d'un coffee shop.☕ Les coulisses de la reprise de Marlette, entre audit, dossier, tribunal et reprise express.☕ Comment analyser un dossier, se démarquer et gagner un appel d'offres,☕ Comment créer (ou recréer) des habitués et stimuler une communauté.☕ Ouvrir un deuxième lieu : ce qui change, ce qui surprend et ce qui ne s'anticipe jamais.☕ Et surtout : comment créer un café qui devient chez eux pour ceux qui y passent chaque matin.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les satellites d'aujourd'hui ne se contentent plus d'envoyer de simples signaux. Ils doivent désormais assurer des connexions directes avec nos smartphones, traiter des données par intelligence artificielle, observer la Terre en très haute résolution… Autant de missions toujours plus gourmandes en énergie. Or, dans l'espace, l'électricité reste une ressource rare. Les panneaux solaires atteignent leurs limites, et les agrandir alourdit considérablement les coûts et les lancements.Face à cette équation énergétique, une entreprise américaine avance une idée digne de la science-fiction : installer de véritables centrales solaires en orbite, capables d'envoyer de l'électricité sans fil aux satellites. Cette start-up, c'est Star Catcher Industries, qui rêve de créer, à terme, un « réseau électrique orbital ». Le principe est audacieux. Plutôt que de multiplier les panneaux embarqués, l'énergie serait produite dans l'espace par des fermes solaires et transmise vers les satellites via des faisceaux laser, directement dirigés sur leurs panneaux. Une approche encore expérimentale, mais qui vient de franchir une étape majeure.Star Catcher a récemment mené un essai au mythique Centre spatial Kennedy, aux États-Unis. Résultat : un nouveau record mondial de transmission d'énergie sans fil par laser. En utilisant des lasers à longueurs d'onde multiples et des panneaux solaires classiques, les ingénieurs ont réussi à transmettre 1,1 kilowatt de puissance. Ils dépassent ainsi le précédent record de 800 watts, établi en juin par Darpa. Si l'entreprise reste discrète sur la distance exacte et la durée du test, elle affirme avoir transféré plus de 10 mégajoules d'énergie, soit l'équivalent de près de 3 kilowattheures. Surtout, la quantité d'énergie reçue par les panneaux a été multipliée par dix. Preuve que la technologie commence à sortir du laboratoire.Point notable : la transmission a fonctionné avec des panneaux solaires similaires à ceux utilisés en orbite aujourd'hui. Mieux encore, cette énergie a permis de recharger le véhicule lunaire de Intuitive Machines. Une démonstration prometteuse, notamment pour les missions sur la Lune, où les nuits durent… deux semaines. Une éternité sans Soleil pour les équipements. Prochaine étape désormais : une démonstration directement dans l'espace, annoncée pour 2026. Si elle est concluante, Star Catcher pourrait bien transformer en profondeur la manière dont les satellites s'alimentent, et ouvrir une nouvelle page de l'infrastructure énergétique spatiale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un ancien chroniqueur sportif radio devenu DG du club de golf Lac St-Joseph: Dan Pou raconte son virage, ses défis et s'arrête sur les sujets brûlants du sport d'aujourd'hui. Un épisode punché où se multiplient les anecdotes et les histoires sur sa carrière radio! Du plaisir.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Nouveauté : Brieuc lance une lettre hebdomadaire : Adaptable(s). Abonnez-vous pour recevoir des outils, principes et retours d'expériences pour permettre aux dirigeantes et dirigeants d'entreprises d'anticiper les risques, notamment physiques, du 21ème siècle.Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Bonjour à toutes et à tous ! Mon papa me disait hier que je ne pouvais pas imaginer à quel point la société restait bloquée en 2025. Les premiers ministres à votre époque semblaient se succéder encore plus vite que les tempêtes graves ou les sécheresses, c'est une prouesse tout de même, vous l'avouerez, mais malheureusement, rien n'était anticipé.Alors pourtant, il me dit que dans les entreprises, les gens étaient persuadés que leur business model allait changer, mais rien ne changeait réellement. Mais alors, heureusement, les exemples d'entreprises qui anticipaient justement les tendances et les baisses d'activité à venir, elles existaient.Elles ont pu voir leur activité même perdurer, ici, en 2035. Je vous l'accorde, ce n'est pas du tout facile, mais pourtant, il existe quand même des réflexes à avoir, à adopter. Surtout quand la prise de conscience du besoin de changer, elle, s'est manifestée. C'est pour essayer justement de changer la donne et permettre aux entreprises de faire mieux, avec moins, dans un monde incertain, que mon papa a créé, à votre époque, la newsletter Adaptable.Alors, Adaptable, finalement, qu'est-ce que c'est ? C'est tout simplement une newsletter pour permettre aux dirigeants et dirigeantes d'anticiper les risques dans leur activité.De quoi vous aider à surfer sur les vagues actuelles et à venir. Alors si vous êtes curieux et curieuses, parce que je vous connais, rendez-vous ici, pour vous inscrire et vous aussi apprendre à faire mieux avec moins, dans un monde incertain.Il y a un peu de lecture, alors je vous souhaite justement une bonne lecture et à une prochaine fois.Joséphine, depuis 2035. Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier Ramé remet en lumière un concept immobilier souvent méconnu : le bail emphytéotique, un mécanisme issu du droit romain qui vient bousculer notre rapport à la propriété. En prenant l'exemple de Londres où l'on achète fréquemment un logement pour 30, 40 ou 99 ans, il démontre qu'il n'est pas toujours nécessaire de posséder « l'éternité » de son appartement. Surtout quand, en France, on reste en moyenne moins de dix ans dans son logement.Une vision plus moderne, plus flexible et plus en phase avec la réalité des grandes villes françaises.Un éclairage passionnant sur une autre manière de penser la propriété, à découvrir dans l'épisode complet.
Voici l'épisode 84 avec Tiphaine, qui du haut de ses 23 ans, vient de passer une année à... rénover une maison ! On a parlé de faire ses études à HEC, de prendre une année de césure pour mener à bien un projet travaux, d'acheter une maison avec son papa, de créer une SCI, de poser des moulures avec son papi, d'ouvrir un restaurant dans une roulotte, de passer des journées et des journées seule dans une maison à faire des travaux (le kiff !), de se lancer le défi de faire une vidéo par jour pour YouTube, de peinture à motifs effet papier peint... Mais aussi de trouver chacun sa place quand on rénove en famille, et de ses conseils pour que tout se passe au mieux dans ce genre de situations ! Tiphaine vous partage aussi ses bonnes adresses travaux, et fait le bilan d'une année hors normes, comme une parenthèse enchantée et bien méritée au cœur de ses études supérieures. J'ai adoré l'histoire du Tiphaine et du Quatre Feuilles, puisque c'est le nom qu'elle a donné à cette maison devenu un gîte, et j'espère que cet épisode va vous plaire aussi !Vous pouvez retrouver la visite complète de la maison en photos, et les avant/après des travaux sur www.lechantierpodcast.fr/84-chez-tiphaine. Mais je ne vous en dis pas plus, et je laisse place à l'histoire de la rénovation de Tiphaine. Bonne écoute !*****NOTES DE L'ÉPISODE******- La visite en photos de la maison : www.lechantierpodcast.fr/84-chez-tiphaine- Le compte Instagram du podcast : @lechantierpodcast- Le compte Instagram de Tiphaine : @lequatrefeuilles- Sa chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@lequatrefeuillesMerci à mon partenaire Schmidt, le premier fabricant français de meubles sur mesure expert de l'aménagement de toutes les pièces de la maison : cuisine, dressing, bureau, salle de bains, salon…Depuis plus de 65 ans, Schmidt mise sur son savoir-faire et sur des solutions pratiques et bien pensées pour créer avec vous des espaces plus fonctionnels, plus agréables à vivre et adaptés à vos besoins, et vous proposer des intérieurs fiables, bien conçus et durables.Alors si vous avez un projet d'aménagement sur mesure, courrez découvrir leurs solutions sur www.home-design.schmidt !Surtout que vous pouvez bénéficier, grâce au podcast, de -15% sur l'eshop de Schmidt www.shop.schmidt/ jusqu'au 28 février 2026 avec le code LECHANTIER15 !- Si vous aimez ce podcast, laissez 5 étoiles et votre avis en quelques mots sur Apple Podcasts ou Spotify, ça m'aide énormément
durée : 00:09:51 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - L'écrivain René Barjavel est mort il y a 40 ans. Surtout connu pour ses romans d'anticipation, il a beaucoup travaillé sur les excès de la technologie. Après avoir été mis en retrait du paysage littéraire pour ses positions réactionnaires, son œuvre est relue de manière différente aujourd'hui. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Guillaume Compte Doctorant en littérature à l'Université Jean Moulin Lyon 3
Voici une comédie cultissime qui expose les manigances dʹun producteurs véreux et de son comptable qui montent une comédie musicale à Broadway. Ce film, Les Producteurs, The Producers, est signé Mel Brooks. Il sort en 1968 et fait un four. Cʹest lʹantithèse de ce qui se passe dans lʹhistoire où les producteurs cherchent à monter un spectacle qui sera un échec total pour empocher lʹargent de lʹassurance et des vieilles dames qui ont prêté leur pécule pour le monter. Mais cette comédie musicale improbable, intitulée Le Printemps dʹHitler, Springtime for Hitler, sera un succès phénoménal. Dʹabord choqué, le public voit un Hitler, poussé à lʹextrême dans la caricature, mener une campagne armée musicale de fort mauvais goût. Tout y passe, croix gammée faite par une quadrille de danseuses et danseurs et jeunes femmes avec costume de Bretzel ou de bière. Surtout, il faut dire que Zero Mostel et Gene Wilder sont absolument géniaux, campant qui le Max Bialystock, le Producteur, et qui Leopold Bloom, son timide comptable. Dans la vraie vie, le film qui raconte cette histoire nʹest pas bien reçu même si Mel Brooks a remporté l'Oscar du meilleur scénario original pour ce film en 1969. Mais petit à petit, à force de passages dans les salles, et à la télévision, il conquiert le monde. Jusquʹà ce quʹà lʹaube des années 2000, Mel Brooks nʹadapte ses Producteurs en comédie musicale, à Broadway…et là….là….cʹest lʹexplosion. Jamais une comédie musicale nʹaura reçu autant de prix, autant dʹéloges. Depuis, Les Producteurs sont entrés dans la légende. Et cʹest celle-ci que nous allons vous raconter aujourdʹhui. Ne tardons pas. Max Bialystock a rendez-vous avec une mécène octogénaire, en même temps quʹavec son comptable et son destin. REFERENCES The making of The Producers - Australia https://www.youtube.com/watch?v=QMrU-MEFllI MEL BROOKS présente son film à la télévision https://www.youtube.com/watch?v=uV8dXxpWUmI Le Making of du film https://www.youtube.com/watch?v=QMrU-MEFllI BROOKS, Mel, "All About Me ! My remarkable Life in Show Business", Ballantine Books, 2021
Si le président américain s'en tenait à ce brouillon de nouveau plan de paix, il se renierait une nouvelle fois. Surtout, et c'est bien plus gênant à ses yeux, il courrait à l'échec.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Le Cabinet Immobilier Martin lance le colocationnage entre commerces. Mais ça ne se passe pas tout à fait comme prévu. Surtout entre un restaurant et une salle de sport.
Dans les salles d'opération ou chez le dentiste, il y a une chose que l'on remarque sans toujours y penser : les lampes ne projettent pas d'ombre. Pourtant, elles éclairent intensément. Ce miracle d'ingénierie lumineuse a un nom : la lumière scialytique — du grec skia (ombre) et lytikos (qui dissout). Autrement dit, une lumière “qui supprime les ombres”.Les lampes scialytiques ont été conçues pour un besoin vital : offrir aux chirurgiens un champ visuel parfait, sans zones obscures. Dans une opération, la moindre ombre portée peut masquer un vaisseau, une lésion ou une aiguille, avec des conséquences graves. Le défi était donc de créer une lumière à la fois puissante, uniforme et sans ombre, ce qu'aucune ampoule ordinaire ne permet.Le secret réside dans leur architecture optique. Une lampe scialytique n'est pas une source unique, mais un ensemble de dizaines de petits faisceaux lumineux, orientés sous des angles légèrement différents. Chacun éclaire la zone opératoire depuis un point distinct. Ainsi, lorsqu'un obstacle — la main du chirurgien, un instrument, ou la tête d'un assistant — intercepte un faisceau, les autres prennent immédiatement le relais et comblent la zone d'ombre. Résultat : aucune ombre nette ne se forme, même en mouvement. C'est ce qu'on appelle la superposition des lumières.De plus, ces lampes utilisent une lumière blanche froide, reproduisant fidèlement les couleurs naturelles des tissus humains. Cela permet de distinguer précisément les structures anatomiques, ce qui serait impossible avec une lumière trop jaune ou trop bleue. Cette neutralité chromatique est obtenue grâce à un spectre lumineux continu, proche de celui du soleil, mais sans chaleur excessive — pour ne pas dessécher les tissus ou gêner les praticiens.La plupart des scialytiques modernes reposent aujourd'hui sur la technologie LED. Ces diodes, très efficaces, consomment peu, chauffent moins que les halogènes et offrent une longévité remarquable. Surtout, elles permettent d'ajuster la température de couleur et l'intensité lumineuse selon le type d'intervention.En résumé, si les lampes d'hôpital ne créent pas d'ombre, c'est parce qu'elles ne se comportent pas comme une simple ampoule, mais comme une constellation de mini-soleils. Chaque faisceau compense les autres, formant un éclairage parfaitement homogène. Ce dispositif ingénieux transforme la lumière en alliée invisible des chirurgiens — un outil aussi essentiel que le bistouri lui-même. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Devenir parent, c'est un vrai défi : il faut jongler entre le travail, les tâches domestiques, et l'arrivée d'un bébé… Surtout quand on est une femme. Pour alléger cette charge, l'Assemblée nationale a adopté le 12 novembre 2025, un tout nouveau “congé supplémentaire de naissance”. Conçu comme un véritable soutien pour les jeunes parents. Le but de ce congé est de permettre aux parents d'être davantage présents dès les premières semaines de vie de leur enfant et favoriser un partage plus équilibré des responsabilités au sein du couple. Quels seront les effets de cette mesure ? En matière de rémunération, quel dispositif sera mis en place durant ce congé ? À partir de quelle date cette mesure entrera-t-elle en vigueur ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Qu'est-ce que la parentalité paresseuse, cette méthode d'éducation surprenante ? Sommes-nous condamnés à reproduire les schémas amoureux de nos parents ? Pourquoi faudrait-il attendre 2167 pour obtenir l'égalité salariale entre hommes et femmes ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les résultats des courses de running affichent-ils deux temps différents : le temps réel et le temps officiel. Mais pourquoi ? J'ai répondu en live à cette question à l'arrivé de ma dernière course à une personne débutante en course à pied qui était perplexe devant la feuille de résultat. Donc j'ai décidé de vous donner l'explication aussi. Surtout qu'il y a des subtilités.Liens :Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolekm42Le Programme FlowFit (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitkm42Rejoindre le Hamsters Running Club : https://km42.soulier.xyz/hrcTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/389A l'arrivée de ma dernière course, des personnes regardent les résultats affichés sur les panneaux et observent deux colonnes de temps : une colonne « temps réel» et une colonne « temps officiel». Et leur question : mais pourquoi on a un temps différent ? Et d'ailleurs pourquoi deux temps . Cet épisode répond à ces questionsDans cet épisode Comment sont chronométrées les courses en running et trailLe principe des puces et des tapis de mesureA quoi correspond le temps réel ou « chip time »A quoi correspond le temps officiel ou « Gun Time »Quel est le temps à prendre en compteQuelle est la différence entre classement scratch et temps officielPourquoi le temps réel est plus juste que le temps officielQuel est le temps pris en compte dans les classementsPourquoi le temps réel est important pour les qualifications sur les championnats ou des grands marathonsPourquoi le temps officiel sur une course comme le marathon de Paris n'a aucun intérêt pour nousPourquoi le sas de départ choisi dans une course avec plusieurs sas n'a aucun impact sur notre temps réelNouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
10 ans après les attentats de Paris, le terrorisme islamiste reste une menace mondiale. Mais son influence s'étend particulièrement en Afrique, surtout au Sahel où les jihadistes tentent de progresser vers les pays du golfe de Guinée. Comment vivez-vous cette menace ? Quel est l'impact sur votre quotidien ? Comment votre pays peut-il relever le défi sécuritaire ?
Une étude surprenante montre que les requêtes les plus impolies adressées à ChatGPT produisent des réponses plus précises. Une découverte contre-intuitive sur le pouvoir du ton et du langage face à l'IA.Quand l'impolitesse devient un atoutSelon une étude de l'Université de Pennsylvanie, parler sèchement à ChatGPT améliorerait ses performances. Les chercheurs Om Dobaria et Akhil Kumar ont testé cinquante questions sur le modèle GPT-4o, reformulées du ton le plus courtois au plus brutal. Résultat : les requêtes les plus rudes obtiennent 84,8 % de bonnes réponses, contre 80,8 % pour les plus polies. Une différence modeste mais réelle, détaillée dans le rapport disponible sur arXiv.Une question d'attention et de clartéLes chercheurs avancent plusieurs explications. Les formulations polies dilueraient l'attention du modèle : trop de mots périphériques comme « s'il te plaît » ou « pourrais-tu » dispersent le sens. À l'inverse, un prompt direct va droit au but : « Résous ce problème » plutôt que « Peux-tu m'aider à résoudre ce problème ? ». Cette concision renforce la focalisation de l'IA sur sa tâche.Défier l'IA, ça marcheAutre hypothèse : la rudesse agirait comme un défi cognitif. Face à une tournure provocante – « Si tu n'es pas complètement à côté de la plaque, réponds à ceci » – le modèle basculerait dans un mode plus compétitif, optimisant sa recherche de précision. Une attitude qui rappelle, ironiquement, le comportement humain face à la pression.N'insultez pas pour autant les IA !Les chercheurs insistent : inutile de devenir désagréable avec vos robots. L'expérience portait sur un échantillon limité et un seul modèle. Surtout, la clé ne serait pas la méchanceté, mais la clarté syntaxique et la concision. Et pour la santé mentale collective, mieux vaut préserver un climat bienveillant, même à l'ère des machines.-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
Invités : - Georges Fenech, ancien magistrat. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Chirinne Ardakani, avocate spécialisée dans la défense des droits humains, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Louise : J'aimerais trop aller tester ce petit salon de thé dont je t'ai parlé !Julien : Mouais, tu sais, les boissons chaudes, c'est pas forcément mon truc... Surtout le thé...Louise : Rien t'oblige à en prendre un... Par contre, toutes les super pâtisseries qu'il y a là-bas, ça devrait te plaire !Julien : Ah, bah, s'il y a à manger plein de sucreries, tu sais que je ne peux pas refuser ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Mentez pas, je sais que vous aimez bien les cold case. Du coup, j'ai ce qu'il vous faut ! Bon, il date d'il y a 5000 ans certes, mais est-ce que ça rajoute pas encore plus d'intérêt à l'affaire ? Surtout qu'il y a plein de rebondissements, je ne me moque pas de vous !Bonne écoute !
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !
Fini les chatbots un peu secs qui répondent à côté. Trois ans après la sortie de Chat GPT, bonjour les amis virtuels, les doubles numériques et les clones de votre moi. Vous êtes débordés ? Demandez à votre clone de faire le boulot pour vous et même, de vendre à votre place. Vous êtes déprimé parce que vous avez perdu votre emploi, remplacé par une IA ? Trouvez du réconfort auprès d'un coach virtuel. C'est la promesse des intelligences artificielles génératives. Surtout, ces scénarios ne relèvent plus complètement de la science-fiction.En Chine, le géant de la tech Baidu crée des clones d'humains qui vendent des produits en ligne. Et partout dans le monde, des adultes et des enfants interagissent avec des agents conversationnels, plus ou moins experts. De plus en plus de voix s'élèvent contre l'apparence humaine de ces systèmes, leur anthropomorphisme, qui peut aider, mais aussi nous faire dérailler. Cette semaine, l'Etat de Californie aux Etats-Unis a adopté la première loi qui réglemente les applications faisant office d'amis ou compagnons artificiels après des suicides d'adolescents liés à des interactions avec ces agents selon leurs proches. Ils devront notamment clairement expliquer que leurs contenus sont non humains. Nous vous proposons un tour d'horizon du sujet, préparé avec Thomas Urbain, journaliste de l'AFP qui suit l'IA depuis New York et Agatha Cantrill reporter de l'AFP à Shanghaï. Intervenants : Dara Ladjevardian, co-fondateur de la start up Delphi.ai Michal Luria, du Centre pour la démocratie et la technologie à Washington, spécialiste des interactions homme-machine, Mark Daley, Professeur et responsable de l'IA à l'université Western en Ontario au Canada, Robert Mahari, Directeur associé du centre CodeX à l'université de Stanford en Californie. Doublages : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon, Delphine Thouvenot, Sébastien Castéran, Thierno Touré, Elouan Blat. Réalisation : Michaëla Cancela-Kieffer avec Emmanuelle Baillon et Maxime Mamet. La Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.