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Yo yo yo les petits fouinardodos ! (ouais je pète la forme malgré le matou qui fait tout pour que ce soit pas le cas) Aujourd'hui, j'interview ma superbe dessinatrice ! J'ai nommé Marjolaine Leray ! Je vais lui poser tout plein de questions sur son métier, ses préférences concernant le miam-miam mais SURTOUT comment qu'elle a fait pour me dessiner moi enfant, dans ma BD ! Et c'est le début d'une longue série d'interview, vous allez voir ! Enfin vous allez entendre. Faut écouter quoi ! Bonne écoute les fouinards et hésitez pas à envoyer des messages à Marjolaine ! J'hésiterai pas à lui transmettre ! Par contre, n'envoyez rien au matou, ça lui fait gonfler la tête et franchement il a pas besoin de ça en ce moment. Ou alors, envoyez-lui un grand “CHUT”, histoire qu'il se taise un peu ça me fera des vacances. Soutenez-nous sur Patreon !
Une seule victoire en quatre matchs, Lamar Jackson blessé, la défense passoire. C'est dur pour les Ravens en ce début de saison. La défaite contre les Chiefs fait mal. Surtout, elle réduit considérablement la marge d'erreur de l'équipe de John Harbaugh pour la suite de la saison. À l'inverse, les Chiefs ont retrouvé des couleurs, grâce au retour de Xavier Worthy et à un Patrick Mahomes au point. Les débuts réussis de Jaxson Dart avec les Giants et la victoire des Steelers à Dublin sont aussi au programme. Alain Mattei et Raphaël Masmejean sont au micro. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bon, vous l'aurez compris, dans ce podcast je vous raconte tout, et ce serait vraiment très malhonnête de ma part de filtrer et de ne vous raconter que le positif de ma vie d'artiste et de chef d'entreprise. Surtout que tout le monde y perdrait parce que le plus pédagogique et le plus intéressant, j'en suis persuadée, ce sont les échecs, les impasses et les coups de massue. Et d'ailleurs, en parlant de coup de massue...Lien vers mon livre "Écrire l'humour" :https://www.amazon.fr/%C3%89crire-lhumour-Christine-Berrou/dp/B0BB65QKZX/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=36XRDIP3O22J7&dib=eyJ2IjoiMSJ9.2R2GKlw_dvBCBkBXTzFcBg.nLcRm3XoaX8QpXDSiXuYr6oNenVBFPCGZfOll22-kUg&dib_tag=se&keywords=%C3%A9crire+l%27humour+berrou&qid=1756745047&sprefix=%C3%A9crire+l%27humour+berrou%2Caps%2C75&sr=8-1Liens vers mon autre podcast "Le Mois de la guerrière" :Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-mois-de-la-guerri%C3%A8re/id1738987638Spotify : https://open.spotify.com/show/5V93IbBEOPv1W3QJ1jRHZKIMPORTANT : Il y a parfois un soucis avec Spotify, je vous informe donc que vous pouvez télécharger Apple Podcasts même si vous n'êtes pas client Apple.IMPORTANT 2 : Ce sont des abonnements payants (Avec 3 jours d'essai gratuit sur Apple Podcasts, vous pouvez donc tout écouter en 3 jours gratuitement ;) , mais si vous vous engagez au moins sur un mois, ça me permet de financer Gamberge, de ne plus payer mes techniciens occasionnels, mon matériel ou mes déplacements de ma poche
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
Je t'accompagne pour mettre en place tes modèles mentaux ici : ICI***Découvre ce que nous avons créé pour t'aider à aller plus loin :Des formactions pratiques et concrètes pour manager efficacement, quel que soit ton rôle ou ton secteur.Une communauté unique en ligne, le CIEL, où dirigeants et cadres dirigeants, s'entraident pour réussir ensemble.L'offre exclusive du moment pour t'aider à passer à l'action dès aujourd'hui.Clique ici pour explorer le catalogue ODM : https://www.formactions.outilsdumanager.com/cataloguecomplet***Dans cet épisode d'Outils du Manager, je t'explique la différence entre un intrapreneur et un intellectuel frustré.Surtout, j'aimerais te donner les clés pour passer de l'un à l'autre.On parle de méthode pour développer ton système mental, apprendre de tes erreurs, tenir un journal pour booster ton efficacité et adopter une vraie stratégie de management.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui je vous emmène à la rencontre d'un duo d'entrepreneures : Emmanuelle et Jeanne qui sont les co associées de Bonsigne. Les recevoir à mon micro fut un pur bonheur, toutes deux forment un duo ultra complémentaire, elles semblent littéralement faites pour travailler ensemble. Vous l'entendrez dans notre conversation, il arrive souvent que l'une finisse les phrases de l'autre. Cette harmonie est belle à voir, elle est aussi très touchante. Leurs parcours se ressemblent, école de commerce, grand groupe ou startup, remise en question, bifurcation vers un CAP cuisine pour Emmanuelle, la naturopathie pour Jeanne et puis elles se rencontrent, Jeanne anime des ateliers pour Bonsigne et de fil en aiguille elles deviennent associées. Emmanuelle revient aussi sur sa première association avec Candice, ce qui a fonctionné et ce qui a contribué à la fin de leur association, les enseignements qu'elle en a tiré et comment elle a su les mettre à profit lorsque la question de s'associer avec Jeanne s'est posée. Pendant notre conversation, nous avons aussi abordé l'importance de s'entourer, de rejoindre des réseaux et je profite de cette introduction pour mettre en lumière le travail de Réseau Entreprendre Nord dans l'accompagnement des entreprises et de leurs dirigeants. Surtout les équipes de Richard Degezelle créent des occasions de se rencontrer et d'échanger, de collaborer comme ce fut le cas pour Bonsigne et Sublimeurs. Je remercie Emmanuelle et Jeanne pour leur confiance, leur transparence et pour les valeurs qu'elles portent au quotidien avec Bonsigne, être un traiteur zéro déchet et bas carbone et pouvoir aujourd'hui le partager avec leurs clients qui reçoivent un bilan carbone à l'issue de chaque prestation. Si vous avez aimé cette conversation et que vous avez envie de soutenir ce travail qu'est la création d'un podcast indépendant, n'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute, à le noter, à laisser un commentaire et à le partager autour de vous, c'est par ces actions que le podcast sera visible alors merci à vous ! Maintenant, je laisse la place à cette conversation douce et vibrante, que j'ai eu la joie d'enregistrer avec Jeanne et Emmanuelle.Bonne écoute ! Leurs recommandations culturelles:Jeanne : la saga des rois maudits de Maurice DruonEmmanue : aller déjeuner ou dîner à l'Arborescence Leurs recommandations d'invités :Alaude et Laureen de SublimeursJustine et Agathe de HolimamaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est le deuxième épisode de la saison 2 de Good talk Simone ! Pour ce nouvel épisode, on discuter de l'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS). Surtout que deux d'entre nous travaillent avec un jeune public, donc l'EVARS est vraiment au cœur de nos vies ! Quelques ressources sur l'EVARS : https://eduscol.education.fr/2078/connaitre-les-enjeux-de-l-education-la-sexualiteSur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants : https://www.unicef.fr/convention-droits-enfants/protection/violences-et-agressions-sexuelles/Pour parler à des personnes formées concernant une situation d'enfant en danger : 119 Pour connaître les antennes du planning familial dans votre territoire : https://www.planning-familial.org/frMusique : Girl on top - Amy Lynn & The Honeymoon_____________Nous sommes Elodie, Alice et Sirima, meilleurs amies depuis plus de 15 ans. Voici Good talk Simone : un podcast basé sur notre amitié, où nous partageons nos discussions et réflexions féministes. Le tout avec un soupçon de misandrie ! Pochette du podcast : Sirima de ResseguierHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les baleines sont de plus en plus nombreuses dans la baie de New York. Leur retour a commencé il y a une dizaine d'années, mais il surprend encore les scientifiques. Ce sont surtout des baleines à bosse qui dévient de leur route estivale, vers le Grand Nord. En 2011, elles étaient cinq, aujourd'hui près de 500 ont été identifiés. Elles font le bonheur des touristes et des habitants de la région, qui peuvent partir en mer les observer. Les naturalistes de l'association Gotham Whale, qui étudient, répertorient et protègent les baleines et les dauphins de la baie, sont tous les jours à bord de l'American Princess, au départ de Brooklyn. De notre correspondante aux États-Unis, Après une heure de navigation, la joie éclate : une baleine plonge et fait claquer ses nageoires tachetées de blanc à quelques mètres de l'American Princess. C'est la deuxième excursion pour Reysonia Owens qui vit à 200 km de New-York. L'assistante dentaire confirme, le phénomène est encore peu connu : « J'en parle à tout le monde ! Quand je demande à mes patients : "devinez où je suis allée observer les baleines", ils répondent : "Alaska ? Maine ?". Et quand je leur dis : "eh non, Brooklyn, New York", ils n'en reviennent pas ! » Les baleines de l'Atlantique nord passent l'hiver dans les eaux tropicales et l'été dans les eaux froides. Mais comme sur toute la planète, leurs migrations sont en train de changer, explique le jeune naturaliste Chris St Lawrence, de l'association Gotham Whale : « Avant, ces baleines allaient directement dans le Maine sans passer par New York. Mais à présent, certaines s'arrêtent pour se nourrir. Surtout des jeunes. Parfois, elles ne vont pas plus loin et passent tout l'été avec nous ici, où elles se nourrissent du poisson, appât local, une sorte de petit hareng. » Le changement du climat est l'un des facteurs en jeu, selon le naturaliste : « Le golfe du Maine se réchauffe relativement plus vite que le reste de l'océan. Et ça influence la répartition des proies préférée des baleines. » À lire aussiÉtats-Unis: les baleines à bosse de retour dans la baie de New York Mais sans eaux propres, pas de poissons. La loi sur la protection de l'eau de 1972 a donc joué un rôle essentiel à New York, explique le photographe animalier Jason Denesevitch : « Avec une eau plus propre, on a davantage de poissons appâts, qui attirent à leur tour les grands animaux comme les baleines. Depuis vingt ans, les pêcheurs voient revenir des espèces plus variées, comme les ombrines et les sars, qui avaient disparu tellement l'eau était polluée. Aujourd'hui, en juin et juillet, on voit même des esturgeons ! » Gotham Whale a identifié 463 baleines à bosse dans la baie de New York, dont certaines sont devenues familières des naturalistes. Mais des espèces plus rares font parfois leur apparition. « L'an dernier, on a repéré un regroupement de plus de cinquante baleines noires dans le canyon de l'Hudson, à environ 160 km de New York. Et on a pu alerter les autorités compétentes pour assurer leur protection », raconte Chris St Lawrence. À bord de l'American Princess, les naturalistes sensibilisent le grand public : sur treize espèces de baleines, six sont menacées. Or ces mammifères régulent l'ensemble de l'écosystème marin, et piègent de grandes quantités de CO2. Baptisées ingénieurs des océans, les baleines sont essentielles à la santé de la planète. À lire aussiLa chasse à la baleine, histoire d'une surexploitation mondiale
Les baleines sont de plus en plus nombreuses dans la baie de New York. Leur retour a commencé il y a une dizaine d'années, mais il surprend encore les scientifiques. Ce sont surtout des baleines à bosse qui dévient de leur route estivale, vers le Grand Nord. En 2011, elles étaient cinq, aujourd'hui près de 500 ont été identifiés. Elles font le bonheur des touristes et des habitants de la région, qui peuvent partir en mer les observer. Les naturalistes de l'association Gotham Whale, qui étudient, répertorient et protègent les baleines et les dauphins de la baie, sont tous les jours à bord de l'American Princess, au départ de Brooklyn. De notre correspondante aux États-Unis, Après une heure de navigation, la joie éclate : une baleine plonge et fait claquer ses nageoires tachetées de blanc à quelques mètres de l'American Princess. C'est la deuxième excursion pour Reysonia Owens qui vit à 200 km de New-York. L'assistante dentaire confirme, le phénomène est encore peu connu : « J'en parle à tout le monde ! Quand je demande à mes patients : "devinez où je suis allée observer les baleines", ils répondent : "Alaska ? Maine ?". Et quand je leur dis : "eh non, Brooklyn, New York", ils n'en reviennent pas ! » Les baleines de l'Atlantique nord passent l'hiver dans les eaux tropicales et l'été dans les eaux froides. Mais comme sur toute la planète, leurs migrations sont en train de changer, explique le jeune naturaliste Chris St Lawrence, de l'association Gotham Whale : « Avant, ces baleines allaient directement dans le Maine sans passer par New York. Mais à présent, certaines s'arrêtent pour se nourrir. Surtout des jeunes. Parfois, elles ne vont pas plus loin et passent tout l'été avec nous ici, où elles se nourrissent du poisson, appât local, une sorte de petit hareng. » Le changement du climat est l'un des facteurs en jeu, selon le naturaliste : « Le golfe du Maine se réchauffe relativement plus vite que le reste de l'océan. Et ça influence la répartition des proies préférée des baleines. » À lire aussiÉtats-Unis: les baleines à bosse de retour dans la baie de New York Mais sans eaux propres, pas de poissons. La loi sur la protection de l'eau de 1972 a donc joué un rôle essentiel à New York, explique le photographe animalier Jason Denesevitch : « Avec une eau plus propre, on a davantage de poissons appâts, qui attirent à leur tour les grands animaux comme les baleines. Depuis vingt ans, les pêcheurs voient revenir des espèces plus variées, comme les ombrines et les sars, qui avaient disparu tellement l'eau était polluée. Aujourd'hui, en juin et juillet, on voit même des esturgeons ! » Gotham Whale a identifié 463 baleines à bosse dans la baie de New York, dont certaines sont devenues familières des naturalistes. Mais des espèces plus rares font parfois leur apparition. « L'an dernier, on a repéré un regroupement de plus de cinquante baleines noires dans le canyon de l'Hudson, à environ 160 km de New York. Et on a pu alerter les autorités compétentes pour assurer leur protection », raconte Chris St Lawrence. À bord de l'American Princess, les naturalistes sensibilisent le grand public : sur treize espèces de baleines, six sont menacées. Or ces mammifères régulent l'ensemble de l'écosystème marin, et piègent de grandes quantités de CO2. Baptisées ingénieurs des océans, les baleines sont essentielles à la santé de la planète. À lire aussiLa chasse à la baleine, histoire d'une surexploitation mondiale
Sous l'effet de la guerre commerciale menée par Donald Trump, Pékin réoriente ses exportations. Si les flux vers les États-Unis s'effondrent, l'Europe, l'Asie et même l'Afrique deviennent des débouchés privilégiés. Les chiffres d'août 2025 confirment un tournant pour la deuxième économie mondiale. Si les exportations chinoises progressent encore par rapport à l'été 2024, leur croissance ralentit fortement. Surtout, les ventes vers les États-Unis se contractent brutalement : -12% en un mois, soit environ 5 milliards de dollars en moins. En cause, les surtaxes de 30% imposées par Washington sur l'ensemble des produits chinois. Mais Pékin ne se contente pas d'encaisser le choc. La Chine redéploie sa production vers d'autres marchés. L'Europe en première ligne du redéploiement Le continent européen s'impose comme la principale alternative pour les exportateurs chinois. Au premier semestre 2025, il a absorbé 16% des exportations chinoises, une proportion en hausse constante. Tous les secteurs sont concernés : électronique, chimie, textile, jouets, pharmaceutique, acier et surtout automobile électrique. Si certains y voient une opportunité — prix plus compétitifs et accès à des innovations technologiques — d'autres redoutent un « nouveau choc chinois » entraînant une désindustrialisation accélérée. L'Asie et l'Afrique, nouveaux relais de croissance La stratégie dite du « China+1 » illustre cette diversification. Pékin maintient sa base industrielle tout en s'appuyant sur ses voisins de l'Asean (+22% d'exportations vers la région) pour la production et la réexportation, du Vietnam à la Thaïlande. L'Asie centrale bénéficie également des Nouvelles Routes de la Soie, tandis que l'Inde et l'Afrique voient affluer des produits chinois. Pour accompagner ce basculement, la Chine a ouvert 117 nouvelles lignes de fret aérien au premier semestre. Derrière cette intensification logistique, une stratégie claire : compenser le recul du marché américain, renforcer son influence régionale et rappeler qu'elle reste un acteur incontournable du commerce mondial.
À quelle vitesse perte du poids, calmer un syndrome rotulien, mon avis sur les réseaux sociaux dans le sport et mes objectifs pour 2026. Ce sont les questions qui m'ont été posées cette semaine. Et ça me permet de vous parler de la drôle d'idée que j'ai eue pour 2026.Liens :Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolekm42Nouveau : La Stratégie FlowFit (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitkm42Le formulaire pour poser vos questions : https://tally.so/r/3yBqXWTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/374Les questions de la semaine me permettent de revenir sur l'importance de perdre du gras et prendre du muscle plutôt que viser une perte de poids. Vous comprendrez comment sont nés mes programmes comme Le Protocole Perte de Gras et le tout nouveau FlowFit.Je vous partage ma vision des réseaux sociaux actuels et des problématiques de la comparaison et du découragement avec les réseaux sociaux comme Strava et Instagram. J'ai les genoux qui grincent, surtout un et ce serait un problème de syndrome rotulien. La question de la semaine me permet de vous en parler et comment j'évite qu'il me fasse mal. Enfin je vous parle d'une idée née dans un rêve mais qui me motive beaucoup pour les mois qui viennent. Surtout en y ajoutant une dimension de jeu. Les questions de cet épisode :Combien de kilos maximum recommandes-tu de perdre par semaine / mois ?Les réseaux sociaux ? Bonne ou mauvaise chose ? J'allais marqué pour la course mais pas que Douleurs liées à un syndrome rotulien, quoi faire pour ne plus avoir de douleur ?
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Raphaël Masbou, l'un des cofondateurs de Lokki, la plateforme leader dans la location d'équipements outdoor. Cette start-up, fondée en 2019, aujourd'hui labellisée entreprise à mission, s'est fixée pour objectifs de proposer une alternative durable à l'achat via la location d'équipements, et de démocratiser l'accès aux loisirs pour tous. Ensemble, ils vont tenter de répondre à la question suivante : la location d'équipements est-elle vraiment une solution pour limiter notre impact ? En somme, faut-il arrêter d'être propriétaire de tout pour limiter notre impact ? Les Français, encore trop peu habitués à la location d'équipements La location d'équipements est encore peu fréquente en France : selon une étude IFOP, seulement 64% des Français ont déjà loué ou envisagent de louer un bien d'équipement. Pourtant, concrètement, combien de fois nous nous servons de notre perceuse dans l'année ? Est-ce que ça vaut vraiment le coup d'en posséder une quand on pourrait la louer ? Surtout quand on sait que c'est un mode de consommation qui répond aux enjeux d'aujourd'hui : économies, écologie, flexibilité. Alors, la location d'équipements est-elle vraiment une solution pour limiter notre impact ? La réponse dans cet épisode de L'Empreinte. Dans chaque épisode de L'Empreinte, nous tentons de comprendre comment les marques s'engagent et agissent concrètement, ou non, dans la transformation positive de notre société. Notre objectif est simple : tendre le micro aux dirigeants ou aux directeur.ices RSE pour leur donner la parole sur leurs engagements et, par la même occasion, tenter de répondre à des questions que nous nous posons toutes et tous. Crédits : Production : Bababam Interview : Alice Vachet Avec la participation de Raphaël Masbou, cofondateur de Lokki Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Raphaël Masbou, l'un des cofondateurs de Lokki, la plateforme leader dans la location d'équipements outdoor. Cette start-up, fondée en 2019, aujourd'hui labellisée entreprise à mission, s'est fixée pour objectifs de proposer une alternative durable à l'achat via la location d'équipements, et de démocratiser l'accès aux loisirs pour tous. Ensemble, ils vont tenter de répondre à la question suivante : la location d'équipements est-elle vraiment une solution pour limiter notre impact ? En somme, faut-il arrêter d'être propriétaire de tout pour limiter notre impact ? Les Français, encore trop peu habitués à la location d'équipements La location d'équipements est encore peu fréquente en France : selon une étude IFOP, seulement 64% des Français ont déjà loué ou envisagent de louer un bien d'équipement. Pourtant, concrètement, combien de fois nous nous servons de notre perceuse dans l'année ? Est-ce que ça vaut vraiment le coup d'en posséder une quand on pourrait la louer ? Surtout quand on sait que c'est un mode de consommation qui répond aux enjeux d'aujourd'hui : économies, écologie, flexibilité. Alors, la location d'équipements est-elle vraiment une solution pour limiter notre impact ? La réponse dans cet épisode de L'Empreinte. Dans chaque épisode de L'Empreinte, nous tentons de comprendre comment les marques s'engagent et agissent concrètement, ou non, dans la transformation positive de notre société. Notre objectif est simple : tendre le micro aux dirigeants ou aux directeur.ices RSE pour leur donner la parole sur leurs engagements et, par la même occasion, tenter de répondre à des questions que nous nous posons toutes et tous. Crédits : Production : Bababam Interview : Alice Vachet Avec la participation de Raphaël Masbou, cofondateur de Lokki Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Il a été question d'Haïti hier, (22 septembre 2025) aux Nations unies, lors d'une réunion en marge de l'Assemblée générale. Le président du Conseil présidentiel de transition a pris la parole et a lancé un nouvel appel à l'aide, rapporte Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. L'arrêt de la Mission multinationale emmenée par le Kenya, prévu le 2 octobre 2025, serait «fatal pour le pays», a averti Laurent Saint-Cyr qui réclame «une force plus robuste pour briser l'emprise des gangs». Le président kényan, lui aussi, s'est exprimé. Il a expliqué que la mission multinationale censée lutter contre les gangs a fonctionné à 40% seulement, par rapport à ce qui était prévu. Manque d'effectifs, de moyens... William Ruto a raconté que les véhicules fournis par les États-Unis étaient usagés et sont, donc, souvent tombés en panne. Le chef de l'État kényan tout comme les États-Unis ont plaidé pour une transformation de la mission en Haïti. «Washington demande une force de répression des gangs de 5.500 membres mandatés par l'ONU», explique Gotson Pierre. Au cours de cette réunion, les États-Unis ont également annoncé qu'ils avaient décidé d'imposer des sanctions à l'ancien sénateur du département de l'Ouest, Antonio Chéramy, et à l'ex-député de la circonscription de Delmas/Tabarre, Arnel Bélizaire, pour corruption et déstabilisation des institutions démocratiques. Ils n'ont plus le droit de se rendre aux États-Unis Le calvaire des femmes en Haïti «Dans les abris de déplacés, survivre est un combat quotidien», surtout pour les femmes, raconte Gotson Pierre. «Les rares distributions d'aide finissent souvent dans la violence», explique le journaliste. Alterpresse a recueilli le témoignage de Marie, veuve de 69 ans, qui vit dans une école et a été agressée en allant chercher de la nourriture pour les siens. Une relation ancienne entre les États-Unis et Israël Donald Trump doit s'exprimer cet après-midi à la tribune des Nations unies. Il devrait réagir à la reconnaissance de la Palestine par une dizaine de pays occidentaux hier et avant-hier, et réaffirmer le lien indéfectible entre les États-Unis et Israël. Un lien très ancien «qui remonte à la création d'Israël, qui s'est amplifié pendant la Guerre froide et qui a pris des proportions absolument colossales : entre 1946 et 2024, 300 milliards de dollars d'aide américaine ont été versés à l'État d'Israël», explique notre correspondant aux États-Unis, Vincent Souriau. Il faut dire qu'Israël sert de rempart à la Maison Blanche au Proche-Orient «contre l'influence soviétique dans le passé et aujourd'hui, dans la lutte contre le terrorisme, la stabilité des cours du pétrole, la préservation de ressources stratégiques et la mise au ban du régime iranien», détaille Vincent Souriau. Il y a également une dimension militaire dans cette relation puisqu'on dit souvent que les Israéliens sont les premiers «testeurs» du matériel américain. Et enfin, une dimension sentimentale. «Aux États-Unis, il y a un attachement sentimental à Israël qui est perçu par toute une génération comme la victoire d'un peuple persécuté qui est parvenu à créer un État démocratique», analyse le journaliste de RFI. «Cette perception diminue ces dernières années, notamment depuis le 7 octobre, surtout au sein des jeunes générations. Mais il reste chez les baby-boomers qui dominent encore la scène politique, l'image d'Israël en quelque sorte comme celle d'un miroir de l'idéal démocratique américain.» D. Trump établit un lien entre l'autisme et le paracétamol, malgré les avis scientifiques Le président américain reconnaît qu'il n'est «pas médecin» mais il recommande pourtant aux femmes enceintes de ne pas prendre de paracétamol et de ne pas en donner aux bébés, car selon lui, ce médicament augmente les risques d'autisme. Une affirmation infondée, soulignent les médias américains. Ses conseils médicaux ne reposent sur rien, explique le New York Times qui rappelle que pendant des années, les scientifiques ont mené des études sur un lien éventuel entre le paracétamol et l'autisme et que leurs résultats ne sont pas concluants. Il n'y a pas de lien non plus entre les vaccins et l'autisme, contrairement à ce qu'a aussi affirmé Donald Trump hier. Une idée qui a été débunkée - démystifiée en bon français - depuis longtemps, souligne encore le journal. Enfin, le président américain a autorisé la prise d'acide folinique pour lutter contre l'autisme. «Les premiers essais menés auprès de petits groupes d'enfants ont montré des progrès encourageants en matière de langage. Mais les chercheurs insistent sur le fait qu'il faut mener des études à plus grande échelle», explique le Washington Post. Ceux que le New York Times a interrogés confirment qu'il est encore trop tôt pour parler d'un traitement de l'autisme et estiment qu'alors que les fonds alloués à la recherche sont limités, il y a d'autres sujets bien plus prioritaires. Les États-Unis au secours de l'Argentine Donald Trump doit s'entretenir avec le président argentin Javier Milei ce mardi (23 septembre 2025) en marge de l'AG des Nations unies. Hier, le Trésor américain s'est dit « prêt à faire le nécessaire » pour soutenir l'économie argentine et la sortir de la tourmente financière qui l'agite ces dernières semaines. Après l'annonce américaine, les marchés se sont calmés, relève le Wall Street Journal. Mais cela ne va pas durer. Et Donald Trump ne compte sans doute pas «utiliser l'argent du contribuable américain pour financer la sortie du peso des investisseurs lors d'une attaque spéculative.» La balle est, donc, dans le camp de l'Argentine à en croire le Wall Street Journal. «Les Argentins ont des milliards de dollars cachés sous leurs matelas ou dans des boîtes de café (...) Un plan crédible de Milei pour faire du dollar la monnaie légale leur permettrait de mettre ces billets verts au travail dans l'économie argentine», poursuit le quotidien qui incite le président argentin à dollariser l'économie en échange de l'aide américaine. Grève nationale en Équateur En Équateur, une grève nationale a débuté hier. Le détonateur est la fin des subventions sur le diesel et par conséquent, la hausse du prix du carburant. Deux fois déjà, en 2019 et en 2022, le pouvoir en place avait tenté de faire passer cette mesure. Mais la rue l'avait fait reculer. Cette fois-ci, les choses devraient être différentes, analyse El Comercio. Car malgré cette décision impopulaire, Daniel Noboa conserve un fort capital politique. Il reste légitime aux yeux d'une grande partie du peuple et ses soutiens ont toujours du poids au Parlement, détaille le journal. En outre, le mouvement indigène, à l'origine de cette grève, est divisé. Enfin, poursuit El Comercio, Daniel Noboa a été malin : il a promis des aides à certains secteurs, comme l'agriculture et les transports. Surtout, pour éviter que Quito ne devienne l'épicentre de la contestation, comme en 2019 et en 2022, le président a déménagé le pouvoir exécutif à Latacunga, à environ 100 km au sud de la capitale, en plein territoire indigène. Une manière de dire aux manifestants que lui, ne cèdera pas, estime le quotidien. Le journal de la 1ère Dans l'affaire du chlordécone, la cour d'Appel de Paris rendra sa décision le 23 mars 2026.
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
durée : 00:05:20 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Les stars n'ont aucune intimité. Surtout ne soyez pas célèbre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:03:08 - Capture d'écrans - par : Dorothée Barba - Grande soirée jazz sur France 4 avec la diffusion d'un documentaire consacré à Quincy Jones suivi de la diffusion de la cérémonie des Victoires du jazz enregistrée il y a quelques semaines. Une exposition médiatique salvatrice pour un genre musical trop souvent ignoré de la télé Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aurélie Aimé est journaliste. Son sujet de prédilection, la spiritualité, est à l'origine de son premier livre Lieux sacrés et mystèrieux en France, qu'elle était venue présenter lors de sa première participation à Zeteo, en 2023. Cette année, après avoir traversé de grandes souffrances personnelles, elle a choisi de donner la parole à une quinzaine de témoins. Dans le film De l'Or sous la cendre, qu'elle a écrit et co-produit, ces personnes racontent comment elles ont été heurtées de plein fouet par l'épreuve, frôlant parfois la folie ou la mort. Un point commun bouleversant les relie toutes : le retournement radical, l'illumination intérieure, et le début d'une vie nouvelle beaucoup plus intense, heureuse et apaisée que celle d'avant. À quelques jours seulement de sa première représentation, qui aura lieu à Lyon le 30 septembre prochain, Aurélie Aimé partage quelques pépites de ce film émouvant, fort, poétique et particulièrement inspiré, que nous avons pu voir en intégralité. Dans De l'Or sous la cendre, nous allons à la rencontre de personnes exemplaires, comme Frédérique Lemarchand, Laurent Gounelle, Marc Vella, Sylvie Dethiollaz, Fabienne Raoul… Elles témoignent d'épreuves telles que l'expérience de mort imminente, la révélation dévastatrice d'un secret familial, le deuil, la séparation, l'accident, la maladie, la maltraitance infantile, la dépression, le burn-out… Si ces personnes ont des histoires très différentes les unes des autres, elles témoignent toutes avoir vécu des étapes qui se ressemblent profondément. À chaque fois, elles nous disent comment la peur et la souffrance peuvent être traversées. Aurélie Aimé le dit elle-même : « la peur nous empêche d'accéder au trésor ». Pourtant, comme le confie un témoin du film, « le remède de la blessure est la blessure elle-même ». Consentir à l'épreuve nous ouvre, en permettant à la lumière de s'engouffrer. Surtout, nous ne sommes jamais seuls. Il y a toujours, en chaque épreuve, une présence visible ou invisible qui nous accompagne, qui nous aide, qui nous relève et qui ne nous abandonne jamais. Avec Aurélie Aimé et son film magnifique, nous sommes invités à visiter nos souffrances dans toute leur profondeur, à accueillir et traverser nos douleurs et nos peurs, jusqu'à la métamorphose. Celle qui nous transforme et qui fait plonger nos vies dans l'océan d'or, de lumière, d'amour et d'éternité auquel nous sommes tous appelés. -------------- Pour connaître les dates et les lieux de projection du film De l'Or sous la Cendre, écrit et co-produit par Aurélie Aimé, cliquer ici. LA GOUTTE D'EAU QUI SAUVE LE MONDE Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Il y a deux ans, j'avais déjà rencontré Aurélie Aimé, l'invitée du nouvel épisode diffusé à partir d'aujourd'hui. Venue parler de son premier livre, j'avais fais connaissance avec une jeune femme profonde, professionnelle, j'avais apprécié la curiosité et l'ouverture du regard qu'elle portait sur le monde. Je ne savais rien de l'épreuve qu'elle traversait, et je n'avais rien vu de l'intense combat intérieur qu'avait dû lui coûter cet interview. Cette année, Aurélie a choisi de transformer son épreuve en créant un film bouleversant : De l'Or sous la cendre. Elle a donné la parole à des personnes qui, comme elle et au cœur d'épreuves extrêmement lourdes, ont été illuminées et transformées par un immense amour. J'ai rarement vu une telle métamorphose ! La jeune femme d'il y a deux ans n'est plus la même. C'est comme si toutes les qualités qu'elle exprimait alors avaient été magnifiées. En fait, je vais écrire ici les mots qui me sont venus en rédigeant ces lignes. J'ai failli les refouler tant je les trouvais osés. Et pourtant, ils disent le mieux ce que j'ai ressenti en présence d'Aurélie, comme en regardant et en écoutant chaque témoin de son film. Ce que ces personnes vivent, et ce à quoi elles nous invitent, c'est leur transfiguration. Comme celle du Christ transfiguré, dont le visage apparaît dans les tableaux de Frédérique Lemarchand, l'une des héroïnes du film. Comme de tant d'autres hier et demain, j'ai attendu la diffusion de cet épisode avec impatience. Je me réjouis de le partager, et de savoir qu'il va illuminer beaucoup de cœurs. Il va aider à soulager les souffrances, à surmonter les peurs. Il va libérer la vie et l'amour, et transmettre la beauté. Comme celle dont parle une autre héroïne incroyable de L'Or sous la cendre. Au pire de la douleur, Séverine Hundziger dit que c'est la vision d'une goutte d'eau, ou de tout autre beauté qui apparaissait alors à ses yeux, qui l'a sauvée. Zeteo est au cœur de sa mission. Je tiens à remercier particulièrement Aurélie ici aussi, comme je le lui ai déjà dit directement. Comme tous ceux qui font confiance à Zeteo, et qui donnent le meilleur d'eux-mêmes pour que ce podcast poursuive cette mission. Ils le font par leur témoignage, ou par leur écoute, par leurs messages et bien-sûr aussi par leurs dons. Cette mission n'est qu'une petite goutte d'eau de plus, mais elle a un beau reflet et son goût est bon, rafraîchissant et apaisant. Grande est ma gratitude pour ceux qui contribuent, d'une manière ou d'une autre, à cette mission. Celle-ci, grâce à vous, parvient parfois à irradier de lumière nos ténèbres et nos souffrances, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour soutenir l'effort de Zeteo, diffusé entièrement gratuitement et sans publicité, en faisant un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Vous me les réclamez depuis des années : ça y est, je suis allée interviewer Hélène et Julien, alias les architectes Heju, pour qu'ils me racontent LEUR vie de chantier !Dans cet épisode, on parle de leurs débuts en tant qu'architectes, de travailler en couple, de leurs inspirations japonaises et scandinaves, de créativité, de trouver l'équilibre dans un budget travaux, de pin Douglas, de béton ciré, de zelliges et de marbre de Calacatta, du prix moyen au m2 d'une rénovation aujourd'hui, et de leur façon de gérer un chantier à travers deux de leurs projets gérés pour des clients récemment.Vous entendrez donc leurs conseils pour bien suivre et gérer un chantier, pour choisir le bon architecte pour votre projet travaux, ainsi que leurs meilleures adresses réno et déco...Rendez-vous sur ce lien pour visiter les appartements en photos et voir les Avant/Après des travaux. Mais je ne vous en dis pas plus, et je laisse place à l'histoire de deux rénovations menées par Hélène et Julien. Bonne écoute !*****NOTES DE L'ÉPISODE******- La visite en photos des appartements Saint-Antoine et Aumale : https://www.lechantierpodcast.fr/81-heju-chantiers-appartements- Le compte Instagram du podcast : @lechantierpodcast- Le compte Instagram de Heju Studio : @hejustudioMerci à mon partenaire Season Paper de soutenir cet épisode. Si vous cherchez de magnifiques papiers peints aux motifs intemporels pour un quotidien inspirant, rendez-vous sur https://fr.seasonpapercollection.com ou sur leur compte Instagram @seasonpapercollection ! Surtout qu'ils m'ont gentiment proposé un code promo pour vous, auditeurs du podcast, et vous aurez donc -15% sur votre commande, sans limite dans le temps et sans minimum d'achat, avec le code LECHANTIER. Ne me remerciez pas
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
On la paie souvent sans vraiment y prêter attention : la taxe d'enlèvement des ordures ménagères. Prélevée en même temps que la taxe foncière, elle finance la collecte et le traitement des déchets. En théorie, elle permet aux communes de couvrir les frais d'un service public essentiel. En pratique, elle se révèle de plus en plus coûteuse pour les contribuables, et parfois… bien plus lucrative que prévu pour certaines collectivités.Une hausse continue et des disparités criantesSelon l'UFC-Que Choisir, cette taxe a grimpé en moyenne de 20 % en cinq ans. Un rythme qui pèse lourd sur le portefeuille des propriétaires. Surtout que son montant varie fortement d'un territoire à l'autre. À Brest, par exemple, un habitant s'acquitte d'environ 68 euros par an, quand à Paris la facture s'élève à 240 euros en moyenne. Pour les associations de consommateurs, ces différences restent difficiles à justifier.Quand les collectivités font de la trésorerieUne enquête de l'Agence de la transition écologique, reprise par Le Monde, met en lumière une dérive : plus d'une collectivité sur deux prélève davantage qu'elle ne dépense réellement pour la gestion des déchets. Or, la loi est claire : cette taxe doit uniquement couvrir le service rendu, et en aucun cas devenir une source de bénéfices.Exemple frappant : la métropole de Dijon. En 2022, elle a perçu 110,32 euros par habitant, alors que le coût réel du traitement n'était que de 69,17 euros. Face aux critiques, les responsables invoquent la nécessité d'anticiper des investissements lourds, notamment pour moderniser les infrastructures de tri et de valorisation des déchets.La justice donne raison aux contribuablesLes tribunaux, eux, rappellent régulièrement les règles. À Saint-Amand-les-Eaux, dans le Nord, les habitants ont gagné un procès contre leur agglomération. Motif : un trop-perçu en 2021. Résultat concret, des chèques de 115 euros ont été envoyés aux contribuables lésés. Une victoire qui a fait jurisprudence et incité d'autres habitants à contester leurs avis de taxe.Une taxe nécessaire, mais à encadrerL'UFC-Que Choisir nuance toutefois son propos : la taxe d'ordures ménagères a sa légitimité. Entre 2020 et 2024, le coût réel de la collecte et du traitement a bondi de 22 %, notamment à cause de l'inflation, du prix de l'énergie et des exigences croissantes en matière de recyclage. Le problème n'est donc pas son existence, mais sa gestion opaque et parfois abusive.En clair, si personne ne remet en cause l'utilité de financer le ramassage des poubelles, de plus en plus de voix s'élèvent pour que la facture soit juste, transparente et proportionnée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Gloire à Dieu ! Ce que Dieu a fait pour eux, il veut continuer à le faire pour son peuple. Surtout quand vous voyagez, Amen, Dieu vous protégera. Faites toujours confiance à Dieu pour sa protection. Et quand vous voyez qu'il arrive quelque chose, un incident fâcheux, sachez que cela...
Suite à un super sondage sur Patreon, vous avez choisi le prochain film. Notre thème c'était le voyage ! Parce que la rentrée c'est de la CHIA...euh c'est pas terrible, du coup on s'est dit "viens on voyage". Et c'est En avant qui l'a emporté ! Une histoire de voyage initiatique entre un elfe qui apprend la magie sans trop vouloir, et son frère qui est expert et qui en sait peut-être trop ? Surtout, c'est un voyage vers le deuil... Ou autre chose ? Est-ce qu'on a lâché des hectolitres de larmes encore à cause de Pixar ? Et surtout, c'est du FLAN ou c'est pas du FLAN ? 6:11 Salut mon spot'7:49 L'actu vite démoulée19:25 Le contexte53:25 Le débat1:50:03 Les critiques2:00:53 Le futur Pensez à nous soutenir avec des commentaires ou des étoiles sur les applis, voire même avec un peu de sous sur Patreon ! MERCI aux gens qui nous soutiennent où que ce soit !
Mimi et Sa-fora Doe nous explique leur parcours, comment elles se sont rencontrées, comment elles ont découvert le BDSM, et comment et pourquoi c'est surtout le SM qui a emporté leur faveur.----------------------------------------------------------------Steve et Rose Haldeman s'expriment sur quatre autres sujets, en rapport avec leurs écrits :- les sexualités- la protection de l'enfance- le monde de l'entreprise- la science-fictionPour en savoir plus, vous pouvez les retrouver :- sur leur site internet : stevehaldeman.com- sur leur chaîne Youtube principale : https://www.youtube.com/@steveetrosehaldeman- et sur leurs autres réseaux sociaux, dont les liens sont disponibles sur la page d'accueil de leur site.----------------------------------------------------------------Leurs écrits :Petite histoire d'un entrepreneur désabusé, de Steve Haldeman- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0FNT8TMDT/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494242061/Notre histoire : La série "Maître et soumise, leur histoire" est un double roman BDSM, raconté pour l'un du point de vue du maître, et pour l'autre du point de vue de la soumise. Elle se compose de 4 tomes.Par Steve HaldemanMa soumise, mon amour, Tome 1 (septembre 2022)- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0BDMWCYR6/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494242002/- livre audio : https://play.google.com/store/audiobooks/details/Steve_Haldeman_Ma_soumise_mon_amour?id=AQAAAEDSe2o7qM&pli=1Ma soumise, mon amour, Tome 2 (décembre 2023)- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0CQ3YG9T7/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494242029/- livre audio : https://play.google.com/store/audiobooks/details/Steve_Haldeman_Ma_soumise_mon_amour?id=AQAAAEAyL3hvWMPar Rose HaldemanMon Maître, mon amour, Tome 1 (juin 2023)- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0C9H2GYK9/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494243009/Mon Maître, mon amour, Tome 2 (décembre 2024)- version e-book : https://www.amazon.fr/dp/B0DPGJ8HZV/- version papier : https://www.amazon.fr/dp/2494243025/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Dans cet épisode hors-série disponible aussi en format vidéo sur YouTube, je suis avec Thomas Hammoudi, photographe, auteur et créateur des sujets de la photographie. Ensemble, on a décortiqué toutes les façons de rater un livre photo, de l'idée de départ à la promotion finale. Un échange sans langue de bois, truffé de conseils concrets pour les professionnels de la photographie. Retrouvez la deuxième partie de notre discussion sur la chaîne YouTube de Thomas Hammoudi.Bonne écoute !Chaîne YouTube de Thomas : https://www.youtube.com/c/thomashammoudiSite Le Chineur de livres photos : https://apps.thomashammoudi.com/Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueLien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre projet de livre : https://bit.ly/LVDLPlivrephotoMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Laurence Pessez, Global Sustainability Officer de BNP Paribas, un leader européen et un acteur bancaire international implanté dans 64 pays. Par leurs financements et investissements massifs, les banques ont la capacité de favoriser certains secteurs d'activité. Alors que l'Accord de Paris a fixé l'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C d'ici 2100, certaines ONG affirment que tout ne va pas dans ce sens : D'après le rapport d'Oxfam France intitulé « Banques : des engagements climat à prendre au 4ème degré », les émissions de gaz à effet de serre issues des activités de financement et d'investissement des six plus grosses banques françaises représentaient huit fois les émissions de CO2 de la France en 2020… Sur le site de BNP Paribas, on peut lire « Le Groupe s'est engagé à dédier plus de 200 milliards d'euros à la transition de ses clients vers une économie bas carbone, notamment via des crédits verts, des fonds. Au cœur même de la raison d'être du groupe BNP Paribas, figure son ambition d'être un acteur de tout premier plan du mouvement vers une économie plus durable. » Quels sont les engagements concrets du Groupe BNP Paribas en matière de ESG ? Quelles actions concrètes ESG ont été mises en place ? Pourquoi continuer à financer de grands groupes pétroliers ? Pourquoi ne pas exclure ces entreprises complètement ? Comment accompagner les clients dans la transition énergétique ? (Surtout les moins engagés et convaincus) ? Laurence Pessez répond à ces questions sans détour dans ce nouvel épisode de L'Empreinte ! Bonne écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Laurence Pessez, Global Sustainability Officer de BNP Paribas, un leader européen et un acteur bancaire international implanté dans 64 pays. Par leurs financements et investissements massifs, les banques ont la capacité de favoriser certains secteurs d'activité. Alors que l'Accord de Paris a fixé l'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C d'ici 2100, certaines ONG affirment que tout ne va pas dans ce sens : D'après le rapport d'Oxfam France intitulé « Banques : des engagements climat à prendre au 4ème degré », les émissions de gaz à effet de serre issues des activités de financement et d'investissement des six plus grosses banques françaises représentaient huit fois les émissions de CO2 de la France en 2020… Sur le site de BNP Paribas, on peut lire « Le Groupe s'est engagé à dédier plus de 200 milliards d'euros à la transition de ses clients vers une économie bas carbone, notamment via des crédits verts, des fonds. Au cœur même de la raison d'être du groupe BNP Paribas, figure son ambition d'être un acteur de tout premier plan du mouvement vers une économie plus durable. » Quels sont les engagements concrets du Groupe BNP Paribas en matière de ESG ? Quelles actions concrètes ESG ont été mises en place ? Pourquoi continuer à financer de grands groupes pétroliers ? Pourquoi ne pas exclure ces entreprises complètement ? Comment accompagner les clients dans la transition énergétique ? (Surtout les moins engagés et convaincus) ? Laurence Pessez répond à ces questions sans détour dans ce nouvel épisode de L'Empreinte ! Bonne écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
Hello ! On se retrouve pour 3 nouvelles histoires ! Abonnez vous les amis ❤️Surtout dites nous ce que vous en pensez en commentaire, comme d'habitude ahah
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'INVITÉ
Découvrez la collection Feu de Camp "Jeux dangereux" : une sélection d'épisodes du podcast qui rassemble les meilleures histoires de jouets possédés et de rituels démoniaques ! En termes de décoration intérieure, peut-on faire pire qu'une vitrine dans laquelle sont entreposés des jouets aux allures d'enfants qui n'en sont pas ? Que peut-il y avoir de plus inquiétant qu'un visage innocent figé et cireux ? Qu'y a-t-il de plus effroyable qu'une paire d'yeux vitreux qui vous scrutent sans ne jamais battre d'un cil ? Ne cherchez pas, il n'existe rien de plus épouvantable que les poupées aux airs faussement angéliques. Surtout celles qui renferment des entités diaboliques. Dans cet épisode, Taous vous raconte trois histoires de poupées hantées qui ont fait de la vie de leur propriétaire un véritable enfer. Feu de Camp est un podcast NRJ, écrit et incarné par Taous Merakchi. Une production disponible sur l'application et le site NRJ rubrique podcast, et sur toutes les plateformes d'écoute. Production : Anne-Cécile Kirry Réalisation : Cédric le Doré Graphisme : Marlène Boulère et Guillaume Mermet Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à nous laisser des étoiles ou des commentaires. Et pour être au courant de la sortie des nouveaux épisodes, abonnez-vous au flux sur votre plateforme préférée !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur l'interview de Sabeha Sansal, fille de Boualem Sansal, qui a confié n'avoir eu aucune réponse d'Emmanuel Macron à son courrier. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes confrères des agences de presse ont été forcés de multiplier les mentions "avant Nvidia" dans les titres de leurs points de marché, mais j'ai décidé de faire de la résistance. J'aurais pu aussi titrer "avant Bayrou", mais il semble plus avant-gardiste de parler d'après-Bayrou. Les déboires politiques de la France et les résultats de l'avatar de l'intelligence artificielle sont deux des principaux déterminants boursiers du jour. Auxquels s'ajoutent deux Trumpitudes : la guerre ouverte contre la Fed et l'entrée en vigueur du doublement à 50% de la surtaxe douanière appliquée à l'Inde.
L'émission 28 minutes du 27/08/2025 Hausse des noyades en France : faut-il lancer un grand “plan piscines” ?Une houle dite cyclonique s'est abattue mardi 26 août sur le littoral atlantique, poussant plusieurs municipalités à interdire l'accès aux plages afin d'éviter les noyades. La maîtrise de la natation souffre de graves lacunes en France. Cette année encore 268 personnes sont mortes par noyade entre le 1er juin et le 13 août, selon les autorités sanitaires. Le nombre d'adultes qui se noient en mer est en hausse par rapport à l'an dernier. Les décès d'enfants et d'adolescents dans des cours d'eau augmentent eux-aussi : 16 contre 6 en 2024. Plusieurs causes sont à l'origine de ce phénomène. Les fortes chaleurs invitent à la baignade, parfois dans des zones non surveillées, augmentant le risque de noyade. Surtout, une importante partie de la population ne sait pas nager. C'est le cas d'un élève sur trois entrant au collège alors qu'en 2019 ils n'étaient que 20 %. En cause, l'état préoccupant des piscines publiques, vieillissantes et qui n'ont pas assez de budget pour être suffisamment ouvertes. Nous recevons Emmanuel Auvray, historien et professeur d'éducation physique. 3411 milliards d'euros ! Retraités, salariés, État : qui est prêt à faire des efforts pour réduire la dette ?En 2007, François Bayrou faisait de la dette publique l'axe principal de sa campagne présidentielle. Aujourd'hui, il met son avenir politique en jeu et engage la responsabilité de son gouvernement sur le même sujet. “La question principale, c'est de savoir si oui ou non nous sommes d'accord pour reconnaître qu'il y a une urgence”, a affirmé le Premier ministre. Les partis d'opposition ont annoncé qu'ils ne voteraient pas la confiance à son gouvernement ce qui repousserait l'élaboration et l'examen du prochain budget, censé mettre en place des mesures pour limiter le déficit. La dette s'élève aujourd'hui à plus de 3 411 milliards d'euros, soit 114 % du PIB. Le problème est moins dans le constat que dans les solutions : où faire des économies et trouver de nouvelles recettes pour réduire la dette ? Dans une interview au journal “Sud-Ouest” le 26 août, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, appelle à “un vrai débat public” sur la dette, ajoutant que “l'important, c'est que cet effort soit le plus juste et partagé possible”. Enfin, Xavier Mauduit revient sur la restitution de trois crânes datant de l'époque coloniale à Madagascar, dont le crâne présumé du roi malgache Toera, décapité par l'armée française lors d'un massacre en 1897. Marie Bonnisseau s'intéresse à une nouvelle stratégie mise en place par la plateforme de streaming Netflix qui propose à ses utilisateurs une sélection de séries et de films en fonction… de leur signe astrologique. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 27 août 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
J'ai acheté l'hiver dernier une paire de chaussures minimalistes Saguaro. A 32 euros je ne prenais pas un grand risque. Laurent me demande mon avis dessus et si elles demandent un temps d'adaptation. Allez c'est parti !Liens :Le modèle précis que j'ai acheté (Lien affilié Amazon)Le site officielTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/365La question de Laurent « Bonjour Bertrand, Je cours actuellement depuis 2 ans en Altra torin 6, torin 7 et olympus2 et je souhaiterai tester les Saguaro suite à mon écoute de ton podcast sur les chaussures minimalistes. Quel modèle me conseillerai-tu pour de la route principalement ? Etant en drop 0 depuis plusieurs années, penses-tu qu'il faille quand même un temps d'adaptation? Je te remercie d'avance de ton aide. »J'ai acheté une paire de Saguaro orange l'hiver dernier. Au départ je les ai utilisé comme pantoufles dans la maison. Depuis le printemps je marche et je cours avec. Et depuis juin ce sont les seules chaussures que je mets en dehors de mes tongs. J'ai marché et couru au minimum 440 km avec sans compter les déplacements du quotidien. De quoi me faire un véritable avis dessus. Surtout que ne les ai pas ménagées en les emmenant partout sur route, chemins et mêmes sable et cailloux en mode trail.Dans cet épisode :ce que j'aime dans ce modèle : confort, lacets, mesh, forme, semelleles caractéristiques des chaussures minimalistespourquoi ces chaussures sont intéressantes pour nos piedspourquoi nos chaussures ont du drop et que c'est parfois bien pratique (notamment en trail)pourquoi nos pieds ont perdu en compétence et le tendon d'Achille en élasticitémon expérience avec les chaussures minimalistesla différence avec Altrapourquoi je n'ai pas eu besoin de temps d'adaptationquelle adaptation vous devez faire si vous portez actuellement des chaussures maximalistes (et les risques si vous ne le faîtes pas)pourquoi vous devriez vous intéresser au protocole de Stanishun mot sur les modèles notamment pour enfantsle seul problème que j'ai eu avecle point intéressant si vous avez peur de vous tromper de tailleNouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
Dans Succession, la série à succès produite par HBO, la richissime famille Logan, l'une des plus puissantes des Etats-Unis, est à la fois cimentée et déchirée par l'argent. Impossible de nier que l'histoire de ce clan de milliardaires est inspirée de la réalité. Surtout que, dans « Succession », le patriarche, Roy Logan, a bâti un empire financier qui n'est pas sans rappeler celui d'un magnat bien réel : Rupert Murdoch. Il faut dire que sa vie a de quoi inspirer n'importe quel scénariste. Un épisode en particulier : le scandale de « News of the World ».Thomas Rozec raconte.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Quentin Bresson et Paul Bertiaux. Production et édition : Lorraine Besse et Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:53 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1963, le Louvre organise une exposition hommage à Paul Signac pour le centenaire de sa naissance. Famille, historiens de l'art et amis artistes se retrouvent pour cette émission de "L'art vivant" où il sera surtout question de son œuvre, de ses influences et de son apport à la peinture. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Germain Bazin; Françoise Cachin Historienne de l'art, conservatrice de musée, petite-fille de Paul Signac
Notre série d'été Pour une poignée de pixel sur l'économie du jeu vidéo revient sur le succès d'un des jeux les plus populaires du monde : Fortnite. Huit ans après sa sortie, le jeu du studio Epic Games, figure encore très régulièrement sur le podium des jeux vidéo réunissant le plus de joueurs. Surtout, Fortnite reste l'un des jeux les plus profitables au monde... alors qu'il est gratuit. Commençons par le commencement. À sa sortie en 2017, Fortnite est un banal jeu de tir multijoueur comme il en existe des centaines d'autres. Ces graphismes cartoon à la Pixar le rendent-ils plus sympathique aux yeux des parents ? Ils s'installent dans le paysage vidéoludique en s'emparant du concept de battle royale, très populaire à l'époque. Surtout, Epic Games multiplient habilement les partenariats avec les franchises à succès, à commencer par Marvel et ses super héros. De saison en saison, de nouveaux personnages du sport, de la pop culture font leur apparition dans Fortnite, assurant au jeu de rester au centre des conversations dans les cours de récréation. À partir de 2019, Fortnite va plus loin et propose à ses joueurs des concerts virtuels. À l'affiche, Marshmello, Ariana Grande, Sabrina Carpenter, Eminem, Metallica ou encore Aya Nakamura. Deux ans avant sa prestation remarquée en ouverture des JO 2024, la chanteuse franco-malienne se donne en concert sur Fortnite. À lire aussiDisney s'associe à Epic Games pour créer l'ultime Métaverse dans Fortnite Un jeu gratuit… mais pas tout à fait À ce stade, Fortnite est devenu un jeu vidéo tout-en-un. À son apogée, Epic Games revendique 350 millions de joueurs. Bien aidé par le fait que Fortnite soit accessible gratuitement sur presque tous les supports, des ordinateurs aux consoles en passant par les tablettes et les téléphones. Gratuit et pourtant, Fortnite a rapporté à sa maison mère, plusieurs dizaines de milliards de dollars depuis sa sortie. Comment ? D'abord parce que les marques, y compris de luxe, sont prêtes à payer — et payer cher – pour apparaître dans l'univers du jeu et toucher un public plus jeune. Et puis si l'accès au jeu est gratuit, dans Fortnite, tout le reste est payant. On paye pour habiller son avatar ou pour qu'il puisse effectuer les mêmes pas de danse qu'un youtubeur connu ou qu'Aya Nakamura. Par l'intermédiaire d'une agence de communication, l'entreprise précise que les « joueurs peuvent gagner des objets en relevant des défis dans le jeu » et que ces achats de cosmétiques sont « facultatifs ». Mais pour aller plus vite et accéder aux derniers items à la mode, les joueurs sont incités à mettre la main au portefeuille. Et dans Fortnite, on ne paye pas en dollars, en yuans ou en euros. On paye en V-Bucks. La monnaie virtuelle locale qui, elle, s'achète avec de l'argent bien réel. Mais cela permet de mettre une distance artificielle. Quand on dépense 500 V-Bucks pour acheter un chapeau rigolo à son alter ego virtuel, on n'a pas l'impression de dépenser de l'argent. Surtout quand on a douze ans, une notion de la valeur des choses encore très relative et qu'on dépense l'argent de papa et maman. Une politique qui a valu à l'entreprise une procédure menée en 2022 par la FTC, le gendarme de la concurrence aux États-Unis à la suite de laquelle Epic Games a accepté de payer une amende de 275 millions de dollars pour « violation des lois sur la confidentialité des données des enfants » et à rembourser 245 millions de dollars à des utilisateurs poussés à faire des achats non désirés. Depuis, l'entreprise précise avoir grandement renforcé sa politique de contrôle parental et de protection contre les achats non désirés. Chronique modifiée le 19 août 2025.
REDIFF - Cheveux blancs, catogan, col relevé, mitaines, lunettes noires, look toujours impeccable et petit accent allemand... Karl Lagerfeld aura marqué le monde de la haute couture comme rarement. Mais avant de devenir le Kaiser de la mode que l'on connaît tous, il aura fallu du temps... Surtout face à l'autre grand génie de la couture de l'époque, Yves Saint Laurent. Tous deux ont été de grands amis avant de devenir frères ennemis. Une rivalité autant professionnelle que personnelle... Qui était Karl Lagerfeld dans l'ombre ? Comment est-il devenu le couturier le plus célèbre au monde ? Et quel impact sa rivalité dévorante avec Yves Saint-Laurent a-t-elle eu sur sa vie ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salut les filles ! On est de retour avec un TOP 5 de nos épisodes préférés sur les parents et la famille… toute une histoire des fois, non ? Surtout quand on vit dans une famille recomposée avec un beau-père ou une belle-mère et parfois leurs enfants… pour le meilleur et pour le pire !Je vis dans une famille recomposéeJ'aimerais avoir un animal de compagnieJ'ai eu une mauvaise noteJe n'ai pas le droit d'avoir un portable, help !Sortir seul dans la rue : le mode d'emploiCrédits : Direction éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude avec Milia Legasa. Avec les voix de Candice Sansano, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc MonchyUn podcast de Milan presse 2025. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suite de notre série qui vous emmène à la découverte des délices du continent, ces plats qui font saliver rien qu'à l'évocation de leur nom. Pour ce quatrième épisode, nous allons ce matin en Tunisie, pour savourer le mleoui. Cette crêpe de semoule, aux origines berbères, est devenue une institution dans la street food (cuisine de rue). Peu coûteux et rassasiant, le sandwich s'achète dans des gargotes de quartier et se décline en différentes versions, selon les garnitures que l'on met à l'intérieur. Pour certains amateurs, trouver le meilleur mleoui à Tunis est une activité très sérieuse. De notre correspondante à Tunis, Yasser Hana, restaurateur palestinien vivant en Tunisie, est un fan de street food. Sur les réseaux sociaux, il en a fait sa marque de fabrique en tant que créateur de contenus, et le mleoui est son sandwich préféré. « Un mleoui, avec deux fromages, un peu de harissa et de thon », commande-t-il avec précision chez Mleoui Mahbouba, une gargotte tenue par deux sœurs depuis trente ans. « Un truc simple sans chichis, deux fromages triangle, un peu de harissa, des oignons et du thon. Pas d'omelette, pas d'olives, pas de mayonnaise pour ne pas gâcher le goût de la pâte, pour savourer le goût de chaque ingrédient seul, pour avoir dans la bouche une expérience homogène », explique-t-il. Car ce qui fait la force du mleoui, c'est sa simplicité : une crêpe épaisse à base de semoule, comme l'explique Mahbouba, qui travaille la pâte juste avant de la cuire. « La pâte, on la fait le jour même. Un peu de sel, de la semoule fine et un peu d'huile et le tour est joué. Je la remue comme ça, on la laisse reposer quelques minutes, et ensuite, on cuit le mleoui et on ajoute la garniture. C'est très frais et instantané. » Le prix, qui ne dépasse pas un euro, et toutes ses différentes garnitures en font l'un des sandwichs préférés des Tunisiens. Un sandwich qui évoque une certaine nostalgie, selon Yasser : « Le consommateur basique, il est très fidèle à son mleoui de quartier ou au mleoui dans la ruelle où il a grandi. » À quelques encablures, un jeune de 30 ans, Fahd, a ouvert sa propre boutique où il vend des mleouis déclinés dans une recette qui s'inspire de la version marocaine, le msemen, où l'on ajoute un peu de beurre et de farine. « À chaque fois, on ajoute un ingrédient et finalement, on a trouvé la bonne recette et la bonne combinaison de ces ingrédients-là », estime-t-il. « Les Tunisiens disent souvent qu'ils n'aiment que la nourriture de leur mère, mais c'est vrai que pour ces produits de street food, on préfère aller dans la rue. Surtout le mleoui. Je pense qu'il n'y a pas un Tunisien qui ne mange pas le mleoui une seule où deux fois par semaine », explique-t-il. Il propose aussi une version de la pâte au pesto ou épicée. Des variantes qui fonctionnent puisqu'il a gagné le Torchi Food Award 2024, une compétition qui récompense le meilleur de la street food tunisienne. À lire aussiTunisie: la richesse du patrimoine culinaire encore méconnue
C'est la rentrée !Bienvenue pour une nouvelle saison de la Matrescence ! J'ai hâte qu'on chemine ensemble. Élever des enfants veut parfois dire se confronter à de grosses difficultés.Que faire face à un enfant qui crie, tape, n'écoute rien, nous pousse dans nos retranchements ?Comment éviter de péter les plombs et de faire redescendre la tension ?Ces enfants dits difficiles, insupportables, viennent appuyer là où ça fait mal.Dr Anne Raynaud, médecin psychiatre fondatrice des Instituts de la parentalité et autrice, revient pour la 4e fois dans le podcast.Anne nous embarque dans le monde merveilleux de la théorie de l'attachement pour nous donner des clés essentielles pour apaiser nos relations à nos enfants qui sont intenses.Oui ces enfants sont épuisants, sont challengeants, mais Anne vous aide à travers cet épisode à trouver des solutions efficaces.Surtout n'hésitez pas à faire passer cet épisode autour de vous.Je vous souhaite une très bonne écoute
À Gaza, les universités et les écoles ont disparu, bombardées pendant plus de 21 mois par l'armée israélienne. Comment vivre quand on est un jeune homme, une jeune femme ? À quoi peut-on bien rêver dans ces conditions que même les adultes ne peuvent plus imaginer ? À quoi ressemble le quotidien ? De notre correspondant à Gaza, « Je m'appelle Bayan Zaqout et en ce moment, je recherche du réconfort et de la sécurité dans un endroit où même la paix n'existe pas. Je suis une jeune écrivaine, une poète, qui n'aspire à rien d'autre qu'à vivre normalement avec sa famille, tenter de survivre dans la bande de Gaza. » La jeune femme qui parle, Bayan Zaqout, rêvait de devenir écrivaine. Elle s'imaginait déjà publier des romans avec son nom sur la couverture. Elle aurait aussi aimé avoir un bureau indépendant, créatif, à côté, dans lequel elle travaillerait dans la communication. Mais aujourd'hui, Bayan, Gazaouie d'une vingtaine d'années, dit ne plus aspirer à rien. « Chaque jour, il y a des martyrs et des blessés. Donc maintenant, quand on me demande d'où je viens, je dis que je viens du pays du sang : de Gaza, de cet endroit digne, de ceux qui résistent encore. J'habitais dans des tours qui ont été les premières à être visé, au tout début de cette guerre. Depuis, je vis dans une tente de déplacés, juste en face de ce qui était tout pour nous, en face de notre maison où j'espérais être réunie avec ma famille. Désormais, mon seul souhait, chaque jour, c'est d'essayer de trouver du pain le matin, trouver de l'eau que l'on peut boire. Rien que cela, c'est très difficile. J'aspire uniquement à retrouver un semblant de vie quotidienne, la routine que j'avais avant. » Bayan en est consciente : elle n'a pas le même quotidien que les jeunes femmes de son âge, celles qui vivent dans d'autre pays. Elle est devenue la principale ressource financière de sa famille. Son père, qui avait un garage, a dû cesser son activité. Elle aide aussi sa mère à nettoyer la tente, faire la vaisselle, cuisiner. « J'essaie de contribuer à ma façon, même si ce n'est pas énorme. Car ici, même si tu travailles beaucoup, et peu importe combien tu gagnes, cela ne suffit même plus pour acheter les choses les plus basiques de la maison. J'aide aussi en essayant d'allumer des feux, mais dès que tu y touches, tu te sens toute noire, toute salie. Ici même l'air que l'on respire nous noircit. Alors oui, je travaille, mais j'allume aussi, je cuisine, pourquoi pas, mais ce n'est pas que moi. C'est le cas de toutes les jeunes femmes de mon âge à Gaza. Nous avons le rôle de femme et d'homme, on fait les deux à la fois. » Tous les soirs, quand elle peut, elle enseigne l'anglais à ses quatre plus jeunes frères. Le plus difficile, raconte Bayan, c'est quand elle a été séparée – plus tôt dans l'année – de ses deux frères aînés, elle dans le sud, eux dans le nord de Gaza. « Pendant quatre mois, nous n'avions aucune nouvelle. Je ne savais pas s'ils étaient vivants ou morts, s'ils allaient bien ou pas. Être séparé de tes frères avec qui tu as grandi, sans rien savoir d'eux, c'est une douleur indescriptible », confie-t-elle. Alors comme les jeunes filles de son âge, elle s'échappe en lisant, en allant sur Internet quand elle le peut. Et pour oublier qu'elle vit dans un cauchemar, dit-elle, Bayan chante. Surtout lorsqu'elle est face à la mer, sa dernière lueur d'espoir. À lire aussi«Je ne vois rien de l'aide qui arrive»: à Gaza, l'aide humanitaire revendue à prix d'or
Julien : Franchement, ils sont relous à mon taf ! Je suis venu en short ce matin, et je me suis pris un rappel à l'ordre à cause de ma tenue.Louise : Sérieux ? Mais avec cette chaleur, c'est inhumain de devoir rester en pantalon toute la journée, mon pauvre !Julien : Je te jure, je suis à deux doigts de faire une pétition pour moderniser le dress code. Surtout que les filles, elles ont le droit de venir en jupe et en robe !Louise : J'avoue que pour une fois, l'inégalité va dans votre sens ! Demande-leur à te mettre en télétravail ! Au moins, tu pourras bosser dans la tenue de ton choix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 23 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un journaliste incarcéré au Bénin avec l'aide de la Côte d'Ivoire, des éditorialistes ciblés au Sénégal… Ces trois pays ont une longue tradition de respect de la liberté d'expression, mais la situation des journalistes se dégrade depuis des semaines au Sénégal et en Côte d'Ivoire. Au Bénin, cela fait maintenant plusieurs années que journalistes et médias sont régulièrement pris pour cible. Quelle est précisément la situation dans ces pays ? Comment en est-on arrivé là ? Sadibou Marong, le directeur du bureau Afrique de Reporters sans frontières répond à Pierre Firtion. RFI : L'histoire a défrayé la chronique. Hugues Comlan Sossoukpè est incarcéré depuis huit jours à Ouidah au Bénin. Ce journaliste critique du régime béninois vivait depuis 2019 au Togo avec le statut de réfugié politique. Mais le 13 juillet, il a été extradé par la Côte d'Ivoire alors qu'il participait à un forum à Abidjan. Les autorités ivoiriennes l'ont-elles piégé selon vous ? Sadibou Marong : Nous pouvons valablement parler de piège comme nous pouvons aussi parler d'une mission professionnelle de journaliste qui s'est finalement transformée en traquenard. Le journaliste béninois, Hugues Comlan Sossoukpè, qui est journaliste réfugié au Togo depuis quelques années et qui est aussi le directeur du média béninois d'investigation Olofofo, a officiellement été invité par le ministère ivoirien de la Transition numérique pour couvrir un événement sur l'innovation digitale. Il a été considéré comme un journaliste, et là, je cite les propos du ministère, « un journaliste reconnu de la sous-région dans ce domaine ». Comment expliquer un tel acte de la part des autorités ivoiriennes ? C'est compliqué, car c'est inédit. On pourrait même considérer qu'un tel acte pourrait étonner pratiquement tous les défenseurs de la liberté de la presse d'une manière générale. Surtout par exemple quand on sait que la Côte d'Ivoire, ces dernières années, était assez bien classée au classement mondial de la liberté de la presse avec des bonds assez intéressants. Il n'y a qu'en 2025 que le pays a assez reculé. Mais il est aussi clair que cette liberté de la presse en Côte d'Ivoire était encore étroitement liée au contexte politique. Il y a aussi l'influence de certains partis, des responsables politiques dans les médias qui devenaient très grands. Dans tous les cas, c'était quand même un environnement assez intéressant. Disons que les médias évoluaient en Côte d'Ivoire jusqu'à ce que l'on se rende compte effectivement qu'il y a eu un peu ce traquenard-là. Et on ne peut pas dire que les autorités n'ont pas été complices. On peut fondamentalement dire que les autorités ivoiriennes étaient au courant, avaient certainement dû être consultées et avaient donc donné leur accord et leur aval pour pouvoir livrer ce journaliste-là. Cela est extraordinairement grave d'autant plus que c'est un journaliste réfugié. On comprend aussi que c'est le début, peut-être, d'un durcissement de la situation. La Côte d'Ivoire va vers une élection présidentielle en octobre prochain et on a vu récemment des menaces contre des correspondants de la presse internationale de la part de certains partisans politiques. À lire aussiBénin: le journaliste Comlan Sossoukpè mis en examen et placé sous mandat de dépôt Cette dérive, elle est en revanche beaucoup plus visible au Bénin, où la presse est ciblée depuis plusieurs années... Le régime du président Patrice Talon à son arrivée était jugé relativement stable. Mais ces dernières années quand même, c'est un régime qui est nettement imprévisible par rapport à la liberté de la presse. Actuellement, dans le contexte actuel, on voit que les voix indépendantes et les journalistes critiques, même modérés, sont perçus avec une attention assez croissante. Le cas de Hugues Sossoukpè est là. Je pense que les autorités béninoises l'attendaient. Ils faisaient tout pour essayer de l'avoir. Mais auparavant, on a vu aussi une vague de suspension de médias et d'instrumentalisation des régulateurs. Le régulateur des médias, la HAAC, a pris des décisions qui sont pour nous très disproportionnées avec une vague de suspension des médias. Il y a eu des vagues de répression. Et comme on va vers une élection également dans ce pays-là, on voit les dispositions de surveillance qui s'intensifient. Le climat se charge lentement mais sûrement au Bénin. Le Bénin, la Côte d'Ivoire, on parle là de pays où la liberté d'expression a longtemps été respectée. C'est le cas aussi au Sénégal. La situation des journalistes s'était améliorée, on va dire entre 2024 et 2025, mais là, depuis quelques semaines, on dénombre à nouveau des attaques contre la presse. Au Sénégal, bien que le pays ait fait un bond de 20 places lors du dernier classement mondial de la liberté de la presse, nous avons commencé à observer beaucoup de faits nouveaux ces derniers mois. Il y a la question des détentions de commentateurs et de chroniqueurs dans les médias. Par exemple, il y a le journaliste Bachir Fofana et les commentateurs Badara Gadiaga, Abdou Nguer qui utilisent les médias pour jouir de leur liberté d'expression au Sénégal. Et tout cela, ce sont des choses qui reviennent. Et l'impression qu'on a, c'est plus qu'une sorte de contrôle du narratif, disons, des voix discordantes. Et ces voix discordantes, de notre point de vue, doivent pouvoir être acceptées dans un État démocratique. Maintenant, ce qui est le plus important pour nous, c'est l'appel que nous avons lancé aux autorités qui ont commencé à s'atteler à faire des concertations. Mais aussi à réconcilier les résultats des assises nationales dans la presse, des concertations, disons, du secteur de la communication. Il faut réconcilier tout cela. Et également aussi s'atteler à renforcer les capacités des organes de régulation des médias. À lire aussiSadibou Marong (RSF): «Les journalistes des radios communautaires paient un lourd tribut dans la région du Sahel» À lire aussiSadibou Marong: «La situation des journalistes en Afrique subsaharienne ne s'est pas améliorée»