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C dans l'air
"Dôme d'or" : Trump relance la guerre des étoiles - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 23, 2025 63:28


C dans l'air du 23 mai 2025 : "Dôme d'or" : Trump relance la guerre des étoilesUn "dôme d'or", reposant sur un réseau de satellites capables d'intercepter des missiles jusque dans l'espace : tel est le projet titanesque porté par Donald Trump pour renforcer la défense des États-Unis d'ici la fin de son mandat."Une fois opérationnel, le Golden dome pourra intercepter des missiles, même s'ils sont tirés depuis l'autre bout de la planète ou depuis l'espace", a déclaré le président des Etats-Unis mardi, lors d'un briefing médiatisé depuis le Bureau ovale.Le secrétaire à la Défense a ensuite précisé que le système visait à protéger le territoire américain contre toute attaque de missiles – qu'ils soient de croisière, balistiques, hypersoniques – ainsi que de drones, qu'ils soient armés de charges conventionnelles ou nucléaires.Ces annonces marquent un tournant dans la militarisation de l'espace, longtemps considérée comme un tabou. Elles suscitent scepticisme et inquiétudes. Les experts jugent le calendrier irréaliste, et le budget annoncé – 175 milliards de dollars – largement sous-estimé. Certains spécialistes estiment que le coût réel pourrait être multiplié par dix, vingt, voire trente. Certains redoutent déjà que ce Dôme d'or ne se transforme en "passoire dorée".L'Amérique se dirige-t-elle vers un "Dôme de fer" à l'image d'Israël ? Que recouvre précisément ce dôme d'or voulu par Trump ?Le projet rappelle le programme avorté de "guerre des étoiles" de l'ancien président Ronald Reagan, en 1983, à savoir le bouclier spatial qui devait détecter les missiles balistiques russes, et qui n'a jamais été mis au point. Mais les Soviétiques n'avaient pas pu suivre, à l'époque, cette course à l'armement, et cela avait marqué le début de la fin pour l'URSS. Surtout, le point commun entre les projets de Donald Trump et de Ronald Reagan, c'est une démonstration de force qui relance la course aux armements, impliquant cette fois une militarisation de l'espace et, potentiellement, la fin de la dissuasion nucléaire.Un "Dome d'or" qui symbolise aussi un recentrage des États-Unis sur eux-mêmes, alors que les négociations sur la guerre en Ukraine peinent à aboutir. Lors d'un appel avec des dirigeants européens, Donald Trump a admis que Vladimir Poutine ne cherchait pas la paix, convaincu de pouvoir encore remporter le conflit. Il a toutefois écarté toute nouvelle sanction contre Moscou.Dans le même temps, Donald Trump a pris ses distances avec Benjamin Netanyahu, en pleine tourmente internationale et confronté à une contestation grandissante en Israël.Ce vendredi, le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé a appelé l'État hébreu à mettre un terme aux opérations militaires à Gaza, avertissant que plus de deux millions de personnes y sont "en danger de mort imminente".LES EXPERTS :- Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- Anne BAUER - Grand Reporter, en charge des questions spatiales et de défense – Les Echos - Laurence NARDON - Chercheure - Responsable du programme Amériques de l'IFRI, Institut Français des Relations Internationales- Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- Caroline BRUNEAU ( en duplex) – Journaliste Industrie – Aérospatium

True Story
Shiny Flakes, le plus jeune baron de la drogue : premières erreurs et colis perdus (3/4)

True Story

Play Episode Listen Later May 23, 2025 12:11


Bienvenue dans les Fabuleux Destins. Cette semaine, en quatre épisodes, nous allons vous raconter l'histoire de Maximilian Schmidt, alias Shiny Flakes, l'adolescent devenu millionnaire avec le plus gros site de vente de drogues en Allemagne. Un énorme business qui laisse des traces, suivies petit à petit par la police locale. Entre pilules colorées, boîtes aux lettres et cryptomonnaies, découvrez son fabuleux destin. Premières erreurs et colis perdus Aucune méthode n'est parfaite, même pas celle de Shiny Flakes. Les services postaux ont beau être assez peu surveillés, l'erreur est humaine : que ce soit le facteur ou Maximilian lui-même, quelqu'un se trompe parfois d'adresse pour envoyer ou livrer le courrier. Surtout quand on subit la fatigue de gérer seul une centaine de commandes par jour. Mais rien de bien grave pour Shiny Flakes : les colis sont récupérés dans les bureaux de poste, et disparaissent dans une pile de paquets perdus. Ou, au pire, ils sont confisqués par la police locale. Le problème, c'est que deux enveloppes on été trouvées par une jeune femme en juin 2014 et ont confirmé les doutes des agents de Leipzig. Même emballage, même petit paquet de bonbons… Il y a bien un réseau de livraison de drogue en Allemagne. Le commissariat transmet alors sa découverte à l'échelon d'au-dessus : la police criminelle de l'Etat fédéré de la Saxe. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : ⁠[INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : combat contre l'Apocalypse (1/4)⁠⁠ ⁠⁠[INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : la bombe mentale (2/4)⁠⁠ ⁠⁠[INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : massacres et sauvetages (3/4)⁠⁠ ⁠⁠[INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : l'ennemi public des braconniers (4/4)⁠ Un podcast Bababam Originals Ecriture : Théo Sire Production : Bababam (montage Gilles Bawulak) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Invité Afrique
Rencontre Trump-Ramaphosa: «L'Afrique du Sud souhaite mettre sur la table ses atouts économiques pour réparer cette relation»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 21, 2025 9:26


À part leur passion commune pour le golf, il n'y a pas beaucoup d'atomes crochus entre l'États-Unien Donald Trump et le Sud-Africain Cyril Ramaphosa. Surtout depuis que le président américain a accusé l'Afrique du Sud de commettre un « génocide » contre les fermiers blancs afrikaners. Mais ce mercredi, les deux chefs d'Etat vont se rencontrer à la Maison Blanche. Donald Trump et Cyril Ramaphosa vont-ils être capables de trouver un terrain d'entente sur Gaza et sur les tarifs douaniers ? La chercheuse de l'International Crisis Group, par ailleurs Sud-Africaine, Liesl Louw,  est notre invitée. RFI : Quelle est la vraie raison du raidissement des Américains contre l'Afrique du Sud ? Est-ce que c'est le sort des fermiers blancs afrikaners ou est-ce que c'est la plainte pour génocide que Pretoria a déposé contre Israël devant la Cour internationale de Justice ?Liesl Louw : Ce qui est sûr, c'est que la plainte contre Israël a beaucoup contribué à cette dégradation. Et puis aussi, depuis le début de 2022, le fait que l'Afrique du Sud ne voulait pas ouvertement condamner la Russie pour l'invasion de l'Ukraine et son insistance depuis aussi de vouloir être neutre dans ce conflit, l'Afrique du Sud étant membre des BRICS, etc. Donc il y a le conflit en Ukraine et puis sa ferme opposition à ce que fait Israël à Gaza.Et alors, sur cette question palestinienne que l'Afrique du Sud défend depuis la fin de l'apartheid, est-ce que vous pensez que Cyril Ramaphosa va lever le pied dans les prochaines semaines pour essayer de calmer le jeu avec Donald Trump?Moi, je pense que, politiquement, il ne va pas lever le pied. Il y a un large consensus en Afrique du Sud, même au sein de cette coalition du gouvernement d'unité nationale, pour condamner Israël. D'accord, il y a des nuances. L'Alliance démocratique, donc le parti de l'opposition qui fait partie du gouvernement aujourd'hui, n'a pas soutenu le procès à La Haye. Mais l'opposition de l'Afrique du Sud contre Israël a une popularité assez large. Je ne pense pas que c'est quelque chose que Cyril Ramaphosa va ouvertement changer dans cette position pro-palestinienne.À lire aussiAfrique du Sud: des diplomates aux États-Unis pour apaiser les tensions entre les deux paysDepuis le début de l'invasion de l'Ukraine il y a trois ans, l'Afrique du Sud a renforcé ses liens avec la Russie, notamment via les BRICS. Elle s'est aussi rapprochée de la Chine et de l'Iran. Est-ce que Cyril Ramaphosa n'a pas intérêt à rééquilibrer sa politique internationale s'il veut voir Donald Trump lors du sommet du G20 en novembre prochain en Afrique du Sud ?Oui, et je pense que ça, c'est vraiment l'enjeu diplomatique de cette rencontre. Parce que Ramaphosa, il faut se souvenir, à la fin du mois d'avril, il a invité Zelensky à Pretoria. Même si c'est très complexe, parce que l'Afrique du Sud, quand même, est un membre des BRICS. La Chine étant son plus grand partenaire économique. Et il y a encore très récemment des ministres du Congrès national africain (ANC) qui sont allés en Russie rencontrer Vladimir Poutine à Moscou. Donc, ce n'est pas facile de jouer les non-alignés.Sur le plan économique, les Américains sont le deuxième partenaire commercial de l'Afrique du Sud à qui ils achètent beaucoup de voitures et beaucoup de produits agricoles. Si demain Donald Trump augmente les taxes douanières de 30 %, comme il en a agité la menace le mois dernier, est-ce que cela ne risque pas de ruiner beaucoup d'agriculteurs et beaucoup d'ouvriers agricoles ?Oui, absolument. Ça, c'est vraiment la vraie raison pour cette visite et pour l'Afrique du Sud qui a un taux de chômage de 32 %. Et si encore, dans certaines zones où il y a des grandes fabriques d'automobiles, ces usines venaient à fermer, des dizaines de milliers de gens pourraient perdre leur travail et cela aggraverait le taux de chômage. Donc l'agriculture, le secteur automobile sont absolument clé pour l'Afrique du Sud.À lire aussiAfrique du Sud: les premiers «réfugiés» blancs afrikaners partis pour les États-UnisLe porte-parole de la présidence sud-africaine a évoqué il y a quelques jours un éventuel accord avec les États-Unis dans le domaine des terres rares et des métaux stratégiques comme le manganèse. Est-ce que ce serait une façon d'amadouer le président américain par un deal à la façon Volodymyr Zelensky ?Oui, absolument. Et depuis quelque temps, nous regardons de près où sont les terres rares. L'Afrique du Sud est un grand pays minier, bien sûr, et l'Afrique du Sud a des ressources stratégiques : manganèse, platine, chrome. Mais en ce qui concerne les terres rares, l'Afrique du Sud n'est pas un grand producteur de terres rares. Donc, depuis quelque temps, des économistes, des diplomates, tout le monde réfléchit, même dans les médias. Il y a énormément de débats autour de ce que l'Afrique du Sud peut offrir. Comment réparer cette relation qui est extrêmement importante, même s'il y a des choses où l'Afrique du Sud et les États-Unis ne sont pas d'accord ? La question d'Israël, par exemple. Mais pour réparer cette relation très importante, l'Afrique du Sud souhaite mettre sur la table ses atouts économiques.

Les Grandes Gueules
Le réalisme du jour - Rémi, policier national : "Il n'y a aucun outil législatif qui protège nos collègues. Ce pays est fait pour les délinquants. Moi, je dis à mes gars d'arrêter les chasses, surtout des deux-roues" - 20/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 20, 2025 1:50


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Mourad Boudjellal et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le Bret du Faux
"Le fion : une spécialité très consommée et surtout réputée" - Le petit monde d'Antoni

Le Bret du Faux

Play Episode Listen Later May 20, 2025 3:03


Tout savoir de l'actualité people et média, c'est tous les jours à 7h35, avec Antoni Ruiz sur RFM !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

CISM 89.3 : Les criquets crinqués
Les criquets crinqués : Mi-mai en folie

CISM 89.3 : Les criquets crinqués

Play Episode Listen Later May 20, 2025


Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.

Les Grandes Gueules
La fourberie du jour - Zohra Bitan : "C'est une vaste hypocrisie. Retailleau parle comme Zemmour. Ils disent tous la même chose, surtout sur l'immigration. Il y a même des gens de gauche qui parlent comme Knafo ou Retailleau" - 19/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 19, 2025 1:10


Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Chronique Economique
Immobilier 2025 : la Wallonie s'envole, Bruxelles s'enlise

Chronique Economique

Play Episode Listen Later May 19, 2025 4:07


Pourquoi les acheteurs fuient-ils Bruxelles pour s'installer en Wallonie ? Et comment une ristourne fiscale peut faire grimper les prix ? Dans sa chronique Amid Faljaoui décrypte les coulisses d'un marché immobilier. Le marché immobilier bruxellois patine. Selon les grands réseaux immobiliers, les ventes dans la capitale ont reculé de 10 % depuis janvier. Dans le viseur : des droits d'enregistrement toujours fixés à 12,5 %, quand la Wallonie les a abaissés à 3 % et la Flandre à 2 %. À cela s'ajoute l'absence de gouvernement régional, près d'un an après les élections, qui entretient l'incertitude. Pendant ce temps, en Wallonie, c'est l'euphorie : les ventes ont augmenté de 12% sur les quatre premiers mois de 2025. Pendant ce temps, en Wallonie, c'est l'euphorie : les ventes ont augmenté de 12 % sur les quatre premiers mois de 2025. Mais si la région attire, elle commence aussi à surchauffer. En effet, le prix moyen d'une maison wallonne a bondi de 17,8 % au premier trimestre. La fiscalité allégée aurait donc été absorbée, voire dépassée, par la hausse des prix. Résultat : on paie moins d'impôts, mais bien plus cher pour le bien. Au final, le chèque est plus salé qu'auparavant. Certains, comme le député Écolo Freddy Mockel, tirent parti de ce constat et parlent carrément d'un échec pour la classe moyenne. Selon lui, les vendeurs s'enrichissent, tandis que les jeunes continuent de peiner à accéder à la propriété. Du côté du gouvernement wallon, à l'origine de la baisse des droits d'enregistrement, on temporise. Alors que révèle cette situation ? Une réalité simple : le marché immobilier est une bête capricieuse. Il réagit aux signaux fiscaux, mais aussi à la politique, à la peur et à l'inaction. À Bruxelles, c'est l'attente qui domine. En Wallonie, l'effet d'aubaine profite avant tout aux plus rapides — et souvent aux plus aisés. Les réformes fiscales déplacent les déséquilibres plus qu'elles ne les corrigent. Surtout, elles rappellent une chose essentielle : pour acheter, il ne suffit pas d'une ristourne. Il faut un cap, une politique claire et un minimum de confiance dans l'avenir. Et à Bruxelles, aujourd'hui, ce n'est pas la brique qui est en crise, c'est la confiance. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invité de la mi-journée
Israël pilonne Gaza: «C'est du terrorisme d'État qu'on subit»

Invité de la mi-journée

Play Episode Listen Later May 19, 2025 9:42


Israël a annoncé ce lundi son intention de prendre le contrôle de toute la bande de Gaza, où au moins 52 Palestiniens ont été tués dans les bombardements incessants de son armée sur le territoire dévasté par la guerre selon les secours. Comment vit-on et comment survit-on à Gaza ? Entretien avec le journaliste Rami Abou Jamous, témoin de l'enfer de Gaza, triple lauréat du prix des correspondants de guerre de Bayeux. RFI : Vous et votre famille, comme la quasi-totalité des habitants de Gaza, vous avez dû fuir à plusieurs reprises. Aujourd'hui, où vivez-vous et dans quelles conditions ? Rami Abou Jamous : Aujourd'hui, on est de retour au nord, on est dans notre appart, dans Gaza-ville, et on vit comme les 2,3 millions de Palestiniens qui vivent un massacre et des boucheries tous les jours. Surtout la semaine dernière ou depuis cinq jours à peu près, exactement quand Trump a commencé à faire sa visite dans les pays du Golfe, et Netanyahu apparemment voulait montrer au monde entier que ce n'est pas Trump qui décide surtout après la libération du prisonnier israélo-américain Edan Alexander, et c'est une guerre sans pitié. Du coup, ils ont intensifié les bombardements. Tous les jours, il y a plus de 100 morts, chaque jour, et surtout la nuit. L'intensification des bombardements, c'est au nord de la bande de Gaza, dans le quartier de Beit Lahya, et aussi à l'est de la ville de Khan Younès. Là, on va voir qu'ils ont demandé l'évacuation de toute la ville de Khan Younès. Les habitants de Khan Younès, ils sont à peu près 500 000, avec des déplacés de la ville de Rafah, qui sont obligés de quitter la ville parce que ça a été occupé totalement par les Israéliens. Et donc, on parle à peu près entre 600 et 700 000 personnes qui doivent évacuer. Et justement, c'est cette situation qui créé la panique, la peur chez les gens.Et surtout maintenant, les déclarations sont bien claires. Avant, le vrai but de la guerre était d'éradiquer le Hamas, libérer les prisonniers. Aujourd'hui, on le voit clairement, c'est déplacer 2,3 millions de personnes pour les faire virer de Gaza à l'étranger. Même Smotrich, ce matin, le ministre des Finances du gouvernement d'extrême droite israélien, le dit et le répète, il faut que toute la population de Gaza parte. Et pour aboutir à ce but-là, c'est la famine et c'est le bombardement 24 sur 7, et surtout l'incursion terrestre avec la nouvelle opération des « chariots de Gédéon ». Et malheureusement que des massacres et que de la terreur, c'est vraiment du terrorisme d'État qu'on est en train de subir avec une armée qui ne fait pas de distinction. À l'heure où je vous parle, il y a une école qui a été bombardée, on parle de sept morts. Et malheureusement aussi, il y a une maison de la famille Al Koukh qui a été bombardée, il y a cinq minutes, au centre-ville de Gaza et on parle jusqu'à présent de sept personnes qui ont été tuées suite à cette frappe. Et encore, il y en a encore beaucoup qui sont toujours sous les décombres parce qu'il n'y a pas les moyens de les faire sortir.  À lire aussi«On ne voit pas la finalité politique de ce massacre, si ce n'est de vider la bande de Gaza», selon Agnès LevalloisIl n'y a plus de secouristes, il n'y a plus d'hôpitaux ? Des secouristes existent, mais malheureusement, il n'y a pas de matériel parce que le matériel a été bombardé. Tout ce qui est bulldozer et matériel lourd a été bombardé par l'armée israélienne. Et donc maintenant, ce qu'ils font pour faire sortir les gens de sous les décombres, c'est avec les mains et les pieds, avec les marteaux, avec des haches, et vraiment de façon manuelle, parce qu'il n'y a pas le matériel pour le faire. Et malheureusement, il y a des centaines de personnes qui sont toujours sous les décombres depuis le premier jour de la guerre jusqu'à présent, faute de moyens et faute qu'ils sont toujours dans des zones qui sont occupées par l'armée israélienne dont on ne peut pas avoir accès, malheureusement ils sont toujours sous les décombres, et avec des conditions de vie très dures, la famine s'est presque implantée, on est dans la malnutrition. Aujourd'hui, le chef de l'OMS dit que deux millions de personnes sont affamées à Gaza. Vous le notez dans l'un des articles que vous publiez pour le média Orient 21. Vous, vous l'avez observé, la famine s'installe déjà ? Oui. Ce n'est pas que je l'ai observée, on la vit. Nous, on est un peu dans la malnutrition parce que moi, j'ai quelques moyens pour acheter un peu de farine. La dernière fois, j'ai acheté le sac de farine de 25 kilos à 1 000 €. Mais la majorité de la population de Gaza n'a pas cette possibilité-là. Toute la population de Gaza dépend d'aides humanitaires et, malheureusement, cette aide humanitaire n'entre pas depuis plus de 70 jours. La population de Gaza dépend aussi de ce qu'on appelle des cuisines communautaires, les takiyas. Et ces quelques takiyas qui restent à fonctionner, elles ont été bombardées plusieurs fois par l'armée d'occupation. Malgré ça, on voit tous les jours les gens, les enfants, des femmes, qui font la queue juste pour avoir au meilleur des cas un plat de lentilles parce qu'à part les boîtes de conserves et les lentilles, il n'y a rien à manger.Moi, personnellement, en ayant les moyens, on a droit juste à deux plats, une pita de pain, un le matin et un le soir pour moi et ma femme, on laisse un peu pour les enfants parce qu'il n'y a pas suffisamment de farine. Là, aujourd'hui, on a pu acheter, mais après on ne peut pas savoir si on peut acheter ou pas, et surtout un seul plat. Et nous, on a de la chance de ne pas passer par les takiyas. Donc, un seul plat, on fait des boîtes de conserve, mais la majorité de la population, ils sont dans la famine. Surtout les enfants, ils sont les plus vulnérables, ils n'arrivent pas à avoir à manger. Les gens, ils sont sur-épuisés, que ce soit physiquement ou moralement ou psychologiquement, à cause de la famine, à cause des bombardements 24 sur 7, à cause des déplacements à chaque fois. Là, vous avez mentionné qu'il y a deux heures, trois heures, ils ont fait un appel d'évacuation de toute la ville de Khan Younès, mais malheureusement, ces gens-là, ils sont dans la panique, ils ne savent pas quoi faire. Il y en a beaucoup qui ont pris la décision de rester parce qu'ils savent qu'il n'y a pas un endroit sûr et que surtout dans la carte qui a été diffusée pour l'évacuation, ils demandent aux gens d'aller à al-Mawasi. Al-Mawasi avant, l'armée d'occupation utilisait le mot humanitaire, aujourd'hui, il ne l'utilise plus parce que justement, c'est plus humanitaire, c'est bombardé 24 sur 7. La semaine dernière, tous les bombardements, tous les raids, toutes les frappes israéliennes, ils étaient sur cette zone-là, sur les tentes des déplacés. À lire aussiGuerre à Gaza: l'isolement diplomatique d'Israël est «très grave» selon Denis CharbitLes gens reçoivent des messages d'évacuation, mais pour aller où ? Justement, il n'y a pas un endroit. Déjà, il n'y a pas un endroit pour s'abriter parce que toutes les zones plus au nord considérées sûres ont été bombardées. Au début, les gens, ils allaient dans les hôpitaux en croyant que c'est un endroit sûr et qu'ils avaient la protection du droit international humanitaire, qu'ils ne vont pas viser les hôpitaux, ça a été bombardé, ça a été attaqué. Les écoles de l'Unrwa en considérant que les Nations unies, c'est un peu cher, donc on ne peut pas y aller, ou bien viser les établissements de l'Unrwa, agence onusienne, et malheureusement ça a été bombardé, ça a été attaqué. La zone humanitaire où les Israéliens prétendent que l'on peut s'installer en sécurité, malheureusement, ce n'est pas le cas, c'est bombardé 24 sur 7. Et surtout, il n'y a pas d'endroit, il n'y a pas de place. Les écoles sont pleines, les hôpitaux pareils. Les gens, ils sont dans la rue. Et quand je dis dans la rue, c'est vraiment dans la rue. Il y a eu ceux qui ont de la chance, ils ont une tente qu'ils ont amenée avec eux parce qu'ils se sont déplacés plusieurs fois. Il y en a d'autres qui mettent des bâches, il y en a d'autres qui mettent quelques draps, il y en a d'autres qui passent la nuit dans des voitures. Donc, des conditions de vie « Gazastrophiques », c'est une catastrophe, du jamais vu qu'à Gaza. Et tout ça, sous des bombes 24 sur 7. Est-ce que vous, vous avez déjà envisagé de partir ? Non, non. Nous, on a reçu un ordre d'évacuation il y a trois jours pour notre quartier, le quartier de Al Iman Sud. On était plusieurs, on était sur les réseaux sociaux, il y avait la carte publiée par l'armée d'évacuation de ce quartier, et moi, j'ai pris cette décision de rester, mais je ne suis pas le seul, il y a la quasi-totalité de nos voisins, ils ont pris la même décision. Déjà parce qu'on ne sait pas où aller. Deuxièmement, on a vécu l'expérience de ces déplacements, c'est de la pure humiliation et surtout que maintenant, même si on veut aller au sud, ce sud-là, il est la cible de frappes israéliennes depuis presque 20 jours et c'est 24 heures sur 7. Donc, on s'est dit, on va rester, on assume, et là, on est resté. On va affronter notre sort avec un peu de courage parce qu'il n'y a pas un endroit où partir. Pour le moment, tant qu'il n'y a pas de soldats sur le sol autour de nous, on a pris cette décision, mais le jour où on va être encerclé comme ça s'est passé avec nous au mois de novembre 2023, on était obligé de partir, parce que sinon ça allait être un suicide, mais là pour le moment, on a pris une décision de rester. 

Travelling - La 1ere
Le journal de Bridget Jones (Bridget Jones's Diary), Sharon Maguire, 2001

Travelling - La 1ere

Play Episode Listen Later May 18, 2025 56:04


Aujourdʹhui jʹarrête de fumer, jʹarrête de boire, je fais du sport, je fais un régime, jʹarrête mon régime et surtout jʹarrête de faire des listes et je relis le Journal de Bridget Jones. Bridget Jonesʹs Diary, le Journal de Bridget Jones, est une comédie britannique réalisée par Sharon Maguire, sortie en 2001. Cʹest lʹadaptation cinématographique réussie du bestseller, le roman du même nom dʹHelen Fielding, publié lui en 1996. A lʹécran, Hugh Grant, utilisé à contre-emploi dans le rôle dʹun salaud séducteur et infidèle, Colin Firth en anglais morose et discret et surtout Renée Zellweger en Bridget Jones. Oui, une Américaine, une Texane qui plus est, qui incarne lʹAnglaise la plus pulpeuse du moment, voilà de quoi créer un mini scandale Outre-Manche. Mais la comédienne américaine se donne à fond, prend du poids, apprend à se comporter comme une anglaise, et ça marche. Crédible, elle rallie tous les suffrages et fait de cette comédie romantique un classique. Classique, le mot nʹest pas trop fort, car en 2001, chacune et chacun peut se retrouver dans ce personnage un peu pataud, qui rêve de grand amour comme une midinette tout en assumant un côté femme forte. Surtout, elle navigue courageusement dans sa trentaine entre désillusions amoureuses, régimes, boulot, parents envahissants et amitiés débordantes. Saura-t-elle maitriser le chaos de sa vie affective, et celui quʹelle provoque systématiquement, cʹest là tout lʹenjeu du livre et du film. Véritable phénomène de société, le Journal de Bridget Jones est un coup de maitre, le passage réussi dʹun livre à lʹécran. Entre 2001 et 2002, le films est sélectionné 40 fois dans divers festivals et remportera 8 récompenses trouvant ainsi sa place dans lʹhistoire du cinéma. Ne reste plus quʹà nous plonger dans le quotidien hilarant et déprimant de Bridget en comptant les mégots, les calories, les verres dʹalcool et les amants. REFERENCES Interview de lʹéquipe en 2001 https://www.youtube.com/watch?v=c1OwssmRRBY Le Journal de Bridget Jones, Universal Pictures, octobre 2001, Notes de production du film. Adaptation du journal de Bridget Jones https://www.dailymotion.com/video/xfed57

Reportage Afrique
Afrique du Sud: le pittoresque quartier de Bo-Kaap menacé par le sur-tourisme et la gentrification

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later May 18, 2025 2:15


Le tourisme et la gentrification permettent souvent de revitaliser des quartiers, mais ils sont aussi parfois une menace pour leur identité, et pour le confort de leurs habitants. En Afrique du Sud, dans la ville du Cap, le quartier de Bo-kaap en fait les frais. Ses petites maisons colorées à flanc de colline ravissent les usagers d'Instagram et autres visiteurs. Une situation de plus en plus difficile à tenir pour les habitants. Après plusieurs années de lutte, ils viennent d'obtenir que les bus touristiques ne soient plus autorisés à entrer dans le quartier. De notre envoyée spéciale au Cap,Ruelles pavées à flanc de colline, le quartier de Bo-Kaap, « au-dessus du Cap » en afrikaans, a des allures de village, en plein cœur de la métropole d'Afrique du Sud. Un village aux mille couleurs, avec ses petites maisons roses, vertes, bleues qui font la joie des touristes comme Nadira. « Qui ne voudrait pas venir ici ? C'est vraiment joli pour faire des photos. C'est une attraction touristique, donc il fallait vraiment qu'on passe par ici », s'enthousiasme-t-elle.Chaque jour, une foule de visiteurs envahit les ruelles étroites du petit quartier. Un succès difficile à gérer pour les habitants. « C'est très beau ici et on comprend tout à fait que les gens veulent venir et prendre des photos. Le problème, c'est le manque de respect qui vient avec. Certains touristes pensent qu'en venant ici, ils peuvent faire tout ce qu'ils veulent. Qu'il s'agisse d'ouvrir le portail de quelqu'un et de monter le perron pour prendre une photo. Ou de demander à un habitant : "est-ce que vous pouvez rentrer dedans parce que je veux une photo de votre maison ?" », s'indigne Jacky Poking, résidente et activiste.Les résidents viennent d'obtenir l'interdiction pour les bus touristiques de circuler dans les ruelles, après des années à le réclamer. Descendante des esclaves malais, cette communauté à majorité musulmane est installée ici depuis des générations et y a fondé la première mosquée du pays. Elle a développé de nombreuses traditions, menacées aujourd'hui par la gentrification. « Nos tarifs, comme l'eau et l'électricité, augmentent d'année en année. Il devient donc très difficile pour les habitants de rester dans le quartier, même s'ils le souhaitent. Surtout les personnes âgées. Souvent, ceux qui ont vendu ces dernières années l'ont fait parce qu'ils n'arrivaient plus à payer », se désole Jacky Poking.De plus en plus de maisons sont rachetées par des investisseurs, constate Zaki Harris, habitant et guide touristique. « Dans ces rues principales, une maison sur deux est habitée par un Sud-Africain. Entre les deux, on trouve des Airbnb et d'autres locations à court terme. Des maisons qui restent vides la moitié de l'année », regrette-t-il. Zaki milite pour un tourisme plus soucieux des traditions, et qui profite davantage à la communauté, qui pour l'instant en perçoit peu les retombées. « Si nous ne promouvons pas un meilleur tourisme, il sera beaucoup plus difficile pour nos enfants de pouvoir garder le lien avec leur patrimoine culturel », estime-t-il. Difficile pour la petite communauté de résister aux assauts de la ville. Elle n'a pas réussi à empêcher la construction d'un immeuble de six étages en bordure du quartier.À lire aussiAfrique du Sud: le télévangéliste Timothy Omotoso à nouveau arrêté dans une affaire d'immigration

Zeteo
Éric de Kermel : Les femmes disent ce que les hommes taisent

Zeteo

Play Episode Listen Later May 17, 2025 68:45


Éric de Kermel est journaliste, écrivain et éditeur. Il est l'auteur d'une dizaine de romans où la présence de la nature et des jardins reflète l'engagement important de sa vie pour la cause écologique. Éric de Kermel nous invite ici à un voyage à la fois géographique et intérieur. Dans son nouveau roman, L'archipel de Claire, il nous mène à la découverte de l'île enchanteresse de Bréhat. Avec les femmes qui sont les personnages de son récit, il nous mène à la rencontre de figures marquantes, aux profils dont la dimension psychologique, humaine, poétique et spirituelle touchera autant les auditrices que les auditeurs. Ce désir d'une île, inscrit quelque part en chacun de nous, il est celui de Claire. À Bréhat, elle a trouvé le lieu qui lui a permis d'accepter l'épreuve du deuil, de se reconnaître fragile, de savoir se mettre à distance, avant de se relever et de se reprendre. Sur l'île de Bréhat, Claire est psy, elle aide ses patientes à défaire les pelotes emmêlées de leurs vies pour les retricoter plus librement. La géographie d'une île se prête sans doute mieux au travail de guérison des âmes et des corps. Elle offre le contact d'une nature belle et généreuse, la protection de la mer, et l'absence des bruits et des lumières de la ville. Les couleurs sont très présentes dans l'univers d'Éric de Kermel. En particulier celles de la nuit. Libérée des éclairages nocturnes, elle permet aux étoiles et aux nuages d'exercer leurs bienfaits sur le cœur des hommes. « Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, c'est en plongeant dans son obscurité ». Cette citation de Carl Jung employée par Éric de Kermel illustre le travail de Claire, qui écoute les nuits, attend leurs révélations, parce qu' « elles ont ce silence que n'ont pas les jours ». Autour de Claire, l'archipel est composé d'autres femmes dont Sidonie, boulangère et libraire, passionnée par l'alchimie de la fabrication du pain, et Aëlwenn, ethnologue attirée et tiraillée en même temps par la puissance merveilleuse du vivant. L'Archipel de Claire est un hymne à la guérison. Il va au cœur de l'âme humaine, en explorant aussi les mystères des secrets de famille, de leurs poids, et de la possibilité de s'en libérer grâce à une démarche de psychanalyse transgénérationnelle. En choisissant des femmes comme héroïnes de son livre, Éric de Kermel poursuit cette conviction que leur profondeur, leur disponibilité et leur lien immédiat avec le vivant font d'elles les premières médiatrices de la guérison et de révélation de la beauté de la vie. Pour faire face aux enjeux, aux épreuves, aux souffrances et aux maladies, Éric de Kermel invite à vivre au quotidien ce qui l'anime : « Se lever chaque jour prêt à embrasser ce qui vient, l'attraper à bras le cœur, à bras le corps. Parfois lutter, s'adapter, faire avec, espérant par-dessus tout s'émerveiller jusqu'au bout ». Et il ajoute : « La seule promesse qui ne cesse de tenir la vie, c'est de multiplier les imprévus. » Pour lire L'archipel de Claire, le livre de Éric de Kermel, cliquer ici. LES UNS AVEC LES AUTRES  Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Les semaines se suivent, les épisodes actuels de Zeteo sont tous reliés par un fil inattendu. Depuis la rencontre avec Sandrine Chenivesse au début de cette année, certains de nos invités ont évoqué en profondeur l'importance de nos histoires familiales. N'avons-nous pas tous dans nos histoires familiales des figures marquantes dont l'empreinte a influencé des générations ? Oubliés dans les plis du temps, il y a souvent aussi des drames ou des accidents qui ont été cachés. Pour libérer nos âmes et nos cœurs des douleurs psychologiques et morales de la vie, le recours si nécessaire à la psychanalyse est souvent insuffisant. Éric de Kermel pointe du doigt ses limites. Surtout, Il révèle les perspectives d'une approche transgénérationnelle : « La seule interrogation des conditions de notre enfance ne suffit pas à éclairer les greniers de notre âme, remonter plus loin à la recherche de la mémoire imprimée dans nos cellules comme dans notre esprit. » À son tour, après Sandrine Chenivesse, Charles Wright et Jean-Philippe de Tonnac, Éric de Kermel nous invite à explorer nos histoires familiales. À la clé, une libération. Pour les vivants, le moyen de sortir de schémas de l'échec, de destinées pré-écrites. Et, peut-être aussi, pour les défunts qui attendent notre démarche pour partir en paix. Nous souhaitons à tous de pouvoir rencontrer cette paix personnelle qui va avec l'apaisement des relations familiales. Cette démarche transgénérationnelle a des effets inattendus. Comme l'écrit encore Éric de Kermel, « il y a toujours un effet domino quand un secret est mis en lumière. » Il y a d'autres liens, que beaucoup appelleraient des synchronicités, qui ont rapproché les invités cités ici et Zeteo. Nous allons continuer de les suivre dans les semaines et les mois qui viennent. Nous rendons grâce pour ces semaines passées ensemble, les lumières apportées par nos invités, et l'apaisement qui émane tellement d'eux. Nous rendons grâce pour ce chemin de Zeteo qui continue, qui emprunte parfois des sentiers inattendus, et tellement libérateurs ! Nous rendons grâce pour tous nos auditeurs, pour leurs messages si souvent bouleversants. Nous rendons grâce pour tous nos donateurs. Particulièrement ceux qui ont effectué un don récemment. Et ceux qui vont les rejoindre aujourd'hui et demain, si Dieu le veut ! Nous rendons grâce pour cette aventure vécue tous ensemble, les uns avec les autres. Nous avons tous besoin des autres, nous ne pouvons pas avancer les uns sans les autres, et nous sommes tous appelés à nous reconnaître, nous pardonner, et nous aimer sans limites, Fraternellement, Guillaume Devoud  Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ).   Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. 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CISM 89.3 : Les criquets crinqués
Les criquets crinqués : Banane Lagacé

CISM 89.3 : Les criquets crinqués

Play Episode Listen Later May 13, 2025


Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.

Rav Yossi Amar - ETORAH
Emor: Et si ton amour, c'était surtout ton besoin d'aimer à tes conditions ?

Rav Yossi Amar - ETORAH

Play Episode Listen Later May 13, 2025 62:59


Emor: Faire le bien, vraiment ? Pour l'autre ou pour ton ego en quête d'applaudissements ? Tu donnes de toi… ou tu t'achètes un beau rôle ? Et si ton “amour” n'était qu'un caprice bien emballé ? Au fond, qui nourris-tu quand tu donnes : l'autre… ou ton besoin d'être celui qui fait le bien ?

Les Grandes Gueules
Le wokisme du jour - Evelyne Thomas - "La télé n'était pas mieux avant. La télé ose juste moins, surtout dans un monde woke. On vit avec notre temps. Il y a plus de liberté aujourd'hui avec Internet." - 12/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 12, 2025 1:54


L'animatrice de l'émission de talk show mythique "C'est mon choix" durant les années 2000. Evelyne Thomas donne son point de vue sur la télé d'aujourd'hui dans les GG.

Legal Club Sandwich
Talk #84 : Avocat pénaliste : les coulisses d'un métier sous haute tension !

Legal Club Sandwich

Play Episode Listen Later May 12, 2025 54:09


Quelle est la plus belle spécialité du droit ?Pour l'invité du nouvel épisode du @legal Club Sandwich, c'est le droit pénal !Nos trois enthousiastes chroniqueurs, Audrey Déléris, Lyndia Lesauvage et Pierre Landy, reçoivent @Karim Beylouni, avocat pénaliste au Barreau de Paris, co-fondateur du Cabinet BG2V, pour lever le voile sur un métier singulier qui déchaîne parfois les passions !Karim Beylouni parle de son parcours, de son goût pour l'art oratoire, de son quotidien intense, de ses clients les plus marquants et aussi de son approche en tant que pénaliste : défendre des présumés innocents et, avant tout, des humains !Surtout, il répond à LA question que « tout le monde » se pose : comment défendre quelqu'un que l'on sait coupable ?Une émission passionnante à découvrir immédiatement !

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi la forteresse de Mimoyecques a-t-elle menacé Londres ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later May 11, 2025 2:22


La forteresse de Mimoyecques, située dans le Pas-de-Calais, fut construite par l'Allemagne nazie durant la Seconde Guerre mondiale dans le but de mener une attaque massive contre Londres. Ce site souterrain, dissimulé dans une colline près de la Manche, devait abriter une arme aussi redoutable que révolutionnaire : le canon V3. Contrairement aux V1 (missiles volants) et V2 (premiers missiles balistiques), le V3 était un supercanon conçu pour frapper la capitale britannique à très longue distance, sans possibilité de riposte.L'objectif stratégique de la forteresse était clair : infliger à Londres des bombardements constants, à raison de plusieurs centaines d'obus par jour, dans l'espoir de briser le moral de la population et de forcer le Royaume-Uni à capituler. Pour cela, les ingénieurs allemands développèrent un système complexe de canons à chambres multiples. Le principe consistait à utiliser une série de charges explosives réparties le long du tube du canon, qui s'enclenchaient en séquence pour accélérer progressivement un projectile de 140 kg. La portée estimée atteignait 165 kilomètres — suffisante pour toucher le cœur de Londres depuis Mimoyecques.Le site fut choisi pour sa proximité avec la côte anglaise et pour ses caractéristiques géologiques favorables : le sous-sol crayeux permettait le creusement de galeries profondes, à l'abri des bombardements. Plusieurs galeries inclinées furent creusées pour accueillir les tubes du V3, avec un réseau logistique impressionnant de bunkers, de casemates et de voies ferrées souterraines.Mais le projet prit du retard en raison de difficultés techniques. Les premiers tests révélèrent des problèmes de stabilité et de précision. Surtout, les Alliés furent rapidement alertés du danger que représentait Mimoyecques grâce à des photos aériennes et des informations fournies par la Résistance française. La Royal Air Force lança plusieurs bombardements en 1944, dont l'un particulièrement efficace le 6 juillet, utilisant les bombes "Tallboy", capables de pénétrer profondément dans le sol. Une frappe frappa directement un puits de lancement et tua de nombreux ouvriers allemands, compromettant gravement le projet.L'invasion de la Normandie, en juin 1944, scella définitivement le sort de Mimoyecques. Avant même d'être opérationnel, le site fut abandonné. Le V3 ne tirera jamais sur Londres.En résumé, la forteresse de Mimoyecques a menacé Londres car elle représentait une base de lancement pour une arme conçue spécifiquement pour bombarder la ville de manière continue. Elle incarne une des tentatives les plus ambitieuses de la guerre psychologique et technologique menée par le régime nazi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Afrique Économie
Trois ans après la CAN, Garoua fait les comptes

Afrique Économie

Play Episode Listen Later May 8, 2025 2:33


Une partie de la CAN 2022 s'est jouée dans le septentrion du Cameroun. Ce fut un véritable défi organisationnel pour la ville, qui a dû se transformer pour accueillir l'événement, notamment en matière d'infrastructures sportives et hôtelières. Trois ans après, Garoua, la capitale du Nord, en tire-t-elle encore les bénéfices ? De notre envoyée spéciale à Garoua, Au marché de Garoua, les vendeurs attendent patiemment les clients devant leurs étals. Sidiki a été fier de voir la CAN se dérouler dans sa ville, mais il affirme n'avoir tiré aucun bénéfice de cet événement.« Même pas un peu ! Même pas un tout petit peu ! Avant, on achetait un litre d'huile à 1 000 francs CFA, avec la CAN, le prix est monté à 1 500 francs CFA. Alors qu'on la fabrique ici ! », s'énerve le jeune homme. « On est en colère, mais au Cameroun, on reste ici seulement. On n'y peut rien ».Même son de cloche du côté d'Abdoulaye : « La CAN ? Je ne vois pas. Surtout moi, par exemple, je ne vois rien. Les gens souffrent au Cameroun, surtout les jeunes. Des routes ont été réaménagées dans la ville, on peut le reconnaître, oui. Mais pour aller à Ngaoundéré, avant, c'était quatre heures. Maintenant, il faut neuf heures. C'est un problème. Et du côté de l'extrême Nord, c'est encore pire ».Cependant, le projet CAN a entraîné des changements notables dans la physionomie de la ville. Un hôtel 4 étoiles imposant, le Ribadou, a vu le jour. Il dispose de 85 chambres, dont une suite présidentielle, et a permis l'embauche d'environ une centaine de personnes. Beaucoup étaient sceptiques quant à la viabilité d'un établissement de ce standing dans la région.De nouvelles appétences pour Garoua« La CAN a rendu la ville un peu plus attractive, ce qui favorise le tourisme d'affaires et les balades touristiques. Je crois que ce qui était difficile est désormais plus facile », explique Alain Mathieu Mvilongo, directeur général de l'hôtel.« Je peux même dire que je suis très satisfait par rapport aux attentes de ma maison mère. On nous avait demandé un taux de remplissage de 37%, nous sommes à 57%. Je pense qu'il faut quand même s'en féliciter », se réjouit-il.Pour Abdoul Bagui, directeur de l'urbanisme de la communauté urbaine de Garoua – et ancien directeur des services techniques à l'époque de la CAN – il ne fait aucun doute que la capitale du Nord bénéficie encore des retombées.« Après la CAN, la ville a connu une évolution presque exponentielle. Ce n'était pas prévu. On pensait atteindre environ 900 000 habitants en 2025, mais aujourd'hui, on est au-delà du million. C'est énorme », insiste-t-il.« Avant, la valeur foncière dans la ville tournait autour de 2 500 à 3 000 francs CFA le mètre carré. Aujourd'hui, elle oscille entre 10 000 et 20 000 francs CFA. Des constructions sortent de terre chaque jour. Cela signifie qu'il y a beaucoup de nouveaux arrivants, et que l'économie locale se porte bien ».Grâce à ce développement, le budget de la municipalité a doublé, selon lui. Garoua cherche désormais à améliorer son système de traitement des déchets et prévoit de développer un réseau de transport urbain à l'aide de bus électriques. Le chômage des jeunes demeure toutefois un défi majeur.À lire aussiBilan de la CAN 2022: ce qu'il faut retenir de cette édition au Cameroun

TOPFM MAURITIUS
VIH à Maurice hausse alarmante des cas, surtout chez les jeunes

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later May 8, 2025 1:30


VIH à Maurice hausse alarmante des cas, surtout chez les jeunes by TOPFM MAURITIUS

Les Grandes Gueules
Barbara Lefebvre : "Il y a une haine de l'enseignant, surtout quand on est une prof un peu autoritaire. Pendant 15 ans, quand les enseignants étaient victimes de violences, il fallait se taire" - 06/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 6, 2025 2:12


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.

CISM 89.3 : Les criquets crinqués
Les criquets crinqués : Byebye Jagmeet!

CISM 89.3 : Les criquets crinqués

Play Episode Listen Later May 6, 2025


Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.

Les histoires de 28 Minutes
L'ADN environnemental / Ingérences électorales en Europe : la Russie coupable ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later May 5, 2025 46:25


L'émission 28 minutes du 05/05/2025 L'ADN environnemental, la révolution qui aide à protéger les espèces menacéesBenjamin Allegrini est le directeur de l'entreprise Spygen, qui se spécialise dans la collecte et le traitement de l'ADN environnemental (ADNe). L'ADNe est une prouesse scientifique qui permet de cartographier la biodiversité d'un milieu à partir d'un simple prélèvement : nul besoin de mener une investigation invasive qui peut endommager des écosystèmes fragiles. Surtout, l'étude de l'ADNe permet de dresser une liste quasi-exhaustive de toutes les espèces d'un milieu, animales ou végétales. Une innovation scientifique qui s'impose progressivement, avec son lot de réflexions que Benjamin Allegrini aborde dans "L'ADN fantôme. Quand l'invisible laisse des traces" (aux éditions Les Liens qui Libèrent). Épaulé par Alain Damasio et Vinciane Despret, l'auteur nous fait découvrir un nouveau champ des possibles. Ingérences dans les élections en Europe : la Russie, coupable incontestable ?Dimanche 4 mai, le candidat d'extrême droite imprégné de l'idéologie trumpiste George Simion s'est offert un billet pour le second tour de l'élection présidentielle roumaine. Avec plus de 40 % des suffrages, il devance de loin son adversaire, le libéral et pro-européen Nicusor Dan, qui n'a réuni que 21 % des voix. En décembre 2024 déjà, un candidat d'extrême droite, Calin Georgescu, s'était démarqué à la surprise générale jusqu'à ce que la Cour constitutionnelle roumaine invalide le résultat du premier tour, après des soupçons d'ingérence russe dans l'élection. Ces ingérences inquiètent de plus en plus l'Europe. Le 17 avril, le service diplomatique de l'Union Européenne alertait sur l'élection présidentielle polonaise, dans la "ligne de mire" des services russes. Mais la Russie n'est pas la seule à se soucier des élections en Europe. Alors que les renseignements allemands assurent que l'idéologie de l'AfD n'est "pas compatible avec la démocratie", c'est cette fois-ci l'administration Trump qui vole au secours de l'extrême-droite allemande, notamment par la voix du chef de diplomatie américaine Marco Rubio qui dénonce une "tyrannie déguisée". Quelle marche peut suivre l'Europe face à ces multiples ingérences ? Enfin, Xavier Mauduit nous parlera des tempêtes de grêle au Moyen Âge, quand les tempestaires faisaient la pluie le beau temps. Marie Bonnisseau se rend aux funérailles de Skype, ancêtre de Zoom et autres Microsoft Teams… la fin d'une époque !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 5 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Le Podcast Des Établissements Médico-sociaux
# 144 - Alicia RENAUX - Tarification des ESSMS : reprendre la main sur ses finances

Le Podcast Des Établissements Médico-sociaux

Play Episode Listen Later May 4, 2025 41:32


Dans cet épisode, je discute avec Alicia RENAUX, consultante et formatrice spécialisée en gestion budgétaire dans le secteur médico-social (Elle travaillait dans un Département !). Ensemble, nous faisons le point sur les enjeux concrets que rencontrent les établissements dans la négociation de leur budget.Nous commençons par rappeler le rôle des tarificateurs : Agence Régionales de Santé et Conseil Départementaux, souvent méconnu ou réduit à la simple répartition d'enveloppes. En réalité, leur mission est aussi d'accompagner les structures, de vérifier la cohérence financière et d'aider à défendre les projets portés par les établissements.Alicia nous explique comment mieux préparer ses demandes : un projet clair, structuré, chiffré et en lien avec les objectifs d'accompagnement a bien plus de chances d'être financé. Elle insiste aussi sur la nécessité, pour les directeurs, de maîtriser les bases comptables ou de savoir s'entourer (experts-comptables, consultants) pour traduire leurs besoins dans le bon langage (M22, affectation des réserves, etc.).Nous abordons les effets complexes du Ségur de la santé, notamment pour les établissements qui ont vu leurs charges augmenter à cause de la perte de la réduction Fillon. Alicia recommande une analyse fine, salaire par salaire, pour démontrer l'impact réel et engager une négociation budgétaire (voire un contentieux, si nécessaire).Le dialogue de gestion revient comme un levier fondamental : un établissement qui entretient un lien constant, clair et proactif avec ses autorités (ARS, conseils départementaux) est mieux entendu… Surtout quand il sait présenter ses projets avec confiance et transparence.Nous évoquons aussi la situation délicate des résidences autonomie, parfois exclues des financements "Ségur pour tous", alors qu'elles font face aux mêmes hausses de charges. Comment compenser ces écarts sans mettre en péril leur équilibre financier ?Enfin, Alicia partage des pistes concrètes d'optimisation : plans pluriannuels d'investissement, appels à projets, amélioration des systèmes d'information et accompagnement des équipes internes pour structurer la gestion. Son approche repose sur un diagnostic personnalisé, des outils adaptés à chaque structure, et une pédagogie claire pour gagner en autonomie.

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
«Vous voulez venir ici, vous apprenez le français!» - la responsabilité est surtout du côté des immigrants, rappelle Rémi Villemure

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later May 1, 2025 7:55


Une sortie d’une immigrante contre la loi 96 et la pression mise sur les nouveaux arrivants pour apprendre le français en 6 mois. Discussion avec Rémi Villemure, chroniqueur Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

On marche sur la tête
Eliot Deval - Rassemblements du 1ᵉʳ mai : « Avant, les cibles, c'était surtout le grand capital, les banques, etc. Maintenant les cibles sont politiques », constate Jean-Christophe Couvy

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later May 1, 2025 43:39


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Eliot Deval et ses invités débattent des débordements durant les rassemblements du 1er mai à Paris.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
L'incompréhension du jour - Jérôme Marty : "Très vite, si on n'ouvre pas comme il faut, on va avoir des PV. Je pense surtout aux personnes âgées, aux personnes en surpoids…" - 29/04

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Apr 29, 2025 0:33


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Flora Ghebali et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

C'est qui la boss ?
Pourquoi l'industrie a besoin des femmes avec Virginie Baujard (EDF)

C'est qui la boss ?

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 46:34


Dans cette édition spéciale du podcast “C'est Qui La Boss ?“, en partenariat avec EDF - le podcast qui met en lumière des femmes inspirantes, DeLouison donne la parole à des femmes du Groupe EDF, aux parcours inspirants.Dans cet épisode, elle a échangé avec Virginie Baujard, Chargée de mission diversité et inclusion au sein d'EDF.Petite…Virginie rêvait de devenir professeure de français au lycée. Littéraire dans l'âme, elle a suivi un parcours de lettres, intégré l'Institut universitaire de formation des maîtres avant de passer le CAPES. Virginie n'obtiendra jamais son diplôme et décidera de changer de filière en rejoignant l'Industrie.Et si pour Virginie, l'Industrie reste en environnement masculin, elle s'engage à valoriser les femmes, féminiser les métiers et faire rayonner ses engagements au-delà de ses missions professionnelles en tant que Pilote de l'association Elles Bougent.Elle nous a racontée comment sortir de sa zone de confort, comment rebondir après un échec, en quoi l'Industrie est aussi un milieu où les femmes peuvent s'épanouir et pourquoi l'énergie est un secteur d'avenir. Surtout, ce qui a marquée DeLouison, c'est la passion avec laquelle elle parle de son métier.Belle écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Rothen s'enflamme
Jérôme sur le stage commando de l'OM : "Il a surtout été fait pour que chacun retrouve sa place"

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Apr 25, 2025 3:09


Jérôme sur le stage commando de l'OM : "Il a surtout été fait pour que chacun retrouve sa place"

Reportage culture
Le Barreau des arts, des avocats bénévoles au service des artistes précaires

Reportage culture

Play Episode Listen Later Apr 25, 2025 2:27


Le Barreau des arts fête ses cinq ans. Cette association française fondée par de jeunes avocats apporte une aide bénévole aux artistes précaires et notamment aux artistes étrangers. Droit d'auteur, droit à l'image, droits voisins, les artistes sont souvent démunis face aux acteurs de l'industrie culturelle. Le Barreau des arts leur offre des analyses et des conseils gratuitement. Avijit Gosh est un peintre indien. Il vit dans un petit studio du 13e arrondissement de Paris. L'an dernier, il a fait appel aux avocats du Barreau des arts, alors qu'un imprimeur prétendait avoir des droits sur ses peintures. « Pour moi, c'est vraiment une bonne expérience. Quelqu'un, une société, une organisation m'a écouté », se réjouit-il.Les avocats du Barreau des arts ont étudié son dossier, puis ont adressé une lettre à l'imprimeur qui a abandonné ses demandes infondées. L'association gère ainsi une centaine de dossiers par an. Musiciens, plasticiens, comédiens, écrivains, tous les domaines artistiques sont concernés. « Nous allons prendre en compte deux critères : le fait que ce soit du droit d'auteur, et que cela réponde aux critères de l'aide juridictionnelle, puisque l'on va aider des artistes en situation de précarité. Ensuite, on va transmettre le dossier à un étudiant bénévole qui va travailler dessus, appeler l'artiste, réunir des pièces complémentaires. Puis, à un avocat qui va prendre le temps de conseiller de manière personnalisée l'artiste sur sa problématique », détaille Corentin Schimel, juriste et photographe, l'un des cofondateurs de l'association. Être en position de négocier pour l'artiste Le Barreau des arts intervient sur les questions de droits d'auteurs uniquement, les contrats, leurs déséquilibres possibles, les questions de plagiat et de contrefaçon. « Je pense que ce que l'on fait, c'est donner des outils pour que l'artiste se sente en mesure de négocier face, parfois, à une institution ou un partenaire plus fort entre guillemets ou qui est accompagné juridiquement. Et donc d'être dans une position pour négocier », estime Lucie Tréguier, cofondatrice et présidente du Barreau des arts. L'idée générale est d'éviter d'aller jusqu'au procès. La plupart des cas se résolvent par la négociation. « Ce sera du règlement amiable du dossier, donc on va aiguiller la personne en lui disant : "Voilà, on te conseille de faire valoir tes droits de telle manière, de revendiquer tel fondement", et puis d'aller discuter avec la personne pour essayer de s'arranger. Surtout dans le domaine de la musique qui s'y prête beaucoup », constate Aurélie Leroy, avocate.Soixante-quinze avocats collaborent avec le Barreau des arts. Tous le font pro bono, c'est-à-dire bénévolement. « Je pense que c'est une bonne balance avec notre métier d'avocat. Ce que l'on propose dans le cadre du barreau des arts, c'est vraiment d'aider les plus précaires qui n'auraient pas accès au droit. Et dans ma vision du métier, c'est quelque chose qui est important », confie Lucie Tréguier. Dans les rares cas où l'artiste est obligé de faire appel aux tribunaux pour trancher un litige, le Barreau des arts peut faire jouer le droit de suite et obtenir une prise en charge des frais d'avocat de leur bénéficiaire.À lire aussiFrance: rapport accablant d'une commission d'enquête sur les violences dans le milieu artistique

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi des français furent-ils SS ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 2:38


Durant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs milliers de Français firent le choix de s'engager non pas dans la Résistance… mais dans les rangs de l'armée allemande. Parmi eux, environ 2 500 furent enrôlés dans la division Charlemagne, une unité de la Waffen-SS, l'aile militaire du parti nazi. Une décision choquante pour la mémoire collective, mais qui répond à des logiques idéologiques, politiques et personnelles complexes.Le contexte du recrutementDès 1941, après l'invasion de l'URSS par l'Allemagne nazie, le régime de Vichy et les collaborateurs parisiens intensifient leur propagande contre le "bolchevisme", présenté comme l'ennemi absolu. Dans ce climat, de nombreux Français issus de l'extrême droite, des milieux fascistes ou ultra-catholiques voient dans l'Armée allemande un rempart contre le communisme.C'est dans ce cadre que naît d'abord la Légion des Volontaires Français contre le Bolchevisme (LVF), en 1941, qui combat sous l'uniforme allemand sur le front de l'Est. Mais en 1943, la SS décide de créer une unité spécifique pour les volontaires étrangers : la division SS Charlemagne, formée en 1944 à partir des survivants de la LVF, de la Milice, et d'anciens membres de la Gestapo française.Pourquoi s'engager dans la Waffen-SS ?Les motivations sont multiples :Idéologiques : Certains étaient sincèrement acquis à l'idéologie nazie, admirateurs d'Hitler, antisémites convaincus ou anticommunistes radicaux.Politiques : D'autres voyaient l'adhésion à la Waffen-SS comme un moyen d'accélérer la collaboration entre la France et l'Allemagne, rêvant d'une Europe nouvelle, dirigée par l'Allemagne nazie.Opportunistes : Pour certains jeunes en rupture, engagés tardivement, c'était une voie pour échapper à la misère, à des poursuites judiciaires ou au Service du Travail Obligatoire (STO).Par fanatisme ou fatalisme : Surtout après la Libération, certains collaborateurs français rejoignent la Charlemagne comme dernier refuge, préférant fuir vers l'Est plutôt que de tomber aux mains des Alliés.La division Charlemagne sur le frontLa division est engagée en Poméranie début 1945, où elle subit des pertes terribles face à l'Armée rouge. Une centaine de survivants participe ensuite à la défense de Berlin en avril 1945, dans les tout derniers jours du régime nazi. Ces SS français figurent parmi les derniers défenseurs du bunker d'Hitler. Certains, comme Henri Joseph Fenet, se distinguent par leur fanatisme, recevant même des décorations nazies.Une mémoire taboueAprès la guerre, les survivants furent jugés pour trahison, certains exécutés, d'autres emprisonnés. Le sujet resta longtemps tabou en France, tant il heurtait l'image d'un pays tout entier résistant. Pourtant, l'histoire de la division Charlemagne rappelle que la collaboration militaire avec le nazisme a aussi été une réalité française — marginale, mais bien réelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

C dans l'air
Mort du pape François : l'émotion mondiale - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 21, 2025 65:08


C dans l'air du 21 avril 2025 : Mort du pape François : l'émotion mondialeIl aura marqué l'Église par son humilité et son ouverture aux plus vulnérables. Douze ans après son arrivée au Vatican, le Pape François, de son vrai nom Mario Bergoglio, s'est éteint ce lundi matin, à l'âge de 88 ans. Premier souverain pontife non-européen, ce fils d'immigrés italiens de nationalité argentine a multiplié les déclarations en faveur de la défense des migrants, de la planète, ou encore de l'entente interreligieuse. On retiendra notamment son discours d'ouverture sur l'homosexualité : "Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ?". Surtout, le pape François s'est posé dès ses débuts comme le défenseur des plus pauvres : "Comme je voudrais une Église pauvre et pour les pauvres !", s'exclamait-il en 2013 au Vatican. À l'annonce de son décès, les hommages de dirigeants du monde entier se sont multipliés, d'Emmanuel Macron, à Vladimir Poutine en passant par JD Vance. Le vice-président américain était d'ailleurs l'un des derniers à avoir rencontré le Pape lors d'une brève visite au Vatican dimanche : "J'ai été heureux de le voir hier, même s'il était manifestement très malade", a-t-il déclaré.Toutes ces dernières années, le pape François a défendu l'immigration et la solidarité avec les migrants. En juillet 2013, c'est à Lampedusa, petite île italienne devenue un symbole de la crise migratoire européenne, que le chef de l'Église effectue son premier déplacement. "La culture du bien-être qui nous amène à penser à nous-mêmes nous rend insensibles aux cris des autres. Elle porte à la mondialisation de l'indifférence", dit-il en regrettant que la Méditerranée soit devenue un cimetière. Depuis Lampedusa, le pape François appelle à "construire des ponts et abattre des murs". Un message qu'il répètera sans cesse, jusqu'à sa venue à Marseille, en 2023. Entre-temps, le pape a créé un ministère chargé des questions migratoires au sein même du Vatican, et ramené une douzaine de réfugiés syriens dans son avion personnel, après un voyage dans le camp de Lesbos, en Grèce. Ces derniers mois, l'immigration est devenue un sujet de crispation avec l'administration Trump, qui a fait des immigrés son bouc-émissaire. Le dialogue avec l'extrême droite catholique européenne est aussi compliqué, le dirigeant de la Ligue italienne, Matteo Salvini, allant même jusqu'à arborer un t-shirt "Mon pape est Jean-Paul II".Autre grand sujet contemporain, l'aide à mourir a suscité d'intenses débats entre l'Église catholique, farouchement opposée, et le sommet de l'État français. "Il y a la tentation de dissimuler derrière des mots doux la violence de ce dispositif, qui est de l'ordre de l'euthanasie ou du suicide assisté", dénonçait il y a un an l'évêque de Nanterre Mgr Matthieu Rougé. Le projet de loi sur la fin de vie, porté par l'ancien Premier ministre Gabriel Attal, a été interrompu par la dissolution de l'Assemblée en juin 2024. Les poids lourds de la majorité se divisent maintenant sur l'avenir du texte, François Bayrou souhaitant scinder le texte en deux parties, tandis que la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, demande à ce qu'il soit inscrit à l'agenda de l'hémicycle le plus rapidement possible.Quel héritage va laisser le Pape François ? En quoi son combat en faveur des migrants a suscité des crispations avec l'extrême droite catholique ? Une loi sur la fin de vie va-t-elle aboutir en 2025 ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-Tireur- Isabelle DE GAULMYN - Productrice déléguée des Matins de France Culture- François MABILLE - Chercheur au CNRS, au groupe Sociétés, Religions, Laïcité- Isabelle LASSERRE - Ancienne correspondante en Russie, correspondant diplomatique - Le FigaroPRÉSENTATION : Maya Lauqué - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Les Grandes Gueules
La suppression du jour - Mourad Boudjellal : "Il faut surtout supprimer le Sénat pour faire des économies. J'y ai mangé... il n'y a que des grands crus classés. Si les Français voyaient comment ces gens vivent, ils seraient dans la rue

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Apr 21, 2025 0:37


Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Fatima Aït-Bounoua et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le Top de L'After foot
Le Top de l'After Foot : Kevin Diaz : "Je ne trouve pas que les marseillais traînent les pieds. C'est un problème de qualité. Il y a des joueurs qui manquent de qualité mentale et surtout de qualité technique" – 18/04

Le Top de L'After foot

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 5:40


L'oeil de...
"Moi, la mort ça va, je gère, surtout celle des autres"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 6:24


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 14 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Product Marketing Stories
Comment gérer le Product Marketing quand il n'y a pas de PMM ? | Selma Chauvin (CMO) et Charlotte Flament (CPO) | SKILLUP

Product Marketing Stories

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 31:10 Transcription Available


Charlotte CPO et Selma ex. CMO chez Skillup partage leur retour d'expérience et conseils pour bâtir une vraie collaboration et éviter ces désalignements entre marketing et produit sans PMM. Car soyons clairs, l'un ne peut pas avancer sans l'autre. Mais ce n'est pas un secret, le marketing et le produit ont parfois du mal à se comprendre. Surtout quand il n'y a pas de PMM pour garantir le lien entre les 2 fonctions !Le produit reproche au marketing de mal communiquer sur les fonctionnalités. Et le marketing est frustré que le produit n'évolue pas plus vite et de ne pas être assez accompagné pour promouvoir le produit de façon pertinente.Au programme :

Les matins
Rapport de la Miviludes : comment comprendre les dérives sectaires dans les églises évangéliques ?

Les matins

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 8:55


durée : 00:08:55 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Dans son dernier rapport, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires indique que 34% des signalements qu'elle réalise concerne les cultes. Surtout, elle observe une hausse des signalements concernant les églises évangéliques. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Étienne Jacob Journaliste au Figaro

Maintenant, vous savez
Quels sont les appareils qui consomment le plus d'électricité à la maison ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 4:48


Avouez, vous aussi vous avez eu un petit frisson en recevant votre facture d'électricité. Surtout après avoir passé l'hiver à culpabiliser à chaque fois que vous allumiez un radiateur ou laissiez un chargeur branché "pour rien". Et même si les prix semblent un peu plus calmes qu'avant, les taxes, elles, continuent leur petite ascension tranquille... Mais alors, quels sont vraiment les appareils qui plombent votre conso ? Certains sont faciles à deviner, d'autres vont vous surprendre. Spoiler : ce ne sont pas toujours les plus gros ou les plus bruyants. L'Ademe a dressé la liste, et il y a de quoi repenser l'usage de quelques objets du quotidien… Alors, quels sont les appareils qui consomment le plus d'électricité à la maison ? Est-ce que le chauffage est vraiment le pire ? Et qu'en est-il de la plaque à induction, du four, ou même du Wi-Fi ? Et surtout, comment réduire sa facture sans finir sous un plaid dans le noir ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez !" Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Quels sont les 3 conseils pour réduire sa facture d'électricité ? Faut-il couper l'électricité pendant un orage ? Peut-on vraiment fabriquer de l'électricité chez soi ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 31/01/24 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Un jour, un problème
Comment arrêter de penser "je suis une merde" ?

Un jour, un problème

Play Episode Listen Later Apr 6, 2025 13:29


Oui c'est mal de se dénigrer. Surtout ça fait mal. Mais comment prendre un pas de côté et commencer à se faire repousser les envies ? Un podcast Bababam Originals Ecrit par Hélène Vézier Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Première diffusion le 24/09/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Galère sa mère !
Grossesse gériatrique ? WTF !!!

Galère sa mère !

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 26:22


Le terme n'est pas utilisé par tous les soignants mais vous l'avez peut-être entendu ou lu au moins une fois… Grossesse gériatrique… Il désigne les grossesses un peu tardives (par rapport à la moyenne), grosso modo celles après 40 ans, parfois même après 37… Dans cette société où les femmes travaillent et prennent leur temps pour trouver le bon, on est presque toutes concernées ! Mais alors, pourquoi une telle catégorisation ? Et ça change quoi au fait d'être vieille et enceinte ?Grossesse gériatrique… Mouaih. C'est pas hyper flatteur. Surtout qu'on est nombreuses à entrer dans la case des jeunes mamans de plus de 37 ans ! Alors, que nous vaut cette expression ? Notre grossesse est-elle à ce point différente de celles des minettes de moins de 35  ? Quelle sera notre prise en charge pendant 9 mois ? Nos défis ? Nos risques ? Nos atouts ? Faut-il flipper ou se réjouir d'avoir des rides et un bébé dans les bras ?Dorothée Saada a posé toutes nos questions sur les grossesses tardives à une sage-femme bienveillante et quarantenaire comme nous, Marie-Elise Launay.Galère sa mère est un podcast de Parents.Cet épisode a été enregistré à Uni-Médias (Paris,15e).Directrice de la rédaction : Anais JouvancyRédaction : Katrin Acou-Bouaziz et Dorothée SaadaRéalisation : Nicolas JeanMusique : François ClosIdentité graphique : UpianCommunication : Farid Adou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
Elina Dumont : "C'est surtout la France entière qui vit de l'argent public : tout le monde en profite" - 02/04

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 1:11


Aujourd'hui, Élina Dumont, Étienne Liebig et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Invité Afrique
Mali: pour Hamadoun Dicko, détenu trois mois par la Sécurité d'État, «il faut que les enlèvements cessent»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 6:42


Hamadoun Dicko a été détenu pendant trois mois au secret, en dehors de toute procédure légale, par les services maliens de renseignements - du 16 décembre 2023 au 11 mars 2024. Un an après, en exclusivité pour RFI, cet actuel président de la Jeunesse Pulaaku International et ancien président des associations communautaires peules de défense des droits humains, raconte ses trois mois de calvaire : enlèvement, détention, interrogatoires. Un témoignage inédit, car les personnes libérées ont pour consigne de se taire, et plus que jamais nécessaire, compte tenu de la multiplication actuelle des enlèvements extrajudiciaires par les services maliens. Invité d'Afrique matin, Hamadoun Dicko, désormais en exil hors du Mali, répond aux questions de David Baché. RFI : Lorsque la Sécurité d'État vous a enlevé, vous vous apprêtiez à lancer une nouvelle association internationale de jeunes de la communauté peule. C'est pour cela que vous avez été détenu pendant trois mois ?  Hamadoun Dicko : Effectivement, j'étais en train d'organiser le premier congrès de la Jeunesse Pulaaku International et j'ai été enlevé à la veille même du congrès. Pendant les interrogatoires, on m'a demandé pourquoi je voulais organiser ce congrès, si c'était pour déstabiliser la Transition. Je faisais beaucoup de dénonciations des exactions commises par les forces armées et de sécurité contre les civils peuls, il y avait cela aussi. Ils m'accusaient aussi d'être en complicité avec certains groupes armés terroristes.Est-ce que vous pouvez nous raconter, pour commencer, les circonstances de votre enlèvement ?J'ai d'abord été convoqué le 14 décembre 2023 à la direction de l'ANSE [Agence nationale de la Sécurité d'État, NDLR], où ils m'ont intimidé et demandé de surseoir à la conférence de presse. Puis à la veille du congrès [deux jours plus tard, le 16 décembre, NDLR], aux environs de minuit, je rentrais chez moi, et plusieurs véhicules, quatre, m'ont intercepté. L'un des véhicules m'a bloqué la route. Les hommes étaient nombreux, en civil. Il y en a un qui est venu vers moi, il m'a fait rentrer dans sa voiture, il a démarré, et il a demandé à celui qui était à côté de moi de me mettre la cagoule.Pendant ces trois mois de détention, quelles étaient vos conditions, votre rythme de vie ?Ils m'ont gardé dans une chambre annexe d'une maison. C'était une maison habitée, avec une famille. J'avais un matelas, deux couvertures. On était plusieurs parce qu'il y avait trois chambres annexes, et il y avait un autre [prisonnier, NDLR] dans une autre chambre, mais je ne l'ai jamais vu. J'étais très mal nourri. Je ne pouvais pas sortir de ma chambre. Je ne suis jamais sorti, à part les deux fois où ils ont voulu m'interroger. Le reste du temps, j'étais dans ma chambre, seul. Quand ils rentraient, je devais mettre une cagoule. Je ne voyais personne, je n'ai jamais vu une seule personne quand j'étais là-bas. J'étais seul, séquestré, isolé. Pendant trois mois, j'avais même le rêve de voir juste le soleil ou le ciel.D'autres prisonniers de la Sécurité d'État, une fois libérés, ont raconté à des proches ou à leurs avocats, avoir subi des tortures : coups, décharges électriques, simulations de noyade. Heureusement, cela n'a pas été votre cas ?Heureusement, moi, je n'ai pas été torturé, je n'ai pas été frappé. Seulement, j'étais affamé et isolé, séquestré loin de ma famille. C'était psychologique et cela me fatiguait parce que je ne voyais pas un être humain. J'avais juste envie de voir une personne, en face de moi.À lire aussiMali : après un an passé en détention, l'universitaire Étienne Fakaba Sissoko a été libéréComment se passaient les séances d'interrogatoires ?  Quand ils venaient pour m'amener dans le salon d'interrogatoire, ils étaient trois. Quand ils tapaient à la porte, je devais mettre la cagoule, donc je ne pouvais plus les voir. Ils m'ont sorti de ma cellule, ils m'ont emmené dans un petit salon où ils m'ont fait assoir sur une chaise. Ils sont sortis et ils m'ont laissé avec leur chef qui devait m'interroger.Et sur quoi est-ce que vous avez été interrogé ?Ils m'ont demandé pourquoi je voulais organiser ce congrès, pourquoi j'étais avec Hamadoun Kouffa…Le chef de la Katiba Macina du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim), lié à Al-Qaïda…Oui, exactement. Ils m'ont demandé pourquoi je le représentais à Bamako. J'ai été très surpris, j'ai demandé comment je pouvais être le représentant de Kouffa et être à Bamako, cela ne corrobore pas.Donc la Sécurité d'Etat vous accusait d'être un complice des groupes jihadistes ?Exactement, ils m'accusaient d'être leur complice, et en même temps d'être avec les puissances occidentales, telles que la France. Surtout, j'étais en contact avec Radio France Internationale (RFI).Donc vous avez aussi été interrogé sur vos liens avec des journalistes de RFI ?  Bien sûr, ils m'ont demandé si j'étais en contact avec David Baché, exactement. Heureusement, je n'étais pas en contact avec David Baché.Pas encore…Ils m'ont demandé pourquoi je dénonçais les exactions commises par Wagner. Moi, j'ai dit : « je suis Malien, contre l'impunité, c'est pourquoi j'ai dénoncé. »Et comment est-ce qu'il réagissait à vos réponses ?Quand je répondais, il reconnaissait que vraiment, j'avais raison ! Parce que quand il a voulu dire que j'étais avec des puissances comme la France, je lui ai fait savoir que quand il y a eu la bavure française à Bounti, je l'avais dénoncée.À lire aussiMali: trois ans après le massacre de Moura, pas de justice pour les victimesBounti, lorsqu'une frappe de la force française Barkhane s'est abattue sur un mariage de civils, en 2021.Oui, exactement. Donc quand je lui ai fait savoir cela, il a dit « oui, c'est vrai. » Je lui ai dit « alors, si j'étais avec la France, je pense que je n'aurais pas dénoncé cette frappe. » Il a reconnu cela aussi.On parle généralement des « geôles secrètes de la Sécurité d'État », puisque ces lieux de détention ne sont pas connus. Est-ce que vous, vous avez une idée de l'endroit où vous avez passé ces trois mois ?Oui. J'étais dans un domaine d'un haut gradé de l'armée malienne. Il revenait souvent le weekend. Il était là, il causait avec ses amis…Donc vous l'avez vu, entendu ?J'entendais. J'entendais des voix et je comprenais aussi.Hamadoun Dicko, au bout de trois mois, vous avez finalement été relâché par la Sécurité d'État. Pourquoi, comment ?J'ai décidé de ne plus manger. Parce que j'étais fatigué, je ne savais pas pourquoi j'étais là, je savais que je n'avais commis aucun crime. J'ai décidé de ne plus manger. Quand ils ont constaté cela, ils sont venus pour me dire : « Hamadoun, si tu ne manges pas, on va te présenter à un juge, tu seras à la Maison centrale d'arrêt de Bamako, là-bas ce n'est pas facile. » J'ai dit : « je préfère être là-bas parce qu'au moins, je vais prendre un avocat et mes parents sauront où je suis. » Donc, ils ont compris que cela ne m'empêcherait pas de continuer la grève de la faim. (…)Le 11, c'était le premier jour du Ramadan, ils ont toqué à la porte et m'ont demandé de prendre mes affaires. Mais je n'avais pas d'affaires, je n'avais que mon boubou ! Ils m'ont sorti, ils m'ont emmené jusqu'au quartier de Bougie Ba, à Bamako, et ils m'ont dit qu'ils allaient me libérer, mais avec des conditions. Les conditions, c'était de collaborer, de ne pas dénoncer, de travailler avec eux.Ils vous ont proposé de travailler pour la Sécurité d'État ?Je n'ai pas accepté, c'est pourquoi je suis là. J'ai décidé de partir [hors du Mali, NDLR] parce que je ne pouvais pas rester, ma vie était en danger.Aujourd'hui, pourquoi tenez-vous à témoigner de ce qui vous est arrivé ?Parce qu'on voit que les enlèvements continuent de plus belle. On ne doit pas enlever des gens en plein jour et les séquestrer ! Ce n'est pas normal, c'est inadmissible, on doit empêcher cela. Donc j'ai décidé de partir et de parler, on ne peut pas rester muet. Il faut que cela cesse, on ne peut pas continuer comme cela dans un pays de droits. S'ils te reprochent quelque chose, il y a la justice.Et vous, est-ce que vous avez porté plainte, devant la justice ?Je n'ai pas porté plainte parce qu'il n'y a pas de justice au Mali en ce moment. La Justice est dictée. Donc, je ne peux pas porter plainte au Mali, tout en sachant que cela ne réussira pas. Je vais attendre. Le moment venu, peut-être que je le ferai.Un dernier mot, peut-être, sur la situation actuelle au Mali ou dans l'Alliance des États du Sahel (AES), qui inclut aussi le Burkina et le Niger ?Malheureusement, aujourd'hui, dans les États du Sahel, nous constatons une épuration ethnique, si vous me permettez le mot. Certaines communautés sont ciblées. Quand tu es peul, surtout au Mali et au Burkina, on t'exécute du simple fait d'être de la communauté peule.Les régimes en place au Mali et au Burkina démentent…Mais nous le constatons quand même, les faits sont têtus ! Nous avons vu des VDP [Volontaires pour la défense de la partie, milices civiles locales supplétives de l'armée burkinabè, NDLR] et cette force armée et de sécurité burkinabè qui se filmaient et mettaient tout sur les réseaux sociaux. Ils disaient dans leur langue mooré que les peuls ne les dirigeraient jamais.C'est le mot « peul » qui sort dans leur bouche, cela veut dire que ce sont les peuls qui sont systématiquement ciblés. Les autorités sont responsables de ce qui se passe au Sahel. Les autorités démentent, mais montrent le contraire sur le terrain, malheureusement.  À lire aussiMali: l'association Tabital Pulaaku alerte sur les attaques contre des villages peuls près de Ségou

Les Grandes Gueules
Jérémie Assous, avocat de Depardieu : "À partir du moment où j'ai demandé la nullité, la réponse a été que j'étais grossier, ridicule et surtout, qu'ils avaient envie de me donner des tartes. J'ai reçu des menaces physi

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Apr 1, 2025 3:14


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le Super Daily
Youpi, c'est lundi Youtube vous promet des vues à 0 secondes

Le Super Daily

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 17:25


Épisode 1290 : Youpi, c'est lundi et l'actu social media va vous étonner ! (Surtout les nouvelles vues à 0 seconde de Youtube)Instagram permet de lire les Reels en accéléré (jusqu'à 2x)On connaissait déjà ça sur les plateformes de Podcast, de musique, sur netflix, sur YouTube même et ça a déjà débarqué sur Instagram !Instagram vient de déployer une nouvelle fonctionnalité permettant aux utilisateurs d'accélérer la lecture des Reels, avec des vitesses allant jusqu'à 2x. Cette nouveauté s'inscrit dans une tendance globale : les plateformes sociales cherchent à s'adapter aux nouveaux comportements de consommation de contenu, marqués par une attention de plus en plus fragmentée.TikTok Shop débarque en France, Allemagne et Italie : le social commerce s'accélèreOn y est, TikTok Shop est censé apparaître aujourd'hui !Je crois que si ça arrive vraiment je vais acheter un truc pour tester !Alors surtout si vous écoutez ce podcast et que vous voyez un shop TikTok envoyez le lien à Supernatifs !Les 3 pays qui doivent être lancés en simultané sont la France, l'Allemagne et l'Italie. En France, TikTok a a commencé à nouer des partenariats majeurs avec des enseignes locales pour crédibiliser l'approche comme Carrefour , qui va intégrer ses produits à TikTok Shop. L'enseigne était déjà bien présente sur TikTok et y a mené plusieurs campagnes mais là on passe au shop !Sont aussi dans la course cabaïa et Izipizi Facebook relance un onglet “Amis” pour recentrer sur les connexions personnellesFacebook tente un retour aux sources. Alors que la plateforme est perçue comme surchargée d'algorithmes, de contenus de pages ou de vidéos virales, Meta vient d'annoncer le retour d'un flux "Friends Only", accessible depuis un nouvel onglet. Ce feed ne montre que les publications de vos amis, dans l'ordre chronologique, sans contenu recommandé par l'algorithme.Ça ressemble aux grosses innovations annoncées sur Instagram il y a plus d'un an puis sur TikTok Instagram fait le ménage et supprime les content notesInstagram vient d'annoncer la suppression d'une fonctionnalité discrète mais récente : la possibilité d'ajouter des "notes" aux publications dans le feed et aux Reels.La fonctionnalité avait été lancée en juillet dernier. Objectif : rendre l'appli plus sociale, plus fun, et capter l'attention des jeunes. Inspirée des petits statuts dans les DM, elle permettait d'ajouter une courte phrase flottante au-dessus d'un post.——Nouvelle méthode de calcul des vues sur YouTube ShortsÀ partir d'aujourd'hui, YouTube change les règles du jeu.La plateforme modifie sa manière de comptabiliser les vues sur les vidéos Shorts.Désormais, une vue sera comptée dès qu'un Short commence à être affiché ou redémarré à l'écran.En gros :Ton Short apparaît à l'écran, bim, t'as une vue.Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Penser les luttes
EP4 - Ce que la menace de la guerre fait à nos libertés

Penser les luttes

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 54:57


Nous sommes entrés dans une nouvelle ère, celle de la guerre…Emmanuel Macron en est certain. Il nous faut un parapluie nucléaire européen. Plus d'arme. Plus de budget pour la défense.Les sénateurs sont d'accord, et ont voté fin janvier un budget en hausse de plus de 3milliards d'euros pour la défense. La Culture elle, devra faire avec 50 millions d'euros de moins.Une nouvelle ère, alors? Surtout un fond de l'air qui sent le kérosène d'avion de chasse…En temps de guerre, on ressort les symboles patriotiques, les drapeaux, la défense de la nation…les bases militaires et surtout, les discours au ton grave… Derrière les drapeaux, il y a le parlement, et au parlement, on y vote des lois. Des lois budgétaires sans aucun débat, qui dépouillent les services publics. Des lois à haut potentiel liberticide, aussi, comme la loi narcotrafic discutée en ce moment.Doit-on s'inquiéter d'une accélération de la criminalisation des militants, activistes, et même journalistes? Sommes-nous entrées dans une nouvelle ère  de combat pour défendre les libertés individuelles et collectives?Nous allons tirer le fil de cette question, parmi l'écheveau complexe de tous les enjeux de cette «nouvelle donne» dans ce quatrième épisode de Penser les luttes, le podcast de Radio Parleur, en partenariat avec le Média. Nos invité·es :Mathieu Rigouste, chercheur indépendant en sciences sociales et auteur de nombreux ouvrages autour de la généalogie des violences policières, militaires et colonialesGwendoline Delbos-Corfield, ex-députée européenne pour Europe écologie les verts, et co-autrice d'un rapport sur les libertés publiques en Hongrie.Une émission animée par Violette Voldoire, enregistrée par les équipes du Média, et produite par Samia Benguetaïb et Salomé Lepretre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Travail (en cours)
Ce qu'un psy dit de ma relation cachée avec mon collègue

Travail (en cours)

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 24:53


Cela fait plus d'un an et demi que Léonie* (*le prénom a été modifié) essaye d'avoir une promotion. Celle-ci n'arrive pas, et Léonie commence à souffrir d'un manque de reconnaissance, voire de se sentir mise à l'écart du reste de son équipe. Surtout lorsqu'un de ses collègues, avec qui elle est secrètement en couple depuis plusieurs années, obtient la promotion qu'elle espérait, et passe chef de projet. Dans cet épisode, le psychologue du travail et des organisations Adrien Chignard lui donne des clés pour comprendre sa frustration, mais aussi pour faire en sorte que sa vie professionnelle ne porte pas atteinte à son couple, et vice versa. Cet épisode d'Émotions (au travail) a été rendu possible grâce au travail de la journaliste Léna Couffin. Marie Misset est à la présentation, Louis Jaubart est au montage, à la réalisation et au mix. Louise Hemmerlé est à la production. Merci au studio Capitaine Plouf pour la prise de son. Si vous aussi, vous souhaitez échanger avec un.e psychologue du travail sur une problématique qui vous affecte dans votre quotidien de travail, écrivez-nous à hello@louiemedia.com avec comme objet : “TRAVAIL”. On a hâte de vous lire ! Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI !Pour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Monde Numérique - Jérôme Colombain
Edito - L'IA va-t-elle nous rendre idiot ?

Monde Numérique - Jérôme Colombain

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 5:18


Allo Houston, on a un problème ! Les écrans nous rendent bêtes et avec l'IA, ça ne va pas s'arranger...L'omniprésence des écrans et l'essor de l'intelligence artificielle modifient en profondeur notre manière de penser, d'apprendre et de nous concentrer. Des études récentes confirment une baisse alarmante des capacités cognitives humaines : attention réduite, amnésie numérique, difficulté croissante à lire et à analyser des textes longs. Le phénomène, déjà documenté depuis plusieurs années, pourrait s'accélérer avec l'IA, qui délègue toujours plus de tâches intellectuelles aux machines.Dans cet épisode, nous explorons les causes de ce déclin cognitif et ses conséquences sur notre société. Tests PISA en chute libre, addiction aux stimuli numériques, saturation mentale : comment notre cerveau réagit-il à cette surcharge informationnelle ? Surtout, comment lutter contre cette dérive ? Détox numérique, réentraînement cérébral, retour à la lecture profonde : quelques pistes existent pour éviter de sombrer dans la dépendance aux algorithmes et retrouver notre capacité de réflexion.-----------

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
Triades - Antoine Vitkine

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 32:28


Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 350 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Alliance céleste, 14K, Sun Yee On, Bambou uni… derrière ces noms exotiques se cachent des organisations criminelles tentaculaires. À partir d'une vaste enquête et de rencontres avec des personnages hauts en couleur, Antoine Vitkine raconte l'histoire et les ambitions de la mafia chinoise, devenue la plus puissante au monde.Depuis près de deux siècles, les triades tissent leur toile. Elles ont fait tomber le dernier empereur de Chine, régné sur le Shanghai des années 1920 comme sur les salles de jeu de Macao. Sun Yat-sen, fondateur de la République de Chine, en fut même l'un des « parrains ». D'une implacable brutalité, elles possèdent leurs rites, leur hiérarchie stricte et des valeurs claniques.Ces « sociétés noires » ont su s'adapter au monde contemporain et déploient leur emprise sur tous les continents. Elles dominent le trafic de drogues, d'êtres humains et de contrefaçons, sont à la pointe du blanchiment d'argent et de la cybercriminalité, s'immiscent dans l'économie légale. Surtout, elles se sont mises au service des ambitions de Xi Jinping et de sa guerre contre l'Occident : soutien aux routes de la soie, répression des manifestants démocrates à Hong Kong, corruption politique au Canada, invasion du fentanyl aux États-Unis…Depuis quelques années, elles sont également devenues les banques occultes du crime organisé européen. Cette plongée sidérante dans le monde des triades révèle leurs liens avec le pouvoir de Pékin et leur impact sur les rapports de forces mondiaux. Un défi majeur pour nos démocraties.L'auteur, Antoine Vitkine est notre invité par téléphoneDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Parlons-Nous
Adolescence : Sophie s'interroge sur le changement de comportement de sa fille

Parlons-Nous

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 29:26


La fille unique de Sophie a 19 ans et a choisi de porter le voile depuis l'âge de 16 ans. Bien qu'elle ne soit pas issue de la communauté musulmane, Sophie respecte ce choix. Mais elle s'inquiète de l'isolement de sa fille. Surtout que la communication devient de plus en plus difficile entre mère et fille. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr

Invité Afrique
Mauritanie: «Notre politique vis-à-vis de la migration irrégulière est restée la même»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 11:02


Les migrants sénégalais, qui essaient de passer par la Mauritanie pour gagner l'Europe, suscitent de la tension entre Dakar et Nouakchott. Depuis quelques semaines, les autorités mauritaniennes arrêtent un grand nombre d'entre eux en vue de les refouler au Sénégal. Mais le 11 mars au soir, le gouvernement sénégalais s'est dit « indigné » par le traitement réservé à ses ressortissants. Le 11 mars au matin, nous avions contacté le ministre mauritanien des Affaires étrangères, Mohamed Salem Ould Merzoug. Et au micro de Christophe Boisbouvier, il démentait tout mauvais traitement à l'égard des migrants venus du Sénégal et du Mali. RFI : Des centaines d'arrestations et d'expulsions de migrants illégaux sont signalées en Mauritanie depuis quelques jours. Est-ce que votre gouvernement a décidé de durcir sa politique à l'égard de ces migrants ? Mohamed Salem Ould Merzoug : Non, il n'y a pas eu de mesures particulières qui ont été enclenchées. Notre politique vis-à-vis de la migration irrégulière est restée la même : c'est d'être très ferme par rapport aux réseaux de migrants irréguliers en particulier. Surtout que, au cours des dernières semaines, c'est ce qui a probablement donné un peu d'ampleur à ça, c'est que nos forces de défense et de sécurité ont démantelé quatre réseaux de migrants illégaux qui étaient dirigés par à la fois des Mauritaniens et des étrangers aussi. Et ce qu'on oublie, c'est que la route atlantique, c'est une succession de tragédies malheureusement, et c'est ça qu'il faut donc arrêter.Parmi les postes frontières où sont refoulés ces migrants, il y a celui de Gogui, à la frontière entre la Mauritanie et le Mali. Et le 8 mars dernier, des affrontements auraient opposé ces migrants en cours d'expulsion avec les forces de l'ordre mauritaniennes. Qu'est-ce qui s'est passé exactement ? Je vous ai dit que ces migrants ont été encadrés, dirigés par des réseaux. Donc je crois qu'être encadré dans cet environnement-là pousse en effet certain de ces migrants à s'en prendre à nos forces de l'ordre qui ripostent. Mais ce sont des événements marginaux. Et donc le problème auquel le gouvernement essaie de répondre est de ne pas laisser le territoire de notre pays servir de passage pour des milliers de jeunes qui risquent leur vie dans des conditions extrêmement dangereuses.Que répondez-vous aux organisations humanitaires qui affirment que les migrants arrêtés puis expulsés sont maltraités par les forces de l'ordre mauritaniennes ? Toute organisation qui défend les droits de l'homme est une organisation en principe respectable. Mais je veux leur répondre qu'elles sont en train de diffuser des contre-vérités. D'abord, je voudrais dire que nos forces, leur mission principale est de sécuriser le territoire et les populations de ce pays. Et par rapport à cette mission principale, elles le font dans le respect de toutes les conventions qui protègent les droits de la personne humaine, qui ont été ratifiées par notre pays.Il y a tout juste un an, le 7 mars 2024, votre gouvernement a signé un mémorandum avec l'Union européenne pour lutter contre l'immigration illégale, avec plus de 200 millions d'euros à la clé. Que répondez-vous à ceux qui disent que les autorités mauritaniennes n'ont pas à agir comme les gardes-frontières de l'Europe ? Non, nous ne sommes pas les gardes-frontières de l'Europe et nous ne serons les gardes-frontières de personne. Et je pense que, sans blesser personne, nous sommes le seul pays qui, depuis toujours, a été très jaloux du respect de sa souveraineté. Et la base sur laquelle se fonde notre coopération dans ce domaine précis, c'est d'essayer de faire en sorte que les pays d'origine, les pays de transit et les pays de destination puissent se coordonner, parce que c'est en coordonnant qu'on peut endiguer ce phénomène massif. Et que la Mauritanie ou que le Sénégal ou l'un des pays africains coordonne avec l'Europe ou avec les États-Unis, ou la Chine ou la Russie, sur ces questions-là, quoi de plus normal ? C'est dans cet esprit-là qu'il faut voir ce mémorandum qui a été signé en mars 2024 entre l'Union européenne et notre pays. Donc, nous ne servirons ni de base arrière, ni de base militaire, ni de gardes-côtes pour un quelconque pays. Avec tout le respect qu'on peut avoir pour l'ensemble de nos partenaires.Au retour d'une tournée à Bamako, à Niamey, à Ouagadougou, le président du Ghana, John Dramani Mahama, appelle la Cédéao à reconnaître la nouvelle AES [Alliance des États du Sahel]. Qu'en est-il pour la Mauritanie ? La position de notre pays est claire et elle est constante aussi. C'est le respect de la souveraineté de chaque État. Ce n'est donc pas à la Mauritanie de commenter cette tournée, même si tout ce qui peut consolider l'unité africaine, l'intégration au niveau régional, la paix entre les voisins et puis assainir l'environnement au niveau de la Cédéao nous importe. Mais on n'a pas de jugement à porter sur ce que peut faire le président du Ghana ou ce que peuvent décider les États membres de l'Alliance des États du Sahel.

Real Life French
Le problème de lessive

Real Life French

Play Episode Listen Later Mar 2, 2025 5:27


Julien : Euh dis-moi, tu saurais pourquoi mon t-shirt blanc préféré est devenu entièrement rose ?Louise : Bah oui… Monsieur a oublié que je faisais une lessive de couleurs… Donc t'as mélangé tes vêtements clairs avec mon pull rouge.Julien : Mince ! J'aurais dû être plus attentif… Surtout qu'il m'allait super bien, je trouve…Louise : Bon, si tu veux, on ira faire une virée shopping pour le retrouver ! Et la prochaine fois, tu feras plus attention à ce qui est dans la machine ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.