POPULARITY
Categories
Mes chers camarades, bien le bonjour !Mentez pas, je sais que vous aimez bien les cold case. Du coup, j'ai ce qu'il vous faut ! Bon, il date d'il y a 5000 ans certes, mais est-ce que ça rajoute pas encore plus d'intérêt à l'affaire ? Surtout qu'il y a plein de rebondissements, je ne me moque pas de vous !Bonne écoute !
« Le match diplomatique de l'année » : c'est ainsi que Le Monde à Paris, qualifie la rencontre entre le président américain et son homologue chinois qui a eu lieu il y a quelques heures à Busan en Corée du Sud. Comme à son habitude, pointe Le Figaro, « à peine atterri, Trump a affiché son optimisme, prédisant un deal avec l'espoir de rassurer les marchés redoutant une escalade entre les deux premières puissances mondiales. Et d'augurer d'un prolongement de la fragile trêve commerciale mise à mal ces dernières semaines, sur fond de rivalité géopolitique au long cours, avec en arrière-plan la question brûlante de Taïwan ». Alors, relève La Repubblica à Rome, « la rencontre entre Trump et Xi en Corée du Sud a duré moins de deux heures. Le président américain l'a qualifiée de “franc succès“ et annoncé qu'il se rendrait en Chine en avril prochain. Les deux dirigeants se séparés en souriant et en se serrant la main, apparemment sans tension ». On n'en sait pas plus. Il n'y a pas eu de conférence de presse. Le bras-de-fer va se poursuivre… Quels résultats après cette rencontre au sommet ? « Entre Washington et Pékin, une trêve est possible, rien de plus », estime Le Soir à Bruxelles. Même en cas d'accord commercial, « ce ne serait pas la fin de l'histoire. Le bras de fer se poursuivra. », affirme le quotidien belge. En effet, « désormais capitaliste, la Chine n'accepte plus la place subordonnée qu'on lui avait conférée dans le cadre de la mondialisation. Surtout : elle a les moyens de résister – par exemple, via le contrôle à l'exportation des terres rares. Autrement dit, précise Le Soir : de contester les anciennes “règles du jeu“ – tout en assurant défendre le multilatéralisme face à un président étasunien imposant sa volonté par la force brute. Les États-Unis et l'Europe peuvent bien accuser Pékin d'avoir “triché“, la Chine, comme de nombreux États dudit “Sud global“, estime que ces règles étaient “biaisées“, conçues par l'Occident au profit de l'Occident – et d'abord par l'Amérique au profit de l'Amérique ». Trump perdant ? Le New York Times ne se fait aucune illusion… D'ores et déjà, « Trump a perdu la guerre commerciale face à la Chine », commente le quotidien américain. « Donald Trump peut bien se vanter de ses talents de négociateur. Ses conseillers pourraient même suggérer qu'il mérite un prix Nobel de la négociation. Broutilles… La relation bilatérale la plus importante au monde aujourd'hui, c'est celle entre les États-Unis et la Chine, et Trump l'a mal gérée. Il a déclenché une guerre commerciale que Washington est en train de perdre, et si une trêve est officialisée cette semaine, il est probable qu'elle permettra à la Chine de dominer l'Amérique et réduira considérablement notre influence ». Xi l'irréductible En fait, constate Le Temps à Genève, « Xi Jinping, est le seul dirigeant qui résiste vraiment à Donald Trump. (…) Tandis que les dirigeants européens, asiatiques ou arabes s'alignent ou cèdent aux injonctions du président américain, Xi incarne auprès des Chinois, et plus récemment auprès du monde, cette figure du contrepoids : celui qui résiste et ne plie pas ». Et « cette résistance face à l'intimidation trumpienne se traduit naturellement par une résistance économique, pointe Le Temps : avec le déploiement récent d'un levier irrésistible que sont les restrictions à l'exportation de terres rares, ce matériau essentiel aux industries modernes des pays développés dont la Chine détient le monopole du raffinage. Par ricochet, la résistance technologique de la Chine saute (également) aux yeux, relève encore le quotidien suisse. En ouvrant les vannes des aides publiques ciblées et au risque de fragiliser son économie en provoquant des surcapacités industrielles, Xi Jinping aura fait de son pays un champion des panneaux solaires, des voitures électriques, de la robotique industrielle comme humanoïde et bien sûr de l'intelligence artificielle en général ». Enfin, autre avantage pour le leader chinois, conclut Le Temps : « si Donald Trump sait qu'il n'est pas autorisé à se présenter à nouveau pour un troisième mandat de président, Xi Jinping semble bien parti pour prétendre à un quatrième en 2027 ».
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !
Le Luxor à Las Vegas : un hôtel bon marché, un thème égyptien kitsch... et l'un des foyers paranormaux les plus célèbres du monde.Marc, un commercial, n'y cherchait qu'une chambre pas chère. Il a trouvé un cauchemar.Dans sa chambre du 12e étage – le plus hanté de tous – les signes se multiplient : une alarme incendie suspecte, des oreillers du lit d'appoint qui s'empilent tout seuls, et des rideaux qui s'ouvrent, trahissant un silence que Marc n'arrive pas à s'expliquer. Est-ce le stress du travail, son TDAH... ou quelque chose de bien plus sombre ?Au programme de cet épisode :
La loi matraque pour les médecins. La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille et Benoit Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'ancienne directrice de la danse de l'Opéra de Paris revient sur scène à l'occasion d'une tournée pour le centenaire de la Martha Graham Dance Company. Une création sur mesure qui représente six minutes intenses d'une performance solo nommée « Désir ». Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chef du Parti québécois, fier indépendantiste, ancien gardien de but et grand partisan des Canadiens de Montréal, le hockey a toujours fait partie de la vie de Paul St-Pierre Plamondon. Souvent appelé PSPP, le député de Camille-Laurin est connu pour son style posé, réfléchi et ses talents de communicateur. Le leader souverainiste, qui a joué au hockey au sein de l'équipe de la prestigieuse université Oxford, voit d'ailleurs plusieurs similitudes entre la politique et le sport de haut niveau. «Il y a beaucoup d'aspects du jeu qui demandent un sacrifice de soi. C'est pas un emploi normal, c'est parfois inhumain. Surtout si tu es le chef du Parti québécois et que tu prétends fonder un pays. La commande est majeure. Les parallèles sur l'éthique de travail, l'intensité, sur la capacité de visualiser à gagner...» Autres sujets abordés La fraternité dans l'équipe actuelle des Canadiens; La difficulté de recruter les bons candidats en politique; La place du sport dans la société; Les avantages d'avoir une Équipe Québec à l'international; Les joueurs des Canadiens qui l'inspirent; La force mentale des jeunes. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Le juste effort entre tenir et lâcher. Entre la force et la douceur. Entre la tension qui soutient et celle qui enferme.Entre le relâchement qui apaise… et celui qui fait tout tomber.Dans cet épisode, on explore ce fil invisible : le juste effort. Celui qui engage sans brusquer, qui soutient sans bloquer.Parce que, sur le tapis comme dans la vie, trouver cet équilibre n'a rien d'évident.Surtout quand on avance avec la volonté, le contrôle ou l'habitude d'en faire toujours un peu tropou, au contraire, quand on lâche trop vite pour éviter l'inconfort.On parle ici d'effort décontracté, de souplesse intérieure,et de cette zone où l'attention devient plus forte que la force.Là où le corps, la respiration et le mental trouvent leur harmonie, sans tension inutile.Un épisode tout en nuances, pour apprendre à habiter la posture, et peut-être, à habiter autrement sa pratique.Pour poursuivre l'aventure, rejoignez la Newsletter qui s'adresse aux profs de Yoga.
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
Dry january, régimes, résolutions, culte de la maigreur et fake news sur le lien poids et santé. Tout ce que tu dois savoir pour savoir si tu as envie de faire un régime, ou pas. Et pour privilégier ce qui est important... Un podcast Bababam Originals Ecrit par Hélène Vézier Monté par Romain Redon Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Fini les chatbots un peu secs qui répondent à côté. Trois ans après la sortie de Chat GPT, bonjour les amis virtuels, les doubles numériques et les clones de votre moi. Vous êtes débordés ? Demandez à votre clone de faire le boulot pour vous et même, de vendre à votre place. Vous êtes déprimé parce que vous avez perdu votre emploi, remplacé par une IA ? Trouvez du réconfort auprès d'un coach virtuel. C'est la promesse des intelligences artificielles génératives. Surtout, ces scénarios ne relèvent plus complètement de la science-fiction.En Chine, le géant de la tech Baidu crée des clones d'humains qui vendent des produits en ligne. Et partout dans le monde, des adultes et des enfants interagissent avec des agents conversationnels, plus ou moins experts. De plus en plus de voix s'élèvent contre l'apparence humaine de ces systèmes, leur anthropomorphisme, qui peut aider, mais aussi nous faire dérailler. Cette semaine, l'Etat de Californie aux Etats-Unis a adopté la première loi qui réglemente les applications faisant office d'amis ou compagnons artificiels après des suicides d'adolescents liés à des interactions avec ces agents selon leurs proches. Ils devront notamment clairement expliquer que leurs contenus sont non humains. Nous vous proposons un tour d'horizon du sujet, préparé avec Thomas Urbain, journaliste de l'AFP qui suit l'IA depuis New York et Agatha Cantrill reporter de l'AFP à Shanghaï. Intervenants : Dara Ladjevardian, co-fondateur de la start up Delphi.ai Michal Luria, du Centre pour la démocratie et la technologie à Washington, spécialiste des interactions homme-machine, Mark Daley, Professeur et responsable de l'IA à l'université Western en Ontario au Canada, Robert Mahari, Directeur associé du centre CodeX à l'université de Stanford en Californie. Doublages : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon, Delphine Thouvenot, Sébastien Castéran, Thierno Touré, Elouan Blat. Réalisation : Michaëla Cancela-Kieffer avec Emmanuelle Baillon et Maxime Mamet. La Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'onde de choc partie des États‑Unis vendredi a fait vaciller les banques de Tokyo à Madrid. Dans le même temps, l'or et l'argent enfoncent des records historiques tandis que le bitcoin cale sous des résistances clés. Surtout, le volet commercial ne se joue plus seulement à Washington: l'allégement ciblé de droits de douane sur des pièces auto au sud de la frontière rebat les cartes de compétitivité pour l'Ontario, alors que Stellantis envisage de déplacer une partie de la production de Brampton vers l'Illinois et qu'Ottawa arbitre des droits de 100% sur les EV chinois au cœur d'un bras de fer plus large (canola, acier, aluminium). Ces quatre dynamiques – risque de crédit bancaire, ruée vers les métaux précieux, hésitation crypto et réalignement tarifaire nord‑américain/asiatique – racontent une même histoire: le capital se repositionne face à la fin de l'argent gratuit, au retour de la prime de risque, et à une géopolitique commerciale qui pèse directement sur l'emploi et la chaîne d'approvisionnement au Canada. Ce billet propose une lecture intégrée de ces mouvements, avec un prisme investisseur sur : banques mondiales, prêts douteux, indice bancaire européen; or record, prix de l'argent; bitcoin autour de 110k; tarifs automobile USA, implications pour Stellantis Brampton/Windsor, droits de 100% sur les EV chinois, coûts de production et effets sur l'écosystème manufacturier ontarien.https://www.daytradercanada.com/billet-boursier/banques-or-bitcoin-tarifs-automobile/Site web: https://daytradercanada.com/Nous joindre: https://daytradercanada.com/nous-joindre/Facebook: https://www.facebook.com/daytradercanadaYoutube: https://www.youtube.com/@DayTraderCanadaLinkedIn: https://www.linkedin.com/company/day-trader-canada/
Les chiffres sont sans appel. Selon l'Agence européenne pour l'environnement, plus de 60 % des espèces et 80 % des habitats naturels du continent sont déjà dégradés. L'eau devient plus rare, les sols s'appauvrissent, et le réchauffement climatique – deux fois plus rapide en Europe que dans le reste du monde – accentue cette vulnérabilité. En 2022, plus de 70 000 décès ont été liés aux vagues de chaleur, tandis que les inondations, de plus en plus fréquentes, menacent directement 12 % de la population européenne, ainsi que 15 % des sites industriels.Entre 1980 et 2023, les phénomènes météorologiques extrêmes ont coûté 738 milliards d'euros à l'économie européenne. Rien que sur les trois dernières années, 162 milliards se sont envolés en pertes, souvent non couvertes par les assurances. Pourtant, le continent n'est pas resté immobile. Depuis 1990, les émissions de CO₂ ont baissé de 37 %, et le Pacte vert vise désormais –55 % d'ici 2030. L'électricité se décarbone, les renouvelables progressent – elles comptent désormais pour un quart de la consommation –, et les émissions du secteur énergétique ont été divisées par deux. Mais le tableau n'est pas tout rose. Les transports et l'agriculture stagnent, avec des réductions d'émissions limitées à 6 et 7 %. Les mobilisations agricoles récentes ont même conduit Bruxelles à assouplir plusieurs mesures environnementales, pendant que les dirigeants évitent soigneusement de rallumer la colère des automobilistes.Surtout, la conjoncture politique détourne l'attention : guerre en Ukraine, tensions économiques, montée des extrêmes droites, autant de priorités qui relèguent le climat au second plan. Plusieurs piliers du Pacte vert sont déjà fragilisés – report de la loi contre la déforestation, recul sur la fin du moteur thermique en 2035, affaiblissement du devoir de vigilance des entreprises. À l'approche de la COP30, l'Union européenne n'a toujours pas fixé de cap clair pour 2040. Ursula von der Leyen assure vouloir “maintenir le cap”, mais l'AEE prévient : sans sursaut politique, la crise écologique deviendra aussi économique et sociale. La question, désormais, n'est plus de savoir si l'Europe paiera le prix de son inaction, mais quand. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'UNICEF tire la sonnette d'alarme sur une crise humanitaire qui ne cesse de s'aggraver, avec des milliers d'enfants déplacés, privés d'école et exposés aux violences des gangs. Retour sur une situation dramatique qui appelle une mobilisation urgente. En Haïti, les jours se suivent et se ressemblent : la mainmise des gangs s'accentue Ce mardi (14 octobre 2025), Médecins sans frontières annonce la fermeture définitive de l'un de ses centres d'urgence. Ce centre, situé en plein cœur de Port-au-Prince, était à l'arrêt depuis plusieurs mois, après une attaque contre un convoi de l'organisation humanitaire. Mais cette fois, le couperet tombe : il ne rouvrira pas. Malgré cela, MSF assure qu'elle poursuit ses actions sur le terrain, auprès des populations les plus vulnérables, et parmi elles : les enfants. Beaucoup ont fui avec leur famille, trouvant refuge dans des abris de fortune, totalement inadaptés à la vie quotidienne. Certains sont privés d'école, d'autres directement ciblés par les violences. Geeta Narayan représente Unicef en Haïti et elle se désole de voir la situation s'aggraver encore. Surtout, les déplacements de population accentuent les autres crises : ainsi, plus de 33% des sites ne disposent pas d'infrastructures de protection de base, ce qui expose les enfants et les femmes à un risque accru de violence, d'exploitation et d'abus. Les écoles servent souvent de refuges, ce qui perturbe l'éducation de près d'un demi-million d'élèves. Plus de 3,3 millions d'enfants ont besoin d'une aide humanitaire ; tandis que plus d'un million d'entre eux se trouvent dans une situation d'insécurité alimentaire critique. Selon les projections, environ 288 544 enfants de moins de cinq ans souffriront de malnutrition aiguë cette année. Les gangs armés contrôlent plus de 85% du territoire de Port-au-Prince et des routes principales, privant les familles d'accès à la nourriture, aux soins de santé et aux services de protection, tandis que les acteurs humanitaires s'exposent à de graves dangers pour venir en aide aux plus démunis. «Les enfants d'Haïti ne peuvent pas attendre. Comme tous les enfants, ils méritent de vivre en sécurité, en bonne santé et en paix. Il nous revient d'agir dès maintenant pour ces enfants.» Donald Trump recevait hier Javier Milei à la Maison Blanche La rencontre était faite pour sceller la bonne entente entre Washington et Buenos Aires, et le soutien financier américain à l'économie. Toute la presse en parle, mais cette rencontre est surtout critiquée dans les journaux argentins. Pour la Nacion, quotidien plutôt conservateur en Argentine, Donald Trump est intervenu dans la politique intérieure argentine «sans demander la permission», notamment en exhortant Javier Milei à remporter les prochaines élections législatives dans dix jours. «Trump, un président comme on en a jamais vu», titre le journal qui rappelle dans le même temps ce contexte : le président argentin est le seul dirigeant latino-américain issu d'un pays d'envergure «à être idéologiquement proche du locataire de la Maison Blanche». Pour l'auteur, cette rencontre était un spectacle extravaguant : «le président argentin s'est montré à la fois théoricien de l'économie, homme politique en campagne électorale et chanteur désaccordé», comme si Milei ne semblait pas percevoir la réalité qui l'entoure. En d'autres termes, la crise économique et financière. Pagina 12, un quotidien plus à gauche, poursuit cette idée et décrit Milei «désireux de plaire avant de lever le pouce». Signe du désintérêt américain, estime le quotidien, lors de la conférence de presse «le discours de l'Argentin n'a même pas été traduit en anglais» et l'annonce publique concernant l'Argentine s'est limitée aux résultats des élections. «La promesse d'aide s'est surtout transformée en menace, et la contribution américaine à la stabilité financière est devenue une extorsion pure et simple», résume un éditorialiste économique dans le même journal. Aux États-Unis, des milliers de messages privés échangés par des responsables du parti républicain : des plaisanteries choquantes sur les chambres à gaz, l'esclavage ou encore le viol Des échanges pendant 7 mois révélés en exclusivité par le site Politico après la fuite d'un fichier Telegram de 2 900 pages entre des jeunes dirigeants républicains de New York, du Kansas, de l'Arizona et du Vermont. Les propos sont choquants : «Ils qualifiaient les Noirs de singes et envisageaient de mettre leurs adversaires politiques dans des chambres à gaz», écrivent les journalistes. Depuis le début de l'enquête, apprend-on dans un autre article de Politico, un membre du groupe de discussion a perdu son travail, un autre a vu son offre d'emploi annulée. Mais c'est surtout, rapporte le site d'information, «un aperçu sans filtre de la façon dont une nouvelle génération de militants républicains s'exprime lorsqu'elle pense que personne ne l'écoute». Au fond, analysent les journalistes, «c'est aussi l'assouplissement des normes politiques sous l'ère Trump qui a rendu ce genre de discours moins tabou chez ceux qui s'identifient comme les futurs dirigeants du parti républicain». Au Pérou, la Génération Z dans la rue face au pouvoir politique Ce sont les personnes nées entre 1995 et 2010, une génération souvent décrite comme plus engagée socialement et prête à basculer les pouvoirs en place. Au Pérou, ces jeunes - qui représentent un électeur sur 4 - appellent à une grève nationale et à une mobilisation ce jour avec plusieurs organisations de la société civile. Le site de la radio péruvienne, RPP, revient sur leurs réclamations : «si à l'origine, ils réclamaient l'abrogation de la loi de modernisation du système de retraite, les groupes de la Génération Z réaffirment leur appel à des élections, ils veulent le départ de José Jeri - le nouveau président - et demandent l'arrivée au pouvoir d'un député qui ne fait pas partie des factions qui soutenaient la présidence précédente». Le quotidien La Repubblica rapporte de son côté les mots acerbes du nouveau Premier ministre quant à la mobilisation sociale : «une tentative subversive visant à mettre fin à la démocratie». Ce n'est pas tout : il qualifie la Génération Z au Pérou de «bande héritière du MRTA», un groupe armé maoïste responsable d'actions violentes dans les années 80-90. En Amérique centrale, des pluies torrentielles sur plusieurs pays et des bilans qui s'alourdissent Au Mexique, au moins 64 personnes ont perdu la vie. 65 autres sont toujours portées disparues. Des quartiers entiers sont menacés d'effondrement, et l'aide humanitaire peine à parvenir, certaines zones étant pratiquement isolées. Sur le terrain, des soldats creusent à la pelle pour tenter de rouvrir des routes. Les intempéries ont également frappé le Salvador, le Guatemala, et surtout le Honduras, placé en alerte rouge depuis dimanche (12 octobre 2025). Par mesure de sécurité, écoles et universités ont fermé leurs portes. Et aujourd'hui, plus de 12 000 personnes se retrouvent sans abri, après la destruction de leur logement. Les bidonvilles, déjà fragiles, comptent parmi les zones les plus durement touchées. «C'est un désastre total. On ramasse ce qu'on peut pour voir si on peut ensuite reconstruire dans un autre endroit Ici plus rien n'est possible, parce que le sol va continuer à s'effondrer et on ne sait pas jusqu'où», témoigne Adolfo, debout dans sa maison détruite, tentant de récupérer un ventilateur cassé et une paire de pantoufles. Après la catastrophe, il faut désormais trouver un nouveau logement : un défi pour ces familles pauvres. «Le loyer est cher ici, ça coûte 130 euros, c'est beaucoup et il faut beaucoup travailler pour pouvoir payer ça», poursuit-il. Brésil : alerte au méthanol dans l'alcool fort, plusieurs décès signalés Depuis quelques jours, les autorités brésiliennes recommandent de ne plus consommer d'alcools forts, suite à une série de cas d'intoxication au méthanol. Ce produit chimique industriel, hautement toxique même à faible dose, a été retrouvé dans plusieurs boissons alcoolisées, mélangé à d'autres types d'alcools. Il pourrait s'agir de falsifications ou de productions illégales. Le bilan est déjà lourd : au moins cinq personnes sont décédées, et des dizaines d'autres ont été hospitalisées après avoir consommé ces produits contaminés. L'affaire suscite une vive inquiétude dans le pays, alors que les enquêtes se poursuivent pour identifier les circuits de distribution et retirer les lots suspects du marché.
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
C'est l'événement majeur de la journée : les vingt derniers otages israéliens encore en vie, retenus par le Hamas, ont été libérés et sont désormais de retour en Israël. Une libération obtenue dans le cadre d'un échange sans précédent : près de 2 000 prisonniers palestiniens ont été relâchés, envoyés pour certains en Cisjordanie ou à Gaza, et pour beaucoup, expulsés vers des pays tiers de la région. Cet accord spectaculaire marque la première phase du plan américain pour Gaza, porté par Donald Trump. Invité exceptionnel au Parlement israélien, le président américain a été accueilli par de longues ovations. Lors de son discours, il s'est félicité du succès de cette opération, qualifiée par les autorités israéliennes de « moment historique », et l'a présentée comme le fruit d'un engagement diplomatique de longue haleine. Donald Trump capitalise sur cet événement à fort impact émotionnel. Mais comment cette initiative est-elle perçue de l'autre côté de l'Atlantique ? Pourquoi un tel revirement ? « Israël a commencé à aller beaucoup trop loin en bombardant le Qatar » Pendant des mois et des mois, les États-Unis ont apporté un soutien inconditionnel à Israël notamment les Républicains et Donald Trump. D'après Romuald Sciora, directeur de l'Observatoire politique et géostratégique des États-Unis de l'Iris, plusieurs choses ont changé. D'abord, l'opinion américaine, a été affectée - bien que deux ans après - par les images de la famine à Gaza. « Il y a eu effectivement à ce moment-là une inflexion au sein de l'opinion », estime le chercheur. Ensuite, Donald Trump. « Tout est spectacle et Donald Trump n'a pas réussi à obtenir ce qu'il souhaitait en Ukraine. Il lui fallait un triomphe, essentiellement en vue du Nobel, ou pour montrer qu'il n'avait pas besoin d'un Nobel pour être un grand architecte de la paix », précise le chercheur. Enfin, et c'est sans doute la raison principale, Israël a commencé à aller beaucoup trop loin en bombardant le Qatar. Dans le même temps, depuis déjà, une bonne quinzaine d'années, il y a une distanciation de la nouvelle génération vis-à-vis de la politique israélienne. Pour Romuald Sciora : « Il y a eu des manifestations massives, dans la rue et dans les universités. Même si la répression du gouvernement américain à l'encontre des universités et de ses manifestants n'aura fait qu'accentuer la chose, Trump sait au fond que l'isolement israélien pouvait mener à un isolement américain. » En revanche, avec cet accord, « nous assistons aujourd'hui à un cessez-le-feu, mais nous revenons à la situation qui était celle d'avant le 7 octobre » poursuit-t-il. Surtout, « il n'y a aucun plan d'ensemble pour le conflit israélo-palestinien, et à l'heure qu'il est, Netanyahu a encore les mains libres pour le reste de ses projets ». « Ce plan est l'acceptation tacite de la colonisation et du statu quo politique israélien » « Surtout, il n'y a pas de paix possible sous le poids d'un génocide. » C'est le titre d'un éditorial à lire dans la Jornada, quotidien mexicain de gauche. Le journaliste ne mâche pas ses mots et pour lui, la « paix » n'existera qu'entre guillemets. Ce plan est surtout « l'acceptation tacite de la perpétuation de la colonisation et du statu quo politique israélien » Et à l'auteur de mettre en garde : « personne dans le monde n'est à l'abri de ces guerres d'extermination » estime-t-il, élargissant la situation aux Zapatistes au Mexique, aux réfugiés climatiques, aux demandeurs d'asile « tous les invisibles en tant que sujets politiques qui deviennent de plus en plus vulnérable dans ce système ». Vulnérables, comme par exemple, les participants à la flottille pour Gaza. Dans El Pais, vous pourrez lire les chroniques d'une arrestation : celle d'un documentariste mexicain qui avait embarqué et explique comment l'armée israélienne les a séquestrés en mer après 32 jours de navigation en direction de Gaza. C'est un récit à la première personne, détaillé, vivant, collectif, illustrant dans le même temps les questionnements internes des participants. « Pourquoi, ne serait-ce qu'un instant, avons-nous pensé que nous pouvions y arriver ? » écrit Carlos Pérez Osorio. Il revient surtout sur cet épisode : lorsqu'il est dans un camion en train d'être expulsé vers la Jordanie avec, à ses cotés, Mandla Mandela, le petit- fils de Nelson Mandela. Ce dernier s'adresse aux gardes israéliens et leur dit : « Souvenez-vous de mon visage car je reviendrai. » L'un d'eux se moque, répond qu'il perd son temps. « Pour cela j'ai tout le temps du monde » rétorque le petit-fils de Mandela. « C'est à ce moment que j'ai compris que cette phrase ne parlait pas seulement de lui, écrit l'auteur, mais aussi des Palestiniens, qui ont mené ce combat bien avant notre naissance. Car la Palestine n'a jamais cessé de revenir : dans la mémoire, dans les rues, dans chaque tentative de reconstruire ce que d'autres détruisent ». « À Gaza, ce sont 90% des habitations qui ont été détruites », rappelle un éditorialiste de Sin Embargo. Alors au moment où Donald Trump se réjouit devant la Knesset, le parlement israélien, avec la mise en œuvre de l'accord de paix, le journaliste insiste sur la complicité des États-Unis. Car « sans leur soutien militaire, financier et diplomatique, Israël ne pourrait continuer à occuper la Palestine et à maintenir sa suprématie militaire ». Aux États-Unis, la répression de Donald Trump s'intensifie à Chicago C'est le New York Times qui explique comment tout s'est accéléré en à peine quelques semaines à Chicago. Les journalistes ont analysé une centaine de vidéos tournées le mois dernier, examinant l'action de la Garde nationale. « Les arrestations se sont intensifiées, un clandestin a été abattu, des agents de la police des frontières ont patrouillé dans le centre-ville de Chicago » lit-on, « toute la ville est sur le qui-vive ». Alors que dans le même temps, 56 % des habitants de Chicago estiment que ce recours à l'armée américaine et à la Garde nationale pour aider la police locale est inacceptable - c'est le résultat d'un sondage publié dans The Chicago Sun Times. En Haïti, un basculement silencieux dans l'économie politique avec les gangs Dans un dossier du Nouvelliste, dans leur édition du week-end, on apprend que les gangs haïtiens ne se contentent pas de la violence ou de la simple prise de territoires mais qu'ils ont créé dans le même temps une nouvelle monnaie d'échange que l'auteur appelle « l'attention ». Visibilité, peur, présence médiatique, rumeurs, contrôle social, et ainsi plus d'extorsions. Plusieurs éléments clés expliquent ce changement : d'abord, nous apprend l'article, il y a eu la fusion de deux gangs majeurs, consolidant alors leur emprise sur 90% du territoire haïtien. Ensuite, car ces gangs distribuent des services et imposent alors des taxes, offrant une forme de « gouvernance » là où l'État a déserté. « Les pertes pour l'économie nationale sont immenses », écrit le journaliste. Le problème, c'est que la population finit par s'adapter. Pire, « par tolérer ». Impossible de savoir, en revanche, si c'est par peur ou par nécessité.
Hello la famille c'est avec une grande joie que je nous partage ce nouvel épisode qui marque la reprise des activités de The Healing and Restoration Podcast
Vu sur « Au Comptoir Moderne » Dimanche 12 octobre 2025 « Au Comptoir Moderne », épicerie radio itinérante. L'épicerie radio itinérante est installée aujourd'hui dans la recyclerie des émissions de radio. Les recycleries sont à la mode, on peut donc aussi y trouver évidemment des émissions de radio ! Surtout les miennes ! Comme celle où je dévoilais mon véritable métier : DJ ! Une […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
Rétablir le contrôle dans les ports européens et restaurer l'autorité fiscale de l'UE : c'est l'ambition de Laura Kövesi, la cheffe du Parquet européen (EPPO). Nommée en 2019, la magistrate de 51 ans est réputée et saluée pour son sérieux et son opiniâtreté. Mais elle se heurte, de son propre aveu, à l'inertie des pays européens. C'est une conférence de presse qui a marqué les esprits en Grèce comme dans les autres pays de l'Union européenne. D'ordinaire discrète, et avare en interviews, Laura Kövesi a choisi le port grec du Pirée pour tirer le signal d'alarme et dénoncer les « organisations criminelles » qui pratiquent la fraude douanière à un niveau industriel. « Dans toute l'Europe, des sommes considérables de droits de douane et de taxe ne sont pas payées comme elles le devraient, martèle la procureure en chef du Parquet européen, après l'annonce de la plus grande saisie de conteneurs jamais effectuée par l'UE – pour une valeur d'au moins 250 millions d'euros. « Ces fraudes ne sont pas dues à de petits contrebandiers, mais à des groupes criminels organisés soutenus par la corruption de fonctionnaires des douanes et des impôts, et d'employés de banque. Mais nous voulons envoyer un message fort aux criminels à l'origine de cette fraude massive : les règles du jeu ont changé, vous n'avez plus aucun refuge ! » Une mise en garde qui s'adresse autant aux criminels qu'aux dirigeants de l'Union européenne – accusés de ne pas toujours mesurer l'ampleur des fraudes commises dans les ports européens. Au-delà de l'opération « Calypso » qui a abouti à l'arrestation de six personnes, dont deux agents des douanes, la procureure en chef du Parquet européen annonce que les investigations seront menées dans d'autres ports européens – citant ceux de Marseille en France, de Gdansk en Belgique ou de Constanta en Roumanie. « L'incorruptible des Carpates » Cheveux noirs coupés au carré, stature imposante (plus d'1 mètre 80), Laura Kövesi a fait du basket à un niveau quasi professionnel – elle a même été vice-championne d'Europe dans sa jeunesse. Mais elle choisit de faire des études de droit et sa carrière de magistrate sera fulgurante. En 2006, elle devient, à 33 ans, la plus jeune procureure générale de Roumanie et la première femme nommée à ce poste. « Il fallait à l'époque renouveler le domaine judiciaire, qui était marqué par une corruption endémique, mais aussi par un âge très élevé des procureurs, souligne Sergiu Miscoiu, professeur de sciences politiques à l'Université de Cluj en Roumanie. Et à la différence d'une grande partie de ses confrères, elle a opté pour le métier de procureur, alors que tout le monde voulait devenir avocat. Et ceci lui a permis, par sa compétence et par son abnégation, d'avoir une carrière rapide. » En 2013, elle est nommée à la tête de la Direction nationale anticorruption et part en croisade contre la classe politique roumaine… avec des résultats spectaculaires. « Elle a fait condamner un ancien Premier ministre, d'autres ministres et parlementaires qui ont été jugés pour la première fois de l'histoire de la Roumanie. Elle a été accusée d'être instrumentalisée à des fins politiques, mais finalement, les Roumains ont célébré le fait qu'après vingt années de quasi-impunité, personne ne se trouvait à l'abri de la justice : ni les sénateurs, ni les députés, ni les ministres. » Déni de réalité Un style et une méthode que Laura Kövesi tente d'appliquer au niveau européen. À sa nomination en 2019, elle part de zéro puisque le Bureau du parquet général européen vient tout juste d'être créé par 24 des 27 pays de l'UE (le Danemark, l'Irlande et la Hongrie ont refusé d'en faire partie). Il a fallu recruter des équipes et des procureurs dans chaque pays. Mais le résultat est là : plus de 2 000 enquêtes ouvertes en 2024 pour un préjudice estimé à plus de 20 milliards d'euros. Des résultats salués par l'eurodéputée belge Saskia Bricmont, membre écologiste de la Commission justice et libertés civiles du Parlement européen. « Que ce soit devant nous, au Parlement européen, que ce soit via la presse, et elle l'a encore montré ces derniers jours, que ce soit dans son travail, elle n'y va pas par quatre chemins, elle n'utilise pas la langue de bois et elle dit les choses comme elles sont. La rigueur de son travail montre des résultats, puisque ce sont des dizaines de milliards d'euros qui sont derrière le travail effectué par le parquet européen. » Une efficacité qui dérange ? Dans certains pays, Laura Kövesi se heurte aux réticences et parfois à la mauvaise volonté des autorités. Le gouvernement grec lui a ainsi demandé de « s'en tenir à ses compétences » alors qu'elle enquêtait sur plusieurs affaires de corruption touchant aux subventions européennes. La cheffe du parquet européen dénonce également le déni de réalité des dirigeants européens et des institutions face à la corruption et à la criminalité organisée qui gangrène la fiscalité et les douanes européennes. Avec, à la clé, d'immenses manques à gagner pour les finances publiques de l'UE et des pays concernés. « Les États membres ne mettent pas en œuvre les moyens judiciaires et policiers suffisants pour lutter contre cette fraude et récupérer l'argent qui manque aujourd'hui cruellement aux finances publiques, abonde Saskia Bricmont. Il y a clairement un manque de volonté politique de s'attaquer clairement à la fraude de la TVA et d'autres problématiques, comme la criminalité environnementale. » Confrontée à des enquêtes tentaculaires et à des moyens réduits, Laura Kövesi demande et espère davantage de fonds, d'enquêteurs et de procureurs dans chaque pays. Surtout si son champ d'action s'agrandit comme le souhaitent certains pays membres de l'UE – à l'image de la France et de l'Allemagne qui appellent à confier au Parquet européen les enquêtes pour violations des sanctions contre la Russie.
Comment nourrir 8 milliards d'humains dans le contexte du changement climatique ? 150 chercheurs du Cirad ont travaillé pendant deux ans pour répondre à cette question, certains seront avec nous et Le Petit Atlas de Maxime Blondeau nous emmènera à New York ! Quoi de plus vital que nous nous nourrir ? Face au changement climatique qui modifie les cycles des pluies créant ici des sécheresses, là des inondations, voir les deux au même endroit, les agricultures familiales sur lesquelles reposent 90% de la production alimentaire mondiale doivent s'adapter. Surtout dans les pays du sud où les paysans sont très vulnérables. Alors s'adapter oui, mais pas n'importe comment car l'agriculture fait aussi partie du problème. Cultiver et élever du bétail produit des gaz à effet de serre qui accroissent le changement climatique !!! A l'heure où la solidarité internationale est remise en question et où la science est de plus en plus considérée comme une opinion, il est urgent de d'élaborer des solutions durables et scientifiquement solides. Voilà pourquoi 150 scientifiques du CIRAD, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement ont travaillé pendant deux ans pour développer des stratégies pour transformer durablement les systèmes agricoles et alimentaires face au changement climatique. Ils viennent de publier un livre dense et passionnant qui est en libre accès sur internet Émission autour de l'ouvrage « L'agriculture et les systèmes alimentaires du monde face au changement climatique - Enjeux pour les Suds », sorti aux éditions Quae, qui questionne et explore la diversité des stratégies nécessaires à différentes échelles — génétique, pratiques agricoles, politiques publiques, commerce, finance — pour transformer durablement les systèmes agricoles et alimentaires face au changement climatique. Avec les coordinateurs du livre : Vincent Blanfort, ingénieur en agro-développement, chercheur et chargé de missions Changement Climatique au CIRAD Marie Hrabanski, chercheuse en sociologie politique au Cirad Astou Camara, chercheuse en agroécologie directrice du Bureau d'analyses macroéconomiques de l'Institut sénégalais de recherche agricole (ISRA-BAME) ... Maguette Kairé, expert forestier – coordinateur du Master régional « pastoralisme » au Comité permanent Inter-États de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel. Et diffusion en fin d'émission du deuxième épisode du Petit Atlas de Maxime Blondeau : aujourd'hui, direction New-York (nouvelle chronique mensuelle). Musiques diffusées pendant l'émission Çantamarta - qué triste, qué desastre.
Comment nourrir 8 milliards d'humains dans le contexte du changement climatique ? 150 chercheurs du Cirad ont travaillé pendant deux ans pour répondre à cette question, certains seront avec nous et Le Petit Atlas de Maxime Blondeau nous emmènera à New York ! Quoi de plus vital que nous nous nourrir ? Face au changement climatique qui modifie les cycles des pluies créant ici des sécheresses, là des inondations, voir les deux au même endroit, les agricultures familiales sur lesquelles reposent 90% de la production alimentaire mondiale doivent s'adapter. Surtout dans les pays du sud où les paysans sont très vulnérables. Alors s'adapter oui, mais pas n'importe comment car l'agriculture fait aussi partie du problème. Cultiver et élever du bétail produit des gaz à effet de serre qui accroissent le changement climatique !!! A l'heure où la solidarité internationale est remise en question et où la science est de plus en plus considérée comme une opinion, il est urgent de d'élaborer des solutions durables et scientifiquement solides. Voilà pourquoi 150 scientifiques du CIRAD, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement ont travaillé pendant deux ans pour développer des stratégies pour transformer durablement les systèmes agricoles et alimentaires face au changement climatique. Ils viennent de publier un livre dense et passionnant qui est en libre accès sur internet Émission autour de l'ouvrage « L'agriculture et les systèmes alimentaires du monde face au changement climatique - Enjeux pour les Suds », sorti aux éditions Quae, qui questionne et explore la diversité des stratégies nécessaires à différentes échelles — génétique, pratiques agricoles, politiques publiques, commerce, finance — pour transformer durablement les systèmes agricoles et alimentaires face au changement climatique. Avec les coordinateurs du livre : Vincent Blanfort, ingénieur en agro-développement, chercheur et chargé de missions Changement Climatique au CIRAD Marie Hrabanski, chercheuse en sociologie politique au Cirad Astou Camara, chercheuse en agroécologie directrice du Bureau d'analyses macroéconomiques de l'Institut sénégalais de recherche agricole (ISRA-BAME) ... Maguette Kairé, expert forestier – coordinateur du Master régional « pastoralisme » au Comité permanent Inter-États de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel. Et diffusion en fin d'émission du deuxième épisode du Petit Atlas de Maxime Blondeau : aujourd'hui, direction New-York (nouvelle chronique mensuelle). Musiques diffusées pendant l'émission Çantamarta - qué triste, qué desastre.
"Anne tu es folle, c'est pas le moment !"... Non, attends, réfléchis bien."Et si tu retrouvais une autre boulot ?"... Banco, vas-y, je suis derrière toi.Ah, les doutes de l'entrepreneur. Surtout quand tu es jeune maman avec un bébé de 4 mois et que tu te demandes si c'est vraiment le bon moment pour te lancer. C'est exactement ce qu'a vécu Anne BOUCAUT quand elle a franchi le pas de l'entrepreneuriat à 31 ans. Entre l'allaitement, les nuits courtes et toutes les problématiques d'une jeune maman, elle s'est dit "est-ce que c'est le moment ?" Mais avec le soutien de son mari qui l'a poussée dès le début (et qui a même créé son logo en plus de son job), elle s'est lancée. Parce qu'au final, y a-t-il vraiment un bon moment ?Elle avait l'expérience métier, les connaissances, les contacts, des confrères qui la voulaient comme responsable d'agence... Bref, de belles opportunités. Mais elle a choisi de créer quelque chose à son image.Et là, révélation totale. De la création du nom de sa boîte au slogan, en passant par tout l'ADN de son entreprise, elle a pu aller chercher au plus profond d'elle qui elle était vraiment. Fini l'image de l'agent immobilier "un peu véreux qui raye le parquet". Pour Anne, c'est un métier passion où elle apporte son aide aux clients pour vendre leurs biens et trouver leurs pépites.Challenging ? Oui. Régalant ? Absolument.Et toi, quel a été le déclic pour franchir le pas ?Site web : https://www.boucaut-immobilier.fr/Linkedin : https://www.linkedin.com/in/anne-boucaut-basso-689683178/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Louise : Je suis dégoûtée, mon entreprise m'oblige à bosser ce samedi à cause des portes ouvertes qu'ils organisent.Julien : Oh non, la loose. Surtout que t'avais prévu de faire un week-end tranquille en plus, non ?Louise : Oui, j'espérais souffler un peu, mais c'est foutu. Si j'avais su, j'aurais posé une journée de congé…Julien : Courage, je suis sûr que ça va passer beaucoup plus vite que ce que tu penses ! Et puis, il y a moyen de bien se reposer juste avec le dimanche, surtout si c'est moi qui m'occupe de tout à la maison. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Criquets crinqués ont un faible pour le grunge des années 90, aussi pour le post-rock et le shoegaze. Surtout, on peut y entendre des primeurs, des ballades folk, du punk, du pop, de l'électro et même du black métal quand le cœur nous en dit ! C'est ça CISM, la liberté musicale à l'état pur, pour les gens ouverts d'esprit et qui désirent en découvrir davantage.
Ce 6 octobre marque la Journée nationale des aidants. Près d'un adulte sur trois en France soutient au quotidien un proche en perte d'autonomie ou en situation de handicap. Si toutes les classes d'âges sont concernées, ce sont en grande majorité des personnes entre 55 et 64 ans qui sont aidantes. Et parmi elles, une très grande majorité de salariés qui, pour faire face, mettent à mal leur propre santé, jusqu'à épuisement. Il existe des aides, mais elles sont insuffisamment connues et pas assez généralisées. Notre correspondante est allée à la rencontre de Jean-Louis, proche aidant de son fils Jacques, en situation de handicap. Un peu décoiffé, le regard volontaire, Jacques patiente dans son lit. Il est atteint de la myopathie de Duchenne, une maladie dégénérative qui atrophie les muscles. Jean-Louis, son père, est son proche aidant : « Je lève Jacques de son lit pour le mettre sur son fauteuil, c'est ce que l'on appelle un transfert. » À 22 ans et en fauteuil roulant, Jacques a besoin d'être porté au moins six fois par jour. Mais l'aide ne s'arrête pas là. « Tout ce qui est habillage, toilette, tout ce qui est brossage de dents. Je perds la force, d'année en année. Il faut m'aider à manger, même à boire. J'ai besoin d'aide pour toutes les choses dont un humain a besoin, toutes les choses quotidiennes. », explique Jacques. Et le jeune homme se culpabilise : « Quand je l'appelle pour me tourner la nuit, et parfois, j'ai envie de le laisser dormir... », regrette Jacques. Jean-Louis regarde tendrement son fils, mais parfois cette aide constante l'épuise, il avoue : « J'ai déjà craqué. En plus, je suis assez direct. J'ai déjà dit à Jacques que je n'en pouvais plus. Cela n'est pas arrivé 36 fois, mais il y a des moments où il y a des grands coups de fatigue. Surtout lors des réveils nocturnes, quand il me réveille cinq fois dans la nuit parce qu'il a mal à la jambe. Là, je suis un peu au bout du rouleau. » À lire aussiLes aidants : 9,3 millions de Français concernés Jacques est étudiant à la fac et Jean-Louis est salarié. Ça fait dix ans que ce parent aidant consacre un nombre incalculable d'heures à son fils handicapé, mais il ne bénéficie que de quatre jours de congés supplémentaires par an. Jean-Louis aurait la possibilité d'être relayé par un professionnel, mais il regrette qu'il ne soit pas suffisamment formé : « N'est pas un bon aidant qui veut, et c'est vrai que - Jacques pourra mieux en parler - on a des aidants qui quelques fois ne font pas grand-chose. C'est se mettre à disposition de l'autre et ne pas avoir peur : tu as besoin de quoi ? Est-ce que tu as faim ? Est-ce que tu as soif ? Tu es bien comme tu es ? Tu veux te lever ? Il y a des besoins, il y a peut-être aussi des envies : penser à ouvrir la fenêtre, le soleil va rentrer… » « Il faut qu'il soit dans la compréhension de l'autre. Il faut par exemple une formation psychologique, sur comment aider le malade », ajoute son fils. Pour Jacques, son père est le meilleur des aidants. « Il n'est pas dans la mièvrerie. Il est dans le combat », affirme-t-il. Et ce qui est touchant, c'est que père et fils se battent ensemble. À lire aussiMieux comprendre les difficultés des aidants
Surtout lorsqu'elle est toxique...Cet épisode est un love enregistré en direct sur ma page instagram eadenr_ le 5 octobre 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une seule victoire en quatre matchs, Lamar Jackson blessé, la défense passoire. C'est dur pour les Ravens en ce début de saison. La défaite contre les Chiefs fait mal. Surtout, elle réduit considérablement la marge d'erreur de l'équipe de John Harbaugh pour la suite de la saison. À l'inverse, les Chiefs ont retrouvé des couleurs, grâce au retour de Xavier Worthy et à un Patrick Mahomes au point. Les débuts réussis de Jaxson Dart avec les Giants et la victoire des Steelers à Dublin sont aussi au programme. Alain Mattei et Raphaël Masmejean sont au micro. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bon, vous l'aurez compris, dans ce podcast je vous raconte tout, et ce serait vraiment très malhonnête de ma part de filtrer et de ne vous raconter que le positif de ma vie d'artiste et de chef d'entreprise. Surtout que tout le monde y perdrait parce que le plus pédagogique et le plus intéressant, j'en suis persuadée, ce sont les échecs, les impasses et les coups de massue. Et d'ailleurs, en parlant de coup de massue...Lien vers mon livre "Écrire l'humour" :https://www.amazon.fr/%C3%89crire-lhumour-Christine-Berrou/dp/B0BB65QKZX/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=36XRDIP3O22J7&dib=eyJ2IjoiMSJ9.2R2GKlw_dvBCBkBXTzFcBg.nLcRm3XoaX8QpXDSiXuYr6oNenVBFPCGZfOll22-kUg&dib_tag=se&keywords=%C3%A9crire+l%27humour+berrou&qid=1756745047&sprefix=%C3%A9crire+l%27humour+berrou%2Caps%2C75&sr=8-1Liens vers mon autre podcast "Le Mois de la guerrière" :Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-mois-de-la-guerri%C3%A8re/id1738987638Spotify : https://open.spotify.com/show/5V93IbBEOPv1W3QJ1jRHZKIMPORTANT : Il y a parfois un soucis avec Spotify, je vous informe donc que vous pouvez télécharger Apple Podcasts même si vous n'êtes pas client Apple.IMPORTANT 2 : Ce sont des abonnements payants (Avec 3 jours d'essai gratuit sur Apple Podcasts, vous pouvez donc tout écouter en 3 jours gratuitement ;) , mais si vous vous engagez au moins sur un mois, ça me permet de financer Gamberge, de ne plus payer mes techniciens occasionnels, mon matériel ou mes déplacements de ma poche
Je t'accompagne pour mettre en place tes modèles mentaux ici : ICI***Découvre ce que nous avons créé pour t'aider à aller plus loin :Des formactions pratiques et concrètes pour manager efficacement, quel que soit ton rôle ou ton secteur.Une communauté unique en ligne, le CIEL, où dirigeants et cadres dirigeants, s'entraident pour réussir ensemble.L'offre exclusive du moment pour t'aider à passer à l'action dès aujourd'hui.Clique ici pour explorer le catalogue ODM : https://www.formactions.outilsdumanager.com/cataloguecomplet***Dans cet épisode d'Outils du Manager, je t'explique la différence entre un intrapreneur et un intellectuel frustré.Surtout, j'aimerais te donner les clés pour passer de l'un à l'autre.On parle de méthode pour développer ton système mental, apprendre de tes erreurs, tenir un journal pour booster ton efficacité et adopter une vraie stratégie de management.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les baleines sont de plus en plus nombreuses dans la baie de New York. Leur retour a commencé il y a une dizaine d'années, mais il surprend encore les scientifiques. Ce sont surtout des baleines à bosse qui dévient de leur route estivale, vers le Grand Nord. En 2011, elles étaient cinq, aujourd'hui près de 500 ont été identifiés. Elles font le bonheur des touristes et des habitants de la région, qui peuvent partir en mer les observer. Les naturalistes de l'association Gotham Whale, qui étudient, répertorient et protègent les baleines et les dauphins de la baie, sont tous les jours à bord de l'American Princess, au départ de Brooklyn. De notre correspondante aux États-Unis, Après une heure de navigation, la joie éclate : une baleine plonge et fait claquer ses nageoires tachetées de blanc à quelques mètres de l'American Princess. C'est la deuxième excursion pour Reysonia Owens qui vit à 200 km de New-York. L'assistante dentaire confirme, le phénomène est encore peu connu : « J'en parle à tout le monde ! Quand je demande à mes patients : "devinez où je suis allée observer les baleines", ils répondent : "Alaska ? Maine ?". Et quand je leur dis : "eh non, Brooklyn, New York", ils n'en reviennent pas ! » Les baleines de l'Atlantique nord passent l'hiver dans les eaux tropicales et l'été dans les eaux froides. Mais comme sur toute la planète, leurs migrations sont en train de changer, explique le jeune naturaliste Chris St Lawrence, de l'association Gotham Whale : « Avant, ces baleines allaient directement dans le Maine sans passer par New York. Mais à présent, certaines s'arrêtent pour se nourrir. Surtout des jeunes. Parfois, elles ne vont pas plus loin et passent tout l'été avec nous ici, où elles se nourrissent du poisson, appât local, une sorte de petit hareng. » Le changement du climat est l'un des facteurs en jeu, selon le naturaliste : « Le golfe du Maine se réchauffe relativement plus vite que le reste de l'océan. Et ça influence la répartition des proies préférée des baleines. » À lire aussiÉtats-Unis: les baleines à bosse de retour dans la baie de New York Mais sans eaux propres, pas de poissons. La loi sur la protection de l'eau de 1972 a donc joué un rôle essentiel à New York, explique le photographe animalier Jason Denesevitch : « Avec une eau plus propre, on a davantage de poissons appâts, qui attirent à leur tour les grands animaux comme les baleines. Depuis vingt ans, les pêcheurs voient revenir des espèces plus variées, comme les ombrines et les sars, qui avaient disparu tellement l'eau était polluée. Aujourd'hui, en juin et juillet, on voit même des esturgeons ! » Gotham Whale a identifié 463 baleines à bosse dans la baie de New York, dont certaines sont devenues familières des naturalistes. Mais des espèces plus rares font parfois leur apparition. « L'an dernier, on a repéré un regroupement de plus de cinquante baleines noires dans le canyon de l'Hudson, à environ 160 km de New York. Et on a pu alerter les autorités compétentes pour assurer leur protection », raconte Chris St Lawrence. À bord de l'American Princess, les naturalistes sensibilisent le grand public : sur treize espèces de baleines, six sont menacées. Or ces mammifères régulent l'ensemble de l'écosystème marin, et piègent de grandes quantités de CO2. Baptisées ingénieurs des océans, les baleines sont essentielles à la santé de la planète. À lire aussiLa chasse à la baleine, histoire d'une surexploitation mondiale
Sous l'effet de la guerre commerciale menée par Donald Trump, Pékin réoriente ses exportations. Si les flux vers les États-Unis s'effondrent, l'Europe, l'Asie et même l'Afrique deviennent des débouchés privilégiés. Les chiffres d'août 2025 confirment un tournant pour la deuxième économie mondiale. Si les exportations chinoises progressent encore par rapport à l'été 2024, leur croissance ralentit fortement. Surtout, les ventes vers les États-Unis se contractent brutalement : -12% en un mois, soit environ 5 milliards de dollars en moins. En cause, les surtaxes de 30% imposées par Washington sur l'ensemble des produits chinois. Mais Pékin ne se contente pas d'encaisser le choc. La Chine redéploie sa production vers d'autres marchés. L'Europe en première ligne du redéploiement Le continent européen s'impose comme la principale alternative pour les exportateurs chinois. Au premier semestre 2025, il a absorbé 16% des exportations chinoises, une proportion en hausse constante. Tous les secteurs sont concernés : électronique, chimie, textile, jouets, pharmaceutique, acier et surtout automobile électrique. Si certains y voient une opportunité — prix plus compétitifs et accès à des innovations technologiques — d'autres redoutent un « nouveau choc chinois » entraînant une désindustrialisation accélérée. L'Asie et l'Afrique, nouveaux relais de croissance La stratégie dite du « China+1 » illustre cette diversification. Pékin maintient sa base industrielle tout en s'appuyant sur ses voisins de l'Asean (+22% d'exportations vers la région) pour la production et la réexportation, du Vietnam à la Thaïlande. L'Asie centrale bénéficie également des Nouvelles Routes de la Soie, tandis que l'Inde et l'Afrique voient affluer des produits chinois. Pour accompagner ce basculement, la Chine a ouvert 117 nouvelles lignes de fret aérien au premier semestre. Derrière cette intensification logistique, une stratégie claire : compenser le recul du marché américain, renforcer son influence régionale et rappeler qu'elle reste un acteur incontournable du commerce mondial.
À quelle vitesse perte du poids, calmer un syndrome rotulien, mon avis sur les réseaux sociaux dans le sport et mes objectifs pour 2026. Ce sont les questions qui m'ont été posées cette semaine. Et ça me permet de vous parler de la drôle d'idée que j'ai eue pour 2026.Liens :Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolekm42Nouveau : La Stratégie FlowFit (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitkm42Le formulaire pour poser vos questions : https://tally.so/r/3yBqXWTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/374Les questions de la semaine me permettent de revenir sur l'importance de perdre du gras et prendre du muscle plutôt que viser une perte de poids. Vous comprendrez comment sont nés mes programmes comme Le Protocole Perte de Gras et le tout nouveau FlowFit.Je vous partage ma vision des réseaux sociaux actuels et des problématiques de la comparaison et du découragement avec les réseaux sociaux comme Strava et Instagram. J'ai les genoux qui grincent, surtout un et ce serait un problème de syndrome rotulien. La question de la semaine me permet de vous en parler et comment j'évite qu'il me fasse mal. Enfin je vous parle d'une idée née dans un rêve mais qui me motive beaucoup pour les mois qui viennent. Surtout en y ajoutant une dimension de jeu. Les questions de cet épisode :Combien de kilos maximum recommandes-tu de perdre par semaine / mois ?Les réseaux sociaux ? Bonne ou mauvaise chose ? J'allais marqué pour la course mais pas que Douleurs liées à un syndrome rotulien, quoi faire pour ne plus avoir de douleur ?
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Il a été question d'Haïti hier, (22 septembre 2025) aux Nations unies, lors d'une réunion en marge de l'Assemblée générale. Le président du Conseil présidentiel de transition a pris la parole et a lancé un nouvel appel à l'aide, rapporte Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. L'arrêt de la Mission multinationale emmenée par le Kenya, prévu le 2 octobre 2025, serait «fatal pour le pays», a averti Laurent Saint-Cyr qui réclame «une force plus robuste pour briser l'emprise des gangs». Le président kényan, lui aussi, s'est exprimé. Il a expliqué que la mission multinationale censée lutter contre les gangs a fonctionné à 40% seulement, par rapport à ce qui était prévu. Manque d'effectifs, de moyens... William Ruto a raconté que les véhicules fournis par les États-Unis étaient usagés et sont, donc, souvent tombés en panne. Le chef de l'État kényan tout comme les États-Unis ont plaidé pour une transformation de la mission en Haïti. «Washington demande une force de répression des gangs de 5.500 membres mandatés par l'ONU», explique Gotson Pierre. Au cours de cette réunion, les États-Unis ont également annoncé qu'ils avaient décidé d'imposer des sanctions à l'ancien sénateur du département de l'Ouest, Antonio Chéramy, et à l'ex-député de la circonscription de Delmas/Tabarre, Arnel Bélizaire, pour corruption et déstabilisation des institutions démocratiques. Ils n'ont plus le droit de se rendre aux États-Unis Le calvaire des femmes en Haïti «Dans les abris de déplacés, survivre est un combat quotidien», surtout pour les femmes, raconte Gotson Pierre. «Les rares distributions d'aide finissent souvent dans la violence», explique le journaliste. Alterpresse a recueilli le témoignage de Marie, veuve de 69 ans, qui vit dans une école et a été agressée en allant chercher de la nourriture pour les siens. Une relation ancienne entre les États-Unis et Israël Donald Trump doit s'exprimer cet après-midi à la tribune des Nations unies. Il devrait réagir à la reconnaissance de la Palestine par une dizaine de pays occidentaux hier et avant-hier, et réaffirmer le lien indéfectible entre les États-Unis et Israël. Un lien très ancien «qui remonte à la création d'Israël, qui s'est amplifié pendant la Guerre froide et qui a pris des proportions absolument colossales : entre 1946 et 2024, 300 milliards de dollars d'aide américaine ont été versés à l'État d'Israël», explique notre correspondant aux États-Unis, Vincent Souriau. Il faut dire qu'Israël sert de rempart à la Maison Blanche au Proche-Orient «contre l'influence soviétique dans le passé et aujourd'hui, dans la lutte contre le terrorisme, la stabilité des cours du pétrole, la préservation de ressources stratégiques et la mise au ban du régime iranien», détaille Vincent Souriau. Il y a également une dimension militaire dans cette relation puisqu'on dit souvent que les Israéliens sont les premiers «testeurs» du matériel américain. Et enfin, une dimension sentimentale. «Aux États-Unis, il y a un attachement sentimental à Israël qui est perçu par toute une génération comme la victoire d'un peuple persécuté qui est parvenu à créer un État démocratique», analyse le journaliste de RFI. «Cette perception diminue ces dernières années, notamment depuis le 7 octobre, surtout au sein des jeunes générations. Mais il reste chez les baby-boomers qui dominent encore la scène politique, l'image d'Israël en quelque sorte comme celle d'un miroir de l'idéal démocratique américain.» D. Trump établit un lien entre l'autisme et le paracétamol, malgré les avis scientifiques Le président américain reconnaît qu'il n'est «pas médecin» mais il recommande pourtant aux femmes enceintes de ne pas prendre de paracétamol et de ne pas en donner aux bébés, car selon lui, ce médicament augmente les risques d'autisme. Une affirmation infondée, soulignent les médias américains. Ses conseils médicaux ne reposent sur rien, explique le New York Times qui rappelle que pendant des années, les scientifiques ont mené des études sur un lien éventuel entre le paracétamol et l'autisme et que leurs résultats ne sont pas concluants. Il n'y a pas de lien non plus entre les vaccins et l'autisme, contrairement à ce qu'a aussi affirmé Donald Trump hier. Une idée qui a été débunkée - démystifiée en bon français - depuis longtemps, souligne encore le journal. Enfin, le président américain a autorisé la prise d'acide folinique pour lutter contre l'autisme. «Les premiers essais menés auprès de petits groupes d'enfants ont montré des progrès encourageants en matière de langage. Mais les chercheurs insistent sur le fait qu'il faut mener des études à plus grande échelle», explique le Washington Post. Ceux que le New York Times a interrogés confirment qu'il est encore trop tôt pour parler d'un traitement de l'autisme et estiment qu'alors que les fonds alloués à la recherche sont limités, il y a d'autres sujets bien plus prioritaires. Les États-Unis au secours de l'Argentine Donald Trump doit s'entretenir avec le président argentin Javier Milei ce mardi (23 septembre 2025) en marge de l'AG des Nations unies. Hier, le Trésor américain s'est dit « prêt à faire le nécessaire » pour soutenir l'économie argentine et la sortir de la tourmente financière qui l'agite ces dernières semaines. Après l'annonce américaine, les marchés se sont calmés, relève le Wall Street Journal. Mais cela ne va pas durer. Et Donald Trump ne compte sans doute pas «utiliser l'argent du contribuable américain pour financer la sortie du peso des investisseurs lors d'une attaque spéculative.» La balle est, donc, dans le camp de l'Argentine à en croire le Wall Street Journal. «Les Argentins ont des milliards de dollars cachés sous leurs matelas ou dans des boîtes de café (...) Un plan crédible de Milei pour faire du dollar la monnaie légale leur permettrait de mettre ces billets verts au travail dans l'économie argentine», poursuit le quotidien qui incite le président argentin à dollariser l'économie en échange de l'aide américaine. Grève nationale en Équateur En Équateur, une grève nationale a débuté hier. Le détonateur est la fin des subventions sur le diesel et par conséquent, la hausse du prix du carburant. Deux fois déjà, en 2019 et en 2022, le pouvoir en place avait tenté de faire passer cette mesure. Mais la rue l'avait fait reculer. Cette fois-ci, les choses devraient être différentes, analyse El Comercio. Car malgré cette décision impopulaire, Daniel Noboa conserve un fort capital politique. Il reste légitime aux yeux d'une grande partie du peuple et ses soutiens ont toujours du poids au Parlement, détaille le journal. En outre, le mouvement indigène, à l'origine de cette grève, est divisé. Enfin, poursuit El Comercio, Daniel Noboa a été malin : il a promis des aides à certains secteurs, comme l'agriculture et les transports. Surtout, pour éviter que Quito ne devienne l'épicentre de la contestation, comme en 2019 et en 2022, le président a déménagé le pouvoir exécutif à Latacunga, à environ 100 km au sud de la capitale, en plein territoire indigène. Une manière de dire aux manifestants que lui, ne cèdera pas, estime le quotidien. Le journal de la 1ère Dans l'affaire du chlordécone, la cour d'Appel de Paris rendra sa décision le 23 mars 2026.
durée : 00:05:20 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Les stars n'ont aucune intimité. Surtout ne soyez pas célèbre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aurélie Aimé est journaliste. Son sujet de prédilection, la spiritualité, est à l'origine de son premier livre Lieux sacrés et mystèrieux en France, qu'elle était venue présenter lors de sa première participation à Zeteo, en 2023. Cette année, après avoir traversé de grandes souffrances personnelles, elle a choisi de donner la parole à une quinzaine de témoins. Dans le film De l'Or sous la cendre, qu'elle a écrit et co-produit, ces personnes racontent comment elles ont été heurtées de plein fouet par l'épreuve, frôlant parfois la folie ou la mort. Un point commun bouleversant les relie toutes : le retournement radical, l'illumination intérieure, et le début d'une vie nouvelle beaucoup plus intense, heureuse et apaisée que celle d'avant. À quelques jours seulement de sa première représentation, qui aura lieu à Lyon le 30 septembre prochain, Aurélie Aimé partage quelques pépites de ce film émouvant, fort, poétique et particulièrement inspiré, que nous avons pu voir en intégralité. Dans De l'Or sous la cendre, nous allons à la rencontre de personnes exemplaires, comme Frédérique Lemarchand, Laurent Gounelle, Marc Vella, Sylvie Dethiollaz, Fabienne Raoul… Elles témoignent d'épreuves telles que l'expérience de mort imminente, la révélation dévastatrice d'un secret familial, le deuil, la séparation, l'accident, la maladie, la maltraitance infantile, la dépression, le burn-out… Si ces personnes ont des histoires très différentes les unes des autres, elles témoignent toutes avoir vécu des étapes qui se ressemblent profondément. À chaque fois, elles nous disent comment la peur et la souffrance peuvent être traversées. Aurélie Aimé le dit elle-même : « la peur nous empêche d'accéder au trésor ». Pourtant, comme le confie un témoin du film, « le remède de la blessure est la blessure elle-même ». Consentir à l'épreuve nous ouvre, en permettant à la lumière de s'engouffrer. Surtout, nous ne sommes jamais seuls. Il y a toujours, en chaque épreuve, une présence visible ou invisible qui nous accompagne, qui nous aide, qui nous relève et qui ne nous abandonne jamais. Avec Aurélie Aimé et son film magnifique, nous sommes invités à visiter nos souffrances dans toute leur profondeur, à accueillir et traverser nos douleurs et nos peurs, jusqu'à la métamorphose. Celle qui nous transforme et qui fait plonger nos vies dans l'océan d'or, de lumière, d'amour et d'éternité auquel nous sommes tous appelés. -------------- Pour connaître les dates et les lieux de projection du film De l'Or sous la Cendre, écrit et co-produit par Aurélie Aimé, cliquer ici. LA GOUTTE D'EAU QUI SAUVE LE MONDE Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Il y a deux ans, j'avais déjà rencontré Aurélie Aimé, l'invitée du nouvel épisode diffusé à partir d'aujourd'hui. Venue parler de son premier livre, j'avais fais connaissance avec une jeune femme profonde, professionnelle, j'avais apprécié la curiosité et l'ouverture du regard qu'elle portait sur le monde. Je ne savais rien de l'épreuve qu'elle traversait, et je n'avais rien vu de l'intense combat intérieur qu'avait dû lui coûter cet interview. Cette année, Aurélie a choisi de transformer son épreuve en créant un film bouleversant : De l'Or sous la cendre. Elle a donné la parole à des personnes qui, comme elle et au cœur d'épreuves extrêmement lourdes, ont été illuminées et transformées par un immense amour. J'ai rarement vu une telle métamorphose ! La jeune femme d'il y a deux ans n'est plus la même. C'est comme si toutes les qualités qu'elle exprimait alors avaient été magnifiées. En fait, je vais écrire ici les mots qui me sont venus en rédigeant ces lignes. J'ai failli les refouler tant je les trouvais osés. Et pourtant, ils disent le mieux ce que j'ai ressenti en présence d'Aurélie, comme en regardant et en écoutant chaque témoin de son film. Ce que ces personnes vivent, et ce à quoi elles nous invitent, c'est leur transfiguration. Comme celle du Christ transfiguré, dont le visage apparaît dans les tableaux de Frédérique Lemarchand, l'une des héroïnes du film. Comme de tant d'autres hier et demain, j'ai attendu la diffusion de cet épisode avec impatience. Je me réjouis de le partager, et de savoir qu'il va illuminer beaucoup de cœurs. Il va aider à soulager les souffrances, à surmonter les peurs. Il va libérer la vie et l'amour, et transmettre la beauté. Comme celle dont parle une autre héroïne incroyable de L'Or sous la cendre. Au pire de la douleur, Séverine Hundziger dit que c'est la vision d'une goutte d'eau, ou de tout autre beauté qui apparaissait alors à ses yeux, qui l'a sauvée. Zeteo est au cœur de sa mission. Je tiens à remercier particulièrement Aurélie ici aussi, comme je le lui ai déjà dit directement. Comme tous ceux qui font confiance à Zeteo, et qui donnent le meilleur d'eux-mêmes pour que ce podcast poursuive cette mission. Ils le font par leur témoignage, ou par leur écoute, par leurs messages et bien-sûr aussi par leurs dons. Cette mission n'est qu'une petite goutte d'eau de plus, mais elle a un beau reflet et son goût est bon, rafraîchissant et apaisant. Grande est ma gratitude pour ceux qui contribuent, d'une manière ou d'une autre, à cette mission. Celle-ci, grâce à vous, parvient parfois à irradier de lumière nos ténèbres et nos souffrances, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour soutenir l'effort de Zeteo, diffusé entièrement gratuitement et sans publicité, en faisant un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Vous me les réclamez depuis des années : ça y est, je suis allée interviewer Hélène et Julien, alias les architectes Heju, pour qu'ils me racontent LEUR vie de chantier !Dans cet épisode, on parle de leurs débuts en tant qu'architectes, de travailler en couple, de leurs inspirations japonaises et scandinaves, de créativité, de trouver l'équilibre dans un budget travaux, de pin Douglas, de béton ciré, de zelliges et de marbre de Calacatta, du prix moyen au m2 d'une rénovation aujourd'hui, et de leur façon de gérer un chantier à travers deux de leurs projets gérés pour des clients récemment.Vous entendrez donc leurs conseils pour bien suivre et gérer un chantier, pour choisir le bon architecte pour votre projet travaux, ainsi que leurs meilleures adresses réno et déco...Rendez-vous sur ce lien pour visiter les appartements en photos et voir les Avant/Après des travaux. Mais je ne vous en dis pas plus, et je laisse place à l'histoire de deux rénovations menées par Hélène et Julien. Bonne écoute !*****NOTES DE L'ÉPISODE******- La visite en photos des appartements Saint-Antoine et Aumale : https://www.lechantierpodcast.fr/81-heju-chantiers-appartements- Le compte Instagram du podcast : @lechantierpodcast- Le compte Instagram de Heju Studio : @hejustudioMerci à mon partenaire Season Paper de soutenir cet épisode. Si vous cherchez de magnifiques papiers peints aux motifs intemporels pour un quotidien inspirant, rendez-vous sur https://fr.seasonpapercollection.com ou sur leur compte Instagram @seasonpapercollection ! Surtout qu'ils m'ont gentiment proposé un code promo pour vous, auditeurs du podcast, et vous aurez donc -15% sur votre commande, sans limite dans le temps et sans minimum d'achat, avec le code LECHANTIER. Ne me remerciez pas
On la paie souvent sans vraiment y prêter attention : la taxe d'enlèvement des ordures ménagères. Prélevée en même temps que la taxe foncière, elle finance la collecte et le traitement des déchets. En théorie, elle permet aux communes de couvrir les frais d'un service public essentiel. En pratique, elle se révèle de plus en plus coûteuse pour les contribuables, et parfois… bien plus lucrative que prévu pour certaines collectivités.Une hausse continue et des disparités criantesSelon l'UFC-Que Choisir, cette taxe a grimpé en moyenne de 20 % en cinq ans. Un rythme qui pèse lourd sur le portefeuille des propriétaires. Surtout que son montant varie fortement d'un territoire à l'autre. À Brest, par exemple, un habitant s'acquitte d'environ 68 euros par an, quand à Paris la facture s'élève à 240 euros en moyenne. Pour les associations de consommateurs, ces différences restent difficiles à justifier.Quand les collectivités font de la trésorerieUne enquête de l'Agence de la transition écologique, reprise par Le Monde, met en lumière une dérive : plus d'une collectivité sur deux prélève davantage qu'elle ne dépense réellement pour la gestion des déchets. Or, la loi est claire : cette taxe doit uniquement couvrir le service rendu, et en aucun cas devenir une source de bénéfices.Exemple frappant : la métropole de Dijon. En 2022, elle a perçu 110,32 euros par habitant, alors que le coût réel du traitement n'était que de 69,17 euros. Face aux critiques, les responsables invoquent la nécessité d'anticiper des investissements lourds, notamment pour moderniser les infrastructures de tri et de valorisation des déchets.La justice donne raison aux contribuablesLes tribunaux, eux, rappellent régulièrement les règles. À Saint-Amand-les-Eaux, dans le Nord, les habitants ont gagné un procès contre leur agglomération. Motif : un trop-perçu en 2021. Résultat concret, des chèques de 115 euros ont été envoyés aux contribuables lésés. Une victoire qui a fait jurisprudence et incité d'autres habitants à contester leurs avis de taxe.Une taxe nécessaire, mais à encadrerL'UFC-Que Choisir nuance toutefois son propos : la taxe d'ordures ménagères a sa légitimité. Entre 2020 et 2024, le coût réel de la collecte et du traitement a bondi de 22 %, notamment à cause de l'inflation, du prix de l'énergie et des exigences croissantes en matière de recyclage. Le problème n'est donc pas son existence, mais sa gestion opaque et parfois abusive.En clair, si personne ne remet en cause l'utilité de financer le ramassage des poubelles, de plus en plus de voix s'élèvent pour que la facture soit juste, transparente et proportionnée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Gloire à Dieu ! Ce que Dieu a fait pour eux, il veut continuer à le faire pour son peuple. Surtout quand vous voyagez, Amen, Dieu vous protégera. Faites toujours confiance à Dieu pour sa protection. Et quand vous voyez qu'il arrive quelque chose, un incident fâcheux, sachez que cela...
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Dans cet épisode hors-série disponible aussi en format vidéo sur YouTube, je suis avec Thomas Hammoudi, photographe, auteur et créateur des sujets de la photographie. Ensemble, on a décortiqué toutes les façons de rater un livre photo, de l'idée de départ à la promotion finale. Un échange sans langue de bois, truffé de conseils concrets pour les professionnels de la photographie. Retrouvez la deuxième partie de notre discussion sur la chaîne YouTube de Thomas Hammoudi.Bonne écoute !Chaîne YouTube de Thomas : https://www.youtube.com/c/thomashammoudiSite Le Chineur de livres photos : https://apps.thomashammoudi.com/Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueLien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre projet de livre : https://bit.ly/LVDLPlivrephotoMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Découvrez la collection Feu de Camp "Jeux dangereux" : une sélection d'épisodes du podcast qui rassemble les meilleures histoires de jouets possédés et de rituels démoniaques ! En termes de décoration intérieure, peut-on faire pire qu'une vitrine dans laquelle sont entreposés des jouets aux allures d'enfants qui n'en sont pas ? Que peut-il y avoir de plus inquiétant qu'un visage innocent figé et cireux ? Qu'y a-t-il de plus effroyable qu'une paire d'yeux vitreux qui vous scrutent sans ne jamais battre d'un cil ? Ne cherchez pas, il n'existe rien de plus épouvantable que les poupées aux airs faussement angéliques. Surtout celles qui renferment des entités diaboliques. Dans cet épisode, Taous vous raconte trois histoires de poupées hantées qui ont fait de la vie de leur propriétaire un véritable enfer. Feu de Camp est un podcast NRJ, écrit et incarné par Taous Merakchi. Une production disponible sur l'application et le site NRJ rubrique podcast, et sur toutes les plateformes d'écoute. Production : Anne-Cécile Kirry Réalisation : Cédric le Doré Graphisme : Marlène Boulère et Guillaume Mermet Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à nous laisser des étoiles ou des commentaires. Et pour être au courant de la sortie des nouveaux épisodes, abonnez-vous au flux sur votre plateforme préférée !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans Succession, la série à succès produite par HBO, la richissime famille Logan, l'une des plus puissantes des Etats-Unis, est à la fois cimentée et déchirée par l'argent. Impossible de nier que l'histoire de ce clan de milliardaires est inspirée de la réalité. Surtout que, dans « Succession », le patriarche, Roy Logan, a bâti un empire financier qui n'est pas sans rappeler celui d'un magnat bien réel : Rupert Murdoch. Il faut dire que sa vie a de quoi inspirer n'importe quel scénariste. Un épisode en particulier : le scandale de « News of the World ».Thomas Rozec raconte.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Quentin Bresson et Paul Bertiaux. Production et édition : Lorraine Besse et Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:53 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1963, le Louvre organise une exposition hommage à Paul Signac pour le centenaire de sa naissance. Famille, historiens de l'art et amis artistes se retrouvent pour cette émission de "L'art vivant" où il sera surtout question de son œuvre, de ses influences et de son apport à la peinture. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Germain Bazin; Françoise Cachin Historienne de l'art, conservatrice de musée, petite-fille de Paul Signac
C'est la rentrée !Bienvenue pour une nouvelle saison de la Matrescence ! J'ai hâte qu'on chemine ensemble. Élever des enfants veut parfois dire se confronter à de grosses difficultés.Que faire face à un enfant qui crie, tape, n'écoute rien, nous pousse dans nos retranchements ?Comment éviter de péter les plombs et de faire redescendre la tension ?Ces enfants dits difficiles, insupportables, viennent appuyer là où ça fait mal.Dr Anne Raynaud, médecin psychiatre fondatrice des Instituts de la parentalité et autrice, revient pour la 4e fois dans le podcast.Anne nous embarque dans le monde merveilleux de la théorie de l'attachement pour nous donner des clés essentielles pour apaiser nos relations à nos enfants qui sont intenses.Oui ces enfants sont épuisants, sont challengeants, mais Anne vous aide à travers cet épisode à trouver des solutions efficaces.Surtout n'hésitez pas à faire passer cet épisode autour de vous.Je vous souhaite une très bonne écoute